Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - janvier 2023



Quelques articles ne proviennent pas du journal « L’union » ; l’origine de l’article est toujours indiquée par un lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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l’union 230131a
Logement : Ils dénoncent des immeubles qui cumulent les problèmes

Le président des Boisseliers avec sa déléguée à l’entrée d’un des immeubles à problèmes : « On voit que le bâtiment s’effrite, ce n’est pas rassurant. » Des travaux de réhabilitation sont programmés cette année. A.P.
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Reims Entre les rats et les cafards qui foisonnent, les murs qui s’effritent, les ampoules non remplacées et le chauffage insuffisant, deux immeubles rue des Savoyards font l’objet d’une attention particulière d’une association de défense des locataires.

Depuis une trentaine d’années, l’association indépendante les Boisseliers s’attache à défendre les locataires de Reims. Ces jours-ci, ce sont deux immeubles du quartier Croix-Rouge qui la préoccupent particulièrement : les numéros 3 et 13 de la rue des Savoyards, voisine des collège et lycée Joliot-Curie. Qu’est-ce qui ne va pas dans ces bâtiments ? À entendre le président Gérard Lacroix de l’association, et sa déléguée Hulya Guney, qui vit elle-même dans un des immeubles concernés, on a envie de répondre : Tout, ou presque.

La liste des doléances déroulée par les responsables associatifs est en effet longue. Cela commence par une préoccupation sanitaire, liée notamment à la présence de rats. On sait que ces animaux prospèrent au voisinage de l’habitat humain, mais là, le phénomène semble dépasser les bornes depuis environ deux ans : « Maintenant on en voit tout le temps, surtout dans les communs. » Les escaliers sont maculés de petites taches qui seraient autant de séquelles de leurs crottes. Une habitante, enceinte, affirme que désormais, elle a peur de se faire mordre. Les dents de ces rongeurs seraient responsables aussi de la rupture de liaison internet par la fibre.

Roucoulements gênants

Aux rats s’ajoutent les cafards, non seulement dans les communs, mais aussi dans les logements. Hulya Guney mentionne également les punaises de lit, et pour compléter cette ébauche d’arche de Noé, n’oublie pas de parler des pigeons. « Ils font leurs besoins sur les balcons, leurs fientes peuvent apporter des maladies, et en plus ils empêchent de dormir avec leurs roucoulements. »

Le président passe ensuite à des problèmes liés aux bâtiments : des carreaux qui manquent au carrelage par exemple. Mme Guney dit qu’elle s’est tordu une cheville à cause de ça. Les balcons s’effritent, on risque de recevoir un morceau de béton sur la tête si l’on s’aventure sur le sien… Ajoutez à cela des coupures d’eau chaude récurrentes, un chauffage insuffisant dans certaines pièces, un taux d’humidité élevé dans certains appartements, apportant son lot de moisissures, des communs mal entretenus, à tel point que ce sont les locataires qui doivent parfois changer les ampoules, et les ascenseurs qui eux aussi défaillent régulièrement, et vous comprendrez que l’association s’indigne, d’autant plus que les locataires disent ressentir une forme de « mépris social » devant leurs réclamations.

Une adjointe sur les lieux

L’association a donc alerté le bailleur, le sous-préfet, le cabinet du maire, le service d’hygiène de la Ville, sans oublier L’union ; pour l’instant, elle a obtenu le déplacement d’une adjointe au maire à la mi-décembre, qui a bien pris acte. Mais aucun engagement de remèdes n’est intervenu. Sollicité par nos soins, le bailleur, le Foyer rémois, nous a répondu sur les différents points soulevés par l’association de défense, rats, cafards, et autres pigeons, renvoyant vers la responsabilité des locataires pour certains d’entre eux, comme la prolifération des pigeons ou des moisissures (voir par ailleurs). On retiendra aussi de la réponse que les immeubles en question doivent justement bénéficier cette année d’une opération de réhabilitation ! Ce qui devrait aussi résoudre pas mal des problèmes signalés.

Les réponses du bailleur

Interrogé par nos soins, le bailleur social concerné par les désagréments dénoncés par l’association des Boisseliers, le Foyer rémois, nous a apporté une réponse détaillée, et en tête de liste : « Ces immeubles sont inscrits dans un programme de réhabilitation thermique et de résidentialisation dans le cadre de l’ANRU (rénovation urbaine) à horizon 2 e semestre 2023. » Des travaux doivent donc améliorer la situation d’ici quelques mois.

Concernant les rats, « nous avons fait face à une prolifération dans les sous-sols (inaccessibles aux locataires et fermés), ayant nécessité deux traitements lourds sur 35 jours. Nous constatons également la prolifération dans le réseau de la ville, qui communique avec le bâtiment. Le traitement intensifié par la ville devrait permettre de contenir cette présence nuisible. Au 17 janvier, aucune présence de rats ni d’excréments. »

Sur les cafards : « Aucune présence constatée ce jour (18 janvier), en revanche nous diligentons un traitement préventif au 13 Savoyards, des cafards ayant été repérés à côté d’un logement du rez-de-chaussée dont le locataire est incarcéré. Les communs du 3 et du 11 Savoyards ont été désinfectés le 11 janvier. »

Sur les pigeons : « Il s’agit d’une partie privative au logement, nous menons régulièrement des actions auprès des locataires afin de sensibiliser au nettoyage régulier des balcons, et à l’importance de ne pas nourrir les pigeons. »

Carrelages cassés ou absence de carreaux au sol : « Certains carreaux sont cassés sans représenter un danger ».

« Des murs de bâti qui s’effritent : il peut y avoir des épaufrures (détachements de petits blocs), qui sont traitées si besoin. Les éclats bétons sont purgés régulièrement, la réhabilitation est prévue pour y apporter une solution. »

Moisissures : « Nous avons bien conscience des nombreux ponts thermiques et problèmes d’isolation. La réhabilitation devrait apporter une part de la résolution, l’autre relevant de l’utilisation du logement (aération du logement, sans boucher les aérations de VMC). »

Antoine Pardessus

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l’union 230129a
Solidarité : En 2023, cap sur le recrutement pour la Croix-Rouge

La Croix-Rouge cherche de nouveaux secouristes. Illustration
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Marne Élections, déménagement, recherche de nouveaux bénévoles… La Croix-Rouge ne va pas manquer d’activités en 2023. Le point avec la présidente Aurélie Stoll.

Il n’y a pas que les maires qui prononcent des vœux. C’est aussi le cas des associations. Ainsi, ceux de la Croix-Rouge ont eu lieu samedi dernier, le 21 janvier, au sein de l’une de ses entités, l’Institut de formation en soins infirmiers (l’Ifsi), avenue Sarrail à Châlons-en-Champagne. Il s’agissait, plus précisément, des vœux à destination du personnel bénévole de la Croix-Rouge de l’ensemble de la Marne.

