Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - décembre 2015.
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.
Assemblée générale de l’association des jardins familiaux de Pays-de-France, présidée par Yves Monflier, le vendredi 8 janvier, à 18 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
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Dans le quartier Croix-Rouge, l’association Mounsif and co sport culture du cœur, présidée par Mounsif Kerroum, est très appréciée des familles et pour marquer cette fin d’année, elle a invité parents et enfants au gymnase Léon Borgniet pour un moment festif : une distribution de chocolats a terminé un match entre des équipes dynamiques.
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Reims activités vacances accueille les enfants de 3 à 11 ans pour des activités ludiques, sportives et éducatives variées, adaptées aux âges.
1 Charpentier
Les loisirs créatifs ont pour thème « Le ciel étoilé d’hiver » : « Après une visite au planétarium, on va construire un système solaire et faire la relation entre étoiles et contes de Noël », confie Delphine Cottenet. Au gymnase Gallieni, l’autre groupe s’initie aux arts du cirque.
2 Ruisselet
« On est sorti du Noël sous la neige. Ici, c’est sous les tropiques », sourit Florian Gricourt, dans un décor de cocotiers ! Et pour rester dans le ton, au gymnase voisin, on se déchaîne sur des danses rythmées.
3 Joliot-Curie
On entre dans l’atelier « Lutins du Père Noël », aux murs décorés par les enfants. Tandis qu’un groupe fabrique des têtes de rennes, qui décoreront le sapin, d’autres petites mains confectionnent des fleurs. « Ils réalisent de menus cadeaux, qu’ils s’offriront ensuite par tirage au sort », précise Anaïs Augustin.
4 Adriatique
Le thème de la première semaine était « À la recherche du Père Noël ». « Ils l’ont retrouvé… dans son chalet, place du Forum ! », un détail fourni par Charlotte Gaignette, qui accompagne son groupe pratiquer l’escalade au gymnase Barbusse.
5 Martin-Peller
Les plus grands ont d’abord sagement confectionné des décors et cartes de Noël. Puis, tous réunis, ils chantent et dansent en attendant le Père Noël, entouré dès son arrivée de 90 petits de 3 à 6 ans, qui l’assaillent !
TEXTE ET PHOTOS : DE NOTRE CORRESPONDANTE FRANÇOISE LAPEYRE
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De quoi oublier un peu les heures sombres des premiers jours de janvier. Des terroristes frappent dans les locaux de Charlie Hebdo. La traque va se poursuivre jusqu’à Reims. La nuit du 7 au 8 janvier, on a droit à des images inédites et surréalistes d’hommes du Raid, arme sur l’épaule au quartier Croix-Rouge, encadrés de journalistes et de riverains. Un des terroristes, Saïd Kouachi, habitait là.
Traque aux terroristes à Croix-Rouge Le 7janvier, l’attaque contre Charlie Hebdo saisit d’effroi le pays. La nuit qui suit plonge Croix-Rouge dans la stupeur : des centaines de policiers y débarquent armés jusqu’aux dents. Ils ont identifié les tueurs, les frères Kouachi dont l’aîné, Saïd, habite le quartier, mais ils ne les trouvent pas : leur cavale n’est pas passée par Reims. Plusieurs proches sont arrêtés, trois appartements perquisitionnés dans une ambiance surréaliste, habitants et journalistes agglutinés à l’extérieur. Mais à ce moment-là, les autorités savaient qu’il n’y avait plus de danger.
Mais quelle mouche a bien pu piquer Igor ? Vendredi, ce boulanger s’apprêtait à célébrer simultanément Noël et son 29 e anniversaire. Les festivités, qui faisaient suite à dix jours de travail consécutifs, ont commencé par l’achat de trois bouteilles de whisky. « C’était des marques différentes, on voulait faire des dégustations » , a-t-il tenté d’expliquer, hier, à la barre du tribunal correctionnel. Igor a ensuite rejoint le domicile de l’une de ses sœurs, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims.
« À partir de là, je ne me souviens plus de rien » , regrettait-il. Ivre, il a commencé par, selon l’expression du président, « tout retourner » chez sa sœur en présence de témoins apeurés. Avant de se rendre chez son autre sœur, à quelques rues de là. Sans doute par goût des surprises, Igor s’est d’abord employé à défoncer la porte d’entrée. Et sa sœur a appelé police-secours.
La vue d’une patrouille n’a pas calmé l’énervé. Envoi de projectiles, insultes, etc. L’interpellation est musclée : trois jours d’incapacité de travail pour Igor. Dernier round dans la voiture de police, dans laquelle le mis en cause aurait eu ces mots : « Vous m’avez tapé mais il y a des frères qui vont me venger mille fois (…) Les Kouachi et le Bataclan, ce n’était qu’un début. On a plein de kalach’ pour faire sauter la République ! » Puisque ces propos ont été tenus dans l’habitacle d’une voiture en présence des seuls policiers, Igor est poursuivi pour « menace de mort à l’encontre d’un dépositaire de l’autorité publique ». Les mêmes phrases, si elles avaient été prononcées dans la rue, auraient assuré au boulanger d’être poursuivi pour « apologie publique de crime terroriste ».
Penaud et dégrisé, le prévenu résume : « Je ne comprends pas comment j’ai pu dire ça… » Deux lointaines et dérisoires condamnations en guise d’antécédents. « L’excuse de l’alcool, c’est un peu facile ! » , estime la substitut du procureur. Quatre mois de prison requis, dont deux avec sursis. L’avocate de la défense rapporte d’autres propos tenus par son client : « Il m’a dit : Maître, moi j’avais le drapeau bleu-blanc-rouge sur Facebook après les attentats. Il regrette vraiment ! » Dans l’élan, Igor finit par s’excuser « pour toutes les victimes d’attentats terroristes » . Reconnu coupable, il est condamné à quatre mois de prison avec sursis. Avec, en outre, l’obligation de se faire soigner et d’indemniser ses victimes.
Mathieu Livoreil
![]() Les enfants, ravis, ont reçu leurs cadeaux en présence des parents.
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Tous les ans, l’association Croix-Rouge animation et promotion organise, à l’intention des enfants du quartier, adhérents ou non, un concours de dessin sur le thème de Noël. Cette année encore, nombreux ont été les participants.
Le palmarès a été dévoilé en présence des parents lors de la fête de fin d’année de l’association. Trois catégories d’âge ont été récompensées par des jouets.
Enfants de 4 à 6 ans : 1, Maryam Agrebi. 2, Nourane Asli. 3, Emma Aubert. 4, Nabil Behih. 5, Bélinda Bellens. 6, Méline Canu.
Enfants de 7 à 9 ans : 1, Sophia Bendellal. 2, Enzo Bertrand. 3, Cléa Canu. 4, Maelys Darme. 5, Yaminaëlle Desbonnes. 6, Elia Dos Santos.
Enfants de 10 à 12 ans : 1, Moheim Behih. 2, Rania El Mady. 3, Lena Canu. 4, Emmie Gibout.
Le palmarès complet est affiché, et les réalisations retenues sont exposées dans la grande salle de l’Acrap.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() Michel : « Le fauteuil est trop large par rapport à la porte de la salle de bain ». A.P.
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« J e ne peux plus accéder à ma salle de bain, à cause de mon fauteuil roulant : la porte n’est pas assez large pour le laisser passer. Du coup, cela fait trois ans que je n’ai pas pu prendre une douche ! Vous vous rendez compte ! »
Pas vraiment heureux, Michel, de son logement actuel, dans le quartier Croix-du-Sud à Reims. La faute à l’amputation que cet ancien cuisinier, âgé aujourd’hui de 67 ans, a dû subir il y a trois ans pour cause de maladie. Alors comment fait-il pour sa toilette ? « C’est moi qui suis obligée de lui faire à la main avec une cuvette », répond son épouse.
On peut ajouter, sans vouloir tomber dans le sordide, que le problème se pose aussi pour l’accès aux toilettes, et qu’il est réglé à l’aide d’une chaise percée et d’un urinoir… Le genre de situation que l’on ne souhaite pas voir s’éterniser, on l’imagine volontiers.
Michel réclame donc à son bailleur, en l’occurrence Plurial (anciennement Effort rémois), un nouveau logement adapté à son handicap. Jusqu’à présent, ses demandes réitérées n’ont pas abouti.
Chez Plurial, on ne connaît que trop bien ce dossier. Et ce qui bloque, c’est le fait que Michel accuse un gros arriéré de loyer, environ 5 000 euros. Et tant que cette dette n’est pas apurée, explique le bailleur en substance, nous ne pouvons pas envisager de lui proposer un autre appartement ni d’effectuer des travaux d’aménagement de son logement actuel.
Pour faire avancer les choses, Michel a été placé sous curatelle. C’est de ce tiers extérieur, appelé à mettre un peu d’ordre dans les finances du locataire, que doit venir la délivrance. Mais cela risque d’être encore un peu long…
Antoine Pardessus
![]() MM. Blondet et Daillencourt ont remis les kits à Joël Lebourcq, directeur du Samu social rémois.
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Mardi soir, le Lions club Reims Colbert a remis au directeur du Samu social 30 kits d’habillement d’hiver à destination des démunis, vivant dehors au contact du froid.
Des gants, des cache-col en polaire, des écharpes et des bonnets, le tout pouvant équiper trente personnes. C’est un véritable attirail anti-froid que Claude Blondet, président du Lions Club Reims Colbert, et François Daillencourt, directeur général des transports Durand, ont eu le plaisir de remettre à la Croix Rouge Française, mardi soir, à l’issue de la réunion statutaire du club services, à l’hôtel L’univers.
Joël Lebourcq, directeur du Samu social – dont la Croix-Rouge est le premier opérateur – s’est réjoui de profiter, pour la deuxième année, de cet élan de solidarité. Car c’est bien aux Rémois les plus démunis, vivant dehors, au contact du froid, que sont destinés ces 30 kits d’habillement d’hiver. « On essaie tous les ans de varier » , précise M. Blondet, bien décidé à apporter, cet hiver encore, un soutien matériel aux sans domicile fixe. Mais pas seulement.
En s’engageant, comme l’an dernier, à participer à quelques maraudes aux côtés des bénévoles de la Croix-Rouge, le Lions club Reims Colbert compte bien, une nouvelle fois, offrir un soutien également psychologique aux personnes vivant dans la rue. « L’an dernier, nous avions assisté la maraude à deux occasions » , rappelle le président du Lions. « On essaiera cette fois d’en faire un peu plus, en janvier. » Une initiative bienvenue pour le 115 qui, fin novembre dans nos colonnes, lançait un nouvel appel aux bonnes volontés pour participer à ses tournées nocturnes auprès des sans-abri. Mais aussi pour faire des dons, de couvertures notamment, afin de donner un peu de chaleur aux SDF, toujours plus nombreux.
Apporter les couvertures au 5, rue Joliot-Curie. Contact pour les bénévoles, tél. 06 10 38 67 86.
Marion Dardard
La nuit du réveillon, un Renault Trafic a été incendié rue Kerguelen à 20 h 15, une BMW à 2 heures rue Pierre-Taittinger. Ils n’étaient pas volés, contrairement – sans doute – à un scooter brûlé avenue de l’Europe, mercredi à 22 heures. Vendredi à 22 h 30, un feu de papiers a été allumé rue de la Méditerranée. Hier à 3 h 30, deux poubelles ont flambé boulevard Louis-Barthou.
![]() Retour à la barre pour un ancien habitant de Croix-Rouge revenu voir son avocat à Reims.
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Interdit de séjour à Reims, un jeune homme déclare être revenu pour voir son avocat. Problème : il n’est pas reparti après le rendez-vous. Et la police l’a croisé.
Mardi à 22 h 40, une patrouille est intriguée par un véhicule qui rebrousse chemin devant elle avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Elle s’empresse de le rattraper et voit le passager jeter du cannabis. Le morceau ne pèse pas lourd – un gramme – mais l’affaire prend une dimension particulière avec la personnalité du consommateur. Âgé de 23 ans, Abdelmajid Ghorieb n’avait rien à faire à Croix-Rouge, condamné au printemps dernier à douze mois de prison ferme et cinq années d’interdiction de séjour dans la Marne pour trafic de stupéfiants, peine confirmée en juillet par la cour d’appel.
Libéré le 9 novembre, le jeune homme est parti vivre à Béziers, loin de Reims où il a récolté ses treize condamnations. « C’est fini tout ça. Je veux vivre tranquille à Béziers mais fin novembre, il y a eu un jugement où j’étais partie civile. » Le 24 novembre, le tribunal correctionnel de Reims a effectivement évoqué une affaire dans laquelle Abdelmajid est victime, grièvement blessé après s’être fait tirer dessus à Croix-Rouge en 2012. Le prévenu absent, elle a cependant été renvoyée à une date qui reste à déterminer.
« Je ne savais pas qu’il y avait eu ce jugement. Quand je l’ai su, j’ai téléphoné à mon avocat. J’ai eu la secrétaire qui m’a demandé de venir car j’avais des papiers à signer. Elle m’a dit que pour ça, j’étais toléré. Je suis arrivé à Reims lundi. Le rendez-vous était à 18 h 30. Je suis ressorti à 19 h 30. J’ai pas pu rentrer à Béziers car il n’y avait plus de train. Ma famille m’a demandé de rester pour faire Noël avec elle. Et maintenant, je suis ici. » En comparution immédiate, mercredi, jugé pour la violation de l’interdiction de séjour et la détention de cannabis.
