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Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge - 2008 - 1/6


 

Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

- 1er trimestre 2007

- 2ème trimestre 2007

- 3ème trimestre 2007

- 4ème trimestre 2007

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l’union080229e

Il faut sauver l’Etoile Croix-du-Sud

 

Des locaux remis à neuf, mais promis à la destruction.

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Les locaux de l’Étoile risquent d’être abattus lors des travaux de renouvellement urbain (Anru) en même temps que la passerelle et les commerces voisins. La question de l’avenir de cette structure est donc posée. « Pour l’Étoile, j’ai un vrai projet » assure Jean-Louis Rumério, administrateur, mais « il ne va pas être simple à mettre en place ».

M. Rumério ne brigue en aucune manière la présidence de l’Etoile, il est déjà président de l’association Appuis et directeur de l’association 2 Mains. Simplement, il voudrait sauver l’association en lui donnant de nouvelles orientations. Il a proposé au conseil d’administration une liste d’actions possibles pour sortir la structure de l’impasse : la trésorerie est saine, mais il reste moins de quarante adhérents !

Pour lui, il est urgent de réagir. « Si nous avons, par exemple, une centaine d’adhérents et de nombreuses activités pour tous les âges de la population, sur des tranches horaires de 9 à 23 heures, les locaux seront probablement reconstruits ailleurs. Dans le cas contraire, il ne faudra certainement pas y compter ! »

Jean-Louis Rumério souhaiterait que l’association se professionnalise, c’est-à-dire qu’elle recrute un directeur et une secrétaire salariés qui durent dans le temps quels que soient les administrateurs.

Enfin, il verrait bien, à long terme, non pas une fusion mais un rapprochement des associations voisines « 2 Mains » et Étoile Croix du sud dans un local collectif qu’il n’y aurait plus qu’à appeler « maison des associations de Croix-du-Sud » à défaut de « Maison de quartier ».

En attendant, cela bouge à l’Étoile, avec un calendrier chargé : permanence des Femmes relais à partir de ce 29 février, tous les vendredis de 9 à 12 heures, sortie du journal vers le 5 ou 6 mars, prochain conseil d’administration le 6 mars à 18 h 30, concours de belote le 8 mars organisé par Jean-Michel Gauthier et son équipe et enfin assemblée générale le 28 mars.

Un plan dynamique

Tout en maintenant et en amplifiant les activités qui fonctionnent bien (pétanque, danse, …), Jean-Louis Rumerio cite, parmi les nouvelles actions proposées, la création d’un espace accueil jeunes avec les associations « 2 Mains » et « A venir jeunes Croix-du-Sud » , la création d’un club vélo en lien avec l’association « 2 Mains » dans le local foot, un partenariat avec l’association « Appuis » pour des rencontres de travail (avec l’ANPE le matin et réunion d’information professionnelle avec le Crédit Mutuel), un vrai club actif du troisième âge, le lancement d’un journal de l’Étoile Croix-du-Sud, l’ouverture aux adultes du quartier (cuisine, couture, travaux créatifs, …).

Tous ces propositions seront débattues lors de la prochaine assemblée générale fixée au vendredi 28 mars.

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l’union080229d

Les dernières nouvelles de Croix-Rouge

 

La Poste

Un peu étonné l’adjoint Ahmed El MCherfi : « J’avais envoyé, le 14 novembre 2006, une invitation à un conseiller pour qu’il participe au Conseil de quartier Croix-Rouge/Maison Blanche du 6 décembre.

Comme il avait changé d’adresse, ce courrier m’est revenu, de Reims à Reims, le 6 février 2008, soit 1 an et 3 mois plus tard ! On ne peut pas dire que La Poste a beaucoup aidé la démocratie participative à Reims ! »

Étanchéité

L’Effort rémois vient de lancer un marché de travaux de réfection de toitures et étanchéité de 15 immeubles de son patrimoine locatif.

Dans le lot, on note l’étanchéité du 8, rue Georges-Bernanos, aux Polygones, du 8, esplanade Paul-Cézanne et du 12, place Georges-Braque, à Croix-du-Sud.

Fête des Pâques

La « fête des Pâques » de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud aura lieu samedi 29 mars. Renseignements au 03.26.06.71.96.

Entreprises

On relève la constitution d’une nouvelle Eurl au 10, rue de Rilly-la-Montagne, avec Edipro, vente à l’industrie de vêtements professionnels et de protection (Gérant : Fabrice Savarin).

Par ailleurs, la Sarl S.M.E. s’est dotée d’un nouveau gérant, Rifat Karakulah, et a transféré son siège du 11, allée Edgar-Degas (Croix-du-Sud) au 19, allée des Savoyards (Pays-de-France).

Collectif

L’assemblée générale de l’association « Collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDL.CR) prévue initialement fin février aura lieu début avril, la date restant à définir.

Vernissage

Trois classes de l’école élémentaire Gilberte-Droit participent à une classe à Projet artistique : la classe de CE1 (modelage avec Florence Kutten) et deux classes de CM (écrit avec Armelle Blary).

Le vernissage de leur exposition est prévu vendredi 21 mars de 16 heures à 17 h 45.

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l’union080229c

Pas de « risque chimique » au lycée Joliot-Curie

 

Le lycée Joliot-Curie ne devrait pas tarder à retrouver une vie normale. Il n’y a jamais eu, de toute façon, le moindre danger pour les élèves, ni pour les enseignants.

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Le proviseur, Gilles Gladieu, montre une des portes coupe-feu du lycée.

Gérard Péron

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Les pompiers avaient demandé, par précaution, la neutralisation de deux couloirs de l’établissement, en raison d’émanations gazeuses. Les hypothèses les plus folles ont couru, alors qu’il n’y avait aucun danger.

DEPUIS la reprise des cours, au début de la semaine, une effervescence anormale règne dans les locaux du lycée professionnel Joliot-Curie. Les sapeurs-pompiers ayant demandé la neutralisation temporaire de deux étages de l’établissement, la rumeur d’un « risque chimique » n’a pas tardé à enfler, alimentée par les élèves et certains professeurs et relayée par leurs parents…

Or, il s’agit tout simplement d’un banal principe de précaution, suite à l’ouverture de deux classes, la 103 et la 204, mardi dernier au petit matin, après quinze jours de vacances d’hiver, d’où émanait une forte odeur de renfermé et de moisissure, prenant à la gorge et incommodant les femmes de ménage, les détecteurs indiquant, il est vrai, une forte concentration de gaz carbonique dans ces deux locaux.

Faute de trouver immédiatement d’où provenaient ces dégagements gazeux, les sauveteurs invitaient Gilles Gladieu, proviseur de l’établissement, à condamner momentanément l’accès à ces deux salles, mais également à toutes celles des deux couloirs correspondants, et à les soumettre à une aération permanente, jusqu’à ce qu’on connaisse le résultat des analyses.

Comme une traînée de poudre…

Ne pouvant prévenir, par courrier, 700 familles, le proviseur diffusa l’information par des affichettes, au sein de l’établissement. Et les élèves furent invités à expliquer la situation à leurs parents ; notamment les raisons pour lesquelles, pendant quelque temps, il allait donc falloir jongler avec les salles de cours disponibles, une quinzaine étant indisponibles par cette mesure.

Mais, les jeunes, c’est bien connu, aiment fanfaronner. Ainsi, comme ils ne tenaient aucun compte des rubans d’interdiction d’accès, qu’avaient disposés les pompiers à chaque bout des couloirs en question, le proviseur pensa bien faire, pour les en dissuader, en placardant de grands panneaux : « Attention, risque chimique ! »

Que n’avait-il pas fait là ! En quarante huit heures, ce fut comme une traînée de poudre, à croire que la situation à Joliot-Curie, tenait de Tchernobyl et d’Hiroshima ; la folle rumeur prenant d’autant plus consistance que, mercredi matin, les pompiers revenaient dans l’établissement, à nouveau pour des odeurs suspectes, mais qui n’avaient absolument rien à voir avec l’affaire précédente, puisqu’il s’agissait, simplement, d’une surchauffe du moteur électrique dans un ascenseur (voir l’union d’hier).

En cette fin de semaine, tout devrait être rentré dans l’ordre, puisqu’il semble acquis que les mauvaises odeurs d’humidité, et les émanations relevées dans les salles 103 et 204, proviendraient tout bêtement de la décomposition de champignons sur les terrasses de l’établissement et dans les plafonds. Et qu’à aucun moment, en tout cas, il n’y a eu le moindre danger, ni pour les élèves, ni pour les enseignants, ni pour le personnel du lycée.

Voilà qui, en tout cas, aurait sûrement fait sourire le physicien Joliot Curie, qui a donné son nom à l’établissement, lui qui dirigea la construction de la première pile atomique française en 1948 !

G.G.-M.

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l’union080229b

Patinage : des résultats prometteurs pour le RAP.

 

Le club se classe 3e. La partie ne fait que commencer.

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Pour la première manche du Challenge NPCA à Dunkerque organisé dimanche 24 février, 17 patineurs en artistique du Reims Acrap patinage ont présenté leur programme. Pour certains, c’était leur toute première compétition extérieure. Grâce à de belles prestations, le RAP remporte 11 podiums.

Le beau programme de Gianni Daffini

En catégorie 2

En -8 ans, Fanny Hardy, surclassée, se classe 7e. En -10 ans, Justine Desouza finit 6e suivie de Manon Legendre 8e après deux beaux programmes.

Chez les garçons, Tom Hardy monte sur la première marche du podium pour son premier déplacement. En -13 ans, Sarah Bencheman accède à la deuxième marche du podium et Noémie Nivart prend la 3e place grâce à deux belles prestations.

En catégorie 3

En -10 ans, Juliette Wary a accompli un magnifique programme qui lui permet de monter sur la première marche du podium.

En catégorie 4

Chez les -13 ans, Maxime Baule après un programme sans faute monte sur la 2e marche, en -16 ans, Inès Martelleur termine 3e grâce à sa belle prestation et Suzan Dugois termine 5e.

En catégorie 5

En -13 ans, chez les filles, Mélanie Gabreau, surclassée, se place 4e. Chez les garçons, Gianni Daffini, surclassé également, prend la 1re place après un superbe programme. Il participera au tournoi de France minimes garçons 2e division ce week-end prochain à Nantes.

Chez les + 16 ans, Marie Blazquez termine 2e, suivie de Lucile Sarrazin 3e avec un programme très propre.

En catégorie 6

Chez les -13 ans, Justine Laroussi, surclassée, termine 4e. Elle participera au tournoi de France minimes filles 2e division à Nantes. En -16 ans, Vinciane Manceaux termine 3e.

En catégorie 7

Cécile Husson prend brillamment la 1re place.

« Pour cette première manche, le club se classe 3e. La partie ne fait que commencer, la prochaine manche se déroulera à Amiens les 8 et 9 mars : 30 patineurs artistiques seront présents ! » annonce Myriam Huet, secrétaire du Rap.

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l’union080229a

DANSE SUR GLACE / Tournoi de France 1re division Le Rap entre dans la danse

 

Pendant deux jours, la glace rémoise accueillera les candidats aux championnats de France.

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Ils seront 135 à espérer décrocher un podium ce week-end à Reims et se rapprocher ainsi d’une qualification pour les championnats de France, promise aux huit premiers de chaque catégorie. 135 venus de toute la France, d’Anglet à Belfort en passant par Le Havre, Epinal et bien sûr Reims.

Le RAP (Reims Acrap patinage), club organisateur, nourrit de légitimes espoirs de visas pour les France.

Camille Renault (minimes 1re année), a déjà remporté les compétitions du Havre et de Fontenay en solo Bronze B. Un nouveau succès à Reims la placerait en position idéale dans la course à la qualif.

La remarque vaut également pour Solène Manceaux (Novice 1re année), 1re au Havre puis 4e à Fontenay en Argent B, pour les benjamines Margaux Abib-Gruet, 2e en Pré-Bronze B en Normandie et dans la banlieue parisienne, Juliette Wary (2e et 1re) en Préparatoire ou encore Morgann Prey (3e et 2e en Pré-Bronze C).

L’objectif sera le même, mais peut-être moins facile à atteindre, pour Morgane Huet et Justine Delanois (Novices 2e année) en Argent A ou pour Eva Lemaire et Roxane Bouvet (minimes).

Le couple de benjamins 1re année, Nina Toukouk - Rena Manceaux, déjà assuré de son billet pour Morzine cherchera à améliorer ses 3es places du Havre et de Fontenay (Pré-Bronze) et à prendre date pour la saison prochaine.

* Le titre des solos sera attribué à Epinal, celui des couples à Morzine en avril.

Demain : de 9 heures à 20 h 15 ; dimanche : de 7 h 30 à 17 heures.

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l’union080228a

Odeur suspecte à Joliot-Curie

 

Les sapeurs-pompiers ont été appelés, hier matin, vers 8 heures, pour une odeur suspecte décelée dans l’enceinte du lycée Joliot-Curie.

Après inspection des lieux, il s’est révélé qu’il n’y avait pas de danger pour les élèves.

Il ne s’agissait que d’une surchauffe d’un transformateur, dans un ascenseur.

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l’union080227d

Joliot-Curie : grève suivie par 100% des enseignants

 

Aucun élève ne s’est présenté en cours hier matin, et pour cause…

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Hier, la grève a été massivement suivie au collège Joliot-Curie, puisque 100 % des enseignants ont cessé le travail. Ils dénoncent un « profond malaise ».

« JOLIOT-CURIE en colère », annonçaient hier les banderoles apposées sur les grilles du collège situé dans le quartier Croix-Rouge. Aucun élève ne s’est présenté hier matin en cours, les parents avaient été prévenus du préavis de grève la veille.

Et le mouvement a été très suivi : 100 % des enseignants ont cessé le travail, ainsi que les assistants pédagogiques et d’éducation et le conseiller d’éducation.

Les manifestants entendaient protester contre ce qu’ils considèrent comme une « détérioration grave » de leurs conditions de travail, alors que l’établissement est classé en « Réseau ambition réussite ».

Ils revendiquent un poste de conseiller principal d’éducation (CPE) supplémentaire, ainsi que des moyens pour travailler avec des groupes d’élèves plus restreints (l’union des 23 et du 26 février).

Les mêmes chances que les autres

Ils dénoncent un problème de postes alloués et non pourvus, mais vont plus loin dans leur analyse de la situation. « Nous avons des élèves en difficultés scolaires », explique un représentant des grévistes, « et qui ont aussi des difficultés à intégrer les règles de vie scolaire. C’est lié au contexte économique et social du quartier. Nos élèves n’ont que l’école pour apprendre l’école. Il leur faut donc « plus d’école » pour qu’ils aient les mêmes chances que les autres enfants ».

Les enseignants se plaignent de « journées et de semaines très difficiles » car « nos élèves ont tendance à se démotiver. Ils peuvent entrer en conflit avec les enseignants. On craint toujours l’accident… ».

Un enseignant raconte : « Chaque jour, je me fâche 5 à 6 fois avec mes élèves, des vraies colères, des fausses, des petites et des grosses. Mais quand seulement 5 élèves sur 20 ou 25 ont fait leurs devoirs par exemple, il faut bien marquer le coup ».

Autre plainte d’une enseignante : « Nos élèves se résignent à ne pas faire d’études supérieures. Nous ressentons une vraie frustration car notre mission première d’éducation n’est pas celle que nous remplissons le mieux… ». Et de fustiger aussi la « marque Joliot-Curie », des « réflexions subies par les jeunes inscrits dans d’autres établissements du fait qu’ils viennent de Joliot-Curie. »

Et selon un professeur, « c’est aussi un problème pour les élèves qui suivent bien et qui ont de l’ambition, car nous ne pouvons pas faire notre maximum avec eux ».

Hier, les enseignants ont massivement « tiré la sonnette d’alarme ». Ils annoncent que si leurs revendications ne sont pas entendues, un nouveau préavis sera déposé vendredi ou lundi prochain pour une autre journée de grève.

Patricia Buffet

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l’union080227c

Région : Lycées Armand-Malaise et Arago visent l’excellence

 

« Trop de parents hésitent à placer leurs enfants chez nous au motif que le quartier leur paraît moins prestigieux », estime le proviseur du lycée Arago à Reims.

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LES lycées de banlieues ne sont pas condamnés à l’échec scolaire. Pour lutter contre cette réputation tenace, la secrétaire d’État chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, a lancé le plan « Espoir Banlieues ». Y figure la labellisation de 30 lycées en « pôles d’excellence ».

Compte-tenu de sa démographie, l’académie de Reims pouvait en espérer un seul. Elle en a finalement deux : le lycée polyvalent François-Arago de Reims et le lycée professionnel Armand-Malaise de Charleville.

Contrairement à ce qu’on pouvait en attendre, cette labellisation n’est pas assortie de moyens supplémentaires. « Même si elle justifie qu’on leur en donne », précise prudemment le recteur d’académie, Alexandre Steyer, qui présentait le dispositif hier.

L’objectif est plutôt d’améliorer l’image des établissements, voire de la conforter.

C’est le cas du lycée François-Arago (742 élèves), au cœur du quartier Croix-Rouge de Reims. L’établissement s’est taillé une solide réputation dans les métiers du bâtiment et travaille notamment à l’élaboration d’un béton de chanvre en lien avec le pôle de compétitivité agro-ressources. Il accueille aussi les sportifs de haut niveau du Creps.

Résultat : Arago recrute 80 % de ses élèves à l’extérieur de la Marne. « Mais localement, trop de parents hésitent à placer leurs enfants chez nous au motif que le quartier leur paraît moins prestigieux. La labellisation n’est pas seulement une garantie de réussite, c’est aussi une reconnaissance », estime le proviseur Michel Gagneux.

Le nouveau label vise aussi à mieux afficher l’intégration du lycée au cœur d’un maillage pédagogique qui regroupe classes primaires, collège, fac et école de commerce. « Au point qu’il est envisageable d’ouvrir au sein même de l’établissement des licences professionnelles en lien avec l’université », explique le recteur.

À Charleville, les enjeux sont différents
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Dans le quartier de la Ronde-Couture, le lycée professionnel Armand-Malaise tente de tirer son épingle du jeu en dépit d’un contexte économique difficile. Un tiers de ses 656 élèves sont issus du quartier.

L’établissement s’est spécialisé notamment dans les métiers de la maroquinerie. Photo d’archives

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L’établissement s’est spécialisé dans les métiers du bâtiment, de la sécurité et de la maroquinerie. « La labellisation est l’occasion de réfléchir à l’aménagement de filières complètes dans tous les métiers, du CAP au bac pro et pourquoi pas au BTS », explique le proviseur Jean-Michel Laurent.

L’embauche, chaque année, d’une douzaine de titulaires du CAP maroquinerie à « la Maroquinerie des Ardennes » de Bogny-sur-Meuse (filiale d’Hermès) n’est pas la moindre fierté de l’établissement. « Une autre marque célèbre de vêtements nous a également contactés », ajoute M. Laurent sans toutefois révéler laquelle.

La labellisation « pôle d’excellence » préfigure une démarche identique pour obtenir cette fois le label « lycée des métiers ». « D’ici la prochaine rentrée, tous ces projets devront être formalisés. Mais dans tous les cas, nous serons accompagnés », conclut le proviseur.

Autrement dit, si nécessaire, les moyens — pédagogiques notamment — devraient suivre. Rendez-vous en septembre.

Gilles Grandpierre

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l’union080227b

Un raid-rallye pour pratiquer du multisport

 

Etaient au programme le roller, le lancer des anneaux ou encore le tir à sarbacane.

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Ils ont entre 9 et 15 ans. Et ils viennent de participer les 21 et 22 février à un raid-rallye organisé par la Maison de quartier Croix Rouge dans deux endroits distincts : les gymnases Provençaux et Joliot-Curie.

« L’idée est de proposer chaque jour un sport. On est axé sur le loisir. Le sport est l’une des composantes de nos animations. Ce n’est pas la performance que nous recherchons, on veut offrir aux enfants un moment de convivialité, un vivre ensemble », expliquent Laurent Tonnellier et David Gameiro, animateurs.

Pour ces deux jours étaient au programme le roller, le lancer des anneaux ou encore le tir à sarbacane. « Pour les ateliers, on part sur la compétence des animateurs, également sur le matériel dont on dispose. Il y a aussi des envies des gamins.

Les parties durent vingt minutes pour pouvoir faire la rotation de tous.

Ce qui est difficile, c’est la mise en place de l’organisation », notent Laurent Tonnellier et David Gameiro.

 

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l’union080227a

Deux couteaux dans les poches

 

Lundi vers 21 heures, un jeune homme de 19 ans, qui avait tenté de se dissimuler à leur vue, a été interpellé par des policiers des sections d’intervention, sur l’esplanade Taittinger.

Il avait des raisons de craindre un contrôle car il était porteur de deux couteaux de type « papillon ».

Il fera l’objet d’une composition pénale le 25 mars et a dû s’acquitter d’une amende de 200 €.

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l’union080226d

Des nouvelles du Net à Croix-Rouge

 

Le blog du Point Cyb :

Le site www.reimsqcr.org qui aurait pu être celui de tout le quartier Croix-Rouge a rendu l’âme, faute de soins.11a donc été supprimé. En revanche, Franck Simon annonce la naissance du site du Point Cyb de la Maison de quartier Croix-Rouge, implanté à La Nacelle : www.espacenumeriquecroixrouge.blogs...

Le site du RAP :

Le site officiel du Reims Acrap patinage, avalisé par le bureau du club, est http://www.reims-acrap-patinage.com, avec accès intégré à deux blogs internes : danse sur glace et patinage artistique.

L’ancien site http://clubrap. free.fr n’est plus alimenté depuis 2004, il convient de le supprimer des listes.

Enfin, un adhérent a créé, en janvier, un autre site personnel sur le RAP : http://www.reims-patinage.com

Le site du Collectif :

Fabrice Lopez a créé un site spécialement consacré au Collectif des locataires Croix-Rouge, le CDL-CR dont les informations ne sont plus mélangées aux informations poli¬tiques de son premier site. Il suffit maintenant de se rendre sur www.cdlcr3.spaces.live.com

Le site de Twister :

membre du groupe local « Marchands 2 Lyrics », Twister vient de sortir son premier album solo de 20 titres : « Sur mes gardes ».

On peut découvrir les actualités de cet artiste sur le site http://www.myspace.com/twister51100

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l’union080226c

Grève à Joliot-Curie : la direction du collège réagit

 

Ce mardi, les personnels du collège Joliot-Curie ont déposé un préavis de grève (l’union du 23 février).

L’équipe de direction du collège et l’Inspection académique soulignent que « l’évolution de l’éducation prioritaire annoncée en 2006 a conduit à la création de nouveaux moyens dans les réseaux ambition réussite. Chaque réseau a bénéficié de 4 professeurs référents et de 12 assistants pédagogiques supplémentaires remplaçant avantageusement les 15 heures préalablement attribuées aux collèges classés ZEP ».

Pour le collège Joliot-Curie, ce sont « trois enseignants à plein temps et cinq assistants pédagogiques qui s’ajoutent à la dotation horaire de base. »

Les assistants pédagogiques interviennent dans les classes « pour la mise en œuvre d’aides spécifiques aux élèves en difficulté et prolongent en fin de journée l’aide aux devoirs par petits groupes. » Les professeurs référents interviennent quant à eux « la moitié de leur temps devant les élèves dans leur matière (maths, français, histoire-géo). Le temps ainsi dégagé est utilisé pour agir auprès de groupes restreints. »

« Engagements pris »

Le choix de l’équipe de l’établissement « validé en conseil d’administration, porte depuis plusieurs années sur les matières scientifiques. 29 heures par semaines sont utilisées pour des travaux en petits groupes. »

À l’issue de la rencontre avec les représentants du recteur, le 8 février, « deux engagements ont été pris : la non affectation d’élèves exclus d’autres établissements jusqu’en juin 2008 et l’attribution supplémentaire d’un poste d’assistant pédagogique pour le travail au sein des classes ».

Et d’ajouter que depuis la création des réseaux ambition réussite, « un accompagnement régulier des corps d’inspection est effectué et un groupe de travail composé de la direction, d’enseignants et d’inspecteurs a retenu le principe d’une formation pour accompagner l’équipe dans sa recherche et sa conduite de réponses pédagogiques adaptées. »

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l’union080226b

A Croix-du-Sud, un papier qui coûte cher

 

Le bureau de l’Étoile est très rigoureux dans sa gestion.

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Dans notre article du 13 février sur les jardiniers de Croix-du-Sud, nous écrivions, dans la bouche du président Georgy Weiler : « Une mésentente avec l’association Étoile Croix-du-Sud a fait perdre beaucoup ».

Le président de l’Étoile Croix-du-Sud, Pierre Agisson a apporté des précisions.

Son association n’a pu fournir la salle associative aux Jardins familiaux de Croix-du-Sud pour l’arbre de Noël en l’absence de réservation écrite : il faut un document papier chaque année, même s’il s’agit d’une tradition établie depuis toujours.

A l’Étoile, on ne plaisante pas avec la paperasse : « Dans ce cas précis, les Jardins familiaux ne se sont pas présentés au secrétariat au cours de l’année 2007, afin d’effectuer les démarches de réservation obligatoires, ni pour l’arbre de Noël, ni pour l’assemblée générale », précise le président.

Dans cette querelle, les jardiniers auraient, selon leur président Georgy Weiler, perdu 1.000 euros. Bonne nouvelle : « Pour que ce genre de problème ne se renouvelle plus, les réservations des manifestations de la prochaine saison des jardiniers sont, à ce jour, effectuées », assure Pierre Agisson.

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l’union080226a

AVIS DE MODIFICATION D’OBJET SOCIAL

 

Société ELECTRIC SYSTEME

Société à responsabilité limitée au capital de 10.000 euros

Siège social : 31, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims*

R.C.S. 4975797550Q16

L’assemblée générale tenue le 20 février 2008 a décidé de modifier l’ob¬jet social à compter du 20 février et de modifier en conséquence l’article 2 des statuts.

Corrélativement, l’avis précédemment publié, relativement à l’objet social est ainsi modifié.

Article 2 : électricité générale, installation d’alarme, de caméras vidéos, surveillance, le câblage informatique et la téléphonie.

Nouvelle mention : électricité générale, l’alimentation générale et la restauration.

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l’union080225c

Feux

 

Feux de scooter et de voiture

La nuit dernière, vers 0 h 30, un scooter en stationnement a brusquement pris feu, à la hauteur du 13 avenue général Bonaparte.

….

Feu dans un local à poubelles

Samedi soir, vers 21 h 45, les sapeurs-pompiers sont intervenus 7 allée des Limousins, pour un feu qui s’était déclaré dans un local à poubelles.

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l’union080225b

Comment éviter les accidents domestiques

 

Des familles attentives.

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Oumkeltum Fedaïli, référent familles, a présenté une exposition sur les accidents domestiques à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Prêtée par la Sécu, cette expo se présente sous forme de panneaux : les symboles et les numéros d’appel de sécurité et les différents risques qui menacent les enfants.

Des jeux et une piste de l’oie complètent les explications d’Oum.

Les parents sont invités à remplir un questionnaire de contrôle et un diplôme de prudence est attribué aux enfants à l’issue de leur visite.

 

 

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l’union080225a

Cuisine de tous pays à l’espace Billard

 

 

 

A l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, un atelier cuisine

est organisé en direction des enfants.

Hakima Abbad, animatrice du centre de loisirs explique « En collaboration avec la Maison de quartier Chàtillons, nous allons à la découverte des cultures des pays des uns et des autres.

Le matin, nous proposons des jeux et l’après-midi des recettes.

 

 

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VRI février - mars 2008

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 244 de février - mars 2008

 

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COHÉSION SOCIALE : Des projets citoyens

 

A Reims, le dispositif C.U.C.S. concerne 13 quartiers rassemblant plus de 53 000 habitants.

La programmation 2008 du Contrat Urbain de Cohésion Sociale (C.U.C.S) devrait permettre à plus de 150 projets de voir le jour.

Il y a un peu plus d’un an, la Ville de Reims signait avec l’Etat et plusieurs partenaires l’un des tout premiers Contrats Urbains de Cohésion Sociale en France.

Enjeu de ce dispositif : agir plus efficacement en direction des quartiers fragiles et renforcer leur intégration à l’ensemble de la cité à travers des actions dans des domaines variés. En 2007, 154 dossiers acceptés dans le cadre du C.U.C.S ont mobilisé 1,8 million d’euros.

Outre les initiatives accompagnant les habitants lors des opérations de renouvellement urbain ainsi que les actions de prévention de l’insécurité, « nous allons nous focaliser cette année sur l’accès à l’emploi » insiste l’adjoint au Maire délégué à la Cohésion Sociale. Le retour des personnes vers l’emploi est confié à l’association “Deux Mains”. Implantée sur Croix-Rouge, elle a été totalement financée dans le cadre du C.U.C.S afin d’assurer son démarrage.

L’éducateur missionné doit se rendre au devant des jeunes n’intégrant aucune structure et les suivre très concrètement jusque dans leur quotidien. Nombreuses sont en effet les difficultés (famille, logement, éducation, santé…) qui peuvent entraver l’insertion professionnelle.

Lutte contre les discriminations

Indissociable de cette démarche, la lutte contre les discriminations constitue un second axe prioritaire, en particulier en matière d’embauche.

Noémie Michelin

Une chargée de mission a été recrutée à cet effet en août 2007. « Une étude territoriale commandée par l’Agence de cohésion sociale pour l’égalité (ACSE) a mis en relief l’existence de pratiques discriminatoires. Ma mission a été d’établir un plan de lutte contre les discriminations notamment dans le domaine de l’emploi, en liaison avec nos partenaires (SIAM, HALDE, LICRA…) », explique Noémie Michelin, chef de Projet à la Direction de la Cohésion Sociale de la Ville de Reims. Le projet établit quatre pistes de travail.

La première concerne la formation des acteurs. « L’objectif est de développer un langage commun des pratiques de lutte contre les discriminations basées sur un axe légitime que sont les lois et les politiques de lutte contre les discriminations », souligne Noémie Michelin.

Les autres volets s’intéressent à la prévention mais aussi à l’accueil et à l’accompagnement des victimes.

Enfin, Noémie Michelin propose d’associer les entreprises à son plan d’action. « Discriminer, c’est commettre une erreur en terme de gestion des ressources humaines puisque c’est se priver de compétence », insiste-t-elle.

A l’initiative de la Ville, plusieurs grandes entreprises ont signé une charte de la diversité pour encourager les entreprises à lutter contre les discriminations et à refléter dans leur effectif l e s d i v e r s e s composantes de la société française.

 

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Sylvie Brin : un bol d’air à la portée de tous

 

Vous la connaissez.

A l’Espace Billard où elle est secrétaire, c’est elle qui vous accueille et ne manque jamais de vous renseigner.

Son temps libre ? Il est bien rempli et dédié aux autres. Elle initie à la broderie et au point de croix.

Dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale, elle participe à l’atelier “L’enfant et son environnement”.

Mais Sylvie, riche d’une formation de guide nature, a choisi d’aller plus loin. Depuis l’an passé, elle apprend aux citadins à regarder, à entendre, à s’émerveiller. Avec “Bol d’air”, ses sorties nature, elle a fidélisé une vingtaine de personnes. De quoi favoriser les relations entre générations et la mixité sociale et culturelle.

« Regarder autour de soi, reconnaître des arbres, voir des animaux… Chacun redevient attentif et se passionne », dit Sylvie qui nous livre une autre clé de sa réussite :

« Je suis du quartier : ça aide à faire passer un message. »

Renseignements : 0326080878.

 

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Dans les coulisses de Croix-Rouge s’Affiche

 

Croix-Rouge s’Affiche est plus qu’un rendez-vous, c’est le projet à partager pour un quartier qui s’affirme au-delà de son périmètre.

Placé sous la direction de José Mendes, homme de théâtre, metteur en scène et illustrateur, ce festival va s’étaler tout au long de l’année afin de susciter rencontres et échanges entre associations et habitants.

Bien sûr, il y aura un point d’orgue que vous pouvez déjà mémoriser : du 7 au 11 mai prochain. « Nos concitoyens étant de plus en plus sensibles à la notion de développement durable, c’est sur ce thème que nous avons commencé de travailler » dit José Mendes, précisant qu’en plus d’un concert prévu avec une tête d’affiche (surprise…), un spectacle d’une quarantaine de minutes mobilisant 13 chanteurs et danseurs (des jeunes plein de talent recrutés par casting sur le quartier) est en préparation. « L’idée est d’offrir une vision panoramique de l’évolution de l’être humain en tant que consommateur ».

En partenariat avec des écoles intéressées, des plasticiens préparent, à base d’éléments recyclés, des décors mobiles. Pensé à l’échelle de Reims, Croix-Rouge s’Affiche pourrait en effet faire l’objet d’une mini-tournée…

 

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Au revoir, Eric !

 

© C. Caron

Lorrain d’origine, Eric Krzywda nous quitte pour le Gard où il a pris la direction d’un centre social.

C’est en 1998 qu’il avait succédé à Dominique Mansuy à la tête d’Ethnic’s avant de prendre la direction de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Tous ses amis du quartier où il a initié le festival Croix-Rouge s’Affiche ont salué en Eric Krzywda le professionnel et l’humaniste.

Nul doute qu’il va se consacrer à ses nouvelles responsabilités avec autant de passion.

Ici-même, c’est Yves Pringault qui succède à Eric.

 

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Pour piétons et 2 roues

 

Un site mixte destiné au cheminement des piétons et des cyclistes doit être créé de chaque côté de l’avenue François Mauriac entre l’avenue Bonaparte et le giratoire situé “Chemin D 6 de Reims” (en direction de Bezannes).

 

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Réaménagements

 

Ce premier trimestre, la Direction de la Voirie a programmé le réaménagement de la chaussée et des trottoirs avenue du 18 juin 1940 (entre la rue du Havre et la ligne SNCF) ainsi que le réaménagement de la rue du Havre pour la partie comprise entre l’avenue de Dunkerque et l’avenue du 18 juin 1940.

De même, le virage rue Royer et rue Pierre Taittinger est repensé pour faciliter le croisement des véhicules et la giration des bus

 

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La mairie plus près de chez vous

 

Antenne municipale Croix-Rouge,

1 rue Joliot-Curie, tel 0326356020.

 

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C’est le marché !

 

Mercredi, marché Croix du Sud, esplanade Paul Cézanne, samedi, marché Croix- Rouge, rue Pierre Taittinger (parking municipal).

Les marchés ont lieu de 6 h à 13 h du 1er octobre au 31 mars et de 5 h à 13 h du 1er avril au 30 septembre.

Les marchés tombant un jour férié sont maintenus, sauf à la Toussaint, à Noël et au Jour de l’An.

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l’union080224a

Futsal : les jeunes en tournoi

 

Un tournoi de futsal a été organisé, à l’initiative de la Maison de Quartier Maison-Blanche, regroupant une soixantaine de jeunes issus de cinq maisons de quartiers : Châtillons, Claudel, Croix-Rouge, Maison-Blanche et Wilson.

L’équipe de la MQ Croix-Rouge s’est classée première, suivie de celles des Châtillons et de Maison-Blanche.

La coupe du fair-play revient à l’équipe de Claudel. Un concours de tirs au but a été remporté par Youssef Elkarkouri de la MQ Claudel.

Le tournoi s’est terminé par un goûter réunissant tous les participants.

 

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l’union080223e

Les habitants des quartiers à rénover se sentent méprisés

 

Plusieurs habitants de Croix-Rouge ont appris dans le journal que leur immeuble était voué à la démolition. Ils ont le sentiment que tout est décidé dans leur dos.

« J’ai appris, en lisant le journal, que l’immeuble dans lequel j’habite depuis plus de vingt ans allait sauter et que j’allais devoir déménager ! », a lâché un locataire du Foyer rémois, lors de l’assemblée générale des locataires de Pays de France qui s’est tenu mardi soir.

Une partie des habitants de Croix-Rouge a, semble-t-il, mal pris d’apprendre dans la presse le devenir de leur quartier. « Les bailleurs et la ville font tout en cachette : aucune information n’est donnée aux habitants ! », a lancé un autre.

« Si on ne communique pas pour le moment, c’est parce que nous attendons que la convention avec l’État soit définitivement signée et ce n’est pas encore le cas », fait savoir le Foyer Rémois. « Normalement le projet se déroulera comme il a été prévu mais au dernier moment, l’État peut nous demander de changer une adresse et de démolir ce bloc plutôt qu’un autre. C’est pourquoi nous préférons attendre pour prévenir les locataires ».

Du côté de l’Effort Rémois, on fait valoir que l’information sur le renouvellement urbain « incombe d’abord à la mairie de Reims ». Quant à Reims Habitat, il refuse tout bonnement de répondre à nos questions.

Enfin la ville observe le silence le plus total. Malgré de multiples demandes, il a été impossible d’obtenir un interlocuteur sur le sujet.

« Nous ne pouvons communiquer avant la mairie »

Les habitants se sentent méprisés. Du coup les candidats à la mairie en profitent pour combler le vide. Présentes à la réunion, Adeline Hazan et Catherine Vautrin ont assuré que si l’une ou l’autre était élue, cette situation changerait : il y aura « de vrais conseils de quartiers, une priorité donnée aux quartiers, une information régulière et la participation active de la population aux décisions concernant leur quartier ». Ce ne sera pas du luxe, ont estimé les personnes présentes.

C.F.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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La gauche dénonce un projet qui n’a pas été discuté

 

« ANRU ou jeu de massacre ». C’est ainsi que Michel Guillaudeau, conseiller municipal communiste, a baptisé le projet de renouvellement urbain tel que la majorité municipale l’a « fomenté ». « Les habitants vont perdre de nombreuses places de parking, vont perdre des espaces de jeux et des espaces verts ». L’élu dénonce un gâchis lié aux démolitions annoncées : « Je constate que le local d’Étoile Croix du Sud, les locaux administratifs de la maison de quartier Croix-Rouge et le CREF (centre de recherche d’études et de formation) vont être rasés. Démolir est-elle la meilleure solution ».

Michel Guillaudeau souligne également que plusieurs terrains vont être cédés à la Foncière Logement « pour la somme symbolique d’un euro, soit pour le même prix d’un ticket de bus. Pour une ville endettée qui manque de foncier le cadeau est énorme ».

Il constate aussi qu’il y aura davantage de logements sociaux détruits que construits : « Où vont aller les familles modestes ? Nous craignons qu’elles soient envoyées à la campagne loin de tout moyen de transport ».

Enfin, le communiste soupçonne le maire de reconstruire des logements plus hauts à Croix-Rouge qu’ailleurs : « Actuellement le plan d’occupation des sols fixe à 15 mètres la hauteur maximale des constructions à Reims. Dans le projet de plan local d’urbanisme proposé par le maire, cette hauteur est portée à 20 mètres pour le seul quartier Croix-Rouge. Vous avez dit aérer ! ».

Quant aux socialistes et à leurs amis verts ils dénoncent principalement le manque de concertation du projet de rénovation urbaine.

C.F.

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l’union080223d

Grève au collège Joliot-Curie mardi prochain

 

Une grande partie des personnels du collège Joliot-Curie (quartier Croix-Rouge) devrait être en grève mardi 26 février. Suivant un appel des sections syndicales FSU et SGEN-CFDT de l’établissement, les enseignants réunis en assemblée générale le 5 février et auxquels s’étaient jointes d’autres catégories de personnels, ont décidé du mouvement de grève à l’unanimité. Un nouveau vote unanime a confirmé la décision le vendredi 8 février après « une entrevue qui n’a débouché sur aucun élément concret avec le rectorat ».

Les personnels du collège entendent notamment protester contre « la grave détérioration de leurs conditions de travail » en réseau de « réussite éducative ».

L’établissement est classé « Ambition réussite » et, comme l’explique un représentant des enseignants, « dans ce cadre, nous avons obtenu en théorie quatre « professeurs supplémentaires » qui n’ont pas tous été pourvus. Mais on nous a dans le même temps retiré 15 heures d’enseignement. On nous donne d’une main ce qu’on nous reprend de l’autre ».

« Reconnaissance de leur travail »

Les grévistes demandent « un poste de conseiller principal d’éducation supplémentaire pour répondre plus efficacement aux nombreux problèmes quotidiens de la vie scolaire permettant de mettre en place d’autres solutions que les seules sanctions ».

Ils réclament aussi « des moyens horaires supplémentaires pour nous permettre d’être plus efficaces avec des groupes restreints pour un meilleur suivi des élèves ». Enfin, les grévistes aimeraient « une meilleure reconnaissance » de leur travail car ils estiment que « l’inspecteur du rectorat qui suivait notre collège a ignoré nos difficultés et a jugé notre investissement insuffisant sans s’être donné la peine de nous rencontrer ».

Lundi, un courrier sera donné aux élèves par les enseignants afin d’alerter les parents sur le mouvement de grève. Normalement, un accueil doit être assuré pour les élèves.

P.B.

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l’union080223c

Scène ouverte à Pôle sud musique.

 

Un bœuf avec les groupes Krisis et Rescusi-Ann.

- Agrandir la photo

Pôle sud musique, le réseau Musiques actuelles amateurs des Maisons de quartier de Reims, organise une nouvelle « Scène ouverte du réseau » vendredi 29 février à partir de 20 heures à la Maison de quartier Jean-Jaurès, espace Le Flambeau, 13 rue de Bétheny.

Boris Claudel, coordinateur, explique : « Cette soirée sera pour nous l’occasion de présenter l’actualité du réseau Pôle sud musique, le nouveau site Internet, les cycles de formations, le dispositif Jeunes talents 2008, et l’activité de chacun des membres du réseau, notamment celle de l’espace Le Flambeau, nouveau venu dans le réseau ».

Les musiciens et groupes du réseau proposeront ensuite un bœuf musical, avec entre autres, la participation des groupes Krisis et Rescusi-Ann.

Renseignements : Pôle sud musique, Maison de quartier Croix-Rouge, 1 allée des Picards (Tél. 03.26.86.10.71.) et sur le site Internet www.polesudmusique.com

 

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l’union080223b

Football : les Atlatistes, 3e du championnat district Marne

 

La cohésion du groupe, le physique… : tels sont les ingrédients qui seront au cœur de la deuxième phase.

- Agrandir la photo

Le FC Atlas signe la fin de sa trêve hivernale par un somptueux résultat : 4-1 contre Neuvi-sur-Pont dans le cadre de la coupe promo club. S’agissant du district Marne de foot, troisième série, les Atlatistes sont classés 3e avec 28 points.