Quels sont les axes de travail pour 2023 ? « Il faudra stabiliser la gouvernance avec l’élection du bureau de l’unité locale de Châlons. Sans elle, on ne peut pas mener de projet, rappelle Aurélie Stoll, présidente de la Croix-Rouge de la Marne pour la partie bénévoles (lire par ailleurs). Mais il faut maintenir ce qui existe à Châlons. » Le siège de l’activité bénévole de la Croix-Rouge de la Marne est situé dans les locaux de l’unité locale de Châlons, avenue De-Gaulle.

Le bâtiment de l’Unité locale de Reims, situé rue Joliot-Curie, devra subir des travaux, ou bien le personnel devra être transféré. Un éventuel déménagement est aussi sur la table pour le siège des secouristes, installés actuellement rue Houzeau-Muiron, en restant toutefois à Reims. « C’est une vieille maison en pierre meulière, qui n’est pas adaptée » , signale Aurélie Stoll. Ce point est en cours de négociation.

L’aide à la mobilité pourrait être développée à Sézanne. Cela concernera un public en difficulté et moins mobile. Les bénévoles pourront les rencontrer à domicile s’ils ont par exemple besoin de vêtements. Il faudra pour ce projet travailler avec des partenaires comme la mairie, le Clic (Centre local d’information et de coordination) ou le centre intercommunal d’action sociale.

À Reims, des travaux devront être entrepris ou alors un déménagement devra être envisagé

Plus généralement, les bénévoles de la Croix-Rouge travaillent avec la Banque alimentaire, les services sociaux du Département, les autres organismes caritatifs… À Châlons, l’association Abi51 fait partie des partenaires réguliers. À Reims, la Croix-Rouge travaille avec le Service national universel (SNU). Une convention avec la gendarmerie a également été signée, ainsi qu’avec les mairies pour les plans communaux de sauvegarde.

La Croix-Rouge compte actuellement 400 bénévoles dans la Marne mais des nouveaux sont toujours bienvenus : « On va mener une grande campagne de recrutement pour les urgences, afin de trouver de nouveaux secouristes en vue de la Coupe du monde de rugby et des Jeux olympiques de 2024. Il s’agira aussi d’apporter du renfort à l’extérieur du territoire, par exemple en région parisienne. »

Pour être bénévole, joindre les unités locales de Châlons-en-Champagne, Reims et Épernay. Voir aussi croix-rouge.fr. Il n’y a pas d’équipe à Vitry-le-François et Sainte-Ménehould.

Les différentes branches

Il faut distinguer la partie bénévoles de la Croix-Rouge, qui rassemble les Unités locales et le secourisme, des pôles sociaux, qui sont eux constitués de professionnels : ce sont des travailleurs sociaux qui se chargent d’accueillir, d’orienter et de suivre les bénéficiaires. L’Ifsi de Châlons est encore une autre entité de la Croix-Rouge. Bien sûr toutes ces structures échangent entre elles.

Kévin Monfils

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l’union 230128a
RENDEZ-VOUS : Séance controverse

La nuit a dévoré le monde. Interdit au moins de 12 ans.

À 14 h 30, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Gratuit.

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l’union 230127a
Économie : 150 millions d’euros investis dans les équipements sportifs

REIMS Arnaud Robinet a annoncé, mercredi 25 janvier, un plan d’investissements d’une grande ampleur en faveur du sport. Près de 150 millions d’euros vont être investis jusqu’en 2033 pour renouveler les infrastructures sportives. La priorité est donnée aux gymnases, aux piscines ainsi qu’à la création de nouveaux espaces.

Avec 25,4 équipements pour 10 000 habitants, la cité des sacres a une offre en équipements sportifs supérieure à la moyenne nationale (15,3). Si ce nombre est une fierté pour la municipalité, la nécessité de les moderniser, les rénover ou encore de les réorganiser est devenue nécessaire. « Nous remarquons aussi qu’il y a des pratiques sportives inédites depuis la crise sanitaire », a précisé l’édile Arnaud Robinet, lors de la présentation du plan, mercredi 25 janvier, au stade Delaune, dont voici les détails.

1 Un plan gymnase

Selon la municipalité, près de 45 gymnases sont disséminés aux quatre coins de la ville. Dans ce plan d’investissements, neuf sont intégrés, soit un gymnase par an jusqu’en 2033, le tout pour un montant de 23,3 millions d’euros. Précisons qu’en dehors de cet investissement d’autres travaux ponctuels continueront. Mais pour les grosses rénovations, le rendez-vous est donné d’abord au gymnase Roland Bourgoin et se terminera au gymnase Richelieu, tout en passant par le gymnase Saint Exupéry ou encore François Legros (voir infographie).

Le calendrier a été sélectionné selon les urgences. « Il repose sur les priorités liées aux caractéristiques et à la durabilité de chaque équipement » , a précisé Arnaud Robinet. Si la Ville s’attaque au gymnase, c’est surtout pour les moderniser, les adapter aux nouvelles normes techniques, ainsi que les intégrer dans une politique de transition énergétique.

2 Un plan piscine

Du côté des piscines, cinq d’entre elles seront rénovées entre 2025 et 2033 : la piscine Château d’eau, Orgeval, Thiolettes, Louvois et enfin Talleyrand à qui la municipalité a décidé « malgré son âge de lui donner une seconde vie » . Pour cette dernière, 5,2 millions d’euros seront investis. La Ville veut faire de cette piscine art déco un lieu culturel, en plus d’un équipement sportif. « Les espaces bien-être seront repensés et les espaces architecturaux valorisés » , a précisé l’édile. Et ce dernier a tenu à rassurer les nageurs : « Jamais 2 piscines ne fermeront en même temps sauf urgence. Et pour faciliter les clubs et les scolaires, aucune ne fermera en cours d’année sauf incident majeur ».

3 De nouveaux espaces

Passons à la « vitesse supérieure » avec la création de nouveaux espaces comme le complexe sportif urbain Courcelles, à la place du gymnase actuel, qui comportera toujours un gymnase mais aussi une halle sportive urbaine polyvalente, un city stade, un espace musculation ou encore un espace street work out, le tout pour 18,3 millions d’euros. La Ville a annoncé également la création d’une plaine des sports Saint-Charles dans le futur quartier du port Colbert qui sera composé d’un pôle canoë-kayak et raquette, d’aménagements extérieurs mais aussi de restaurants, bars.

« Je compte sur ce site pour augmenter l’attractivité de la ville, il apportera une offre de sport unique aux étudiants notamment à ceux de l’ESAD et de NEOMA », a précisé Arnaud Robinet. Enfin, une nouvelle patinoire va être créée. Et là, vous vous dites encore ? À terme, elle remplacera la patinoire Albert Ier et Jacques Barot, qui va subir des travaux de maintenance en attendant. Car la nouvelle patinoire ce n’est pas pour demain. Si la municipalité l’espère à l’horizon 2030, aucun lieu n’est encore défini. Il est juste précisé qu’elle sera d’une grande ampleur et permettra les entraînements des clubs, des scolaires comme l’organisation de grands événements sportifs. Et le budget dans tout ça ? 40 à 45 millions d’euros.

4 Et ce n’est pas tout

D’autres investissements ont été annoncés, le but étant la rénovation d’un équipement tous les six mois pendant dix ans.

