Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - octobre 2015.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 

 

 

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l’union 151031 c
Loisirs

Conférence « Le jazz et les femmes, les femmes du jazz », par Nicolas Béniès. À 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Gratuit.

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l’union 151031 b
Voitures détruites par le feu

La série des voitures brûlées continue, même à la campagne. Deux carcasses calcinées ont été retrouvées jeudi par les gendarmes à Trois-Puits, celle d’une ZX qui avait été volée à Montbré, et une 308 dérobée en zone urbaine.

Les incendies de voitures semblant faire des émules, dans le secteur police, une autre voiture a brûlé dans la nuit de jeudi à vendredi avenue du Général-Bonaparte, vers 3 h 15, dans le quartier Croix-Rouge.

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l’union 151031 a
IRTS

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l’union 151030 d
Nécrologie : Hommage à Pierre Camus

M. Camus est décédé le 23 octobre.
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Né en janvier 1956, Pierre Camus a effectué une scolarité à Reims à l’issue de laquelle il obtient un bac scientifique au lycée Jean-Jaurès. Il entre à l’école Normale et, dans le même temps, il effectue son service militaire à l’aérodrome de Metz.

Il passe sa première année d’instituteur dans un Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique. Puis, sa deuxième rentrée scolaire et toute la suite de sa carrière se fera à l’école élémentaire des Provençaux à Croix-Rouge Pays-de-France, jusqu’en juin 2015.

Pendant plus de 20 ans il a permis à ses élèves de découvrir l’île de Ré à vélo ou en Optimist, avec la Caisse des écoles de Reims à la Grainetière ou en montant lui-même des projets.

Pour Martine Énault, « Pierre Camus est une personne remarquable qui s’est impliquée fortement auprès des enfants de Croix-Rouge et a su obtenir une confiance et un soutien sans faille des parents d’élèves. »

Passionné de basket, en particulier au niveau des jeunes catégories alors au RCB, il est le président fondateur de l’Association sportive Aquatintienne (ASA Tinqueux Basket). Depuis le 8 mars 2010 il était devenu le président de l’USEP Reims et ses 2000 licenciés. Médaillé de l’USEP nationale et de la Jeunesse et des Sports, il fut un des plus fervents défenseurs du relais USEP dans le cadre du Marathon de Reims puis Reims à Toutes Jambes et Run in Reims, « le seul jour où enfants et adultes sont sur le même terrain de sport », déclarait-il.

Il a été à l’origine des festivités mises en place pour les 30 ans du Relais USEP qui ont marqué de nombreuses personnes de tous âges.

Pour Christophe Viet, délégué USEP, « on se souviendra longtemps de Pierre Camus et on fera régulièrement référence à lui à l’USEP, comme lors des courses des écoles de Reims, le 16 novembre au parc Saint-John-Perse et les jours suivants » .

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l’union 151030 c
Loisirs

L’espace Billard la Nacelle organise une veillée Halloween pour tous, avec un concours du pire déguisement d’Halloween, vendredi 30 octobre de 18 h 30 à 22 h 30.

Au programme, veillée, jeux divers, jeux vidéo, stand photos, maquillage… Buvette.

Entrée gratuite, places limitées sur réservation à l’espace Billard – La Nacelle, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 151030 b
Loisirs : Du football avec les policiers pour rapprocher les quartiers

Soixante jeunes ont répondu à l’invitation du centre de loisirs de la police.
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Dans le cadre de son programme d’activités menées pendant les vacances, le centre loisirs jeunes de la police nationale (CLJ) a récemment organisé, avec le soutien des maisons de quartier, un tournoi de futsal rassemblant 60 adolescents venus des quartiers Croix-Rouge, Wilson, Épinettes et Chalet-Tunisie.

Des tournois de futsal sont régulièrement organisés depuis plusieurs années. À chaque fois, les équipes sont mixtes, composées avec les jeunes des différents quartiers, pour qu’ils puissent se rapprocher, apprendre à se connaître et à se respecter.

Créé en 1996, le CLJ de Reims, fort de 3000 m 2 d’infrastructures, est l’un des plus importants de France. Ses activités à dominante sportive et culturelle visent prioritairement un public de jeunes résidant dans les quartiers défavorisés. L’aide et l’intégration, le respect des règles par le jeu et la prévention de la délinquance sont les trois objectifs qu’il s’assigne.

 

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l’union 151030 a
Faits divers : Cinq voitures brûlées en une nuit

La voiturette, au centre, a complètement fondu. Christian Lantenois
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Ça continue. Même en pleine semaine, les voitures flambent dans la ville. Plusieurs ont fini en cendres dans la nuit de mercredi à jeudi.

Décor de guerre dans l’allée des Charmilles hier matin, dans le quartier de la Verrerie. Au bout d’une impasse, trois véhicules ne sont plus que des carcasses noircies. Au milieu, une voiturette en plastique a complètement fondu. À gauche, il ne reste pas grand-chose d’une Golf et de l’autre côté, c’est une Ford Fiesta qui a connu un triste sort.

Le propriétaire de la Golf, sur place, est désemparé. Il a besoin de sa voiture pour aller au travail. Il sait déjà qu’il va passer une partie de sa journée au commissariat et dans les locaux de son assureur. « J’ai entendu un boum vers 2 heures du matin. Je suis descendu aussitôt mais c’était déjà trop tard, tout est allé très vite » , raconte le jeune homme qui pense savoir qu’il y a une « recrudescence d’incendies de voitures et de poubelles depuis quelques semaines » . Il ne croit pas à l’hypothèse du faux contact qui aurait embrasé une voiture avant la propagation aux deux autres. Il pense à un acte de malveillance. Plus loin, le propriétaire d’un garage est en grand nettoyage. La mousse utilisée par les pompiers s’est infiltrée sous sa porte.

Une Mégane a également été incendiée allée des Tourangeaux et une voiture non identifiable, rue Michel-Hamaide.

Marie-Christine Lardenois

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l’union 151028 c
Pratique

La médiathèque Croix-Rouge reconduit l’atelier Coup de pouce emploi, conduits par l’association Egee pour la rédaction de CV et de lettres de motivation et la préparation d’entretiens d’embauche.

Prochains rendez-vous :
- rédiger son CV et sa lettre de motivation, le 17 novembre ;
- préparer son entretien d’embauche, le 3 novembre et le 1er décembre.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar, ateliers gratuits, inscription obligatoire au 03 26 35 68 48.

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l’union 151028 b
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail », les 28, 29 et 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université.

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l’union 151028 a
Des initiatives sociales et solidaires

En novembre, la Champagne-Ardenne participe au Mois de l’économie sociale et solidaire. De nombreux rendez-vous sont prévus, notamment un parcours de découverte présentant 11 projets, en partenariat avec des étudiants de l’association Dreamact et Pro’Mees.

À voir du 29 octobre au 10 novembre, au 59 rue Pierre-Taittinger.

Pour en savoir plus : 03 26 07 96 43 ou www.cressca.org

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l’union 151027 c
Loisirs

L’espace Billard la Nacelle organise une veillée Halloween pour tous, avec un concours du pire déguisement d’Halloween, vendredi 30 octobre de 18 h 30 à 22 h 30.

Au programme, veillée, jeux divers, jeux vidéo, stand photos, maquillage. Buvette sur place.

Entrée gratuite, places limitées sur réservation à l’espace Billard – La Nacelle, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03 26 08 08 78.

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l’union 151027 b
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail », les 28, 29 et 30 octobre sur le site Croix-Rouge de l’université.

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l’union 151027 a
PLURIAL

APPARTEMENTS

REIMS :
- 4, rue Bernanos : T4 au 2e ét., 81,83 m² env., cave, parking, lots 1083 - 1091 - 1235, DPE en cours, 134.600 e, réf. ER.11025.
- 4, rue Bernanos : T5 au 2e ét., 92 m² env., cave, parking, lots 1085 - 1088 - 1234, DPE en cours, 150.100 e, réf. ER.11027.
- 1, allée J. Simon : T2 au 3e ét., 53,54 m² env., parking, lots 23 - 312, DPE en cours, 68.500 e, réf. ER.10272.
- 1, allée J. Simon : T5 au 2e ét., 98,53 m² env., parking, lots 17 - 357, DPE en cours, 128.500 e, réf. ER.10266.
- 1, allée Y. Gandon : T2 au 4e ét., 53,54 m² env., parking, lot 168 - 335, DPE en cours, 72.200 e, réf. ER.10357.
- 2 F, rue Chevigné : T5 au 4e ét., 108.25 m² env., cave, parking, lots 729 - 762 - 482, DPE en cours, 213.300 e, réf. ER.12244.
- 1 bis, rue Charles Peguy : T4 au 4e ét., 73,14 m² env., cave, parking, lots 32 - 60 - 96, DPE en cours, 106.200 e, réf. ER.07522.
- 14, rue Pierre de Coubertin : T4 au 2e ét., 72,29 m² env., cave, lot 109 - 93, DPE en cours, 88.200 e, réf. ER.03323.

ÉPERNAY :
- 5, rue Lochet : T5, 1er ét., 78 m² env., cave, lots 16 - 62, DPE en cours, 105.000 e, réf. ER.60837.

MAISONS

- TINQUEUX, 6, allée Blaise Pascal : T3, 60 m² env., cave, garage, lots 1 - 15, DPE en cours, 137.600 e, réf. ER.17704.
- SOMMESSOUS, 4, rue de Semoine : T5, 103 m² env., DPE en cours, 126.500 e, réf. ER.16260.
- MONTMIRAIL, 5, rue Jean de la Fontaine : T5, 102 m² env., DPE en cours, 95.500 e, réf. ER.23295.

Ventes ouvertes à tous à titre de résidence principale, réservées pendant 2 mois aux locataires PLURIAL NOVILIA (à compter de la date de parution).

Frais de notaire réduits et frais de notaire offerts aux locataires PLURIAL NOVILIA.

Renseignements : REIMS-TINQUEUX : 03.26.05.92.23 ou 03.26.05.92.97 - ÉPERNAY-MONTMIRAIL : 03.26.53.39.60 - SOMMESSOUS : 03.26.22.91.93.

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l’union 151026 d
Coup de pouce pour l’emploi à la médiathèque

La médiathèque Croix-Rouge reconduit l’atelier Coup de pouce emploi.

Prochains rendez-vous :
- rédiger son CV et sa lettre de motivation, le 17 novembre ;
- préparer son entretien d’embauche, le 3 novembre et le 1 er décembre.

Ateliers gratuits et inscription obligatoire au 03 26 35 68 48.

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l’union 151026 c
Préparation au BAFA avec les Francas

L’association des Francas de la Marne prépare les candidats au brevet d’aptitude aux fonctions d’accueil collectif de mineurs (BAFA). Il permet d’animer, à titre non professionnel et de façon occasionnelle, des séjours de loisirs éducatifs d’enfants et d’adolescents, déclarés en accueils collectifs de mineurs. Il faut être âgé de 17 ans.

Le parcours de formation se déroule en trois étapes et s’effectue dans un délai de trente mois maximum : une première session de formation générale, un stage pratique en situation d’animation et une session d’approfondissement ou de qualification.

Stages de la Toussaint : stage d’approfondissement à Chaumont (Haute-Marne) du 26 au 31 octobre, en internat ou en demi-pension, et un stage d’approfondissement à Givry-en-Argonne (Marne) du 26 au 31 octobre en internat.

Renseignements et inscriptions : 19-23, rue Alphonse-Daudet 51100 Reims Tel. 03 26 85 55 18. francas.51@laposte.net

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l’union 151026 b
Rendez-vous

Colloque ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail », les 28, 29 et 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université.

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l’union 151026 a
Tennis pôle espoir féminin : Le futur se construit à Reims

Anthony Petit encadre Lou Brouleau, Emmanuelle Girard, Emma Léné et Margot Yerolymos (de gauche à droite). David Calais
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Au Creps, elles sont quatre à se rêver championnes de demain. Sous la houlette d’Anthony Petit, leur coach, elles profitent d’une structure mise à leur disposition.

C’est un matin comme un autre au Creps. Dès 8 h 30, la halle de tennis s’anime. Premières sur le court, les deux juniors Emma Léné et Emmanuelle Girard sont à l’échauffement. Plus tard dans la matinée, Lou Brouleau suivra, alors que Margot Yerolymos ne fera qu’un bref passage, après une matinée consacrée à des examens médicaux.

Ces quatre filles font peut-être partie du futur du tennis féminin français. C’est à Reims qu’elles s’entraînent, quand elles ne sont pas en tournois aux quatre coins de la planète, sous la houlette de leur coach, Anthony Petit, et au sein d’un pôle espoir féminin.

En lien avec la Direction technique nationale

La structure basée au Creps existe depuis 2003. Mais ce n’est que depuis 2012 qu’elle a le statut de pôle espoir. « On a un fonctionnement très étroit avec Arnaud Di Pasquale, le DTN, explique Anthony Petit, qui a entraîné sur le circuit professionnel pendant quelques années. Le pôle est rattaché directement à la Direction technique nationale. Ce sont des co-décisions en termes d’objectifs et de tournois, notamment. » Le responsable du pôle n’est pas seul pour encadrer les jeunes filles. Il est accompagné par deux hommes. Bruno Dagnée, le préparateur physique, qu’il décrit comme « excellent, le meilleur avec qui j’ai travaillé », qui entraîne aussi les quatre jeunes filles. Et Geoffrey Alessio, qui s’occupe principalement des filles plus jeunes, puisque la relève est déjà présente au sein du pôle avec Gabrielle Clairotte (née en 2002), Lou Dupuis (2002) ou la Champardennaise Mathilde Sarcellet (2003). À ces deux hommes, Anthony Petit associe également Kévin Schweig, responsable pédagogique du « centre clubs » du TC Géo-André, en lien étroit avec le pôle.

« Dans tout mon parcours, ce club m’a toujours suivi, reprend le Rémois d’adoption comme il se définit. Sans eux, il n’y a rien. » Avec des résultats au niveau international, le pôle est dans une année capitale. « L’avenir est forcément à géométrie variable, et il ne dépend que d’une chose : les résultats, lâche Anthony Petit. Tout ce qui se passe à Reims est déterminé par ça. Mais cette pression, c’est le sport de haut niveau. »

Et les performances du pôle espoir féminin sont reconnues. Depuis un mois, Anthony Petit est en contact avec Alexia Dechaume-Balleret, ancienne pro puis coach d’Amélie Mauresmo. Aujourd’hui, elle représente une fondation suisse, Sport for Life, qui pourrait devenir mécène de la structure. Si rien n’est encore décidé, notamment au niveau des budgets, l’intérêt prouve bien que le pôle espoir féminin du Creps de Reims n’a pas encore fini de faire parler de lui…

David Calais

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l’union 151025 b
Sortir : Une super veillée Halloween à la maison de quartier

L’espace Billard la Nacelle organise une super veillée Halloween pour tous, avec un concours du pire déguisement d’Halloween, vendredi 30 octobre de 18 h 30 à 22 h 30. Au programme, veillée, jeux divers, jeux vidéo, stand photos, maquillage… Buvette sur place.

Entrée gratuite, places limitées sur réservation à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. 03 26 08 08 78.

Sarah Morillon, animatrice référent familles, organise des ateliers participatifs pour la préparation de cette grande fête, de 14 à 17 heures à l’espace La Nacelle.

Ces ateliers sont ouverts à tous.
- Lundi 26 octobre : décoration des salles.
- Mardi 27octobre : réalisation de décors et suspensions.
- Mercredi 28 octobre : après-midi récréative avec jeux de société et jeux en bois.
- Jeudi 29 octobre : ensachage de bonbons et finition des décors.