Avocat d’Abdelmajid Ghorieb, M e Simon Miravete confirme l’avoir reçu ce lundi soir. « Nous avons attiré son attention sur le fait qu’il était interdit de séjour dans la Marne, et qu’il devait repartir au plus vite. » Cela dit, « il lui était nécessaire pour assurer sa défense de venir voir son avocat, ce qui est un droit reconnu par la Convention européenne des droits de l’Homme. Le problème, c’est qu’il n’existe pas de procédure d’urgence pour permettre à une personne d’exercer son droit à la défense en un lieu où elle fait l’objet d’une interdiction de séjour. Il faut saisir le tribunal correctionnel, lequel met en place une enquête avec une décision d’autorisation de déplacement qu’on obtient, au mieux, quatre ou cinq mois plus tard. »
À l’origine du renvoi en comparution immédiate, le parquet de Reims ne veut pas endosser le rôle du grand méchant loup. La substitut commence piano, avant de monter dans les aigus et de faire trembler les murs. « Le parquet aurait pu être tolérant si M.Ghorieb était uniquement venu à Reims pour lui permettre d’exercer son droit à la défense. Mais qu’en est-il ? Il quitte son avocat le lundi à 19 h 30, et c’est le mardi à 22 h 40 qu’on l’arrête à Croix-Rouge, dans une voiture qui aurait très bien pu le ramener à Béziers, qui plus avec du cannabis alors qu’il a été condamné pour trafic de stupéfiants, dans ce même quartier, avec une interdiction de séjour qu’il viole même pas deux mois après sa sortie de prison ! »
Un an ferme requis. Abdelmajid promet qu’on n’entendra plus jamais parler de lui. « C’est fini ! Même s’il y a un jugement, je ne viens plus, je reste à Béziers. » En attendant, il devra purger celui de mercredi : sept mois ferme.
Fabrice Curlier
Mercredi soir, plusieurs individus ont voulu entrer de force au domicile d’un couple de la rue Charles-Fandre en assénant des coups dans la porte. La police est venue les chasser. Les indésirables sont ensuite revenus, mais un policier en repos est intervenu pour leur montrer le chemin de la sortie. Un vif contentieux semble opposer les protagonistes. D’après le voisinage, des dégradations ont déjà été commises dans cet immeuble du quartier Dauphinot géré par Reims Habitat.
Dimanche dernier, un excité a lui aussi frappé à coups de pied la porte d’une dame domiciliée près de l’hippodrome. Quand elle l’a ouverte, il l’a tirée par les cheveux et l’a menacée avec un couteau de cuisine. L’arrivée d’un voisin l’a mis en fuite. La police a ouvert une enquête pour retrouver l’agresseur, en conflit avec la locataire.
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Déjà condamné à cinq reprises pour des exhibitions, un Rémois a, cette fois-ci, commis des attouchements sur une passagère du tram. Un an ferme.
D ’habitude, je regarde les jeunes filles mais là, j’ai eu envie de la toucher parce qu’elle était belle. C’était plus fort que moi. » Inquiétant discours que celui d’Arnaud Mériguet, Rémois de 26 ans dont l’obésité et la voix nasillarde d’enfant incitent pourtant plus à le plaindre qu’à le blâmer. Mais derrière lui, une autre personne est à plaindre : une frêle jeune femme de 24 ans, traumatisée après avoir été victime d’une tentative d’agression sexuelle à l’intérieur même d’une rame du tramway. Lundi vers 19 h 30, la demoiselle et l’agresseur montent à l’arrêt Arago, avenue Bonaparte. « Je ne l’ai pas repérée. Je me suis assis par hasard devant elle » , assure-t-il. Écouteurs dans les oreilles, elle ne fait pas attention à lui, mais lui prête attention à elle. « Elle était belle. »
Arrivé au centre-ville, au moment de se lever, il pose une main sur son genou et la fait glisser le long de sa cuisse, par-dessus le pantalon, en remontant vers l’entrejambe. Hurlement de la jeune fille. D’un coup de pied, elle le repousse. Il s’enfuit du tram, mais une patrouille de police le retrouve rapidement place du Théâtre.
En posant la main sur sa victime, Arnaud Mériguet a franchi un cran. Jusqu’ici, en effet, il se contentait de se montrer. Cinq condamnations au casier pour exhibition sexuelle, la dernière en mars 2015 : trois années de suivi sociojudiciaire, avec injonctions de soins, après s’être masturbé devant une adolescente de 13 ans qu’il avait sifflée dans un bus à destination de la zone commerciale de Champfleury. « Elle était belle » , avait-il dit.
« Moi, j’en ai marre de faire des bêtises et d’embêter les filles. Je continue de voir les docteurs mais ils ne m’ont pas donné de médicaments » , affirme-t-il au tribunal lors de son procès, mercredi en comparution immédiate. Selon l’expert-psychiatre venu l’examiner en garde à vue, sa responsabilité pénale est établie, toutefois « atténuée » en raison d’une « atteinte à son discernement » qui a « entravé le contrôle de ses actes » .
Depuis 2009, la justice a tout essayé : d’abord un sursis simple, puis trois sursis avec mise à l’épreuve, le dernier partiellement révoqué car il ne respectait pas ses obligations. Il y eut ensuite le suivi sociojudiciaire. Cette fois-ci, une peine de 18 mois ferme est requise.
Pour M e Olivier Chalot, la place de son client n’est pas en prison. « Un précédent rapport l’a décrit comme un sujet en souffrance à cause de son retard mental léger et de son obésité pathologique . Il est frustré par son physique , a une image négative de lui et souffre d’une immaturité psycho-affective très importante . Il faut l’obliger à se soigner. L’envoyer en prison ne ferait que reporter le problème sans le régler ».
C’est pourtant l’option choisie par le tribunal : un an ferme. « Il y a des médecins en détention. C’est malheureux à dire, mais profitez-en pour entreprendre des soins avec eux. »
Elle n’a pas été jugée, mais il y eut une autre affaire avant celle du tramway. Le prévenu a fait l’objet d’un signalement après avoir touché l’entrejambe d’une jeune femme à un arrêt de bus.
Fabrice Curlier
![]() Catherine, la fille de l’adhérente, présente le courrier « sanction » signé du président d’Etoile-Croix du sud : « Maman a été blessée ». A.P.
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![]() « Je suis prêt à engager une procédure pour diffamation » Jean-Michel Gauthier, président
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Le président d’Étoile-Croix du sud veut exclure une des adhérentes. Il lui reproche un esprit pas assez conforme aux statuts. La famille crie à l’autoritarisme.
Autoritarisme d’un président ? Atteinte à la liberté individuelle ? Ou légitime souci de préserver le bon esprit d’une association ? Dans cette histoire qui se passe dans le quartier Croix du sud de Reims, les avis sont nettement partagés, selon le côté duquel on se trouve. En tout cas, cette histoire n’est pas un charmant conte de Noël, les deux parties en sont venues aux insultes et aux menaces.
Cette histoire est celle d’une octogénaire, que nous appellerons Yvette, et qui présente la particularité d’adhérer à deux associations, l’Acrap et Étoile-Croix du sud. Il se trouve que le 13 décembre, les deux structures proposaient une activité au même moment. Et qu’Yvette a préféré honorer l’invitation de l’Acrap, tout en prétendant venir au « pot de fin d’année » de l’Étoile… en fait organisé dimanche dernier 20 décembre. Une goutte d’eau qui a fait déborder le vase de mécontentement du président de cette dernière structure, Jean-Michel Gauthier. « Cette dame ne s’investit pas assez dans la vie de l’association, reproche-t-il en substance ; elle vient presque uniquement aux activités gratuites où l’on reçoit des cadeaux et elle dénigre notre association. » S’appuyant sur les statuts, le président Gauthier avait donc envoyé en date du 10 décembre un courrier à l’intéressée pour la prier de ne pas se présenter au moment convivial du dimanche 20, et l’informer qu’une procédure d’exclusion allait être engagée à son encontre par le conseil d’administration.
Un courrier qui a presque traumatisé la destinataire, et qui a fait bondir sa fille, Catherine : « Maman a été blessée ; elle n’est pas du genre vieille chouette à embêter son monde ; elle est bien connue pour son investissement dans le bénévolat : elle apprend par exemple la lecture à des enfants roms. » C’est ainsi qu’après avoir alerté les réseaux sociaux, Catherine, accompagnée de quatre personnes, a débarqué au fameux « pot » du 20 pour s’indigner du courrier envoyé à sa maman, et en distribuer la copie « pour montrer aux adhérents ce qui peut leur arriver. » La conversation a dégénéré, le ton est monté : « Vous êtes un dictateur ! Vous avez des méthodes fascistes ! », ont lancé les plaignants au président Gauthier. Catherine se dit décidée à déposer une main courante au commissariat pour dénoncer les méthodes de celui-ci, qui lui-même se déclare « prêt à aller au conflit et à engager une procédure pour diffamation. » La paix de Noël ne règne pas vraiment du côté de cette association.
Le président de l’association Étoile-Croix du sud a engagé une procédure d’exclusion à l’encontre d’une des adhérentes. Il lui reproche une attitude pas assez conforme aux statuts.
La famille de l’intéressée a protesté vertement, criant à l’autoritarisme lors d’une réunion à laquelle elle n’était pas conviée, qui se tenait dimanche dernier. Les insultes ont fusé.
Antoine Pardessus
Appelés pour une « odeur de brûlé » dans un immeuble de la rue de Courlancy, hier à 0 h 20, les pompiers ont découvert des papiers incendiés à l’intérieur des communs. En fin de journée, vers 17 h 15, une bouteille de dissolvant a été mise à feu dans un garage souterrain de la rue des Thiolettes.
La veille mardi, vers 17 h 45, un malfaisant a lui aussi brûlé des papiers dans une cage d’escalier de la rue Olympe-de-Gouges.
Coup sur coup, deux affaires de vols ont été résolues – l’une par la police, l’autre par les gendarmes – après que les victimes ont reconnu sur le site du boncoin leurs biens mis en vente.
Le premier plaignant, un artisan domicilié à Bouzy, ne savait même pas qu’il avait été victime d’un vol quand il s’est rendu le boncoin pour y acheter d’éventuels outils. Deux soudeuses ont attiré son attention. Elles lui disaient quelque chose. Et pour cause ! C’étaient les siennes…
Une rapide inspection de son atelier lui a permis de se rendre compte qu’elles avaient disparu, ainsi que d’autres matériels eux aussi proposés à la vente sur leboncoin.
Alertés, les gendarmes de la communauté de brigades de Taissy ont pu identifier le vendeur, un Rémois domicilié à Croix-Rouge. Ils ont débarqué chez lui vendredi dernier. Placé en garde à vue, le jeune homme a déclaré avoir acheté les outils à un voisin de ses parents, au quartier Wilson.
À son tour de recevoir la visite des gendarmes. Lui-même avait acquis le butin 400 euros… auprès d’un ancien employé de l’artisan, lequel l’avait d’ailleurs immédiatement soupçonné.
Les enquêteurs n’ont pu lui mettre la main dessus : l’homme s’est envolé à l’étranger pour une durée indéterminée. Remis en liberté, les deux receleurs font l’objet d’une convocation devant le tribunal tandis que le professionnel a pu récupérer ses outils.
La seconde affaire porte sur des consoles de jeux dérobées lors d’un cambriolage rue Borda à Reims. Après les avoir reconnues sur lebecoin, le propriétaire a donné rendez-vous au vendeur. Celui-ci était à l’heure, les policiers de la sûreté départementale de Reims également.
Âgé de 15 ans, le voleur avait commis le coup avec un copain du même âge. L’un des larrons s’est également fait épingler pour le vol d’un cyclomoteur commis avenue Georges-Hodin avec un troisième lascar de 15 ans, la nuit du 14 au 15 décembre.
Tout ce petit monde a été remis en liberté, deux des garçons sous le régime de la mise en examen, leur acolyte avec une convocation devant le juge des enfants.
![]() Activités commerciales et immersion linguistique en Irlande.
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Le lycée Joliot-Curie est engagé depuis l’an dernier dans la démarche de labellisation lycée européen. En parallèle, le lycée a obtenu la charte Erasmus+ permettant à plusieurs étudiants de BTS Négociation et relation clients d’effectuer leur stage à l’étranger pendant deux mois.
Sous l’impulsion de Karine Cailleaux, professeur d’anglais, et de Christophe Georges, proviseur, un comité de pilotage s’est constitué afin de présenter un dossier de mobilité européenne permettant à quarante élèves sur deux ans de faire leur période de formation professionnelle à Dublin en six semaines.
Projet validé en mai 2015, l’objectif de cette année a été d’offrir à dix-huit élèves la possibilité d’aller se former en Irlande. Ainsi, durant deux semaines, cette première vague a bénéficié d’un temps de renforcement en langue anglaise dans une école spécialisée et d’un temps d’immersion dans des commerces, futurs lieux de stage. Les quatre semaines suivantes, ils ont effectué leur formation dans des commerces de tous types et des entreprises en lien avec leurs diplômes.
De retour, ils vont présenter une unité facultative « mobilité » validant les résultats d’une période de formation effectuée dans un État européen. Ils présenteront également leur aventure lors de la journée portes ouvertes qui aura lieu le samedi 12 mars.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() Le collectif a été officiellement lancé avec les associations rémoises partenaires.
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La Jeune chambre économique s’est associée à d’autres associations du territoire rémois pour co-construire une action d’envergure en 2016.
Citoyenneté, n concept assez vague, réduit souvent à son aspect juridique ou politique. Mais la citoyenneté c’est aussi la participation active à la vie de la cité. Sensibilisés par cette thématique, les membres de la Jeune chambre économique de Reims ont souhaité donner envie au grand public et aux jeunes de devenir des citoyens engagés.
« La citoyenneté fait partie de l’ADN de chacun des membres de la Jeune chambre économique. Face aujourd’hui à une société en quête de repères, avec la montée des extrémismes, avec le développement de l’individualisme, nous avons souhaité transmettre cette envie d’agir et de devenir des citoyens du monde », a insisté Gaëlle Quenelisse, la présidente.
Humanisme, tolérance, solidarité : des mots qui font aujourd’hui écho à l’actualité et ont encore davantage de sens.