« Nous avons le même objectif c’est-à-dire assurer la montée pour la deuxième série. Pour cela, il faut que nous ayons la première ou la deuxième place », indique Hichem Boussoufi, président.

« Le niveau du championnat est très bon, il y a de la concurrence et un bon esprit de foot. Nous avons un effectif hétérogène, car le début de saison a été marqué par l’arrivée de quelques nouveaux. Ce qu’on va accentuer pour la deuxième phase, c’est la cohésion du groupe, le mental et le physique. Nous voulons jouer et gagner tous les matches. Les équipes que nous rencontrons ne sont pas imbattables. »

Ils sont dans la même poule que Bazancourt, Baumont-sur-Vesle. Le prochain match à l’extérieur les opposera à Dontrian.

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l’union080223a

Conférences sur« la démocratie municipale »

 

La démocratie locale est-elle une réalité ? Question d’actualité.

Le sociologue rémois Michel Koebel, maître de conférence à l’université, auteur du livre « Le pouvoir local ou la démocratie improbable » s’attachera à y répondre à l’occasion de deux conférences animées Par Didier Lahaye, autre sociologue :

- le samedi 1er mars à 15 heures à la médiathèque Croix-Rouge

- et le jeudi 6 mars à 18 h 30 à la médiathèque jean-Falala, face à la cathédrale.

Entrée libre.

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L’hebdo du vendredi- n° 66 - 080222

Eau chaude non potable à “Pays de France” !

Des consommateurs dans l’expectative.

 

Trois ans pour une expertise d’eau ?

- Agrandir la photo

Selon le compte rendu d’un rapport d’expertise datant du 5 décembre 2007, l’eau chaude distribuée dans les appartements du secteur “Pays de France” ne serait pas potable. Cette eau présenterait des taux de zinc et de fer trop élevés, c’est en tout cas l’information révélée par l’avocat Serge Pugeault lors de l’assemblée générale de l’association « Et Croix Rouge ? Comité Pays de France » du mardi 19 février.

Si d’un point de vue strictement réglementaire, l’eau chaude n’a pas à être potable, les habitants doivent savoir qu’ils ne doivent pas en consommer (ni en boire, ni cuisiner avec, ni faire du café ou du thé…) mais seulement l’utiliser pour se laver.

En pleine campagne électorale, cette nouvelle tombe à pic quand on sait que Serge Pugeault, en plus d’être l’avocat de l’association « Et Croix Rouge ? Comité Pays de Fance » est colistier d’Adeline Hazan…

Le rapport officiel n’a pas encore été déposé. Mais le plus gênant est peutêtre ailleurs. En effet, cette expertise a été ordonnée par le Tribunal d’instance de Reims le 5 juillet 2004 lors d’une affaire opposant l’association et la société HLM Foyer Rémois sur une série de désagréments concernant le chauffage des appartements et leur alimentation en eau.

Il aura donc fallu plus de 3 ans pour obtenir les conclusions de cette expertise ! Pendant tout ce temps, les habitants ont donc continué sans le savoir, à utiliser de l’eau chaude non potable…

Où est donc passé le fameux principe de précaution ?

J.D.

l’union080222b

Porte brisée : il nie

 

Mercredi, à 2 h 15, le service d’intervention du commissariat de police de Reims a été appelé car une vitre avait été brisée dans le hall d’un immeuble de la place Auguste-Rodin.

Un jeune homme a été désigné par un témoin comme étant l’auteur du bris de vitre.

Agé de 22 ans, le jeune homme aurait reconnu qu’il y avait eu une altercation mais il a nié toute dégradation.

Il a tout de même reçu une convocation pour l’audience du tribunal correctionnel en date du 5 juin.

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l’union080222a

Poubelles en feu

 

Mercredi, vers 21 h 30, un feu de poubelles a été signalé au 59 esplanade Général-Eisenhower.

Les sapeurs-pompiers ont éteint les flammes à l’aide d’une lance.

Puis vers 23 heures, ils sont à nouveau intervenus sur l’esplanade, cette fois au n° 65, pour un nouveau feu de poubelles qui a été rapidement maîtrisé.

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l’union080220h

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Avant-propos. Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant arti¬cles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du Code des marchés publics.

3. Objet du marché : marché de maîtrise d’ceuvre : travaux de création et de transformation d’ouvrages d’infrastructure quartier Croix-Rouge à Reims.

4. Délai global d’exécution : 36 mois.

5. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.R (voir règlement de consultation).

6. Critères d’attribution : prix : 60 % ; valeur technique : 40 %.

7. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAM¬PAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site www.reims¬habitat.fr

8. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes techniques et spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.14, fax 03.26.48.43.40.

9. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.

10. Date limite de remise des offres : lundi 31 mars 2008 à 17 heures.

11. Date d’envoi de l’avis à la publication : le vendredi 15 février 2008.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080220g

Sortir, Paroles. Du 3 au 16 mars 2008, la poésie est à l’honneur dans toute la France. Soufflez un poème :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » : 18 AU 24 FÉVRIER 2008 - N° 7225

 

Dix ans d’une manifestation nationale pour redonner à la poésie une présence dans l’espace public et offrir à chacun la possibilité d’y accéder. Dix ans du « Printemps des poètes ».

Pendant 15 jours, ce sont des milliers de personnes qui rencontrent la poésie et les poètes, en France, mais aussi à travers 60 pays, grâce à de nouveaux moyens de transmission simples et originaux : brigade d’intervention poé¬tique, poésie en appartement, apéro-poésie, livreurs et souffleurs de poèmes…

Grande mobilisation nationale le 7 mars 2008 avec « Le grand jour du poème à l’autre » : l’enjeu est d’offrir un poème, peu importe sa forme, peu importe quand ou à qui…

A télécharger sur le site : « L’Éloge de l’Autre » de Tahar Ben Jelloun, « L’Autre » d’Andrée Chedid, « L’Autre est un je » de Claude Albarède ou autre… Tout poème s’adresse à quelqu’un, en ce sens, le printemps des poètes est une invitation à partager, à aller à la rencontre de l’autre et de ses différen¬ces. Ce sera la fête de la poésie dans les postes, les gares, les hôpitaux, les Fnac, dans des journaux, à la radio…

Dans la Marne, Reims participe à la fête avec, entre autres, « L’Afrique est en nous », poésie et musique à la médiathèque Jean Fal¬lala le 4 mars à 19 h 30.

Le 7 mars, Laurent Fourcaut tiendra une conférence pour « Entrer dans la poésie française contem¬poraine », à la médiathèque Croix-Rouge à 19h 30.

Samedi 8 mars, à la bibliothèque Carnegie à 15 heures, Michel Mourot et Olivier Barbarant uniront leurs voix pour des lectures poétiques.

Le 13 mars, à la bibliothèque Saint-Rémi se tiendra un atelier d’écriture du Slam de poésie.

Programme complet :

http://slam-tribu.over-blog.com

www.printempsdespoetes.com

S.A.

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l’union080220f

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

ORGANISME PASSANT LE MARCHÉ : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS

7 Rue Marie Stuart 51100 REIMS – France

Type de l’Acheteur public : Autre

Contact : Monsieur NICOLE Alain

Principale(s) activité(s) du pouvoir adjudicateur : Logement et développement collectif

RÉFÉRENCE DU MARCHÉ : MA-030208

OBJET DU MARCHÉ : REHABILITATION QUARTIER CROIX DU SUD A REIMS (51100)

DATE D’ENVOI À LA PUBLICATION : 20/02/2008

TYPE DE MARCHÉ : Travaux

TYPE DE PRESTATIONS : Exécution

CLASSIFICATION DES PRODUITS : Travaux de construction

CLASSIFICATION C.P.V : Objet Principal : 45000000-7 Travaux de construction.

CODE NUTS : FR213 – Marne

CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALES : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

QUANTITÉS, NATURE ET ÉTENDUE : Travaux de Réhabilitation d’une première tranche de 451 logements dans le quartier Croix du Sud - Allée Edgar Degas et Place Auguste Rodin à REIMS (51100)

ACHATS COMPLÉMENTAIRES : OUI - (Variantes obligatoires) Elles devront être chiffrées conformément aux prescriptions définies dans chaque CCTP

CONDITIONS RELATIVES AU MARCHÉ : Cautionnement et garanties exigées : Voir le règlement de consultation

Forme juridique que devra revêtir le groupement : Voir le règlement de consultation

langue(s) : fr

Unité monétaire utilisée : l’euro

CONDITIONS DE PARTICIPATION :

Critères de sélection des candidatures : Celles fixées dans le règlement de consultation

Situation juridique : Voir le règlement de consultation

Capacité économique et financière : Références requises : Voir le règlement de consultation

Référence professionnelle et capacité technique : Références requises : Voir le règlement de consultation

PROCÉDURES :

Mode de passation : Appel d’offres ouvert

Forme du marché : Ordinaire

Autres informations :

Date limite de retrait des dossiers de consultation : Le dossier de consultation sera à retirer à partir du Mercredi 20 février 2008 jusqu’au Jeudi 3 avril 2008 à 17 heures et pourra être obtenu gratuitement à l’adresse suivante :

- sur support papier : TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS

Tél. 03.26.04.81.21 - Fax : 03.26.09.71.07 - E-mail :

Technic.Repro@wanadoo.fr

OU

- sur support électronique : http://www.lunion-legales.fr - référence du marché : MA-030208

Demandes de renseignements complémentaires : Pour obtenir tout renseignement complémentaire qui leur serait nécessaire en vue de répondre à la présente consultation, les candidats pourront contacter pour les renseignements techniques :

Concernant les lots 1 à 12, contacter : Cabinet d’Architecture BARRAND et CORPELET : M. CORPELET et Mlle HENRY

5 bis rue des Templiers - BP 1370 - 51063 REIMS CEDEX

Tél. 03.26.46.16.43 - Fax 03.26.46.16.59 - E-mail :

barrand-corpelet@wanadoo.fr

Précisions sur les lots de structure :

BET TAYLOR : M. TAYLOR et M. HORDEAUX - Tél. 03.26.07.99.76

Concernant les lots 13 et 14, contacter :

DCEF : M. CARBOT - Tél./Fax : 03.26.67.79.06 - E-mail : dcef@9business.fr 2, impasse du Ruisseau - 51520 LA VEUVE

Concernant les lots 15 et 16, contacter :

ECOTRAL : M. POYAC - Tél. 03.88.18.74.22 - Fax 03.88.20.68.10 -

E-mail : gilles.poyac@ecotral.fr

Concernant les lots 17 et 18, contacter :

EFFORT REMOIS : M. BERTOUT - Tél. 03.26.04.98.30 - Fax 03.26.05.06.41

INSTANCE CHARGÉE DES PROCÉDURES DE RECOURS :

Nom de l’organisation : Tribunal de Commerce de Reims

Adresse : 1,place Myron Herrick 51100 Reims

SERVICE AUPRÈS DUQUEL DES RENSEIGNEMENTS PEUVENT ÊTRE

OBTENUS CONCERNANT L’INTRODUCTION DES RECOURS :

Nom de l’organisation : Tribunal de Commerce de Reims

Adresse : 1,place Myron Herrick 51100 REIMS

PLANNING :

Date limite de réception des offres : 10/04/2008 à 17:00

Délai minimum de validité des offres (en mois) : 6

Durée du marché ou délai d’exécution (en mois) : 30

CRITÈRES D’ATTRIBUTION :

Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction :des critères énoncés dans le cahier des charges (réglement de la consultation, lettre d’invitation)

DATE D’ENVOI DE L’AVIS À LA PUBLICATION : 15/02/2008

ADRESSES COMPLÉMENTAIRES :

Renseignement d’ordre administrative et technique :

Personne à contacter : Madame GALLOIS Nadine

Courriel : n.gallois@effort-remois.com

Tél. : 0326049905

Fax : 0326049812

RENSEIGNEMENTS RELATIFS AUX LOTS :

Marché alloti

Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots

Lot n°1 Objet : Lot 01 Descripteur CPV Principal : 45000000-7 Description succincte : travaux

Lot n°2 Objet : Lot 02 Descripteur CPV Principal : 45110000-1 Description succincte : travaux

Lot n°3 Objet : Lot 03 Description succincte : travaux

Lot n°4 Objet : Lot 04 Description succincte : travaux

Lot n°5 Objet : Lot 05 Description succincte : travaux

Lot n°6 Objet : Lot 06 Description succincte : travaux

Lot n°7 Objet : Lot 07 Description succincte : travaux

Lot n°8 Objet : Lot 08 Description succincte : travaux

Lot n°9 Objet : Lot 09 Description succincte : travaux

Lot n°10 Objet : Lot 10 Description succincte : travaux

Lot n°11 Objet : Lot 11 Description succincte : travaux

Lot n°12 Objet : Lot 12 Description succincte : travaux

Lot n°13 Objet : Lot 13 Description succincte : travaux

Lot n°14 Objet : Lot 14 Description succincte : travaux

Lot n°15 Objet : Lot 15 Description succincte : travaux

Lot n°16 Objet : Lot 16 Description succincte : travaux

Lot n°17 Objet : Lot 17 Description succincte : travaux

Lot n°18 Objet : Lot 18 Description succincte : travaux

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l’union080220d

L’eau chaude n’est pas potable à Pays-de-France

 

Le réseau d’eau chaude sanitaire de Pays-de-France présenterait un taux de fer élevé selon un rapport d’expert présenté par l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays de France ».

La nouvelle a été annoncée hier soir aux habitants du quartier dans le cadre de l’assemblée générale de l’association. « On a craint à un moment la présence de légionelle mais il n’y en a pas », explique Serge Pugeault, avocat de l’association. « Il n’y a pas de légionelle et donc pas de risque sanitaire actuel. Mais compte tenu de l’état du réseau, cette absence de légionelle apparaît insolite. Elle s’explique par le fait que l’eau est… trop toxique ! En effet son niveau en zinc et surtout en fer est très important : elle n’est pas potable ».

Serge Pugeault se base sur un rapport d’expertise demandé par le tribunal d’instance de Reims en 2004 après un hiver 2003 difficile dans les foyers du quartier. Les conclusions avaient été présentées le 5 décembre dernier à l’ensemble des parties, mais pas à la population.

Réglementairement bonne

Est-ce l’approche des échéances électorales, toujours est-il que l’association et son avocat — qui est aussi colistier d’Adeline Hazan — ont décidé d’informer les habitants avant même le dépôt officiel du rapport qui devrait intervenir dans les prochaines semaines.

« Du point de vue strictement réglementaire, l’eau chaude sanitaire n’a pas à être potable », précise Serge Pugeault dans son compte rendu de la réunion du 5 décembre. « Mais les habitants doivent savoir qu’ils ne doivent pas la consommer, ni en boire, ni cuisiner avec, ni faire du thé ou du café… elle peut être seulement utilisée pour se laver ».

Des demandes d’indemnisation ?

« Si une attention particulière n’est pas accordée au réseau d’eau chaude sanitaire, le risque est celui de son effondrement, c’est-à-dire d’une généralisation des fuites », précise l’avocat. « Si on fait des rustines, on risque une contamination. En diminuant la toxicité, on permettrait à la légionelle de se développer… Il n’y a pas vraiment de solution, la conception du réseau apparaissant aujourd’hui comme étant « aberrante » ».

Une fois cette information diffusée, l’association attend le dépôt du rapport pour voir quelle suite donner à son action. Des demandes d’indemnisation pourraient êtres déposées. « Il faut aussi que l’on voit avec le Foyer Rémois ce qu’il compte faire » souligne Serge Pugeault (1).

Un réseau à surveiller

Il faut signaler en revanche que les conclusions des experts sur le réseau de chauffage dans son ensemble sont un peu plus optimistes. Globalement, la vie du réseau n’est pas en danger même si celui ci présente « une amorce de corrosion bactérienne ». Le réseau mériterait tout de même une attention particulière et un traitement est nécessaire.

Selon l’expertise, le problème du niveau de chaleur dans les appartements est aussi causé par le fait que les immeubles ont de fortes pertes thermiques. Ce n’est donc pas le réseau lui-même qui serait la cause de tous les maux. Ce réseau peut continuer à vivre si on le contrôle bien. « Mais l’épaisseur des tuyaux, du fait de la corrosion, diminue et si ça continue comme ça, un jour il sera mort ».

G. A.-T.

1 : Nous n’avons pas pu joindre l’organisme-logeur hier soir en raison de l’heure tardive de cette réunion.

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l’union080220c

Croix-Rouge : les étudiants proies faciles pour les voleurs « à l’arraché »

 

Cette jeune fille décontractée, qui téléphone avec son « ordi » à bout de bras était une cible parfaite.

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Ordinateur portable dans une main, téléphone dans l’autre et baladeur sur les oreilles, ils sont régulièrement victimes des voleurs, en dépit de toutes les mises en garde.

Ordinateur portable dans une main, téléphone dans l’autre et baladeur sur les oreilles, ils sont régulièrement victimes des voleurs, en dépit de toutes les mises en garde.

« AFIN que ce second semestre se poursuive en toute sécurité, nous souhaitons vous demander d’être vigilants, lors de vos déplacements à pied, le soir, aux alentours des campus, notamment près des résidences étudiantes. En effet, depuis la rentrée, plusieurs étudiants se sont fait voler leur ordinateur portable par de jeunes individus malveillants rôdant dans le quartier… »

Extrait d’une note interne, émise par la responsable d’une des sections de la prestigieuse Reims Management school, dont les campus sont installés à Croix-Rouge, cette mise en garde, on ne peut plus claire, témoigne du climat d’insécurité grandissant, qui règne dans le secteur.

Les étudiants très nombreux qui le fréquentent, avec la présence, également, de la faculté de Droit et Lettres, de la bibliothèque universitaire, de l’université des Sciences économiques, etc., y sont en effet la proie facile de voleurs, qu’on dit « à l’arraché », cette qualification imagée, traduisant bien le mode opératoire de ceux qui s’en sont fait une spécialité, soit en courant à pied, soit fréquemment, aussi, depuis le siège arrière d’un booster…

Ça n’arrive pas qu’aux autres

Les étudiants qui se font voler leur « ordi », subissent un important préjudice financier d’abord mais aussi une perte irréparable de leurs cours ou de leurs archives, l’ordinateur leur étant devenu, aujourd’hui, un outil naturel, voire indispensable, surtout dans des filières les préparant au management d’entreprises.

Une dizaine de plaintes ont été déposées, à ce sujet, depuis le début de cette année, auprès des services de police, qui nous ont affirmé effectuer des rondes, régulièrement, dans ce secteur et y monter, tout aussi régulièrement, sur réquisition du procureur, des opérations de contrôle visibles et donc dissuasives. Mais s’il est vrai que le secteur universitaire et de grandes écoles, implanté à Croix-Rouge constitue un vivier de choix pour la délinquance, celle-ci s’exerce malheureusement en tous points de la ville, aussi bien le jour, que le soir ou la nuit.

Et qu’il convient donc, surtout, d’inciter tous les jeunes, étudiants ou non, à éviter de montrer trop ostensiblement des objets de valeur, qui ne peuvent qu’attiser la convoitise.

Eviter les espaces isolés, transporter son ordinateur dans un sac à dos, éviter de le tenir dans la main la plus proche de la chaussée, attendre pour téléphoner de pouvoir le faire en toute quiétude et ne pas se couper du monde en mettant le son de son baladeur à fond, sont des gestes qui peuvent « sauver ».

Malheureusement, comme on ne peut être vigilant sans arrêt, il y aura forcément encore d’autres vols.

L’important est juste de savoir que ce genre d’agression, ça n’arrive pas qu’aux autres…

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Pas le temps de réfléchir…

 

Cette jeune étudiante a été le témoin d’une agression, elle raconte : « Les portes du campus 1 s’ouvrent d’une volée, et l’air rémois glacial me cingle le visage. Je rentre chez moi seule, pour la première fois depuis la rentrée. Je regarde ma montre : il est 18 h 35.

Derrière moi, à une dizaine de mètres, une autre fille sort du campus ; elle est au téléphone et s’apprête vraisemblablement à prendre le bus, comme moi. Elle tient sa sacoche d’ordinateur à la main.

Presque rassurée par cette présence familière, je me dirige vers l’arrêt du H. J’en suis à 50 mètres, même pas. L’esplanade située au carrefour de RMS, de la fac et des HLM n’est pas vide. Quelques étudiants ont fini les cours et patientent aux arrêts de bus. En tout, une trentaine de personnes. Rien de menaçant.

Soudain, j’entends des bruits de pas précipités, des cris derrière moi. Je me retourne. A quelques mètres, je vois la jeune fille désemparée courir derrière quelqu’un en criant, du plus fort qu’elle peut : « Au voleur ! »…

Un bonnet vissé sur la tête, une écharpe masquant don visage, je vois un mec courir vers la cité, juste en face, la sacoche à la main. Sa planque est à 50 mètres, comme l’arrêt de bus. Personne ne se trouve sur son chemin, la voie est libre. D’ailleurs, personne n’a compris ce qui se passe. Moi-même, je ne réalise qu’au bout d’une dizaine de secondes, le temps qu’il faut au mec pour disparaître dans l’obscurité.

La jeune fille abandonne sa poursuite dans le parking, en bas des HLM, mais renonce à s’aventurer plus loin. Je ne sais pas si j’en aurais eu le courage, mais je crois que lorsque ce genre d’agression se produit, on n’a pas vraiment le temps de réfléchir. Mon intense sentiment d’empathie a été confronté à mon impuissance. Je suis profondément désolée pour la jeune fille à qui cela est arrivé. Et la seule chose que je peux faire, c’est vous alerter… »

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l’union080220b

Il bat sa compagne : un an de prison

 

Dans la nuit de lundi, vers 2 h 30, un équipage de la brigade canine du commissariat a été appelé en urgence, dans un foyer de la rue Alfred- Vignau, où un homme était en train de brutaliser gravement sa compagne.

A l’arrivée des policiers, ceux-ci constataient, effectivement, qu’une femme avait été battue à coups de poing au visage, par un individu excité qui lui avait également arraché des touffes de cheveux.

Maîtrisé non sans mal car encore au comble de sa fureur, le violent a expliqué pour se justifier que, revenu à l’improviste, il avait trouvé son amie au lit avec un autre homme et qu’il avait vu rouge.

Placé en garde à vue, il a comparu dès lundi devant le tribunal correctionnel où, en raison de la gravité des faits - la victime a eu deux jours d’ITT - et de plusieurs antécédents, mais surtout parce qu’on ne doit jamais battre une femme, il a été condamné à un an de prison ferme.

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l’union080220a

Vent de renouveau sur le « Printemps des Poètes »

 

Un slameur en représentation. /i>

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Reims organise son deuxième « Printemps des Poètes » du 4 au 22 mars dans les médiathèques et bibliothèques de la ville. L’occasion de découvrir de nouvelles formes de poésie, en particulier le slam.

« LA poésie rémoise a retrouvé de la fraîcheur ces derniers temps, notamment grâce au slam », explique ainsi Sébastien Gavignet, coordinateur de ce « Printemps des Poètes ».

Pour ce nouveau festival de poésie, du 4 au 22 mars, l’accent a été mis cette année sur la diversité et la découverte de poètes locaux méconnus par les Rémois. Sébastien Gavignet se dit satisfait de voir que « le festival sera présent sur toute l’agglomération ». Avec des représentations dans des lieux comme la bibliothèque Carnegie ou la médiathèque Falala, le « Printemps des Poètes » bénéficiera en plus de salles plus importantes. Voici le programme :

Mardi 4 mars

Médiathèque Falala, 19 h 30.

Soirée d’ouverture avec le studio Césaré : « L’Afrique est en nous » (lecture et concert). Une longue balade, amicale, sensorielle et improvisée, faite de rencontres et de confiance. C’est une histoire d’hommes et d’amis. Ils sont quatre, comme les trois mousquetaires.

Vendredi 7 mars

Médiathèque Croix-Rouge, 19 h 30.

Conférence avec Laurent Fourcaut : « Entrer dans la poésie française contemporaine ». Laurent Fourcaut, professeur des universités à l’IUFM de Paris, spécialiste de poésie contemporaine, présentera certains caractères essentiels de la poésie française telle qu’elle s’écrit aujourd’hui. A partir d’exemples précis et détaillés, on s’interrogera sur « ce dont on parle et comment ça s’écrit ».

Samedi 8 mars

Bibliothèque Carnegie, 15 heures.

Lectures poétiques par Michel Mourot et Olivier Barbarant. Michel Mourot vit dans la Marne depuis 1953. Il préside l’association des Amis de Jean-Marie Le Sidaner. Olivier Barbarant vit et enseigne à Saint-Quentin, en Picardie. Il a dirigé l’édition des œuvres poétiques d’Aragon dans la collection Pléiade. Il tient aussi une chronique de poésie dans Faites entrer l’infini, le journal de la société des Amis d’Aragon.

Jeudi 13 mars

Bibliothèque Saint-Remi, de 18 heures à 20 heures.

Atelier d’écriture autour du slam de poésie par le collectif Slam Tribu.

Jeudi 13 mars

Lion de Belfort, 21 heures.

Tournoi de slam par Slam Tribu.

Samedi 15 mars

Médiathèque Laon-Zola, 17 heures.

Lecture concert : « À surveiller de près, à punir parfois » par Didier Arnaudet et Jacques Perconte. Dans ce jeu entre poésie et musique électronique expérimentale, il est avant tout question d’un espace d’échanges et d’écoute entre les deux artistes, qui se servent l’un de l’autre afin de construire un collage sonore éphémère.

Mardi 18 mars

Bibliothèque du Chemin-Vert, 18 heures.

Découverte du slam de poésie avec Slam Tribu et Barcella (champion de France de slam 2007) autour des dix mots de la Semaine de la langue française.

Mercredi 19 mars

Médiathèque Falala, de 14 à 17 heures.

Rencontre régionale sur le thème « Vivre ensemble la diversité culturelle » proposée par l’association Initiales. Avec Marie Treps, linguiste chargée de recherches au CNRS attachée au Laboratoire d’anthropologie urbaine à Paris, Slam Tribu et des participants venus d’horizons divers.

Vendredi 21 mars

Bibliothèque Carnegie, 19 h 30.

Lecture de Bertrand Degott, enseignant-chercheur à l’IUFM de Besançon et poète.

Samedi 22 mars

Médiathèque Falala, de 16 heures à 18 heures.

Jean-Claude Pirotte à l’honneur : présentation par Frédéric Chef, suivie de lectures, rencontre et dédicace en présence de l’auteur. Jean-Claude Pirotte est né en 1939. De 1961 à 1975, il est un avocat de renom avant d’être accusé à tort d’avoir facilité l’évasion d’un de ses clients.

Condamné à deux ans de prison, il prend la fuite et connaît alors six années de cavale à travers la province française.

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l’union080218e

AVIS DE CONSTITUTION

 

Avis est donné de la constitution d’une société présentant la caractéristique suivante :

FORME : S.A.R.L. UNIPERSONNEL. DENOMINATION : EPIPRO.

SIEGE SOCIAL : 10 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS.

OBJET : Vente de vêtements professionnels et de protection à l’industrie.

DUREE : 99 ans. • CAPITAL :100 €.

GERANCE : M. SAVARIN Fabrice, demeurant 1 rue de la Vallée - _ 52220 SOMMEVOIRE.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

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Pour avis.

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l’union080218d

MODIFICATION DE STATUTS

 

S.M.E.

Société à responsabilité limitée au capital de 2.000 €Euros

Siège social : 11 allée Edgard Degas 51100 REIMS

R.C.S. 500 531 967

Aux termes d’une délibération en date du 30 janvier 2008, l’assemblée générale extraordinaire des associés de la société à responsabilité limitée S.M.E. a décidé de transférer le siège social du 11 allée Edgard Degas -51100 REIMS, au 19 rue des Savoyards - 51100 REIMS, à compter de ce jour, et de modifier en conséquence l’article 4 des statuts.

En date du même jour, la collectivité des associés a pris acte de la démission de Monsieur Murat ISBILIR et a nommé en qualité de nouveau gérant Monsieur Rifat KARAKULAH, demeurant 19 rue des Savoyards•- 51100 REIMS, pour une durée illimitée.

62485

La gérance.

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l’union080218c

Prendre soin des jardins

 

Au cours des assemblées générales des associations de jardins familiaux de Croix-Rouge, nous avons relevé que lques propos intéressants.

Le prix de la santé : « Mangez les beaux légumes de vos jardins pour rester en bonne santé » déclarait le conseiller régional Michel Guillaudeau : « Depuis le 1er janvier, il est devenu cher d’être malade ! »

Coccinelles : « J’attire l’attention des jardiniers sur l’invasion des coccinelles asiatiques achetées pour lutter contre les pucerons » a prévenu Didier Klodawski, président de la fédération des jardins de l’agglomération : « elles ne devaient pas passer l’hiver ! En réalité, elles s’abritent et restent vivantes par centaines ! L’ennui c’est qu’elles dévorent les larves de nos coccinelles nationales ! »

Jumelage : Un jumelage entre les villes de Reims et de Liège en Belgique est probable : un partenariat solide existe déjà entre les jardiniers rémois et leurs confrères Belges.

Nouvelles parcelles : Les jardiniers de Pays-de-France demandent des parcelles supplémentaires : « Il nous faut régler le problème de la ligne haute tension et de l’alimentation en électricité de Réseau ferré de France vers Bezannes, mais un réaménagement dans les années à venir est envisageable avec création d’un parking et extension des jardins familiaux de Pays-de-France » a répondu Jean-Marie Beaupuy, adjoint chargé de l’environnement et des espaces verts.

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l’union080218b

Le rappeur Grödash ce soir à l’espace Ethnic’s

 

 

 

Grödash, le rappeur phénoménal des Ulis, dans le 9.1, sera à l’espace Ethnic’s au Château d’eau (avenue d’Épernay) à Reims ce lundi 18 février à partir de 17 heures pour présenter son nouvel album « Une vie de rêve ».

Au programme : showcase, open mic et dédicace. Grödash gifle le rap français : son rap sans concession et son style saignant relatent avec violence verbale son quotidien au sein des blocs, les rapports humains avec réflexion et émotion.

Depuis la création, en 1996, du groupe Amalgam (dont est issu Sinik), jusqu’à nos jours, Grödash n’a cessé de collaborer avec des têtes d’affiches comme Diam’s, Ol’Kainry, Sinik.

Entrée libre, places limitées.

Renseignements : espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge (Tél. 03.26.86.08.02.).

 

 

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l’union080218a

SÉRIE / Le quartier de l’université va changer de look

 

En orange les démolitions, en violet les constructions, en noir les réhabilitations et en rouge le périmètre d’intervention.

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Quelques démolitions prochaines, d’autres à suivre sur Eisenhower et des parkings supprimés pour y construire des logements. La phase 1 de rénovation va commencer.

ÇA ne va pas tarder à bouger sur le quartier Université/Einsenhower. Maintenant que l’État a débloqué les fonds tant attendus par la Ville, la rénovation du secteur va entrer dans une nouvelle phase qui commencera cette année et devra être achevée en 2011.

Démolitions et reconstructions sont au programme. Après la tour Taittinger descendue en novembre 2006, les prochains blocs à disparaître, a priori en 2008, concernent les 25, 27, 29 et 31 Eisenhower.

Il s’agit de 46 logements pour lesquels les habitants ont normalement reçu, s’ils le souhaitaient une proposition de relogement dans le quartier et au même loyer. Ce nouveau vide va permettre d’aérer le quartier.

Des logements à la place des parkings

Les 49 et 51 Eisenhower devraient aussi tomber. Pour l’instant les habitants, plus ou moins au courant, n’ont pas de plan de relogement. Dans l’ensemble ils sont plutôt contents à la perspective de déménager (lire par ailleurs).

Plusieurs parkings vont également disparaître. Ceux situés de part et d’autre de l’école Droit, une partie du G3 (Eisenhower), et le parking situé au rond point des facultés seront supprimés. À la place seront construits de nouveaux bâtiments. On devrait y trouver un mélange d’habitations et de locaux d’activités. Des commerces sont prévus le long de l’avenue Eisenhower non loin des facultés.

Des nouveaux immeubles doivent pousser sur le parking Jean et Gilberte-Droit ainsi que sur le parking à l’angle de la rue Legros/Droit. Sur le parking/espace vert entre l’ex-Rafale et la passerelle Saint-John-Perse apparaîtront trois immeubles. On construira également sur l’espace en friche entre le centre de tri postal et l’école Billard.

Tous les immeubles du périmètre qui ne seront pas démolis dans le quartier de l’université seront réhabilités (il s’agit de 275 logements).

Ce n’est qu’une première phase. Il est vraisemblable que d’autres barres du quartier Eisenhower seront supprimées dans un second temps. Soit après 2011.

C.F.

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« Tant mieux si c’est démoli »

 

Peu de locataires du 51 Eisenhower vont sortir les mouchoirs le jour de la démolition de leur tour. « Ils vont démolir ? Tant mieux. On en a marre, ça craint ici », lâche un habitant avant de s’engouffrer dans l’ascenseur qui pour une fois n’est pas en panne.

Ahmed regagne son appartement, il affiche un grand sourire. Ça fait des années qu’il essaie de changer d’adresse sans jamais y parvenir. Cette fois il est certain que cela va arriver : « Je viens de me marier, ma femme attend un bébé, on a tellement envie de changer ». C’est vers Murigny qu’il se verrait bien habiter.

« Un truc tout neuf »

Au 7e étage, Hélène sort sa frimousse encore endormie dans l’entrebâillement de la porte. « J’habite ici avec mes parents. » Dans le couloir on entend des voix qui hurlent. « C’est partout que ça hurle. On sera très content de partir mais on se demande un peu où ils vont nous reloger ». Pour être bien, il faudra que ce soit plus calme. « Tinqueux, Murigny ou Cormontreuil, si on avait le choix. »

Un peu plus bas, Thierry rêve d’un logement neuf : « On en a tellement assez des incendies et des installations vétustes. Un truc tout neuf, ce serait vraiment sympa ».

Dans l’escalier, l’odeur d’urine arrive à masquer les odeurs des petits plats qui se mitonnent dans certains appartements. Chez Hassan, encore un peu plus bas, ça sent bon. « J’aime mon quartier. Surtout que j’y travaille dans le secteur du bâtiment mais la fréquentation et l’environnement se sont tellement détériorés qu’on sera très heureux de bouger. »

Après 20 ans, dans un immeuble qu’il a vu se dégrader à petit feu, lui aussi se verrait bien poser ses valises dans du neuf. On lui souhaite.

C.F. et B.S.

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Quelques chiffres

 

Le programme complet de rénovation urbaine 2008/2011 concerne les quartiers Wilson, Croix-Rouge, Orgeval et Épinettes. Il prévoit au total 1652 démolitions de logements, 1555 reconstructions de logements locatifs sociaux dont 833 sur site et 722 hors site, 864 reconstructions de logements intermédiaires et en accession, permettant de réaliser une mixité sociale.

Le coût des travaux de cette phase s’élève à 311,4 millions d’euros, il se partage entre l’État, la Ville, les organismes logeurs et la Région. La Ville devrait contribuer à hauteur de 15 millions d’euros dans le cadre de cette nouvelle phase de réhabilitation.

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l’union080219a

SÉRIE / Pays de France gagne en activités mais perd en verdure

 

Les immeubles des 4 et 2 Bourguignons vont être démolis.

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La passerelle, emblème du quartier, va se volatiliser. Des logements la remplaceront et des commerces et activités vont être installés au niveau de l’avenue Bonaparte.

IL va falloir s’habituer au bruit des travaux à Pays de France. Il est prévu de démolir 158 logements.

Le 1 allée des Picards va disparaître. En plus des locataires, les locaux administratifs de la maison de quartier abrités à cette adresse vont aussi devoir déménager. Ils avaient été inaugurés il y a seulement un an.

Le 7 allée des Limousins, les immeubles des 4 et 2 Bourguignons vont aussi se volatiliser. Ils seront peu nombreux à les regretter (lire par ailleurs). Le foyer « Jamais seul » aux 12 Provençaux sera rasé. Une nouvelle rue va relier l’avenue Bonaparte à la rue des Auvergnats.

Les deux parkings de l’allée des Picards laisseront la place au nouveau centre commercial, à deux immeubles avec parking souterrain et à des espaces verts privatifs.

La passerelle disparaîtra et laissera la place à des immeubles de logements et d’activités économiques en rez-de-chaussée.

Des logements sur les parkings

Plusieurs parkings vont trouver une autre affectation. Les 300 places de l’avenue Bonaparte, sinistrées depuis des années, seront détruites et occupées par de nouvelles constructions. Il restera des places de stationnement en surface.

Le parking sous la passerelle commerciale disparaîtra en même temps que la passerelle. Le souterrain Lavoisier/Limousins sera aussi condamné et la dalle en surface, aménagée en aire de jeux va être remplacée par des immeubles.

Les places de stationnement rue Lavoisier et rue des Savoyards, très utilisées par les étudiants de l’IRTS (Institut régional des travailleurs sociaux) et par le lycée Joliot-Curie vont disparaître en très grande partie.

Le programme de rénovation va mordre sur l’espace vert des Landais et une partie du parc Saint-Bruno pour construire trois immeubles de logements. L’espace allée des Béarnais sera lui aussi construit.

Une partie du parc Arago laissera la place au centre commercial et à deux nouveaux immeubles résidentiels avec espaces verts et parking souterrain.

Les travaux commenceront cette année et devront être terminés pour 2011.

C.F.

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« Ici ça squatte, c’est pourri »

 

Dans un couloir sombre à l’odeur nauséabonde, la porte de Nathalie marque un temps avant de s’ouvrir. Trop occupée par un de ses quatre enfants ou peur de qui pourrait se trouver derrière ? En apprenant la démolition prochaine de son immeuble, sa réaction est plutôt mitigée : « Bien sûr que je suis contente », assure-t-elle en pensant à l’état déplorable des lieux comme au comportement détestable de certains jeunes. Pour elle, c’en est fini des tours : « Je veux vivre dans une petite maison ». Mais Nathalie est envahie par l’émotion au moment d’évoquer le jour où il faudra qu’elle déménage. Forcément, « on ne dit pas au revoir à vingt ans de sa vie comme ça ».

Une famille prête à emménager dans un immeuble plus tranquille.

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Quelques étages plus haut, Véronique affiche elle aussi un regard heureux à la perspective de déménager. Elle n’est pas la seule. Dans son sillon, c’est une armada d’enfants qui surgit pour devancer et appuyer son point de vue.

À commencer par Tony, le plus grand, qui n’attend pas qu’on lui demande son avis pour le donner : « Ça squatte, c’est pourri et ça pue la pisse ! ».

Son petit frère, 14 ans, est plus discret sur le sujet. Ayant appartenu un temps à la catégorie des trouble-fêtes, il esquisse un sourire narquois comme pour dire qu’il se moque du devenir de l’immeuble. « Lui, il ne veut pas partir », assure sa mère.

Un joli rayon de soleil apparaît soudain dans le couloir. Ce n’est pas grâce aux ampoules, il n’y en a plus. C’est le petit dernier de Véronique âgé de 2 ans. Voilà la petite famille au complet qui espère un nouveau logement où au moins ça sente le frais.

B.S. et C.F.

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l’union080220e

SÉRIE : Croix-du-Sud s’aère et déménage ses commerces

 

Nour Eddin et Lina « méritent de grandir ailleurs ».

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La passerelle et les commerces installés à ses pieds seront supprimés.

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En rouge les bâtiments qui vont être démolis, en pointillés rouges les parkings qui vont disparaître, en noir les réhabilitations, en bleu les commerces, en violet les nouveaux logements. Le périmètre d’intervention est tracé en rouge.

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Rodin et Degas seront désenclavés et réhabilités. La passerelle partira et les commerces émigreront vers Bonaparte. Des logements vont pousser sur la rue Joliot-Curie.

L’OXYGÈNE devrait mieux circuler dans le quartier Croix-du-Sud. Surtout du côté Rodin/Degas où le plus gros des démolitions est attendu. L’horrible 3 Rodin (lire par ailleurs) va disparaître pour laisser la place à une rue qui mènera à un centre commercial et à des logements tout neufs.

Le 15 Rodin sera aussi rayé de la carte, il emportera avec lui la passerelle et les commerces installés à ses pieds. Une petite surface d’activité réapparaîtra sur l’avenue Léon-Blum, à l’angle avec les parkings (du côté de l’école Gallilée-Newton).

Les nouveaux commerces, logements et locaux d’activité de l’avenue Bonaparte prendront place sur le parking Degas et sur le haut du parking Cézanne.

Moins bonne nouvelle, l’espace vert où les jeunes peuvent jouer au foot à l’angle Dufy/Joliot-Curie va s’effacer sous quatre immeubles. Il faudra aller un peu plus loin pour marquer des buts.

Une route à traverser

À Rodin et à Degas, les immeubles qui resteront debout seront tous réhabilités. Ceux de Fragonard et une partie de Ingres vont l’être aussi. Le coin de Cézanne et Braque n’est pas concernés par cette phase de rénovation.

En l’absence de passerelle, on ne sait pas encore comment les habitants iront d’un quartier à l’autre mais ce sera vraisemblablement et tout simplement en traversant la route. Une route où (normalement) passera le tramway et qui sera aménagée de telle façon que les voitures ne pourront rouler vite. Aucune création d’espace vert ne semble prévue.

C.F.

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Adieu à l’enfer de Rodin !

 

Perdus dans les tours de béton, nous croisons le chemin d’un petit ange qui nous aiguille vers un immeuble voué à la démolition. C’est le sien. Il est 12 heures, Nour Eddin, 8 ans, va chercher le pain pour lui et sa famille qui logent au 3 Rodin. En charitable guide touristique, il rebrousse chemin et nous conduit pile devant le hall d’entrée.

Dans l’ascenseur, Christine, rentre chez elle. Son appart va-il lui manquer une fois démoli ? « Au début, c’était bien », lâche-t-elle furtivement, avant d’avouer son « ras-le-bol ». Les causes de cette aigreur sont dues à « l’insalubrité, le bruit, la crasse ». Usée, fatiguée et dépassée de vivre dans un immeuble qui l’est tout autant qu’elle, l’auxiliaire de vie ne peut ouvrir ses fenêtres sans tournevis. Et quand elles sont fermées, « ça n’empêche pas la pluie de rentrer dans les pièces ».

« Couvert de puces »

L’heure des regrets na pas encore sonné. Et ce n’est pas le faible loyer de son F4 à 300 euros qui lui ôtera l’envie de jeter ses vingt années passées rue Rodin à la poubelle. Car ici « on n’a pas le temps de faire le tri sélectif » sinon on prend le risque de ressortir du local à ordures « couvert de puces ». Si encore cela lui permettait de sauter plus rapidement de ce taudis vers un véritable appartement « du côté de Courlancy ».