Dès cette année, le cercle rémois des arts martiaux va être rénové, tout comme les terrains synthétiques du stade des Églantines ou encore les éclairages du Stade Delaune. Les régates rémoises ont elles aussi le droit à du renouveau avec l’agrandissement du hangar à bateau, dès 2025, ainsi que le stade Georges Hébert avec la rénovation des locaux et tribunes et la création d’une salle de musculation (10,4 millions d’euros).

En résumé, les projets sont nombreux. L’objectif ? Augmenter l’attractivité des clubs sachant qu’aujourd’hui le nombre de licenciés sur Reims est inférieur à la moyenne nationale : 17,2 licences pour 100 habitants contre 22,3.

Margaux Plisson

 

 

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l’union 230126a
Bientôt un festival de science-fiction

Le festival de science-fiction Les Mycéliades fait escale du mercredi 1 er février au 15 février à Reims.

Cet événement, organisé dans 50 villes de France, a pour mission de faire vivre la science-fiction et de proposer des animations autour de la question spatiale. À Reims, les médiathèques Jean-Falala et Croix-Rouge se sont associées au planétarium et au cinéma Opéraims pour une programmation de jeu, de cinéma, d’astronomie et de conférences sur le thème de l’astronaute et du voyage dans l’espace.

Parmi elles, une conférence sur le thème « Peut-on vraiment rester seul sur Mars ? », le 8 février à 18 heures à la médiathèque Jean-Falala.

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l’union 230125a
Aujourd’hui : Même pas peur !

C’est permis de colorier avec Carole Chaix de 14 à 17 heures à la médiathèque Croix-Rouge. Gratuit.

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l’union 230124c
Plutôt un problème de voisinage

Nous avons interrogé le bailleur Plurial Novilia, qui a effectivement connaissance de ce dossier. Voici la réponse qui nous a été apportée : « L’intéressé a pris possession du logement 4 Doumer en juillet 2021 suite à un problème de voisinage sur Tinqueux (qui lui-même faisait suite à un problème de voisinage sur Croix-du-Sud). Lors de la visite du logement, cette disposition (l’accès à la pelouse, NDLR) était parfaitement connue, pour autant ce monsieur a accepté le logement. La demande de mutation est en lien avec un nouveau conflit de voisinage et non en lien avec la disposition du logement. »

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l’union 230124b
Association : Alain Bristeur est le nouveau président de la Fnaca

Alain Bristeur, vice-président, a été élu à la majorité absolue.
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Il faut que nous soyons passeur d’histoires pour les jeunes

Le comité rémois de la Fnaca (Fédération nationale des anciens combattants d’Algérie) a perdu le mercredi 25 octobre dernier son président, Michel Choquet. Ce dernier avait succédé en 2012 à Jean Forget, qui lui-même avait dirigé la branche marnaise de la Fnaca pendant 24 ans. Mercredi matin, les adhérents étaient réunis à l’espace Thierry Meng pour élire le successeur de Michel Choquet.

Alain Bristeur, vice-président et seul candidat à la présidence, a été élu à la majorité absolue et le bureau a été reconduit. Bien connu dans la région rémoise pour ses nombreux engagements, il a été conseiller régional, conseiller municipal de Reims, et co-animateur du quartier Croix- Rouge, entre autres, ainsi qu’enseignant au lycée Neufchâtel, aujourd’hui Gustave Eiffel.

Après avoir rappelé les avancées sociales à mettre à l’actif de la Fnaca, il a précisé qu’en dépit de l’âge important des adhérents de l’association, anciens militaires, femmes et veuves de militaires, dont la plupart dépassent les 85 ans, les animations, sorties et réunions mensuelles, ainsi que la participation aux cérémonies nationales seraient assurées. Il a salué d’ailleurs la présence de Gwendoline, jeune porte-drapeau, qui assure la relève. Alain Wanschoor, maire de Bétheny, a rappelé le nécessaire devoir de mémoire. « Pour éviter les conflits comme celui que nous connaissons aujourd’hui en Ukraine, a-t-il répété, il faut que nous soyons passeur d’histoires pour les jeunes, afin que rien ne soit oublié. La commune de Bétheny s’engage à vos côtés pour maintenir la mémoire de ce que vous avez vécu ».

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l’union 230124a
Faits divers : Tabassé pour une montre de luxe

Le soi-disant acheteur avait donné rendez-vous samedi soir à Croix-Rouge.
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En mettant sa montre de luxe en vente sur un site de petites annonces sur internet, ce Rémois ne pensait certainement pas terminer la journée à l’hôpital.

Trois mineurs ont été interpellés

Le bijou dont il veut se séparer coûte entre 12 et 14 000 euros, lui en réclame 10 000.

Un acheteur potentiel prend contact avec lui, les deux hommes échangent quelques messages puis rendez-vous est pris au cœur du quartier Croix-Rouge, samedi soir.

Le vendeur fait alors face à trois hommes qui n’ont pas vraiment prévu une transaction financière : ils le rouent de coup avant de lui voler sa montre.

Ils ont été identifiés, il s’agit de trois mineurs qui ont été placés en garde à vue.

Ils ont été remis en liberté ce lundi, les policiers poursuivent leur enquête. L.L.

 

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l’union 230119a
ENVIRONNEMENT : Trier ses déchets peut rapporter gros

« Le tri récompensé permet de cumuler des points », a expliqué Sabrina Carpentier (à droite) aux étudiants. S.D.
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Une animation pour sensibiliser les jeunes au tri a eu lieu au restaurant universitaire du campus Croix-Rouge. L’occasion de présenter le principe du recyclage récompensé.

Suez France Reims et le Grand Reims se sont associés au Crous à l’occasion d’une animation dont l’objectif était de sensibiliser à un nouveau système de tri récompensé : « Triez, c’est gagné ! ». Sabrina Carpentier, responsable prévention des déchets et partenariats chez Suez, animait la présentation de ces nouvelles bornes innovantes.

« “Triez c’est gagné”, c’est un principe de recyclage récompensé avec des bornes innovantes », explique- t-elle. « L’idée derrière tout ça, c’est de récompenser le geste de tri pour attirer celui qui ne fait pas le tri ou qui le fait avec beaucoup d’erreurs. Ces bornes sont capables d’accepter trois types d’emballages : les bouteilles en plastique, les briques alimentaires Tetra Pak et les canettes. »

DES RÉCOMPENSES À LA CLÉ

« Le tri récompensé permet de cumuler des points », poursuit Sabri- na Carpentier. « Les grands emballages valent 2 points, les petits valent 1 point. En échange de ces points et après une inscription au préalable sur reco.suez.fr, je peux échanger mes points contre des récompenses culturelles et sportives. Par exemple, notre partenariat avec le Crous aujourd’hui nous permet de proposer des kits zéro déchet via ce système de points. Mais nous allons plus loin, nous proposons sur la boutique des places pour le planétarium par exemple. »

Le système de tri récompensé peut également se concrétiser par un geste tourné vers les autres, puisque l’on peut choisir de cumuler ses points en don plutôt qu’en récompense. Trois associations peuvent bénéficier des dons : l’Afev (Association de la vie étudiante pour la ville), Noël – Paindavoine et l’Ares (Association rémoise des étudiants en Staps). Le Grand Reims soutient aussi ces associations puis- qu’il « s’est engagé à reverser 5 € tous les 100 emballages convertis pour des dons ».