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l’union 151025 a
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail », mercredi 28 octobre ; jeudi 29 octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix-Rouge de l’université de Reims, 57, rue Pierre-Taittinger.

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l’union 151024 a
Découverte : La langue des signes

Le centre de formation de langue des signes organise un atelier gratuit à la médiathèque Croix-Rouge, le mercredi 25 novembre de 17 à 18 heures.

Vous découvrirez d’où provient cette langue, vous apprendrez à épeler votre prénom grâce à la dactylologie et vous pourrez communiquer avec votre entourage.

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l’union 151023 a
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail ». Mercredi 28 octobre ; jeudi 29 octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université de Reims, 57 rue Pierre Taittinger.

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l’union 151022 c
SOCIAL : Ces maisons sont des piliers de la vie dans les quartiers Yann Le Blévec

Aux Trois-Fontaines, maison de quartier Les Sources, il est beaucoup question de confiance avec les familles. Bernard Sivade
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Un atelier de gym douce aux Trois-Piliers. Christian Lantenois.
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Une reprise dans la sérénité explique-t-on du côté de Louise-Michel. Bernard Sivade.
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Les parties de cartes continuent, mais ne suffisent plus.
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Les maisons de quartiers sont disséminées dans toute la ville. Il en existe quatorze. À chaque secteur, une spécificité, avec la même règle pour tous, la confiance !

Elles ont vu le jour dans les années 70 en même que les premières conséquences de l’urbanisation se faisaient sentir. Les maisons de quartiers, ou centre sociaux, ou maison des jeunes, demeurent aujourd’hui une des dernières portes contre l’isolement.

À Reims, il existe une vingtaine de sites regroupés au sein de quatorze entités. Nées parfois de la fusion entre centres sociaux et maisons des jeunes, elles ont dû s’adapter.

Partenariats avec des associations, activités diverses, l’espace Louise Michel à Wilson est un (bon) exemple d’une mixité qui se met en place depuis la rentrée. « La reprise est plutôt positive » , confirme Anthony Hugot, adjoint à la directrice.

Les associations, les habitants, répondent présent. Et de nouvelles activités apparaissent, en lien si possible avec la demande sur le terrain. « Avant la reprise, l’équipe est allée à la rencontre des habitants et cela semble s’avérer payant » , précise Mario Rossi, adjoint délégué à la proximité. De la boxe est ainsi désormais proposée et attire déjà une trentaine de jeunes, dont douze demoiselles. « Nous avons aussi bâti un projet sympa avec des adolescents. Ils sont venus nous voir car il voulait organiser un séjour, on leur a dit qu’on n’était pas une agence de tourisme » , sourit Anthony Hugot.

Ensemble, ils se sont mis d’accord sur la façon dont le groupe pouvait s’investir pour le quartier, en nettoyant un terrain notamment. « Et s’ils rêvaient peut-être de Côte d’Azur, ils sont allés en Lozère dans un village avec peu d’habitants. Ils ont fait du sport à sensations, de la marche, de la pétanque, cela leur a beaucoup plu. »

Des étudiants de Sciences Po adoptent Louise-Michel

Finalement, ces 14-18 ans ont créé leur association et fourmillent d’idées. Lors des portes ouvertes en septembre, 70 jeunes ont été recensés. « On sent une certaine sérénité. Ils ne sont plus devant la structure. » Ils profitent du passeport foot salle et boxe du mercredi après-midi par exemple. Mais ce ne sont pas les seuls à goûter l’endroit. Des étudiants de Sciences Po viennent prendre un créneau. Des perspectives existent avec le département STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), l’école de la deuxième chance…

Une salle « cardio » est à la disposition des usagers et connaît un grand succès. « Au niveau de la salle informatique, les gens peuvent rédiger leur CV et obtenir quelques conseils au passage » , poursuit Anthony Hugot. Sans oublier les élèves qui profitent des lieux, de l’association des femmes relais, de la bibliothèque pour tous…

Un lieu de vie donc, mais aussi de partage, de confiance, une façon de rompre l’isolement. Un leitmotiv que l’on retrouve dans toutes les structures même si le public touché est parfois différent, les familles, les seniors… Contrairement aux idées reçues, une maison de quartier ce n’est pas que des jeunes. Elle est ouverte à tous, les bénévoles et professionnels y développent des projets d’animation pour répondre aux besoins de la population, du tout-petit à la personne âgée.

Les seniors restent actifs

Du côté de la maison de quartier des Trois-Piliers, dans le secteur Laon-Zola, on s’est un peu spécialisée dans l’intergénérationnel. Ici, la population est vieillissante et si les parties de cartes sont acharnées, elles ne suffisent plus toujours à attirer les seniors. De nouvelles activités ont vu le jour, liées au bien-être, comme du yoga, de la sophrologie ou de la gym douce. Ici, la structure était un centre social, créé par un groupe d’habitants militants. Les lieux ont conservé l’esprit, avec une partie moderne adossée au presbytère. « La difficulté concernant les personnes âgées isolées, c’est comment les joindre », soulignent les responsables. « On a travaillé avec les professions allant à domicile, les caisses de retraite, pour sensibiliser. » Avec parfois de jolies réussites. Comme cette dame de 80 ans qui ne sortait plus de chez elle. « Maintenant, même en béquilles, elle se déplace et elle ne raterait pour rien au monde sa séance de gym chaise. » La maison de quartier travaille aussi beaucoup sur l’échange avec les plus jeunes. Il existe par exemple un jardin partagé avec les enfants des écoles. « On organise aussi des sorties culturelles avec les grands-parents et petits-enfants, une fête de quartier, des ateliers d’écriture ou de création. » Et l’expérience est partagée ensuite avec d’autres maisons de quartiers touchant un peu le même public comme à Cernay ou Clairmarais.

La famille au cœur du projet des Trois-Fontaines

La maison de quartier Les Sources est composée en fait de La Neuville et des Trois-Fontaines. « Avant on ne traversait pas le boulevard des Tondeurs pour aller voir l’autre », sourit Dominique Mansuy, directeur. Les quartiers ont des profils différents. « Et pourtant, on a mené des opérations qui ont permis de créer des liens. » La fête de Noël par exemple réunit tout le monde à La Neuvillette. À Trois-Fontaines, on a mis le paquet sur la famille, avec l’obtention de l’agrément animation collective familles. « L’important c’est de réussir à établir des relations privilégiées avec elles. Cela prend du temps. Il suffit parfois qu’une animatrice s’en aille, pour repartir à zéro ou presque. » L’idée est de mettre en œuvre des projets qui réunissent cette fois les parents et les enfants. C’est le cas notamment pour les sorties ou les séjours. « Il y a bien sûr une grande précarité qui empêche certaines personnes de partir, mais parfois aussi, c’est également l’angoisse de devoir organiser un voyage, ce n’est pas inné pour tout le monde. » La maison de quartier encadre donc un séjour. « Et après, certaines familles qui en ont bénéficié partent parfois de manière autonome. » Les randonnées fonctionnent encore très bien. Des séances sont aussi organisées avec la Protection maternelle et infantile. « Les parents au fur et à mesure y prennent vraiment leur place et participent de plus en plus aux discussions. » Ce vendredi d’ailleurs, les grands sourires partagés entre les mamans et leurs bébés en disent long sur le plaisir rencontré. Des ateliers collectifs d’intégration parviennent au même objectif rassemblant toutes les cultures et tous les âges. « Des bénévoles interviennent au collège. On va encore chercher des enfants dans les écoles le mercredi pour qu’ils participent au centre de loisirs, les nouveaux rythmes scolaires avaient un peu fait chuter la fréquentation. Sur beaucoup de fronts donc, on s’active et on tend la main pour intégrer, rassurer, partager.

Des maisons de quartiers, plusieurs sites

Les maisons de quartier de la ville : Arènes du Sud (Saint-Remi, Verrerie), Cernay-Europe, Châtillons, Clairmarais, Croix-Rouge (Billard, La Nacelle, Pays de France, Watteau), Épinettes, Jean-Jaurès (Chalet, Le Flambeau), Les Sources (La Neuvillette, Trois Fontaines), Maison Blanche, Orgeval (Poincaré, Schweitzer), Trois Piliers, Val de Murigny (Le Ludoval, Turenne), Wilson (Wilson Sainte Anne, Louise Michel, Claudel).

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l’union 151022 b
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail ». Mercredi 28 octobre ; jeudi 29 octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université de Reims, 57 rue Pierre Taittinger.

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l’union 151022 a
Justice tribunal correctionnel : Coupable, mais pas de tout M.L.

Le 1 er septembre dernier, des policiers contrôlent une Mercedes. Le conducteur, Ozgur Bayartan, n’a ni permis de conduire, ni assurance – le véhicule appartient à son frère.

Le 17 septembre, dans le quartier Croix-Rouge, des policiers contrôlent une Mercedes et s’aperçoivent que celle-ci fait l’objet d’une procédure d’immobilisation – celle du 1 er septembre, donc. À l’intérieur, Ozgur est, selon les policiers, vu à la place du conducteur. Toujours sans permis, toujours sans assurance mais avec quelques grammes de cannabis retrouvés dans le véhicule. Comparution immédiate pour les deux séries d’infractions reprochées. Et demande de délai pour mieux préparer la défense du prévenu.

Mardi, à la barre du tribunal, Ozgur reconnaît les faits du 1 er septembre mais conteste l’épisode du 17. Non, le cannabis n’était pas à lui et non, il ne conduisait pas le véhicule. Pour le ministère public, Ozgur est coupable de tout ce qui lui est reproché. Six mois de prison requis, avec maintien en détention.

La défense, pointant les éléments contradictoires dans l’enquête relative à l’épisode du 17 septembre, demande la relaxe partielle. Les juges sont convaincus : trois mois de prison pour le jeune Ozgur, 25 ans, maintenu en détention mais relaxé des faits du 17 septembre qui lui étaient reprochés.

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l’union 151021 b
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail », mercredi 28, jeudi 29 et vendredi 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université de Reims, 57 rue Pierre Taittinger.

Programme détaillé sur www.conftool.net/aecse2015/s…

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l’union 151021 a
Tradition : 777 000 € seront consacrés aux illuminations de fin d’année Aurélie Beaussart

« Nous voulions une certaine forme de modernité, d’unité et de cohérence. En clair, on souhaitait faire mieux avec moins d’argent », dit-on à la mairie.
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Un mois soit 60 000 heures de travail nécessaires pour tout installer. Virginie Guennec
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Le plan pour illuminer la ville a été profondément modifié. « Décorations plus modernes, mieux réparties et permettant une économie de 110 000€ », précise l’adjoint au commerce.

Un ange musicien, des sapins 3D en leds et quelques touches de couleurs pour remplacer les deux nuances de blanc. Voilà pour les nouveautés des illuminations de fin d’année à Reims. « Nous voulions une certaine forme de modernité, d’unité et de cohérence. En clair, on souhaitait faire mieux avec moins d’argent » , explique Charles Germain, adjoint au maire en charge du commerce. Le pari est-il réussi ? « Nous sommes assez fiers de ce qui a été fait mais ce sera aux Rémois de juger. »

L’installation des décorations a déjà débuté et va durer un mois environ. « La mise en lumière sera faite, par le maire, lors du lancement du marché de Noël, le 20 novembre » . Les illuminations fonctionneront de 16 h 30 à minuit, chaque jour jusqu’au 4 janvier. Quant à la facture électrique, « elle reste inchangée depuis quelques années. Beaucoup de progrès ont été faits dans ce domaine. Cela devrait encore coûter à la collectivité 6 500€. » Le budget consacré, cette année et pour les trois prochaines, a été revu à la baisse. « Nous consacrons 777 000€ ce qui n’est pas négligeable. On a décidé de se concentrer sur les lieux de vie et les lieux de commerce. » L’accent a été mis sur le centre-ville et les centres commerciaux dans les quartiers. Il y aura moins de grands sapins naturels. « Celui de la place d’Erlon reste évidemment mais ceux de la place de l’hôtel de ville seront remplacés par une structure 3D sous forme de sapin de Noël » , précise Charles Germain. On en verra aussi cours Langlet, place Saint-Thomas, rue du Temple… L’arbre de Noël, rue de Mars, près des Halles sera illuminé. Toute la décoration de la place d’Erlon a été revue autour de l’ange de la Fontaine Subé. Les candélabres de la rue Buirette seront décorés cette année. « Nous ajoutons des décorations rue Tronçon-du-Coudray, (NDLR : la rue de l’ancienne caserne des sapeurs-pompiers) afin d’amener les badauds jusqu’au parvis de la cathédrale où sera installé le marché de l’artisanat et de l’art. »

Pour assurer une certaine continuité, des guirlandes lumineuses vont être installées sur les arbres bordant les boulevards Foch et Leclerc, sur les Hautes-Promenades « avec deux portes d’entrées matérialisées pour la fête foraine ». Place Luton et place du Forum, un effort a été consenti : « La décoration était minimale cela donnait un côté inesthétique ». Les quartiers ne seront pas en reste : les candélabres seront décorés rue du Colonel-Fabien ainsi que rue Neufchâtel. « Nous avons aussi travaillé les entrées de ville » , des guirlandes lumineuses rappelleront la présence du marché de Noël sur cinq d’entre elles (route de Witry, avenue de Champagne, avenue Farman, avenue Nationale et avenue de Paris). Des secteurs ont été abandonnés : « Il est impossible que chaque rue soit illuminée. Chaque année, des dizaines de courriers parviennent à la mairie : des habitants souhaitant avoir une guirlande ou deux au pied de leur domicile. Le saupoudrage n’a aucun intérêt. Le plan d’illumination de la ville n’a de sens que s’il est réfléchi et cohérent », assure Charles Germain. Ainsi avenue Bonaparte, devant le centre social Billard, le sapin va être déplacé à hauteur du centre commercial. Les illuminations rue de Cernay -entre l’avenue Jaurès et à proximité de la place Jules-Ferry- sont supprimées, tout comme celles des rues des Créneaux, des Essillards, Solferino, ainsi que la place Mozart, « mais seulement pour cette année car elle est en travaux ».

L’Essentiel

Le contrat des illuminations de Noël est renégocié tous les 4 ans.

Il vient d’être signé. L’appel d’offres a été remporté par une société rémoise.

Un budget moindre. En cette période d’économies budgétaires des collectivités, le contrat a été revu à la baisse (- 11 %). Cette année, comme pour les trois années à venir, le budget de la Ville consacré aux illuminations sera tout de même de 777 000 €.

Expérimentation autour du square Colbert

« Les étudiants de l’école Saint-Exupéry nous ont proposé un système d’illumination créative sur le thème des fêtes de fin d’année » , explique Charles Germain. Il sera mis en place square Colbert, près de la patinoire. « Il s’agit d’une création artistique évolutive selon les passages des badauds et projetée sur les arbres. » La Ville n’exclut pas, si l’essai s’avère concluant, de renouveler l’expérience, « et pourquoi pas sur les façades de certains bâtiments emblématiques. »

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l’union 151020 d
À faire aujourd’hui : Fête du cinéma d’animation

 

 

Projection d’un court-métrage de Giulio Gianini pour les enfants à partir de 3 ans.

À 16 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre et gratuite.

 

 

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l’union 151020 c
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail ». Mercredi 28 octobre ; jeudi 29octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université de Reims, 57 rue Pierre Taittinger.

Programme détaillé www.conftool.net/aecse2015/s…

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l’union 151020 b
Ça fume et ça chauffe

Dimanche à 18 heures, une alarme incendie s’est déclenchée dans un appartement de l’avenue Bonaparte, au n º 9. De la fumée est apparue. Elle provenait d’aliments oubliés dans un four.

Ce même soir à 17 heures, un feu de cheminée s’est déclaré rue de la République à Beine-Nauroy.

Vers 22 heures, un compteur électrique a surchauffé rue de Brazzaville.

Une demi-heure plus tard, un tas de détritus a pris feu boulevard Wilson.

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l’union 151020 a
Justice : Sorti de prison, il y retourne déjà

Sorti de prison le 24 août 2015 après avoir fini de purger la dernière de ses 24 condamnations, Sophiane Marmouche, 27 ans, n’aura pas profité longtemps de la liberté retrouvée. Le 24 septembre, repéré par une patrouille alors qu’il fume un joint de cannabis place Dominique-Ingres, il repousse violemment les policiers pour s’enfuir. Rattrapé, il sort de sa chaussette un morceau de résine de cannabis qu’il tente d’avaler, mais les policiers réussissent à lui faire cracher le morceau.

Incarcéré depuis son arrestation, le jeune homme a comparu hier au tribunal. Il a nié la rébellion, sans convaincre les juges qui l’ont condamné à huit mois de prison dont quatre mois ferme, auxquels s’ajoute la révocation d’un sursis de six mois. Il a été maintenu en détention pour purger ses dix mois ferme.

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l’union 151019 a
Les voitures flambent

Trois feux de voiture ont mobilisé les pompiers, dans la nuit de samedi à dimanche. C’est d’abord à Cernay-lès-Reims, vers 1 h 30, qu’ils ont dû prendre en charge un véhicule totalement embrasé sur la RD980 vers Berru. Il s’agit d’un véhicule de marque Peugeot qui s’est avéré avoir été volé samedi soir… à Cernay.

À 2 h 30, direction la rue de la Bonne-Femme, à Reims, où une Peugeot 205 était la proie des flammes. Une Citroën C5 a subi quelques dégâts dans cet incendie.

Enfin, peu avant 8 heures, dimanche matin, c’est rue des Savoyards, toujours à Reims, qu’une voiture est partie en fumée. D’après les constatations, l’origine de ce dernier sinistre serait accidentelle.

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l’union 151018 b
Gros mots à la carte

Mercredi en début de soirée, les policiers ont débarqué en nombre dans le quartier Croix-Rouge pour procéder à des contrôles sur réquisition du procureur de la République. Leur présence a visiblement déplu à un adolescent de 17 ans qui l’a fait savoir avec force insultes.

Interpellé, le garnement détenait deux cartes Lycéo établies au nom d’élèves d’Arago. Il a déclaré les avoir trouvées dans le quartier. Les cartes ne sont pas ressorties volées. Après vérification, elles sont même périmées car leurs titulaires ne sont plus scolarisés au lycée.

Les poursuites pour vol ou recel des deux documents ont été abandonnées. En revanche, le jeune homme est convoqué devant le juge des enfants pour les outrages.

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l’union 151018 a
Association : Rentrée en flèche pour les archers affiliés à l’Ufolep

Des archers venus des quatre coins de la Marne.
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Les associations de tir à l’arc de loisir affiliées à l’Ufolep se sont réunies au siège de la fédération. Elles prévoient 13 concours pour la saison.

Ils viennent des quatre coins de la Marne, mais aussi des Ardennes et de la Meuse. Ce sont les clubs partageant la passion du tir à l’arc de loisir Ufolep 51. Et c’est au siège rémois de la fédération que les responsables de ces associations se sont réunis récemment.

À cette occasion, un bilan fort positif de la saison écoulée a été établi : 11 concours organisés ont été très fréquentés, des temps de formation départementale ont pu être dévolus aux initiateurs et aux arbitres ; à signaler aussi la participation d’une délégation marnaise au rassemblement national.

Ça, c’était pour le passé. Concernant l’avenir, et comme toujours, les clubs ont pu définir leur projet commun pour la saison nouvelle : celui-ci prévoit l’organisation de 13 concours tant en intérieur qu’extérieurs à destination des archers ainsi que la participation aux rassemblements nationaux Ufolep 2016.

Par ailleurs les archers recrutent. Quel que soit votre âge, si vous souhaitez pratiquer ce sport qui allie la précision, la rapidité, la beauté et la pureté du geste technique, dans un esprit vraiment convivial, retrouvez les coordonnées de ces clubs sur http://www.ufolep51.org.

Contact : Ufolep Marne, 23 rue Alphonse-Daudet à Reims, tél. 03 26 84 32 26.
Courriel : ufolep51@wanadoo.fr.

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l’union 151017 d
Solidarité : Les étudiants soucieux des réfugiés De notre correspondant Jérémy Denieulle

Des étudiants ont donné des produits pour bébés et des vêtements, entre autres.
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Jeudi, entre 10 et 16 heures, a été organisée une collecte solidaire pour les migrants. Lancée par l’Union nationale des étudiants de France (Unef) de Reims au campus Croix-Rouge, cette opération a permis de récupérer, sur la base du don, des vêtements, jouets, produits de soins pour bébé et autres fournitures pour les réfugiés qui, fuyant la pauvreté et la guerre, viennent chercher asile en France.

Dons pour le Centre d’accueil des demandeurs d’asile

Face à des hommes et des femmes qui vont obtenir une aide minimale, il semblait primordial aux étudiants de l’Unef d’apporter leur aide. Les dons ont été plus nombreux que ce qui était attendu. Simon Mouze, étudiant en troisième année de droit et président de l’Unef Reims, s’est félicité du résultat : « Cela prouve que les jeunes, contrairement à ce que l’on peut entendre, font preuve de solidarité et s’organisent pour aider les plus démunis. » L’intégralité de la Récup’ solidaire sera confiée au Centre d’accueil des demandeurs d’asile, en vertu d’un partenariat noué pour l’occasion.

Une autre association, Emmaüs cette fois, a amené l’Unef à organiser conjointement une bourse aux livres dont les bénéfices ont été intégralement reversés à l’association qui héberge et accompagne des personnes en difficultés, qu’elles soient françaises ou étrangères.

Simon, heureux de la mobilisation des étudiants, estime cependant que le nombre de 50 réfugiés accueillis à Reims ces prochaines semaines est faible. Il considère que la collectivité aurait les moyens de faire davantage.

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l’union 151017 c
Rendez-vous

Stage de formation générale BAFA, du 24 au 31 octobre proposé par Les Francas, 29 rue Pierre-Taittinger. Renseignements au 03 26 85 55 18.

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l’union 151017 b
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le Genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail ». Mercredi 28 octobre ; jeudi 29 octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix Rouge de l’Université, 57 rue Taittinger.

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l’union 151017 a
Haltérophilie : Coupe de France des clubs à Reims

Le calendrier haltérophile propose une nouvelle compétition en ce début de saison : la Coupe de France des clubs seniors mixtes. Le Reims HM se charge d’accueillir les équipes de Lorraine, Alsace et Champagne au gymnase François-Legros cet après-midi. Pour rester maître chez lui, le RHM sera le seul club à aligner trois formations. Au premier plateau (dès 14 heures), les deux équipes réserves donneront le ton. À 15 heures, pour le second plateau, Reims (1) sera opposé à l’ASPTT Strasbourg, l’US Wittenheim et Langres. Le club haut-marnais alignera son junior Brandon Vautard, récent médaillé européen chez les 77 kg.

Côté RHM, de retour à la compétition, Romain Dijoux sera épaulé de Ludwig Colombo, Allan Poiret n plus des deux féminines obligatoires, Kimberley Poiret et Nelle Loll. Les résultats seront compilés au plan national et les neuf meilleures équipes disputeront la finale à Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) le 21 novembre.

Ce soir, les récompenses seront remises par Bénédicte Le Panse, multiple championne de France et médaillée à l’international.

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l’union 151016 c
Sécurité : Une opération antidrogue menée par la police et la douane

Les contrôles ont eu lieu rond-point de la chaufferie, puis avenue François-Mauriac.
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Il y avait beaucoup de bleu au rond-point de la chaufferie hier après-midi. De 15 heures à 15 h 45, quatre douaniers de la brigade de Reims et douze policiers de la direction départementale de la sécurité publique ont procédé à une opération conjointe de lutte contre les stupéfiants. Ils ont contrôlé de nombreux véhicules et procédé à des fouilles avec le chien antidrogue du commissariat de Reims (ce qui ne fut pas sans provoquer un gros embouteillage avenue du Maréchal-Juin).

« Nous avons choisi cet endroit car il s’agit d’un axe d’entrée sur l’agglomération rémoise, pas des moindres, mais aussi parce qu’il se trouve à proximité des quartiers Croix-Rouge et Wilson tous deux classés zone de sécurité prioritaire » , explique un officier de police. L’opération a d’ailleurs été reconduite de 16 heures à 16 h 45 avenue François-Mauriac à Croix-Rouge.

« Chacun reste sur son domaine de compétence. Nous contrôlons les papiers du conducteur et après, ce sont nos collègues de la douane qui prennent le relais. Leurs pouvoirs sont plus larges que les nôtres car ils ont le droit, en toutes circonstances, de fouiller les véhicules, et même de les démonter s’ils estiment que c’est nécessaire. »

L’opération était menée sur réquisition du procureur de la République, ce qui permettait aux policiers de participer aux fouilles et d’effectuer des dépistages systématiques d’usage de stupéfiants.

Aucune infraction à la législation sur les stupéfiants n’a été constatée. Seuls quelques automobilistes ont été verbalisés pour des contraventions routières.

Hier, le but était de se montrer. Au quotidien, des effectifs bien plus discrets patrouillent pour surprendre les acteurs du trafic de stups.

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l’union 151016 b
AUJOURD’HUI

La bénévole de l’association « Je vous écris ces quelques lignes » est présente de 14 à 16 heures pour aider le public à écrire des courriers ainsi qu’à remplir des dossiers.

Service gratuit.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar.

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l’union 151016 a
Petits incendies

Le dysfonctionnement d’un poêle a enfumé le salon d’une maison de Champigny, mercredi à 21 heures rue de l’Isle.

Un feu de poubelle s’est déclaré à la même heure place Georges-Braque à Reims. Toujours mercredi, à 15 heures, des végétaux ont pris feu à l’arrêt du tramway Robert-Debré.

Hier vers 2 heures, des papiers ont brûlé dans les sous-sols du 4, rue du Mont-Cornillet.

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l’union 151015 c
Famille : Comment occuper les enfants pendant les congés d’automne Antoine Pardessus

Par rapport à l’an dernier, la Ville a multiplié les centres de loisirs dans différents quartiers.
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La Ville de Reims ainsi que diverses autres structures organisent des activités pour ces petites vacances scolaires.

Comment occuper les enfants pendant ces vacances de la Toussaint ? Plusieurs structures, dont la Ville de Reims, apportent des réponses.

1 Reims Activités Vacances

La Ville déploie un dispositif nouveau par rapport à la Toussaint 2014. Principales différences : la tranche d’âge 12-17 ans a droit elle aussi à des activités (lire par ailleurs), et le ramassage par bus est supprimé. « Il n’y avait pas forcément une demande des parents pour ce transport d’après un sondage que nous avons fait » justifie l’adjointe à la famille Kim Duntze. Par ailleurs le nombre des lieux d’accueil s’est multiplié : on est passé de 2 à 6, ce qui fait que ce ramassage ne présente plus le même intérêt.

Pour les 3 à 6 ans, l’enfant est accueilli au centre de loisirs Martin-Peller dans l’école du 14 rue Passe-Demoiselles. C’est un accueil à la journée, de 8 à 18 heures, les familles peuvent déposer leurs enfants entre 8 et 9 heures et venir les rechercher entre 17 et 18 heures.

Pour les 7 à 11 ans, les conditions d’accueil sont les mêmes, ce sont les lieux qui changent : il y en a 5 en tout, les écoles Joliot-Curie pour Croix-Rouge ; Adriatique pour Europe ; Clairmarais pour le quartier de ce nom ; Ruisselet (Saint-Remi) ; Charpentier (Orgeval-Neufchâtel).

Pour ces deux tranches d’âge, les tarifs sont fonction du quotient familial, et varient, pour la journée complète, déjeuner inclus, entre 8,85 et 16,35€. Ces tarifs s’appliquent aux Rémois. Pour les autres, c’est tarif unique à 17,97€. À noter que les enfants allergiques qui apportent leur repas de midi se voient facturer 4,96€ de moins. Les inscriptions sont déjà closes pour la première semaine de vacances ; pour la deuxième, elles seront prises jusqu’au mercredi 21 octobre à 17 heures. Contact : 0 800 506 956, téléphone gratuit depuis un poste fixe.

2 Natation

Les vacances peuvent être l’occasion d’apprendre à nager. C’est ce que propose la direction des sports pour les 6 ans et plus. Les inscriptions s’effectuent sur place dans la piscine de votre choix. Les tarifs sont fonction du nombre de cours par semaine : 5 cours, pour les Rémois 30 €, pour les non-Rémois 50 €. Pour 4 cours, ces tarifs deviennent respectivement 24 et 40 euros.

3 Au musée des Beaux-Arts

Jumelant vacances scolaires et semaine Bleue dédiée aux personnes âgées, le musée des Beaux-Arts propose une visite libre de ses collections pour les seniors accompagnés de leurs petits-enfants, avec un livret jeu d’accompagnement. En outre le lundi 19 octobre, à 14h30 le musée organise une animation un peu plus structurée, pour 15 personnes.

Le jeudi 22, à 14 h 30, c’est une séance de contes de trois quarts d’heure pour 25 personnes qui est programmée, sur le thème d’Apollon, Pan et autre dieux (pour grands-parents et petits-enfants à partir de 9 ans). Pour ceux qui préfèrent une visite en famille, des livrets sont disponibles à l’accueil.

4 Échecs

L’association Reims Échec et mat organise dans ses murs du 32 rue Ledru-Rollin des stages de son jeu (initiation et perfectionnement) pour les jeunes. Les tarifs vont de 15€ pour 1 jour, à 40€ pour 4 jours. Rendez-vous du lundi 19 au jeudi 22 octobre, de 14 à 17 heures. Inscriptions sur place en début de séance. Contact : 03 26 07 17 07.

5 Patinage

Le club du Reims Patinage de vitesse propose lui aussi des essais de son sport à la patinoire Jacques-Barot (Croix-rouge) de 18 à 19 heures : les lundis 19 et 26 octobre, mercredis 21 et 28 octobre et vendredis 23 et 30 octobre . C’est gratuit et ce n’est pas réservé aux enfant. Contact : 06 83 17 34 90 ou 03 26 02 25 45.

6 Cirque

Et dans un autre genre d’acrobaties, l’école de cirque Supercrampe propose un stage de découverte et initiation pour les 5-7 ans et 8-11 ans du 19 au 30 octobre. Renseignements au 2, rue Clovis-Chézel, au 03 26 86 05 72.

7 Dans l’espace

N’oublions pas le planétarium ouvert tous les jours du 17 au 31 octobre sauf le dimanche 1 er novembre avec plusieurs séances et des programmes différents. Réservation conseillée au 03 26 35 34 70.

Quelque chose aussi pour les 12-17 ans

Une des nouveautés marquantes dans les activités de vacances organisées par la Ville de Reims, c’est que la tranche d’âge au-delà de 12 ans est elle aussi concernée. « Nous nous sommes aperçu que les parents souhaitaient aussi quelque chose pour les enfants plus grands », explique l’adjointe à la famille Kim Duntze, quelque chose qui soit à la fois structuré et attractif pour cette tranche d’âge.

Nous avons donc repris le dispositif qui a été mis en place l’an dernier pour les 12-17 ans les mercredis après-midi. Un dispositif où les jeunes sont acteurs de leurs vacances : ils peuvent organiser des sorties, au Laser game par exemple, mais ce sont eux qui gèrent leur budget, les transports etc. avec l’aide d’animateurs qui les encadrent quand même. »

Les conditions sont les suivantes : les enfants sont accueillis en un lieu unique, le Moulin-Huon, au 54 rue Albert-Thomas. Accueil de 13 à 18 heures, en accès libre (les enfants peuvent arriver et repartir à leur convenance sous réserve de l’autorisation parentale). Pour le moment, ce dispositif est réservé aux Rémois, pour des raisons d’ordre juridique. Tarif : 6 € par mois La première journée est gratuite.

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l’union 151015 b
Feu dans la cave, panne dans les étages

Hier vers 10 h 30, un incendie d’origine électrique s’est déclaré dans les caves d’un immeuble de l’allée des Bourguignons, au nº 6. Il a été rapidement éteint mais l’incident a privé de courant les locataires, le temps de la réparation par ErDF.

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l’union 151015 a
Un appartement enfumé par le dîner

Mardi soir, vers 22 h 30, de la fumée s’est échappée d’un appartement de la rue Jeanne-Jugan, au nº10. Le logement était vide. À l’intérieur, les pompiers ont découvert des aliments oubliés sur une plaque électrique en fonctionnement.

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l’union 151014 f
Le mercredi, c’est permis : Spectacles, collage et slam

La fée sans ailes, un spectacle rempli d’humour et de poésie.
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1 La fée sans ailes

Conte acrobatique à partir de 3 ans ce mercredi 14 octobre à 16 heures. Lors d’un grand bal, la fée Iria perd ses ailes dans un orage et se blesse la jambe. Recueillie par deux étranges habitants des sous-bois, elle va devoir réapprendre à marcher tout en rêvant de voler à nouveau… Un spectacle rempli d’humour et de poésie qui stimule l’imaginaire des tout-petits. Tarif jeune public : 4 € adultes et enfants à l’Escal de Witry-lès-Reims. Plus d’information et réservation : tél. 03 26 07 86 48 ou sur le site www.escal-witry.fr

2 Au pays des marionnettes à doigts

Spectacle interactif par le Théâtre Zapik et la Maison des enfants et de l’art (Hiša otrok in umetnosti – Slovénie) à partir de 3 ans. Au Centre Culturel, Centre de Créations pour l’Enfance de Tinqueux à 14 h 30. Tarifs : gratuit pour les adhérents, 5€ pour non adhérents. Tél. 03 26 08 13 26.

3 Chimères et Mutants

Découverte de la technique de composition d’images de Jean Lecointre dans cet atelier de collage en photomontage. A 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis-Debar à Reims. Gratuit. À partir de 8 ans. Durée 2 heures. Sur inscription au 03 26 35 68 51. www.bm-reims.fr/

4 Atelier flip book

Atelier animé par l’artiste illustrateur bruxellois Aliouch Conchin, pour apprendre les bases de l’animation image par image. De 15 h 30 à 17 h 30 à la médiathèque de Bétheny. Gratuit (sur inscription). À partir de 8 ans. Site : www.lacliquebetheny.blogspot.fr

5 La toute petite fabrique de vers à soi

Initiation au slam à 16 heures à la bibliothèque Carnegie, 2, place Carnegie à Reims. Gratuit. De 7 à 12 ans. Tél. 06 63 85 50 67.

Site : www.slamtribu.com

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l’union 151014 e
BIBLIOBUS URBAIN

La compagnie Forget me note airlines propose une escale aux pays des polyphonies le mardi 20 octobre à 14 h 30 à l’arrêt Billard et à 16 h 30 à l’arrêt Lézardière ainsi que le mercredi 21 : 11 heures, arrêt Verrerie ; 14 h 30, Épinettes et 16 h 30, Dauphinot.

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l’union 151014 d
LOISIRS

Stage de formation générale BAFA du 24 au 31 octobre proposé par Les Francas, 29, rue Pierre-Taittinger.

Renseignements au 03 26 85 55 18.

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l’union 151014 c
Sports

Football féminin à Croix-Rouge : L’association sportive Reims Sires football va recevoir le label « école de foot féminine », vendredi 16 octobre à 18 h 30, au complexe sportif Géo-André, rue François-Mauriac.

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l’union 151014 b
TENNIS : Sarah Leroy oubliée du classement

Mutée de Géo-André Reims, Sarah Leroy (3/6, Guignicourt) n’apparaissait pas dans le nouveau classement transmis par la Ligue de Picardie, publié hier. Or, son référencement en fait la meilleure joueuse de l’Aisne avec Camille Kleiber (3/6, Guignicourt).

Par ailleurs, le chiffre de 2 887 licenciés du Comité de l’Aisne est une statistique à l’instant T, alors que la nouvelle saison vient tout juste de commencer.

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l’union 151014 a
Faits divers : Armé d’une massette, il tente de frapper la tête du policier Fabrice Curlier

L’agression s’est produite lors d’une banale intervention pour un tapage nocturne. Illustration
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Violent multirécidiviste, un Rémois armé d’une massette a visé la tête d’un policier qui a esquivé le coup finalement reçu aux côtes. Deux ans ferme.

Quand on part sur une intervention, on ne sait jamais ce qu’on va trouver derrière » , ont coutume de dire les policiers. Illustration ce week-end à Reims, avec un banal tapage nocturne qui aurait pu se terminer « a minima par un traumatisme crânien, au pire par la mort » , résume un magistrat du parquet.

Dimanche à 4 heures du matin, excédé par une forte musique dans un appartement de l’allée des Coquilles à Croix-Rouge, le voisinage appelle la police. Trois agents sonnent à la porte. Une femme leur ouvre, un verre à la main. Elle est complètement saoule. Même pas le temps de la raisonner qu’elle insulte copieusement les policiers. Ils décident de l’interpeller. Rébellion sur le palier.

Douze condamnations, dont une pour braquage

À cet instant apparaît le locataire de l’appartement, Calixte Sautron, 52 ans. Il voit les uniformes, referme la porte, ressort quelques instants plus tard avec une massette à la main pendant que la patrouille se débat avec la jeune femme qui tente d’asséner coups de tête et coups de poing. L’homme lève le bras, ajuste la tête d’un policier et abat sa massette « de haut en bas » .

Alerté in extremis par un collègue, le fonctionnaire a le juste temps de s’écarter. L’outil frôle son visage et le heurte au niveau des côtes flottantes : hématome de plusieurs centimètres de diamètre, deux jours d’incapacité totale de travail alors que l’uniforme a amorti le choc.

Calixte Sautron retourne s’enfermer chez lui. Il n’est pas encore 6 heures, impossible d’entrer dans son domicile. Du balcon, il couvre d’injures les trois policiers qui repartent avec son amie. Même pas besoin de revenir après l’heure légale pour l’interpeller. À 5 h 40, il se présente au commissariat pour prendre des nouvelles de sa copine… Direction le local des gardes à vue.

Au terme des auditions, la jeune femme est relâchée avec une convocation au tribunal le 16 janvier tandis que Calixte Sautron est déféré à l’audience des comparutions immédiates. Son casier judiciaire est désastreux : douze condamnations, la plupart pour des violences. Figure également une peine de sept ans de réclusion criminelle infligée en 1993 par la cour d’assises de la Marne pour un vol à main armée.

Sa personnalité finit d’assombrir le tableau. Au RSA, il reconnaît consommer « un litre et demi de bière et trois ou quatre joints par jour » . Sans compter les alcools forts les soirs de fête (vodka ce week-end).

« Je me suis défendu [NDLR : avec la massette] car les policiers voulaient rentrer en force chez moi avec une matraque » , explique-t-il devant des juges incrédules.

Deux ans ferme, incarcération immédiate.

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l’union 151013 b
Faits divers : Un passant roué de coups par une bande à l’arrêt du tramway Fabrice Curlier

L’agression s’est déroulée au niveau de station de tramway Arago à Croix-Rouge.
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Pour avoir réagi à des insultes visant sa fiancée, un homme s’est fait tabasser par une dizaine d’individus. L’unique suspect interpellé a pris un an ferme.

Se rendre dans un quartier pour suivre une formation et en repartir dans l’ambulance des pompiers, le visage en sang, est la déplorable mésaventure vécue la semaine dernière à Croix-Rouge par un Rémois de 28 ans domicilié aux Épinettes.

Il est 17 heures, mercredi. Son cours terminé, l’homme retrouve sa fiancée avenue Bonaparte. Alors qu’il rejoint la station de tramway Arago, le couple passe devant un groupe de six jeunes gens. L’un d’eux adresse un bonjour à la demoiselle qui ne répond pas. Elle se fait alors traiter de « p… » . Son conjoint s’offusque en demandant des explications. L’individu s’énerve, l’insulte à son tour, puis le frappe de deux coups de casque au visage. Effrayé, le couple s’éloigne. L’homme est alors rattrapé par une dizaine d’individus qui lui tombent dessus à coups de pied, coups de poing et coups de casque.

Policiers nargués

Le plaignant s’écroule. Il est à terre lorsqu’un des agresseurs le frappe sur la tête, à trois reprises, avec une canette de bière. Un complice récupère la bouteille qu’il fracasse violemment au sol, près du visage de la victime, pour l’atteindre avec les éclats de verre. C’est à cet instant qu’arrive une patrouille de police. Le groupe détale. Un agresseur monté à scooter nargue les policiers en leur faisant comprendre par gestes qu’ils ne l’arrêteront pas. De fait, il parvient à s’échapper, comme le reste des fuyards. À l’exception d’un seul.

Avant d’être évacué vers l’hôpital avec des blessures au visage, au crâne, aux cervicales (cinq jours d’incapacité totale de travail), le plaignant a pu désigner Wasim Bezaze, 18 ans, comme étant l’un des agresseurs. Ce serait même lui qui l’aurait frappé à trois reprises sur la tête avec la canette de bière.

L’interpellation du suspect a suivi. S’il reconnaît sa présence avenue Bonaparte, le jeune homme déjà condamné à deux reprises pour des violences – et sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une affaire à l’instruction – a contesté toute participation au passage à tabac : il était seulement là pour prendre le tramway. Il a pris la fuite, c’est vrai, mais de peur en voyant les policiers sauter les barrières pour courser les agresseurs qui se trouvaient près de lui.

Interdiction de séjour

Ses dénégations n’ont pas convaincu le tribunal. Reconnu coupable de « violences aggravées en récidive » lors de son procès en comparution immédiate, Wasim Bezaze a écopé d’un an de prison ferme. Il a été écroué. Les juges ont également prononcé une interdiction de séjour à Reims d’une durée de 18 mois à compter de sa fin de détention, mesure que le parquet avait réclamée avec force en évoquant cette minorité de personnes qui pourrit le quotidien de tous les autres habitants : « Il faut sortir ces gens-là du quartier pour que le calme revienne peut-être un jour à Croix-Rouge » .

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l’union 151013 a
TENNIS CLASSEMENT 2016

AISNE

DAMES

3/6 : Camille Kleiber (Guignicourt). 5/6 : Cécile Grandjean (Vivaise). 15 : Elsa Commelin (Guise), Léna Ladjmi (Villeneuve-Saint-Germain), Floriane Villemur (Villers-Cotterêts).

MESSIEURS

0 : Vincent Lévêque (Guignicourt). 2/6 : Thomas Naert (Viry-Noureuil). 3/6 : Alexandre Leduc (Guignicourt), Jordy Pellis (Château-Thierry). 4/6 : Clément Chauvin (Villeneuve-Saint-Germain), Xavier Mitouart (Vivaise), Alexis Soupizon (Villeneuve-Saint-Germain). 5/6 : Mehdi Bichri (Chauny), Nabil Chakib (Chauny), Geoffray Brunaux (Bucy-le-Long), Stéphane Colosio (Tergnier), Jordan Couvercelle (Boué), Matthieu Lautout (Viry-Noureuil), Mathieu Saphores-Gauvin (Viry-Noureuil), Mathieu Vignon (Viry-Noureuil). 15 : Valentin Brunet (Viry-Noureuil), Alexandre Carpentier (Gauchy), Sébastien Cornet (Vervins), Alexandre Deruère (Montescourt), Jean-Baptiste Fossier (Gauchy), Christophe Lefebvre (Viry-Noureuil), Baptiste Mouton (Soissons), Pierre-Adrien Mouton (Soissons), Julien Simphal (Vivaise), Enzo Vidal (Villeneuve-Saint-Germain).

ARDENNES

DAMES

3/6 : Jackie Lassaux (Sedan). 5/6 : Laëtitia Tordo (Villers-Semeuse).

MESSIEURS

2/6 : Adrien Dupuis (La Macérienne). 4/6 : Corentin Bonna (Sedan), Valentin Godart (Sedan), Quentin Munier (Vrigne-aux-Bois). 5/6 : Jonathan Dalnoki (La Macérienne), Christophe Leroy (Villers-Semeuse). 15 : Quentin Brice (Givet), Mathieu Tisserand (Poix-Terron), Damien Sokolowski (Chooz).

MARNE

DAMES

N° 1 : Lucie Safarova (Cormontreuil). N° 4 : Lucie Hradecka (Cormontreuil). N° 5 : Denisa Allertova (Cormontreuil), Klara Koukalova Zakopalova (Cormontreuil). N° 6 : Kristina Pliskova (Cormontreuil). N° 11 : Ekaterina Bychkova (Cormontreuil), Teresa Martincova (Cormontreuil). N° 23 : Vesna Dolonc (Cormontreuil). N° 25 : Youlia Fedossova (Cormontreuil). N° 35 : Eva Birnerova (Cormontreuil). N° 46 : Maria Joao Koehler (Cormontreuil). –15 : Anja Prislan (Reims Europe), Cindy Castille (Cormontreuil). –4/6 : Marie Ménacer (Reims Europe), Chantelle Rigozzi (Reims Europe). 0 : Claire Makhloufi (Cormontreuil). 1/6 : Noémie Bellott (Géo-André Reims), Mickaela Pastikova (Cormontreuil), Mélanie Roy (Cormontreuil). 2/6 : Victoire Delattre (Reims Europe), Clémence Krug (Reims Europe), Charline Braidy (Cormontreuil). 3/6 : Margot Crémont (Reims Europe), Nathalie Mohn (Reims Europe), Maéva Spooner (Géo-André Reims), Ienka Nemeckova (Cormontreuil), Élise Renard (Cormontreuil). 4/6 : Mathilde Sarcelet (Sainte-Ménehould), Lisa-Marie Habert (Reims Europe), Amélie Zarev (Reims Europe), Caroline Girard (Géo-André Reims), Manon Hermans (Cormontreuil), Leanna Clauss (Saint-Memmie). 5/6 : Ketty Koniushok (Côte des Blancs), Flora Calcagno (Montmirail), Émilie Gaillot (Reims Europe), Mathilde Jacquin (Cormontreuil). 15 : Charlotte Bécret (Union Rémoise), Stéphanie Robinet (Union Rémoise), Juliette Clément (Reims Europe), Muriel Lègue (Reims Europe), Marine Groulez (Cormontreuil), Amélie Charpentier (Bétheny).