C’est pourquoi la JCE s’est lancée un nouveau défi pour impliquer les jeunes et susciter le potentiel civique de chacun : « Nous avons tout de suite repéré des interlocuteurs aux regards croisés et collaboré avec eux pour créer des déclics chez le plus grand nombre. »
Cela fait déjà un an que la JCE et ses partenaires travaillent sur le projet, comme l’explique Charlotte Lhotellier, co-directrice, avec Isabelle Perray, du collectif Ose et agis. Mais comment traiter le sujet sans être moralisateur ou, pire, pompeux ? « Nous allons organiser en 2016 une action ludique et créative. » Un objectif qui ne se construit pas tout seul et la JCE a su s’entourer de spécialistes : c’est ainsi que La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), le Collectif interculturel d’associations de migrants), la Mutes (association d’échanges et de services), les maisons de quartier d’Orgeval et de Croix-Rouge, Smile in Reims, ont rejoint le collectif.
Pour l’aspect créatif et ludique du projet, la JCE a fait appel au monde du spectacle : Le Mitch, Croc en Scène, La Comédie. Plurial Novilia, bailleur social, est partenaire : « La transmission des clés de la citoyenneté au plus grand nombre est une vision que nous partageons » . Pour Claude Secroun, de la Licra, « citoyenneté et de laïcité, ce sont des mots qui ont fait tilt. » « Il est bon qu’un maximum d’associations rejoignent la JCE pour que ce projet soit une réussite et que Reims devienne -pourquoi pas- un modèle de citoyenneté », espère Mohamed Cherif, président du CIAM.
Jeune chambre économique de Reims – BP 10251 – 51059 Reims cedex et http://www.jcereims.fr.
Une soirée de Noël est organisée à l’espace Watteau par le comité des fêtes de l’espace Watteau le vendredi 28 décembre de 19 heures à 22 h 30.
Au programme notamment : déambulation dans le quartier, repas poulet basquaise, tombola, musique.
Le tarif par personne est de 5 € pour les adhérents, de 7 € pour les non adhérents, et de 2,50 € pour les enfants de 3 à 10 ans.
Inscription obligatoire auprès du secrétariat, 3 allée Antoine-Watteau, tél. 03 26 36 03 50.
« Persistance Rétinienne » prises par Alain Julien durant chaque édition du festival.
Le photographe œuvre à constituer la mémoire visuelle du festival. Abbey Lincoln, Steve Coleman, Michel Portal, Ahmad Jamal, Richard Galliano, autant de grands noms présents à Reims et capturés par l’objectif de ce témoin privilégié.
Au fil des années, le Reims Jazz Festival s’est imposé comme un rendez-vous incontournable où se sont succédé talents prometteurs et fortes personnalités des scènes française et internationale.
À voir à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
![]() Des collégiens de Joliot-Curie s’essaient au noble art avec Kamel Chenni (à droite).
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Boxer avec un champion le dernier jour de classe, c’est l’expérience que viennent de vivre plusieurs collégiens de Joliot-Curie.
Vice-champion de France de boxe, sportif de haut niveau actuellement à l’Insep, Kamel Chenni intervenait ce vendredi, au collège Joliot-Curie, dans le cadre de son association Wilson Boxing Club. « Un local est mis à sa disposition à l’espace Louise-Michel. Il reste à l’équiper entièrement, afin de pouvoir accueillir des jeunes dont il sera le professeur et l’entraîneur », explique Anthony Hugo, directeur adjoint de la Maison de quartier. « C’est la première fois que le club vient effectuer une initiation dans ce collège. On aimerait bien par la suite étendre cette action à d’autres établissements. Nous sommes à la recherche de partenaires privés ou publics qui pourraient nous apporter une aide financière pour acheter les équipements », ajoute Kamel Chenni, qui est accompagné d’un membre, Moulay Hajji, également entraîneur.
La boxe, dans ce collège, c’est aussi un moyen de canaliser un peu les jeunes. Alain Aubert, le principal, est satisfait de cette initiative : « Nos élèves imaginent que dans ce sport, il suffit de donner des coups ! Ils découvrent qu’il nécessite une bonne condition physique, qu’il demande beaucoup de travail et de discipline. La notion de respect des règles est importante pour nous : à l’école, dans le sport, dans la vie, elles contribuent à construire de bons citoyens. »
Parmi les collégiens intéressés, Romaïssa, 14 ans, trouve que « c’est amusant » et que l’entraîneur « est super sympa ». D’autres activités sportives et créatives étaient prévues, pour terminer de façon ludique ce dernier jour avant les vacances.
Au cours d’une nuit de samedi à dimanche apparemment calme en ville, deux véhicules ont quand même été brûlés dans la cité des Sacres, dans le quartier Croix-Rouge, l’un à 0 h 20 et l’autre à 1 h 15, nécessitant le déplacement des pompiers.
Un conteneur a également pris feu dans le quartier Châtillons. Il était 2 h 30, toujours dans la nuit de samedi à dimanche.
L’accueil de loisirs des enfants entre 3 et 12 ans, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, pour les vacances de Noël, fonctionnera du 21 au 24 décembre.
Les inscriptions sont à faire rapidement au secrétariat, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03 26 36 03 50).
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C’est une épreuve charnière. Placé quasiment à mi-parcours du Challenge du vignoble dont il représente la troisième manche, le tournoi de l’ASPTT Reims, demain dès 8 h 30, est aussi le dernier dans la configuration actuelle avant la remise à plat des classements.
Autant dire que la hiérarchie telle qu’elle sera établie souffrira forcément au retour des compétitions, en 2016 où resteront au pragramme le Mesnil-sur-Oger, Vertus, Bouzy-Ambonnay et Plivot.
Traditionnel rendez-vous d’avant Noël où le tournoi régional a d’emblée trouver sa place dès son intégration au circuit, l’ASPTT Reims ne sera pas seulement organisateur. Il est intéressé au premier chef dans plusieurs tableaux puisque Sébastien Pocquat (classés 5 et 6) et Cyril Schuer (7 à 12) ont remporté les deux premières manches. Les protégés du président Yves Mayeux ont gagné à Épernay puis à Fismes et rêvent d’un triplé à Géo-André.
Avec Gaëtan Carré (Eurville-Bienville) et Laurent Apolloni (Bétheny), ils sont quatre à avoir réaliser le score parfait.
![]() Les amateurs de jeux vidéo (à l’ancienne) auront rendez-vous samedi à la médiathèque Croix-Rouge. Archives
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La Ville et diverses structures proposent toute une série d’activités à destination des enfants et des jeunes qui vont se retrouver en vacances à la fin de cette semaine.
Voici quelques suggestions pour occuper les enfants pendant les vacances de Noël.
1 Musée des Beaux-Arts
Atelier de pratique d’un art décoratif, le lundi 28 décembre après-midi (pendant deux heures à partir de 14h30), après un temps d’observation d’œuvres exposées. Cette activité s’adresse aux 5-12 ans, et aux dernières nouvelles il reste quelques places. Participation 2¤. Renseignements au 03 26 35 36 10.
2 Centres de loisirs
Le centre scolaire Martin-Peller accueille les 3-6 ans pour des journées multiactivités ; les 7-11 ans sont répartis dans cinq autres écoles rémoises, avec une seule activité (ou deux maximum) tout au long de la semaine, ces activités changeant la semaine suivante. Par exemple, la première semaine, l’école Joliot-Curie programme équitation et patinage (sur roulettes), la seconde badminton. Quant aux 12-17 ans, ils sont attendus au « Moulin » (ex Moulin Huon) 54 rue Albert-Thomas, pour des activités à la carte. Pour la seconde semaine de vacances (28 au 31 décembre) les inscriptions (au 0 800 506 956) sont ouvertes jusqu’au 23 décembre ; pour la première semaine elles sont déjà closes. Les renseignements complémentaires, notamment sur les tarifs, peuvent se trouver sur le site de la Ville : reims.fr.
3 Bibliothèques
La médiathèque Croix-Rouge organise dès ce samedi 19 décembre une après-midi spéciale « jeux vidéo rétro » ; quatre ou cinq consoles attendront les amateurs de Nintendo, PlayStation et autre Game cube à partir de 14 heures et jusqu’à 16 h 30.
Celle de Laon-Zola donne rendez-vous mercredi 30 décembre de 14 heures à 17 h 30 pour des jeux de société, tangram, et jeux de cartes à disposition. Entrée libre. Cinéma à Jean-Falala mercredi 23 décembre à 15 heures, avec un programme de 4 courts-métrages enneigés, pour un public à partir de 4 ans.
4 Hôtel le Vergeur
Mini stage de deux jours, les mardi 22 et mercredi 23 décembre, pour apprendre aux enfants à confectionner un jeu d’autrefois. Horaires : 9 h 30-midi. Participation 12¤. Renseignements au 03 26 47 20 75.
5 Cours de natation
Pour ceux qui voudraient profiter de ces journées de liberté pour apprendre à nager ou se perfectionner, le service des sports organise des cours de natation : deux fois quatre jours, à Talleyrand et aux Thiolettes. Tarif 24¤ pour un Rémois, 40 pour un extérieur. Ces cours sont ouverts aux enfants, certes, mais aussi aux adultes. Renseignements à prendre directement auprès des piscines. Talleyrand : 03 26 47 56 18, Thiolettes : 03 26 05 04 25.
6 Planétarium
Pour plonger dans le monde fascinant de l’immensité de l’univers, séances au planétarium tous les jours de 14 à 18 heures du 19 décembre au 3 janvier, sauf 25 décembre et 1 er janvier. Trois séances par après-midi : 14 h 30, 15 h 30 et 16 h 45 avec 3 programmes différents : Mais où est passée l’Étoile du Berger ? pour enfants de 5 à 7 ans. L’énigme de l’étoile de Noël, à partir de 9 ans. Légendes du ciel d’hiver à partir de 8 ans. Renseignements au 03 26 35 34 70.
7 Palais du Tau
Atelier pour les 6-12 ans mardi 22 décembre à 14 h 30. Initiation au théâtre d’ombre pour les 7-12ans mardi 29 et mercredi 30 décembre à 14 h 30. Réservations au 03 26 47 84 74 ou à palaisdutau@monuments-nationaux.fr.
Antoine Pardessus
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De nombreuses animations ont déjà eu lieu dans le cadre de l’opération « Noël dans la rue » à Jean-Jaurès.
Le point d’orgue aura lieu ce samedi 19 décembre avec une grande parade de Noël suivie d’un spectacle. Le départ aura lieu à l’espace Chalet (38 bis, rue de Solférino) à partir de 14 heures. Enfants et adultes sont invités à déambuler dans le quartier avec la calèche du Père Noël, accompagnée par la batucada des Ritmistas dos Pily et les majorettes du groupe les Diablesses. Le cortège arrivera à l’espace le Flambeau (13, rue de Bétheny) vers 16 heures où un chocolat chaud sera servi. S’ensuivra un spectacle tout public offert à 16 h 30 : « La fête à pas de chance », par la compagnie Tête d’Orange (conte festif et interactif à partir de 3 ans).
La dernière animation aura lieu jeudi 24 décembre à 14 h 30, espace Flambeau, avec une projection de cinéma solidaire : « Minuscule, la vallée des fourmis perdues ». De beaux moments en perspective avant les fêtes de fin d’année.
Renseignements et réservations, espace Le Flambeau, 13, rue de Bétheny, tél. 03 26 07 28 21, leflambeau@maisondequartier-reims.
Organisés au centre de Ligue de Reims, les championnats régionaux + 35 ans par équipes ont souri aux favoris marnais. En effet, chez les messieurs, le TC Géo-André a pris le meilleur sur les Aubois du TC Creney (4-1).
Non sans difficultés puisque trois matches sur quatre ont été acharnés en trois sets mais les Rémois avaient assuré l’essentiel en menant 4-0 à l’issue des simples.
L’équipe était composé de Leroy (5/6), Bertaux (5/6), Duval (15) et N’Guyen (15).
Du côté des dames, le TC Creney a également subi la loi marnaise, cette fois des dames de TC de la Côte des Blancs.
Nettement supérieures, les mesnilo-avizoises ont dominé les débats, hormis Julie Carré (15/2) victime d’une « contre » à 15/4. Ketty Koniushok (5/6), Stéphanie Hennepeaux (15/3) et Émmanuelle Rouyer (15/5) complétaient la formation.
Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 0 h 45, les pompiers sont intervenus rue de l’Église à Gueux pour éteindre un feu de guirlande sur la voie publique. Un court-circuit est probablement à l’origine de l’incendie.
La veille à 20 h 30, un début d’incendie s’est déclaré sur un compteur électrique, chemin de Reims à Jonquery, près de Ville-en-Tardenois.
Mercredi à 18 h 45, des détritus ont été incendiés au troisième niveau d’un parking souterrain de la place Maurice-Utrillo à Reims. Un obsédé du briquet sévit-il dans le coin ? Mardi à 19 h 30, les pompiers étaient déjà intervenus place Utrillo à la suite d’un feu de conteneur enterré.
Toujours mardi, à 23 h 45, des cartons ont été incendiés au 11 e étage d’un immeuble de l’allée des Coquilles. Les incendiaires du quartier ont un faible pour le chiffre onze : hier à 0 h 30, non loin de là, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré au 11, avenue Bonaparte.
Mercredi à 1 heure du matin, une poubelle a brûlé avenue de Laon, sans indication de numéro.
Hier jeudi, à 11 heures, les pompiers ont fait un tour au parc Léo-Lagrange, non pas pour faire un jogging mais pour éteindre un tas de feuilles mortes qui a pris feu mystérieusement.
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« Bonjour, je m’appelle Lina. J’ai 10 ans et je voulais donner mes idées au conseil municipal des jeunes. »
« Bonjour, je m’appelle Colas. J’ai 14 ans et j’aimerais apporter des choses à la ville. »
« Bonjour, je m’appelle Vanessa. J’ai 13 ans et je suis de Croix-du-Sud. J’aime bien le CMJ. »
Sourires complices et petits fous rires hier dans la salle du conseil municipal où se tenait une nouvelle assemblée plénière du conseil des jeunes, présidée par Kim Duntze, adjointe au maire chargée de la famille, de la jeunesse et des seniors. Et comme il y avait quelques petits nouveaux, les collégiens se sont à nouveau présentés à certains de leurs collègues adultes, Charles Germain (commerce), Raphaël Blanchard, Fatima El Haoussine (logement et politique de la ville), et Stéphane Lang (sport).
