Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - février 2016.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « L’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 

 

 

***********************************

l’union 160304 c
AUJOURD’HUI

Permanence d’un écrivain public de 14 à 16 heures à la Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

***********************************

l’union 160304 b
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association de l’Etoile Croix-du-Sud, vendredi 11 mars à 18 heures dans le local associatif au 10, avenue Léon-Blum.

***********************************

l’union 160304 a
Futsal COUPE nationale (16 es de finale) : Reims n’a rien à perdre

Stéphane Le et une partie de ses joueurs, mardi, lors du dernier entraînement.
- Agrandir la photo

Division d’Honneur contre Division 1 : la venue de Béthune, demain en Coupe de France, constitue un temps fort dans la saison du RMF.

Aurélien Soisson, lui aussi, a voulu avoir confirmation. « Quand on m’a rapporté le score, j’ai demandé une deuxième fois. » Le président du Reims Métropole Futsal avait bien compris : l’équipe première venait de l’emporter… « 45-2 à Châlons » , aux dépens de l’ASPTT, pour le compte du championnat de DH. Rigoureusement dans le même temps, à Sin-le-Noble (Nord), Béthune allait gagner 3-4 et ainsi empocher son ticket pour les 16 es de finale de la Coupe de France. En entrant dans le gymnase du Verbeau, les joueurs de Stéphane Le ne savaient pas encore que leur visiteur de ce samedi (16 heures), salle Jean-Jacques-Lapicque (*), serait une D1. Tout juste pouvaient-ils le supposer et, comme Aurélien Soisson avant le 32 e contre Dombasle-sur-Meurthe, ardemment l’espérer. « Notre objectif était de sortir des phases régionales et de disputer un tour national face à un gros. Mais, pour avoir les joueurs régulièrement au téléphone, je sais qu’ils ne veulent pas s’arrêter en seizièmes… »

Boulkroune a purgé sa peine

La partie de plaisir en terrain châlonnais, en plus de permettre aux Rémois de soigner le goal average, leur aura servi à liquider la suspension de Cousaila Boulkroune, qui s’était vu infliger deux matches ferme pour avoir récolté un carton rouge direct à La Chapelle-Saint-Luc, le 1 er février, un soir mouvementé de défaite (9-7) dans la banlieue de Troyes.

Ça tombe bien, le RMF aura besoin de mobiliser toutes ses forces vives pour les jeter dans la bataille qui s’annonce demain au quartier Croix-Rouge. « On ne va pas seulement faire la fête du club » , assure Soisson, qui revendiquait hier « plus de 110 réservations » . « Nous avons une ville, une région aussi, à représenter » , avec ce sentiment agréable d’avoir « tout à gagner sur tous les plans » .

À événement exceptionnel, préparation exceptionnelle, sous la forme d’ « une mise au vert au Creps » , où le groupe prendra le déjeuner avant d’écouter la causerie de Stéphane Le et de rejoindre la salle, à un jet de balle.

Entrée au tarif de 2 euros, gratuite pour les moins de 12 ans.

Sylvain Mourroz

***********************************

l’union 160302 f
AUJOURD’HUI

Atelier : la sécurité sur Internet. Vous vous interrogez sur le devenir de vos données personnelles et sur la protection de votre vie privée ?

À 9 h 30, médiathèque Croix-Rouge, gratuit.

Inscription au 03 26 35 68 40.

***********************************

l’union 160302 e
A faire aujourd’hui : Prends la parole !

Tu as entre 11 et 15 ans et tu as envie de parler de sujets qui te tiennent à cœur ? Viens discuter à 14 h 30 à la Médiathèque Croix-Rouge. Gratuit.

***********************************

l’union 160302 d
Le mercredi, c’est permis : À chacun son histoire

« Une Carmen en Turakie », un spectacle dans un monde idéal. Romain Etienne
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

1 LES CONTES DES TOUT-PETITS

La médiathèque Laon-Zola invite les moins de 3 ans à se « promener dans les contes ». Aux côtés de Nadia et Carine, chant, frisson et rire seront au rendez-vous dès 10 heures. Renseignements au 03 26 47 79 41

2 LA PAROLE aux JEUNES

La médiathèque Croix-Rouge accueille les jeunes de 11 à 15 ans à partir de 14 h 30. Chacun pourra s’exprimer sur les sujets de son choix, qui l’intéresse ou le préoccupe, et poser ses questions. Renseignements au 03 26 35 68 40

3 EXPOSITION DETECTIVE ROLLMOPS

Toute la famille est invitée à découvrir un album atypique, une BD-jeu réalisée en gravure et selon le principe de l’OuBaPo (Ouvroir de bande dessinée potentielle), soit avec des contraintes artistiques volontaires. Les visiteurs peuvent inventer de nouveaux récits pour le détective de 14 à 18 heures au Centre de créations pour l’enfance à Tinqueux.

Renseignements au 03 26 08 13 26

4 QUE POUR LES FILLEs !

La maison de quartier Wilson accueille les filles de 10 à 14 ans de 13 h 30 à 17 h 30. Au programme, différentes activités tout au long de l’après-midi à l’espace Louise Michel. Tarif unique : 5 € par mois. Renseignements au 03 26 61 24 80

5 THÉÂTRE D’OBJET

Le manège de Reims propose aux enfants dès 8 ans et leurs parents de venir voir le spectacle « Une Carmen en Turakie ». Une mise en scène utilisant des objets étonnants, pour pouvoir donner vie à Carmen. Une fanfare de crabes, un chœur de poissons et même des crevettes mandolinistes. Tous sont présents pour divertir petits et grands.

Tarif plein à 22 € et 6 € pour les étudiants, les moins de 18 ans et les demandeurs d’emploi. Réservations au 03 26 47 30 40

Caroline Puissant

***********************************

l’union 160302 c

Loisirs

Belote à Croix-du-Sud, dimanche 13 mars à 13 h 30, 5 avenue Léon-Blum.

Renseignements au 03 26 06 56 66.

***********************************

l’union 160302 b
Rendez-vous

Permanences des élus à Croix-Rouge. Les conseillers départementaux de Reims 3 Albain Tchignoumba et Zara Pince assureront une permanence pour recevoir les habitants, vendredi 4 mars de 10 à 12 heures, à l’antenne municipale Croix-Rouge, 1 bis avenue du Général-Bonaparte, et samedi 12 mars de 10 h 30 à 12 h 30, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160302 a
Transports : Cinq ans après sa mise en service, le tramway divise

Selon les quartiers, la perception du tram est très différente : positive à Orgeval et à Croix-Rouge, beaucoup plus mitigée avenue de Laon, surtout du côté des commerçants. Bernard Sivade

Si la plupart des usagers semblent satisfaits, les commerçants de certains quartiers ne sont pas près de digérer l’arrivée du tramway, responsable à leurs yeux du déclin de leur activité.

On a tout lu et tout entendu sur le tramway au cours de ces 5 dernières années. Les Rémois paraissent néanmoins encore divisés à son sujet. Simple question de point de vue ou critiques objectives, le constat reste le même : le tramway ne se nomme pas désir pour tout le monde. Deux tendances se dégagent nettement. Ceux pour qui le tramway est une aubaine voire un confort, et ceux pour qui ce nouvel équipement reste synonyme de dégradation du cadre de vie et de baisse du chiffre d’affaires.

Dans certains quartiers comme à Croix-Rouge, le tramway fait l’unanimité auprès des commerçants et des riverains à quelques exceptions près. Yannick Omisse, gérant du magasin d’alimentation Darin Store, situé au 51, rue Pierre-Taittinger, voit le tramway comme un atout pour les commerces du coin : « C’est un plus. Nous avons un arrêt à proximité drainant pas mal de monde. Ce n’est pas négligeable. Le pire pour un commerce est d’être isolé. Lorsque nous avons fait le choix de nous implanter ici, le passage du tramway a été un élément déterminant ».

Des riverains satisfaits

Même son de cloche du côté de la boutique LLG Plus située un peu plus bas, au 4 bis avenue Bonaparte. La gérante Léo Lagrande indique qu’elle n’aurait pas fait « le choix de s’implanter dans ce quartier si le tramway n’y passait pas ». Les habitants non plus ne tarissent pas d’éloges à son sujet, à l’image d’Aïcha Medour : « Avant le tramway, le quartier était mort et délabré. Aujourd’hui, les commerces fleurissent et notre cadre de vie a changé. C’est super car on peut se déplacer rapidement. Le quartier a vraiment changé de façon positive ». Cependant, les critiques demeurent. Interpellés sur le sujet, des habitants restent sceptiques : « On a embelli le passage du tramway mais on a oublié d’aménager les artères adjacentes où vivent les gens ».

Dans le quartier Orgeval à l’autre bout de la ligne, la plupart des commerçants n’ont pas vu de grands changements, hormis en ce qui concerne la circulation des véhicules. Du côté de la Maison de santé située au croisement de la rue Gallieni et de la rue du Docteur-Schweitzer, on est plus acerbe. Valérie Adechokan, gérante de la pharmacie dépendante du pôle santé, n’a pas ressenti de réelle amélioration en rapport avec le passage du tramway : « Les travaux nous ont pourri la vie pendant 3 ans. Notre chiffre d’affaires a fait une chute de 10 % durant cette période. Depuis qu’il circule, nous n’avons pas vu d’amélioration. Les gens ne sont pas plus contents que ça puisqu’aujourd’hui, lorsqu’ils viennent nous voir, ils ne peuvent plus se garer ni même tourner dans la rue Galliéni. Ce n’est pas du tout un avantage ».

Un réel problème de stationnement

Pour les habitants du quartier Orgeval en revanche, bénéficier d’un service de transport rapide au pied de chez eux est un vrai confort. « Avant, lorsqu’on avait un rendez-vous important dans Reims, on avait toujours peur d’arriver en retard. Avec le tram on a moins de stress. Avec le bus, les embouteillages étaient récurrents », indique Alban C., un résident du quartier.

Mais c’est du côté de l’avenue de Laon que la grogne est la plus forte. Excepté quelques commerçants, la plupart d’entre eux gardent encore un goût amer. « J’ai perdu près de 20 % de mon chiffre d’affaires depuis sa mise en service. Comme il n’y a plus de place pour se garer, je vois nettement moins de monde. Si ça continue, je risque de mettre la clef sous la porte comme beaucoup d’autres ici », soupire Chantal Maire, gérante de la boutique de vêtements pour femme Chlorofil.

Sur le même ton, Éliane Monteremal, gérante du bar Au bon accueil, regrette l’époque où le tramway n’existait pas : « Notre avenue de Laon était si belle ! Aujourd’hui elle est triste et terne, il n’y a même pas de fleurs. Il n’y a plus personne dans les commerces, ils ferment les uns après les autres. On a perdu en qualité de vie et les affaires s’en ressentent ».

Au bar-tabac Le Lutetia, on regrette également le manque de places de parking. « Nos clients essaient de se garer mais prennent des amendes. Ce n’est pas bon du tout. On tue nos commerces à petit feu », s’égosille Yvon Bocahu, le gérant.

D’autres préfèrent positiver, à l’image de Stéphane Chaumuzart, gérant de la crêperie L’ère du temps : « Pour nous, c’est plutôt positif. Nous ne sommes pas dans les mêmes problématiques que nos voisins même si je les comprends. Créer des places ne serait pas un mal ». Miloud Boudjelal, propriétaire du salon de coiffure L’Artiste, veut rester positif lui aussi : « C’est vrai que l’ancienne avenue de Laon était plus agréable et donc plus propice à attirer du monde. Aujourd’hui, il faut faire avec et avancer. Nous n’avons, de toute façon, pas le choix ».

Dans ce brouhaha de contestations, les seuls aux yeux de qui le tramway trouve grâce dans l’avenue de Laon, sont certainement les étudiants qui y vivent. « C’est tout de même un avantage. Les loyers dans le quartier sont raisonnables et nous ne sommes qu’à un quart d’heure de l’université. C’est un net avantage par rapport au bus », se réjouit quant à lui Florian Mauclair, étudiant et usager quotidien du tramway.

Naïm Ayache

***********************************

l’union 160301 e
Des adolescents améliorent le cadre de vie

Ados et locataires réunis à la fin du chantier.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

 

Pour la cinquième année consécutive, des jeunes de Croix-Rouge se sont engagés dans un travail collectif en faveur des habitants, dans le cadre de la Scop’Ados (Société coopérative de production). Cette année, le chantier s’est déroulé au 6, place Dominique-Ingres et a consisté à repeindre les dix portes d’ascenseurs.

À la fin du chantier, les locataires concernés étaient invités pour un temps de valorisation et de partage très important pour le lancement de la saison. Ils ont fait part de leur satisfaction devant ce travail réalisé par onze jeunes dont 4 filles, âgés de 11 à 16 ans, sous la conduite de David Gameiro, animateur de la maison de quartier. On notait la présence d’Hélène Burette, déléguée du préfet, et d’un représentant du restaurant associatif La Marmite, partenaire du projet, avec la Ville et Plurial Novilia, qui en échange de financera l’achat de matériel de sport et un séjour sportif en Ardèche.

Le prochain chantier de la Scop’Ados sera organisé à Murigny, place Piazetta : peinture de portes de garages, plantations d’arbustes et installation de bacs à fleurs.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

***********************************

l’union 160301 d
Ateliers : Club informatique à Croix-Rouge

Après un an d’arrêt, la médiathèque Croix-Rouge relance les ateliers informatiques du club informatique, selon le programme suivant. La sécurité sur Internet, mercredi 2 mars. Les logiciels libres, mercredi 20 avril. Les sites Internet utiles au quotidien, mercredi 4 mai.

La culture numérique chez soi, mercredi 8 juin. Des ateliers programmés à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Le nombre de places est limité. Toutes les séances sont gratuites et se déroulent de 9 h 30 à 11 h 30 en salle pédagogique. L’inscription est obligatoire au 03 26 35 68 40.

***********************************

l’union 160301 c
RENDEZ-VOUS : Permanences des élus à Croix-Rouge.

Les conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, assureront une permanence pour recevoir les habitants, vendredi 4 mars de 10 à 12 heures, à l’antenne municipale Croix-Rouge, 1 bis avenue du général-Bonaparte et samedi 12 mars de 10 h 30 à 12 h 30, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160301 b
Tapage et fumette dans le hall

Vendredi à 18 h 45, la police est intervenue rue Alphonse-Daudet, près de la fac Croix-Rouge, pour calmer plusieurs jeunes qui faisaient le bazar dans un hall d’immeuble. Une forte odeur de cannabis flottait dans l’entrée. Deux des garçons avaient un peu de résine dans les poches, un troisième un couteau à cran d’arrêt.

***********************************

l’union 160301 a
Deux voitures incendiées

Dimanche vers 2 heures, un C15 probablement volé a été incendié sur l’avenue du Halage, le long du canal face à l’avenue Brébant. Peu avant 6 heures, une Citroën C4 a été incendiée alors qu’elle était garée allée Jacques-Simon. Samedi à 19 h 45, un début d’incendie d’origine accidentelle s’est déclaré sur une auto rue de l’Adriatique.

***********************************

l’union 160229 b
ASSOCIATIONS : Relance du club informatique de la médiathèque Croix-Rouge.

Après un an d’arrêt, la médiathèque Croix-Rouge relance les ateliers informatiques du club informatique, selon le programme suivant. La sécurité sur Internet, mercredi 2 mars. Les logiciels libres, mercredi 20 avril. Les sites Internet utiles au quotidien, mercredi 4 mai. La culture numérique chez soi, mercredi 8 juin.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Le nombre de places est limité.

Toutes les séances sont gratuites et se déroulent de 9 h 30 à 11 h 30 en salle pédagogique.

L’inscription est obligatoire au 03 26 35 68 40.

***********************************

l’union 160229 a
RENDEZ-VOUS : Permanences des élus à Croix-Rouge

Les conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, assureront une permanence pour recevoir les habitants, le vendredi 4 mars de 10 à 12 heures, à l’antenne municipale Croix-Rouge, 1 bis avenue du général-Bonaparte, et le samedi 12 mars de 10 h 30 à 12 h 30, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine- Watteau.

***********************************

l’union 160228 b
Faits divers : Un nouveau feu de voiture sur le parking maudit

Ce n’est pas la première à flamber ici.
- Agrandir la photo

 

 

« Il y avait longtemps que ça n’était pas arrivé. À une époque, ce sont deux ou trois qui brûlaient tous les mois. » La trêve est finie. Vendredi soir, une Fiat Croma est partie en fumée sur les places de stationnement situées devant le centre médico social précoce de l’allée des Landais à Croix-Rouge, là même où de nombreux véhicules ont déjà brûlé par le passé.

« Ça s’est passé vers 22 heures » , témoigne le riverain. « Je ne sais pas ce qui a flambé dans la voiture, mais il y avait plein d’explosions. Ce n’était pas les pneus. Je voyais bien que ça pétait de l’intérieur. On aurait dit un feu d’artifice. »

Immatriculée dans les Yvelines, la Fiat n’était pas volée. L’origine du sinistre reste indéterminée, mais n’en demeure pas moins suspecte en raison de l’heure et de l’endroit.