Quatre bornes sont actuellement implantées dans le Grand Reims : une borne est présente sur le parking de Cora La Neuvillette, une autre se situe au plein cœur du centre-ville au niveau de l’angle Champs de Mars-Quartier Boulingrin, une troisième borne se trouve place des Argonautes dans le quartier Châtillons. Enfin, la dernière se trouve devant l’université de lettres et de droit, campus Croix-Rouge. L’installation d’une cinquième borne est envisagée quartier Europe.

Rendez-vous sur reco.suez.fr pour plus d’informations et pour découvrir les différentes récompenses existantes.

DES RÉSULTATS ENCOURAGEANTS

Depuis le début du dispositif, il y a quatre mois, plus de 150 000 emballages ont été triés avec 395 utilisateurs inscrits. Il faut noter que l’inscription n’est pas obligatoire lorsque le système de tri récompensé se concrétise par des dons. « L’idée, c’est vraiment d’initier un geste de tri pour amener progressivement vers le bac jaune, puisque ce dispositif est complémentaire du bac jaune, il ne le remplace pas », détaille Sabrina Carpentier. « Ce système de tri récompensé est une sorte de version intermédiaire pour amener les gens qui ne trient pas, à le faire. »

SERENA DUTHILLEUX

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l’union 230118a
ÉVÉNEMENT : Les bibliothèques et médiathèques sont en fête

Exceptionnel, ce portrait de Jean-Baptiste Colbert, réalisé par Robert Nanteuil, grand graveur de l’époque de Louis XIV, est accueilli à Carnegie. François Bertrand
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Le Coutumier de Reims est officiellement le premier livre imprimé à Reims, en 1553. F.B.
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S’ils ne sont plus exposés aujourd’hui, certains documents sont conservés dans des armoires de climatisation, avec un taux d’humidité régulé et dans la pénombre à la bibliothèque Carnegie. F.B.
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Les Évangiles d’Hincmar, datant du 9e siècle, relatent la vie de Jésus.
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Les médiathèques du réseau de lecture publique de la Ville sont en fête à partir du 18 janvier à l’occasion de leurs anniversaires : 20 ans pour les médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge et même 50 ans pour Laon-Zola. L’occasion de revenir sur les prémices de la bibliothèque municipale, des œuvres et documents inestimables ayant été confiés à Reims il y a tout juste 220 ans.

Le réseau de lecture publique de la ville de Reims, composé de trois médiathèques, quatre bibliothèques de quartier, deux bibliobus et un book-truck, est en fête. Pas moins de trois anniversaires (20 ans pour les médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge et même 50 ans pour Laon-Zola) vont jalonner le mois du mercredi 18 au mercredi 25 janvier. Une occasion de revivre la belle histoire des premiers documents légués à la Ville, il y a de cela 220 ans.

Il faut attendre 1830 et un travail d’inventaire important pour voir la bibliothèque municipale ouvrir ses portes au grand public

Ce service public municipal, le premier service de proximité pour les Rémoises et les Rémois, qui rayonne bien au-delà de l’agglomération, existe en effet depuis 1803, date à laquelle les premiers documents ont été transférés à la Ville, suite à la Révolution française. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles en ont fait du chemin, ces diverses oeuvres, aujourd’hui précieusement conservées au sein de la bibliothèque Carnégie. Il faut remonter à la Révolution française pour comprendre le lien qui les lie à la Ville de Reims, au moment où l’État a pris le contrôle sur le clergé. Des milliers de documents ont alors transité des mains des abbayes et des Églises à celles des municipalités. C’est ainsi qu’en 1809, 65 000 documents ecclésiastiques ont trouvé leur nid au premier étage de la mairie de Reims, dans ce qui sera les prémices de la bibliothèque municipale de Reims.

À cette époque, seuls quelques érudits, chercheurs et scientifiques se rendaient sur place pour consulter les archives. D’autres bibliothèques de canton s’occupaient de répondre aux besoins de divertissement de la population rémoise. Il faudra attendre 1830 et un travail d’inventaire important pour voir la bibliothèque municipale de Reims ouvrir ses portes au grand public. La collecte de fonds bibliographiques ouverte quelques années plus tôt avait complexifié le travail du personnel chargé de recenser les oeuvres, mais a finalement offert à la mairie de Reims une véritable mine d’or culturelle.

LES DOCUMENTS TRANSFÉRÉS PENDANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE

En 1914, on peut dire qu’Henry Jadart, ancien conservateur de Reims, a eu le nez fin. Sentant le danger se rapprocher de Reims lors des débuts de la Première Guerre mon-

Des manuscrits inestimables

Parmi les documents que l’on peut trouver à la bibliothèque Carnegie se trouvent des œuvres inestimables, comme « Les Évangiles de Saint-Thierry » dits d’Hincmar, des manuscrits datant du 9 e siècle après J.C. Ils relatent la vie de Jésus et étaient destinés aux religieux. De magnifiques enluminures parsèment l’ouvrage. Celui-ci avait été donné à l’abbaye de Saint-Thierry, très importante à l’époque. Au pied de chaque page, le nom de d’Hincmar est inscrit. Il s’agit d’un ancien archevêque de la cité des sacres, qui défendait et souhaitait étendre les droits de l’Église. Il était également un grand juriste et conseiller à la cour de Charles II le Chauve, roi de la France occidentale de 843 à 877.

On peut également trouver le Coutumier de Reims. C’est officiellement le premier livre imprimé à Reims, en 1553. On y retrouve des informations sur la gestion et les usages de la ville de Reims de cette époque. Le livre avait été offert à Charles le Cardinal de Lorraine, grand acteur régional de la popularisation de l’impression. Exceptionnel aussi, ce portrait de Jean-Baptiste Colbert, réalisé par Robert Nanteuil, grand graveur de l’époque de Louis XIV. Cette estampe est à l’effigie d’un autre grand personnage rémois : l’homme d’État Jean Baptiste Colbert.

S’ils ne sont plus exposés aujourd’hui, ces documents sont conservés dans des armoires de climatisation, avec un taux d’humidité régulé et dans la pénombre.

3 anniversaires, 3 lieux, 3 ambiances !

Pour marquer ces anniversaires et s’inscrire dans la 7 e édition de la manifestation nationale « Nuit de la lecture », petits et grands sont invités à participer à un programme festif pour aborder la lecture d’une autre manière. Entrée libre, dans la limite des places disponibles.

50 ans pour Laon-Zola

Le rendez-vous est fixé ce mercredi 18 janvier à 15 heures dans la salle municipale Goulin. Au programme : une guinguette des enfants (les 6-10 ans), un concert-spectacle interactif animé par la compagnie Fais pas ci, fais pas ça… Les parents ne sont pas oubliés avec des animations proposées à la médiathèque Laon-Zola.

