Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge - 2008 - mai-juin.
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.
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1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
3. Objet des marchés :
Marché de travaux : mise en sécurité des lisses des garde-corps balcons. Tour du 60, avenue du Général-Eisenhower à Reims.
4. Nombre et consistance des lots : sans objet.
5. Délai d’exécution : 5 mois (non compris la période de préparation de un mois).
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du CMP (règlement de consultation).
8. Critères d’attribution : valeur technique, prix.
9. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
10. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de RÉIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
11. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDÉNNE. Tél. 03.26.48.62.30. Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de REIMS HABITAT. Tél. 03.26.48.62.32, fax : 03.26.48.43.40.
12. Date limite de remise des offres : vendredi 18 juillet à 17 heures.
13. Date d’envoi de l’avis à la publication : mercredi 25 juin 2008.
Cartes postales, quelques gribouilles de vacances… Un petit message amoureux… Pour les enfants de 6 à 8 ans…
mercredi 2 juillet à 11 heures.
Exposition des œuvres créées par les participants aux ateliers d’art postal animés par la plasticienne Dominick Boisjeol, ainsi que les cartes postales et le carnet de voyage « Arrêt dessin » réalisés par les usagers du bibliobus urbain lors des rencontres avec le dessinateur Dominique Cordonnier.
Du 5 juillet au 1er septembre.
Mercredi 9 juillet, la Compagnie Théarto présente Mail art : des colporteurs de courrier chuchotent des lettres à caractère poétique, engagé, nostalgique, humoristique, des lettres écrites par des anonymes des villes et des champs de 7 à 97 ans, signées par des auteurs célèbres, très célèbres ou moins célèbres, d’ici ou d’ailleurs. A 14 h 30, spectacle pour le jeune public, à partir de 6 ans. A 15 h 30, parcours lecture pour tous.
Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents, samedi 19 juillet à 9 h 30.
« Raphaël découvre la mer » : texte et dessins d’Étienne Bigot, pour enfants à partir de 4 ans, mercredi 23 juillet à 16 h 30. Médiathèque Croix-Rouge, rue Jean-Louis-Debar.
Jeudi vers 22 h 45, les policiers ont contrôlé un scooter leur paraissant suspect avenue du Général-Bonaparte.
Vérifications faites, le cyclo était volé depuis le 15 juin. 11 était monté par deux jeunes filles de 18 et 21 ans qui ont prétendu l’avoir découvert posé contre un banc, contact allumé. L’occasion faisant le larron, ou plutôt « la larronne », elles avaient décidé de le prendre pour faire un tour.
Les demoiselles sont prochainement convoquées au tribunal correctionnel pour recel (le ou les voleurs ne sont pas identifiés).
![]() Le Country club de Champagne a ouvert les festivités devant un public nombreux.
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Un public nombreux a pris part hier à la fête de l’hippodrome. Sans le savoir, les participants ont célébré un cru exceptionnel pour cet équipement rémois.
LE feu d’artifice a été tiré peu avant minuit. Mais c’est toute l’année 2008 qui constitue un feu d’artifice pour la société des courses de Reims, dont les compteurs sont tous au vert. Aussi, la fête de l’hippodrome s’est déroulée hier dans une ambiance extrêmement détendue pour les responsables autant que pour le public ou les concurrents des différentes courses.
« Il était une fois dans l’Ouest », « Billy the kid » : les deux premières courses de la soirée, réservées aux apprentis-drivers, donnaient le ton d’une fête placée sous la bannière étoilée. Dès l’ouverture des portes de l’hippodrome, un public nombreux et bon enfant s’est répandu sur le gazon, qui pour applaudir les danseurs du « Country-club de Cham pagne » ; qui pour faire son tour en sulky ou en calèche, ou encore s’essayer au rodéo mécanique. En fin de journée, un bœuf de 400 kg tourné à la broche a régalé tout le monde.
La fête se déroulait aussi à la table du président Gilles Jeziorsky. Car la première partie de la saison qui s’est achevée hier soir est très, très encourageante. Les chiffres en témoignent : en 2007, les paris sur les courses à caractère national avaient permis d’engranger 45 M€ ; en juin 2008, on en est déjà à 42 M€ et il reste deux grandes soirées de courses nationales. De plus, le rythme de 1.000 spectateurs par journée de courses est tenu.
La rentrée de septembre s’annonce déjà — avec quatre nocturnes pour les quatre samedis — dédiée à la gastronomie des villes de la région : Reims (6 septembre), Rethel (et le boudin blanc, le 13), Sainte-Ménehould (et le pied de cochon, le 20) et Epernay (champagne, le 27). Plus les rendez-vous du PMU.
J.-F.Scherpereel
Le collège Joliot-Curie fêtera et honorera ses élèves méritants mardi 1 juillet à 15 h 30 (2, rue Joliot-Curie).
L’Association Étoile Croix-du-Sud organise un tournoi de football le dimanche 6 juillet de 8 h 30 à 19 heures sur le terrain du 11, rue Raoul-Dufy.
Les équipes de 11 joueurs et 4 remplaçants, de plus de 18 ans, doivent s’inscrire avant vendredi 4 juillet au secrétariat 5, avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66 ou 06.17.25.67.85.).
Renseignements sur le site www.quartier-croix-rouge.info
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Il ne reste plus grand-chose de ce vélomoteur incendié dans un parking de la place Maurice-Utrillo).
Les pompiers furent appelés mardi soir pour un « feu de parking souterrain » place Maurice-Utrillo (secteur Croix-du-Sud).
Les gros moyens se sont déplacés mais l’incendie était moins important que prévu : il s’agissait d’un feu de cyclomoteur.
L’engin était probablement volé.
…
Le spectacle de fin d’année de la section « Danse rythmique, sportive et modern’ jazz » de l’association Croix-Rouge animation et promotion sera présenté dimanche 29 juin dans le théâtre de la Maison commune du Chemin-Vert, place du 11-Novembre, à 15 h 30.
Réservations au 03.26.06.39.54.
Les Quatre heures de natation de l‘association Croix-Rouge animation et promotion se dérouleront ce samedi 28 juin de 18 à 22 heures, piscine Louvois.
Renseignements au 03.26.06.39.54.
![]() Le nouveau projet avec une mosquée plus moderne.
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![]() Le président de l’AICCRR, Abdelkader Bagdhadi.
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En panne depuis plusieurs mois, le chantier de la mosquée d’Orgeval va repartir. Avec un nouveau projet. Demain, l’AICCRR organise une réunion pour en parler et récolter des fonds.
SI la première pierre de la mosquée d’Orgeval dessiné par le cabinet BL P Architectes de Reims a été posée en septembre 2004, force est de constater que depuis, le chantier n’a pas beaucoup bougé rue Adolphe-Laberte.
Les terrassements sont terminés. Point barre. Depuis, pour des raisons financières, la construction du centre cultuel n’est pas encore financée.
Au grand dam des musulmans toujours obligés de se retrouver dans la trop étroite mosquée organisée depuis 1994 dans des sous-sols d’un organisme logeur au 10, rue Charles-Roche. L’association islamique cultuelle et culturelle de Reims et de sa région mobilise pour faire avancer les choses. Son président Abdelkader Bagdhadi aux côtés de Nordin Mohammed s’explique.
« Nous avons un nouveau projet de mosquée, un bâtiment plus moderne qui a été redessiné par le cabinet BLP et que nous avons baptisé mosquée El Hidaya (NDLR : La guidée).
La partie cultuelle d’une surface de 1.236 m2 comprendra une salle de prières pouvant accueillir 1.200 hommes, une autre pour les femmes d’une capacité de 350 places. Il y aura des salles d’ablution et des espaces chaussures, une bibliothèque, trois salles de cours, un espace de lecture, une cuisine, des bureaux et un patio de 56 m2.
Dans un premier temps, il y aura 30 places de parking dont deux pour les handicapés. Plus tard sur un terrain de 1.314 m2, nous voulons construire un centre culturel de 670m2 avec deux salles polyvalentes, une salle multimédia, deux salles de cours etc. »
Sur un projet global de 1,4M€, l’association dispose déjà de 300.000 euros. Sur le court terme, elle est à la recherche de 200.000 euros pour commencer en 2010 les fondations et avoir un premier bloc fermé pour le culte. Restera encore 400.000€ à trouver pour terminer le centre cultuel avant de construire le centre culturel.
Les travaux devant être financés par les fidèles, il va sans dire que l’AICCRR a décidé de mobiliser pour recueillir des dons.
Demain dimanche, l ’AICCRR invite tous les musulmans à une journée de solidarité organisée de 10 à 19 heures à la salle François-Mauriac (quartier Croix-Rouge).
Au programme : une présentation vidéo du projet et de ses activités, une table ronde avec les imams de la ville. Sur place des stands : livres, cd, parfums etc. Dégustation gratuite de pâtisseries orientales et de boissons.
Sur les relations avec l’association de la mosquée et du centre islamique de Reims (Amcir) qui a aussi un projet de mosquée, mais à Sainte-Anne, Abdelkader Bagdhadi est très clair.
« L’Amcir est la plus ancienne association rémoise, c’est une institution. S’ils ont besoin d’un coup de main, on les soutient. Il y a de la place pour deux grandes mosquées à Reims, rien que pour des problèmes de distance. Contrairement à ce que beaucoup disent, il n’y a pas de clan. Quand une personne entre dans l’islam, on oublie sa nationalité. Il est musulman avant tout. »
Alain Moyat
Site Internet :www.aiccrr.fr
Une si longue attente
Si depuis 1963 l’accès au culte s’est un tout petit peu amélioré à Reims pour les musulmans, on ne peut que le constater : les projets de mosquée ont bien du mal à voir le jour.
En 2001, à l’initiative de Serge Kochman, la Ville propose un terrain de plus de 10.000 m2 pour que les musulmans y construisent une mosquée.
Des dissensions entre l’Amcir et d’autres associations aboutissent à la constitution d’un collectif musulman, sans l’Amcir. Et le temps passe. L’Amcir monte un projet dans le quartier Sainte-Anne et l’AICCRR le sien rue Laberte sur un terrain de 1.862 m2.
Un permis de construire pour la rue Laberte est déposé en avril 2003, accepté en juillet 2003. Un projet avec une mosquée de 756m2 et un centre culturel de 791m2. La Ville lui garantit la moitié d’un emprunt de 196.000 euros pour une première tranche de travaux évaluée à 434.137€. Le projet global était estimé à l’époque à 1,2M€. Le 7 octobre le chantier est suspendu. Faute de financement.
A.M.
![]() Une bonne pincée d’ambiance western avant les courses de chevaux habituelles.
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Ce samedi, la dernière réunion de courses à l’hippodrome avant la pause estivale sera agrémentée d’animations sur le thème de l’ouest américain. Pas besoin de colts.
« LES courses de chevaux, c’est un vrai spectacle ! Comme un match de foot ou une séance de cinéma. Et on peut très bien passer un bon moment à l’hippodrome sans jouer un centime ! » Cette conviction, c’est celle de Gilles Jeziorski, le président de la société des courses rémoises. Et comme tout responsable d’animations et de spectacles, il ambitionne de faire découvrir les siens au plus grand nombre.
C’est dans cet esprit que, ce samedi 28 juin, pour la dernière réunion hippique avant la pause estivale, des animations viendront s’ajouter aux courses de chevaux proprement dites. Ce n’est pas la première fois qu’un tel effort d’attractivité est fourni. Il y a deux ans, on avait choisi le thème de la Provence, l’an dernier celui du western ; et c’est lui que l’on reprend pour cette édition 2008. Il faut dire que le succès avait été au rendez-vous : « Nous avions enregistré plus de 3.000 entrées » se félicite le président, soit quasiment le triple d’une affluence normale. Alors, prêts pour « il était une fois, non pas dans l’ouest, mais sur l’hippodrome » ?
Ces animations thématiques débuteront dès 17 heures. Mais soyons honnêtes, ce ne sera pas toujours du Sergio Leone ni du Clint Eastwood : les baptêmes de sulky par exemple, ou les balades en calèches, que l’on proposera à cette occasion, n’ont pas grand-chose à voir avec l’attaque de la diligence. En revanche, un groupe de danse country et un orchestre de la même veine apporteront la touche américaine annoncée ; de même que la présence de quelques belles voitures typiques d’outre-Atlantique. Idem pour les démonstrations d’équitation à la mode du Far West, par la championne de France de la discipline, Anastasia Bienfait.
Tout ceci conduira tranquillement le public jusque vers 19 heures, heure à laquelle sera servi le dîner, à la mode américaine lui aussi, sous la forme d’un barbecue géant de bœuf à la broche. Ensuite, vers 20 heures, démarreront les courses hippiques habituelles (a priori les drivers ne porteront ni colt ni stenson), de trot attelé pour la plupart.
Et l’on terminera par un feu d’artifice, comme pour un 14 juillet avant l’heure !
Pour accéder à ces animations, il en coûtera (pour les 18 ans et plus) 4 ou 5 euros (la différence entre les deux tarifs, c’est que, si vous payez 5, on vous offre en plus de quoi faire un pari minimum, sur une course, soit 2 euros). Quant au prix de la participation au barbecue bovin géant, il sera de 5 euros.
Vous aurez constaté que bien que ce soit le thème du western, on ne paiera pas en dollars…
A.P.
Les amateurs de chevaux noteront également que ce même samedi 28 juin, l’association des Cavaliers la Chevauchée d’Aougny (dans les environs de Ville-en-Tardenois) organise sa fête, avec, à partir de 15 heures : visite des locaux, baptêmes gratuits à cheval ou à poney, et spectacle équestre à 17 heures. Renseignements au 03.26.91.61.88.
A signaler aussi la fête équestre organisée à l’école d’équitation des écuries Emilie Allart de Cernay-lès-Reims dimanche dès 10 heures : épreuves équifun, spectacles équestres, baptêmes à cheval et à poney.
N ° 1 0 4 - J U I N 2 0 0 8
COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION
Bouts du monde
le réseau des bibliothèques de Reims fait voyager son public du 1er juillet au 30 août 2008, à travers plusieurs expositions : Carnets de voyage, réalisés par cinq artistes bourlingueurs au gré des cinq continents - médiathèque Jean Falala.
Le 1er juillet à 19h30 :
projection-rencontre avec Sonia et Alexandre Poussin ;
Livres de voyage : découverte des plus anciens livres de voyage, de 1480 au XIXe siècle.
Vive l’art postal ! : médiathèque Croix Rouge ;
La bande dessinée part en voyage – bibliothèque Laon Zola ;
Vagabondages gourmands – bibliothèque Saint-Rémi ;
Cartes postales : bibliothèque Holden.
CULTURE : Expositions d’été : Passeurs d’images
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Passeurs d’Images » est une opération nationale à laquelle la Ville adhère depuis plusieurs années.
Elle succède à « Un été au ciné ». La programmation choisie par la Ville de Reims se veut dynamique, populaire tout en se prêtant à une projection en plein air.
L’idée est de créer un temps festif, convivial et familial autour de l’image.
Cet été la ville innove :
• Elle prolonge l’opération avec deux séances supplémentaires au mois d’août
• Elle alterne la projection de films entre grand (20x12m) et plus petit écran (10x5m) ; ces derniers permettent des séances plus intimistes et des solutions de repli en cas de pluie.
Conformément à la volonté de la municipalité d’ouvrir le Parc de Champagne au plus grand nombre, ce dernier accueille pour la première fois « Passeurs d’images ». Le lundi 7 juillet « Persépolis » sera projeté sur grand écran.
Les spectateurs sont d’ailleurs invités à venir pique-niquer au parc. Si le temps le permet, une belle soirée en perspective ! De plus, les TUR mettent en place des navettes. Trois bus seront mis à disposition du public de minuit à 1h du matin, avec un départ toutes les dix minutes du Parc de Champagne vers le Grand Théâtre.
À l’affiche :
lundi 7 juillet au Parc de Champagne à 22h30 : « Persépolis »
mercredi 9 juillet au Chemin Vert, place du 11 novembre à 22h30 : « Le fils de l’épicier »
mercredi 27 août à 22h à Croix Rouge, piste du stade de Géo André : « Mauvaise foi »
vendredi 29 août à 22h à Orgeval au stade Georges Hébert : « Dans les cordes ». _
SOCIAL : CHARTE D’INSERTION : Un tremplin pour l’emploi
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Le 29 juin 2006, la Ville de Reims et la Communauté d’agglomération ont signé avec trois organismes logeurs une charte locale d’insertion.
Son objectif ? Permettre aux demandeurs d’emploi des quartiers de travailler en priorité sur les chantiers dont ils font l’objet, lors d’opérations de renouvellement urbain.
Le Foyer Rémois, Reims Habitat et Plurihabitat- L’Effort Rémois se sont engagés auprès des collectivités, en partenariat avec l’ANRU* et l’ANPE, dans la réalisation de projets de rénovation urbaine d’envergure.
Paraphée il y a deux ans, la charte locale d’insertion dont ils sont signataires s’applique dans les quartiers Wilson, Croix- Rouge, Orgeval et Epinettes notamment. « Les opérations portent sur des chantiers de démolition et de reconstruction liées à l’habitat, souligne Philippe Dorkel, chef de projet insertion à la direction de la cohésion sociale et de la vie des quartiers. Chaque maître d’ouvrage impose aux entreprises qui interviennent de réserver 5 % au moins des heures travaillées, financées par l’ANRU, aux demandeurs d’emplois issus des quartiers. »
Premier exemple de ces opérations de renouvellement urbain, la démolition de la passerelle de la Croix du Sud dans le quartier Croix Rouge. Afin de sécuriser les travaux, l’entreprise Brasseur qui s’occupe du chantier va faire appel à un ou deux jeunes en s’adressant à la structure d’insertion par l’activité économique, Job’s 51. Son rôle : mettre en relation les personnes à la recherche d’un emploi et les sociétés en quête d’ouvriers. Ces opérations se déclinent au quotidien à Reims Métropole, car la charte locale d’insertion fait de ce principe une condition de réalisation du marché. Dans le quartier Wilson, en 2005, le Foyer Rémois a initié une grande opération pour démolir des barres et reconstruire un programme d’immeubles collectif.
Pour réaliser ces chantiers, pas moins de 50 jeunes ont été contactés. « Le secteur bâtiment de l’ANPE a fait le lien avec l’entreprise chargée de réaliser les travaux, reprend Philippe Dorkel. Peintres, carreleurs, électriciens, couvreurs, jardiniers paysagistes ont été sollicités. »
Dans le quartier Croix Rouge, 15 d’entre eux ont été recrutés pour préparer la démolition de la Tour Taittinger par Reims Habitat en 2007.
L’idée ? Dédensifier l’entrée du quartier. L’ANPE propose donc lors de chaque opération une liste de profils de candidats à l’entreprise qui choisit le personnel dont elle a besoin. Le recrutement peut aussi s’effectuer en quelques minutes sur le quartier, par le chef d’équipe. À Wilson d’ailleurs, deux jeunes, recrutés pour devenir grutiers – une spécialité difficile – ont été embauchés en CDI par la société. « C’est aussi un des objectifs de la charte, dans ces quartiers où le taux de chômage des jeunes est important : mettre les moins de 26 ans sur les rails d’un parcours professionnel en lien avec la Mission locale. » Les offres d’emploi sont accessibles aussi à tous les candidats intéressés. Aux Epinettes par exemple, la déconstruction d’une barre d’immeuble par Plurihabitat-L’Effort Rémois a nécessité le recrutement de 8 candidats, tandis qu’à Orgeval un autre chantier de démolition accueillera des équipes à partir de 2009.
*Agence nationale pour la rénovation urbaine
« Je suis heureux d’avoir des responsabilités »
Le bouche-à-oreille. C’est ce qui a permis à Anthony Balicki de décrocher son poste de surveillant de travaux sur les chantiers du tramway. Habitant l’Esplanade Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge, Anthony Balicki discute avec ses amis et entend dire qu’une entreprise cherche à recruter. « J’ai sauté sur l’occasion. J’étais inscrit dans une agence d’intérim ; l’ANPE m’a contacté pour me proposer de rencontrer le responsable de l’entreprise de bâtiment ERCT. Et j’ai signé mon CDD. »
Le jeune homme est fier d’avoir retrouvé un emploi, d’autant que sa mission demande un certain sens des responsabilités : « Je contrôle les ouvertures de gaz qui se trouvent sur les conduites lors des travaux sur le tramway. L’objectif est d’éviter les incidents sur les ouvrages », souligne-t-il.
Rien ne le prédestinait à un tel poste : dans une autre vie, il vendait des petites lithographies à domicile. Lors de son arrivée dans l’entreprise, il a donc bénéficié d’une formation d’une semaine avec son chef d’équipe, le temps de prendre ses marques.
C’est chose faite. « J’espère que mon CDD se transformera en CDI et que je pourrai me perfectionner dans mon métier », conclut-il.
Eau : Résultats d’analyses de l’eau distribuée sur l’agglomération
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Valeurs moyennes homogènes sur RM
Air : Résultats d’analyses de l’air
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Les conditions météorologiques clémentes du début du mois ont provoqué la formation d’ozone responsable d’une qualité de l’air moyenne lors de la première quinzaine.
À l’inverse, le temps mitigé de la seconde partie du mois a permis une bonne dispersion des polluants avec un air majoritairement de bonne qualité. _
L’UCAR et les commerçants du centre commercial des Hauts de Murigny organisent le dimanche 29 juin la brocante du quartier.
Celle-ci aura lieu sur la place Toulouse-Lautrec, l’allée Yves-Gandon et dans les jardins environnants.
![]() Trois écoles rémoises ont représenté la Marne à Saint-Dizier.
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Les jeunes sportifs de I’USEP des écoles Blanche-Cavarrot, Charpentier et Gallieni ont participé aux Usépiades, (foot, basket, band, rugby et athlétisme) à Saint-Dizier (Haute-Marne).
Aux côtés de leurs camarades d’Épernay et de Vitry-le-François, ils ont représenté la Marne lors d’une manifestation qui rassemblait, mercredi, les Usépiens de Champagne-Ardenne.
![]() Un final très applaudi.
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Grâce, volupté, beauté, élégance, magie ont été les maîtres mots du spectacle de danses orientales proposé à trois reprises par Houria, le week-end dernier au théâtre du Chemin-Vert.
Pour la septième année consécutive, Houria a réuni toutes ses élèves des centres Apollinaire, Clairmarais, Billard et de Witry-lès-Reims, soit quelque 150 élèves, de tous âges, pour organiser bénévolement un spectacle de fin d’année.
Cette année, les spectateurs ont pu vivre « le périlleux voyage de Tin Hinan » ou l’épopée d’une femme célèbre dans tout le pays berbère et qui après brimades et injures décide de partir vers un pays où la femme serait l’égal de l’homme… Comme chaque année, Houria n’hésite pas à aborder plusieurs styles de danses autres que le classique Raks Sharki et permet aussi bien aux néophytes qu’aux amateurs éclairés de découvrir un univers coloré aux multiples facettes.
Une nouveauté pour ce spectacle : la participation de Moussa Belkacemi, percussionniste professionnel qui accompagnait à la darbouka le travail d’élèves ayant suivi avec lui des stages dans le courant de l’année.
A noter également la beauté des costumes réalisés par Isabelle Hatat, Aylin Zengin, Vanessa Dubois Suisse par ailleurs danseuses passionnées.
L’hebdo du vendredi- n° 84 - 080626b
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 8 4 - Semaine du 27 juin au 03 juillet 2008
À vos marques, prêts…
![]() Stéphane Diagana, président de la Ligue Nationale d’Athlétisme était de passage à Reims pour présenter l’un des épisodes du Lagardère Athlé Tour.
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Le 8 juillet prochain, Reims accueillera le quatrième volet du Lagardère Athlé Tour. L’occasion pour les Rémois d’aller à la rencontre des stars hexagonales de la discipline.
Pour la deuxième année consécutive, le meeting d’athlétisme de la Ville de Reims accueille un épisode du Lagardère Athlé Tour qui en comporte cinq au total. À l’occasion de ce jour de fête de l’athlétisme français, de nombreux sportifs de renom seront au rendez-vous comme le souligne Christine Michel, ajointe au maire, chargée des sports : « nous avons voulu offrir cette année encore, un spectacle gratuit de haut niveau avec la présence notamment de nos pointures locales, à l’image de Yohann Diniz ou d’Eunice Barber. Ce meeting doit rester une rencontre populaire où chacun pourra découvrir le monde de l’athlétisme ». Toujours soucieuse d’associer les quartiers et la jeunesse à ce meeting, la municipalité organise en parallèle fin juin-début juillet, trois meetings jeunes en direction de trois quartiers : Châtillons, Croix Rouge et Orgeval. Un partenariat entre la Ville et l’athlétisme qui se poursuivra dans le cadre de Reims Vital Ado avec la création d’un livre d’or sur Internet où les jeunes Rémois pourront envoyer leurs messages d’encouragement aux athlètes, alors sur les pistes de Pékin.
L’édition 2008 du meeting servira, en cette année olympique, de minima pour une grande majorité des leaders de l’athlétisme français.
Le prestige du circuit Lagardère Athlé Tour assure la présence des meilleurs athlètes français.
Outre Eunice Barber et Yohann Diniz, sont attendus cette année Manuela Montebrun (marteau), Ladji Doucouré (110 mètres haies), Muriel Hurtis (100 m), Marie Collonvillé (hauteur) ou encore Ronald Pognon (100 mètres).
Accompagné d’un DJ et orchestré par un animateur vedette, dont le nom n’a pas été dévoilé, le meeting de Reims devient alors un réel spectacle sportif, avec stars et musique. Président de la Ligue Nationale d’Athlétisme, Stéphane Diagana jette un regard passionné et constructif sur le meeting rémois : « J’ai de très bons souvenirs de ce meeting que j’allais régulièrement voir dans les années 80. L’idéal aujourd’hui, c’est de fixer un maximum de repères, de dates, pour informer au mieux le public et impliquer davantage de personnes dans la discipline. Le rôle des Jeux Olympiques est très important : on y transmet les valeurs de respect de l’adversaire, du goût de l’effort ou du dépassement de soi. C’est par l’intermédiaire de rassemblement de ce genre que tout commence… »
Aymeric Henniaux
Meeting d’athlétisme de Reims, le 8 juillet à partir de 19h au stade Georges Hébert
« L’en-vert de Reims, chroniques poétiques des jardins familiaux »
Jardins familiaux du Bois d’Amour et des Bords de Vesle.
Alignements rigoureux des parcelles du quartier Trois Fontaines, Bons Malades, jardins de la Roseraie, du Chemin des Pensionnés.
Potagers de Croix du Sud, du Maroc ou de Quartiers de France, du Bois de l’Aumône, et des Trois Rivières…Les jardins familiaux de Reims respirent la ville et la font respirer.
Après "Reims entre les vignes", ce livre sera publié au mois d’octobre prochain aux éditions de l’Effervescence, 64 rue de Sillery à Reims
![]() Une forte participation au gymnase François-Legros.
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L’association sportive Croix-Rouge, section judo, a présenté son gala de fin de saison au gymnase François-Legros. Les démonstrations de judo et jiujitsu ont provoqué l’admiration de la foule de parents, d’amis et de voisins.
Flavie et Mickael, les entraîneurs, en ont profité pour récompenser les compétiteurs ainsi que les personnes qui, au fil de la saison, ont été remarquées pour leur comportement sur le tapis, mais aussi pour leur courage et leur attitude respectueuse.
Rendez-vous est pris le 9 septembre pour la reprise des cours.
Contact : AS Croix- Rouge 06.21.69.79.70. ou 03.26.08.10.64.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080625g
MARCHE DE TRAVAUX
1. ACHETEUR PUBLIC : MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE - RECTORAT DE L’ACADÉMIE DE REIMS, représenté par Monsieur le Recteur.
2. CONDUCTEUR D’OPÉRATION : DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE L’ÉQUIPEMENT DE LA MARNE (D.D.E.), Unité Territoriale de REIMS (U.T.R.).
3. LIEU(X) D’EXECUTION DES PRESTATIONS : Campus Universitaire Croix Rouge, 57, 57 bis rue Pierre Taittinger à REIMS.
NATURE ET ETENDUE DES TRAVAUX :
Mise en place pur les fenêtres vitrées de grillage de serrurier ;
Mise en place pour les portes vitrées de plaque pleine métallique (15/101.
4. OBJET DE LA CONSULTATION : Mise en sécurité des bâtiments 6,7 et 8 sur le Campus Universitaire Croix-Rouge :
Marché de travaux : Serrurerie ;
Type de marché de travaux : Exécution.
5. DATE DES TRAVAUX : Les travaux commenceront en juillet 2008 pour une durée de 1 mois.
6. MODALITÉS ESSENTIELLES DE FINANCEMENT ET DE PAIEMENT :
Financement : 50 % État + 50 % CONSEIL RÉGIONAL ;
Délai de paiement : 30 jours, paiement sur facture à la fin des travaux.
7. NATURE DE L’ATTRIBUTAIRE : Le marché sera conclu :
Soit avec un prestataire unique ;
Soit avec des prestataires groupés solidaires.
Chaque candidat ne pourra remettre, pour la présente consultation, qu’une seule offre en agissant en qualité :
Soit de candidat individuel ;
Soit de membre d’un groupement.
Les candidatures et offres des candidats seront entièrement rédigées en langue française ainsi que les documents de présentation associés.
8. SÉLECTION : Lors de la sélection des candidatures, ne seront pas admises :
Les candidatures qui ne sont pas recevables en application des articles 43, 44 et 47 du code des marchés publics (C.M.P.) ; -
Les candidatures qui ne présentent pas des garanties techniques et financières suffisantes.
9. CRITÈRES DE CHOIX DE L’OFFRE : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction du prix des prestations.
10. MODE DE PASSATION : Marché à procédure adaptée, passé en application de l’article 28 du code des marchés publics (C.M.P).
11. ADRESSE A LAQUELLE LES DOCUMENT PEUVENT ETRE OBTENUS : RECTORAT DE L’ACADÉMIE DE REIMS, Service de l’IRE, 1 rue Navier - 51082 REIMS CEDEX,
correspondant : M. LANGLET. (Tél. : 03.26.05.20.43 - Fax : 03.26.05.20.20) - Courriel : ce.ire@ac-reims.fr
Les dossiers seront envoyés par La Poste ou remis sur place après demande préalable par fax ou par courriel.
12. Les dossiers devront être adressés par pli recommandé avec avis de réception postal, ou remis contre récépissé, à l’adresse ci-dessus.
13. ADRESSE A LAQUELLE LES RENSEIGNEMENTS D’ORDRE ADMINISTRATIF OU TECHNIQUE PEUVENT ETRE OBTENUS : DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L’EQUIPEMENT, Unité Territoriale de REIMS (U.T.R.), Ingénierie d’Appui Territcriale (IAT), 28 boulevard Lundy - 51084 REIMS CEDEX, correspondant : M. GEANT. (Tél. : 03.26.05.66.64 - Fax : 03.26.47.52.41) - Courriel : eric.geant@develcppement-durable.gcuv.fr
14. DATE D’ENVOI DE LAVIS A LA PUBLICATION : 17 juin 2008.
15. DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES OFFRES : 8 juillet 2008, à 11 h 30.
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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080625f
Suivant acte reçu par Maître David MENNETRET, Notaire associé à REIMS, le 6 juin 2008, enregistré à REIMS NORD le 11 juin 2008, bordereau n° 2008/644, case n` 1, il a été constitué une société dont les caractéristiques sont les suivantes :
DÉNOMINATION SOCIALE : AVENIR FACADES.
FORME : Société à responsabilité limitée.
CAPITAL SOCIAL : 3.000,00 €.
SIEGE SOCIAL : REIMS (51100), 1 Groupe Eisenhower.
OBJET SOCIAL : La société a pour objet, en France et à l’étranger : Ravalement de façades, tous corps d’état, pose de pierres, briques, carrelages, neuf et rénovation. Et généralement, toutes opérations financières, commerciales, industrielles, mobilières et immobilières, pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet ci-dessus ou à tous objets similaires ou connexes, de nature à favoriser son extension ou son développement.
DURÉE : 99 ans à compter de l’immatriculation de la société au R.C.S.
GERANT : Monsieur Manuel MATOSO OLIVEIRA. demeurant à REIMS (51100), 1 Groupe Eisenhower. Le gérant est nommé sans limitation de durée.
PARTS SOCIALES : Existence d’une clause d’agrément.
ORGANE HABILITE A STATUER SUR L’AGREMENT : Assemblée des associés.
R.C.S. : La société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS.
Pour avis et mention : David MENNETRET.
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![]() Des lycéens très fiers de leurs réalisations.
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Un film et un CD deux titres. Une trentaine de lycéens du dispositif Damier de la Croix-Cordier à Tinqueux et Gustave-Eiffel de Reims ont réalisé ces deux projets au cours de l’année scolaire.
« ON est tous fiers ! » Une trentaine de lycéens du dispositif Damier (dispositif pour l’accueil, module pour l’intégration et la remobilisation) des lycées la Croix-Cordier (Tinqueux) et Gustave-Eiffel viennent de réaliser un court-métrage et un CD deux titres, de A à Z.
Le projet est né à la rentrée, en septembre dernier, d’une équipe d’enseignants et coordonnateurs des deux établissements : Séverine Badré, Hélène Ginestet, Xavier Buchs, Ivan Otero (professeur de Français), et Thierry Farias de l’association Ethnic’s.
Les lycéens ont décidé de réaliser leur court-métrage autour des émotions. « Notre film s’appelle « Faim d’émotions », » racontent Mélissa et Pauline. « C’est l’histoire de quelqu’un qui en touchant les autres, absorbe leurs émotions. »
Le petit film de moins de cinq minutes, a été présenté la semaine dernière lors du festival « Vidéo Action » de Châlons-en-Champagne.
La municipalité, les familles des lycéens et les partenaires sont invités à le visionner le 27 juin, à 10 heures, à la maison de quartier Croix-Rouge (Château d’eau).
À Châlons-en-Champagne, le film a reçu le « prix de l’encouragement » et les lycéens n’en sont pas peu fiers. D’autant, racontent-ils, que « c’était difficile. Certains ont fait les acteurs, d’autre ont tourné. On s’est rendu compte que les gens qui verraient le film ne comprendraient pas tout, alors il a fallu recommencer, et encore recommencer. » L’effort valait le déplacement et le prix châlonnais en est la preuve.
Les lycéens de Gustave-Eiffel ont, quant à eux, travaillé sur l’écriture de deux titres de rap et de slam. Le premier chanté par toute la classe, le deuxième par le trio Éric, Alex et Thierry. « C’est sur la vie du quartier, » raconte une lycéenne. « On a voulu montrer aux gens qu’il n’y a pas que les incendies ou les dégradations ».
Le refrain de leur chanson interroge : « Mais pourquoi tant de fausses idées, ma cité est un rêve sombre, dur à dessiner. Mais pourquoi tant de préjugés, ma cité a une âme, est-ce à vous de la juger ? ».
Les trois jeunes rappeurs - Éric Alex et Thierry - ont quant à eux décidé d’évoquer leur vision du système scolaire. « Je suis celui que l’on qualifie de difficile », dit la chanson, « celui qui fait des graffitis dans tous les domiciles. J’ai fait 10.000 bahuts. Dans ma tête, j’étais déjà foutu ».
Des paroles parfois dures pour le système, le regard des autres, les étiquettes dont on les affuble régulièrement, les relations avec les profs « tendues souvent »…
Les deux projets seront présentés, en même temps, aux familles et à la municipalité de Reims, à la maison de quartier Croix-Rouge.
Gageons que les lycéens ne bouderont pas leur plaisir.
Patricia Buffet
![]() Catherine Pierrejean anime les ateliers contes.
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Comme chaque année à la même période, Catherine Pierrejean, coordinatrice « contes » de la Maison de quartier Croix-Rouge, propose les Rencontres en contes, en partenariat avec l’équipe de la Zone d’éducation prioritaire Croix-Rouge et l’association Étoile Croix-du-Sud.
Jusqu’au vendredi 27 juin, de nombreuses représentations seront offertes aux élèves des écoles Blanche-Cavarrot, Provençaux, Gilberte-Droit, Galilée, Joliot-Curie, Hippodrome et de l’Institut Michel-Fandre, mais aussi aux enfants du Service municipal d’accueil (Sma), des « accueils loisirs » et au public de la médiathèque Croix-Rouge, autant d’occasions pour les jeunes acteurs de présenter leur travail de l’année à leurs petits camarades.
Renseignements auprès de Catherine Pierrejean, au 03.26.86.10.71.
![]() Si toutes les délibérations du conseil ont été adoptées à l’unanimité, l’opposition a fait feu de tout bois pour en savoir plus sur de nombreux sujets, lundi soir.Pas d’arceau pour accrocher son vélo devant la mairie et aller écouter les débats des élus… Il en faut plus pour arrêter Patrice Perret !
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FAUTE de pouvoir discuter des premières orientations budgétaires de la nouvelle équipe municipale qui a reporté à septembre l’examen du budget supplémentaire, l’opposition a littéralement bombardé de questions la maire Adeline Hazan lundi soir.
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« À propos des maisons de quartier menacées suite à la problématique de la fin des contrats aidés, où en est le projet de table ronde avec le préfet ? » a demandé Franck Noël (MoDem).
Pas de nouvelle a répondu Adeline Hazan. « On ne pourra pas pallier complètement aux suppressions de postes compte tenu de la situation financière de la Ville. »
Adjointe en charge du dossier, Pascale Martin a remis chacun devant ses responsabilités : « L’inconscience des structures qui ont appuyé les activités sur ce genre d’emploi, le manque de vigilance de la Ville et les nouvelles dispositions prises par l’État… La Ville ne peut pas se substituer immédiatement. L’association a déployé une partie du personnel. Il va y avoir du bénévolat et plus de vigilance de la Ville. »
Kim Anceaux Duntze (UMP) s’est inquiété des modalités d’accueil à 7 h 30 dans les écoles pour la prochaine rentrée scolaire. « Les conseils d’école sont assez sceptiques sur le bon fonctionnement de cet accueil. Il apparaît assez difficile d’accueillir sereinement des enfants d’âges différents (de 2 à 12 ans) dans les locaux de la maternelle. Les Atsem appréhendent leurs nouvelles fonctions, notamment dans des établissements sensibles. »
La maire a répondu qu’une concertation a été menée, que les parents ont reçu un courrier et que la Ville souhaitait que ce ne soient pas les mêmes enfants qui restent de 7 h 30 à 17 h 45. « Il n’y aura pas de création de poste. » Jacques Meyer, adjoint, a précisé que l’accueil se ferait dans des salles distinctes. « Les personnels ville iront jusqu’à l’école primaire pour accompagner les enfants jusqu’à leur classe à l’heure. » Et de rappeler que le personnel a un CAP petite enfance.
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À suivre.
Alain Moyat
![]() L’école de tennis sur les courts de Géo-André.
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L’école de tennis du club Géo-André a remis les « balles » à ses élèves.
Balle blanche : Maxime et Roxanne George, Maélis Laine, Nina Thierry.
Jaune : Axelle Biéri, Basile Gra¬pard, Mélinda Laventure.
Orange : Flavian et Jocelyn Camus, Christopher Drouot, Hugo Feneuil, Tristan Fleury, A. Gorce, Perrine Ravou.
Verte : Jules Buirette, Mathis Marc. Rouge : Clémentine Belair, A. Jacques, Marie Schmitt.
Lundi vers 22 h 30, un homme a été légèrement blessé d’un coup de couteau au petit doigt lors d’une rixe place Georges-Braque.
La plaie ne fait que deux centimètres de long.
L’agresseur avait pris la fuite à l’arrivée des pompiers et de la police.
![]() Le futur siège du Foyer rémois pensé comme une vitrine des technologies du développement durable.
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Plan d’investissement de 630 millions et nouveau siège social sur fonds de développement durable… Le Foyer rémois se pose en acteur économique.
« LE Foyer rémois, un acteur majeur de la croissance régionale ». Le ton est donné. Président du comité du directoire, Christophe Villers entend bien que la SA de HLM « soit aussi regardée comme un donneur d’ordres important ». Avis au secteur du bâtiment.
Le discours tranche avec l’image ancestrale du plus ancien bailleur social né en… 1912. Il prend du poids dès lors que Christophe Villers annonce, sur le ton d’un grand patron du privé, 630 millions d’euros d’investissements sur les dix prochaines années.
A ce prix-là, le Foyer rémois va se payer la construction de 300 logements neufs, et du rachat de patrimoine au rythme de près de 400 unités livrables chaque année. La commande comprend également de la réhabilitation de patrimoine ancien pour 25 millions, de la rénovation dans des quartiers (performance énergétique) pour 182 millions. Dont 132 millions financés par le Foyer rémois qui peut attendre des retombées du Grenelle de l’environnement.
Le Foyer rémois va également investir dans de nouveaux procédés de construction de très haute qualité environnementale, et s’engager dans des démarches de certification. Après le qualibail (service client) et le label Habitat senior services, place à la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) synonyme « d’engagement solidaire et responsable » de l’entreprise.
Cerise sur le gâteau d’anniversaire pour un (bientôt) centenaire, le bailleur de la rue Lanson va se faire construire un nouveau siège social. A quelques encablures en contrebas de la rue. « Le site accueillera également plus de 150 logements en location et en accession », ajoute Christophe Villers.
Le nouveau bâtiment de verre présentera des innovations du dernier cri en matière de développement durable : très faible consommation d’énergie globale à 32kWh/m2/an quand un bâtiment à basse consommation affiche 50 kWh/m2. Les émissions de CO2 seront contenues au prix de toute une batterie d’équipements. De la pompe à chaleur par géothermie à la toiture végétalisée, en passant par du triple vitrage, la régulation du rayonnement solaire, la récupération des eaux de pluie, etc.
Depuis les Cités du « Chemin vert » à Reims, le Foyer rémois n’a cessé de cultiver une image d’innovation. Avec un premier bâtiment « passif » sans consommation d’énergie au Petit Bétheny. Livrable fin 2009, il offrira à la location 13 logements moyennant des factures de chauffage de… 5 euros par mois.
La société prend ainsi le tournant du développement durable, sur fond de règles nouvelles en matière de politique de loyers et de conventionnement, de baisse progressive des subventions de l’Etat, et de retombées probables du rapport Attali.
Le Foyer doit aussi anticiper sur une baisse annoncée de la démographie régionale. Et d’un possible départ des militaires de la Base aérienne 112. « Le taux de vacance de nos logements n’est que de 2 % ». relève Christophe Villers. « Et la taille des familles se réduit ». Ce qui suppose davantage de logements moins grands.
Le Foyer rémois veut aussi miser sur le Pôle industries agro-ressources, et un rayonnement universitaire pour lequel le Foyer offre déjà 500 logements.
Dominique Herbemont
« Le logement pour tous »
Avec l’Effort rémois et Reims habitat, le Foyer est un des trois grands bailleurs sociaux. La société compte plus de 15.400 logements en location, dont 12.000 sur Reims Métropole, et 3.000 logements répartis dans la Marne, la Haute-Marne et l’Aisne.
Son slogan « Le logement pour tous » est censé répondre à une offre couvrant près de 80 % des besoins de la population. Depuis « La maison de la petite enfance », ses missions se sont diversifiées.
L’Effort emploie plus de 260 salariés au sein d’un groupe de 300 personnes, pour un chiffre d’affaires de plus de 70 millions d’euros. Au sein de SAS Global Habitat, actionnaire de référence, on trouve plusieurs banques.
![]() Jeeva, 14 ans et 1,83 m de respect et de gentillesse.
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Arrivé il y deux ans et demi du Sri Lanka Jeeva, 14 ans n’a mis que huit mois à apprendre le français. Il veut devenir ingénieur informatique
Lorsque Jeeva entre dans la pièce, on lève les yeux, très haut d’abord, puis on regarde autour de lui en se demandant quand le véritable élève de 14 ans va apparaître. Mais non, le petit collégien méritant, c’est bien lui ! 1,83 m de timidité et de retenue s’assoit sans dire un mot.
Ayant fui la guerre civile au Sri Lanka, Jeeva débarque en France avec sa mère il y a deux ans et intègre le collège Joliot-Curie. Ne sachant pas le moindre mot de français, il ne mettra que huit mois pour maîtriser les rouages de la langue. Il adore la science de la vie et de la terre et l’histoire, excelle (forcément) en anglais et dans bon nombre d’autres matières. Mais lorsqu’il s’agit de parler de lui, le géant devient fourmi et marmonne dans une moustache qu’il n’a pas encore.
Son professeur d’éducation physique s’exprime pour lui : « C’est un garçon à l’écoute, résonné et respectueux […] un régal pour un prof », avant de rajouter : « C’est 30 Jeeva que je voudrais ! ».
L’avalanche de louanges ne rend pas notre élève loquace. Jeeva confie toutefois aimer le sport. Le rugby bien sûr. Et là, on souhaite vivement à ses adversaires qu’il soit aussi souriant et courtois sur le terrain qu’il l’est dans la vie. Sinon il passe beaucoup de temps sur son ordinateur, dans l’espoir de devenir ingénieur en informatique. Il se goinfre de purée (son plat préféré) et à l’approche des vacances, en jeune garçon attentionné, il apprend à son tour à sa maman à parler la langue française.
Demain : Paul-Fort, les drôles de dames.
![]() Habitants et enfants ont habillé les immeubles à détruire de tags poétiques.
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Patrick Baudet, directeur général de Reims habitat, a donné des précisions sur la destruction des immeubles des 25 à 31 cour Eisenhower : « Nous allons lancer les appels d’offres, puis il y aura une première tranche de travaux de dévoiement des canalisations, tuyauteries et conduits divers. Ensuite, ce sera l’opération déconstruction des immeubles : on enlèvera tout ce qui peut l’être, portes, fenêtres, radiateurs, sanitaires,… avant le final, la destruction par grignotage, sans explosion. Il y aura certes du bruit mais, nous l’espérons, pas trop de poussière. » Tout devrait être terminé fin 2008.
Sur l’espace ainsi libéré, une voirie pourrait être créée pour aérer et décloisonner le secteur en reliant la rue du docteur Billard à l’avenue du général Eisenhower.
A ce sujet, Philippe Bréjard, directeur de la location et proximité, précise que l’avenir de cet espace sera abordé dans une réflexion avec les locataires : « La mise en place d’une voirie pourrait être une solution, c’est l’idée proposée par Reims habitat, mais pas question de l’imposer ! »
![]() Elham Kouch assure l’accueil des familles.
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Marie-Élisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge rappelle l’ouverture officielle d’un Point Info Famille : « Nous avons obtenu la labellisation et nous pouvons maintenant apporter toutes les informations dont les familles ont besoin ».
Les missions du Point Info Famille sont l’accueil, l’information et l’orientation des familles dans tous les domaines, de la naissance à la prise en charge des ascendants, en lien et avec l’appui de l’espace Famille-Conseil de la Caisse d’allocations familiales.
C’est Elham Kouch, qui est déjà animatrice Familles sur le secteur Pays-de-France, qui assure cet accueil dans les locaux de l’antenne mairie au 1, rue Joliot-Curie le lundi et le vendredi de 14 à 16 heures et le jeudi de 9 à 11 heures.
Les Quatre heures de natation de l‘association Croix-Rouge animation et promotion se dérouleront samedi 28 juin de 18 à 22 heures, à la piscine Louvois.
« Les 295 adhérents de la sec-don natation, ainsi que tous ceux des autres sections de l’Acrap, sont invités à participer à cette manifestation en effectuant des relais de 50 mètres, sans limite de temps, afin d’augmenter la distance réalisée en 2007 » explique Jean-Pierre Genesseau, président de I’Acrap.
Une rencontre inter écoles aura également lieu comme chaque année.
Secrétariat de I’Acrap, 11 avenue du Président-Kennedy (03.26.06.39.54.).
![]() L’averse n’a pas terni la joie de la centaine d’enfants présents.
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« C’est la première fois que la fête de fin d’année de l’Usep se déroule dans ce lieu mythique qu’est le stade Delaune » déclare avec fierté la présidente du comité rémois Françoise Cloux.
La réception prévue jeudi a dû attendre que -une surprise !- les enfants, par autorisation exceptionnelle, aient pu fouler la pelouse, fous de joie et tout excités, malgré l’averse diluvienne qui est tombée à cet instant !
« Cette fête, c’est pour mettre à l’honneur les enfants et les enseignants des écoles élémentaires de Reims qui toute l’année pratiquent des activités sportives au sein de l’Usep. » Une coupe, un ballon de basket et un ballon de hand ont été remis en cadeau à chaque école.
Dans le cadre du « Savoir être supporter », les enfants de l’école Mazarin ont monté avec Mme Cloux une pièce de théâtre « Supporters ».
Les élèves de l’école Ravel avaient composé une chanson « rap ».
Les enfants de Blanche-Cavarrot ont lu des textes théâtralisés : « Un texte sur l’intolérance, le racisme, ce qu’on peut voir dans les stades et contre lequel nous luttons » précise leur instituteur Eric Nigon.
L’enthousiasme des jeunes interprètes a été très applaudi. « A travers ces saynètes, vous avez su montrer comment être supporter. Ce qu’il va falloir mettre en œuvre régulièrement, pendant et en dehors des matchs » a déclaré Grégoire Pastres, conseiller du sport à la DRDJS. « L’an prochain verra l’Usep fêter ses 70 ans » a conclu la présidente.
Comme chaque année, Reims et Épernay s’associent pour proposer aux jeunes de participer à un Raid aventure ados.
Cette année, le départ sera donné le jeudi 10 juillet sur le parvis de la cathédrale et les équipes franchiront la ligne d’arrivée le samedi 12 juillet à Épernay.
Les équipes seront composées de 3 jeunes âgés de 13 à 17 ans, accompagnées d’un adulte.
L’encadrement est assuré par des éducateurs Reims et Épernay.
Les jeunes peuvent s’inscrire librement ou par le biais des maisons de quartier, des clubs sportifs, du centre de loisirs jeunesse ou de Reims Vital Ado.
Renseignements : Tél. 03.26.79.03.77.
![]() Quatre séances sont proposées, deux en juillet, deux en août.
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Vous avez envie de passer un bon moment cet été en plein air devant un film ? L’opération « Passeurs d’images » est reconduite cette année à Reims. Elle se déroulera en juillet (les 7 et 9) mais aussi pour la première fois en août (les 27 et 29). L’entrée est gratuite.
Lundi 7 juillet au parc de Champagne à 22 h 30 : « Persépolis », film de Marjane Satrapi, Prix du Jury à Cannes en 2007. (Possibilité de venir pique-niquer à partir de 19 heures. Navettes gratuites toutes les 10 minutes pour revenir jusqu’au Grand Théâtre de minuit à une heure du matin).
Mercredi 9 juillet au Chemin-Vert, place du 11-Novembre à 22 h 30 « Le fils de l’épicier », d’Eric Guirado avec Nicolas Cazalé, Clotilde Hesme (en cas de pluie, repli salle du Chemin-Vert).
Le mercredi 27 août à 22 heures à Croix Rouge, piste du stade de Géo-André « Mauvaise foi », de Roschdy Zem avec Roschdy Zem et Cécile de France (en cas de pluie, repli au gymnase Géo-André).
Le vendredi 29 août à 22 heures à Orgeval au stade Georges-Hébert, « Dans les cordes » de Magaly Richard-Serrano avec Daniel Auteil et Maria de Medeiros.
Cette année la projection de films alternera entre grand (20x12m) et plus petit écran (10x5m) ; ces derniers permettent des séances plus intimistes et des solutions de repli en cas de pluie.
Plusieurs animations sont proposées aux familles pendant les vacances d’été dans le cadre de la mission « loisirs de proxi¬mité » de la Maison de quartier Croix-Rouge, avec en particulier des sorties à la journée et des week-ends familles.
Samedi 28 juin, une sortie adultes et familles est organisée au parc Zig-Zag, à Val-de-Vesle (48 places).
Samedi 5 et dimanche 6 juillet, un week-end est proposé à Fort-Mahon en pension complète.
Samedi 19 juillet, une sortie pour les familles est organisée au lac des Vieilles Forges dans les Ardennes (48 places).
Samedi 2 et dimanche 3 août, un autre week-end est prévu au lac du Der, à la ferme du Bocage.
D’autres animations encore sont proposées. Pour tout ren¬seignement,
Contacter Élham Kouch, animatrice famille à l’Éspace Pays-de¬France, 1 allée des Picards (Tél. 03.26.86.10.71.).
L’équipe de la Maison de quartier Croix-Rouge dressera le bilan du Festival ce mardi 24 juin à 18 h 30, au centre culturel du CROUS.
![]() Le public toujours aussi nombreux.
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Hier soir, au cours de la réunion de conseil municipal, après 100 jours de pouvoir, la maire Adeline Hazan a dû remettre les pendules à l’heure face à une opposition très curieuse.
ATTENDUE au coin du bois hier soir par l’opposition après 100 jours de gouvernance, la maire Adeline Hazan, épaulée par quelques adjoints a dû répondre à mille et une questions. Avec le sourire. L’examen du compte administratif 2007 - qui n’a pas été suivi du traditionnel budget supplémentaire compte tenu de la situation « préoccupante » de la ville - a servi de cadre aux premières interventions.
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Culture
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Cinéma de plein air : Si le temps le permet, des séances gratuites de cinéma seront organisées en plein air le 7 juillet au Parc de Champagne, le 9 au Chemin Vert, le 27 août à Croix-Rouge et le 29 au stade Georges-Hébert. Pour cela, l’association organisatrice Télé centre Bernon recevra une subvention de 8.400 €.
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A.M.
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Sur le terrain, les poubelles continuent de brûler. Un conteneur a pris feu rue Charles-Roche dimanche à 22 heures, puis un autre à 2 heures du matin place Auguste-Rodin.
En fin de nuit, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré au 7, allée Edgar-Degas.
Vers 17 heures hier après-midi, des papiers ont été enflammés rue des Auvergnats.
![]() Petits collégiens deviendront grands reporters.
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A quelques jours de la fin des classes, nous présentons le portrait de collégiens qui se sont distingués dans leurs établissements. Premiers de la série : ceux de Georges-Braque.
Suite à la Semaine de la presse et des médias à l’école, Nicolas, Julia et Romane, 13 ans, ont remporté le 1er prix du reportage radio.
Sur le thème « Etre un jeune citoyen en Europe », les reporters en herbe ont choisi un sujet sur la faune et la flore, l’environnement et l’écologie.
Les trois adeptes du « micro, photo, stylo » sont donc passés par le recueil d’informations, obtenues dans les magazines et sur Internet, puis, quelques interviews plus tard, l’enregistrement était fait.
Plutôt à l’aise face aux micros, c’est surtout le travail d’investigation qui leur a plu : « C’est une expérience et on apprend à se connaître », indique Romane. Journalistes engagés, ils sont à présent incollables sur tout ce qui concerne le compostage et le tri sélectif et le pratique désormais au quotidien.
Si Nicolas, enfant, avait déjà l’habitude de raconter des histoires à son entourage, Romane pratique la danse, le théâtre et aime la lecture, Julia elle, s’adonne plus volontiers à des passions de « garçons » comme le dessin (tags) ou les voitures, mais reconnaît aimer la photographie. Quant à leur avenir, ils se sont proposés pour travailler à l’union. La relève est assurée !
Demain : Joliot-Curie, Jeeva le géant méritant
Yves Pringault, directeur, et toute I ‘équipe de la maison de quartier Croix-Rouge dresseront le bilan du festival « Croix-Rouge s’affiche 2008 » demain mardi 24 juin à 18 h 30, au centre culturel du CROUS, rue de Rilly-la-Montagne.
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Après leurs bons résultats aux championnats de la Marne, les jeunes du Tennis-club Géo-André ont récidivé lors des championnats de Ligue.
11 ans : championne, Maëva Spocner.
13/14 ans : abandon sur blessure de Jérémy Auroux.
17/18 ans : championne, Célia Respaut.
15/16 ans : demi-finaliste Claire-Hélène Génin.
15/16 ans : vice-champion, Valérian Bouchaud.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus à différentes reprises, au cours de la nuit de samedi à dimanche pour des feux.
…
Vers 0 h 45, un feu de local à vide-ordures a été signalé au 1, place Auguste-Rodin.
À 2 h 20, ils sont intervenus pour un feu de voiture, allée des Nivernais …
L’hippodrome de Reims organise une fête western le samedi 28 juin à partir de 17 heures.
De nombreuses animations sont au programme : baptêmes de sulky, balades en poneys, balades en calèche, musique et danse country, démonstrations d’équitation western avec Anastasia Bienfait, championne de France, rodéo mécanique, exposition de voitures américaines, stands de jeux, jeux gonflables.
Puis, à partir de 19 heures : bœuf à la broche.
7 courses nocturnes sont également programmées avec départ de la première course à 20 heures.
Samedi 28 juin,
Avenue du président Kennedy
Entrée 4 euros, gratuit pour les moins de 18 ans.
Renseignements au : 03.26.08.65.29.
L’hebdo du vendredi- n° 83 - 080621f
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 8 3 - Semaine du 20 au 26 juin 2008
Société / Bien : Ciné de plein air
La Ville de Reims reconduit cet été l’opération « Passeurs d’images » qui se déroulera les 7 et 9 juillet mais aussi pour la première fois au mois d’août (les 27 et 29).
À l’affiche :
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Mercredi 27 août, 22h, piste du stade Géo André à Croix-Rouge : « Mauvaise foi »
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« Passeur d’images » est un dispositif national qui fonctionne via des coordinateurs en région, l’idée étant de créer un temps festif, convivial et familial autour de l’image.
Entrée gratuite.
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Comme « la Fleur des Vents » de Marcel Van Thienen en face du lycée Arago de Reims, l’art urbain contemporain se laisse découvrir au hasard dans tous les quartiers.
Souvent inaugurées en grande pompe mais aussi vite négligées, près de 150 œuvres d’art disséminées dans l’ensemble des quartiers de Reims sont livrées au vent et au temps sans que les pouvoirs publics s’en émeuvent.
Alors que les expositions d’art contemporain fleurissent un peu partout à Reims en cette fin de printemps - « l’expérience » Pommery, « Stratus Locus » au cryptoportique du Forum, « Shadow’s moon » et « En abrégé » au Frac – plusieurs dizaines d’œuvres monumentales sommeillent un peu partout dans la ville. Qu’ils s’agissent de la sculpture de Francesco Marino Di Teana sur le parvis de la Faculté de Lettres, de la Fleur des vents de Marcel Van Thienen aux abords du lycée Arago ou des 35 granits de Shamaï Haber sur le campus de la Fac des Sciences, toutes ces réalisations ont en commun d’avoir vu le jour grâce au “1% artistique” et d’être oubliées par la conscience collective.
Créé en 1951, le “1% est un dispositif qui consiste à consacrer à l’occasion de la construction, de la réhabilitation ou de l’extension d’un bâtiment public, un financement représentant un pour cent du coût des travaux à la réalisation d’une œuvres d’art contemporain conçue spécialement pour le lieu. De cette belle idée envisagée dès 1936, pour permettre aux artistes de vivre de leur travail et pour éveiller le public à l’art de notre temps, la Cité des Sacres peut s’enorgueillir de posséder pas moins de 150 œuvres disséminées dans l’ensemble de ces quartiers. Mais à Reims, comme dans la plupart des autres villes de France, ce patrimoine est loin d’être valorisé, voir quasiment laissé à l’abandon. À Paris en décembre 2007, Daniel Buren avait menacé de démolir ses célèbres colonnes, situées dans la cour du Palais Royal de Paris, si l’Etat, commanditaire de l’œuvre, ne les rénovait pas. À Reims, le cas des 269 photographies de Chrystèle Lerisse, disposées dans les couloirs de l’amphithéâtre de l’IUT est tout aussi éloquent.
En effet, les nombreuses pièces manquantes de cette réalisation de 1993 interpellent sur l’intérêt porté pour ce type d’oeuvre et leur devenir. Ces deux exemples, qui sont loin d’être des exceptions, démontrent bien le manque de considération de la collectivité en général vis-à-vis de l’art en milieu urbain et par là-même de ces auteurs. Pourtant en 1995, la Société des Amis des Arts et des Musées de Reims, avec l’aide de la municipalité et de l’association Prisme, avait organisé une exposition consacrée à l’Art Urbain contemporain à Reims et tenté d’éveiller les consciences sur ce patrimoine méconnu.
« Nous avons voulu montrer aux Rémois la richesse de l’art contemporain dans leur ville » explique Catherine Bazin Fontana, qui à l’époque a réalisé l’inventaire des œuvres.
À défaut d’un changement de regard plus positif de la part des responsables politiques, il reste de cet événement atypique un précieux catalogue retraçant 50 ans d’art urbain contemporain à Reims.
Dans sa quête d’innovation culturelle, la nouvelle municipalité pourrait peutêtre se pencher sur ce patrimoine délaissé et pourquoi pas, devenir une ville pionnière en la matière. Si Sarah Ouaja-Ok, adjointe à la mairie en charge de la culture, n’a pu « faute de temps » donner son sentiment sur cette éventualité, Jean Perrin, directeur de la direction de la culture s’est prudemment exécuté : « la nouvelle équipe est très attachée à l’art dans la rue » assure-t-il, précisant « qu’avec les travaux liés au tramway, plusieurs artistes vont intervenir le long du tracé ». Sur le devenir des œuvres existantes, il reste évasif, avouant « que la question mérite d’être posée mais que de nombreux problèmes juridiques demeurent pour les réhabiliter ». Le directeur met en avant la multiplicité des propriétaires et le savoir-faire spécifique requis pour la rénovation de ces œuvres d’art. On l’aura compris, la question du devenir de l’art urbain contemporain n’est pas encore à l’ordre du jour.
Peut-être faudra-t-il attendre que ces œuvres tombent en ruine, à l’image des Halles du Boulingrin pour qu’elles soient enfin considérées à leur juste valeur ? Dommage, car à défaut de posséder un musée d’art contemporain, la Ville de Reims dispose là d’un patrimoine qui ne demande qu’à être exploité et qui aurait le mérite de valoriser l’ensemble de ses quartiers.
Julien Debant
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Si la majorité de l’art urbain contemporain voit le jour grâce au “1% artistique”, des œuvres naissent aussi grâce aux soutiens de mécènes. Ainsi à Reims, l’association Prisme regroupe une trentaine d’entreprises privées dont l’objectif est la promotion du mécénat au travers la réalisation d’œuvres d’art urbain. Créée en 1989, Prisme peut se prévaloir d’avoir directement participé à la réalisation de 5 œuvres monumentales au sein de l’agglomération rémoise : le Luchrone d’Alain Boucher, la Pierre d’Heures de Christian Renonciat (voir photo), le Moulin de la Housse de Jacques-Victor André, l’œuvre de Gilberto Zorio pour la médiathèque Jean Falala et celle de De Grout et Mazeas pour sa petite sœur de Croix-Rouge. « L’originalité du club est d’accepter des entreprises de toute taille et de toute activité. Chaque entreprise se voit attribuer une voix comme chacun des autres membres du club et doit manifester un réel dynamisme à la cause du mécénat », explique Didier Janot, le président de Prisme, précisant « qu’hormis une cotisation annuelle, chaque membre est libre de participer financièrement aux différents projets ». Outre la participation à des réalisations d’envergure, Prisme s’emploie aussi à sensibiliser ses membres à l’univers de l’art contemporain grâce notamment à des rencontres avec les artistes.
Sur la question de l’état de l’art urbain contemporain à Reims, Didier Janot regrette « que certaines oeuvres soient en mauvais état » et juge « qu’il serait bon d’étudier la question de la valorisation de ce patrimoine ». Acteur engagé dans la ville, Prisme a aujourd’hui 3 projets dans ses cartons. Le premier verra le jour au mois de juillet avec la venue de Georges Rousse dans les Halles du Boulingrin pour la réalisation d’une oeuvre éphémère. Puis fin 2008, les membres du club rémois se pencheront sur le labyrinthe de la Cathédrale de Reims. Ils souhaitent en effet le retracer à son emplacement initial. Enfin courant 2009, Prisme, en collaboration avec la Fondation de France, financera une oeuvre monumentale, réalisée par Mark Handforth, sur le rond point face à la gare TGV de Bezannes.
J.D
Plus d’infos sur www.prisme.asso.fr
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Initié depuis le début de l’année 2007, le projet « Autre peau, autre ville » a connu son apogée vendredi dernier sur l’esplanade de l’avenue 25-31 du Général Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge, par une exposition de toutes les créations plastiques et productions artistiques menées par une centaine d’habitants et écoles du quartier sous l’oeil avisé de l’artiste Armelle Blary, chef d’orchestre de l’évènement.
Cette manifestation, mandatée, par l’organisme logeur « Reims Habitat » porteur administratif du projet, en la personne de son directeur François Toublan, préfigure la démolition des bâtiments en question pour le dernier trimestre de cette année.
Outre un rassemblement dans la bonne humeur, rythmé par les cris des enfants artistes occasionnels, l’accrochage de formules poétiques recueillies auprès des habitants, sur les façades promises à la démolition, a été le point d’orgue de cette manifestation hors du commun.
![]() Les collégiens sont montés sur les planches.
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La journée portes ouvertes du collège François-Legros a remporté un vif succès. Les visiteurs, élèves (anciens, actuels et futurs), leurs parents et les personnalités conviées ont pu se faire une idée des actions menées dans l’établissement, mais aussi au groupe scolaire Franchet-d’Espérey, grâce aux expositions et manifestations proposées toute la journée.
Élèves et profs ont présenté des extraits de la comédie musicale « 1789, chronique d’une révolution », une pièce de théâtre « in english », des activités circassiennes, les travaux des clubs du Foyer, des itinéraires de découvertes, des objets confectionnés par la Section d’enseignement général et professionnel adapté : « il y en avait pour tous les goûts » déclare Philippe Labiasse, principal du collège qui signale également la présence de la maison de quartier Croix-Rouge à travers l’atelier hip-hop ou des expos et des jeux autour de la notion de développement durable.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
VIOLENCES, vexations, humiliations… pendant une semaine à Reims, cet homme de 36 ans a vécu un enfer après avoir croisé la route d’un couple malfaisant. Il en a été manifestement très choqué. C’est en effet un homme terrorisé qui se présente samedi dernier au commissariat central ; il vient porter plainte pour séquestration. Les policiers ont d’abord bien du mal à le faire parler sur les auteurs, tellement la peur le paralyse encore. Il faudra de leur part des trésors de patience et de psychologie pour recueillir les éléments qui leur permettront d’identifier les différents protagonistes, et de reconstituer le fil de l’histoire.
Celle-ci a pour cadre le quartier Croix-du-sud. Il y a quelques jours, notre homme, que nous appellerons Jean-Christophe, est mis en relation avec une demoiselle et son concubin, âgés respectivement de 26 et 25 ans. Les deux individus parviennent à attirer Jean-Christophe à leur domicile, et là, à partir du 7 juin, et pendant près d’une semaine, vont abuser de la timidité quasi maladive de l’homme.
Cela commence par des violences légères : des claques, des bousculades, et de l’intimidation : Jean-Christophe a le droit de sortir, mais il doit impérativement revenir ! Comme ils constatent que leur proie se montre effectivement très docile, les deux dominateurs poussent le curseur plus loin : ce sont des œufs écrasés sur le visage, une cible peinte au marqueur sur le front, les lunettes rayées, un crachat à lécher par terre… Puis ils s’en prennent aux biens du malheureux : ils se rendent dans son appartement à lui, et se servent en mobilier. L’homme du couple exige ensuite que sa victime lui remette sa carte bancaire, avec le code, et il s’en sert aussitôt pour retirer de l’argent et faire des achats ; il « claquera » ainsi plus de 1.000 euros.
Enfin, le soir du 13 juin, Jean-Christophe se voit enfermé dans son propre appartement. Il ne sera libéré que le lendemain, par sa sœur, inquiète de ne plus avoir de ses nouvelles, et qui sera obligée de faire forcer la porte pour délivrer son frère. S’ensuivra la déposition au commissariat.
L’enquête menée par la brigade de répression des violences aboutira assez vite à l’interpellation du couple. Elle comme lui tenteront de minimiser les faits, la demoiselle surtout, qui reconnaîtra avoir elle-même peur de s’opposer à son homme. En substance : « C’est vrai, il y a eu des claques, mais c’était pour rire, pas si méchant que ça ; c’est vrai qu’on a utilisé sa carte bancaire, mais c’était normal puisqu’il vivait pratiquement tout le temps chez nous ; et on ne l’a pas enfermé chez lui, non, on l’a juste ramené à son appartement, et on a fermé à clef sans faire attention… » Des propos absolument démentis par une photo, qualifiée par les policiers eux-mêmes d’impressionnante, montrant Jean-Christophe complètement recroquevillé sous la douleur, le regard hagard de l’homme apeuré, prise par le téléphone portable de la demoiselle, et que monsieur considérait comme un « trophée » !
Présentés hier au parquet, les deux complices infernaux ont connu des destins différents : inconnue jusqu’alors des services de police, la demoiselle a été remise en liberté sous contrôle judiciaire ; son compagnon en revanche, qui lui au contraire est un « client » habitué des procédures au commissariat (une trentaine à son palmarès), a été écroué. D’éventuels complices sont à présent recherchés, qui permettraient notamment d’expliquer par quel biais le malheureux Jean-Christophe a rencontré ceux qui devaient devenir ses persécuteurs.
Antoine Pardessus
Bouziane Daoudi, rédacteur en chef de la revue World, évoquera le 25 juin à la médiathèque Croix-Rouge la raï, cette musique née à Oran en Algérie, précisément au printemps 1979, avec la chanteuse Chaba -Fadela qui, la première, avait mis le feu aux poudres.
Le raï (« parole, témoignage » en algérien) est le porte-voix des joies et des souffrances d’un peuple, et surtout d’une jeunesse souvent déracinée.
à la médiathèque Croix-Rouge,
19 rue Jean-Louis-Debar
(03.26.35.68.40.)
Entrée libre.
Les Quatre heures de natation de I’ association Croix-Rouge animation et promotion se dérouleront samedi 28 juin de 18 à 22 heures, à la piscine - Louvois. « Les 295 adhérents de la section natation, ainsi que tous les membres des autres sections
de l’Acrap, sont invités à participer à cette manifestation en effectuant des relais de 50 mètres, sans limite de temps, afin d’augmenter la distance réalisée en 2007 » explique Jean-Pierre Genesseau, président de I’Acrap.
Une rencontre inter écoles aura lieu comme chaque année.
Secrétariat de I’Acrap, 11 avenue du président-Kennedy (03.26.06.39.54.).
Fête de l’hippodrome
L’hippodrome de Reims organise une fête western le samedi 28 juin à partir de 17 heures : barbecue géant, courses nocturnes, tombola, feu d’artifice …..
Entrée 4 €, gratuit pour les moins de 18 ans.
Renseignements au 03.26.08.65.29.
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Valérie Wampfler, enseignante de latin à l’Urca, propose une promenade photographique dans les anciens bâtiments de la faculté de Lettres, longtemps menacés d’effondrement et qui viennent d’être définitivement fermés. « Des images entre sourire, nostalgie et accablement, réalisées avec la complicité des personnels et des étudiants, à la veille de voir se développer un nouveau campus sur ce site qu’on a peut-être trop vite cru sinistré. »
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C’est le jazz qui cette année fait l’ouverture des Flâneries. Elle aura lieu le jeudi 19 juin à 19 h 30 au Grand Théâtre en compagnie du clarinettiste Michel Portal et de son quartet, dont l’étonnant Yaron Herman au piano.
Le lendemain, Brahms (un concerto, une symphonie) fera son entrée à la Basilique Saint- Remi à 19 h 30 sous la baguette de Lionel Bringuier, dirigeant l’Orchestre symphonique de Bretagne, accompagné au violon par le jeune prodige Nemanja Radulovic.
Cette 19e édition des Flâneries Musicales de Reims qui a pour marraine la pianiste Brigitte Engerer, s’achèvera le 3 août avec un dernier “festival baroque” donné à la Basilique Saint-Remi par le Collegium Instrumentale Brugense et Capella Brugensis, direction Ivan Meylemans (programme Haydn).
Entre ces dates, des concerts classique et jazz, gratuits pour une large part, se succèderont avec bonheur, s’unissant parfois (week-end “Du classique au jazz” les 28 et 29 juin) sans oublier le très attendu concert pique-nique au Parc de Champagne qui accueillera Cassandra Wilson, diva du jazz contemporain (samedi 19 juillet à 19 h). Plus de 80 concerts seront ainsi proposés dans des sites prestigieux ou improbables, des parcs et des jardins.
Parmi les nouveautés, le parvis de la Cathédrale, le château des Grenouilles Vertes au quartier Sainte-Anne, le parvis de la Médiathèque Croix-Rouge, la cour d’honneur de l’hôpital Maison Blanche, l’Atelier de la Comédie.
Le tout servi par des interprètes et des ensembles prestigieux. Citons pour mémoire Anne Gastinel, violoncelle, Magali Léger, soprano, Gaëlle Solal, guitare, Laure Favre-Khan, piano, Ophélie Gaillard, violoncelle, Marcela Roggeri, piano, Edward Perraud, batterie, Daniel Erdmann, saxo, Bruno Fontaine, piano, Morciré Camara, percussion, l’Orchestre National de Lille, direction Jean-Claude Casadesus.
Programme détaillé sur www.flaneriesreims.com
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La Ville de Reims a voulu initier les enfants de différents quartiers à la pratique sportive.
Ainsi, en amont du rendez-vous du 8 juillet, trois petits meetings d’athlétisme seront organisés dans les quartiers les Châtillons, Croix-Rouge et Orgeval.
Le 28 juin, à partir de 14 h, quartier les Châtillons ; le 2 juillet, 14 h, Croix-Rouge ; le 5 juillet, 14 h, Orgeval.
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“Performance poétique” conçue par l’artiste plasticienne Armelle Blary à partir des paroles des habitants du quartier Croix-Rouge, visible jusqu’à leur démolition sur les façades des immeubles des 25 à 31 avenue du Général Eisenhower.
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La Ville a décidé d’étoffer la programmation de films projetés gratuitement en plein air l’été. Le Parc de champagne ouvrira le bal le lundi 7 juillet à 22 h 30 avec la projection de Persépolis (France 2007), un film d’animation. L’histoire démarre à Téhéran en 1978. Son héroïne, alors âgée de 8 ans, suit les événements qui vont mener son pays à la révolution.
Le mercredi 9 juillet à 22h30, Le fils de l’épicier (France, 2007) sera diffusé au quartier du Chemin Vert, place du 11 novembre. On y voit Antoine, 30 ans, remplacer son père, épicier ambulant, au fin fond de l’Auvergne.
Le 27 août à 22 h, le quartier Croix-Rouge accueillera Mauvaise foi, une comédie un peu âpre sur les difficultés rencontrées par un couple formé de Clara, juive, et d’Ismaël, arabe. Un film de et avec Roschdy Zem au côté de Cécile de France.
La clôture aura lieu au stade Georges Hébert à Orgeval le vendredi 29 août à 22 h avec la projection de Dans les cordes (France, 2007) qui nous montre un Richard Anconina aux prises avec sa fille et sa nièce, toutes deux championnes de boxe.
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L’été sera dédié aux voyages dans le réseau des bibliothèques et médiathèques municipales.
Avec des expositions du 1er juillet au 30 août : Carnets de voyage (médiathèque Jean Falala et bibliothèque Laon Zola), Vive l’art postal (médiathèque Croix-Rouge), Livres de voyageurs (bibliothèque Carnegie), Vagabondage gourmands (bibliothèque Saint- Remi), Cartes postales (bibliothèque Holden).
Des lectures, Vagabondage gourmands (bibliothèque Saint-Remi le 28 juin à 17 h). Un spectacle, Mail art (médiathèque Croix-Rouge le 9 juillet à 14 h 30). Des projections, cycle ciné-voyage chaque samedi à 14 h 30 du 12 juillet au 30 août (médiathèque Jean Falala). Des rendez-vous ponctuels aussi. Le 1er juillet à 19h30, la médiathèque Jean Falala organise Africa Trek, une projection-rencontre avec le couple d’écrivains Sonia et Alexandre Poussin (photo).
Pendant 3 ans et 3 mois, ils ont traversé l’Afrique à pied, un périple de 14000 km pour “vivre le temps à hauteur et cadence d’homme”. Les globe-trotters en herbe ne sont pas oubliés puisqu’un atelier de carnets de voyages, animé par Christelle Guénot, leur est proposé le 5 juillet à 10 h à la médiathèque Jean Falala.
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A vos agendas !
Mercredi 25 juin, à partir de 13h30 au Complexe René Tys, les 12 équipes des 9 Maisons de quartier se retrouvent pour les phases finales du challenge futsal (comprenez football en salle) qui a passionné l’ensemble des jeunes participants.
Destinée aux 11-15 ans, cette opération qui a débuté en octobre 2007 fédère les Maisons de quartier Maison Blanche, Orgeval, Chalet Tunisie, Epinettes, Wilson, Croix-Rouge, Cernay Europe, Châtillons et Clairmarais.
L’objectif était de fédérer le plus grand nombre de jeunes issus de différents quartiers autour d’un projet partagé.
A la portée éducative de ces rencontres sportives s’ajoutera une touche humanitaire puisqu’à la faveur de cette finale, chacun sera invité à faire don de denrées alimentaires au profit d’une association caritative.
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Quand, passés les 16 ans, un jeune se retrouve dès la rentrée de septembre sans solution scolaire ni insertion professionnelle, il court un grand risque de décrochage. La MGI, Mission Générale d’Insertion de l’Education Nationale, s’attache à apporter des réponses.
Deux coordinateurs des dispositifs DAMIER ont développé un projet au Lycée Professionnel Gustave Eiffel. En collaboration avec Ethnic’s (Maison de quartier Croix-Rouge), un CD a ainsi été élaboré. Partie intégrante d’une action transdisciplinaire, cette réalisation a mobilisé les jeunes intéressés tous les mardis après-midi de l’année scolaire.
Un animateur MAO (Musique Assistée par Ordinateur) se tenait à leur disposition.
En présentant prochainement le résultat, le 27 juin à Ethnic’s, les élèves vont en résumer les étapes. Ils racontent : « Nous avons travaillé sur un projet de création de chansons. On devait réfléchir sur les paroles, les rimes, les couplets. On s’est inspirés de la vie du quartier. On a dû chanter et enregistrer nos chansons ! C’est que du positif ! ».
C’est la Mairie à proximité de votre domicile, sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.
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D’abord, y réfléchir avec des riverains et trouver l’idée…
C’est ainsi que d’un ancien cours de tennis dans le parc Saint John Perse, la Ville a fait une piste routière pour enfants, incluant des surfaces jeux peintes au sol (accès par la rue de Bezannes).
Coordonnée par la direction des Espaces Verts, cette réalisation d’un coût de 8000 euros a été financée dans le cadre des crédits techniques destinés aux quartiers.
L’Association Croix-Rouge pour l’Animation et la Promotion est à l’issue de sa saison 2007-2008.
Après un calendrier fort rempli, le temps est venu pour les galas de clôture.
Sur vos agendas, retenez les quatre heures de natation à la piscine Louvois entre 18 h et 22 h le 28 juin et le lendemain, la danse rythmique sportive modern jazz à compter de 15h30 au théâtre de la Maison Commune du Chemin Vert.
Jean- Pierre Genesseau, Président de l’A.C.R.A.P adresse un coup de chapeau à l’ensemble des bénévoles ayant œuvré tout au long de la saison aux côtés des adhérents.
• Espace Billard, l’accueil de loisirs sera ouvert du 4 juillet au 8 août inclus.
Il concerne les 3-12 ans.
Une plate-forme d’activités (jeux, expressions manuelles artistiques, dramatiques, découverte, lecture, conte, sport) sera également proposée. Avec Elham, animatrice famille, des sorties parents et enfants se dérouleront de juin à août.
• L’espace Watteau ouvre son accueil de loisirs des grandes vacances du 4 juillet au 29 août.
De 3 à 12 ans, des vacances adaptées à tous les âges avec un programme varié.
Inscriptions à la semaine, en journée ou demi-journée avec ou sans repas.
Les marcheurs du dimanche ont toujours bon pied ! Dimanche 6 juillet, Vincent vous propose une sortie dans l’Aisne, à Laon.
Des rues aux souterrains, 14 km de bonheur en prenant le temps, de 9 h à 16 h (contact au 0326360350).
« Il y a tous mes amis d’enfance, là ».
« On se parle beaucoup, souvent ».
« Je vois des gens qui jouent ».
« J’étais un peu timide, on se cachait ».
« J’ai envie d’être haut, mieux voir ».
« On s’aime parce qu’on s’aide ».
Ces propos personnels, l’artiste plasticienne Armelle Blary les a recueillis auprès des enfants et des adultes de l’esplanade Eisenhower. Il s’agit de l’un des volets du projet artistique Autre peau/Autre ville destiné à associer les habitants à la mutation de leur quartier.
Le renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge conduit par Reims habitat et ses partenaires prévoit en effet la destruction de l’îlot situé au 25-31 de l’esplanade en vue d’ouvrir un passage traversant destiné à aérer le quartier.
C’est ainsi qu’avant leur démolition à l’automne prochain, les immeubles ont vu leurs façades habillées de 33 formules poétiques qui seront lisibles tout l’été.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les locataires de Reims habitat qui ont pris la plume forment une équipe de passionnés sachant jouer la proximité et faire partager l’amour de leur quartier.
Le résultat ?
Nouvelles brèves sur les projets et travaux, conseils pratiques, recettes de cuisine, traduction d’une info de la vie quotidienne en langue étrangère, témoignage d’une nouvelle habitante, numéros utiles…
rien ne manque à la petite revue en trois volets notamment complétée par un édito sur les quarante ans du quartier, des chroniques (le portrait complet de Jean Taittinger, Maire de Reims de 1959 à 1977, les 80 ans de l’Ecole Supérieure de Commerce devenue Reims Management School) et une rubrique histoire consacrée au Général Eisenhower dont une avenue porte le nom.
Rédigé par le groupe “Communication”, mis en page et édité par Reims habitat, QCR INFOS est tiré à 2200 exemplaires.
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Confort et technologie dans l’esprit Haute Qualité Environnementale caractérisent ce futur équipement de proximité.
Au vu des besoins de la Ville de Reims et de ceux de la Région, les deux collectivités ont décidé de construire un gymnase que les lycées Arago et Joliot Curie pourront utiliser gracieusement pendant les périodes scolaires.
La Ville de Reims sera gestionnaire de cet équipement de proximité qu’elle mettra également à disposition des écoles et des associations sportives.
Planning et coûts :
• Travaux en cours depuis février 2008. Livraison prévisionnelle : mai 2009
• Coût de l’opération : 4100000 euros.
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L’Université de Reims Champagne Ardenne planche sur un projet de rapprochement sur le campus Croix-Rouge (actuellement en cours de rénovation pour 30 M€) des UFR et de l’IUT du campus scientifique du Moulin de la Housse, dont les 93000 m² sont de plus en plus vétustes.
Cette configuration, qui rassemblerait sur un même site 20 000 étudiants, permettrait de mettre fin à l’éclatement géographique des sites dans Reims qui a des effets pénalisants en terme d’optimisation des moyens et de mutualisation des services aux étudiants.
Soutenu par la Ville de Reims et la Région, ce projet évalué à 150 M€pourrait être mené dans le cadre d’un partenariat public-privé, via notamment l’implication de la Caisse des Dépôts et Consignations.
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Ce concept récent doit rester en mouvement pour poursuivre ses objectifs et surmonter ses difficultés.
Forte d’une tradition socioculturelle liée à son histoire, Reims a compté jusqu’à 26 structures -centres sociaux et Maisons des Jeunes et de la Cultureimplantées dans ses quartiers. C’est en fin d’année 2002 que la municipalité envisage de les regrouper. Si cette transformation remet en cause des modes de fonctionnement, une gestion centralisée évite les déficits et les problèmes d’emploi qui en découlent tout en réactivant les missions de service.
Plus qu’une simple fusion, la démarche qui fédère deux états d’esprit fait débat. A partir de 2004 cependant, c’est petit à petit que les M.J.C rejoignent les centres sociaux au sein de l’association créée pour coordonner les Maisons de quartier.
Tout se joue à deux niveaux : à chaque Maison déployée sur un ou plusieurs sites de prendre en considération la réalité de son quartier, à l’association d’orchestrer. Progressivement, dans chaque établissement, un conseil d’orientation formé de membres élus pour trois ans par l’ensemble des adhérents doit exercer un rôle consultatif, ses président et vice-président étant membres d’office du conseil d’administration.
Une logique qu’explicite Jean-Pierre Ettel, Président de l’Association des Maisons de quartier : « Au-delà des différences, nous cherchons à partager de mêmes règles et à mutualiser des actions qu’une seule Maison ne pourrait mener à bien. Nous relions tous ceux qui créent du lien. »
Pour nombre d’adhérents interrogés lors d’une récente enquête, la Maison de quartier est ce lieu où l’ont peut entrer, être écouté et jamais jugé. L’accompagnement de la parentalité, le développement de solidarités de voisinage sont nés de ce constat.
Les Maisons de quartier sont porteuses de nombreux services et proposent plus de 250 activités, ateliers et clubs s’adressant aux différentes générations (voir notre encadré). Si le lien social est également entretenu au moyen de fêtes et d’initiatives responsabilisant les habitants, l’implication se déploie à un plus large niveau : l’Association prend part aux projets initiés par la Ville (Reims Vital Ado, Village Solidaire), elle intervient dans le cadre de semaines à thèmes forts (petite enfance et alimentation, rencontres intergénérationnelles, développement durable…).
Enfin, l’émergence de pôles de compétences a permis aux différentes Maisons d’agir en complémentarité dans les domaines des musiques actuelles avec Pôle Sud Musique, du spectacle vivant avec le festival Brut de Scène et sur la thématique des cultures urbaines avec l’Urban Junior Tour.
Récemment, le Président de l’Association évoquait la nécessité d’améliorer le fonctionnement des instances et le souhait de financer des actions sur le terrain. Un tour d’horizon qui n’exclut pas les préoccupations à commencer par l’avenir incertain de secteurs comme la petite enfance. Les équipes multiaccueil étaient en effet composées d’une part importante de salariés en Contrat d’Accompagnement dans l’Emploi. Le coût de ces contrats était jusqu’alors atténué par des aides de l’Etat. Ce dispositif ne sera pas reconduit. Une centaine de personnes sont touchées. L’une d’entre elles ne cache pas son amertume : « Nous formions un lien avec plus fragiles que nous. Qui va combler ce vide ? »
Privées de ces salariés dont la présence était devenue indispensable, les Maisons de quartier voudraient ne pas minorer les services à un public en besoin d’accompagnement.
Par courrier, la Municipalité s’est tout aussitôt ouverte de ce problème à l’Etat. En attendant, on cherche des solutions au cas par cas.
Pascale Enfer, Directrice de l’Association des Maisons de quartier assure : « Tout sera fait pour que la qualité de l’accueil soit maintenue et notre site internet va comporter une rubrique indiquant notre façon de nous organiser »
J.-P. M.
13 Maisons déployées sur un ou plusieurs sites soit 25 espaces principaux d’accueil et d’animation
12 lieux d’accueil de la petite enfance, soit à l’année 250000 heures en halte-garderie. 2000 enfants concernés
14 lieux d’accueil de loisirs enfants (mercredis et vacances) soit à l’année 55000 journées. 3900 enfants concernés
15 secteurs d’animation jeunesse. Plusieurs milliers de jeunes en activités libres
plus de 250 activités
956 salariés à l’année, soit 300 personnes en Equivalent Temps Plein
principaux financeurs : Ville de Reims (44%), CAF (20%), adhérents (14%).
En savoir plus : www.maisondequartier-reims.fr
Adjointe à la Maire de Reims, notamment en charge des Maisons de quartier et des associations socioculturelles.
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Quel regard portez-vous sur les Maisons de quartier ?
Ce sont des lieux d’écoute et d’initiatives où s’accomplit un travail de proximité considérable et varié. Leur mise en place cependant n’est pas allée sans difficultés. Les MJC autonomes ont rejoint la logique de l’association de gestion des centres sociaux qui déplaçait et centralisait le lieu de décision. La taille de l’association des Maisons de quartier génère des frais de fonctionnements importants, notamment en personnels pour l’entretien des locaux.
Certains d’entre eux, obsolètes, devront aussi être renouvelés.
L’Etat a mis un terme au dispositif de contrats aidés. Votre sentiment ?
L’association des Maisons de quartier s’appuyait beaucoup, sans doute trop, sur l’emploi aidé. Plus de 100 personnes concernées pouvaient reprendre pied, bénéficiant de possibilités de réinsertion tout en renforçant utilement les équipes. La décision brutale du gouvernement menace l’avenir de ces salariés et leur absence a déjà des répercussions dès cet été. Mon voeu est que les fermetures d’établissements durant cette période soient les plus réduites et les plus adaptées possibles.
Quelles évolutions envisagez-vous pour les Maisons de quartier ?
Parmi les engagements de madame la Maire, il y a la volonté que ces structures retrouvent une certaine autonomie. Je souhaite qu’elles s’affirment comme lieu de construction de projets. Il conviendra de bien redéfinir les rôles et les missions pour que les Maisons de quartier tissent encore mieux le lien social.
![]() Les parkings, situés à côté de l’école Droit, très fréquentés, sont sauvés ! |
Fabrice Lopez, président du collectif des locataires de Croix-Rouge a demandé l’intervention d’Éric Quénard, premier adjoint au maire, sur les revendications des habitants : « On parle de sortir de son sommeil le groupe rénovation urbaine à la rentrée de septembre, voire octobre pour une concertation : nous ne voudrions pas être surpris un samedi matin, par des tractopelles détruisant les espérances d’un meilleur cadre de vie social, pour les habitants de la cour Eisenhower ! »
La réponse de l’adjoint était optimiste : « J’ai rencontré de nombreuses associations de locataires comme la vôtre dans le cadre de mes nouvelles fonctions. Elles m’ont fait part de leurs préoccupations et propositions. Je discute avec l’ensemble des bailleurs pour faire évoluer certains projets. »
Bonne nouvelle : au cours de la réunion de l’instance locale de concertation de la succursale de Reims-Habitat Eisenhower-Université, « M. Bréjard, directeur Location-proximité a annoncé l’abandon des suppressions des parkings limitrophes de l’école Gilberte et Jean Droit : nous en sommes ravis ! » apprécie M. Lopez.
Pour le CDL.CR, il reste un problème : « M. Bréjard a évoqué la création d’une demi-voirie en lieu et place des 25-27-29 et 31 cour Eisenhower qui, même si elle épargne le 28, condamne le projet d’espaces verts et de stade demandé par 80 % des riverains ».
![]() « Les éliminatoires se feront le samedi, et les finales le dimanche », précise Joseph Cakpo, l’un des organisateurs.
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L’association Rires (Rencontres interculturelles de Reims) organise les samedi 21 et dimanche 22 juin son tournoi annuel de football au complexe sportif Géo-André.
« Cette compétition se déroule en fin de saison. L’objectif est de mettre en valeur les jeunes ayant déjà une expérience de club et les footballeurs en herbe.
C’est aussi une épreuve sportive qui fait la jonction entre la vie sociale, culturelle et scolaire. Elle s’adresse aux 18-24 ans. Tous les quartiers y sont conviés », explique Joseph Cakpo, un des organisateurs.
« On prévoit deux poules ; les éliminatoires se feront le samedi (de 9 à 18 heures), et les finales le dimanche (de 14 à 18 heures). Cette année, elles seront huit équipes à fouler la pelouse. »
Pour tout renseignement, appeler au 06.17.25.67.85.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080619e
La SA Le Foyer Rémois vient de présenter, par l’intermédiaire de Christophe Villers, le président de son Directoire, un programme pluriannuel d’investissement de 630 M€.
Il prévoit l’agrandissement du patrimoine locatif du bailleur par la construction de nouveaux logements et l’acquisition de patrimoine. Près de 400 logements devraient ainsi être créés chaque année.
Le Foyer Rémois prévoit également des travaux de réhabilitation de son patrimoine ancien et des investissements en matière d’a amélioration de l’efficacité énergétique de ses bâtiments.
Sensible à la démarche de Développement durable, le bailleur, qui gère plus de 15400 logements sur trois départements, l’applique dans ses projets.
Il construira ainsi un nouveau siège social rue Lanson, d’ici 2010, pour lequel seront appliquées les nouvelles normes environnementales.
Le Foyer Rémois est « un bailleur social mais il est aussi une entreprise, véritable force économique en place et à l’aube d’engager 630 MC dans l’économie régionale ». Président du Directoire de la SA Foyer Rémois, Christophe Villers dévoile un programme d’investissement dont le lancement effectif est prévu pour la rentrée de septembre 2008. Au cours des dix prochaines années, le bailleur prévoit ainsi d’ajouter à son patrimoine environ 400 logements par an, dont près de 300 logements neufs.
« 25 Me seront aussi consacrés à l’entretien et aux grands travaux de réhabilitation de notre patrimoine ancien », explique Christophe Villers. A la fois ancré dans la réalité des besoins locaux en logement et dans les enjeux liés à la notion de Développement durable, le Foyer Rémois prend en compte la démarche environnementale dans l’ensemble de ses projets.
Parmi ses priorités figure donc la rénovation de ses quartiers d’habitation avec notamment l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments sur fond de Grenelle de l’Environnement. Une enveloppe de 182 M€ (dont 132 M€ seront financés par le bailleur) sera consacrée à ce secteur.
Le bailleur s’est d’ailleurs engagé dans des démarches certifiantes certification (Qua¬libail) pour la qualité de son service. Il met aujourd’hui en place un rapport Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) valorisant l’engagement solidaire et responsable de l’entreprise.
Le Foyer Rémois se dotera aussi, d’ici fin 2010, d’un tout nouveau siège social rue Lanson. Véritable vitrine de la démarche environnementale de l’entreprise, il disposera d’équipements de pointe en matière d’économies d’énergie : pompe à chaleur par géothermie, récupérateur d’énergie, poutres froides dans les bureaux, triple vitrage en façade courante, toiture végé-talisée, récupération des eaux de pluie…
« Grâce aces spécificités, nous obtiendrons un bâtiment avec une faible émission de CO’ et une consommation d’énergie moyenne de 32 kWh/m2/an, soit largement inférieure aux taux exigés pour un bâtiment basse consommation ».
Le bailleur n’en oublie pas pour autant son activité d’organisme logeur et la prise en compte des demandes de ses locataires, comme le souligne Christophe Villers. « Tous ces projets ne nous dédouanent pas de notre métier de bailleur », En effet, le Foyer Rémois gère plus de 15 400 logements sur la région. Près de 12 000 d’entre eux sont construits sur l’agglomération rémoise, les quelque 3000 restants étant répartis sur la Marne, la Haute-Marne et l’Aisne.
« Ces investissements prouvent notre fort attachement à la ville. Nous nous sentons bien à Reims et nous en sommes un acteur économique à part entière ».
BENJAMIN BUSSON
À l’aube de son centenaire, le bailleur prévoit la construction d’un nouveau siège social dans le quartier du Chemin vert.
![]() Nemanja Radulovic.
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Les 19e Flâneries musicales débutent ce soir. Plus de 1000 musiciens de jazz et de classique vont se succéder jusqu’au 3 août prochain.
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TRIO TOCANNE MARTIN GAUDILLAT
Rémi Gaudillat, trompette, bugle
Lionel martin, saxophones
Bruno Tocanne, batterie
Intervention Pédagogique
17h30 Médiathèque Croix Rouge
TRIO TOCANNE MARTIN GAUDILLAT
« new dreams nOw ! »
Rémi Gaudillat, trompette, bugle
Lionel Martin, saxophones
Bruno Tocanne, batterie
19h30 Parvis Médiathèque Croix Rouge [En cas de pluie : Centre des Congrès — Salle Clovis]
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Les grands travaux préparatoires au passage du tramway et à la rénovation urbaine ont causé des dommages importants au boulodrome de Croix-du-Sud.
Les boulistes s’inquiètent « Nos terrains sont dégradés et amputés : nous réclamons une explication, un remplacement, un dédommagement ! » (voir le site associatif www.quartier-croix-rouge.info ).
Interpellé à ce sujet, le premier adjoint Éric Quénard n’a pas apporté de réponse.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() Beaucoup de monde pour admirer la « performance poétique ».
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La plasticienne Armelle Blary et les participants de son atelier artistique ont procédé à l’inauguration finale de leur projet « Autre peau - autre ville », un travail de longue haleine commencé en 2007.
Des techniciens rompus aux techniques d’escalade périlleuses ont collé des paroles d’habitants et d’enfants sur les façades des immeubles promis à disparaître, 25-31, avenue du Général-Eisenhower. « Ces paroles » expliquait Armelle Blary, « sont une sélection de formules poétiques : chacune d’elles représente une personne, une vie, une histoire, c’est très émouvant… »
Cette « performance poétique » a été appréciée par un public venu nombreux : des habitants « déménagés » ou voisins, des associatifs, les enfants de trois classes de l’école élémentaire Gilberte-Droit et d’autres du Centre de rééducation et d’éducation spécialisée pour la vision, l’audition et le langage (Cresval), des résidantes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Les Primevères, des élus et toute l’équipe de Reims habitat.
Prochaine étape du projet : un livre destiné aux habitants sera édité début 2009.
Il sera illustré par les photos d’Alain et Feng Hatat, artistes photographes qui ont suivi l’ensemble du projet.
Entre-temps, les immeubles auront été détruits par grignotage au cours du dernier trimestre 2008.
Les habitants des 46 logements promis à destruction ont été relogés, deux sur trois ont souhaité rester dans le quartier Croix-Rouge.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() L’équipe organisatrice réunie pour une dernière mise au point.
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Cette opération, qui fédère neuf maisons de quartier, a débuté en octobre 2007 à destination des 11-15 ans.
L’objectif ? Rassembler le plus grand nombre de jeunes autour d’un grand challenge de futsal.
Tous les mercredis après-midi, une centaine de jeunes de Maison-Blanche, Orgeval, Chalet Tunisie, Epinettes, Wilson, Croix-Rouge, Cernay-Europe, Châtillons et Clairmarais se sont retrouvés pour des entraînements et des matches de classement.
Ce mardi, à la MQ Maison-Blanche, les organisateurs se sont réunis autour de Jean-Noël Censier, directeur de la MQ Jean-Jaurès, qui coordonne la manifestation.
La finale sera festive : « Des stands vont occuper les joueurs entre les matches : jeux d’adresse, jongleries, courses de relais, ateliers », précise Ali Aït Yahia l’un des organisateurs.
La manifestation se veut aussi humanitaire : « Chacun est invité à faire don symboliquement d’un kilo de denrées non périssables au profit de la banque alimentaire. »
Programme de la finale mercredi 25 juin au complexe René-Tys :
accueil des équipes à 13 heures,
accueil du public et matchs à partir de 14 heures.
Avant la clôture une « brésilienne » (matchs de 2 mn) verra s’affronter une équipe d’animateurs.
Finale et remise des prix à 17 h 45 suivie d’un goûter.
Rens. : 03.26.35.32.60.
Dimanche 29 juin, aura lieu la séance de notation des plus belles parcelles de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud, à partir de 9 heures à la rocade centrale, dans le cadre du concours des plus belles parcelles.
Renseignements sur le site http://jardinscroixdusud.site.voila.fr
![]() L’avenir de l’hippodrome, en plein Croix-Rouge, n’est pas encore décidé.
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Tandis que l’hippodrome de Reims sera en fête aujourd’hui avec la présence de cracks pour la 7e étape du Grand national du trot, l’avenir du site de 18 hectares est plus que jamais incertain.
Avec l’arrivée de la nouvelle municipalité le projet de transfert de l’hippodrome est suspendu.Une décision sera prise à l’automne sans qu’à ce jour aucune garantie ne soit apportée sur l’avenir.
« ON ne dit pas que cela ne se fera pas. La question est de savoir si ce dossier est une priorité. » Serge Pugeault, adjoint au maire en charge notamment des grands projets, reste très prudent sur l’avenir de l’hippodrome de Reims. Ces 18 hectares, en plein Croix-Rouge, sont depuis plusieurs années l’objet de toutes les convoitises.
Il y a encore peu, lors de la précédente municipalité, le déménagement sur la Zac de Bezannes était même quasiment acté et un projet immobilier et de parc sur le site actuel de l’hippodrome avait été étudié par Jean-Louis Schneiter avant d’être gelé.
La nouvelle municipalité préfère prendre le temps de la réflexion. « On n’a pas pris de décision, dans un sens ou dans un autre », précise Serge Pugeault. « Nous sommes confrontés à plusieurs séries de problème. Un problème urbanistique tout d’abord. Eric Quénard travaille actuellement avec les organismes logeurs pour savoir quels types de logements pourraient voir le jour si l’hippodrome déménageait. Nous allons aussi lancer en septembre un grand concours d’urbanisme sur Reims. Se pose également la question de ce que l’on pourra faire si le projet de regrouper les campus étudiants de Croix-Rouge se fait. L’hippodrome se trouve actuellement au centre de ce dispositif. Quelle sera la place que pourra prendre cet espace dans ce projet ? Autant de questions qui font que nous sommes dans la phase de réflexion. »
Le deuxième problème soulevé par l’élu est juridique. Le transfert de l’hippodrome vers Bezannes ne semble ainsi pas encore réalisé. « Juridiquement, le montage qui avait été fait jusqu’à présent était bancal » souligne l’élu. « Il faut le retravailler. »
Reste ensuite le troisième aspect, non des moindres, le financement. Tel qu’il est conçu, le projet de transfert reviendrait à 30 millions d’euros. « Il faut réfléchir pour voir si cela est vraiment une priorité pour Reims, se demander si cet argent ne pourrait pas être utilisé ailleurs… »
Selon Serge Pugeault, une décision sera prise à l’automne. D’ici là, les amateurs de courses ou ceux qui rêvent de voir le site actuel de l’hippodrome être rendu aux habitants du quartier Croix-Rouge devront patienter.
Le président de l’hippodrome se veut, lui, optimiste. « Je suis conscient que ce n’est pas le dossier prioritaire de la mairie », comment Gilles Jeziorski. « Nous sommes dans une phase où l’on sait que l’on fait une pause dans l’idée de la reconstruction de l’hippodrome. Nous savons que l’on va perdre une année dans ce dossier. Même si cette incertitude n’est pas agréable, il est préférable de laisser le temps à la nouvelle municipalité de prendre une décision. »
Le président de l’hippodrome compte rencontrer très rapidement Adeline Hazan pour lui expliquer « toute l’importance de ce dossier ». « Moi je suis favorable à un transfert sur un autre endroit. La rénovation sur le site actuel ne me paraît pas être la bonne solution. Quoi qu’il en soit, il faut qu’une décision soit prise assez rapidement. Ce qui serait impensable, c’est de rester en l’état. »
Grégoire Amir-Tahmasseb
![]() « Il faut parvenir à un équilibre entre démocratie participative et démocratie représentative. »
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Adjoint au maire chargé de la démocratie locale, Ali Aissaoui veut avec volonté, mais aussi humilité, transformer les intérêts égoïstes des citoyens en intérêts communs.
PASSER de 8 à 14 ou 15 conseils de quartier, c’est l’un des souhaits d’Ali Aissaoui, adjoint à la démocratie locale. L’élu explique comment il voit sa mission.
« Il faut être pragmatique. Aujourd’hui, il y a un vrai divorce entre les citoyens, les élus et la politique. Adeline Hazan l’avait déjà fait remarquer en mettant en cause la façon dont l’équipe précédente avait mis en place les conseils de quartier, en traînant les pieds. Pour nous la démocratie locale est une philosophie.
En effet tant sur les questions du quotidien que sur le devenir de la ville, compte tenu de la complexité des problèmes, les élus ne peuvent, ne doivent pas dessiner tout seuls les projets. Par plus d’information, de consultation, de concertation et de codécisions, nous voulons que les habitants s’accaparent à tous les échelons des décisions qui les engagent.
C’est une volonté forte de la mairie qui entend aussi réorganiser les services dans cet esprit. Ce n’est en rien du populisme car je crois sincèrement à l’expertise des habitants. »
Depuis plusieurs semaines, Ali Aissaoui rencontrent des membres des comités de quartiers : habitants, responsables associatifs, élus aussi de l’ancienne équipe afin de faire un état des lieux sur les conseils de quartier.
« Les gens sont assez critiques. Pour eux, les quartiers sont trop grands, les élus prennent trop de place. La communication est défaillante. Il n’y a pas de budget. On sait que ce n’est pas facile à trouver un équilibre.
Nous voudrions que les gens se sentent tout à la fois habitants d’un quartier mais aussi de Reims, ce qui ne semble pas être le cas. Nous voudrions aussi augmenter le nombre de conseils de quartier : de 8 actuellement, nous aimerions passer à 14 ou 15.
Nous voulons aussi donner plus d’autonomie aux futurs conseils de quartier et réaffirmer notre souci de rétablir une vraie cohésion sociale, évaluer la politique municipale, permettre aux habitants de prendre des responsabilités, saisir le conseil prendre des responsabilités, saisir le conseil municipal sur des problèmes intéressants.
Nous ne sommes pas là pour faire du clientélisme. Plus question de passer un temps infini à évoquer les questions de crottes de chiens, de voirie etc. dans des réunions de quartier.
Nous pensons que ces sujets importants pour un quartier peuvent être abordés lors de permanences tenues régulièrement dans les mairies annexes. Les conseils de quartier doivent certes évoquer des problèmes de terrain mais aussi des problématiques plus larges.
Il faut aussi transformer les intérêts égoïstes en intérêts communs. »
Concrètement, une réunion aura lieu en mairie le 26 juin avec les responsables des conseils de quartier, les maisons de quartier etc. Le conseil décidera du nombre et du fonctionnement des conseils en septembre.
Les conseils seront réunis fin octobre. « Ils seront au service des citoyens, animés par les citoyens pour les citoyens. »
Alain Moyat
« Défendre l’intérêt commun »
Âgé de 48 ans, Ali Aissaoui, médecin urgentiste, est né en Algérie qu’il a quittée à l’âge de 2 ans. Son papa étant militaire, il fait ses études primaires en Allemagne et passe son baccalauréat (D) à Troyes. C’est à la fac de Reims et de Paris (hôpital Saint-Antoine) qu’il suit des études de médecine.
Soucieux d’aider les populations fragilisées, il s’engage en 1995 dans l’association « Agir dans la solidarité. » Il manage aussi le groupe Nouraï. Fils de harki et sensible à la cause de cette population déchirée qui réclame justice et égalité, il réalise avec Olivier Hennegrave un film sur le quartier intitulé : « Les silences de la mémoire » pour donner une image différente de ce quartier.
Révolté par les discriminations, il sera aussi président de l’association Unir (union des initiatives républicaines).
Colistier de la socialiste Adeline Hazan dès 2001, c’est seulement en 2002 qu’il prend sa carte au parti : « pour être dedans et se battre. »
Il est depuis son origine adhérent au club « Réformer » de Martine Aubry.
![]() Rachid Alaoui, président, a fait part de son inquiétude.
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Rappelant, samedi, au cours de son assemblée générale, les efforts entrepris pour améliorer la qualité des services aux usagers, le président du Collectif Interculturel d’Associations de Migrants (CIAM), Rachid Alaoui, se félicitait du développement des actions. Une dynamique qui risque d’être fortement contrariée du fait du gel des contrats aidés. Sur un effectif de six salariés, quatre relèvent des emplois de ce type. Deux sont déjà arrivés à échéance et un le sera fin juin. « Leur non-renouvellement condamnerait l’équilibre budgétaire du CIAM. »
A court terme, le CIAM a fait un effort en prenant sur son budget le maintien partiel de ces postes. « Si cette situation est amenée à perdurer, c’est l’avenir du CIAM qui risque d’être compromis » déplore le président, craignant « une situation très critique à partir de décembre ». « L’Etat se désengage peu à peu des contrats aidés et met en péril un grand nombre d’associations. C’est du service en moins » a déclaré Virginie Coez, adjointe au maire. Le CIAM aide un public, souvent dans une grande précarité, et qui est de plus en plus demandeur : « Le nombre de visiteurs, de 44 nationalités différentes, est passé de 1712 en 2006 à 2747 en 2007, soit une augmentation de 62,33 % » précise Mohamed Chérif le directeur. Parmi les actions du CIAM, une cellule d’appui aux victimes de discriminations comporte une phase de sensibilisation, un soutien psychologique et une orientation juridique.
Les éliminatoires se feront le samedi de 9 à 18 heures, et les finales le dimanche de 14 à 18 heures. L’association Rires (Rencontres interculturelles de Reims) organise les 21 et 22 juin son tournoi annuel de football au complexe sportif Géo-André.
L’objectif est de mettre en valeur les jeunes ayant déjà une expérience de club et les footballeurs en herbe.
Cette épreuve s’adresse principalement aux 18-24 ans.
On prévoit deux poules A et B. Cette année, elles seront huit équipes à fouler la pelouse.
Pour toute information complémentaire, tél. 06.17.25.67.85.
Hier vers 0 h 45, une Peugeot 307 a pris feu place Jean-Fragonard. L’incendie d’origine indéterminée s’est propagé à une Fiat Tipo.
A la même heure, une poubelle a été incendiée rue de Rilly-la-Montagne, devant le n°34. Comme par hasard, une poubelle avait déjà brûlé à 22 h 30 rue de Rilly-la-Montagne, dans les caves du n°38.
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Yves Pringault, directeur et toute l’équipe de la Maison de quartier Croix-Rouge dresseront le bilan du Festival Croix-Rouge s’affiche 2008 mardi 24 juin à 18 h 30, au centre culturel du CROUS, rue de Rilly-la-Montagne.
Pour la saison 2008-2009, les inscriptions au RAP sont prises lors des permanences jusqu’au 27 juin de 17 à 18 heures le mardi et le vendredi, au siège 11 avenue du Président-Kennedy.
![]() A Reims, Martin Hirsch a visité l’entreprise d’insertion Envie et l’école des gens du voyage.
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Après Châlons-en-Champagne le matin, le haut-commissaire aux Solidarités était hier après-midi à Reims.
Martin Hirsch a visité l’entreprise d’insertion Envie, « un enfant d’Emmaüs » a rappelé celui qui a été président de l’association fondée par l’Abbé Pierre.
Martin Hirsch a profité de sa halte rémoise pour évoquer la fin des contrats aidés, un sujet sensible dans la ville avec notamment des conséquences importantes pour l’organisation des maisons de quartiers. « On s’est rendu compte que les contrats aidés n’étaient pas à terme une solution pour les personnes concernées car la plupart du temps cela se résume à un contrat et plus rien après. Nous avons lancé une réforme pour éviter que cela perdure. Après six mois de discussions nous allons proposer quelque chose de plus simple, le contrat unique d’insertion. Il ne s’agira pas simplement d’une aide aux entreprises mais ce sera aussi un moyen pour aider les personnes à mieux repartir ».
En attendant la mise en place rapide de ce processus, le haut-commissaire aux Solidarités assure que tout sera fait pour que des associations ne se retrouvent pas dans la galère avec la fin des contrats aidés. Il prône aussi le développement des contrats de professionnalisation. « Partout on me dit que c’est trop top ! Il ne faut pas hésiter à faire évoluer les contrats aidés vers ces autres dispositifs. Je suis à votre disposition, mes services aussi, pour vous aider à le faire. S’il faut adapter des choses, mettre une partie sociale dans le contrat de professionnalisation pour répondre à vos demandes, on le fera ».
À l’issue de sa visite à l’association envie, Martin Hirsch a fait un rapide tour à l’école des gens du voyage à la Neuvillette. Une structure unique sur la région qui accueille tout au long de l’année des enfants de gens du voyage pour une journée comme pour toute la scolarité.
![]() Chant, poésie et théâtre sur scène.
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Le collège Joliot-Curie a fait son show ! En tête d’affiche, un danseur, cinq comédiens et douze choristes pour un beau spectacle sur le thème de la liberté, offert dans la salle municipale Croix-Rouge mise à disposition par la municipalité : la chorale, animée par Myriam Ranaivoson et l’atelier théâtre, dans une mise en scène de Nathalie Aubry, ont présenté le résultat de neuf mois de travail assidu.
Une sélection de sept chants, choisis par les choristes parmi les treize ou quatorze proposés par le professeur de musique et quelques poèmes d’Apollinaire, de Fabrice Diop, d’Aragon, de Jean-Pierre Siméon pour un tour d’horizon des libertés : celle d’aimer, celle de choisir son look, la liberté de pensée, de parole, d’action.
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Le Foyer rémois engage un chantier, là où s’élevait la tour 53-Taittinger, foudroyée le 19 novembre 2006. Ici, à deux pas de l’Université, s’élèveront 174 logements pour étudiants sur 2.900 m2de terrain.
![]() Les petites et les grandes sont prêtes à entrer dans la danse.
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Dimanche après midi, le 22e gala de danse organisé par L’Acrap (association de Croix-Rouge pour L’animation et la promotion), s’est tenu en la salle de spectacle de la Maison commune du Chemin-Vert.
Depuis 22 ans, Virginie Delauzun anime la section de danse de cette association et dimanche, ce sont 40 danseuses, petites et grandes, qui ont offert diverses prestations très applaudies en classique, modern’ jazz et folklore devant près de 300 personnes.
Un nouveau succès.
Jusqu’au samedi 28 juin, « Au clair de la lune, 3 petits bouquins » est une exposition ludique et sensorielle autour du livre permettant aux tout-petits jusqu’à 3 ans de manipuler, observer et explorer, et aux adultes de raconter des histoires en situation.
L’exposition est composée de deux modules thématiques : « J’ai sommeil » et « Je veux un câlin ».
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).
Entrée libre sur réservation préalable.
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Appelés pour un tapage place Auguste-Rodin mercredi à 4 heures du matin, les policiers ont incidemment découvert 92 grammes de résine de cannabis sur un jeune homme de 22 ans.
La drogue était conditionnée pour la vente.
D’après ses déclarations, le suspect l’aurait ramassée par terre. Une explication hasardeuse qu’il aura l’occasion de redire au tribunal le 9 décembre.
Mercredi à 23 h 30, le pilote d’un scooter a percuté une voiture en stationnement rue Joliot-Curie. Il n’arrivait plus à rouler droit en raison d’un taux d’alcool de 2,17 grammes par litre de sang.
Il a fait l’objet d’une composition pénale : 300 € d’amende à payer.
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Dans le cadre des ventes au bénéfice de ses actions pour aider les enfants, l’UNICEF installera un stand dans la galerie de Cora à Cormontreuil, ce vendredi 13 et demain samedi 14 juin.
Dimanche 15 juin, la section danse classique, moderne et folklorique de Virginie Delauzun propose son 22e gala à la Maison commune du Chemin-Vert, à 15 heures.
Dimanche 29 juin, ce seront les danseurs de la section rythmique, sportive et modern’ jazz de Céline Herter qui se produiront sur la même scène à 15 h 30.
Réservation à I’Acrap, 11 avenue du président-Kennedy (03.26.06.39.54.).
![]() La base « Croqu’Nature » accueille des jeunes de 12 à 14 ans. |
Dans le cadre de la campagne officielle Jeunesse et Sports de Champagne-Ardenne « Les colos, c’est bon pour grandir ! », plusieurs séjours collectifs sont proposés cet été.
Les Francas de la Marne organisent, en partenariat avec les Éclaireurs et Éclaireuses de France, des séjours de découverte de la nature pour les jeunes de 12 à 14 ans. Les bases « Croqu’Nature », situées à Humbécourt en Haute-Marne et à Blacy dans la Marne, constituent des lieux de découverte et d’échanges parfaitement appropriés pour ces adolescents.
Donner des repères aux ados
La maison de quartier Croix-Rouge organise aussi régulièrement des séjours associant les parents. Les loisirs, et en particulier les départs en vacances, deviennent ainsi un outil éducatif d’insertion sociale.
L’équipe éducative, composée de travailleurs sociaux, d’animateurs professionnels et d’une infirmière puéricultrice, incite les parents à assumer leur rôle éducatif face à des adolescents en manque de repères et les rassure quant à leurs capacités d’adaptation.
Il s’agit aussi d’aider les adolescents à acquérir les règles de vie en collectivité. Ainsi cet été un séjour sera organisé du samedi 19 au vendredi 25 juillet en Baie de Somme.
Renseignements auprès de Stéphanie Tadla, les Francas de la Marne, 19-23 rue Alphonse-Daudet. Tél. 03.26.85.55.18. ou 06.82.91.42.21.
Pour la saison 2008-09, les inscriptions au RAP sont prises jusqu’au 27 juin de 17 à 18 heures le mardi et le vendredi au siège, 11 avenue Kennedy.
![]() Monsieur Tomovic va enfin pouvoir accéder |
Cela faisait cinq semaines que l’ascenseur du 52 avenue Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge ne fonctionnait pas. Il a finalement été remis en service hier.
Pour les habitants des étages supérieurs, rencontrés par l’union avec la réparation, ce fut très dérangeant d’autant que l’ascenseur avait déjà été immobilisé un mois durant en octobre.
La panne a été signalée à maintes reprises. Une société est intervenue mais la réparation n’avait pu être effectuée : la pièce de rechange ne convenait pas.
Les époux Tomovic habitent au 6e étage, ils ont 66 ans et la dame a subi dernièrement plusieurs opérations chirurgicales. Pour elle, monter au 6e est un calvaire. « Ça fait 96 marches ! Même descendre me fait souffrir, mon mari m’aide mais ce problème ne m’encourage pas à sortir », se plaint-elle.
Elle ne s’aventurait dehors plus que tous les 15 jours. Mme Aubry, locataire du 5e, résume : « Nous sommes le dernier de leurs soucis ». En effet, seuls 5 appartements sur 14 sont habités dans l’immeuble. D’après les habitants, les femmes de ménage nettoient moins fréquemment les étages supérieurs.
« La première période d’indisponibilité était la première phase d’une mise aux normes consécutive à la loi De Robien », explique Hervé Payen, responsable de la succursale Croix-Rouge de Reims Habitat.
Il avoue cependant quelques soucis avec l’ascensoriste Shindler. « Nous les relançons, par téléphone, par mail et par envois recommandés. »
Les locataires seront tout de même dédommagés, la pénalité infligée à la société pour ses retards (2.000 euros) sera reversée aux locataires.
Reims Habitat a récemment lancé un appel d’offres d’ascensoristes et Shindler serait loin d’être en pôle position. Finalement, les événements se sont accélérés car au lendemain de notre prise de contact avec l’organisme logeur, Hervé Payen nous annonçait hier une intervention de Shindler dans la journée. Intervention réussie. Quoi qu’il en soit, d’autres remises aux normes seront prévues et l’ascenseur sera à nouveau immobilisé.
R.H.
![]() Le 1er juin, un violent incendie ravageait cet appartement de l’allée des Bourguignons à Reims. Le locataire qui ne supportait pas le voisinage a reconnu l’avoir incendié pour être relogé avec sa famille.
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Le violent feu qui a détruit un appartement du quartier Croix-Rouge à Reims le 1er juin était criminel. Le locataire a reconnu l’avoir incendié avec un ado pour être relogé. Il l’a été, mais en prison.
Spectaculaire rebondissement après l’incendie qui a ravagé le 1er juin un appartement du quartier Croix-Rouge à Reims (l’union du 2 juin).
Non seulement le sinistre est d’origine criminelle, mais il serait également le fait du propre locataire qui a reconnu avoir mis le feu avec la complicité d’un mineur de 13 ans pour obtenir un relogement qu’on lui refusait !
L’incendie s’était déclaré vers 8 heures du matin au premier étage d’un immeuble situé au n° 2 de l’allée des Bourguignons. Il avait détruit l’appartement avec une telle rapidité qu’un acte de malveillance fut soupçonné par les services de police.
Les occupants — un couple et ses deux enfants — étaient heureusement absents. Ils venaient de partir, un peu trop précipitamment à y réfléchir.
L’enquête de voisinage menée par les policiers de la sûreté urbaine a révélé plusieurs faits troublants.
Peu de temps avant l’incendie, quelqu’un a vu le couple s’en aller avec les enfants et le chien alors que d’habitude, le chien n’est jamais sorti, indique ce voisin visiblement très attentif à tout ce qui se passe autour de chez lui.
Au moment où le feu se déclarait, un autre témoin a vu « un jeune » sauter de l’appartement et rejoindre le locataire qui l’attendait au bas de l’immeuble. Le jeune fut identifié comme un mineur de 13 ans régulièrement reçu au domicile des sinistrés. Les enquêteurs ont également appris que le couple récemment emménagé allée des Bourguignons cherchait déjà à partir. Le courant ne passait pas avec les voisins, les uns et les autres s’accusant mutuellement de faire du tapage. Le locataire avait contacté le Foyer rémois pour exiger un relogement. Il n’avait pas apprécié de se voir opposer un refus motivé par sa récente arrivée. Tous ces éléments ont débouché mardi sur l’arrestation du couple et du mineur. Placé en garde à vue, le locataire, Ludovic Domice, 24 ans, est passé aux aveux. Selon ses déclarations, il a demandé à l’adolescent de l’aider à incendier l’appartement pour obtenir un relogement. Après le départ du reste de la famille, de l’alcool à brûler aurait été déversé sur les lits et le canapé. Un briquet a fini le travail. Et le couple, comme prévu, a dû être relogé. Présentés au parquet de Reims, Ludovic Domice et le mineur ont été mis en examen pour « destruction volontaire d’un bien par incendie ».
Le premier a été écroué, le second placé dans un foyer. Malgré ses protestations d’innocence (elle prétend que le stratagème a été échafaudé à son insu), la concubine a été mise en examen pour complicité. Elle est libre sous contrôle judiciaire.
Cette affaire est la seconde du genre survenue à Reims.
En janvier 2006, trois membres d’une même famille avaient incendié l’appartement de leur grand-mère pour qu’elle soit relogée ailleurs que dans le quartier Wilson où elle résidait. Le feu mis en pleine nuit avait incommodé 14 personnes (l’auteur principal a pris huit mois ferme). A Croix-Rouge, l’incendie allumé en journée n’a fait aucun blessé.
Fabrice Curlier
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Plusieurs poubelles et détritus ont également brûlé au cours de la nuit : à 20 h 30 dans une cave du groupe Eisenhower ; à 21 heures avenue Bonaparte ; à 22 heures allée des Bourguignons au n° 4 ; à 23 heures allée des Bourguignons au n° 12.
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L’hebdo du vendredi- n° 82 - 080613a
Cet été, la médiathèque Croix-Rouge de Reims célèbre l’art postal dans le cadre de l’opération « Bouts de mondes ». A cette occasion, un appel est lancé à la créativité de tous : si vous aimez peindre vos enveloppes, envoyer des objets insolites par la Poste ou si vous connaissez des amateurs d’art postal, n’hésitez pas. Les œuvres reçues avant début juillet seront exposées après sélection. Médiathèque Croix-Rouge / 19, rue Jean-Louis Debar / 51100 Reims.
L’exposition sera visible du 5 juillet au 30 août pendant les horaires d’ouverture de la médiathèque.
Mardi 17 juin 2008, deux représentations sur le thème de l’environnement seront données à la Comète de Bétheny : “Les bouteilles à la mer” dont le spectacle est en création et “Horizon” par le collectif de création 2008 du Festival « Croix-Rouge s’affiche » avec musique, danse urbaine et théâtre.
Début des festivités : 20h.
Entrée libre.
Spectacles tout public
ven 11 juil 17h30
Trio Tocanne Martin Gaudillat Trio « new dreams nOw ! »
![]() Les policiers ont arrêté l’auteur des tirs à la carabine qui ont légèrement blessé cinq passants, lundi matin à Croix-Rouge. C’est un adolescent de 15 ans. Posté aux fenêtres du domicile familial, il a tiré sur les gens car il s’ennuyait…car il s’ennuyait…
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Le « sniper » de Croix-Rouge qui a tiré lundi matin sur plusieurs passants, blessant légèrement cinq d’entre eux, a été identifié. L’une des cinq victimes blessées lundi par le « sniper » : l’auteur présumé âgé de 15 ans a tiré de chez lui sur les passants avec des plombs au bout pointu.
Ce serait un ado âgé de 15 ans. Il a tiré sur les gens car il s’ennuyait…
LA rumeur publique avait désigné un coupable. Ce n’était pas le bon. Le mineur de 14 ans arrêté lundi au quartier Croix-Rouge après une série de tirs à la carabine allée des Bourguignons (l’union de mardi) a été mis hors de cause.
L’auteur des faits ne se trouvait pas bien loin, dans un appartement voisin. Il a tout juste 15 ans, a tiré sur au moins six personnes, blessant légèrement cinq d’entre elles en leur occasionnant des incapacités totales de travail d’un à quatre jours.
Certaines victimes ont dû subir une légère intervention chirurgicale pour se faire extraire le projectile, du plomb de calibre 4,5 mm au bout pointu.
L’une des plaignantes avait témoigné dans notre édition de mardi. « Il était un peu plus de è10 heures du matin. Je revenais tranquillement de faire des courses avec une dame. Tout d’un coup, j’ai entendu un déclic de carabine, et j’ai aussitôt senti quelque chose à la jambe. »
Le projectile s’était logé dans le genou de la dame. Les autres passants ont été touchés aux jambes, au torse et dans le dos.
La sixième personne qui a déposé plainte n’a pas été blessée : elle a entendu le plomb siffler à ses oreilles.
Les tirs provenaient d’un immeuble situé au n°4 de l’allée des Bourguignons. Désigné comme le probable sniper, l’adolescent de 14 ans interpellé par les policiers a contesté les faits en garde à vue.
Son audition ne fut cependant pas sans intérêt car l’ado a dénoncé un jeune voisin du bloc qui s’était vanté d’avoir tiré les coups de feu. Cette fois-ci, le renseignement était bon. Les enquêteurs de la brigade de répression des violences venus perquisitionner sa chambre lundi soir ont retrouvé l’arme — une carabine à la crosse sciée mais en parfait état de fonctionnement — ainsi qu’une boîte de plombs correspondant à ceux tirés sur les victimes.
Dans la chambre, il y avait aussi deux sabres et plusieurs petits couteaux… Le garçon âgé de 15 ans était absent lors de la perquisition. Se sachant recherché, il s’est présenté le lendemain matin au commissariat. Il a reconnu les faits. D’après ses déclarations, il a tiré sur les passants depuis les fenêtres de l’appartement, au hasard, pour passer le temps car il s’ennuyait.
Les policiers le connaissaient déjà pour des affaires de violences mais c’est la première fois qu’il s’illustre ainsi avec une arme à feu. Il dit avoir trouvé la carabine dans les communs de l’immeuble. L’adolescent présenté hier au parquet de Reims a été mis en examen pour « violences volontaires avec arme ». En raison de son âge (seuls les mineurs d’au moins 16 ans peuvent être incarcérés pour un délit), il a été placé dans un foyer hors de la Marne afin de l’éloigner de son quartier, autant pour l’empêcher d’y fanfaronner que de le protéger d’éventuelles représailles.
Le tireur a-t-il fait usage de sa carabine les jours précédents ? Samedi, des voisins ont retrouvé des plombs identiques sur leur balcon. Il affirme que ce n’est pas lui.
Fabrice Curlier
![]() La salle de la maison de quartier Cernay-Europe était bondée hier soir à l’occasion de l’assemblée générale de l’association des maisons de quartier.
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Grève, manifestation, assemblée générale… les salariés des maisons de quartier de Reims étaient mobilisés hier contre l’arrêt des contrats aidés par l’Etat. Un tiers d’entre eux ne seront pas remplacés.
« Adeline àl’aide !!! » Lorsqu’elle est arrivée hier soir à l’assemblée générale de l’association des maisons de quartier, Adeline Hazan n’a pas pu rater la pancarte posée à l’entrée par les salariés inquiets sur l’avenir de leur structure. La maire de Reims était en tout cas très attendue par plus de 120 personnes regroupées dans une salle de la maison de quartier Cernay-Europe.
Dans la journée déjà, elle avait rencontré une délégation à la mairie. Une centaine de salariés grévistes s’étaient en effet retrouvés place d’Erlon pour un rassemblement dénonçant la fin des contrats aidés par l’état, ce qui, concrètement veut dire environ cent personnes en moins dans les maisons de quartiers de Reims. Ils sont ensuite allés devant la sous-préfecture puis la mairie.
« Gravissime »
« Nous sommes conscients que c’est le gouvernement qui a créé cette situation », explique Frédéric Destannes, représentant syndical. « Mais nous voulons aussi interpeller les financeurs locaux, dont le principal la mairie. La fin des contrats aidés c’est, il faut le rappeler, moins d’accueil pour les habitants des quartiers, moins de places dans les haltes garderies, moins de services pour des gens qui souvent ne sont pas les plus aisés ».
Cette situation est de l’aveu même de la maire de Reims « gravissime, insupportable » et touche un grand nombre de personnes. Les maisons de quartier, c’est en effet 1692 enfants accueillis en 2007 dans les haltes garderies, 3940 dans les centres de loisirs. Toutes activités confondues, jeunes comme adultes, l’association des maisons de quartiers de Reims comptait 10365 familles ou personnes adhérentes à la fin 2007, soit une progression de 11 % en un an.
Inquiets des conséquences de la fin des contrats aidés, les salariés comptent sur la mairie pour pallier les manques de l’Etat. Sur ce point Adeline Hazan ne cache pas une certaine impuissance : « La municipalité va faire ce qu’elle peut mais elle n’est pas responsable de cette situation. On ne pourra pas remplacer tous les postes car cela a un coût estimé à un peu plus de deux millions d’euros. Nous verrons ce que l’on peut faire à la marge, au cas par cas. Malheureusement cela ne se situe qu’à ce niveau-là ».
La maire de Reims a également décidé d’interpeller le gouvernement et les députés Rémois de droite. « Ils ne peuvent voter à Paris pour la suppression des contrats aidés et se plaindre une fois qu’ils sont à Reims. Il faut qu’ils prennent leurs responsabilités… » Elle a aussi annoncé hier soir qu’elle allait solliciter auprès du préfet l’organisation d’une table ronde avec lui, les députés, le conseil général et elle-même. En attendant, les maisons de quartier vont devoir s’adapter sans grand espoir de retrouver un jour leurs effectifs d’hier. Le budget et l’organisation 2008 de l’association ne tablent d’ailleurs que sur les contrats existants, pas sur d’autres liés à d’hypothétiques nouveaux financements.
Grégoire Amir-Tahmasseb
Sylvie et Anne-Marie, contrats aidés au chômage depuis début juin
Anne-Marie Dupuy va quitter Reims. Cette jeune femme, hôtesse d’accueil à la maison de quartier des Châtillons, est une des victimes de la fin des contrats aidés à Reims. Ils étaient une centaine comme elle à travailler chaque année dans les maisons de quartiers de Reims. Au 31 décembre, ils ne seront plus que 5…
« Pour moi, c’est fini depuis le 27 mai », raconte Anne-Marie Dupuy. « Je suis au chômage. Je vais partir dans le sud où j’ai plus d’opportunités. Je suis surtout inquiète pour mes collègues. Je suis la première à partir. 4 ou 5 autres vont le faire très bientôt. Comment cela va s’organiser ? Déjà la secrétaire fait en plus l’accueil… mais ce n’est que le début de la galère. Ce qui me rend le plus triste, c’est de voir que nos adhérents sont complètement déstabilisés, perdus. Ils ne comprennent pas ce qui se passe. Comme nous, ils ont été mis au courant au dernier moment ».
À quelques mètres d’Anne-Marie, Sylvie Maingot acquiesce. « Moi c’est par l’union que je l’ai appris », déplore la secrétaire qui cumule depuis six ans les différentes formes de contrats aidés à l’espace Billard dans le quartier Croix-Rouge.
« Cette mesure du gouvernement est une catastrophe pour les maisons de quartiers. Je prends l’exemple à Croix-Rouge où il y a quarante gamins qui sont encadrés depuis un an par une personne dont le contrat s’arrête bientôt. Que vont devenir ces jeunes ? Qui va s’en occuper ? Ces gamins vont se retrouver à la rue ! Que l’on ne vienne pas s’étonner après qu’il y ait des problèmes dans les quartiers ! »
Au chômage depuis une semaine, Sylvie Maingot s’est résignée à chercher du travail ailleurs. « Je n’ai pas d’autres choix. Pourtant j’aimais vraiment ce que je faisais. Les maisons de quartiers ont des valeurs auxquelles je crois.
Avec la fin des contrats aidés on va laisser beaucoup de jeunes au bord de la route ». Si elles savent qu’elle s ne seront pas reprises dans une des structures de Reims, Sylvie et Anne-Marie n’en sont pas moins mobilisés pour tous ceux qui auraient pu bénéficier de tels postes qui sont souvent des rampes de lancements vers des emplois durables. Elles ont participé hier au rassemblement place d’Erlon qui a réuni une centaine de personnes des maisons de quartiers.
G. A.-T.
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Mardi, à 21h 30, un motocycliste a chuté avenue Eisenhower.
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![]() Houria propose un spectacle tous les ans.
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Depuis sept ans un spectacle est proposé par Houria et la compagnie « Les Orientales en couleur » à tous ses élèves qui veulent en faire partie avec un thème différent chaque année.
Vendredi 13 et samedi 14 juin, le spectacle réunira environ 145 danseuses et acteurs.
« C’est une présentation du travail de toute une année et une chance pour chacune de se produire sur scène », explique Houria qui donnera trois représentations « car la salle du théâtre du Chemin-Vert à Reims est limitée à 328 places ».
« Le périlleux voyage de Tin-Hinan » raconte l’histoire d’une femme qui décide de partir dans un pays où la femme serait l’égal de l’homme…
Mais les pistes du grand désert sont parsemées d’embûches. Sur ces routes infinies, écrasées de soleil, on n’est jamais à l’abri d’une étrange rencontre…
Renseignements et réservations : Tél. 06.67.73.98.36 ou www.houria.fr
Vous n’avez pas la chance de partir cet été ? La bibliothèque municipale vous fera tout de même voyager, au moins par la pensée. Elle organise en effet à partir du 1er juillet, et jusqu’à la fin du mois d’août, une série d’animations sur le thème du voyage justement, intitulée « Bouts de mondes ».
L’exposition phare, Carnets de voyage, sera accueillie par la médiathèque Falala : on y verra des carnets de route de globe-trotters artistes, agrémentée d’une rencontre-projection avec deux écrivains-voyageurs le1er juillet au soir.
Autre rendez-vous dans ce même cadre, une découverte des plus anciens livres de voyage à Carnegie (depuis le XVe siècle jusqu’à la fin du XIXe).
A ces deux principaux rendez-vous s’ajouteront : une expo Vive l’art postal ! à la médiathèque Croix-Rouge ; la bande dessinée part en voyage à Laon-Zola, vagabondages gourmands à Saint-Rémi, et cartes postales à Holden (place Brouette).
Bon voyage… à Reims !
![]() Cindy Castille n’a pas tremblé en finale des 10 ans.
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Disputés comme d’habitude au Creps de Reims, les cham pionnats de Ligue des jeunes (10-18 ans) ont livré dimanche un verdict sans surprise. Toutefois, avec l’arrivée d’une nouvelle génération, de nombreux espoirs sont permis. A commencer par les titres de Cindy Castille (30/1, Cheminots Reims) en 10 ans et Margot Cremont (5/6, Bouzy) en 12 ans.
En 15/16 ans, dans une finale 100 % ardennaise en l’absence de Marie Menacer (- 4/6, Reims Europe Club), Zoé Hamel (1/6, Sedan) a eu beaucoup plus de mal que prévu pour battre Jackie Lassaux (15/1, ASPTT Charleville). Quant à Célia Respaut (0, Géo André), elle a fait respecter la hiérarchie, non sans difficulté, face à Charline Braidy (1/6, La Macérienne).
Du côté des garçons, outre le succès attendu des favoris Lucas Henry (30, Bouzy) en 12 ans ou Brice Jeanrat (15/3, Vitry) en 13/14 ans, il faut retenir la victoire expéditive d’Alexandre Blossier (4/6, Vitry) et Thibault Visy (2/6, Cormontreuil) respectivement en 15/16 et 17/18 ans.
Revenu en forme de l’Académie Bruguera en Espagne, le Vitryat n’a laissé aucune chance à Valérian Bouchaud (15, Géo André) 6-1, 6-1 alors que l’élève de Sébastien Jolly au CTC a fait mieux en dominant Benoît Varin (3/6, Vitry) sur le score sans appel de 6-1, 6-0.
A noter que les Marnais ont littéralement survolé cette compétition puisque, sur les 12 titres décernés, ils s’en sont adjugé 9 avec une mention spéciale pour le TC Bouzy qui a réalisé le doublé en 12 ans. Les Ardennes (2) et l’Aube (1) complètent le podium.
10 ans. - De La Bassetière (30/3, Cormontreuil) bat Be (30/3, Rosières) 5-3, 5-0.
11 ans. - Home (30, Sedan) bat Buyck (30, Dormans) 6-2, 6-1.
12 ans. - Henry (30, Bouzy) bat Mulat (30, Vitry) 3-6, 6-0, 6-1.
13/14 ans. -Jeanrat (15/3, Vitry) bat Lecas Regazzoni (15/5, Foyer Barsequanaise) 6-4, 6-0.
15/16 ans. - Blossier (4/6, Vitry) bat Bouchaud (15, Géo André) 6-1, 6-1.
17/18 ans. - Visy (2/6, Cormontreuil) bat Varin-(3/6, Vitry) 6-1, 6-0.
10 ans. - Cindy Castille (30/1, Cheminots Reims) bat Camille Saint Mard (30/1, ASPTT Charleville) 5-0, 5-2.
11 ans. - Maéva Spooner (30, Géo André) bat Flora Calcagno (15/5, Montmirail) 6-4, 6-0.
12 ans. - Margot Gramont (5/6, Bouzy) bat Claire Makh¬louf i (15, Givet) 6-0, 6-3.
13/14 ans. -Juliette Clément (15/1, ASPTT Troyes) bat Rhizlène Sentissi (15/3, Reims Europe Club) 7-6, 6-4. 15/16 ans. - Zoé Hamel (1/6, Sedan) bat Jackie Las-saux (15/1, ASPTT Charleville) 6-1, 6-7, 6-3.
17/18 ans. - Célia Respaut (0, Géo André) bat Char¬line Braidy (1/6, La Macérienne) 7-6, 6-4.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080611f
Par jugement en date du 27/05/2008, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’égard de :
SARL ANDRÉ SONIA PRODUCTION, 17 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
Activité : Production de manifestation, organisation de banquets, spectacles, jeux, vente et location de matériel, fabrication de costumes et accessoires de scène, communication.
R.C.S. REIMS B 478 776 040 (2005 B 00641).
Ledit jugement a nommé :
Mandataire judiciaire : SCP DARGENT - MORANGÉ - TIRMANT, en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins – 51100 REIMS.
Les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du mandataire judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Pour extrait certifié conforme, délivré par le greffier soussigné, A REIMS, le 27/05/2008,
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
65816
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080611e
Par jugement en date du 03/06/2008, le tribunal de commerce de RÉIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
EURL KNT ENTRETIEN, 22 cours Eisenhower -51100 REIMS.
Activité : Réparation entretien des véhicules automobiles, matériel agricole, engins TP essentiellement au domicile des clients.
R.C.S. : REIMS B 478 391 030 (2004 B 00482).
Ledit jugement a désigné :
Juge commissaire : M. Christophe PINEL.
Liquidateur : Maître DÉLTOUR Françcis, mandataire judiciaire, 3 rue Noël - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
65935
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Plusieurs poubelles ont également brûlé au cours de la nuit : une première rue de la Justice à 21 heures, trois autres rue Desbureaux à 23 h 30, une dernière avenue Bonaparte à 4 h 30.
![]() « Nous nous inscrivons dans la lignée de la politique fédérale. »
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Vous êtes directeur technique du Tennis club Géo-André. Quel bilan faites-vous de vos équipes ?
« On a eu des titres de champion de Marne cadets et 3e série et des finalistes du côté des minimes garçons et des benjamines. Dans les tournois seniors, Pierre Laurent (15/1) a perfé jusqu’à 4/6. »
Quel type de relation entretenez-vous avec la Fédération pour la gestion de votre centre de formation ?
« Nous nous inscrivons dans la lignée de la politique fédérale. Ce qui signifie que si l’année prochaine on réussit à faire sortir un joueur ou une joueuse de haut niveau qui est appelé à entrer dans le Pôle France on le laissera partir. Car l’objectif, fixé avec le directeur du Creps, c’est de poser notre candidature pour obtenir l’homologation officielle du centre de formation auprès du ministère. »
Comment se dessinera la prochaine saison ?
« Premièrement on va créer un groupe d’entraînement d’externes sur des catégories plus jeunes : en proposant les mêmes prestations qu’aux internes (entraînements, programmation et suivi de tournoi). Deuxièmement, au niveau des internes, on rajeunira l’âge des nouveaux arrivants. Il y aura plus de joueurs à gérer et aussi l’embauche d’un entraîneur supplémentaire. »
![]() Les collégiens méritants ont reçu leurs prix.
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C’est au collège Pierre-de-Coubertin que l’association des Parents d’élèves de l’enseignement public de Reims (Peep Reims) a remis leurs récompenses aux lauréats du Grand prix des jeunes lecteurs en présence de Mme Peultier, proviseur vie scolaire, représentant M. le recteur, de Bernadette Crenet-Held, présidente de l’association Peep Reims et Claudine Caux, vice-présidente de la fédération Peep.
Pour cette 24e édition du GPJL, ce sont 12.947 enfants qui ont participé à ce concours au plan national.
Parmi ceux-ci 1.753 Champardennais dont 1.283 Marnais et 978 Rémois.
Au plan local, 224 bulletins émanaient d’écoles primaires et 754 de collèges (11 collèges sur 13 ont participé).
Les collèges Université, Trois-Fontaines, Colbert, Léonard- de-Vinci, Robert-Schuman, Paul-Fort, François-Legros, Saint-Remi et Pierre-de-Coubertin ainsi que les écoles élémentaires Jard, Croix-Bonhomme, Sully, Zola, Ruisselet et Tournebonneau ont été récompensés pour leur participation.
Tous ces établissements ont reçu des bons d’achat.
Cela leur permettra d’enrichir les fonds des CDI et des bibliothèques scolaires.
Des enfants ont également été récompensés : Pour les élèves de CM2 : 1. Marianne Mogo Massado, de l’école élémentaire Jard ; 2. Gaëlle d’Ercole (école élémentaire Jard) ; 3. Perrine Ndongo (école élémentaire Jard).
Pour les élèves de sixième : 1. Gaëlle Guibert (collège Robert-Schuman), 2. Jade Pagnard (collège Université), 3. Léna David (collège Université).
A la suite de cette remise de prix, les 150 enfants présents dans l’amphithéâtre du collège ont dialogué avec Pascale Maret, auteur du livre « Esclave » paru chez Milan poche.
Les questions des enfants ont été suivies par une séance de dédicaces.
L’association Peep Reims a offert ce livre aux 978 participants rémois.
L’après-midi s’est terminée par un goûter pour les plus jeunes et le verre de l’amitié pour leurs accompagnateurs.
![]() La fin des contrats aidés sera au cœur des discussions ce soir lors de l’assemblée générale qui se déroule à la maison de quartier Cernay-Europe.
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Il devrait y avoir de l’animation ce soir à la maison de quartier Cernay-Europe. C’est en effet là que va se dérouler à 19 heures l’assemblée générale des maisons de quartiers de Reims dans un contexte plus que tendu. Avec la fin annoncée des contrats aidés par l’Etat, c’est en effet tout le fonctionnement des 13 maisons de quartiers et 25 espaces rémois qui va se trouver chamboulé. Sur quelque 1 000 salariés, plus d’une centaine était habituellement des contrats aidés. Avec le non-renouvellement de ces contrats dont le coût était en grande partie pris en charge par l’Etat, leur nombre est déjà tombé à 75 et devrait passer à une cinquantaine à la fin de l’été et 5 au 31 décembre prochain.
Appel à la grève aujourd’hui
« La conséquence directe de cette situation, c’est un recul du service offert aux Rémois », déplore Frédéric Destannes, délégué syndical dans les maisons de quartier. Son syndicat, la CGT, appelle à une journée de grève aujourd’hui et un rassemblement à 15 heures place d’Erlon. « Il va y avoir des modifications concrètes dans le fonctionnement de structures avec moins d’offres, une réduction des horaires hebdomadaires d’ouverture dans certains endroits, un accueil moins important… On se demande également quelles vont être les conditions de travail de ceux qui vont rester ». Le représentant syndical en appelle aux collectivités locales pour pallier la défaillance de l’Etat. « Tout le monde dit qu’il est nécessaire de renforcer les politiques en direction des jeunes. Il faut maintenant que les différents acteurs que sont la mairie, la Caf, le conseil général et l’État prennent des décisions. La nouvelle municipalité a fait de la petite enfance une de ses priorités. Elle ne peut pas se contenter de voir les choses sans réagir vite ». Du côté de la mairie, l’adjointe en charge des maisons de quartier avoue une certaine impuissance. « On doit faire face à un désengagement de l’Etat qui est un drame », indique Pascale Martin qui sera cet après-midi place d’Erlon aux côtés des salariés. « Il nous est impossible financièrement de remplacer ces postes (on parle de 2,5 millions d’euros). La seule possibilité pour l’instant, c’est d’apporter notre aide au cas par cas. En attendant de voir ce que l’on pourra faire lors du prochain budget. »
G. A.-T.
Lundi 16 juin, à 14 h 30, une rencontre est organisée par l’association « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » (3F) à l’espace Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard, sur le thème « Les .personnes âgées et la consommation ».
Entrée libre.
Renseignements auprès de la présidente, Renate Cossard au (06.07.96.56.72.
![]() Dans la salle, certains adhérents tombent de haut !
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La première mission de la nouvelle équipe de l’association Etoile Croix-du-Sud a été d’y voir plus clair dans les finances.
Elle en a rendu compte le jeudi 5 juin dernier lors d’une assemblée générale extraordinaire, devant une cinquantaine d’adhérents, d’élus et de responsables associatifs.
Jean-Michel Gauthier, nouveau président, et Jean-Louis Rumério, nouveau trésorier, ont dévoilé l’étendue des dégâts : 14.000 euros de découvert pour l’exercice 2007 ! « Mais qu’est-ce qu’ils ont fait de tout cet argent ? » demandait une adhérente scandalisée.
« On peut parler d’une mauvaise gestion, conduite à la petite semaine, sans plan de trésorerie et avec des erreurs toutes bêtes » répondait Jean-Louis Rumério : « L’ancienne équipe s’était coupé des bénévoles et a dû embaucher des professionnels. En fin d’exercice, les décisions n’étaient plus prises par la direction mais par les salariés eux-mêmes et avec beaucoup d’exagération ».
Rappelons que la nouvelle équipe s’est mise au travail après la démission des président et vice-président le 28 mars dernier.
Que faire maintenant ? Alain Chevallier pour Alpha Logement (une subvention de 25.300 euros en 2007) et la nouvelle équipe vont rencontrer les anciens dirigeants pour leur demander des explications et opérer un contrôle des factures : « C’est de l’argent public. En cas de problème, nous rechercherons des remboursements ! ».
Par ailleurs, le bureau présentera désormais des bilans intermédiaires réguliers à l’Effort rémois et à la Ville (une subvention de 15.200 euros en 2007).
Enfin, un budget prévisionnel a été établi pour résorber ce trou de 14.000 euros et relancer l’association : « Nous avons prévu de récupérer la moitié de la dette à la fin de l’exercice 2008-2009. Il nous faudra deux ans pour en venir à bout. » Bonne nouvelle, compte tenu du nouveau mode de fonctionnement proposé, la ville et l’Effort rémois maintiennent plus que jamais leur soutien à l’association, vieille de près de 40 ans.
D’autres photographies de notre Assemblée Générale sont disponibles dans notre galerie d’images
Jusqu’au samedi 28 juin, « Au clair de la lune, 3 petits bouquins » est une exposition ludique et sensorielle autour du livre permettant aux tout-petits jusqu’à 3 ans de manipuler, observer et explorer, et aux adultes de raconter des histoires en situation.
Cet espace-jeu est conçu pour faciliter l’approche du livre dans un moment de plaisir partagé entre l’enfant et l’adulte.
L’exposition est composée de deux modules thématiques :
dans la salle d’exposition « J’ai sommeil » (Le rite du coucher, la peur du noir, l’endormissement et le rêve, autant de situations illustrées dans des livres et abordées au travers d’un parcours sensoriel)
et, au premier étage, « Je veux un câlin » (Un câlin sur les genoux de papa ou maman, une histoire à écouter blotti au cœur d’un nid, le réconfort d’un petit gâteau trouvé dans l’imagier, la bonne odeur du doudou retrouvé).
Possibilité de visites par des groupes sur rendez-vous.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).
Entrée libre sur réservation préalable.
![]() Vive émotion hier, dans le quartier Croix-Rouge. Plusieurs passants se sont fait tirer dessus avec une carabine à plombs. Certaines victimes ont dû se rendre aux urgences.
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![]() L’immeuble n° 4.
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Vive émotion hier, dans le quartier Croix-Rouge. Plusieurs passants se sont fait tirer dessus avec une carabine à plombs. Certaines victimes ont dû se rendre aux urgences.
IL ne faisait pas bon se promener hier dans l’allée des Bourguignons du quartier Croix-rouge à Reims. Plusieurs passants se sont pris un plomb dans le corps, tiré à la carabine par un jeune garçon. La police est intervenue rapidement, et a fini par procéder à une interpellation.
Nicole R. fait partie des victimes du sniper. « Il était un peu plus de 10 heures, raconte-t-elle, je revenais tranquillement de faire des courses avec une dame. Tout d’un coup j’ai entendu un déclic de carabine, et j’ai aussitôt senti quelque chose à la jambe. J’ai tout de suite pensé : On vient de me tirer dessus ! » Effectivement, elle venait de se prendre un plomb au-dessous du genou gauche. Saignant, elle a dû se rendre aux urgences pour se faire soigner. « On m’a fait une radio pour localiser le plomb, et une fois qu’il a été retiré, on m’a recousue ! »
Hier soir, elle était encore tout émotionnée en racontant sa mésaventure à ses amies.
Mais le pire, c’est que cette dame n’est pas la seule à avoir subi les tirs. « Il y a eu sept personnes touchées en tout » affirme une habitante (plus modeste, la police parlait hier de seulement quatre plaintes, mais certaines victimes n’ont peut-être pas eu le loisir de procéder à la démarche…).
L’une de ces victimes aurait même été atteinte entre la colonne vertébrale et l’omoplate, rendant l’extraction du plomb particulièrement délicate.
Toujours est-il qu’une habitante a rapidement donné l’alerte après les incidents du matin, et « la police est arrivée presque tout de suite ! » indique-t-elle. Il semblerait que les tirs se soient néanmoins poursuivis jusque dans l’après-midi, jusqu’à ce que la police procède à au moins une interpellation, certains habitants parlaient de deux.
Peu de renseignements avaient filtré hier soir. Il semblerait toutefois que l’auteur soit un mineur, qui tirait au hasard depuis son appartement.
Selon les témoignages recueillis sur place, c’est au numéro 4 de l’allée que le tireur était embusqué. On voyait effectivement à cette adresse des traces de sang sur la chaussée.
Cette fâcheuse histoire de tir sur des passants n’est malheureusement pas une première : on se souvient peut-être qu’au cours de ce dernier mois de mai, les policiers avaient interpellé un jeune homme de 20 ans qui s’était lui aussi amusé à prendre pour cibles les gens dans la rue avec sa carabine depuis sa chambre du centre-ville. Mais il avait eu le bon goût de ne blesser personne, ce qui n’est plus le cas cette fois-ci…
Antoine Pardessus
![]() Claire Deborde, comédienne joue… une comédienne !
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![]() Claire Deborde, comédienne joue… une comédienne !
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Pour aider les jeunes dans leur orientation, I’UIMM Marne organise depuis sept ans des partenariats entre l’Education nationale et l’entreprise.
Quinze établissements scolaires marnais en ont bénéficié cette année.
MISE en place par l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UMM), l’opération connue sous le nom de « Bravo l’Industrie » a touché, en 2007/2008, 250 élèves accompagnés de 35 professeurs. Les portes ont été ouvertes sur l’environnement professionnel et les particularités des diverses techniques, avec les plans de formation sur les filières.
Venues de tout le département avec des documents qu’elles avaient réalisés, les équipes réunies au Collège Maryse Bastié de Reims pour la cérémonie de clôture le 6 juin ont su donner un panorama des informations acquises autour de métiers tous très recherchés, selon Denis Casters, président de I’UIMM Marne, et Patrick Tassin, président du Conseil économique et social de Champagne Ardenne, avec Serge Aubry, inspecteur de L’Éducation Nationale…
René Pau Savary, président du Conseil général, a souligné l’intérêt de cette initiative : « Elle permet la découverte des possibilités d’emplois dans une région qui a la chance d’avoir un pôle de compétitivités de renommée mondiale, avec un développement prometteur ».
La métallurgie recrute en France 100.000 personnes, dont un tiers de jeunes : tourneurs, fraiseurs, soudeurs, ajusteurs, mécaniciens, etc.
Tous renseignements peu vent être obtenus auprès de Françoise Simone, chargée de mission Jeunes-industrie 03.26.89.58.87.
Ont participé les lycées Roosevelt de Reims et professionnel de l’Argonne avec les collèges Louis Pasteur de Suippes, Pierre Souverville de Pontfaverger, Paul Fort de Reims, Stéphane Mallarmé de Fère Champenoise, Georges Braque de Reims, du Mazelot à Anglure, du Pré Bréart à Bazancourt, Henri Guillaumet de Mourmelon, Maryse Bastié de Reims, Louis Grignon de Fagnières, Notre Dame Perrier de Châlons en Champagne, Grand Morin à Esternay, Saint Remi de Reims.
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080609d
Juin est le mois très attendu des galas pour les danseurs de l’Association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap).
Dimanche 15 juin, la section danse classique, moderne et folklorique de Virginie Delauzun proposera son 22e gala à la Maison commune du Chemin-Vert, à 15 heures.
Dimanche 29 juin, les danseurs de la section rythmique, sportive et modern jazz de Céline Herter se produiront sur la même scène à 15 h 30.
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080609c
Le syndicat CGT de l’association des Maisons de quartier de Reims appelle les salariés à cesser le travail mercredi 11 juin, de 14 à 19 heures avec un rassemblement place d’Erlon à 15 heures, autour de la fontaine de la Liberté.
« Avec la fin des emplois aidés, nous ne pouvons accepter le départ brutal de 100 salariés, le recul important des services aux rémois (animation, multi-accueil, accueil-secrétariat, propreté des locaux), la dégradation des conditions de travail des salariés du fait de la diminution des postes et la baisse permanente de leur pouvoir d’achat » explique Frédéric Destannes, délégué syndical .
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080609b
![]() Claire Deborde, comédienne joue… une comédienne !
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« J’ai des affinités particulières avec les auteurs anglo-saxons » : Le choix de la pièce d’Alan Bennet « La chance de sa vie » par Claire Deborde s’explique par le fait que la comédienne a d’abord fait du théâtre en Angleterre.
Le thème ? « Une comédienne, entre deux engagements, seule dans son appartement, soliloque et prend le public à témoin. Elle raconte son art, qu’elle exerce en toutes occasions… fussent-elles parfois un peu dévêtues… Le tournage d’un film va peut-être la lancer. On réalise qu’elle a été prise surtout parce qu’elle fait 95 de tour de poitrine ! » Un personnage drôle malgré lui, très attachant. « Une sorte de sirène, la vie glisse sur elle… finalement, elle est très pure, elle se « donne » à son art… dans tous les sens du terme ! ».
Première création de la Compagnie « Sur le bout de la langue », un petit chef-d’œuvre d’humour et d’autodérision, où Claire Deborde se met en scène. Un spectacle monté en partenariat avec le Crous et la MGEL.
Jeudi 12 et vendredi 13 juin à 20 h 30. Centre culturel du CROUS 20 rue de Rilly-la-Montagne à Reims.
Renseignements et réservations au 03.26.35.85.60.
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080609a
Les pompiers sont intervenus hier après-midi vers 17h30 pour éteindre un feu de poubelle dans la rue Alfred-Gérard (secteur rue - de Neufchâtel).
Jeudi soir vers 23 heures, ils avaient eu le même travail à faire place Fragonard (Croix-du-sud).
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![]() Le responsable du projet et le chef d’entreprise devant la maison, dont le toit supporte les sources d’énergie solaire pour chauffer l’eau et la maison. J.F.SCHERPEREEL
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![]() L’épaisseur du toit montre en même temps l’épaisseur de l’isolation en « laine de bois ».
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![]() Cet appareil reçoit le courant à 600 volts en continu qu’il transforme en 220 v en discontinu.
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La maison de demain est visible dès aujourd’hui. Une entreprise de Muizon, près de Reims, a édifié un prototype de la maison du « développement durable ».
Elle réunit toutes les options pour en faire une habitation à énergie passive, aussi économique — une fois construite — qu’écologique. Cette maison de demain sera présentée officiellement le 13 juin en présence de tous ceux qui s’intéressent à la protection de l’environnement.
On sait que le bâtiment est l’un des plus gros consommateurs d’énergie à la construction et l’un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre à l’utilisation. Cependant, la profession ne reste pas les bras croisés et certaines entreprises cherchent à être à la pointe de l’écologie.
C’est le cas à Muizon où s’achève cette construction d’un prototype qui réunit toutes les options possibles pour respecter l’environnement. Les murs de ce coquet pavillon à ossature bois sont en chanvre, couvert de chaux à l’extérieur, de peinture bio à l’intérieur. L’isolation des combles est en laine de bois.
Orientée plein sud et fermée au nord, cette maison a un toit très pentu. Non pas pour la neige comme en montagne, mais pour offrir le maximum de soleil aux capteurs photovoltaïques qui produiront l’électricité — dont une bonne partie est déjà rachetée par EDF — et aux capteurs solaires thermiques qui chauffent l’eau contenue dans un ballon de 400 l.
La maison est très bien isolée par la nature même des matériaux et par sa conception. Cependant, une pompe à chaleur aide à la chauffer grâce à un plancher chauffant à basse température au rez-de-chaussée et à des « ventilo-convecteurs » à l’étage.
La maison n’a pas besoin de climatisation, car un « puits canadien » — 75 m de tuyauterie enfoncés à 1,5 m en sous-sol — réchauffe ou refroidit l’air ambiant selon la saison.
L’eau de pluie est récupérée pour arroser le jardin ou laver la voiture. Impossible en France de l’utiliser pour un usage domestique (toilettes, lessive, etc.) officiellement pour des questions « sanitaires ».
Cette maison écologique idéale est — bien entendu — entièrement recyclable. Son coût est estimé à 2.300 € le m2 tout compris (pour 170 m2).
Cependant, les concepteurs doivent construire une usine de fabrication de l’ossature bois et d’injection du chanvre qui permettra l’industrialisation partielle de la construction et donc, la réduction des coûts. De même, l’investisseur n’est pas obligé de prendre toutes les options écologiques.
De plus, au bout de dix ans, économies d’énergie, production d’électricité et limitation de l’entretien aident à réduire le « coût global » de la construction.
Textes et photos J.F.Scherpereel
Un sujet de recherche pour les étudiants
![]() Ce mur à nu monte à la fois l’ossature bois et les murs en chanvre.
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De nombreux freins ont longtemps bloqué le développement de la maison en bois.
Aujourd’hui, la peur recule, dans un marché qui représente 4 % de la construction, soit environ 9.000 maisons. La filière bois espère atteindre les 8 % dans les prochaines années.
Parmi ces freins, il y avait les doutes sur la durabilité, sur le coût ou les contraintes d’entretien. Ou encore la peur du feu. M.Possémé travaille avec le lycée rémois « Arago » pour la recherche sur la tenue au feu, en lien avec la Région, l’ADEME, la Fédération du bâtiment.
D’autres recherches devraient être conduites par la FFB en lien avec l’IUT de Reims pour l’utilisation des produits de déconstruction, du béton notamment.
J.F.S.
Une démarche écologique à long terme
Le chef d’entreprise à l’origine de cette maison prototype, Pierre Possémé, mène une démarche écologique depuis ses débuts. Compagnon maçon associé à un charpentier, il a relancé les carreaux de terreau (années 80) ; lancé l’exploitation du « monomur » en briques (1994) ; appliqué le chanvre sur les murs sous forme d’enduit, avant de l’utiliser directement dans la confection du mur (il a construit une maison entièrement en chanvre à Witry-les-Reims). Enfin, il se lance dans la maison à ossature bois.
« Aujourd’hui, nous passons à la vitesse supérieure » indique M.Possémé. Parce que « ça bouge partout » en France, mais encore de façon balbutiante, comme dans le Pas-de-Calais, où un village écologique complet pourrait sortir de terre.
De même, poursuit Pierre Possémé, « dans 5 ans, la région manquera de sable et de gravier. Avec quels matériaux construira-t-on ? »
J.F.S.
![]() Chanter en direct : pas facile non plus…« Avant on ne croyait pas en nous… Avec ce CD, on a prouvé aux autres et à nous qu’on était capable… »
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Le « carnet de notes » rédigé par les élèves du lycée Joliot-Curie dans la pochette du CD « Gavroche et les révoltés » - « la ré-création » - résume l’impact d’un projet « extraordinaire » sur des jeunes au parcours scolaire difficile, prêts à décrocher mais entraînés dans un processus pédagogique fédérateur proposé par la mission générale d’insertion et sa coordonnatrice Marie-Chantal Rogé.
Il s’agissait de composer, d’interpréter, d’enregistrer une série de huit titres, avec l’aide technique de la Cartonnerie et de professionnels musiciens autour du chanteur Gavroche.
Grâce à des soutiens financiers (Education nationale, Région, préfecture…), le projet a été mené à bien de novembre 2007 jusqu’à la présentation officielle du CD à la Cartonnerie le 4 juin dernier par son directeur Gérard Chabaud, par le proviseur de Joliot-Curie, Gilles Gladieu, et le coordonnateur académique de la Mission générale d’insertion, Nicolas Baudoin.
Les familles sont reparties avec le résultat concret d’une démarche qui a eu pour effet de faire rebondir les jeunes impliqués dans cette aventure : ils ont maintenant un projet personnel mobilisateur.
Ces deux jeunes
Ils avaient déjà fait parler d’eux, et pas en bien hélas, pour une série d’incendies volontaires de voitures et poubelles entre décembre et avril derniers dans le quartier Croix-rouge.
Ce qui leur avait valu un passage devant le juge des enfants il y a peu.
L’aîné devait être placé dans un foyer de Tinqueux, spécialisé dans l’accueil des mineurs en danger ou délinquants.
Or, dès le premier soir de son entrée dans cet établissement, il jouait la fille de l’air ! Après le dîner, il s’échappait, et regagnait le quartier Croix-du-sud ; là, il retrouvait divers amis, et finit, avec l’un d’eux, par mettre le feu à une Ford Scorpio, place Auguste-Rodin.
Le feu endommageait par propagation un Renault Trafic et une Volkswagen.
Le garçon a été interpellé mardi et placé en garde à vue. Il expliquera aux policiers qu’il avait agi « par représailles à la suite de son placement en foyer ! »
Dans le genre intenable, son jeune frère n’est pas mal non plus. Le 31 mai dernier dans l’après-midi, il fait le bazar dans un bus au milieu d’une bande de jeunes : s’agrippant aux barres, il tape du pied contre le plafond.
Et il prend très mal les remarques que la conductrice ne manque pas de lui faire. La bande descend à l’arrêt Brazzaville (quartier Europe).
Mais le jeune acrobate ne se contente pas d’injurier la conductrice en quittant le véhicule, il donne aussi un coup dans le rétroviseur de celui-ci.
Et quand la conductrice descend pour remettre le rétro en place, c’est elle qui est frappée à son tour ! Coup de pied et coup de poing, quatre jours d’incapacité constatés ! Le frappeur a été interpellé, le même jour que son frère l’incendiaire.
Les deux « sauvageons » ont donc eu droit à une nouvelle présentation au juge des enfants, et à une mise en examen, avant d’être rendus à leurs parents.
A.P.
Des activités sportives sont proposées par la Ville de Reims en juin, juillet et août.
Voici le programme du 9 au 24 juin : activités physiques de pleine nature, au parc de Champagne, accueil des enfants à partir de 9 heures le matin jusque 15 h 30. Classes concernées : Cycle 3 des circonscriptions rémoises.
Du 17 au 24 juin : challenge d’Athlétisme, au Creps de Reims, accueil des enfants à partir de 9 heures le matin jusque 15h30. Classes concernées : cycle 2 et cycle 3 de la circonscription IV (Croix Rouge, Wilson, Maison Blanche).
Du 16 juin au 1er juillet : tournoi de badminton, aux gymnases du secteur Châtillons-Murigny de 9 à 11 heu¬res puis de 14 à 16 heures. Classes concernées : Cycle 3 de la circonscription III (Châtillons-Murigny).
![]() Les organisateurs ont remis les trophées à l’issue d’une journée bien remplie.
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![]() Dans les gradins, certains avaient déjà en tête la prochaine édition.
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Les Jeux départementaux de l’Union Sportive de l’Enseignement de Premier degré ont réuni 400 participants à Suippes. Foot, hand, basket, rugby et triathlon, le menu était varié.
Vingt écoles de Vitry-le-François, Châlons, Reims et Suippes étaient présentes au complexe Jules-Colmart. A côté du volet compétition, la course à contrat où le jeune participant s’engage à courir entre 10 et 25 minutes a également remporté un franc succès auprès des écoliers. Le tennis, le tennis de table, le tir à l’arc, l’escalade et le parcours pompier figuraient, eux, au volet découverte de cette journée.
L’organisation de ces Jeux a été possible grâce à la mairie de Suippes, la Communauté de communes de Suippes, les clubs sportifs locaux, les comités départementaux de band, foot, basket, rugby, triathlon, tennis et tir à l’arc. La mise en place de cette journée a été assurée par l’Usep51 et l’école Aubert-Senart dirigée par Didier Pierre-Dit-Méry.
FOOTBALL. - 1. Saint-Remy-sur-Bussy ; 2. Orgeval (Reims) ; 3. Hippodrome (Reims) ; 4. Ravel (Reims) ; 5. Desbureaux (Reims) ; 6. Vraux ; 7. Louvois (Reims).
RUGBY. - 1. Mallaury (Suippes) ; 2. Illyana (Fagnières) ; 3. Lindsay ;Suippes) ; 4. Chloé (Suippes).
BASKET-BALL. -1. Galilée 2 (Reims) ; 2. Courcelles (Reims) ; 3. Amundsen (Reims) ; 4. Maison-Blanche (Reims) ;- 5. Galilée 1.
HANDBALL. - 1. Mourmelon ; 2. Blanche-Cavarrot (Reims) ; 3. Proven¬ ;aux (Reims) ; 4. Courtisols ; 5. Orgeval 1 ; 6. Orgeval 2.
TRIATHLON. - 1. Vitry-le-François ; 2. Suippes ; 3. Mazarin (Reims) ; 4. Orgeval 1 ; 5. Orgeval 2.
BASKET-BALL. -1. Ravel ; 2. Avranches (Reims) ; 3. Orgeval ; 4. Saint Remy-sur-Bussy ; 5. Fagnières.
HANDBALL. - 1. Amundsen ; 2. Fagnières ; 3. Mazarin.
FOOTBALL. - 1. Paul-Bert (Reims) ; 2. Courtisols ; 3. Courcelles. 4.Louvois ; 5.
Blanche-Cavarrot ; 6. Orgeval
TRIATHLON. - Vitry-le-François ; 2. Suippes ; 3. Orgeval 1 ; 4. Orgeval 2
1. Mourmelon ; 2. Orgeval ; 3. Louvois ; 4. Amundsen ; 5. Courtisols. 6 .Ravel ; 7. Saint-Remy-sur-Bussy ; 8. Suippes ; 9. Fagnières ; 10. Desbureaux.
![]() C’est l’heure des récompenses pour les sportifs.
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Le stade Georges-Hébert vient d’accueillir la rencontre d’athlétisme des élèves de Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté) rassemblant environ 320 élèves et 50 enseignants en provenance des collèges Maryse-Bastié, Trois-Fontaines, Paul-Fort et Joliot-Curie de Reims, du collège Paulette-Billa de Tinqueux, du collège Thibaud-de-Champagne de Fismes, et des collèges Terres-Rouges et Côtes-Legris d’Epernay.
Cette manifestation sportive a un aspect éducatif : concrétiser les apprentissages corporels et sociaux dans une compétition, responsabiliser et mettre en valeur les élèves de situation sociale souvent très modeste, et un aspect sportif réel : proposer 4 épreuves individuelles (poids, saut en longueur, vitesse et demi-fond, et une épreuve collective : des relais de 8 fois 200 mètres. Ces épreuves ont été récompensées par 54 médailles et 8 coupes. Malgré la pluie, les collégiens ont fait preuve de sportivité et d’effort.
Au nombre de médailles, 4 collèges se sont distingués : Terres-Rouges 4, Paul-Fort 14, Côtes-Legris 9, Trois-Fontaines 6. Coupes des relais : Terres-Rouges, Côtes Legris, Paul-Fort, Paulette-Billa, Trois-Fontaines.
Le 10 février 2008, trois copains s’enivrent à la vodka dans un appartement du quartier Croix-Rouge à Reims. De leurs esprits vaporeux surgit une idée stupide : appeler les pompiers pour leur signaler un violent incendie allée des Bourguignons.
C’est Mickaël Silberreiss, 18 ans, qui passe le coup de fil. Le choix du lieu n’est pas anodin car l’allée des Bourguignons est un ensemble de grands immeubles bien connu des sauveteurs pour ses nombreux feux de caves et autres feux de poubelles enfumant régulièrement les communs.
Le centre « 18 » de Fagnières envoie donc la grosse cavalerie : dix-neuf pompiers débarquent sirènes hurlantes avec une grande échelle, une ambulance, un véhicule de commandement et deux fourgons de lutte contre l’incendie.
« La boisson a enflammé les esprits de ces trois individus. Mais de flammes, il n’y en avait pas » résume le substitut du procureur lors du procès de Mickaël Silberreiss hier au tribunal correctionnel de Reims.
Pour de tels faits, la peine encourue peut atteindre deux ans de prison et 30.000 € d’amende.
Le jeune homme joue un sale tour à son avocat, Me Stanislas Creusat, en « oubliant » de venir à l’audience. Seul est présent l’un des copains, qui, le même soir, avait appelé le centre 15 du Samu pour signaler un prétendu accident dans le quartier. Ses propos alcoolisés étaient tellement incohérents que le régulateur du Samu, flairant le canular, n’avait pas déclenché l’intervention (ce volet de l’affaire est sanctionné par un mois de prison avec sursis).
Partie civile, le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) est représenté à l’audience par Me Nicole Cornu-Jondet. « C’est scandaleux. On a fait déplacer toute une équipe au détriment d’autres personnes qui auraient très bien pu avoir besoin des secours au même moment. Il y a un préjudice matériel (ndlr : estimé à 400 €) mais il y a aussi un préjudice moral. On joue avec l’autorité des pompiers qui se dévouent à longueur de temps pour la population. »
Le parquet requiert quinze jours d’emprisonnement contre Mickaël Silberreiss, condamné quelques semaines avant le canular à six mois de prison avec sursis pour un vol de voiture.« Il faut replacer cette affaire dans son contexte », plaide Me Creusat. « La retranscription de la conversation téléphonique qui a motivé l’intervention des secours est très instructive. Après avoir annoncé qu’il y avait le feu, M.Silberreiss a demandé aux pompiers d’envoyer sur les lieux Jet Li, un acteur chinois d’arts martiaux, et John Travolta ! Tout au long de la conversation, on entend des rires derrière lui. Je ne comprends pas qu’on puisse décider d’envoyer 19 pompiers à l’écoute d’une telle conversation. Il n’y aurait pas eu ce déplacement inutile si la personne du standard avait été plus diligente dans le traitement de l’appel. »
Le SDIS appréciera. Toujours est-il qu’il obtient 700 € de dommages-intérêts et que le tribunal condamne l’auteur du canular à un mois de prison ferme.
Fabrice Curlier
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS DE SERVICES
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1. Pouvoir adjudicateur : RÉGION CHAMPAGNE-ARDÉNNE, 5, rue de Jéricho, 51000 Châlons-en-Champagne. Mandataire : O.P.A.C. des Ardennes, 22-24, avenue des Martyrs-de-la-Résistance, B.P. 30, 08001 Charleville-Mézières cedex.
2. Personne responsable du marché : Monsieur le Président du Conseil régional Champagne-Ardenne.
3. Lieu d’exécution : lycée Arago, 51100 Reims, France ; catégorie du service et description : 12 (services d’architecture) ; Classification C.P.V. : 74222100 - 74222300 ; objet : mission d’ordonnancement, de pilotage et de coordination dans le cadre de la restructuration du lycée Arago à Reims (51) France.
4. Type de procédure : appel d’offres ouvert européen ; critères d’attribution : critères pondérés suivants (article 53 du Code des marchés publics) : valeur technique : 60 % ; prix : 40 %.
5. Attribution du marché : nom et adresse du titulaire : SARL T.C.A. INGÉNIERIE, 35 bis, rue Camille-Lenoir, 51100 Reims ; montant du marché : 86.640 euros H.T.
6. Renseignements complémentaires :
Référence de publication : JOUÉ n° 2007/S - 193-234971 du 06/10/2007 ; BOAMP n° 192 du 05/10/2007 ; L’UNION éditions Ardennes et Marne n° 1510167 du 09/10/2007 ; MATOT-BRAINE n° 58813 du 08/10/2007.
Procédure de recours : instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne.
Introduction en recours : référé précontractuel avant la signature du marché, recours pour excès de pouvoir dans un délai de 2 mois.
Date d’envoi du présent avis : 28 juin 2008.
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080606b
Mardi 17 juin 2008 , deux représentations sur le thème de l’environnement seront données à la Comète de Bétheny : “Les bouteilles à la mer” dont le spectacle est en création et “Horizon” par le collectif de création 2008 du Festival « Croix-Rouge s’affiche » avec musique, danse urbaine et théâtre.
Début des festivités : 20h. Entrée libre. Spectacles tout public
L’hebdo du vendredi- n° 81 - 080606a
![]() Le maître d’œuvre Philippe Gibert a pris en charge la réalisation du nouveau bâtiment original et écologique.
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Amorcée en août dernier, la construction du nouveau bâtiment de l’UFR STAPS se poursuit à grands pas et devrait s’achever en octobre prochain.
Créée en 1992, la filière rémoise d’Unité de Formation et de Recherche des Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) n’a eu de cesse de s’accroître atteignant en 2005, un maximum de 1100 étudiants. Afin de répondre à cette augmentation des effectifs et dans le cadre du contrat de Plan Etat-Région, la décision de doter l’UFR STAPS d’un nouvel édifice a donc été prise. La Région s’est beaucoup investie dans ce projet qui s’inscrit directement dans le contrat de projets signé avec l’Etat (priorité à la rénovation et l’adaptation de l’immobilier universitaire pour les années à venir). Jacques Meyer, Vice-Président de la Région Champagne-Ardenne, en charge notamment de l’Enseignement Supérieur, se réjouit de l’ouverture prochaine du bâtiment : « Lorsque nous avons appris que l’Université souhaitait développer ses infrastructures en STAPS, nous avons tout de suite voulu participer au projet. Les étudiants disposeront d’une complète autonomie de fonctionnement et de locaux adaptés aux besoins de leur formation (amphithéâtre, salles de cours et salles multimédia, laboratoires de langues…) ».
La Région a également été séduite par le projet architectural en soi : une bâtisse de 1880 m² pourvue de façades colorées qui trancheront avec les pré-fabriqués situés tout autour. « On voulait un bâtiment qui rende plus vivant le campus du Moulin de la Housse.
C’est aussi le moyen de redynamiser cette filière qui, depuis deux ans, perd des étudiants » conclut Jacques Meyer. Sparnaciens ou Châlonnais, Carolomacériens ou Rémois, chaque étudiant saura apprécier les qualités environnementales et de développement durable du futur bâtiment. Outre la toiture végétalisée et la ventilation double flux, un des principaux atouts de l’installation sera son mur trombe : une paroi vitrée permettant de préchauffer un espace vide qui se chargera en calories qui seront stockées dans une centrale permettant le chauffage partiel de l’amphi. Pour la réalisation des travaux, c’est l’architecte Philippe Gibert qui a remporté, parmi trente autres candidats, le concours lancé par la Région : « J’ai bâti mon projet en essayant de répondre au mieux aux besoins de l’UFR. J’avais déjà travaillé sur des maisons de quartier ou des bâtiments scolaires mais c’est la première fois que je participe avec la Région à un projet pour la fac ».
Située au coeur du campus du Moulin de la Housse, la nouvelle infrastructure devrait être achevée pour la rentrée universitaire 2008.
Aymeric Henniaux
Assemblée générale du Mouvement d’action et de réflexion pour l’accueil et l’insertion sociale (centre des congrès, 17 heures).
Assemblée générale de l’Ethic étapes au centre international de séjour (18 h 30)
et de l’association Etoile Croix du Sud (19 heures, avenue Léon-Blum)
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITA (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal¬officiel.gouv.f...).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 27-111 du C.M.P.
3) Objet des marchés : marché de travaux : ravalement des façades, réfection des jardinières béton 32-46 esplanade Eisenhower, 39-45, rue Pierre-Tainttinger.
4) Nombre et consistance des lots : 1 lot :
Lot 2 : maçonnerie.
5) Modalités d’attribution des lots : par marchés séparés.
6) Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 30 jours).
7) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8) Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P.
9) Critères d’attribution :
Mémoire technique : 20 %,
Prix : 80 %.
10) Délai de validité des offres : 120 jours.
11) Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
12) Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction de la Construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.
13) Date limite de remise des offres : 27 juin 2008 à 17 heures.
14) Date d’envoi de l’avis à la publication : 2 juin 2008.
![]() Nathalie Dieterlé présentera ses livres d’ombres chinoises.
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Illustration : un atelier d’illustration est proposé par Nathalie Dieterlé. Elle leur présentera ses livres d’ombres chinoises et partagera son savoir-faire afin qu’ils créent leur propre théâtre d’ombres. (6 à 9 ans) samedi 7 juin à 10 heures.
Art postal : un atelier d’art postal « Cartes postales, voyage en mots et en images » sera animé par la plasticienne Dominick Boisjeol. (A partir de 7 ans, samedi 7 juin de 14 à 17 heures).
L’air du conte : « Le turban du sultan » : au Sahara, le turban perdu par le sultan offre son ombre et sa fraîcheur aux animaux du désert assoiffés. À partir de 5 ans, mercredi 18 juin à 15 heures.
L’heure des bébés : au sein de l’exposition « Je veux un câlin », les tout-petits de 3 mois à 3 ans et leurs parents seront accueillis pour un moment de lecture tendresse suivi d’une projection de très courts-métrages. Mercredi 11 et samedi 21 juin à 9 h 30.
![]() Christian Gérard, président de la section pétanque de l’Acrap, crie « Au secours ! ».
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Avec, pour la dernière saison, un effectif toujours en baisse (il ne reste que 16 adhérents contre plus de 100 jadis), la section pétanque de l’association Croix-Rouge animation et promotion est bien mal en point.
Pour le président Jean-Pierre Génesseau, « cette section depuis maintenant quatre ans voit son effectif en chute libre suite aux aléas d’aménagement du boulodrome construit près de l’association : il n’est pas adapté aux jeux de boules. Le terrain est gravillonné à outrance et je demande à la nouvelle municipalité de nous aider à résoudre ce problème en raclant au moins tous ces cailloux ». Christian Gérard, président de la section pétanque confirme : « Sans terrain praticable, pas de compétitions officielles ! »
![]() Terema Kante et Katia Lecomte.
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Elles s’appellent Terema Kante et Katia Lecomte.
Ces deux jeunes collégiennes de 6e à Georges-Braque, un établissement classé en Zep, se sont qualifiées pour les championnats de France scolaire de bridge qui se dérouleront vendredi 6 et samedi 7 juin à Saint-Cloud en région parisienne.
Les deux Rémoises représenteront la Champagne.
« Derrière son aspect ludique, le bridge a une grande influence sur la capacité de concentration et de réflexion des enfants », explique une enseignante.
« Ils doivent compter leurs points, leurs levées, leurs longues… »
![]() Max Lotois et Aurélien Troiano.
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A la suite des katas, examens techniques qui se sont déroulés à Bazeilles (Ardennes), Max Lotois, 28 ans, et Aurélien Troiano, 19 ans, membres de l’association sportive Croix-Rouge, section judo, ont été promus au grade de ceinture noire 2e dan.
Max a commencé le judo à l’âge de 8 ans, il est devenu ceinture noire en 1996 et, depuis qu’il est au sein de l’ASCR, il a participé à de nombreuses compétitions pour les 100 points de son 2e dan.
Aurélien est un pur produit du club puisqu’il a commencé le judo il y a 11 ans. Après sa ceinture noire obtenue en 2005, il a cumulé les points en compétitions en vue de son 2e dan.
Contact : Association sportive Croix-Rouge, Tél. 06.21.69.79.70. et 03.26.08.10.64. ou sur place, au gymnase François-Legros, 1 avenue du Président-Kennedy.
Mardi vers 19 heures, un petit incendie s’est déclaré dans un local à vide-ordures de l’allée des Limousins. Des locataires l’ont éteint avant l’arrivée des pompiers.
…
Hier midi, une fumée suspecte signalée allée des Picards provenait d’un feu de poubelle dans le hall d’entrée du n° 3.
…
Lors d’un contrôle routier place Jean-Frago¬nard, mardi après-midi, les policiers ont mis la main sur un jeune homme de 31 ans recherché en vertu d’une décision de justice.
Abdrarhem El Kerroumi avait trois mois ferme à purger pour une affaire de chèques falsifiés.
Il a été conduit à la maison d’arrêt.
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultatîon lancée par RÉIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le sîte internet de RÉIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage • RÉIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDÉNNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : appel d’offres ouvert.
3) Objet des marchés : marché de maîtrise d’œuvre : travaux de création et de transformation d’ouvrages d’infrastructure, quartier Croix-Rouge à Reims.
4) Délai global d’exécution : 36 mois.
5) Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P (voir règlement de consultatîon).
6) Critères d’attribution :
Prix : 60 %,
Valeur technique : 40 %.
7) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNÉ-ARDÉNNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habîtat.fr
8) Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la directîon de la construction des programmes techniques et spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.14, fax 03.26.48.43.40.
9) Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT Champagne-Ardenne, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
10) Date limite de remise des offres : 18 juillet 2008 à 17 heures.
11) Date d’envoi de l’avis à la publication : 30 mai 2008.
IDEAL VÉRANDA
Société à responsabilité limitée au capital de 1.500 euros.
Siège social : 36, rue de Châtivesle, 51100 Reims. 503.933.426 R.C.S Reims.
Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 23 maî 2008, les associés ont décidé de transférer le siège social qui était au 36, rue de Châtivesle, 51100 Reims à l’adresse suivante : 53, esplanade Eisenhower, 51100 Reims.
L’article IV des statuts a été, en conséquence, mis à jour.
Le gérant, M. EZ AHERY.
Domicilié à Epernay, un jeune homme de 19 ans s’est rendu samedi matin à la faculté de droit de Croix-Rouge, rue Pierre-Taittinger, pour venir s’expliquer avec son « ex ».
En fait d’explications, il a proféré des menaces de mort envers la demoiselle et sa mère.
Interpellé par des policiers, l’individu ne s’est pas calmé au commissariat, bien au contraire.
Après avoir tout nié en bloc en tenant un discours incohérent, il a soudain menacé de mort le lieutenant de police qui procédait à son audition.
Le jeune homme devra répondre de ses excès de langage le 2 octobre au tribunal correctionnel de Reims.
![]() Sur un total de dix-huit matches disputés, ils ont réalisé 14 victoires, 2 défaites et 2 nuls.
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En troisième série du District Marne de foot, le FC Atlas accède à la catégorie supérieure.
Sur un total de dix-huit matches disputés, les Atlatistes ont réalisé 14 victoires, 2 défaites et 2 nuls. Par ailleurs, ils finissent meilleure attaque du groupe B. « Le championnat en lui-même avait été marqué par une énorme concurrence jusque dans les derniers matches », analyse le président Hichem Boussoufi.
« L’ascension a été possible car nos joueurs (ainsi que nos dirigeants : Nordine Lakbachi et Jean-Baptiste Bembeleny) ont fait preuve de beaucoup de discipline mais aussi de sacrifice. Car ne l’oublions pas, ce sont avant tout des amateurs. »
Les projets ? « Assurer la montée en série supérieure ; poursuivre nos actions d’insertion sociale et professionnelle et notre partenariat avec la Ville de Reims, les associations et le District Marne de foot pour la lutte contre toutes sortes de discrimination, les incivilités ; et développer le futsal dans les quartiers. »
Sylvie Brin, guide nature à l’Espace Billard, anime la dernière sortie « bol d’air » de la saison. Rendez-vous pour le week-end du 14 juin, pour un « voyage dans le temps » (conditions particulières).
Renseignements au 03.26.08.08.78.
Jeannine Catry, présidente du Reims Acrap patinage, tient à mettre un terme à certaines rumeurs malveillantes qui circulent dans le quartier : « Le Rap informe ses fidèles, et aussi ses futurs adhérents, que le club continuera à les accueillir la saison prochaine pour la pratique du patinage artistique et de la danse sur glace, pour enfants et adultes, en compétition et loisir » précise-t-elle.
Avant la rentrée, un stage sera proposé à la patinoire Jacques ¬Barot du 25 au 29 août : les enfants inscrits cette saison pourront se remettre en condition, et les non licenciés pourront bénéficier d’une initiation gratuite.
Pour la saison 2008-2009, les inscriptions sont prises dès maintenant.
Renseignements I au 06.24.85.44.64.
La sortie des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau est programmée dimanche 8 juin vers les Ardennes, la Semoy et la promenade George-Sand à Revin (avec pique-nique).
Départ à 7 heures, retour vers 16 h 45.
Renseignements au 03.26.36.03.50.
Dans le cadre des ventes de produits au bénéfice de ses actions pour aider les enfants, l’UNICEF installera un stand au sein de la galerie commerciale de l’hypermarché Leclerc de Champfleury, du jeudi 5 juin au samedi 7 juin et un autre stand dans la galerie de l’hypermarché Cora à Cormontreuil, du jeudi 1, juin au samedi 14 juin.
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Hier à 1 heure du matin, ils sont intervenus allée Edgar Degas pour éteindre un feu de cave, au n°11
![]() Le tour du quartier comme il n’a jamais été fait.
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Une marche sensorielle orchestrée par une danseuse, Milena Gilabert, un musicien, Arnaud Sallé, et menée tambour battant par un conteur, Frédéric Pougeard, changera notre regard sur le quartier et se terminera par un joli moment de convivialité à déguster vendredi 6 juin de 18 à 20 heures (passage à la médiathèque vers 18 h 45).
Cette animation est portée par le Manège de Reims, en collaboration avec les maisons de quartier et financé par l’État, la ville de Reims et le conseil général.
Rendez-vous à 17 h 30 à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau) où un atelier créatif pour les enfants de 4 à 12 ans est assuré pendant toute la durée du parcours.
![]() Les jardiniers bénévoles accueillent les visiteurs.
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Pour la sixième édition de l’opération « Rendez-vous aux jardins », ceux de Croix-du-Sud tenaient portes ouvertes samedi 31 mai et dimanche 1er juin pour une visite commentée de leurs 67 parcelles familiales rue Joliot-Curie.
Si samedi, le mauvais temps et les travaux de démolition de la passerelle de Croix-du-Sud ont quel- que peu refroidi les volontaires, il n’en fut pas de même dimanche, avec un soleil agréable.
Un stand de fleurs, plantes aromatiques et cucurbitacées préparées « maison » permettait aux visiteurs de ne pas repartir les mains vides.
![]() 5,1 millions d’euros pour un bâtiment de 1.900 m2.
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![]() Jacques Meyer a fait la visite de l’amphi sous la conduite de l’architecte Philippe Gibert.
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Hier, lors de la visite du chantier des futurs locaux pédagogiques de l’UFR Staps, Jacques Meyer, vice-président du conseil régional, a regretté l’absence d’un représentant de l’université.
« ILS ont été invités. Ils n’ont pas daigné envoyer un représentant. Ce n’est guère poli à l’égard de la Région qui finance 4,7 M€ des 5,1M€ que coûte ce bâtiment de l’Unité de formation et de recherche des sciences et techniques des activités physiques et sportives (1). » Vice-président de la région chargé de l’Université, Jacques Meyer n’a guère apprécié hier l’absence d’un responsable de l’Université pour la visite au Moulin de la Housse du chantier du superbe bâtiment destiné aux 700 élèves inscrits en filière Staps.
Ce bâtiment, commencé en août 2007 et remplaçant des préfabriqués, devrait être livré à la Toussaint. À proximité des terrains de foot et de tennis, il comportera notamment au rez-de-chaussée un amphi de 200 places, une cafétéria, des salles de cours, des salles informatiques et audiovisuelles, et à l’étage des salles de travaux dirigés, des salles de cours et l’administration.
C’est sous la conduite de Philippe Gibert, architecte, que les participants ont pu découvrir le chantier de la structure moderne de béton d’acier et de bois de plus de 1.900m2 de surface utile conçue tout spécialement pour économiser l’énergie.
Toiture végétalisée pour améliorer le confort thermique et mieux retenir l’eau, mise en place d’un mur trombe pour récupérer de l’air chaud gratuit pour chauffer l’amphi, isolation par l’extérieur et ventilation double flux, feuillus et baies vitrées protégées par des volets pliants côté ouest : tout a été pensé pour économiser l’énergie. Les plafonds ont été floqués pour l’acoustique.
Alors que le bâtiment n’est pas encore terminé, Jacques Meyer ne cache pas non plus son inquiétude. Les contribuables de la Région paient 5M€ pour cet équipement décidé lors d’un contrat de plan État Région en 2000. On comprendrait mal qu’au gré de la nomination d’un nouveau président d’université qui souhaite maintenant un regroupement général sur le campus Croix-Rouge on abandonne le bâtiment. « C’est n’importe quoi ! Comment travailler avec l’université s’ils changent de stratégie tous les quatre à cinq ans. » Impossible hier après-midi de joindre un responsable à l’université.
Alain Moyat
(1) La ville de Reims donne 304.898 euros.
![]() Les parents intéressés par l’enseignement du chinois.
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Dès la prochaine rentrée de septembre, le collège Georges-Braque de Reims est autorisé par l’inspection académique de la Marne à proposer à ses élèves une option chinois en 4e LV2. Cet établissement sera le seul de l’académie (secteurs public et privé) à offrir un tel choix.
Grâce à l’assouplissement des mesures de carte scolaire, cette option ne sera pas réservée aux élèves du secteur, mais ouverte à tous les collégiens quelle que soit leur origine.
Elle n’est pas non plus réservée aux élèves d’origine asiatique puisque, selon Wenying Yin-Lefebvre, inspectrice régionale de chinois venue de Paris, « 90 % des collégiens sinisant sont de langue maternelle française ».
La poursuite de l’enseignement, après le collège, est prévue au lycée Jean-Jaurès où une section existe déjà.
Mme Malaval, principale du collège, a convié les familles intéressées à une réunion d’information : « La Chine se développe énormément et très rapidement. Apprendre cette langue serait donc un atout supplémentaire pour nos élèves ». L’inspectrice a présenté les atouts de l’apprentissage du chinois : « Le chinois pourrait devenir la deuxième langue de la mondialisation. Or, pour son enseignement, la France est très en retard ! »
Les inscriptions sont en cours. Renseignements : collège Georges-Braque, 3 rue Adrien-Sénéchal. Tél. 03.26.36.07.92.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080604a
![]() Alain Niboyer et Alain Nicole ont planché sur le programme Croix-du-Sud, à Reims.
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L’Effort Rémois réalise cette opération dans le cadre du renouvellement urbain de la ville dans le secteur le plus peuplé.
L’Effort Rémois va dans un premier temps démolir 75 logements et en bâtir 79 autres.
Situé en lisière de Bezannes, où il est appelé à se fondre dans une nouvelle zone d’urbanisation, et bientôt traversé par le tramway, le quartier Croix-du-Sud à Reims se prépare à une métamorphose qu’accompagne L’Effort Rémois, le bailleur social qui en gère les 1 634 logements. Ce grand ensemble situé dans le prolongement du quartier Croix-Rouge est intégré dans l’opération de renouvellement urbain destinée à profondément transformer le secteur le plus peuplé de la ville. L’Effort Rémois va procéder en trois tranches successives, correspondant aux trois sous-secteurs de Croix-du-Sud. Le chantier de réhabilitation va démarrer par l’îlot Degas-Rodin. Suivront les îlots Ingres-Fragonard et Cézanne-Braque. Sur Degas-Rodin, 451 logements vont être rénovés, 75 autres démolis et 79 reconstruits. Le fil rouge de cette opération, ce qui en fait aussi l’originalité, c’est la volonté manifestée par l’organisme HLM de reconstruire avant de démolir. Autrement dit, de trouver une solution de relogement sur place, ou du moins à proximité immédiate des immeubles rasés, pour permettre aux locataires de ne pas s’éloigner de leur quartier.
Deuxième particularité de l’opération, le souci de reconstruire dans le respect du développement durable. Les deux premiers petits bâtiments collectifs qui seront édifiés rue Joliot-Curie verront leur consommation d’énergie réduite presque au minimum (50 kWh /m2/an), grâce notamment à l’aménagement de larges surfaces vitrées, de bow-windows, et à l’installation de chauffe-eau solaires. L’Effort Rémois entend ainsi démontrer qu’écologie et logement social sont parfaitement compatibles.
Le plan de démolition prévoit la destruction de deux tours, ce qui permettra de percer une nouvelle rue pour assurer une meilleure desserte du quartier. Le centre commercial sera également rasé et reconstitué en front de l’avenue Bonaparte, avec des magasins plus grands et plus visibles de l’extérieur. Enfin, le programme de réhabilitation permettra d’embellir et de pourvoir de tout le confort moderne quatorze immeubles, notamment en termes d’isolation et de chauffage. On évalue à 28 % au minimum la future économie réalisée sur ce poste budgétaire par les locataires. Les bâtiments seront dotés de capteurs solaires et de cellules photovoltaïques, ces dernières étant destinées à produire de l’électricité qui sera revendue à EDF.
Ce vaste chantier démarrera cet été et s’étalera sur plusieurs années. Le montant des travaux s’élèvera à 10 M€ rien que pour la première tranche de réhabilitation.
FRÉDÉRIC LEMAIRE
Dans le cadre des ventes de produits au bénéfice de ses actions pour aider les enfants à survivre et à se développer, l’Unicef installera un stand au sein de la galerie commerciale de l’hypermarché Leclerc de Champfleury, du jeudi 5 juin au samedi 7 juin et un autre stand dans la galerie de l’hypermarché Cora à Cormontreuil, du jeudi 12 juin au samedi 14 juin.
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A qui doit-on la réalisation d’une aire cyclable dans le parc Saint-John-Perse ?
Cette affaire suscite la polémique dans le quartier, trois associations en revendiquant l’initiative.
Ces vaines disputes ont fait sortir Modeste M’Fenjou, président de l’association Mieux vivre à Croix-Rouge, de sa réserve habituelle : « Nous n’admettons pas ce type de discussion : nous avons besoin de toutes les énergies du quartier pour avancer. La dynamique collective dans ce quartier impose la collaboration. Il n’y a pas d’intervention « miracle » : tout ce qui s’y fait relève du quotidien de tous. »
Fabrice Lopez, président du Collectif des locataires de Croix-Rouge, précise que « la demande de structures de jeux supplémentaires au parc Saint-John-Perse n’émane d’aucune association mais d’une pétition de parents relayée par la suite par plusieurs associations. »
Ainsi, le 12 juin 2007, un courrier de Jean-Marie Beaupuy (alors adjoint au maire), informait le CdlCr que son projet d’une piste de skateboard ne serait pas approuvé : « Nous avons alors lancé l’idée d’une piste routière cyclable et ce projet a été formulé aux services de la mairie dès fin juin 2007 pour être budgété sur 2008. »
Pour sa part, Geneviève Kaczowka, présidente de l’association des Polygones, proteste : « L’initiative de ces réalisations émane d’une concertation entre moi-même et Claude Stoltz, présidente de l’Union des locataires de Croix-Rouge. Nous avons demandé aux services des Espaces verts de se rendre sur les lieux pour étudier les possibilités de réaménagement du parc, dont la piste cyclable. Les services de la voirie sont venus sur place avec nous et nous avons reçu ensuite un courrier de confirmation de nos demandes. »
En définitive, il s’agit d’une victoire collégiale : tout le monde a gagné, et surtout les habitants !
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Samedi vers 2 heures du matin, un violent différend conjugal a éclaté dans un appartement de la rue de Rilly-la-Montagne, au quartier Croix-Rouge. A l’arrivée des policiers, le locataire menaçait son amie et la belle-mère avec un couteau de boucher (l’union de dimanche et lundi).
L’agresseur, Rodolphe Walker, 23 ans, a été traduit hier après-midi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.
Il avait bien bu, une habitude selon sa concubine. « Tous les jours, il sort pour aller boire avec les copains. Il revient régulièrement bourré » a-t-elle raconté aux policiers.
La nuit des faits, le prévenu avait plus de deux gra mmes d’alcool par litre de sang. Il s’est fâché en accusant son amie de lui avoir volé des affaires, accusation sans fondement mais qui ont quand même valu à la jeune femme et à sa mère de se prendre des coups de poing au visage ou sur les jambes (un coup de tête fut esquivé).
Rodolphe Walker a voulu les mettre dehors.
Comme elles n’obtempéraient pas assez vite, il s’est emparé d’un couteau de boucher pour les menacer.
Actuellement sous le coup d’un sursis avec mise à l’épreuve, l’agresseur déjà condamné neuf fois a comparu hier en état de récidive, si bien qu’il encourait une peine plancher de deux ans.
Le tribunal a prononcé cette peine mais assortie pour moitié d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant une obligation de soins et de travail. La décision rendue, Rodolphe Walker est parti à la maison d’arrêt pour purger ses douze mois d’emprisonnement.
Les juges ont également ordonné la confiscation du couteau de boucher.
« Oh non ! Il coupait trop bien !
C’est justement ça le problème. On n’a pas envie que vous tranchiez quelqu’un avec. »
F.C.
![]() Une rencontre foot spécial filles !
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« Notre volonté est de proposer à un maximum d’enfants des activités sportives, avec le soutien de la Ville » : les responsables de l’Usep ont souhaité, en plus des classiques activités multisports du mercredi, proposer aux jeunes « usépiens » rémois une matinée particulière.
Pas moins de quatre plateaux différents étaient au programme de ce dernier mercredi : tennis de table à René-Tys, en partenariat avec l’ORTT, pour les enfants du Service municipal d’accueil.
Un plateau foot de 40 équipes au complexe des Eglantines. « Un tournoi où le maître mot fut le beau geste ».
Un tournoi de foot « spécial filles » dans une ambiance sympathique avec le FC la Neuvillette.
Enfin, près de 120 enfants se sont retrouvés dans les gymnases Amundsen et R. Bourgoin autour de l’activité badminton.
Tous ces jeunes (plus de 1.000 pratiquants) vont pouvoir se retrouver lors de la fête de l’athlétisme le mercredi 11 juin au stade G. Hébert.
Avant de rechausser leurs baskets pour une année 2008/2009 qui s’annonce déjà « fortement Usep » : relais du RATJ, course d’orientation, cross de Noël, 70 ans de l’Usep, Usépiades (dans la Marne) et sans doute bien d’autres belles rencontres, dans lesquelles « il n’est jamais question de sélection et de mise à l’écart autour des plateaux ».
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La vice-présidente Marguerite Desprez et la présidente Julienne Mackonguy invitent les Rémois à découvrir la culture congolaise.
Le comité de jumelage Reims-Brazzavile propose de découvrir la culture congolaise au travers d’un programme varié :
mercredi 4 juin de 14 à 18 heures à la Maison de quartier Croix-Rouge : après-midi offerte aux enfants des accueils de loisirs des espaces Billard et Watteau avec découverte de jeux, danses, contes congolais et goûter ;
vendredi 5 juin à partir de 14 heures à la Maison de la Vie associative, exposition d’art et peinture congolais ;
Trois rendez-vous le samedi 7 juin :
à 10 heures au stade AS Murigny : match de foot entre l’association des anciens du Stade de Reims et une sélection d’africains de Reims (entrée libre).
à 14 heures Maison de la Vie associative, escapade autour de la littérature congolaise avec la participation d’Henri Lopes, Gervais Loembé et Aimé Eyengué.
à 20 heures salle association sportive Murigny, dîner dansant (15 euros) avec défilé de mode congolaise.
Renseignements et inscriptions au 06.89.62.34.26 ou 06.14.66.48.78.
Un feu de poubelle s’est déclaré hier soir à 19h 30 dans le hall d’entrée du campus Croix-Rouge, rue Taittinger
Hier vers 9 h du matin, une Peugeot 309 a pris feu rue Newton.
L’origine de l’incendie est indéterminée.
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Quelques jeunes et bénévoles du TC Géo-André ainsi que des voisins rémois de l’Europe Club et du TC Bezannes ont fait le voyage jusqu’à la Porte d’Auteuil mercredi.
Une journée inoubliable avant la grande mobilisation pour le tournoi du TC Géo-André qui aura lieu à partir du 24 juin pour les adultes et du 30 juin pour les jeunes.
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![]() Le feu a entièrement ravagé l’appartement à l’horizontale… … En noircissant la facade mais sans toucher les étages supérieurs. |
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Les occupants d’un appartement du quartier Croix-Rouge de Reims s’étaient absentés hier matin.
Un peu plus tard, leur logement s’est embrasé et a été entièrement détruit par le sinistre qui ne s’est heureusement pas propagé au voisinage.
Hier à 8 heures, un incendie a entièrement ravagé un appartement du quartier Croix-Rouge dont les occupants venaient de s’absenter. Fort heureusement, le reste de l’immeuble a été épargné.
Hier matin vers 8 heures, le standard des pompiers n’a pas cessé de sonner.
Un violent incendie a entièrement ravagé un appartement du premier étage d’un immeuble de l’allée des Bourguignons dans le quartier Croix-Rouge. Les occupants venaient de s’absenter…
Les occupants en question sont, d’après les voisins, un couple âgé d’une vingtaine d’années, leurs deux jeunes enfants et deux chiens.
Ils sont sortis très tôt hier matin. Peu après leur départ, l’incendie a été aperçu par des voisins qui ont donc été très nombreux à alerter les pompiers.
D’après l’officier qui a conduit les opérations de secours, « le feu est parti très fort. Les fumées se sont embrasées avant notre arrivée »… Ce qui explique que l’appartement ait été entièrement brûlé à l’horizontale.
Très rapidement sur les lieux, les deux fourgons et la grande échelle des soldats du feu ont été mis en action. Deux lances ont été utilisées, l’une pour l’extinction elle-même, l’autre pour la protection des étages supérieurs.
Effectivement, l’appartement du dessus n’a pas été touché, sinon une fenêtre qui a fondu de l’extérieur.
En revanche, la locataire du dessus s’est inquiétée auprès du responsable de permanence du Foyer rémois, propriétaire de l’immeuble, pour savoir si les planchers ne risquaient pas d’être fragilisés par la chaleur.
Un quart d’heure après leur arrivée, les pompiers avaient circonscrit le sinistre.
Par les fenêtres, ils ont déversé les restes calcinés des effets personnels des locataires. Lesquels seront les seuls à devoir être relogés.
Ils ont tout perdu.
Reste maintenant à déterminer l’origine de l’incendie.
J.-F. Scherpereel
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080601d
![]() Anne-Sophie Rose (Géo André). Bernard SIVADE
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La cinquième et dernière journée aujourd’hui sera décisive pour de nombreuses formations régionales.
A commencer par le Cormontreuil TC qui en N2 masculine devra faire un résultat à Nice ou espérer des défaites de ses adversaires directs pour renouveler son bail.
En N3, le maintien de Géo André passe obligatoirement par une victoire contre Grasse. Idem pour l’Europe Club qui doit faire un résultat contre le FC Mulhouse de Stéphane Heyd (-4/6), le responsable de la formation BE1 au Creps de Reims.
Chez les dames, Géo André n’attend pas grand-chose de son déplacement à Thionville contre une formation nettement supérieure sur le papier.
En revanche, cette clôture devrait être synonyme de sacre pour les filles de l’Europe Club qui, en N3, devraient en toute logique, s’imposer face à Argenteuil pour fêter la montée.
Au même niveau, La Macérienne cherchera à quitter la division sur une bonne note, à savoir éviter la dernière place. Pour cela, les coéquipières d’Aurore Istace devront vaincre Gremeros.
Enfin, en N4, Sedan se doit de triompher chez le dernier, Mont-Saint-Aignan, et espérer des faux pas de ses rivaux pour monter…
Quant à la réserve de Cormontreuil, opposée à Carqueranne, elle risque fort de quitter le niveau national sur une cinquième défaite.
En Picardie, les promues soissonnaises, condamnées à faire l’ascenseur, auront bien du mal à éviter une cinquième défaite, à domicile, contre l’AS Messine Paris.
- N2 :
- TCF Giordan — Cormontreuil.
- N3 :
- Géo André — Grasse,
- Saint-Dizier — TG Besançon,
- Mulhouse — Éurope Club.
- N4 :
- ASPTT Troyes — Brive.
- N1B :
- Thionville — Géo André.
- N2 :
- Saint-Dizier — Avignon.
- N3 :
- Europe Club — Argenteuil,
- La Macérienne — Gremeros,
- Montrouge — Chaumont.
- N4 :
- TC Sancéen — Pontault-Combault,
- Mont-Saint-Aignan — Sedan,
- Cormontreuil — Carqueiranne,
- Soissons — Messine Paris.
Dès septembre prochain, les habitants de Croix- Rouge découvriront une piscine Château d’eau transformée.
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Outre l’extension des vestiaires et les nouveaux services proposés, les baigneurs seront parmi les premiers de France à goûter aux joies du bassin en inox, une nouvelle technique assurant plus d’hygiène, de confort et de sécurité.
Ville de Reims et la Régie des équipements municipaux sportifs (Rems) entreprennent régulièrement des travaux de modernisation des piscines rémoises. Après celles des Thiolettes, de Louvois et de Talleyrand, c’est au tour de la piscine du Château d’eau, dans le quartier Croix- Rouge, de faire l’objet d’importants travaux.
Près de deux millions d’euros ont été engagés pour l’extension des vestiaires (la surface de ces derniers augmenteront de 370 m2), la rénovation des façades et la création d’un local technique pour le stockage du matériel pédagogique.
Mais ce n’est pas tout, les travaux, et c’est là la grande originalité du chantier, prévoient la mise en place d’une cuve en acier inoxydable remplaçant le carrelage du grand bassin. Cette technique, nouvelle, largement employée dans les pays scandinaves, est en passe de devenir le standard des piscines nouvelle génération en France.
Si le prix (369 922 euros) est un peu plus élevé que pour le revêtement des bassins traditionnels, l’entretien est quant à lui beaucoup plus économique. « Avant, lors des fermetures régulières, il nous fallait vider le bassin en raison des nombreux problèmes d’étanchéité des joints entre les carrelages. Les plaques d’inox, en revanche, ne nécessitent pas d’entretien et sont aussi plus hygiéniques car elles empêchent la prolifération des bactéries due à la porosité du carrelage et des joints, ce qui nous permettra de moins traiter l’eau », explique Alain Simon, directeur de la Rems. Le nouveau bassin inox assurera aussi un meilleur écrémage de la surface en remplaçant l’aspiration d’eau par le fond par un système par débordement. Autant d’éléments qui sécuriseront un peu plus la baignade des 23 000 scolaires qui ont fréquenté la piscine en 2007.
Au total, les travaux de la piscine Château d’eau représentent un investissement total de 2,9 millions d’euros. « Il me paraît fondamental et juste d’offrir aux quartiers, en l’occurrence Croix-Rouge, des infrastructures de qualité », se réjouit Christine Michel, adjointe aux Sports, qui assure que les tarifs d’entrée à la piscine Château d’eau « resteront inchangés ». La réouverture de la piscine est prévue en septembre 2008.
H. C.
Depuis une dizaine d’années, l’association Emergence que préside Jean-Philippe Zinzindohoué s’implique dans la coopération internationale en concentrant son action sur le village de Hon (République du Bénin) comptant 1 500 habitants dont 500 enfants. Au moyen d’un festival rémois soutenu par des partenaires dont la Ville de Reims et la Région Champagne-Ardenne, Emergence a rendu possible au sein de l’école primaire de Hon la construction d’un bâtiment de 105 m2 à vocation de bibliothèque et de “Maison du savoir et de la connaissance”.
Cette année, il s’agit de rendre ce bâtiment fonctionnel afin que quelques 225 enfants scolarisés et une centaine de jeunes adultes puissent se documenter et s’instruire. Avec le comité de gestion du village et l’Association des Parents d’Elèves, on évoque enfin la création d’un jardin potager qui garantirait à ces jeunes un repas équilibré par jour.
A Reims, la troisième édition du festival Solijahfary, du 10 au 17 mai, va constituer un moment de fête et de solidarité autour d’expositions, d’ateliers artistiques, de conférences-débats, de spectacles pour enfants et de concerts.
En savoir plus : http://emergence51.free.fr et http://solijahfary.free.fr
La maison de quartier Croix Rouge vient en effet d’obtenir la labellisation afin de pouvoir apporter les informations variées dont les familles ont besoin.
Les missions vont s’articuler autour de : l’accueil, l‘information et l’orientation des familles dans des domaines pouvant aller de la naissance à la prise en charge des ascendants.
Elham Kouch, animatrice “Familles” sur le secteur Pays de France assurera cet accueil dans les locaux de l’antenne municipale au 1 rue Joliot Curie :
lundi de 14 h à 16 h
jeudi de 9 h à 11 h
vendredi de 14 h à 16 h.
Le Point Info Famille travaille en lien et avec l’appui de l’Espace Famille Conseil de la Caisse d’Allocations Familiales.
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Créé par 9 Maisons de quartier, le challenge futsal (football en salle) transversal disputé depuis octobre 2007 dans 4 gymnases a mobilisé quelques 80 jeunes participants âgés de 12 à 16 ans.
Cette première est soutenue par la Ville de Reims et a bénéficié d’un financement Ville-Etat dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale.
La manifestation de clôture est fixée au 25 juin prochain.
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“Au clair de la lune, 3 petits bouquins”, expo ludique et sensorielle (jusqu’à fin juin), séance “je veux un câlin” (les 17, 21 et 28 mai à 9h30), rencontre et dédicaces avec Bénédicte Guettier qui a publié pas moins de 200 albums (16 mai de 16h15 à 17h45), atelier jeunesse (17 mai de 14 h à 17 h) air du conte (21 mai à 15 h), histoires à cueillir par Francine Chevaldonné (24 mai à 10h30, 15h30 et 17 h) sans oublier comptines, histoires et contes à partager avec l’association Promolec (31 mai de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h), autant de rendez-vous et de surprises qui vous attendent à la Médiathèque Croix-Rouge. Renseignez-vous sans tarder ! Tél : 0326356841.
C’est la Mairie à proximité de votre domicile, sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél : 0326356020.
Vincent vous propose une sortie à Bourseault le 18 mai avec retour à 12h30. Et le 8 juin, ce sera un rendezvous dans les Ardennes près de la Semoy le temps d’une promenade sous le signe de George Sand à Revin, retour à 17 h.
Alors pour se détendre en famille ou entre amis, rendez-vous à 8h15 devant l’espace Watteau.
Covoiturage possible.
Renseignements et contact au 0326360350.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080601b
![]() En cours de reconstruction, le campus Croix Rouge pourrait aussi accueillir dans un avenir qui n’est pas encore déterminé le campus scientifique du Moulin de la Housse à bout de souffle.
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Aménagement. L’Université Reims Champagne-Ardenne développe un projet à 150M€ minimum de regroupement sur un seul site à Croix Rouge de ses campus de sciences et de droit, lettres et sciences humaines.
Actuellement dispersé sur trois campus éloignés les uns des autres dans la métropole champenoise, l’Université de Reims Champagne Ardenne (URCA) veut regrouper une bonne partie de ses moyens. Elle développe le projet de regrouper sur le seul site du campus Croix-Rouge (Droit, Lettres et Sciences humaines) en cours de reconstruction pour 30 M€ les Unités de Formation et de Recherche (UUFR) et l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) du campus scientifique du Moulin de la Housse pour créer un grand campus « vivant, rationnel et économique » pouvant réunir quelque 20 000 étudiants. Le pôle santé regroupant les facultés de Médecine, Dentaire et Pharmacie resterait quant à lui implanté à proximité organique du Centre Hospitalier Universitaire (CHU).
Après le basculement de Reims à gauche lors des dernières municipales, le président de I’URCA Richard Vistelle ne se fait guère d’illusions sur les chances de son projet d’obtenir, parmi une trentaine de candidats pour dix projets retenus, le label de l’Opération Campus lancée très récemment par Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. « Cette candidature acte plutôt nos besoins » explique-t-il, fondant davantage d’espoirs sur le concours organisé par la Caisse des Dépôts et Consignations pour accompagner dix projets d’investissements publics au travers d’un PPP (Partenariat Public Privé).
Vainement tenté il y a une dizaine d’années, ce projet de regroupement à 150 M€ minimum et soutenu par la Ville de Reims et la Région Champagne-Ardenne est aussi rendu nécessaire par l’état de vétusté avancé des 93000 in’ du campus scientifique du Moulin de la Housse, à l’entrée de Reims en venant de Châlons-en-Champagne par la RN4. « la Commission de sécurité a émis un avis défavorable sur 17 des 19 bâtiments de ce campus » rappelle Richard Vistelle, soulignant les surcoûts notamment énergétiques qu’occasionne ce site à bout de souffle. Le président de I’URCA n’envisage que deux solutions pour ce site ; « soit on garde les terrains et on les valorise par une opération immobilière, soit on les vend ».
La Caisse des Dépôts et Consignations planche à l’heure actuelle sur l’ingénierie financière d’une telle opération indispensable aux yeux de Richard Vistelle pour atteindre une masse critique suffisante pour compter. « Il nous faut sortir de cette situation d’éclatement qui nous pénalise en terme d’optimisation des moyens, de mutualisation des services aux étudiants, de visibilité des enseignements et de la recherche » plaide le président de l’URCA. Le regroupement des moyens qu’il imagine est également rendu possible par les opportunités foncières ouvertes par les 60 hectares proches de la vaste zone d’activités et d’affaires qui se construit près de la gare d’interconnexion TGV de Reims-Bezannes (PAMB n°7224). Ce parc d’affaires que desservira la première ligne du tramway rémois, théoriquement pour l’automne 2010, doit également accueillir un projet de technopôle dont l’Université est elle aussi partenaire avec d’autres collectivités.
DOMINIQUE CHARTON
![]() Les travaux ont été rondement menés : il a fallu à peine plus de la matinée pour « effacer » la passerelle. Benjamin Segura
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Place au tramway !
Dans la perspective de l’arrivée du futur transport en commun rémois, la passerelle du quartier Croix-du-sud a été sacrifiée hier.
« On savait bien que ça allait finir par arriver, témoigne un habitant, puisqu’il y avait une pancarte qui l’annonçait depuis un bon mois, mais on a quand même été surpris par la rapidité avec laquelle les travaux ont été effectués ! » La passerelle, habituellement très utilisée, n’avait d’ailleurs jamais été interdite au public.
Apparemment, les engins de l’entreprise Brasseur de Tinqueux ont débarqué hier sans crier gare, et ont fait preuve d’une redoutable efficacité : dès 7 h 30, l’avenue Léon-Blum enjambée par la passerelle était barrée, les commerces fermés, le travail engagé. Pas d’explosif, tout à la force de la grue !
Ce qui a frappé les habitants, relativement nombreux à assister au « spectacle » avant que la pluie ne les disperse, c’est la rapidité d’exécution : à 14 heures, tout était fini !
« C’était impressionnant, c’est vrai, confie notre interlocuteur, mais moins quand même que la destruction de la tour Taittinger qui avait déjà eu lieu il y a quelque temps pas très loin ! »
En tout cas c’est une nouvelle page de la vie du quartier qui se tourne…
La vie va maintenant reprendre, mais différemment : avec, pour les mamans, les personnes à mobilité réduite et les écoliers, un grand détour à faire pour relier les deux secteurs et un risque réel pour traverser une avenue très fréquentée et sans feu de protection.
Un nouveau bureau a été élu à l’association Étoile Croix-du¬-Sud : président Jean-Michel Gauthier ; vice-président, Ali Boukhedoumi ; trésorier, Jean-Louis Rumério ; vice-trésorier, Jérôme Weiler ; secrétaire : Muriel Travert.
Avec lui, une renaissance est possible : « notre nouvelle équipe va devoir s’atteler à de nouvelles idées, amener de nouvelles personnes, travailler avec d’autres associations, bref innover » déclarait M. Gauthier : « Pour cela il va falloir présenter les comptes, apporter des modifications aux statuts de l’association et voter les nouveaux tarifs ».
Une assemblée générale extraordinaire est donc programmée jeudi 5 juin à 19 heures dans la salle Prével, 5 avenue Léon-Blum. Renseignements au 03.26.06.56.66.
L’atelier jeunesse de la médiathèque Croix-Rouge présente une exposition et des animations sur le thème « A la découverte de l’Europe ! »
Puzzle pour les plus jeunes, quiz sur l’Europe, documentation, conte et, mercredi 4 juin de 10 à 12 heures, dégustation de produits européens.
Horaires : mardi 3, jeudi 5 et vendredi 6 juin de 14 à 18 heures ; mercredi 4 juin de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.
Entrée libre, au 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.)
Une nouvelle assemblée générale extraordinaire de l’association Étoile Croix-du-Sud est programmée jeudi 5 juin à 19 heures, au 5, avenue Léon-Blum, avec la nouvelle équipe dirigeante.
Tél. 03.26.06.56.66.
La sortie des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau est programmée dimanche 8 juin vers les Ardennes, la Semoy et la promenade George-Sand à Revin (avec pique-nique).
Départ à 7 heures, retour entre 16 h 30 et 17 heures.
Renseignements à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau. Tél. 03.26.36.03.50. ou auprès de Vincent Girardin, accompagnateur : 06.12.99.83.09.
![]() Nathalie Mohn et les filles de l’Europe club ont quasiment validé leur billet pour l’étage supérieur. Archive Hervé OUDIN
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![]() Noèuvelle défaite de l’équipe féminine de Géo André qui est, malgré tout, assurée de jouer le barrage.
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La quatrième journée des interclubs nationaux n’a guère été brillante pour les formations régionales.
Sauf pour les filles de l’Europe club qui, grâce à leur victoire à Lyon, sont quasiment assurées d’évoluer l’an prochain à l’échelon supérieur. Renforcées par Alice Hall (0), de retour des Etats-Unis, les « Européennes » menaient 3-2 à l’issue des simples avant de confirmer en dominant outrageusement les doubles.
A noter également la belle victoire de Sedan, à domicile, contre Chilly Mazarin (5-2). Un succès qui risque bien de ne pas être suffisant pour monter…
Le rayon des déceptions est en revanche quasiment comble chez les messieurs, en N2, Cormontreuil a dominé les simples (4-1) mais, toujours aussi fébrile en double, le CTC a dû partager les points avec Villeneuve d’Ascq (4-4). Les Cormontreuillois doivent désormais espérer des défaites de leurs adversaires directs pour se sauver…
En N3, après leurs défaites respectives contre Clamart (7-1) et Blagnac 2 (6-1), le TC Géo-André et le Reims Europe Club joueront leur survie lors du dernier match…
Assurées quoiqu’il arrive de finir 5e et de jouer le barrage le 14 juin prochain, les filles du TC Géo-André ont subi une nouvelle défaite contre Bagneux (5-2). Les Rémoises ont frôlé l’exploit mais Célia Respaut (0) et Noémie Ruffin (2/6) ont manqué de réussite alors que Claire-Hélène Genin (4-6) a dû abandonner sur blessure (entorse cheville). Enfin, la Macérienne (N3) à Dax et la réserve de Cormontreuil (N4) à Gleizé ont connu leur quatrième revers consécutif synonyme de relégation.
![]() Les bénévoles sont venus de tout le département.
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De tout le département ont afflué des bénévoles de l’opération « Lire et faire lire », souhaitant savoir en substance si leur action dans les écoles favorise l’apprentissage de la lecture.
Mme Popet, conseillère pédagogique et consultante auprès de nombreux éditeurs de livres de jeunesse ; et M. Pipet, psychologue de l’enfance et auteur du livre « Comtesse de Ségur, les mystères de Sophie », ont apporté quelques pistes intéressantes.
À savoir : « Les bénévoles transmettent le plaisir en éveillant l’enfant au sens de la lecture et en donnant du sens à la vie et aux valeurs qui transparaissent dans les bons livres pour enfant.
Ils expliquent bien souvent, à des petits groupes, plus réceptifs, le sens du langage.
Et ils introduisent à la compréhension du monde au travers des récits ».
Devant un auditoire passionné, les intervenants ont vivement encouragé les bénévoles à amplifier leur action.
Parce que les mamies et papis bénévoles transmettent, en plus des valeurs de notre société, les valeurs des liens intergénérationnels.
« Ils sont bien souvent considérés comme de véritables grands-parents dans les écoles, grands-parents dont l’affection permet aussi à l’enfant d’entreprendre avec confiance le dur apprentissage de la lecture.
Bien sûr, ils n’en ont pas la charge, mais ils aident à motiver les enfants en leur donnant le plaisir, voire la passion du livre. »
La prochaine réunion de formation des bénévoles de « Lire et faire lire » se déroulera à Amiens.
Pour celles et ceux qui veulent rejoindre l’équipe marnaise de « Lire et faire lire », se rendre tous les jeudis de 14 à 16 heures à la Ligue de l’enseignement, 23 rue Alphonse-Daudet à Reims.
Ou téléphoner au 03.26.84.36.90.
Pour ne pas faire la queue à quelques jours de la rentrée scolaire en septembre prochain, il est recommandé aux parents d’inscrire leurs enfants à la cantine dès le mois de juin.
Ils peuvent le faire à la Caisse des écoles au 52, rue de Talleyrand lundi, mardi, jeudi ou vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures ou le mercredi de 8 h 30 à 17 heures.
Ils peuvent aussi s’inscrire dans les antennes municipales. Aux Châtillons le jeudi de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à 16 h 30, à Croix-Rouge le mardi de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à 16 h 30, à Europe le lundi de 14 heures à 16 h 30, à Murigny le mercredi de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à 16 h 30, à Orgeval le mardi de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à 16 h 30.
Rose Sita, psychologue clinicienne, formatrice et thérapeute familiale, propose une conférence sur le thème : « Comment être parent aujourd’hui, dans un monde en pleine mutation ? »
Mercredi 4 juin à18 h 30, à la médiathèque Croix-Rouge.
Entrée libre.
Le pilote d’un deux-roues est tombé par terre rue Pierre-Taittinger, mardi à 19 h 45. Il est légèrement blessé.
Trois hommes qui ont porté la main sur leur (ex) compagne ont été arrêtés ces derniers jours par les policiers.
…
Le deuxième concubin violent a frappé son amie dimanche matin au cours Eisenhower (deux jours d’ITT). Il est convoqué en justice le 26 septembre.
…
Dimanche vers 16 h 30,
…
Ce même jour, vers 17 heures, un adolescent de 15 ans se baladait avec un couteau-serpette sur l’esplanade Eisenhower. Interpellé par une patrouille, il est prochainement convoqué devant le délégué du parquet aux mineurs.
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Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : M. le président du Conseil Régional Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex,
tél. : 03-26-70-89-17,
télécopieur : 03-26-70-88-98,
courriel : dmarchal@cr-champagne-ardenne.fr,
adresse internet : http://www.cr-champagne-ardenne.fr.
Adresse internet du profil d’acheteur : https://marchespublics.cr-champagne....
Le pouvoir adjudicateur n’agit pas pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.
Objet du marché : Mandat de maîtrise d’ouvrage relatif à la restructuration et à l’extension des ateliers du lycée Arago de Reims.
Catégorie de service : 12.
CPV : Objet principal : 74264000.
Lieu d’exécution : Lycée Arago – 1, rue François Arago – 51095 REIMS CEDEX. Code
NUTS : FR.
L’avis implique un marché public.
Caractéristiques principales : La surface totale de bâtiments à reconstruire ou à restructurer est de l’ordre de 11.200 m².
Des variantes seront-elles prises en compte : Non.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC : oui.
Le présent avis correspond à un avis périodique indicatif constituant une mise en concurrence.
Prestations divisées en lots : Non.
Durée du marché ou délai d’exécution : Environ 5 ans.
Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent :
Financement par ressources propres inscrites au budget de la Région,
paiement à 45 jours par virement administratif.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Unité monétaire utilisée : l’euro.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner ;
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques : ;
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ;
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants ;
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature ;
DC 4 (Lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses co-traitants, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème : marchés publics) ;
DC 5 (Déclaration du candidat, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème : marchés publics).
Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.
valeur technique : 55 % ;
prix : 45 %.
Type de procédure : procédure adaptée conformément aux articles 27 et 28 du code des marchés publics.
Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : Région Champagne-Ardenne – Direction des Lycées et de l’Apprentissage.
Correspondant : a l’attention de M. le Président, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex, adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne....
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : direction des lycées et de l’apprentissage, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex,
téléphone : 03.26.70.89.17,
télécopieur : 03-26-70-88-98,
courriel : dmarchal@cr-champagne-ardenne.fr.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Région Champagne Ardenne.
Correspondant : direction des lycées et de l’apprentissage, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex,
télécopieur : 03-26-70-88-98,
courriel : dmarchal@cr-champagne-ardenne.fr,
adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne....
Instance chargée des procédures de recours : Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne 25, rue du lycée, 51000 Châlons-en-Champagne.
Précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours :
Référé précontractuel avant la signature du marché, - recours pour excès de pouvoir dans un délai de 2 mois.
Date limite de réception des offres : mardi 24 juin 2008, à 16 heures.
Date d’envoi du présent avis : vendredi 23 mai 2008.
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Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : M. le président du Conseil Régional Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en- Champagne Cedex,
tél. : 03-26-70-89-17,
télécopieur : 03-26-70-88-98,
courriel : dmarchal@cr-champagne¬ardenne.fr,
adresse internet : http://www.cr-champagne-ardenne.fr.
Adresse internet du profil d’acheteur : https://marchespublics.cr-champagne...
Le pouvoir adjudicateur n’agit pas pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.
Objet du marché : Repérage amiante complémentaire avant démolition ou travaux dans le cadre de la restructuration des ateliers du lycée Arago de Reims.
Catégorie de service : 12.
CPV : Objet principal : 74264000.
Lieu d’exécution : Lycée Arago - 1, rue François Arago - 51095 REIMS CEDEX.
Code NUTS : FR.
L’avis implique un marché public.
Caractéristiques principales : La surface totale de bâtiments à démolir est de l’ordre de6.800 m² et celle de bâtiments à restructurer est de l’ordre de 1.400 m².
Des variantes seront-elles prises en compte : Non.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC : oui.
Le présent avis correspond à un avis périodique indicatif constituant une mise en concurrence.
Prestations divisées en lots : Non.
Durée du marché ou délai d’exécution : environ 3 semaines.
Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent :
Financement par ressources propres inscrites au budget de la Région, - paiement à 45 jours par virement administratif.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Unité monétaire utilisée : l’euro.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner ;
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques : ;
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ;
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants ;
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature ;
DC 4 (Lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses co-traitants, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème : marchés publics) ;
DC 5 (Déclaration du candidat, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème : marchés publics).
Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.
valeur technique : 55 % ;
prix : 45 %.
Type de procédure : procédure adaptée conformément aux articles 27 et 28 du code des marchés publics.
Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : Région Champagne-Ardenne – Direction des Lycées et de l’Apprentissage.
Correspondant : a l’attention de M. le Président, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex, adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne....
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : direction des lycées et de l’apprentissage, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex, téléphone : 03.26.70.89.17, télécopieur : 03-26-70-88-98, courriel : dmarchal@cr-champagne-ardenne.fr.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Région Champagne Ardenne.
Correspondant : direction des lycées et de l’apprentissage, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex, télécopieur : 03-26-70-88-98, courriel : dmarchal@cr-champagne-ardenne.fr, adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne....
Instance chargée des procédures de recours : Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne 25, rue du lycée, 51000 Châlons-en-Champagne.
Précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours :
Référé précontractuel avant la signature du marché, - recours pour excès de pouvoir dans un délai de 2 mois.
Date limite de réception des offres : mardi 17 juin 2008, à 16 heures.
Date d’envoi du présent avis : vendredi 23 mai 2008.
![]() Par la faute d’un plafond fissuré, les locataires sont obligés de racler la pluie dans les escaliers
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Il y a très longtemps, les Shadoks pompaient, pompaient, pompaient… