Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2016.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « L’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 

 

 

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l’union 160430 c
Rendez-vous

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier Espace Billard.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard, Catherine Peirrejean au 03 26 08 08 78.

Entrée libre.

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l’union 160430 b
PLURIAL NOVILIA

APPARTEMENTS

REIMS
- 26, rue de Pontgivart : T2 au 2e ét., 48,71 m² env., cave n° 75, DPE : D, 84.000 e, réf. ER.11786.
- 15, rue André Cauras : T4 au 5e ét., 81,91 m² env., parking, lot 141-160, DPE en cours, 147.300 e, réf. ER.13334.
- 4, rue Chanzy : T3 au 1er ét., cave n° 7, DPE : E, 149.500 e, réf. ER.15373.
- 3, esplanade Remi Pellot : T3 au 4e ét., 72,03 m² env., garage, lot 118-227, DPE en cours, 130.500 e, réf. ER.13355.
- 14, rue Maryse Bastié : T2 au 6e ét., 45,53 m², cave n° 54, DPE : D, 72.000 e, réf. ER.06303.
- 1, esplanade Remi Pellot : T3 au 3e ét., 72,03 m² env., lot 130, DPE en cours, 128.400 e, réf. ER.13343.
- 3, rue Magellan : T3 au 4e ét., 60,49 m² env., cave, lot 110-79, DPE en cours, 75.000 e, réf. ER.06782.
- 17, rue Alphonse Daudet : T5 au 2e ét., 90,72 m² env., cave, parking, lot 1471-1474-1172, DPE en cours, 148.900 e, réf. ER.11103.

TINQUEUX
- 5, rue Jean Nicolas Sureau : T5 au 2e ét., 78,55 m² env., cave n° 10, lot 46-60, DPE en cours, 126.700 e, réf. ER.01912.

MAISON

PLEURS
- 64, rue du Docteur Choquart : T4, 82,17 m² env., DPE en cours, 94.500 e, réf. ER.66305.

Ventes ouvertes à tous à titre de résidence principale, réservées pendant 2 mois aux locataires PLURIAL NOVILIA (à compter de la date de parution).

Frais de notaire réduits et frais de notaire offerts aux locataires PLURIAL NOVILIA.

Renseignements : REIMS : 03.26.05.92.23 ou 03.26.05.92.97- AUTRES : 07.86.50.25.49.

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l’union 160430 a
TENNIS Interclubs nationaux : Courts de maintien

Les « Européennes » version 2015 avec leur capitaine Frédéric Chauvin. François Nascimbeni
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Les filles du Reims Europe Club vont défendre leur place en DN1B. Elles ont quatre dimanches pour réussir dans leur entreprise.

C’est le lot de la plupart des formations participant aux Interclubs dans les hautes divisions nationales : les membres, dispersés, sont réunis uniquement les jours de match. Ainsi n’y aura-t-il eu « aucun entraînement d’équipe » pour les Rémoises de l’Europe Club en dehors de l’heure, « entre 18 et 19 » aujourd’hui, durant laquelle elles doivent « taper la balle ensemble » sur les terrains en résine de la rue de l’Escaut, avant de laisser la place à leurs visiteuses castelroussines.

« L’Italienne (Claudia Giovine, nº 22) ne vient que pour la rencontre. Marie Ménacer (-4/6) passe son diplôme d’État à Lille et vit à Charleville-Mézières. Clémence Krug (2/6) est aux États-Unis (en tennis-études) et ne nous rejoindra, au mieux, que deux week-ends. Victoire Delattre (2/6) est une nouvelle, elle habite à Valenciennes » , détaille Frédéric Chauvin, le capitaine des « Européennes ».

« Margot Crémont (3/6) était classée 0 il y a quatre ans, elle en a 20. Et Nathalie Mohn (3/6) fut –30 à 16, 17 ans. » Cette dernière, qui « va faire son retour à la compétition en simple » , indique le technicien, « joue au niveau négatif sans problème » .

Pour le plaisir

Nathalie Mohn reste, en effet, une valeur sûre. « La saison dernière, j’avais fait les doubles et je n’étais pas partie sur deux des matches. » La campagne 2016 par équipe, où « nous chercherons à nous maintenir en premier lieu » , coïncide avec un objectif plus personnel : « J’ai envie de refaire des matches pour remonter au classement parce que ça fait cinq, six ans que je ne joue plus. J’ai arrêté précipitamment. À la base, j’ai eu une blessure à une cheville, que j’ai traînée. Il m’était alors impossible d’enchaîner les parties. J’en ai donc profité pour passer le diplôme d’État afin de devenir entraîneur. » . Mais pas question pour la jeune femme de 24 ans de brusquer les choses. « Je vais essayer de rejouer à peu près jusqu’en août, on verra ensuite. Il s’agit de reprendre petit à petit. Si ça remarche bien, pourquoi pas essayer de jouer un peu plus sérieusement… »

Cette année, la concurrence a particulièrement fière allure dans la poule A de DN1B. Les adversaires de Reims « ont beaucoup de numérotées ; encore faut-il qu’elles soient toutes là » , fait remarquer Nathalie Mohn. La défection de Sarcelles, forfait général quelques jours avant les premiers échanges à Pierrelatte, « nous enlève une épine du pied puisque, du coup, nous n’avons plus qu’un match à gagner » . Pour éviter la cinquième place.

SYLVAIN MOURROZ

Sarcelles forfait, cela fait un relégué en moins

Débarrassé, en la « personne » de Sarcelles, de « l’équipe la plus forte de la poule sur le papier » , selon Frédéric Chauvin ( « J’ai entendu dire que le club connaissait des difficultés financières » ), Reims gagne un déplacement, qui était programmé le 8 mai pour le compte de la 2 e journée, mais aussi et surtout quelques pourcents de chances de ne pas tomber en DN2. « Il n’y a plus qu’une descente », observe le capitaine de l’Europe, dont les protégées vont « essayer de remporter un match ou deux » . Et s’il parle d’un groupe « injouable », c’est parce que Châteauroux a dans ses rangs « les n os 27 et 32, une -15 et une -2/6 », Pierrelatte « les n os 51 et 56, une -2/6 et une 2/6 » , Saint-Omer « les n os 37 et 54, une -15 et une 0 » , et Montfermeil « les n os 11 et 30, une -15 et une -2/6 » .

DAMES

DN1B, poule A

REIMS EUROPE CLUB. -
Effectif : Claudia Giovine (Ita, n° 22), Marie Ménacer (-4/6), Clémence Krug (2/6), Victoire Delattre (2/6), Nathalie Mohn (3/6), Margot Crémont (3/6), Amélie Zarev (4/6), Lisa-Marie Habert (4/6), Muriel Legué (15), Anne-Sophie Renard (15/3). Capitaine : Frédéric Chauvin. Calendrier : contre Châteauroux (demain), contre Pierrelatte (22 mai), contre Saint-Omer (29 mai), à Montfermeil (5 juin).

DN4, poule A

TC GÉO-ANDRÉ REIMS. -
Effectif : Noémie Bellott (1/6), Maëva Spooner (3/6), Caroline Girard (4/6), Mathilde Sarcelet (4/6), Julie Baillif (15), Elvire Prault (15/1), Lucie Grygielski (15/1), Amélie Lamothe (15/1), Anne-Laure Le Flohic (15/2), Claire Ludot (15/5). Capitaine : Geoffrey Alessio. Calendrier : à Narbonne (demain), contre Gémenos (8 mai), à Seloncourt (22 mai), contre Clermont-Ferrand (29 mai), à Monte-Carlo (5 juin).

DN4, poule D

TC CÔTE DES BLANCS. -
Effectif : Jackie Lassaux (3/6), Ketty Koniushok (5/6), Julie Carré (15/2), Stéphanie Hennepeaux (15/3), Soline Bérèche (15/4), Emmanuelle Rouyer (15/5), Sophie Larmandier (30), Isabelle Pichouron (30/1), Marie-Claude Descotes (30/1), Gwenaëlle van Melle (40). Capitaine : Jean-Pierre Dast. Calendrier : à Freyming-Merlebach (demain), contre Dunkerque (8 mai), à Dijon (22 mai), à Grenoble (29 mai), contre Besançon (5 juin).

MESSIEURS

DN3, poule B

CORMONTREUIL TC. -
Effectif : Lennert van der Linden (P-B, -15), Constant de la Bassetière (-4/6), Thibaut Visy (0), Manuel Soumet (2/6), Jean-Charles Robert (2/6), Sébastien Jolly (3/6), Thibault Deglave (3/6), Cyril Pusset (4/6), Omar Charai (Mar, 5/6), Amaury Bylicki (5/6). Capitaine : Omar Charai. Calendrier : à Beauvais (demain), contre Grande-Synthe (8 mai), contre Villiers-le-Bel (22 mai), à Montrouge (29 mai), contre Saint-Aubin-lès-Elbeuf (5 juin).

DN4, poule K

TC Montmirail. -
Effectif : Nicolas Jonasz (1/6), Tony Triquenot (4/6), Victorien Boulard (4/6), Sébastien Doffémont (5/6), Thomas Delaballe (15), Arthur Assailly (15), Sébastien Miara (15/1), Bruno Quérian (15/1), Philippe Noël (15/1), Kamel Harad (15/2). Capitaine : Kamel Harad. Calendrier : contre Metz (demain), à Paris-Est (8 mai), à Plaisir (22 mai), contre Royan (29 mai), à Limoges (5 juin).

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l’union 160429 c
Rendez-vous : Rencontre philosophique

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier Espace Billard.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard, Catherine Peirrejean au 03 26 08 08 78.

Entrée libre.

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l’union 160429 b
Faits divers : Deux enfants renversés

Deux enfants ont été renversés par des voitures, mercredi à Reims. Le premier accident s’est produit peu avant 16 heures, avenue François-Mauriac.

Âgé de sept ans, un bambin a traversé en courant, à une dizaine de mètres du passage piéton. Le conducteur d’une Opel qui circulait vers Bezannes n’a pu l’éviter.

Le garçon s’est relevé indemne, mais très choqué.

En début de soirée, vers 18 heures, une fillette de quatre ans a échappé à la vigilance de sa famille rue Arlette-Rémia-Coudron, au quartier Courlancy. Projetée à terre par une voiture alors qu’elle traversait toute seule sur le passage, l’enfant souffre d’ecchymoses et d’un traumatisme crânien. Son état de santé n’inspire cependant pas d’inquiétude.

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l’union 160429 a
Faits divers : L’enfant met le feu au matelas

Mercredi vers 19 h 30, une personne a été légèrement intoxiquée lors d’un feu d’appartement esplanade Eisenhower, au n º 21 (notre précédente édition). L’incendie est d’origine domestique : c’est un enfant de trois ans qui a mis le feu à un matelas en manipulant un allume-gaz.

L’appartement est partiellement calciné. Ses quatre occupants vont être provisoirement hébergés dans la famille.

Lors du sinistre, une conduite a cédé, provoquant un dégât des eaux dans un autre logement.

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l’union 160428 d
Rendez-vous : Sortie famille

Sortie famille proposée par la maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau, au zoo Pairi Daiza en Belgique. Samedi 28 mai.

Tarifs : Adultes (+12 ans), 12 € ; enfant de 3 à 12 ans, 10 € ; – de 3 ans 7 €, adhésion obligatoire de 15 € à la maison de quartier.

Prévoir des vêtements adaptés à la météo ainsi que le repas du midi et le goûter.

Renseignements au 03 26 36 03 50.

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l’union 160428 c
Rendez-vous : Rencontre de mamans

Rencontre de mamans. Mardi 3 mai, atelier couture : création de tablier. De 9 à 11 heures.

Pour plus d’informations, Alexandra, espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau, 03 26 36 03 50.

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l’union 160428 b
Rendez-vous : Rencontre philosophique

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier Espace Billard.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard, Catherine Peirrejean au 03 26 08 08 78.

Entrée libre.

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l’union 160428 a
Faits et méfaits : Un blessé dans un feu d’appartement

Hier à 19 h 30, un feu d’appartement s’est déclaré au troisième étage d’un immeuble du groupe Eisenhower.

Blessé légèrement, l’un des occupants a été conduit au CHU.

La famille va être provisoirement relogée chez des proches.

L’origine du sinistre reste à déterminer.

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l’union 160427 b
Le mercredi c’est permis : Des idées pour occuper les enfants aujourd’hui

Tête et corps à assembler : un jeu qui se passe au Carré blanc.
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1 Têtes et corps

Voici une sorte de jeu proposé aux petits à partir de 5 ans, au Carré blanc de Tinqueux ; il s’agit d’une visite-spectacle initiatique autour de l’exposition de Natali Fortier : un jeu de tête et de corps à assembler, conçu par cette Franco-Canadienne, peintre et illustratrice en littérature jeunesse. Il y a des dizaines de têtes, de celle du moineau à celle de l’homme furieux. Tarifs8€, 6€, 5€, ce mercredi 27 avril à 18 heures, rue Croix-Cordier à Tinqueux.

2 Vidéo gourmande

Toujours pour le jeune public (de 6 à 12 ans), est proposée une vidéo présentée comme « gourmande », intitulée Buckets & balls (Seaux et ballons) de Koki Tanaka. Cela se passe ce mercredi 27 avril à 14 h 30, sur inscription au 03 26 35 68 51, à la m édiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar à Reims, et c’est gratuit.

3 Éveil artistique

Pour les enfants qui ont la fibre artistique : un atelier d’éveil au musée des Beaux-Arts, 8 rue Chanzy. Sont ciblés les 8-12 ans, qui en prendront pour une durée 3 heures, sur le thème : Jeux de reflets, l’eau dans les paysages du XIX e . Cet atelier est animé par Nathalie Marquant, plasticienne. La réservation est à faire par téléphone au : 03 26 35 36 10. Tarif 2€ ; et cela se passe toujours ce mercredi 27, de 14 à 17 heures. Attention, l’accueil est limité à 15 enfants.

4 Sophie raconte

L’Heure du conte jeune public à partir de 4 ans, avec Sophie. L’animation dure ce mercredi de 15 h 30 à 16 heures, à l’espace « benjamins » de la médiathèque Falala, 2 rue des Fuseliers. C’est gratuit. Contact : 03 26 35 68 00.

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l’union 160427 a
Rendez-vous

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse le lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier espace Billard.

Renseignements auprès de la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard, Catherine Peirrejean au 03 26 08 08 78.

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l’union 160426 a
En image à Croix-Rouge : La médiathèque fait des heureux

 

 

Ce n’était pas l’affluence de l’an dernier mais les curieux ont tout de même bravé le froid et la pluie pour acheter livres et CD à 1 ou 2 €, dimanche.

La directrice du réseau de bibliothèques, Delphine Quéreux-Sbaï, a vu le bon côté des choses : la météo a incité les lecteurs à se réfugier à l’intérieur.

Une bonne entrée dans le monde des livres !