Surprise deux étages plus bas ! C’est le petit ange à la baguette qui se trouve derrière la porte. Bouasria, son père, a cessé de penser à Rodin. Ce qui le préoccupe, ce sont ses deux enfants, Nour Eddin et Lina, deux prénoms qui signifient respectivement « la lumière de la religion » et « la porte du paradis ». Estimant qu’ils « méritent de grandir ailleurs », leur papa a déjà prévu de déménager dans un endroit plus sain.

B.S. et C.F.

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l’union080216c

HALTEROPHILIE

 

En prenant la 3e place du championnat Inter Académique à Berck-sur-Mer, l’équipe des cadets du collège François-Legros de Reims s’est qualifiée pour les championnats de France UNSS.

Devancés par Berck et par Lille, les quatre Rémois, Kevin Tourailles, Temo Saledov, Johann Royet et Ferdi Begani ont livré un bon match malgré quelques soucis d’arbitrage leur ayant fait perdre une place.

Ils sont néanmoins qualifiés en 6e position pour la finale nationale qui se tiendra à Clermont-l’Hérault où ils disposeront d’une bonne marge de progression.

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l’union080216b

Qu’attendent les retraités du futur maire de Reims

 

Cécile Lautretin, 71 ans, réside dans le quartier Croix-Rouge. Marie Blanchardon

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A moins de quatre semaines du premier tour, les personnes âgées nous confient ce qu’elles attendent de la nouvelle équipe municipale.

De Croix-Rouge à Orgeval en passant par le quartier du Chemin Vert, les attentes sont là mais ne se ressemblent pas.

……….

Le tramway : pas une bonne idée pour tout le monde

 

A l’extrémité de la ville, dans le quartier Croix-Rouge, on attend des améliorations, des nouveautés.

Oui mais surtout pas de tramway. « J’aimerais mieux que ma fille ait plus de chauffage dans son immeuble », confie Jeanine Normand, plantée à proximité des grands blocs en béton. « Il devrait aussi y avoir plus d’endroits pour que les jeunes se réunissent et fassent ainsi moins de bêtises ».

Cécile Lautretin, 71 ans, n’est pas non plus convaincue par le Tramway : « Tout le monde est contre et ça passe. Je n’en veux pas car on va encore casquer. Ça ne va pas faire diminuer les impôts locaux ! ».

À proximité, à Maison Blanche, les préoccupations sont encore différentes. « Je voudrais bien que la police passe un peu plus, avoue Alain Dechaume. Souvent, il y a des poubelles incendiées, des cannettes de bières qui traînent, les jeux pour enfants sont dégradés ». Bref, Alain ne voit plus qu’une solution pour prévenir ces actes : « Ce qu’il faut, ce sont des caméras de vidéo surveillance comme dans le centre de Reims ».

Danièle, l’épouse d’Alain, ne voit quant à elle qu’une chose à redire : « Déjà, il faudrait qu’il répare les routes le maire. Dans notre rue, les travaux ne sont même pas finis », déplore-t-elle.

Marie Blanchardon

…………

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l’union080216a

Détention de cannabis

 

Mercredi soir vers 21 h 45, une patrouille des sections d’intervention du commissariat, rue des Béarnais, est intervenue pour des jeunes jetant des projectiles.

A la vue du véhicule de police, un jeune de 21 ans tenta de se dissimuler dans un hall d’immeuble, après avoir jeté quelque chose dans le caniveau.

Il s’agissait d’un morceau de résine de cannabis. Appréhendé, l’homme a nié les faits et s’est rebellé.

Il fera l’objet d’une comparution en justice le 15 mai.

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l’union080215d

Maurice Goethals n’est plus

 

Il était de ces personnages que l’on aime côtoyer dans le monde sportif. Toujours courtois, aimable et disponible, Maurice Goethals était l’inévitable et rigoureux juge-arbitre de l’Open de Géo-André depuis 1987.

Un grand monsieur du tennis, joueur émérite classé encore 30/5 en + 75 ans mais également trompettiste reconnu à l’Harmonie du 3e canton de Reims.

Maurice Goethals nous a quittés le 3 février dernier dans sa 78e année. Ses obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intimité familiale.

A toute sa famille et ses amis L’Union présente ses sincères condoléances.

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l’union080215c

Déménagement du bureau de Poste de la Rafale

 

Afin de procéder au déménagement de son bureau de Poste situé 60, avenue du Général Eisenhower à Reims Billard (2, rue Pierre Taittinger) le bureau de poste de la Rafale sera fermé exceptionnellement du samedi 16 février au mercredi 20 février.

Pendant cette période des dispositions particulières ont été prises pour assurer la continuité du service public.

Toutes les opérations postales et financières (rendez-vous avec un conseiller financier), le retrait des instances pourront se faire jusqu’au 21 février au bureau de poste de Pays de France du lundi au vendredi de 9 heures à midi et de 13 h 30 à 17 heures et le samedi de 9 heures à midi.

Le bureau de poste de Reims Billard ouvrira au public le jeudi 21 février à 13 h 30. Il sera ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à midi et de 13 h 30 à 17 heures et le samedi de 9 heures à midi.

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l’union080215b

Court circuit dans un appartement

 

Les pompiers sont intervenus, mercredi à 11 heures, place Jean-Fragonard, pour un début d’incendie dans un appartement.

En fin de compte, il ne s’agissait que d’un court-circuit, qui avait provoqué un dégagement de fumée.

Ils ont procédé à la ventilation des lieux.

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l’union080215a

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Maître d’ouvrage : Société d’HLM L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, B.P. 324, 51061 Reims cedex.

Objet : marché de travaux de réfection de toitures et étanchéité de 15 immeubles, 6 pavillons, 16 garages et un par¬king du patrimoine locatif de l’EFFORT REMOIS.

Procédure adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005.

Composition du marché : le marché est composé de 8 lots. N° lot ; désignation

- Lot n° 1 : garage Belle-Noue 1, Épernay, étanchéité,

- Lot n° 2 : 6 à 16, rue Bachelard, Reims, étanchéité,

- Lot n° 3 : 8 Cézanne et 12 Braque, Reims, étanchéité,

- Lot n° 4 : Les Polygones, 8 Bernanos, Reims, étanchéité,

- Lot n° 5 : Champagne 1, 7 à 27Taissy, Reims, étanchéité,

- Lot n° 6 : 49, Passe-Demoiselles, Reims, étanchéité,

- Lot n° 7 : 77 Brimontel, Reims, étanchéité,

- Lot n° 8 : 16 garages rue de Sachs, Vandeuil, toitures.

Délai d’exécution : le marché s’exécutera sur une période globale tous corps d’états de 8 mois suivant la date d’effet de l’ordre de service de démarrage des travaux transmis par le maître d’ouvrage.

Date limite de réception des candidatures et des offres : le vendredi 7 mars 2008 à 17 heures, dépôt ou envoi des dossiers au service marchés de la société PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.

Le dossier de consultation peut être obtenu gratuitement jusqu’au vendredi 29 février 2008 à 17 heures sur demande écrtie à l’adresse suivante : sur support papier auprès de : PLURIHABITAT - L’EFFORT REMOIS, service marchés, Mme GALLOIS ou M. MEUNIER, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, télécopie 03.26.04.98.12, e-mail : service.marches@effort-remois.com ;

Ou sur support électronique à l’adresse suivante : http://www.lunion-legales.fr - référence du marché : MA-020208.

Pour tout renseignement technique contacter : service maintenance : M. P. DUMONT au 03.26.04.98.37.

Pour tout renseignement administratif contacter : service marchés : M. N. MEUNIER au 03.26.04.99.82, M’°° N. GALLOIS au 03.26.04.99.05.

Date de publication au JAL : L’UNION, éditions Marne, Aisne, Ardennes du 15 février 2008.

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l’union080214d

Halte au feu pour les incendiaires

 

Des bennes à ordure qui brûlent, ce sont d’inadmissibles dégâts, sans parler du danger potentiel, quand cela se produit dans les caves des immeubles.

(Photo d’archives)

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Hier, Julien et Cédric, deux jeunes de 19 ans, ont passé la journée à l’hôtel de police de Reims. Le premier avait répondu à une convocation ; quant au second, il a fallu aller le chercher.

Tous deux — bien qu’ils nient farouchement — sont accusés d’avoir provoqué au moins trois incendies volontaires de containers, en plein après-midi du 17 janvier dernier, dans les locaux vide-ordures d’immeubles situés 21, rue des Savoyards, 34, rue de Rilly-la-Montagne et 37, rue Pierre-Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge.

Présentés hier en fin d’après-midi au parquet, ils devraient être jugés, dès ce jeudi, en comparution immédiate, pour dégradations volontaires par le feu…

Leur interpellation, résultat de semaines de porte à porte afin de rassembler des dizaines de témoignages concordants de riverains du quartier, les ayant vus sur les lieux des trois sinistres ce jour-là, conclut une minutieuse enquête, réalisée par la brigade des violences urbaines de la sûreté départementale, sous l’autorité du commissaire principal Laurence Lairet.

Une enquête de longue haleine, pour laquelle la police « a mis le paquet », ce qui lui a permis d’identifier, de confondre et de traduire en justice, outre ces deux-là, sept autres pyromanes qui, depuis la fin 2007, pourrissaient littéralement la vie des habitants de Croix-Rouge.

En multipliant leurs actes de vandalisme, ils provoquaient, en effet, non seulement un fort sentiment d’insécurité, en raison du danger potentiel de feux allumés dans des sous-sols d’immeubles, mais aussi, tout simplement, d’inadmissibles dégâts dans les locaux techniques, nécessitant de la part des bailleurs sociaux des frais de nettoyage, de réparation ou de ravalement, se répercutant naturellement sur les charges locatives.

L’incendie le plus grave avait été celui commis le 29 janvier, au groupe Eisenhower, avec cinq foyers simultanés et avec la présence de bouteilles de gaz qui, fort heureusement, n’avaient pas explosé.

Et la sûreté urbaine avait déjà suscité un immense soulagement dans le secteur, le 5 février dernier, en identifiant et en arrêtant son auteur, un jeune de 17 ans, à qui on a pu imputer par ailleurs la responsabilité de quatorze incendies de containers !

Voleur de bicyclettes dans les caves, il les revendait pour pouvoir s’acheter l’essence nécessaire à l’assouvissement de ses pulsions de pyromane…

Toutefois, avec la mise hors d’état de nuire, hier, de Julien et Cédric, faisant suite, ces dernières semaines, à celle de Steven (par deux fois, et par deux fois condamné à un mois de prison ferme), et de ses copains Bryan, Daniel, Stevie, Romaric et Nicolas, tous auteurs, eux aussi, de nombreuses mises à feu, c’est tout le quartier Croix-Rouge qui va dormir un peu mieux, sans que les sommeils y soient régulièrement troublés par le deux-tons des camions de pompiers.

Mis à part l’incendiaire d’Eisenhower, dont le cas relève de la médecine, tous les autres (sauf les deux derniers qui nient) ont confessé avoir agi, essentiellement, par désœuvrement, par provocation, par plaisir de voir le feu et les pompiers le combattre.

En les ayant confondus sur leur propre terrain, « preuve qu’on finit toujours par les attraper », les enquêteurs de la brigade des violences urbaines espèrent bien leur avoir ôté l’envie de recommencer, car désormais ils seront tenus à l’œil. Et avoir surtout, en même temps, découragé d’autres vocations…

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l’union080214c

Les jeunes des quartiers à la chasse aux caméras

 

PHOTO : Des caméras pourraient être gênantes, si elles les empêchent de fréquenter leurs « salons privés ».

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Dans les quartiers de Reims, la chasse aux caméras est devenue une nouvelle occupation pour certains jeunes. Dans les blocs du Foyer rémois, ils cherchent pour rien, car la vidéosurveillance n’y est pas encore installée.

Un nouveau sport local se propage : les jeunes qui traînent dans les halls d’immeuble s’amusent à débusquer les caméras de surveillance. Quitte à tout casser.

SUS aux caméras ! Des chenapans des quartiers se sont trouvé une nouvelle occupation. En plus de mettre le feu aux poubelles, de défoncer les boîtes aux lettres ou de brûler les voitures, la minorité qui pourrit la vie des autres a entrepris de traquer, débusquer et mettre hors d’état de visionner toutes les caméras de vidéo surveillance du secteur. Du moins celles qui pourraient gêner leurs petites occupations.

Au 4 allée des Provençaux à Croix-Rouge, certains tiennent habituellement salon dans une pièce squattée à côté du hall. Ils sont attachés à leur local nauséabond avec canapé, vieux frigo et déchets en tout genre. Les lieux n’ont rien d’avenant mais il y a moyen de faire la teuf (fête) en toute tranquillité.

Avec les rumeurs de vidéo surveillance qui circulent de bloc en bloc, la question s’est posée de savoir si « ce p… de bailleur » n’avait pas truffé le faux plafond du hall de « p… de caméras ». Pas question de vivre avec le doute. Pour en avoir le cœur net, une seule solution. Vérifier. Et voilà les joyeux drilles qui entreprennent de démonter tout le plafond à la recherche d’un éventuel mouchard. A priori ils n’ont rien trouvé mais n’ont pas remis les lieux en état pour autant.

« Les vraies sont cachées »

« Ce n’est que le début. Dans certains blocs, les jeunes se sont carrément appropriés un local qu’ils ferment à clef et où ils mettent tout ce qu’ils piquent », croit savoir un habitant du quartier. Sûr qu’ils ne vont pas admettre que des caméras compromettent leur organisation. « Ce qui est amusant, c’est qu’ils cherchent des caméras alors que certains bailleurs n’en ont pas encore installé ».

Même à l’extérieur, les boules espionnes qui les narguent du haut de certains lampadaires les irritent. « Il y en a une qui a déjà été défoncée à Croix du Sud », affirme un jeune qui regarde la caméra au coin de Joliot-Curie d’un œil méfiant. « Je sais de bonne source que celles qui sont visibles ne sont pas celles qui filment. Les vraies qui surveillent seraient soigneusement cachées », avance un employé du quartier. Voilà lancée une légende urbaine qui pourrait rendre la chasse encore plus piquante. Et les dégradations encore plus nombreuses.

C.F. et B.S.

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« Il n’y a pas de caméras dans nos blocs »

 

Les jeunes ont cherché pour rien au 4 allée des Provençaux. « Il n’y a pas du tout de caméras dans nos blocs et la décision d’en poser un jour n’a même pas encore été prise », affirme Christophe Faber, directeur chargé de la clientèle au Foyer rémois. « Quand bien même il y en avait, nous aurions l’obligation de l’indiquer dans le hall ». Il n’y a donc pas non plus de caméras cachées. Les démolisseurs de plafond ont tout faux. « Je ne suis pas étonné de ce phénomène, les bruits infondés courent tellement vite dans les quartiers… »

S’ils avaient été un peu plus malins les jeunes auraient remis les locaux en état car leur manège a permis de faire repérer leur squat : « Nous allons intervenir pour nettoyer et condamner le site ». Sans trop se faire d’illusion. « Ils iront sans doute s’installer ailleurs mais on espère qu’au moins ils ne se donneront plus la peine de détruire les plafonds pour rien ».

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l’union080214b

Le clavier dans le reggae avec Tyrone Downie

 

Tyrone Downie a une mission : transmettre son savoir.

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Dans le cadre de ses rencontres entre amateurs et professionnels, l’espace Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge a accueilli vendredi dernier Tyrone Downie, claviériste de Bob Marley & the Wailers pendant douze ans, et aujourd’hui réalisateur d’albums d’envergure internationale (Tiken Jah Fakoly, Alpha Blondy,…).

Il est venu spécialement pour animer une masterclass pour les adhérents des maisons de quartier, mais aussi à des jeunes venus de toute la ville.

Le thème de cette master class était le clavier dans le reggae, mais aussi la programmation et les techniques de production musicale d’aujourd’hui.

L’auditoire a été frappé par son expérience, sa pédagogie et son envie de transmettre. « Avant, je ne connaissais rien. Avec Bob Marley, j’ai eu un bon professeur. Tout ce que je connais par rapport à la musique, l’enregistrement, les tournées, être tout simplement professionnel, c’est lui qui me l’a appris. Je crois que, maintenant, c’est mon devoir de tout transmettre à d’autres jeunes qui pourront communiquer à leur tour à d’autres ce que je leur aurai appris », explique l’artiste.

« Bien sûr on n’a pas fini d’apprendre avec une personne riche d’une telle expérience et la Master class a paru bien courte à tout le monde. Mais à l’espace Ethnic’s, nous espérons un nouveau rendez-vous pour l’année prochaine », conclut Abdelali Errafii, coordinateur des activités musique pour la jeunesse et responsable de la structure.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080214a

Danse orientale : un premier festival de toute beauté

 

De nombreux jeunes dans la salle parmi lesquels des collégiens d’Epernay.

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Epoustouflant !

Organisé par Houria et la compagnie « les Orientales en couleurs », le premier festival international de danse orientale et du folklore égyptien « Souffle du Nil » a rencontré un vif succès vendredi soir dans une salle archi-comble. Parmi ces nombreux spectateurs, 44 élèves d’un collège sparnacien qui avaient affrété un bus spécialement pour l’occasion.

La soirée a débuté avec les danseuses de la compagnie d’Houria « Les Orientales en couleurs ». Une belle mise en bouche avant les prestations d’artistes de haut niveau venus pour la circonstance.

A commencer par Hermina Vucicevic, une danseuse bosniaque qui a proposé une danse des Balkans de toute beauté.

Premier prix du concours international de danse orientale de Berlin, Malika Bakbouk, a proposé un solo de sharki avant la prestation de Rajaa Dussart (Maroc).

La soirée s’est poursuivie avec le maître de la danse égyptienne, Aladin El Kholy venu tout spécialement d’Allemagne avec sa compagnie et sa « danse du bâton ».

Et, pour finir, un final en apothéose, réunissant les danseurs de toutes les compagnies.

« Une soirée très colorée, avec une richesse au niveau des chorégraphies et beaucoup de styles différents » reconnaissaient les spectateurs subjugués par cette prestation.

Après la réussite de ce premier festival, rendez-vous est donné pour une seconde édition l’année prochaine voire dans deux ans, lance Houria qui explique avoir organisé cette soirée sans subvention.

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l’union080213d

Vaccinations

 

Le Service communal d’hygiène et de santé organise des séances de vaccinations. La prochaine se déroulera le mercredi 5 mars de 9 h 30 à 10 h 3 à la Maison de quartier Croix Rouge - Espace Pays de France, 1, allée des Béarnais. Tél. 03.26.8/53.48.

Pour tous renseignements complémentaires : Service communal d’hygiène et de santé 33 bis, rue Laurent-Déramez.

Ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13h 30 à 17h 30 (17 heures le vendredi)

Accueil : 03.26.35.68.70 ou 03.26.35.68.71.

Vaccinations : 03.26.35.68.78 ou 03.26.35.68,79.

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l’union080213c

Accidents domestiques

 

Une expo sur les accidents domestiques est installée jusqu’au vendredi 15 septembre à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge (14, rue Pierre-Taittinger).

Entrée libre de 9 h 30 à 11 h30 et de 14 h 30 à 17 h30.

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l’union080213b

Un bilan positif pour les jardiniers de Croix-du-Sud

 

Des jardiniers unis, unanimes et attentifs à la vie de leur association.

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Aux jardins familiaux de Croix-du-Sud, tout ce qui avait été prévu pour l’année 2007 a été réalisé : fleurissement et vente de fleurs, Pâques des enfants, barbecue, concours de la plus belle parcelle, Noël pour tous, repas dansant et assemblée générale.

Côté finances, avec 14.144 euros de dépenses pour 14.153 euros de recettes, c’est l’équilibre parfait !

On note 2.352 euros pour l’achat d’un broyeur à végétaux d’un scarificateur, d’une sono. Un vol de tondeuse a coûté 514 euros à l’association et une mésentente avec l’association Étoile Croix-du-Sud à propos de sa salle a fait perdre beaucoup !

Quelques regrets pour le président Georgy Weiler : « divers petits larcins et des dégradations dans les jardins, sur le grillage, le matériel, les plantations et les fleurs.

Trois jardiniers ont été exclus pour non entretien de leurs parcelles. Pas de problème pour les remplacer, trente candidats sont en attente ! » Le gros problème actuel ce sont les travaux liés à la ligne de tramway qui doit traverser les jardins et détruire le local de stockage.

Après les allocutions de Michel Guillaudeau et d’Éric Quénard, Jean-Marie Beaupuy a confirmé « la création d’une quinzaine de parcelles supplémentaires en 2009 vers les jardins de Pays-de-France, avec un parcellement des jardins séparés par routes, parking et ronds-points, sous la ligne haute tension » et il a prédit : « dans les années à venir, avec le développement de Bezannes, vous allez devenir non pas une entrée de ville, mais un vrai cœur de ville, vous serez la vitrine des jardins familiaux de Reims ! »

Jean-Louis Schneiter a apprécié l’excellente ambiance dans les jardins : « Je souhaite que la future municipalité continue avec vous le dialogue constructif qui s’est établi et booste votre association, notamment pour vos activités sociales ».

Les grands travaux

Entraînés par leur dynamique président appelé « Le roi de la récupération » , les jardiniers bénévoles ont réalisé eux-mêmes de nombreux travaux : empierrement de toutes les allées (8 camions, 20 tonnes de gravillons à répartir), traitement de 150 bordures en bois, réfection de toitures, peinture de cabanons, réparation de trois alimentations en eau, changement de barillets, création de regards suite aux travaux de voirie, mise en terre de plantes grimpantes des services municipaux, plantation et entretien de massifs floraux, taille des haies côté champs aux normes EDF, traitement des allées, et un énorme travail de réparations diverses : tout pour épargner au maximum les crédits.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080213a

Danse sur glace : le Rap au tournoi de France

 

Les résultats sont, une fois encore, époustouflants !

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Ludivine Lemaire, entraîneur de danse sur glace du Reims Acrap patinage, s’est déplacée à Fontenay-sous-bois les 9 et 10 février pour la 3e rencontre nationale en vue des sélections au championnat de France 1re Division, accompagnée de 11 solos et 1 couple.

Catégorie Préparatoire A : Juliette Wary termine seconde de la compétition en réalisant deux belles prestations. Sa jeune camarade Chahïnez Djeradi, qui participait pour la première fois à une compétition de cette envergure, termine 8e.

Billet pour la finale

Catégorie Préparatoire B : Mélanie Carriè prend une belle 5e place : 9e en danse imposée, elle réalise un très beau programme libre qui la classe 2e de cette épreuve.

Pré Bronze B : Margaux Abib-Gruet se classe 2e de la catégorie, ses deux danses sont réalisées avec une très belle élégance. Anaïs Milard ne démérite pas en s’attribuant la 10e place.

Pré Bronze C : Morgann Prey s’attribue la 2e place, réalisant une belle danse imposée et se rapprochant de très près de la 1re place.

Bronze A : 13e à la danse imposée, Roxane Bouvet se surpasse dans la danse libre et remonte à la 9e place.

Bronze B : Camille Renault, 1er de sa catégorie, surpasse de très loin ses concurrentes et obtient au combiné des 2 danses un total explosif.

Argent A : Morgane Huet se classe 6e de sa catégorie grâce à une remarquable 3e place dans la danse imposée. Justine Delaunois termine 8e après une belle danse d’interprétation qui lui permet de remonter dans le classement.

Argent B : Solène Manceaux, qui termine 4e, a réalisé une belle danse imposée.

Couple Pré-Bronze : Nina Toukouk et Renan Manceaux se classent 3e de la compétition, ils réalisent une très belle danse libre.

Après ces bons résultats, la section danse sur glace prépare la quatrième journée nationale des tournois de France 1re Division, que le Reims Acrap Patinage organisera à Reims les 1er et 2 mars, dernière grande étape pour ces patineurs qui visent un billet pour la grande finale : les championnats de France qui auront lieu à Épinal en avril.

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l’union080212d

AVIS DE CONSTITUTION

 

RAYANE AUTO E.U.R.L.

au capital de 3.000 euros

Siège social : 9, rue André-Pingat 51100 Reims

Objet : dépôt vente de véhicules.

Durée : 99 ans à compter de l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés de Reims.

Gérant : M. Hamid SIRAMDANE demeurant 3, place Maurice-Utrillo, 51100 Reims.

51L1541000

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l’union080212c

Les vacances de février dans les médiathèques

 

Une expo, des spectacles, un atelier et des projections. Les enfants rémois auront de quoi s’occuper durant les vacances scolaires dans les deux médiathèques.

Exposition « Mes petits papiers »

Cette rétrospective propose une sélection des dessins de l’illustratrice Rebecca Dautremer.

Les images sont extraites d’albums pour la jeunesse, de la presse et de la publicité. Un espace plus particulier est accordé à la présentation de Sentimiento, un drôle de robot, un conte poétique accompagné d’un parcours ludique qui permettra aux enfants de partir à la découverte du monde et des sentiments.

Rebecca Dautremer animera des ateliers d’illustration le samedi 15 mars.

Médiathèque Falala, jusqu’au 29 mars.

« Sophie Raconte… »

Sophie conte des histoires aux enfants, à partir de 2 ans.

Tous les mercredis de 15 h 30 à 16 heures à la médiathèque Falala.

« Chapeau de beurre et souliers de verre »

Par Cécile Bergame, conteuse et auteur d’ouvrages pour la jeunesse. Pour enfants à partir de 4 ans, 45 minutes environ.

Inscription en secteur Benjamin.

Médiathèque Falala, mardi 19 février à 16 heures.

« L’heure des bébés »

Moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. Renseignement et inscriptions en secteur jeunesse.

Médiathèque Croix-Rouge, samedi 16 février à 9 h 30.

« Sur le dos d’une souris »

Par Cécile Bergame, le spectacle aborde les thèmes de la séparation, de la relation maman-enfant, sous une pluie de neige et de paillettes. Pour les enfants de 1 à 3 ans, accompagnés d’un adulte (médiathèque Croix-Rouge, mercredi 20 février à 10 h 30).

« Dans le pli d’une jupe »

Par Cécile Bergame, pour tous, à partir de 6 ans (médiathèque Croix-Rouge, mercredi 20 février à 14 heures).

L’air du conte : « Attention aux tigres ! »

Pour tous, à partir de 6 ans (vendredi 22 février à 16 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge).

Ciné

Projections du cycle « Les animaux font leur cinéma ! »

(Médiathèque Croix-Rouge, mercredi 13 février à 14 h 30 et médiathèque Falala, mercredi 20 février à 14 h 30 et samedi 23 février à 14 h 30).

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l’union080212b

MUNICIPALES 2008 : Qu’attendent les jeunes Rémois du futur maire ?

 

« Je m’intéresse à la politique et je vais aller voter, assure Kathib, en bac pro comptabilité.

Je ne sais pas encore comment je vais faire mon choix. En tout cas, c’est une démarche importante pour l’avenir.

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Champion du monde de break et danseur professionnel, Ismaël Taggae souhaite qu’on laisse la chance aux jeunes d’organiser des concerts de hip-hop.

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En arpentant les rues des quartiers Croix-Rouge, Orgeval et Wilson, on croise des jeunes. Des jeunes qui vont à l’école, des jeunes qui cherchent un job, des jeunes parents… Tous attendent quelque chose de la future équipe municipale. Ils nous disent quoi.

Ismaël, à Croix-Rouge : « Le futur maire doit faire confiance à la jeunesse »

Mercredi après-midi, au cœur du quartier Croix-Rouge. De la musique attire l’attention, plus précisément du hip hop en provenance de la maison de quartier. Pour la dizaine de danseurs réunie dans la salle, leur passion est une véritable chance.

« Il n’y a rien à faire en ville, notamment pour ceux qui ne savent pas danser pour aller à la maison de quartier, déplore Safia Kacimi.

J’aimerai plus d’activités car à part manger, travailler et rentrer chez soi, il n’y a pasgrand-chose à faire ».

Même sentiment pour Kathib Sahraoui, un danseur de tecktonik de 19 ans.

« Le futur maire doit venir ici, qu’il propose plus de structures car le quartier est trop mort ». Il doit surtout « s’occuper de tout le monde, pas seulement des plus riches », juge Ismaël Taggae, âgé de 24 ans.

« Les bus c’est la galère »

« Et s’ouvrir à la jeunesse, lui faire confiance en lui laissant mener des projets. Il doit arrêter de nous parler de choses qui ne nous touchent pas encore, comme par exemple la modification de la ville et la mise en place du tramway. Nous, on s’en fout, ça ne va rien changer pour nous ».

Enfin, Safia a encore une attente : améliorer les transports en commun.

« Les bus, c’est la galère. Il n’y en a pas quand on doit aller travailler le dimanche à 6 heures du matin, note la jeune femme de 20 ans. Le futur maire doit faire quelque chose concernant le prix des tickets. S’ils augmentent, il faut au moins plus de bus ».

Mais pour Christophe Lambert, 20 ans, étancheur, « il ne manque rien à la ville » et de toute manière, ce papa d’une petite Océane de 6 ans n’ira pas voter. « Pour moi, la présidentielle c’est important car elle concerne toute la France. Les municipales, ce n’est que pour une ville. »

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l’union080212a

Enfants de la balle : destination Autriche

 

LLa troupe de jeunes chanteurs-comédiens amateurs donnera trois représentations des Misérables à Salzburg et dans les environs.

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Le grand jour est arrivé pour la troupe des Enfants de la balle de Tony Amirati.

Après près d’un an et demi de discussions, tractations et préparatifs, dimanche soir, elle a embarqué dans un car à destination de Salzburg, la ville de Mozart, où pendant une petite semaine, elle jouera en quelque sorte les ambassadeurs — officieux — de Reims auprès de sa jumelle autrichienne.

Au programme de cette troupe amateur regroupant des jeunes de différents milieux sociaux, de différentes confessions religieuses et de différents quartiers, dont certains réputés difficiles comme Croix-rouge ou Wilson : trois représentations de la comédie musicale les Misérables. Mais aussi quelques sympathiques visites touristiques.

A.P.

 

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l’union080211d

Enfants de la balle : destination Autriche

 

La troupe de jeunes chanteurs-comédiens amateurs donnera trois représentations des Misérables à Salzburg et dans les environs.

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Le grand jour est arrivé pour la troupe des Enfants de la balle de Tony Amirati.

Après près d’un an et demi de discussions, tractations et préparatifs, hier soir, elle a embarqué dans un car à destination de Salzburg, la ville de Mozart, où pendant une petite semaine, elle jouera en quelque sorte les ambassadeurs — officieux — de Reims auprès de sa jumelle autrichienne.

Au programme de cette troupe amateur regroupant des jeunes de différents milieux sociaux, de différentes confessions religieuses et de différents quartiers, dont certains réputés difficiles comme Croix-rouge ou Wilson : trois représentations de la comédie musicale les Misérables.

Mais aussi quelques sympathiques visites touristiques.

 

 

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l’union080211c

Enlèvement : Victimes d’un cambriolage ils se font justice eux-mêmes

 

Ils avaient été victimes d’un vol dans leur appartement ; ils se sont transformés en coupables, kidnappant l’auteur des faits pour l’obliger à leur restituer leurs biens.

C’est l’histoire quelque peu rocambolesque de victimes qui deviennent coupables, et d’un jeune coupable qui devient victime. En deux mots, l’auteur d’un cambriolage se fait kidnapper — et tabasser — par ceux qu’il avait volés, qui voulaient ainsi remettre rapidement la main sur leurs biens en court-circuitant la case officielle police/justice.

Tout se déroule, très rapidement, vendredi soir. Vers 20 heures, un individu se présente au commissariat de Reims : « Je viens de voir dans le quartier Croix-rouge, raconte-t-il en substance, un gamin qui roulait à vélo se faire frapper et embarquer dans un véhicule par quatre ou cinq individus. »

Ce témoin a eu le réflexe de noter le numéro d’immatriculation. La police réagit au quart de tour, identifie le véhicule, et se lance à sa recherche. Au bout de quelques minutes, dans l’allée des Bourguignons, les agents repèrent ledit véhicule, et un groupe au pied d’un immeuble : les cinq ravisseurs présumés, et le kidnappé, un garçon de 13 ans.

Physiquement, il s’en tire bien après les coups reçus : on ne constatera que deux jours d’incapacité seulement. En revanche, judiciairement, il s’en tire moins bien. Car la police recueille les dépositions des uns et des autres, et finit par interpeller tout le monde, même la victime de l’enlèvement !

Il apparaît en effet que s’il s’est retrouvé en aussi fâcheuse situation, ce n’est pas par hasard : les ravisseurs expliquent que s’ils ont fait ça, c’est à la suite d’un vol commis à leur domicile par l’homme en question un peu plus tôt ! Après avoir pénétré dans l’appartement désert — en utilisant la clef laissée sous le paillasson semble-t-il —, il avait subtilisé quelques objets, notamment une console de jeu et un téléviseur. Mais il avait été vu par un voisin, qui s’était empressé de le dénoncer aux victimes du vol à leur retour.

« Mais nous avions bien l’intention de le remettre entre les mains de la justice après avoir récupéré notre bien » ajoutent les ravisseurs devant les policiers. Cette louable intention ne suffira pas à leur éviter de rendre des comptes. Si l’on n’a pas retenu contre eux un authentique enlèvement, on leur reprochera quand même des violences volontaires à plusieurs, dont ils devront répondre le 15 mai prochain devant la justice.

Quant au jeune kidnappé, remis en liberté samedi après-midi à l’issue de sa garde à vue, lui non plus n’échappera pas à la sanction : il est convoqué, pour vol avec effraction, devant le juge des enfants à la date du 18 mars.

Antoine Pardessus

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l’union080211b

Roulottiers pris en flag’

 

Quatre jeunes garçons, des mineurs de 16 et 17 ans, ont été surpris par les policiers en train de se livrer à des vols à la roulotte en pleine nuit de samedi à dimanche, vers minuit, du côté de la rue Taittinger (Croix-rouge).

Quand les agents leur sont tombés dessus, les jeunes roulottiers avaient déjà écumé cinq voitures, sans les forcer (ils se contentaient de vérifier si les portières étaient verrouillées ou non), chipant à l’intérieur aussi bien des bonbons qu’une façade d’autoradio.

Ils devront en répondre devant le parquet des mineurs les 10 ou 11 mars prochains.

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l’union080211a

Projectiles contre policiers

 

Il y a manifestement des habitants du quartier Croix-rouge qui n’aiment pas les policiers.

C’est ainsi que la présence d’une patrouille du côté de l’allée des Provençaux a généré un attroupement hostile samedi soir, vers 19 h 30.

Des projectiles ont été lancés contre les agents. Pas toujours facile d’identifier les auteurs dans ces cas-là ; les policiers ont tout de même réussi à en pincer un, un garçon de 15 ans, malgré sa tentative de fuite.

Il répondra de son jet de pierre contre la voiture de police le 18 mars devant le juge pour enfants.

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l’union080209d

Twister sort son premier album solo

 

Twister est membre du groupe Marchands 2 Lyrics.

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Il aura fallu « un an de travail avec des hauts et des bas » avant que Twister, rappeur rémois de 25 ans, puisse enfin sortir son premier album solo de 20 titres en autoproduction, sous le titre « Sur mes gardes ».

L’album commence avec une intro lourde et « des lyrics aiguisés pour faire taire les mauvaises langues… » commente Twister : La suite est pleine de surprises, lin peut y retrouver des influences qui nous font traverser les océans, du Sénégal avec le groupe FokkJazz en passant par la Floride avec Oz¬-Killa… »

Les thèmes sont variés et les textes abordent les relations amoureuses (« Lady »), la nostalgie (« Plus comme avant »), mais aussi les expériences de la vie de l’auteur qui a offert une plage à son camarade Dark Dem, du groupe Marchands 2 Lyrics, sélectionné avec lui au Tremplin « Jeunes Talents 2004 » organisé par Pôle Sud Musique et la Cartonnerie.

La production du CD doit tout au compositeur rémois Monster, l’enregistrement a été réalisé au studio StayFocus par Apocalypse No et la belle maquette est due au talent de Carlos Xavier.

« Le disque est en vente à Reims Fnac et chez Underground, P14 rue Gambetta.

En attendant, on peut s’en faire une idée sur le site http://www.myspace.com/twister51100

 

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l’union080209c

Le bâtiment forme et recrute

 

Un public intéressé par les débouchés dans les travaux publics.

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L’association « 2 Mains » a organisé, en partenariat avec la Fédération régionale des travaux publics, une rencontre d’information sur la découverte des métiers des travaux publics, mercredi 6 février à la médiathèque Croix-Rouge.

« Les travaux publics vont perdre 4.500 emplois dans les années à venir, à raison de 450 retraités par an ! Or, rien qu’à Reims, après la Ligne à grande vitesse, les secteurs Tramway et ZI Croix-Blandin par exemple, vont provoquer un afflux de travail : cette ville est un secteur sous tension » expliquait Astrid Moreau, chargée de la promotion de ces métiers, qui s’est employée à effacer la mauvaise image des travaux publics en tenant compte des énormes améliorations dans les mécanismes, les engins et le matériel.

« Les conditions de travail au quotidien se sont également considérablement améliorées. Quant aux rémunérations, elles ont augmenté, avec intéressement et participation aux bénéfices. »

Astrid Moreau a ensuite évoqué les formations proposées gratuitement par les entreprises aux jeunes et aux adultes, aux hommes comme aux femmes, avec en particulier le contrat de professionnalisation en alternance.

Pour tout renseignement, contacter l’association 2 Mains au 4, place Dominique-Ingres (Tél. 03.10.16.10.41.).

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080209b

Beaucoup de travaux encore à Croix-Rouge

 

Des travaux sur le réseau d’eau potable sont prévus dans le quartier jusqu’au 17 mars.

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Travaux à Croix-du-Sud

Nous avons annoncé dans une précédente édition que l’Effort rémois va engager des travaux de réfection des peintures ou revêtements muraux de 39 cages d’escaliers d’un certain nombre de bâtiments du patrimoine locatif de l’organisme logeur, dont un lot sur Croix-du-Sud et un lot sur Debar.

L’Effort rémois nous a précisé que « courant 2008, les cages d’escaliers des 14 Georges-Braque, 5 et 6 Edgar-Degas et 6 Dominique-Ingres seront repeintes » .

Eau potable

Les usagers doivent s’attendre à des perturbations à Croix-Rouge jusqu’au 17 mars à cause de travaux sur le réseau d’eau potable allée des Béarnais, allée des Bourguignons, allée Edgar-Degas, allée des Gascons, avenue du général-Bonaparte, avenue du général-Eisenhower, allée des Limousins, allée des Picards, rue de Rilly-la-Montagne et allée des Savoyards.

La Palisse

Excédés à cause de travaux non réalisés dans leur garage collectif, les locataires de l’association des Polygones ont obtenu cette réponse surprenante d’un responsable de l’Effort rémois : « En ce qui concerne les travaux de matérialisation au sol dans le garage, ceux-ci vont se poursuivre jusqu’à la fin de leur exécution. »

Ascenseur très, très défaillant

« Moins de 5 jours de fonctionnement en janvier, remis en marche le vendredi 1 février, de nouveau en panne le lundi 4 février avec intervention des pompiers soit, pour l’instant, 2 jours de fonctionnement en février : je pense que les locataires du 23 cour Eisenhower ont été plus que patients et compréhensifs sur cette affaire » s’indigne Fabrice Lopez, président du Collectif de défense des locataires Croix-Rouge : « Un petit mot de Reims habitat aurait été de circonstances ».

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l’union080209a

La radio, un outil pour apprendre à communiquer

 

Un projet pédagogique original pour une classe du LP Joliot-Curie.

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« Vous allez être écoutés par 7.000 auditeurs par jour. Vous ne pouvez pas faire n’importe quoi. Il y a des techniques à respecter ». Thierry Berthe, responsable d’antenne à Radio-Phare, explique ce mercredi les multiples contraintes d’une émission radiophonique aux élèves de brevet professionnel en un an du lycée Joliot-Curie.

A l’initiative du projet, Lucette Turbet, animatrice de la chronique « Livre Express », et Françoise Lebrun professeur de lettres de la section « Métiers de la Comptabilité et du Secrétariat » : « L’idée, c’est de travailler l’oral et faire en sorte que cela change des exercices habituels ».

Pour ces élèves issus de seconde générale et réorientés en LP, c’est en quelque sorte un défi : « C’est un redémarrage, et la radio est un moyen original pour reprendre confiance en soi », ajoute Mme Lebrun. Les lycéens comprennent d’emblée que ce ne sera pas si facile : On leur explique que pour faire de l’oral, il va falloir d’abord… écrire ! Déterminer le plan, mettre en forme les idées. Le projet est de réaliser une dizaine de petites chroniques de 3 minutes, qui seront diffusées à une heure de grande écoute.

Si on excepte « La coupe d’Afrique de football » ou « Les trucs de filles » (vêtements, maquillage), les sujets retenus sont très sérieux : l’hygiène, l’humanitaire, la politique…

Alexandra et Soraya ont opté pour la sexualité. Teddy a choisi le racisme : « J’ai compris qu’il convenait d’utiliser des mots simples, de faire des phrases courtes, sans bafouiller ». « Plus il y a de contraintes, mieux c’est ! » ajoute leur professeur. Ayant à cœur de valoriser l’image du lycée, elle apprécie de voir qu’un groupe a choisi : « Lutter contre les préjugés concernant les lycées professionnels ».

Gageons que réussir leur défi en sera la plus belle démonstration…

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Football : Gueugnon : La soirée

 

Ouverture des portes du stade à 19 heures. À l’entrée, 6.500 tape-tape devraient être distribués au public par Star People dont la mascotte de 2 m de hauteur devrait donner le coup d’envoi. Les ramasseurs de balles seront les moins de 13 ans de l’Acrap (Croix-Rouge).

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Feux de voitures

 

Deux interventions pour feux de voitures pour les sapeurs-pompiers de Reims.

La première, mercredi soir, vers 19 h 30, rue de Rilly-la-Montagne où, malgré leurs efforts, le véhicule a été totalement ravagé.

La seconde, vers 3 heures,……

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AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

Identification du pouvoir adjudicateur : Lycée Joliot-Curie, 4, rue Joliot-Curie, 51100 Reims, tél. 03.26.06.03.11.

Information générale : les achats de fournitures et les prestations demandés par le lycée d’un montant supérieur à 4.000 euros HT seront diffusés durant l’année 2008 sur le site : http://xxi.ac-reims.fr/lyc-joliot-curie/

Les informations peuvent être obtenues auprès de Madame CHOBEAU-DEHUT, gestionnaire.