Et surprise… Arnaud Robinet est aussi venu saluer les jeunes, les encourager et les remercier de leur implication pour la vie de la cité. « Ce mandat vous prépare de manière plus active à vous investir dans d’autres structures comme des associations » , a précisé le maire.
« C’est un bel engagement » , a aussi précisé Charles Germain, expliquant qu’il avait en charge 3 500 commerçants, les enseignes, les droits de terrasse, les normes pour les personnes handicapées, la fête foraine, le marché de Noël… Bref, la fonction d’élu n’est pas toujours simple.
Fatima El Haoussine a évoqué à son tour les sept quartiers prioritaires de la ville et la nécessité d’y apporter du renouveau. Et les jeunes ont eu à nouveau la parole pour raconter leurs expériences au séminaire de rentrée, puis lors des cérémonies de l’Armistice de 1918 à Paris et Reims, et la journée nationale de la laïcité au cours de laquelle ils ont beaucoup appris.
La commission du « vivre ensemble » a rappelé sa fonction, lutter contre les préjugés et rapprocher les générations. Celle du sport a aussi de nobles objectifs : valoriser la place des filles et organiser pour elles « une activité qui bougera ».
M.-C.L.
Un feu de papiers a été signalé mardi vers 16 h 15, dans un immeuble de la rue Alain-Polliart dans le quartier Pays-de-France. Il a été éteint avant l’arrivée des secours.
Vers 19 h 30, c’est un feu de poubelle enterrée qui a mobilisé les pompiers, place Maurice-Utrillo.
Plus tôt dans la journée, vers 11 h 30, c’est rue Pluche, en plein centre-ville, qu’un feu de poubelle s’était déclaré.
L’origine des différents feux reste indéterminée.
Accueil de loisirs des enfants entre 3 et 12 ans, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, pour les vacances de Noël, fonctionnera du 21 au 24 décembre.
Inscriptions à faire rapidement au 3 allée Antoine-Watteau. Tél. : 03 26 36 03 50.
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![]() Au total, l’opération a réuni 138 jeunes filles de 7 à 12 ans issues de 20 clubs marnais, sur deux halls du Capitole de Châlons.
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Le District Marne a organisé son 3 e « Noël au Féminin » au Capitole de Châlons. Un mélange de pratique sportive, de citoyenneté et de générosité.
C’est une opération dont le football féminin est fier et il a raison ! Au Capitole de Châlons, le District Marne a allié ballon rond et gros cœur avec son « Noël au féminin » placé, pour cette 3 e édition, sous le signe de la générosité envers la Croix-Rouge (263 jouets récoltés) après l’hôpital des enfants de Châlons en 2013 et le Secours populaire l’an dernier.
Chaque famille pouvait ainsi apporter un jouet collecté de l’organisme tout en participant à un samedi après-midi de football dédié aux jeunes filles de 7-12 ans. « On a rassemblé celles déjà licenciées mais en leur proposant une animation différente de leurs habitudes » , précise Bernard Curel. Le conseiller technique régional était à la base de l’opération avec Kevin Suray, conseiller du District en football d’animation.
Mais, ce regroupement départemental n’était pas juste un prétexte à la pratique sportive. Il dépassait ce périmètre, et de loin ! Les 138 adhérentes réunies dans deux des halls de l’imposante structure châlonnaise ont ainsi pu livrer quelques matches, participer à des ateliers techniques mais, surtout, développer leur citoyenneté au travers d’exposés sur l’environnement, les comportements ou la santé. « On respecte le programme éducatif fédéral , poursuit le technicien. Chaque fille a pu participer à des jeux ou suivre des vidéos sur les économies d’énergie, les bonnes habitudes en matière de respect de la nature, les conseils de nutrition et d’hydratation. Un rassemblement de masse est idéal pour montrer qu’on contribue à former des citoyennes et pas seulement des footballeuses. »
L’opération sera renouvelée plusieurs fois dans la saison. Dès le 16 janvier, la même catégorie d’âge sera réunie à l’Arena Soccer de Reims pour la deuxième édition de la « Galette des reines ». Là encore, Bernard Curel et son équipe associeront sportif et pédagogie.
Philippe Launay
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Les festivités ont beaucoup plu, cette année, à l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion.
Près de 200 personnes se pressaient dimanche dans la salle polyvalente : une tablée de 30 personnes âgées et deux tablées de 40 jeunes avec de nombreux parents autour d’un copieux goûter, servi après une prestation des débutants en hip-hop.
L’après-midi se prolongeait par la lecture du palmarès du concours de dessin et la remise des cadeaux par le père Noël.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
L’accueil de loisirs des enfants entre 3 et 12 ans, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, pour les vacances de Noël, fonctionnera du 21 au 24 décembre.
Les inscriptions sont à faire rapidement au secrétariat, 3, allée Antoine-Watteau, tél. 03 26 36 03 50.
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L’assemblée générale de l’union sportive de l’enseignement du premier degré (USEP) a débuté en forme d’hommage. C’est en effet à l’école des Provençaux que le président de l’USEP de Reims, Pierre Camus, disparu en octobre, a enseigné. Pour Françoise Cloux, vice-présidente, « l’année passée a été un peu difficile. Le changement des rythmes scolaires nous a conduits vers l’inconnu. Ces bouleversements, associés à des ressources financières en baisse, ont contribué à un cumul de difficultés. » Ce qui n’empêche pas de considérer l’avenir de façon favorable : les activités proposées ont rencontré un franc succès. Notamment le Run in Reims, qui a gardé un nombre de participants record : près de 1700 jeunes « usépiens », 17 écoles rémoises représentées pour les 21 relais.
Les activités du mercredi après-midi se déroulent à guichets fermés : « C’est une évolution à laquelle nous devons réfléchir afin de pouvoir arriver à répondre aux attentes », a souligné F. Cloux, insistant sur le fait que « depuis toujours, nous nous efforçons d’aider les enfants de nos écoles à s’accepter et se respecter. Ceci n’a jamais été autant d’actualité. »
Parmi les nombreuses actions prévues, quelques nouveautés, les « Olympiades du vivre ensemble à Orgeval » qui vont concerner 4 écoles maternelles. Le « Défi nature » sera élargi à la journée « ce qui permettra aux quelques 300 jeunes de relever un plus grand nombre de défis. »
L’USEP construit également une programmation à l’attention des élèves de l’institut Michel-Fandre. Nouveauté : accueillir 6 enfants de 10 ans, souffrant de troubles du langage avec d’autres enfants de l’USEP, afin de dédramatiser le côté handicap.
Et bien évidemment, la vingtaine d’activités, randonnées, tennis, rugby, vélo, badminton, cross et athlétisme… ainsi que les rencontres véhiculant des messages autour de la santé, des valeurs du sport.
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C’était l’ouverture en Championnat de France par équipes. En N1 masculine, Reims accueillait le premier plateau avec la venue de Quimper et, logiquement, de Saint-Marcellin. Logiquement car le club isérois n’a jamais rallié le gymnase François-Legros, samedi (problème de bus).
Le RHM n’a donc fait qu’une bouchée des Bretons, promus. Cinq Rémois étaient en verve. Allan Poiret, avec son poids de corps à 64,7 kg, a égalé son meilleur score avec 85 kg arrachés et 110 à l’épaulé-jeté. Nicolas Chol (65 kg) a totalisé 203 kg.
Romain Dijoux (79,4 kg) réussit cinq essais pour rendre un total de 270 kg. De retour des Mondiaux de Houston (États-Unis), Kevin Bouly (104,8 kg) a réalisé 150 kg à l’arraché puis un joli 190 kg à l’épaulé-jeté. L’international du RHM a alors attaqué le record de France des 105 kg avec une barre à 204 kg. Bouly a bien amené les épaules mais ne s’est pas relevé de sa flexion, pénalisé par un petit déséquilibre.
Enfin, honneur à Ludwig Colombo (79,8 kg) qui s’est emparé du seul record de la Marne manquant à son tableau de chasse, celui de l’arraché (126 kg). Au final, le Rémois a totalisé 284 kg et porté le club au 5 e rang national après cette première journée.
La deuxième conduira le club à Neuilly-sur-Seine le 16 janvier. Le RHM y défiera le SC Neuilly et les Vauclusiens de Monteux.
Il faut rappeler que la finale nationale, à Caen le 19 mars, ne concernera que les neuf meilleurs équipes au terme des trois triangulaires. La troisième, pour Reims, se déroulera à Rueil-Malmaison le 13 février contre Rueil et Comines.
Samedi, Reims sera à Senlis (Oise) pour l’ouverture du championnat par équipes régional.
L’accueil de loisirs des enfants entre 3 et 12 ans, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, pour les vacances de Noël, fonctionnera du 21 au 24 décembre.
Les inscriptions sont à faire rapidement au secrétariat, 3 allée Antoine-Watteau.
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Depuis juin 2015, un bâtiment tertiaire, à l’architecture innovante et audacieuse, accueille une partie des services de l’Union départementale des associations familiales (Udaf). Cette dernière occupe, en tant que locataire de Reims Habitat, les 4 e et 5 e étages, ainsi que trois bureaux en rez-de-chaussée, soit une surface de 1 508 m 2 .
Construit dans le quartier de Croix-Rouge, le bâtiment répond à une démarche écologique et environnementale, privilégiant matériaux et lumières naturels. Les concepteurs ont voulu faire de #58 (ainsi nommé par son emplacement sur l’avenue du Général-Eisenhower) un outil de travail bioclimatique, privilégiant le confort des utilisateurs et des usagers.
« C’est important pour l’Udaf qui porte des valeurs de développement durable et les transmet auprès des publics via l’Écoappart. Cet aspect est particulièrement au cœur de l’architecture de cette période de COP21 » , a souligné la présidente, Danièle Quantinet lors de l’inauguration.
L’un des services les plus importants par la taille de l’Udaf, est celui des mandataires judiciaires à la protection des majeurs (Sauvegarde justice, tutelle, curatelle). Il gère 2 500 mesures de protection en direction des personnes qui ne peuvent pourvoir seules à la défense de leurs intérêts.
Une équipe de 52 personnes occupe désormais ce bâtiment. Xavier Rodriguez, chef de pôle des services des mandataires judiciaires, est très satisfait : « Les locaux sont fonctionnels, agréables, aux normes pour les personnes handicapées, on peut y recevoir le public dans de très bonnes conditions, ce que nous n’avions pas forcément précédemment. » Satisfaction partagée par le directeur de l’UDAF Marne, Jean-Noël Censier. « Si nous avons changé de locaux, c’est aussi parce qu’il y a une progression de nos activités. Notre installation au cœur de Croix-Rouge répond à un besoin de nous implanter au sein d’un quartier populaire, avec de grandes facilités d’accès. » Le bâtiment, initialement à vocation sociale, est à présent également destiné à recevoir une pépinière d’entreprises : une volonté d’amener du dynamisme, ce que n’a pas manqué de souligner Catherine Vautrin, présidente de Reims Métropole.
![]() À la crèche L’Envol de Reims, éducatrices jeunes enfants et auxiliaires de puériculture partagent le quotidien des bambins. A.J.
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Dès le plus jeune âge, l’enfant est confié à une assistante maternelle ou placé dans une crèche. Entouré de professionnel(le)s, il y fera son premier apprentissage de la vie.
Bientôt les vacances de Noël. À la crèche L’envol, en zone Farman à Reims, on est en plein préparatifs de la fête de fin d’année. Ici, la directrice, Sophie Cerceau, est infirmière puéricultrice. Elle est entourée d’une équipe d’éducatrices jeunes enfants et d’auxiliaires de puériculture, principalement. Toutes sont formées pour accueillir et accompagner des enfants de 2 mois à 6 ans. « Dire qu’on aime les enfants ne suffit pas pour exercer ce métier » , insiste la directrice de l’établissement. « Il faut prendre en compte l’enfant en tant que personne à part entière. Ce qui est renvoyé par l’enfant nous montre que nous sommes tous égaux. Le métier que nous faisons est basé sur la vie, sur du concret. »
Émilie Pereira, éducatrice jeunes enfants, acquiesce. « Trop de jeunes qui choisissent cette voie ne le font pas pour les bonnes raisons. Nous avons un rôle éducatif et social. Personnellement, j’ai des convictions éducatives. Il est important pour notre société de bien accompagner les enfants dès leur plus jeune âge » , explique cette jeune maman qui ne se destinait pas initialement à ce métier. Aujourd’hui, elle s’épanouit auprès des bambins qui fréquentent cette crèche interentreprises. « Ils sont ouverts et tolérants et nous apprennent beaucoup sur nous-même. » Léa Craichette, également éducatrice jeunes enfants insiste : « Quand on choisit cette voie, il faut savoir que cela remue beaucoup de choses en soi, sur sa propre éducation. Il faut être prêt à recevoir. » Ce métier « passion » doit, en effet, être vécu comme un élan. « On donne énormément et lorsqu’il n’y a plus rien, plus ce sentiment de bonheur et de partage, on arrête » , commente Sophie Cerceau, alors que retentit la sonnerie de son portable… des rires de bébé.
Au quotidien, cet élan se concrétise par un projet pédagogique mis en place avec le reste de l’équipe, en « piochant » dans les diverses méthodes pédagogiques (Montessori, Loczy Pikler…) mais aussi à travers les expériences personnelles et professionnelles des unes et des autres. Toujours dans un seul but permettre à l’enfant de grandir et s’épanouir au travers, notamment de l’éveil corporel, musical, etc.
Et les enfants le leur rendent bien. Ce vendredi soir, ils ont ri, applaudi et montré leur curiosité au fil des spectacles présentés par Julie, Laura, Noémie et les autres.