 

 

 

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l’union 160425 e
Rendez-vous

Journée portes ouvertes au Creps, (route de Bezannes) mercredi 27 avril de 13h45 à 16h45.

Présentation des formations aux métiers du Sport et de l’animation (animateur, éducateur, entraineur…).

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l’union 160425 d
Rendez-vous

Sortie familiale : balade contée au musée des Beaux-arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures.

Tarifs et inscriptions auprès de la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160425 c
Faits divers : Ils tentent de semer la police à scooter

C’est en franchissant le stop à l’angle des rues Machet et du Docteur-Roux sans s’arrêter que ces deux individus, perchés sur un scooter blanc, ont attiré l’attention de la brigade anticriminalité, samedi soir, peu avant 22 heures.

Les policiers, bien décidés à les contrôler, actionnent alors le deux-tons et leur gyrophare. Mais le pilote n’a visiblement pas l’intention de s’arrêter : il monte sur le trottoir et prend la fuite. Parvenus à sa hauteur, les fonctionnaires lui passent de nouveau le message et lui faisant signe de se garer. Sans résultat. Le scooter file à toute allure vers la rue de Rouen, la rue de la Seine-Maritime, puis boulevard du Chili. Le franchissement de l’avenue d’Épernay ne ralentit pas les deux acolytes, qui prennent tous les risques pour poursuivre leur route en grillant le feu rouge, jusqu’à l’avenue Robert-Schuman. Nouvelle tentative des policiers pour stopper l’équipage. Cette fois, les deux hommes décident d’abandonner leur monture en la projetant sur le véhicule de la Bac, occasionnant quelques dégâts au passage. Finalement rattrapés tous les deux, ils ont fini leur virée en garde à vue. Il leur est reproché des dégradations volontaires et un recel, le neiman de l’engin ayant été forcé. Selon eux cependant, le deux-roues leur aurait été prêté par un ami, qui a confirmé l’information. Leur garde à vue a été levée le temps que l’enquête puisse en révéler davantage sur ce point. Le refus d’obtempérer du pilote fait, lui, en revanche, beaucoup moins de doute…

M.D.

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l’union 160425 b
Commerce : Basic-Fit tarde à ouvrir à La Neuvillette

La salle est prête. Il ne manquerait que le feu vert de la commission de sécurité pour qu’elle puisse ouvrir. Bernard Sivade
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Des abonnés de Basic-Fit grognent. Ils ont acheté, il y a des semaines, leur abonnement en prévente pour la salle de sport de La Neuvillette. Or celle-ci n’est toujours pas ouverte.

Ils commencent à perdre patience, les abonnés Basic-Fit de La Neuvillette. Attirés par des conditions tarifaires alléchantes, comme l’enseigne de fitness low-cost le propose de nouveau en vue de l’ouverture de ses deux salles de sport à Croix-Rouge cet été (notre édition du 21 avril), ils ont été nombreux à souscrire un abonnement en février. Sauf que depuis, point d’exercices des fessiers et autre levée de poids au programme : le lieu reste désespérément fermé. Les travaux de cette salle, située 17, avenue Nationale, sont pourtant bel et bien achevés. Et les préinscriptions dans le préfabriqué installé sur le parking, toujours d’actualité.

« On est aussi impatients que nos membres »

Lassée, Gwenaëlle, une Rémoise qui pensait pouvoir entamer son projet de remise en forme au mois d’avril, comme promis par ses interlocuteurs lors de son inscription fin février, a d’ores et déjà prévu de se désabonner dès qu’elle le pourra. C’est-à-dire dès que la salle de sport aura ouvert ses portes, selon les termes de l’accord. « J’ai été extrêmement déçue qu’on ne soit pas recontactés par Basic-Fit, qu’il n’y ait aucune communication, alors que dans le même temps, des collègues de mon mari ont été démarchés pour acheter des préventes ! » Cette commerciale indépendante, « choquée » par le fait que ses 5,99 € versés aient été encaissés avant même la fourniture de prestation, regrette encore de ne pouvoir obtenir aucune information en téléphonant au numéro – « surtaxé » – mis à disposition. « Ils n’envoient pas de mail non plus pour prévenir alors qu’ils ont toutes mes coordonnées ; et ne répondent, sur Facebook, qu’aux gens qui souhaitent s’inscrire… Je ne les trouve pas commerçants ! » Gwenaëlle, qui a profité de cette attente pour se renseigner davantage sur les services proposés, a donc finalement décidé de faire machine arrière. « Je me suis trompée. Je ne dis pas que ce n’est pas bien. Mais ce n’est pas la bonne prestation pour moi. Je vais aller m’inscrire ailleurs. » Et de s’interroger sur un éventuel retard de validation par la commission de sécurité évoqué sur Facebook pour expliquer ce délai. Retard qui ne l’a « pas mise en confiance ».

Un point d’ailleurs évoqué par d’autres internautes dans les commentaires de la page Facebook « Basic-Fit La Neuvillette », notamment Pauline, qui regrette au passage l’effet d’annonce de nouvelles ouvertures de salles, alors que la sienne est toujours close : « On attend un soi-disant certificat de sécurité qui se fait bien trop désirer… » écrit-elle ainsi.

C’est pourtant bien l’explication livrée par Arnaud Pierar, responsable des ventes et de l’expansion chez Basic-Fit, pour justifier ce retard. Contacté mercredi dernier, celui-ci a ainsi affirmé que le local avait été « totalement réhabilité » , que le club était à « 100 % prêt » , et qu’il ne manquait plus que le passage de la commission de sécurité pour que la salle puisse ouvrir ses portes. « On attend une date. L’ouverture est donc imminente. Les démarches administratives sont juste un peu plus longues que prévues » , a-t-il rassuré. « On est aussi impatients que nos membres, et on comprend que ce soit pénible pour eux. Ça va se débloquer d’un jour à l’autre. »

Marion Dardard

Un mois perdu, un mois remboursé ?

Certains abonnés se demandent s’ils ne vont pas perdre l’argent versé pour le mois d’avril. Non, rassure Arnaud Pierar : « Les 5,99 € réglés en prévente correspondront au premier mois complet d’entraînement ». Pas question donc, de débourser un centime pour la période pendant laquelle ils n’ont pas utilisé la salle, affirme le responsable des ventes. « Ils n’y sont pour rien, l’attente est déjà suffisamment longue, on ne va pas en plus leur faire payer… » M. Pierar note que les abonnés peuvent, malgré tout, aller s’entraîner à Cormontreuil en attendant. Et de préciser : « Pendant les dix premiers jours d’ouverture du club, ils pourront résilier leur abonnement sans frais s’il ne correspond pas à leurs attentes. »

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l’union 160425 a
Tennis : Japin et Hennepeaux s’imposent à Épernay

Limitée à 15 chez les messieurs, la 18 e édition du tournoi de l’ASPTT Épernay a été remportée par le local Nicolas Japin (15/1) . Opposé au stade ultime à l’un des favoris Thomas Delaballe (15, Montmirail), le postier sparnacien, vainqueur en 2014, s’est aisément imposé 6-3, 6-0. Il faut dire que le Montmiraillais était émoussé physiquement par une demie à rallonge alors que Nicolas Japin s’était qualifié via l’abandon de Léo Samyn (15, Géo-André) victime d’une entorse à la cheville. La fratrie Japin n’a pas réalisé le doublé puisque dans un tableau féminin, ouvert jusqu’à 15/2, Céline (15/4) a été dominée en finale par la solide Stéphanie Hennepeaux (15/3, Côte des Blancs), 6-1, 7-5.

Messieurs. –

Quarts de finale : Henry (15, Aÿ) bat Desanlis (15/1, Nautique Épernay) 6-1, 6-0 ; Delaballe (15, Montmirail) bat Derot (15-4, Mareuil-sur-Aÿ) 6-1, 6-0 ; Samyn (15, Géo-André) bat Henrion (15/2, Nautique Épernay) 7-5, 6-3 ; Japon (15/1, ASPTT Épernay) bat Delarme (15/1, Cheminots Reims) 6-1, 6-1 ; demi-finales : Delaballe bat Henry 4-6, 7-5, 7-5 ; Japin bat Samyn 4-6, 4-2 abandon ; finale : Japin bat Delaballe 6-3, 6-0.

Dames. –

Quarts de finale : Stéphanie Hennepeaux (15/3, Côte des Blancs) bat Ophélie Mirande (15-4, Nautique Épernay) 2-6, 7-6, 6-0 ; Catherine Decure (15/3, Aÿ) bat Anne Topczewski (15/4, Cuis) 1-6, 6-2, 6-3 ; Céline Japin (15/4, ASPTT Épernay) bat Céline Carton (15/4, Guignicourt) 6-4, 6-3 ; Nadine Sanchez (15/3, Mardeuil) bat Laurence Kerfriden (15/4, Bétheny) 6-4, 6-1 ; demi-finales : Hennepeaux bat Decure 6-3, 6-3 ;Japin bat Sanchez 6-1, 6-4 ; finale : Hennepeaux bat Japin 6-1, 7-5.

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l’union 160424 g
Commémoration : En mémoire de la déportation

La veillée, à la lueur des flambeaux, revêt une solennité renforcée par la musique et les chants. Bernard Sivade
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« Longtemps, on n’a rien su de la déportation de mon arrière-grand-père » Damien Bertrand
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Collégiens, lycéens et étudiants, ainsi qu’une délégation allemande ont été étroitement associés à la 71 e veillée, organisée hier soir en hommage aux déportés et résistants.

Les flambeaux trouent l’obscurité. Nuit et brouillard, de Jean Ferrat, résonne et si l’assemblée frissonne, ce n’est pas à cause du froid. Autour du monument aux martyrs de la Résistance ont pris place étudiants et porte-drapeaux, emmenés par Raymond Gourlin et André Bronchard. Le premier est président de la Fédération des déportés et internés résistants et politiques de l’arrondissement de Reims ; le second, fils de déporté. Tous deux ont à cœur que ne se perde pas la mémoire de ceux qui ne sont pas revenus des camps de concentration et d’internement.

Edmond Forboteaux, Hélène et René Worms

Le souvenir d’Edmond Forboteaux est évoqué par son arrière-petit-fils, Damien Bertrand, qui a, dès l’âge de 8 ans, mené des recherches pour en savoir plus sur cet aïeul qui a toujours tu sa déportation. Aujourd’hui étudiant à Sciences Po à Lille, le jeune homme a mené une conférence en 2012 avec les Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation, après avoir pu se recueillir à Neuengamme, là où son grand-père fut interné avant d’être déplacé et de mourir en baie de Lübeck, le 3 mai 1945…

Deux élèves de 3 e du collège François-Legros, Esther Granier et Clarisse Seclet, lisent chacune un poème, évoquant les souffrances endurées par les déportés. Elles sont émues et on sent qu’elles pèsent les mots qu’elles prononcent. Josseran Franchette, lui, étudiant en langues étrangères, membre de l’Association groupant les Rémois de l’amicale falucharde, est aussi touché par la vie d’Hélène et René Worms, dont le nom figure sur le monument aux martyrs et dont il a porté le portrait.

Le poème de Primo Levi, « Si c’est un homme », lu dans un parfait français par une Allemande d’Heidelberg, invitée par l’Union fédérale marnaise, provoque lui aussi l’émotion.

Raymond Gourlin prend à son tour la parole et fait un parallèle entre la Deuxième Guerre mondiale et la situation contemporaine : « Combattants volontaires, nous l’étions et nous le sommes encore, contre la barbarie qui vient assombrir nos efforts de paix ». Il en appelle à un nécessaire réveil des consciences et à une fraternité indispensable.

Ars Vocalis, La Veslardanne et l’Harmonie municipale ajoutent par leurs interprétations à l’émotion collective. La chanson Nuit et brouillard se termine ainsi : « Je twisterais les mots s’il fallait les twister, pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez ». Jean Ferrat a sûrement été exaucé.

ANNE DESPAGNE

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l’union 160424 f
Rendez-vous

Fête du quartier Université, le samedi 28 mai de 15 heures à 21 h 30 organisée par les habitants, les associations et l’équipe de la maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard/La Nacelle, sur le parking de l’espace Billard.

Renseignements à l’Espace Billard : 03 26 08 08 78.

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l’union 160424 e
Rendez-vous

Journée portes ouvertes au Creps, (route de Bezannes) mercredi 27 avril de 13 h 45 à 16 h 45.

Présentation des formations aux métiers du Sport et de l’animation (animateur, éducateur, entraîneur…).

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l’union 160424 d
Rendez-vous

Sortie familiale : balade contée au musée des Beaux-arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures.

Tarifs et inscriptions auprès de la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160424 c
Rendez-vous

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier Espace Billard.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard, Catherine Peirrejean au 03 26 08 08 78.

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l’union 160424 b
En image à Budapest

 

Les filles du lycée Arago de Reims représentaient la France, hier, aux Championnats du monde scolaires de cross-country (UNSS) disputés à Budapest, la capitale hongroise.

Pauline Landron (11 e ), Mathilde Serodon (36 e ) Camille Carrier (29 e ), Meryem El Baakak (52 e ), Léa Bertrand (59 e ) et Anaëlle Henry (105 e ) ont pris la 5 e place collective sur 24 établissements classés.

Une perf honorable selon leur coach. « Il y avait un gros niveau chez les filles » , reconnaît Dalila Foughali qui les accompagnait en Hongrie. « Elles ont fait leurs courses et sont à leurs places. Il n’y a aucun regret à avoir. »

 

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l’union 160424 a
Tennis : Une pléïade de favoris à l’ASPTT Épernay

Avec des effectifs stables (146 inscrits), la 18 e édition du tournoi de l’ASPTT Epernay s’annonce passionnante.

Chez les messieurs, le titre devrait en toute logique se jouer à la limite des inscriptions (15) entre Lucas Henry (Aÿ), Nabih Hakihe (Saint-Maur), les Montmiraillais Thomas Delaballe et Arthur Assailly ainsi que les sociétaires du TC Géo-André Léo Samyn et Thomas Champs. À moins que le local Nicolas Japin (15/1, ASPTT Épernay) ne mette tout le monde d’accord ! Demi-finales à 9 h 30 et finale à 16 heures.

Ouvert jusqu’à 15/2, le tableau féminin semble promis à une 15/3 Stéphanie Hennepeaux (Côte des Blancs), Catherine Decure (Aÿ) et Nadine Sanchez (Mardeuil). Sauf si Céline… Japin (15/4, ASPTT Épernay) ne déjoue les pronostics. Finale à partir de 14 heures.

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l’union 160423 f
Emploi : Un soutien pour les entrepreneurs

Les futurs créateurs d’entreprise seront suivis après les 12 semaines de formation pour mener à bien leurs projets.
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L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) a inauguré sa formation permettant à des demandeurs d’emploi de finaliser un projet de micro-entreprise.

C’est une première à Reims ! L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie), en partenariat avec Edf, Plurial Novilia et Reims Métropole, a lancé son programme Adie Microbusiness sur Reims pour permettre à des personnes dans des situations précaires de se former, afin de finaliser un projet de micro-entreprise.

