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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - octobre 2013.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 


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l’union 131031 a
ASSOCIATION : Les échanges de services, source de bonheur

Colette Santini, cofondatrice avec son mari de ce réseau au service des habitants, souffle les bougies des 25 ans de la structure.
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L’association Multiéchanges services a tenu son assemblée, à l’occasion de ses 25 ans. Avec plein de projets à la clef.

L’association Multiéchanges services (MutES) a réuni son assemblée générale à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, en présence de nombreux associatifs, dont les jardins familiaux de Croixdu- Sud et l’association de promotion de Pays-de-France et de plusieurs membres de la Maison de quartier et du conseil de quartier.

Les finances sont, cette année dans le rouge « à cause d’une subvention municipale promise mais non versée d’où un solde négatif de 1 731 euros, apuré en puisant sur nos réserves ». Le premier adjoint Éric Quénard a promis de voir cela de près.

Le rapport d’activités, traditionnel et copieux, montre bien l’influence de cette petite association omniprésente dans le quartier Croix-Rouge et dont les effectifs grimpent, avec notamment des adhérents plus jeunes : échanges de services, atelier cuisine, galette des rois, printemps des Poètes, journée crêpes de la solidarité, semaine des échanges et du savoir, atelier théâtre, fête des habitants, détente en spa, déjeuner échange de recettes, l’été s’affiche à Croix-Rouge, cinéma en plein air, sortie estivale, journée du refus de la misère, forum des associations de Croix-Rouge, repas de Noël. L’association est très vivante.

Une progression des activités de 10 %

Certes, l’objectif principal de la MutES est toujours « un service reçu pour un service donné » et cela fonctionne bien, en progression de 10 %, surtout cette année en service accompagnement transport. Une nouvelle orientation, pour la MutES, qui fête cette année ses 25 ans d’existence, a été proposée par la présidente : « Et si, aujourd’hui, la MutES devenait source de bonheur ? Et si, en y participant, on pouvait le découvrir ou du moins une petite étincelle qui engendrerait un grand feu dans le coeur de chacun ? »

DE NOTRE CORRESPONDANT CHRISTIAN CARON

▶ Permanences publiques tous les 15 jours le lundi après-midi, sauf vacances scolaires, à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. 03 26 08 08 78.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Animatrice référent familles

Animatrice référent familles à l’espace Watteau/Pays-de-France de la Maison de quartier Croix- Rouge, Alexandra Babin invite les mamans à passer un moment agréable, prendre du temps pour vous et discuter avec d’autres mamans, les mardis 5 et 19 novembre, de 14 à 16 heures, à La Marelle, 3 allée des Picards.

Renseignements : Alexandra Babin 03 26 36 03 50.

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l’union 131030 a
Le Comité de Jumelage Reims-Brazzaville

Le Comité de Jumelage Reims-Brazzaville présente sa soirée dansante africaine le samedi 9 novembre à partir de 20 heures, salle municipale Croix- Rouge, avenue François-Mauriac à Reims. L’entrée est de 10 euros avec 1 boisson offerte.

Inscriptions au 03 26 07 29 16 ou sur brazzaville.reims@yahoo.fr

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l’union 131029 b
CROIX-ROUGE TROC

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Rencontres de mamans

Animatrice référent familles à l’espace Watteau/Pays-de-France de la Maison de quartier Croix- Rouge, Alexandra Babin invite les mamans à passer un moment agréable, prendre du temps pour vous et discuter avec d’autres mamans, les mardis 5 et 19 novembre, de 14 à 16 heures, à La Marelle, 3 allée des Picards.

L’occasion d’échanger entre mères de famille, en toute simplicité.

Renseignements complémentaires auprès d’Alexandra Babin03 26 36 03 50.

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l’union 131028 b
SORTIE : Les familles à Paris

Au programme, une séance cinéma en 3D à la Géode.
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Alexandra Babin, animatrice référent familles aux espaces Pays-de-France et Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, propose une sortie familiale à Paris, à la Cité des Sciences, le samedi 9 novembre.

Au choix dès l’inscription, pour toute la famille, la visite de la Maison des enfants 2/7 ans (cinq espaces thématiques : je me découvre, je sais faire, je me repère, tous ensemble, j’expérimente) ou la visite de la Maison des enfants 5/12 ans (six espaces thématiques : le corps, communiquer, le studio TV, les jeux d’eau, le jardin, l’usine). Pour tous : une séance de cinéma en 3D à la Géode (immersion totale dans l’image).

Tarifs : 9 € adulte et enfant (adhésion familiale 15 €). Horaires : départ à 10 heures sur le parking du collège Georges-Braque, retour vers 19 h 30. Préparer le pique-nique et le goûter.

▶ Renseignements et inscriptions : demander Alexandra à l’espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau. Tél. 03 26 36 03 50 ou 06 47 71 53 00.

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l’union 131028 a
Rencontres de mamans

Rencontres de mamans avec l’animatrice référent familles à l’espace Watteau/Pays-de- France de la Maison de quartier Croix-Rouge, Alexandra Babin. Elle invite les mamans à passer un moment agréable, prendre du temps pour elles et discuter avec d’autres mamans, les mardis 5 et 19 novembre, de 14 heures à 16 heures, à La Marelle, 3, allée des Picards.

Renseignements complémentaires : Alexandra Babin au 03 26 36 03 50.

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REIMS MÉTROPOLE MAGAZINE N°135 - 131025d
Le quartier Croix-Rouge dans « REIMS MÉTROPOLE MAGAZINE »

N° 135 . septembre-octobre 2013

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Mod’emploi Croix Rouge suite

Mod’emploi est un dispositif mené à l’initiative de Reims Métropole qui confie la mise en oeuvre de cette opération à la Maison de l’emploi et des métiers du bassin rémois.

Son objectif est de proposer des animations et des services autour de l’emploi dans un quartier sur une période définie.

C’est un dispositif qui s’adresse à tout public et qui permet de rapprocher des habitants les différents acteurs du territoire.

Cette manifestation s’est tenue dans le quartier Croix Rouge en septembre 2012 pendant 3 semaines. Chaque jour, les habitants du quartier et hors quartier ont pu participer à des ateliers, forums, visites d’entreprise… et trouver une réponse aux questions qu’ils se posent sur l’emploi. Après ce temps fort, Mod’emploi revient sous forme d’actions ponctuelles. Un atelier « Simulation d’entretien » a été proposé en mars 2013, un forum « Création d’entreprise » en mai 2013. Le 17 septembre à la Médiathèque Croix Rouge, c’est une réunion d’information collective sur « les droits et devoirs d’un salarié » qui a été organisée en partenariat avec Emploi 51, Reims Métropole et la Maison de l’emploi et des métiers.

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L’hebdo du vendredi- N° 323- 131025c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 323 - Semaine du 25 octobre au 01 novembre 2013

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Enseignement supérieur : De plus en plus d’étudiants à l’Urca

Gilles Baillat a aussi confirmé le transfert de la présidence de l’Urca dans un nouveau bâtiment de Croix- Rouge, derrière l’hippodrome. © l’Hebdo du Vendredi
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Projection de ce que devrait être le futur grand campus à Croix-Rouge. © Pierre Etienne
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Si les derniers chiffres officiels ne sont pas encore tombés, la tendance, elle, en tout cas se confirme : le nombre d’inscrits à l’Université de Reims Champagne- Ardenne (Urca) continue d’augmenter pour cette rentrée 2013. De bonne augure alors que se profilent déjà les premiers travaux concrets du projet de Grand Campus à Reims. 4,1%. Toutes filières confondues, c’est l’augmentation constatée du nombre d’inscrits à l’Urca pour cette rentrée 2013.

Soient précisément 802 inscriptions supplémentaires par rapport à l’année passée, portant entre 22 300 et 22 500 le nombre total d’étudiants sur l’ensemble des campus champardennais. Une augmentation plus marquée notamment en Sciences Exactes et Naturelles, Staps, à l’IFTS et à l’EsiReims, ainsi que dans le secteur santé, ce dernier affichant une progression de ses effectifs de 4,8% par rapport à octobre 2012. « C’est un exemple incontestable montrant que le redressement de notre université se poursuit, souligne, enthousiaste, Gilles Baillat, le président de l’Urca, tenant au passage à souligner, la hausse de 6,6% d’étudiants étrangers, à savoir 144 inscrits en plus et 1 495 au total. » S’il y a ceux qui arrivent à l’université, il y a aussi ceux qui en sortent. D’après les réponses données par les diplômés de Master ou de Licence sortis en 2010, le taux d’insertion à trente mois serait de 88% pour les titulaires d’un Master et de 85% pour les diplômés d’une licence professionnelle (dont 66 à 75% d’emplois stables selon les diplômes).

De bonne augure pour le président de l’Urca et son équipe, en vue des futures transformations à venir, en particulier le projet Grand Campus à Reims. « Ce dossier avance, poursuit Gilles Baillat, le schéma directeur d’immobilier et d’aménagement sera complété pour la fin du mois de novembre. Avec les nouveaux équipements et le transfert des infrastructures du Moulin de la Housse à Croix- Rouge, l’objectif sera de réduire de 30% notre surface sur la ville. D’après les critères nationaux, nous avons 60 000 m2 en trop aujourd’hui. Dans notre université de demain, nous proposerons de meilleurs services, dans de meilleures conditions, le tout dans une logique de rationalisation. » > www.univ-reims.fr

Aymeric Henniaux

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l’union 131025 b
Du cannabis pour ses angoisses

Libérable le 30 octobre 2014, Abdelnour Kerbouche, 24 ans, est ressorti quelques heures de prison mardi pour répondre d’une nouvelle infraction aux stupéfiants.

Interpellé en avril 2012 quartier Croix-Rouge, il devait répondre de consommation de cannabis, ainsi que de plusieurs dépannages…

Des faits pour lesquels, il avait fait l’objet d’une alternative aux poursuites par le biais d’un stage de sensibilisation aux stupéfiants. Stage qu’il n’a jamais effectué.

Pour sa défense, il a expliqué consommer du cannabis pour calmer ses angoisses de ne pas trouver de travail… Pour le reste, il avait oublié qu’il devait faire un stage. En répression, n’ayant pas su saisir l’opportunité qu’on lui avait offerte, il a été condamné à 5 mois supplémentaires de prison ferme. Le parquet avait requis dix mois.

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l’union 131025 a
Feux de véhicules

Garé place Georges-Braque, un fourgon Renault Master a été incendié hier à 4 heures.

Une voiture a brûlé deux heures plus tard rue Michel-Simon à Murigny, où une poubelle a déjà flambé la veille à 18 h 45, rue Marcel-Migeo.

Mercredi à 20 h 45, un scooter impossible à identifier est parti en fumée rue du Docteur-Bazelaire à la Neuvillette.

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l’union 131024 b
Les médiathèques Jean-Falala et Croix-Rouge

Les médiathèques Jean-Falala et Croix-Rouge proposent une visite guidée aujourd’hui, demain et samedi 26 octobre de 10 heures à 11 heures.

Inscriptions indispensables au 03 26 35 68 00 pour la première médiathèque et au 03 26 35 68 45 pour la deuxième.

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l’union 131024 a
Une coupure d’eau rue Savoyards

Dans le cadre de l’aménagement de la rue Savoyards, une coupure d’eau sur le secteur Pays de France est prévue le 28 octobre dès 9 heures, de quelques heures.

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l’union 131023 b
SANTÉ : Les locataires mal informés sur la qualité de l’eau

« Les résultats des analyses devraient être communiquées aux locataires ». Christian Lantenois
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Quand le bailleur Reims Habitat trouve des légionnelles dans l’eau en quantité anormale, il ne prend pas la peine d’informer les locataires. Une situation que Michel Lefèvre dénonce.

Les locataires de Croix- Rouge sont-ils assez informés de la qualité de l’eau qui coule de leur robinet ? Michel Lefèvre, rue Jeanne-Jugan, estime que non. Il y a des mois que ce retraité se bat pour que Reims Habitat transmette le résultat de ses analyses à chaque locataire. Sa croisade n’a pas commencé par hasard. « Cela faisait un an et demi que nous n’avions pas d’eau très chaude dans les appartements.

Nous nous sommes plaints, il y a eu une enquête qui a abouti à trouver qu’une vanne était restée fermée à la cave », raconte Michel. « Nous avions eu un gros problème de légionellose en juillet 2011. Une dame était tombée très malade. C’est en me souvenant de cela que j’ai suggéré à Reims Habitat, le bailleur, de faire faire des analyses de l’eau ». Ce qu’a fait Reims Habitat. Les prélèvements ont été réalisés le 29 janvier 2012 et les résultats sont tombés le 6 février. « Ils faisaient apparaître une présence importante de légionelles. Ils ont trouvé 3000 bactéries par litre au lieu des 1000 qui sont plutôt la norme ». Trop mais pas assez pour entraîner des mesures d’urgence. « Il a fallu que j’insiste pour avoir ces résultats. J’ai suggéré qu’il était souhaitable de prévenir tous les locataires de cette présence de légionelle. On m’a répondu qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter et que ce serait ridicule d’alerter tout le monde ».

« Je me sentais responsable »

Michel Lefèvre a insisté. Comme rien ne se passait, il a lui-même affiché une feuille dans le hall de l’immeuble pour prévenir les locataires que leur eau était contaminée. « Je me sentais responsable si je ne prévenais pas les gens ». Cela a été efficace pour faire réagir Reims Habitat qui « enfin » a affiché une note expliquant la situation : « Une panne sur le circuit de distribution a engendré une baisse de température sur le réseau d’eau chaude. (…) Nous avons procédé à des prélèvements qui ont montré la présence de légionelle mais dans des proportions bien en dessous du seuil de déclenchement d’une procédure d’information et surtout sans risque pour la santé ». Michel Lefèvre estime que le bailleur devrait communiquer aux locataires les résultats des analyses de l’eau à chaque fois qu’il en réalise. Et ce dans un souci de transparence. « Cela me semble évident. Chacun a le droit de connaître la qualité de son eau ». Reims Habitat n’a pas donné suite à sa suggestion. « Ils ne me répondent même plus. J’ai contacté la députée Catherine Vautrin pour qu’elle m’aide à déposer un projet de loi qui imposerait aux bailleurs de communiquer leurs analyses ». Ce sera alors la loi Michel Lefevre.

CATHERINE FREY

Le bailleur n’informe pas en l’absence de risque

Reims Habitat fait savoir par le biais d’un communiqué que « sur l’ensemble de son patrimoine et en conformité avec la réglementation en vigueur, il effectue régulièrement, avec l’aide de ses prestataires et sous le contrôle des services sanitaires, des analyses de l’eau chaude fournie à ses locataires afin de leur garantir une qualité optimale ». Le bailleur ajoute que toutes ces analyses ne révélant aucun risque pour la santé des locataires. « Il n’est donc pas nécessaire de les avertir. » Quant à l’eau froide précise Reims Habitat, elle est contrôlée par Reims métropole.