20 ans pour Jean Falala

Les animations auront lieu samedi 21 janvier de 17 à 23 heures. Au programme : à 17 heures, Odile Burley, conteuse, interprétera pour le public âgé de plus de 3 ans Le Grand monde du Petit Chat ; de 18 h 30 à 23 heures, le roman-photo, né en 1947 en Italie, sera remis au goût du jour à travers une exposition sur le fameux roman-photo Guacamole Vaudou, d’Eric Judor et de Fabcaro ; de 18 h 30 à 20 heures et de 21 à 23 heures, l’Espace Arts et Loisirs, situé au 1 er étage, accueillera un mix dansant avec Roots of vinyl ; à 20 heures, lecture à l’auditorium par Julien Boisselier.

20 ans pour Croix-Rouge

Dernier rendez-vous le mercredi 25 janvier, de 14 à 17 heures. Participez en famille à la réalisation d’une fresque collaborative avec l’illustratrice Carole Chaix, d’après l’album Juste le ciel et nous, signé Annie Agopian et Carole Chaix. Guidé par l’illustratrice Emilie Vast, lancez-vous dans l’atelier thaumatrope pour fabriquer un petit jouet optique pour attraper Batabata la chauve-souris. De 14 à 17 heures, les 13 ans et plus, adeptes de technologie, pourront s’essayer à la réalité virtuelle et vivre ANNIVERSAIRE, une expérience parent/ado détonante. Sans oublier des Lectures d’albums à 14 heures pour les 7 ans et plus, et à 14 h 30 pour les enfants de 5 ans. À 16 h 15, les 4 à 6 ans sont invités à venir découvrir un monde d’histoires en réalité augmentée. À 14 h 15 et à 16 h 15, lecture bilingue français-arabe de « Juste le ciel et nous », un texte d’Annie Agopian.

Un réseau de proximité pour les Rémois

Que signifient pour vous les anniversaires des médiathèques Jean-Falala, Laon Zola et Croix-Rouge ?

C’est une grande satisfaction de posséder 3 médiathèques. C’est symbolique de l’existence d’un réseau de proximité pour les Rémois, et un élément important dans le développement de la culture.

Quelle est la dynamique globale des bibliothèques et des médiathèques rémoises ?

On retrouve globalement l’affluence d’avant 2019. Ça passe par l’instauration de la gratuité pour tout le monde dans les bibliothèques, l’investissement dans l’accessibilité pour les personnes atteintes de handicap, et le développement de nos services numériques. Les étudiants représentent également une grande part des visiteurs, même si nous aimerions qu’ils soient plus sensibles aux services culturels proposés.

Quels sont les projets à venir concernant les bibliothèques et les médiathèques rémoises ?

Poursuivre ce que l’on fait de bien. Nous avons récemment développé les espaces gaming de nos espaces, et continuons de soumettre une grande partie de nos ressources à nos sites web. Nous proposons également des ateliers d’apprentissage pour réduire la fracture numérique, trop présente aujourd’hui. À Croix-Rouge, nous avons aussi mis en place des prêts de guitare et d’instruments numériques, ainsi qu’un service de copiage de vinyle.

FRANÇOIS BERTRAND

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l’union 230114a
Appel aux dons d’instruments

 

 

 

Guitares, percussions, claviers, effets, amplis… Qu’on se le dise : les bibliothèques de Reims acceptent les dons.

Ils iront rejoindre la collection d’instruments de musique empruntables à la médiathèque Croix-Rouge.

L’instrument doit être en bon état de marche, transportable pour l’emprunt, d’entretien et de maintenance simples.

Plus d’informations et modalités des dons (rubrique Don) : www.bm-reims.fr

 

 

 

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l’union 230113b
Feu de voiture et de déchets verts

Garée rue Marie-Laurencin au quartier Croix-Rouge, une voiture a brûlé mercredi en soirée, vers 22 h 20. L’origine, pour être indéterminée, n’en demeure pas moins suspecte.

Hier vers 17 heures, des déchets verts ont mystérieusement pris feu le long de la RD8, près de Sillery. Les flammes ont parcouru un volume de 2 m3.

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l’union 230113a
Justice chambre de l’instruction : Trois coups de couteau dans le ventre et au thorax pour le faire dégager du quartier

Dix-huit mois après une violente agression au couteau rue du Docteur-Schweitzer, un jeune d’Orgeval reste en prison et la victime de Croix-Rouge n’a guère aidé les enquêteurs par son silence. F.C.
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Le suspect faisait partie des jeunes d’Orgeval qui avaient attaqué des rivaux de Croix-Rouge au centre-ville, en février 2020. Archives F.C.


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Mis en examen pour une tentative de meurtre au couteau sur un jeune de Croix-Rouge, à Orgeval, l’unique suspect identifié a vainement plaidé sa mise en liberté tandis qu’un épais mystère plane toujours sur cette agression commise en pleine journée dans la rue il y a un an et demi.

Le 4 août 2021, vers 16 heures, une automobiliste qui circule rue du Docteur-Schweitzer à Orgeval remarque un passant ensanglanté qui titube sur le trottoir. Elle s’arrête pour lui porter assistance : c’est un garçon de 23 ans originaire du quartier Croix-Rouge. Il ne veut pas des pompiers, puis change d’avis en tombant par terre. Les secours font bien d’intervenir : sous le tee-shirt, ils découvrent trois profondes plaies par arme blanche au thorax et à l’abdomen.

Les policiers ont le temps d’interroger le blessé avant son hospitalisation, mais il reste évasif. Tout juste apprennent-ils que trois individus l’auraient pris à partie en le sommant de « dégager du quartier » , sans savoir pourquoi affirme-t-il, et que l’un d’eux l’aurait frappé à coups de couteau. Son ADN trouvé sur le tee-shirt du blessé ?

Le suspect a l’explication : il lui faisait la bise pour le saluer quand il le croisait dans le quartier

Une partie de l’agression a été filmée par la vidéosurveillance. On voit la victime se bagarrer avec un autre jeune, puis ce dernier se mettre sur elle et la frapper au sol à coups de poing. Elle parvient à se dégager, coursée par son adversaire hors caméra : aucune image des coups de couteau. Deux individus accompagnaient l’agresseur.

Réentendu le lendemain, le garçon dit ne plus se souvenir des faits et refuse de porter plainte. Il serait venu à Orgeval pour faire des photocopies qu’il devait remettre à son conseiller du service pénitentiaire d’insertion et de probation, avec lequel il avait rendez-vous à Clairmarais. Son quartier d’origine interpelle bien sûr les enquêteurs – entre Croix-Rouge et Orgeval, ce n’est pas le grand amour – mais il se dit étranger à toutes ces histoires.

Incarcéré, libéré, réincarcéré

C’est une trace ADN relevée sur la manche de son tee-shirt qui va orienter l’enquête vers un jeune d’Orgeval, Yannis Jorf, alors âgé de 20 ans. Sa physionomie correspond celle de l’agresseur et son portable a borné sur les lieux… alors qu’un contrôle judiciaire l’interdisait d’être à Reims dans le cadre de l’enquête sur les affrontements qui avaient opposé jeunes de Croix-Rouge et d’Orgeval place du Théâtre (lire ci-dessous).