Cette même nuit de vendredi à samedi, vers 2 heures, une Mercedes classe C a brûlé elle aussi dans le quartier Croix-Rouge, rue Marie-Laurencin (les deux endroits sont éloignés l’un de l’autre). Une Peugeot 306 a été dégradée par propagation.

 

 

***********************************

l’union 160228 a
Rendez-vous

Permanences des élus à Croix-Rouge Les conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, assureront une permanence pour recevoir les habitants, le vendredi 4 mars de 10 à 12 heures, à l’antenne municipale, 1 bis avenue du général-Bonaparte, et le samedi 12 mars de 10 h 30 à 12 h 30, à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160227 c
Loisirs : La section vo dao de l’Acrap s’illustre en Île-de-France

Des très bons résultats ont été obtenus par l’association de quartier Croix-Rouge.
- Agrandir la photo

 

L’Acrap ? L’association quartier Croix-Rouge pour l’animation et la promotion. Le vovinamviet vo dao ? Un art martial né au Vietnam dans les années 1930 et réputé pour ses spectaculaires ciseaux acrobatiques. Et tout de suite, tout s’éclaire… Résumons : la section vovinamviet vo dao de l’Acrap s’est récemment illustrée à l’occasion de la coupe Île-de-France.

Kim Nguyen a remporté deux tournois techniques, devanant double champion Île-de-France.

Pour leur première compétition les enfants Safaa Mankour et Claude Delville ont fini 4 e sur 20 couples d’enfants. Pour sa première compétition, Alban Salanville a terminé 4 e en technique et 1 er en combat dans la catégorie 78-85 kg. Également pour sa première compétition, Malang Mane a fait aussi bien en triomphant dans la catégorie 71-78 kg. Amina Toumi finit 2 e en combat.

Tous ces résultats sont de bon augure pour les championnats d’Europe qui se dérouleront à Liège du 26 au 28 mars.

 

***********************************

l’union 160227 b
Faits divers : Le dealer achète son ecstasy lors d’une « fête dans les bois »

Un contrôle routier organisé rue Gosset s’est révélé payant pour les services de police. Opérant sur réquisition du procureur de la République, ils avaient l’autorisation de fouiller véhicules et occupants, ce qui a permis une saisie de produits stupéfiants vendredi à 22 h 35.

Le conducteur tombé dans leurs filets est un homme de 31 ans domicilié à Cormicy. Dans ses poches, puis dans sa voiture, enfin dans sa maison, les policiers ont découvert au total 6,2 grammes de cocaïne, 10 grammes de cannabis, 33 grammes d’amphétamines et 709 cachets d’ecstasy estampillés « Chupa Chups », achetés avec les amphétamines lors d’une « fête dans les bois fin décembre » , a-t-il déclaré.

Au domicile ont également été saisis une balance électronique, 1 372 euros en billets de cinq, une carabine 22 LR, un pistolet d’alarme, une arme de poing modifié.

En garde à vue, le jeune homme a reconnu une activité de revente auprès de 20 à 30 personnes à Reims et dans ses environs, afin de financer sa propre consommation. Il aurait écoulé une trentaine de comprimés d’ecstasy, 300 grammes d’amphétamines et une dizaine de grammes de cocaïne (son fournisseur de coke serait installé à Croix-Rouge). Déjà connu de la justice, le prévenu a été écroué dans l’attente de son procès le 8 mars.

***********************************

l’union 160227 a
APPARTEMENTS

REIMS

- 13, esplanade Remi Pellot : T6 au 3e ét., 118,86 m² env., garage, lot 80-147, DPE en cours, 193.800 e, réf. ER.13392.
- 17, rue Alphonse Daudet :T5 au 3e ét., 90,72 m² env., cave, parking, lot 1475-1478-1343, 151.300 e, réf. ER.11107.

TINQUEUX

- 13, rue Jean-Baptiste Motte :T4 au 4e ét., 64,93 m² env., lot 139, DPE en cours, 97.600 e, réf. ER.01887.

Ventes ouvertes à tous à titre de résidence principale, ré- servées pendant 2 mois aux locataires PLURIAL NOVILIA (à compter de la date de parution).

Frais de notaire réduits et frais de notaire offerts aux locataires PLURIAL NOVILIA.

Renseignements : REIMS : 03.26.05.92.23 ou 03.26.05.92.97
- AUTRES : 07.86.50.25.49.

***********************************

l’union 160226 a
Relance du club informatique

Après un an d’arrêt, la médiathèque Croix-Rouge (19 rue Jean-Louis-Debar) relance les ateliers informatiques du club informatique, selon le programme suivant : « La sécurité sur Internet » mercredi 2 mars, « Les logiciels libres » mercredi 20 avril, « Les sites Internet utiles au quotidien » mercredi 4 mai, « La culture numérique chez soi », mercredi 8 juin.

Le nombre de places est limité. Toutes les séances sont gratuites et se déroulent de 9 h 30 à 11 h 30 en salle pédagogique.

L’inscription est obligatoire au 03 26 35 68 40.

***********************************

l’union 160225 d
IRTS

***********************************

l’union 160225 c
Culture

Permanence ce jour d’un écrivain public avec l’association « Je vous écris ces quelques lignes ».

De 14 à 16 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar. Gratuit.

***********************************

l’union 160225 b
Société : Famille kosovare à la rue : un hébergement déjà proposé

Vendredi dernier, nous avions rencontré, sur le boulevard Eisenhower, un couple kosovar et leur fille de 2 ans. Depuis quelques semaines, ils dormaient dans une tente ( notre édition de samedi). Depuis trois ans en France, passée par Revin et Charleville-Mézières, cette famille, aidée au quotidien par des particuliers avec qui nous avions également échangé, avait cependant omis un détail fondamental : un hébergement d’urgence leur avait déjà été proposé à Charleville-Mézières.

Information confirmée, hier, par Anne-Sophie Le Doaré, directrice départementale du service intégré d’accueil et d’orientation (SIAO), structure qui a pour mission de réguler les demandes d’hébergement d’urgence, notamment via le 115. « C’est une décision personnelle , expliquait-elle à propos de la situation du couple et de son bébé. Nous avions proposé une solution, ils l’ont refusée. Notre objectif reste bien sûr d’améliorer la situation de cette famille (…) mais désormais, c’est à l’État de se positionner. »

Vendredi, nous avions déjà posé la question d’un éventuel retour dans ce département où la vie avait été plus décente. Hypothèse non recevable pour le mari kosovar, assurant être en conflit avec sa belle-famille, pour partie basée dans les Ardennes. Une information invérifiable « et que nous non plus n’avons les moyens de vérifier » , rappelle Mme Le Doaré.

En période hivernale, la Marne propose environ 400 places d’hébergement d’urgence. Le taux d’occupation est actuellement de 105 %.

Mathieu Livoreil

***********************************

l’union 160225 a
4 700 écoliers ont rempli leur contrat de temps

Départ d’un groupe de l’école Ruisselet.
- Agrandir la photo
Les supporters de Sculpteurs-Jacques encouragent leurs camarades.
- Agrandir la photo
Ambiance, dans l’équipe Blanche-Cavarrot !
- Agrandir la photo
Garder le sourire malgré le froid…
- Agrandir la photo
Le stand du ravitaillement tenu par les éducateurs et les bénévoles.
- Agrandir la photo

 

 

 

 

Les jeunes Rémois ont bravé le froid pour un challenge de courses de durée dans les parcs de la ville, malgré quelques aléas climatiques.

Durant une semaine, chaque jour, des écoliers rémois, du CP au CM2, ont couru ou vont courir dans 5 parcs de quartier : 4700 jeunes au total. Il s’agit de courses dites « en durée », avec un contrat de temps, de 4 à 18 minutes selon les âges et les capacités des enfants. Nous sommes allés voir quelques classes courir.

« Ils se sont entraînés depuis la rentrée, avec leurs enseignants et les éducateurs sportifs afin d’identifier quel est le temps pour lequel ils peuvent donner leur maximum » , explique Gilles Cazzadori, conseiller pédagogique EPS pour la circonscription de Reims Est.

6, 9 et 15 minutes…

La Direction des Sports de la Ville organise ces épreuves avec l’Usep et l’Éducation Nationale, en partenariat avec les associations du monde sportif (DACR et EFSRA).

Lundi, au parc Saint-John-Perse . Timo, va courir 6 minutes. Ashley, 9 et Mathéo 15. « On a fait 8 séances de préparation, avec un éducateur qui leur a appris à courir longtemps sans s’arrêter, à gérer leurs forces », précise une des enseignantes.

En fin de course, une petite collation saine et diététique est remise à chacun. Les enfants ont les joues rosies : « Quand on courait, le froid venait sur nos figures ! », confie Gina, 7 ans, assise sur l’herbe avec ses copines. Un bon point : Les jeunes sportifs ont tous soigneusement déposé leurs emballages dans les sacs poubelles. Beaucoup moins respectueux hélas, les propriétaires de chiens… qui n’avaient pas ramassé les déjections, ce que n’ont évidemment pas apprécié organisateurs et coureurs !

Mardi, si les courses prévues le matin ont été annulées en raison de la pluie, celles de l’après-midi ont juste été déplacées. Les organisateurs ont préféré installer le parcours sur le parking du stade, au sol bien sec, de l’autre côté du parc Léo-Lagrange.

 

 

 

 

***********************************

l’union 160224 b
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association Multi-Échanges services à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge, vendredi 26 février à 18 heures, en présence de Touria Douah, conseillère municipale.

Renseignements auprès du président Philippe Godebwski au 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 160224 a
Justice tribunal correctionnel : Trente mois de prison pour un trafiquant toxicomane en récidive

Au domicile du prévenu, la police a notamment saisi 328 grammes d’héroïne, une drogue prise par « sniff » ou injection. Illustration
- Agrandir la photo

Sous l’œil des policiers, ses clients se succédaient à son appartement, situé à Croix-Rouge, pour leur dose quotidienne. Il a lourdement été condamné, hier.

Rude début de semaine pour Christopher Fauvel. Lundi matin, il avait pu bénéficier d’une permission de sortie de sa cellule de la maison d’arrêt de Reims pour assister aux funérailles, organisées au cimetière de la Neuvillette, de son demi-frère, un homme de 23 ans tué par balles à proximité de Béziers (notre précédente édition). Hier après-midi, nouvelle sortie de prison, cette fois pour se rendre à la barre du tribunal correctionnel, où ce jeune homme de 27 ans était jugé pour son rôle central dans un trafic de stupéfiants. Des délits – transport, détention, offre, acquisition et usage – commis en récidive.

Les faits reprochés sont d’une triste banalité. Dans le quartier Croix-Rouge, Christopher avait pris pour habitude de fournir une demi-douzaine de toxicomanes. Des policiers en planque avaient pu, courant janvier, observer le manège quotidien qui se déroulait devant son appartement. L’interpellation eut lieu le 28 janvier. Dans son appartement, l’attirail du petit dealer : 328 grammes d’héroïne, 23 comprimés d’ecstasy, 12 grammes de cannabis et une balance de précision.

En garde à vue, le mis en cause ne fait – presque – pas de mystère : il achetait on ne sait où son héroïne à dix euros le gramme et le revendait trois fois plus cher à ses clients qui, pour certains, « passaient chaque jour à la même heure » à son domicile. Christopher vendait « cinq à dix grammes par jour ». L’ecstasy était importée de Hollande. « En faisant le calcul, on constate que vos bénéfices allaient bien au-delà d’un simple financement de consommation personnelle », observe la présidente.

« Cinq grammes par jour »

Car Christopher Fauvel est lui-même en proie à des conduites addictives. Sept ans qu’il consomme de l’héroïne, rappelle son avocate. Le prévenu, lui, évoque une consommation considérable : « Cinq grammes par jour. » Déjà condamné à de multiples reprises, il est également le père d’un enfant dont il n’a pas la charge. Il bénéficie du RSA. « Ça faisait un mois ou deux que je vendais beaucoup » , nuance-t-il.

Idéal pour lancer la substitut du procureur qui retient « le caractère très organisé de la structure mise en place par Monsieur ! Cela fait des années qu’il s’enrichit – on ne trouve pas en quelques jours des clients aussi fidèles – et permet une addiction à (ses clients) qui viennent et reviennent le voir. S’il ne leur met pas l’aiguille dans la veine, il participe activement à la destruction de ces personnes ! » Dix-huit mois de prison requis, dont six avec sursis. L’avocate de la défense s’échine à « ramener ce dossier à sa juste proportion » : le trafic d’un petit dealer de quartier.

À l’issue du délibéré, Christopher Fauvel, reconnu coupable de l’intégralité des faits reprochés, est condamné à trente mois de prison, dont six avec sursis. 2 500 euros d’amende en prime. Son maintien en détention est ordonné – il avait été placé en détention provisoire dès le 1 er février. Et il devra suivre un processus de soins derrière les murs de sa prison.

Mathieu Livoreil

***********************************

l’union 160223 d
AUJOURD’HUI

Coup de pouce emploi : simulations d’entretien. Vous avez besoin d’aide pour une recherche d’emploi ? A 14 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

Gratuit.

***********************************

l’union 160223 c
Associations

Assemblée générale de l’association Multi-Echanges services, à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge, vendredi 26 février à 18 heures.

***********************************

l’union 160223 b
Rendez-vous

Un dragon et un géant pour le carnaval de Croix-Rouge, mercredi 16 mars à partir de 14 h 30.

Les animateurs de la maison de quartier proposent aux habitants, jeunes et adultes, de les aider à le préparer au cours de trois ateliers gratuits et ouverts à tous.

Mercredi 24 février, mercredi 2 mars et mercredi 9 mars de 15 à 17 heures à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard.

***********************************

l’union 160223 a
Tennis tournoi de Reims géo-andré : Perrot s’est déjà fait un nom

Maêva Spooner (à gauche) a pris le dessus sur Caroline Girard en finale.
- Agrandir la photo

Très attendu car ancien négatif (classé – 2/6 en 2010), le futur sociétaire du TC Géo-André, François Perrot (3/6, Le Coudray-Montceaux) n’a pas raté son arrivée dans le petit monde tennistique champenois.

Dimanche, il a remporté la 3 e édition du tournoi d’hiver du club rémois. Opposé en finale à Adrien Dupuis (2/6, La Macérienne), le joueur de l’Essonne a livré une farouche bataille. En effet, en plus de trois heures de match entre deux joueurs défendant à merveille, François Perrot a su, par séquences, se montrer plus agressif. Une option payante pour s’imposer 7-6, 5-7 et 6-4 !

Du côté des dames, dans une finale 100 % « Géo-André », Maêva Spooner (3/6) a fait respecter la hiérarchie en dominant Caroline Girard (4/6) sur le score de 7-5, 6-3.

Résultats

Dames,

quarts de finale : Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe) bat Valérie Bertrand (15/2, La Muire) 6-4, 6-0 ; Caroline Girard (4/6, Géo-André) bat Émilie Gaillot (5/6, Reims Europe) 6-4, 1-6, 7-6.
Demi-finale : Caroline Girard bat Lisa-Marie Habert 4-6, 7-6, 6-4.
Finale : Maêva Spooner (3/6, Géo-André) bat Caroline Girard 7-5, 6-3.

Messieurs,

quarts de finale : Perrot (3/6, Le Coudray-Montceaux) bat Woynar (4/6, Reims Europe) 6-4, 6-3 ; Birot (3/6, Reims Europe) bat Lacaille (4/6, La Muire) 6-2, 7-5.
Demi-finales : Perrot bat Birot 6-0 ab.
Finale : Perrot bat Dupuis (2/6, La Macerienne) 7-6, 5-7, 6-4.

***********************************

l’union 160222 d
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association Multi-Echanges services à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge vendredi 26 février à 18 heures, en présence de Touria Douah, conseillère municipale. Renseignements auprès du président Philippe Godebwski au 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 160222 c
Rendez-vous

Fabrication du dragon et du géant pour le carnaval de Croix-Rouge qui se déroulera mercredi 16 mars à partir de 14 h 30. Les animateurs de la Maison de quartier proposent aux habitants, jeunes et adultes, de les aider à le préparer au cours de trois ateliers gratuits et ouverts à tous. « Nous fabriquerons ensemble un géant, un dragon, des masques et des instruments de musique », précise Sarah Morillon, référent famille. Les séances de préparation auront lieu mercredi 24 février, mercredi 2 mars et mercredi 9 mars de 15 à 17 heures à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard.

***********************************

l’union 160222 b
Pris avec de la drogue en poche

Vendredi, une mineure de 17 ans a été trouvée porteuse d’un joint et d’un morceau de cannabis alors qu’elle « squattait » les communs d’un immeuble situé au 3, allée Maurice-Lemaître à Croix-Rouge. Placée en garde à vue, elle a reconnu la détention de stupéfiants et s’en tire avec une convocation devant le délégué du procureur.