L’HOMME DU JOUR

Michel Lefèvre, locataire de Reims Habitat à Reims : Pour un projet de loi sur l’eau

Michel Lefèvre estime que les locataires doivent être informés de la qualité de l’eau de leur robinet. Sa réclamation est partie d’un épisode dans son immeuble.

« Reims Habitat a trouvé dans l’eau chaude un taux de légionelles dépassant la norme. J’ai eu connaissance de ces résultats.

Même si ce taux n’était pas critique pour la santé, j’ai demandé à ce que tous les locataires soient mis au courant. Ce que le bailleur a d’abord refusé. Il a fallu que j’affiche moi-même les résultats dans le hall pour qu’il réagisse. Je suis donc arrivé à la conclusion qu’il faut une loi qui oblige le bailleur à communiquer. « J’ai contacté la députée Catherine Vautrin pour solliciter son aide. »

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l’union 131023 a
REIMS : Il se jette sur le tram

Un étudiant de 18 ans a été légèrement blessé aux jambes en percutant une rame du tramway devant le campus Croix-Rouge, lundi vers 16 heures.

Il s’agit d’une tentative de suicide. Le garçon s’est jeté sur la rame alors qu’il venait de se disputer avec son amie présente à ses côtés. Le choc s’est produit à faible vitesse (la conductrice, inquiète de le voir gesticuler le long de la voie, avait commencé à freiner).

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l’union 131022 d
Semaine Bleue

Les plus de 60 ans ne le savent pas toujours, ils bénéficient de tarifs réduits pour l’entrée dans les musées municipaux et pour les abonnements au réseau des bibliothèques et médiathèques publiques.

Afin de faire découvrir aux séniors la médiathèque Croix-Rouge, deux visites guidées gratuites sont proposées : mardi 22 octobre et jeudi 24 octobre, de 10 à 11 heures.

L’inscription préalable est indispensable par téléphone au 03 26 47 79 41

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l’union 131022 c
En préambule de la Fête du cinéma d’animation

L’exposition « Le Cabinet de curiosités de Nicolas Bianco-Levrin » vous propose de découvrir comment les images fixes s’animent et les principes fondamentaux d’animation, jusqu’au 9 décembre, à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis=Debar.

Renseignements : 03 26 35 68 40.

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l’union 131022 b
Avis d’appel public à Concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Objet : Installation de systèmes de vidéo-protection - Région Champagne Ardennes / MA-150913

Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005

Le marché est composé de 2 lots :
Lot A : Agences Reims Chatillons / Reims Centre / Chalons en champagne
Lot B : Agences Reims Croix du Sud / Reims Avenue de Laon / Tinqueux

Délai : 15 jours de préparation et 4 mois d’exécution.

Retrait du dossier : Le dossier est disponible gratuitement en téléchargement, à compter du mardi 22 octobre 2013 à 10h, sur notre site : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr / Réf. : MA-150913

Date limite de réception des offres : Vendredi 29 Novembre 2013 à 12 heures, par envoi ou dépôt à L’Effort Rémois, Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims, avant la date limite de réception.

Renseignements techniques : Cabinet Tech in Média 03.26.86.87.74

Renseignements administratifs : Service Marchés Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03.26.04.99.05

Date d’envoi à la publication le 15 octobre 2013 aux JOUE et JAL L’UNION (éditions Aisne, Marne et Ardennes).

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l’union 131022 a
TENNIS : Un nouveau responsable

Bruno Dagnée souhaite entretenir une dynamique de groupe.
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À 29 ans, Bruno Dagnée est le nouveau responsable pédagogique du Centre de formation du tennis club Géo-André. Son rôle consistera à coordonner les actions relatives à l’équipe pédagogique, les plannings d’entraînement, le programme de compétitions ainsi que l’accompagnement sur le tournoi.

Pour cette fonction, « l’important est d’être au contact quotidien avec les membres de l’équipe pédagogique qui est composée d’entraîneurs (Sébastien Paillard, Geoffrey Alissio, Vincent Betbeze et Stéphane Limouzin) » dit-il. « Mais ce que je compte vraiment faire, c’est de personnaliser davantage les contenus d’entraînement et les stratégies de compétitions et d’entretenir la dynamique de groupe notamment au travers des championnats par équipes. Je souhaite également que les jeunes du Centre gardent un lien avec le club, par l’intermédiaire des différents événements et animations ». Ils sont actuellement dix-sept jeunes à faire partie de cette structure de formation. Certains, venant de loin (Guadeloupe, Lorraine).

 

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l’union 131021 b
REIMS : Personnes blessées : l’auteur gardé à vue

Le jeune homme qui s’en est pris à plusieurs membres de sa famille samedi soir dans le cadre d’une réunion familiale alcoolisée était toujours en garde à vue hier au commissariat en attendant que la justice décide de son sort. Les personnes visées par son coup de colère n’ont été que très légèrement blessées. Selon un membre de la famille, c’est le verre brisé d’une bouteille qui les aurait touchées et non pas un couteau. Elle ne nie pas qu’une femme présente aurait à son tour agressé les policiers à leur arrivée sur les lieux, un appartement de l’avenue du Général- Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge. Finalement, personne n’a été hospitalisée.

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l’union 131021 a
12e fête du cinéma d’animation

L’occasion de partager jusqu’au 9 novembre, l’univers de réalisateurs d’origines et d’horizons très divers, de mettre en parallèle des points de vue et des techniques différentes. « Nous vous invitons à venir découvrir dans les médiathèques Croix-Rouge et Jean Falala l’univers de Nicolas Bianco- Levrin et Julie Rembauville ainsi que celui d’Andrea Kiss et Jean-Philippe Salvadori », explique Jean-André Ithier, le conservateur de la médiathèque Croix-Rouge.

À la salle d’exposition de cette médiathèque, Nicolas Bianco Levrin propose aux visiteurs dans son cabinet de curiosités de découvrir ou redécouvrir les principes fondamentaux de l’animation. Avec ces étranges machines qui donnent vie aux images, il amène les visiteurs à découvrir les liens entre l’illustration et l’image animée. Seront aussi projetés quelques courts-métrages réalisés en papiers découpés, pâte à modeler, volume, dessins et ombres. (Tout public).

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tramway : ligne A, station Médiathèque.

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l’union 131020 a
REIMS : Trois blessés à coups de couteau

Hier soir, trois personnes ont été blessées à coups de couteau dans le quartier Croix-Rouge, dans un immeuble situé au 11, avenue Bonaparte. Une quatrième personne a fait un malaise.

Les pompiers se sont déplacés en force avec trois ambulances pour évacuer les blessés, tandis que la police commençait son enquête sur les circonstances de cet événement.

Il semblerait qu’une soirée en famille ou entre amis ait dégénéré mais il était trop tôt hier pour savoir ce qui s’est passé dans ce logement. Il pourrait y avoir un lien avec un barbecue allumé sur un balcon dans ce même immeuble.

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l’union 131019 a
VIOLENCES : Un portable d’alerte pour sauver les femmes en grand danger

Les chiffres des violences conjugales sont alarmants alors qu’une femme sur dix dépose plainte. Remi WAFFLART
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La Marne vient d’être dotée de dix téléphones portables d’urgence susceptibles d’équiper des femmes victimes de violences conjugales considérées « en très grand danger ».

La vie d’une femme battue ne tient parfois qu’à un coup de fil. C’est justement pour raccourcir le délai d’intervention et renforcer l’efficacité des forces de l’ordre que Reims Métropole, Châlons-en-Champagne, Vitry- le-François et Épernay ont mis la main à la poche pour doter la Marne de dix téléphones portables d’urgence destinés aux conjointes ou ex-conjointes en grand danger.

L’opération, pilotée par les parquets de Reims et de Châlons, a été montée en partenariat avec Orange et Mondial Assistance. « Il ne s’agit ni d’un gadget ni d’un droit absolu au téléphone portable », prévient le procureur de Reims. Et Fabrice Belargent de préciser : « C’est un dispositif parmi d’autres comme l’éloignement du conjoint violent mis en place il y a maintenant trois dans le département. Le portable est remis sur décision du procureur après une plainte et l’identification d’un danger spécifique. »

« Pas de remède miracle »

Le parquet s’appuie sur le rapport établi par le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) en collaboration avec le Mars, deux associations d’aide aux victimes partenaires de l’opération. Le fameux portable peut être remis en urgence quand une femme vient de faire l’objet de violences mais aussi de manière programmée lorsque l’ex-conjoint incarcéré s’apprête à être remis en liberté. « Il est accordé pour une période de six mois renouvelable une fois. Ce qui représente une capacité de dix victimes sur une année avec un maximum de vingt », précise Karine Bonne, directrice du CIDFF.

Techniquement, la victime n’a pas la nécessité de parler. Dès qu’elle presse à trois reprises le bouton d’alerte, un opérateur de Mondial Assistance est à l’écoute. C’est à lui que revient la décision ultime de contacter le service de police ou de gendarmerie concerné. « Il dispose à la fois de données précises concernant la personne protégée comme le lieu de scolarisation des enfants ou ceux qu’elle fréquente habituellement. Il a aussi un accès privilégié aux services de police ou de gendarmerie qui disposent déjà d’une fiche de renseignements », détaille Fabrice Belargent. Reste que ce type d’initiative ne constitue « pas un remède miracle ». « Nous sommes confrontés à une difficulté majeure quand le décès est une manifestation inaugurale, c’est-à-dire sans antécédent de violence », note le procureur de Reims. Le cas s’était produit dans le quartier Croix Rouge de Reims quand un homme avait poignardé sa compagne à mort avant de brûler son corps dans le coffre de sa voiture. Ces cas de manifestation ultra-violente inaugurale s’ajoutent aux refus de déposer plainte que tente d’enrayer le processus « des coupons violence » qui consiste à signaler aux associations les interventions pour différent familial dans l’espoir de briser le silence.

ÉRIC LAINÉ

Un appel lui sauve la vie en août 2011

Elle avait déjà échappé à une première tentative de meurtre au terme d’une vie de calvaire. Il avait installé une corde et un escabeau pour elle au grenier. Sylvie, femme martyrisée du Bas-Rhin, a eu la vie sauve grâce à ce type de portable à l’été 2011. Condamné pour menaces de mort et viol, son ex-mari la cueille à sa sortie de prison. Un fourgon aux vitres masquées, des somnifères, un couteau, de l’alcool, il a tout prévu pour l’enlever et « pour la planter ». Sylvie a juste le temps d’activer le portable des femmes « en grand danger ».

Terrorisée, elle refuse de monter à bord du véhicule. Le couple s’installe finalement au restaurant. La police arrive. À leur vue, le violent se jette sur elle. Couteau en main.

Elle esquive par miracle. Il est maîtrisé. « Dans son regard, j’étais morte », dira-telle. Finalement, elle a traversé le restaurant. « Et j’étais vivante. Encore. »

Des chiffres noirs

L’année 2012 a été particulièrement sombre en matière de violences conjugales. Pas moins de 148 femmes ont été tuées sur l’ensemble du territoire national. La Marne n’est pas épargnée par cette hécatombe puisqu’elle se situe dans les dix premières places après avoir occupé la 5e en 2011 et la 8e l’année précédente, si l’on fait le ratio du nombre de meurtres de femme par rapport à la population.

« Les Ardennes sont également en surreprésentation par rapport aux violences faites aux femmes », déplore le procureur de la République de Reims, Fabrice Belargent. Ce qui fait que le bilan en région Champagne-Ardenne est tout aussi noir, oscillant entre la 4e place en 2010 et la 9e en 2012.

Même si elles ne se sont pas soldées par la mort, les procédures pour violences conjugales initiées dans le ressort du TGI de Reims confirment cette inquiétante tendance avec 256 faits constatés en 2011, 320 en 2012 et déjà 185 pour l’année en cours.

LE SCHÉMA DE FONCTIONNEMENT

▶ Le CIDFF de la Marne peut être saisi par les associations, les travailleurs sociaux et le corps médical d’une situation de détresse. Les magistrats peuvent les solliciter pour une évaluation.

▶ Un guichet unique accompagne les femmes en danger dans leurs démarches judiciaires. Surtout, il établit un rapport d’évaluation destiné au procureur.

▶ Il revient à ce dernier de prendre la décision de l’attribution d’un portable d’urgence.

LE CHIFFRE

550 000C’est le nombre de femmes victimes de violences physiques ou sexuelles au sein de leur ménage ces deux dernières années.

LA PHRASE

« L’année de leur mise en service, les dix portables coûteront 30 000 euros pour prix de l’abonnement téléphonique, du service Mondial Assistance et pour les frais de fonctionnement des associations engagées dans l’opération. » Fabrice Belargent, procureur de Reims

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l’union 131018 c
LOGEMENT : La porte-fenêtre est enfin arrivée

Un état de crasse impressionnant.
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Dans notre article du 12 octobre, Une porte-fenêtre nommée désir, nous évoquions les tourments du couple Lefeuvre, domicilié au 16, allée des Bourguignons, dont une porte-fenêtre ne fermait plus depuis belle lurette, laissant entrer le froid.

Au Foyer rémois, Christophe Faber, directeur de clientèle, nous assurait : « La société d’entretien Must a été interpellée et nous a conseillé de changer la porte fenêtre. Nous l’avons donc commandée, mais les délais de livraison sont longs. Nous venons de relancer l’entreprise et M. et Mme Lefeuvre peuvent être rassurés : leur problème sera réglé dans les meilleurs délais. »

Sale et rayée

Effectivement, une société s’est déplacée au domicile de la famille Lefeuvre. La porte-fenêtre a été changée, mais surprise : « Il s’agit d’une pièce de récupération, très sale et rayée », bien loin de la pièce neuve commandée selon M. Faber.

Aux ouvriers à qui les locataires demandaient pourquoi une telle horreur, il fut répondu : « Nous n’avons que de l’eau et un chiffon pour la nettoyer, cela n’aurait pas fonctionné, alors on vous l’installe en l’état ! »

Pour avoir du neuf, il semble qu’il aurait fallu attendre six mois.

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L’hebdo du vendredi- N° 322- 131018b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 322 - Semaine du 18 au 24 octobre 2013

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Troquez vos objets pour préparer la semaine de la réduction des déchets

La semaine de la réduction des déchets débutera à Reims le samedi 16 novembre avec un rendez-vous : le « Croix-Rouge Troc », un troc utile, économique et écologique, organisé avec la MUTES dans le cadre du forum des associations de Croix-Rouge.