Arrêté le 4 septembre 2021, Yannis Jorf a contesté toute implication mais sur la base de ces éléments, il a été mis en examen pour « tentative de meurtre » puis incarcéré jusqu’au 16 septembre, date à laquelle la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Reims l’a remis en liberté après avoir annulé l’ordonnance de placement en détention provisoire pour un motif de droit. Après un passage par la Cour de cassation, l’ordonnance a finalement été validée en février 2022 par la cour d’appel de Nancy, ce qui signifiait le retour en prison de Yannis Jorf, sauf qu’il était absent à l’audience. Un mandat d’arrêt fut décerné, mollement exécuté car le jeune homme n’a été arrêté que cinq mois plus tard, lors d’un de ses pointages à Montpellier (où son contrôle judiciaire l’imposait de résider).

Règlement de comptes

En ce début d’année 2023, Yannis Jorf est toujours en détention provisoire et a déposé une demande de mise en liberté devant la chambre de l’instruction. « Je suis innocent dans l’affaire » , a-t-il plaidé tout seul, sans avocat. Son ADN sur le tee-shirt du blessé ? Il lui « faisait souvent la bise pour le saluer » quand il le croisait dans le quartier.

La chambre de l’instruction a finalement décidé de le maintenir en détention, faute d’un projet de sortie bien défini et pour ne pas nuire au déroulement des investigations portant sur une affaire dont « il semble qu’il s’agisse d’un règlement de comptes entre bandes rivales » , estime l’avocate générale. Pas sûr que les enquêteurs parviennent à en connaître le fin mot.

Impliqué dans les affrontements de la place du Théâtre

Au moment de l’agression dont il est suspecté, le 4 août 2021, Yannis Jorf était mis en examen dans une affaire qui avait causé un vif émoi au centre-ville : les affrontements de la place du Théâtre entre bandes d’Orgeval et de Croix-Rouge, le 6 février 2020.

Ce soir-là, une quinzaine d’individus d’Orgeval avaient submergé une dizaine de leurs rivaux attaqués avec gazeuses, bâtons, béquille, marteau et hachoir de boucher. Trois jeunes de Croix-Rouge avaient été blessés, dont un laissé dans le coma après avoir été roué de coups de pied rue de Vesle.

Incarcéré de mars 2020 à février 2021, puis remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjour dans la Marne, Yannis Jorf a été condamné en janvier 2022 à 18 mois de prison, dont un an ferme. Ce jugement définitif (il n’a pas fait appel) l’a reconnu coupable d’avoir participé à certaines des violences, en l’occurrence celles commises sur un ado de 13 ans qui avait été gazé et frappé d’un coup de marteau à la tête après avoir été rattrapé à l’intérieur du magasin Zara.

Fabrice Curlier

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l’union 230111a
Faits divers : Ils n’aiment pas la police

Appelés pour un différend de voisinage dans le quartier Croix-Rouge, place Maurice-Utrillo, les policiers ont découvert devant l’immeuble un individu désigné comme étant le perturbateur. Il était alcoolisé et très agressif.

Interpellé, l’homme s’est débattu lors de son transport dans le véhicule de la patrouille. Il a notamment décoché un coup de pied au visage d’un policier, le blessant légèrement. Les agents ont dû se mettre à plusieurs dessus pour le maîtriser.

Âgé de 34 ans, l’excité a été présenté au parquet puis remis en liberté sous contrôle judiciaire avec une date d’audience.

La patrouille passe, un doigt se lève

Lors d’une patrouille en journée, les policiers municipaux sont passés devant un groupe de jeunes dont l’un d’eux a cru malin de les saluer en leur faisant un doigt d’honneur, affirment les agents. Le contrôle a suivi, ainsi qu’une insulte.

Interpellé, l’individu âgé de 22 ans a tout nié. Pas de chance pour lui, la caméra-piéton de la patrouille était activée au moment du contrôle : l’analyse de la vidéo a confirmé l’existence du propos outrageant. Le jeune homme sera jugé pour ces faits le 10 mars prochain. En revanche, l’outrage par geste – à savoir le doigt d’honneur – a fait l’objet d’un classement sans suite.

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l’union 230110b
d’erlon en large

Heureusement pour cette habitante de Croix-Rouge que la météo s’est un peu adoucie ces derniers temps, sinon elle aurait un peu trop froid chez elle : depuis une paire d’années, elle constate qu’en hiver les températures ne s’élèvent guère dans son appartement : « Il ne fait jamais 19, nous avons parfois été plafonnés à 16 ou 17… » Faudra-t-il en passer par une nouvelle pétition ? Il y a deux ans, le mercure était un peu remonté après une démarche de ce type…

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l’union 230110a
SPORTS : Les Rémois s’imposent à la maison

 

 

Salle François-Legros, samedi dernier, Fabrice Chavinier (photo Stéphanie Jayet) et le Reims Haltérophillie Musculation ont décroché un beau succès, à… l’arraché.

Comme prévu dans une triangulaire serrée, capitalisant 1 641 points contre 1 639 aux Val d’Oisiens de Franconville, Rosendael (Nord) fermant la marche avec 1 566.

Le tout avant la 4 e et dernière levée à Luxeuil-les-Bains le 4 février, les partenaires de Kévin Bouly sont toujours au pied du podium. Qu’ils brigueront avec grande envie en Haute-Saône.

 

 

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l’union 230109a
Le conducteur avait les yeux brillants

Vendredi à 18 h 30, avenue Eisenhower, un Rémois né en 1999 a attiré l’attention de la police car il roulait à vive allure et que la lunette arrière de son véhicule était cassée.

S’il ne sentait pas l’alcool, l’homme avait en revanche les yeux très brillants. Il avait consommé des stupéfiants.

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l’union 230106b
SPORTS - haltérophilie Top 9 : Reims lève à la maison

Les Rémois vont évoluer au complet pour cette 3e journée du championnat de France des clubs. DR
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L’indécision quant au lieu, rémois, de cette 3 e journée du Top 9 aura été de mise jusqu’en ce milieu de semaine. Mais, finalement, c’est bien la salle François-Legros, habituellement dévolue au Reims Haltérophilie Musculation, qui accueillera la compétition. En tout cas, le RHM veut briller dans ses murs.

Et les partenaires de l’atout maître, Kévin Bouly, – détenteur d’un nouveau record du monde à 179 kg à l’épaulé-jeté chez les vétérans à Orlando (Floride) début décembre, lui valant l’argent mondial – et de Ludwig Colombo savent que l’opposition sera de taille, avec Franconville, 5 e et au coude à coude avec les Rémois, 4 es , lors de la journée précédente à Saint-Maur il y a deux mois, et les Nordistes de Rosendael (Dunkerque).

La der en Bourgogne

Au complet, ils auront l’ambition de rester maîtres sur cette journée et de se présenter au mieux lors de la 4 e et dernière levée, le 4 février prochain, à Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône), face aux redoutables athlètes de l’AC Saint-Marcellin et les locaux du CHL (3 es ) pour boucler la boucle.