MESSIEURS

–4/6 : Constant De La Bassetière (Cormontreuil). 0 : Thibaut Visy (Cormontreuil). 1/6 : Arnaud Lalouette (Vitry-le-François), Abdoul-Karim Ali (Montmirail), Nicolas Jonasz (Montmirail), Camill Salomon (Cormontreuil). 2/6 : Pascal Bonnet (Cheminots Reims), Jean-Charles Robert (Cormontreuil), Manuel Soumet (Cormontreuil). 3/6 : Bastien Jeanrat (Vitry-le-François), Gabriel Andruejol (Europe Reims), Nicolas Birot (Europe Reims), Florent Seuret (Europe Reims), Louis Compas (Géo-André Reims), Charles Gilles (Géo-André Reims), Thibault Deglave (Cormontreuil), Sébastien Jolly (Cormontreuil), Corentin Fazilleau (Saint-Memmie). 4/6 : Julien Lacaille (La Muire), Germain André (Épernay), Brice Bonnerave (Vitry-le-François), Tony Triquenot (Montmirail), Quentin Chauvin (Europe Reims), Alexandre Gajanovic (Europe Reims), Simon Pierre (Europe Reims), Cyril Pusset (Cormontreuil), Benjamin Lévêque (Saint-Memmie), Vincent Pacanowski (Bezannes). 5/6 : Issey Chaudré (Union Rémoise), Gautier Jeanrat (Vitry-le-François), Victorien Boulard (Montmirail), Sébastien Doffemont (Montmirail), Maël Mercier-Huat (Dormans), Diary Ramanitra (Dormans), Thomas Delarme (Cheminots Reims), Sébastien Choiselat (Europe Reims), Mikolaj Woynar (Europe Reims), Julien Bertaux (Géo-André Reims), Théo Dulière (Géo-André Reims), Cédric Leroy (Géo-André Reims), Amaury Bylicki (Cormontreuil), Omar Charai (Cormontreuil), Florian Collot (Cormontreuil), Maxime Dubouch (Cormontreuil), Alban Lalouette (Cormontreuil), Noa Lopes (Cormontreuil), Clément Milinaire (Cormontreuil), Jérémy Solliveras (Sillery), Bastien Villenet (Taissy), Guillaume Durant (Bétheny), Mathieu Lalire (Saint-Memmie), Christophe Masson (Saint-Memmie). 15 : Jérôme Maltot (Union Rémoise), Mathis Amier (Épernay), Pierre Martens (Épernay), Cédric Mouton (ASPTT Châlons), Eliot Roussel (Vitry-le-François), Sébastien Joly (Côte des Blancs), Arthur Assailly (Montmirail), Thomas Delaballe (Montmirail), Sébastien Zymek (Suippes), Baptiste Breton (Europe Reims), Thomas Champs (Géo-André Reims), Thierry Duval (Géo-André Reims), Jules Latour (Géo-André Reims), Jean-Luc Nguyen (Géo-André Reims), Sébastien Paillard (Géo-André Reims), Amaury Raynel (Géo-André Reims), Léo Samyn (Géo-André Reims), Alexandre Blossier (Cormontreuil), Laurent Cailleux (Cormontreuil), David Collot (Cormontreuil), Pierre-Édouard Dumont (Cormontreuil), Julien Ortonovi (Cormontreuil), Antoine Vicaire (Cormontreuil), Cédric Vicaire (Cormontreuil), Nicolas Phamtan (Courtisols), Louis Peurichard (Taissy), Fabrice Martin (Saint-Martin-sur-le-Pré), Nicolas Wauthier (Bétheny), Lucas Henry (Aÿ), Bastien Clauss (Saint-Memmie), Pierre Goujon (Bezannes).

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l’union 151012 c
D’ERLON EN LARGE

Voilà le mystère du cercle lumineux au-dessus de Reims élucidé ! Nous vous en parlions, dans notre édition de samedi, un riverain du cimetière de l’ouest avait observé, en pleine nuit, une tâche circulaire balayant le ciel, au-dessus de Croix-Rouge… Si la présence d’un ovni avait été vite écartée, impossible de dire pour autant d’où provenait le laser fautif. Un fidèle lecteur, et ami du journal, vient de nous apporter la clé de l’énigme. « Le coupable » n’est autre que le magasin But de Cormontreuil.

Vous voilà parfaitement informé !

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l’union 151012 b
Association : Capriciozo, l’école de musique qui s’adapte à tous les profils

Parmi les cours proposés par Capriciozo : l’apprentissage du violon.
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Ancien élève du conservatoire de musique de Tourcoing, diplômé de violon et de musique de chambre, Julien Hurlupé, musicien professionnel rémois, a décidé d’ouvrir une école de musique associative, baptisée Capriciozo.

« Nous voulons enseigner et développer différentes formes d’expression musicale : ateliers, pratique instrumentale individuelle et collective, éveil musical, musique de chambre… », explique-t-il.

Et ce dès le plus jeune âge. Ainsi les cours d’éveil musical sont-ils ouverts aux enfants à partir de 4 ans. « On démarre par une écoute active, ludique et pédagogique d’œuvres : Pierre et le Loup, Le Carnaval des animaux… On passe par la pratique de petites percussions, ainsi que des chansons et comptines… », indique Julien, qui intervient également en périscolaire dans des écoles de la ville de Reims.

Durée adaptée aux âges

Pour les plus grands, il y a aussi le solfège et l’étude du violon. « Apprendre à jouer de cet instrument ne peut être suivi d’effets que dans la durée. Mais, si certains souhaitent s’en tenir à un trimestre, pour voir s’ils y trouvent de l’intérêt, c’est possible. »

Les durées des cours sont également adaptées aux âges visés : une demi-heure pour les 4-6 ans. 45 minutes pour les 6-8 ans.

L’association envisage également d’organiser d’autres formes d’actions culturelles, autour de la musique : stages ou conférences, par exemple.

Les cours peuvent être individuels, collectifs, ou – pour ceux qui le souhaitent – à domicile.

Capriciozo : 19-23 rue Alphonse-Daudet. Renseignements au 06 31 87 79 34. http://capriciozo.blogspot.fr

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l’union 151012 a
Des feux de poubelles

Les pompiers sont intervenus, à 19 heures, rue Joseph-Haydn et à 2 h 40 allée Yves-Gandon.

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l’union 151011 a
Roller, la rentrée des adultes

L’équipe prête à rouler !
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Comme tous les ans en octobre, la section école de roller du Reims Roller Champagne Club ouvre ses portes aux patineurs débutants et confirmés les mercredis et jeudi soirs, au gymnase François-Legros pour des cours de perfectionnement qui dureront toute l’année. Encadrés par quatre moniteurs, ils seront préparés aux randonnées de la Ville de Reims et aux longues balades en famille le long de la Voie verte. Certains participeront aux courses régionales et aux 24 heures du Mans roller. Une équipe mixte y a d’ailleurs brillé cette année.

Il reste encore des places. Contact : roller-rrcc.fr ou 03.26.83.97.05. gilbert.lag@wanadoo.fr

 

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L’hebdo du vendredi- N° 410- 151010e
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 410 - Semaine du 09 au 15 octobre 2015

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Basket LF2 (2e j.) : Reims – Charnay : Une première à domicile délocalisée au gymnase Lapique

Alors que les joueuses du Reims Basket Féminin se sont inclinées à Dunkerque (68-64), elles tenteront, ce samedi 10 octobre (à 20 h 30), de décrocher à la maison leur premier succès de la saison.

Face à Charnay, également battue lors de la première journée de championnat, par Aulnoye

(62-67), les filles entraînées par Aurélie Lopez partiront logiquement favorites. Cependant, René Tys étant indisponible en raison de l’organisation du Championnat d’Europe universitaire de Judo, les Rémoises joueront dans une drôle d’ambiance leur premier match de la saison à domicile sur le parquet du gymnase Jean-Jacques Lapique (1, rue François Arago).

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l’union 151010 d
Association : Accès à la langue française

Les cinq animatrices sont des retraitées de l’Éducation nationale.
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L’association des Travailleurs maghrébins de France a mis en place un atelier alphabétisation, qui fonctionne tous les lundis et jeudis de 14 à 16 heures, au 7, rue Alain-Polliart (anciennement 6, allée des Picards).

« C’est une action gratuite qui permet à de nombreuses femmes d’origine étrangère d’acquérir progressivement les bases de la langue française » précise le président Mohamed El Haddaoui : « Cet atelier permet aux usagers de préparer le test de connaissance de la langue française et le diplôme initial de langue française (DILF) délivré par le ministère de l’Éducation nationale. » Les cinq animatrices de l’atelier sont des retraitées de l’Éducation nationale.

En accédant à la langue française (apprentissage et perfectionnement), les participantes brisent l’isolement et l’enfermement, ce qui facilite leur insertion sociale et professionnelle.

Contact : ATMF 03 26 36 68 43.

 

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l’union 151010 c
En image au-dessus de Reims

Un cercle lumineux dans les nuages
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Jeudi vers 2 heures du matin, un riverain du cimetière de l’ouest a observé un curieux phénomène lumineux sous les nuages, en direction de Croix-Rouge (sud-est). De couleur bleuâtre, une tache circulaire balayait le ciel selon une trajectoire en arc de cercle, en marquant chaque fois un arrêt avant de repartir dans l’autre sens. Le témoin a pris des photos.

Un OVNI ? Que nenni ! Il s’agit de l’impact d’un laser sur la couche nuageuse. Aucun faisceau n’était visible mais celui-ci n’apparaît que sous certaines conditions d’humidité de l’air. Mystère résolu, enfin presque… D’où venait le laser ? On l’ignorait hier. C’est un matériel principalement utilisé par les discothèques, mais il n’y en a aucune dans la direction indiquée par le témoin. Un magasin ?

 

 

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l’union 151010 b
Sortir : La patinoire Albert-1 er ouvre demain au grand public Antoine Pardessus

Depuis l’inauguration fin mai, seuls les clubs avaient eu accès à la patinoire. Archives Christian Lantenois
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Depuis l’inauguration, seuls les clubs avaient eu accès à la glace de la nouvelle patinoire. À partir de ce dimanche, le grand public le pourra aussi.

Amateurs de glisse, préparez vos patins : ce dimanche 11 octobre, la patinoire Albert-1 er , située sur le boulevard du même nom, ouvre ses portes au grand public. La fin d’une frustration de deux ans : depuis la fermeture du Nautilud de la chaussée Bocquaine en effet, en octobre 2013, les patineurs du dimanche n’avaient plus d’endroit où pratiquer leur loisir, si l’on excepte évidemment la petite surface temporaire présente le temps du village de Noël. L’autre « vraie » patinoire rémoise en effet, Jacques-Barrot, dans le quartier Croix-Rouge, n’est conçue que pour les clubs. Bref, ce dimanche sonne la fin du jeûne du patin. Les Rémois pourront s’en donner à cœur joie trois jours dans la semaine en dehors des vacances scolaires, et sept jours sur sept pendant ces mêmes vacances (lire par ailleurs).

Depuis l’inauguration officielle de cet équipement, fin mai, la glace n’était toutefois pas restée déserte, les clubs -et seulement eux- avaient pu y accéder, et ce pendant tout l’été, alors que le défunt Nautilud, lui, fermait habituellement à cette époque.

Généralement, ces clubs s’en étaient bien trouvés : « Cet été à Albert-1 er , la qualité de la glace n’était peut-être pas toujours au top, commente Ghislain Gass, président du club de patinage de vitesse, mais ça ne nous a pas trop gênés, on était même plutôt contents d’avoir de la glace à cette époque de l’année, ça n’est pas toujours le cas. »

« Nous, nous sommes venus à Albert-1 er au début du mois de septembre, confie Marie Lesch au nom des patineurs artistiques, quand Barrot a fermé pour des travaux ; et nous avons été ravis de ce nouvel outil de travail, situé dans un nouveau secteur pour nous, ce qui nous a permis de faire découvrir notre activité à une nouvelle population. »

Le président des hockeyeurs, Laurent Hutasse, lui, est un peu moins enthousiaste sur la qualité de cette patinoire de remplacement, déplorant notamment la mauvaise tenue des balustrades, qui font partie des outils indispensables aux matchs de ses ouailles, et donc il ne sera pas mécontent de réintégrer ses pénates habituels de Barrot à partir de la semaine prochaine. Pas sûr que les patineurs ordinaires, eux, aient les mêmes exigences.

À savoir

La patinoire Albert-1 er est située sur le boulevard du même nom.

Horaires d’ouverture hors vacances scolaires :
mercredi, de 14 h 30 à 17 h 30 ; samedi, de 14 h 30 à 18 h 30 ; dimanche, de 9 à 12 heures et de 14 h 30 à 18 h 30.

Horaires d’ouverture pendant les vacances scolaires :
du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 12 heures et de 14 h 30 à 17 h 30 ; samedi, de 14 h 30 à 18 h 30 ; dimanche de 9 à 12 heures et de 14 h 30 à 18 h 30.

Tarifs prévus :
Entrée adulte : 3,80¤.
Entrée moins de 18 ans : 3,20¤.
Location de patins : 2,50¤.
Affûtage de patins : 4 €
Anniversaire par enfant : 9 €.

Un tarif spécial pour l’anniversaire des enfants

Vous ne savez plus trop quoi inventer pour fêter l’anniversaire de votre progéniture avec ses petits camarades ? La patinoire Albert-1 er vous offre -comme le faisait le défunt Nautilud- une possibilité avec un tarif spécial de 9 euros par enfant. Certes, cela fait nettement plus que l’entrée normale pour un moins de 18 ans (3,20¤) mais pour ce prix-là vous aurez : les cartons d’invitation, l’entrée à la patinoire, la location des patins, des crosses de hockey à disposition, des luges également, un espace réservé sur la glace et un autre pour le goûter, et le chocolat chaud en prime.

Ce dispositif fonctionne uniquement les mercredis et les samedis, à 15 heures et à 17 heures. Contact pour les réservations : 03 26 79 66 02, ou à : c.guy@rems.fr.

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l’union 151010 a
Faits divers : Couteaux, revolver, pistolet et cannabis F.C.

La police continue de mener la vie dure au petit monde des stupéfiants du quartier Croix-Rouge. Lundi, requis dans une entrée d’immeuble du groupe Eisenhower pour des jeunes qui fument du cannabis, les policiers voient l’un d’eux s’enfuir à toutes jambes. Il est rattrapé, se débat, se retrouve plaqué à terre, ce qui le blesse et casse ses lunettes.

Lors de la fouille, Jalwin Okiemy, 18 ans, est trouvé porteur d’un pistolet à impulsions électriques, d’un couteau suisse, d’un couteau à steak et d’un véritable revolver chargé de quatre cartouches calibre 22 LR. Il détient également 23 grammes de résine de cannabis et une somme en liquide de 305 euros.

Relations dangereuses

Jugé en comparution immédiate, le jeune homme a contesté la rébellion. Le revolver lui aurait été remis par quelqu’un qui l’aurait volé la semaine précédente à un inconnu, le pistolet lui aurait été prêté par un copain. Reste les deux couteaux qu’il a sur lui pour se défendre, dit-il, après avoir été victime de plusieurs agressions pour lesquelles il n’a pas déposé plainte.

Détail gênant : la lame du couteau à steak porte des traces de cannabis, ce qui laisse supposer qu’il aurait servi à en découper pour préparer des barrettes. Condamné à un an de prison dont huit mois avec sursis et mise à l’épreuve, Jalwin Okiemy a été écroué pour purger ses quatre mois ferme.