Pour y participer ? Rien de plus simple : la première étape, c’est de déposer les objets qu’on souhaite troquer dès ce 16 octobre à la Maison du projet Croix-Rouge (le lundi de 9h à 12h, le mercredi de 14h à 17h et le vendredi de 15h à 18h30). Sur place, le troqueur reçoit des gommettes selon la valeur estimative des biens qu’il dépose.

Rendez-vous ensuite au gymnase Lapique samedi 16 novembre, de 10h à 16h30, pour utiliser ces gommettes et repartir avec un autre objet !


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Forum des métiers sociaux à l’IRTS

L’IRTS (8, rue Joliot Curie à Reims) accueille ce vendredi 18 octobre, de 10h à17h, son forum de métiers et formations.

Entrée libre. Rens. : www.irts-ca.fr

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l’union 131018 a
CROIX-ROUGE : Visites guidées de la médiathèque

La semaine nationale des retraités et personnes âgées, appelée semaine bleue fêtera cette année sa 61e édition.

Les plus de 60 ans ne le savent pas toujours, ils bénéficient de tarifs réduits pour l’entrée dans les musées municipaux et pour les abonnements au réseau des bibliothèques et médiathèques publiques.

Afin de faire découvrir aux seniors la médiathèque Croix-Rouge, trois visites guidées gratuites sont proposées : lundi 21 octobre, mardi 22 octobre et jeudi 24 octobre, de 10 à 11 heures.

L’inscription préalable est indispensable par téléphone au 03 26 47 79 41. Médiathèque Croix- Rouge, 19 rue Jean-Louis- Debar.

Tramway : ligne A, station médiathèque.

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l’union 131017 e
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (http://www.reims-habitat.fr/) dans la rubrique marchés publics.

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage : Reims habitat Champagne Ardenne
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du Décret du 30 décembre 2005.

Reims habitat se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : Réfection des voiries et mise en place de conteneurs enterrés dans le quartier des Hauts de Murigny à Reims

4) Lots : sans objet

5) Variantes : autorisées

6) Critères de jugement des offres :

Critères Pondération
1-Valeur technique 30%
3-Prix des prestations 70%

7) Délai d’exécution : Le délai d’exécution des travaux est de 4 mois. La période de préparation de chantier de 4 semaines est comprise dans ce délai.

8) Retrait du dossier de consultation : Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat auprès du Service Commande Publique, Tél : 03.26.48.62.30 Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

9) Renseignements complémentaires : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Tél. 03.26.48.62.30 Fax : 03.26.48.43.27
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction de la maîtrise d’ouvrage de Reims habitat Tél. 03.26.48.62.32 Fax : 03.26.48.43.40

10) Date limite de réception des offres : Le 12 Novembre 2013 à 17h00.

11) Date d’envoi à la publication : Le 11 Octobre 2013

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l’union 131017 d
MÉDIATHÈQUE CROIX-ROUGE

La Semaine nationale des retraités et personnes âgées, appelée Semaine Bleue, fêtera cette année sa 61e édition. Les plus de 60 ans ne le savent pas toujours, ils bénéficient de tarifs réduits pour l’entrée dans les musées municipaux et pour les abonnements au réseau des bibliothèques et médiathèques publiques.

Afin de faire découvrir aux seniors la médiathèque Croix- Rouge et tous les services qu’elle propose, trois visites guidées gratuites sont proposées : lundi 21 octobre, mardi 22 octobre et jeudi 24 octobre, de 10 à 11 heures.

L’inscription préalable est indispensable par téléphone au 03 26 47 79 41.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tramway : ligne A, station Médiathèque.

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l’union 131017 c
EMPLOI : Forum des métiers sociaux

Une journée ouverte aux lycéens, étudiants, enseignants, professionnels.
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L’IRTS organise demain son 20e forum des métiers et formations. Au programme : rencontres et stands. Cela fait près de 70 ans qu’existent des formations à destination des travailleurs sociaux », rappelle Guillaume Mistral, responsable de communication à l’Institut Régional du Travail Social de Champagne-Ardenne.

L’IRTS, agréé par le ministère, dispense une formation qualifiante, reconnue par un diplôme d’État. Si le niveau d’entrée tourne autour de bac ou niveau bac, des personnes dont le cursus s’est arrêté en 3e, mais très motivées et dynamiques, peuvent candidater. « Un bagage scolaire un peu maigre peut être compensé par des expériences de vie. Tous nos travailleurs sociaux doivent avoir un engagement solide, mais aussi une certaine distance par rapport à l’exercice de leur métier ». Les professions ? Éducateur spécialisé ou éducateur jeune enfant, assistant social.

Moins connue, la profession d’éducateur technique spécialisé (qui travaille dans les ESAT ou les hôpitaux). Un bon niveau de français est important. « C’est un outil de transmission de l’information. Les travailleurs sociaux peuvent être amenés à rédiger des rapports à un juge de tutelle… »

Les étudiants sont là pour accompagner des personnes en difficulté (handicapées ou qui ont vécu des accidents de parcours). « L’objectif est de leur rendre un maximum d’autonomie ». La formation ? Elle comporte sociologie, psychologie, droit, économie : « L’exercice de ce métier se fait dans un cadre légal. On leur confie des personnes encadrées ». Le slogan de l’IRTS ?« Nous vous préparons à des métiers d’avenirs ». Avec un « s » ? « C’est aussi bien leur avenir que celui des personnes dont ils s’occupent ». Les visiteurs trouveront des espaces de rencontres avec des professionnels et des stands d’information.

▶ Vendredi de 10 à 17 heures. IRTS, 8 rue Joliot-Curie. Tél. : 03 26 06 22 88. www.irts-ca.fr

L’IRTS en chiffres

▶ Effectif : 57 salariés ▶ Intervenants : 190 vacataires issus de divers horizons professionnels ▶ Stagiaires entrant en formation initiale : 225 ▶ Formation continue : 550 personnes perfectionnent leurs connaissances

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l’union 131017 b
SPORT : Les champions mobilisés pour Reims à toutes jambes

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Samedi, au village expo, dimanche, place d’Erlon : les champions rémois iront à la rencontre de la population.
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Le RATJ est inscrit dans l’histoire de la ville et doit rester une grande fête populaire ». En une phrase, Christine Michel, l’adjointe chargée des Sports résume la philosophie du grand rendez-vous d’automne. Pour la 30e édition, le village expo déménage au complexe René Tys.

Résultat : « Davantage de stands en comparaison à ce qui s’est fait l’an passé à Delaune et des allées plus aérées. » En 2012, sur deux jours, le village a attiré 12 000 personnes. Cette année encore, des initiations gratuites à l’aquabike (piscine Nautilud), à l’aviron ( rue Chézel), au vélo loisir, ( boulevard Arnould), au tennis (cours couverts de Géo André) et à la marche nordique (parc Léo Lagrange) sont prévues, le samedi.

Dimanche, la Ville a concocté des animations, place d’Erlon, et des concerts le long de la course. Pêle-mêle : place Royale, musée Saint Remi, croisement Voltaire et Desteuque, les halles, rond-point Marchandeau, Lieutenant-Herduin, place Saint-Timothée.

Mais Reims à toutes jambes sera surtout le prétexte pour approcher les sportifs rémois de haut niveau : « Il sera possible de rencontrer nos champions, des séances de dédicaces sont prévues », fait savoir Christine Michel. Samedi, de 14 à 16 heures, et dimanche de 10 à 14 heures, place d’Erlon, Yohann Diniz, (athlète multi-médaillés, spécialiste de la marche athlétique), Teddy Tinmar, (champion du monde en 2011 au relais 4x100m), Vincent Michaux, (champion du monde de boxe) Pauline Ferrand Prévot (championne du monde de cyclisme) ainsi qu’Anne-Sophie Da Costa, (championne du monde de boxe féminine) se prêteront au jeu. « Les footballeurs et les basketteurs iront aussi à la rencontre de la population assure l’élue. Les hockeyeurs viendront samedi pour faire gagner des places pour la rencontre de la soirée avec les Bisons de Neuilly-sur-Marne. »

AURÉLIE BEAUSSART

▶ Village expo, complexe René-Tys, vendredi : 13 à 18 heures, samedi : 10 à 19 heures.

Une seconde vie pour nos paires de basket oubliées

« On a tous, dans nos placards, deux ou trois paires de tennis, que l’on ne met plus et qui sont encore en bon état », affirme Christine Michel. L’élue invite les Rémois à trier et donner pour la bonne cause. Ainsi, parmi les associations présentes vendredi et samedi au village expo : Africarun. « Ses bénévoles collectent les chaussures de sport en bon état pour un usage humanitaire à destination de l’Afrique du Sud-Ouest. »

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l’union 131017 a
Réduction des déchets

Réduction des déchets avec Croix-Rouge Troc » du samedi 16 novembre, et « café déchets prévention » le mardi 19 novembre avec les animateurs du tri de Reims métropole à la Faculté des sciences.

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l’union 131016 f
TRI SÉLECTIF : Croix-Rouge adopte le troc

En 2013, la semaine de réduction des déchets débutera à Reims le 16 novembre avec un rendez-vous doublement éco : le Croix-Rouge troc, un troc utile, économique et écologique, organisé avec l’association Multi- Echanges services (MutES) dans le cadre du forum des associations de Croix-Rouge. Pour y participer ? Rien de plus simple : la première étape, c’est de déposer les objets qu’on souhaite troquer dès maintenant à la Maison du projet Croix-Rouge (le lundi de 9 à 12 h, le mercredi de 14 à 17 h et le vendredi de 15 h à 18 h 30). Sur place, le troqueur reçoit des gommettes selon la valeur estimative des biens qu’il dépose. Rendez-vous ensuite au gymnase Jean- Jacques Lapique le 16 novembre, de 10 h à 16 h 30, pour utiliser ces gommettes et repartir avec un autre objet ! Et si jamais les objets déposés ne trouvaient pas acquéreur le jour J ? Le troqueur a le choix soit de les récupérer, soit de les laisser sur place pour qu’ils soient donnés à une association.

Après le Croix-Rouge troc du 16 novembre, la semaine de réduction des déchets se poursuivra par un café déchets prévention, le 19 novembre avec les animateurs du tri de Reims métropole à la Faculté des sciences, ainsi que par trois ateliers de détournement d’objet le 20 novembre, à la Maison de l’Enfance de Croix-Rouge, à l’éco-appart Clairmarais et à l’éco-appart Croix-Rouge.

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l’union 131016 e
SPORT : Deux mille enfants dans les starting-blocks

Parc Murigny, hier, dernier entraînement pour 150 enfants de Murigny, Châtillons et Croix-Rouge. Isaline COSSON
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Fil rouge des 30 ans du RATJ, le relais USEP. Cette année, une répétition générale a été organisée avant le jour-J. Pour l’édition 2012 de Reims à toutes jambes, ils étaient 2 054 enfants à participer aux vingt et un relais de 2 km chacun, étalés tout au long du parcours du marathon. Dimanche, « ils seront tout aussi nombreux, assure Françoise Cloux, vice-présidente de l’USEP Reims. Ils viennent d’une quarantaine d’établissements scolaires, essentiellement de Reims et de sa métropole, mais aussi des Ardennes. » Ils ont entre 9 et 11 ans, sont scolarisés en CE2, CM1 et CM2 et vont courir cette année avec un tee-shirt orange. « Ce qu’ils vont faire dimanche nécessite une grosse préparation physique, explique Françoise Cloux. Ils s’entraînent durement depuis la rentrée. Ils ont appris à courir à une vitesse de 10 km/h. Et dimanche, ils se retrouveront à courir aux côtés des marathoniens. Il s’agit de ne pas gêner les grands. Le dernier kilomètre du marathon est couru par tous les enfants accompagnés des petits. Ils tirent chaque année de cette expérience une grande fierté. »

Pour la 30e édition, une répétition générale a été mise en place hier après-midi pour le plus grand plaisir des enfants. Pour fêter les trois décennies de l’Usep, une expo-photos sera visible au Village expo. Autant de souvenirs en perspective pour des milliers de Rémois. « Dans une même famille, on arrive parfois à trois générations qui ont connu cette course. »

AURÉLIE BEAUSSART

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l’union 131016 d
FORMATION : Des Cadets de la Républiques au lycée

Il s’agit d’un partenariat entre le lycée Joliot-Curie et l’École de police.
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Début octobre, le commissaire Gérard Cardaliaguet, directeur de l’École nationale de police, et Christophe Georges, proviseur du lycée professionnel Joliot-Curie, ont signé une convention de partenariat pour l’accueil et la formation des Cadets de la République.

Engagés sous contrat, ces derniers bénéficient d’une formation renforcée d’un an pour préparer le concours de gardien de la paix. Leur scolarité se déroule pour moitié à l’École de police pour la formation professionnelle, et pour moitié au lycée professionnel Joliot-Curie, qui prend en charge leur formation générale. « Leur programme est issu d’un projet développé depuis 2004.

Il a pour objectif de promouvoir l’égalité des chances au sein de la police nationale en permettant à des jeunes n’étant pas titulaires du baccalauréat de se préparer aux concours de gardien de la paix.

Il intègre une remise à niveau adaptée à chaque cadet », a précisé Christophe Georges.

Au menu : mathématiques, français, langues vivantes (anglais et espagnol), culture générale, communication, informatique et éducation physique et sportive.

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l’union 131016 c
EN IMAGE AU GYMNASE FRANÇOIS-LEGROS

Le roller mise sur les jeunes
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Un zoom sur le Reims roller Champagne club dont la réalité pluridisciplinaire permet dès l’école de roller de détecter les qualités des plus jeunes par rapport à la somme d’activités proposées. « Tel enfant se sentira plus doué pour le roller-hockey, tel autre pour la course et le slalom.

Mais quel que soit leur choix, les gamins auront acquis les bases essentielles du patinage. C’est l’objectif de notre structure de formation, qui est encadrée par quatre personnes. Ce qui permet un accompagnement personnalisé », explique Gilbert Lagors, président.

Quant aux seniors, les Nationale 3 ont déjà disputé quelques matches. « L’objectif étant de les voir se qualifier pour les phases finales. Pour cela, le club a su attirer de jeunes joueurs prometteurs. Le dernier groupe seniors joue en prénationale.

C’est un univers qui prépare certains joueurs à accéder aux catégories supérieures », indique Gilbert Lagors.

Renseignements au 03 26 83 97 05 ou rrcc-celeonet.fr

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l’union 131016 b
La Maison de quartier Croix-Rouge

La Maison de quartier Croix-Rouge organise une sortie familiale mercredi 23 octobre à la découverte du planétarium de Reims pour le programme « Où est passée l’étoile du Berger ? ».

Départ à 8 h 30 à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau).

Tarif : plus de 18 ans, 2 euros ; moins de 18 ans, gratuit. Adhésion obligatoire de 15 €.