Objet du marché :

- Un marché de travaux relatif au remplacement de 10 fenêtres en PVC.

- Un marché de travaux relatif à la réfection de deux tronçons de voirie dans l’enceinte du lycée.

Procédure : la présente procédure est une procédure adaptée pour la passation d’un marché sans formalité préalable.

Critères d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse pour l’établissement au regard du rapport qualité-prix et de l’organisation des travaux en fonction du calendrier scolaire.

Date limite de réception des offres : Les offres devront parvenir avant le 29 février 2008 à 17 heures.

Date d’envoi du présent avis : 4 février 2008.

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Cinéma d’animation à la Nacelle

 

Pendant les vacances de février, l’espace la Nacelle propose une sensibilisation au cinéma d’animation tous les jours de 17 à 19 heures au point Cyb piloté par Franck Simon.

Le but de cette activité ouverte à tous est de réaliser très rapidement et très facilement de petits films d’animation dans la veine de « Wallace et Gromit » : « en quelques séances, et après avoir donné vie à toute sorte d’objets inanimés, chacun pourra repartir avec son petit film sous le bras » assure Patrick Gobin, coordinateur des activités d’expression pour la jeunesse à la Nacelle : « grâce à une simple web cam il est facile en effet de produire un véritable film d’animation, et de donner vie à n’importe quel objet en l’animant image par image ! »

On peut voir quelques exemples sur le blog du point Cyb : www.espacenumeriquecroixroug…

Espace La Nacelle (3, rue du docteur-Billard). Tél. 03.26.49.47.07.

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l’union080206b

AVIS DE CONSTITUTION

 

Dénomination sociale : SARL "UNE TOQUE CHEZ VOUS’ :

Forme sociale : S.A.R.L.

Siège social : avenue Eugène-Roederer, 51390 Gueux.

Capital social : 600 € (six cents euros).

Objet social : restaurant, traiteur, salon de thé, plats à emporter.

Durée : 99 ans.

Gérant : Dany BINET, 1, allée Antoine-Watteau, 51100 Reims.

La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.

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l’union080206a

Coupe de la Champagne de danse sur glace : large domination du Rap

 

L’équipe de danse sur glace. Accroupies : l’entraîneur Ludivine Lemaire et la présidente Jeanine Catry.

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Pour la Coupe de la Champagne Jean-Jacques- Lapique, du nom de leur président d’honneur, les danseurs sur glace du Reims Acrap patinage se sont surpassés et ont obtenu en danses imposées et libres des résultats qualifiés d’époustouflants par les organisateurs avec 13 premières places, 13 deuxièmes places et 10 troisièmes places !

Belle ascension

Ludivine Lemaire, entraîneur de cette discipline, a présenté de toutes jeunes nouvelles compétitrices, et au vu des résultats obtenus elles pourront prétendre participer au Tournoi de France 1ère Division que le Reims Acrap Patinage organise les 1er et 2 mars, une grande et belle ascension due à beaucoup de travail, de motivation et de complicité.

- Catégorie 7e cristal B danse libre : 1. Jeanne Reppel, 2. Océane Persinet, 3. Victoire Plomion, 5. Chloé Neiva, 6. Océane Littière.

- Catégorie 7e cristal A danse libre : 1. Océane Goyart, 2. Chahïnez Djeradi, 3. Chloé Belin.

- Préliminaire danse libre : 1. Coralie Dehu, 2. Philippine Bouny et Christopher Guissant, 4. Lydie Jacquet.

- Préparatoire danse libre : 1. Juliette Wary, 2. Mélanie Carrié, 3. Renan Manceaux, 4. Nina Toukouk.

- Pré Bronze A danse libre : 2. Inès Martelleur, 3. Marine Ravaux, 4. Jessica Guissant.

- Pré Bronze B danse libre : 4. Morgane Prey, 7. Margaux Abib-Gruet, 9. Anaïs Milard.

- Bronze A danse libre : 1. Lucile Sarrazin, 2. Perrine Momboisse.

- Bronze B danse libre : 1. Camille Renault, 3. Roxane Bouvet.

- Argent A danse libre : 1. Marie-Thérèse Blazquez.

- Argent B danse libre : 2. Morgane Huet, 4. Justine Delaunois, 5. Karen Martin.

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A Dunkerque pour la Coupe de la jeunesse

 

Les jeunes « artistiques » du Rap.

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Une nouveauté en matière de compétition artistique : une 3e division destinée aux enfants de moins de 13 ans !

Cette première compétition de la saison pour les patineurs artistiques du Reims Acrap patinage, s’est déroulée à Dunkerque.

Coachés par Jonathan Jaquet, patineur en Tournoi de France 2e Division et bénévole au sein du club, six patineurs ont fait le déplacement et ont livré une belle prestation qui fait honneur à leur entraîneur Sabrina Deconinck.

- En catégorie Jeunes talents, Fanny Hardy prend la 2e place du podium.

- En catégorie Avenirs, Juliette Wary finit 6e.

- En catégorie Minimes 1 filles, Mélanie Gabreau arrive 2e, Maxine Baule 3e.

- En catégorie Minimes 1 garçons, Gianni Daffini prend la 1ère place.

- En catégorie Minimes 2 filles, Justine Laroussi-Gervasoni termine 3e.

Pour certains de ces jeunes patineurs, il s’agissait de leur première compétition : la saison s’annonce prometteuse pour le Rap.

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l’union080205d

Chez les jardiniers de Croix-du-Sud

 

Évelyne Nkounkou, secrétaire, et Georgy Weiler, président.

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Les jardins de Croix-du-Sud (67 parcelles) se trouvent rue Joliot-Curie et le siège social 9, place Jean-Fragonard au bureau de l’Effort rémois.

Le nouveau conseil d’administration et le nouveau bureau ont été constitués.

Président, Georgy Weiler (03.26.06.71.96.).

Vice-président, Éric Dousset.

Trésorier, Bernard Lefèvre.

Vice-trésorier : Pierre Gros.

Secrétaire, Evelyne Nkounkou.

Vice-secrétaire, Jean Prime.

Délégués de parcelles : Jean-Paul Dordain, Jean-Pierre Lafrogne et Christiane Maquin.

Animateurs : Chantal Randale et Jérôme Weiler.

Site : http://jardinscroixdusud.site.voila.fr

Adresse Internet : jardinscroixdusud@ tele2.fr

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l’union080205c

Des collégiens sensibilisés au commerce équitable

 

L’animation a commencé par une dégustation de produits issus du commerce équitable.

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A l’initiative de Mme Jaujou, professeur d’histoire-géographie, les élèves de 6e 2 du collège Joliot-Curie ont dégusté un petit-déjeuner réalisé avec des produits issus du commerce équitable, mercredi 30 janvier.

L’action proposée par « Artisans du monde » avait pour objectif de sensibiliser les élèves aux problèmes liés à nos comportements alimentaires et de consommation qui ont une incidence sur le commerce dans le monde et sur les pratiques agricoles.

L’animation, qui a duré deux heures, a commencé par une dégustation de produits issus du commerce équitable, suivie d’une discussion avec les élèves et de jeux de rôles (producteur, consommateur, acheteur) afin de présenter les principes du commerce équitable et ses enjeux.

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CROIX-ROUGE : Secteur Eisenhower : une pétition autour de la rénovation urbaine

 

Le tout récent collectif de défense des locataires Croix-Rouge (CDL-CR) reste mobilisé contre plusieurs aspects du projet de renouvellement urbain.

« Nous souhaitons que soient pris en considération les désaccords de la population sur divers points du projet de renouvellement urbain du quartier » explique Fabrice Lopez, fondateur du CDL-CR.

Une pétition a circulé en fin d’année sur l’ensemble des logements du secteur Eisenhower, sur deux principaux points : le maintien des parkings limitrophes à l’école et la création d’un espace vert avec infrastructures sportives et jeux pour les enfants.

« Cette pétition a remporté une forte adhésion, 320 signatures sur 400 locataires de Reims habitat rien que pour le secteur « cour Eisenhower » soit 80 % d’avis favorables. Pourtant, l’organisme bailleur et la municipalité continuent de faire la sourde oreille à ces revendications ! Or un projet de renouvellement urbain sans concertation et sans considération de l’avis de la population concernée est voué à l’échec. »

Le projet prévoit notamment la création d’une nouvelle artère. « Selon nous, à long terme, la vocation de cette rue dans le projet de renouvellement urbain est de séparer l’esplanade Eisenhower et la cour Eisenhower, une résidentialisation du secteur mal perçue par les habitants. De plus, on manque ici énormément de places de parking. Les suppressions des parkings aériens gratuits visent à remplir les parkings souterrains payants de Reims-Habitat ».

Pour le collectif, en lieu et place d’une nouvelle rue, les habitants souhaitent de l’espace vert avec des infrastructures de jeux pour les jeunes. L’organisme logeur Reims habitat n’a pas souhaité communiquer sur ces sujets.

Une association apolitique ?

L’omniprésence du créateur du collectif de défense des locataires Croix-Rouge depuis quelques mois dérange. D’autant plus que beaucoup lui prêtent des arrière-pensées politiques (son site internet fait référence à plusieurs reprises au Modem dont il est proche).

Lui se défend de tout amalgame. « Je souligne l’indépendance de mes actions associatives vis-à-vis de mes actions politiques. Une association (groupe d’individus) par ses statuts est apolitique. Notre association est composée par ailleurs d’adhérents de diverses sensibilités politiques et religieuses », précise l’intéressé.

Une indépendance d’actions qui n’est pourtant encore pas toujours évidente comme en témoigne une nouvelle fois son site internet qui fait référence, dans la même page, à ses engagements politique et associatif.

Locataires de Pays-de-France

Pour des raisons d’organisation, Marceau Nicolas, président de l’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge, comité Pays-de-France » est dans l’obligation de reporter son assemblée générale d’une semaine, au mardi 19 février à 18 h 30, salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

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Enfants renversés

 

Deux enfants ont été renversés par une voiture hier.

Le premier se trouvait à 13 h 30 allée des Provençaux, le second était avenue Bonaparte à 17 heures.

Les deux bambins, légèrement blessés, ont été transportés à l’hôpital.

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« 2 Mains » tendues vers les 16 - 30 ans en rupture sociale et professionnelle

 

L’équipe de 2 Mains : de gauche à droite, Ismaël Metaoui, Vanessa Pogniot, Halim Lemboub et Jean-Louis Rumerio.

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A Croix-Rouge, l’association « 2 Mains » veut établir des liens entre le monde économique et de l’entreprise et le monde social et éducatif, en bref, mettre en place un Dispositif éducatif novateur d’insertion sociale (DENIS) en faveur des 16 - 30 ans en rupture sociale et professionnelle, vers un dispositif de droit commun.

Il faut d’abord repérer les personnes intéressées, grâce à un réseau très large (parents, familles, Mission locale, organismes logeurs, correspondants de quartier, CCAS, Maison de quartier, service départemental de Prévention, Circonscription départementale, associations territoriales : Delta for mation, Travailleurs Maghrébins de France, Promotion de Pays-de-France, Étoile Croix-du-Sud,…).

Il est alors proposé aux candidats repérés des ateliers jeunes par les associations d’insertion, des chantiers éducatifs ou encore des entreprises.

Une évaluation est ensuite réalisée par le groupe d’accompagnement, avant de proposer au final une orientation choisie avec le maximum de chances de réussite, et prolongée si nécessaire par un soutien psychologique avec le Centre psychanalytique de consultations et de traitement (CPCT) et médical, un soutien à l’insertion et des activités socio-éducatives.

Pendant ce parcours, « 2 Mains » pourra proposer une remise à niveau, une aide au logement, un bilan de compétences techniques, une aide administrative, et aider à la recherche de stages en entreprises, en partenariat avec l’Agefos-PME, l’ANPE, le CFA de Châlons-en-Champagne, l’Afpa, Manpower, la Fédération Champagne-Ardenne des travaux publics…

Premier bilan encourageant : « 65 jeunes ont déjà été accompagnés depuis début septembre 2007 et une vingtaine est sortie du système en emploi ou en formation », précise Vanessa Pogniot.

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Une association unique en son genre

 

Présidée par Bruno Bestel, l’association « 2 Mains », créée en juin 2006, est basée à Croix-du-Sud, au 4, place Dominique- Ingres dans un local fourni par l’Effort rémois, sans loyer.

Son directeur Jean-Louis Rumerio et ses trois collaborateurs, Vanessa Pogniot, éducatrice spécialisée, Halim Lemboub et Ismaël Metaoui, accompagnateurs sociaux offrent aux jeunes gens du quartier Croix-Rouge un espace de réflexion et d’écoute permettant une ouverture autour de pratiques éducatives novatrices et de créer des accompagnements éducatifs permettant à ceux qui sont le plus en difficulté de construire au mieux leur avenir.

Renseignements : 2 Mains, 4 place Dominique-Ingres (03.10.16.10.40. ou 03.10.16.10.42.)

Permanences : de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures tous les jours sauf week-end.

Site : http://membres.lycos.fr/asso2mains/

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Encore Eisenhower !

 

Décidément, le quartier Eisenhower fait beaucoup parler de lui en ce moment à la rubrique des faits divers : après le feu de parking de mardi dernier qui avait mobilisé les pompiers en nombre et qui donne lieu en ce moment à une enquête de police (et même à un début de polémique entre représentant des locataires et organisme logeur, voir notre édition d’hier dimanche), un nouveau feu a été signalé aux pompiers hier après-midi, au numéro 15 ; feu de détritus au rez-de-chaussée d’un immeuble, qui a heureusement été plus facilement maîtrisé que le précédent.

La persistance de l’odeur du feu de mardi avait d’ailleurs valu une sortie aux pompiers dès samedi soir vers 20 heures, des habitants pensant à tort à un nouvel incendie.

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Les vacances de février dans les médiathèques

 

La conteuse Cécile Bergame.

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Une exposition, des spectacles, un atelier et des projections. Les enfants rémois auront de quoi s’occuper durant les vacances scolaires dans les deux médiathèques.

EXPO : « MES PETITS PAPIERS » :

Cette rétrospective propose une sélection des dessins de l’illustratrice Rebecca Dautremer. Les images sont extraites d’albums pour la jeunesse, de la presse et de la publicité. Un espace plus particulier est accordé à la présentation de Sentimiento, un drôle de robot, un conte poétique accompagné d’un parcours ludique qui permettra aux enfants de partir à la découverte du monde et des sentiments.

Rebecca Dautremer animera des ateliers d’illustration le samedi 15 mars.

Médiathèque Falala, du 5 février au 29 mars.

« SOPHIE RACONTE… » :

Sophie conte des histoires aux enfants, à partir de 2 ans.

Tous les mercredis de 15 h 30 à 16 heures à la médiathèque Falala.

« CHAPEAU DE BEURRE ET SOULIERS DE VERRE » :

Par Cécile Bergame, conteuse et auteur d’ouvrages pour la jeunesse.

Pour enfants à partir de 4 ans, 45 minutes environ. Inscription en secteur Benjamin

Médiathèque Falala, mardi 19 février à 16 heures.

« L’HEURE DES BÉBÉS » :

Moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Renseignement et inscriptions en secteur jeunesse.

Médiathèque Croix-Rouge, samedi 16 février à 9 h 30.

« SUR LE DOS D’UNE SOURIS » :

Par Cécile Bergame, le spectacle aborde les thèmes de la séparation, de la relation maman-enfant, sous une pluie de neige et de paillettes.

Pour les enfants de 1 à 3 ans, accompagnés d’un adulte.

Médiathèque Croix-Rouge, mercredi 20 février à 10 h 30.

« DANS LE PLI D’UNE JUPE » :

Par Cécile Bergame, pour tous, à partir de 6 ans.

Médiathèque Croix-Rouge, mercredi 20 février à 14 heures.

« L’AIR DU CONTE : ATTENTION AUX TIGRES ! » :

Pour tous, à partir de 6 ans.

Vendredi 22 février à 16 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge.

ATELIER GOÛTER PHILO :

« Puis-je avoir l’air bête et ne pas l’être ? » Atelier de discussion philosophique destiné aux enfants de 7 à 10 ans. Renseignements et inscription en section jeunesse.

Médiathèque Falala, samedi 9 février de 14 h 30 à 16 heures.

CINÉMA :

Projections du cycle « Les animaux font leur cinéma ! »

Médiathèque Croix-Rouge, samedi 9 février à 14 h 15 et mercredi 13 février à 14 h 30 et médiathèque Falala, mercredi 20 février à 14 h 30 et samedi 23 février à 14 h 30.

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Accidents en ville

 

Hier matin, vers 8h30,un accident mettant en cause deux voitures s’est produit dans la rue Adrien Sénéchal(Croix-du(Sud) sans faire de blessé.

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A la médiathèque Croix-Rouge

 

Cécile Bergame est conteuse, comédienne, responsable artistique de la compagnie Café-Crème et auteur d’ouvrages pour la jeunesse.

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La Ronde des albums

Mercredi 6 février à 11 heures, petit clin d’œil au nouvel an chinois avec des illustrateurs connus. Pour enfants de 4 à 8 ans.

Julie raconte

Mercredi 6 février à 15 heures, « Quand les crêpes tombèrent du ciel », un conte de Muriel Bloch extrait de « 365 contes pour tous les âges ».

Ivan et Stéphane sont deux frères. Un jour, en labourant son champ, Ivan le rusé trouve une marmite pleine d’or…

Pour tous, à partir de 5 ans.

L’heure des bébés

Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents, samedi 16 février à 9 h 30.

Contes pour les tout-petits

Avec Cécile Bergame, sur le dos d’une souris : « Chut ! Chut ! Faites silence, faites silence, c’est la queue du chat qui danse. Quand le chat a dansé, quand le coq a chanté, mon histoire peut commencer ».

Le spectacle aborde les thèmes de la séparation, de la relation mère-enfant, sous une pluie de neige et de paillettes.

Pour les enfants de 1 à 3 ans, accompagnés d’un adulte, mercredi 20 février à 10 h 30.

Contes encore

Avec Cécile Bergame, dans le pli d’une jupe : « J’ai vu, assise sur un bout de bois, une toute petite vieille femme. Elle était vieille comme un caillou, ratatinée comme un fruit tombé de son arbre.

Je lui ai dit bonjour, mais elle n’a pas répondu. Je me suis approchée d’elle et c’est là que j’ai vu dans le quinzième pli de sa jupe… ».

Pour tous à partir de 6 ans, mercredi 20 février à 14 heures.

Diapositives

« La crêpe qui ne voulait pas être mangée » (dessins de Benoît Déchelle) suivi de « Camille fait des crêpes » (dessins et textes de Jacques Duquennoy).

Pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 27 février à 16 h 30.

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l’union080201c

Métiers des travaux publics

 

L’association « 2 Mains » organise , en partenariat avec la Fédération régionale des Travaux publics, une rencontre d’information sur la découverte les métiers de ce secteur.

Rendez-vous mercredi 6 février à 15 heures à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar à Reims.

Entrée gratuite et ouverte à tous.

Informations : 03.10.16.10.40 ou 03.10.16.10.42

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l’union080201b

Feu de poubelle

 

Les pompiers sont intervenus hier vers trois heures du matin dans un local vide-ordures de l’allée des Bourguignons (Croix-Rouge) pour éteindre un feu de poubelle.

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l’union080201a

Au 4 allée des Bourguignons l’ascenseur n’en fait qu’à sa tête

 

Au 4 allée des Bourguignons, l’ascenseur est toujours en panne. Les locataires sont en colère. Ils voudraient bien que ça change. Le Foyer rémois conscient de la situation a pris les choses en main.

« C’EST la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». Au 4 allée des Bourguignons, Johanna Zeszut, comme ses voisins et voisines, en a marre. L’ascenseur tombe régulièrement en panne. Et dans cet immeuble de 10 étages, l’ascenseur est indispensable.

« Il y a deux jours, en rentrant de l’école », raconte cette jeune maman, « ma fille de huit ans est restée coincée à l’intérieur pendant une demi-heure. Elle était terrorisée. Elle a tambouriné tant qu’elle a pu sur les parois. Ses cris et ses pleurs ont alerté les voisins. Et les pompiers sont venus la secourir ».

Elle ajoute : « Dans cet immeuble, il y a des gens handicapés qui ne peuvent se passer d’ascenseur, des personnes âgées et fragiles, des jeunes parents qui se servent de poussettes… Ça devient infernal ».

« Prisonnier de sa tour »

Viviane, locataire au 6e, a recensé depuis quelques semaines toutes les pannes. « Juste avant Noël, il est resté 8 jours sans fonctionner », indique-t-elle. « Puis c’était du 3 au 10janvier. Il a marché quelques jours et les 15, 16, 18 et 19janvier de nouveau la panne. Du 24 au 30janvier, il était encore coincé. Et c’est également arrivé qu’il soit bloqué trois fois dans la même journée ».

« C’est simple », poursuit-t-elle, « on n’arrête pas d’aller porter des réclamations auprès de notre antenne du Foyer rémois, allée Bonaparte. Quant à la société chargée de l’entretien, on connaît son numéro par cœur ».

Au 4 allée des Bourguignons, l’ascenseur semble vraiment n’en faire qu’à sa tête. Et pourtant. « L’année dernière », se souvient Johanna Zeszut, « pendant deux mois, il n’a pas fonctionné parce qu’on le remettait en état. Nous avons tous pris notre mal en patience, mais pour quel résultat ? Il doit y avoir un autre problème. Il faudrait vraiment une vraie réparation ».

D’ailleurs lorsque l’ascenseur fonctionne, les locataires, qui le peuvent, préfèrent prendre les escaliers. « C’est plus sécurisant », explique le fils de Johanna Zeszut. « Mais regardez l’état des escaliers. Il n’y a jamais de lumière. Il faut s’éclairer au portable ou à la lampe de poche. Et puis c’est sale, dégradé, plein de graffitis ».

Pour Jean Mortier, 75 ans, locataire au 5e, pas question de se passer de son ascenseur : « Je suis invalide de guerre, pensionné à 100 % », explique-t-il. « Avec mon cœur, je ne peux pas prendre les escaliers. Alors je reste cloîtré chez moi. Pour les courses, je demande à une voisine. Parfois, je vous assure, on se sent prisonnier dans sa tour ».

C’est aussi le sentiment de Renée Quintois, locataire au 8e pour qui l’ascenseur est tout simplement « vital ». « Je suis très handicapée », raconte-t-elle. « Désormais, je ne me déplace qu’en fauteuil roulant. L’ascenseur est le seul moyen que j’ai pour sortir d’ici, prendre l’air ». Il n’y a pas si longtemps d’ailleurs les pompiers ont même dû utiliser la nacelle pour la secourir. « Je suis tombée dans un coma diabétique », raconte-t-elle.

« L’ascenseur était une nouvelle fois en panne. Les ambulanciers ne pouvaient pas venir me chercher. Ce sont donc les pompiers qui sont intervenus. Ils ont déplacé les meubles, enlevé ce qu’il y avait sur la terrasse, puis ils m’ont passée par la fenêtre ». Ses yeux s’embrument. Une histoire que personne, au 4 allée des Bourguignons, n’est prêt à oublier.

Catherine Tellier

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« Tout est rentré dans l’ordre »

 

Au Foyer rémois, on est conscient des difficultés que connaissent les locataires du n°4 allée des Bourguignons. Francis Mérot, directeur de la maintenance apporte quelques précisions. « Cet ascenseur a été totalement réhabilité en 2006 pour un coût de 50.000 euros », explique-t-il. « La cabine en inox a été totalement changée, tout comme le mécanisme. Il a été remis aux normes de sécurité ».

Il ajoute : « Maintenant concernant ces pannes, il faut savoir que cet ascenseur est souvent malmené. Cela dit, son dysfonctionnement n’est pas lié qu’au vandalisme. Et depuis un certain temps, il avait des gros soucis. Mais hier (Mercredi NDLR), une équipe de Paris est venue pour réparer. La panne a été trouvée et a priori, aujourd’hui, tout devrait être rentré dans l’ordre. Ne restaient à remplacer que les lumières à l’intérieur. Cela aurait dû être fait hier mais nous avons eu un important problème au n° 2 allée des Bourguignons que nous avons privilégié. Depuis cela a dû être solutionné ».

Concernant les pannes elles-mêmes, le directeur n’a pas de précisions. Il indique simplement : « Je n’ai pas eu le détail des travaux effectués mais ces appareils sont truffés d’électronique et les ennuis pourraient venir de là ».

C.T.

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l’union080131d

Tsonga à Reims : un bon souvenir

 

Jo-Wilfried Tsonga avec Anthony Petit au Tennis-club Géo-André.

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Lors de l’assemblée générale de 2005 au centre des congrès de Reims, Jo-Wilfried Tsonga, le héros de la finale des Internationaux d’Australie, était présent simplement parmi le public, pour soutenir et encourager Anthony Petit, ancien coach professionnel désormais animateur de la section Haut niveau.

Un beau souvenir…

 

 

 

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l’union080131b

Pays-de-France : danse au rythme de la country

 

Le Fifty one Country de Fismes : un régal !

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150 habitants de Pays-de-France de toutes générations ont passé un après-midi dynamique salle Mauriac à l’occasion de la galette des rois de l’association de promotion de Pays-de-France (Appf).

On a remarqué trois agents de proximité, plusieurs associations amies (Mjc Croix-Rouge, Francas de la Marne, jardins familiaux, espace Pays-de-France, …) et, en cette période pré-électorale, une belle brochette d’élus : Renaud Dutreil et son attaché Philippe Malpezzi, Ahmed El MCherfi et sa suppléante aux cantonales Véronique Ritaly, Michel Guillaudeau, Marie-Thérèse Philippe, Éric Quénard et Chantale Richet.

Pour l’occasion, la présidente Christiane Monflier et son groupe de bénévoles avaient invité le Fifty one Country de Fismes, une association de passionnés de la danse et de la musique country qui ont émerveillé l’assistance par leurs belles prestations avant d’initier les volontaires à quelques pas « western » avant la dégustation de la traditionnelle galette.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080131a

Des animations à l’école du tennis-club Géo-André

 

Les vainqueurs du mini-tournoi interne.

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Le passage des balles (le premier pour les débutants) et un mini tournoi interne ont été organisés par le Tennis-club Géo-André. Les résultats ont été proclamés au centre des congrès de Reims dimanche 27 janvier et les récompenses remises par les animateurs réunis autour de Jean-Louis Batteux, responsable de l’école de tennis.

- Balle blanche : Lucile Bonnafous, Baptiste Caillet, Rayane Diabi, Basile Grappard, Mélinda Laventure, Victor Maugenot, Hela Ouali et Kenza Ouali.

- Balle jaune : Lucile Bonnafous, Jules Buirette, Florian Camus, Josselin Camus, Arthur Collinet, Christopher Drouot, Tristan Fleury, Arnaud Gorce, Alex Hubert, Yesrin Keslin, Ambroise Minot et Laura Tronchon.

- Balle orange : Nathan Biéri, Jules Buirette, Aurélien Jacques et Mathis Marc.

- Balle verte : Aurélien Jacques

- Balle rouge : Maxime Ledieu

- Tournoi interne :

    • 1998-1999 (G) : Jules Rambaut, Mathis Marc.
    • 1996-1997 (G) : Louis Compas, Alexandre Génin.
    • 1996-1997 (F) : Lucile Bonnafous, Lucie Renard.
    • 1994-1995 (G) : Paul Rambaut, Alexandre Schmitt.
    • 1994-1995 (F) : Maéva Spooner, Alice Thiéry.
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Croix-Rouge : incendie criminel et bonbonnes de gaz

 

Un feu de parking souterrain sans doute criminel, avec cinq foyers différents repérés, s’est déclenché hier au groupe Eisenhower à Reims. Des bonbonnes de gaz ont été localisées près de certains foyers. Une personne a été intoxiquée et un pompier légèrement blessé.

Un feu de parking souterrain plus que suspect a mobilisé tout l’après-midi d’hier une trentaine de pompiers dans le quartier Croix-rouge.

HIER après-midi, les pompiers sont intervenus en nombre dans le quartier Croix-rouge de Reims.

Dans le parking souterrain du 43, groupe Eisenhower, un feu avait provoqué une grosse fumée sombre peu après 14 heures.

Un feu plus que suspect : « Nous sommes en présence d’un parking de quatre niveaux, dans lequel nous avons localisé au moins trois foyers différents (on en découvrira finalement cinq, ndlr) répartis sur plusieurs niveaux, expliquait le major Batteux du centre de secours de Reims, à priori ce sont des détritus qui ont pris feu. »

Bouteilles de gaz

 

Le dispositif des pompiers ne cessait d’enfler au fil du temps. Au total, une trentaine d’hommes furent engagés, le lieutenant-colonel Poix venant même spécialement du Sdis* de Fagnières pour superviser les opérations.

Il faut dire que la reconnaissance des lieux s’avérait difficile dans le bâtiment sombre et enfumé. Les sapeurs durent recourir à des masques et bouteilles d’air.

Par ailleurs, des bonbonnes de gaz avaient également été localisées près de certains foyers. « Mais il n’y a eu ni explosion ni risque d’explosion de gaz, précisait un peu plus tard le commandant Planchon. Nous avons attaqué les feux avec deux lances, et nous avons fait une reconnaissance dans les cages d’escalier mitoyennes pour rassurer les habitants, mais il n’y a pas eu besoin de les évacuer. »

Les pompiers ont laissé jouer la ventilation naturelle pour évacuer la fumée.

« Une honte ! »

 

Le bilan de cet incendie s’avère finalement assez limité : une dame légèrement intoxiquée par la fumée a été transportée à l’hôpital par précaution, et un pompier s’est blessé, là encore légèrement, au cours d’une reconnaissance, à la suite d’un choc sur la tête.

Quant au bilan matériel, il n’est guère plus lourd : aucune voiture n’aurait brûlé.

Ce n’est pas la première fois que des feux se déclarent de façon suspecte dans ce parking. Ce qui n’est guère du goût des habitants : « C’est une honte ! fulminent Rose et Michel, qui résident là depuis 35 ans. On a longtemps été bien ici, mais depuis deux ans, depuis qu’ils ont rasé Wilson (quartier « sensible » bénéficiant d’une opération de démolition/reconstruction, ndlr) les problèmes arrivent souvent ! »

Antoine Pardessus

* Service départemental d’incendie et de secours.

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Veille de sécurité

 

François Toublan, directeur à Reims Habitat, informe les habitants qu’une veille de sécurité est assurée pendant 24 heures.

Les services municipaux interdisent donc l’accès au parking.

Les locataires disposant d’un véhicule stationné à l’intérieur du parking G2 peuvent se rapprocher de la succursale Croix-Rouge, 46 bis avenue du Général Eisenhower. La succursale est joignable aux heures d’ouverture des bureaux au 03.26.08.16.07.

Reims habitat a porté plainte auprès des services de police.

Information 24 h/24 au 03.26.48.43.43.

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l’union080131c

Incendie : L’enquête s’ouvre dans l’incertitude

 

Après l’intervention des pompiers, c’est à la police de jouer pour déterminer les circonstances exactes du départ du feu.

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Après les pompiers, c’est à présent à la police de jouer pour déterminer l’origine de l’incendie survenu mardi après-midi dans le parking du quartier Eisenhower de Reims et qui a mobilisé de nombreux soldats du feu (notre édition d’hier).

La piste criminelle est certes retenue, mais elle n’était pas encore confirmée à 100 %, hier. Une enquête est ouverte, dont la première tâche sera d’établir le nombre exact et le lieu des départs de feu. Ou du départ de feu au singulier ; car l’incertitude régnait hier à cet égard.

Après avoir annoncé le chiffre de cinq, les pompiers ont en effet corrigé le tir : finalement, il n’était plus question que d’un foyer unique, à partir duquel seraient apparus les quatre autres par propagation.

Autre incertitude : quels sont les matériaux qui ont servi de combustible à l’origine ? A priori, ce ne seraient que des pneus, des cartons, des détritus, et non pas une voiture par exemple, mais là encore, l’hypothèse demande à être vérifiée.

Suie et poussière

Quant à la présence de bonbonnes de gaz à proximité de certains foyers, était-elle intentionnelle ou purement accidentelle ? C’est une autre question qui attend sa réponse.

Concernant l’ampleur des dégâts, l’organisme logeur responsable du parking, Reims-habitat, affirme que ce sont essentiellement les installations électriques qui ont été touchées, et qu’a priori aucun des véhicules remisés dans ce parking à box privatifs, n’a été endommagé.

La seule crainte que pourraient avoir les propriétaires, ce serait de trouver leur voiture souillée par la suie et la poussière.

Ces propriétaires ont dû patienter jusqu’à hier 17 heures, avant de pouvoir le constater de visu : avant cette limite, le parking était par précaution interdit d’accès par arrêté municipal.

Une fois le parking redevenu accessible, les habitants sont effectivement venus aux nouvelles quant à l’état de leurs véhicules, et ils ont été rassurés : en dehors d’une couche de saleté, ils étaient intacts.

A.P.

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Début de polémique après le feu dans le parking

 

Fabrice Lopez : « Cela fait des mois que nous alertons Reims habitat sur les boxes transformés en décharge ! » « L’intérieur des box est de la responsabilité des locataires », répond l’organisme logeur.

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Un porte-parole de locataires estime que l’organisme logeur a sa part de responsabilité dans l’incendie de mardi ; celui-ci s’abrite derrière le caractère privé des boxes.

IL y a eu le feu, il y a eu la fumée, il y a eu les pompiers, il y a à présent les policiers qui mènent l’enquête ; il y a aussi un début de polémique à la suite de l’incendie survenu mardi au parking dit « G2 » du quartier Eisenhower. Sur le thème « ce qui est arrivé n’a rien d’étonnant vu ce qui se passe à l’intérieur de ce parking et des autres dans le secteur ! ».

Dans le rôle de l’accusateur, Fabrice Lopez, président du collectif de défense des locataires Croix-Rouge récemment officialisé : « Cela fait des mois et des mois que nous alertons Reims habitat sur les boxes transformés en décharges, ou bien squattés », affirme-t-il. Et il ouvre quelques portes de garage à l’appui de ses dires : « Tenez, regardez ici, tous les détritus, un pneu, un matelas, et tout le reste… et là, (on voit des tessons de bouteilles et autres éclats de verre) vous ne pensez pas qu’il y en a qui viennent faire la fête ! ?. Mais rien ne se fait pour nettoyer tout ça. Il faut attendre qu’il y ait un feu pour que ça bouge ! »

Du côté de l’organisme logeur incriminé, Reims habitat, on ne l’entend pas de cette oreille : « Nous sommes à l’écoute de ce qui se passe dans nos quartiers à travers des groupes de réflexion que nous avons mis sur pied et qui nous font remonter les problèmes ; et effectivement on nous signale des dépôts d’objets divers, d’immondices ou autres choses du même genre dans les parties communes ; nous avons un marché avec une entreprise de nettoyage qui passe plusieurs fois par semaine ; mais elle n’intervient QUE dans les parties communes ! pas dans les boxes eux-mêmes, parce que l’intérieur des boxes est de la responsabilité des locataires ! Nous n’avons pas à nous y immiscer ! »

Cela dit, il se trouve que, comme par hasard, Reims habitat a justement à présent le projet de procéder au nettoyage de l’intérieur des boxes du parking G2, celui où a eu lieu le feu ; « mais cela ne se fera qu’après l’accord des locataires ! » insiste-t-on. Voilà qui pourrait bien en tout cas désamorcer la polémique.

Antoine Pardessus

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Pas de récupération politique

 

Du côté de Reims habitat, on réagit d’autant plus prudemment aux propos tenus par Fabrice Lopez que l’on soupçonne celui-ci d’avoir des visées politiques avec son collectif de locataires.

Une rumeur a même couru dans Croix-Rouge, selon laquelle l’intéressé allait se porter candidat aux prochaines cantonales. « Il en était effectivement question un moment, nous a confiés M. Lopez, mais ce n’est plus vrai ; je ne serai pas candidat, ni aux cantonales, ni aux municipales. »

A.P.

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Incendie à Croix-Rouge / Un suspect entre les mains de la justice

 

Un suspect dans l’incendie du parking du quartier Croix-Rouge à Reims le mardi 29 janvier dernier a été arrêté et aurait avoué.

Il s’agit d’un jeune du quartier âgé de 17 ans et demi. Présenté devant le procureur, hier, il sera poursuivi pour incendie volontaire et risque jusqu’à 10 ans d’emprisonnement.

« Son acte est d’autant plus grave qu’il pouvait mettre des personnes en danger », souligne Madeleine Simoncello, procureure de Reims.

Le jeune Rémois avait placé des bonbonnes de gaz près de certains des cinq foyers qu’il avait allumés. Par chance et grâce à la célérité des pompiers, son petit dispositif n’avait rien donné de plus qu’une grosse fumée mais les habitants de l’immeuble qui vivent au-dessus du fameux parking au 43, groupe Eisenhower en avaient été traumatisés.

Ils seront soulagés d’apprendre que le présumé fautif, maintenant entre les mains de la justice, n’est pas près de remettre cela. Ils seront aussi heureux d’apprendre qu’ils sont débarrassés d’un multirécidiviste.

Ce mineur, en effet, n’en était pas à son coup d’essai mais s’amusait à mettre le feu à des containers à poubelles ou encore à des haies de façon régulière. Il aurait reconnu une dizaine d’autres incendies et semblait agir seul à chaque fois.

La procureure espère que cette arrestation fera réfléchir ceux qui s’amusent à allumer des incendies par jeu sans penser aux conséquences que cela pourrait avoir sur leur avenir « car preuve est faite qu’on finit toujours par les attraper ».

C.F.

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l’union080129c

A Croix-Rouge en février

 

Bol d’air

Sylvie Brin, guide nature à l’Espace Billard, anime une sortie « bol d’air » dimanche 3 février sur le thème « L’empreinte sous toutes ses formes » (départ à 9 heures au 12 rue Pierre-Taittinger).

Tél. 03.26.08.08.78.

Travaux publics

L’association « 2 Mains » organise, en partenariat avec la Fédération régionale des Travaux publics, une rencontre d’information sur la découverte des métiers des Travaux publics, le 6 février à 15 heures à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Entrée gratuite.

Locataires de Pays-de-France

L’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » réunit son assemblée générale mardi 12 février à 18 h 30, salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

Les marcheurs du dimanche

Randonnée du mois à l’espace Watteau avec Vincent Girardin : dimanche 17 février, en direction de Saint-Martin-d’Albois (Départ au 3, allée Antoine-Watteau à 8 h 15).

Renseignements au 03.26.36.03.50.

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Voitures qui brûlent

 

Une R19 a flambé derrière le collège Joliot-Curie. A.P.

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Deux voitures ont pris feu dans des circonstances suspectes à Reims dans la soirée de dimanche : une Ford Fiesta volée sur la place Fragonard (Croix-rouge) vers 20 heures, et une R19 vers 23 h 30, sur un parking derrière le collège Joliot-Curie (même quartier).

On ignorait hier si cette deuxième voiture était volée ou non.

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Avec moto mais sans casque

 

Quand on roule sur une moto, même une petite cylindrée de 80 cm3, il faut porter le casque.

Les policiers ont voulu en faire la remarque à un jeune pilote de 16 ans, qui circulait dimanche après-midi du côté de la place Fragonard (Croix-Rouge), mais l’intéressé n’a pas voulu s’arrêter pour répondre à leurs injonctions.

Et dans sa tentative de fuite il a trouvé le moyen de faire une chute… Il a finalement été interpellé.

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Les dernières nouvelles du quartier Croix-Rouge

 

Jardiniers
De gauche à droite Jean-Claude Hirault trésorier, Jacques Pigne, secrétaire et Michel Herbreteau, président des jardins de Pays-de-France.

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Le nouveau conseil d’administration et le nouveau bureau de l’association des jardins familiaux de Pays-de-France ont été constitués.

Président, Michel Herbreteau. Vice-président, Bernard Brugnon. Trésorier, Jean-Claude Hirault. Vice-trésorière : Marie-Thérèse Marcelino. Secrétaire, Jacques Pigne. Vice-secrétaire, Jacques Fonte. Administrateurs, Annie Aubin, Claude Bachelet, René Fougerouse et Yves Monflier.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

Agents de proximité

Un nouvel agent de voisinage a pris ses fonctions à la Succursale Croix-Rouge/Université de Reims Habitat : il s’agit de M. Abdellaoui, qui exerce ses activités à la succursale Croix-Rouge aux côtés d’Hervé Payen. Cette nomination intervient à la suite de la séparation de l’ancienne succursale Croix-Rouge/Murigny en deux entités. Le premier agent de voisinage, Himad Ezzel, se trouve maintenant affecté à la succursale Murigny, aux côtés d’Arnaud Prieux, responsable de la succursale.

Travaux à Croix-du-Sud

Plurihabitat l’Effort rémois a lancé un avis d’appel public à la concurrence, en vue d’un marché de travaux de réfection des peintures ou revêtements muraux de 39 cages d’escaliers de bâtiments de l’Effort rémois, dont un lot sur Croix-du-Sud et un lot sur Debar. l’Effort rémois n’a pas été en mesure de préciser quels bâtiments de Croix-du-Sud sont concernés.

La voix de l’espoir

Le batteur de renommée internationale Richacha Balengola est venu animer une master-class à l’espace Ethnic’s. Cette rencontre a été rendue possible à la demande et à l’initiative de « La voix de l’Espoir », une association de jeunes motivés par la musique et présidée par Jack Wagala.

Equitable

Mercredi matin 30 janvier, Mme Jaujou, professeur d’histoire-géographie au collège Joliot-Curie, organise en collaboration avec « Artisans du Monde » un petit-déjeuner équitable pour une classe de 6e.

Les élèves de la Segpa participeront à l’élaboration de ce repas du matin après lequel les intervenants parleront aux élèves du commerce équitable.

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Maisons de quartier : projets et réflexions

 

Jean-Pierre Ettel : « Nous ne changeons pas de cap en 2008 ».

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Une assistance très attentive au discours du président.

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« Je remarque l’engagement pris par beaucoup d’entre vous pour que l’association remplisse ses missions auprès des habitants. Ce n’est pas toujours facile dans la période que nous traversons ».

Dans son discours de vœux, mercredi dernier au Ludoval, Jean-Pierre Ettel, président de l’Association des Maisons de Quartier, traduisait à la fois l’espoir dans l’avenir, et le rappel de la période d’incertitude que viennent de traverser professionnels et bénévoles. (Ndlr : Des menaces de fermeture et de suppression de postes avaient pesé sur certaines structures, à la suite d’un audit en 2007).