Samedi, c’est un homme, en ivresse publique et manifeste, qui a été ramené au commissariat pour être placé en cellule de dégrisement. C’est alors que les policiers se sont aperçus qu’il détenait un pochon contenant des amphétamines. Après avoir reconnu les faits, il a hérité d’une ordonnance pénale.

***********************************

l’union 160222 a
Tennis : Sur trois fronts dans la Marne

Comme on pouvait s’y attendre, le tournoi d’hiver du TC Géo-André a souri au futur sociétaire local Antoine Perrot (3/6, Coupvray) puisque l’ex-négatif a battu le favori Adrien Dupuis (2/6, La Macérienne) alors que Maëva Spooner (3/6, Géo-André) a fait respecter la hiérarchie face à sa camarade de club Caroline Girard (4/6).

À Sainte-Menehould , la logique a prévalu avec le succès des favoris Eric Renaut (15/2, TC Troyes) et Marion Achard (15/2, Revigny-sur-Ornain). Même scénario au TC La Vaure avec les. Ictoires attendues de Thomas Derzelle (2/6, TC des Loges Saint-Germain) et Ketty Koniushok (5/6, Côte des Blancs).

***********************************

l’union 160220 c
Rendez-vous

L’association Multi-Echanges services tiendra son assemblée générale à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge le vendredi 26 février à 18 heures, en présence de Touria Douah, conseillère municipale.

Renseignements auprès du président Philippe Godebwski au 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 160220 b
Atelier : Le carnaval se prépare à Croix-Rouge

Le carnaval du secteur Billard se déroulera mercredi 16 mars à partir de 14 h 30. Les animateurs de la Maison de quartier proposent aux habitants, jeunes et adultes, de les aider à le préparer au cours de trois ateliers gratuits et ouverts à tous.

« Nous fabriquerons ensemble un géant, un dragon, des masques et des instruments de musique », précise Sarah Morillon, référent famille : « Nous vous attendons nombreux mercredi 24 février, mercredi 2 mars et mercredi 9 mars de 15 à 17 heures à l’espace La Nacelle, 3, rue du Docteur-Billard. »

***********************************

l’union 160220 a
Société : La galère d’une famille kosovare

Hier après-midi, ce couple kosovar, depuis trois ans en France, et leur fille de 22 mois posent à côté de leur logement de fortune. Bernard Sivade
- Agrandir la photo

Depuis deux semaines, ce couple et son très jeune enfant dorment dans une tente posée le long de l’avenue Eisenhower. Une situation d’extrême précarité.

Le long de l’avenue du Général-Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge. Quatre tentes sont posées sur le petit monticule d’herbe, coincées entre les immeubles et la route. Cela fait plusieurs mois que des réfugiés de différentes nationalités se succèdent dans ce campement de fortune. Certains finissent par être logés dans des conditions décentes. D’autres auraient été reconduits à la frontière, assurent d’une même voix plusieurs personnes rencontrées, hier, sur place. Un groupe informel, dont tous les membres ne sont pas en lien avec une association, venus en aide au fil des semaines à ceux qui, à l’évidence, en ont grandement besoin.

Depuis deux semaines, c’est une famille kosovare qui a pris place dans une des tentes. Un jeune couple – l’homme a 26 ans, son épouse 24 – et leur fille de 22 mois. « La nuit ? Elle ne dort pas bien, elle pleure. Il y a le froid… et puis les voitures qui passent juste à côté de la tente, aussi » , explique son père dans un français hésitant. Voilà trois ans qu’il est arrivé en France avec son épouse ; sa fille, déjà passée par l’hôpital Manchester, à Charleville-Mézières, a donc vu le jour dans l’Hexagone.

Quelques yaourts, du pain et des habits en vrac

Précédemment, cette famille raconte avoir séjourné dans les Ardennes – ce qui explique ses notions de français. L’homme nous écrit son nom mais demande que celui-ci ne soit pas publié par peur de « représailles » d’ordre familial – certains proches résideraient dans ce quart du pays. Le visage est fatigué, les traits tirés : les conséquences d’un quotidien frigorifiant.

« Je veux trouver une solution, un logement » , explique-t-il tandis que sa fille joue à quelques mètres. Dans le combat administratif qu’il doit également mener en parallèle pour avoir le droit de rester sur le sol national, la réponse définitive devrait tomber « dans un mois ou deux » , expliquent ceux qui le suivent. La vie de cette famille tient en une sacoche et une tente. Accolés à l’immeuble, sur un bureau usé, les produits donnés par ceux qui ont concrètement signifié leur solidarité : quelques yaourts, une baguette de pain et des habits en vrac. Le Secours catholique et d’autres organismes fournissent de quoi nourrir ce trio passablement désœuvré. Pour passer les nuits durant lesquelles le mercure a ces temps-ci l’habitude de passer en dessous de zéro, des bouillottes auraient été fournies.

« Ma femme est très stressée de notre situation, de ce qui peut nous arriver. Moi, je crois que ça va un peu mieux… mais si on me prend ma fille, on me prend mon cœur. J’ai peur que nous soyons séparés. »

L’instant d’après, un homme passe. Tenant un chien en laisse, il maugrée ce qui ressemble fort à des insultes. Car tout le monde n’est évidemment pas ravi de voir camper sous ses fenêtres une famille de réfugiés. Dans une tente voisine, c’est un autre Kosovar qui campe le long de l’avenue Eisenhower. « Depuis trois mois » , dit-il en montrant trois doigts. Voilà comment on peut aussi passer un hiver à Reims.

Mathieu Livoreil

« Nous avions monté un projet de collecte »

À quelques mètres, un homme – domicilié à Reims et lui aussi soucieux de conserver son anonymat - prend la parole : « Le problème, c’est que ces gens-là ne peuvent bénéficier de la même aide que d’autres réfugiés tels que les Syriens ou les Irakiens. Leur pays à eux n’est pas en guerre. Pour ces réfugiés, nous avions monté un projet de collecte, on aurait acheté des caravanes pour les installer là, qu’ils puissent avoir la dignité d’être chez eux, de se mettre debout. On en avait trouvé à 600 € sur leboncoin, on a appelé le service de la voirie de la mairie pour avoir l’autorisation d’installer des caravanes. Ça doit faire deux mois et on n’a pas reçu de réponse. On a aussi sondé l’organisme logeur et on leur a dit : trouvez-leur un logement d’urgence et on s’engage, à quelques-uns, à payer leur loyer. On nous a répondu qu’il y avait des procédures à respecter. Donc on en est là. »

***********************************

l’union 160219 b
EN IMAGES DANS LES CENTRES DE LOISIRS DE NOTRE CORRESPONDANTE FRANÇOISE LAPEYRE : En février, bouger, créer et s’amuser

Déjà dans le grand bain… en toute confiance.
- Agrandir la photo
Une aide pour la glisse et les débuts à la patinoire : de gentils pingouins !
- Agrandir la photo
Ultimate, tout est dans le bon geste pour lancer le disque volant.
- Agrandir la photo
À Adriatique, on mise sur l’artistique.
- Agrandir la photo
Martin-Peller ou l’art de tenir son éventail avec le sourire !
- Agrandir la photo

 

 

 

 

Avec une offre diversifiée, par tranches d’âges, d’activités sportives et socioculturelles, la Ville propose un accueil de vacances de qualité.

À travers les quartiers rémois, l’union a rendu visite à quelques-uns des accueils de loisirs.

1 Piscine du Château d’Eau

« Mon objectif ? Enlever l’appréhension de l’eau. On commence par des bases d’équilibre et de déplacement », explique Julien Delabie, maître-nageur. « C’est l’innovation de ces vacances d’hiver : Permettre aux enfants d’apprendre à nager, de façon ludique, encadrés par un professionnel », ajoute Pascal Vanscoor, chef de service à la Direction des Sports. Les enfants disposent d’une ligne d’eau réservée. Objectif réussi pour les 7-11 ans de Clairmarais. Au début, Alliah 7 ans, n’osait pas entrer dans l’eau. À présent, elle nage !

2 Centre Adriatique

« Notre thématique porte sur les arts visuels : Sculpture, peinture, mosaïque, dessin au fusain… », énumère le directeur, Norman Pierret. On découvre une approche de l’aquarelle originale : Peindre sur des… filtres à café, à l’aide de cotons-tiges.

3 Patinoire

Un groupe de 6/8 ans du centre Charpentier se familiarise avec la glace, certains s’appuient sur des… pingouins ou de petites luges. On corse l’exercice avec des cercles : quelques chutes sous les rires !

4 Gymnase Europe

Les enfants s’initient à l’ultimate, avec un disque souple qu’ils commencent par faire glisser au sol. « Ils le montent progressivement à hauteur du bassin afin qu’il plane. On termine ensuite par des échanges à deux » précise Arthur Régnier, animateur sportif.

250 enfants ont été accueillis quotidiennement dans les 6 centres, avec un mini-stage de sport intégré dans le programme et les adolescents reçus, en accès libre, au Moulin .

 

 

 

 

***********************************

l’union 160219 a
Économie : Un coffre à jouer et des jeux de société

Hugo Claude et Antoine Guincètre ont imaginé cette box sur les bancs du campus Croix-Rouge. D.R.
- Agrandir la photo

Deux anciens étudiants rémois ont décidé de lancer leur entreprise qui propose, chaque mois, de vous envoyer une box composée de jeux de société.

La folie des box a déferlé sur la France. Chaque mois, on peut ainsi recevoir des produits de beauté, des articles de sport ou des bouteilles de vin. Désormais, il est possible de recevoir à son domicile, un colis avec des jeux de société et cela grâce à deux anciens étudiants rémois. « Nous étions à la cafétéria du campus Croix-Rouge, pendant notre licence professionnelle en management des organisations, et nous cherchions une box avec des jeux de société. Nous n’en trouvions pas et on a décidé de se lancer », indique Hugo Claude, 22 ans et Antoine Guincètre, 25 ans. Le Coffre à jouer voit alors le jour. Chaque mois, les abonnés verront arriver chez eux un jeu de société nouvellement sorti des maisons d’édition, une boisson artisanale française, un produit artisanal français à grignoter et un magazine. « Nous avons pu lancer notre société grâce aux 6000 € récoltés lors du financement participatif. » Pour se donner un maximum de chances, leur local est installé « à Ternat, en Haute-Marne, chez mes parents », indique Antoine.

L’abonnement pour un mois est fixé à 35€. Les produits peuvent être directement achetés sur leur boutique en ligne.

www.lecoffreajouer.fr

Jean-Marie Cornuaille

***********************************

l’union 160218 b
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association Multi-Échanges services à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge vendredi 26 février à 18 heures, en présence de Touria Douah, conseillère municipale.

Renseignements auprès du président Philippe Godebwski au 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 160218 a
Kévin Vee sacré champion

Kévin Vee, premier en senior.
- Agrandir la photo

 

 

Le samedi 6 et le dimanche 7 février se disputait à Reims au gymnase universitaire Géo-André la coupe de yoseikan budo (compétition inter-régionale, avec la participation de Châlons en Champagne et Laon Picardie). Cette manifestation sportive a réuni plus d’une trentaine de compétiteurs de tous les âges. L’enjeu était important car pour certains se jouait une place pour la qualification à la coupe de France, qui aura lieu à Oignies dans le Nord les 26 et 27 mars.

L’association EMC de Tinqueux a présenté trois compétiteurs. En senior Kévin Vee s’est hissé sur la plus haute marche du podium et se qualifie pour la coupe de France. Chez les plus jeunes, Ilan Rocher est arrivé premier de sa catégorie. C’est un bon début pour EMC de Tinqueux qui a ouvert il y a moins de trois ans cette section d’arts martiaux. Ceci est le fruit de l’enseignement de son professeur Frank Delandre, 3 e dan.

 

 

***********************************

l’union 160217 b
Économie : Un concours pour les start-up innovantes

Les porteurs de projets ou créateurs de start-up innovantes ont jusqu’au 10 avril pour postuler aux Innovact Awards, un concours offrant un coaching sur mesure aux lauréats.

Fort du succès de la première édition, Innovact Center lance sa deuxième édition des Innovact Awards, un concours national à destination des projets et très jeunes start-up (pas plus de trois ans) innovants. Les lauréats auront droit à un programme d’accélération et de coaching sur-mesure dès septembre.

Ils seront ainsi, cette année encore, entre huit et dix porteurs de projets à pouvoir en bénéficier. Une dizaine de chanceux qui verront leur start-up, pourvu qu’elle soit innovante donc, boostée en neuf mois ! Pour ce faire, il suffit aux « start-uppers » de faire acte de candidature jusqu’au 10 avril sur le site des Innovact Awards. Au terme de deux étapes de sélection, le 19 avril d’abord, le 11 mai ensuite, qui mèneront les heureux sélectionnés à s’exprimer devant un jury d’experts lors de la finale le 3 juin à Reims, ils seront invités à s’installer dans la métropole rémoise. De septembre 2016 à juin 2017, la nouvelle promo Innovact bénéficiera ainsi d’un coaching personnalisé, parcours coordonné par Innovact Center et assuré à la fois par ses chargés de mission et par un réseau d’experts, partenaires, industriels et financeurs. « Il s’agit d’un accompagnement sur mesure » , précise-t-on au service communication d’Innovact Center. « Nous plaçons l’humain au cœur de notre activité. Pour que chacun trouve les réponses qu’il attend, et bénéficie des meilleures conditions pour implanter sa start-up sur le territoire ». Et c’est d’ailleurs la condition sine qua non de l’obtention de ce soutien : la jeune entreprise, en plus d’être innovante, doit nécessairement prendre racine dans la région rémoise pour profiter de ce « programme d’accélération, avec mise à disposition de locaux » , poursuit notre interlocutrice. « On aborde toutes les thématiques qui intéressent les lauréats au moment du développement de leur start-up. Et on met à leur disposition l’un de nos deux chargés de mission. » Aide à la rédaction de la stratégie d’accès au marché, à la levée de fonds, mise en relation au quotidien avec les contacts les plus pertinents… font aussi partie du processus. Avec, en toile de fond, un objectif : faire de Reims la destination par excellence des start-up ambitieuses, créatrices de valeur ajoutée pour l’ensemble du territoire et de ses acteurs.

Pour candidater : http://awards.innovact.com

Marion Dardard

« C’est un soutien très important »

Avec Lebel’emploi, Anne-Sophie Berrebi et Gabriel Ascione, qui se sont rencontrés sur les bancs de Neoma business school, ont inventé l’achat générateur d’emplois. Ce nouveau mode de consommation solidaire et citoyen – approche marketing innovante pour les entreprises de la grande distribution –, a séduit le jury d’Innovact l’an dernier. « Une chance » pour les deux cofondateurs de ce logo à apposer sur des produits, garantissant au consommateur qu’une partie du prix sera reversée par la marque pour la création d’emplois, qui ont trouvé là un moyen de passer de l’incubateur de l’école à un accélérateur pour leur projet d’entreprise à Reims. « C’est un soutien très important quand on est au début de l’expérience entrepreneuriale » , note Anne-Sophie Berrebi, qui a créé sa start-up en mai 2015 et entame actuellement la phase prospection de clients et fédération d’entreprises partenaires. « On avait besoin de ce cadre fournit par Innovact : un hébergement, la disponibilité d’un chargé de mission qui nous aiguille sur la stratégie à mettre en place et les mises en relation en fonction de nos besoins. » Des interventions, organisées sur différentes thématiques, et le soutien d’un mentor, complètent le dispositif de neuf mois destiné à permettre aux jeunes entrepreneurs d’avancer « dans la bonne direction ». « Sans Innovact, j’aurais été au bout de mon projet, mais ça aurait été plus difficile », confie Anne-Sophie. « C’est assez extraordinaire d’avoir cette structure à notre disposition, qui fait son maximum pour nous permettre d’atteindre notre but. »

Innovact Center, un outil au service des projets innovants

Innovact Center est une structure portée par Reims Métropole et la Chambre de commerce et d’industrie de Reims-Epernay. Elle accompagne l’innovation, en favorisant l’implantation et le développement de projets de création d’entreprises innovantes à Reims et alentours. Elle propose aussi de les héberger dans son bâtiment, le #58, à Croix-Rouge.

***********************************

l’union 160217 a
Cormontreuil : Deux cents joueurs au tournoi

Le maire a salué les participants aux trois finales, gagnées par des Cormontreuillois.
- Agrandir la photo

 

 

Ouvert à tous licenciés adultes, le tournoi d’hiver du Cormontreuil Tennis Club a rassemblé plus de 200 participants pendant quatre semaines. Dimanche, les trois finales sont revenues aux Cormontreuillois.

Hommes : Thibaut Deglave (3/6 CTC) l’emporte devant Omar Charai (5/6 CTC) 6-1, 6-1.
Dames : Manon Hermens (CTC 4/6) gagne contre Caroline Girard (TC Géo-André 4/6) 6/4, 6/4.
Enfin, chez les plus de 35 ans, François Bednarek (15/3 CTC) s’impose devant Jamel Cherikh (15/2 CTC) 6-4, 6-4.