Inscription obligatoire avant le mercredi 16 octobre à l’espace Watteau au 03 26 36 03 50 ou 06 47 71 53 00.

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l’union 131016 a
Les plus de 60 ans

Les plus de 60 ans ne le savent pas toujours, ils bénéficient de tarifs réduits pour l’entrée dans les musées municipaux et pour les abonnements au réseau des bibliothèques et médiathèques publiques.

Afin de faire découvrir aux séniors la médiathèque Croix- Rouge, trois visites guidées gratuites sont proposées : lundi 21 octobre, mardi 22 octobre et jeudi 24 octobre, de 10 à 11 heures.

L’inscription préalable est indispensable par téléphone au 03 26 47 79 41.

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l’union 131015 a
FORUM : Parentalité et immigration, au coeur des discussions

Une belle affluence pour ce forum.
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L’association Femmes-relais 51 a organisé un après-midi « Immigration et Parentalité », à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge. « Nous avons fait le constat que nos salariés travaillaient énormément sur les conflits rencontrés dans les familles entre les enfants et les parents, souvent de primo-arrivants turcs, russophiles (Pays de l’Est) ou maghrébins, explique Didier Guilliot, président de Femmesrelais 51. Nous nous assurons de l’interprétariat et du décodage culturel : nous expliquons aux institutions françaises comment fonctionnent ces populations. Ensuite, nous abordons les formes de fonctionnement en France. En les comprenant mieux, il est plus facile de les accepter et de les faire évoluer ». Le forum Parentalité avait pour thème les droits et les devoirs vis-à-vis des enfants. Il y avait de nombreux stands tenus par des partenaires spécialisés. La troupe « 3, 2, Interprète » a joué des saynètes inspirées du vécu des femmes relais (en particulier de l’affrontement opprimé/ opprimeur). Puis une personne du Centre académique pour la scolarisation des enfants allophones nouvellement arrivés et des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs (Casnav), une juriste et une psychologue, ont rappelé ce qu’est la parentalité en France.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 131014 f
HAUTS-DE-MURIGNY : Le prix du chauffage en question

Les locataires ont aussi du mal à cohabiter avec les collégiens.
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Les locataires des Hauts-de-Murigny n’ont toujours pas d’explications à la différence de prix, selon les secteurs, du chauffage.

L’association des locataires des Hauts-de-Murigny a tenu son assemblée générale. présenté deux particularités. Deux sujets ont en particulier monopolisé l’attention : le chauffage et l’eau chaude en premier lieu. En 2011, comme en 2010, il avait ainsi été relevé que la facturation du prix du chauffage et de l’eau chaude n’était pas identique pour tous les secteurs d’un même quartier alors qu’il s’agit d’une chaufferie unique. Dès 2010, il avait été projeté qu’une réunion devait se pencher sur ce problème : « Il n’en a rien été malheureusement… et rien n’indique une telle volonté à plus ou moins long terme », ont déploré les habitants. L’amicale attend toujours des explications… Pour Patrick Baudet, directeur de Reims habitat, « c’est le même problème de réchauffage de l’eau. Nous cherchons à faire baisser le prix de l’eau. »

Concernant les problèmes relationnels avec les élèves du collège Georges-Braque, la présidente, Maud Trefcon, a fait le même constat que l’an dernier avec un bémol. Elle évoque certains habitants, qui travaillent en horaires décalés, leur repos est perturbé par les cris, voire les hurlements des collégiens. Elle parle encore d’un arbuste malmené puis arraché, de nouvelles plantations saccagées, des branches arrachées…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 131014 e
CROIX-ROUGE : Jeux et parentalité, demandez le programme

L’équipe de la Maison de quartier Croix-Rouge organise, avec ses partenaires, une quinzaine du jeu et de la parentalité dans le quartier, du 25 octobre au 9 novembre.

UNE VEILLÉE POUR TOUS aura lieu à l’espace La Nacelle, jeudi 31 octobre de 18 h 30 à 22 h 30. Entrée libre pour tous mais places limitées, d’où conseil de réservations à l’espace Billard (03 26 08 08 78.), à l’espace Watteau (03 26 36 03 50.) ou à la Maison du projet (0326364063).

UN PÔLE JEUX TOUT PUBLIC avec jeux de société intergénérationnels, jeux en bois, jeux autour du livre, jeux de construction, de manipulation, d’encastrement, aura lieu le lundi 28 octobre de 14 à 17 heures, mercredi 30 et jeudi 31 octobre de 9 à 12 heures, lundi 4 novembre de 14 à 16 heures et mercredi 6 novembre de 14 à 17 heures, à la Maison du projet.

DEUX ATELIERS JEU POUR LES PETITS DE 0 À 6 ANS sont prévus lundi 4 novembre de 9 heures à 10 h 30 au Multi accueil de l’espace Watteau et jeudi 7 novembre de 14 à 16 heures, à l’animation PMI de l’espace Billard.

UN CAFÉ DÉBAT « Quel jeu pour quel âge ? » est proposé mardi 5 novembre de 9 à 11 heures, à la Maison du projet.

DES SORTIES EN FAMILLE à la ludothèque sont au menu le mardi 29 octobre de 9 h 30 à 17 heures (inscriptions à l’espace Billard) et sortie à la Cité des sciences, samedi 9 novembre (tarif : 9 euros, inscriptions à l’espace Watteau.)

JEUX À LA MÉDIATHÈQUE CROIX-ROUGE tout public, samedi 26 octobre ; jeux de société « Moyen Âge » mercredi 30 octobre de 14 à 18 heures ; jeux sur Wii mercredi 6 novembre et jeux de société samedi 9 novembre.

CRÉATION DE JEUX D’ÉVEIL mardi 5 novembre de 14 à 16 heures, entrée libre, à la Marelle.

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l’union 131014 d
LOGEMENT : Des permanences dans les quartiers

Roseline Marandon, présidente marnaise de la CGL.
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La Confédération générale du logement (CGL) tire ses origines de l’appel de l’abbé Pierre. Son objectif premier : défendre les familles, qu’elles habitent en secteur locatif privé ou social, qu’elles soient copropriétaires, occupants ou accédants à la propriété. La section départementale pour la Marne est présidée par Roseline Marandon (marandon. roseline@hotmail.fr), secondée par Gilles Pierson, viceprésident (cglmarne@.com).

Leur contact téléphonique est le 06 09 79 31 49.

À Reims elle tient permanences dans les antennes municipales de la mairie, de 14 à 16 heures, au 1 rue Joliot-Curie le mercredi pour Croix-Rouge, au 24, place René-Clair le vendredi pour Murigny, et au 7, place Pierre-de- Fermat le lundi pour Orgeval. Autre permanence, le jeudi de 14 heures à 16 h 30 à l’espace Watteau à Croix-du- Sud (3, allée Antoine-Watteau).

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l’union 131014 c
EXPOSITION : Le regard d’Alain Julien

Alain Julien sait saisir l’instantané des concerts de jazz.
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Depuis 20 ans, Alain Julien oeuvre à constituer la mémoire visuelle du Reims jazz festival. Abbey Lincoln, Michel Portal, Louis Sclavis, Erik Truffaz… autant de grands noms du jazz des scènes internationales et françaises passés par Reims et capturés par l’objectif de ce témoin privilégié. Réalisées pendant les concerts pour être projetées en temps réel, les photographies donnent à voir au spectateur une émotion, une expression, une énergie. Photojournaliste et correspondant AFP en région Champagne- Ardenne, Alain Julien suit le parcours de plusieurs compagnies de danse et de théâtre ainsi que l’ensemble de la programmation de [djaz]51. Attiré par l’instantanéité, Alain Julien privilégie la transparence à l’interférence et cherche à restituer son regard au public dans un temps très court. Son travail s’attache à rendre la mobilité et la proximité du sujet, provoquant parfois un déséquilibre des perspectives.

Son exposition, « Persistance rétinienne », est visible sur Reims jusqu’au 30 novembre.

Un vernissage est programmé à hôtel de ville de Reims, le mardi 15 octobre à partir de 18 heures, en présence de Pascal Anquetil, journaliste et directeur du Centre d’information du jazz au sein de l’IRMA (centre d’information et de ressources pour les musiques actuelles).

Lieux d’exposition : À noter, les lieux d’exposition sont les suivants : hôtel de ville, FNAC (place d’Erlon), médiathèque Jean Falala 2 (rue des Fuseliers), médiathèque Croix Rouge (rue Jean Louis Debar), médiathèque Universitaire (rue Cognacq- Jay), La Galerie de Culture (place Myron Herrick), maison de la Région (rue Thiers), La Belle Image (rue Chanzy), Rose et son Roman (rue Chanzy), En appart’thé (rue Chanzy) Le Cochon à Plumes (place d’Erlon).

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l’union 131014 b
RENDEZ-VOUS : Exposition

En préambule de la Fête du cinéma d’animation, l’exposition « Le Cabinet de curiosités de Nicolas Bianco-Levrin » propose de découvrir comment les images fixes s’animent et les principes fondamentaux d’animation, jusqu’au 9 décembre, à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean- Louis Debar.

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l’union 131014 a
ÉCONOMIE : Des bénéfices plutôt que du profit

Visite de l’hôtel des solidarités avant un déjeuner dans un restaurant associatif, La Marmite, à Croix-du-Sud.
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Benoît Hamon a défendu à Reims ce week-end son projet de loi concernant l’économie solidaire, plaidant pour des bénéfices qui servent le social.

Benoît Hamon, c’est quoi exactement l’économie sociale et solidaire ?

Ce sont des structures qui ont une activité, avec des salariés, dont le but n’est pas de faire des profits, mais de remplir une mission. Cela n’exclut pas les bénéfices. Au contraire, car ces marges servent l’objet social. C’est pourquoi mon projet vise à soutenir cette économie, à lui rendre justice fiscalement puisqu’elle se trouve aussi parfois directement en concurrence avec l’économie dite classique.

▶ L’État ne se décharge-t-il pas sur les associations ?

Non, l’État ne recule pas. Nous sommes pour une « coconstruction » avec les associations. Avant les décisions tombaient d’en haut et tombaient souvent à côté. Aujourd’hui, nous favorisons les solutions qui viennent du terrain et nous aideront celles qui semblent les plus pertinentes. On souhaite un partenariat pour être plus efficace.

▶ Vous êtes considéré comme à l’aile gauche du Parti socialiste, ressentezvous l’état d’âme de cet électorat ?

Au Gouvernement, nous sommes dans le même bateau, avec l’obligation de réussir, c’est-à-dire trouver du travail aux gens. Des états d’âme, on peut en avoir, mais quand je vois ces bénévoles qui sacrifient du temps sans rien attendre en retour, juste pour les autres, je mets de côté mes couleuvres et je me concentre sur l’espoir prochain d’une inversion de la courbe du chômage.

PROPOS RECUEILLIS PAR YANN LE BLÉVEC

LES FAITS

▶ Benoît Hamon, ministre délégué à l’économie sociale et solidaire et à la consommation, a passé sa journée de samedi à Reims entre grand rassemblement de la Croix-Rouge, pose de la première pierre de l’hôtel des solidarités et forum des associations.

▶ Son projet de loi sur l’économie sociale et solidaire prévoit notamment un fonds de 500 millions pour soutenir l’investissement dans ce domaine, 40 millions pour l’innovation et une fiscalité plus favorable.

▶ La discussion au Sénat interviendra les 6 et 7 novembre. Les familles à l’hôtel

Les familles à l’hôtel

L’Union départementale des associations familiales sera la première association à s’installer dans l’hôtel des solidarités, rue Pierre-Taittinger. Ce bâtiment, à l’architecture audacieuse, d’une surface de 3560 m2, a pour vocation d’accueillir exclusivement des entreprises et services relevant de l’économie sociale et solidaire. D’un coût de 6,51 millions, il fait partie intégrante a insisté Adeline Hazan, maire, du grand renouvellement urbain au niveau du quartier Croix-Rouge, facteur a-t-elle ajouté de mixité sociale. Pour Benoît Hamon, ce n’est pas un hasard de voir pousser une telle structure ici. Pour lui, ce sont en effet les gens qui sont en difficulté qui souvent sont à l’origine des solutions. Cet hôtel vise à faciliter ce partage entre ce vécu sur le terrain, l’entreprenariat privé et les pouvoirs publics

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l’union 131013 a
PORTRAIT : Cent ans et bien vivant

René Lemaire n’a jamais bu, ni fumé.
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René Lemaire vient de célébrer son centenaire avec jubilation à la résidence Arfo. Récit d’une vie pas banale.

Dans son studio de la résidence Arfo « Lucien- Doyen », René Lemaire reçoit en survêtement de sport : Première surprise ! L’oeil malicieux, il a, à part une légère perte d’audition, conservé un esprit vif et même potache. Il voit le jour à Reims le 3 août 1913. Enfant, il va d’abord à l’école Gerbault. « Mon père étant un artisan, un « petit patron », les autres gamins, fils d’ouvriers, me cherchaient des poux sur la tête ! Alors, pour que je sois tranquille, mes parents m’ont mis à l’école des Frères, à Saint-André. » Le papa de René fabrique des carrosseries et des radiateurs d’automobiles.

Blagueur invétéré

À sa sortie de l’école, à 13 ans, il entre comme apprenti dans l’entreprise familiale. Se souvient des marques de l’époque : Citroën, Mathis, De Dion Bouton, Voisin, Panhard, ainsi que les camions Willeme et Berliet. « Les voitures avaient un châssis en bois, réalisé par un charron et un tôlier galbait les tôles au marteau. » Et il se met à chanter « ça c’est d’la bagnole ! », une célèbre chanson de Georgius ! « Je ne suis pas Tino Rossi, je serais plutôt un Tino… rassis » lance-t-il, tout content de sa blague, avant de poursuivre son récit.

En 1933, il part effectuer son service militaire… à Reims ! « Les officiers m’ont pris pour entretenir le matériel roulant. » À la guerre, mobilisé, il part pour l’Angleterre. Son bateau est torpillé, il s’en sort grâce à sa ceinture de sauvetage : Il ne savait pas nager ! Il ne restera pas longtemps outre Manche : « On nous a rapatriés, derrière la ligne de démarcation. Je suis revenu à Reims, qui était encore occupée. J’ai repris mon métier et j’ai été réquisitionné pour travailler pour les Allemands. » Après la guerre, il continue son métier et fabrique aussi des meubles.

En retraite, il habitera à Croix-Rouge, avant de rejoindre la résidence il y a quatre ans. Une fête a été donnée en l’honneur de son centième anniversaire : gâteau et champagne offerts par la direction et la visite d’élus municipaux, dont Eric Quénard et Olivier Nostry. Ces derniers lui ont remis fleurs, chocolats et la médaille de la Ville de Reims.