« L’Adie est une association reconnue d’utilité publique qui aide les personnes exclues du travail et du système bancaire classique à créer leur entreprise. Elle accompagne les porteurs de projet afin de les soutenir en amont et en aval du lancement de leur micro-entreprise pour en garantir la pérennité », explique Romain Streit, le responsable de l’Adie en Champagne-Ardenne.

Durant douze semaines au sein des locaux de l’association Étoile Croix du sud, 11 créateurs âgés de 25 à 65 ans, pour la plupart inscrits à Pôle emploi, vont bénéficier de cette formation pour mener à bien leur projet. Ils sont encadrés par sept chargés d’accompagnement. « Elle balaie une palette complète de questions clés pour les futurs entrepreneurs : sensibilisation à la fonction de chef d’entreprise, réflexion sur les clientèles visées, conseils pour promouvoir son activité et mieux communiquer, choix du bon statut juridique et techniques de négociation commerciale », indique Romain Streit.

Zahra Pompilius, 41 ans, habite dans le quartier Croix-Rouge et suit ce type de formation pour la première fois : « Mon souhait est de créer une pâtisserie. Après seulement deux jours de formation, j’ai déjà la sensation d’avoir appris beaucoup de choses. Je suis certaine que ça va beaucoup m’aider. » Même son de cloche pour Amina Faucheux, Rémoise depuis seulement deux ans : « J’ai vécu auparavant en Algérie où je tenais un magasin d’optique. Pour pouvoir reprendre mon activité ici, je dois acquérir des notions juridiques et techniques. C’est une vraie chance qu’on nous offre. »

Ce concept de formation est une réelle nouveauté pour l’Adie à Reims. « La différence avec ce que nous proposons d’habitude, c’est qu’on a déplacé nos locaux dans le quartier Croix-Rouge pour être au plus près des créateurs que nous visons. C’est la première fois que nous mettons en place un accompagnement collectif. Cela permet de mettre en réseaux les porteurs de projet entre eux. Nous avons adapté notre pédagogie en prenant en compte les difficultés de leurs parcours », complète Romain Streit avant de préciser : « Après les 12 semaines, nous continuerons de les suivre ».

Naïm AYACHE

L’Essentiel

Adie Microbusiness sur Reims : formation pour finaliser un projet de micro-entreprise.

-  Durée : du 18 avril à la fin juin soit 12 semaines de formation.
-  Lieu : au sein de l’association Étoile Croix du sud, 10, avenue Léon-Blum.
-  11 créateurs âgés de 25 à 65 ans, résidant à Reims suivent la formation.
-  7 chargés d’accompagnement encadrent la formation.
-  57 % des personnes financées par l’Adie sont allocataires des minima sociaux.

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l’union 160423 e
Rendez-vous

Journée portes ouvertes au Creps de Reims, mercredi 27 avril de 13 h 45 à 16 h 45. Présentation des formations aux métiers du Sport et de l’animation (animateur, éducateur, entraîneur…). Route de Bezannes à Reims.

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l’union 160423 d
Rendez-vous

Sortie familiale : balade contée au musée des Beaux-arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures. Tarifs et inscriptions auprès de la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160423 c
Sortir : Grande braderie des bibliothèques, 12 000 livres, CD ou revues à 1 €

Geoffroy Gonce : « Le succès de la braderie est conditionné à la météo mais on a de vrais adeptes qui n’ont pas peur de se mouiller. »
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La grande braderie de printemps se déroulera dimanche sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. L’occasion d’étoffer sa bibliothèque à moindre coût.

C haque année, au printemps, on désherbe ! » , s’exclame Christelle Andreacchio, responsable de la politique documentaire du réseau des bibliothèques et médiathèques de Reims. « En clair, on fait un tri. Il faut faire de la place dans les rayons car on acquiert près de 30 000 nouveautés (livres, CD, DVD et autres revues) chaque année pour étoffer les collections, les mettre à jour, ou encore répondre aux attentes des abonnés. »

Et c’est donc quasiment le même nombre de documents qui sort définitivement du réseau de prêt. Avant 2009, l’intégralité était pilonnée. Et puis, les agents municipaux ont eu l’idée d’organiser une braderie.

Un événement devenu incontournable au fil des ans et qui se déroulera donc, ce dimanche, pour la 8 e année, sur le parvis de la médiathèque de Croix-Rouge. Une trentaine d’agents des diverses bibliothèques et médiathèques de Reims seront mobilisés toute la journée.

Le fonds ainsi sorti des collections a d’abord été proposé à des associations humanitaires ou à but pédagogique qui ont ainsi pu prendre gratuitement ce qui les intéressait. « Évidemment les documents abîmés, sales, déchirés ont été détruits d’office » , ajoute Christelle Andreacchio. Alors, quels types de documents pourra-t-on trouver ? « Des livres jeunesse, des romans, des BD, des livres photos, mais aussi des revues », énumère Christelle Andreacchio.

« Seuls les livres grand format ou les livres d’art par exemple sont à 2 € : 90 % des 12 000 documents qui seront présentés à la vente, dimanche seront à 1 € » , poursuit Geoffroy Gonce, responsable de la réception des documents et de la logistique au sein de la braderie.

Le succès de la braderie est conditionné à la météo. « L’an passé, le beau temps était au rendez-vous. Le matin, il fallait attendre près d’une heure pour pouvoir accéder aux stands » , se rappelle Geoffroy Gonce. En général, plus de la moitié du stock trouve preneur. « On peut acheter jusqu’à 10 livres par personne », rappelle Christelle Andreacchio. Pour réduire le nombre d’invendus, une « happy-hour » est programmée de 16 heures à 18 heures. Sur le principe d’un document acheté, un document de son choix offert.

Et depuis l’an dernier, les documents restant sont proposés tout au long de l’année, sur le chariot de la petite braderie dans le hall des médiathèques Falala, Croix-Rouge et Laon-Zola, pour le prix là encore de 1€.

Aurélie Beaussart

À savoir

La grande braderie annuelle des bibliothèques de Reims se déroulera dimanche sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge au 19 rue Jean-Louis-Debar de 10 à 18 heures.

Pour l’occasion, la médiathèque sera ouverte . De quoi en profiter pour découvrir l’exposition de sculptures et de sérigraphies de Richard Marnier, sur le thème des robots et intitulée « Les Super Brikabraks ».

Il sera aussi possible de se restaurer et de se désaltérer, avec la Marmite, le restaurant socio-gastronomique géré par l’Assos’Café.

L’édition 2015 est celle de tous les records avec 2 146 entrées enregistrées (221 bénéficiaires de la Happy hour), la vente de 80 % des documents -dont l’intégralité des albums jeunesse- soit 8 135 € récoltés.

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l’union 160423 b
Faits divers : Il s’assoit à côté d’un policier en civil… pour fumer un joint !

Il n’est pas prudent d’aller fumer du cannabis sur un banc déjà occupé. Archives
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Il n’a vraiment pas de chance, ce Rémois de 22 ans qui comptait se fumer un joint tranquille dans le square de la place Brouette. Mardi vers 20 h 30, après s’être assis sur un banc déjà occupé par une personne, il sort son joint… sous le regard très intéressé du voisin. Et pour cause ! C’est un policier de la brigade anticriminalité, en civil, qui avait choisi de s’installer là pour exercer une surveillance du secteur.

« Bonjour, police nationale ! » Les présentations effectuées, l’adepte de la fumette a été placé en garde à vue : il est en effet bien connu des services de police, notamment pour des infractions à la législation sur les stupéfiants.

Il vient acheter du shit, on lui vole son portable

Au terme des auditions, le malchanceux du banc public a été relâché avec une convocation en justice le 25 mai. Pour se consoler, il peut se dire qu’il existe consommateur plus à plaindre que lui. La semaine dernière, ce n’est pas un policier en civil mais deux dealers de fort mauvaise humeur qui ont posé la main sur un client de 22 ans, rue Pierre-Taittinger à Croix-Rouge.

Le garçon n’habite pas le quartier. Le 15 avril, il s’y rend en soirée, vers 20 h 30, pour s’approvisionner en cannabis. Arrivé en tramway, il repère deux vendeurs auxquels il demande dix euros de shit. Pas plus ? À ce prix-là, les individus considèrent qu’il se paye leur tête, c’est du moins ce qu’ils lui disent, et le frappent pour lui voler son portable.

Terrorisée, la victime repart en courant vers la station du tramway tandis que le duo s’enfuit à bord d’une voiture.

Coup de chance ! Des policiers de la brigade anticriminalité assistent au remue-ménage. Ils interceptent le véhicule et retrouvent le téléphone qu’ils peuvent restituer au client, venu vers eux pour tout leur expliquer. Les coups reçus lui ont occasionné deux jours d’incapacité totale de travail.

Le parquet n’a pas voulu l’accabler davantage : aucune poursuite contre lui. En revanche, les deux hommes accusés du deal qui a mal tourné – ils nient tout – seront jugés le 11 juin. Âgés de 19 et 21 ans, ils attendront leur procès sous contrôle judiciaire.

Une telle mésaventure permet de comprendre le succès croissant de la cannabiculture, production personnelle de cannabis à domicile. Non seulement les consommateurs sont assurés de fumer « une beuh de bonne qualité » , comme le vantent les sites spécialisés, mais ils s’évitent aussi de mauvaises rencontres en ces endroits pas toujours bien fréquentés que sont les lieux de vente.

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l’union 160423 a
Faits et méfaits : Un « cannabivore » arrêté dans le parc

Le fumeur de joint qui s’est assis à côté d’un policier et le client frappé par deux dealers (lire ci-contre) ne sont pas les seuls consommateurs de cannabis arrêtés ces jours-ci.

Mardi après-midi, à la vue d’une patrouille au parc Saint-John-Perse, un homme de 35 ans a voulu avaler un morceau de cannabis qu’il avait dans la poche. Les policiers ont réussi à lui en faire recracher une partie. Un autre morceau a été retrouvé dans son pantalon. Le « cannabivore » est convoqué le 25 mai au tribunal.

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l’union 160421 d
Croix-Rouge : Une salle de sport réservée aux femmes

Depuis lundi, devant la future salle de sport, Basic-Fit propose aux habitants de s’abonner à un tarif préférentiel. Bernard Sivade
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Après Cormontreuil, rue de Vesle et La Neuvillette, Basic-Fit annonce l’implantation de deux salles à Croix-Rouge, dont l’une sera réservée aux femmes. Un concept qui fait débat.

On arrose Reims ! Vous en rêviez, Basic-Fit l’a fait. Un club 100 % femmes s’installe dans votre région. » C’est sur Facebook que le groupe néerlandais de fitness low-cost a lancé, lundi, ses préventes en vue de l’ouverture prochaine, à Croix-Rouge, en lieu et place de l’ancien magasin Match (fermé en juin 2015), de sa nouvelle salle de sport de 2 500 m 2 . Ou plutôt de « ses » nouvelles salles. Car à côté de l’espace de remise en forme mixte, sera implanté dans le même temps un lieu réservé à la gent féminine. Un choix qui n’a pas tardé à faire réagir sur la toile sous la page en question (supprimée d’ailleurs depuis mercredi matin…), des internautes s’interrogeant sur le pourquoi d’une telle installation justement au cœur de ce quartier, allant jusqu’à parler d’un refus de mixité pour raison religieuse…

« De toutes origines »

Des allusions que balaie d’un revers de la main Nicolas Pierar, responsable des ventes et de l’expansion chez Basic-Fit : « Nous voyons dans notre clientèle des femmes de toutes religions, de toutes origines. On répond simplement à une demande. » Laquelle ? « Beaucoup de dames veulent s’entraîner sans le regard d’un homme » , justifie-t-il. « Ce peut-être par timidité ou par pudeur. Ou parce qu’il y a un mari trop jaloux ! » sourit-il. Selon lui, le 100 % féminin est un concept qui, historiquement, dans toutes les grandes villes, a du succès . Et de constater que la « plus grande chaîne de fitness au monde, la chaîne américaine Curves » est justement… 100 % ladies.

Le représentant de Basic-Fit précise encore que son entreprise combine toujours un club réservé aux femmes avec un club mixte, comme ce sera le cas le 1 er juillet au centre commercial de l’hippodrome. « Ils sont juste équipés différemment : dans le club féminin, il y a plus d’appareils de cardio, des haltères et des poids moins lourds. Les studios de cours collectifs sont aussi plus grands. » Histoire de proposer un entraînement davantage adapté.

Depuis lundi, dans le préfabriqué monté sur place (il y restera jusqu’à l’ouverture), les vendeurs de Basic-Fit multiplient déjà les abonnements à des tarifs préférentiels, pour l’une et l’autre salle. Tandis que les travaux battent leur plein à deux pas de là. « Le succès de nos clubs pour femmes existants prouve que ce concept, qu’on a relancé, est porteur », conclut M. Pierar. « Notamment en Belgique, à Bruxelles, où les six clubs ladies marchent très bien. »

Marion Dardard

« Un concept qui n’a rien de religieux » pour la Ville

Pour l’adjoint au commerce Charles Germain, « il faut éteindre ces rumeurs ». « C’est un complexe où sont créées une salle mixte et une salle réservée aux femmes. C’est dans le concept même de Basic-Fit de dire qu’aujourd’hui, il y a des femmes qui veulent faire du sport sans se montrer. C’est un concept commercial, marketing, qui n’a rien de religieux, de communautaire, et qui n’a rien à voir avec le lieu de l’implantation. »

Du 100 % ladies déjà en 1995… rue de Vesle

Ce n’était pas à Croix-Rouge, mais bien en plein centre-ville, dans feu la galerie du Clair-Maret, au 70, rue de Vesle, qu’une petite salle de sport a accueilli, durant plus de 10 ans, uniquement des femmes. Le responsable de l’époque se souvient : « Quand j’ai créé l’affaire, en 1995, c’était mixte. Puis je me suis aperçu que les hommes passaient beaucoup de temps sur les appareils de musculation. Or de plus en plus de filles, qui venaient aux cours collectifs, étaient intéressées. Les hommes devenaient une gêne pour elles (…). Des exercices ne sont pas très jolis à voir. Plusieurs d’entre elles étaient mal à l’aise à l’idée de les réaliser devant les hommes, elles me l’ont dit. Ideal Fitness a ainsi été l’un des premiers clubs à être réservé aux femmes. Et ça a bien marché. » Il se souvient qu’à l’époque, il avait lui aussi essuyé quelques remarques. « Vous n’empêcherez jamais les commentaires ! Tout le monde pensait que c’était un club de lesbiennes. Oui il y en avait, mais il n’y avait pas de signes extérieurs. Chacun fait ce qu’il veut de sa vie. Et oui, il y avait aussi des femmes musulmanes qui ne voulaient pas s’entraîner devant les hommes. Mais c’était une minorité. Et là encore, il n’y avait aucun signe extérieur de religion. D’ailleurs, dans mon règlement intérieur, j’avais interdit tout ce qui se posait sur la tête, que ce soit une casquette, un voile ou autre chose. On n’a jamais eu aucun problème avec ça à l’époque. »

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l’union 160421 c
Écueil : Le cadavre d’un toxicomane découvert dans les bois

La victime domiciliée à Reims a choisi de mourir dans le bois de la Garenne à Ecueil.
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L’hypothèse d’un suicide est validée par l’enquête de gendarmerie après la découverte d’un cadavre dans les bois d’Écueil, mardi en milieu d’après-midi. La victime est un toxicomane rémois de 41 ans qui suivait un traitement de substitution aux drogues dures. Les constatations ont permis d’établir qu’une absorption importante de médicaments est à l’origine du décès, survenu deux ou trois jours plus tôt.