Le couteau parle lui aussi

Toujours lundi, et toujours à Croix-Rouge, un jeune homme identifié comme étant un potentiel revendeur de cannabis s’est fait prendre rue Olympe-de-Gouges, lors d’une surveillance réalisée par la brigade anticriminalité et des enquêteurs de la brigade des stupéfiants. Il avait 240 euros dans les poches.

À son domicile de l’allée des Bourguignons, les policiers ont découvert 28 grammes de résine, une balance électronique et un couteau présentant également des traces de résine.

Lui aussi jugé en comparution immédiate, Bunyamin Avci, 24 ans, a contesté toute revente. Il s’est présenté comme un simple consommateur qui se fournissait auprès d’inconnus au groupe Eisenhower. Le tribunal l’a cependant condamné à six mois de prison, dont quatre ferme alourdis par une révocation de sursis de deux mois. Le jugement rendu, il a été conduit à la maison d’arrêt.

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l’union 151009 d
Faits divers : Un nouveau citoyen volontaire pour Croix-Rouge M.L.

Lundi, lors de l’intronisation de Jean-Luc Bertrand. Remi Wafflart
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Citoyen volontaire ?
« Des gens de bonne volonté, qui habitent dans les quartiers, veulent s’impliquer et jouer un rôle de médiateur » , définissait en février, au début de la campagne de recrutement, le chef d’état-major de la DDSP51, Roger Camps. Précisons que le citoyen volontaire, concept né en 2006, est également bénévole et non armé. En clair : le policier frustré pressé de jouer au cow-boy n’est pas franchement le profil recherché.
Ses missions ?
Incivilités, conflit de voisinage et prévention.

Passés devant un jury, la plupart des candidats n’auront d’ailleurs pas été retenus. Lundi après-midi, dans un bureau de l’hôtel de police, le seul admis pour cette campagne de recrutement - celles-ci restent rares - a été intronisé. Il se nomme Jean-Luc Bertrand, est âgé de 66 ans, a terminé sa vie active en tant que directeur du service Jeunesse et sports de la Ville de Reims et, en tant que citoyen volontaire, sera chargé d’intervenir sur le quartier Croix-Rouge.

 

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l’union 151009 c
Loisirs

La bénévole de l’association « Je vous écris ces quelques lignes » sera présente tous les vendredis (hors vacances scolaires) de 14 à 16 heures pour aider le public à écrire des courriers personnels ou professionnels, ainsi qu’à remplir des dossiers administratifs.

Service gratuit. Médiathèque Croix-Rouge,19 rue Jean-Louis Debar . Tél. 03 26 35 68 45.

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l’union 151009 b
6ème salon Avenir et Carrières champardennais

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IRTS CHAMPAGNEARDENNE

FORMATIONS INITIALES ET CONTINUES AUX MÉTIERS DU TRAVAIL SOCIAL
8, rue Joliot-Curie - 51100 Reims
Tél. 03 26 06 22 88
www.irtsca.fr


• FORMATION(S) PROPOSÉE(S)

Educateur spécialisé, assistant de service social, éducateur de jeunes enfants, moniteur éducateur, éducateur technique spécialisé, technicien de l’intervention sociale et familiale, assistante maternelle, assistante familiale, mandataire judiciaire.

• PROFIL(S) RECHERCHÉ(S)

Pas de profi ls spécifiques. Formations ouvertes ab initio, en cours d’emploi ou en reconversion pour toutes personnes se déterminant vers les métiers du travail social.

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l’union 151009 a
FAITS ET MÉFAITS : Trois voitures incendiées dans la nuit

Trois voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de mercredi à jeudi, les deux premières à 21 h 45 avenue Bonaparte, devant le n ° 13 (une Renault Mégane et une Toyota Yaris).

Moins d’une heure plus tard, dans le même quartier, une Renault Twingo a subi le même sort allée des Nivernais. Une Laguna a été endommagée par propagation.

Vers 23 h 15, les pompiers sont également intervenus place de Marseille pour éteindre un feu de détritus.

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l’union 151008 c
Cormicy : Mille élèves en randonnée

Quatre des 48 classes participantes à « scolarando ».
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Beaucoup d’animations lundi et mardi à Cormicy où pas moins de mille enfants émanant de 48 classes du CP au CM2 des écoles Amundsen, Anquetil, Bétheny, Charles Arnould, Charpentier, Galliéni, Mazarin, Provençaux et Ravel, sont arrivés en car afin de sillonner les chemins de Cormicy sur 6, 8 ou 10 km, accompagnés de leurs enseignants et d’accompagnateurs de rando évasion. Cette « scolarando » est organisée par l’USEP, présidé par Daniel Roux, en partenariat avec le comité départemental de randonnée pédestre et sous l’égide d’une convention signée entre la ligue de l’enseignement et l’Éducation nationale. Ils ont été accueillis par Christophe, délégué départemental de l’USEP, Catherine Lemoine, conseillère pédagogique EPS pour Reims sud-est et Danielle Roux, animatrice rando et USEP, qui ont briffé les enfants avant le départ sur les règles principales du randonneur : sécurité et propreté ainsi que le bénéfice de la randonnée sur la santé. Ils apprennent à respecter la faune et la flore en les travaillant en amont et en aval avec leurs enseignants. Ils ont tiré leur pique-nique du sac et ont pu déjeuner dans la nature et un goûter offert par l’USEP leur a été servi avant le départ l’après-midi, par les adhérents de l’amicale Saint-Rémi d’Hermonville qui avaient la veille balisé les circuits.

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l’union 151008 b
Douze ans de réclusion pour deux des trois accusés

La maman d’accueil de la victime, soutenue par Me Cordier-Dumetz. Ch. Lantenois
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La cour d’assises a rendu le verdict hier dans l’affaire des marginaux du quartier Croix-Rouge accusés d’avoir frappé à mort l’un d’entre eux.

La seule chose sur laquelle toutes les parties se sont accordées hier, c’est que personne ne connaîtra jamais la vérité sur ce qui s’est passé dans l’appartement de Bernard Douguedroit ce 5 octobre 2013 lors d’une soirée alcoolisée dont Djamel Bouaza n’est jamais revenu. En dehors de cela, les accusés et leurs défenseurs ont donné des versions très différentes et pioché dans les versions des protagonistes les éléments qui les intéressaient.

Les trois accusés n’ont pas eu une vie facile

La seule surprise de la journée est venue de l’avocate générale, Amélie Chappert, qui a demandé l’acquittement de Bernard Douguedroit, estimant que ce dernier n’était pas présent au moment des violences volontaires « ayant entraîné la mort sans intention de la donner », et qu’il ne pouvait être accusé de non-empêchement de crime. En revanche, pour les deux autres sans domicile fixe « qui n’ont pas eu une vie facile mais rien ne justifie de donner la mort de cette façon » , elle a requis une peine de neuf ans de réclusion.

La tâche était donc difficile pour l’avocat de David Guignon, M e Antoine Flasaquier, qui a tenté de convaincre la cour que les seuls coups reconnus par son client, deux gifles, ne pouvaient suffire à provoquer des lésions assez sérieuses pour entraîner le décès de la victime. Ce dernier est en effet mort d’une série de dix à vingt coups de poing et de pied dans le visage et les côtes, avec une rupture de la rate.

M e Fanny Quentin devait se montrer encore plus persuasive, son client, Thierry Evrard, ayant été davantage mis en cause dans cette pathétique affaire. Il était en outre considéré comme « le plus antipathique » des trois. « Ce dossier est un peu flou et brumeux, comme les cerveaux des protagonistes. Et ma version n’est pas plus invraisemblable que les autres théories » , a t-elle essayé, pour présenter Evrard comme un bouc émissaire.

La cour a finalement acquitté Bernard Douguedroit et condamné chacun des deux autres à douze ans de réclusion criminelle, un verdict plus sévère que les réquisitions. Aux condamnés, la présidente a déclaré : « Peu importe les coups que vous avez l’un ou l’autre portés, ce sont ces coups qui ont causé la mort de Djamel Bouaza. »

Marie-Christine Lardenois et Mathieu livoreil

Le témoignage poignant de la maman

Evelyne Naviaux, maman d’accueil de la victime, a été appelée à témoigner à la barre en tant que partie civile.

Cette femme a sorti Djamel Bouaza et sa sœur de la Ddass alors que le petit garçon n’avait que 3 ans et demi. Elle l’a élevé et s’est occupée de lui jusqu’à ses 23 ans. Autant dire qu’elle le considérait comme son fils. « Il était gentil comme tout, débrouillard, généreux et poli » , raconte cette femme meurtrie par les scènes horribles qu’elle entend. « Il amusait tout le monde. Des éloges, je pourrais vous en faire énormément », finit-elle par dire, étreinte par une émotion qui commence à déborder.

Après son divorce, alors qu’il commençait à sombrer, Djamel est même revenu vivre chez elle. « Il avait l’esprit de famille. Mais il a sombré dans l’alcool quand sa femme l’a quitté. Il a vraiment été anéanti », poursuit-elle.

Leurs relations n’ont jamais cessé. Djamel allait voir régulièrement sa maman d’accueil. « Je devais le rencontrer le lendemain du drame. Je ne l’ai revu qu’à la morgue. Il était tellement défiguré que je ne l’ai pas reconnu. Pour moi, c’était mon fils. Voilà. C’est dur la vie. »

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l’union 151008 a
Justice : Des jeunes voleurs interpellés par la cellule anti-cambriolage Antoine Pardessus

Les deux mineurs ont fini par être présentés à la justice.
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Deux affaires de vol viennent d’être résolues par la cellule anti-cambriolage de la Sûreté départementale. Les deux se passent à Reims, et les deux concernent des mineurs.

La première remonte à peu, début octobre, et elle a pour cadre le quartier du Val-de-Murigny. La vitre d’un pavillon est brisée, l’intérieur est fouillé, des bijoux, de l’argent, et un ordinateur, notamment, disparaissent. L’enquête n’est pas forcément évidente, mais une maman a l’œil : le 4 octobre, elle remarque dans la chambre de son petit de 14 ans des objets qui manifestement ne sont pas à lui, et elle le signale à la police. Il ne reste alors plus à celle-ci qu’à interpeller le garçon. Placé en garde à vue ce lundi, il a reconnu les faits. Le juge des enfants l’a remis ce mardi en liberté surveillée dite « préjudicielle » (dispositif qui permet d’apporter des éléments d’appréciation en vue du jugement, tout en menant une action éducative auprès du mineur et de sa famille en tenant compte de son environnement social et familial).

La seconde affaire est plus ancienne : le vol par effraction avait été commis le 28 février, dans un logement de la rue du Dauphiné (Croix-rouge, Pays-de-France). Il n’avait d’ailleurs pas très bien tourné : surpris par un voisin, le ou les auteurs avaient dû abandonner une partie de leur butin dans leur fuite. Les investigations de la police scientifique permirent d’identifier un premier suspect, âgé de 15 ans. Tandis que de son côté, un autre garçon, de 17 ans, se mit à se vanter auprès des copains du lycée d’avoir pris part à la délictueuse expédition. Mal lui en prit : les deux finirent cette semaine dans les mains des policiers. L’auteur principal a été placé sous contrôle judiciaire, quant au second couteau, son cas jugé moins grave a été classé sans suite.

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l’union 151007 d
Le mercredi, c’est permis : Cinéma et marionnettes

Shaun le mouton, un film à voir à la médiathèque Croix-Rouge.
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1 Cinéma jeune public

Un film de Richard Starzak (à partir de 4 ans) : lorsqu’une blague de Shaun le mouton entraîne accidentellement le fermier jusqu’à la grande ville… à 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, réservations au 03 26 35 68 51. Gratuit.

2 Goûter numérique

Cet atelier (pour les 9-12 ans) au centre culturel Saint-Exupéry sera l’occasion pour les plus jeunes de s’initier à la couture alliant matériaux naturels et électroniques. Ils pourront customiser un sac en tissu, plus communément appelé tote bag, à partir de fils de tricotin et de LEDs.

En assemblant chaque élément, les enfants créeront un objet unique. Chaque participant repartira avec son tote bag. Un atelier proposé par Élise Hartenstein, graphiste indépendante à Reims. Tarifs : 15 euros + adhésion. Réservations au 03 26 77 41 41.

3 Marionnettes

Spectacle interactif par le Théâtre Zapik et la Maison des enfants et de l’art (Hiša otrok in umetnosti, Slovénie), à partir de 3 ans, au centre de créations pour l’enfance de Tinqueux. L’oie Lisa est une petite marionnette à doigts qui s’est perdue et ne sait plus rentrer chez elle. Les enfants vont s’amuser à chercher sa maison dans différentes scènes à travers des comptines populaires.

Ce nouveau spectacle mêle la tradition et le théâtre contemporain tout en explorant les possibilités de dialogue entre les deux. Le temps de la représentation, les enfants deviennent camarades de jeu. Chaque enfant s’approprie le spectacle à sa manière, s’amuse et se reconnaît dans sa propre culture. Ce voyage interactif inclut aussi l’exposition d’une collection de marionnettes à doigts, probablement une des plus grandes au monde.

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l’union 151007 c
Aujourd’hui : Atelier : La sécurité sur Internet.

Vous appréhendez de surfer sur Internet ? Vous vous interrogez sur le devenir de vos données personnelles et sur la protection de votre vie privée ?

Vous voulez apprendre à utiliser des outils comme un antivirus ? Venez participer à cette séance d’initiation à la sécurité sur Internet.

A 9h30, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar. Gratuit.

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l’union 151007 b
Association : Autour de l’équipe du CaféGEM, la solidarité se met doucement en place Marie-Charlotte Dutheil

Tant que les températures le permettent, adhérents et membres de l’équipe se réunissent chaque soir au potager.
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Suite à l’incendie de ses locaux durant le week-end, le CaféGEM doit trouver une solution de relogement. Différentes propositions lui ont été faites.

Si la bonne humeur règne au potager, où l’association continue à assurer ses permanences d’accueil, adhérents et membres de l’équipe ne s’en avouent pas moins « traumatisés ». « On ne sait pas encore ce que l’assurance va prendre en charge, ce que nous allons pouvoir récupérer… Pour le moment, et tant que tous les experts ne sont pas passés, nous n’avons le droit de toucher à rien », explique Daniel Vincent, vice-président de CaféGEM. 

Trois jours après le sinistre qui a ravagé les locaux de l’association, tous peinent encore à réaliser l’étendue des dégâts. « Le coin salon n’est pas trop touché, il a juste besoin d’être nettoyé, indique Simon, qui effectue depuis juin un service civique auprès de la structure. Les tables en inox et les armoires n’ont pas tellement été abîmées. Mais le piano, les trois congélateurs, les deux réfrigérateurs, le lave-linge, le lave-vaisselle… Tout est foutu. Et ce n’est rien à côté des serveurs informatiques : toutes nos archives ont disparu. »

Véronique fréquente l’association depuis quatre ans. Elle a encore du mal à croire que les locaux ont brûlé. « Je l’ai croisée dans la rue dimanche, et elle a d’abord cru que je lui faisais une blague, raconte Simon. Je l’ai emmenée sur place pour lui montrer les traces de l’incendie. » Soudain, Véronique sursaute : « Est-ce qu’il y a eu des victimes ? ». Daniel Vincent la rassure : « Non, heureusement. Deux enfants ont été placés en observation, afin d’être sûrs qu’ils n’avaient pas inhalé de fumée, et une dame qui se déplaçait à l’aide d’un déambulateur a paniqué et est tombée. Dans les deux cas, ce n’est pas grave ».