Quand on lui demande le secret de sa vitalité, il répond, incorrigible : « Je n’ai jamais bu, ni fumé, mais j’ai beaucoup aimé ! ». Messieurs, vous connaissez désormais la recette…

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l’union 131012 a
SOCIÉTÉ : Une porte-fenêtre nommée désir

La fenêtre du couple devrait être rapidement changée…
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Locataires du Foyer rémois, Christophe Lefeuvre et sa femme, domiciliés au 16 allée des Bourguignons, rencontrent un léger problème qui tend à s’éterniser avec une porte-fenêtre de salle à manger qui malheureusement ne ferme plus.

La société Must, chargée de l’entretien courant, s’est rendue plusieurs fois à leur domicile, mais sans résultat probant. « Après plus d’une heure trente d’intervention, on nous a déclaré que cette fenêtre était bonne à changer, » explique le couple.

Remplacée dans les meilleurs délais

Ils l’assurent : « A l’agence Pays-de-France du Foyer rémois, on nous a raccroché au nez sans nous renseigner. Depuis, à ce jour, nous attendons toujours. »

Au Foyer rémois, Christophe Faber, directeur de clientèle, est bien au courant du problème de la famille Lefeuvre. « La société d’entretien Must a été interpellée et nous a conseillé de changer la porte-fenêtre. Nous l’avons donc commandée, mais les délais de livraison sont longs. Nous venons de relancer l’entreprise et M. et Mme Lefeuvre peuvent être rassurés : leur problème sera réglé dans les meilleurs délais ! », assure- t-il.

C’est une bonne nouvelle pour les locataires qui précisent : « Notre fenêtre reste toujours ouverte et nous avons peur pour notre fille de 6 ans. L’hiver approche et nous ne voulons pas vivre comme l’an dernier avec la fenêtre qui est restée ouverte, avec une température de 7° dans la pièce ».

DE NOTRE CORRESPONDANT CHRISTIAN CARON

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131011c - VRI octobre 2013

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°304 d’octobre 2013

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KARATÉ : L’Acrap moissonne les médailles aux Championnats du Monde

La section de karaté Kobudo de l’Acrap emmenée par Théodore Lê, Patrice Doucet et Louis Dupont a rapporté trois médailles de bronze des championnats du Monde qui se sont tenus, cet été, au Japon.

« Le Karaté Kobudo, est une fédération moins connue que le Shotokan, mais il y avait près de 200 participants et 40 pays représentés », explique Théodore Lê.

Une belle moisson de médailles

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CINÉMA ET LECTURE À CROIX-ROUGE

Pour développer l’intergénérationnel en rassemblant grands-parents et petits-enfants, toute l’équipe de la médiathèque Croix-Rouge a mis en place des lectures de contes, sur place et dans le bibliobus. « Le lundi, nous aurons un conteur qui lira des histoires axées autour de la gourmandise, un thème qui réunit justement petits et grands. Puis, le mercredi, les contes tourneront autour du voyage avec le personnage de Nasr Eddin Hodja », détaille Jean-André Ithier, responsable de la médiathèque Croix-Rouge. La structure présentera aussi une exposition ludique et pédagogique du Centre de Création pour l’Enfance de Tinqueux sur le cinéma d’animation. Des jouets optiques permettront d’expliquer la fabrication de ce type de films, faisant au passage un petit clin d’oeil aux seniors sur le cinéma de leur enfance _


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VISITE : Le planétarium en avant-première

Le 10 juillet dernier, les Conseillers de quartier Croix-Rouge/Hauts de Murigny et leurs homologues des Conseils de quartier Maison-Blanche/Sainte- Anne/Wilson et Por te de Paris, ont eu la primeur de découvrir le futur planétarium de Reims et ce quelques semaines avant son ouverture au public.

Une visite pour prendre la mesure de ce nouvel équipement qui participera au dynamisme des quartiers voisins. Rappelons que plusieurs milliers de visiteurs se sont déjà laissés séduire par ce nouveau planétarium depuis son ouverture le 7 septembre dernier.


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Conseil de quartier

La séance plénière en présence d’Adeline Hazan et de son équipe municipale a été décalée au vendredi 22 novembre, 19 h, salle Mauriac.

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L’hebdo du vendredi- N° 321- 131011b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 321 - Semaine du 11 au 17 octobre 2013

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Les élèves de l’IRTS en quête de stage

Les élèves de l’IRTS ont manifesté mercredi devant leur établissement. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Plusieurs dizaines d’élèves de l’Institut Régional du Travail Social (IRTS) de Champagne-Ardenne manifestaient, mardi après-midi, devant l’entrée de leur établissent situé dans le quartier Croix-Rouge à Reims. La raison de leur mécontentement ? Les difficultés qu’ils rencontrent à trouver un stage. « Nous devons effectuer trois stages durant nos trois ans de formation, explique la porte-parole du mouvement. Le problème, c’est que plusieurs facteurs nous freinent dans nos recherches.

D’abord, peu de structures sont favorables ou ont les moyens d’accueillir un stagiaire. Ensuite, la loi du 22 juillet 2013 impose la gratification des étudiants. Enfin, et c’est spécifique à l’IRTS de Reims, un protocole contraignant a été mis en place, nous donnant qu’un petit mois pour trouver un stage. »

Ce fameux protocole oblige les élèves à attendre le mois précédent la période de stage pour contacter les structures susceptibles de les accueillir. De plus, ils ne peuvent en solliciter plusieurs à la fois et doivent donc attendre une réponse avant d’en appeler une autre.

A ce jour, et alors que les stages sont censés débuter dans quelques jours, sur les 47 élèves inscrits de sa promotion, 20 n’ont pas encore trouvé un point de chute. « Si nous n’avons pas la possibilité d’effectuer notre stage nous ne pouvons pas valider notre année », précise la porte-parole. Apparemment, ceux qui sont encore à la recherche d’un stage devraient bénéficier d’un délai supplémentaire pouvant aller jusqu’à trois semaines.

Ce mouvement, qui n’est pas propre à l’IRTS de Champagne-Ardenne, illustre la frilosité actuelle des entreprises qui, en raison de la crise, ne disposent pas des ressources humaines nécessaires pour l’accompagnement et la formation des stagiaires.

Julien Debant

Pour proposer un stage, contactez l’IRTS de Champagne-Ardenne, 8, rue Joliot Curie à Reims. Tél. : 03 26 06 22 88. Infos sur www.irts-ca.fr


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Cuisine : Un chef deux étoiles pour des recettes étudiantes

Bien manger pour pas cher, le message de Philippe Mille est bien passé parmi les étudiants du campus Croix-Rouge. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Dans le cadre de la Semaine du Goût, le chef des Crayères, Philippe Mille, a offert mardi dernier aux étudiants une étonnante démonstration de cuisine et ce, en plein amphithéâtre. Objectif : montrer qu’il est possible de bien manger sans faire d’entorse à son budget.

La chambre en résidence, la colocation, au mieux la studette, la vie d’étudiants s’apparente le plus souvent à une farouche bataille au mètre carré, chacun essayant d’optimiser au mieux la place de son chez soi. Et à ce jeu, la cuisine, ou plutôt kitchenette, se voit souvent lésée, réduite à un tout petit espace, généralement peu utilisé. Car un jeune inscrit en fac ou iut cuisine peu, faute de temps, d’argent ; faute aussi de pouvoir le faire dans de bonnes conditions. Alors on achète le minimum, pâtes, riz, jambon, yaourts, fromages… laissant bon gré mal gré de côté les fruits et légumes, jugés trop coûteux.

« Pourtant il est tout à fait possible de bien manger à moindre frais », assure Philippe Mille. Le chef deux étoiles au Michelin du Domaine Les Crayères, invité par l’Université Reims Champagne-Ardenne (Urca) présentait cette semaine aux étudiants dans un amphithéâtre du campus Staps une démonstration du « comment cuisiner bon, malin et pas cher. Quand j’étais étudiant, moi non plus je n’avais pas beaucoup d’argent et n’avais, dans mon frigo, que le strict nécessaire. » Pour le chef, l’important toutefois, c’est d’acheter de bons produits. Aussi, jure-t-il à la centaine d’étudiants présents qu’il est temps de « casser une idée reçue : faire son marché ne coûte pas plus cher qu’aller faire les courses au supermarché. Les bons produits du terroir, les légumes notamment, c’est là qu’il faut aller les chercher. » Sur place, armé d’un simple micro-onde, d’une planche et d’une plaque-électrique pour une cuisine « comme à la maison », Philippe Mille a fait le plein ; de carottes, de betteraves, de blettes et de navets, de courges et de poireaux. « Je suis là pour donner à ces jeunes des trucs et astuces pour mieux manger et mettre de la couleur, du plaisir et du soleil dans les plats. D’une certaine manière c’est de l’éducation du goût », conclut-il.

Dans l’assistance, on prend scrupuleusement des notes, sur une feuille, un carnet, son smartphone, voire un ordinateur ramené spécialement pour l’occasion. Inscrites en licence pro Transformation et Valorisation des agro-ressources, Méline et Pauline ne perdent pas une miette des conseils du chef : « Quand on a tous reçu le mail de l’Urca nous invitant à cette démonstration spéciale, on n’a pas hésité un instant à venir. C’est une occasion unique de rencontrer le chef, et ce qu’il propose colle parfaitement à nos moyens. » Un œuf et sa concassée de tomates, un risotto aux coquillettes et sa purée mousseline aux champignons, les plats préparés sont volontairement simples, les produits bien connus, mais les saveurs savamment décuplées.

Aymeric Henniaux

www.lescrayeres.com / www.univ-reims.fr

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l’union 131011 a
APPEL À TÉMOINS : Qui a vu l’Italien agressé ?

Tabassé dimanche soir par quatre ou cinq inconnus sur le rond-point des avenues Bonaparte et François-Mauriac, près du bureau de police Croix-Rouge, un ressortissant italien est toujours hospitalisé dans le coma (L’union de mardi). Le commissariat lance à un appel à témoins pour faire progresser son enquête. Agé d’environ 25 – 30 ans, de type européen, 1m70, cheveux châtains et yeux marron, le jeune homme portait un pantalon moutarde, un sac à dos de randonnée noir et orange et une tente de campeur.

Avant d’être agressé, entre 19 h 30 et 20 heures, il a discuté au feu rouge avec le conducteur d’une Ford de type familial. Cet automobiliste est recherché, ainsi que toute personne qui aurait vu la victime ou assisté à l’agression.

Il leur est demandé de contacter d’urgence le commissariat central de Reims, boulevard Roederer, au 03 26 61 44 16.

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l’union 131010 a
Les familles de Croix-Rouge au planétarium

Les familles de Croix-Rouge au planétarium le mercredi 23 octobre à la découverte de l’installation rénovée.

Départ à 8 h 30 à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau).

Tarif : plus de 18 ans, 2 euros ; moins de 18 ans, gratuit. Adhésion obligatoire de 15 euros.

Inscription avant le 16 octobre à l’espace Watteau. Tél. : 03 26 36 03 50 ou 06 47 71 53 00.

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l’union 131009 f
Diplômes. Récompenses au collège

Au collège Joliot-Curie, les jeunes méritants ont été félicités
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C’était la fête au collège Joliot-Curie vendredi 4 octobre, à l’occasion de la remise des diplômes aux élèves méritants. Alain Aubert, principal, et Christophe Perrod, son adjoint ont à cette occasion félicité individuellement chacun des élèves admis.

Trente-quatre diplômes nationaux du Brevet, 8 certificats de Formation générale, 68 attestations de Sécurité routière 1er niveau et 67 de 2ème niveau ont été décernés officiellement.

Les applaudissements des camarades, des parents d’élèves et des professeurs ont été généreux, dans une ambiance bon enfant.

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l’union 131009 e
La rentrée pour Escapades

Pour la cinquième année consécutive, le groupe Escapades de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge a tenu sa réunion de rentrée.

Jean-Marie Blancart, responsable et animateur du groupe, a dressé le bilan des activités de la saison 2012/2013, et la situation financière à fin juin avant de présenter le programme de la saison 2013/2014.

Outre les activités habituelles, le groupe donne rendez-vous à ses randonneurs et amis le samedi 19 octobre pour une journée à Laon et Guise (visite guidée de la cathédrale, des remparts et de la chapelle des Templiers, suivie d’un déjeuner au restaurant dans le vieux Laon et, l’après midi, de la visite du Familistère Godin de Guise). Cette sortie est proposée, en fonction des places disponibles, à 45 € plus adhésion à la Maison de Quartier. Elle s’adresse tout particulièrement aux familles désireuses de découvrir la région en groupe et dans une ambiance conviviale.

La manifestation suivante est programmée le lundi 11 novembre avec l’organisation du loto annuel. Suivra un repas à thème qui sera proposé aux habitants du quartier le vendredi 29 novembre. Et enfin, grand moment pour le groupe, la 7ème bourse aux livres se déroulera du 1er au 7 février.

Contact : Maison de Quartier Billard/La Nacelle, 12-14, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.08.08.78. Permanence tous les lundis de 10 heures à 11 h 30.

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l’union 131009 d
DECOUVERTE

La Maison de quartier Croix-Rouge organise une sortie familiale mercredi 23 octobre à la découverte du planétarium de Reims pour le programme « Où est passée l’étoile du Berger ? ». Départ à 8 h 30 à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau). Tarif : plus de 18 ans, 2 euros ; moins de 18 ans, gratuit. Adhésion obligatoire de15 euros. Inscription obligatoire avant le mercredi 16 octobre à l’espace Watteau (03 26 36 03 50 ou 06 47 71 53 00).

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l’union 131009 c
PATINAGE : Les plus jeunes ne restent pas de glace

Une quarantaine de 3-6 ans se sont inscrits au Reims avenir patinage.
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En ce début de saison, c’est l’optimisme qui prime au niveau du Reims avenir patinage avec une hausse des licenciés potentiels.

Le Reims avenir patinage essaie d’enclencher sa saison sportive avec beaucoup de dynamisme et de projets. D’ores et déjà, on note une augmentation de licenciés potentiels notamment chez les 3-6 ans. Cette année, ils sont 40 à s’être inscrits. « Nous espérons que nous arriverons à atteindre les 200 adhérents », annonce Jean-Luc Ployé, président du Reims avenir patinage qui croit énormément à son groupe compétition. L’an dernier, celui-ci a terminé 5e club français et a occupé la 2e place en comptabilisant uniquement les compétitions solos au niveau national.

Pour l’heure, le club compte 128 adhérents. Les compétiteurs sont répartis en 7 ou 8 catégories d’âge, ils seront cette année 50 patineurs engagés en compétition (1ère et 2e divisions). Avec un staff technique qui se trouve renforcé par l’arrivée de Stanislas Etzol. Ce dernier a été embauché grâce à un partenariat entre la Mission locale et le Rap.