La macabre découverte a été effectuée vers 16 h 30 par deux garçons de 16 et 17 ans qui faisaient du VTT dans le bois de la Garenne, sur la route de Villers-aux-Nœuds, près du stade d’Écueil. La veille, de passage sur le même chemin, ils avaient déjà remarqué le corps mais pensaient que la personne était en train de dormir. Le lendemain, constatant qu’il n’avait pas bougé, les deux jeunes gens ont pris conscience d’être confrontés à un cadavre. Ils ont alerté deux promeneurs, lesquels ont téléphoné à la gendarmerie après avoir visuellement constaté qu’il s’agissait bien d’une personne décédée.

Les techniciens en investigation criminelle ont bouclé le site pendant le reste de l’après-midi. Ils n’ont relevé aucune violence sur le corps ni trace suspecte aux alentours (lutte, transport d’un lourd fardeau…). L’homme avait toujours ses papiers et une somme d’argent en liquide. Autour de lui ont été retrouvées plusieurs boîtes de médicaments de substitution aux drogues dures dont il avait ingéré tout le contenu.

Porteur d’un sac à dos, le désespéré habitait dans le quartier Croix-Rouge, à environ dix kilomètres du bois de la Garenne. Les gendarmes ne savent pas encore s’il est venu à pied depuis son domicile ou s’il s’est fait transporter pendant tout ou partie du trajet (car, auto-stop).

F.C.

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l’union 160421 b
EN IMAGES AU PARC DE CHAMPAGNE PHOTOS : BERNARD SIVADE : Vif succès pour le « Défi nature » du parc de Champagne

La course d’orientation a trituré les méninges des collégiens.
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Il fallait être costaud pour tenir sur l’araignée et en même temps poinçonner le ticket de son équipe.
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Très prisé, l’atelier sarbacane a fait l’unanimité chez les jeunes.
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Grimper vite était un réel défi.
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Le relais en trottinette avait des allures de course cycliste.
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Hier, des collégiens du district de Reims se sont affrontés sur des ateliers sportifs dans le cadre de la 16 e édition du Défi nature dans le parc de Champagne.

Un cadre idyllique pour la pratique du sport ! Sous un soleil radieux, 300 collégiens des classes de 6 e et 5 e venus d’une vingtaine d’établissements du district de Reims, se sont retrouvés hier après-midi dans le parc de Champagne pour participer à la 16 e édition du Défi nature. Un événement mis en place par la direction des sports de la Ville de Reims et l’Union national des sports scolaires (UNSS) et encadré par des professeurs d’EPS des différents collèges mais aussi, chose nouvelle, par des stagiaires du Creps Reims. « Aujourd’hui les conditions sont idéales. L’objectif c’est de promouvoir le sport à travers des activités ludiques », indique Thierry Prat, chef de projet « Sport nature » à la direction des sports de la Ville.

De 14 h 30 à 16 h 30, les collégiens avaient douze défis à relever de deux types : une course d’orientation avec des balises à retrouver, disséminées dans le parc et six ateliers sportifs comprenant, un duathlon, un parcours du compagnon où les jeunes devaient évoluer en équipe, de l’escalade, un relais en trottinette, une compétition de sarbacane et une épreuve araignée consistant à poinçonner des tickets disposés sur la structure. « Tous les ans nous modifions les épreuves pour que ce ne soit jamais la même chose. Et le moins qu’on puisse, c’est que ça a l’air de plaire », souligne Thierry Prat. Les élèves se sont régalés, à l’image de Sohan, élève du collège François-Legros pour qui cette journée est une révélation : « J’aimerais qu’on fasse plus souvent ce type d’activités au collège car on s’amuse comme des fous tout en faisant du sport ».

Naïm Ayache

 

 

 

 

 

 

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l’union 160421 a
Faits et méfaits : Les pompiers sauvent une suicidaire…

Mardi, peu avant 17 heures, les pompiers de Reims ont été appelés pour une femme qui menaçait de se jeter du troisième étage d’un immeuble de la rue François-Arago. Agissant avec sang-froid et détermination, ils ont pu approcher la désespérée et la saisir in extremis. Ils l’ont ensuite transportée au CHU.

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l’union 160420 b
IRTS

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l’union 160420 a
Rendez-vous

Sortie familiale : Balade contée au musée des Beaux-arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures.

Tarifs et inscriptions auprès de la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160419 b
Entraide : Sortie famille

Sortie familles : balade contée au Musée des Beaux-Arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures, organisée par la Maison de quartier Croix Rouge Espace Billard. Tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160419 a
Entraide : Fête du quartier Université

Fête du quartier Université, samedi 28 mai de 15 heures à 21 h 30 organisée par les habitants, les associations, les partenaires du quartier université et l’équipe de la Maison de quartier Croix Rouge Espace Billard / La Nacelle, sur le parking de l’espace Billard.

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l’union 160418 e
Rendez-vous

Fête du quartier Université, samedi 28 mai de 15 heures à 21 h 30 organisée par les habitants, les associations, les partenaires du quartier université et l’équipe de la Maison de quartier Croix-Rouge Espace Billard / La Nacelle, sur le parking de l’espace Billard. Renseignements au 03 26 08 08 78.

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l’union 160418 d
Rendez-vous

Rencontre philosophique avec Didier Martz sur le thème de la paresse lundi 2 mai à 14 heures à la maison de quartier Espace Billard. Renseignements au 03 26 08 08 78.

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l’union 160418 c
Entraide : Rencontre de Mamans.

Venez passer un moment agréable, prendre du temps pour vous et discuter avec d’autres mamans.

- Mardi 19 avril « Jouons ensemble », atelier jeux de société.
- Mardi 3 mai, atelier couture : création de tablier.
- Mardi 10 mai, 17 mai et 24 mai, atelier préparation de la fête de quartier.

De 9 à 11 heures. Pour plus d’informations, Alexandra, Espace Watteau, 3 allée Antoine Watteau, 03 26 36 03 50.

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l’union 160418 b
Entraide : Sortie famille

Sortie famille proposée par la Maison de quartier Croix-Rouge, Espace Watteau, au zoo Pairi Daiza en Belgique. Samedi 28 mai.

Tarifs : Adultes (+12 ans), 12 € ; enfant (de 3 à 12 ans), 10 € ; Enfant (de – de 3 ans) 7 €, adhésion obligatoire de 15 € à la Maison de Quartier.

Prévoir des vêtements adaptés à la météo ainsi que le repas du midi et le goûter.

Rdv sur le parking Bonaparte à 7 heures, retour vers 20 heures.

Inscription à partir du 25 avril, 14 heures à l’Espace Watteau, 3 allée Antoine Watteau.

Renseignements au 03 26 36 03 50.

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l’union 160418 a
Economie : La JellyWeek, pour encourager l’entreprise

Du mardi 19 au vendredi 22 avril, les entrepreneurs et porteurs de projets pourront profiter d’animations (conférences, ateliers, curiosités), autour du thème « Entreprendre autrement », à l’occasion de la quatrième édition de la JellyWeek.

Demain mardi 19 avril, à 20 h 15 au cinéma Opéra sera projeté le documentaire « Demain », suivi d’une intervention du mouvement Colibris. Le lendemain, table ronde sur le thème « Réussir à Reims, c’est possible » au #58 à Croix-Rouge à 18 h 30 ; rencontre, le 20 avril, avec les acteurs de l’économie sociale et solidaire à la BoomBase 7, place Stalingrad le 21 avril à partir de 18 h 30 ; table ronde le 22 avril sur le coworking à la CCI à partir de 12 h 30.

Entrée libre sur inscription : bit.do/jellyweek.

Renseignements : contact@reimscoworking.fr

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l’union 160417 c
Rendez-vous

Fête du quartier Université, samedi 28 mai de 15 heures à 21 h 30 organisée par les habitants, les associations, les partenaires du quartier université et l’équipe de la Maison de quartier, sur le parking de l’espace Billard.

Renseignements au 03 26 08 08 78.

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l’union 160417 b
Rendez-vous

Sortie familles : balade contée au Musée des Beaux-Arts suivie d’un goûter mercredi 27 avril de 15 à 18 heures.

Tarifs et inscriptions : Maison de quartier Croix Rouge Espace Billard, tél. 03 26 08 08 78.

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l’union 160417 a
Urbanisme : La Ville veut empêcher le quartier Europe de mal vieillir Antoine Pardessus

Le centre commercial Jean-Moulin. Jugé manquant de visibilité, il doit subir une démolition-reconstruction. Bernard Sivade
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Hier, une réunion d’information sur le devenir d’Europe a permis d’évoquer notamment le déménagement de la police et la restructuration du centre commercial Jean-Moulin.

Je ne dis pas qu’il y a de l’insécurité. Je dis juste que nous avons un problème de tranquillité. Je ne veux pas qu’Europe devienne un quartier chaud ! » Janine, qui habite dans la rue Verrier, a bien su profiter de la réunion organisée hier matin pour faire passer son message. Une réunion organisée par la Ville sur le devenir du quartier. Quelque 70 personnes y ont pris part sur les sièges de l’amphithéâtre du collège Robert-Schuman.

Europe n’est effectivement pas le « quartier chaud » que redoute l’habitante. En tout cas pas encore. « Il n’y a rien de commun entre Europe et Croix-Rouge ou Orgeval par exemple », résumait à la tribune la présidente de l’agglomération Catherine Vautrin. Mais les élus ont bien conscience que ce périmètre compris entre le boulevard Pommery et la rue de Cernay, et qui remonte aux années 55 à 70, « a commencé à vieillir ». « Et qu’il y a un risque de bascule vers une situation plus dégradée », reconnaissait le maire Arnaud Robinet.

Comme pour Châtillons, qui présente un peu le même profil, la Ville a donc échafaudé un projet de renouvellement urbain pour Europe. La réunion d’hier, à laquelle participaient également les deux grands bailleurs sociaux, Foyer rémois et Reims habitat, ainsi que le directeur départemental de la sécurité publique, Joseph Merrien, a permis d’en présenter les grandes lignes et d’évoquer quelques points particuliers.

1 Centre commercial Jean-Moulin

Ce pôle de proximité très apprécié, mais trop peu visible de l’extérieur, doit subir une rénovation profonde : « Il y aura, en concertation avec les bailleurs, démolition totale des structures, puis reconstruction », indique Catherine Vautrin. Pas encore de calendrier pour cette grosse opération : il y a d’abord des études à mener. « Mais en attendant, dès cette année, ce centre verra l’installation de caméras de vidéosurveillance ».

2 Commissariat de police

Le dossier de son déménagement suit son cours, mais rien n’est encore acté. Le patron de la sécurité publique a juste affirmé que « pour nous police, le principe c’est de maintenir un commissariat de proximité à Europe » . Pour des raisons d’espaces à libérer, le commissariat actuel, situé place Jean-Moulin, devrait en effet se déplacer de quelques mètres seulement pour intégrer des locaux neufs. « Un nouvel emplacement qui nous convient tout à fait », commente Joseph Merrien, encore faut-il que l’étude de faisabilité soit concluante. La réponse dépendra notamment des ressources financières disponibles.

3 Rénovation et construction immobilières

Le Foyer rémois a un projet de construction de 31 logements plus deux cellules commerciales au 5, avenue de l’Europe ; le terrain en question est en cours de nettoyage. Le conseil de quartier doit être informé du sujet lors de sa réunion du 3 mai. Des travaux de ravalement de la tour 2 galerie des Baléares sont aussi prévus sur les années 2016 et 2017, accompagnés de la démolition de quatre cellules de l’ex-centre commercial Demaison. Une étude sur la rénovation du patrimoine Demaison est aussi envisagée.

L’Essentiel

Le quartier Europe, remontant aux années 1955 à 1970, n’est pas considéré comme posant aujourd’hui les problèmes les plus aigus à Reims. Cependant la municipalité a conscience qu’il commence à vieillir et pourrait à terme « basculer » dans un état plus préoccupant. La Ville bâtit donc un projet de renouvellement spécifique à ce quartier, en lien avec les bailleurs sociaux. Une réunion d’information sur ce projet a eu lieu hier matin, devant quelque 70 personnes.

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l’union 160416 f
Découverte : Quand un bailleur social fait découvrir l’impression 3D à ses locataires

Plurial Novilia en partenariat avec la société 3D MorphoZ organise depuis quelques semaines des ateliers gratuits de découverte de l’impression 3D au sein de l’espace d’affaires Polidrome, avenue Robert-Schuman, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Une initiative inédite s’inscrivant dans la volonté du bailleur social de soutenir des entreprises locales innovantes.

L’entreprise rémois 3D MorphoZ a installé son laboratoire de fabrication au sein de l’espace d’affaires pour un loyer modéré concédé par Plurial Novilia en contrepartie d’actions d’information et de sensibilisation à destination des locataires et des salariés.

« L’impression 3D représente une véritable révolution industrielle tant les possibilités sont infinies » , assure Mehdi Sellami, gérant de 3D MorphoZ. « Mais ça reste une technologie encore mal connue, que beaucoup pensent inaccessible. Certains ont du mal à voir de quelle manière on peut l’utiliser au quotidien. »

« Créer du lien social dans nos quartiers »

Pour Alain Nicole, le directeur général de Plurial Novilia, « le rôle d’un bailleur social est d’être pleinement ancré dans son époque et son territoire. À travers cette initiative, nous réaffirmons notre volonté de soutenir les entreprises locales innovantes, en leur permettant de s’installer dans des conditions optimales, en l’occurrence des locaux entièrement neufs, pour un loyer modéré. Mais c’est aussi l’occasion de partager une vision et une révolution avec nos locataires et nos salariés – et donc de créer du lien social dans nos quartiers ».

Le premier atelier s’est déroulé le 18 mars et a rassemblé une dizaine de personnes, de tous âges et toutes professions. Et qu’ils soient ouvrier, assistant éducateur ou profession médicale, tous les participants ont pu apprécier autant la pédagogie des explications de l’équipe de 3D Morphoz que la qualité des objets réalisés avec cette technique.