Différentes structures ont pris contact avec le CaféGEM depuis dimanche, pour lui exposer une solution de repli. Ainsi l’association La Locomotive lui a-t-elle offert d’occuper ses propres locaux le mardi, après 17 heures. L’antenne locale d’Europe Ecologie - Les Verts s’est également proposée pour héberger l’équipe, mais seulement pour ses activités administratives, faute de sanitaires aux normes. « La Mairie regarde, elle aussi, ce qu’elle pourrait nous proposer, et Reims Habitat nous a fait une offre, poursuit Daniel Vincent. S’il n’y a quel celle-ci, nous la prendrons, mais nous préférerions rester près de nos locaux actuels, rue de Passe-Demoiselles, parce que nous avons notre réseau dans ce quartier, et pour ne pas déstabiliser nos adhérents. » La plupart d’entre eux hésitent en effet à prendre le bus, ou à s’éloigner d’un endroit qu’ils connaissent. A l’image de Françoise, qui l’affirme sans détour : « Si c’est à la Croix-Rouge, je n’irai pas ».

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l’union 151007 a
Les explications confuses des accusés au procès Croix-Rouge Marie-Christine Lardenois

Les avocats de la défense, Maîtres Laithier, Quentin et Flasaquier. Christian Lantenois
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Les trois marginaux ont donné hier, à la cour d’assises, des versions contradictoires des faits qui ont coûté la vie à leur copain de boisson.

Deuxième jour de procès, hier, pour les trois protagonistes qui se trouvaient dans l’appartement de l’avenue du Général-Bonaparte, le 5 octobre 2013, jour de la mort de Djamel Bouaza. Rappelons que ce dernier est décédé des suites d’une série de coups de poing et de pied très violents assénés au visage et sur le côté.

Abîmés par la rue, marqués par des vies dont le seul centre d’intérêt est l’alcool, les trois protagonistes ont les yeux dans le vague et l’élocution difficile, comme s’ils avaient à peine dessoûlé depuis leur incarcération, il y a deux ans. Le premier à répondre aux questions de la présidente, Patricia Ledru, n’a pas participé aux coups. Poursuivi pour non-empêchement de crime, Bernard Douguedroit, dit Nanard, raconte que la victime était un ami, un frère. C’est lui qui a fini par appeler les secours. De ses propos confus, il ressort qu’il a changé d’avis. Il accusait Thierry Evrard juste après les faits. Il cherche désormais à le protéger. « Thierry et Djamel, ils se sont mis sur la gueule et voilà le résultat », prétendait-il à l’époque. « Pourquoi avoir dit ça ? » interroge la présidente. « J’ai sorti ça comme ça. »

« Je n’ai rien à voir avec cette histoire »

Thierry Evrard, qui risque plus gros pour des violences volontaires ayant entraîné la mort, n’est guère plus cohérent. Mais il est constant. « Je n’ai rien à voir avec cette histoire. » Cet alcoolique se prétendant repenti, fumeur de joints à l’occasion, s’énerve. « Arrêtez de me poser des questions. Tout s’est passé dans mon dos. »

David Guignon, lui, reconnaît avoir mis « deux gifles gentilles et sans le faire exprès » à Djamel parce qu’il l’avait « insulté de bâtard » et qu’il lui devait 60 euros. Pour quoi faire ? Acheter « un 12 grammes » de cannabis. « Et puis Thierry s’est battu avec Djamel. Thierry est tombé. C’était facile parce qu’il était bourré. Mais quand il s’est relevé, il a mis quelques patates à Djamel qui ne s’est jamais relevé . »

La cour avait rarement eu droit à autant de surprises, autant de versions divergentes dans le cadre de la procédure et à la barre. La suite est tout aussi différente, racontée par les uns et les autres. David Guignon avoue avoir enlevé le pantalon de la victime pour lui faire les poches. Il n’a rien trouvé. Il aurait dit à Thierry Evrard : « On attend Nanard » , car ce dernier s’était absenté. À son retour, le dîner étant passé par la fenêtre (avec la cocotte qui heureusement n’a pas fait de victime à l’atterrissage), Nanard a fait sortir ses deux copains de chez lui. Lesquels sont allés chez David Guignon pour y dormir. Mais comme ce dernier ronflait, Thierry Evrard est parti. Comme si rien ne s’était passé ce soir-là. La cour devra rendre son verdict ce soir.

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l’union 151006 c
Rendez-vous

Colloque international ayant pour thème « Le genre dans les sphères de l’éducation, de la formation et du travail ».

Mercredi 28 octobre ; jeudi 29 octobre et vendredi 30 octobre sur le site Croix-Rouge de l’université de Reims, 57 rue Pierre-Taittinger.

Programme détaillé sur www.conftool.net/aecse2015/s….

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l’union 151006 b
La bagarre mortelle de Croix-Rouge devant les assises

Antoine Flasaquier est l’avocat de David Guignon. Archives
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Qui a asséné les coups mortels à Djamel Bouaza il y a deux ans ? C’est la question à laquelle doit répondre la cour. Les accusés se renvoient la balle.

Tête basse, regard perdu, les trois accusés entrent dans le box sans faire de bruit. Leurs visages sont marqués par l’alcool, la misère affective et sociale qui a habité leur enfance et leurs vies d’errance. Ils se retrouvent sur ce banc, encadrés par les policiers, deux ans jour pour jour après les faits.

Le 5 octobre 2013, Djamel Bouaza, 42 ans, Bernard Douguedroit, 56 ans, David Guignon, 45 ans, et Thierry Evrard, 49 ans, se retrouvent dans un appartement de Croix-Rouge, avenue du Général-Bonaparte. Djamel Bouaza n’en sortira pas vivant.

À 18 h 10, à la suite de l’appel téléphonique d’une voisine, les pompiers arrivent sur place et découvrent la victime inanimée. Il est évident qu’il a pris une cascade de coups violents. Son visage est tuméfié. Son corps est ensanglanté. Sur place, les policiers trouvent aussi Douguedroit chez qui la victime vivait, aujourd’hui accusé de non-empêchement de crime. Il n’a sans doute pas participé au tabassage. Alors que son ami ne bouge plus, il est trouvé en train de laver le sol à grande eau.

« Je suis innocent »

Le chien de David Guignon est aussi sur place. Ce qui permet aux enquêteurs de remonter jusqu’à lui. Il est interpellé le lendemain et mis en examen du chef de coups mortels en réunion. Une serviette et des gants tachés de rouge sont retrouvés à son domicile. Il faudra ensuite quelques jours pour retrouver Thierry Evrard dans un squat, à Châlons, mis en examen du même chef. Le premier reconnaît avoir mis « deux gifles » à la victime. Le deuxième ne dit que trois mots : « Je suis innocent. » Pourtant l’un d’eux au moins, peut-être les deux, ont tabassé méchamment Djamel Bouaza et l’ont laissé mourir, la tête à demi enfoncée sous un lit, le corps à moitié dévêtu et plein de contusions. Il avait 3 grammes d’alcool dans le sang.

Il est mort d’un arrêt cardiaque consécutif à l’avalanche de coups ayant causé la rupture de la rate. Ce qui a entraîné une hémorragie interne liée aux coups très violents portés sur le flanc alors qu’il se trouvait sans doute à terre. Le traumatisme des lésions sur la face a constitué un facteur supplémentaire.

« Il a reçu une dizaine de coups sur la tête et il a perdu connaissance » , selon le médecin légiste. Le ou les auteurs se sont ensuite acharnés sur ses côtes. Une prise en charge rapide aurait sûrement pu le sauver.

La soirée de beuverie faisait suite à des disputes et une bagarre déjà dans l’après-midi entre la victime et Thierry Evrard. Ce dernier était allé chercher le RSA de la victime. Bouaza en avait dépensé une partie dans de l’alcool. Plus tard, Guignon avait réclamé 60 euros à Bouaza, ce qui avait entraîné une dispute car Bouaza avait refusé.

Tous étaient rentrés et avaient commencé à boire. Ce qu’ils reconnaissent, sauf Evrard. Les deux principaux accusés (déjà condamnés à maintes reprises) ont plusieurs fois changé de version. La cour d’assises devra déterminer leur part de responsabilité. Ils risquent vingt ans de réclusion criminelle.

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l’union 151006 a
TENNIS : Baillif facilement à La Muire

Limité à 15/1, le tournoi dames du TRC Muire a connu, dimanche, un palmarès conforme à la logique puisque la tête de série n° 1 Julie Baillif (15/1, Géo-André) s’est imposée. Opposée en finale à sa principale rivale Mélissa Noizet (15/2, Guignicourt), la jeune Réunionnaise a fait étalage de tout son talent face à son adversaire il est vrai usée par ses matches à rallonge et à répétition. Résultat : 6-0, 6-1.

Quarts de finale. –

Mélissa Noizet (15/2, Guignicourt) bat Mélia Oget (15/3, Taissy) 2-6, 6-0, 7-5 ; Timothée Achain (15/3, La Muire) bat Anaïs Caron (15/2, Guignicourt) 6-3, 6-3 ; Sophie Surelle (15/3, La Muire) bat Anne-Sophie Renard (15/3, Reims Europe Club) 6-3, 6-0 ; Julie Baillif (15/1, Géo-André) bat Sandrine Pierlot (15/4, Muizon) 6-3, 3-6, 6-3.

Demi-finales. –

Mélissa Noizet bat Timothée Achain 3-6, 6-2, 7-5 ; Julie Baillif bat Sophie Surelle 6-4, 6-3.

Finale. –

Julie Baillif bat Mélissa Noizet 6-0, 6-1.

Lacaille - Achain comme à la maison

Parallèlement au tableau féminin, les dirigeants aquatintiens avaient programmé un double mixte qui a, manifestement, remporté un franc succès. Probablement avantagée d’évoluer à domicile, la paire de La Muire Julien Lacaille (15) - Timothée Achain (15/3) s’est logiquement imposée au stade ultime en dominant 6-2, 6-3 le duo de l’URT Alexandre Kociolek (15/2) - Stéphanie Robinet (15).

Demi-finales. -

Alexandre Kociolek (15/2) - Stéphanie Robinet (15, URT) battent Amélie Maillet (15/2) - Benjamin Vié (15/5, ASPTT Chalons) 6-0, 7-5 ; Julien Lacaille (15) - Timothée Achain (15/3, La Muire) battent Alexandre Blot (15/5) - Sophie Surelle (15/3, La Muire) 7-6, 6-0.

Finale. -

Julien Lacaille - Timothée Achain battent Alexandre Kociolek - Stéphanie Robinet 6-2, 6-3.

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l’union 151005 c
En image à François-Legros : Remise de diplômes

 

Une centaine d’anciens élèves du collège François-Legros ont reçu leur diplôme national du brevet.

La nouvelle principale, Valérie De Schutter, et son adjointe, Yasmine Dodé, ont félicité les jeunes pour cette cuvée remarquable avec 87,5% de réussite en série générale et 83,3% en série professionnelle.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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l’union 151005 b
Les échos de la semaine : Les travaux d’accessibilité dans les écoles se poursuivent

Trois gros chantiers ont été autorisés, la mise en accessibilité du groupe scolaire Turenne pour 238 000 €, de la maternelle Provençaux pour 212 000 € et la maternelle Jamin pour 340 000 €.

Pour chacun des trois établissements scolaires, les travaux devraient s’étaler sur 16 mois environ.

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l’union 151005 a
Histoire : Le prix Louis-Marin à François Cochet

Professeur d’histoire contemporaine à l’université de Lorraine-Metz, le Marnais François Cochet, 61 ans, l’un des meilleurs spécialistes de la Première Guerre mondiale, vient d’être distingué par l’Académie des sciences morales et politiques.

Dans sa séance du lundi 28 septembre, elle lui a décerné le prix Louis-Marin (médaille) pour son ouvrage « La Grande Guerre, fin d’un monde, début d’un siècle », publié chez Perrin en association avec le ministère de la Défense en 2014.

Remise du prix le 16 novembre

Cet ouvrage remarqué et remarquable avait été très bien accueilli par la critique en raison de sa pertinence, par une lecture renouvelée et argumentée du conflit. Ce prix prestigieux lui sera remis au cours de la séance annuelle de rentrée que l’Académie tiendra le lundi 16 novembre à 15 heures sous la Coupole du Palais de l’Institut de France.

François Cochet a publié plusieurs ouvrages notamment sur le premier conflit mondial, organisé et participé à de nombreux colloques internationaux. Rémois, agrégé d’histoire, docteur ès lettres habilité à diriger des recherches, il a enseigné au lycée Arago de Reims avant de rejoindre l’université de Reims Champagne-Ardenne, puis d’être élu professeur d’histoire contemporaine à l’université de Limoges, avant de rejoindre l’université de Lorraine à Metz.

Il a participé au centenaire de la première victoire aérienne célébrée à Jonchery-sur-Vesle, le 5 octobre 2014, en présence du général d’armée aérienne Denis Mercier, alors chef d’état-major de l’armée de l’air, et prépare une rencontre universitaire sur l’aviation de chasse et la Grande Guerre qui devrait avoir lieu toujours à Jonchery, en mai 2016.

Hervé Chabaud

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l’union 151003 b
Faits divers : Les voitures brûlent

Mercredi à 22 heures, une Peugeot 3008 a flambé allée des Landais à Croix-Rouge, sur le parking situé devant le centre d’action médico-social précoce.

Origine suspecte

L’origine du sinistre est éminemment suspecte, d’autant que des voitures sont régulièrement incendiées à cet endroit.

Toujours mercredi, en milieu de journée, la carcasse calcinée d’une Renault Clio a été retrouvée rue André-Rieg, en zone Farman. Elle était volée depuis le 25 septembre.

Jeudi vers 1 h 30, une voiture Honda a été mise à feu place De-Lattre-de-Tassigny, au quartier de l’Europe. Dans le même temps, l’épave d’un scooter est partie en fumée impasse François-Joly à Tinqueux.

Il n’y a pas que les voitures qui brûlent. Mercredi à 20 h 45, les pompiers ont éteint un feu de végétation rue de la Sentelle à Cormontreuil, entre la zone commerciale et l’autoroute.

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l’union 151003 a
Faits et méfaits : Un joint à la main et une arme sur lui

Interpellé mercredi vers 18 heures par la Brigade anticriminalité, avenue Bonaparte, avec un joint à la main, cet individu a été trouvé, en outre, porteur d’un couteau.

Placé en garde à vue, il a fait l’objet d’une composition pénale. Il a reçu une injonction thérapeutique et devra effectuer 20 heures de travail non rémunéré.

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l’union 151002 a
Permanences

Permanences des conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, le premier vendredi du mois, de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, rue Joliot-Curie, et chaque deuxième samedi du mois, de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3, allée Antoine-Watteau, hors vacances scolaires.

Prochaines permanences : vendredi 2 octobre et samedi 10 octobre.

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l’union 151001 c
Croix-Rouge : Marie-Elisabeth Causin quitte le quartier

Marie-Elisabeth Causin : efficacité et discrétion.
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Après 17 ans de travail à Croix-Rouge, Marie-Elisabeth Causin quitte ce quartier dont elle est devenue un élément essentiel d’animation.

Au cours de la dernière soirée de l’Été s’affiche à Croix-Rouge, elle a reçu l’hommage public de tous les professionnels grâce à Slimane Hamdi (Espace Pays-de-France). Ses collaborateurs et les bénévoles lui ont offert un album retraçant quelques étapes importantes de son action.