Le pari sera de faire mieux que l’an dernier, d’obtenir un titre de champion de France dans les prochains mois. « On peut y arriver. On a déjà eu les médailles d’argent et de bronze lors des précédents championnats de France », assure Jean- Luc Ployé. « Il nous faudra amener autant, voir plus de compétiteurs aux rendez-vous de dimension nationale. C’est pourquoi nous allons accentuer notre travail sur la vitesse et la chorégraphie des programmes libres. Je veux toujours qu’on reconnaisse mes patineurs par leur personnalité sur la glace », ajoute Ludivine Lemaire, entraîneur principal.

Dans le planning des événements à venir, le Reims avenir patinage a l’intention, en partenariat avec la Ville de Reims, d’organiser deux galas à Noël au lien d’un. Et un autre en fin de saison, où seront présents, en matinée, des groupes du troisième âge, des écoles et des personnes en situation de handicap. Viendra s’ajouter à ces trois temps forts la rencontre nationale prévue les 9 et 10 mars à Reims.

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l’union 131009 b
CROIX-DU-SUD : Vers une nouvelle place Rodin

Les travaux de démolition doivent débuter en février. Hervé OUDINnt des handicaps supplémentaires dans leur recherche de stages. Bernard SIVADE
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La petite place enclavée et surélevée va se métamorphoser au printemps prochain. Les habitants s’inquiètent déjà du stationnement.

En mai prochain, la place Rodin aura bien changé. Cet espace aujourd’hui enclavé et surélevé par rapport à la chaussée de l’avenue Léon-Blum, dans le quartier Croix-du-sud, se retrouvera à niveau et nettement plus aéré. L’immeuble de sept étages numéro 15 aura notamment disparu du paysage ; la supérette Proxi sera transformée en local associatif.

Pas d’explosifs

Une trentaine d’habitants ont pu s’informer de ce gros projet urbanistique lors de la réunion organisée ce lundi par la ville de Reims et l’Effort rémois. Hugues Lhermitte, le directeur de la maintenance et réhabilitation du bailleur social, leur a donné une idée du calendrier à venir : préparation du chantier jusqu’en février prochain, travaux de démolition jusqu’en mai, finitions jusqu’en juin.

Il a aussi expliqué que la démolition de l’immeuble se ferait par « grignotage » et en aucun cas par recours aux explosifs. Les habitants en ont profité pour poser des questions pratiques, et en particulier sur le stationnement : « Globalement, après les travaux, il y aura davantage de places de stationnement qu’avant » a répondu M.Lhermitte.

Certains membres de l’assistance ont cependant fait valoir qu’une partie de ce stationnement serait payant, « et 31 euros par mois, c’est cher ! » faisait remarquer l’un d’eux. « Certains préfèrent du parking payant sécurisé, répondait l’adjoint au maire Eric Quénard au nom de la ville, d’autres du stationnement gratuit mais non sécurisé. » Et le même, à propos des nuisances engendrées par les travaux : « La question à se poser c’est de savoir si le quartier sera mieux après qu’avant ! »

A.P.

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l’union 131009 a
VIE ÉTUDIANTE : La galère des chercheurs de stage

Les étudiants en travail social dénoncent des handicaps supplémentaires dans leur recherche de stages. Bernard SIVADE
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Devant leurs difficultés croissantes à trouver un stage, des étudiants en travail social manifestaient hier à Reims. Leur directeur se veut toutefois rassurant.

Je suis censée démarrer mon stage dans une semaine et aujourd’hui je n’ai toujours rien ! » On comprend qu’Armelle (prénom d’emprunt) se fasse du souci. Étudiante en travail social à l’Institut régional dédié à cette matière (IRTS) à Reims, elle incarne à merveille la galère vécue par les chercheurs de stage. Hier Armelle et ses camarades manifestaient aux portes de leur établissement installé dans le quartier Croix-Rouge de Reims, dans le cadre d’une journée d’action nationale, pour dénoncer ces difficultés croissantes.

Pour ces étudiants, trois raisons expliquent ces difficultés : un manque de structures acceptant les stagiaires (dans le travail social, ces structures sont essentiellement des collectivités territoriales et des établissements hospitaliers) ; la nouvelle loi de juillet dernier imposant à ces structures, comme dans le privé, la « gratification » des étudiants (autrement dit, leur donner des sous) pour un stage à partir de deux mois ; enfin des règles du jeu spécifiques à l’IRTS rémois.

Quinze jours perdus

Par exemple, « avant la période de mise en stage on a le droit de se renseigner sur les structures d’accueil possibles, mais on n’a pas le droit de les contacter ! » « Dans un souci d’organisation » répond le directeur de l’institut Michel Charpy.

Autre handicap : selon notre interlocutrice, par respect pour les camarades de promo, pas question de solliciter plusieurs structures simultanément : l’une après l’autre seulement ! « Nous ne voulons pas mettre nos étudiants en concurrence les uns avec les autres », confirme le directeur. Intention louable, mais qui donne sans surprise pour Armelle le résultat suivant : « La première structure que j’avais sollicitée a attendu 15 jours pour me dire que finalement elle ne pouvait pas me prendre, à cause d’un déménagement. J’avais perdu 15 jours. »

Et pourtant Armelle dispose d’un atout non négligeable par rapport à bien d’autres chercheurs : elle n’est « pas gratifiable » (c’est-à-dire que l’entreprise n’a pas à l’indemniser d’une façon ou d’une autre).

« Un investissement pour l’entreprise »

Mais cet atout ne suffit manifestement pas à convaincre les « accueilleurs » potentiels. « Le frein principal aujourd’hui n’est pas la gratification, explique le délégué du Medef champardennais Christophe Dumaire.

Accueillir un stagiaire représente un investissement pour une entreprise, cela suppose un accompagnement de la personne, et en ce moment la conjoncture n’est pas favorable. C’est ça le frein principal. »

L’Urca (université Reims/ Champagne-Ardenne) est bien consciente du problème. Le président Baillat a dans la tête de créer une structure d’aide à ces recherches de stages. En outre, deux journées dédiées à cette question sont programmées sur les campus en décembre (lire par ailleurs). Mais dans l’immédiat, Armelle n’étant pas seule dans son cas, (sur un total de 47 de sa promotion, seuls 15 avaient trouvé un stage aux dernières nouvelles), et même si le directeur de leur institut se veut rassurant (lire par ailleurs) on comprend que ces jeunes aient décidé de manifester.

ANTOINE PARDESSUS

« Ils finissent toujours par trouver »

Michel Charpy, le directeur général de l’IRTS (institut régional du travail social) se dit « sensible au problème » de la difficulté à trouver des stages, et à cet égard « sur la même longueur d’ondes » que ses étudiants. Pour autant il se veut rassurant : « Depuis des années que nous fonctionnons, tous finissent par partir en stage. Et puis, pour ce qui est des délais, leur période de mise en stage sera allongée, les dates décalées. » Il ne nie toutefois pas l’existence de difficultés plus grandes aujourd’hui et pour l’avenir, « en raison de la nouvelle obligation légale de gratification des stagiaires ; dans son souci d’accorder un nouveau droit aux étudiants l’État a décrété une norme sans prévoir le budget correspondant ; pour les organismes employeurs de nos étudiants, collectivités territoriales (conseils régional ou général par exemple), fonction hospitalière…) honorer cette obligation fera sans doute que là où avant ils prenaient six stagiaires par exemple, ils n’en prendront plus que deux. »

À SAVOIR

Dans le cadre d’une convention « Inter’avenir » signée en septembre dernier entre l’Urca (université de Reims/Champagne-Ardenne), le Medef et la fédération associative étudiante Intercampus, des journées consacrées spécialement à la recherche de stages sont programmées en décembre prochain à Reims, le 3 sur le campus Croix-rouge, le 4 au Moulin-de-la-Housse.

Sans attendre ces journées, une recommandation émanant du côté patronal, par la bouche de Guillaume Mangeart, coordinateur régional au Medef chargé de la formation professionnelle : « Dans leur lettre de demande, les jeunes ne doivent pas se contenter de dire qu’ils ont un stage obligatoire à faire, mais il faut qu’ils disent ce qu’ils sont susceptibles d’apporter à l’entreprise, comme dans une recherche de véritable emploi en fait ».

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l’union 131008 a
TENNIS MARDEUIL : Guillochain et Sanchez, c’est pétillant !

Cinquième et dernière étape du circuit Champagne Énergies, la 6e édition du tournoi du TC Mardeuil a fait le plein avec 97 inscrits. Limitée à 15/2, cette épreuve n’a pas connu de surprises puisque les favoris se sont imposés.

Chez les messieurs, dans une finale d’anciens deuxièmes séries, Mathieu Guillochain (15/2, Chouilly) a dominé Romain Michalski (15/4, Taissy). Affichant plus de maîtrise mais également de puissance notamment au service, l’ex 5/6 de Magenta s’adjugeait logiquement la manche initiale (6-3) puis menait 5-0 dans la deuxième contre l’ex 15 taissotin. Ce dernier avait bien un sursaut d’orgueil mais le Chouillat bouclait à 6-2.

Du côté des dames, la finale a opposé deux des favorites à 15/3 Nadine Sanchez (Mardeuil) et Estelle Levasseur (ASPTT Épernay). Usées par deux demies à rallonge, les protagonistes se livraient une farouche bataille dans les deux premières manches avec, à la clé, le même score (7-5). Reste que face à la détermination de la locale, la postière sparnacienne lâchait prise physiquement dans la belle pour subir un terrible 6-0.

▶ DAMES. – Quarts de finale : Nadine Sanchez (15/3, Mardeuil) bat Jacqueline Baillard (15/5, Société Nautique Epernay) 6-3, 6-1 ; Sandra Joly (15/3, Bétheny) bat Sylvie Jolly (15/4, Société Nautique Epernay) 7-6, 6-4 ; demi-finales : Nadine Sanchez bat Catherine Decure (15/3, Aÿ) 6-7, 6-4, 6-3 ; Estelle Levasseur (15/3, ASPTT Epernay) bat Sandra Joly 6-4, 1-6, 6-3 ; finale : Nadine Sanchez bat Estelle Levasseur 5-7, 7-5, 6-0.

▶ MESSIEURS. – Quarts de finale : Renard (15/3, Sillery) bat Delarme (15/2, Cheminots Reims) 6-0, 6-3 ; Guillochain (15/2, Chouilly) bat Plistat (15/3, Coulonges Cohan) 6-3, 6-2 ; NGuyen (15/2, Géo-André) bat Poittevin (15/2, Chouilly) 7-5, 3-6, 6-1 ; Michalski (15/4, Taissy) bat Bruyen (30/1, Pierry) 6-0, 6-0 ; demi-finales : Guillochain bat Renard 6-1, 6-3 ; Michalski bat NGuyen 7-6, 4-6, 6-4 ; finale : Guillochain bat Michalski 6-3, 6-2.

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l’union 131007 a
Battu à mort au cours d’une soirée alcoolisée Par Mathieu LIVOREIL

Lorsque les secours sont arrivés, la victime était déjà morte. Bernard SIVADE
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REIMS (51). L’homicide a eu lieu dans un appartement du quartier Croix-Rouge. Deux hommes, parmi lesquels le locataire du lieu, ont été interpellés.

Déjà connus des services de police, ces trois-là traînaient ensemble sans trop se connaître. Des vies d’errance passées devant les supermarchés, rythmées par l’alcool et, parfois, les violences. Samedi soir, dans un appartement du nº 5 de l’avenue Bonaparte, au cœur du quartier Croix-Rouge de Reims, celles-ci se sont cette fois soldées par la mort d’un homme.

Arrivés sur place après avoir été contactés par le voisinage, pompiers et ambulanciers n’ont pu que constater le décès de celui-ci, âgé de 35 ans. Aucune trace de blessure à l’arme blanche n’a été relevée sur le corps de la victime, dont le visage largement tuméfié semblait avoir affronté un sourd accès de violence. Une autopsie tâchera aujourd’hui de préciser les causes de la mort.

Misère sociale, alcool et homicide

En charge des investigations, la Sûreté urbaine a procédé à deux interpellations. Une première, immédiate, sur les lieux même du drame : passablement éméché, le locataire de l’appartement, contrôlé à plus de deux grammes d’alcool par litre d’air expiré, peinait à rassembler ses plus récents souvenirs. « Il se souvient de la bagarre mais rien de plus pour l’instant », a résumé un enquêteur.

Après une nuit passée en cellule de dégrisement, il a passé la journée de dimanche à enchaîner les auditions. Âgé de 53 ans, cet individu avait manifestement pour habitude de « recevoir des marginaux pour se biturer ».

Un deuxième homme a été interpellé et placé en garde à vue, hier, vers 8 heures. Sur son tee-shirt ont été relevées des traces de sang qui ne laissent guère de doute aux policiers quant à son implication dans la rixe mortelle.

Misère sociale, alcool et homicide pour un motif futile : le brouillard semble largement dissipé sur ce triste dossier. Reste encore, pour les policiers, à répondre à la question fondamentale : qui a donné le coup fatal ? Hier soir, les gardes à vues des suspects étaient prolongées.

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l’union 131006 a
TENNIS MARDEUIL : Participation en hausse

Cinquième et dernière étape du circuit Champagne Énergies qui récompense les sans-grade des non classés aux 30, la 6e édition du tournoi du TC Mardeuil, limitée à 15/2, a rassemblé 97 participants soit presque 10 % d’augmentation par rapport à l’année dernière !

Dans le tableau masculin, sur les huit 15/2 inscrits, seuls trois restent en course et font figure de favoris : les Chouillats Mathieu Guillochain et David Poittevin ainsi que Jean-Luc NGuyen (Géo-André). Reste qu’Antoine Renard (15/3, Sillery) entend bien jouer les trouble-fête.

Du côté des dames, en l’absence de 15/2, la décision se fera à 15/3 entre Catherine Decure (Aÿ), Nadine Sanchez(Mardeuil), Estelle Levasseur(ASPTT Épernay) et Sandra Joly (Bétheny).

▶ HORAIRES. – Aujourd’hui, 9 heures et 10 h30 : demi-finales dames ; 16 h 30 et 18 heures : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs

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l’union 131005 b
Loto et belote à Croix-du-Sud

Étoile Croix-du-Sud organise une soirée loto le 11 octobre. Ouverture des portes à 19 heures. Restauration sur place. Et un concours de belote, le 13 octobre : inscriptions à 13 h 30, jeu à 14 heures, au 5 avenue Léon-Blum. Contact : 03 26 06 56 66.