Travailler dans la petite enfance semble être mal perçu, avec « peu de reconnaissance » . « Nous travaillons sur une base de 35 heures » , explique Sophie Cerceau, la directrice de la crèche L’envol, « mais c’est un métier que nous vivons au quotidien. Sans interruption et parfois pour des salaires assez bas ». À savoir qu’une auxiliaire est embauchée au Smic, qu’une éducatrice jeunes enfants est payée en moyenne 1 200 euros à ses débuts et une éducatrice adjointe de direction est rémunérée environ 1 300 euros. Quant aux infirmières puéricultrices, elles sont payées environ 1 500 euros (si elle n’occupe pas un poste de directrice) et entre 1 700 et 1 800 euros, si elles occupent un poste à responsabilités (directrice, cadre). Dans le milieu hospitalier, les rémunérations diffèrent légèrement. En cause, le travail les week-ends et les nuits.
En Picardie et en Champagne-Ardenne, notamment, les Instituts régionaux de travail social (IRTS) sont des établissements supérieurs d’enseignement professionnel dans les secteurs social, éducatif, médico-social et du service à la personne. Ils sont agréés par le ministère chargé des Affaires sociales et le conseil régional. Les IRTS proposent des formations de niveaux I et II, pour l’encadrement des structures sociales et médico-sociales (certificat d’aptitude aux fonctions de directeur d’établissement social, aux fonctions de responsable d’unité d’intervention sociale et diplôme d’État en ingénierie sociale). Mais aussi des formations de niveau III, pour les métiers du social et du médico-social (diplôme d’État d’assistant de service social, de conseiller en économie sociale et familiale, d’éducateur de jeunes enfants, d’éducateur spécialisé, d’éducateur technique spécialisé). Enfin, il est possible d’obtenir des diplômes de niveaux IV et V pour des métiers spécialisés.
Pour tout renseignement : IRTS Champagne-Ardenne, 8 rue Joliot-Curie. Tél. 03 26 06 22 88. www.irtsca.fr
IRTS Picardie : www.sanitaire-social.com
Maître d’ouvrage : PLURIAL NOVILIA, SA d’HLM au capital de 13.380.464 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335.480.679, dont le siège social est sis 7, rue Marie Stuart – CS 80017 - 51723 Reims Cedex.
Affaire : Maintenance des portes de garages, barrières et portails automatiques (51 / 52) / Réf. marché : MA-240915.
Montant offres retenues (€ HT)
Lot 01 : Prix de base + P3 : Secteurs 1 (Châtillons), 4 (av. de Laon), 9 (Châlons-en-Champagne, Vitry-le-François, St-Dizier) : KONE (51) : 151.026,32 / Bordereau des prix unitaires : 28.964,00.
Lot 02 : Prix de base + P3 : Secteurs 3 (Croix-du-Sud), 5 (Épernay EX pat. Effort Rémois), 7 (Tinqueux), 8 (Reims Centre)
Divers : KONE (51) : 134.343,18 / Bordereau des prix unitaires : 28.964,00.
Pour tous renseignements, contacter le Service Marchés : Mme BERNARD-BARTHE, 03.26.04.98.30 / Mme GALLOIS, 03.26.04.99.05 / Mme FORRAY, 03.26.05.92.33.
Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 7 décembre 2015 au journal L’Union (Marne).
![]() Après lui avoir tiré dessus, la police a dû poursuivre le fuyard dans la ville. Archives
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De retour d’une agression à Épernay, les deux occupants d’une voiture avaient foncé sur la police à Reims : coup de feu, course-poursuite, prison.
Nuit du 18 au 19 novembre 2015, 3 heures. De passage boulevard d’Alsace-Lorraine à Cormontreuil, une patrouille voit un Citroën Berlingo qui coupe à travers le terre-plein central d’un rond-point pour rejoindre plus vite un camp de nomades. Sommé de s’arrêter, Domingo Coussantien, 27 ans, obtempère.
Les trois policiers descendent. Par la vitre ouverte, ils le voient sourire. Soudain, marche arrière, puis marche avant : le Berlingo fonce sur eux. Deux des agents sont obligés de se jeter au sol pour ne pas être percutés tandis que le troisième dégaine et tire un coup de feu en visant la roue avant droite.
Le chauffard parvient à passer. Pris en chasse, il traverse Cormontreuil, arrive à Reims, déboule rue de Courlancy où il évite de peu une voiture arrêtée au feu. Il en grille plusieurs, emprunte à contresens le pont du Général-de-Gaulle puis la rue Hincmar, avant d’être bloqué dans une impasse esplanade des Capucins.
Domingo n’est pas seul. Accroché au siège, il y a un parent, Jean Tousautien, 53 ans, sans doute bien content de voir la voiture s’arrêter. Il n’oppose aucune résistance, tandis que Domingo s’enfuit à pied. La brigade canine doit lâcher le chien pour le rattraper.
Rébellion et insultes : « Fils de p… ! Bâtards de schmits ! », etc. Dépistage d’alcoolémie : 1,50 gramme par litre de sang. Soins aux policiers : les deux agents qui ont roulé au sol pour éviter la collision sont légèrement blessés.
D’où revenait le duo ? D’un vol avec violence commis à Épernay, au domicile d’une dame handicapée qui avait hébergé Domingo Coussantien. En pleine nuit, ils ont sonné à sa porte, elle a ouvert, ils l’ont bousculée pour lui voler ordinateur et iPad retrouvés dans le Berlingo qu’une association rémoise d’aide et insertion avait confié à Domingo pour effectuer des travaux chez des particuliers. Jobs’51 avait en effet accepté de lui confier des missions. « On fait confiance à des gens, on les aide pour leur trouver du travail et voilà ce qui arrive… », soupire sa présidente lors du procès des deux hommes, vendredi, à Reims.
Les peines tombent : dix-huit mois de prison ferme pour Jean Tousautien, trois ans – dont trente mois ferme – pour Domingo Coussantien. Tous les deux restent en détention. Domingo devra également indemniser l’association : 1 823 euros correspondant aux frais de réparation du Berlingo.
« L’assurance ne prend pas en charge la réparation des pneus et de la portière à cause des circonstances. Depuis le 19 novembre, on ne peut plus faire travailler d’autres personnes qui ont besoin de cette voiture. »
Jobs’51 s’est même vu réclamer une amende de 135 euros. De retour d’Épernay, le 19 novembre à 2 h 48, le Berlingo est passé à 65 km/h, au lieu de 50, devant le radar du hameau de Montchenot.
FABRICE CURLIER
Le Père Noël a posé avec tous les enfants de Croix-Rouge présents samedi 5 décembre à la fête de quartier, salle Mauriac.
Les parents pourront récupérer la photo gratuite de leur(s) enfant(s) avec le sympathique barbu à l’espace Pays-de-France de la maison de quartier (10, avenue du Général-Bonaparte) les mardi 15 et jeudi 17 décembre de 14 h 30 à 17 heures.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Mercredi à 11 heures, avenue du Général-Koenig, le passager d’un bus qui n’avait pas composté son ticket a refusé de donner son identité aux contrôleurs. Il a eu la même attitude avec les policiers. Le ton est monté, le voyageur s’est rebellé, au point qu’il a fallu le plaquer au sol pour le maîtriser. Âgé de 23 ans, il a fait l’objet d’une composition pénale : 150 euros d’amende et obligation de suivre un stage de citoyenneté.
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Trouvé errant dans le quartier Croix-Rouge, ce gentil croisé berger n’a pas été réclamé.
Il a 8 ans et il a été muni d’une puce électronique 250268500938394.
Les championnats de Ligue + 35 ans par équipes se déroulent aujourd’hui (demi-finales) et demain (finales) au centre de Ligue de Reims.
Les messieurs de Géo-André et les dames du TC de la Côte des Blancs défendront les chances marnaises et tenteront de se qualifier pour les championnats de France.
Les espaces Watteau et Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge proposent une série d’activités pendant la semaine de Noël.
Mardi 15 décembre, sortie au marché de Noël.
Mercredi 16 décembre, de 9 à 11 heures, atelier cuisine (2 € par personne). À partir de 15 heures, fête des P’tits bouts, réservée aux familles de la halte-garderie et du lieu d’animations parents-enfants.
Jeudi 17 décembre, de 14 heures à 16 h 30, après-midi scintillante (activités créatives).
Vendredi 18 décembre, de 14 heures à 16 h 30, atelier art floral, 5 € par personne.
De 19 heures à 22 h 30, soirée de Noël : déambulation dans le quartier, repas poulet basquaise, tombola, musique, 5 € pour les adhérents, 7 € pour les non adhérents, 2,50 € pour les enfants de 3 à 10 ans (inscription obligatoire, 03 26 36 03 50).
Mercredi vers 13 h 30, un sèche-linge a pris feu rue du Bois-du-Salut à Jonchery-sur-Vesle. Trois heures plus tard, un conduit de cheminée s’est emballé place de la Haubette à Witry-lès-Reims. Les pompiers locaux ont éteint le foyer avant l’arrivée des renforts rémois. En soirée, à 21 h 10, une friteuse électrique s’est enflammée au rez-de-chaussée d’une habitation de la rue Houzeau-Muiron à Reims. Le locataire a réussi à éteindre les flammes. Les sapeurs ont coupé le courant, sorti la friteuse, ventilé la cuisine et procédé au dégarnissage de la hotte qui commençait à brûler.
La veille mardi, vers 23 h 20, un incendie s’est déclaré sur le fourneau à bois d’une habitation de l’avenue Paul-Marchandeau. Arrivés de leur caserne toute proche, les pompiers l’ont rapidement éteint.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, à 1 h 15, une poubelle est partie en fumée place Georges-Braque.
![]() Le 11 octobre, des policiers furent fraîchement accueillis en descendant de voiture.
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Le 11 octobre, des policiers venus pour une interpellation avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge, sont pris à partie par « une dizaine de jeunes » . Repli des fonctionnaires. Des pierres ont été jetées dans leur direction mais aucun blessé n’est à déplorer. Les policiers disent avoir reconnu un visage, celui de Samy Bezaze.
Le 5 novembre, ce dernier est au volant d’une voiture lorsqu’il est de nouveau aperçu par des agents qui actionnent la sirène. Samy accélère, grille des feux et prend un sens interdit. Avant d’être interpellé. Il ne peut que reconnaître le délit de « refus par le conducteur d’un véhicule d’obtempérer à une sommation de s’arrêter » mais, quant aux incidents du 11 octobre, dément toute violence sur la patrouille. Il est néanmoins écroué.
Le jeune homme a comparu mardi. L’avocate des policiers « qui, ce 11 octobre, ne faisaient que leur travail » , réclame 500 euros au titre du préjudice moral pour chacun des deux fonctionnaires. La substitut du procureur regrette qu’ « encore une fois, Samy Bezaze s’illustre. À chaque fois, il a le même axe de défense : on l’a reconnu à tort. » Dix-huit mois de prison requis, dont quatre liés à la révocation d’un précédent sursis. Précisons que le prévenu, bientôt 22 ans, a été extrait la semaine dernière de sa cellule pour être déféré en comparution immédiate dans le cadre de deux dossiers de violences aggravées remontant à juillet et octobre 2015 (le procès a été renvoyé à début 2016). S’agissant du caillassage, son avocat évoque « une procédure bâclée » , concernant l’épisode du 11 octobre car « les policiers ne font aucune description physique de l’individu » reconnu.
À l’issue du délibéré, les juges déclarent coupable Samy Bezaze et le condamnent à 14 mois de prison. Maintien en détention avec, en prime, une interdiction de séjour dans la Marne pendant trois ans.
Mathieu Livoreil
Belote à croix du sud, dimanche 13 décembre à 13 h 30, 5, avenue Léon-Blum à Reims. Renseignements au 06 25 09 65 35.
![]() Avec 1050 participants, il fallait parfaitement se placer dès le départ des courses. EE
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![]() Lilou Faillot artisane du 5e rang par équipes des minimes de Mont d’Hor Saint-Thierry.
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Le complexe d’Henri-Terré de Troyes a fait la part belle aux élèves de l’académie de Reims hier. Les Marnais ont décroché cinq titres.
1050 élèves. Le complexe Henri-Terré de Troyes était bondé, hier après-midi pour les championnats académiques de cross-country. Pas un record mais presque. « Nous ne sommes pas loin du record de participants sur une épreuve de cross, c’est plaisant. Cette discipline fait vraiment des émules », se satisfaisait le président régional de l’UNSS, Christophe Sarre.
Les établissements de la Marne ont brillé dans l’Aube en remportant cinq titres, dont deux en individuels grâce à Pauline Landron (cadettes, François-Arago Reims) et Charles Bertier (juniors-seniors, Etienne Oehmichen Châlons-en-Champagne).
Sous un climat agréable, « nous avons connu des académiques sous la neige » , poursuivait Christophe Sarre, le relais pour les lycées professionnels a fait recette. « La formule d’un relais a plu aux participants. Nous voulions ouvrir l’accès à ces cross aux élèves des lycées pro » , expliquait le directeur régional du sport scolaire. Et pour cette nouveauté, Bar-sur-Seine a brillé en s’imposant face à six autres établissements.
Les championnats de France se dérouleront le 20 janvier à Nantes.