L’association compte se recentrer sur son cœur de métier pour une action efficace.

Projets et perspectives

« En 2008 nous comptons poursuivre l’amélioration de notre fonctionnement et le renforcement de nos partenariats ». Mais nombre de locaux nécessitent des travaux de réhabilitation et de mises en conformité.

Des réflexions doivent s’engager sur la complémentarité de l’offre en matière d’accueil périscolaire et de loisirs, sur les perspectives de développement en matière d’accueil de jeunes enfants.

Les projets ? Elargir les amplitudes d’ouverture et augmenter les places : « Des choix seront faits en prenant en compte les besoins des parents et notre capacité financière ».

Cette année, les équipes vont s’impliquer dans différentes manifestations « contribuant ainsi à animer la ville et favoriser la rencontre entre les habitants » : semaine des Maisons de Quartier, action sur le développement durable…

« Malgré les vicissitudes et les hésitations, nous avons réussi à avancer. Aujourd’hui, nous sommes au milieu du gué » a déclaré Franck Noël. Conscient qu’il reste encore du travail à faire, l’adjoint chargé des Maisons de Quartier s’est estimé « personnellement assez confiant sur les semaines, les mois, voire les années à venir ».

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Les seniors de Pays-de-France font bombance

 

Impressionnant le dessert, présenté par Christiane Monflier, présidente, et son mari Yves, administrateur !

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L’association de promotion de Pays-de-France a organisé son repas annuel pour les personnes âgées du secteur, samedi 19 janvier dans la salle François-Mauriac à Croix-Rouge.

Plus de 40 convives étaient présents, ainsi qu’une « belle brochette d’élus » selon l’expression d’Éric Quénard : Ahmed El Mcherfi, Marie-Thérèse Picot, Michel Guillaudeau, Chantale Richet et Renaud Dutreil.

La présidente Christiane Monflier et les bénévoles de l’APPF ont profité de cette réunion pour révéler que « le Foyer rémois avait enfin consenti à nous aménager une salle aux Picards pour nos réunions jeunes et troisième âge : les travaux ne devraient pas tarder ! ».

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Conseils de quartiers un bilan loin d’être élogieux

 

Les « plus fidèles des conseillers de quartier », selon Marie-Annick Roger, étaient réunis jeudi soir dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville.

Comme souvent, fin de mandat rime avec bilan. Et les conseils de quartiers ne font pas exception, après six années d’existence. L’occasion a été trouvée, jeudi soir à l’hôtel de ville, lors d’une réunion plénière.

Une réunion qui marque « peut-être » la fin des conseils de quartier sous leur forme actuelle, avant le changement d’équipe municipale en mars prochain.

Une fois la parole donnée aux conseillers, le tableau a tendance à virer au gris, voire au noir. « Les conseils de quartiers ont deux erreurs principales, estime le conseiller de Maison Rouge/Croix Rouge.

- La première : la taille des quartiers. On a besoin de réfléchir à la notion même de « quartier ».

- La deuxième : leur manque de réactivité.

Il faut plus d’autonomie en ayant, par exemple, la possibilité de faire des réunions selon des thèmes ou d’organiser des visites ». « On a beaucoup d’informations qui redescendent. Mais on n’a pas senti du tout que les choses remontaient », ajoute la conseillère de Clairmarais, très applaudie.

« Des gens qui baillent qui s’ennuient »

En plus, « au fur et à mesure des années, je me suis aperçu du désintérêt des élus et des citoyens, déplore un autre conseiller. Les débats sont dispersés et on y voit des gens qui baillent, qui s’ennuient.

Jean-Louis Schneiter, maire de Reims, n’avait pas caché sa désapprobation pour cette forme de démocratie directe, lors de la création des conseils de quartier il y a six ans.

Mais, devant les conseillers des huit quartiers, il s’est tout de même réjoui de leur existence. « Je vais être franc : ils ont été imposés par la loi. Mais aujourd’hui, je pense que cela a été favorable.

Ces conseils nous ont apporté des réponses, même si les discussions tournaient autour de questions trop précises et pas assez sur des grands sujets qui intéressent toute la ville ».

Sabra Saoudi

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l’union080125g

Rencontre franco-allemande à Strasbourg


 

Le groupe franco-allemand au Parlement européen.

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Mercredi, les quinze élèves de la classe de 3e européenne du collège François-Legros, accompagnés par leur professeur d’allemand, Mme Collart, ont fait le baptême du TGV pour se rendre à Strasbourg, où ils ont rencontré pour la première fois leurs correspondants allemands de Ladenburg (près de Heidelberg).

Accompagnés de leur professeur de français, Nicola Hahn, ils ont appris à mieux se connaître au cours d’un rallye découverte de la ville de Strasbourg.

Puis Français et Allemands ont visité ensemble le Parlement européen de Strasbourg, reçus par Adeline Hazan, députée européenne, qui leur a expliqué le fonctionnement des institutions européennes et le rôle de député européen avant de répondre avec gentillesse et pédagogie à leurs nombreuses et pertinentes questions.

 

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Croix-Rouge Stéphanie Tadla quitte la maison de quartier

 

Stéphanie Tadla, ici avec Bernard Lavergne (Office des sports), débordait de projets novateurs sur le quartier.

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Après s’être fait remarquer par son efficacité auprès des jeunes de Croix-Rouge qu’elle allait, avec son équipe, chercher au pied des tours pour les conduire aux ateliers sportifs qu’elle avait créés seule ou dans le cadre de Ludosport, Stéphanie quitte la maison de quartier Croix-Rouge pour travailler désormais avec les Francas de la Marne.

Muriel Jourd’heuil, déléguée dans cette structure, précise les nouvelles missions de l’une des animatrices les plus populaires à Croix-Rouge.

Séjours pour les jeunes

« En partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge, Stéphanie Tadla va continuer à assurer le dossier Éducation et séjours collectifs d’été et, si possible, sur les petites vacances pour les jeunes de Croix-Rouge. En partenariat avec les associations du quartier, elle va organiser les séjours d’été (exemple, séjours avec l’association MJC) en faveur des enfants les plus démunis, avec l’appui des centres de loisirs. Enfin, elle est chargée d’aider et de développer les séjours pour les plus démunis dans les Maisons de quartier volontaires de Reims. »

Formation et suivi

Tout un volet de formation est confié à Stéphanie Tadla : « travailler à la formation des jeunes en BAFA-Territoire en appui sur les centres et agir sur la formation et l’engagement des jeunes Animateurs-Juniors dans le cadre de Reims Vital Ados, sur Reims. Enfin, compte tenu de son expérience, elle apportera soutien et formation aux acteurs de Reims et d’autres villes, comme Vitry-le-François, en matière de lutte contre les discriminations dans tous les lieux sensibles. »

Stéphanie Tadla sera basée aux Francas 19-23 rue Alphonse-Daudet (tél. 03.26.85.55.18).

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l’union080125e

Le tennis-club en assemblée

 

L’assemblée générale du Tennis-club Géo-André se déroulera samedi 26 janvier à partir de 14 h 30, au centre Reims-Champagne-Congrès, 12 boulevard Général-Leclerc.

Renseignements par tél. au 06.84.41.93.07.

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Les locataires des Polygones en réunion

 

L’association de défense des locataires « Les Polygones » tiendra son assemblée générale jeudi 31 janvier à 18 h 30, dans les locaux de la Ligue de l’enseignement (anciennement école Daudet) 19-23, rue Alphonse-Daudet.

Seront évoqués en particulier les problèmes de char¬ges, les énergies renouvelables et la taxe d’habitation.

Le texte des questions éventuelles est à déposer dans la boîte aux lettres de l’association, au 8 rue Georges-Bernanos.

Renseignements : 06.81.41.06.72.

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l’union080125c

Ateliers hip hop

 

La Cartonnerie et le réseau Pôle Sud musique proposent trois ateliers hip hop à l’occasion de la résidence et de la sortie d’album du groupe angevin « Nouvel R ». Ses ateliers se déroulent samedi 26 janvier de 15 à 19 heures et dimanche 27 janvier de 10 à 13 heures et de 14 à 18 heures.

Le premier atelier « Human beat box » est dirigé par Shen Roc de « Nouvel R ». Il se déroule aux studios de répétition de la Cartonnerie. Au programme : découverte des différentes parties du corps humain qui produisent du son, travail sur la respiration, notions rythmiques et systèmes d’écriture, travail de technique vocale.. ( tarif : 20 euros tarif plein, 5 euros pour les abonnés, 10 euros pour les membres des groupes « conventionnés » ou accompagnés par la Cartonnerie, gratuit pour les adhérents de Pôle Sud musique. Attention, huit participants maximum).

Le second atelier « Création d’instrus Hip Hop » est dirigé par « Koni » de « Nouvel R » à la cyber-base de la Cartonnerie. Au programme : construire un instrumental hip hop. (Tarif : 20 euros tarif plein, 5 euros pour les abonnés, 10 euros pour les membres des groupes « conventionné » ou accompagnés par la Cartonnerie, gratuit pour les adhérents Pôle Sud musique).

Enfin l’atelier « Tchatche » avec 3MC’s de « Nouvel R » se déroulera à la maison de quartier Val de Murigny.

Il sera l’occasion de réaliser un travail autour de l’écriture et de la mise en forme de textes rap ou slam par le biais de jeux sur les mots et sur les rimes. Cet atelier est gratuit.

Pour tous renseignements polesudmusique@maisondequartier-reims.fr ou au 03.26.86.10.71.

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l’union080125b

Acrap : le repas des seniors

 

Ambiance sympathique et chansons reprises en chœur au menu.

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Près de 100 personnes âgées se sont inscrites dimanche 20 janvier au repas annuel des seniors à l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) où les attendait un repas traiteur pris en commun en musique, avec Alain Terlogan, accordéonniste de rue.

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l’union080125a

Révolution annoncée sur le réseau de bus

 

PHOTO : Une des nouveautés du futur réseau : les bus feront leur arrêt principal devant et derrière la gare.

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Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

LES bus préparent leur révolution après-tram. Ils seront de toutes les couleurs et porteront des numéros à la place des lettres.

Il devrait y avoir davantage de dessertes et de passages : « Actuellement, les bus parcourent 7,7 millions de kilomètres par an. Le tramway va en parcourir 1 million, nous allons ajouter 430.000 km de bus, ce qui nous fera un total de 8,2 millions de kilomètres par an », annonce Christian Messelyn, président de Mars, successeur des TUR.

Le plan des futures lignes n’est pas finalisé car « nous souhaitons prendre le temps de faire des enquêtes de fréquentation et nous concerter avec les nouvelles équipes municipales de l’agglomération ». Un premier schéma sera proposé à Reims Métropole « courant 2009 » pour une mise en service au moment de la mise en route du tram en 2010.

Changement de tracé

Ceux qui n’habitent pas sur la ligne du tram ne devraient pas y perdre. « Il n’est pas question d’obliger les habitants de La Neuvillette ou de Bezannes à rejoindre une station tram pour se rendre au centre-ville. »

Ils auront toujours leur bus mais sur un tracé parfois moins direct. Ceux qui prennent aujourd’hui le « A » à la Neuvillette auront une option. Ils pourront soit changer et monter dans le tram place des Belges soit rester dans leur bus jusqu’au centre-ville. Sauf qu’ils n’emprunteront plus l’avenue de Laon. Ils tourneront à gauche boulevard des Belges, emprunteront la rue de Neufchâtel, passeront devant la prison boulevard Robespierre et reviendront vers le pont de Laon en longeant la voie ferrée. Au lieu de rattraper la place de la République, ils iront tout droit vers l’arrière de la gare en passant devant le lycée Roosevelt.

Des rocades

C’est l’une des nouveautés du futur réseau : les bus transiteront moins par le théâtre. Ils feront leur arrêt principal devant et derrière la gare.

Le « A » nouvelle version continuera ensuite sa route jusqu’à Cormontreuil. « Toutes les lignes seront transversales. Il ne sera plus nécessaire de changer de bus en milieu de parcours ».

En plus des transversales, Mars va créer des rocades. Il sera ainsi possible d’aller de Bétheny à Neufchâtel, de Cormontreuil à Val de Murigny, de Saint-Brice à Bezannes TGV ou encore de la gare de Reims à La Pompelle par une voie directe qui empruntera l’autoroute : « Ces rocades doivent permettre à davantage de personnes de rejoindre leur lieu de travail par les transports en commun ».

Le quartier Croix-du-Sud qui s’est trouvé lésé à l’arrivée du TGV par la déviation de la ligne K se verra doté d’une station de tram avec une fréquence de 18 minutes (ils auront la ligne qui va à la gare TGV) et conservera un bus qui ira vers le centre toutes les 12 minutes.

La faculté des sciences, jusque-là moyennement desservie, sera l’un des coins de la ville qui gagneront le plus au changement avec un bus toutes les 6 minutes.

« Ce ne sont que des indications qui peuvent évoluer car notre objectif est de coller au mieux aux besoins des usagers ». Qui sont aussi des clients.

Catherine Frey

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Les changements pour l’agglo

 

Bétheny

Les habitants auront trois lignes de bus au lieu d’une : deux qui iront vers l’hôpital via le centre en empruntant deux itinéraires différents et une rocade vers Neufchâtel/La Neuvillette.

Cormontreuil

La desserte locale sera plus fournie et la commune va gagner une rocade Cormontreuil-Louvois vers Val-de-Murigny.

Bezannes

La commune aura une station de tram à la gare, une rocade vers Tinqueux/Saint-Brice leur permettra de soit rattraper le tram à l’hippodrome, soit un bus vers Bétheny via la rue Libergier. Pour aller au centre, s’ils sont pressés, les habitants de Bezannes auront intérêt à rattraper le tram.

Tinqueux

La desserte locale sera élargie et un bus ira vers le centre-ville toutes les 4 minutes et 36 secondes. Une rocade permettra d’aller soit vers Bezannes, soit vers Saint-Brice. Un peu plus tard, la commune pourrait bénéficier d’une possible seconde ligne de tramway.

Saint-Brice Courcelles

En plus de la nouvelle rocade en direction de Tinqueux/Bezannes, la commune va bénéficier d’une ligne qui ira jusqu’au collège Trois-Fontaines puis sans doute jusqu’à une station tram. Elle aura aussi un bus vers le centre-ville qui devrait aller jusqu’à Farman.

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L’hebdo du vendredi- n° 62 - 080124

Condamnée à 15 ans de prison pour l’assassinat d’un hémiplégique

 

Une jeune Rémoise de 19 ans a été condamnée mercredi à Reims par la cour d’assises des mineurs de la Marne à quinze ans de prison ferme pour l’assassinat en 2005 à coups de couteau d’un homme hémiplégique de 35 ans.

La jeune fille, qui avait 17 ans au moment des faits, a été reconnue coupable d’assassinat au cours du procès dont les audiences se sont déroulées à huis-clos. L’excuse de minorité lui a été refusée. Son amie, une autre jeune fille aujourd’hui âgée de 22 ans, qui était présente au moments des faits, a été reconnue coupable de "non-empêchement de crime" et condamnée à trois ans de prison avec sursis. L’avocat général avait requis respectivement des peines de 17 ans et de 5 ans de prison à l’encontre des deux jeunes filles.

La victime promenait son chien ce soir de septembre 2005 dans le quartier Croix-Rouge de Reims, où habitait les deux jeunes filles. Il les aurait abordées pour les inviter à boire un verre chez lui. Mécontentes de cette proposition, elles l’auraient frappé à coups de pied avant d’aller chercher, au domicile de la mineure, un couteau de cuisine. La plus jeune des deux filles aurait donné cinq coups de couteau à la victime handicapée, toujours à terre.

Décrites comme des jeunes filles à problèmes, les deux condamnées étaient ivres au moment du drame. Celle à l’origine des coups mortels, a reconnu les faits et exprimé des regrets au cours de l’audience.

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L’hebdo du vendredi- n° 62 - 080124

Être filmé dans la rue, une réalité au 1er février !

Big Brother opérationnel le 1er février !

 

Une vingtaine d’écrans retransmettent en temps réel les images provenant de 36 caméras pilotées à distance et disséminées dans 4 quartiers de la ville.

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Dirigé depuis un centre superviseur urbain (CSU), basé en centre ville, le système de vidéosurveillance urbaine a été implanté sur quatre quartiers rémois aux caractéristiques différentes.

Contrairement à certaines autres grandes villes, Reims a imaginé dans le cadre d’une première tranche, la mise en place d’un système de vidéosurveillance (36 caméras) sur quatre zones urbaines : le centre ville, le stade Delaune, la zone d’activité de la Neuvilette et le quartier Croix-Rouge. Cette première phase doit permettre d’expérimenter, d’essayer et de mesurer l’impact de la vidéosurveillance sur la délinquance en zone d’activité ainsi qu’en quartier à forte densité urbaine.

Le centre ville a reçu 15 caméras destinées à prévenir les atteintes à la personne dans des zones piétonnes très fréquentées que sont la place d’Erlon, le Théâtre, la rue de Vesle ou encore le parvis de la cathédrale ou les abords de la place du Forum et de l’Hôtel de ville. Autour du stade Delaune, 4 caméras ont été installées dans une optique de protection de l’équipement sportif, théâtre de grands rassemblements.

Dans le quartier de la Neuvilette, l’implantation de 7 caméras devra permettre de sécuriser l’accès au quartier dans une logique de prévention et de protection des activités économiques de la zone.

Enfin, les 10 caméras du quartier Croix-Rouge viendront en renfort du travail de prévention de l’insécurité et de protection de nombreux édifices publics présents sur la zone comme la médiathèque.

Un fonctionnement strict

Le nouveau centre superviseur urbain, entièrement sécurisé, va fonctionner 7j /7, 24h /24 et 365 jours par an avec un enregistrement des images en continu conservées pendant 7 jours. Pour ce faire, une douzaine d’opérateurs vidéo (personnel communal), expressément formés à cette tache vont se relayer devant un mur hi-tech comprenant une vingtaine d’écrans projetant les images des caméras télécommandées.

Quant au fonctionnement du dispositif de vidéosurveillance, conformément à la loi, les caméras installées masquent automatiquement (floutage) les zones de vie privée des immeubles situés à proximité. Utilisant la boucle locale en fibre optique de la ville, l’investissement du projet maintenant devenu réalité a pu être réduit, mais il se monte néanmoins à près de 1,6 millions d’euro, les frais de fonctionnement annuels étant de 400 000 euros. Photomaton de luxe ? L’avenir le dira.

O.M.

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l’union080124ad

L’adieu de Croix-Rouge au directeur de la maison de quartier

 

La majorité des associations et structures de Croix-Rouge étaient représentées pour le départ d’Eric Krzywda.

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Il y avait foule vendredi à l’espace Ethnic’s pour dire au revoir à Éric Krzywda, directeur de la maison de quartier Croix-Rouge.

Pratiquement toutes les associations du quartier et de la zone d’éducation prioritaire Croix-Rouge étaient présentes. Pour cette soirée conviviale les organisateurs n’avaient invité ni officiels ni politiques : adhérents, professionnels, bénévoles et techniciens ont voulu manifester en toute simplicité leur gratitude à un grand acteur du monde socio-éducatif, devenu au fil des temps un ami.

Avant la projection d’un diaporama plein d’humour réalisé par Céline Buisson, secrétaire de la maison de quartier et l’équipe de l’espace Pays-de-France, c’est Elham Kouch, présidente de l’association « Femmes d’ici et d’ailleurs » (FD’IA) qui a fait l’éloge d’Éric Krzywda.

Elle l’a remercié au nom de tous « pour avoir cru en chacun d’entre nous, pour l’autonomie et la confiance accordées, pour le soutien apporté dans nos projets, pour le savoir partagé et pour son humanisme ». Enfin, elle a souligné : « Nous perdons un directeur doté d’une âme, un bon professionnel qui a su faire face à toutes les difficultés et surtout qui a apporté beaucoup pour le développement de l’animation sous toutes ses formes dans le quartier Croix-Rouge, aussi bien avec les professionnels qu’au côté des associations. » C’est Yves Pringault, animateur à la maison de quartier Clairmarais, qui devrait succéder le vendredi 1er février à Éric Krzywda.

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10 ans de sa vie pour le quartier

 

 

Né en 1959 et originaire de Lorraine, Éric Krzywda a commencé sa carrière dans le domaine socio-éducatif comme directeur du centre de loisirs associé à l’école (Clae), à Saint-Brice Courcelles en août 1992.

En 1998, succédant à Dominique Mansuy, il prend la direction de l’association Ethnic’s qui, après la refonte des structures sociales et des MJC de Reims, prend le nom d’espace Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge.

Éric Krzywda devient enfin le directeur de cette maison de quartier, responsable des espaces Billard, Watteau, la Nacelle, Pays-de-France et Ethnic’s et du réseau Pôle sud musique.

Il est aussi le père du festival Croix-Rouge s’affiche.

Il aura donc consacré dix ans de sa vie au quartier Croix-Rouge qu’il quittera le 1er février pour prendre la direction du centre social de Vauvert dans le Gard.

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l’union080124c

Des « Ateliers du regard » en binômes

 

Première étape en binôme voyants, malvoyants et aveugles.

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Pour la seconde année, huit jeunes adolescents amblyopes et aveugles de l’Institut Michel-Fandre partagent avec huit collégiens de Georges-Braque et en collaboration avec le Manège, une activité danse. Parallèlement, des « ateliers du regard » préparent ces jeunes à assister ensemble à des spectacles programmés au Manège.

« Ces échanges dans la compensation du handicap entre adolescents déficients visuels ou non sont riches » explique Patrick Colin, psychologue : « Destinés aux scolaires qui viennent assister à un spectacle, les ateliers du regard désignent une action qui permet d’aiguiser la pratique du regard en cherchant à révéler à des enfants et adolescents leur propre savoir et à leur apprendre à exprimer un jugement clair. »

Ces ateliers se composent de trois moments. D’abord, une intervention dans la classe afin de montrer aux élèves des extraits vidéo de pièces chorégraphiques : il leur est demandé simplement de dire « ce qu’ils ont vu et entendu ». Le rôle de l’intervenant est essentiellement de permettre aux élèves de développer une parole relative à leur regard, à leur écoute.

Puis le groupe va au spectacle au Manège et la semaine suivante, l’intervenant revient pour recueillir les impressions des élèves sur le spectacle, les aider à formuler celles-ci, à faire travailler leur mémoire visuelle et auditive. Des extraits du spectacle sont diffusés et analysés et l’intervenant aide ce jeune public à émettre un jugement critique.

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Tournoi de France de danse sur glace : le Rap 3e

 

Une énorme et merveilleuse performance pour le petit club de Reims !

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« Pour le petit club que nous sommes, contre seize gros clubs, c’est une énorme et merveilleuse performance ! » s’exclament Myriam Huet, secrétaire du Reims Acrap patinage et Ludivine Lemaire, entraîneur : le Rap vient de terminer à la troisième place du 2e tournoi de France 1ere division au Havre en danse sur glace.

Voici les résultats.

Catégorie « Préparatoire » : Juliette Wary s’impose et monte sur la première marche du podium. Quant à Mélanie Carrié qui participait pour la première fois à une compétition de cette envergure, elle ne démérite pas en prenant la 9e place.

Catégorie « Pré-bronze A » : Margaux Abib-Gruet réalise une très belle performance et prend la 2e place. Éva Lemaire termine 4e de ce tournoi et Anaïs Milard termine 8e.

Catégorie « Pré-bronze B » : Morgann Prey monte sur la 3e marche du podium.

Catégorie « Bronze » : Camille Renault remporte la compétition après deux belles prestations et Roxane Bouvet termine 10e.

Catégorie « Argent A » : Morgane Huet se classe 7e après une belle performance de sa danse imposée.

Catégorie « Argent B » : Solène Manceaux monte sur la 1re marche du podium avec une très belle avance sur sa danse imposée.

Couple « pré-Bronze » : Nina Toukouk et Renan Manceaux se sont bien défendus et terminent 3e de la compétition.

Au final, le club, qui décroche six beaux podiums dont trois premières places, une seconde place, et deux troisièmes places, termine troisième des seize clubs présents et remporte une coupe et une reconnaissance au niveau national.

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AVIS DE CONSTITUTION

 

Dénomination sociale : S.C.M. Dr Touric DANI EL HADDAOUI et Dr Sarah DABOUSSI-DRUON.

Forme sociale : S.C.M.

Siège social : 5, rue Joliot-Curie 51100 Reims.

Capital social : 200 euros.

Objet social : cabinet de médecine générale.

Durée : 40 ans.

Gérants : Dr DANI et Dr DABOUSSI.

La société sera immatriculée au RCS de Reims.

Pour avis

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l’union080122a

LE DOSSIER DU JOUR : 17 ans, accusée d’assassinat

 

Karen est accusée d’avoir poignardé un promeneur en septembre 2005 au pied d’un immeuble à Reims. Elle avait 17 ans. Des amis de la victime ont déposé une gerbe sur les lieux du crime. (Photo d’archives/Bernard Dordonne)

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Une jeune Rémoise de 19 ans est jugée à partir d’aujourd’hui pour assassinat devant la cour d’assises des mineurs de la Marne. Elle avait 17 ans au moment des faits en 2005. Elle est accusée d’avoir poignardé un promeneur qui l’aurait invitée à boire un verre avec une amie.

KAREN* avait 17 ans. Elle en a 19. Elle est accusée d’assassinat et comparaît aujourd’hui et demain devant la cour d’assises des mineurs de la Marne pour avoir poignardé un homme à Reims.

La jeune fille encourt la réclusion criminelle à perpétuité si l’excuse de minorité lui est refusée, trente ans de réclusion si elle lui est accordée. Elle a déjà passé deux ans en détention provisoire et doit être jugée à huis clos. Mais son procès peut être public si elle le demande car elle est devenue majeure entre-temps.

Karen est accusée d’avoir mortellement blessé un promeneur à coups de couteau dans la nuit du 12 au 13 sep tembre 2005 au pied d’un immeuble du groupe Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge. Il était environ deux heures du matin. La victime promenait son caniche. Cédric Houppemans avait 35 ans. Hémiplégique, il boitait et il avait un bras paralysé. Le promeneur avait croisé Karen et Julie, une amie plus âgée. Il ne les connaissait pas. Il leur aurait proposé de venir boire un verre chez lui dans le quartier voisin de La Croix-du-Sud. Lui-même avait déjà beaucoup bu. Chômeur, il vivait seul. Séparé, il était père de trois enfants.

Les deux filles auraient perçu l’invitation comme une proposition. Elles l’auraient mal pris et le ton aurait monté. Elles étaient énervées. Elles avaient bu du whisky. Karen avait fumé du cannabis, elle s’était disputée avec son petit ami.

Karen et Julie sont accusées d’avoir roué le promeneur de coups de poing et de coups de pied. L’homme est tombé. Elles ont continué à le frapper. Elles ont reconnu les faits.

Julie est poursuivie pour « violence en réunion » et pour « non-empêchement de crime ».

Elle avait 20 ans au moment des faits. Elle en a 22. Elle encourt cinq ans d’emprisonnement. Elle a fait cinq mois de détention provisoire avant d’être remise en liberté sous contrôle judiciaire. Elle a eu un enfant.

Julie était remontée avec Karen dans l’appartement de sa mère et n’aurait pas vu que Karen s’emparait d’un couteau dans la cuisine. Les deux filles sont redescendues. Karen s’est dirigée vers le promeneur qui gisait toujours sur l’esplanade. Elle est accusée de lui avoir porté cinq coups de couteau dans le ventre, à la poitrine et dans le dos. Elle dit ne pas avoir voulu le tuer, juste lui faire peur.

Une patrouille de police, alertée par un riverain, n’a rien pu faire. La victime était en train de se faire poignarder. Un policier a vu la scène. Karen a tenté de s’enfuir. La police l’a rattrapée.

La jeune femme vivait avec sa mère, une aide-soignante. Son père est mort. Sa mère a élevé seule leurs cinq enfants. Le frère aîné était parti. Karen n’allait plus en cours depuis plus d’un an. Elle ne travaillait pas.

Adolescente à la dérive, forte en gueule, elle était connue de la police pour quelques larcins, mais pas pour des violences. Mal dans sa peau, elle avait tenté de se suicider avec des médicaments cinq mois auparavant, pour la troisième fois. Elle avait fugué un mois après. Elle buvait, se droguait. Sa mère avait baissé les bras.

En garde à vue, Karen a exprimé des regrets. En prison, elle ne comprend pas pourquoi elle a fait ça.

Dossier : Francis Dujardin

* Prénom d’emprunt. La loi sur la protection des mineurs interdit leur identification.

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Rachida Dati : « individualiser les peines »

Dans une interview accordée au quotidien Ouest-France, la ministre de la Justice Rachida Dati explique vouloir dans le cadre d’une « remise à plat de l’ordonnance de 1945 » sur les mineurs délinquants « individualiser davantage les peines en fonction des tranches d’âge : 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans ».

Mme Dati affirme que « l’excuse de minorité sera maintenue ainsi que la primauté de l’éducatif ». Soulignant qu’actuellement « un peu moins de 300 jeunes délinquants » étaient « accueillis dans 32 centres éducatifs fermés », la ministre fait part de l’ouverture en 2008 de « cinq sites expérimentaux avec prise en charge pédopsychiatrique ».

La garde des Sceaux avait évoqué le 17 janvier une modification de l’ordonnance de 1945 ainsi qu’une « révision du code de procédure pénale ».

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Où vont les jeunes délinquants

Où vont les mineurs délinquants une fois jugés ? « La plupart restent dans la famille », indique Patrick Beaudoin, directeur des services de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de l’Aisne. Mais ils doivent purger les éventuelles sanctions éducatives prononcées par le juge des enfants. Ces sanctions sont applicables aux mineurs âgés de 10 à 18 ans au moment des faits. Il peut s’agir de la confiscation de l’objet qui a servi à la commission de l’infraction, un cyclomoteur, par exemple, d’une mesure d’aide ou de réparation à la victime ou d’un stage de formation civique.

Chez ses parents, le mineur délinquant peut aussi être sous le coup d’une mesure de liberté surveillée prononcée par le juge des enfants. Il est alors suivi par un éducateur et peut être soumis à une réparation pénale, qui peut aller de la lettre d’excuse aux victimes, au nettoyage du mur qu’il a tagué.

• Les mineurs délinquants peuvent être placés sur décision d’un juge pour enfants. Les jeunes de moins de 13 ans sont alors confiés à des assistantes maternelles ou à des foyers spécialisés.

• Entre 13 et 18 ans, ils peuvent être placés dans des foyers d’action éducative (FAE) par le juge des enfants. Ils poursuivent leur scolarité ou leur formation la journée mais ils doivent regagner le foyer le soir et respecter une vie de groupe. Un foyer accueille au maximum une douzaine de jeunes. Ils sont encadrés par des éducateurs.

• Les mineurs délinquants peuvent être envoyés dans des centres de placement immédiat (CPI) qui les accueillent en urgence pour une période de 3 mois. Le placement peut être assorti d’un contrôle judiciaire.

• Les centres éducatifs renforcés (CER) accueillent des petits groupes de 6 à 8 mineurs délinquants pour une période maximum de 6 mois. Rattrapage scolaire, activités physiques, stages : la prise en charge et l’encadrement sont permanents.

• Les centres éducatifs fermés (CEF) — 32 actuellement et un projet à Sainte-Ménehould (Marne) — accueillent exclusivement des groupes de 10 à 12 mineurs délinquants multirécidivistes de 13 à 18 ans. Le mineur est pris en charge constamment et il suit sa scolarité ou sa formation à l’intérieur du centre.

« Ce n’est pas une prison, mais le mineur ne peut sortir qu’avec un éducateur », précise Patrick Baudoin. S’il ne respecte pas les conditions du placement et les obligations fixées par le juge pour enfants, le mineur peut être incarcéré.

• Les mineurs délinquants peuvent être incarcérés dès l’âge de 13 ans, soit au quartier des mineurs d’une maison d’arrêt, soit dans un établissement pénitentiaire pour mineurs (EPP). En détention, ils sont suivis par des enseignants, des formateurs et des éducateurs.

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« La prison doit rester l’exception »

« Mettre un mineur en prison, c’est un constat d’échec. C’est généralement qu’on a tout essayé et que rien n’a marché. On n’a pas réussi à le réadapter. On espère que l’incarcération va provoquer un électrochoc. » Substitut au parquet des mineurs de Saint-Quentin, Julien Haquin doute des vertus éducatives de l’emprisonnement : « Incarcérer un mineur ne le rendra pas meilleur ».

Julien Haquin, substitut chargé des mineurs au parquet de Saint-Quentin.

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Même si elle constitue l’exception, la détention d’un mineur n’est pas rare. Près de 800 jeunes de moins de 18 ans étaient détenus l’an dernier dans les prisons françaises (lire par ailleurs). A lui seul, le tribunal pour enfants de Saint-Quentin a prononcé 38 peines d’emprisonnement en 2006. L’emprisonnement est autorisé en France dès l’âge de 13 ans.

Vols, cambriolages, dégradations, agressions, outrages, conduite sans permis : l’ordinaire des deux audiences mensuelles de la juridiction saint-quentinoise est composé de délits. « Bon nombre sont commis en groupe et sous l’effet de l’alcool. C’est souvent davantage par désœuvrement que par volonté de voler ou de détruire », observe le magistrat.

Plus rarement, le tribunal pour enfants juge des auteurs présumés de viol ou de crime de sang âgés de moins de 16 ans. Au-delà, et jusqu’à 18 ans, les accusés comparaissent devant la cour d’assises des mineurs à Laon. La sanction se traduit généralement par de la prison.

« Dans la majorité des cas, on ne revoit pas les mineurs jugés par le tribunal pour enfants. Il s’agit d’un accident de parcours. Leur procès a agi sur eux comme un coup de semonce qui a porté », constate le substitut.

« Leur comparution porte d’autant plus que les parents sont également convoqués à l’audience », précise le magistrat. « Le but du procès, c’est de responsabiliser le mineur mais aussi ses parents, qui sont souvent défaillants. Il faut leur rappeler qu’ils sont civilement responsables et que ce sont eux qui devront payer les dommages et intérêts. Donc, qu’ils doivent s’intéresser à ce que font leurs enfants. »

Les mineurs délinquants ne restent pas impunis, contrairement à une idée souvent répandue. « Toute infraction est systématiquement sanctionnée, mais la sanction est adaptée en fonction de la gravité des faits et de la personnalité du mineur. C’est un jeune en devenir, en pleine transformation, souvent immature et narcissique. Il faut prendre en compte son évolution. Le but, c’est d’éviter la récidive », explique le magistrat.

La justice dispose d’un éventail de mesures et de sanctions. Un simple rappel à la loi dans le bureau du magistrat ou d’un policier peut être jugé suffisant dans le cas d’une infraction sans trop de gravité et isolée.

Sinon, le mineur peut être contraint d’être suivi par un éducateur, d’apprendre un métier, de réparer ce qu’il a cassé, voire d’être placé dans un foyer. Un encadrement éducatif s’efforcera de lui inculquer les règles de la vie en société et de lui donner une formation.

« Pour les mineurs, la priorité est donnée à l’éducatif sur le répressif », insiste le magistrat. « La prison doit rester l’exception. »

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Près de 800 jeunes détenus

Sur les 60.870 personnes qui étaient incarcérées dans les prisons françaises au 1er juin 2007, 784 étaient des mineurs, au lieu de 647 un an plus tôt, soit 21 % de plus. La loi sur les peines planchers votée en juillet dernier devrait logiquement entraîner une augmentation du nombre des détenus mineurs. La nouvelle législation sur les peines minimales s’applique en effet aux adultes comme aux mineurs de 16 à 18 ans dès lors qu’ils sont récidivistes.

Le plancher est de l’ordre du tiers de la peine maximale prévue : un an si le délit est puni de trois ans d’emprisonnement, deux ans s’il encourt cinq ans, cinq ans si le crime prévoit quinze ans de réclusion, sept ans si l’accusé est passible de vingt ans.

De surcroît, l’excuse de minorité disparaît au troisième acte délinquant. Cette excuse, lorsqu’elle est accordée par la juridiction devant laquelle le mineur est jugé, entraîne automatiquement la diminution de moitié de la peine encourue. Sans le bénéfice de l’excuse de minorité, le mineur est passible des mêmes sanctions que les adultes.

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De nombreuses affaires

• Un skinhead âgé de 16 ans au moment des faits est condamné à 15 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de la Marne en octobre 2004 pour le meurtre d’un homosexuel de Sedan en 2002 dans un parc de Reims. Deux jeunes majeurs sont condamnés à vingt ans de réclusion.

• Deux adolescents de 17 et 18 ans sont condamnés en juin 2007 à cinq ans de prison, dont quatre avec sursis, par la cour d’assises des mineurs de l’Aisne. Ils sont reconnus coupables d’avoir violé une amie en 2003 dans une brigade de gendarmerie près de Saint-Quentin. L’un des accusés était le fils du commandant de brigade. La victime était la fille d’un de ses subordonnés.

• Une adolescente de 15 ans abat d’un coup de carabine un garçon de 15 ans qui la défiait à Charly-sur-Marne, dans l’Aisne, en août 2002.

• Un garçon de 19 ans abat deux Turcs et en blesse deux autres en juin 2006 à Bohain-en-Vermandois, près de Saint-Quentin, à la suite d’un différend entre deux familles.

• Un adolescent de 15 ans poignarde un garçon du même âge et le défigure en avril 2000 à Reims pour une sombre histoire de représailles.

• Un garçon de 17 ans poignarde sa petite amie, une adolescente du même âge qui venait de rompre en décembre 2007 à Saint-Quentin.

• Cinq mineurs de 14 à 17 ans agressent deux automobilistes, dont une retraitée de 75 ans, pour voler leurs sacs à main, et tentent de voler leur voiture en novembre 2007 à Amiens.

• Une élève de 15 ans agresse une enseignante en décembre 2007 dans un collège d’Amiens.

• Quatre adolescentes martyrisent une fille de 13 ans pour une rivalité amoureuse en octobre 2005 à Reims. La jeune victime est frappée, saoulée, aspergée d’eau de javel, la tête plongée dans la cuvette des toilettes.

• Un adolescent de 17 ans frappe violemment deux éboueurs de Laon (Aisne) pendant leur tournée en mai 2007.

• Un collégien frappe une enseignante après l’épreuve du brevet en juin 2007 à La Fère (Aisne).

• Cinq jeunes dont trois mineurs sont interpellés par la police en février 2007 dans le quartier Wilson à Reims où ils sont accusés de semer la terreur dans un immeuble. A leur actif : vols, menaces, dégradations et violation de domicile.

• Trois mineurs de 13 à 15 ans et un jeune majeur sont interpellés à la suite de violences urbaines le 1er mai 2007 dans le quartier de la Ronde-Couture à Charleville-Mézières.

• Une adolescente de 16 ans agresse deux sœurs de 12 et 16 ans qui rentraient de l’école le 3 mai 2007 à Charleville-Mézières. Ivre, elle les roue de coups devant des témoins. Personne n’intervient.

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Torturé puis noyé dans la Vesle

 

Alexis Frumin, torturé puis noyé dans la Vesle à Reims.

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Ils sont décrits comme désœu vrés et extrémistes. Quatre jeunes Rémois, dont deux mineurs, sont impliqués dans la mise à mort d’Alexis Frumin, un Rémois de 20 ans, retrouvé noyé le 16 juin 2007 dans la Vesle à Reims. Le tort de la victime ? « Etre un peu basané, un peu efféminé », selon un magistrat.

Alexis, gamin naïf et vulnérable, est devenu, pendant deux jours, le souffre-douleur des quatre jeunes, mis en examen pour « assassinat avec actes de torture et de barbarie ». Un crime passible de la réclusion à perpétuité.

Alexis a subi un véritable calvaire : coups de rangers, gifles, épilation, brûlure avec une lame de couteau chauffée à blanc, jet de lacrymogène, étranglement…

De peur d’être dénoncés, ils ont finalement décidé de supprimer leur supplicié. « Un parasite, un faible, qui ne méritait pas de vivre », explique lors de sa garde à vue l’un des agresseurs, âgé de 17 ans.

Elevé à l’école de la haine, l’adolescent admet s’être déchaîné. Dans un premier temps, il a frappé avec l’intention avouée de briser la colonne vertébrale d’Alexis. En vain. Alors il l’a étranglé avec une ceinture puis jeté dans la Vesle, la rivière qui traverse la ville.

L’affaire est d’autant plus choquante qu’elle fait écho au meurtre, quatre ans plus tôt, dans le même secteur de Reims, de François Chenu, un Ardennais de 29 ans, roué de coups puis jeté inconscient dans l’étang du parc Léo-Lagrange, Les trois jeunes skinheads, imprégnés d’idées nazies, étaient partis dans l’intention d’agresser un Maghrébin. Ils s’étaient rabattus sur une chasse à l’homosexuel qui s’était terminée par la mort de leur proie rencontrée par hasard.

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l’union080123a

Assassinat de Reims : deux filles à la dérive

 

La mère de la victime hier au palais de justice de Reims : « J’attends une sanction exemplaire ». Christian Lantenois

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Poursuivie pour avoir poignardé un promeneur dans le quartier Croix-Rouge à Reims en 2005 alors qu’elle avait 17 ans, Karen comparaît depuis hier à huis clos devant la cour d’assises des mineurs de la Marne, en compagnie de Julie. Le verdict est attendu aujourd’hui.

Karen (*) a pleuré. La porte de la cour d’assises des mineurs de la Marne s’est refermée sur l’image furtive de cette fille à l’allure massive en train de s’essuyer les yeux dans le box des accusés. Elle est jugée depuis hier à huis clos pour assassinat.

Karen est accusée d’avoir poignardé un homme qui promenait son caniche dans le quartier Croix-Rouge à Reims le 13 septembre 2005 vers deux heures du matin (nos éditions d’hier). Elle avait 17 ans. Elle en a 19. Elle n’a pas voulu d’un procès public. Elle reconnaît les faits et assure les regretter.

Une autre fille est assise sur le banc juste en dessous du box. Julie était la meilleure amie de Karen. Elle a trois ans de plus, la même corpulence. Elles étaient inséparables. Elles sont accusées d’avoir roué de coups le promeneur à la suite d’une altercation.

Karen est ensuite remontée chercher un couteau chez sa mère et elle est redescendue pour aller poignarder l’homme qui gisait encore au sol.

Julie est restée en retrait, ce qui lui vaut d’être poursuivie pour non-empêchement de crime en plus des violences.