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l’union 131005 a
Manif des étudiants du social

Ça grogne en ce moment dans les rangs des étudiants en travail social. La promotion actuelle de leur IRTS (institut régional du travail social) qui compte quelque 47 membres, envisage de manifester mardi 8 octobre dans l’après-midi devant le bâtiment, rue Joliot-Curie à Reims. Dans le collimateur de ces jeunes gens, la difficulté à obtenir des stages : « Nous sommes à une semaine du début théorique de ces stages, explique Carole Timmamo, une de ces étudiants, et il n’y a que quinze étudiants qui en ont trouvé un ! » Selon cette même interlocutrice, un des obstacles principaux à l’obtention de stage serait les nouvelles dispositions imposant aux entreprises d’accueil d’attribuer une gratification aux stagiaires.

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l’union 131004 c
SOLIDARITÉ : Les 40 ans de l’institut Fandre Les personnes souffrant de déficiences sensorielles sont soutenues.

Les personnes souffrant de déficiences sensorielles sont soutenues.
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En 40 ans, l’Institut Michel Fandre, anciennement IRRSEM, a poursuivi sa mission et l’a élargie dans des proportions remarquables. Deux manifestations sont prévues pour marquer cet anniversaire : un congrès national se déroule à l’auditorium Jean Falala à Reims depuis hier et se poursuit aujourd’hui et demain, avec une matinée portes ouvertes, samedi.

Le congrès est organisé avec l’ALFPHV, Association des psychologues de langue française pour personnes déficientes visuelles, sur le thème de la compensation du handicap. L’accès à l’auditorium est libre.

L’opération Portes ouvertes prévoit une présentation des activités spécialisées relatives à la vision, l’audition et aulangage. Est aussi programmée une conférence sur le braille et la langue des signes.

L’histoire de l’Institut commence en réalité avec l’installation, entre les deux guerres - et dans le même lieu alors situé pratiquement dans les champs - d’une école dite de plein air accueillant des enfants convalescents. En 1973, le professeur Fandre et son équipe y créeront l’Institut régional de rééducation sensorielle et motrice.

En 2002, l’institut reçoit le nom du pédiatre qui a tant oeuvré pour sa fondation, Michel Fandre (décédé en 1991). Une institution qui se décline maintenant sous diverses formes, comme l’explique le directeur Loïc Haffray : « Il est composé de trois établissements médico-sociaux, accueillant et accompagnant dans la Marne 130 enfants ou adolescents et autant de personnes adultes et âgées, ayant des déficiences auditives ou visuelles en encore des troubles spécifiques du langage ».

Lors des portes ouvertes, on pourra s’informer sur la manière dont sont suivis les enfants concernés par un ou plusieurs handicaps.

On découvrira les classes et ateliers permanents et on pourra échanger avec Frédérique Rea et son équipe, chargées de l’accompagnement des personnes âgées : « Nous leur rendons visite pour une évaluation des aides techniques à leur apporter ».

▶ Institut Michel Fandre, opération Portes ouvertes samedi 5 octobre, de 9 à 12 heures, dans les locaux situés au 51, rue Léon-Mathieu à Reims.

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l’union 131004 b
VIE ÉTUDIANTE : Épicerie sociale, des petits pas dans le bon sens

Florian Léger : « Au début, nous avons senti une réticence chez les élus ». A.P. « Nous ne voulons pas être en concurrence mais apporter un complément » Florian Léger
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Le projet d’épicerie sociale étudiante avance peu à peu. L’association qui le porte doit visiter lundi celle qui existe déjà en ville.

Le projet d’épicerie sociale étudiante, ou Agora-é, avance toujours à Reims, à petits pas. Il est porté par la fédération associative Intercampus. Son président, Florian Léger, répond à nos questions.

▶ Aux dernières nouvelles, vous aviez trouvé le local de votre future épicerie. Ce local est-il confirmé ?

Pour le moment, il est toujours occupé. Il s’agit du bâtiment modulaire 1/8 à Croix- Rouge, qui abrite des cours. Il faut attendre que ces cours soient déplacés ailleurs, dans un bâtiment qui, lui, contient des archives et ces cours ne pourront être déplacés que lorsque ces archives ellesmêmes auront été déplacées dans un troisième bâtiment !

▶ Tout cela va demander combien de temps ?

Nous espérons une avancée sur ce point dans les deux prochains mois.

▶ Ensuite se pose la question des réticences de la ville de Reims, qui argue du fait qu’il existe déjà une épicerie sociale municipale. Où en êtes vous ?

Pendant l’été nous avons eu des contacts par correspondance, et nous avons finalement pu dialoguer en direct le 11 septembre. C’est vrai que chez les élus nous avons senti une réticence, mais nous avons maintenu notre position, qui est bien de proposer aux étudiants quelque chose de complémentaire et non de concurrent à ce qui existe…

▶ C’est-à-dire ?

C’est-à-dire un accompagnement aux projets personnels, et pas seulement de l’aide alimentaire. Et concernant cette aide, nous estimons qu’il existe un vide entre les aides de base du Crous aux étudiants, et les aides d’urgence, et c’est ce vide que nous souhaitons combler.

Le dialogue est à présent ouvert avec la ville. Dans la logique de cette démarche, nous allons visiter l’épicerie sociale de la ville lundi prochain (7 octobre), pour voir comment elle fonctionne et comment nous pouvons vraiment être complémentaires.

ANTOINE PARDESSUS

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l’union 131004 a
Journée « Immigration et Parentalité »

Journée « Immigration et Parentalité » à la maison de quartier Croix-Rouge (espace Billard) organisée par l’association Femmes relais 51 le samedi 5 octobre à 14 heures.

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l’union 131003 b
EVENEMENTS

Journée « Immigration et Parentalité »

Journée « Immigration et Parentalité » à la maison de quartier Croix Rouge (espace Billard) organisée par l’association Femmes relais 51 le samedi 5 octobre à 14 heures.

Journée portes ouvertes

Journée portes ouvertes à l’occasion du40e anniversaire de l’Institut Michel Flandre, 51, rue Léon Mathieu de 9 à 12 heures. Présentation des activités relatives à la vision, l’audition et le langage.

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l’union 131003 a
TENNIS DE TABLE NATIONAUX : Reims à la relance

Battu en ouverture, l’Olympique rémois doit se reprendre samedi en Nationale2. Reims recevra Le Havre à Géo-André (17 heures). Toujours en Nationale 2 masculine, le Châlons-en-Champagne TT se rendra lui à Schiltigheim.

▶ NATIONALE 2 MASCULINE. - Poule A : Olympique rémois - Le Havre ; poule E : Schiltigheim- Châlons TT. ▶ NATIONALE 3 MASCULINE. - Poule B : Olympique rémois (2) - Vittel. ▶ NATIONALE 3 FÉMININE. - Poule E : Zorn - Châlons TT. ▶ PRÉNATIONALE MASCULINE. - Poule A : Gueux-Tinqueux - Obernai ; Châlons TT (3) - Ascap Sochaux ; poule C : CHâlons TT (2) - FCJ Bootzheim.

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l’union 130928 e
LA FEMME DU JOUR.

LILIANE FEIGE, habitante de Croix-du-Sud, a rédigé un poème en hommage à son quartier.
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L’ouverture, à Croix-du-Sud, dans un immeuble flambant neuf, d’un nouveau magasin Carrefour transporte de joie Liliane Feige, la poétesse du quartier. Voici son texte, plein d’enthousiasme.

« Un Carrefour est né, quel bonheur, le quartier prospère.
Venez admirer et faire vos courses, vous serez comblés !
Je l’ai habillé de rouge et je l’écris en vers.
Le quartier devient somptueux, d’une extase qui m’enivre.
Quelle agréable nouvelle, c’est magnifique de se rencontrer
dans le quartier agrandi, super carrefour express !
Merci à la ville de cette bienvenue extraordinaire
et à l’Effort rémois de nous enchanter !
Croix-Rouge sera solidaire de tout Reims.
Venez faire connaissance :
notre quartier est fabuleux et tout en fleurs. »

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l’union 130928 d
ÉDUCATION : Rencontres de mamans

Animatrice référent familles à l’espace Watteau/Pays-de-France de la Maison de quartier Croix- Rouge, Alexandra Babin invite les mamans : « Venez passer un moment agréable, prendre du temps pour vous et discuter avec d’autres mamans, les mardis 15 octobre, de 14 à 16 heures, à La Marelle, 3 allée des Picards. »

L’occasion de discuter en toute confiance de tous les sujets importants.

Renseignements complémentaires auprès d’Alexandra Babin au 03 26 36 03 50.

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l’union 130928 c
ÉDUCATION : Forum sur la parentalité à Croix-Rouge

Cette rencontre est ouverte aux « femmes relais » et aux professionnels.
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L’association des Femmes relais 51 convie les familles rémoises samedi 5 octobre, de 14 à 17 heures, à un forum sur la parentalité, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, au 12-14, rue Pierre-Taittinger.

Théâtre à l’appui

Des partenaires spécialisés tiendront des stands pour apporter leur expertise dans le domaine de la parentalité. La troupe de théâtre « 3, 2, Interprète » jouera des saynètes inspirées du vécu des femmes relais. Le public pourra immédiatement réagir à ces interprétations, puis des spécialistes (une personne du Casnav, une juriste et une psychologue), interviendront sur ces exemples, dans une approche culturelle.

▶ Entrée gratuite. Tramway A ou B, station Campus Croix-Rouge. Contact : 03 26 08 08 78.

 

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l’union 130928 b
TENNIS : CHEMINOTS REIMS Une 10e édition populaire

Leslie Lancelot s’est logiquement imposée. Christian LANTENOIS
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Grand succès populaire avec 205 inscrits et un nombreux public, le tournoi de l’US Cheminots Reims a vécu une splendide 10e édition. Ainsi, dans un tableau masculin ouvert jusqu’à 15/1, deux des favoris Pierre-Adrien Mouton (15/1, Soissons) et Mathieu Lalire (15/1, Saint-Memmie) se sont retrouvés au stade ultime. Pour une rencontre de haute tenue où l’Axonais prenait un meilleur départ (6-2) mais le Mengeot s’accrochait pour égaliser à une manche partout (6-4). Reste que Pierre-Adrien Mouton dominait la « belle ».

Du côté des dames, la logique a été respectée avec une finale entre Leslie Lancelot (TC Reims) et Charlotte Becret (URT). Plus puissante, la sociétaire du TCR s’est logiquement imposée face à une adversaire qui a commis trop de fautes directes.

▶ DAMES.

Quarts de finale : Leslie Lancelot (15, TC Reims) bat Delphine Bavencoff (15/3, URT) 6-3, 6-1 ; Amélie Lamothe (15/3, Géo-André) bat Mélissa Noizet (15/1, Guignicourt) 6-4, 6-4 ; Charlotte Fayard (15/2, Messine Paris) bat Estelle Levasseur (15/3, ASPTT Epernay) par WO ; Charlotte Becret (15, URT) bat Sandra Joly (15/3, Betheny) 6-2, 6-0. Demi-finales : Lancelot bat Lamothe 6-2, 6-0 ; Becret bat Fayard par WO. Finale : Lancelot bat Becret 6-3, 6-4.

▶ MESSIEURS.

Quarts de finale : Choiselat (15/1, Reims Europe Club) bat Renard (15/3, ) 6-1, 6-1 ; Lalire (Saint-Memmie) bat Gosse (15/3, Soissons) 6-4, 7-5 ; Chaudre (15/1, URT) bat Collot (15/2, Cormontreuil) 6-3, 7-6 ; Mouton (15/1, Soissons) bat Lacaille (15/1, TRC Muire) 6-1, 6-4. Demi-finales : Lalire bat Choiselat 6-2, 6-1 ; Mouton bat Chaudre 6-2, 6-0. Finale : Mouton bat Lalire 6-2, 4-6, 6-3.

▶ + 45 ANS.

Demi-finales : Dupont (15/4, Cormontreuil) bat Visy (15/2, TC Reims) 6-2, 6-4) ; Cuinet (15/1, Château-Thierry) bat Floquet (15/2, TC Reims) 6-1, 6-4. Finale : Cuinet bat Dupont 6-0, 6-4.

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l’union 130928 a
TENNIS : SAINT-MEMMIE : Deglave et Zarev sacrés

Thibault Deglave. Bernard SIVADE
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Limité à 2/6 pour sa cinquième édition, le tournoi du TC Saint Memmie a vécu, dimanche, de superbes finales. Ainsi, chez les messieurs, le forfait sur blessure de la tête de série numéro 1 Vincent Betbeze (2/6, TC Reims) a ouvert la voie aux prétendants à 4/6. En effet, Thibault Deglave (Guignicourt) était opposé à Manuel Soumet (Cormontreuil). En pleine forme, l’Axonais a encore impressionné en prenant le meilleur sur un joueur qui fut - 15. D’autant que le Cormontreuillois l’avait battu à deux reprises en début de saison. Résultat, dans le set initial, il imposait son tennis pour conclure à 6-4 alors que dans la manche suivante, il résistait aux assauts de Manuel Soumet qui ratait plusieurs balles de sets. Ce que ne fera pas le sociétaire de l’US Guignicourt en bouclant à 7-5.

Pas de surprise du côté des dames où la favorite Amélie Zarev (3/6, Cormontreuil) est venu à bout de Lucie Grygielski (15, Cormontreuil). Non sans difficultés puisque la future joueuse du Reims Europe Club a dû s’employer pour empocher le premier set au jeu décisif. Un gros avantage psychologique puisque elle gérait la deuxième manche à sa main (6-3).

▶ MESSIEURS.

Quarts de finale : Chauvin (5/6, Reims Europe Club) bat Masson (4/6, Saint- Memmie) 6-1, 6-0 ; Deglave (4/6, Guignicourt) bat Mouton (15/1, ASPTT Châlons) 6-3, 6-0 ; Lalouette (4/6, Cormontreuil) bat Leveque (5/6, Saint-Memmie) 6-1, 6-0.
Demi-finales : Deglave bat Chauvin 6-1, 6-1 ; Soumet (4/6, Cormontreuil) bat Deglave 6-3, 6-1.
Finale : Deglave bat Soumet 6-4, 7-5.

▶ DAMES.

Quarts de finale : Lucie Grygielski (15, Géo-André) bat Angéliques Selosse (15/1, Géo-André) 7-5, 6-2 ; Alice Grillon (5/6, Saint-Memmie) bat Manon Contensoux (15/1, Plessis Robinson) 6-3, 6-2. _ Demi-finales : Grygielski bat Delphine Grillon (4/6, Saint-Memmie) 6-0, 6-0 ; Amélie Zarev (3/6, Cormontreuil) bat A. Grillon 6-2, 6-1.
Finale : Zarev bat Grygielski 7-6, 6-3.

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l’union 131001 b
REIMS. Feux de détritus

Plusieurs bennes, poubelles et autres détritus ont brûlé ces dernières heures à Reims.