Plusieurs ateliers « découverte » de 2 heures sont encore proposés gratuitement dans les prochaines semaines. Il est vivement conseillé aux locataires intéressés de s’inscrire au préalable, les places étant limitées.

Les sessions se dérouleront dans les locaux de 3D MorphoZ au 7bis, avenue Robert Schuman à Reims.

Les prochains ateliers auront lieu le vendredi 22 avril de 14 heures à 16 heures et le samedi 23 avril, de 10 heures à 12 heures.

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l’union 160416 e
Des vacances de printemps attractives

Akosua, étudiante à Sciences Po, montre une danse du Ghana.
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Aventures urbaines a proposé aux jeunes une journée d’activités sportives au vert.
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Météo déplorable ? Pas grave… on déplie les tentes à l’intérieur !
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Kenza a vite compris le maniement.
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Au gymnase Saint-Exupéry, les premières prises de judo deviennent un jeu.
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En plein air ou en salle, les enfants et adolescents de la Ville ont été accueillis par Reims activités vacances et le Centre sport nature.

Des animateurs et éducateurs de la Ville encadrent les enfants pour les vacances, mais aussi des responsables d’associations sportives (Dahen taekwondo, Reims parkour school, Reims handisport) et culturelles. Et les activités sont variées pour les petits Rémois !

Aventures urbaines propose des jeux sportifs dans une nature… desservie par un bus ! « Ces jeunes quittent la ville pour venir passer une journée à la campagne » commentent Thierry Prat et Martine Richard, qui animent le Centre sport nature de la Cerisaie. C’est l’occasion d’un « raid », où course d’orientation, VTT et tir à l’arc sont au menu.

Au gymnase Saint-Exupéry, des enfants s’affrontent au dojo. « Je leur fais découvrir les bases du judo. Ils sont réceptifs et intéressés » confie Baptiste Soyer, titulaire d’un brevet d’État. « J’ai bien aimé renverser les autres ! », sourit la petite Shadé, 8 ans. Un autre groupe, à la piscine du Château-d’Eau, apprend à nager.

Au centre aéré Moulin-Huon, une trentaine d’adolescents participent aux activités et sorties (dont une à Center Parc). Ce soir-là, ils campent et ont installé les tentes… dans une salle, en raison de la météo ! Tout le monde se retrousse les manches pour préparer le dîner.

Dans la cour de l’école Charpentier, Jérémie Planchenault, éducateur handisport, montre aux enfants le maniement de fauteuils roulants légers, destinés à pratiquer basket, tennis de table, rugby… « Je voulais sensibiliser les jeunes sur le handicap », explique David Jumelle, le directeur.

Au centre Martin-Peller, deux étudiantes à Science-po, de l’association Éducation questions africaines, initient les petits aux danses du Ghana. « Nous voulons transmettre une image diversifiée de l’Afrique et leur dire que ce n’est pas seulement le pays des animaux sauvages », précisent Akosua et Nadine.

 

 

 

 

 

 

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l’union 160416 d
Faits divers :La bande des quatre arrache deux portables dans le tram

Les deux vols ont été commis à la station Franchet-d’Espérey.
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Tous ces portables en main qu’on croise en ville, collés ou non aux oreilles, sont une prise de choix pour les voleurs opportunistes.

Mardi après-midi, vers 16 h 30, une passagère de 27 ans téléphone dans le tramway lorsque la rame s’arrête à la station Franchet-d’Espérey. Quatre jeunes se lèvent pour descendre. En passant devant elle, ils lui arrachent le smartphone des mains puis se précipitent hors de la rame.

Une lycéenne de 17 ans monte au même moment avec son portable. Elle aussi se le fait arracher.

La police est alertée. Grâce au signalement, des agents de l’unité territoriale de voie publique rattrapent deux des fuyards. Un troisième est interpellé par la brigade anticriminalité. Âgés de 13 et 14 ans, ils sont en possession du téléphone pris à la lycéenne. L’un d’eux s’est débarrassé de l’autre portable pendant sa fuite, au parc Saint-John-Perse. Les policiers parviennent à le retrouver en suivant ses indications, ce qui permet aux deux victimes de récupérer chacune leur appareil.

Reste à mettre la main sur le dernier membre de l’équipe. Celui de 13 ans se charge de le dénoncer, en l’occurrence son grand frère de 15 ans. Saisis de l’enquête, les policiers de la sûreté départementale de Reims l’interpellent dans les heures qui suivent.

La fratrie habite dans le secteur de l’avenue Alexandre-de-Serbie, les deux copains au quartier Croix-Rouge. Présentés mercredi au juge des enfants, puis remis à leurs parents, tous les quatre étaient inconnus de la police et de la justice.

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l’union 160416 c
Faits divers : La tentation des autos

Serrure dégradée, mais peu de butin, pour le voleur au tournevis. Illustration
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Mercredi, vers minuit, des témoins signalent au commissariat la présence d’un couple qui s’affaire autour des voitures dans le quartier Croix-du-Sud. À l’arrivée de la police, la femme cache un sac entre deux véhicules tandis que son ami s’empresse de remettre un tournevis dans ses poches. Interpellations.

Le sac est bien lourd. À l’intérieur : un cric, une batterie, des outils, plusieurs couteaux. Dans la veste du garçon, un couteau-serpette. « J’en ai besoin pour me défendre quand je dors dehors » , explique Steven, Nordiste récemment arrivé à Reims et sans foyer depuis ses 18 ans en décembre.

Le jeune homme avoue l’effraction d’une Citroën et d’une Opel (serrures hors d’usage pour peu de butin). En revanche, il conteste avoir forcé une Renault Twingo martyrisée au tournevis quelques rues plus loin.

Si la demoiselle se laisse gentiment conduire au commissariat, Steven explose pendant le transport. « Un policier a pris ma casquette. Il l’a jetée alors que je ne lui avais pas manqué de respect » , donne-t-il comme explication. Il insulte les agents, tente de leur porter des coups de tête. Plaqué au sol à l’intérieur même du véhicule, il continue de se débattre. Un policier reçoit trois coups de pied à l’abdomen. Heureusement, son gilet pare-balles amortit le choc. L’excité finit par se calmer au commissariat.

Casier vierge, mais déjà connu de la justice des mineurs, Steven a été jugé en comparution immédiate : relaxe pour la Twingo, trois mois de prison avec sursis. Ressortie libre du commissariat, son amie comparaîtra ultérieurement devant le tribunal.

Un autre « roulottier » s’est fait prendre par la police. Le 4 janvier, après avoir plié la portière et cassé la vitre, l’auteur avait dérobé plusieurs CD dans une voiture rue Gaston-Boyer, derrière la gare. Identifié grâce à ses empreintes, le voleur est un Rémois de 17 ans, multirécidiviste. Arrêté cette semaine, il a été écroué. Les CD n’ont pas été retrouvés.

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l’union 160416 b
L’immeuble fume par les pieds

Hier matin, vers 3 h 30, de la fumée est sortie de la façade d’un immeuble du groupe Eisenhower.

Elle provenait d’un appartement inoccupé, lui-même enfumé – via les aérations – par des copeaux de jardin qui se consumaient au pied de l’immeuble.

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l’union 160416 a
Haltérophilie : Les Rémoises en route vers la N1

Le Reims Haltérophilie-Musculation présentera deux équipes cet après-midi au gymnase François-Legros (première barre à 14 heures) lors de la finale de zone Nord-Est des clubs.

Les féminines du RHM devraient l’emporter en N2. Pour l’instant, à l’issue des trois premières journées, les soeurs Loll, Romane et Nell, Kimberley Poiret et Cécile Michot sont en bonne position, à la deuxième place (trois équipes accèdent à la N1). En N3, les réservistes masculins ont pour objectif de figurer parmi les cinq meilleurs groupes de la zone.

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l’union 160415 b
Economie : La JellyWeek, pour encourager l’entreprise

Du 19 au 22 avril, les entrepreneurs et porteurs de projets pourront profiter d’animations (conférences, ateliers, curiosités), autour du thème « Entreprendre autrement », à l’occasion de la quatrième édition de la JellyWeek. Mardi 19 avril, à 20 h 15 au cinéma Opéra sera projeté le documentaire « Demain », suivi d’une itnervention du mouvement Colibris. Le lendemain, table ronde sur le thème « Réussir à Reims, c’est possible » au #58 à Croix-Rouge à 18 h 30 ; rencontre, le 20 avril, avec les acteurs de l’économie sociale et solidaire à la BoomBase 7 place Stalingrad le 21 avril à partir de 18 h 30 ; table ronde le 22 avril sur le coworking à la CCI à partir de 12 h 30. Entrée libre sur inscription bit.do/jellyweek.

Renseignements : contact@reimscoworking.fr

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l’union 160415 a
Loisirs

Sortie famille proposée par la Maison de quartier Croix-Rouge, Espace Watteau, au zoo Pairi Daiza en Belgique, samedi 28 mai. Tarifs : Adultes (+12 ans), 12 € ; enfant (de 3 à 12 ans), 10 € ; enfant (de – de 3 ans) 7 €, adhésion obligatoire de 15 € à la Maison de Quartier. Prévoir des vêtements adaptés à la météo ainsi que le repas du midi et le goûter. Départ du parking Bonaparte à 7 heures, retour vers 20 heures. Inscription à partir du 25 avril, 14 heures à l’Espace Watteau, 3 allée Antoine Watteau. Renseignements au 03 26 36 03 50.

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l’union 160413 a
Faits divers : La résine de cannabis lui colle aux doigts

Fumette contrariée pour deux jeunes habitants de Croix-Rouge. Archives
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Récemment sorti de prison après avoir trempé dans une affaire de stupéfiants, un jeune homme de 19 ans domicilié au quartier Croix-Rouge semble toujours graviter dans le même milieu.

Samedi vers 20 heures, il s’est débarrassé d’une « cigarette » après avoir aperçu des policiers rue Olympe-de-Gouges, près de l’avenue Bonaparte. Les agents aussi l’ont repéré. Ramassée, la cigarette d’allure bizarroïde s’est révélée être un joint de cannabis. Lors de la fouille, les policiers ont découvert dans ses poches un petit morceau de résine.

Remis en liberté, le prévenu est convoqué à l’audience correctionnelle du 30 août.

Toujours à Croix-Rouge, dimanche vers 18 heures, un homme de 31 ans s’est lui aussi débarrassé d’un morceau de résine de cannabis à la vue d’une patrouille de police, rue des Savoyards. Il n’a pas eu le temps de s’écarter, le morceau de résine a été retrouvé à ses pieds.

Le consommateur a fait l’objet d’une composition pénale.

 

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l’union 160412 c
Loisirs

Sortie famille proposée par la Maison de quartier Croix-Rouge, Espace Watteau, au zoo Pairi Daiza en Belgique. Samedi 28 mai.

Tarifs : Adultes (+12 ans), 12 € ; enfant (de 3 à 12 ans), 10 € ; Enfant (de – de 3 ans) 7 €, adhésion obligatoire de 15 € à la Maison de Quartier.

Prévoir des vêtements adaptés à la météo ainsi que le repas du midi et le goûter. Rdv sur le parking Bonaparte à 7 heures, retour vers 20 heures.

Inscription à partir du 25 avril, 14 heures à l’Espace Watteau, 3 allée Antoine Watteau. Renseignements au 03 26 36 03 50.

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l’union 160412 b
Logement : Elles sont remontées contre l’ascenseur

Il faut être âgé ou à mobilité réduite pour avoir droit au portage des courses. Ce n’est pas le cas des habitantes du 10e étage.
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Il faut du souffle pour habiter au dixième étage sans ascenseur. Surtout quand la situation dure depuis deux semaines. Grosse fatigue au 4, rue Marie-Laurencin.

Sur la porte de l’ascenseur de cet immeuble de Croix-du-Sud, à chaque étage, figure un panonceau de Plurial-Novilia annonçant que l’élévateur sera remis en service en début de semaine. Il est même précisé que la date sera le 4 avril 2016.

Des petits malins ont barré l’année pour mettre 2030 à la place. Au 4 e étage, quelqu’un a ajouté « pétition en cours ».

Plus on monte, plus la colère s’élève. Au dernier niveau, Graziela Bertrand n’en peut plus de monter dix étages. Sur le même palier, Myriam Godefrin est aussi fatiguée, surtout avec son chien qu’elle doit sortir fréquemment, parfois en le portant. « On a l’impression qu’on se fiche de nous », relatent les deux femmes qui estiment que Plurial-Novilial, le bailleur, et Kone, l’ascensoriste, se renvoient la balle et que rien ne se passe. « Cela dure depuis le 25 mars. On n’a pas vu de technicien depuis le 26 », affirment-elles encore. « Il faudrait au moins que le bailleur fasse un geste commercial. »

Le bailleur évoque une infiltration d’eau dans le haut de la machinerie. Ce qui a provoqué la panne de moteur. Pour faire marcher l’assurance, il attend un constat et promet que tout doit être réparé cette fin de semaine. Il précise aussi qu’un système de portage des repas a été mis en place, une fois par semaine, pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.

Marie-Christine Lardenois

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l’union 160412 a
Agent de sécurité : « Depuis Vigipirate, le métier a changé »

Salons, concerts, centres commerciaux… Les agents s’adaptent à la situation.CM
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Plus ou moins visibles, les agents de sécurité sont en première ligne en cas de coup dur.

Bonjour, vous pouvez ouvrir votre sac, s’il vous plaît ? » Tout en parlant, Nourredine aperçoit une voiture qui s’approche de la salle de spectacles. Derrière lui, il entend un groupe d’enfants s’approcher de la sortie. Rien d’anormal. Pour l’instant. Tout en vérifiant le contenu du sac qui lui est présenté – inoffensif –, il ne peut s’empêcher de penser à l’importance de son rôle d’agent de sécurité. « Depuis les attentats de Paris, les gens sont plus réceptifs, ils nous disent bonjour. On voit qu’ils apprécient notre présence. » À 42 ans, cela fait douze ans qu’il est « ADS », agent de sécurité chez DGSA, une entreprise de Soissons. « J’ai choisi ce métier parce que j’aime protéger les autres » , explique-t-il.