 

 

***********************************

l’union 160216 b
Associations

Le repas des seniors de l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera 5, allée des Picards samedi 20 février à 12 h 30.

Inscriptions auprès de la présidente Christiane Monflier au siège ou au 03 26 36 65 71.

***********************************

l’union 160216 a
Solidarité : Une association cherche un camion pour ses maraudes

Cela éviterait aux bénévoles de charger les vivres dans leurs propres voitures. B. Sivade
- Agrandir la photo

Sensibilisée aux difficultés de vie des SDF, Jennifer Santesso a créé, l’an dernier, l’association Deux mains c’est maintenant, une maraude pour venir en aide aux populations fragiles (notre édition du 31 janvier). Les tournées ont débuté en novembre, de la Maison de quartier Clairmarais, où sont préparés les repas et les cartons de vêtements chauds, aux Promenades où ils sont distribués durant 1 h 30. « Nous allons aussi au-devant des sans-abri qui vivent sous tentes devant le Cada, à Croix-Rouge » , note la mère de famille, qui œuvre avec l’aide de son amie Madja et le soutien de l’association Foutzbeul.

À la veille d’une nouvelle maraude organisée ce samedi 20 février, de 17 à 20 heures, Jennifer lance un appel. Son association a besoin d’une camionnette « type utilitaire » pour assurer sa tournée. « Habituellement, on charge les voitures personnelles des bénévoles » , décrit-elle. « C’est compliqué ! On essaie de bien s’organiser mais c’est toujours un peu la panique quand même. Le plus simple serait qu’on puisse avoir un camion pour transporter les cartons de vêtements, les couvertures, les sacs repas, les gamelles avec les repas chauds et nos deux tables pliables. » Un moyen de transport bien plus pratique, donc, et qui permettrait d’abriter les marchandises en cas de mauvais temps. « Si le chauffeur pouvait venir avec nous, ce serait mieux ! » ,lance encore Jennifer qui espère, un jour, acheter un véhicule avec l’argent qu’elle aura pu récolter grâce aux stages de danse proposés par son association et animés par des professeurs bénévoles.

Pour contacter Jennifer Santesso : 06 77 67 08 79. Page Facebook « Deux mains c’est maintenant ».

M.D.

***********************************

l’union 160215 b
Recherche de matériel

Les « carnavaleux » rémois et autres amateurs de fêtes sont sollicités pour le carnaval de Croix-Rouge.

« Nous sommes à la recherche de matériaux de récupération pour le carnaval qui aura lieu à Croix-Rouge mercredi 30 mars. Alors n’hésitez pas à nous déposer rouleaux de papier toilette vides, bouteilles en plastique, bouchons en plastique et en liège, laine, tissus, abat-jour, boutons, cartons, ficelle, etc.. à la maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau Pays-de-France, 3 allée Antoine-Watteau. »

***********************************

l’union 160215 a
L’Olympique rémois n’a pas fait le poids

Lors de la troisième journée de la deuxième phase des championnats par équipe, l’Olympique rémois a été largement défait par Nantes/Saint-Médard à Géo-André (8-1) samedi. Soit un troisième revers en autant de rencontres.

En Nationale 3, fortunes diverses pour les équipes de Châlons-en-Champagne. Les garçons se sont imposés à Béthune (8-5) alors que les féminines ont lourdement chuté à domicile contre le même club nordiste (8-1).

***********************************

l’union 160213 b
Faits divers : Les pompiers en vadrouille

Accidents, agressions ou incendies, les pompiers n’ont pas chômé ces derniers jours. Jeudi à 10 h 40, une voiture et un camion sont entrés en collision boulevard du Docteur-Henri-Henrot à Reims. La collision a fait un blessé léger.

A la même heure, un début d’incendie s’est déclaré sur un poêle à granulés, au lieu-dit le Château à Sept-Saulx. Un autre poêle s’est enflammé à 12 h 30 rue du Bré à Nanteuil-la-Forêt. Il a été éteint par les pompiers de Reims et d’ Aÿ.

Jeudi à 20 h 40, des aliments oubliés sur une cuisinière ont pris feu dans un appartement de la place des Argonautes aux Châtillons. La locataire de 23 ans a éteint les flammes avant l’arrivée des secours. Incommodée par la fumée, elle a été transportée au CHU pour une visite de contrôle.

Hier vers 15 heures, dans le tramway, un passager handicapé s’est fait prendre à partie par une personne au motif qu’il occupait deux sièges. L’individu lui a tapé dessus. Légèrement blessée, la victime a été secourue par les pompiers. L’agresseur est recherché. Les faits se sont produits dans la traversée du quartier Croix-Rouge.

L’alarme sonne, la médiathèque évacuée

À 15 h 18, toujours à Croix-Rouge, le déclenchement de l’alarme incendie a provoqué l’évacuation de la médiathèque du château d’eau. Une quarantaine de personnes se sont retrouvées dehors tandis que les pompiers arrivaient en force. Ils n’ont découvert aucun feu.

Le système a été désactivé, le temps d’identifier l’origine du dysfonctionnement. Sans alarme incendie, la médiathèque est donc restée fermée le reste de la journée.

À 19 heures, coup de chaud avec quatre accidents signalés en même temps, dont trois sur l’A34 entre Reims et Rethel, tous sans gravité. Le premier impliquant deux voitures s’est déroulé à l’entrée de Reims, sous le pont de la route de Châlons. La circulation a été réduite sur une voie, de même qu’au niveau de l’échangeur des Sohettes à Bazancourt, où trois véhicules se sont accrochés. Deux blessés légers sont à déplorer. Une dizaine de kilomètres plus au nord, une voiture a fini dans le fossé, entre Tagnon et le Châtelet-sur-Retourne (Ardennes). La conductrice est sortie elle-même de l’habitacle. Les pompiers de Warmeriville sont venus à sa rescousse.

Tous ces accidents se sont produits dans le sens Rethel – Reims. Le quatrième a eu lieu sur la traversée urbaine, près de l’échangeur Reims-Centre.

***********************************

l’union 160213 a
SPORTS : Du lourd pour l’OIympique

La 3 e journée des championnats nationaux par équipe, aujourd’hui, n’est pas ce qu’on a fait de plus simple pour les deux clubs marnais, l’Olympique rémois (ORTT) et le Châlons-en-Champagne TT (CCTT).

En Nationale 2 masculine, les Olympiens ont raté leur mise en route (2 défaites). Cet après-midi à Géo-André, ils accueillent Nantes/Saint-Médard. Si les Nantais viennent avec Pierre Bézard (nº121), la mission sera insurmontable pour Lucas Créange et ses copains.

En Nationale 3 masculine, Châlons se rendra à Béthune (2) et a les moyens de s’imposer. Alexandre Sebbag fait son apparition dans l’équipe, avec Bodé Kayodé, Louis Audoin et Pierre-Alexandre Delhorbe. Les Artésiens ont perdu leurs deux premiers matches.

Béthune est aussi au menu des filles du CCTT, mais à domicile. En Nationale 2, les Châlonnaises espèrent conquérir un résultat positif, au gymnase Le Corbusier de Saint-Memmie. Gioia Cok, Manon Colson et leurs copines suivront aussi avec intérêt le Joué-les-Tours – Charleville, des équipes qui ont aussi deux défaites à leur compteur.

En Prénationale féminines, Châlons reçoit Maizières-lès-Metz en alignant Fanny Demarin, Louise Saguet, Anaëlle Guineheux et Émmanuelle Simonet. Les garçons, eux, seront à Bootzheim avec Alexandre Duclovel, Anthony Vallery, Antonin Ferreira et Frédéric Santy.

À l’Olympique rémois, l’équipe (2) recevra Strasbourg alors que l’équipe (3) recevra un mal-classé, Haguenau. Enfin, les filles de l’ORTT tenteront de confirmer leur première victoire avec la réception des Lorraines de Neuves-Maisons (2).

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 427- 160212c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 427 - Semaine du 12 au 18 février 2016

----------

Exposition - Médiathèque Jean Falala « Robot Sapiens »

Yves Gellie a immortalisé les robots à l’aspect humanoïde du monde entier. © Yves Gellie
- Agrandir la photo

Pendant ces vacances de février et jusque fin avril, les robots s’immiscent dans tous les recoins de la médiathèque Jean Falala. A travers Robot Sapiens, un parcours constitué de photographies et d’installations, Yves Gellie nous invite à nous interroger sur le rapport que nous entretenons avec les machines. Le photographe et plasticien a ainsi voyagé dans le monde entier, visitant les plus grands laboratoires qui développent des robots à l’aspect humanoïde. Ces clichés donnent à voir des portraits d’une nouvelle espèce, nous renvoyant à notre fragilité d’humains et nous laissant présager nos futures relations avec notre double. La série suédoise Réal Humans, créée en 2012 par Lars Lundström et diffusée par Arte, s’est d’ailleurs penchée avec réussite sur cette question en racontant la destinée de « Hubots » plus vrais que nature. Autour de cette exposition, l’équipe de la médiathèque a concocté tout un programme mêlant conférences, projections et même une démonstration de robots ! C’est ainsi que mercredi 24 février, à 15 h (sur inscription), Michel Deloizy, maître de conférences à l’Université de Reims, évoquera la robotique à l’aide d’un robot autonome. Le vendredi 26 février, à 18 h, Didier Martz et Jean-Pierre Hamel, philosophes, animeront une discussion sur le thème « Les robots sont nos instruments, seront-ils un jour nos maîtres ? ». Enfin, dans le cadre du cycle « Des robots et des hommes » seront projetés gratuitement plusieurs long-métrages et documentaires, tels que 2001 l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick (mercredi 17 février à 17 h), Un monde sans humains de Philippe Borrel (samedi 20 février à 14 h 30) ou encore Ex Machina d’Alex Garland (mercredi 24 février à 19 h). J.D

« Robot Sapiens », du 16 février au 30 avril, médiathèque Jean Falala, Reims. Entrée libre.

La thématique « Des robots et des hommes » se décline dans les médiathèques Croix-Rouge et Falala jusqu’au 30 avril. Programme complet sur www.bm-reims.fr Yves Gellie a immortalisé les robots à l’aspect humanoïde du monde entier. © Yves Gellie

***********************************

l’union 160212 b
Les incendiaires rôdent dans les immeubles

Mercredi à 15 h 30, un feu de papiers a été allumé dans l’entrée du 10, esplanade Paul-Cézanne.

Une demi-heure plus tard, un scooter volé a été incendié dans une cave de la rue Blaise-Pascal, au n º 11. Le matin à 8 h 30, une poubelle a brûlé rue Gaston-Boyer.

***********************************

l’union 160212 a
Faits divers : Il fesse son amie avec une porte

Le bricolage à domicile s’est mal terminé dimanche dernier pour une jeune femme domiciliée dns un immeuble du quartier Croix-Rouge, rue Marie-Laurencin.

Son ami effectuait des travaux, occupé à scier une porte, quand une violente dispute a éclaté entre eux. L’homme a profité d’un bout de porte sciée pour le prendre et en asséner des coups sur les fesses de sa concubine.

Il l’a également frappée dans le dos, insultée, menacée de mort. Pour finir, il a retourné son lit.

Interpellé par les policiers, l’agresseur âgé de 30 ans a dû recevoir des soins car lui-même s’est blessé en portant les coups. Déjà condamné une bonne vingtaine de fois, il a été présenté à l’audience des comparutions immédiates mais son procès a été renvoyé au 8 mars pour lui permettre de préparer sa défense. Il a été écroué.

Ce n’est pas la première fois que l’individu commet des violences familiales : il sera jugé en état de récidive.

***********************************

l’union 160211 a
Sécurité : Des délits quotidiens aux Kouachi, les années marnaises d’Annie Brégal

La commissaire Annie Brégal a vécu cinq années « très riches, très denses ».
- Agrandir la photo

Directrice départementale de la sécurité publique de la Marne, la commissaire divisionnaire Annie Brégal quitte son poste qu’elle occupait depuis 2010. Bilan.

Vous avez dirigé pendant cinq ans les trois circonscriptions de police de Reims, Épernay et Châlons-en-Champagne. Quels types de délinquance y trouve-t-on ?

Il s’agit essentiellement d’une délinquance de proximité, d’origine locale. Il y a peu d’affaires de grand banditisme et quand il y en a, elles concernent des équipes extérieures au département. Il existe aussi une délinquance itinérante, de passage, favorisée par la proximité des frontières et surtout impliquée dans les cambriolages d’habitations.

Une particularité dans la Marne est la part importante des mineurs mis en cause. À Reims par exemple, un tiers des auteurs de délinquance de voie publique – vols violents, vols à la roulotte, dégradations… – sont des mineurs.

Comment la délinquance a-t-elle évolué depuis 2010 en zone police Marne ?

Plusieurs évolutions positives ont été constatées. Nous avons une baisse importante des dégradations, des vols à la roulotte, des vols de voitures. Les vols violents sont également à la baisse. Nous avons aussi des résultats satisfaisants en matière de violences urbaines : les incendies de véhicules sont en forte baisse depuis deux ans.

Vous parlez d’évolutions positives. Quelles sont les évolutions négatives ?

Le point noir, ce sont les cambriolages d’habitations. Leur nombre a explosé en 2011 et 2012, puis nous avons connu une forte baisse les trois années suivantes grâce à l’occupation du terrain et au travail d’enquête. Or, depuis fin 2015, nous assistons à une reprise, surtout à Reims. Il est encore trop tôt pour savoir s’il s’agit d’une tendance lourde qui s’installe.

Une autre évolution défavorable est l’augmentation des menaces et des violences crapuleuses, ces violences gratuites qui n’ont pas pour objet l’appropriation d’un bien.

Vous avez participé en février 2015 à la création de la zone de sécurité prioritaire de Croix-Rouge – Wilson à Reims. Qu’a-t-elle apporté ?

Une méthode de travail différente ! Nous avons mis en place des groupes dédiés de fonctionnaires qui connaissent bien le quartier. Nous avons appris à mieux travailler avec les autres services, comme la PJ et les douanes. Tout cela se fait en relation avec le préfet et le procureur qui assure un suivi très individualisé de la ZSP, avec une politique pénale très ferme. La pression policière est plus importante, avec contrôles d’identités, visites des caves, ouvertures de coffres.

Un an après la création de la ZSP, quel bilan en tirez-vous ?

Depuis sa mise en place, nous avons constaté à Croix-Rouge et Wilson une baisse très importante des vols violents, des dégradations, des incendies de véhicules. Nous avons intensifié la lutte contre les stupéfiants, à plusieurs niveaux avec les interpellations au quotidien des usagers, le démantèlement des trafics, la neutralisation des appartements susceptibles de les abriter.

Quels sont les souvenirs les plus marquants de vos cinq années passées dans la Marne ?

Ces cinq années ont été très riches, très denses. Je pense aux nombreux services d’ordre que nous avons dû organiser : deux visites du Premier ministre, trois visites du Président de la République, dont celle avec Angela Merkel lors du cinquantenaire de la Réconciliation franco-allemande à Reims en 2012. Il nous a également fallu gérer l’accession du Stade de Reims en Ligue 1, avec tous les matches à risques, et aussi le Teknival de 2014 qui a représenté pour nous et les gendarmes un gros travail.

De tous les événements, celui qui reste quand même le plus marquant est l’affaire Kouachi, cette nuit la plus longue où nous étions à leur traque, où le Raid est venu perquisitionner à Croix-Rouge le domicile d’un des frères. Dans les heures qui ont suivi, alors que les Kouachi étaient toujours introuvables, il a fallu mettre en place de gros dispositifs de protection pour gérer la menace de nouveaux attentats. On nous parlait notamment de la cathédrale de Reims comme cible potentielle.

L’enterrement de Saïd Kouachi est une autre nuit que je ne suis pas près d’oublier, l’organisation des obsèques de Cabu également. Et puis il y a eu la manifestation du 11 janvier, avec mes policiers qui étaient embrassés par la population, qui les remerciait pour tout ce qu’ils faisaient. C’est un souvenir très fort que je partage avec tous mes fonctionnaires.

« Je laisse à mon successeur une direction trois étoiles »

Annie Brégal repart à la direction centrale de la sécurité publique, nommée sous-directrice des missions de sécurité publique. « C’est la sous-direction qui s’occupe de tous les aspects opérationnels de la police, définit la doctrine d’intervention, les modes de fonctionnement. » La commissaire quitte une direction départementale qu’elle qualifie de « belle DDSP ». « J’ai apprécié le professionnalisme de mes fonctionnaires. Ils bossent bien, s’engagent pleinement dans leurs missions. Je laisse à mon successeur une DDSP trois étoiles . » Attendu mi-mars, ce devrait être le commissaire divisionnaire Joseph Merrien, actuellement en poste à Paris.