Les pompiers sont ainsi intervenus place Dominique-Ingres dimanche à 17 heures, rue de la Concorde à 19 heures, rue du Docteur-Schweitzer à 21 h 45, boulevard Vasco-de-Gama à 22 h 20, rue Sousssillon à minuit, place Jean-Fragonard hier à 1 heure, rue du Fossé-Julien vers 6 heures.

La série s’est terminée à 8 h 30, de nouveau place Dominique-Ingres, au n° 8, comme la fois précédente, pour un conteneur encore incendié dans les caves.

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l’union 131001 a
DROGUE : Deux kilos de cannabis, deux ans ferme

Mercredi dernier, vers midi, des motards de la CRS 33 ont interpellé un cyclomotoriste qui transportait deux kilos de résine de cannabis dans un sac à dos (L’union de vendredi).

Bien décidé à ne pas se faire prendre alors que les policiers lui demandaient de s’arrêter lors d’un banal contrôle routier, avenue d’Epernay, l’individu a pris la fuite plein gaz, cherchant à faire chuter à coups de guidon l’un des trois motocyclistes lancés à ses trousses. À rouler trop vite, il est lui-même tombé près du parc Saint-John-Perse, au quartier Croix-Rouge, avant de se relever et de détaler à toutes jambes pour finalement être rattrapé rue Léon-Mathieu. Il s’est quelque peu débattu, portant un coup de casque qu’il a déclaré être involontaire, pendant la bousculade. Récupéré par les policiers, le sac à dos dont il s’était débarrassé pendant la course poursuite contenait exactement 2,285 kg de cannabis.

Circonstance aggravante pour Hamady Dianka, 23 ans : il était porteur d’un bracelet électronique lui permettant de purger l’une de ses condamnations en semi- liberté.

Interrogé par les enquêteurs de la sûreté départementale de Reims, le garçon a prétendu que la drogue lui avait été remise par un inconnu du quartier Wilson, à charge pour lui de la livrer à une autre personne dont il ignorait également le nom et le prénom… Le dernier propriétaire connu du cyclomoteur a été mis hors de cause. Il l’avait vendu il y a plusieurs mois et l’engin, depuis, semblait passer de mains en mains dans le quartier.

Hamady Dianka a été déféré en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Jugé pour le refus d’obtempérer, les violences à coups de pied sur le motard et la détention de produits stupéfiants en récidive, il a écopé d’une peine plancher de quatre ans d’emprisonnement, dont la moitié assortie d’un sursis avec mise à l’épreuve. Seul le coup de casque a fait l’objet d’une relaxe.

À l’issue de l’audience, le jeune homme a été écroué pour purger ses deux ans ferme. Sans bracelet électronique cette fois-ci.

F.C.

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l’union 130930 a
Incendie chez les jardiniers

Hier vers 3 heures du matin, deux cabanes ont été incendiées dans les jardins familiaux de la rue Frédéric-et-Irène-Joliot-Curie à Croix-Rouge. L’un des cabanons avait une superficie de 4 m2, l’autre de 8 m2. Le mobile du ou des vandales reste à déterminer.

Cette même nuit, un conteneur a brûlé à 0 h 30 esplanade Paul- Cézanne, puis une poubelle à 6 h 30 rue Paulin-Paris.

Vers 12 h 30, un feu de détritus s’est déclaré dans une maison désaffectée rue de la Cerisaie, près de l’ancienne discothèque.

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l’union 130928 d
TENNIS TOURNOI DE REIMS : Indécision chez les Cheminots

Charlotte Bécret, tête de série chez les dames. Bernard SIVADE
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Rendez-vous désormais majeur du tennis rémois, le tournoi des Cheminots a, pour sa 10e édition, fait le plein avec 205 inscrits. « C’est le maximum que l’on peut accepter en raison des créneaux. J’avais d’ailleurs une trentaine de joueurs sur liste d’attente », note le président, Bernard Barbier.

Un tableau masculin très ouvert De quoi forcément proposer de superbes tableaux denses et homogènes à souhait. Ainsi, dans celui des messieurs limité à 15/1, il est bien difficile d’émettre le moindre pronostic entre les neuf 15/1 et quinze 15/2 ! Reste qu’à 15/1, il faudra compter sur Mathieu Lalire (Saint-Memmie), Thomas Delarme (Reims Europe Club), Nicolas Japin (ASPTT Épernay) ou les frères Mouton (Soissons).

En + 45 ans, Jean-Christophe Cuinet (15/1, Château- Thierry) sera favori devant le trio de 15/2 du TC Reims Bruno Floquet, Freddy Baudinet et Jean-Marc Visy. Ouvert jusqu’à 15, le tableau féminin devrait se jouer entre Charlotte Bécret (15, URT) et Leslie Lancelot (15, TC Reims).

Les deux Rémoises sont les têtes d’affiche principales puisque la concurrence pointe à 15/2 avec Mélia Oget (Taissy) et à 15/3 avec Amélie Lamothe (Géo-André).

▶ Horaires. – Aujourd’hui, 9 heures : demi-finales dames ; 15 heures : finale dames. Demain, 9 heures : demi-finales messieurs ; 10 h 30 : finale messieurs plus de 45 ans ; 14 h 30 : finale messieurs.

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l’union 130928 c
RENDEZ-VOUS

Limitée à 2/6, la 5e édition du tournoi de Saint-Memmie réunit 80 participants.

Dans le tableau masculin, Vincent Betbèze (2/6, TC Reims) sera le favori devant le trio de 4/6 : Christophe Masson (Saint-Memmie), Thibault Deglave (Guignicourt) et Alban Lalouette (Cormontreuil). Du côté dames, en l’absence de 2/6, le titre devrait revenir à Amélie Zarev (3/6, Cormontreuil). Mais, gare aux soeurs Grillon du TC Saint-Memmie Delphine (4/6) et Alice (5/6) voire Lucie Grygielski (15, Géo-André) !

Horaires. – Demain, 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demies hommes ; 13 h 30 : finale dames ; 15 heures : finale messieurs.

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L’hebdo du vendredi- N° 319- 1309528b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 319 - Semaine du 27 septembre au 2 octobre 2013

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Education. Partenariat. Sciences Po tête de cordée

Autour de Nathalie Jacquet, quelques-uns des étudiants participants au dispositif (de gauche à droite, Tomas, Henri et Robin). (© l’Hebdo du Vendredi)
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Ils sont une quarantaine d’étudiants du campus à s’être lancés depuis lundi dernier dans l’aventure des Cordées de la réussite, certains ne maîtrisant encore que peu le français.

Le contact avec un jeune public de collégiens rémois ? Pour eux une opportunité idéale d’échanger et de favoriser le partage des savoirs et l’ouverture sur le monde.

C’est un projet qui plaît autant qu’il a su montrer son utilité.

Le dispositif « Les collèges à Sciences Po », s’inscrivant dans le cadre des « Cordées de la réussite », se définit comme un mentorat entre étudiants du campus euro-américain et collégiens d’établissements rémois. Au travers de nombreux projets collectifs, la finalité est d’arriver à proposer à ces collégiens une ouverture et un décryptage du monde dans lequel ils vivent.

« En aucun cas il ne s’agit de soutien scolaire, » insiste Nathalie Jacquet, directrice du campus rémois de Sciences Po, « on ouvre seulement des portes sur des territoires et des environnements que ces jeunes n’ont pas forcément la possibilité de connaître. On est là pour éveiller leur curiosité et contribuer à éviter que ne se forge en eux un sentiment de résignation sur leur avenir. »

Cette année, six collèges de Reims participent au dispositif, Maryse-Bastié, Trois-Fontaines, Paul-Fort, Pierre-Brossolette, Saint-Remi et Georges-Braque, tous situés dans des zones dites « socialement défavorisées ».

A raison de sept étudiants pour encadrer dix à douze collégiens, les groupes passeront ainsi une vingtaine d’heures ensemble d’ici à la fin de l’année. « On se voit tous les lundis pendant deux heures, soit dans leur collège, soit chez nous à Sciences Po, soit en extérieur, » précisent Mathilde et Robin, deux des étudiants participants, « au début, bien sûr, c’est un peu délicat d’établir avec eux une connexion, ils sont un peu timides, mais on va rapidement établir une bonne communication avec eux. » Pour Katharina, Tomas, Henri, Alice et les autres, originaires entre autres d’Allemagne, de Lituanie ou encore de Finlande, le défi de la communication est de taille puisqu’il faut déjà franchir la barrière de la langue. « Finalement, nous, étudiants étrangers de Sciences Po, ne sommes pas si gênés que cela car ce projet nous permet de pratiquer notre français et de nous améliorer. Mais c’est aussi la possibilité d’être en interaction avec un autre public, plus jeune et disposant donc d’une vue un peu moins ouverte sur le monde. On leur apporte notre éclairage, on partage beaucoup, c’est une expérience positive des deux côtés ».

En début d’année, chaque groupe définit son programme, ce dernier s’articulant autour de plusieurs thématiques comme les médias, la politique, les institutions, l’économie, l’Europe, les entreprises, les arts et la culture.

Au cours des séances, les étudiants travaillent avec les collégiens sur l’expression en public, la lecture, l’analyse de presse, le voyage, le décryptage des institutions politiques.

A la fin de l’année, un voyage est traditionnellement organisé pour réunir les groupes des différents collèges ; un moment souvent riche en émotion.

Aymeric Henniaux

Liens : college.sciences-po.fr/sitereims


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JUSQU’AU VENDREDI 4 OCTOBRE : LECTURES TROUBLANTES LE MONDE EN FUSAIN

Clotilde est une artiste qui travaille au fusain, toujours en noir et blanc, avec parfois quelques petites touches de couleurs, sur de très grands formats. Ses oeuvres rassemblent différents mondes dans une même image fracturée.

Entrée libre

Bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, campus Croix-Rouge, Avenue François Mauriac


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TRIBUNAL CORRECTIONNEL : Calvaire au féminin

On ne les voit que rarement défiler à la barre du tribunal, accompagnant d’ordinaire plutôt leur conjoint, leur frère, leur ami dans l’enceinte correctionnelle le jour du jugement de ceux-ci. Les femmes sont en effet loin d’être le sexe le plus confronté à la justice mais ce jour-là, Charlène, Samia, Jennifer et Laurène, quatre demoiselles dont la somme des âges ne dépasse même pas encore les cent bougies, ont glacé les esprits. Sur le papier déjà, les faits reprochés faisaient froid dans le dos : arrestation, enlèvement, séquestration, vol en réunion, violence aggravée… Parce que la vie n’a jamais été tendre avec elle, Charlène boit, beaucoup, tentant vainement de noyer ses blessures du passé dans l’illusion d’un mieux vivre éphémère. Mais la bouteille rend fou. Surtout cet après-midi du 19 juin 2012, quand la jeune dame appelle ses amies pour un guet-apens « complètement improvisé », mais tout de même réfléchi depuis le matin. « L’idée m’est venue en amenant ma fille à l’école. » L’innocente môme remise aux mains de la maitresse, maman peut alors organiser sa journée. Un rendez-vous de pris avec une « ancienne copine qui avait mal parlé dans mon dos », et quelques heures plus tard ce sont quatre personnes à peine sorties de l’adolescence qui attendent la victime. Des coups de poings, de pieds, un verre lancé au visage, une jeune fille ensanglantée, des cigarettes brûlées sur sa poitrine, une bouteille de vin brisée sur son crâne. Puis des vertiges, du sang. Alors on s’affole : « Quand j’ai vu qu’elle titubait et qu’elle saignait beaucoup, je l’ai allongée sur le canapé et lui ai appliqué de la Bétadine sur ses plaies. » Un salut inespéré ? Non, le bref passage dans l’oeil du cyclone car quelques minutes après, le comble de l’horreur : le chien est lâché, les morsures pleuvent, la victime pleure. Deux heures plus tard, deux heures… on la raccompagne à la pharmacie pour « soigner ces bobos faits dans un moment d’égarement un peu enfantin », puis on fuit, très loin, afin de donner à la lâcheté toute sa quintessence. Aujourd’hui les mois ont passé. Pour la victime, les maux sont là, pour ses bourreaux, le sentiment de culpabilité, moins. Charlène peine à raconter avec minutie le détail de cet après-midi : « C’était il y a quinze mois et puis j’avais deux grammes dans le sang, je ne me souviens pas de tout, vous m’agacez avec ces questions. » La demoiselle meurtrie, elle, n’est pas agacée. Elle veut oublier, les oublier, toutes. La justice va l’aider, Charlène, Samia, Laurène et Jennifer partiront en prison.

Oui, parfois on ne peut pas rire de tout…

Aymeric Henniaux

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l’union 130928 a
SPECTACLE : Performance artistique tout terrain dans la ville

Cyrille Musy est rejoint par Feroz Sahoulamide, danseur hip-hop.
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Le Manège propose un spectacle « hors les murs », à 18 heures. Une performance artistique tout terrain à voir devant « La Marmite ».

La « Welcome Week » a installé ses stands d’information au Campus Croix-Rouge. Le lieu est en travaux, il y a des engins de chantier, des sols défoncés… Un environnement plutôt peu propice à un spectacle et pourtant, c’est justement ce qu’affectionne Cyrille Musy, de la compagnie « Kiaï » : sa « Performance Artistique Tout Terrain » est destinée à se jouer partout… sauf dans un vrai théâtre !

Investir l’espace, improviser…

« Dans le cadre de notre projet « hors les murs », c’est une manière d’aller au-devant du public, en différents endroits de la ville », explique Guillaume Schmitt, responsable de la communication du Manège, qui programme les artistes. Acrobate, tram poliniste, danseur, Cyrille Musy fait quelques équilibres entre les transats des étudiants, traverse le chantier, grimpe à l’assaut d’un rouleau compresseur, qui devient un agrès pour ses acrobaties ! Il est rejoint par Feroz Sahoulamide, danseur hip-hop, qui évolue sur le sol de terre meuble. Tous deux remontent sur le parvis, où est installé un trampoline. Jérémy Manche, musicien, accompagne leurs évolutions.

« On investit l’espace, on va chercher les gens un peu partout. Certes, un chantier, ce ne sont pas des conditions idéales, mais c’est notre défi, c’est à nous de nous adapter à tout ce qui nous entoure », confie Cyrille Musy, juste après sa performance, aussi sportive que théâtrale.

« C’est original, dynamique, une belle improvisation ! » apprécient deux étudiantes.

▶ Nouvelle représentation grand public aujourd’hui samedi 28 septembre à 18 heures, devant le restaurant associatif « La Marmite », 5, avenue Léon-Blum.

« C’est une manière d’aller au-devant du public, en différents endroits de la ville. »

Guillaume Schmitt, du Manège


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