Aujourd’hui, il est posté à l’entrée d’un forum dédié aux métiers de la sécurité, à Vitry-le-François. À ses côtés, Nicolas, 37 ans. Lui a commencé, à l’âge de 17 ans, par amour… des chiens. « Je suis agent cynophile, d’habitude je travaille avec mon berger malinois. Il n’était pas mobilisé aujourd’hui ! » En temps normal, les deux hommes assurent la sécurité de l’université de Reims. « Depuis Vigipirate, le métier a changé, il faut être encore plus rigoureux. On ne peut pas se permettre de laisser entrer des gens qui n’ont pas de badge » , détaille Nourredine. « J’ai eu récemment un problème sur le campus Croix-Rouge avec des individus qui venaient racketter un étudiant. Je les ai vus faire, ils n’ont pas voulu le laisser tranquille, et j’ai dû intervenir avec mon chien » , raconte Nicolas. Ce n’est pas parce que le chien porte une muselière qu’il est moins dissuasif : il est entraîné pour frapper avec son museau. « L’agent cynophile est en fait un agent armé » , explique Nicolas, bien conscient de ses responsabilités, avec son animal. Des incidents relativement graves, il en vit « trois ou quatre fois par an » , mais pas question de se comporter en cow-boy, c’est un métier où garder son sang-froid est indispensable. « Il faut aimer le contact avec les gens, et pouvoir gérer toutes sortes de situations » , résume Nourredine. « Il faut aussi pouvoir être seul une grande partie de la journée, explique Nicolas. C’est rare que l’on soit deux à être postés au même endroit. »

Une palette de métiers à découvrir

Derrière les idées reçues, les métiers de la sécurité offrent une variété de débouchés : convoyeur de fonds, agent de sûreté aéroportuaire, opérateur de vidéosurveillance… « La profession recouvre en fait huit métiers différents » , précise Philippe Steinmetz, de la délégation du CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) de Metz. « Il existe toutes sortes de formation : CAP, bac pro, écoles privées, Afpa… Mais tous les agents doivent être agréés par notre structure avant d’exercer » , explique-t-il. Chaque année, le CNAPS de Metz, dont la zone de compétence est calquée sur la zone de défense militaire de l’est de la France (18 départements), reçoit 11 000 dossiers, dont 25 % de demandes d’entrée en formation.

Une fois en activité, les agents de sécurité continuent d’être régulièrement contrôlés. « Tous les cinq ans, une enquête de police est faite sur nous. Il n’y a pas que le casier judiciaire : ils regardent dans les différents fichiers si notre nom apparaît » , explique Nicolas. Tous les deux ans, l’agent cynophile, comme tous ses collègues, doit aussi se maintenir à niveau avec une formation de secourisme de 48 heures.

À savoir : Les formations dès le lycée

Le CAP Agent de sécurité se prépare aux lycées Armand-Malaise à Charleville-Mézières (08), Frédéric-Ozanam à Châlons-en-Champagne (51), Jeanne-Mance à Troyes (10), Saint-Charles à Chauny (02).

Le bac pro Métiers de la sécurité aux lycées Joliot-Curie, Frédéric-Ozanam, Jeanne-Mance, Saint-Charles et Condorcet à Saint-Quentin (02).

Source : www.onisep.fr

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l’union 160411 a
Extension du réseau de fibre optique quartier Croix-Rouge

À compter de ce lundi, Reims Métropole va procéder à des travaux d’extension du réseau de fibre optique Jupiter, impasse de la chaufferie. Ces travaux consisteront à l’ouverture de tranchée sous le trottoir et chaussée, et devraient durer environ une semaine.

Afin de préserver la sécurité des usagers de la voirie, pendant toute la période du chantier, la circulation sera perturbée sur l’emprise du chantier et l’accès à la déchetterie sera délicat.

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l’union 160410 a
Faits divers : Feux de voitures à Croix-Rouge

Le feu a dû embraser la voiture du centre avant de se propager aux deux autres.
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Hier matin, à 7 heures, un feu de voiture s’est produit sur un petit parking situé allée des Landais, dans le quartier de Croix-Rouge, près de la piscine du Château-d’Eau et du Polydrome.

Les sapeurs pompiers sont intervenus rapidement pour éteindre le feu mais celui-ci avait eu le temps de se propager aux deux véhicules garés autour de la première voiture.

Celle-ci est totalement détruite et les deux autres sont en mauvais état, surtout celle qui se trouvait sur la droite.

 

 

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l’union 160409 c
Sport : Vominam Viet Vo dao au sommet

Antoine Freydiger, sur la plus haute marche.
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La section Vominam Viet Vo dao de l’ACRAP (association Croix Rouge pour l’Animation et la Promotion) a porté haut les couleurs de Reims et de la France à la 9e coupe d’Europe de Vovinam Viet vo dao qui s’est déroulée à Liège en Belgique les 26, 27 et 28 mars. 300 compétiteurs venant de 6 pays ont participé à cette compétition. L’ACRAP a envoyé 3 compétiteurs accompagnés de Marie et de Konstantin. Pour sa première participation Anastasia Serdyukov, 15 ans finit dans les dix premiers sur 60, Kim-Lâm Nguyen termine dans les 8 meilleurs au Thap Tu Quyen. Antoine Freydiger remporte la médaille d’or en combat de - 65kg ceinture noire, la médaille d’or au quyen de bâton Long et la médaille d’argent au ciseau.

Les prochaines compétitions sont le championnat de France en mai et sur le plan international la coupe du monde 2018 au Sénégal.

 

 

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l’union 160409 b
Faits et méfaits : Poubelle en feu allée des Bourguignons

Un feu de poubelle s’est déclaré dans un local à vide-ordures dans la nuit de jeudi à vendredi peu avant 4 heures au 16, allée des Bourguignons.

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l’union 160409 a
Faits et méfaits : Détritus en flammes dans un immeuble

Vendredi, vers 14 h 40, les sapeurs-pompiers rémois sont intervenus pour éteindre un feu de détritus signalé dans les communs de l’immeuble situé 3, allée des Landais. Ils ont ensuite procédé à la ventilation des lieux. Cet incendie n’a nécessité aucune évacuation.

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l’union 160407 b
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association des locataires du quartier At’Hom, le vendredi 8 avril à 18 h 30 dans le local associatif situé au 1 allée Yves Gandon.

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l’union 160407 a
Rendez-vous

Belote organisée par l’association Etoile Croix du sud, dimanche 10 avril à 13 h 30 au 10 avenue Léon-Blum Reims.

Renseignement au 03 26 06 56 66.

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l’union 160406 d
À faire aujourd’hui : Vidéo gourmande

 

Diagonale de Nicolas Boulard pour un jeune public.

À 10 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar.

Entrée libre.

 

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l’union 160406 c
AUJOURD’HUI

Prends la parole ! Pour les jeunes de 11 à 15 ans en partenariat avec les Francas de la Marne.

Tu as envie de parler de sujets qui te tiennent à cœur ou sur lesquels tu te poses des questions. Viens discuter librement autour d’un goûter.

A 14 h 30, Médiathèque Croix-Rouge, gratuit.

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l’union 160406 b
Rendez-vous

Belote organisée par l’association Étoile Croix du sud, dimanche 10 avril à 13 h 30 au 10, avenue Léon-Blum. Renseignements au 03 26 06 56 66.

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l’union 160406 a
Loisirs : C’est parti pour quinze jours d’animations avec Loisirs tour

Parmi les activités, ce jeu d’adresse est très apprécié des petits.
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Voilà une formule qui a fait ses preuves : un jour, un parc, un quartier. Un choix d’activités gratuites et variées. C’est le Loisirs tour et ce serait dommage de ne pas en profiter.

Dans le parc Mendès-France, on joue, on bricole, on dessine, ou se fait maquiller, sous des pergolas blanches. Sur la pelouse, badminton, BMX, foot, volley, course, full contact et quantité d’autres sports sont proposés. Les plus hardis s’éclatent sur la « double-faucheuse », une attraction qui est prise d’assaut. Certaines des activités sont encadrées par les animateurs jeunes de la Maison de quartier Murigny : « On en profite pour annoncer nos animations de l’été, notamment le concert pique-nique » explique Céline Vercaemer. « On est venus en famille, avec ma petite-fille et mon petit-fils. On habite tous le quartier Murigny et c’est le parc le plus proche. C’est agréable et les activités sont variées », confie une rémoise qui découvre Loisirs Tour.

Christophe Chapier, directeur des services de la jeunesse, insiste sur le fait que, cette année, il y a dix dates et dix quartiers différents pour cette animation visant à faire connaître les activités de loisirs, sportives et culturelles de Reims activités vacances . « On essaie à la fois de garder l’équilibre entre les territoires et de conserver des sites où on est bien installés. Chaque année, deux ou trois d’entre eux changent. On garde ceux qui sont accessibles à un maximum de personnes. » L’objectif est double sur le Loisirs Tour : « C’est d’abord de proposer des animations variées, ludiques, créatives, sportives, dans les quartiers, à un public familial. Ensuite, c’est de communiquer sur les dispositifs qu’on met en place durant l’été et aussi d’ouvrir à d’autres partenaires plus institutionnels : l’office des sports, l’association des maisons de quartier, les médiathèques et monuments nationaux. »

On se promène au hasard : L’EFSRA a installé son chronomètre de course. Christophe Lartisien initie au full-contact. Angélique Bretaudeau, chargée d’action culturelle et éducative, informe sur trois opérations « Trésors en béton » qui se dérouleront en juin et juillet au Palais du Tau.

À savoir

Chaque jour de 14 heures à 17 h 30 dans des parcs différents.

-  Mercredi 6 avril : Parc Wangari Maathaï et quartier Wilson/Barthou.
-  Jeudi 7 , à Saint-Bruno et Croix du Sud
-  Vendredi 8 , le long de la Coulée verte (Régates) et Saint-Remi.
-  Lundi 11 , parc Bernard-Stasi à Dauphinot.
-  Mardi 12 , Léo-Lagrange.
-  Mercredi 13 , Marcel-Lemaire - La Neuvillette
-  Jeudi 14 , Saint-John-Perse - Croix-Rouge.
-  Vendredi 15, parc Aventure (derrière Thiolettes), Europe/Chemin-Vert.

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l’union 160405 b
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association des locataires du quartier At’Hom, le vendredi 8 avril à 18 h 30 dans le local associatif situé au 1 allée Yves Gandon.

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l’union 160405 a
Rendez-vous

Belote organisée par l’association Etoile Croix du sud, dimanche 10 avril à 13 h 30 au 10 avenue Léon-Blum Reims.

Renseignement au 03 26 06 56 66.

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l’union 160404 f
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association des locataires du quartier At’Hom, le vendredi 8 avril à 18 h 30 dans le local associatif situé au 1 allée Yves Gandon.

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l’union 160404 e
Rendez-vous

Belote organisée par l’association Etoile Croix du sud, dimanche 10 avril à 13 h 30 au 10 avenue Léon-Blum Reims.

Renseignement au 03 26 06 56 66.

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l’union 160404 d
Rendez-vous

Atelier organisé à la Médiathèque Croix-Rouge sur Les logiciels gratuits de photographie numérique, le 5 avril de 9 h 30 à 11 h 30. Gratuit. Inscription au 03 26 35 68 40.

Prochain atelier le 12 avril.

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l’union 160404 c
Activité : Venez jouer !

Jeux de société et jeux vidéo (Wii) en alternance une semaine sur deux, à la médiathèque Croix-Rouge, pour adultes et enfants à partir de 8 ans.

Réservation conseillée au 03 26 35 68 40.

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l’union 160404 b
Découverte : Prends la parole !

Tu as entre 11 et 15 ans et tu as envie de parler de sujets qui te tiennent à cœur ou sur lesquels tu te poses des questions. Viens une fois par mois discuter librement à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar, à la salle pédagogique, 1 er étage autour d’un goûter.

En partenariat avec les Francas de la Marne. Sur inscription au 03 26 35 68 51.

Durée : 2 heures. Prochain rendez-vous, le 6 avril à 14 h 30.

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l’union 160404 a
Association : Les majorettes en Italie

Les quinze majorettes, stars du festival.
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Après plusieurs trophées remportés sur tout le territoire national, 15 filles des majorettes de Reims sont arrivées à Amalfi, le 1 er janvier et y resteront jusqu’au 4 avril. Elles sont les vedettes de ce festival.

Une quinzaine ont fait le déplacement : Amandine Dhordain, Angélique Mailliet, Carine Stein, Cathy Gilles, Émilie Picart, Cindy Gilles, Charline Mailliet, Gwendoline Labbée, Isabelle Guiot, Mäeva Macadre, Magali Macadre, Nadine André, Samantha Royer, Victoire Ancel et Virginie Alligard. « Une petite contribution au rayonnement de notre cité de l’autre côté des Alpes , glisse Jean Monteiro, le président de l’ACRAP. Ce projet construit avec les adhérents et les habitants du quartier Croix-Rouge n’a pas eu le soutien escompté de la Ville. L’année dernière, l’ACRAP avec ses maigres moyens a offert à la Ville de Reims son premier festival. Nous espérons d’Arnaud Robinet, un geste de sa part pour le deuxième festival des majorettes de Reims qui aura lieu le 4 juin prochain au complexe René Tys. »

 

 

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l’union 160403 e
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association des locataires du quartier At’Hom, le vendredi 8 avril à 18h30 dans le local associatif situé au 1 Allée Yves Gandon.

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l’union 160403 d
Rendez-vous

Belote organisée par l’association Étoile Croix du sud, dimanche 10 avril à 13h30 au 10 avenue leçon Blum Reims. Renseignement au 03 26 06 56 66.

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l’union 160403 c
Justice tribunal correctionnel de Reims : Condamné deux fois en trois jours pour des délits routiers

Coupable, le jeune homme ne pourra repasser son permis avant quinze mois. R.W.
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Déjà connu de la justice, cet homme de 25 ans a été condamné mardi et jeudi pour différents délits commis au volant. Total : cinq mois de prison.

C’était le samedi 5 mars, vers 22 h 30, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. À la vue des policiers, le conducteur d’un véhicule roulant à faible allure accélérait brutalement et filait dans la nuit. Suffisant pour déclencher un élan de suspicion chez les fonctionnaires. Une course-poursuite s’ensuivait sur quelques hectomètres. Jusqu’à ce que la voiture de Miguel Doedoe, né en Guyane il y a vingt-cinq ans, s’immobilise enfin. L’interpellation ne se passait pas sans complication. Placé en garde à vue, le jeune homme, en possession de cannabis, se retrouvait poursuivi de cinq délits : refus d’obtempérer, refus de se soumettre au dépistage alcoolique et stupéfiants, rébellion et détention de stupéfiants.

Jugé en comparution immédiate deux jours plus tard, le mis en cause sollicitait un délai afin de mieux préparer sa défense. Les juges ordonnaient son placement en détention provisoire. Mardi, ce jeune homme déjà connu des services de police comparaissait de nouveau devant les juges. Reconnaissant a minima les faits, assurant notamment qu’il n’avait pas vu la voiture de police qui le poursuivait, il a été finalement condamné à trois mois de prison, sans toutefois que son maintien en détention ne soit ordonné.

Remis en liberté mardi, absent à son procès jeudi

L’interpellation du 5 mars s’était déroulée dans un contexte plus sensible que la moyenne. Avant de se lancer à la poursuite de Miguel Doedoe, les policiers étaient en train d’intervenir sur une scène d’agression à l’arme blanche, survenue dans la rue Alain-Polliard. Le bilan avait été lourd : trois blessés par des coups de couteau. L’une des victimes, touchée à l’abdomen, plongée dans un coma artificiel et opérée à plusieurs reprises dans les jours qui avaient suivi, avait vu son pronostic vital engagé. Cette agression, parfaitement distincte des faits reprochés à Miguel Doedoe, reste encore non élucidée. L’enquête est toujours en cours.