Propos recueillis par Fabrice Curlier

***********************************

l’union 160210 f
SOCIẺTẺ : La bigorexie, quand le sport devient une véritable drogue

LOÏC JANSON
- Agrandir la photo

 

Le sport à outrance peut rendre accro et cacher une maladie, la bigorexie. Elle se manifeste par un surinvestissement, des blessures, des ravages physiques et psychologiques. …/…

VOTRE AVIS : Craignez-vous de devenir un jour dépendant au sport ?

LOÏC JANSON : Triathlète de haut niveau, entraîneur au lycée Arago.

Face à certains jeunes, je fais passer le message que ce n’est pas en empilant les séances d’entraînement que l’on a de bons résultats. Il vaut mieux optimiser le geste, travailler la biologie mécanique, et donc s’entraîner moins, mais mieux.

Je sais que c’est compliqué d’arrêter le sport, surtout pour des gens qui ne sont pas bien entourés, bien encadrés. C’est en augmentant le niveau des entraîneurs que l’on mettra fin à la bigorexie. …/…

 

***********************************

l’union 160210 e
Rendez-vous

Venez jouer ! Pour adultes et enfants à partir de 8 ans, jeux de société et jeux vidéo (Wii) en alternance une semaine sur deux.

Prochain rendez-vous, le 10 février, de 14 à 17 heures.

Renseignements et inscriptions au 0326 35 68 46 à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

***********************************

l’union 160210 d
DÉCOUVERTE : L’ACRAP rayonne à l’étranger

La section karaté de l’ACRAP participera aux championnats nationaux cette année.
- Agrandir la photo

 

Cette année, l’Association Croix-Rouge pour l’Animation et la Promotion (ACRAP) sera bien représentée, en France, comme à l’étranger : la section karaté de l’ACRAP disputera des championnats nationaux, les majorettes se rendront en Italie et la section vovinam viet vo dao participera aux championnats d’Europe qui auront lieu à Liège, en Belgique.

L’association sportive et culturelle est composée de plusieurs sections et vise un large public puisque sont proposées les activités suivantes : badminton, couture, balade pédestre, danse classique, gymnastique d’entretien, hip-hop, karaté, majorettes, natation, pétanque, tennis, temps libre, vovinam viet vo dao et zumba.

Renseignements et inscriptions au secrétariat 11, avenue du président-Kennedy. Tél. 03 26 06 39 54.

Mail : contact@acrap.fr et sur le site www.acrap.fr

 

***********************************

l’union 160210 c
Éducation : Découvrir les métiers de la sécurité en haute montagne

Les élèves de Joliot-Curie ont rencontré des professionnels du sauvetage à Chamonix.
- Agrandir la photo

Skier dans les Alpes. Des vacances ? Non. Un séjour pédagogique qui allie sport et connaissance de leurs futurs métiers pour une cinquantaine de lycéens.

Ils préparent un bac professionnel et viennent de faire un séjour aux Carroz d’Arâches, en Haute-Savoie. Mais même si la pratique du ski était au programme, il s’agissait bien d’un stage pédagogique de découverte. « Notre enseignement prépare des élèves aux métiers de la sécurité, civile, publique et privée. L’objectif, c’était de leur en faire découvrir une facette : les professions de sécurité en haute montagne » , explique Aziz Meguebel, enseignant en éco-gestion.

Les 46 élèves de seconde et de première des métiers de la Sécurité ont d’abord visité, à Chamonix, le poste de secours du peloton de gendarmerie de haute montagne. Ils en ont découvert les différents secteurs d’intervention, secourir les personnes qui font du hors- piste, escaladent les cascades de glace, tombent dans des crevasses… Ils sont allés ensuite à la « drop zone » des Bois, là où stationnent les hélicos, puis ont visité la base des pompiers de Chamonix et celle des CRS. « Ils ont effectué des mises en situation avec les barquettes de secours et les matériels de recherche de victimes d’avalanches. » Les CRS du Centre national d’entraînement à l’alpinisme et au ski) ont présenté leur organisation. « Les membres de la police nationale qui veulent intégrer une unité en milieu montagnard viennent s’entraîner ici. On y dispense aussi une formation de maître-chien d’avalanche. » Enfin, un maître-pisteur-skieur est venu parler de son métier. « Lors de ce séjour, ils découvrent des filières nouvelles, cela permet d’élargir l’horizon de leurs explorations professionnelles, voire de susciter des vocations » ajoute Saïd Salih, le chef des travaux. « Ce qui m’a intéressé le plus ? Les interventions de secours en montagne. On a admiré l’hélicoptère EC135 qu’ils appellent le Dragon », confie Valentin 17 ans. Jules, 16 ans, a bien aimé la visite du centre de formation de maîtres-chiens. A la fin de leur scolarité, ils auront obtenu un CAP et un bac des métiers de la sécurité. Leur avenir ? Plusieurs ont envie d’entrer dans la gendarmerie ou l’armée, d’autres se voient travailler dans la sécurité ou la prévention incendie.

Portes ouvertes du lycée des métiers, 4, rue Joliot-Curie : samedi 12 mars de 9 à 13 heures.

***********************************

l’union 160210 b
Université : Le Grand Campus passera-t-il l’hiver ?

Le regroupement de toutes les facultés à Croix-Rouge pourrait être partiellement abandonné.
- Agrandir la photo

Les élections universitaires du 8 mars, suivies de l’élection du président le 21 mars, pourraient changer la donne pour le projet Grand Campus.

Quid du projet Grand Campus si Gilles Baillat n’est pas réélu président de l’université le 21 mars ? Il pourrait bien être modifié. « Ce projet ne me paraît pas réaliste dans sa forme actuelle. Son coût s’élève à plus de 200 millions d’euros. Le contrat de plan État-Région en finance 80, on ne sait rien concernant les tranches suivantes. Vu l’état des finances de l’université, cela signifie qu’il va falloir étaler le programme sur des années. On va se retrouver, pendant un certain temps, avec un deuxième cycle de sciences à Croix-Rouge alors que le premier cycle sera toujours au Moulin de la Housse. Tout cela n’est pas pragmatique », estime Guillaume Gellé, candidat de la liste « Ensemble pour l’Urca ».

Son équipe devrait proposer de conserver en partie le campus du Moulin de la Housse : « J’aimerais un projet qui permette de retrouver l’adhésion de la communauté universitaire. Il pourrait s’agir de conserver un pôle ingénierie et sciences au Moulin de la Housse. Cela éviterait le déménagement et le blocage des activités de recherche. À l’heure où la desserte ferroviaire de la Croix-Blandin se précise, le problème de l’enclavement de ce campus ne se posera plus. Il pourrait être dédié à nos activités de spécialisation comme les agro-ressources. » Guillaume Gellé suggère de vendre une partie des terrains du Moulin pour récolter des fonds qui serviront à rénover ailleurs. « L’agrandissement du pôle Croix-Rouge me semble une bonne idée. Et il me paraît important de réaliser l’extension du pôle santé. Il devait se faire mais a été retardé. Il y a une urgence sur ce dossier. »

Georges Durry (liste Qualité Recherche Formation) réfléchit lui aussi à un projet Grand Campus bis : « Une université n’est pas performante grâce à ses murs. Si j’ai la possibilité de récupérer de l’argent pour l’investir dans la recherche et dans la formation, je le ferai » , promet d’emblée le directeur de laboratoire. « Si je suis élu, je commencerai par demander un audit sur les aspects budgétaires. Nous ne connaissons pas le degré exact d’engagement du projet. Si ça se trouve, nous avons déjà les mains liées. Même en étant membre du conseil d’administration, on ne parvient pas à avoir toutes les données. » Ce constat fait, Georges Durry envisage d’organiser un référendum : « Il faut consulter les personnels. On entend parler de mutualisation, de création d’un pôle commun de secrétaires, tout cela inquiète beaucoup. Et peut-on se permettre une année blanche en recherche parce qu’il faudra déménager ? Sur le fond, je ne suis pas contre un grand campus mais il faut être réaliste. »

Troisième acteur de ces élections, le directeur de l’IUT de Troyes Abdelaziz Hamzaoui n’envisage pas de remettre en cause le projet : « C’est un projet structurant pour l’université. Cependant, il faut le clarifier en intégrant sa faisabilité. Il faudra peut-être revoir les phasages. Enfin, quand on déménage des labos, on le fait avec les équipes de recherche et quand on crée un pôle de secrétaire, on le fait avec les secrétaires. » Abdelaziz Hamzaoui précise qu’il n’est pas le porte-parole officiel de la liste Alternative indépendante et responsable. Candidat déclaré à la présidence de la communauté d’universités (qui aura lieu le 14 mars), il ne l’est pas encore pour la présidence de l’Urca mais n’exclut pas de l’être.

« C’est l’avenir de l’Urca qui est en jeu »

Selon le président sortant Gilles Baillat, la remise en cause du projet Grand Campus serait une erreur stratégique. « C’est même impossible. Nous avons obtenu un financement exceptionnel dans le contrat de plan État-Région pour le réaliser. Les collectivités ne suivront que pour ce grand campus. Sinon, il n’y aura rien. De plus, rien n’est prévu pour réhabiliter les bâtiments du Moulin de la Housse qui ne sont plus aux normes. Il faudrait tout recommencer. »

Les scientifiques craignent que le déménagement des laboratoires provoque une année blanche dans les programmes de recherche : « Il n’y aura même pas un mois blanc ! Il n’est même pas possible d’arrêter ne serait-ce qu’une journée certains de nos projets de recherche. Nous allons faire appel à des sociétés spécialisées pour le déménagement. Elles auront un cahier des charges très précis. » Peut-être faudra-t-il mieux l’expliquer car il est reproché à Gilles Baillat un manque de concertation : « Plusieurs fois, j’ai organisé des réunions d’information mais comme on n’était pas encore dans une phase opérationnelle, les personnels ne sont pas venus nombreux. Je suis bien conscient qu’une opération comme celle-ci ne peut se décider dans les bureaux des architectes. »

Reste le souci du financement. « Le projet est soutenu par une dotation exemplaire des collectivités de 95 millions inscrite dans le contrat de plan État-Région 2015-2020. » Sauf que c’est à peine la moitié du coût total : « Les terrains du Moulin de la Housse devraient nous rapporter entre 50 et 70 millions d’euros. Le reste sera emprunté par l’université. Nous avons également décidé d’étendre la réalisation du projet jusqu’en 2022 afin de faciliter ce financement. »

Gilles Baillat insiste sur l’enjeu du projet : « Il va servir à garantir la place de la Champagne-Ardenne dans le Grand-Est. Il ne faut pas nous croire immortels. Une université de moins entre Paris et la Lorraine ne choquera pas tout le monde. C’est l’avenir de l’Urca qui est en jeu. »

Catherine Frey

***********************************

l’union 160210 a
Faits divers : Le cannabis était caché dans la boîte aux lettres

Dans certains halls, les boîtes aux lettres ne contiennent pas que du courrier… Jeudi dernier, vers 18 heures, les policiers contrôlent un homme de 25 ans qui squatte un immeuble de la place Georges-Braque, au n º 4. Il détient un gramme de résine de cannabis, une trop petite quantité pour expliquer la forte odeur de « shit » qui flotte dans le hall.

Le fumet se dégage d’une boîte aux lettres. À l’intérieur : 26 barrettes de résine pour un poids total de 30 grammes, des sachets de conditionnement et un rouleau de bande adhésif, autrement dit la panoplie du dealer de cage d’escalier.

Placé en garde à vue, le suspect déjà connu de la justice a déclaré tout ignorer du contenu de la boîte aux lettres. Il ne serait qu’un simple consommateur venu s’approvisionner dans le quartier. L’enquête n’a pu démontrer le contraire. Il a donc été remis en liberté avec une convocation au tribunal le 18 avril pour la seule détention du gramme de cannabis.

Les 26 barrettes, l’adhésif et les sachets ont été saisis. Si d’aventure leur propriétaire veut les récupérer, il lui est toujours possible de se manifester au commissariat…

Pipe, bombe et poing

Autre histoire de stupéfiants avec cet adolescent de 17 ans. Jeudi dernier, vers 15 h 30, il se trouvait avec des camarades au parc Mendès-France à Murigny, et non rue Pierre-Taittinger (L’union de dimanche), lorsqu’il s’est débarrassé d’un morceau de résine lors d’un contrôle. Il avait sur lui 14 grammes, plusieurs sachets de conditionnement, une pipe à eau, une bombe lacrymogène, un poing américain et 390 euros en billets.

Le garçon a reconnu que cet argent provenait de son activité de revente pour financer sa consommation. Il a déclaré se fournir auprès de deux inconnus de Croix-Rouge, rue Pierre-Taittinger, et revendre à ses copains de Murigny ou aux élèves du lycée de la rue Vauban, depuis environ trois mois. Son petit trafic aurait porté sur six plaquettes de cannabis, soit 600 grammes. Présenté au juge des enfants, il a été remis en liberté dans l’attente d’une mise en examen.

***********************************

l’union 160209 e
BIBLIOTHÈQUES

Cinéma gratuit « Astro Boy » à partir de 6 ans. Un film de David Bowers. 2009, 1h34 min. D’après le manga d’Osamu Tezuka.

A 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge.

***********************************

l’union 160209 d
Rendez-vous

Portraits de famille ce mercredi 10 février, à partir de 10 heures. Venez en famille vous faire prendre en photo à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge 3, allée Antoine-Watteau.

Un tirage de taille standard de la photo sera offert ainsi que la possibilité de repartir avec le fichier (pensez à apporter une clé USB), selon Sarah Morillon, référent familles.

Les parents peuvent se munir de déguisements ou d’accessoires pour une photo originale.

Renseignements par tél. au 03 26 36 03 50.

***********************************

l’union 160209 c
Rendez-vous

Venez jouer ! Pour adultes et enfants à partir de 8 ans, jeux de société et jeux vidéo (Wii) en alternance une semaine sur deux.

Prochain rendez-vous, le 10 février, de 14 à 17 heures.

Renseignements et inscriptions au 03 26 35 68 46 à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

***********************************

l’union 160209 b
Entrepreneuriat : Une deuxième promo d’Innovact

La première promotion d’Innovact a été lancée l’an passé. Eric Vanden/Innovact
- Agrandir la photo

Innovact Center, structure portée par Reims Métropole et la CCI, lance le recrutement de sa deuxième promotion annuelle dans le cadre des Innovact Awards, un « concours national à destination des projets et des très jeunes start-up innovantes ». Ouvertes depuis le 3 février, les inscriptions seront closes le 10 avril prochain.

Au terme de deux étapes de sélection qui s’achèveront avec une finale le 3 juin à Reims, huit à dix start-up seront invitées à s’installer dans la métropole rémoise.

De septembre 2016 à juin 2017, ces jeunes pousses intégreront le #58, le bâtiment d’Innovact situé dans le quartier Croix-Rouge, à un jet de pierre de l’université et de Neoma. Ces entreprises en devenir recevront un accompagnement et un coaching sur-mesure coordonné par Innovact Center. Ces prestations seront assurées à la fois par ses chargés de mission et par un réseau d’experts, partenaires, industriels et financeurs.

Qui peut candidater ?

Plusieurs stades d’avancement sont acceptés par le jury, depuis les projets de création de start-up de moins de six mois, aux start-up déjà créées, pourvu qu’elles aient moins de trois ans d’existence. Les projets doivent être « innovants ». Soit, il s’agit d’un nouveau produit, service ou technologie. Soit, il s’agit d’un produit, service ou technologie existant mais s’adressant à un marché nouveau. Tous les domaines d’activité sont possibles.

Pour candidater : http://awards.innovact.com

***********************************

l’union 160209 a
Justice tribunal correctionnel : Le pyromane de Croix-Rouge avait sévi un an plus tôt en Haute-Marne

Avant d’allumer 21 feux dans cet immeuble, le pyromane en avait détruit un à Saint-Dizier.
- Agrandir la photo

Condamné en janvier 2015 pour 21 feux de poubelles au quartier Croix-Rouge, un locataire s’est repris 18 mois pour avoir incendié un immeuble de Saint-Dizier.

Au 38 rue de Rilly-la-Montagne, une tour de neuf étages dans le quartier Croix-Rouge, les locataires n’ont pas oublié la vague d’incendies d’il y a un an : 21 feux dans les caves, d’octobre 2014 à janvier 2015. La série n’avait pris fin qu’avec l’arrestation de l’incendiaire, un habitant de l’immeuble condamné le 16 janvier 2015 à douze mois de prison dont la moitié assortie d’un sursis avec mise à l’épreuve.

Un an après, l’homme refait parler de lui, toujours pour un incendie mais à Saint-Dizier, sept mois avant les premiers feux de Croix-Rouge. Comme l’ont révélé nos confrères du Journal de la Haute-Marne, Nicolas Daniel, 28 ans, a été condamné le 30 janvier à dix-huit mois de prison ferme pour la destruction d’un immeuble du centre-ville de Saint-Dizier.