Et, derrière un succès sur cette triangulaire demain en début de soirée (pesée à 15 heures, début des levées à 17 heures), décrocher un podium final cadrera avec l’objectif initial de l’exercice.

Ch.D.

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l’union 230106a
Justice tribunal correctionnel : Bombe lacrymogène et photojournaliste agressé

Une bombe lacrymogène de 300 ml peut sérieusement incommoder l’adversaire. Illustration
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Nouvelle condamnation pour l’agresseur présumé du photographe de L’union Christian Lantenois, cette fois-ci pour le port prohibé d’une bombe lacrymogène.

Détenu à Laon, Anes Saïd Khebbeb est actuellement mis en examen pour la « tentative de meurtre » du photographe de L’union Christian Lantenois, qu’il est accusé d’avoir blessé très grièvement à la tête en le frappant avec le boîtier de son appareil, le 27 février 2021, sur le parking de la médiathèque Croix-Rouge. Ressortissant algérien aujourd’hui âgé de 23 ans, le jeune homme faisait partie d’une bande qui s’apprêtait à partir en découdre avec une autre lorsqu’il avait repéré le journaliste venu sur place après avoir été informé d’un possible affrontement dans le quartier (il y en avait beaucoup à l’époque).

Déjà condamné à huit reprises en 2019, Anes Saïd Khebbeb l’a été trois fois de plus en 2022 pour des procédures antérieures à son incarcération : trois mois de prison pour le recel d’une voiture ; trois mois pour une conduite sans permis et sous cannabis ; quatre mois pour une série de délits routiers et la détention d’un couteau. Arrive l’année 2023 et déjà une nouvelle comparution, mardi 3 janvier, pour la détention d’une bombe lacrymogène de grande capacité (300 ml) constatée lors d’un contrôle avenue Léon-Blum, le 15 février 2020.

Un autre procès avorté la veille

« J’avais cette bombe lacrymogène pour me protéger à cause du conflit entre Croix-Rouge et Orgeval » , explique le prévenu. Scepticisme de la substitut du procureur : « Pour quelqu’un qui avait à l’époque huit condamnations à son casier judiciaire, dont une pour des violences en réunion, je me demande si cette bombe lacrymogène était réellement destinée à se protéger. »

Anes Saïd Khebbeb repart en détention avec trois mois de plus à purger. La veille lundi, il était aussi convoqué à l’audience, pour avoir outragé les policiers et cassé une table lors de sa présentation au palais de justice de Reims, le jour de sa mise en examen pour la « tentative de meurtre » de Christian Lantenois, le 3 mars 2021, mais le dossier a été renvoyé. Le jeune homme reviendra le 18 septembre au tribunal pour répondre de cette énième affaire.

Fabrice Curlier

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l’union 230104c
Il attrape sa femme par les cheveux et la traîne au sol

Jeudi dernier en milieu de journée, un homme a agressé son épouse avenue Eisenhower : il l’a attrapée par les cheveux, l’a traînée au sol et lui a porté des coups de pied aux jambes. Il a également brisé son téléphone, puis mis en vrac ses affaires sur le palier.

La victime se trouvait dans le hall de l’immeuble, en pleurs, lorsque les policiers sont arrivés. Mariée depuis 2019, elle avait quitté l’Algérie et rejoint son mari à Reims il y a seulement trois mois, date à partir de laquelle leur relation avait commencé à péricliter. Interpellé, l’individu âgé de 52 ans a été remis en liberté sous contrôle judiciaire après sa présentation au parquet. Il a l’interdiction de tout contact avec son épouse dans l’attente du procès.

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l’union 230104b
Feu d’appartement

Hier vers 14 h 30, un incendie s’est déclaré dans la pièce d’un appartement de la rue des Savoyards, au quartier Croix-Rouge. Il n’y a pas eu de blessé. Les communs ont été enfumés. L’origine de l’incendie, qui nécessite un relogement, reste à préciser.

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l’union 230104a
Faits divers : Ils partent réveillonner, leur maison est cambriolée

Les habitations désertées pendant les réveillons attirent les cambrioleurs. Illustration
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C’est un classique de chaque fin d’année : les cambrioleurs profitent des habitations désertées pendant la période des réveillons pour venir se servir.

Domiciliée rue Newton à Croix-Rouge, une famille s’était ainsi absentée quatre jours à compter du 24 décembre. De retour chez elle le 28 au soir, elle n’a d’abord rien remarqué d’anormal. La porte d’entrée de la maison était toujours fermée, sauf qu’au moment d’ouvrir, les occupants ont constaté que leur clé ne servait à rien : le barillet de la serrure avait été enlevé… C’est ensuite une razzia qui fut découverte à l’intérieur du logement : bijoux, montres, numéraire, stylos de marque, chaussures de sport, parfum et autre chargeur de téléphone.

Lors du dépôt de plainte, les victimes ont appris que de nombreux autres cambriolages ont été commis à la même période dans le quartier.

 

 

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l’union 230102b
Voitures brûlées

 

 

La déplorable tradition des feux de voitures pour la Saint-Sylvestre s’est poursuivie cette année encore à Reims ; la police a relevé un total de quinze véhicules incendiés, à partir de six départs de feu différents, localisés en différents quartiers de la ville.

La triste série a commencé pour les pompiers à Croix-Rouge/Croix-du-Sud, rue Raoul-Dufy, peu après 23 heures, s’est poursuivie une vingtaine de minutes plus tard à la Neuvillette, rue des Écoles, et en même temps à Croix-Rouge rue François-Legros ; peu après minuit dix, nouveau feu à Croix-Rouge, cette fois rue Joliot-Curie ; Sainte-Anne prenait le relais un peu avant une heure et demie du matin, rue Ledru-Rollin, et la série s’achevait enfin un peu avant trois heures, rue Lesage, dans sa partie haute proche de Neufchâtel.

 

 

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l’union 230102a
INSOLITE : Les réponses du quiz sur l’actu rémoise

11 Novembre : Pourquoi l’artiste Jérémy Lourmais a-t-il investi un parking abandonné de Croix-Rouge ?

A. Ksy Boomkies, de son vrai nom Jérémy Lourmais, a investi un parking abandonné de Croix-Rouge, non loin de l’hippodrome, pour y réaliser une peinture géante au sol représentant une paire de baskets. Un symbole pour celui qui a pratiqué de nombreuses années de hip-hop dans le même quartier. Pour la voir, il fallait prendre de la hauteur. L’œuvre éphémère n’était visible qu’avec un drone.

12 Décembre : Quelle température a affiché le thermomètre lors de l’entraînement du club de Judo Reims Métropole au gymnase François-Legros le mercredi 14 décembre ?

A. Dans notre édition du jeudi 15 décembre, les clubs sportifs qui fréquentent le gymnase François-Legros, quartier Croix-Rouge à Reims, dénonçaient une situation chaotique pour les licenciés, contraints de supporter des températures proches de zéro. La raison ? Un chauffage en panne depuis plus d’un mois et demi.

Le 14 décembre, jour de notre reportage, le club de Judo Reims Métropole conseillait alors aux enfants de garder un pull-over sous le judogi et de ne pas se mettre pieds nus.

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l’union 221231a
Avez-vous bien suivi l’actu ? Etes-vous incollable sur l’actualité rémoise des douze mois écoulés ?

Pour le vérifier, on vous a concocté un petit quiz. A vous de jouer !

Les réponses dans notre journal du lundi 2 janvier 2023

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l’union 221229a
Faits divers : Elle se fait arracher son téléphone dans le tram

Quand la nuit est tombée, la station de tramway de l’avenue Léon-Blum, au quartier Croix-Rouge, n’est pas toujours bien fréquentée. F.C.
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Deux vols ont été commis au même endroit du quartier Croix-Rouge le soir de Noël. La première victime s’est fait arracher son téléphone dans le tram.

Un membre de sa famille qui travaille dans les tribunaux, et de ce fait bien au courant de la délinquance locale, l’avait mise en garde : dans le tramway, il ne faut jamais sortir son smartphone ou autre objet de valeur, au risque de susciter la convoitise d’individus malintentionnés.

La demoiselle est jeune, seulement 19 ans, encore un peu naïve sur certaines choses de la vie et regrette aujourd’hui de ne pas avoir suivi les conseils de son aîné.

Coups de pied sur le voleur

La jeune femme travaille dans la zone d’activités de Bezannes et quitte tard le soir. Dimanche vers 21 heures, jour de Noël, elle prend le tramway pour rentrer chez elle au centre-ville. Elle est debout, les yeux rivés sur l’écran de son iPhone 13, lorsque la rame s’arrête à la station Léon-Blum, dans la traversée du quartier Croix-Rouge.

Les portes du tramway s’ouvrent. La passagère se trouve devant, l’attention toujours captée par l’écran, lorsqu’elle ressent une brutale traction : depuis le quai, un homme jeune portant casquette noire et jogging noir lui a saisi la main pour arracher son portable.

La demoiselle ne lâche pas tout de suite le téléphone. Elle tente de résister en donnant des coups de pied à l’individu, l’appareil tombe par terre, le voleur le ramasse et disparaît à toutes jambes entre les immeubles de la place Jean-Fragonard.

Plusieurs témoins

La scène n’a duré qu’une poignée de secondes, en présence de plusieurs témoins qui n’ont pas eu le temps – ou pas osé – s’interposer. L’exploitation des vidéosurveillances permettra peut-être d’identifier l’individu qui serait âgé de 18 – 20 ans.

Une plainte pour vol à l’arraché a été déposée. La jeune femme n’a pas été blessée, mais elle a désormais peur de prendre le tram, son seul moyen de locomotion pour aller au travail. Elle avait acheté son iPhone 13 le mois dernier.

Les voleurs d’un vélo électrique arrêtés à la même station

Toujours le soir de Noël, deux heures après le vol à l’arraché commis à la station Léon-Blum, un autre méfait impliquant trois individus a été perpétré dans le même secteur de Croix-Rouge. Le trio s’est approché d’une personne pour se faire remettre sa draisienne électrique (vélo sans pédale).

Grâce au signalement, la brigade anticriminalité a pu retrouver deux des suspects alors qu’ils semblaient attendre le tramway… à la station Léon-Blum. La draisienne était à côté d’eux, mais ce n’est pas lui, il n’a rien fait, a soutenu l’un des garçons âgé de 16 ans. Qu’a dit son comparse lui aussi né en 2006 ? Rien du tout, il a fait valoir son droit au silence.

Mis hors de cause dans le vol du téléphone (le signalement ne correspond pas), les deux jeunes gens domiciliés, l’un à Croix-Rouge, l’autre à Sébastopol, ont été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal pour enfants.

Accessoirement, l’un d’eux avait 10,6 grammes de résine de cannabis dans ses poches.

Fabrice Curlier

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l’union 221226a
LOISIRS : Un programme bien rempli

Jean Montero : « Plusieurs de nos activités continuent pendant ces vacances de Noël ». A.P.
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Même quand les écoliers se reposent, l’Acrap continue à proposer des activités dans le quartier Croix-Rouge. Et se projette déjà sur le début d’année.

Mais ils ne s’arrêtent donc jamais à l’Acrap ? À peine l’association pour l’animation et la promotion du quartier Croix-Rouge de Reims vient-elle d’organiser son arbre de Noël, honoré de la présence de plusieurs élus, dont le maire Arnaud Robinet, qu’elle se projette déjà sur le début d’année : la section gym a prévu sa galette des rois le 9 janvier et le repas des aînés, lui, est fixé au 15 janvier.

« Et il est ouvert à tous, adhérents ou pas, habitants du quartier Croix-Rouge ou non » , rappelle le président Jean Montero. La seule condition à respecter, c’est l’âge : il s’adresse à ceux qui ont au moins 65 ans. Pour ce déjeuner qui aura un goût de prolongement des réveillons, avec foie gras, Saint-Jacques, pintade farcie et autre tiramisu au menu, une participation de 22 euros est demandée. Mais il est possible de participer à l’apéro qui précédera sans bourse délier ; lui aussi est largement ouvert.

Il est recommandé de s’annoncer au préalable au 03 26 06 39 54, et c’est ce même numéro qui sert à s’inscrire au déjeuner lui-même. Attention, si pour l’apéritif le président n’annonce pas de limite, en revanche le nombre des convives qui passeront à table est limité et fixé à 70. Et si l’on regarde un peu plus loin dans le calendrier, le président Montero se réjouit de connaître déjà la date du festival des majorettes, ce sera le 3 juin ; la manifestation devrait voir converger vers Reims quelque 300 participantes.

Activités de vacances

En outre, même pendant ces vacances de Noël, les activités continuent dans les locaux de l’association à côté de l’hippodrome. Pas toutes, certes, mais quelques-unes quand même. Le président Jean Montero cite ainsi le karaté, les mathématiques, la batterie, ou encore le football et le yoga, qui peuvent donc offrir quelques moments d’occupation aux vacanciers. « La pétanque, c’est selon leur envie, les majorettes c’est pareil… » Difficile donc de savoir s’ils sont en arrêt ou pas. En revanche le stretching, le badminton, la natation, le ping-pong, la zumba, eux, honorent la trêve des confiseurs. Cela montre en tout cas la palette bien fournie de l’association qui organise en tout une vingtaine d’activités au fil de l’année, dont une école de musique que nous avions aussi déjà eu l’occasion d’évoquer. Nous venons de parler des vacances de Noël, mais même l’été l’Acrap reste active, avec des stages de danse…

Le badminton vers la compétition

À l’Acrap, celui qui s’occupe du badminton, c’est Hidir Baran. Son souci, c’est de réussir à disposer de gymnases : « Ce n’est pas facile car nous ne faisons que du loisir ». À cet égard les choses devraient sensiblement s’améliorer dès l’année prochaine, puisque l’Acrap est désormais inscrite à la fédération départementale, assure le président Montero, « ce qui fait que nous devrions pouvoir participer à des compétitions. » Et dans ce cas-là, les gymnases sont plus faciles à obtenir.

Antoine Pardessus


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