Le témoignage d’une bénévole de la maison de quartier résume tout le bien que pensent ceux qui ont travaillé avec elle : « Marie-Elisabeth est une personne que je suis contente d’avoir rencontrée : toujours calme, efficace, sachant faire travailler en équipe des personnes différentes et au caractère fort, sachant entendre tous les points de vue mais pouvant aussi recadrer quand c’est nécessaire » . Pour un autre bénévole, « Mme Causin, c’était l’efficacité dans la modestie et la discrétion ».

Il y a 17 ans, elle arrivait dans le quartier comme directrice des centres sociaux Billard et Watteau. En 2004, quand les centres sociaux sont devenus maisons de quartier, elle est restée directrice des deux. Plus tard, Billard, Watteau et Ethnic’s ont constitué la maison de quartier Croix-Rouge, divisée en deux espaces. Elle a alors pris la direction de Billard-Nacelle jusqu’en 2012, puis celle de Watteau-Pays-de-France.

Sur décision du directeur des maisons de quartier de Reims, elle est maintenant nommée directrice de la maison de quartier Cernay-Europe à compter du 1 er octobre, et elle est remplacée par Valérie Lassère qui était jusqu’alors directrice de la maison de quartier des Épinettes.

 

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l’union 151001 b
Commerce : Le centre de l’Hippodrome aura sa salle de sport Virginie Guennec

La salle de sport s’installera à la place du magasin Match, fermé depuis quatre mois.
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Les commerçants et les habitants s’étaient mobilisés, il y a deux semaines, contre l’implantation d’une salle de sport dans le centre commercial de l’Hippodrome. Leur action n’a pas porté ses fruits. Les tapis d’entraînement et les altères s’installeront bien à la place de l’ancien magasin Match, fermé depuis quatre mois.

Commerçants et habitants souhaitaient voir s’implanter un nouveau magasin d’alimentation. Mais malgré les recherches de la Ville, du propriétaire et de l’association de commerçants, aucun supermarché n’a souhaité s’établir à la place de l’ancien magasin Match. Durant près de 4 mois, l’immense local de 1 700 m² est resté vide, faisant baisser la fréquentation des clients dans le centre commercial. Plusieurs vendeurs ont même comptabilisé une baisse de leurs ventes de plus de 20 %. « I l faut rebondir et rester optimiste. Cette salle de sport apportera peut-être une nouvelle clientèle dans le quartier », estime le président de l’association des commerçants de l’Hippodrome, Bernard Verquerre. Il a assisté, comme les autres commerçants du centre, à une réunion hier matin en mairie, où le projet leur a été présenté officiellement. La signature du bail serait imminente, avant une installation dans les prochains mois.

Près de 600 sportifs attendus chaque jour

Une réunion d’information qui n’a pas rassuré tous les professionnels de la zone commerciale. Le pharmacien, Xavier Fege, redoute une mauvaise fréquentation du lieu. « La salle de sport attirera 600 personnes par jour, nous ont-ils dit. Ça peut être bien, mais les horaires d’ouverture m’inquiètent. Les gens pourront y venir s’entraîner jusqu’à 22 heures. C’est tard, je trouve. Et puis, les habitants n’auront plus d’endroit où faire leurs courses. »

De ce côté-là, une solution pourrait être en partie trouvée. Un projet de reconversion du pressing en boutique de fruits et légumes serait à l’étude.

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l’union 151001 a
Aujourd’hui

Skéné 2 : CP&LP, praticien-architecte, nous invite à un cheminement d’actions et de paroles sur le Campus Croix-Rouge en reconstruction.

À 18 heures, Université Reims Champagne-Ardenne – Campus Croix-Rouge, 57, rue Pierre-Taittinger, gratuit.

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l’union 150930 d
Associations

Loto de l’association Étoile Croix-du-Sud, dimanche 4 octobre à 14 heures, dans les locaux du 5, avenue Léon-Blum.

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l’union 150930 c
Le mercredi, c’est permis : Des jeux et de belles histoires

Un spectacle de marionnettes à doigts pour les enfants à partir de 3ans.
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1 Un documentaire sur l’école

Dans le cadre du cycle En route pour l’école, Enfants valises, le documentaire de Xavier de Lauzanne sera projeté ce mercredi, à 15 heures, à la médiathèque Jean-Falala. Réalisé en 2013, ce film de 1 h 30, aborde la question de l’école obligatoire pour tous les mineurs de moins de 16 ans, français ou étrangers, en situation légale ou non. Pour de nombreux adolescents migrants, ballottés d’un continent à l’autre, elle incarne un espoir de stabilisation et d’intégration. Le réalisateur a posé sa caméra sur les bancs de l’école où Aboubacar, Dalel, Hamza, Thierno et Tako font leurs premières armes… Projection gratuite.

2 M’Auteurs, des mots, des auteurs

Lancement aujourd’hui de M’Auteurs, des lectures de textes spécialement écrits pour le jeune public. À 15 h 30, à la Maison des arts musicaux de Saint-Brice-Courcelles, Céline Schnepf lira Blanche, une histoire de femmes racontée par un homme… À 18 heures, à la médiathèque de Bétheny, l’auteure Lise Martin lira son texte Rumba qui parle d’adolescents qui cherchent à avoir prise sur un monde d’adultes dont ils tentent de freiner la course folle… A partir de 11 ans. Contact : www.nova-villa.com

3 Venez jouer

Le Réseau des bibliothèques et médiathèques de Reims propose aujourd’hui, à la médiathèque Croix-Rouge, de 14 à 17 heures, une animation consacrée aux jeux de société ouverte à tous. Accès libre et gratuit.

4 Au pays des marionnettes

Les enfants à partir de 3 ans sont invités à découvrir, aujourd’hui, à 14 h 30, au Centre de création pour l’enfance à Tinqueux, un spectacle de marionnettes. L’oie Lisa est une petite marionnette à doigts qui s’est perdue et ne sait plus rentrer chez elle. Les enfants vont s’amuser à chercher sa maison dans différentes scènes à travers des comptines… Gratuit pour les adhérents, 5€ pour les autres.

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l’union 150930 b
Haltérophilie : Déjà des qualifiés aux France Masters

Une trentaine d’haltérophiles a lancé la saison du Reims HM dans la salle François-Legros avec le Prix des vendanges. Le plateau féminin comprenait quelques néophytes de qualité en plus de Kimberley Poiret, la junior déjà série Nationale (48 kg), et Emeline Peters déjà classée en 63 kg.

Chez les seniors, Sophie Anaev s’impose en 63 kg tandis que Nelle Loll bat déjà tous les records de la Marne 69 kg pour sa première. Cécile Michot se qualifie pour les France Masters avec de nouveaux records de Champagne à la clé.

Chez les garçons, sans surprise en cadet 2, le 69 kg Armen Mkrtchyan réalise la meilleur perf et un record à 98 kg à l’épaulé-jeté. Le cadet 1, Elizéo Gustin, améliore son récent record départemental des 56 kg.

Senior 1 re année, Ludwig Colombo (en 85 kg) survole la compétition avec un total de 266 kg levés. Allan poiret gagne en 69 kg et Florent Ducourty en 77 kg devant Guillaume Erckelbout. Enfin, le Masters 3 Frédéric Magnan (85 kg) et le Masters 7 Luis Dieudonné (69 kg) se qualifient pour les France.

Dès le 17 octobre, le RHM donne à nouveau rendez-vous à François-Legros pour la Coupe de France seniors mixtes (trois hommes et deux femmes et obligatoirement deux seniors au moins). Le club accueillera aussi le 1 er tour de la Nationale 1 le 12 décembre. Quimper (Finistère) et Saint-Marcellin (Isère) seront ses opposants.

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l’union 150930 a
Faits divers : Un fumeux trafic démantelé

L’enquête démarre le 21 septembre, vers 21 heures, avec l’arrestation d’un jeune homme de 19 ans contrôlé rue Libergier au centre-ville. Fouillé par la brigade anticriminalité, il est trouvé en possession de 15 grammes de résine de cannabis et d’une somme en liquide de 80 euros. Un camarade présent à ses côtés détient une petite boulette de deux grammes. Ils sont placés en garde à vue.

Interrogé par la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale de Reims, le principal suspect avoue revendre à six clients, les 80 euros provenant des dernières transactions. Son fournisseur est identifié. Les policiers l’interpellent le lendemain, en compagnie d’un client qui vient de lui acheter un petit morceau de 1,3 gramme. Il reconnaît un portefeuille de neuf clients et déclare s’approvisionner à Croix-Rouge.

Dévidant le fil de la bobine, les policiers arrivent au domicile d’un habitant du quartier, secteur allée des Limousins, chez lequel ils découvrent 18 grammes de résine et 205 euros d’origine douteuse. Cuisiné, l’homme admet avoir revendu à une trentaine de clients sept plaquettes de 100 grammes depuis février dernier. Qui est son fournisseur ? Il a déclaré ne pas connaître son nom.

Au terme des auditions, les trois revendeurs ont été remis en liberté avec une convocation à l’audience correctionnelle du 8 décembre. Les deux clients ont fait l’objet d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité pour l’un, d’une ordonnance pénale pour l’autre.

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l’union 150929 e
Rendez-vous

La cérémonie de remise du diplôme national du Brevet, session 2015, aux anciens élèves du collège François-Legros se déroulera, mardi 29 septembre, à 18 heures en salle des conseils. Collège François-Legros : 2, rue François-Legros. Tél. : 03 26 08 03 77.

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l’union 150929 d
Faits divers : Du cannabis caché dans la bouche

Jeudi dernier, lors d’une patrouille dans le quartier Croix-Rouge, place Dominique-Ingres, les policiers ont repéré un jeune homme qui fumait un « joint » de cannabis.

Pour leur échapper, il les aurait violemment repoussés avant de s’enfuir, mais il n’a pas couru assez vite. Il a alors sorti de sa chaussette un morceau de résine de cannabis qu’il a mis dans sa bouche. Les policiers ont réussi à lui faire cracher le morceau avant l’arrivée des pompiers.

Le jeune homme mis en cause, Sofiane Amrouche, 27 ans, a été présenté au tribunal correctionnel selon la procédure de comparution immédiate, mais il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été écroué dans l’attente de son procès reporté à l’audience du 19 octobre.

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l’union 150929 c
Faits divers : Sans permis, il prend la fuite en ville à 100 km/h Fabrice Curlier

La poursuite commencée à Saint-Brice-Courcelles a pris fin à Croix-Rouge. Illustration
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Il n’avait pas le permis, il roulait trop vite et a accéléré davantage pour échapper à la police avec son cousin. Fin de la course-poursuite au tribunal.

Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas. Sage recommandation respectée ce week-end par deux cousins de Reims. Problème : des deux cousins, celui qui n’a pas bu est également celui qui n’a pas le permis. Et ce qui devait arriver arriva.

Samedi vers 1 heure du matin, la Mercedes qu’il conduit trop vite au retour d’une soirée est repérée par la police rue de la Victoire à Saint-Brice-Courcelles. Gyrophare et deux-tons lui intiment l’ordre de s’arrêter. Paniqué, l’automobiliste accélère de plus belle avec son cousin accroché à l’avant. Début d’une fuite éperdue avec des pointes à « 100 km/h » , affirment les policiers.

La Mercedes file par la rue Pasteur, rejoint Tinqueux, se retrouve route de Dormans où elle double une voiture malgré la ligne blanche, sans aucune visibilité. Heureusement, personne n’a la mauvaise idée d’arriver en face.

Jet de pierre pendant la course-poursuite

Aucun clignotant à chaque changement de direction, feux rouges grillés, stop non respecté… Accumulant les infractions routières, le fuyard arrive finalement dans le quartier Croix-Rouge par l’avenue François-Mauriac. Passage en trombe rue Joliot-Curie, avenue Léon-Blum, avenue Bonaparte, avenue d’Épernay, boulevard Franchet-d’Espérey…

Retour ensuite avenue Bonaparte où la patrouille essuie un jet de pierre. Le projectile lancé depuis le trottoir par un jeune heurte la carrosserie, mais les fonctionnaires n’ont pas le temps de s’occuper de lui. Ils sont toujours aux trousses de la Mercedes qui s’arrête enfin après vingt minutes de course-poursuite, six feux rouges grillés, deux véhicules en stationnement percutés et un frottement avec le véhicule de police.

Les cousins n’ont cependant pas dit leur dernier mot. Ils bondissent de l’habitacle et détalent à toutes jambes. Les policiers parviennent à les rattraper quelques centaines de mètres plus loin, non sans mal car les fuyards se rebellent. Ils sont finalement maîtrisés.

Pas d’alcool mais pas de permis pour le conducteur, Aïssa Neggar, 28 ans ; le permis et 0,70 gramme d’alcool pour Yassine Neggar, 20 ans, ce qui n’est pas un problème car il ne conduisait pas. Reste hélas la rébellion, mais qu’il conteste en affirmant avoir projeté le policier à terre involontairement.

Les deux cousins ont comparu hier après-midi à l’audience des comparutions immédiates : Yassine a pris deux mois de prison ferme, Aïssa six mois. Laissés libres, ils pourront purger leur peine sous un mode aménagé.

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l’union 150929 b
ENVIRONNEMENT : Ces dépôts sauvages qui polluent notre quotidien

ORGANISATION : Une spécificité rémoise

Le nettoyage des dépôts sauvages ne dépend pas uniquement du service Déchets et propreté de la Ville. Des prestataires privés ont la charge du centre-ville, Clairmarais, Croix-Rouge et Wilson.

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l’union 150929 a
Tennis tournoi des cheminots de reims : Simon Pierre inarrêtable

… sous les coups du gaucher, Simon Pierre. Ch. Lantenois.
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Germain André a fini par céder …
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Limitée à 15, la 12 e édition du tournoi des Cheminots de Reims a tenu toutes ses promesses. Dans un tableau masculin dense et homogène, la finale a opposé un des engagés à 15 Germain André (Nautique epernay) à l’un des principaux outsiders à 15/1 Simon Pierre (Reims Europe). Et la hiérarchie a été bousculée puisque le Rémois, au jeu plus en toucher, a fait déjouer le Sparnacien qui a fini par craquer (6-3, 6-1).

Du côté des dames, la logique a été respectée avec une finale entre têtes de série à 15 Charlotte Bécret (URT) et Aurore Molinaro (Bar-sur-Aube). En habituée des courts de l’avenue Brebant, la Rémoise a rapidement pris le jeu à son compte pour s’imposer (6-2, 7-5).

En +45 ans, dans une finale à 15/3, Djamel Cherikh (Cormontreuil) a du s’employer pour venir à bout de Claude Luthar (Cheminots Reims).

Résultats

Messieurs, demi-finales : André (15, SN Epernay) bat Delarme (15, Cheminots Reims) 6-1, 0-6, 6-2 ; Pierre (15/1, Reims Europe) bat Samyn (15, Géo-André) 6-4, 1-6, 4-6. Finale : Pierre bat André 6-3, 6-1.

+ 45 Ans, demi-finales : Cherikh (15/3, Cormontreuil) bat Graftieaux (15/3, Cormontreuil) 6-0, 6-1 ; Luthar (15/3, Cheminots Reims) bat Genty (15/2, Bétheny) 6-3, 6-4. Finale : Cherikh bat Luthar 6-3, 3-6, 6-1.

Dames, demi-finales : Aurore Molinaro (15, Bar-sur-Aube) bat Nathalie Agnieray (15/3, Guignicourt) 7-5, 6-4 ; Charlotte Bécret (15, URT) bat Anaïs Caron (15/2, Guignicourt) 6-1, 6-3. Finale : Charlotte Bécret bat Aurore Molinaro 6-2, 7-5.


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