FILLES BENJAMINES Individuelles
1) Catelle Mourgues (Estic de Saint-Dizier) 2) Ylona Sovy (Marie Curie) 3) Angele Lallement (Jean Macé de Charleville) 4) Lena Aveline (Pierre Labonde de Méry-sur-Seine) 5) Flavie Martin (Louise Michel de Chaumont) 6) Valentine Pingris (Julien Régnier de Brienne) 7) Candice Beirao (Paul Langevin de Sainte-Savine) 8) Audrey Tchirikhtchian (Sacré Cœur de Reims) 9) Maissam Kadiri (Bayard de Charleville) 10) Camille Requena (Les Vignes du Crey de Prauthoy) 11) Farah Maddouri (Jean Macé de Charleville) 12) Magdalena Brilland (Souverville de Pont-Faverger) 13) Fleur Gelin (Cote Legris d’Epernay) 14) Lou-Ann Guérard (Jean Macé de Charleville) 15) Lou Carpentier (Terres Rouges d’Epernay)
FILLES BENJAMINES Équipes
1) Collège Jean Macé de Charleville 2) Pensionnat du Sacré Cœur de Reims 3) Collège Robert de Sorbon de Rethel 4) Collège Jean Moulin de Saint-Memmie 5) Collège Jean Jaurès de Nogent-sur-Seine 6) Collège Perrot d’Ablancourt de Châlons 7) Collège Louis Pasteur de Suippes 8) Collège Louis Bruntz de Bourmont
FILLES MINIMES Individuelles
1) Léonie Charlier (Jules Leroux de Villers-Semeuse) 2) Hemma Bouazzouz (Jean Rogissart de Nouzonville) 3) Louise Lebrun (Marie Curie de Troyes) 4) Maria Régnier (Les Franchises de Langres) 5) Pauline Champion (Saint-Saëns de Chaumont) 6) Apoline Lambert (Louis Pasteur de Suippes) 7) Juliette Johann (Jules Leroux de Villers-Semeuse) 8) Justine Amour (Mabillon de Sedan) 9) Loubna Boujamda (Mallarmé de Fère-Champenoise) 10) Lou Perrin (Les Franchises de Langres) 11) Léane Klein (Victor Duruy de Châlons) 12) Jeanne Peyronnet (Mabillon de Sedan) 13) Ellora Bourgeois (Les Deux Vallées de Monthermé) 14) Amandine Kolaczek (Saint-Etienne de Chalons) 15) Flora Maire (Louis Bruntz de Bourmont)
FILLES MINIMES Équipes
1) Collège Marie Curie de Troyes 2) Collège Jules Leroux de Villers-Semeuse 3) Collège Victor Duruy de Châlons-en-Champagne 4) Collège des Deux-Vallées de Montherme 5) Collège Mont d’Hor de Saint-Thierry 6) Collège Louis Bruntz de Bourmont 7) Jean-Baptiste Drouet de Sainte-Menehould 8) Collège Mabillon de Sedan
FILLES CADETTES Individuelles
1) Pauline Landron (François Arago de Reims) 2) Mathilde Serodon (François Arago de Reims) 3) Camille Carrier (François d’Arago de Reims) 4) Meryem El Baakak (François d’Arago de Reims) 5) Léa Carabasse (Chrétien de Troyes) 6) Léa Bertrand (François d’Arago de Reims) 7) Valentine Masson (Edouard Herriot de La Chapelle) 8) Chloé Simon (Edouard Herriot de La Chapelle) 9) Cécile Vanegue (Thomas Masaryk de Vouziers) 10) Elsa Martinelli (Diderot de Langres) 11) Tamara Sol (Etienne Oehmichen de Châlons) 12) Romane Perrin (Diderot de Langres) 13) Maeva Gilles (Pierre Bayen de Châlons) 14) Laure Peligri (Avize Viti campus d’Avize) 15) Lucilia Galichet (Etienne Oehmichen de Châlons)
FILLES CADETTES Équipes
1) Lycée François d’Arago de Reims 2) Lycée Diderot de Langres 3) Lycée Pierre Bayen de Châlons 4) Lycée Etienne Oehmichen de Châlons 5) Lycée Thomas Masaryk de Vouziers 6) Lycée Charles de Gaulle de Chaumont 7) Lycée de la nature et du vivant de Somme 8) Lycée Jean Jaurès de Reims
FILLES JUNIORS-SENIORS Individuelles
1) Méline Rollin (Chanzy de Charleville) 2) Lucie Nivet (Chanzy de Charleville) 3) Marie Nivet (Chanzy de Charleville) 4) Cassandra Ferey (François d’Arago de Reims) 5) Coline Martinet (Chanzy de Charleville) 6) Mathilde Dubois (Nature et vivant de Somme) 7) Louise Pihet (Chanzy de Charleville) 8) Lucie Chaffaut (Marie de Champagne de Troyes) 9) Charlotte Mahieu (Chanzy de Charleville) 10) Marion Neveux (Pierre Bayle de Sedan) 11) Salma Nouache (Diderot de Langres) 12) Coline Peru (Edme Bouchardon de Chaumont) 13) Philomène Carton (Chrétien de Troyes) 14) Soline Gonet (Joliot Curie de Romilly-sur-Seine) 15) Isalyne Aubry (Charles de Gaulle de Chaumont)
FILLES JUNIORS-SENIORS Équipes
1) Lycée Chanzy de Charleville 2) Lycée Diderot de Langres 3) Lycée Pierre Bayle de Sedan 4) Lycée de la nature et du vivant de Somme 5) Lycée Joliot Curie de Romilly-sur-Seine 6) Lycée Avize Viti campus d’Avize 7) Lycée Rethel
GARÇONS BENJAMINS Individuels
1) Jules Lebrun (Marie Curie de Troyes) 2) Malo Billaudel (Joseph Cressot de Joinville) 3) Jules Bloquet (Saint-Joseph de Reims) 4) Edwin Guyot (Louise Michel de Chaumont) 5) Rayan Ait-Brayam (Turenne de Sedan) 6) Celyan Djattit (Roger Salengro de Charleville) 7) Noe Pencet (Jean Moulin de Saint-Memmie) 8) Robin Ledouble (Saint-Etienne de Châlons) 9) Ridvan Temel (Léo Lagrange de Charleville) 10) Maxim Bideau Couty (Jean Moulin de St-Memmie) 11) Jules Lebel (JB Drouet de Sainte-Menehould) 12) Wyatt Jason-Valmorin (Paul Langevin de Romilly) 13) Joao Miart (Jean Macé de Charleville) 14) Nicola Piret (Turenne de Sedan) 15) Corentin Michel (Raymond Sirot de Gueux)
GARÇONS BENJAMINS Équipes
1) Collège Jean Moulin de Saint-Memmie 2) Collège Turenne de Sedan 3) Collège Marie Curie de Troyes 4) Collège Raymond Sirot de Gueux 5) Collège Cote Legris d’Epernay 6) Collège Louise Michel de Chaumont 7) Collège Nicolas Ledoux de Dormans 8) Collège Louis Bruntz de Bourmont
GARÇONS MINIMES Individuels
1) Tom Thierry (Louise Michel de Chaumont) 2) Romain Severin (François Arago de Reims) 3) Simon Michel (Camille-Saint-Saens de Chaumont) 4) Valère Mougeot (Diderot de Langres) 5) Osman Temel (Turenne de Sedan) 6) Turquan Trifaut (La Voie Châtelaine d’Arcis-sur-Aube) 7) Hugo Thirotel (Attigny Machault d’Attigny) 8) Théo Rollin (Val de Meuse de Nouvion-sur-Meuse) 9) Rémi Rougetet (Henri Vincenot de Chalindrey) 10) Sacha Cotard (D’Othe et de Vanne d’Aix-en-Othe) 11) Yanis Touzani (Pierre de Coubertin de Cormontreuil) 12) Sacha Huvet (Jean Moulin de Saint-Memmie) 13) Simon Odin (Diderot de Langres) 14) Elie Garnier (Pierrot d’Ablancourt de Châlons) 15) Constant Perrin (Henri Vincelot de Chalindrey)
GARÇONS MINIMES Équipes
1) Collège Turenne de Sedan 2) Collège Henri Vincenot de Chalindrey 3) Collège de la Voie Chatelaine d’Arcis-sur-Aube 4) Collège Perrot d’Ablancourt de Châlons 5) Collège Jean Moulin de Saint-Memmie
GARÇONS CADETS Individuels
1) Victor Odin (Diderot de Langres) 2) Guillaume Hay (François d’Arago de Reims) 3) Anthony Maquet (François d’Arago de Reims) 4) Mateo Fucho (François d’Arago de Reims) 5) Axel Hamon (François d’Arago de Reims) 6) Arthur Berthelin (Camille Claudel de Troyes) 7) Clément Frajafon (François d’Arago de Reims) 8) Flavian Parigaux (François d’Arago de Reims) 9) Axel Bragagnolo (Etienne Oehmichen de Châlons) 10) Bastien Rau (Saint-Laurent de Saint-Laurent) 11) Antonin Frejafon (François d’Arago de Reims) 12) Cyriac Caunois (Mabillon de Sedan) 13) Sacha Meuillet (Oudinot de Chaumont) 14) Tristan Grosstephan (François d’Arago de Reims) 15) Timothée Duchamp (Chrétien de Troyes)
GARÇONS CADETS Équipes
1) Lycée François d’Arago de Reims 2) Lycée François d’Arago de Reims 2 3) Lycée Chréstien de Troyes 4) Lycée Etienne Oehmichen de Châlons 5) Lycée Edme Bouchardon de Chaumont 6) Lycée Diderot de Langres 7) Lycée Camille Claudel de Troyes 8) Lycée de Saint-Laurent
GARÇONS JUNIORS-SENIORS Individuels
1) Charles Bertier (Etienne Oehmichen de Châlons) 2) Othmane Allou (François 1er de Vitry) 3) Tom Mayer (François d’Arago de Reims) 4) Lucas Goustiaux (Edme Bouchardon de Chaumont) 5) Valentin Brungard (Edouard Herriot de La Chapelle) 6) Jean Petitfout (Charles de Gaulle de Chaumont) 7) Gabriel Theunis (Armand Malaise de Charleville) 8) Antonin Ferreira (Pierre Bayen de Châlons) 9) Jean-Baptiste Aimont (François d’Arago de Reims) 10) Narek Minassyan (Edme Bouchardon de Chaumont) 11) Jérémie Allinger (Chretien de Troyes) 12) Fabian Berraboukh (Diderot de Langres) 13) Thomas Mougel (Edouard Herriot de La Chapelle) 14) Laelien Defontaine (Nature et vivant de Somme) 15) Danco Dello (Diderot de Langres)
GARÇONS JUNIORS-SENIORS Équipes
1) Lycée Edouard Herriot de La Chapelle-Saint-Luc 2) Lycée Diderot de Langres 3) Lycée Pierre Bayen de Châlons 4) Lycée de la nature et du vivant de Somme 5) Lycée EPL de l’Aube Crogny de Saint-Pouange
RELAIS LYCÉES PROFESSIONNELS
1) LP Bar-sur-Seine 2) LP JB Clément de Sedan 3) LP Julio Curie 4) LP Gabriel Voisin de Troyes 5) LP Bar-sur-Seine 2 6) LP Château/Sedan 7) LP S. Veste
Les espaces Watteau et Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge proposent une série d’activités pendant la semaine de Noël.
Mardi 15 décembre, sortie au marché de Noël de Reims.
Mercredi 16 décembre, de 9 à 11 heures, atelier cuisine (2 € par personne). À partir de 15 heures, fête des P’tits bouts, réservée aux familles de la halte-garderie et du lieu d’animations parents-enfants.
Jeudi 17 décembre, de 14 heures à 16 h 30, après-midi scintillante (activités créatives).
Vendredi 18 décembre,
- de 14 heures à 16 h 30, atelier art floral (fabrication de centres de tables de Noël) 5 € par personne.
- De 19 heures à 22 h 30, soirée de Noël : déambulation dans le quartier, repas poulet basquaise, tombola, musique.
5 € pour les adhérents, 7 € pour les non adhérents, 2,50 € pour les enfants de 3 à 10 ans. Inscription obligatoire, au secrétariat 3, allée Antoine-Watteau (03 26 36 03 50).
Les maisons de quartier Croix-Rouge et Maison-Blanche proposent une sortie familles à Paris le samedi 12 décembre.
Au programme, la visite du palais de la Découverte et les illuminations de Noël.
Départ de la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard 12, rue Pierre-Taittinger, à 7 h 30. Départ de la maison de quartier Maison-Blanche, 41 boulevard des Bouches-du-Rhône à 7 h 40. Pour tous, retour vers 20 heures.
Prévoir vêtements chauds, pique-nique et goûter.
Tarifs : à partir de 4 ans, 8 € . Moins de 3 ans : 3 €. Adhésion à la maison de quartier obligatoire. S’inscrire auprès des animatrices référentes familles, Sarah Morillon à l’espace Billard (Croix- Rouge) et Sylvie Brin à Maison-Blanche.
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Récompenser ceux qui s’illustrent par leurs qualités morales et humaines : cette agréable mission vient d’être une nouvelle fois accomplie par les élus rémois.
Ils arrivent, ce vendredi, dans le grand salon Mars de l’hôtel de ville, plus ou moins intimidés, les plus jeunes accompagnés de leurs familles et de quelques enseignants.
Visiblement heureux, comme les autres élus présents, de « mettre à l’honneur certains de nos concitoyens qui se sont illustrés durant l’année par leurs qualités morales et humaines, au sein de leurs entreprises ou établissements scolaires », Arnaud Robinet, maire de Reims, a rappelé que « promouvoir le civisme, distinguer l’excellence, sont des idéaux qui, plus que jamais en ce moment, doivent nous rassembler. »
La Ville participe financièrement à ces prix, provenant de dons et legs, afin que perdure cette coutume, qui, à l’origine, s’appelait « prix de vertu ».
Parmi ces prix, on notera le Louise-Berthe, décerné, d’une part à des jeunes gens méritants, accueillis dans un établissement à caractère social ; décerné également à 12 élèves qui se sont fait remarquer par leurs résultats scolaires et leur état d’esprit (lire par ailleurs).
Il se trouve cette année que le prix Louise-Berthe a été décerné à… Yacouba Berthe ! L’homonymie a évidemment fait sourire. Sans aucun lien de parenté avec la donatrice, le jeune homme en question est en section horticulture au lycée Gustave-Eiffel et très bon élève. « Horticulteur, c’est vraiment un métier qui me plaît, témoigne-t-il. J’adore m’occuper des plantes et surtout des légumes. J’ai effectué trois mois de stage aux espaces verts de la Ville et un mois dans une entreprise horticole et maraîchère de Tinqueux. »
Les lauréats des prix du mérite et du civisme pour l’année 2015 sont les suivants :
prix Edouard-Mignot (salariés de l’alimentation) : Caroline Dubois et Philippe Copié (Société Leclerc).
Prix Veuve Blisson-Lavaine (célibataires particulièrement méritants) : Pascal Hurteaux et Laurent Cuvereaux (Société Leclerc).
Prix Piper, Puel-Collet Lefert, Pommery et divers : Kévin Zanin, étudiant à l’Esad de Reims.
Prix Louise-Berthe. Décerné d’une part à des jeunes gens méritants accueillis dans un établissement à caractère social : Romaric Akille, foyer Saint-Remi, lycéen en seconde générale et Anna-Belle Meynieux (Réseau éducatif de soin et d’accueil champenois), actuellement étudiante en faculté. Décerné également à 12 élèves qui se sont fait remarquer par leurs résultats scolaires et leur état d’esprit.
- Niveau écoles : Elias Tafnakji (Voltaire/Université), Ersin Cil (Barthou).
- Niveau collèges : Arletty Joy Habyalimana et Camille Lesure (Georges-Braque), Lisa De Sousa (Pierre-Brossolette), Nezar Alsdai (Joliot-Curie).
- Niveau lycées : Susanthika-Dilshani Rodrigo (François-Arago), Chad Klatt (Franklin-Roosevelt), Yacouba Berthe (Gustave-Eiffel), Noémie Copitet (Georges-Clemenceau), Samantha Guillaume (Georges-Brière), Adélaïde Lebrun (circonscription solidarité départementale Porte-Mars).
Sortie familles à Paris organisée par les maisons de quartier Croix-Rouge et Maison-Blanche ce samedi 12 décembre.
Au programme, la visite du palais de la Découverte et les illuminations de Noël.
Départ de la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard, 12, rue Pierre-Taittinger, à 7 h 30.
Départ de la maison de quartier Maison-Blanche, 41, boulevard des Bouches-du-Rhône à 7 h 40.
Pour tous, retour vers 20 heures.
Prévoir vêtements chauds, pique-nique et goûter.
Tarifs à partir de 4 ans, 8 €, moins de 3 ans, 3 €. Adhésion à la maison de quartier obligatoire.
S’inscrire auprès des animatrices référentes familles, Sarah Morillon à l’espace Billard (Croix- Rouge) et Sylvie Brin à Maison-Blanche.
![]() Toutes les agressions ont eu lieu avenue Bonaparte, dans la traversée de Croix-Rouge.
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Accusés d’une série de violences à Croix-Rouge, cinq jeunes de 18 à 21 ans ont été écroués dans l’attente de leur procès. Tous contestent les faits.
Il ne fait pas bon croiser certaines troupes dans les quartiers, celles qui ont la savate et le poing faciles pour détrousser des passants, régler des comptes ou sanctionner des comportements qui déplaisent. Soupçonnés de tels agissements commis à Croix-Rouge, cinq camarades de 18 à 21 ans ont été interpellés en fin de semaine dernière par les policiers de la sûreté départementale de Reims dans le cadre d’une enquête portant sur trois affaires de « violences en réunion » dont la plus ancienne remonte au 21 mai 2015.
Ce jour-là, deux jeunes gens d’origine guyanaise se trouvent dans le parc de l’avenue Bonaparte lorsqu’un groupe se dirige vers eux pour leur demander de partir au motif qu’ils n’ont rien à faire là. Coups de bâtons et gaz lacrymogène envoient les deux victimes à l’hôpital (trois et quatre jours d’incapacité totale de travail).
L’enquête permet de mettre en cause trois personnes : Wasim Bezaze, 18 ans, Mahrez Bakhouche, 19 ans, et Nasser El Hanine, 19 ans.
Deuxième agression le 7 juillet, toujours avenue Bonaparte. Selon ses déclarations, un fumeur de 46 ans est pris à partie par plusieurs individus qui lui reprochent de ne pas respecter le ramadan. Frappé à coups de pied, coups de poing et même avec une barre de fer (12 jours d’ITT), il désigne l’un des agresseurs comme étant Samy Bezaze, 21 ans, frère de Wasim.
Troisième agression le 10 octobre, encore avenue Bonaparte. Alors qu’un jeune de 20 ans souhaite rejoindre une soirée d’anniversaire, plusieurs individus lui barrent l’accès du hall au motif, selon les versions, qu’il n’a pas à rentrer dans « leur » immeuble ou que des copines à lui leur auraient mal parlé. Il tente de passer en force. Coups de pied, coups de poing, un jour d’incapacité.
La victime est formelle : deux des agresseurs sont Samy Bezaze et Nabil Chtaibi, 20 ans, lesquels contestent, comme tous les autres d’ailleurs. Nabil : « Je me souviens d’un rassemblement de Guyanais mais je ne sais pas ce qui s’est passé. Il est ensuite venu vers moi. Il venait de se faire agresser. Il m’a insulté alors que je n’avais rien fait. »
Au terme des gardes à vue, les cinq suspects ont été déférés en comparution immédiate mais toutes les affaires ont été renvoyées : celles du parc et de la cigarette au 5 janvier, celle de la soirée d’anniversaire au 21 janvier après un supplément d’information. Cinq mandats de dépôt ont été prononcés, sachant que trois des prévenus se trouvaient déjà en prison (les enquêteurs ont dû se rendre à la maison d’arrêt pour les arrêter).
Nasser El Hanine finissait de purger une peine de quatre mois ferme pour avoir frappé des policiers lors d’un flagrant délit de cambriolage rue de la Maladrerie. Wasim Bezaze attend d’être rejugé en appel après avoir pris un an de prison et 18 mois d’interdiction de séjour à Reims pour l’agression d’un passant roué de coups par plusieurs personnes sur le quai du tramway avenue Bonaparte. Son frère Samy, quant à lui, est en détention provisoire depuis le 6 novembre, accusé d’avoir caillassé des policiers sur cette même avenue Bonaparte. Il est d’ailleurs jugé aujourd’hui pour cette affaire.
Fabrice Curlier
Le premier tour de la Coupe de France des clubs jeunes s’est déroulé à Reims ce week-end. C’était une confrontation entre le Reims Haltérophilie Musculation et Langres.
Chez les cadets, le RHM a pris l’avantage grâce à son trio Franck Eloi - Elizéo Gustin - Armen Mkrtchyan, qui devancé deux équipes haut-marnaises. Les trois ont battu leur record personnel, avec une mention pour Mkrtchyan, qui a franchi un cap avec un épaulé-jeté à 110 kg en 69 kg.
Langres a tenu sa revanche chez les juniors avec son champion de France Brandon Vautard.
Du côté des féminines, la formation langroise s’est largement imposée à son homologue rémoise, diminuée par les blessures. Cependant, Caroline Sablon (cadette 1, 63 kg) a amélioré le record de Champagne, tandis qu’Émeline Peters et Kimberley Poiret ont sagement assuré leurs premiers essais.
Hors compétition, le minime Shamseddine Briot et le cadet Ahmed Brahim ont établi de nouveaux records régionaux.
En finale de zone Nord-Est, les cadets du Reims Haltérophilie Musculation, 2 es derrière les Alsaciens de Wittenheim, joueront la gagne. En revanche, les filles, classées 6 es , devront retrouver tous leurs moyens.
Comme l’an passé, le RHM affrontera Saint-Marcellin, samedi, pour le compte de la première journée de Nationale 1. Le promu Quimper fera également partie de la triangulaire qui se déroulera au gymnase François-Legros de Reims. Le club local présentera Kévin Bouly, de retour des Championnats du monde à Houston (Texas), Ludwig Colombo, en pleine forme, Romain Dijoux, Nicolas Chol et Allan Poiret.
Organisés dimanche au centre de Ligue de Reims, les Championnats de la Marne des jeunes ont connu des résultats conformes à la logique.
À noter toutefois les « perfs » d’Eliot Roussel (15, Vitry-le-François) et de Margaux Rubino (15/3, Cormontreuil), respectivement en 15/16 et 14 ans, qui tendent à démontrer que le niveau du tennis départemental est homogène.
12 ans : Delaval (15/5, Saint-Memmie) bat Magoma (30, Saint-Memmie)
6-2, 4-6, 6-4 ;
13 ans : Seimpere (15/1, Reims Europe Club) bat De La Bassetiere (15/1,
Cormontreuil) 6-4, 6-2 ;
14 ans : Vicaire (15, Cormontreuil) bat Amier (15, Société Nautique Épernay) 6-0, 6-3 ;
15/16 ans : Roussel (15, Vitry-le-François) bat Lopes (5/6, Cormontreuil) 7-6, 7-5 ;
17/18 ans : Samyn (15, TC Géo-André Reims) bat Ortonovi (15, Cormontreuil) 6-4, 5-7, 6-4.
13 ans : Hélène Pignon (30, Bezannes) bat Eva Fernandes (30, TC Reims) 6-2, 7-5 ;
14 ans : Margaux Rubino (15/3, Cormontreuil) bat Ania Renard (15/2, Cormontreuil) 3-6, 6-2, 6-1 ;
15/16 ans : Victoire Delattre (2/6, Reims Europe Club) bat Élise Renard (3/6, Cormontreuil)
6-1, 4-6, 6-3 ;
17/18 ans : Amélie Lamothe (15/1, TC Géo-André Reims) bat Mickaëlle Balloir (30/2, Sézanne) 6-0, 6-0.
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C’était la fête de Noël dans le quartier Croix-Rouge, samedi 5 décembre, dans la salle municipale Croix-Rouge, pleine à craquer avec plus de 300 personnes : familles et enfants réunis pour un spectacle.
Après une belle prestation de la chorale des enfants, et un spectacle féérique de marionnettes, « Noël de toutes les couleurs », un goûter a fait l’unanimité, pendant que le Père Noël commençait sa séance de photos, une séance qui a duré très longtemps, tous les enfants voulant leur portrait !
Les bénévoles et les professionnels de la maison de quartier, après une journée de préparation harassante, ont regagné leurs domiciles ravis : les enfants se sont vraiment bien amusés !
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Belote à Croix-du-Sud dimanche 13 décembre à 13 h 30, 5 avenue Léon Blum.
Renseignements au 06 25 09 65 35.
Fête de Noël du quartier Croix-Rouge à partir de 14 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
14 h 30, chorale (chants de Noël) ; 15 heures, chants gospel par Gospel Exo ;
15 h 20, spectacle de marionnettes « Noël de toutes les couleurs » ;
16 h 15, goûter et animation « Père Noël ».
Entrée libre.
Belote à Croix-du-Sud dimanche 13 décembre à 13 h 30, 5 avenue Léon Blum.
Renseignements au 06 25 09 65 35.
Depuis la rentrée scolaire 2014, une élève du lycée Joliot-Curie était importunée par un inconnu qui l’attendait régulièrement à la sortie de l’établissement, lui envoyait des bisous, lui demandait de monter dans sa voiture. La jeune fille de 17 ans laissait faire, en espérant que ce courtisan assidu allait se lasser. Eh bien non !
Le 8 octobre 2015, il a même franchi un cran. Ce jour-là, encore posté à la sortie du lycée, il a saisi la demoiselle par le bras, tout en l’ordonnant de le suivre en l’insultant. Dès le lendemain, elle se présentait au commissariat avec sa mère pour déposer plainte.
L’enquête confiée à la brigade départementale de protection de la famille a permis d’identifier Abdelkader Mesnoua, 31 ans, et de découvrir une autre lycéenne victime de faits similaires au printemps dernier. Interpellé cette semaine pour « harcèlement » et « violences » , l’homme a contesté les faits. Il a été jugé en comparution immédiate, déclaré coupable et condamné à un an de prison, dont six mois ferme avec placement en détention. Il a l’obligation de suivre des soins, d’indemniser les deux plaignantes et de ne plus fréquenter les abords de n’importe quel établissement scolaire.
7 associations rémoises se rassemblent pour favoriser le vivre ensemble
Les Francas, Femmes Relais 51, la Licra, le Ciam, l’AFEV, Questions d’Epoque et Radio Primitive ont décidé de se regrouper au sein d’un collectif afin de partager leurs réflexions, d’harmoniser leurs actions, de fédérer leurs énergies et de promouvoir les projets qu’elles conduisent au titre de la laïcité, de la citoyenneté et du vivre ensemble. Le collectif baptisé Agir dans la laïcité pour construire sa citoyenneté est soutenu par l’Etat, l’ARIFOR, Reims Métropole et la Ville de Reims.
Innovact Center : Reims ambitionne d’accueillir 1000 start-ups d’ici 10 ans
![]() Depuis le mois de septembre, Innovact Center accueille 9 startups. © l’Hebdo du Vendredi
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C’est le fol espoir formulé cette semaine par Jean-Paul Pageau, président de la CCI de Reims-Epernay, principal financeur avec Reims Métropole de la pépinière d’entreprises du territoire rémois, Innovact Center. Au #58, nom donné à l’immeuble abritant Innovact Center, situé en face du campus universitaire Croix-Rouge, 9 start-ups sont accueillies depuis le mois de septembre. « Deux sont déjà prêtes à voler de leurs propres ailes », assure Cécile Oudiette, directrice d’Innovact Center. Au sein de la pépinière rémoise, ces très jeunes entreprises, dont la moitié ne sont à la base pas originaires de Reims, semblent donc trouver les moyens de développer leurs projets. « Elles ont les idées et nous avons les réseaux, indique Catherine Vautrin, présidente de Reims Métropole. Nous ne nous contentons pas de les héberger pour un loyer modique, nous les accompagnons dans leur projet. Nous faisons le lien pour les aider à trouver des financements afin qu’elles passent de l’idée à la production économique. »
Pour la collectivité, l’objectif est bien sûr de faire en sorte qu’une fois arrivées à maturité ces entreprises restent sur le territoire rémois et créent de l’emploi localement. Et pour les accompagner encore davantage, Reims Métropole et la CCI réfléchissent maintenant à l’ouverture d’une boutique éphémère en centre-ville destinée à vendre leurs produits. En attendant, Innovact Center prépare activement le lancement du concours pour l’accueil de la seconde promotion de start-ups, prévu début 2016. « Nous avons eu 50 candidats pour 9 dossiers retenus en 2015. Nous en espérons beaucoup plus pour ce nouveau concours afin de sélectionner des projets les plus prometteurs », conclut Cécile Oudiette.
J.D
Plus d’infos sur www.innovact.com
Les maisons de quartier Croix-Rouge et Maison-Blanche proposent une sortie familles à Paris, samedi 12 décembre.
Au programme, la visite du palais de la Découverte et les illuminations de Noël.
Départ de la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard 12, rue Pierre-Taittinger, à 7 h 30. Départ de la maison de quartier Maison-Blanche, 41 boulevard des Bouches-du-Rhône à 7 h 40. Pour tous, retour vers 20 heures.
Prévoir vêtements chauds, pique-nique et goûter.
Tarifs : à partir de 4 ans, 8 €. Moins de 3 ans : 3 €. Adhésion à la maison de quartier obligatoire. S’inscrire auprès des animatrices référentes familles, Sarah Morillon à l’espace Billard (Croix- Rouge) et Sylvie Brin à Maison Blanche.
Fête de Noël du quartier Croix-Rouge, samedi 5 décembre, à partir de 14 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac. Les spectacles, organisés par la maison de quartier, sont gratuits.
![]() Cécile Oudiette, la directrice d’Innovact Center, croit beaucoup à l’innovation.Hervé Oudin
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En février prochain sera lancée à Reims la 2 e promotion de créateurs d’entreprises. Une formule qui intéresse un nombre croissant de jeunes.
Cécile Oudiette, la directrice d’Innovact Center à Reims, a vu les choses évoluer depuis une dizaine d’années. Le désir de créer sa propre entreprise ne touche plus les seuls quadragénaires qui veulent donner un nouvel élan à une carrière en berne. De plus en plus de jeunes « ont envie d’inventer leur propre modèle de travail car ils ne veulent pas faire comme leurs parents » . Aujourd’hui, la perception de l’entrepreneur a aussi beaucoup changé et « la prise de risque est davantage valorisée » . Rien d’étonnant, alors, que les jeunes soient de plus en plus nombreux à se tourner vers des structures comme Innovact qui leur donne un coup de main.
Hier, au « #58 », les bureaux d’Innovact situés au 58 avenue Eisenhower face au campus Croix-Rouge, Cécile Oudiette a fait le point avec Catherine Vautrin, la présidente de Reims Métropole, et Jean-Paul Pageau, le président de la Chambre de commerce et d’Industrie de Reims-Épernay. L’occasion d’annoncer que la deuxième promo Innovact sera lancée début février 2016 et devrait accueillir une dizaine de start-up, contre neuf aujourd’hui. « Pour la première promotion, nous avions reçu 50 candidatures. Nous espérons en avoir cette année beaucoup plus » , ont-il dit. Les trois partenaires, qui visent les 1 000 start-up dans les dix ans à venir, ont insisté sur leur volonté d’aider les créateurs d’entreprises tout en leur demandant de rester sur le territoire rémois. « Peu importe d’où viennent les personnes qui veulent innover. Hier, nous avons par exemple décidé d’incuber une Parisienne qui veut apporter des solutions aux commerçants. L’important est qu’ils souhaitent ensuite travailler ici » , a indiqué Cécile Oudiette.
Valérie Coulet
Fête de Noël du quartier Croix-Rouge samedi 5 décembre, à partir de 14 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
Le programme prévoit
à 14 h 30 chorale (chants de Noël) ;
à 15 heures, chants gospel par Gospel Exo ;
à 15 h 20, spectacle de marionnettes « Noël de toutes les couleurs »
et à 16 h 15, goûter et animation avec le Père Noël.
Le tout est gratuit.
Hier midi, une rame du tramway a percuté un piéton à l’arrêt Kennedy. Blessé légèrement, il a été transporté au CHU par les pompiers.
Rencontre sur l’apprentissage proposée par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Marne.
De 14 à 16 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre.
Fête de Noël du quartier Croix-Rouge samedi 5 décembre, à partir de 14 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
À 14 h 30, chants de Noël ;
à 15 heures, chants gospel par Gospel Exo ;
à 15 h 20, spectacle de marionnettes « Noël de toutes les couleurs » ;
à 16 h 15, goûter et animation avec le Père Noël.
Gratuit.
Si l’on en croit les participants au conseil de quartier, les habitants des Châtillons ont le sentiment d’être quelque peu abandonnés par la Ville, par comparaison avec d’autres secteurs pour lesquels des opérations de rénovation sont programmées, comme Croix-rouge ou Orgeval. « Mais nous avons réussi à inscrire les Châtillons dans l’enveloppe régionale de l’ANRU » (Agence nationale pour la rénovation urbaine), a rappelé le maire lors de la réunion de lundi. Ce qui veut dire qu’il y aura aussi des travaux de rénovation pour ce quartier, mais pas avant deux ans, « et les habitants seront consultés à ce propos le moment venu. » Une réunion d’information est précisément programmée sur ce sujet le samedi 12 décembre à 9 h 30 à l’école Mougne-Tixier.
Pas de surprise pour la 11 e édition du tournoi de CADM Mourmelon puisque l’un des principaux favoris, Nicolas Chauvin (15/2, Mourmelon), s’est imposé. Déjà vainqueur en 2013, ce dernier a profité d’évoluer à domicile pour de nouveau inscrire son nom au palmarès. Opposé au stade ultime au Rémois Raphaël Mension (15/3, Géo-André), il a dominé les débats (6-3, 6-3).
Quarts de finale : Chauvin (15/2, Mourmelon) bat Lesage (15/3, Taissy) 6-2, 6-3 ; Mulat (15/2, Vitry) bat Delmas (15/4, ASPTT Châlons) 6-2, 6-2 ; Andrieu (15/2, Courtisols) bat Pernel (15/5, Bétheny) 6-4, 6-3 ; Mension (15/3, Géo-André) bat Henrion (15/2, Nautique Epernay) par WO.
Demi-finales : Chauvin bat Mulat 6-4, 6-4 ; Mension bat Andrieu 6-0, 2-6, 6-1.
Finale : Chauvin bat Mension 6-3, 6-3.
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Avec 351 kg, le Rémois a battu son record aux Mondiaux américains mais cela n’a attribué que la 26 e place au sociétaire du RHM.
Tous le gratin de l’haltérophilie avait rendez-vous à Houston (Texas) pour des Championnats du monde distribuant une grande part des quotas pour les Jeux Olympiques de Rio de Janeiro l’année prochaine.
Toutes les catégories comptaient de trente-cinq à cinquante participants. Dans ce contexte concurrentiel, le Rémois Kévin Bouly a arraché une honorable 26 e place chez les 105 kg. À l’arraché, il a égalé son record au troisième essai avec 157 kg. Dès sa première tentative à l’épaulé-jeté à 194 kg, il a battu le record de la Marne.
Par deux fois, il a épaulé à 199 kg mais n’a pas tenu la barre au jeté. En tout cas, son total de 351 kg constitue le nouveau record départemental. À l’issue de la campagne américaine, l’équipe de France a obtenu trois quotas chez les hommes et aucun chez les femmes. L’ultime session de rattrapage pour décrocher une place de plus (dans chaque sexe) passera par le Championnat d’Europe qui se déroulera en Norvège en avril 2016. D’ici là, Kévin Bouly disputera le championnat de Nationale 1 sur quatre journées avec le Reims Haltérophilie Musculation (RHM).
Le Challenge d’automne, réservé aux séries départementales au maximum, a vu la participation d’une quinzaine de Rémois au gymnase François-Legros.
Bernard Gaillet (junior, 69 kg), Thibaut Noyelle (senior, 69 kg), Flavien Goubaux (senior, 77 kg), Florian Kreutzer (senior, 85 kg), Guillaume Chapman (senior, 94 kg) et Valentin Mayeur (senior, 105 kg) ont obtenu la première place. La meilleure performance a été à mettre à l’actif de Guillaume Chapman, auteur d’un épaulé-jeté à 120 kg, record personnel pour ce cross-fiter.
Du côté des féminines, Pauline Naels (senior, 58 kg) a effectué un retour gagnant. Elle a réalisé la seule série régionale devant Sophie Anaev (senior, 63 kg), série départementale, elle. Enfin, Claude Baechler en a profité pour se qualifier au National masters.
Le 1 er tour aura lieu ce samedi, à partir de 14 heures, au gymnase François-Legros. Il opposera les clubs de Langres et Reims en cadets, juniors et féminines.
Fête de Noël du quartier Croix-Rouge, le samedi 5 décembre, à partir de 14 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, située avenue François-Mauriac.
Au programme, à partir de 14 h 30, chorale (chants de Noël) ; 15 heures, chants gospel par Gospel Exo ; 15 h 20, spectacle de marionnettes « Noël de toutes les couleurs » ; 16 h 15, goûter et animation « Père Noël ».
Ces spectacles, organisés par la maison de quartier, sont gratuits
Lors du conseil de quartier de Croix-Rouge, jeudi soir, ni les habitants ni les élus n’ont fait dans la langue de bois.
Répondant à l’exaspération exprimée face à la délinquance, Catherine Vautrin, présidente de Reims Métropole a évoqué les moyens de lutter contre cet état de fait. Elle a même conclu : « Nous voulons rester Reims et non devenir Chicago. »
Le restaurant qui a ouvert à la fin de l’été au pied de l’université, en plein cœur de Croix-Rouge est un exemple du renouveau en cours dans le quartier.
Il porte bien son nom, « Le Fabulous », et il a créé 8 emplois. Il sera inauguré cette semaine.
Une fierté pour les habitants, qui y voient une preuve de confiance dans le potentiel économique de ce secteur rémois qui veut continuer à changer son image… et ses réalités.
Les prochaines permanences publiques des conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, se tiendront vendredi 4 décembre de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, 1 bis avenue du général-Bonaparte, et samedi 12 décembre de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.
![]() Depuis cet été, le citybus, navette électrique, dessert l’hypercentre de Reims. Archives Christian Lantenois
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À l’heure de la COP21, la Ville et l’Agglo déclinent leurs actions en termes d’écologie urbaine. Voici quelques exemples de ce que les collectivités mettent en place.
1 Bus électriques
Reims Métropole a mis en place cet été deux navettes électriques dans l’hyper centre. « Le circuit doit être élargi » , a indiqué Catherine Vautrin. Dans la foulée, Arnaud Robinet, maire, a souligné que le futur pôle multimodal avait pour but de faire disparaître les bus (classiques) de l’hyper-centre, en revoyant aussi le stationnement aux abords. « On ira vers davantage de piétonisation au cœur de ville, mais il faut d’abord réaliser les aménagements, donner les outils aux usagers. » Par ailleurs, Citura va renouveler sa flotte classique et se doter de véhicules de service électrique.
2 Le tri du verre
C’est une des fiertés de l’Agglo, visible par l’installation en cours de nouveaux conteneurs à verre en ville. 5 600 tonnes ont été collectées en 2014, mais il reste encore 7 kilos par habitant qui ne sont pas triés. Rappelons qu’une tonne de déchets non valorisés coûte 250 euros alors qu’une tonne de verre trié revient à 60 euros.
D’autant qu’à Reims, il existe un bel exemple d’économie circulaire. 100 % du verre est recyclé à Reims, transformé notamment en bouteille de champagne…
3 Pôle de bio-économie
Arnaud Robinet est allé il y a quelques mois à Washington parler de Reims capitale de la bio-économie, avec notamment le pôle de Pomacle-Bazancourt. On y travaille aux nouvelles énergies, nouvelles façons de consommer. La Ferme 112 tout juste mise en place sera un atout complémentaire où l’on préparera les techniques de cultures de demain, sans oublier la recherche. Faire le lien entre l’urbain et le rural, l’éventuel futur Grand Reims se positionne dans ce qui sera un de ses enjeux forts.
4 L’habitat
Un tiers des émissions de gaz à effet de serre est lié à l’habitat. Reims Métropole a mis en place une plate forme de la rénovation énergétique à Croix-Rouge, pour accompagner de manière de plus en plus personnalisée les habitants dans leurs travaux d’amélioration de performance énergétique de leur maison, appartement… Idem avec la mise en place d’une opération programmée de l’habitat ou de l’exonération de la taxe foncière pour les logements performants énergétiquement.
5 Disque vert
Depuis le 1 er juillet, les possesseurs d’une voiture émettant moins de 90 g de CO2 par km parcouru bénéficie d’un nouveau dispositif qui leur permet de stationnement gratuitement. Par ailleurs, la Ville de Reims investit dans des véhicules électriques. Depuis 2012, la part de cette catégorie de véhicules est passée de 9 à 17 % du parc automobile de la Ville.
6 Pistes cyclables
C’est l’un des reproches fait à la majorité municipale, le manque de pistes cyclables ou le peu de cas fait du vélo en ville. Arnaud Robinet, maire, a reconnu un besoin en la matière, lié selon lui « à l’histoire de la ville. Pour autant, à chaque aménagement, nous demandons qu’une piste cyclable puisse être intégrée, ce n’est pas toujours facile. »
Il a aussi évoqué la mise en place des parcs à vélos sécurisés dans les parkings. De même, Laure Miller, adjointe au développement durable, a assuré que la prise en compte du végétal était systématiquement demandée, « ce qui n’a pas été fait avenue de Laon, c’est dommage » , dit-elle. Le souhait est encore de créer une interconnexion entre les espaces végétalisés.
Yann Le Blévec