Karen et Julie avaient croisé Cédric Houppermans, un invalide de 35 ans, qui sortait son chien. Invalide à 80 % depuis l’âge de 17 ans à la suite d’une agression, il boitait et il avait un bras paralysé. Il n’a pas pu se défendre. Il aurait proposé aux deux filles de venir boire un verre chez lui. Il vivait seul après avoir eu trois compagnes et un enfant avec chacune.

Karen et Julie auraient mal pris son invitation.

Pour elles, c’était une proposition. Des insultes ont fusé. « Fils de pute, j’vais te crever », a entendu un riverain.

D’autres ont été réveillés par des cris.

L’un d’eux a appelé le commissariat. Les filles étaient déchaînées.

Elles s’étaient saoulées au whisky. Karen était en train de poignarder le promeneur quand la patrouille de police est arrivée.

« Quand je la vois, je l’imagine en train de porter des coups de couteau à mon fils. » Léone, la mère de la victime, sanglote à la sortie d’une rare suspension d’audience. « J’attends une peine exemplaire », souffle-t-elle. Elle est soutenue par Cyril, son autre fils, et Me Lydie Laithier, son avocate.

Pour les experts, l’alcool a libéré les pulsions agressives des deux filles, deux gamines à la dérive présentant, l’une comme l’autre, « un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré (leur) discernement et le contrôle de (leurs) actes ». Karen est considérée comme « borderline », un état limite fait de dépression, de tendances suicidaires, d’agressivité et de sentiment d’abandon. Son père alcoolique est mort quand elle avait six ans.

Elle est la dernière de cinq enfants. Jeune, elle a souffert de la violence des garçons. Elle s’est mise à boire et à se droguer. Sa mère, une aide-soignante, a perdu pied.

Karen traînait toute la journée avec Julie, une fille aussi paumée qu’elle. Son père alcoolique est parti quand elle avait sept ans. Elle a perdu sa mère à seize ans. Elle s’est réfugiée dans l’alcool.

Pour les experts, aucune des deux accusées « ne présente un état dangereux permanent ». Elles sont « curables et réadaptables ». Karen a tenté de se suicider en prison. Julie, en liberté, est devenue maman.

Francis Dujardin

(*) Prénom d’emprunt

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l’union080124a

Assassinat : 15 ans de réclusion et un acquittement

 

PHOTO (Christian Lantenois) : Me Patrick Antoine, défenseur de l’adolescente : « Maintenant elle peut envisager l’avenir ».

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L’adolescente d’alors 17 ans qui avait poignardé un promeneur en 2005 à Reims a été condamnée hier à quinze ans de réclusion par la cour d’assises des mineurs de la Marne. Sa coaccusée a bénéficié d’un acquittement partiel.

L’adolescente d’alors 17 ans qui avait poignardé un promeneur en 2005 à Reims a été condamnée hier à quinze ans de réclusion par la cour d’assises des mineurs de la Marne. Sa coaccusée a bénéficié d’un acquittement partiel.

LES larmes lui sont montées aux yeux quand la condamnation est tombée hier après trois longues heures de délibéré : quinze ans de réclusion pour assassinat. Karen (*) a accueilli en silence le verdict de la cour d’assises des mineurs de la Marne.

Au terme d’une journée et demie de procès à huis clos, la jeune fille a été reconnue coupable d’avoir poignardé un promeneur de 35 ans qui lui avait proposé de venir boire un verre chez lui. C’était le 13 septembre 2005 vers deux heures du matin dans le quartier Croix-Rouge à Reims (nos éditions précédentes).

Karen avait 17 ans alors. Elle en a 19 aujourd’hui. La cour l’a fait bénéficier de l’excuse de minorité. Celle-ci entraîne une diminution de moitié de la peine encourue, en l’occurrence la réclusion criminelle à perpétuité ramenée à vingt ans de réclusion. L’avocate générale Florence Lifchitz avait requis dix-sept ans.

Julie, l’amie plus âgée qui accompagnait Karen cette nuit-là, a été condamnée pour sa part à trois ans d’emprisonnement avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans pour « violences commises en réunion ». Elle a en revanche été acquittée de l’accusation de « non-empêchement de crime ». L’accusation avait réclamé cinq ans d’emprisonnement. Julie était inquiète. Elle avait peur de retourner en prison. Elle est en liberté sous contrôle judiciaire depuis un an après avoir effectué cinq mois de détention provisoire. A 22 ans, c’est aujourd’hui une jeune maman.

Les deux filles, deux adolescentes à la dérive, ont roué le promeneur de coups de poing et de coups de pied après une altercation. Elles ont pris son invitation pour une proposition. Ivres, elles ont passé leur rage sur l’inconnu qui les avait abordées. Cédric Houppermans, un invalide, promenait son caniche. Lui aussi avait beaucoup bu. Karen était remontée chercher un couteau dans l’appartement de sa mère. Julie la suivait, mais elle assure n’avoir pas vu Karen s’emparer du couteau à steak, tranchant et effilé. Les jurés l’ont crue. D’où son acquittement. Karen, elle, était revenue poignarder le promeneur qui gisait sur la dalle de l’esplanade Eisenhower.

« Depuis deux ans, elle attend son procès avec anxiété. Maintenant elle est soulagée. Elle peut envisager l’avenir, reprendre des études et suivre une formation en prison tout en continuant une psychothérapie », expliquait Me Patrick Antoine après le verdict.

Défenseur de Karen, il n’a pas l’intention de faire appel. Me Guy Marteau, l’avocat de Julie non plus, tout comme Mes Agnès Mercier et Lydie Laithier, parties civiles pour la famille de la victime. Léone, sa mère, une retraitée, a quitté le prétoire fatiguée mais apaisée.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080121b

CONSTITUTION DE SOCIETE
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » : 21 AU 27 JANVIER 2008 -

 

Par acte S.S.P. en date du 2 janvier 2008, il a été constitué une société :

DENOMINATION : ROJ.

FORME : S.A.R.L. CAPITAL : 15.000 €.

SIEGE SOCIAL : 14 avenue du Général Eisenhower - 51100 REIMS.

DUREE : 99 ans.

OBJET SOCIAL : Entreprise générale de bâtiment en sous traitance.

GERANTE : Mlle BAYARTAN Evin, sise 3 rue des Savoyards - 51100 REIMS.

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

62023

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l’union080121a

Prison pour les brûleurs de scooter et de cabine

 

Au cours de la nuit du 7 au 8 novembre derniers, un scooter flambait dans des circonstances un peu bizarres sur la place Auguste-Rodin du quartier Croix-du-Sud : il se trouvait tout contre une cabine téléphonique ; et celle-ci avait du coup flambé avec lui.

Au terme d’une enquête patiente, les policiers ont fini par trouver l’explication : il s’agissait d’une tentative d’escroquerie à l’assurance, le propriétaire du deux-roues ayant tenté de se faire payer un engin neuf en faisant croire à un vol suivi d’un acte de vandalisme.

L’intéressé, âgé de 22 ans, a dû en répondre jeudi devant le tribunal correctionnel, en compagnie d’un complice de 18 ans. Le premier a été condamné à six mois de prison, dont cinq avec sursis, mais avec envoi immédiat derrière les barreaux ; le second a été sanctionné d’un mois ferme, sans placement immédiat en détention.

A.P.

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l’union080120c

Tournoi de futsal : un moyen de dialoguer

 

La Ville a offert des chasubles au logo des Maisons de quartier.

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Très apprécié des jeunes, un championnat de futsal, financé par le Cucs et la Ville de Reims, a démarré depuis novembre dernier pour les jeunes des Maisons de quartier rémoises.

« Dans ce cadre, la Ville a mis à notre disposition deux éducateurs sportifs et a offert des chasubles à l’effigie de Reims et au logo des Maisons de quartier », déclare Ali Aït Yahia, animateur jeunes et l’un des organisateurs.

Les poules ont lieu à raison de deux matchs par mois. Ce mercredi, au gymnase Richelieu, les jeunes de la maison de quartier Maison-Blanche affrontaient ceux de Cernay-Europe.

« Répondre aux demandes des jeunes, c’est une de nos priorités, et en mettant à notre disposition quatre gymnases, la Ville nous y aide », apprécie Jennifer Robin, animatrice.

Pour Sébastien Jacques, éducateur spécialisé au Conseil général de la Marne, ces rencontres sont un moyen de nouer des contacts : « J’interviens auprès de jeunes en difficulté, et, par le biais de ce sport, ça me permet de me faire connaître, pour amorcer ensuite l’accompagnement individuel ».

Il tient à souligner deux points : d’une part, le fait qu’il dispose d’un réseau partenarial important (écoles, collèges, missions locales, assistantes sociales) qui orientent vers lui les jeunes en difficulté, d’autre part qu’il assure aussi des permanences dans les maisons de quartier. « Je ne suis mandaté par personne, les jeunes viennent me voir librement, et je suis tenu au secret professionnel » insiste-t-il. « Les jeunes des quartiers pratiquaient déjà le « foot du bas de l’immeuble ».

Ici, la compétition est mise au service de finalités telles que la lutte contre la violence, l’incivisme », ajoute Yoann Bourquin, éducateur sportif. En futsal, les tacles, les contacts et les charges sont interdits. « Je jouais déjà dehors dans mon quartier, c’est mon premier match. J’aime bien, l’ambiance est sympa », lance Cassandra dite « Pupuce », seule fille de l’équipe, revêtue de la chasuble « Ville de Reims » toute neuve !

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l’union080120b

Feux en série

 

La soirée a commencé peu avant 20 heures avec un feu de vide-ordures au 13 rue Jean Fragonard.

Le feu a été éteint à l’aide d’une lance.

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Reims Métropole Magazine - N° 101 - janvier 2008

CROIX ROUGE S’AFFICHE : Le projet qui fédère tout un quartier

 

La Maison de Quartier Croix Rouge lance la 15e édition de l’opération “Croix Rouge S’affiche”.

Objectif : encourager les habitants à animer les rues et à promouvoir le quartier en dehors de ses frontières.

Pour l’édition 2008 de “Croix Rouge S’affiche”, c’est José Mendes, 38 ans, directeur artistique de l’Ageasse théâtre, qui mène la danse autour du thème choisi cette année : le développement durable. Une manière pour l’auteur et pour la Maison de Quartier de contribuer à l’éveil des consciences face au respect de l’environnement. Le projet a été soumis aux acteurs locaux, notamment aux écoles et aux associations.

Afin de préparer le spectacle déambulatoire qui se tiendra lors du Festival « Croix Rouge S’affiche » en mai prochain, un grand casting a été organisé le 15 décembre dernier. Ouvert aux jeunes de l’agglomération rémoise de 13 à 20 ans, il permettait d’inviter les plus motivés à s’investir dans le projet. Chanteurs, danseurs et musiciens ont donc été auditionnés.

Lors de la création du spectacle, de janvier à avril 2008, les jeunes talents retenus seront encadrés par deux professionnels, un directeur artistique, José Mendes, et un chorégraphe. Au mois de mai, le spectacle cheminera dans le Quartier Croix Rouge et dans le centre de Reims. Une tournée dans les quartiers et les villes de l’agglomération est également prévue. _

Trois questions à José Mendes, directeur artistique de l’Ageasse théâtre

Pourquoi avoir choisi le thème du développement durable…

Pour les habitants du quartier, c’est un véritable acte de civisme que de s’investir pour l’avenir de leur planète. Le spectacle est porteur de message car il montre que même entre les murs des immeubles, les personnes sont sensibilisées et s’intéressent au respect de la Terre.

Comment envisagez-vous le spectacle déambulatoire ?

Des triporteurs évolueront d’abord dans le centre-ville, puis vers d’autres Maisons de Quartiers. Au milieu, je pense à un char qui pourrait représenter la planète.

Comment avez-vous associé les écoles du quartier à ce projet ?

Notre projet réunit les élèves de maternelles et de primaires qui vont réaliser des tableaux représentant la Terre à partir d’éléments recyclables. Caroline Vallette et Nicolas Baumann, plasticiens, vont les y aider en intervenant dans les classes.

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l’union080119a

Les crêpes de la solidarité

 

La prochaine fête des « Crêpes-Solidarité » organisée par l’association Multi échanges services (MutES) se déroulera mercredi 12 mars sur le secteur Taittinger-Eisenhower.

Elle prendra cette année une ampleur particulière : à l’occasion des 20 ans de l’association, la MutES invite en effet toutes les associations et tous les partenaires de l’ensemble du quartier Croix-Rouge à s’associer à cette grande fête.

Première réunion préparatoire vendredi 25 janvier à 18 heures à l’espace Billard — 14, rue Pierre-Taittinger.

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l’union080117e

Deux activités à Pays-de-France

 

L’association de promotion de Pays-de-France (Appf) organise deux activités traditionnelles, salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac : le repas des personnes âgées se déroulera samedi 19 janvier à partir de 12 h 30 et l’après-midi récréative autour de la galette des rois, le lendemain dimanche 20 janvier à partir de 14 h 30.

Renseignements : Appf, 1, allée des Picards. Tél. 03.26.36.65.71.

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LA MARNE > LEMAG janvier-février 2008

C’EST DANS LA MARNE : La Marne au rythme des musiques improvisées !

 

800 signes et gestes permettent d’organiser et de diriger l’improvisation et la création collective

Ann Ballester enchaîne les gestes et les enfants répondent à ses consignes pour élaborer la composition…

Une phrase en soundpainting se construit selon le principe suivant : Qui ? Quoi ? Comment ? Quand ? Un geste répond à chacune de ces interrogations.

Cette sensibilisation des enfants au « soundpainting » p r o l o n g e e t c l ô t l e G r a n d Champ’Ardemment, monté en 2006 par Ann Ballester avec des artistes régionaux. Des musiciens marnais des collectifs Le Nez du Chameau et TTT, des comédiens de la compagnie auboise Les Colporteurs, des élèves et professeurs du Conservatoire national de Région se sont réunis autour de François Jeanneau pour s’initier et transposer le « soundpainting » dans leur pratique artistique.

Ce projet appuyé par le Conseil général, s’inscrit dans une démarche plus large et régulière de soutien du Département aux musiques improvisées, qu’il s’agisse d’actions de sensibilisation auprès des élèves, de diffusion en milieu rural ou de pratiques professionnelles et amateurs. L’opération « Archi- Jazz dans la Marne » menée en 2004 dans les campagnes marnaises fut ainsi un franc succès.

Le saxophoniste Archie Shepp, figure historique du free jazz, les musiciens professionnels de l’association Musiseine, se sont rendu dans les villages pour jouer en concert avec les harmonies locales.

Depuis 2005, des musiciens de l’association Djaz51 vont à la rencontre des collégiens pour leur faire découvrir l’histoire de cette musique rythmée.

Une façon de faire rayonner les musiques improvisées dans toute la Marne !

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TÉMOIGNAGE DE… Myriam Ranaivoson
MYRIAM RANAIVOSON EST PROFESSEUR D’ÉDUCATION MUSICALE AU COLLÈGE JOLIOT-CURIE.

À la rentrée, le principal m’a proposé de participer à cette expérience. Je ne connaissais pas le soundpainting, la curiosité a fait le reste. Nous avons associé deux classes de 6e à ce projet. Les enfants de cet âge sont beaucoup moins inhibés que les adolescents et ils ont pu laisser libre cours à leur créativité.

Ils étaient un peu surpris au début ; on leur proposait de crier, de rire, de gesticuler, de siffler. Ils se demandaient où tout cela menait. Mais le soundpainting est très ludique et ils se sont vite pris au jeu. Il fallait juste qu’ils comprennent que tout ceci finirait par former une composition harmonieuse.

L’expérience a été très enrichissante : les enfants devaient suivre les consignes du « chef d’orchestre » et rester concentrés et attentifs, à l’image de ce que leur demandent leurs professeurs. Cette technique développe la créativité et l’imagination, fait émerger des capacités nouvelles. Je pense, en particulier, à un élève qui a montré des talents étonnants qui seraient passés inaperçus dans un cours classique. Enfin, le soundpainting est un langage, comme la musique.

Les enfants en ont pris conscience lors du concert final. Ils se sont alors rendu compte qu’ils étaient capables de créer quelque chose de valable. C’est la meilleure des leçons.

Ann Ballester enchaîne les gestes et les enfants répondent à ses consignes pour élaborer la composition…

Une phrase en soundpainting se construit selon le principe suivant : Qui ? Quoi ? Comment ? Quand ? Un geste répond à chacune de ces interrogations.

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Croix-Rouge : un repas pour les personnes âgées

 

L’Acrap organise dimanche 20 janvier à 12 h 30, dans la salle polyvalente, un repas réservé aux personnes âgées du quartier Croix-Rouge, âgées de 65 ans ou plus, avec conjoint même moins âgé.

Inscriptions au secrétariat de l’Acrap ou auprès de Mme Canu (12 euros et carte d’adhésion).

Les personnes qui ne peuvent pas se déplacer doivent le signaler, l’Acrap prendra en charge leur transport aller et retour.

Association Croix-Rouge animation et promotion, 11 rue du Président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.)

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Deux activités à Pays-de-France

 

L’association de promotion de Pays-de-France (Appf) organise deux activités traditionnelles, salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac : le repas des personnes âgées se déroulera samedi 19 janvier à partir de 12 h 30 et l’après-midi récréative autour de la galette des rois, le lendemain dimanche 20 janvier à partir de 14 h 30.

Renseignements : Appf, 1, allée des Picards. Tél. 03.26.36.65.71.

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Résidence Utrillo : bonne retraite à Chantal Laurent

 

Jean-Luc Geoffroy et Martine Mahuet, président et directrice de l’Arfo ont rendu hommage à Chantal Laurent (au centre).

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Le temps est venu pour Chantal Laurent, à la résidence Maurice-Utrillo depuis près de dix ans, de prendre une retraite bien méritée.

Elle va pouvoir se consacrer à ses trois petits-enfants : « il y a un temps pour tout : je vais passer du quatrième au premier âge ! » plaisante-t-elle. Passionnée de nature, elle va y habiter et profiter de la campagne où l’attend une maison à restaurer : du pain sur la planche !

Au programme également, des randonnées pédestres : « Ça me ressource ! »

Générosité et grand cœur

De la résidence Utrillo, elle regrettera ses collègues et les résidants : « j’espère avoir apporté ici du bien-être et de la chaleur humaine ». Affirmation confirmée par Noellie Micheletti, sa collègue de la résidence Avranches : « son passage restera marqué par sa grande générosité ! »

Avis également concordant de Martine Mahuet, directrice générale de l’Association rémoise de foyers logements pour retraités (Arfo) : « Chantal Laurent a été une excellente directrice avec un énorme cœur, presque trop gentille. Nous allons regretter son départ. »

Après une allocution de l’adjoint au maire Jean-Luc Geoffroy, président de l’Arfo, Chantal Laurent a été fêtée par les élus du CCAS, les membres du conseil d’administration et les personnels des autres résidences venus en nombre.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Les enfants handicapés s’envolent : direction « Intégration »

 

Handicapés ou non, 143 enfants et ados ont participé ce lundi à une première rencontre à l’Institut Michel-Fandre.

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La Jeune chambre économique de Reims organise jusqu’en mai des rencontres entre « enfants ordinaires et extraordinaires ». La première rencontre a eu lieu lundi à l’Institut Michel-Fandre. En mai, tous se verront offrir un baptême de l’air.

Un partenariat entre l’Institut Michel-Fandre, la Jeune chambre économique de Reims, l’association d’aviation « Les chevaliers du ciel » et plusieurs écoles rémoises permettra, en mai, de donner des ailes aux enfants handicapés.

Une première rencontre a eu lieu ce lundi à l’institut, qui accueille des jeunes touchés par des handicaps sensoriels (déficiences visuelles et auditives, troubles du langage).

Près de 140 enfants et ados s’y sont rencontrés : 80 de l’institut et 60 du collège Notre-Dame, des écoles Emile-Bruyant à Taissy et Ravel-Franchet à Reims. « C’est vraiment le début de l’aventure, et la première des trois rencontres qui vont s’étaler d’ici mai », explique Adrianna Chobriat, de la Jeune chambre.

Pour sa « collègue » Anne-Claire Joly, ce projet, intitulé « Les anges au sourire à la découverte de l’aviation », répond à un double objectif, humain et pédagogique : « Faire que les enfants, ordinaires ou extraordinaires, se rencontrent, se connaissent et se comprennent ». Et permettre de mieux comprendre un thème cher à l’enfance : l’aviation.

« Tour de France aérien »

D’ici mai, plusieurs ateliers éclaireront les bambins sur l’histoire de l’aviation, les techniques de vol, le quotidien dans un aéroport, etc. Parmi ces journées spéciales, rendez-vous est pris dans quinze jours sur la base militaire 112 pour assister au travail d’un escadron.

Cette préparation, qui vise à favoriser « l’intégration des jeunes handicapés en milieu ordinaire », atteindra son sommet en mai prochain. Lorsque le projet « Les anges au sourire » rejoindra l’initiative du « Tour de France aérien », pilotée par l’association Les chevaliers du ciel. Celui-ci partira le 2 mai de Grenoble, sera le 7 mai à Vannes et finira le 10 mai à Montpellier. Le 5 mai sur l’aérodrome de Prunay, des baptêmes de l’air seront proposés aux 143 enfants concernés à Reims.

Guillaume Lévy

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Résidences Arfo : un bon bilan et un concours

 

Les personnels des résidences de Reims réunis.

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Les personnels des résidences Foyers logements pour retraités de Reims étaient réunis vendredi 11 janvier à la résidence Utrillo pour recevoir les vœux des administrateurs.

A Reims, les foyers logements sont gérés par l’association rémoise de foyers logements pour retraités (Arfo) qui, au travers de ses 16 établissements, dispose de 95 personnels et accueille actuellement 1150 résidants.

Martine Mahuet, directrice générale, a présenté Rachel Conroux qui va prendre la direction de la résidence Utrillo dans quelques semaines.

« L’Arfo va bien dans tous les domaines, y compris financiers » déclarait ensuite Jean-Luc Geoffroy, « globalement, il y a aucune vacance. C’est normal, les gens s’y sentent bien et ils le disent autour d’eux ! Nous sommes sur une route bien éclairée et sécurisée. »

Seul petit bémol : « les travaux ! Si à la résidence Lucien-Doyen le projet est sur les rails, il n’en est pas de même partout : aménagements et réhabilitations n’avancent pas assez vite, en particulier au niveau des sanitaires adaptés. Il faut qu’en 2008 on arrive enfin à équiper l’ensemble des résidences car dans certaines, il existe encore des baignoires-sabots ! »

Autre petit souci : quel avenir pour la résidence Saint-Remi dont le propriétaire privé souhaite se séparer ?

Les trois résidences désignées par un jury comme les plus belles en matière de décoration de Noël ont touché un crédit de 300 à 500 euros pour améliorer leur budget collectif, cependant que leurs personnels recevaient un bon d’achat individuel, qui a été fort apprécié.

Le classement : 1, résidence Dorgelès (500 euros). 2, résidence Saint-Remi (300 euros). 3, résidence Aurore (200 euros).

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Reims-Habitat : 200 nouveaux logements en 2008

 

Patrick Baudet a annoncé un programme ambitieux.

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« Nous menons une action continue pour donner à Reims-Habitat les moyens de satisfaire son projet social ». C’est l’un des principaux objectifs de l’organisme logeur que dirige Patrick Baudet, qui recevait le jeudi 10 janvier pour les vœux, en présence de Marie-Annick Roger, présidente du conseil d’administration, personnalités et entreprises partenaires.

« Un projet lourd » pour une équipe « qui s’efforce de proposer un habitat confortable pour tous, d’en assurer le renouvellement en produisant au moins 200 nouveaux logements par an ». « Où sont ces 200 logements ? Ils arrivent en 2008 ! ».

Sur le patrimoine existant, un programme ambitieux : « Nos planches à dessin regorgent de projets ! ». Autre point essentiel, la démarche « Qualibail ». Cette certification de qualité inclut les entreprises signant la charte. « Il a fallu revisiter les modes de fonctionnement, remettre en place des contrôles internes ».

« Des relations serrées avec les locataires »

La politique foncière de Reims-Habitat veut être marquée de l’empreinte du respect de l’environnement. Un exemple : la construction à Tours-sur-Marne de logements « Eco-Quartier Environnement ».

L’établissement a aussi bien entendu une vocation sociale : « Nous sommes inscrits dans un engagement professionnel d’accueil de toutes les populations et avons dépassé de très loin les objectifs assignés dans le cadre du plan départemental de logement des plus démunis ».

Autre point fort : la qualité des rapports avec les occupants. « Nous voulons avoir une relation très serrée avec les représentants des amicales de locataires ». « Soyez proches de la population » leur a conseillé le maire Jean-Louis Schneiter, ajoutant, « Il faut que vous trouviez du foncier. Les municipalités sont là pour vous y aider ».

Au seuil du changement d’équipe municipale, il a conseillé à ceux qui sont à la barre « de tenir le manche pendant le temps de la réorganisation ».

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Feux divers

 

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Une heure plus tard, ils étaient appelés dans la rue Lavoisier (Croix-Rouge) pour éteindre un feu dans un local vide-ordures ; encore plus tard, vers quatre heures du matin, un autre feu dans un local du même genre leur valait une nouvelle intervention, cette fois dans l’allée des Bourguignons (Croix-Rouge).

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VRI décembre 2007 - janvier 2008

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 243 de décembre 2007

 

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Les Maisons de quartier créent un challenge Futsal

C’est une première à Reims ! 9 Maisons de quartier* sont en effet parties prenantes du projet.

Chaque mercredi après-midi, par équipes de 5, près d’une centaine de jeunes dans la tranche d’âge 11-15 ans pratiquent le football en salle (on dit “Futsal” tout simplement). La phase finale du challenge disputé chaque mois est prévue pour juin 2008. Une action soutenue par la Ville de Reims qui met deux éducateurs sportifs et quatre gymnases à disposition.

Dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale, le projet bénéficie aussi d’un financement Ville-Etat. *Croix Rouge, Maison Blanche, Orgeval, Chalet Tunisie, Epinettes, Wilson, Cernay-Europe, Châtillons et Clairmarais.

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A suivre à la Médiathèque

La salle heure du conte, au 1er étage de la Médiathèque Croix-Rouge, vous réserve quelques surprises :

• samedi 22 décembre à 14 h (à suivre aussi le même jour à 16h30, Médiathèque Jean Falala), l’International Visual Theatre présente “Ma parole”, spectacle bilingue français/langue des signes de Jean-Yves Augros avec l’auteur et Yann Robert (pour tous à partir de 8 ans).

• mercredi 26 décembre à 16h30, “Le Père Noël et les sorcières”, textes et dessins de Jean-François Vergne, font l’objet d’une projection de diapositives (pour enfants de 4 à 8 ans).

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Permanences des Femmes Relais

L’Association Femmes Relais 51 tient une permanence à l’Antenne Municipale Croix-Rouge

Le mardi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17h30.

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Des services Supplémentaires à l’Espace Pays de France

La Maison de quartier vous propose un “Point Info Famille” (la labellisation est en cours). Cet espace de renseignements et d’informations est consacré à la formation, l’emploi, la vie pratique, la santé, les droits…

Des ordinateurs sont mis à votre disposition avec accès internet.

Rendez-vous : lundi de 14 h à 16 h, jeudi de 9 h à 11 h et vendredi de 14 h à 16 h.

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L’agenda de l’Espace Watteau

• Prenez l’air le 20 janvier. Vincent vous propose une sortie randonnée rémoise.

• Pour les vacances de Noël, entrez, c’est ouvert (sur inscription à la semaine, en journée, demi, avec ou sans repas) pour les 3 à 12 ans.

Fermeture exceptionnelle à 16h30 les 24 et 31 décembre. Le service multiaccueil (halte-garderie) sera fermé du 31 décembre au 4 janvier. Tél. : 0326360350 et watteau@maisondequartier-reims.fr

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Sorties nature avec l’espace Billard

Seul ou en famille, rejoignez le guide nature les dimanches matins.

Prochain rendez-vous dimanche 20 janvier à 9 h. Thème : le Reims d’autrefois.

Renseignements : 0326080878 et billard@maisondequartier-reims.fr

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Guillaume Gellert expose

La vidéo expo se déroule du 17 au 22 décembre de 18 h à 21 h.

Les photographies de l’artiste rémois seront projetées sur des façades de bâtiment à raison de deux soirées sur cette période.

Regroupées autour du thème “l’été a rendez-vous avec l’hiver”, les photos seront visibles :

• de l’avenue d’Epernay (côté faculté de médecine)

• de l’avenue Bonaparte (à proximité de la passerelle Pays de France)

• avenue Taittinger (après le parking du centre commercial Match)

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge.

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La mairie plus près de chez vous

Antenne municipale Croix Rouge, 1 rue Joliot Curie, tél. : 0326356020.

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Apprendre un métier, un atout pour l’avenir

Les Compagnons du Devoir de Reims et Muizon ont l’envie de transmettre aux jeunes leur goût du travail bien fait.

A la Médiathèque Croix-Rouge, l’exposition proposée jusqu’au 26 janvier 2008 présente cinq métiers : mécanicien, couvreur, charpentier, chaudronnier et métallier.

Pièces remarquables, outils, documents et photographies originales de Guillaume Gellert étoffent cette initiative qui sera complétée sur place par une série de démonstrations.

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“Mémoire d’enfance” ou le lien social en chantant…

Quoi de plus rassurant qu’un chant ancré au fond de soi ?

Faire de la salle d’attente PMI un jardin musical autour des berceuses d’ici et d’ailleurs, c’est procurer à tous de la sérénité. A l’Espace Billard, les jeudis matin, Amdy Seck, bénévole d’ACAO, et la référente familles de la structure tissent des liens avec les parents et aident les enfants à découvrir les instruments adaptés à tous les âges, du hochet musical au djumbé.

L’après-midi, la halte-garderie voit des parents de toutes origines tisser des liens nouveaux par le chant. « Reconnues dans leur histoire, rapprochées par le fait de chanter, les familles entrent en communication avec leurs différences » dit Monique Dieuleveux, Présidente d’ACAO, qui salue tous les acteurs du projet inscrit dans le Contrat Urbain de Cohésion Sociale. L’idée a fait des petits… Elle prend vie sur le quartier Wilson les lundis à l’Espace Sainte-Anne.

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En beauté

La Direction des Espaces Urbains réaménage la chaussée et les trottoirs de la rue de Dijon pour la partie comprise entre l’avenue du 18 juin 1940 et la rue de Bordeaux. Entre la rue Jean-Louis Debar et la place J. Donatini, elle a entrepris la réfection des trottoirs côté pair.

Enfin, rue François Mauriac, un cheminement destiné aux piétons et aux cyclistes va être créé entre la rue Pierre Taittinger et le Chemin D 6 (en direction de Bezannes).

Ces travaux entrepris depuis le mois de novembre devraient, sauf conditions climatiques défavorables, se terminer pour les fêtes de fin d’année.

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Jour de marché dans mon quartier

Mercredi, marché Croix du Sud, esplanade Paul Cézanne. Samedi, marché Croix-Rouge, rue Pierre Taittinger (parking municipal).

Les marchés ont lieu de 5 h à 13 h du 1er avril au 30 septembre et de 6 h à 13 h du 1er octobre au 31 mars.

Les marchés tombant un jour férié sont maintenus, sauf à la Toussaint, à Noël et au Jour de l’An.

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Informez-nous !

Pour le prochain VRI à paraître début février 2008, vous pouvez nous adresser vos infos “Vie des quartiers” dès à présent et jusqu’à mi-janvier. Merci d’avance et meilleurs voeux à tous !

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PISCINE CHÂTEAU D’EAU : De nouveaux vestiaires et un nouveau bassin pour septembre 2008

La Ville de Reims réaménage la piscine Château d’Eau.

Ces travaux, d’un montant de 2.7 millions d’euros, concernent un réaménagement global des vestiaires ainsi que l’installation d’un nouveau bassin en inox.

La piscine Château d’eau, dans le quartier Croix-Rouge, est en travaux jusqu’au mois de septembre 2008. « C’est la troisième piscine en terme de fréquentation, souligne Monique Nassau, adjointe aux Sports de la Ville de Reims. Chaque année, 40 000 personnes auxquelles s’ajoutent 30 000 scolaires, utilisent cet équipement. Il était donc important de réaménager les vestiaires afin d’améliorer le confort de tous. » La surface des vestiaires sera donc augmentée et des parties individuelles seront réalisées.

Les travaux visent également à remplacer le bassin carrelé de la piscine par un bassin en inox. « Cette technique est couramment utilisée en Europe de l’Est et dans les pays scandinaves mais il n’en existe que deux en France, explique Alain Simon, directeur de la Régie des équipements municipaux et sportifs. Ce système a beaucoup d’avantages par rapport au carrelage. Il nécessite beaucoup moins d’entretien et l’Inox ne se dégrade pas alors qu’un bassin traditionnel nécessite de remplacer très fréquemment une partie des carrelages et des joints. »

En septembre 2008, la piscine Château d’eau rouvrira ses portes au public. Au total, le coût des travaux devrait avoisiner 2,7 millions d’euros, 2 millions étant pris en charge par la Ville et le reste par la Rems.

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TÉMOIGNAGE :

Geneviève Kaczowka, 61 ans, retraitée, vice-présidente du conseil de quartier Croix-Rouge, présidente de l’association de défense des locataires Les Polygones :

« Je suis favorable à la vidéosurveillance dans la mesure où il s’agit de sécuriser la vie des habitants du quartier Croix-Rouge. C’est assurément un moyen efficace de prévention. Suite à la demande de l’association, des caméras ont été installées par l’Effort Rémois sur les deux niveaux du garage souterrain Taittinger. Depuis, nous n’avons plus rencontré de détériorations de véhicules ou d’incendies. Ainsi, les habitants n’ont plus peur de ranger leurs voitures au garage. Mais attention à ne pas tomber dans le tout sécuritaire, les caméras ne doivent pas être utilisées à outrance, mais plutôt positionnées dans des zones vraiment sensibles. Enfin, je reste persuadée qu’au-delà d’une indispensable politique de sécurisation publique, le dialogue avec cette nouvelle génération qui n’a plus de repères reste le meilleur remède à la délinquance. Ne laissons personne de côté, ne cessons jamais de tendre la main. »

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POUR MIEUX PRÉVENIR L’INSÉCURITÉ… Reims adopte la vidéosurveillance

Courant janvier, la Ville de Reims se dotera d’un dispositif de vidéosurveillance urbaine. Au total, ce sont 36 caméras qui seront installées dans quatre quartiers de la ville à titre d’expérimentation. A travers cette initiative, Reims s’inspire des expériences réussies dans plusieurs villes de France et s’inscrit dans une démarche que le gouvernement souhaite développer au niveau national. Outre son coût peu élevé par rapport aux projets de ce type menés dans d’autres villes, l’initiative rémoise se distingue par les garanties apportées en matière de respect des libertés publiques.

Explications.

« L’objectif premier de ce dispositif est d’assurer une prévention des actes malveillants sur la voie publique. Il s’agit d’offrir des espaces sécurisés, tranquillisés par la présence des caméras, et de prévenir les atteintes à la sécurité des personnes et des biens. La vidéosurveillance permet aux services de police deux types d’interventions : une intervention en temps réel en cas de flagrant délit d’infraction et un renforcement des preuves par la lecture des enregistrements », souligne Nicolas Roche, le Directeur de la Police Municipale. Voilà résumées en quelques mots les motivations de l’expérience que s’apprête à engager la Ville de Reims. Depuis plusieurs semaines, les techniciens s’activent pour installer le dispositif qui sera opérationnel courant janvier. Au total, ce sont 36 caméras à vision 360° qui seront mises en place sur quatre zones urbaines aux caractéristiques différentes. Le centre-ville sera doté de 15 caméras permettant de prévenir les atteintes à la personne dans des zones piétonnes très fréquentées (la Place d’Erlon et le Théâtre) ainsi que les dégradations sur les biens privés et publics. Aux abords du stade Delaune, 4 caméras seront installées dans une logique de renforcement de l’ordre public à l’occasion des manifestations sportives. Le quartier Croix-Rouge accueillera 10 caméras pour une meilleure prévention de l’insécurité et pour veiller à la protection des nombreux édifices publics présents sur la zone, tels que la Médiathèque. Enfin, dans l’actipôle La Neuvillette, l’implantation de 7 caméras devra permettre de sécuriser l’accès au quartier dans une logique nouvelle de prévention et de protection des activités économiques.

Cette première phase doit permettre d’expérimenter et de mesurer l’impact de la vidéosurveillance sur la délinquance en zone d’activité ainsi qu’en quartier à forte densité urbaine. En fonction des résultats mesurés, la Ville de Reims pourrait par la suite élargir et compléter le dispositif : « Le système sera évalué a posteriori. Nous grâce auquel il est en mesure de visualiser certaines images », ajoute-t-il. Enfin, l’éthique tient une place centrale dans la mise en oeuvre de ce dispositif. Une charte d’éthique fixant un certain nombre allons croiser différentes données : les chiffres de la délinquance, le nombre d’interventions engagées et l’appui judiciaire de la vidéosurveillance dans un certain nombre d’affaires », explique le directeur de la Police Municipale.

Respect des libertés individuelles

Se conformant en tous points au cadre légal dans lequel s’inscrit la vidéosurveillance, le dispositif imaginé par le comité de pilotage impulsé par la Ville - regroupant élus et services municipaux, le Procureur de la République, le Commissaire central et le Sous-préfet - va bien au-delà des garanties que la loi impose en terme de protection des libertés individuelles. Modalités de fonctionnement, durée de conservation des enregistrements, mise en place d’une charte et d’un collège d’éthique… sont autant de garde-fous qui témoignent d’une volonté de garantir un dispositif respectueux des libertés de chacun dans l’espace public. « Les images sont contrôlées 24h/24h depuis le Centre Superviseur Urbain (CSU) installé dans les locaux de la police municipale, un lieu très sécurisé. Deux maîtres mots résument notre action : sécurité d’accès aux images et traçabilité de l’action du CSU », explique Nicolas Roche. « Le temps de conservation des enregistrements sera limité à 7 jours, d’un commun accord avec le Procureur de la République, la police nationale et la Ville. Ce délai a été spécialement pensé en tenant compte des besoins des enquêteurs. En outre, la consultation des enregistrements est réservée à des agents spécialement affectés à cette tâche, dans le cadre d’une procédure stricte. Les parties privatives des habitations seront rendues floues afin de préserver la vie privée des riverains. Quant au commissariat de police nationale, il bénéficie pour faciliter son activité d’un report d’images actif de principes déontologiques sera créée et un collège d’éthique composé d’élus municipaux de la majorité comme de l’opposition, d’associations et de personnalités qualifiées, contrôlera l’utilisation et l’organisation du système de vidéosurveillance.

Un projet à moindre coût

Le dispositif de vidéosurveillance pensé par la Ville de Reims se distingue par son coût peu élevé au regard des projets développés dans d’autres Ville. « Grâce à l’exploitation de la boucle locale en fibre optique (Réseau Jupiter), le projet ne reviendra en investissement initial qu’à 1553560 euros TTC et en fonctionnement à 399000 euros TTC annuels. Ce système est tout à fait original et économique car ce qui coûte le plus cher, c’est le transport des images des caméras au centre de supervision », explique Hervé Rhatat, directeur des systèmes d’information et de télécommunications à la Ville de Reims. Mis en place en 2002, grâce à un partenariat entre la communauté d’agglomération Reims Métropole, l’Université de Reims Champagne-Ardenne, le Centre Hospitalier Universitaire et la Chambre de Commerce et d’Industrie de Reims et d’Epernay, le réseau Jupiter irrigue la Ville d’un maillage de fibres optiques à hautdébit (plusieurs gigabits/secondes) destinées à l’Internet et aux télécommunications. En tant que collectivité publique, la Ville utilisera gratuitement ce réseau pour acheminer les communications et les données de manière sûre et rapide.

Trois fois plus de caméras en France d’ici deux ans

Reims n’est pas la première ville de France à adopter la vidéosurveillance. Mais à travers cette démarche en préparation depuis plus d’un an, elle a anticipé le plan national de développement de la vidéosurveillance annoncé récemment par le gouvernement. La ministre de l’intérieur, Michèle Alliot Marie, souhaite faire passer de 20 000 à 60000 le nombre de caméras de vidéosurveillance sur la voie publique d’ici fin 2009. Un objectif “volontariste” selon la ministre qui a déjà demandé aux préfets d’inciter les communes à adhérer à cette logique. La vidéosurveillance est présentée comme une arme efficace contre la délinquance mais aussi le terrorisme. C’est aussi un dispositif de prévention, de dissuasion et une aide à l’élucidation des infractions. En province, un nombre relativement peu élevé de villes équipées d’un dispositif municipal de vidéosurveillance sont raccordées aux centres de commandement de police. La ministre a chargé les préfets d’encourager le transfert des images de vidéosurveillance dont disposent les municipalités, d’ici à la fin de l’année. Le ministère prendra à sa charge les frais estimés à 4 millions d’euros. Strasbourg apparaît comme une ville pilote dans le domaine de la vidéosurveillance. Dans le centre de la ville, la mise en place des caméras s’est révélée très efficace. Le dispositif, mis en place en 2002 pour un investissement de 5 millions d’euros, permet une meilleure réactivité de la police. Selon les chiffres communiqués par la mairie, la baisse de la délinquance sur voie publique dans le secteur équipé est de 30 % au centre-ville et le nombre d’agressions graves a chuté de 60 % dans les transports en commun.

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TROIS QUESTIONS A… Xavier Albertini, adjoint au maire, délégué au domaine et au contentieux

Quelle sera la place de la vidéosurveillance dans l’ensemble de la politique de sécurisation publique ?

Ce dispositif n’est pas une fin en soi mais plutôt un outil supplémentaire au service de la sécurité et pouvant nous aider à mieux gérer le domaine public. Il s’inscrit à Reims dans une action de coordination permanente entre la police municipale, la police nationale et la justice.

Ce système ne risque-t-il pas de porter atteinte à un droit fondamental : la liberté de chacun concernant sa vie privée ?

Absolument pas. Le dispositif sera encadré par une procédure légale très stricte et contrôlé par un comité d’éthique qui veillera à son bon fonctionnement. Il faut empêcher toutes les dérives éventuelles, et éviter que le système ne se transforme en l’oeil de big brother. En outre, vivre en sécurité constitue aussi l’une des principales libertés publiques.

36 caméras seront installées en janvier 2008 dans quatre quartiers, le dispositif est-il amené à se développer ?