Condamné mardi, ce dernier le fut une nouvelle fois deux jours plus tard, toujours par les juges du tribunal correctionnel, toujours pour des délits routiers, cette fois pour une conduite après usage de stupéfiants, en juin 2015 à Champfleury. En son absence, il fut condamné à deux mois de prison supplémentaires. Avec, en prime, l’annulation de son permis de conduire et l’interdiction de le repasser dans les quinze prochains mois. Rude semaine !

M.L.

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l’union 160403 b
Des chèques volés en cadeau de Noël

Plusieurs chèques dérobés en juin dernier lors d’un cambriolage commis au quartier Croix-Rouge, rue Pierre-Taittinger, ont refait surface le 24 décembre, lorsqu’une jeune femme de 22 ans est venue les déposer dans une banque de Reims pour un montant de 2 500 euros.

Aussitôt, elle retirait des espèces et partait faire la tournée des grands-ducs dans les magasins de l’agglomération.

Auditionnée la semaine dernière par la brigade financière de la sûreté départementale de Reims, la demoiselle a prétendu ne pas connaître les cambrioleurs (identifiés et interpellés à l’époque). Déclarant ignorer que les chèques étaient volés, elle affirme qu’ils lui ont été donnés par une femme, en paiement de travaux effectués à Marseille.

Ses explications n’ont pas convaincu grand monde. Poursuivie pour recel, la prévenue est convoquée le 28 juin à l’audience du tribunal correctionnel.

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l’union 160403 a
Il jette une bouteille sur les policiers

Une affaire datant de juillet 2014 vient d’être résolue après l’exploitation d’une trace ADN retrouvée sur une bouteille qui avait été jetée sur des policiers, du haut d’un immeuble de l’avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Le récipient avait heurté le pied d’un fonctionnaire, sans le blesser.

Le profil génétique s’est révélé être celui d’un habitant du quartier, âgé de 22 ans, que les enquêteurs sont allés chercher… au centre de détention de Villenauxe-la-Grande, dans l’Aube, où il purge les dernières de ses nombreuses condamnations.

D’après ses déclarations, le jeune homme aurait jeté la bouteille par défi, en présence de plusieurs copains. Il est reparti en cellule avec une convocation à l’audience du 6 juin.

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l’union 160402 c
Rendez-vous

Assemblée générale de l’association des locataires du Quartier At’Hom, vendredi 8 avril à 18 h 30 dans le local associatif, 1 Allée Yves-Gandon à Reims.

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l’union 160402 b
Rendez-vous

Belote croix du sud, dimanche 10 avril à 13 h 30 au 10 avenue Léon Blum.

Tél : 03 26 06 56 66.

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l’union 160402 a
Université : ! Le Grand campus fait encore débat

Le regroupement à Croix-Rouge n’est pas d’actualité. L’avenir passe aujourd’hui par le maintien du Moulin de la Housse. Archives
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Le projet du Grand campus, mis au placard, a donné lieu à une passe d’armes entre Éric Quénard (PS) et les élus de la majorité lors du conseil communautaire.

C’est une simple délibération sur l’apport de Reims Métropole au financement des actions du Crous (38 000 ¤ pour 2016) qui a fait réagir Éric Quénard. La récente annonce du nouveau président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne, Guillaume Gellé, de conduire un « projet d’avenir ambitieux mais réaliste » et d’abandonner de fait un projet très onéreux (regroupement de toutes les facultés à Croix-Rouge) pour réduire les coûts et restaurer des marges financières, a donné l’occasion au conseiller de l’opposition de rebondir sur « le besoin de renforcer des pôles forts dans les débats sur la grande région avec la concurrence avec Strasbourg et Metz-Nancy ». Selon lui, « le projet de Grand campus n’était pas une lubie » . Il se demande quelle est la position de la collectivité sur cet abandon. « Je crains que la remise en cause ne soit pas un signal très positif envoyé à notre territoire » .

La présidente Catherine Vautrin lui a répondu qu’il est de notoriété publique que l’université connaît de graves difficultés financières et n’est pas en mesure de voter son budget.

Toujours selon la présidente de Reims Métropole, « c’est une grave préoccupation de l’ensemble des acteurs du territoire. Le président de la Région, Philippe Richert, a été saisi de cette question et une réunion avec l’ensemble des acteurs nécessaires pour avancer sur le sujet doit avoir lieu ». Quant à Arnaud Robinet, il n’a pas apprécié le sous-entendu d’ingérence de l’exécutif dans la décision d’abandon du projet de Grand campus. « Je ne peux accepter que l’on mêle la politique dans cette décision et que l’on dise que l’exécutif a fait l’élection du président de l’université. Nous devons travailler avec le président, quel qu’il soit. Nous ne mélangeons pas l’université et la politique. C’est l’intérêt général qui compte . »

Après ces amabilités, la délibération sur le Crous a été adoptée à l’unanimité.

M.-C.L.

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L’hebdo du vendredi- N° 434- 150401d
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 434 - Semaine du 01 au 07 avril 2016

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Éducation : Valeur ajoutée des lycées : de bons élèves dans la Marne

Le lycée privé Saint-Joseph de Reims affiche un taux de réussite de 100 % au baccalauréat 2015. © Le bâtiment associé
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Dévoilés ce mercredi 30 mars par le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement r et de la Recherche, les indicateurs de valeur ajoutée des lycées (prononcer IVAL) dressent le classe- ment 2015 des établissements de l’Hexagone en fonction de différents critères : le taux de réussite au baccalauréat, mais également les caractéristiques scolaires et sociodémographiques des élèves, ainsi que les procédés d’accompagnement, de l’entrée en seconde jusqu’à l’obtention du diplôme. Objectif : donner aux équipes pédagogiques des éléments d’appréciation globaux, pour leur permettre d’améliorer leurs actions vis-à-vis des élèves. Dans la Marne, deux établissements rémois ont obtenu un taux de 100 % de réussite au bac : les lycées du Sacré Cœur et Saint-Joseph. Suivis de très près par le lycée sparnacien Notre-Dame Saint-Victor (98 %) puis les lycées Frédéric Ozanam (Châlons), Jean XXIII et Marc Chagall (Reims), qui obtiennent un taux de 97 %. Les plus mauvais élèves en la matière sont le lycée La Fontaine de Sézanne (78 %) et le lycée Jean Talon de Châlons (81 % de réussite). Parallèlement, ces IVAL attribuent une note générale aux établissements. Le lycée rémois François Arago, par exemple, obtient ainsi une valeur ajoutée de + 5, qui met en parallèle le taux de réussite initialement attendu, soit 78 %, et la réussite effective des élèves, soit 83 %. Le lycée Pierre Bayen, lui, prévoyait un taux de réussite de 95 %, mais n’a finalement obtenu que 90 % de réussite. Ce qui lui vaut une valeur ajoutée évaluée à – 5. Des chiffres à manipuler avec beaucoup de précaution, donc…

Sonia Legendre

Retrouvez tous les indicateurs des lycées sur le site du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : www.education.gouv.fr/indica….

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l’union 160401 c
Entraide

Permanence d’un écrivain public avec l’association « Je vous écris ces quelques lignes… ».

Si vous avez besoin d’écrire des courriers administratifs ou privés, un écrivain public est à votre disposition, gratuitement, pour vous aider.

De 14 à 16 heures, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

Gratuit.

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l’union 160401 b
Éducation : Les métiers dans les agro-matériaux au lycée Arago

La démonstration d’une mise en œuvre d’un béton de colza.
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- Voir toutes les photos.

 

Le lycée des métiers du bâtiment et des travaux publics Arago a ouvert ses portes pour présenter les agro-matériaux (composés de matières premières d’origine agricole), en particulier de fibres et de biopolymères naturels (amidon, cellulose…) ou de polymères synthétiques. Par exemple des fibres de chanvre ou de lin peuvent remplacer la laine de verre dans le bâtiment. La visite a commencé par le centre de recherche et développement du lycée. Elle a permis de découvrir un établissement à la pointe de l’innovation, tant du point de vue des formations proposées que des projets tels que les filières chanvre, colza et paille et doté d’équipements qui permettent aux élèves de travailler en grandeur réelle sur des équipements récents. Les enseignants ont expliqué comment les métiers du secteur du bâtiment étaient amenés à évoluer, notamment pour suivre la réglementation, en favorisant le travail en collaboration et les adaptations aux nouveaux matériels ou équipements et aux nouvelles méthodes de pose. Les innovations techniques faisant évoluer les compétences nécessaires, les formations et les certifications doivent s’adapter.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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l’union 160401 a
Justice tribunal correctionnel : Les mauvais conducteurs collectionnent les mois de prison

Deux Rémois devront retourner en prison après avoir croisé la route de la police.
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Deux convocations en trois jours au tribunal pour Miguel Doedoe ! Mardi après-midi, le jeune homme né en Guyane il y a 25 ans est extrait de maison d’arrêt pour répondre d’une affaire survenue le 5 mars au quartier Croix-Rouge.

Vers 23 heures, alors que les policiers interviennent rue Alain-Polliart sur les lieux d’une grave agression à l’arme blanche (trois Guyanais blessés à coups de couteau, dont un hospitalisé dans le coma), Miguel Doedoe arrive en voiture, passe à faible allure, puis accélère. Sommé de s’arrêter, il refuse d’obtempérer et n’est rattrapé que quelques centaines de mètres plus loin. Il est trouvé en possession d’une petite quantité de cannabis.

Libéré, il oublie le tribunal

Déféré en comparution immédiate, Miguel Doedoe sollicite un délai pour préparer sa défense. Il est incarcéré dans l’attente de son procès renvoyé à l’audience de mardi après-midi. Jugement : trois mois de prison ferme auxquels s’ajoute un mois de sursis révoqué, une peine qu’il pourra cependant continuer de purger sous un mode aménagé. Les juges ont en effet ordonné sa remise en liberté, ce qui lui a permis… de ne pas venir à l’audience d’hier matin où il était convoqué pour un autre dossier : une conduite après usage de stupéfiants, délit constaté le 7 juin 2015 lors d’un contrôle à Champfleury.

Absent à la barre, le jeune homme n’entend pas le tribunal prononcer deux mois de prison ferme et l’annulation de son permis de conduire, avec interdiction de le repasser pendant un délai de quinze mois.

33, 34, 35 condamnations…

Avec huit condamnations, le casier du précédent prévenu faisait pâle figure comparé à celui de Rachid Layhani : 32 mentions ! Et encore manque-t-il les deux dernières prononcées en début d’année (huit mois ferme le 4 janvier pour un recel, huit mois ferme le 19 janvier pour une tentative de vol avec violence).

Le 3 janvier à 4 heures du matin, veille de sa convocation pour recel au tribunal, le jeune homme âgé de 30 ans se fait remarquer en circulant à vive allure rue Jacquart. Il fait des embardées avec sa Peugeot 206, au point de rouler à gauche. Les policiers l’interceptent. Il circule sans permis de conduire mais non sans alcool (0,96 gramme par litre de sang).

Remis en liberté le jour même, Rachid Layhani aurait pu honorer son procès du lendemain, mais il n’était pas venu. Scénario identique à l’audience d’hier matin : personne à la barre. Le défaut de permis et la conduite sous l’empire d’un état alcoolique sont sanctionnés par une peine de trois mois ferme.

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l’union 160331 e
Événement : Le carnaval des Provençaux sur une place rénovée

Attention au départ sur la place neuve, le carnaval va partir. Remi Wafflart
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« Lalalalalala » , s’escrime le directeur en blouse colorée dans un petit mégaphone pour tenter d’entraîner la troupe d’enfants de la maternelle des Provençaux-Auvergnats, dans le quartier Croix-Rouge. Des mamans tapent sur des tambourins. Le carnaval annuel se déroule sous une petite pluie fine qui n’incite pas les petits Superman, Zorro, infirmiers, sherifs, et autres zèbres, à marcher en rangs, en se tenant par la main, entre les immeubles.

La nouveauté, c’est que le départ se fait devant l’école, à partir d’une nouvelle placette qu’ils ont choisie eux-mêmes. Ils ont été consultés, ainsi que les parents, sur plusieurs projets et 280 d’entre eux ont voté. À Reims, on apprend la démocratie dès l’âge de 2 ans… « Certains sont venus me voir pour dire qu’ils n’avaient pas choisi ce projet. Je leur ai répondu qu’ils devaient se plier au plus grand nombre » , confirme Fatima El Haoussine, adjointe déléguée à la politique de la ville, présente au côté de Véronique Marchet, déléguée à l’éducation. Les deux élues sont venues partager ce moment avec les usagers de l’école. Ces derniers vont pouvoir profiter des bancs de béton à parements de granit et du marquage au sol d’une marelle et d’un jeu de morpion géant. Il faudra attendre une météo plus clémente pour se lancer dans la compétition mais cette rénovation, qui s’est déroulée dans le cadre de l’étape finale du programme lancé en 2004, ne peut que faire plaisir aux habitants et aux écoliers.

La place a été refaite pour un budget global de 108 000 ¤ financés en grande partie par la Ville (91 000 ¤) et Reims Métropole (17 000 ¤) pour sécuriser l’accès à l’école maternelle. Des barrières ont été installées le long du boulevard Bonaparte et le bac à sable a été supprimé au profit des jeux sur un revêtement neuf.

Un peu de verdure est aussi prévue. Six arbres ont été plantés, des chênes chevelus et des merisiers des oiseaux, et un éclairage par colonne a été implanté.

M.-C.L.

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l’union 160331 d
Permanence d’un écrivain public

Avec l’association « Je vous écris ces quelques lignes… », un atelier est organisé à la Médiathèque Croix-Rouge, le 1er avril, de 14 h à 16h.

Si vous avez besoin d’écrire des courriers administratifs ou privés, un écrivain public est à votre disposition, gratuitement, pour vous aider.

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l’union 160331 c
Lycées : du bon et du moins bon

92% de taux de réussite à Clemenceau à Reims. C’est deux points de moins que le chiffre attendu. Hervé Oudin
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L’évaluation des lycées a été rendue publique. Le taux de réussite au bac est l’indicateur le plus apparent mais il n’est pas le seul critère pour juger de la qualité d’un établissement.