L’incendiaire appelle le 18

Le sinistre remonte au 11 mars 2014. Vers 23 h 40, un feu de poubelle se déclare dans l’arrière-cour d’un vieil immeuble du centre-ville de la cité haut-marnaise. Les flammes se propagent rapidement dans les pans de bois. Affolés, certains locataires s’échappent par les toits et les balcons avant l’arrivée des pompiers qui parviennent à sauver tout le monde. S’il n’y a aucun blessé, les dégâts matériels sont très importants : l’immeuble et les quatre commerces du rez-de-chaussée sont détruits, seize personnes sont à reloger parmi lesquelles des enfants en bas âge… et Nicolas Daniel.

Après l’incendie de son logement bragard, l’homme part s’installer à Reims, au 38 rue de Rilly-la-Montagne. Les premiers feux de caves s’y déclarent fin octobre. À chaque fois, l’auteur incendie les sacs-poubelles déposés par les locataires ou met le feu aux détritus qui s’amoncellent sous le vide-ordures, faute de conteneur pour les recevoir (lui aussi a brûlé).

Les soupçons ne tardent pas à s’orienter vers Nicolas Daniel. Non seulement des policiers en surveillance l’aperçoivent dans les caves juste avant un départ de feu, mais c’est également lui qui signale douze des incendies aux pompiers… Il est arrêté le 14 janvier 2015, condamné le lendemain à six mois de prison ferme, puis libéré le 8 juin 2015.

Deux jours plus tard, les policiers de Saint-Dizier débarquent à Reims pour l’arrêter. Eux aussi sont parvenus à la conclusion qu’il s’agit de leur incendiaire. C’est d’ailleurs lui, le 11 mars 2014, qui avait prévenu les pompiers.

Interrogé, Nicolas Daniel reconnaît la mise à feu de la poubelle avec une boule de papier toilette enflammée, tout en déclarant avoir été « dépassé » par l’ampleur de l’incendie. Les enquêteurs doivent cependant suspendre sa garde à vue en raison de troubles mentaux diagnostiqués par l’expert-psychiatre venu l’examiner. Interné d’office à l’hôpital spécialisé de Saint-Dizier, l’homme est ensuite transféré dans un établissement rémois d’où il fugue le 3 juillet. Depuis, il s’était remis en ménage à Reims. Les policiers bragards l’ont finalement interpellé fin janvier, puis présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Chaumont.

« La haine des pompiers »

Cité par le Journal de la Haute-Marne présent au procès, Nicolas Daniel explique avoir « la haine des pompiers ». « J’en voulais aux sapeurs-pompiers, une de mes amies est morte dans un incendie, les pompiers sont intervenus trop tard. » Le drame auquel il fait référence n’a pourtant pas été retrouvé par les enquêteurs.

Le psychiatre décrit un sujet habité d’une « passion pour le feu et les pompiers », au « profil pyromanique » avéré, avec « altération du discernement », ce qui explique la décision du tribunal : dix-huit mois de prison ferme, mais peine aménageable. Laissé libre, le prévenu devra se soumettre à un suivi socio-judiciaire de cinq années comprenant notamment une injonction de soins. Le non-respect de ce suivi sera sanctionné par trois ans de prison ferme.

Fabrice Curlier

***********************************

l’union 160208 a
Faits divers : Privé de fumette, il s’énerve

Lors d’une patrouille au quartier Croix-du-Sud, mardi dernier en début de soirée, les policiers ont repéré un automobiliste en stationnement qui fumait une cigarette de forme étrange.

D’évidence, il ne l’avait pas achetée chez le buraliste du coin car le jeune homme s’est dépêché de la jeter par terre en apercevant les uniformes.

Vérifications faites, il s’agissait d’un joint. Soumis à la fouille, le fumeur de 22 ans avait sur lui deux barrettes de résine de cannabis.

Se retrouver privé de fumette l’a mis de mauvaise humeur. Lors de son passage au commissariat, il s’est donné un coup de tête dans les geôles de garde à vue. Le parquet a décidé de le sanctionner par une ordonnance pénale. Laissé libre, le jeune homme devra payer une amende de 150 euros et suivre un stage de sensibilisation aux dangers des produits stupéfiants.

***********************************

l’union 160207 b
Sortir : Portraits de famille : Rendez-vous le 10 février.

Mercredi 10 février, à partir de 10 heures, venez en famille vous faire prendre en photo à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge 3, allée Antoine-Watteau. « Nous vous offrirons un tirage de taille standard de la photo et la possibilité de repartir avec le fichier (pensez à apporter une clé USB) » précise Sarah Morillon, référente familles. Les parents peuvent se munir de déguisements ou d’accessoires pour une photo originale.

Renseignements par tél. au 03 26 36 03 50.

***********************************

l’union 160207 a
Délinquance : Mineur et dealer à la fois

Les policiers ont interpellé jeudi après-midi un jeune garçon de 17 ans qui avait attiré l’attention d’une patrouille en tentant de se débarrasser de quelque chose à la vue d’une patrouille ; cela se passait dans la rue Pierre-Taittinger, quartier Croix-Rouge. Ce quelque chose était un morceau de résine de cannabis. Les policiers n’avaient toutefois pas les yeux dans leur poche. Ils procédèrent donc au contrôle de l’intéressé, qui fut trouvé en possession d’une douzaine de grammes de substance interdite et de la somme de 390 euros en liquide. Il reconnut que cet argent provenait de la revente de drogues à des jeunes du quartier de Murigny. Les policiers ont également trouvé en sa possession une pipe à eau et une bombe lacrymogène.

***********************************

l’union 160206 c
Les « Marne » aujourd’hui à Legros

Les championnats de la Marne se disputent aujourd’hui au gymnase François-Legros à partir de 14 heures. Ils rassembleront toutes les catégories d’âge et de poids, des minimes aux vétérans.

***********************************

l’union 160206 b
ADOPTEZ-LES : Bordas

 

Trouvé dans le quartier Croix-Rouge, ce croisé braque/beagle a 5 ans.

Arrivé en piteux état, il va bien maintenant et il est adoptable.

350268500933532

 

***********************************

l’union 160206 a
La cuisine prend feu

Jeudi vers 20 heures, un feu de cuisine s’est déclaré au septième étage d’un immeuble de l’avenue Bonaparte, au n º 15.

Il a été éteint avant l’arrivée des pompiers.

***********************************

l’union 160205 e
AUJOURD’HUI

La bénévole de l’association « Je vous écris ces quelques lignes » sera présente de 14 à 16 heures pour aider le public à écrire des courriers personnels ou professionnels, ainsi qu’à remplir des dossiers administratifs.

Ce service est gratuit.

Médiathèque Croix-Rouge - 19 rue Jean-Louis Debar . Tél. 03 26 35 68 45.

***********************************

l’union 160205 d
Pratique

Permanences publiques des conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, ce jour de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, 1 bis avenue du Général-Bonaparte, et samedi 27 février de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160205 c
Découverte : Impression 3D, la révolution est en marche

Pascal Fleck, 47 ans, espère « répondre à la curiosité des gens et partager cette technologie avec le plus grand nombre ». Remi Wafflart
- Agrandir la photo
« Repenser notre manière de consommer »
- Agrandir la photo

Quelques mois après l’implantation de la première entreprise spécialisée dans l’impression 3D à Croix-Rouge, une seconde société ouvre une boutique en centre-ville.

Il manque encore le dernier étage des deux tours, la toiture et le clocher. « Mais la cathédrale sera terminée d’ici une paire d’heures », assure Pascal Fleck dont la première imprimante 3D achève Notre-Dame de Reims. 15 cm de long pour 7 de haut, la maquette en plastique mi-transparent laisse apparaître toute la finesse de la construction. « On arrive à une précision du micron. »

L’entrepreneur rémois vient d’attaquer les travaux de sa future boutique. Installée en plein centre-ville et dédiée au grand public, mais aussi au monde de l’entreprise et aux artistes, elle devrait ouvrir en mars prochain. « Pour démarrer, les particuliers auront à leur disposition six ou sept imprimantes 3D. » Le Rémois de 47 ans, originaire d’Alsace, préfère utiliser le terme d’ « exprimante » : « C’est plus parlant ! » Ses objectifs : « Répondre à la curiosité des gens et répandre cette technologie au plus grand nombre. »

Neurobiologiste de formation, celui qui a longtemps travaillé dans l’industrie pharmaceutique s’est lancé dans l’aventure de l’impression 3D après un plan social. L’an dernier, il décroche un master d’informatique et de management au sein de Supinfo Reims.

Des ateliers au stylo 3D pour les enfants

C’est en surfant au hasard sur Internet qu’il découvre il y a quelques années le concept d’imprimantes 3D, ces machines capables de réaliser des objets uniques et personnalisés sur la base de fichiers informatiques. Avec l’idée de s’investir dans ce marché porteur, Pascal Fleck se rapproche d’Olivier Guillou, fondateur de la marque IdeOkub et de l’une des premières boutiques françaises 100% dédiées à l’impression 3D à Bordeaux. Celle de Reims sera divisée en deux parties : le magasin show room, consacré à la vente avec des machines à partir de 450 €, et un espace pour la modélisation et l’impression. « Il existe sur le net des banques d’objets, des fichiers open source », c’est-à-dire accessibles à tous et libres de droit. Comptez 10 à 20 €, et de une à deux heures pour obtenir par exemple une coque de téléphone, le coût variant en fonction du volume de la pièce à imprimer. « Il sera aussi possible de réaliser son propre buste en se faisant scanner, ou celui de ses enfants. »

« Je voudrais faire du magasin un espace de partage, de collaboration », explique Pascal Fleck, qui projette d’organiser, le mercredi après-midi, des ateliers à destination des enfants. « Stylos 3D » en mains, ils pourront créer des « dessins » tout en relief. L’organisation de vernissages et d’expositions d’artistes est également prévue. « L’impression 3D devrait encore beaucoup évoluer avec le temps », assure-t-il. « Aujourd’hui les objets sont pour la plupart en plastique. Mais beaucoup de matières se développent, à commencer par le bois. » Pour le moment, une quarantaine de teintes seront proposées en boutique, de l’orange à l’argenté en passant par les matières pailletées.

IdeOkub : passage du Commerce, 27, rue de Vesle. Ouverture prévue en mars.

Renseignements au 06 43 48 53 86.

Des ateliers d’initiation et de perfectionnement avec 3D Morphoz

À Croix-Rouge, Jean-Baptiste Ohl et Mehdi Sellami sont les premiers à s’être lancés dans l’impression 3D à Reims. Leur start-up, fondée en décembre 2014, s’adresse aux entreprises comme aux particuliers. Connue pour la fabrication d’une prothèse de main (notre édition du jeudi 10 décembre 2015), l’entreprise intervient également dans les écoles « pour expliquer les tenants et les aboutissants de cette nouvelle technologie ». 3D Morphoz propose par ailleurs des ateliers et formations au grand public. Un mini-stage de découverte permet par exemple en une heure de s’initier à l’impression 3D : la technologie, les procédés de fabrication, les différents matériaux et les domaines d’application sont ainsi abordés avant une démonstration. Compter 45 €. 3D Morphoz : 7 bis, avenue Robert-Schuman à Reims. Tél. : 03 26 36 25 27.

3 questions à Olivier Guillou, fondateur de la société IdeOkub

L’impression 3D, est-ce une révolution ?

Oui, certainement. Cette technologie dite de « rupture » comme l’ont été le chemin de fer, le téléphone ou la radio, va repenser notre industrie, notre manière de consommer et de produire. Aujourd’hui, de nombreuses machines sont jetées juste à cause d’une pièce qui ne fonctionne plus. Avec l’impression 3D, les gens peuvent venir imprimer ces petites pièces et réparer leur machine à café par exemple. Bien sûr, il y a des contraintes, on ne peut pas tout remplacer puisque l’imprimante utilise surtout du plastique. Mais l’obsolescence programmée des machines en prend un coup.

Pourquoi avoir choisi d’installer l’une de vos boutiques à Reims ?

Nous sommes déjà installés à Bordeaux, cela nous semblait logique de venir à Reims occuper une autre partie, lointaine, du territoire. Mais concrètement on est venu à ma rencontre pour me dire qu’on était intéressé par l’ouverture d’une boutique d’impression 3D ici, et le projet s’est engagé.

Comment envisagez-vous l’avenir ?

L’objectif pour notre première année serait d’avoir 15 ou 20 points de ventes. Mais d’ici fin 2018, on voudrait qu’une bonne soixantaine de boutiques soient implantées. On cible même l’Angleterre et le Maroc.

Alice Renard et Victorien Willaume

***********************************

l’union 160205 b
Faits divers : Il casse la main du policier

Le policier blessé a reçu un coup de pied à la main. Illustration
- Agrandir la photo

 

Dimanche dernier, la police est intervenue allée Yves-Gandon aux Hauts-de-Murigny pour mettre fin à un violent différend opposant une locataire à un voisin qui l’a non seulement frappée mais aussi sexuellement agressée en lui mettant la main aux fesses.

L’homme s’est rebellé. Un premier policier a esquivé un coup de tête, un second n’a pu éviter un coup de pied qui lui a cassé la main droite. Abreuvés d’insultes et de menaces de mort, les agents ont dû le plaquer au sol pour le maîtriser. Bilan : trois jours d’incapacité totale de travail pour l’agresseur, au minimum douze jours pour le fonctionnaire blessé à la main.

Après avoir cuvé ses libations (il était sous l’emprise de l’alcool), Stéphane Grandin, 40 ans, a été jugé en comparution immédiate pour les violences, les outrages, les menaces de mort et la rébellion. Le tribunal l’a condamné à huit mois de prison, dont la moitié assortie d’un sursis avec mise à l’épreuve. Laissé libre, l’homme pourra purger ses quatre mois ferme sous un mode aménagé.

 

***********************************

l’union 160205 a
Faits divers : Le voleur de voiture percute celle de la police

À seulement 16 ans, il est déjà connu de la police pour une quarantaine d’affaires. Lui mettre la main dessus n’est pas toujours facile, d’où le long délai écoulé entre la commission de cette nouvelle série de faits et sa énième arrestation.

Il s’agit d’abord d’un vol de voiture commis dans la nuit du 14 au 15 mars 2015 au quartier des Épinettes, rue Sainte-Thérèse. L’adolescent avait jeté son dévolu sur une Renault Clio dont il connaissait le propriétaire : il avait fréquenté sa fille.

Au volant de la Clio, le jeune homme vadrouilla par-ci par-là en ville avant de rejoindre le quartier Croix-Rouge, l’après-midi du 15. Sa conduite laissant à désirer, il finit par attirer l’attention d’une patrouille, rue Pierre-Taittinger.

Sommé de s’arrêter, le voleur avait refusé d’obtempérer, percutant au passage une voiture de police. Il avait ensuite disparu à pied après avoir abandonné la Clio qu’il conduisait évidemment sans permis ni assurance.

Formellement reconnu par les policiers, le mineur a été retrouvé cette semaine et placé en garde à vue. Il est passé aux aveux et va faire l’objet d’un placement en centre éducatif fermé.

***********************************

l’union 160204 d
Associations

Belote à Croix du sud, dimanche 7 février à 13 h 30 au 5 avenue Léon Blum.

Tél : 03 26 06 56 66.

***********************************

l’union 160204 c
Éducation : Joliot-Curie fête « son » Bac pro

Les parents ont visité l’établissement.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

 

 

À l’occasion des trente ans du baccalauréat professionnel, le lycée Joliot-Curie a rassemblé anciens élèves, professeurs et personnels pour fêter l’événement.

L’assemblée s’est réunie au centre de documentation et d’information pour découvrir l’exposition préparée par Mme Uriel, professeure-documentaliste, avant de visiter l’établissement rénové en 2008. Les « anciens », accompagnés de professionnels, ont rencontré des élèves de l’établissement lors de conférences métiers organisées par M. Salih, directeur délégué aux enseignements professionnels, en collaboration avec les enseignantes. Les élèves pourront tirer profit des conseils donnés.

L’après-midi, le lycée a ouvert ses classes aux parents d’élèves. Les jeunes se sont également mobilisés, revêtant leur tenue professionnelle.

Christophe Georges, le proviseur, a partagé la fierté générale : « Le bac pro reste un tremplin de qualité pour trouver un emploi. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

***********************************

l’union 160204 b
Justice tribunal correctionnel : Voulait-elle protéger ou étrangler ses enfants ?

Cette femme de 37 ans voulait-elle protéger ou étrangler ses enfants ? Selon ce qui s’est dit lors de l’audience du tribunal correctionnel de mardi, il y avait manifestement ambiguïté. La scène s’était déroulée le 8 septembre dernier, dans un local de la Croix-Rouge du quartier Croix-Rouge. Les policiers sont appelés en renfort des pompiers pour une crise d’hystérie : ils tombent sur une femme qui tient deux enfants en bas âge dans ses bras, et menace de les tuer. Il faudra cinq personnes, policiers et pompiers, pour maîtriser l’intéressée. Celle-ci se débat, porte des coups, cherche à mordre, atteint une femme pompier à la gencive. Cependant, aucune incapacité pour personne à l’arrivée.