Nous attendons de mesurer l’efficacité de la vidéosurveillance avant d’élargir le dispositif. Mais nous sommes confiants car nous savons que la criminalité a baissé dans les villes où un tel système a été installé. Dans le centre de Strasbourg pour exemple, la délinquance a baissé de 30 %.

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LE CADRE LÉGAL DE LA VIDÉOSURVEILLANCE

La loi 95-73 du 21 janvier 1995 impose un certain nombre de contraintes :

• le masquage des zones de vie privée dans les immeubles d’habitation

• l’information du public sur l’existence du système

• l’obtention préalable d’une autorisation préfectorale

• des mesures strictes pour l’exploitation des systèmes, des images et des enregistrements

• un délai maximum de conservation des enregistrements : ce délai qui peut légalement être d’un mois sera porté à seulement 7 jours, correspondant aux besoins d’une enquête

• un droit d’accès aux enregistrements à toute personne concernée selon une procédure stricte.

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LA PAROLE A… Madeleine Simoncello, procureur de la République de Reims

« J’ai pris part au comité de pilotage créé en 2006 par la Ville à titre de consultation et comme futur utilisateur possible du dispositif. La présence d’un magistrat apporte une caution morale au système. Mon rôle est de m’assurer que les textes de loi sont respectés par ceux qui mettent en place la vidéosurveillance ».

Elle précise les limites légales au dispositif : « Les zones de vie privées dans les immeubles d’habitation seront floutées, les caméras ne filmeront que les lieux publics. Le délai de conservation des enregistrements est porté à seulement 7 jours, une garantie pour les libertés ». Madeleine Simoncello revient sur les objectifs du dispositif : « Le but essentiel n’est pas de faire du stockage d’images. Il s’agit surtout d’un moyen de prévention afin d’empêcher certains délits comme les vols à l’arrachée, les faits de violences entre bandes, les violences aux personnes… En outre, les images constituent un instrument de preuve incontestable. Les procédures judiciaires seront assurément accélérées et les comparutions immédiates multipliées ».

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INTERVIEW : Jean-Jacques Dron, directeur départemental de la sécurité publique

Quel impact la vidéosurveillance va-t-elle avoir sur votre travail ?

Nous allons travailler avec cet outil dans le cadre de procédures judiciaires. Celui-ci va permettre à un officier ou à un agent de police judiciaire, en cas de signalement de fait pénal comme une plainte pour agression ou pour vol, de pouvoir retrouver les images correspondant aux faits délictueux et d’identifier les éléments de signalement de l’auteur. Nous pourrons aussi comparer ces images avec nos fichiers des individus mis en cause et éventuellement diffuser ces photographies aux policiers de terrain. Nous évoluons aujourd’hui dans un système pénal basé sur la preuve. La vidéo est un élément formidable, elle nous permet une action judiciaire optimisée et constitue un outil très important de prévention. Parallèlement, grâce aux enregistrements, il n’est pas rare également d’infirmer les déclarations de certaines victimes et de rétablir ainsi la véracité des faits.

En quoi la qualité technique du dispositif est-elle si importante ?

La qualité de la définition de l’image est primordiale pour l’identification des auteurs d’infractions. Une bonne qualité graphique est indispensable au niveau opérationnel pour exploiter les détails des physionomies et les éléments de signalement, ce qui permet de reconnaître et d’identifier les auteurs, et au niveau judiciaire de pouvoir être probants et étayer les procédures transmises aux magistrats.

Comment s’inscrit votre action en parallèle de celle de la police municipale ?

La gestion des images est assurée par les agents municipaux. L’hôtel de police va bénéficier d’un report d’images pour une exploitation en temps réel lors d’événements particuliers comme de grandes manifestations festives ou sportives. Mais au-delà d’une surveillance en direct de certains sites, c’est surtout la capacité de stockage et la qualité des images qui est un outil de sécurisation et de prévention efficace. Selon les évènements signalés, nous remontons dans le temps et pouvons tirer des photos des faits observés et des auteurs d’infraction. Celles-ci constitueront des pièces à conviction jointes à la procédure comme éléments de preuve.

Ne risque-t-on pas un report de la délinquance vers des quartiers périphériques aux zones surveillées ?

La vidéosurveillance va de fait créer des espaces mieux sécurisés que les délinquants locaux vont connaître. Cependant, les caméras, par leur nombre et leur positionnement, vont rapidement faire partie du paysage. En outre, la délinquance de voie publique des centres villes sera toujours alimentée par des flux importants de personnes dont beaucoup ne résident pas localement, notamment en soirée ou pendant les nuits du week-end, lors desquelles il faut considérer la très fréquente alcoolisation des délinquants. De toutes façons, nous adaptons déjà chaque semaine nos dispositifs de voie publique en fonction de l’évolution, par tranches horaires et par quartier, de la délinquance constatée, et nos dispositifs s’adapteront de la même façon aux nouvelles situations.

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TÉMOIGNAGES
Geneviève Kaczowka,

61 ans, retraitée, vice-présidente du conseil de quartier Croix-Rouge, présidente de l’association de défense des locataires Les Polygones :

« Je suis favorable à la vidéosurveillance dans la mesure où il s’agit de sécuriser la vie des habitants du quartier Croix-Rouge. C’est assurément un moyen efficace de prévention. Suite à la demande de l’association, des caméras ont été installées par l’Effort Rémois sur les deux niveaux du garage souterrain Taittinger. Depuis, nous n’avons plus rencontré de détériorations de véhicules ou d’incendies. Ainsi, les habitants n’ont plus peur de ranger leurs voitures au garage. Mais attention à ne pas tomber dans le tout sécuritaire, les caméras ne doivent pas être utilisées à outrance, mais plutôt positionnées dans des zones vraiment sensibles. Enfin, je reste persuadée qu’au-delà d’une indispensable politique de sécurisation publique, le dialogue avec cette nouvelle génération qui n’a plus de repères reste le meilleur remède à la délinquance. Ne laissons personne de côté, ne cessons jamais de tendre la main. »

Vanessa Reincke, 25 ans, esthéticienne :

« C’est positif si cela peut contribuer à améliorer la sécurité des passants ou encore reconnaître un agresseur. Pour ma part, je me sentirai beaucoup plus en sécurité lorsque je me rendrai dans les endroits où ces caméras seront installées. S’agissant des libertés individuelles, je pense que le dispositif sera rigoureusement contrôlé et qu’il n’est pas question de nous filmer chez nous à travers nos fenêtres. »

Gilles La Trompette, 40 ans, commerçant :

« Je trouve qu’il s’agit d’une bonne initiative d’implanter des caméras dans la ville, notamment pour faire peur aux petits délinquants, la tranquillité des citoyens n’a pas de prix. Si les techniques modernes nous permettent de faire face aux vols ou aux incivilités, pourquoi s’en priver ? Si on n’a rien à se reprocher, pourquoi avoir peur ? En revanche, les caméras doivent être uniquement présentes dans des endroits propices à la délinquance comme les rues très fréquentées de l’hyper-centre, les zones commerciales ou encore les parkings. Nous ne devons pas être fliqués tout le temps et partout, je refuse une bigbrothérisation de la vie à Reims. Enfin, il faut veiller à ce que ces images restent entre les mains de la police. »

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l’union080115c

PAYS de France : La « Malle de jeux », un espace créé pour se rencontrer

 

Agnés Bégusseau, animatrice de la Malle de jeux à Pays-de-France.

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« Face à l’isolement de certains enfants désœuvrés en bas des tours, la Maison de l’enfance, avec sa coordinatrice et son accompagnateur social et éducatif, a développé des jeux extérieurs sous forme d’une malle de jeux itinérante, première étape de la mise en œuvre du projet de la Marelle, qui sera un espace rencontre enfants-parents autour du jeu » explique Agnès Bégusseau, agent de développement social au Foyer rémois : « Il s’agit, à travers cette action, de tisser une relation durable avec les enfants de Pays-de-France ainsi qu’avec leurs parents. C’est un travail avant tout relationnel au niveau de chaque enfant. »

Les enfants se sont investis tous les mercredis après-midi pendant la période de juillet à décembre 2007, en extérieur jusque fin octobre, dans les équipements de quartier en novembre et décembre, à l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier et à l’ancien espace Arc en ciel, allée des Béarnais, pendant les congés de Toussaint : 40 enfants ont participé au moins une fois aux activités avec une majorité de garçons, à hauteur de 70 %.

Pour Agnès Bégusseau, les premiers bilans sont encourageants : « Ce travail de présence sociale auprès des enfants et des parents a permis de rétablir une convivialité entre des gens et des catégories de populations que de nombreux conflits opposent dans la vie quotidienne, de reconstruire la confiance dans les groupes et la collectivité, de dynamiser la vie associative à travers une politique partenariale en lien avec la maison de quartier et l’ensemble des associations (APPF, Association Jeunesse Espoir…) et de favoriser l’accès à la parentalité et à la citoyenneté. »

Au service des locataires du Foyer rémois depuis 1927

La Maison de l’enfance est une association reconnue d’utilité publique en 1927 avec pour objectif de « développer des services et des actions au profit des habitants des quartiers gérés par le Foyer rémois ».

En 1999, ce fut la création du Cerf Volant, un lieu de rencontre enfants-parents. De 2002 à 2005, des actions ont été menées dans les quartiers en faveur des familles et des enfants (conférences, groupes de parole, permanences d’écoute).

2006 vit la mise en place du label Senior, et enfin, en 2007 a été lancée la « Malle de jeux » , étape vers la création d’une Maison de tous les âges et de la Marelle, lancée en juillet 2007, comme une action éducative autour du jeu en milieu ouvert.

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l’union080115b

Quartier par quartier : les grands projets de l’année

 

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Croix-Rouge

Piscine Château d’Eau

Restructuration et extension des vestiaires de la piscine et rénovation des façades.

A noter, conjointement la R.E.M.S. remplace le bassin en carrelage à aspiration par le fond par un bassin en inox par débordement. Travaux de la Ville de Reims : en cours (début en juin 2007, livraison en 2008). Fermeture au public de janvier 2008 à septembre 2008. Livraison : septembre 2008. Coût total : 1,950 M€ TTC.

Construction du gymnase Lapique

Situé rue Arago, le futur gymnase à haute qualité environnementale présentera notamment une grande salle de 44 m x 22 m avec une tribune pouvant accueillir jusqu’à 250 personnes.

Il est financé par la Ville de Reims et par le conseil régional (pour 1,5 M €) puisqu’il est notamment destiné à accueillir à titre gracieux et pendant 10 ans les élèves des lycées Arago et Joliot-Curie.

Démarrage des travaux : fin janvier 2008. Livraison : juin 2009. Coût d’opération : 4,1 M€ TTC.

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l’union080115a

Feux de poubelles

 

Les pompiers sont intervenus dimanche peu après 18 heures dans le groupe Eisenhower pour éteindre un feu de poubelle ;

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l’union080114b

Le front uni des associations de défense des locataires

 

Une réunion pour une mise au point importante.

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Les associations de défense des locataires des Hauts-de-Murigny, de Croix-du-Sud, de Pays-de-France, Université et des Polygones, réunies en collectif lundi 7, précisent à l’unanimité : « Nous n’avons aucune affiliation ni activité commune avec le « Collectif des locataires de Croix-Rouge (CDL-CR) » dont nous ignorons l’objet ».

Oeuvrant depuis des années sur les quartiers ci-dessus énumérés, elles précisent leurs coordonnées et secteurs d’action :

- Association « At’Hom », présidée par Danièle Bonfils (1, allée Yves-Gandon) pour les secteurs Hauts-de-Murigny, Gandon et Simon. Tél. 03.26.86.10.03.

- Association « les Polygones », présidée par Geneviève Kaczowka (8, rue Georges-Bernanos) pour le secteur des Polygones et tous les quartiers et tous les bailleurs de Reims et sa périphérie. Tél. 06.81.41.06.72.

- Association « Union des locataires de Croix-Rouge (Ulcr), présidée par Claude Stoltz (47, esplanade Eisenhower) pour le secteur Croix-Rouge-Université. Tél. 03.51.85.02.31.

- (Mvcr) présidée par Modeste M’Fenjou (23 et 32, esplanade Eisenhower) pour l’ensemble du quartier. Tél. 06.03.45.08.66 ou secrétariat 03.26.84.05.37.

- Association Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France présidée par Marceau Nicolas (1, rue Joliot-Curie) pour le secteur Pays-de-France. Tél. 03.26.83.99.90.

- Association Et Croix-Rouge ? Comité Croix-du-Sud présidée par Nacer Benadela (6, esplanade Paul-Cézanne) pour le secteur Croix-du-Sud. Tél. 03.26.86.09.47.

Ces associations, apolitiques et reconnues par les bailleurs, siègent aux réunions de concertation organisées par les bailleurs et sont à la disposition des locataires pour tous les problèmes qu’ils rencontrent dans le cadre de leur habitation et de leurs relations avec les organismes logeurs : loyer, charges, entretien, facturation de travaux divers, réparations, dégradations à l’intérieur des logements, états des lieux, etc.

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Les autres associations de locataires

Mis en cause par le collectif des associations de défense des locataires , le Collectif des locataires de Croix-Rouge (Cdl-CR) créé et présidé par Fabrice Lopez, précise : « Le Cdl-CR est enregistré en préfecture et il est prévu une assemblée générale courant février. Je m’engage à fournir fin janvier, après les résultats d’adhésion 2008, les effectifs d’adhérents : vous serez surpris par le nombre ! Le Cdl-CR a lancé une pétition relative aux travaux de réaménagement du quartier Croix-Rouge dans le cadre de l’Anru : les feuillets des signatures récoltés sont disponibles à ceux qui souhaitent les consulter. »

Par ailleurs, pour présenter un panorama complet des associations de défense des locataires, il convient de citer encore l’association des locataires des Hauts-de-Murigny, présidée par Maud Trefcon (9, place Toulouse-Lautrec, tél. 03.26.49.86.75.) et l’Amicale des Locataires Hippodrome/Université présidée par Micheline Sage (45, rue Pierre-Taittinger, tél. 03.26.08.17.42.) qui ne se sont pas associées au collectif des associations de défense des locataires.

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Taxe d’habitation : l’union pour faire la force

Tous les espoirs de changement à l’échelon local étant vains, les six associations du collectif ont écrit chacune un courrier à François Fillon, Premier ministre, avec copie à Christine Boutin, ministre du Logement et de la Ville pour demander la réévaluation de la taxe d’habitation beaucoup trop élevée dans le quartier Croix-Rouge.

Marceau Nicolas, l’un des présidents du collectif et par ailleurs président de la Confédération générale du logement (Cgl 51), raconte : « Toutes les réponses ministérielles renvoient systématiquement nos courriers à la préfecture mais le préfet n’a répondu à aucun courrier.

Nous avons donc décidé de rédiger un courrier commun pour la taxe d’habitation, avec nos six tampons associatifs et nos six signatures sur le même courrier !

Aura-t-il une suite ? »

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l’union080114a

Le tennis doublement récompensé à Croix-Rouge

 

Au cours de l’assemblée générale du comité Marne de tennis, le président Jean-Pierre Vasseur a annoncé que, cette année, le label d’argent a été décerné au Tennis-club Géo- André (TCGA).

Par ailleurs, à l’issue de l’assemblée générale, la médaille de bronze de la Fédération française de tennis a été attribuée à Jeannine Catry, administrateur de l’Association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap).

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l’union080112b

Il frappe un copain pour une basket incendiée

 

Tribunal correctionnel de Reims.- Jessy V. (18 ans) a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, avec obligation de suivre une formation et de suivre des soins psychologiques.

Le 6 janvier dernier, vers 14 heures, sur l’esplanade Eisenhower, le jeune homme s’en est violemment pris à un copain mineur en le frappant au visage alors que ce dernier était casqué, et en dégradant son scooter à coups de pied.

Le visage tuméfié

« J’étais énervé », explique du bout des lèvres Jessy V. à la barre du tribunal correctionnel. « Soit disant j’avais cramé ses baskets… » C’est donc pour une simple histoire de chaussure disparue un beau matin d’un palier et retrouvée peu après calcinée, que Jessy V. en est venu aux mains. « Cela peut se terminer en drame ces histoires-là, » remarque le président du tribunal Mario-Louis Craighero.

Me Gervais, avocat de la victime, montre le visage encore tuméfié de son jeune client. « Ce jeune homme a été roué de coups. C’est extrêmement grave. Aujourd’hui, il a un visage humain mais ce n’était pas le cas aux urgences quand son père l’a retrouvé. »

Le substitut du procureur de la République a requis quatre mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de travailler ou de suivre une formation, obligation de rembourser la victime, et 200 euros d’amende.

Pour la défense, Me Repka a reconnu que son client avait eu « un comportement manifestement excessif et inconsidéré. Il y a eu un contentieux entre eux : mon client a été faussement accusé d’un malencontreux incident de basket disparue et retrouvée calcinée ». Et de demander l’indulgence du tribunal.

Outre sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, Jessy V. devra indemniser la victime, pour laquelle une expertise médicale a été ordonnée. Il devra également payer une amende de 110 euros.

P.B.

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l’union080112a

Feu de canapé

 

Les pompiers sont intervenus jeudi, vers 13 h 30, dans un appartement au rez-de-chaussée d’un immeuble de la place Jean-Fragonard (Croix-Rouge), pour éteindre un feu de canapé.

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l’union080111c

Jardins familiaux : les plus belles parcelles en concours

 

Les jardiniers récompensés.

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A l’issue de l’assemblée générale de dimanche 6 janvier, l’association des jardins familiaux de Pays-de-France a proclamé les résultats du concours annuel des plus belles parcelles et a remis aux vainqueurs coupes, trophées, bons d’achat du Foyer rémois et tee-shirts du conseil général.

Potagers avec fleurs : 1, Amaury Lecompte (parcelle 22). 2, Claude Mirbel (parcelle 20). 3, Lucienne Berini (parcelle 2). 4, Gérard Saluk (parcelle 42). 5, Yves Monflier (parcelle 21). 6, Americo Azevedo (parcelle 1). 7, Tierry Cury (parcelle 14).

Potagers sans fleurs : 1, Jean-Claude Hirault (parcelle 40). 2, Claude Petit (parcelle 16). 3, Thami Bouhou (parcelle 17). 4, Bernard Lesueur (parcelle 36). 5, Omar El Mossaoui (parcelle 29). 6, Annie Aubin (parcelle 25). 7, Claude Bachelet (parcelle 23).

Au classement de la Fédération : 1, Amaury Lecompte. 2, Claude Mirbel. 3, Lucienne Berini. 4, Jean-Claude Hirault. 5, Claude Petit.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080111b

Le football-club Acrap reprend des couleurs

 

Une équipe engagée dans un nouveau défi.

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Jamel Chafik, dirigeant de l’équipe seniors du football-club de l’Acrap, se réjouit : « Nous enregistrons une augmentation des adhésions, l’arrivée de nouveaux dirigeants, une meilleure coordination et un gros effort dans la qualité de l’accueil des visiteurs. »

Dans le même temps, Jean-Pierre Genesseau, président de l’Acrap et les autres dirigeants du football adultes : Najim Byar, Abdellatif Dzouzi, Marceau Nicolas, et MM. Sembra et Zazak, éducateurs sportifs, apprécient que le Foyer rémois, mette en relief le rôle de régulateur social de l’Acrap au sein du quartier Croix-Rouge en s’engageant dans un partenariat de longue durée.

« Nous allons maintenant encourager la nouvelle équipe des moins de 18 ans qui va évoluer en deuxième phase au niveau promotion dès le début de l’année 2008 ! », confirment Joël Mouysset et Hervé Virot de l’agence Croix-Rouge du Foyer rémois.

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l’union080110a

La médiathèque Croix-Rouge en janvier

 

Julie raconte

Mercredi 9 janvier à 15 heures, les lutins et le cordonnier, un conte de Grimm (Il était une fois un brave cordonnier était devenu très pauvre…),

pour tous, à partir de 5 ans.

L’air du conte

Mercredi 16 janvier à 15 heures, lectures d’extraits de « Rumeurs et légendes urbaines » d’Albert Jack : erreur de casting, la main dans le sac, fan de foot, imbéciles heureux… Les rumeurs riment parfois avec bonheur, malheur, et surtout menteur !

Pour tous, à partir de 8 ans.

Secteur musique

Vendredi 25 janvier à 19 heures, conférence par Jacques Leblanc, « Ladies and gentlemen : The Rolling Stones ! » Rédacteur en chef de JukeBox Magazine, co-auteur de plusieurs livres sur les Stones, Jacques Leblanc évoquera en détail l’émergence dans les années 60 du futur « plus grand groupe de rock’n’roll du monde » : la meilleure période selon les connaisseurs, clôturée par la mort de Brian Jones.

La Ronde des albums

Mercredi 16 janvier à 11 heures, les métiers. Dès son plus jeune âge, on sait qu’on veut devenir pompier, policier ou maîtresse d’école… et les autres métiers, alors… ?

Pour enfants de 4 à 8 ans.

Projection de diapositives

Mercredi 23 janvier à 16 h 30, Guillaume le ménestrel, texte de C. Martin, dessins de J. Parello-Marneix. Guillaume le ménestrel et son compagnon de fortune Balthazar jouent de château en château.

Un jour, ils arrivent en vue d’un château fort aux murailles sombres, très sombres…

Pour enfants de 4 à 8 ans.

L’heure des bébés

Samedi 26 janvier à 9 h 30, un moment de lecture tendresse

Pour les touts-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Tous ces spectacles sont gratuits.

Inscription préalable obligatoire.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tél. 03.26.35.68.45.

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Liliane Feige

Les voeux 2008 de Liliane FEIGE poète de Croix Rouge et amoureuse de Croix du Sud

 

Liliane Feige

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Mon quartier
 
Mon quartier a la senteur d’un poème.
 
Ô toi, mon quartier, quartier éternel,
 
Gloire à toi, au cœur des mots !
 
Je voudrais t’illuminer d’étincelles
 
Agréable quartier, jusqu’au Château d’eau !
 
Donnez, donnez un peu
 
A tous ceux
 
Qui en ont tant besoin
 
Donnons-nous la main !
 
Ô toi, mon quartier, cette nuit je t’ai rêvé,
 
De ma fenêtre, une bonne année nouvelle !
 
Voici des mots, voici mon cœur
 
Que la vie à Croix-Rouge reste la plus belle !
 
On croirait que la poésie n’existe plus
 
Que l’allée Edgar-Degas
 
Reste en robe de gala
 
Même si l’on n’a pas toujours su
 
Ouvrir nos bras
 
Ô toi, mon quartier
 
Je voudrais vous offrir mon amitié.
 
Croix-Rouge, Croix-Verte
 
Chacun porte sa croix !
 
A toutes, à tous, une bonne année !
 
Vive la paix !
 
Sur ma lèvre, un baiser…
 

Liliane FEIGE

Janvier 2008

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Liliane Feige

Eric Krzywda quitte Reims le 1er février

 

Liliane Feige

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Eric Krzywda

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Eric Krzywda , coordinateur de la Maison de quartier Croix-Rouge , quitte Reims le 1er février.

Il reçoit un hommage de Liliane Feige , poète de Croix Rouge :

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Je dédie ce poème à Eric Krzywda


 

En ce jour, avec l’équipe du Festival,
 
Nous venons vous honorer
 
De votre grand talent, la danse orientale,
 
Animations, spectacles que vous avez su faire exister,
 
Association Ethnic’s dans votre château…
 
Nous voudrions vous remercier, comme un grand seigneur
 
Le tout gravé sur panneaux.
 
Avoir tant donné aux habitants, en coordinateur
 
D’un festival enchanté.
 
Nous ne vous remercierons jamais assez
 
D’avoir embelli notre quartier.
 
Aujourd’hui, en toute amitié,
 
Veuillez accepter ce modeste cadeau.
 
Tristes nous sommes, la musique pleure
 
Votre départ,
 
Vous, Éric à la perfection de l’art.

Liliane Feige

Janvier 2008

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l’union080108b

Pays-de-France : Les jardiniers en réunion

 

Une assemblée en présence d’une soixantaine de personnes attentives.

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L’association des jardins familiaux de Pays-de-France a organisé son assemblée générale dimanche 6 janvier, dans la salle municipale Croix-Rouge. La séance a été ouverte avec la distribution d’un guide de culture biologique fort apprécié.

Le président Michel Herbreteau et le secrétaire Jacques Pigne ont constaté la stabilité des effectifs avec trois départs et trois arrivées.

Puis ils ont présenté les réalisations de l’année écoulée : réparations de portes de cabanons, taille de troènes, organisation d’un barbecue et d’un concours de boules.

Ils ont dévoilé leurs prévisions pour la nouvelle saison : sur les cabanons, nettoyage de toitures, mises en peinture avec l’association Reims-espoir et réparation de portes, plantation de troènes, nouvelles journées barbecue et concours de boules.

Le trésorier Jean-Claude Hirault a présenté les comptes. Avec 8.334 euros de recettes dont les subventions de la ville de Reims (2.400 euros pour le fonctionnement, 1.000 euros pour l’équipement et 900 euros pour la fête des 20 ans), et 6.548 euros de dépenses dont un groupe électrogène et un rotofil thermique, le compte d’exploitation est positif de 1.786 euros, preuve d’une gestion saine et équilibrée.

Seul événement remarquable dans le déroulement de cette assemblée paisible, un sévère rappel au règlement intérieur en matière de civilité sur les risques encourus par tout jardinier coupable de violences verbales ou de conduite agressive.

Didier Klodawski (jardins de l’agglomération), Jean Kozycki (Société d’horticulture de Reims) et les présidents des autres jardins familiaux (Saint-Brice-Courcelles, Cheminots, Croix-du-Sud, Trois-Rivières, Rémoise, Trois-Fontaines et Maroc) ont tous tenu le même discours solidaire : comparution devant le conseil d’administration et risque d’exclusion des jardins.

En fin de réunion, après les allocutions des élus, Jean-Marie Beaupuy, Catherine Vautrin, Éric Quénard et Michel Guillaudeau et avant la galette des Rois, Michel Herbreteau a fixé la prochaine assemblée générale au 11 janvier 2009.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080107f

Il frappe sa concubine enceinte

 

Dans la nuit du 5 au 6 janvier, des policiers ont interpellé dans le quartier Croix-Rouge Djamel Tifoura, 37 ans, suspecté d’avoir frappé au visage et donné des coups de poing à sa concubine qui est enceinte.

Placé en garde à vue, interrogé, l’auteur qui nie les faits a été déféré au parquet et écroué.

Il semble que ce n’est pas la première fois que ce couple fait appel à la police suite à des différends conjugaux.

Le violent concubin est convoqué aujourd’hui au tribunal correctionnel de Reims en procédure de comparution immédiate.

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l’union080108a

Accusé d’avoir tapé son « ex » enceinte, le concubin relaxé

 

Dans l’union d’hier, nous avons relaté l’arrestation d’un Rémois de 37 ans, Djamel Tifoura, à la suite d’une nouvelle plainte de son ex-concubine l’accusant de l’avoir frappée au visage et donné des coups de poing alors qu’elle est enceinte de sept mois.

Le couple ne vit plus ensemble mais l’homme revient régulièrement chez son ancienne amie. Le nombre de différends ayant nécessité ces derniers mois l’intervention de la police s’élève à une quinzaine.

Djamel Timoura est passé une première fois en comparution immédiate le 12 novembre mais fut laissé libre sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès renvoyé au 13 mars 2008.

Dès le 14 novembre, son ex-concubine qui avait accepté de l’accueillir chez elle pour la nuit déposait une nouvelle plainte au commissariat pour des coups assénés au ventre et derrière la tête.

Jugé en comparution immédiate, l’homme fut alors condamné à six mois de prison dont quatre assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de suivre des soins alcoologiques (il était ivre au moment des faits).

Par le jeu des remises de peine, Djamel Tifoura venait tout juste de purger ses deux mois ferme lorsque les policiers, une fois de plus, furent appelés dans la nuit de samedi à dimanche pour un différend au domicile de la jeune femme au quartier Croix-Rouge.

Libéré, arrêté, relâché

La situation s’était calmée en leur présence. La patrouille était donc repartie mais peu de temps après, la concubine se présentait aux urgences du CHU en accusant son ami de nouvelles violences (notamment des coups au niveau du ventre).

Et c’est ainsi que pour la troisième fois en moins de deux mois, Djamel Tifoura s’est re trouvé hier après-midi à l’audience des comparutions immédiates. Ça risquait de chauffer pour son matricule mais les décisions judiciaires se suivent et ne se ressemblent pas : il a été relaxé.

L’homme contestait les faits. Son avocat, Me Jean-Marc Repka, a donné du crédit à ses propos en soulevant le décalage qui existait entre les déclarations de la victime et les constatations médicales (la localisation des coups allégués ne correspondait pas).

De plus, la plaignante affirme que son concubin était ivre au moment des faits. Les policiers venus l’interpeller n’ont constaté aucun état d’ébriété.

Le tribunal présidé par Mme Madrolle s’est rangé aux arguments de la défense. Relaxé, le prévenu a quitté la salle en homme libre.

Prochain épisode le 13 mars. Là aussi, il conteste les violences qui lui sont reprochées.

F.C.

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l’union080111a

Reims : Comparution immédiate Il agresse sa concubine enceinte : deux mois ferme

 

La 18e aura été la bonne. Hier, le tribunal a condamné Djamel Tifoura (36 ans) à deux mois de prison ferme. Lundi dernier, le même tribunal l’avait relaxé, doutant qu’il ait frappé sa concubine enceinte de huit mois, comme celle-ci l’avait affirmé (l’union de mardi).

Mais mercredi soir, la jeune femme a de nouveau appelé la police, indiquant que Djamel Tifoura lui avait « balancé un pot de Nutella au visage » et l’avait « frappée à une jambe ». Cette fois, elle a produit un certificat médical faisant état de plusieurs hématomes.

« 17 incidents ont été répertoriés en un an, » note le président du tribunal, M. Melin. « 14 mains courantes ont été dressées en 2007. Le 15e incident date de novembre, la victime était la même, les faits similaires. Le 16e incident date du week-end dernier, vous avez été relaxé. Et le 17e de mercredi. »

Djamel Tifoura et sa compagne sont placés sous curatelle renforcée. Ils fonctionnent sur le mode « je t’aime, moi non plus ». Dès qu’ils se retrouvent, les coups pleuvent. La jeune femme a aussi expliqué qu’elle n’avait « pas pu rejeter complètement Djamel » car elle « l’aime » et qu’elle espère qu’il « va changer ». Djamel Tifoura nie totalement avoir porté des coups à sa compagne.

Le procureur de la République adjoint Georges Latève a requis deux à trois mois de prison ferme à l’encontre de Djamel Tifoura. « Ses dénégations aujourd’hui ne font pas le poids. »

Me Gervais pour la défense met « totalement en doute les déclarations de la victime, suggérant que la jeune femme aurait pu se frapper elle-même tellement le mode de fonctionnement du couple est pervers ». Et de plaider la relaxe.

Le tribunal a, hier après-midi, décidé de condamner Djamel Tifoura à deux mois de prison ferme et a ordonné son placement en détention.

P.B.

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l’union080107e

Les grands rendez-vous de 2008 à Reims

 

l’année 2008 s’annonce intense à Reims.

Voici quelques événements qui devraient marquer notre ville dans les mois qui viennent.

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Tramway : la dernière ligne droite

Importante réunion technique ce soir à 18 h 30 à l’hôtel de ville où les élus de l’agglomératon sont invités à entériner plusieurs décisions relatives au projet de tramway pour répondre notamment aux recommandations du commissaire enquêteur.

Déclaration de projet : Reims métropole va devoir se prononcer définitivement sur l’intérêt général de la première ligne de tramway, une ligne de 11,2km reliant Orgeval au CHU mais avec une extension vers la gare TGV Champagne Ardenne de Bezannes. La ligne sera composée de deux services. Un service A qui ira de Neufchâtel à l’hôpital et un service B : gare TGV centre/gare TGV de Bezannes.

Modification du périmètre de la DUP : De façon à répondre au souhait du commissaire enquêteur qui ne juge pas opportun de construire un parking près de l’école Jean-Macé, entraînant la destruction d’une maison d’habitation, la communauté de communes envisage de le faire de l’autre côté avenue de Laon. Pour cela, il lui faut demander la permission de modifier à la marge le périmètre de la déclaration d’utilité publique.

Avenants : Les élus devront approuver l’avenant N° 1 au contrat de concession des transports publics de façon notamment à ajouter une station de tram sur Croix-Rouge entre Campus et Arago et à en modifier une autre (Danton). Une demande exprimée par les usagers et reprise par le commissaire enquêteur.

Parking rue Perin : De façon à réaliser un parking qui compensera la suppression de places sur le parvis de l’église Saint-Thomas, Reims métropole va autoriser le groupement Mars à démolir l’ancienne usine Fossier.

Demande de subventions : Les conclusions du Grenelle de l’environnement ayant laissé entendre que l’État pourrait subventionner des projets de transports publics écologiques, Reims métropole va officiellement demander une subvention pour son projet de tram.

Alain Moyat

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l’union080107d

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

 

Travaux

Reims Habitat vient de lancer une procédure de consultation en vue du ravalement des façades et de la réfection des jardinières béton, du 32 au 46, esplanade Eisenhower et du 39 au 45, rue Pierre-Taittinger.

Ces travaux seraient lancés à la mi-janvier et devraient s’étaler sur sept mois.

Autofinancement

Pour organiser une visite à la Cité des Sciences, en fin d’année, « les élèves qu’on oublie presque, tellement ils se prennent en charge tous seuls pendant que les adultes sont accaparés par les fauteurs de troubles », ont créé bénévolement des cartes de vœux et des objets décoratifs de Noël.

Ils ont tenu une petite table, devant la salle des profs, pour vendre ce qu’ils ont « bricolé » de leurs propres mains.

La vente servira à financer une petite partie de la visite : « Ils sont tellement fiers quand on leur dit que c’est beau, que ça fait plaisir à voir ! » s’extasie Luisa Dos Santos, conseillère-animatrice.

Noël à Eisenhower

Pour la première fois, l’Union des locataires de Croix-Rouge (ULCR) a organisé un concours de photos et de dessins, le week-end de Noël, avec le soutien de Reims habitat et du supermarché et des commerçants du Centre commercial de l’Hippodrome.

Les photos des enfants avec le père Noël ont été réalisées dans la galerie du supermarché, dans un décor composé par M. Kolatchek, le directeur, les membres de l’ULCR et le groupe Communication des locataires de Reims habitat.

Entreprises

Fabrice Kuntzler est le gérant d’une nouvelle entreprise, l’Eurl DenteK (vente de matériel médical dentaire) dont le siège est fixé au 1, place Maurice-Utrillo.

La Sarl EMJE dont nous avons annoncé la constitution dans l’union du 21 décembre n’a pas établi son siège au 12 allée des Bourguignons comme indiqué, mais au 5 allée des Savoyards.

Chérif Chioukh est le gérant de la nouvelle Sarl A.T.E. Transports (transport de marchandises) au 10, esplanade Paul-Cézanne.

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l’union080107c

Le tennis doublement récompensé à Croix-Rouge

 

Jeannine Catry.

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Au cours de l’assemblée générale du comité Marne de tennis, le président Jean-Pierre Vasseur a annoncé que, cette année, le label d’argent a été décerné au Tennis-club Géo- André (TCGA).

Par ailleurs, à l’issue de l’assemblée générale, la médaille de bronze de la Fédération française de tennis a été attribuée à Jeannine Catry, administrateur de l’Association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap).

 

 

 

 

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l’union080107b

Il frappe sa concubine enceinte

 

Dans la nuit du 5 au 6 janvier, des policiers ont interpellé dans le quartier Croix-Rouge Djamel Tifoura, 37 ans, suspecté d’avoir frappé au visage et donné des coups de poing à sa concubine qui est enceinte.

Placé en garde à vue, interrogé, l’auteur qui nie les faits a été déféré au parquet et écroué.

Il semble que ce n’est pas la première fois que ce couple fait appel à la police suite à des différends conjugaux.

Le violent concubin est convoqué aujourd’hui au tribunal correctionnel de Reims en procédure de comparution immédiate.

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l’union080107a

Blessé après une agression

 

Hier, les pompiers ont pris en charge, avenue Eisenhower, un homme qui avait été blessé au visage suite à une agression

 

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l’union080106a

Les jardiniers en assemblée

 

L’association des jardins familiaux de Pays-de-France organise son assemblée générale ce dimanche 6 janvier à 10 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

Dimanche 20 janvier, ce sera au tour de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud d’organiser son assemblée à 9 h 30 dans la salle de l’association Étoile Croix-du-Sud, 5 aveline Léon-Blum.

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l’union080105e

Patinage : le somptueux gala du Rap

 

Beaucoup d’enthousiasme chez les patineurs.

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Le Reims Acrap patinage et tous ses licenciés ont présenté un spectacle aux plus petits, à leurs parents, amis et familles et ont accueilli le père Noël dont la hotte était remplie de friandises.

Les patineurs ont offert un superbe programme avec la complicité de Ludivine Lemaire, entraîneur de danse sur glace et Sabrina Deconinck entraîneur de patinage artistique, et en présence de la présidente, Jeannine Catry, la secrétaire générale Myriam Huet et la trésorière Sandrine Jaquet.

Coupe Lapique

Pour achever cette belle soirée, un goûter était servi à tous les enfants et personnes présents, alors que le Rap et les membres du bureau souhaitaient de bonnes fêtes de fin d’année à tous en attendant le prochain rendez-vous en danse sur glace le 27 janvier, pour la coupe de la Champagne Jean-Jacques-Lapique qui aura lieu à Reims à la patinoire Bocquaine.

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l’union080105d

Au concours de dessins de Noël de l’Acrap

 

Tous les enfants du quartier Croix-Rouge, même non adhérents, pouvaient participer au concours de dessins de l’Acrap, doté de cadeaux de Noël, avec trois catégories d’inscriptions.

Les plus jeunes (4 à 6 ans) devaient dessiner un paysage de Noël de leur choix et le colorier.

Les gagnants sont : 1, Lucas Bailly (Clemenceau, 4 ans). 2, Véronique Djaladian (Picards, 5 ans). 3, Tania Azevedo (Tourangeaux, 5 ans).

Les 7/12 ans devaient réaliser une carte de vœux qu’ils aimeraient offrir aux habitants de Croix-Rouge et ils devaient rédiger un texte expliquant leur choix.

Ont été récompensés :

2e catégorie : 1, Hortense Cliquot (Racine, 7 ans). 2, Clara Fortune (Tinqueux, 9 ans). 3, Énola Glé (Gounod, 7 ans). 4, Laura Marchal (Braque, 7 ans).

3e catégorie : 1, Kamelia Nedjaoum (Béarnais, 10 ans).

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union080105c

Des braquages assez rares

 

Les braquages de bureaux de poste sont — heureusement — peu courants dans notre département.

Le dernier vol à main armée d’un bureau de poste dans la Marne remonte à décembre 2006. Il s’agissait de l’agence du Hamois à Vitry-le-François. Deux individus armés et masqués d’un collant avaient agressé la guichetière pour réclamer la caisse. Grâce à deux jeunes du quartier, les deux auteurs ont été rapidement interpellés.

Le braquage précédent remonte au 20 mai 2006. Il s’agissait du bureau de Poste de Reims-La Rafale.

Deux malfaiteurs avaient pénétré dans le bureau à 8 h 30, avant l’ouverture au public. Ils avaient profité de l’arrivée d’un employé pour le menacer d’une arme de poing et s’introduire avec lui dans l’agence située sur l’esplanade Eisenhower. Butin : quelques centaines d’euros et des timbres.

Des coups portés

Le 11 juillet 2006, c’est le bureau de poste Pays-de-France, situé dans le même quartier Croix-Rouge de Reims, qui avait fait l’objet d’une attaque à main armée. Trois individus encagoulés avaient pénétré dans les lieux à la prise de service des employés qui avaient été pris en otage quelques minutes. Le chef d’agence avait même reçu des coups.

En 2005, c’est le bureau de poste de l’avenue Jean-Jaurès à Reims qui avait été victime d’un vol à main armée, à l’heure de la prise de service une fois encore.

Trois individus avaient réussi à prendre la fuite avec un important butin, après avoir agressé un postier à l’intérieur de l’agence.

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l’union080105b

Danses mahoraises

 

 

 

Belle après-midi salle Mauriac où l’association mahoraise de Reims a organisé un rendez-vous à l’attention de ses adhérents.

Venus du petit village de Moinatridi (Mayotte), des danseuses et danseurs ont fait le spectacle.

Avec des danses biwi pour les filles et chigoma pour les garçons.

Tous ont partagé ensuite un repas traditionnel après avoir accueilli Alexis Mohamed, candidat à l’élection municipale.

 

 

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l’union080105a

Local en feu

 

Hier, vers 15 h 15, les pompiers ont été appelés pour un feu de local à vide-ordures au 30 rue de Rilly-le-Montagne.

Le feu a été éteint à l’aide d’une lance à dévidoir variable.

Les sapeurs- pompiers ont dû, ensuite, ventiler l’immeuble de sept étages.

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l’union080104e

Jardiniers

 

L’association des jardins familiaux de Pays-de-France organise son assemblée générale dimanche 6 janvier à 10 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

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En janvier à Croix-Rouge

 

Jardins de Pays-de-France

L’association des jardins familiaux de Pays-de-France organise son assemblée générale dimanche 6 janvier à 10 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

Promotion de Pays-de-France

L’association de promotion de Pays-de-France organise son repas annuel des personnes âgées samedi 19 janvier à partir de 12 h 30 dans la salle municipale François-Mauriac.

Le lendemain, dimanche 20 janvier, l’Appf profite de la même salle pour proposer son après-midi récréatif « galette des rois » , à partir de 14 h 30.

Les marcheurs du dimanche

La randonnée du mois à l’espace Watteau avec Vincent Girardin, dimanche 20 janvier : « rando rémoise » , départ à 8 h 15 au 3, allée Antoine-Watteau.

Sortie « bol d’air »

Le même jour, Sylvie Brin, guide nature à l’Espace Billard, anime une sortie « bol d’air » pour se promener, flâner et découvrir les paysages de notre région, sur le thème « Reims d’autrefois » .

Rendez-vous à 9 heures au 12, rue Pierre-Taittinger.

Jardins de Croix-du-Sud

L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud organise son assemblée générale le dimanche 20 janvier à 9 h 30, dans la salle de l’association Etoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.

Un repas pour les personnes âgées

L’association Croix-Rouge animation et promotion organise dimanche 20 janvier à 12 h 30, un repas réservé aux personnes âgées du quartier Croix-Rouge, âgées de 65 ans ou plus, avec conjoint même moins âgé.

L’Acrap prendra en charge le transport aller et retour des personnes qui ne peuvent pas se déplacer.

Renseignements : 11 rue du Président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.).

Les Polygones

L’association de défense des locataires Les Polygones tiendra son assemblée générale jeudi 24 janvier à 18 h 30 dans l’ancienne école maternelle de la rue Alphonse-Daudet.

Danse sur glace

Prochaine grande manifestation pour le Reims Acrap patinage en danse sur glace, dimanche 27 janvier : la coupe de la champagne Jean-Jacques-Lapique à la patinoire Bocquaine.

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l’union080104c

LES JEUNES DE L’ACRAP ONT FÊTÉ NOËL

 

 

Le père Noël est descendu à l’association Croix-Rouge animation et promotion, mercredi 26 décembre, pour un après-midi récréatif en faveur des adhérents de douze ans maximum et pour les enfants ayant participé au concours de dessin.

Au programme, sous une organisation parfaite des footballeurs de l’Acrap :

- accueil par le président Jean-Pierre Genesseau,

- animations avec Laurent Julliard,

- remise des prix du concours de dessin

- et goûter avec Alain Lommé, administrateur.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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l’union080104b

NOËL CHEZ LES TRAVAILLEURS MAGHRÉBINS

 

 

La fête de Noël de l’association des Travailleurs maghrébins de France(ATMF) s’est déroulée au 6, allée des Picards, en partenariat avec la banque alimentaire : « Des mamans bénévoles ont contribué à sa réussite dans une ambiance conviviale et familiale » précise le président Mohammed El Haddaoui.

Au programme :

- musique et spectacle avec la participation d’un clown professionnel, un jeune du quartier,

- dégustation de crêpes et de chocolat chaud avant le passage du père Noël

- et distribution de colis de bonbons et chocolat aux 85 enfants présents.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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l’union080104a

Aires de jeux à Pays-de-France : les projets avancent

 

Une aire bientôt réhabilitée.

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A la suite de l’intervention d’une habitante, Mme Gaillard, en réunion publique du conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche, le président du conseil de quartier Ahmed El Mcherfi l’a rencontrée sur place pour étudier avec elle son souhait et celui de plusieurs mamans de pouvoir réutiliser un espace jeux pour enfants, espace qui appartient au Foyer rémois et qui se trouve détérioré.

En partenariat avec l’organisme logeur, le projet d’un coût de 57.408 euros, a abouti après un vote unanime du conseil municipal : la ville de Reims et le Foyer rémois investiront chacun 14.352 euros et l’État 28.704 euros pour réaménager l’aire de jeux pour ados et créer un nouvel espace pour la petite enfance.

Début des travaux début janvier, pour une livraison en mars 2008.

Quant à la demande des jeunes de l’association Jeunesse Espoir Pays-de-France d’aménager un « City-Sports » sur le secteur Bonaparte (l’union du jeudi 6 décembre), le maire souhaite les rencontrer au préalable pour faire le point sur ce projet.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080103d

Modification de statuts :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Au ternie d’une décision en date du 03/01/08, les associés de la SARL ANDRE SONIA PRODUCTION, au capital de 1.668 €, sise à REIMS, 17 rue Pierre Taittinger, immatriculée au R.C.S. de REIMS n° 478 776 040 00022, ont nommé Madame Lynda ANDRE en qualité de gérante, en remplacement de Monsieur Ameur HAMDANE, démissionnaire.

63525

Pour avis.

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l’union080103c

La médiathèque Croix-Rouge en janvier

 

Julie raconte

Mercredi 9 janvier à 15 heures, les lutins et le cordonnier, un conte de Grimm (Il était une fois un brave cordonnier était devenu très pauvre…),

pour tous, à partir de 5 ans.

L’air du conte

Mercredi 16 janvier à 15 heures, lectures d’extraits de « Rumeurs et légendes urbaines » d’Albert Jack : erreur de casting, la main dans le sac, fan de foot, imbéciles heureux…

Les rumeurs riment parfois avec bonheur, malheur, et surtout menteur !

Pour tous, à partir de 8 ans.

Secteur musique

Vendredi 25 janvier à 19 heures, conférence par Jacques Leblanc, « Ladies and gentlemen : The Rolling Stones ! » Rédacteur en chef de JukeBox Magazine, co-auteur de plusieurs livres sur les Stones, Jacques Leblanc évoquera en détail l’émergence dans les années 60 du futur « plus grand groupe de rock’n’roll du monde » : la meilleure période selon les connaisseurs, clôturée par la mort de Brian Jones.

La Ronde des albums

Mercredi 16 janvier à 11 heures, les métiers. Dès son plus jeune âge, on sait qu’on veut devenir pompier, policier ou maîtresse d’école… et les autres métiers, alors… ?

Pour enfants de 4 à 8 ans.

Projection de diapositives

Mercredi 23 janvier à 16 h 30, Guillaume le ménestrel, texte de C. Martin, dessins de J. Parello-Marneix.

Guillaume le ménestrel et son compagnon de fortune Balthazar jouent de château en château. Un jour, ils arrivent en vue d’un château fort aux murailles sombres, très sombres…

Pour enfants de 4 à 8 ans.

L’heure des bébés

Samedi 26 janvier à 9 h 30, un moment de lecture tendresse pour les touts-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Tous ces spectacles sont gratuits.

Inscription préalable obligatoire.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tél. 03.26.35.68.45.

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l’union080103b

Apprendre un métier avec les Compagnons du Devoir

 

Le métallier.

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Le chaudronnier.

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Animés par l’envie de transmettre le goût du travail bien fait aux jeunes, les Compagnons du Devoir de Reims et Muizon présentent, par une sélection de pièces remarquables, d’outils, de documents et de photographies originales réalisées par Guillaume Gellert, cinq métiers : mécanicien, couvreur, charpentier, chaudronnier et métallier, à la médiathèque Croix-Rouge.

L’exposition est complétée par une série de démonstrations animées par des Compagnons, de 10 à 12 heures et de 14 à 17 heures, sur les métiers de chaudronnier (samedi 12 janvier), de mécanicien (samedi 19 janvier) et de métallier (samedi 26 janvier).

L’exposition est visible jusqu’au 26 janvier à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Entrée gratuite. Tél. 03.26.35.68.45.

 

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l’union080103a

Des collégiens en visite chez Forgel

 

Les élèves de Joliot-Curie.

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Sur l’initiative de l’Union des industries et métiers de la métallurgie de la Marne (UIMM Marne), l’entreprise industrielle Forgel, située à Bezannes et spécialisée dans le froid et la climatisation, a reçu une vingtaine d’élèves de 3e du collège Joliot-Curie de Reims pour signer un contrat de partenariat « Bravo l’Industrie » dans le cadre de l’option Découverte professionnelle en classe de 3e.

Accompagnés de Pascal Sientzoff, leur professeur principal, et Dominique Royer, leur professeur de technologie, ils ont pu rencontrer le personnel de l’entreprise et découvrir, au fil de la visite dans les ateliers, la technologie et toutes les compétences professionnelles nécessaires à la fabrication de vitrines réfrigérées « sur mesure ».

Ils ont ainsi pu observer des savoir-faire en menuiserie, en tôlerie, en électricité et comment on fabrique du froid !

L’objectif est d’emmener ces jeunes dans une démarche active et concrète d’observation afin de les aider à réfléchir à leur prochain choix d’orientation.

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l’union080102bc

Richacha Balengola : un batteur international chez Ethnics’s

 

L’équipe d’Ethnic’s autour de Richacha Balengola.

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L’espace Ethnic’s de la Maison de quartier a une nouvelle fois accueilli un nouvel invité de marque en la personne d’Abongy « Richacha » Balengola, le batteur mondialement connu pour avoir joué avec les Wailers, Alpha Blondy, Tonton David, Princess Erika et autres Papa Wemba, venu spécialement animer un masterclass. La journée a débuté par un boeuf avec les amateurs de reggae locaux qui fréquentent régulièrement l’espace Ethnic’s.

La 2e partie de la journée a été consacrée aux adhérents de l’atelier batterie animé par Bertrand Stogowski : un cours particulier très convivial et enrichissant pour les jeunes batteurs en herbe.

Enfin, Richacha Balengola a inauguré la cabine et le matériel d’enregistrement. « Ce fut pour nous un avant-goût de ce qui sera réalisable quand la structure sera dotée du grand studio d’enregistrement tant attendu » apprécie Thierry Farias, animateur musique.

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l’union080102ba

Feux de voitures à la Saint-Sylvestre : la police limite les dégâts

 

La police n’a pu éviter tous les feux de voitures, comme ici dans la rue Raoul-Dufy (Croix-rouge).

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Si l’on ne tient compte que des déclenchements de feux de voitures, il y en a eu seulement trois au cours de la dernière nuit 2007, contre cinq l’année précédente. Grâce au bon quadrillage du terrain, estime la police.

Si l’on ne tient compte que des déclenchements de feux de voitures, il y en a eu seulement trois au cours de la dernière nuit 2007, contre cinq l’année précédente. Grâce au bon quadrillage du terrain, estime la police.

CINQ déclenchements de feux en 2006, trois seulement en 2007 : c’est bien sûr encore trois de trop, toutefois, hier matin au commissariat de police de Reims, on se félicitait des chiffres de cette nuit de la Saint-Sylvestre en matière de feux de voitures. Avec le sentiment que cette baisse était explicable par un quadrillage performant du terrain par les forces de l’ordre.

Combien de policiers ont-ils patrouillé dans les différents quartiers de Reims tout au long de cette dernière nuit de l’année, devenue malheureusement depuis quelques années synonyme d’explosion de vandalisme dans les villes de France ? Le chiffre est gardé secret.

On peut juste dire que les effectifs locaux étaient renforcés pour la circonstance par une demi-compagnie de CRS. « Ce qui nous a permis de nous montrer régulièrement en nombre auprès de la population, commente le commissaire de permanence, et de canaliser rapidement les possibles débordements. Par exemple, du côté de l’avenue Bonaparte, il y avait une fête qui avait réuni beaucoup de monde, nous y avons fait plusieurs passages, et tout s’est finalement terminé tranquillement à deux heures du matin. »

Propagation

Avec un petit bémol à la clef quand même : c’est que si le nombre de feux proprement dits a diminué, le bilan en nombre de véhicules finalement endommagés, lui, se serait en revanche maintenu d’une année sur l’autre, en raison de la propagation des flammes.

C’est ainsi par exemple que, dans la rue Raoul-Dufy de Croix-rouge, vers minuit et demie, un seul feu a fait trois « victimes » ; et celui de la rue Arthur-Honegger, à Val-de-Murigny, survenu un peu plus tôt, vers minuit et des poussières, en a fait quatre (sans compter la haie près de laquelle ces véhicules stationnaient). Seul celui de la rue de Gabès (secteur du cimetière de l’est), qui avait ouvert la série vers minuit moins le quart, s’est contenté d’une unité.

On ajoutera aussi que, malgré le dispositif policier, les poubelles ont également souffert des flammes (voir par ailleurs). Et que dès le matin, vers 7 h 30, les pompiers devaient intervenir sur un nouveau feu de voiture dans la rue de l’Abbé-Miroy (secteur Neufchâtel). Mais l’événement doit-il être comptabilisé au titre de la nuit de la Saint-Sylvestre ? Ce serait dommage pour les statistiques…

Antoine Pardessus

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l’union080102a

Les poubelles brûlent dans la nuit

 

Rue Molière deux feux nocturnes ont eu lieu dans la même nuit du 30 au 31 ; le premier a été rapidement éteint par un riverain ; le second en revanche (ici les traces des dégâts le lendemain matin) a nécessité l’intervention des pompiers.

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Rue Molière deux feux nocturnes ont eu lieu dans la même nuit du 30 au 31 ; le premier a été rapidement éteint par un riverain ; le second en revanche (ici les traces des dégâts le lendemain matin) a nécessité l’intervention des pompiers.

Au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre à Reims, en dehors des voitures (voir par ailleurs) plusieurs poubelles (huit en tout) ont elles aussi souffert du fait des incendiaires, sans conséquence trop grave heureusement.

Les « victimes » se trouvent réparties entre différents quartiers : secteur Wilson-Maison-blanche (rue du Chanoine-Lallement), Orgeval (106e-RI et Charles-Roche), Val-de-Murigny (Michel-Simon), Jean-Jaurès (Alsace-Lorraine, Sébastopol), Trois-fontaines (Auguste-Walbaum) et même centre-ville (Grand-crédo, près de la sous-préfecture ; dans ce cas précis, les policiers ont réussi à interpeller l’auteur).

Dans la nuit précédant la Saint-Sylvestre (celle de dimanche à lundi), il y avait déjà eu quatre feux du même genre, aux conséquences elles aussi limitées. La petite série avait commencé un peu après 20 heures à Bétheny, dans la rue Curie, où deux conteneurs ont été abîmés ; une heure plus tard, une autre poubelle subissait un sort comparable dans la rue du Bastion à Reims (secteur Jean-Jaurès/Sébastopol) ; dans ce cas-ci, un simple seau-pompe fut suffisant aux pompiers pour venir à bout des flammes ; encore une heure et une poignée de minutes plus tard, c’est la rue du Danube, dans le quartier Europe, qui voyait à son tour deux poubelles s’enflammer à hauteur de l’immeuble du numéro 4 ; les flammes endommageaient d’autres conteneurs, ainsi qu’une Renault Laguna en stationnement. La voiture n’a toutefois été que partiellement endommagée.

Une vingtaine de minutes plus tard, vers 23 h 45, la petite épidémie atteignait la rue Molière, au bout de la rue de Neufchâtel, une rue calme habituellement.

Un premier feu, celui d’un sac poubelle, à hauteur du numéro 7, était rapidement éteint par un riverain ; en revanche, plus tard dans la nuit, vers une heure et demie, un second feu survenait, à quelques mètres de là, près du n° 2 ; cette fois, les pompiers eux-mêmes durent intervenir à la lance.

A.P.

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En plein jour aussi !

Les poubelles ne brûlent pas seulement la nuit venue ; le jour de la Saint-Sylvestre, en plein après-midi, vers 15 heures, les pompiers ont également dû intervenir pour en éteindre une dans la rue Mazarin (Val-de-Murigny), même si des riverains avaient déjà bien entamé le travail. Quant au caractère volontaire et même criminel de ce feu diurne, il ne fait guère de doute : la poubelle avait en effet été placée à proximité d’un compteur à gaz, heureusement sans provoquer d’explosion ni autre gros dégât.

Hier, premier jour de la nouvelle année, deux autres feux de poubelles ont été signalés aux pompiers en pleine journée : rue de Dunkerque (secteur hippodrome) vers 15 heures, et rue Alexandre-de-Serbie (Wilson/Barthou) deux heures plus tard.

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l’union071231a

Tennis : trois questions à… Anthony Petit

 

« Il nous faut renforcer la qualité de la prochaine sélection. »

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Vous êtes le responsable du Centre de formation du Tennis club Géo-André. Quels résultats pour vos cadets ?

« On vient de participer au championnat Marne. Au premier tour, on a battu Epernay-La nautique (3-0) en sachant qu’il y avait deux simples et un double. La semaine d’après, on a éliminé Europe club 2 (3-0). Et en finale, on a gagné face à Europe club 1 (2-1). Ce qui fait qu’on est qualifié pour les demi-finales du championnat Champagne-Ardenne qui aura lieu mi-janvier ».

Le Centre achève son premier trimestre. Quelle perception avez-vous des tennismen ?

« On fonctionne sur un groupe à deux vitesses. C’est-à-dire qu’il y a une partie qui semble intégrer le travail technique sur le terrain. Et l’autre qui n’a pas encore bien saisi ce que ça représente d’être dans un centre d’entraînement, et du coup elle est un peu en retrait ».

L’avenir ?

« Continuer à tout mettre en œuvre pour que nos joueurs progressent. Et renforcer la qualité de la sélection, pour répondre aux attentes inhérentes à l’intégration dans un Creps comme celui de Reims ».

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l’union071229c

TENNIS : AG du comité départemental Licenciés à la baisse

 

En présence de Nathalie Tauziat (à g.), la relève accompagnée des piliers du comités.

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Organisée au Parc des expositions de Châlons, l’assemblée générale du comité Marne s’est déroulée dans une ambiance conviviale.

Dans son rapport moral, le président Jean-Pierre Vasseur a évoqué l’un des points essentiels de cette année tennistique à savoir la baisse des licenciés.

« C’est un peu gênant car en 2006 on avait augmenté de 400 et là, on en perd 283. Mais, logiquement avec l’opération de 400 raquettes, on devrait se stabiliser ou repartir à la hausse », résumait Jean-Pierre Vasseur.

Il est vrai que la promotion visant les jeunes 5-10 ans prenait leurs premières licences auxquelles le comité Marne offre une raquette a formidablement bien fonctionné. Reste à les fidéliser.

Par ailleurs, Jean-Pierre Vasseur a expliqué que la Marne va chercher à mener des actions vers les scolaires ainsi que pour le sport santé et le sport adapté.

Tout en se félicitant qu’une convention ait été passée avec le conseil général pour la construction de deux courts couverts par an pendant cinq ans !

Pour cela, le président à annoncé que le projet club allait être encore accentué. Enfin, sur le plan sportif, Jean-Pierre Vasseur a rappelé la bonne saison de Margot Cremont qui a intégré le groupe avenir national, le titre de vice-champion de France de tennis entreprise de l’Education nationale de Châlons (battu encore par l’US Metro) et enfin, le titre de vice champion de France des raquettes FFT par le TC Bouzy.

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Un comité de 30 ans

REPRESENTATION. – Pour cette AG non élective, 38 clubs sur 88 étaient présents. Du classique !

LIGUE. – L’Assemblée générale de la Ligue aura lieu le samedi 26 janvier au centre des Congrès de Reims.

CLUBS. – En 2007, trois clubs (Epernay, Magenta, Hautvillers, Sporting Club Reims) ont disparu pour aucune création. Le district compte désormais 88 clubs.

TOP. – Le TC Reims est toujours le plus gros club marnais avec 603 licenciés soit le même total que l’an passé.

FINANCES. – Si l’année dernière le compte de résultats étaient excédentaire de 2024.89 euros la commission des finances a fait légèrement mieux en 2007 avec 2134.41 euros.

ANNIVERSAIRE. –Cette année, le comité Marne a fêté son 30e anniversaire.

JOURNAL. – Destiné essentiellement au président de club et aux initiateurs ; le tennis 51 est publié chaque trimestre à 600 exemplaires.

LICENCIÉS. – La Marne est passée de 8.842 licenciés en 2006 à 8.559 cette année soit une baisse de 3.2 %.

LABEL. – Cette année, 18 labels ont été decernés..

Label d’or : Reims Europe Club, Vitry, Witry les Reims, Cormontreuil ;

label d’argent : TC Reims, TC Cote des Blancs, ASPTT Châlons, ASPTT Epernay, Gueux, Betheny, Courtisols, Nautique Epernay, Géo André, URT, Montmirail ;

label de bronze : Sillery et La Muire.

MÉDAILLE. – À l’issue de cette AG, des médailles de bronze de la FFT ont été attribuées à Christophe Meunier-Ferry, Thierry Moreaux, Alain Mouton, Philippe Gerin, Francine Cordy, Jeannine Catry, Alain Michaut, Michel Gilbert, Michèle Wallart, Serge Barbier, Christophe Zymek, Christophe Jannet et Yves Bourgeois.

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l’union071229b

Danger pour les enfants aux Polygones

 

L’association demande des panneaux annonçant la traversée de la voie par les enfants.

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Toujours vigilante en matière de sécurité pour les enfants, l’association de défense des locataires Les Polygones est intervenue plusieurs fois auprès de la mairie pour sécuriser le virage de la rue Henri-Royer, ce qui devrait être réalisé prochainement.

Mais des éléments nouveaux apparaissent : « Je viens d’apprendre que des enfants très jeunes se rendent à l’école Sculpteurs-Jacques et qu’au niveau de la rue Royer, précisément à hauteur de la cabine téléphonique, il n’existe aucune matérialisation au sol leur permettant de traverser la rue en toute sécurité. Par ailleurs, il m’a été confirmé à plusieurs reprises que les étudiants de l’ESC circulent à vive allure, empruntant même les sens interdits ! » annonce la présidente Geneviève Kaczowka

« J’ai déjà rencontré le directeur de Reims Management School pour faire cesser les nuisances provoquées par certains étudiants, et je vais devoir l’interpeller à nouveau. »

Pour l’association, cette situation doit être très vite améliorée, d’où la demande d’installation d’un panneau annonçant la traversée de la voie par les enfants et d’un panneau de rappel de zone 30, rue Royer sur la voie montante et la voie descendante ainsi que d’un panneau « Stationnement sur trottoirs interdit ». « Une telle signalétique ne serait pas superflue, de nombreux automobilistes conduisant de façon anarchique. »

Enfin, dernière constatation : « Le stationnement sauvage constaté sur le trottoir des immeubles des Polygones, rue Royer, s’étend de plus en plus. La municipalité pourrait-elle insister auprès des services de police pour multiplier les passages ? »

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l’union071229a

Reims : des locataires sur les nerfs
« L’enfer » au 6 Edgar-Degas

 

Les dégradations sont de plus en plus fréquentes.

Les dégradations sont devenues pratique courante dans l’immeuble. Photos Benjamin SEGURA

Le bloc était réputé pour son calme, il est devenu l’un des pires.

Au 6, allée Edgard-Degas, à Croix-du-Sud, des locataires ont perdu leur tranquillité avec l’arrivée d’une bande de perturbateurs.

Certains ont même été menacés de mort. L’Effort Rémois promet de régler le problème.

Depuis qu’une bande s’est installée dans leur bloc, les locataires ne connaissent plus la paix. Menaces, bruit et saleté sont devenus leur quotidien à Croix-du-Sud.

Pauvres gens. Il y a deux mois encore ils étaient réputés pour avoir le bloc le plus propre et le plus calme du quartier.

Il y a deux mois encore, les locataires des quatre premiers étages du 6 Edgar-Degas à Croix du-Sud dormaient sur leurs deux oreilles. Ils n’avaient pas peur en rentrant chez eux et ne craignaient pas de laisser leur appartement sans surveillance. Ce temps est révolu.

Depuis qu’un locataire du 3’ a sous-loué son appartement, « c’est devenu l’enfer ». « Ils sont jusqu’à une vingtaine là-dedans à faire la foire jusqu’à cinq heures du matin quasi tous les soirs ». Le matin on retrouve traces d’alcool, restes de joints, urine dans les escaliers. »

Pour ouvrir la porte d’entrée du bloc, les perturbateurs ne s’embarrassent pas d’un badge : « Ils mettent des coups de pied dedans ». Conséquence le système en pâtit et la porte s’ouvre à qui la bouscule un peu. « Même les filles font la même chose. L’autre jour j’en ai vu qui donnaient des coups dans les boîtes aux lettres ».

À bout de nerf, les habitants ont fait circuler deux pétitions.

Près de trente familles ont signé. « On va envoyer une copie au procureur car certains d’entre nous ont été menacés de mort et il y a de la drogue qui circule. Il y aurait même des armes ».

« J’achète un fusil »

Personne n’a vu les armes en question mais l’odeur du pétard, ils la respirent quotidiennement. « On voit des gamins venir s’approvisionner ».

Le week-end dernier, une locataire a entendu en pleine nuit des coups dans sa porte. Tous croisent des regards menaçants dans le hall. « Moi, ils ont promis de me casser les dents », raconte un gamin. « On n’est plus en sécurité. Il faut qu’ils partent ». L’une des victimes est allée déposer une main courante au commissariat.

Les locataires parlent malgré la peur des représailles. Ils ont peur pour eux ou pour leur voiture mais ne peuvent plus se taire. « Moi, s’ils rauchent à ma voiture, je vais acheter un fusil et je tire. Tant pis si je croupis en prison, au moins je ne me serais pas laissé faire ». Ils ont besoin d’aide.

Catherine Frey

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L’Effort rémois va intervenir

« Nous sommes conscients que le locataire qui héberge ces personnes dans son appartement n’est pas en capacité de régler lui-même cette situation. C’est pourquoi nous allons entamer des démarches avec lui pour apporter une solution définitive à ce problème », promet le bailleur, qui s’engage à informer les locataires de la suite des événements.

« De plus, nous avons contacté les services de police afin qu’ils puissent intervenir dans cet immeuble et apporter une attention toute particulière aux plaintes des habitants », informe le représentant de l’Effort rémois. Enfin, « des actions vont être mises en place pour apporter des réponses rapides aux dégradations ».

C.F

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l’union071228c

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Maître d’ouvrage : Société d’HLM L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet : Marché de travaux de réfection des peintures ou revêtements muraux de 39 cages d’escaliers d’un certain nombre de bâtiments du patrimoine locatif de l’EFFORT REMOIS – REF. : MA-091207

Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Composition du marché : Le marché est composé de 13 lots :

- Lot - 1 Châtillons

- Lot - 2 Mitterrand - Cormontreuil

- Lot - 3 Croix du Sud

- Lot - 4 Debar

- Lot - 5 Bel Air

- Lot - 6 Marcel Thil

- Lot - 7 Zola

- Lot - 8 Tinqueux

- Lot - 9 Louvois

- Lot -10 Clovis

- Lot -11 Jean d’Orbais

- Lot -12 Général Patton -Châlons en Champagne

- Lot -13 Place des Arts - Châlons en Champagne

Délai d’exécution : 6 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :

Le Mercredi 23 janvier 2008 à 17h00, dépôt ou envoi des dossiers au service Marchés, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Les dossiers sont disponibles sur commande jusqu’au Mercredi 16 janvier 2008 à 17 heures auprès de :

    • Gratuitement sur support électronique à l’adresse suivante :

http://www.lunion-legales.fr

référence du marché : MA-091207

    • Payant sur support papier auprès de :

TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS

Tél. 03.26.04.81.21 – Fax : 03.26.09.71.07 – E-mail : Technic.Repro@wanadoo.fr

Pour tout renseignement technique contacter :

Service Maintenance : Mr P. DUMONT, chargé d’opérations, au 03 26 04 98 37

Pour tout renseignement administratif contacter :

Service Marchés : Mr. N. MEUNIER au 03 26 04 99 82, Mme N. GALLOIS au 03 26 04 99 05

Date de publication au JAL : L’UNION, éditions Marne, Aisne et Ardennes, le 28 décembre 2007

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l’union071228b

AVIS D’APPEL A CANDIDATURE

 

 

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet : Marché de Services – Marché d’Entretien d’espaces extérieurs (espaces verts, voies de circulation piétons et véhicules) du patrimoine immobilier de la société L’EFFORT REMOIS ou du patrimoine immobilier de la SACCLO géré par L’EFFORT REMOIS.

Réf. : RL- 021207

Procédure formalisée restreinte selon ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 et au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

Composition du marché : Le marché comporte 19 lots répartis sur le département de la Marne et de la Haute Marne avec des tranches fermes et des tranches conditionnelles :

- Lot n°1 – CORMONTREUIL : Tranche ferme : 10 sites

- Lot n°2 – REIMS – Quartiers Chanoine, Serbie Boulanger, Wilson Tranche ferme : 7 sites

- Lot n°3 – REIMS – Quartier Châtillons Tranche ferme : 3 sites

- Lot n°4 – REIMS – Quartier Croix Rouge (Université & Croix du Sud) Tranche ferme : 5 sites

- Lot n°5 – REIMS – Quartier Murigny Tranche ferme : 10 sites

- Lot n°6 – REIMS / BETHENY – Quartiers Orgeval – Neufchâtel – E. Moreau et BETHENY Tranche ferme : 12 sites

- Lot n°7 – REIMS – Quartiers Clémenceau – Jean Jaurès – Epinettes Tranche ferme : 19 sites

- Lot n° 8 – REIMS – Quartier Saint Rémi Tranche ferme : 5 sites

- Lot n° 9 – REIMS – Quartiers Saint Léonard – Avenue de Champagne Tranche ferme : 6 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 10 – TINQUEUX / SAINT BRICE COURCELLES Tranche ferme : 13 sites – Tranche conditionnelle : 2 sites

- Lot n° 11 – REIMS – Quartiers Jacquart – Carteret – Boulevard Lundy Tranche ferme : 10 sites

- Lot n° 12 – REIMS – Quartiers Laon – Zola Tranche ferme : 25 sites Lot n° 13 – REIMS – Quartiers Courlancy – Venise Tranche ferme : 7 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 14 – REIMS – Quartier Clairmarais Tranche ferme : 16 sites

- Lot n° 15 – FISMES Tranche ferme : 9 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 16 – CHALONS EN CHAMPAGNE Tranche ferme : 10 sites – Tranche conditionnelle : 4 sites

- Lot n° 17 – VITRY LE FRANCOIS Tranche ferme : 3 sites – Tranche conditionnelle : 4 sites

- Lot n° 18 – SAINT DIZIER Tranche ferme : 1 site – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 19 – EPERNAY Tranche ferme : 3 sites

Délai d’exécution : Le marché sera établi pour une durée de 4 ans (sous réserve de sa bonne exécution) à compter de la date d’effet précisée dans l’ordre de service de démarrage des prestations (dates prévisionnelles : le 1er avril 2008 et le 1er octobre 2008, selon les lots)

Date limite de réception des candidatures : Le Mardi 15 janvier 2008 à 17 heures,

dépôt ou envoi des dossiers à l’adresse suivante :

PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS - Service Marchés - 7 rue Marie Stuart – BP 324 - 51061 REIMS CEDEX.

Les dossiers sont disponibles jusqu’au 8 janvier 2008 – 17 heures :

    • Sur support papier (gratuitement) :

Auprès de PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS – Service Marchés – Mme GALLOIS ou Mr. MEUNIER - 7 rue Marie Stuart à Reims (sur demande écrite) Télécopie : 03.26.04.98.12 - E-mail : service.marches@effort-remois.com

    • Sur support électronique à l’adresse suivante :

http://www.lunion-legales.fr

Pour tout renseignement technique contacter : Service Relations Locataires : Mme S. SIMON au 03.26.04.99.61

Pour tout renseignement administratif contacter : Service Marchés : Mr N. MEUNIER au 03.26.04.99.82, Mme N. GALLOIS au 03 26 04 99 05

Date d’envoi à la publication au JOUE et au Journal L’UNION, édition Marne, ainsi que le Journal de la Haute Marne le : 14 décembre 2007

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l’union071228a

Patinage : le Rap au Tournoi de France 1re division

 

Les patineuses vont devoir perfectionner quelques éléments de leur programme.

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Le Reims Acrap Patinage a présenté onze compétitrices en solo et un couple au premier Tournoi de France 1re Division, à Belfort, avec nouveau système de notation.

Catégorie Préparatoire : Juliette Wary, toute jeune compétitrice en 1re division et bien que malade pour cette première prestation, s’octroie la 3e marche du podium après une belle prestation.

Catégorie Pré-bronze A : Eva Lemaire réalise une superbe performance sur la danse imposée mais, moins à l’aise sur le programme libre, termine 7e de sa catégorie.

Catégorie Pré-bronze B : Morgann Prey monte sur la 3e marche du podium après avoir exécuté deux belles danses, et Margaux Abib-Gruet ne démérite pas en s’attribuant la 6e place du combiné.

Catégorie Bronze A : Roxane Bouvet termine 14e en donnant le meilleur d’elle-même pour cette première fois dans cette catégorie.

Catégorie Bronze B : Camille Renault finit 8e de sa catégorie, c’est un bon début pour ce premier Tournoi de France 1re division dans cette catégorie, elle reste l’espoir montant du club.

Catégorie Argent A : Justine Delaunois, après une belle performance sur sa danse imposée et une danse d’interprétation qui reste à perfectionner, termine 8e de la compétition dans sa catégorie. Morgane Huet après une très belle prestation de sa danse d’interprétation qui lui vaut une 8e place, finit 10e du combiné, perdant des points avec le programme imposé.

Catégorie Argent B : Solène Manceaux à l’issue d’une belle danse imposée et d’une danse d’interprétation à perfectionner termine 4e de sa catégorie.

Avec le nouveau système de notation, les patineuses ont découvert les nouveaux éléments obligatoires exigés désormais dans les programmes.

Les danseuses et leur entraîneuse, Ludivine Lemaire, vont devoir perfectionner quelques éléments de leur programme.

Elles ont pour cela un mois avant le prochain tournoi de France qui se déroule au Havre les 12 et 13 janvier 2008.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 071227d

CONSTITUTION DE SOCIETE :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION : A.T.E TRANSPORTS.

FORME : Société à responsabilité limitée.

SIEGE SOCIAL : 10 esplanade Paul Cézanne - 51100 REIMS.

OBJET : Transport de marchandises.

DUREE : 99 années.

CAPITAL : 7.500 €.

GERANCE : Monsieur CHIOUKH CHERIF, demeurant à 10 esplanade Paul Cézanne - 51100 REIMS.

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

59998 Pour avis.

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l’union071227c

Les quartiers font leurs cartes de vœux

 

« Ce qu’il faut ici c’est des parcs, des squares, de l’espace ! »

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De Orgeval à Europe en passant les Épinettes et jusqu’à Croix-Rouge, Wilson et les Châtillons, les Rémois ne manquent pas de souhaits pour leur quartier en 2008. En espérant qu’ils se réalisent.

…..

« Un ascenseur multicolore pour Croix-Rouge »

Au détour d’une cage d’escalier, Yasmina et Faiza papotent. Leur quartier, elles l’adorent : « On a grandi ici et notre famille vit toujours là ». Faiza, elle, fait un vœu en couleur : « Vert, vert, vert ! Ce qu’il faut ici c’est des parcs, des squares, de l’espace ! »

Quant à l’idée de déplacer l’hippodrome : « Mais pourquoi ? Il est l’emblème de notre quartier », lance-t-elle fièrement. « C’est notre petit truc en plus », ajoute sa copine avec une audacieuse comparaison : « Vincennes est connu pour son hippodrome, et bien Croix-Rouge c’est pareil ! » Yasmina tempère ces notes de bonheur par un « si les gens pouvaient aussi communiquer plus entre eux ».

Un peu plus loin, Stéphane rentre chez lui avec un énorme paquet cadeaux. Pourtant s’il avait un présent à offrir pour 2008 ça serait « un ascenseur pour maman ». « Trois fois qu’ils doivent venir le réparer et on ne les voit jamais ».

Stéphane a un vœu encore plus fort : « Ce que je souhaite avant tout, c’est qu’il y ait moins d’incivilités ».

Un autre habitant du quartier déclare sans s’arrêter que ce qu’il faut ici, c’est un « poste de police ».

Alors pour 2008, que ce soit du vert avec les parcs ou du bleu avec la police, Croix-Rouge n’a pas fini d’en faire voir de toutes les couleurs à ses habitants qui eux ne souhaitent qu’une chose : voir la vie en rose.


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l’union071227b

Feu de scooter

 

Mardi vers 16 h 10, un scooter a pris feu esplanade Paul-Cézanne.

Une personne a éteint l’incendie avant l’arrivée des pompiers.

Il pourrait s’agir d’un engin volé.

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l’union071227a

L’agitateur du hall d’immeuble condamné

 

Plusieurs locataires d’un immeuble de l’avenue Bonaparte ont été réveillés en sursaut dimanche vers 2 heures du matin.

Un jeune homme fortement alcoolisé causait grand tapage au rez-de-chaussée du n°15 en tapant sur la porte des appartements.

L’arrivée de la police ne l’a pas calmé, bien au contraire.

Il a outragé les fonctionnaires, s’est rebellé et a opposé une nouvelle résistance lors de son placement en geôle.

Il avait également sur lui un sachet contenant de la résine de cannabis.

Déjà connu de la justice, Isaac Lepage, 20 ans, a été jugé lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel.

Il a écopé de quatre mois de prison dont la moitié assortie d’un sursis mise à l’épreuve avec obligation de se soigner et de trouver un travail.

Laissé libre, le garçon purgera ses deux mois ferme ultérieurement ou sous un mode aménagé.

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l’union071226c

 

Croix-Rouge : le 3e âge invité par l’Acrap
Les invités ont repris en chœur les chansons d’antan.

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Le traditionnel après-midi récréatif offert aux personnes âgées du quartier (plus de 65 ans) par l’association Croix-Rouge animation et promotion a rassemblé une quarantaine de convives, accueillis jeudi 20 décembre par Jean-Pierre Genesseau, président de l’association.

Au programme, un goûter et un récital de chansons anciennes par Gérald Mabile, un bénévole de l’Acrap à la voix puissante, accompagné au piano par Yvette Marlois, de la compagnie Champerette.

Pour terminer ce moment agréable organisé par Bernadette Canu, animatrice du club 3e âge, les invités sont repartis chacun avec une coupe fleurie.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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l’union071226b

 

Il sort promener son molosse et revient chez lui avec 5 amendes

 

Tribunal correctionnel de Reims : Une autre affaire impliquant le propriétaire d’un molosse fut jugée lors d’une précédente audience.

Âgé de 31 ans, il se promenait le 18 août à 23 heures allée des Provençaux avec un american staffordshire.

« Un chien très dangereux ! », tranche le président.

« Pas du tout ! » « C’est ce qu’on dit toujours ! En plus, il n’avait pas de muselière. Un bébé passe à côté, il est mangé. »

L’absence de la muselière motiva un contrôle de la police. Déjà condamné à une peine d’emprisonnement, l’homme n’avait pas le droit de détenir un tel animal.

« Je l’avais depuis dix ans. C’est pas facile de se séparer d’un chien comme ça. »

Avocat du prévenu, Me Sébastien Busy dénonce une attitude incohérente de la police. « Lors du contrôle, on lui dresse sur le champ un, deux, trois, quatre et cinq timbres-amendes. On ne lui laisse pas le temps de remonter chez lui pour chercher l’assurance, la déclaration en mairie, le certificat de vaccination.

Le lendemain, il présente tous ces documents au bureau de police. On lui dit que son chien est en situation régulière et qu’il peut aller le récupérer au refuge, ce qu’il fait.

Et quelques semaines plus tard, il reçoit une convocation de la police, car il détient ce chien alors qu’il n’en a pas le droit. »

Pour le tribunal, c’est là l’essentiel. Il condamne le prévenu à payer une amende de 500 € dans un délai de 100 jours sous peine de partir en prison pour une durée équivalente.

Le chien ne lui appartient plus. « Je l’ai donné au refuge, car je n’ai trouvé personne pour l’acheter. »

F.C.

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l’union071226a

 

Agression sur le chemin du collège

 

Un élève du collège Georges-Braque a été agressé par un adolescent de 12 ans le 14 décembre (l’union du 20).

Sa mère tient à préciser qu’il n’a pas été frappé devant l’établissement, comme écrit dans l’article, mais alors qu’il s’y rendait. Les faits ont eu lieu allée Blanche-Cavarot, « en pleine rue ».

« Ce n’est pas une rixe. Mon fils n’a pas cherché la bagarre. Il a été agressé. Il a reçu des coups de poing et des coups de pied. Il a eu les deux yeux tuméfiés, une plaie à la joue et pendant plusieurs jours, il ne pouvait plus baisser la tête. »

L’agresseur, qui harcèle la victime depuis plusieurs années, est convoqué le 15 janvier devant le juge des enfants.

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l’union071224a

 

Croix-Rouge en fête

 

« Le monde de Moussa » a émerveillé petits et grands.

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« Croix-Rouge s’affiche » , à l’initiative de José Mendes, directeur artistique et de son équipe, a offert deux spectacles mercredi 19 décembre : « Le monde de Moussa » , pour les moins de six ans, aux espaces Billard et Watteau, et « La magie des pages » pour tout public, dans la salle Mauriac.

Les petits des haltes-garderies et des centres de loisirs du quartier ont bien profité des spectacles, de même que de nombreuses mamans à titre individuel avec leurs enfants.

En complément, des photos géantes de Guillaume Gellert ont été projetées toute la semaine sur des immeubles du quartier.

- Des photographies du "Monde de Moussa-fête de Noël" à l’Espace Billard, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

- Des photographies du "Monde de Moussa-fête de Noël" à l’Espace Watteau, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

- Des photographies de "la Magie des pages" à la salle François Mauriac, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071222c

 

Les quartiers fêtent Noël

 


 


 

Une cinquantaine de parents et d’enfants se sont réunis mercredi, dans le hall d’entrée du 1, allée Yves-Gandon, dans les Hauts-de-Murigny, pour fêter le Noël de l’association At’Hom (défense des locataires de l’Effort rémois).

Si l’espace manquait, l’ambiance était chaleureuse et la convivialité très forte.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


 


 

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l’union071222b

 

Les quartiers fêtent Noël

 

Les structures de Pays-de-France s’étaient associées pour offrir, ce mercredi, un bel après-midi de fête aux enfants du quartier.

Ils étaient plusieurs centaines à se réunir à l’espace Picards sur invitation de

- la Maison de quartier Pays-de-France (centre de loisirs 12/15 ans),

- des locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France »,

- du collectif « Croix-Rouge accueil »,

et des associations :

- « Promotion Pays-de-France »,

- « Femmes d’ici et d’ailleurs »,

- « MJC Croix-Rouge »

- et « Point rencontres ».

Au programme, animations, pâtisseries, friandises…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071222a

 

Des dessins pour illustrer le sol, élément vital

 

Les classes lauréates après une agréable matinée.

« Le sol, élément vivant, élément vital pour notre planète » ou « Si le sol m’était conté » : une piste de réflexion donnée aux écoliers qui ont visité en septembre dernier « La campagne à la ville » présentée par les Vitrines de Reims avec différents partenaires dont la FDSEA de la Marne.

Pour exprimer leur opinion sur ce thème, les élèves pouvaient participer au concours de dessins proposé, soit en collectif soit en individuel.

Dix classes ont été retenues pour la qualité et la pertinence de leur travail et elles ont été invitées le mardi 18 décembre au cinéma Gaumont place d’Erlon pour une matinée de projection, d’abord de dessins animés puis de leurs propres œuvres bien mises en valeur sur grand écran.

Les lauréats ont ensuite été récompensés par des jeux, livres et bons d’achats.

Le palmarès

Petite catégorie :

- 1e Grande section de maternelle lard,

- 2e CE1 de La Providence,

- 3e CE1 de Saint-Joseph,

- 4e CE1 de Thomas-Gousset,

- 5e CP de Galilée élémentaire

- et 6e CE1 du Sacré-Cœur.

Grande catégorie :

- 1e le CE2 et 2e le CM2 de Saint-Louis,

- 3e ex aequo le CE1 /CE2 de Ruisselet et le CM2 de Clairmarais.


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