La réussite au bac n’est pas le seul juge de la qualité d’un lycée. Les meilleurs établissements sont aussi ceux qui accompagnent un maximum de leurs élèves, de la seconde à la terminale, vers le succès à l’examen. Et surtout, ceux qui font mieux que ce que l’on attendait d’eux, compte tenu de leur environnement et de leur population scolaire. C’est toute la différence entre le taux de réussite attendu et le taux effectif, autrement dit la « valeur ajoutée » dont rendent compte les indicateurs des lycées, rendus publics hier par le ministère de l’Éducation nationale. En voici les principaux enseignements dans l’Aisne, les Ardennes et la Marne. L’intégralité des résultats peut être consultée sur www.education.gouv.fr

1 Dans l’Aisne

Qu’on se le dise ! Il existe un lycée où les élèves ne s’ennuient pas. Si, si. Il s’agit du lycée professionnel Château-Potel à La Ferté-Milon. Un 100 % de réussite alors que le ministère attendait de ce lycée, compte tenu du profil de ses élèves, un petit 79 %, pourrait donner la grosse tête au proviseur : « Non, c’est déjà la deuxième année ! Nous sommes même 14 e de France par rapport à tous les critères », se réjouit Patrick Drubigny. Est-il magicien ? « Pas du tout. Nous avons une équipe enseignante très dynamique qui propose aux élèves des projets pas comme les autres. Ils participent notamment à la course de tracteurs-tondeuses des Petites-Armoises dans les Ardennes. Et pour cela, ils préparent eux-mêmes leur engin. On fait le 4L trophy aussi. »

Lycées professionnels

Château-Potel (La Ferté-Milon, 100 %), Saint-Joseph (Fontaine-lès-Vervins, 96 %), Saint-Joseph (Château-Thierry, 93 %), Jean-Bouin (Saint-Quentin, 92 %), Saint-Charles (Chauny, 87 %), Sainte-Sophie (Bohain-en-Vermandois, 87 %), Jules-Verne (Château-Thierry, 86 %), Saint-Vincent-de-Paul (Soissons, 85 %), Françoise-Dolto (Guise, 85 %), Jean-de-la-Fontaine (Château-Thierry, 84 %), Le Corbusier (Soissons, 84 %), Julie-Daubie (Laon, 83 %), Camille-Claudel (Soissons, 83 %), Jean-Macé (Chauny, 74 %), Jean-Monnet (La Fère, 74 %), Condorcet (Saint-Quentin, 73 %), Ameublement (Saint-Quentin, 71 %), Pierre-Méchain (Laon, 69 %), Frédéric et Irène Joliot-Curie (Hirson, 68 %), Colard Noël (Saint-Quentin, 62 %), Léonard-de-Vinci (Soissons, 59 %).

Lycées généraux et technologiques

Le-Corbusier (Soissons, 100 %), La Providence (Laon, 100 %), Saint-Remy (Soissons, 98 %), Jules-Verne (Château-Thierry, 98 %), Saint-Jean La Croix (Saint-Quentin, 97 %), Lycée Européen (Villers-Cotterêts, 96 %), Pierre-Méchain (Laon, 96 %), Gérard-de-Nerval (Soissons, 93 %), Saint-Vincent-de-Paul (Soissons, 90 %), Saint-Charles (Chauny, 90 %), Gay-Lussac (Chauny, 89 %), Pierre de la Ramée (Saint-Quentin, 89 %), Frédéric et Irène Joliot-Curie (Hirson, 88 %), Paul-Claudel (Laon, 88 %), Saint-Joseph (Château-Thierry, 88 %), Saint-Joseph (Fontaine-lès-Vervins, 88 %), Henri-Martin (Saint-Quentin, 86 %), Jean-de-la-Fontaine (Château-Thierry, 86 %), Léonard-de-Vinci (Soissons, 84 %), Sainte-Sophie (Bohain-en-Vermandois, 83 %), Condorcet (Saint-Quentin, 78 %), Jean-Bouin (Saint-Quentin, 72 %).

2 Dans les Ardennes

Un lycée quasi familial de seulement 230 élèves, un accompagnement individualisé et une équipe enseignante bien impliquée… c’est la recette du lycée Mabillon de Sedan qui se retrouve une fois de plus avec le meilleur taux de réussite au bac (98 %) des Ardennes. « On connaît bien nos élèves et on tente d’emmener chacun vers ce qu’il désire faire. Nous n’avons pas d’internat, cela n’empêche pas certains de venir de loin, de Givet, Fumay, des Mazures pour suivre leur scolarité chez nous. Notre fierté est d’amener jusqu’au bac 80 % de nos inscrits en seconde. On n’écarte personne » , souligne le chef d’établissement, Emmanuel Perate.

Lycées généraux et technologiques

Mabillon (Sedan, 98 %), Saint-Paul (Charleville-Mézières, 96 %), Chanzy (Charleville-Mézières, 94 %), Sévigné (Charleville-Mézières, 92 %), Paul-Verlaine (Rethel, 89 %), Monge (Charleville-Mézières, 85 %), Thomas-Mazaryk (Vouziers, 85 %), Vauban (Givet, 82 %), Lycée hôtelier (Bazeilles, 81 %), Bazin (Charleville-Mézières, 79 %), Pierre-Bayle (Sedan, 78 %), Jean-Moulin (Revin, 70 %). Certains auraient dû faire mieux. C’est le cas de Bazin pour qui on attendait 91 % de réussite et qui finit à 79 % : « L’an dernier, nous avons eu une faiblesse en série ES. C’est très ponctuel. Je regrette que ces classements ne soient pas faits sur trois ou quatre ans, ils seraient bien plus révélateurs de l’établissement » , souligne un responsable du lycée.

Filière professionnelle

Saint-Paul (Charleville-Mézières, 93 %), Lycée hôtelier (Bazeilles, 91 %), Bazin (Charleville-Mézières, 80 %), Paul-Verlaine (Rethel, 78 %), Le Château (Sedan, 77 %), Armand-Malaise (Charleville-Mézières, 75 %), Jean-Baptiste-Clément (Sedan, 75 %), Jeanne d’Arc (Vouziers, 74 %), Etion (Charleville-Mézières, 69 %), Jean-Moulin (Revin, 67 %)

3 Dans la Marne

« On les rend actifs », résume Laurent Lanfranchi pour expliquer les bons résultats du lycée professionnel Sainte-Marie à Épernay. L’établissement affiche un 98 % de taux de réussite au bac. « On fait un gros travail d’accompagnement de l’élève. En plus de l’enseignement classique, on lui apprend à se présenter, à tenir une discussion. On lui demande même de préparer certains cours comme s’il était un professeur, ce cours est bien sûr revu en classe. Et on accepte tout le monde. » On peut le croire car le taux espéré calculé par le ministère était de 88 %.

Ce calcul prend en compte le profil socio-culturel des élèves. Sainte-Marie a donc fait mieux que les autres avec des élèves qui ne sont pas sélectionnés au départ.

Lycées professionnels

Sainte-Marie (Épernay, 98 %), Ozanam (Châlons-en-Champagne, 94 %), Saint Jean-Baptiste de la Salle (Reims, 93 %), Saint-Michel (Reims, 91 %), Jeanne d’Arc (Reims, 91 %), Europe (Reims, 88 %), Oehmichen (Châlons-en-Champagne, 80 %), Arago (Reims, 77 %), Yser (Reims, 77 %), François-1 er (Vitry-le-François, 74 %), Hessel (Épernay, 71 %), Georges-Brière (Reims, 69 %), Gustave-Eiffel (Reims, 69 %), Jean-Talon (Châlons-en-Champagne, 66 %), La Fontaine du Vé (Sézanne, 63 %).

Lycées généraux et technologiques

Saint-Joseph (Reims, 100 %) Sacré-Cœur (Reims, 100 %), Notre-Dame Saint-Victor (Épernay, 98 %), Ozanam (Châlons-en-Champagne, 97 %), Chagall (Reims, 97 %), Jean XXIII (Reims, 97 %), Jean-Jaurès (Reims, 96 %), Saint-Michel (Reims, 93 %), Saint Jean-Baptiste de la Salle (Reims, 93 %), Clemenceau (Reims, 92 %), François-1 er (Vitry-le-François, 92 %), Oehmichen (Châlons-en-Champagne, 90 %), Pierre-Bayen (Châlons-en-Champagne, 90 %), Hessel (Épernay, 90 %), Libergier (Reims, 89 %), Roosevelt (Reims, 87 %), Colbert (Reims, 85 %), Arago (Reims, 83 %), Jean-Talon (Châlons-en-Champagne, 81 %), La Fontaine-du-Vé (Sézanne, 78 %).

À Châlons, on attendait 88 % de Jean-Talon, il affiche 81 %… « Les résultats de la filière scientifique ont été moins bons » , explique le proviseur Bertrand François. « Précisons que nous offrons à des élèves moyens la possibilité de faire S. Dans d’autres établissements, ils ne seraient pas acceptés. » C’est donc plus compliqué d’avoir un joli taux à mettre en vitrine en fin d’année.

Catherine Frey

LA PHRASE

« Notre taux pour 2015 n’est pas terrible mais nous sommes dans une dynamique qui nous rend confiants.

Nous avons des projets. Chaque année, nos élèves partent six semaines en stage en immersion en Irlande. »

Christophe Georges, proviseur de Joliot-Curie, à Reims

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l’union 160331 b
Omnisports que sont-ils devenus ? : Batix jamais loin de la table

Avec ses enfants, Manassé Batix a passé un moment sympa en Champagne. Ch. L.
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Dix ans après avoir quitté l’Olympique Rémois, Manassé Batix était de retour en Champagne. Le tennis de table rythme toujours sa vie.

La finale du tournoi de Pâques du Châlons-en-Champagne TT, lundi, a offert une choc de premier plan. Elle a aussi filé un coup de jeune. Une séquence « revival » avec la victoire, aux dépens de Quentin Robinot (n°33 français), d’Abdel-Kader Salifou (n°40) sous les yeux de Manassé Batix. On se serait cru revenu au début des années 2000 quand « Manass » coachait à l’Olympique Rémois (ORTT) le prometteur gamin de Croix Rouge qu’il allait conduire jusqu’en équipe de France, avec le travail complémentaire du regretté Philippe Georgelin.

Au final, on ne saurait dire ce qui de la victoire d’Abdel ou de la surprise de revoir son ex-coach, a le plus marqué les esprits. Désormais installé dans le Var, Batix (52 ans) est resté fidèle à lui-même, affable et toujours passionné de tennis de table. Il l’enseigne à Saint-Tropez et à Cogolin, où il réside. Avec le même enthousiasme et avec un savoir-faire intact. La preuve ? Un jeune talent est en train d’éclore et compte déjà parmi les meilleurs benjamins de France. Son nom ? Batix. Prénom ? Ylane. « C’est lui qui me ramène à la compétition. Sinon, je n’en fais plus ou très peu » , jure l’ex-international camerounais de volley-ball. Ce sont d’ailleurs d’anciennes connaissances de cette discipline qui l’ont fait mettre le cap au sud en 2008. Après une séparation mouvementée avec l’ORTT, il venait de passer par les clubs de Fresnes et Douai.

Formateur hors pair

En Provence, Manassé Batix évolue au contact de joueurs sans doute moins épris de compétition. Mais, preuve qu’il a toujours la main, Théophile Aclope (n°266, Ceyrat) sort de son giron. « Quand un gamin promet, je m’investis. Je mets le volume nécessaire » , confie celui qui, en ajoutant la jeune Diéniouma Coulibaly, a porté deux Rémois en sélection nationale.

Son fils, dont il a fallu dompter le caractère, marche sur les pas d’un père qui officiait autrefois sur des missions confiées par la Fédération internationale. Il était un ambassadeur de l’ITTF en Afrique. « Ma dernière mission remonte à 2008, tempère Batix. Depuis que je suis à Saint-Tropez. Je ne peux plus y aller. Ces missions avaient lieu en juillet et août. Et, l’été à Saint-Tropez, j’ai du travail. »

Vigile aux abords des plages privées ou pris pour des missions de gardes rapprochées de richissimes estivants, Manassé ne chôme pas.

Mais, même là, la table de ping n’est jamais loin. Il a ainsi converti des personnalités et des industriels à la pratique de son sport. La petite balle ne s’arrêtera jamais de faire ping et pong avec lui…

Philippe Launay

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Tennis : Surprises au pré-tour

Organisé au centre de ligue de Reims, le pré-tour aux Championnats de Champagne individuels a généré quelques surprises. Ainsi, chez les dames, les outsiders Mathilde Sarcelet (4/6, Sainte-Ménehould) et Caroline Girard (4/6, Reims Géo-André) ont gagné leur billet pour le tableau final des 12 et 13 juin. Chez les messieurs, suite à un petit couac de la programmation, trois finales (sur 5) auront lieu ultérieurement mais Maël Mercier-Huat (5/6, Dormans) a déjà crée la sensation en se qualifiant aux dépens du Rémois Louis Compas (3/6, Géo-André).

Résultats

Tableau 1, quarts de finale : Carillon (4/6, TC Troyes) bat Ortonovi (15, Cormontreuil) 4-6, 6-2, 6-2 ; Dermonsir (4/6, Romilly) bat Samyn (15, Géo-André) 6-1, 6-1. Demi-finale : Dermonsir bat Carillon 6-2, 6-1. Finale : Gilles (3/6, Géo-André) 6-1, 6-0.

Tableau 2, quart de finale : Lalouette (5/6, Cormontreuil) bat Pusset (4/6, Cormontreuil) 6-3, 3-6, 6-3 ; André (Nautique Épernay) bat Roussel (5/6, Vitry) 6-2, 6-2. Demi-finale : Lalouette bat André 6-2, 6-2. Finale : Birot (3/6, Reims Europe) - Lalouette.

Tableau 3, quarts de finale : Cailleux (15, Cormontreuil) bat Bonna (4/6, Sedan) 6-2, 6-1 ; Godart (4/6, Cormontreuil) bat Dumont (15, Cormontreuil) 6-0, 6-1. Demi-finale : Godart bat Cailleux 6-1, 6-3. Finale : Mouilleron (3/6, ASPTT Troyes) - Godart.

Tableau 4, quart de finale : Boulard (5/6, Montmirail ) bat Chapoutot (4/6, TC Troyes) 7-5, 6-1. Demi-finale : Chauvin (4/6, Reims Europe) bat Boulard 6-3, 6-1. Finale : Seuret (3/6, Reims Europe).

Tableau 5, quart de finale : Mercier Huat (5/6, Dormans) bat Lopes (5/6, Cormontreuil) 6-7, 6-2, 7-6 (11/9). Demi-finale : Mercier Huat bat Lacaille (4/6, TRC Muire) 6-2, 7-6. Finale : Mercier Huat bat Compas (3/6, Géo-André) 1-6, 6-1, 6-3.

Dames, Tableau 1, demi-finales : Paulyne Blaszczyk (5/6, Romilly) bat Maêva Spooner (3/6, Géo-André) 7-5, 7-5 ; Girard (4/6, Géo-André) bat Elise Renard (3/6, Cormontreuil) 7-5, 6-2. Finale : Caroline Girard bat Paulyne Blaszczyk 0-6, 6-4, 6-3.

Tableau 2, demi-finales : Mathilde Sarcelet (4/6, TC Ménéhildien) bat Lou Perrot (3/6, Saint-Dizier) 7-5, 6-2 ; Ketty Koniushok (5/6, Côte des Blancs) bat Savine Erler (3/6, TC Troyes) par WO. Finale : Mathilde Sarcelet bat Ketty Koniushok 6-3, 1-6, 6-4.


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