Coups de chaussure et de ceinture

Le psychologue qui examinera la maman conclura à un état dépressif. Cette femme se débattait avec de grosses difficultés financières : plus de six mois de loyer à régler. Venue frapper à la porte de la Croix-Rouge, elle n’avait pas reçu l’aide qu’elle espérait. « Mais je ne voulais pas faire de mal à mes enfants, assurera-t-elle à la barre, je ne voulais simplement pas qu’on me les prenne. »

Mais l’enquête s’intéressera aussi aux possibles mauvais traitements subis par ces enfants antérieurement. Un garçon de six ans parlera aux enquêteurs de coups de chaussure et de ceinture.

Ce qui pouvait compliquer la tâche de la défense. Mais M e Mfenjou ne se démontait pas. « D’un tout petit dossier on fait une montagne » , affirmait-il. Les dommages et intérêts demandés par les pompiers ? « Les agressions font partie des risques de leur métier ! » Les mauvais traitements infligés aux enfants ? « Il est facile de donner des leçons de morale devant le tribunal ; mais il faut savoir encadrer les enfants turbulents ! » Pas suffisant toutefois pour ébranler les juges. Ceux-ci, suivant les réquisitions du ministère public, condamneront la maman à six mois d’emprisonnement avec sursis, et mise à l’épreuve pendant deux ans. Plus des dommages et intérêts à verser effectivement aux pompiers et aux enfants.

Antoine Pardessus

***********************************

l’union 160204 a
Solidarité : 200 personnes demandent la régularisation de l’étudiant russe

Deuxième manifestation de soutien en six jours pour que la préfecture régularise la situation d’un étudiant étranger. Christian Lantenois
- Agrandir la photo

La mobilisation se poursuit quinze jours après que Roman Sidorenko, étudiant à l’Urca, ait reçu son avis d’expulsion du territoire français.

Étudiant français ou étranger, on a tous le droit d’étudier ! » Hier, ils étaient plus de deux cents malgré la pluie à s’être regroupés au pied des immeubles de Croix-Rouge, devant la Corolle, symbole de l’université de Reims.

Visages fermés, pancartes à la main, les étudiants, professeurs, membres de syndicats et d’associations, restent déterminés. « Roman doit être régularisé. Il doit pouvoir étudier dans de bonnes conditions, explique Simon Mouze, étudiant et membre de l’Unef (union nationale des étudiants de France). S’il rentre en Russie, il risque d’aller en prison puisqu’il est considéré comme déserteur n’ayant pas fait son service militaire. C’est pour cela que la communauté universitaire de Reims se mobilise. »

« On est réunis pour adresser un message fort »

Roman Sidorenko est étudiant en première année de licence économique-gestion. Ses soutiens évoquent un élève sérieux et assidu.

Depuis que le préfet de la Marne a décidé son expulsion pour le 21 janvier, le jeune homme a entamé des démarches. « Mais il a épuisé tous les recours » , poursuit Simon Mouze.

Après la mise en place d’une pétition qui a reçu pas moins de 700 signatures, « Aujourd’hui, on est réunis pour adresser un message fort au préfet de la Marne : Non à l’expulsion, oui à la régularisation. On ne lâchera rien. Le préfet ne doit pas rester buter. Il doit écouter les étudiants. »

Parmi ceux présents hier matin, Clémence Bonbao, 18 ans : « Il faut lui donner une autre chance. La France est le pays des droits de l’Homme. C’est dangereux pour lui de retourner en Russie. »

La mobilisation reste intacte

Et pour Camille Leconte, 18 ans, « petite fille d’immigré espagnol », il est inconcevable que, « la France, qui est censée être une terre d’accueil, ne puisse pas lui donner cette éducation qu’il souhaite. Je suis pessimiste quant à une issue heureuse mais j’espère me tromper. »

Alors que les sympathisants se dispersent, Nadia Hassane, 19 ans, reste mobilisée : « Même si, il y a moins de monde que lors du premier rassemblement vendredi dernier, je suis contente qu’autant de personnes aient fait le déplacement. On ne baisse pas les bras. On fera d’autres manifestations si besoin. »

Aurélie Beaussart Victorien Willaume

***********************************

l’union 160203 f
LE MERCREDI, C’EST PERMIS : Entre livres, univers et contes

Le spectacle « Giraffe » est dédié tout particulièrement aux enfants.
- Agrandir la photo

1 L’ATELIER POÉSIE

La médiathèque de Bétheny ouvrira ce mercredi ses portes de 15 h 30 à 18 heures pour les enfants (à partir de 8 ans). Ces derniers pourront créer des poésies avec la poétesse Dorothée Valut.

Renseignements au 03 26 02 94 40.

2 SPECTACLE « giraffe »

Le Cellier ouvrira de 10 heures à 18 heures pour les enfants (à partir de 5 ans) qui souhaitent assister à une mise en scène dédiée aux enfants du nom de « Giraffe ». Inscriptions auprès de la Comédie de Reims, le manège de Reims, La Cartonnerie, Nova Villa et la Galerie de culture. Plein tarif : 10 euros (pour plus de détails se rendre sur le site).

Renseignements : 03 26 09 33 33 ou www.infoculture-reims.fr.

3 À LA MEDIATHÈQUE CROIX-ROUGE

Parents et enfants (à partir de 8 ans) sont invités, entre 14 et 18 heures, à venir jouer gratuitement à des jeux de société ou à la Wii, le programme changeant une semaine sur deux.

Renseignements au 03 26 35 68 46.

4 À LA MEDIATHÈQUE FALALA

Les enfants (à partir de 4 ans) pourront assister gratuitement à « L’heure du conte ». Ceux-ci pourront venir dès 15 h 30, jusqu’à 16 heures, écouter la conteuse Sophie. Un moment privilégié pour aborder le monde des livres en toute sérénité.

Renseignements : 03 26 35 68 00.

5 AU PLANÉTARIUM

Toute la famille (dès 5 ans) pourra assister à une séance d’intiation d’astronomie « Cette nuit sous les étoiles » à 14 h 30. Tarif pour les adultes : 6 € et pour les moins de 18 ans et les étudiants, 3 €.

Réservations au 03 26 35 34 70.

De nos stagiaires Radia Berkat et Angela Alonso

***********************************

l’union 160203 e
Emploi : Coup de pouce Emploi, simulations d’entretien

Vous avez besoin d’aide pour une recherche d’emploi ?

Venez participer toute l’année à des ateliers qui permettront, en petits groupes, l’élaboration de CV et de lettres de motivation, ainsi que des simulations d’entretien.

Animées par des membres de l’association EGEE (Entente des générations pour l’emploi et l’entreprise), ces séances ont lieu tous les quinze jours hors vacances scolaires.

Le réseau des bibliothèques et médiathèques de Reims organisent ce rendez-vous. Renseignements au 03 26 35 68 40 à la Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Prochaine séance, le 23 février.

***********************************

l’union 160203 d
Pratique : Découverte des tablettes numériques

Vous avez une tablette mais vous ne savez pas vous en servir ? Vous souhaitez découvrir ce nouvel outil numérique ?

Le réseau des bibliothèques rémoises propose un atelier pour vous expliquer son utilisation et les fonctionnalités de base. N’oubliez pas d’apporter votre tablette ainsi que le câble d’alimentation. Si vous n’en avez pas, des prêts sont possibles, le temps de l’atelier (d’une durée de deux heures).

À la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Prochaine séance, le 2O février. Sur inscription au 03 26 35 68 40.

***********************************

l’union 160203 c
Aménagement : 164 logements bientôt rénovés

Le plus grand chantier : la réhabilitation de 120 logements à La Neuvillette. Remi Wafflart
- Agrandir la photo

Cent vingt logements du Foyer rémois, situés rue Hector-Berlioz et allée Frédéric-Chopin vont faire peau neuve, a-t-on appris lundi soir, lors du conseil municipal. De son côté, le bailleur Plurial Novilia se porte acquéreur d’un ensemble immobilier de 16 logements 2 rue des Courtes-Martin pour lequel il s’agit aussi de réaliser des travaux d’isolation du bâti et d’amélioration du cadre de vie puisque le bailleur veut créer des terrasses privatives. Cet organisme logeur souhaite en outre rénover six autres logements situés 27 rue du Grand-Cerf et six autres situés 5 rue du Réservoir. Reims Habitat n’est pas en reste : il engage la réhabilitation de 16 logements situés 68 rue de Courcelles.

Pour tous ces chantiers, la Ville se porte donc garante des emprunts réalisés auprès de la Caisse des dépôts et consignations pour un total de plus de 4,6 M€. « Le travail d’amélioration de l’habitat ainsi que de rénovation énergétique constitue un axe fort pour Reims » , justifie Jean-Marc Roze, le grand argentier de la Ville.

Lundi soir, le conseil municipal a indiqué se porter également garant à hauteur de 4M€ pour la société Axentia qui va construire une résidence étudiante (100 logements) dont la gestion sera assurée par le Crous et qui sera située rue du Docteur-Billard à Reims.

A.B.

***********************************

l’union 160203 b
Solidarité : Une nouvelle marche de soutien à l’étudiant russe

Une première marche avait été organisée vendredi. Archives Hervé Oudin.
- Agrandir la photo

L’union nationale des étudiants (UNEF), Réseau université sans frontières (RSUF) et le syndicat national de l’enseignement supérieur (SNESSUP), appellent à une nouvelle marche pour dire non à l’expulsion de Roman Sidorenko (L’union des 27 et 30 janvier), après celle organisée vendredi dernier. Elle aura lieu ce mercredi 3 février à 14 heures devant le campus Croix-Rouge. Rappelons que Roman Sidorenko, originaire de Vladivostok (en Russie), est étudiant en première année de licence économique-gestion à la faculté de sciences économiques, sociales et de gestion, à l’université de Reims. Ses soutiens évoquent un élève sérieux et assidu. Malgré tout, le préfet a décidé son expulsion pour le 21 janvier. « Cette procédure d’expulsion met sa vie en péril. Il risque l’emprisonnement en retournant en Russie car il a refusé de faire son service militaire en raison de craintes de violences liées à son origine en partie ukrainienne », estime le comité qui lui vient en aide. Une pétition a reçu quelque 700 signatures. Et des tracts sont distribués aux étudiants sur lequel s’associent encore la Licra, le Parti de Gauche, la CGT, les Jeunes communistes… entre autres. Les Jeunes socialistes marnais se sont aussi fendus d’un communiqué où ils se disent indignés « par cette décision, nous ne pouvons concevoir qu’au pays des droits de l’homme, un étudiant ne puisse continuer son cursus universitaire sans être inquiété par l’État. Nous nous en remettons à l’humanité, la bienveillance et la sollicitude du préfet. » Pour l’heure, du côté de la préfecture, on n’entend pas revenir sur l’arrêté d’expulsion. Elle invoque l’absence de résultats et indique que le tribunal administratif a rejeté le recours concernant l’obligation de quitter le territoire.

Yann Le Blévec

***********************************

l’union 160203 a
Événement : Elles représenteront la France

Les six élèves du lycée Arago , ici sur le podium des championnats de France cadettes qu’elles ont remportés à Nantes…
- Agrandir la photo
Pauline, Mathilde, Meryem, Anaëlle, Camille et Léa pratiquent des sports différents, ce qui ne les empêche pas de former une équipe soudée.
- Agrandir la photo

Six élèves du lycée Arago se sont qualifiées pour les championnats du monde de cross scolaire à Budapest. Retour sur une réussite collective.

Dans la halle d’athlétisme du Creps, c’est avec une bonne humeur communicative que Meryem, Léa, Anaëlle, Camille, Mathilde et Pauline se sont retrouvées, moins de deux semaines après avoir réalisé une sacrée performance. Comment pourrait-il en être autrement ? Les six athlètes viennent de remporter le championnat de France cadettes de cross UNSS à Nantes, le samedi 23 janvier, validant ainsi leur ticket pour les championnats du monde de la discipline à Budapest, en Hongrie, du 21 au 26 avril ? « Nous avons fait une bonne course. le parcours était assez facile, plutôt plat, et puis c’était notre objectif », sourit Meryem.

Se faire plaisir à Budapest

Un objectif qui a été atteint avec brio et qui n’a fait que renforcer les liens qui les unissaient déjà. « On se connaissait avant, même si on pratique des disciplines différentes. Alors quand on a gagné, on a explosé de joie. Il y a même eu des pleurs ! Et puis on a appelé nos familles », racontent Anaëlle et Camille. En se classant 3 e , 10 e , 12 e , 30 e et 38 e des 3 000 mètres de course – puisque le classement final tient compte des cinq meilleurs temps de chaque lycée – elles ont ainsi remporté l’épreuve face à 52 autres lycées. Le tout avec 109 points d’avance au classement.

Une belle performance, surtout que ces athlètes sont issues de sports différents. Trois d’entre elles font partie du pôle triathlon du Creps, quand l’autre moitié est membre de la filière d’accès au haut niveau du Lycée Arago. Deux y pratiquent le demi-fond, quand la dernière fait du VTT. Des pratiques sportives variées qui ne les ont pas empêchées de bien figurer. « Nous savions qu’elles avaient des chances de gagner et comme les championnats du monde ont lieu tous les deux ans, cela est bien tombé », se réjouit Christelle Dauphin, professeur d’EPS au lycée Arago, qui a accompagné l’équipe à Nantes. L’enseignante ne tarit d’ailleurs pas d’éloges sur ces filles « dont certaines ont le potentiel pour le haut niveau ». Un potentiel qu’elles pourront mesurer face à des athlètes de 25 pays.

Pour Dalila Foughali, qui s’occupe de Meryem et de Léa, spécialisées dans le demi-fond, la consigne était « d’être dans les 40 premières », pour espérer une victoire collective. Et face au défi du championnat du monde, c’est avec ambition qu’elle se positionne. « Elles ont forcément eu un moment de décompression mais on va faire un peu de foncier pour les préparer. On n’y va pas pour s’amuser ». Si l’aspect compétitif fait partie intégrante du quotidien de Meryem, Léa, Anaëlle, Camille, Mathilde et Pauline, le voyage en Hongrie sera également l’occasion de se faire plaisir. « On ne connaît pas ce pays. On a toutes regardé sur internet des photos de Budapest mais on y va pour profiter. Nous verrons le résultat que nous obtiendrons. » Et ce même si Léa, en béquilles après « une entorse du genou », doit arrêter la compétition pour le moment. « Pour les mondiaux, cela ira. On s’inquiète un peu plus pour la prochaine compétition », explique Dalila Foughali.

À noter que le lycée Arago a vécu une journée très fructueuse puisque les cadets l’ont aussi emporté aux championnats de Franceà Nantes. « On est aussi fier d’eux, même s’ils ne sont pas qualifiés pour les championnats du monde », souligne Christelle Dauphin.

Opposées à 25 nations du monde entier

Les World schools championship cross-country 2016, de leur appellation originale, se dérouleront à Budapest en Hongrie, du 21 au 26 avril. Les six championnes du lycée Arago y seront confrontées à 26 autres nations, comme l’indique l’organisation sur sa page Facebook (ISF WSC Cross-Country). Ainsi l’Algérie, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Brésil, la Bulgarie, le Canada, la Chine, la Croatie, la République Tchèque, l’Angleterre, la Géorgie, la Hongrie, l’Iran, Israël, l’Italie, la Lettonie, le Luxembourg, le Maroc, Les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, le Portugal, la Slovaquie, l’Espagne et la Turquie feront figure d’adversaires le temps d’une course de 3 000 à 3 500 mètres. Le règlement précise que tous les élèves qui participent à ce championnat doivent avoir été scolarisés dans le même lycée depuis le début de l’année scolaire 2015-2016 et doivent être nés en 1998, 1999, 2000 ou 2001. Les championnats du monde de cross scolaire ont lieu tous les deux ans. La prochaine édition, en 2018, se déroulera à Paris.

Jean-Marie Cornuaille

***********************************

l’union 160202 e
AUJOURD’HUI

Coup de pouce emploi : simulations d’entretien. A 14 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

Gratuit.

***********************************

l’union 160202 d
Découverte : Il reste des places dans les centres de loisirs

De nombreuses activités sportives et culturelles sont proposées aux enfants.
- Agrandir la photo

Pour les vacances d’hiver, les centres de loisirs accueillent les enfants âgés de 3 à 17 ans. Au menu : du sport, des arts, des jeux…

Les vacances d’hiver approchent et il est encore temps d’inscrire les enfants aux animations proposées par la Ville de Reims. Nombreuses sont les activités dispensées du samedi 6 au dimanche 21 février. Au programme : pratiques sportives en tout genre, ateliers ou mini-stages de création, séances de jeux, découverte des œuvres du musée des Beaux-Arts à travers un parcours thématique, projections… Parmi les lieux d’animations : bibliothèques et médiathèques, piscines Louvois et Talleyrand, parc des expositions, Maisons de quartier, ou encore Maison commune du Chemin-Vert.

Nouveau : un stage d’apprentissage de la natation

La Ville de Reims propose un accueil en centre de loisirs par tranche d’âge : 3-6 ans, 7-11 ans et 12-17 ans. Pour les plus petits, il faudra se rendre au groupe scolaire Martin-Peller et l’accueil est ouvert de 8 à 18 heures. Le dispositif est plus conséquent pour les 7-11 ans puisque cinq groupes scolaires les prennent en charge. Un mini-stage de sport est également intégré dans le programme hebdomadaire du centre de loisirs. Le dispositif Reims Activités Vacances innove cette année, en proposant, toujours aux 7-11 ans, un mini-stage d’apprentissage de la natation dispensé par les maîtres-nageurs de la ville. Pour en bénéficier, il suffit d’inscrire son enfant au centre de l’école Clairmarais pour la période du 8 au 12 février ou au centre de l’école Joliot-Curie pour la période du 15 au 19 février. Enfin, la Ville mise sur la souplesse pour les 12-17 ans, en les accueillant au Moulin, 54, rue Albert-Thomas, de 13 à 18 heures.

Direction de la Jeunesse : 3, rue des Orphelins, porte jaune. Tél. 03 26 79 09 16.

Des tarifs abordables et variables

Les tarifs à la journée pour les 3-11 ans tiennent compte des ressources des parents. Pour les 12-17 ans, les parents ne payent que 7 euros par mois.

***********************************

l’union 160202 c
Faits divers : Trois hommes écroués après deux saisies d’héroïne et de cocaïne

Le même jour, 53 grammes de cocaïne ont été saisis au péage de Courcy sur l’A26 et 358 grammes d’héroïne dans un appartement de Croix-Rouge à Reims. Archives
- Agrandir la photo

L’un vit à Reims, les deux autres ne faisaient que passer dans la région, mais tous les trois ont été écroués après avoir été trouvés en possession de drogues dures.

Début janvier, les policiers de la sûreté départementale de Reims sont destinataires d’un renseignement selon lequel un habitant de la place Dominque-Ingres à Croix-Rouge s’adonnerait au commerce d’héroïne et de résine de cannabis. Les surveillances du domicile de Christopher Fauvel, 27 ans, confirment un nombre anormalement élevé de visites.

Le 27 janvier, deux hommes de 34 et 39 ans sont interpellés à la sortie de l’appartement. Sur eux, 1,7 gramme d’héroïne qu’ils déclarent avoir acheté chez le suspect. Celui-ci est arrêté le lendemain avec son amie. La perquisition du domicile est positive : 13 grammes de cannabis, 23 comprimés d’ecstasy, 358 grammes d’héroïne, 915 euros en liquide.

D’après ses explications, le jeune homme revendait de la drogue depuis environ deux mois, à six ou sept clients, afin de financer sa consommation personnelle (ses seules ressources sont le RSA). Il aurait importé l’ecstasy des Pays-Bas. Cannabis et héroïne lui auraient été fournis par un dealer local dont il a refusé de dire le nom par peur des représailles.

Ses deux clients cueillis au bas de chez lui ont fait l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel. Son amie devra suivre un stage de sensibilisation aux dangers des produits stupéfiants. Christopher Fauvel, lui, a été déféré hier après-midi à l’audience des comparutions immédiates, mais il a sollicité un délai pour préparer sa défense. Il a été écroué dans l’attente de son procès renvoyé au 23 février.

De la coke dans les intestins

Eux aussi traduits en comparution immédiate, deux Bulgares ont demandé à être jugés tout de suite, ce qui leur a permis de vérifier, à leurs dépens, que les accusations sur un prétendu laxisme de la justice française ne sont pas toujours fondées : un an ferme requis, 18 mois ferme prononcés… Rumen Petrov, 31 ans, serait mécanicien. Cocaïnomane, il aurait économisé 2 000 euros pour financer un voyage à Londres et y acheter 40 grammes de coke. Là-bas, il aurait rencontré un compatriote de 43 ans, Radoslav Tsvetanov.

Jeudi à 15 h 30, les deux hommes retournaient en Bulgarie lorsqu’ils ont croisé un contrôle des douanes au péage de Courcy sur l’A26. Suées, tremblements, voix hésitante… Rumen Petrov paraissait tellement mal à l’aise qu’une fouille du véhicule a suivi. C’est ainsi que les 40 grammes de cocaïne (deux sachets de 20 grammes) ont été retrouvés dans son blouson.

Les gabelous regardaient également Radoslav Tsvetanov d’un œil soupçonneux. Ils lui ont fait passer une radio. Conclusion : présence d’un corps étranger dans les intestins. Après expulsion, l’objet s’est révélé être un sachet de 13 grammes de cocaïne. Radoslav aurait lui aussi acheté la drogue à Londres pour sa consommation personnelle.

Remis aux gendarmes de Gueux, puis déférés hier devant le tribunal, les deux Bulgares ont pris leurs dix-huit mois ferme et une amende douanière de 3 500 euros correspondant à la valeur des 53 grammes de cocaïne. Ils ont également écopé d’une interdiction de séjour sur le territoire français pendant sept ans.

Fabrice Curlier

***********************************

l’union 160202 b
Rendez-vous

Permanences des élus à Croix-Rouge. Les prochaines permanences publiques des conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, se tiendront vendredi 5 février de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, 1 bis avenue du Général-Bonaparte, et samedi 27 février de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3, allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160202 a
PLURIAL NOVILIA.

APPARTEMENTS

REIMS
- 15, rue Alphonse Daudet : T3, rez-de-chaussée, 62,65 m² env., parking, lots 1491-1182, DPE en cours, 99.100 e, réf. ER.11084.
- 8, rue Georges Bernanos : T4 au 2e ét., 76,60 m² env., cellier, parking, lot 1158-1161-1230, DPE en cours, 124.200 e, ER.11045.

ÉPERNAY
- 4, rue de l’Arquebuse : T1, au rez-de-chaussée, 41 m² env., lot 544, DPE en cours, 51.200 e, réf. ER.61509.

MAISONS

- FISMES, 45, rue du Docteur Schweitzer : T5, 86,90 m² env., terrain 300 m², garage, DPE en cours, 127.800 e, réf. ER.80251.
- ESCLAVOLLES-LUREY, 6, rue du Mortier-Le Bouchon : T3, 69 m² env., DPE en cours, 89.700 e, réf. ER.66280. Ventes ouvertes à tous à titre de résidence principale, réservées pendant 2 mois aux locataires PLURIAL NOVILIA (à compter de la date de parution).

Frais de notaire réduits et frais de notaire offerts aux locataires PLURIAL NOVILIA.

Renseignements : REIMS : 03.26.05.92.23 ou 03.26.05.92.97- AUTRES : 07.86.50.25.49.

***********************************

l’union 160201 a
Rendez-vous

Les prochaines permanences publiques à Croix-Rouge des conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, se tiendront vendredi 5 février de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, 1 bis, avenue du général-Bonaparte, et samedi 27 février de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3, allée Antoine-Watteau.

***********************************

l’union 160131 a
Fumée dans le parking

Un feu de joint de dilatation a provoqué un joli dégagement de fumée hier après-midi dans un parking souterrain de la rue du Dr-Billard.

Le feu ne présentait aucun risque de propagation ; les pompiers sont quand même intervenus mais n’ont eu aucune victime à prendre en charge.

***********************************

l’union 160130 e
Rendez-vous

Préparation à l’entrée en maternelle avec l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge qui propose des ateliers familiaux de préparation à l’entrée à l’école maternelle, les vendredis de 9 h 30 à 11 heures, de mars à juin. Ces ateliers ont pour but de familiariser les enfants à la vie en collectivité et à se séparer un peu de leurs parents. Leur présence et celle de l’enfant sont obligatoires à toutes les séances.

Tarif : adhésion familiale annuelle obligatoire 15 € sauf pour les familles déjà adhérentes et une participation de 5 € demandée pour participer à ces ateliers.

Renseignements : espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau. Tél. 03 26 36 03 50.

***********************************

l’union 160130 d
Solidarité : Les lycéens participent aux maraudes

Avec les bénévoles de la Croix-Rouge.
- Agrandir la photo

Le lycée Joliot-Curie et la Croix-Rouge se sont associés pour mettre en pratique chez les élèves les notions de citoyenneté et de bénévolat. Ainsi depuis début janvier, chaque soir, un élève du lycée accompagne une équipe de la Croix-Rouge française lors des maraudes. La priorité des équipes sur le terrain est d’aller à la rencontre des personnes à la rue et de maintenir, voire recréer un lien social.

Pour Elsa, élève de terminale, c’est une expérience très enrichissante : « Cette action m’intéresse beaucoup. Elle me permet d’aller à la rencontre de personnes sans domicile fixe, de mieux les connaître et de me rendre compte de la précarité de leur situation… Des choses simples de la vie courante, telles que proposer une boisson chaude, échanger quelques paroles avec nous, bénévoles, redonne sourire et réconfort. »

En parallèle à cette action, le lycée et de l’antenne de Reims vont plus loin dans ce partenariat, élèves et professeurs accompagneront et formeront les bénévoles dans la gestion de la « vestiboutique ». De son côté la Croix-Rouge va initier les élèves à la conduite à tenir en cas de risques majeurs. « De belles expériences très enrichissantes pour tous », apprécie le proviseur Christophe Georges.

***********************************

l’union 160130 c
Université : Ils défilent pour protéger l’étudiant russe

Les étudiants se sont réunis devant « les coquilles » pour afficher leur soutien à Roman Sidorenko. Photo Hervé Oudin
- Agrandir la photo

Quelques jours après avoir révélé qu’un jeune russe de 20 ans était menacé d’expulsion, son comité de soutien a rassemblé une soixantaine d’étudiants, hier devant le campus.

Sur le parvis du campus Croix-Rouge de l’université de Reims, ils étaient une soixantaine hier, à s’être mobilisés pour soutenir l’étudiant russe menacé d’expulsion. Roman Sidorenko, originaire de Vladivostok, a en effet reçu le 18 janvier l’avis d’expulsion qui est applicable depuis le 21 janvier. C’est pour cette raison qu’il n’était donc pas présent hier en début d’après-midi devant les coquilles, alors que son comité de soutien brandissait une banderole pour dire « non », à son départ.

Un vice de procédure ?

Un collectif « sans étiquette », qui veut tout faire « pour sauver Roman de la mort ». L’un de ses membres, Yann Major, par ailleurs secrétaire général de l’Unef, craint pour la vie de son camarade. « Ce qui nous inquiète, c’est qu’il est d’origine ukrainienne et que si on l’oblige à rentrer, il sera enrôlé dans l’armée russe avec des risques de prison et de persécution ». Arrivé en France en 2013 pour faire ses études, le jeune de 20 ans s’est d’abord cherché. Aujourd’hui en 1 re année de sciences économiques, son avis d’expulsion serait dû « à un vice de procédure ». Dans son autorisation de séjour « figure une notion de temps et pas de diplôme », proteste Yann Major, qui assure que la procédure est « bancale et attaquable ». L’asile politique « peut être une solution », souligne-t-on chez les étudiants. Pour le moment, la préfecture reste ferme sur ses positions « et maintien son avis d’expulsion ».

Parmi les étudiants, quelques bénévoles de l’association caritative dont Roman est bénévole depuis 1 an, ont répondu à l’appel. « Il est plutôt stressé mais il est content que cela commence à bouger. Il aurait aimé être là », signale Thomas, un de ses amis, lui aussi bénévole. Après une brève prise de parole, les étudiants ont déambulé dans le campus. À noter l’absence du réseau universités sans frontières (RUSF), du responsable local de l’union nationale des étudiants et du syndicat national de l’enseignement supérieur, qui avaient alerté la presse sur les enjeux de ce dossier (lire notre édition du mercredi 27 janvier).

Jean-Marie Cornuaille

***********************************

l’union 160130 b
Rendez-vous

Neuvième bourse aux livres du groupe Escapades à la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard, 12-14, rue Pierre-Taittinger, aux heures d’ouverture suivantes : samedi 30 janvier de 9 à 18 heures, dimanche 31 janvier de 14 à 18 heures, puis du lundi 1 er février au vendredi 5 février de 14 à 18 heures.

Plus de 10 000 livres seront disponibles (livres pour enfants, romans pour adultes de poche, ouvrage reliés et brochés, scolaires, policiers, spécialisés, livres anciens, BD et disques vinyles). Ces livres seront vendus pour une somme modique.

***********************************

l’union 160130 a
Rendez-vous

Permanences des élus à Croix-Rouge avec les conseillers départementaux de Reims 3, Albain Tchignoumba et Zara Pince, vendredi 5 février de 10 à 12 heures à l’annexe de la mairie, 1 bis, avenue du Général-Bonaparte, et samedi 27 février de 10 h 30 à 12 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3, allée Antoine-Watteau.

Par ailleurs, un élu de la municipalité sera présent samedi matin 30 janvier et samedi matin 27 février à l’annexe de la mairie, sur rendez-vous au 03 26 77 78 79.

***********************************

l’union 160129 d
Rendez-vous

Préparation à l’entrée en maternelle avec l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge qui propose des ateliers familiaux de préparation à l’entrée à l’école maternelle, les vendredis de 9 h 30 à 11 heures, de mars à juin.

Une réunion de présentation aura lieu le vendredi 29 janvier à 9 heures.

Ces ateliers ont pour but de familiariser les enfants à la vie en collectivité et à se séparer un peu de leurs parents. Leur présence et celle de l’enfant sont obligatoires à toutes les séances.

Tarif : adhésion familiale annuelle obligatoire 15 € sauf pour les familles déjà adhérentes et une participation de 5 € demandée pour participer à ces ateliers.

Renseignements : espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau. Tél. 03 26 36 03 50.

***********************************

l’union 160129 c
Université : Manifestation de soutien à Roman

Une manifestation de soutien à Roman Sidorenko, étudiant russe de 20 ans menacé d’expulsion, est organisée ce vendredi à partir de 14 heures, sur le campus de Croix-Rouge, au pied du bâtiment des « Coquilles ».

Après une conférence de presse et une réunion publique mardi (L’union du 27 janvier) à l’université, la mobilisation se poursuit, à l’initiative de syndicats d’étudiants et d’enseignants, d’associations caritatives. L’étudiant a également reçu le soutien du Réseau université sans frontières.

La préfecture lui reproche de n’avoir validé, au cours de ses trois premières années passées en France, « aucune unité de valeur » à la faculté. Ses défenseurs indiquent qu’il a dû apprendre le français, qu’il s’est réorienté et qu’il obtient désormais de bons résultats.

***********************************

l’union 160129 b
Les voitures brûlent, les poubelles aussi

Une Renault Mégane garée rue des Savoyards a été détruite par le feu, mercredi vers 23 h 45. L’origine du sinistre est suspecte. Mardi à 18 h 30, un début d’incendie provoqué par un court-circuit s’est déclaré dans le moteur d’une BMW, rue Camille-Lenoir.

Quatre poubelles ont également brûlé mercredi, la première à 16 heures esplanade Eisenhower (conteneur enterré), la deuxième à 19 heures dans les communs d’un immeuble de la place Georges-Braque, les deux autres à 20 heures rues de Chevigné et Gustave-Laurent.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 425- 160129a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 425 - Semaine du 29 janvier au 04 février 2016

----------

BOURSE AUX LIVRES

BOURSE AUX LIVRES du samedi 30 janvier au vendredi 5 février

-  Samedi 9h-18h,
-  de dimanche à vendredi 14h-18h

Maison de quartier Billard, 12, rue Pierre Taittinger


----------

Portes ouvertes : découvrez NEOMA

Le campus rémois de NEOMA BS donne rendez-vous aux étudiants samedi 30 janvier. © Jean-François Lange
- Agrandir la photo

Le campus rémois de Business School ouvre ses portes à l’occasion de nouvelles Journées Portes- Ouvertes et de Préparation aux Concours, samedi 30 janvier, de 10 h à 18 h. A cette occasion, les équipes de l’établissement vous présenteront tous les programmes ainsi que l’ensemble des services dispensés sur le campus. Des conférences et des ateliers animeront l’ensemble de la journée afin de permettre de découvrir chaque cursus, ses spécificités et ses débouchés. En parallèle, des sessions de préparations aux concours permettant d’accéder à nos cursus (Concours Tremplin 1, Tremplin 2, SESAME, ECRICOME Bachelor et TEMA) se tiendront l’après-midi. Au programme de ces préparations concours : présentations des différentes épreuves et conseils (langues, entretien de motivation, test de logique, exercice de synthèse, épreuve TAGE MAGE).

NEOMA Business School, qui accueille sur ses différents campus 8 810 étudiants par an, encadrés par 196 professeurs pour un budget annuel de 79,6 millions d’€, est 11e du classement 2016 des grandes écoles de commerce françaises établi par Challenges et 34e au niveau mondial selon celui du Financial Times.

J.D

NEOMA Business School, 59, rue Pierre Taittinger à Reims. Tél. : 03 26 77 47 47. Mail : service.com@neoma-bs.fr Plus d’informations sur www.neoma-bs.fr ou event.neoma-bs.fr/journee-portes-ouvertes/reims/


Navigation

Articles de la rubrique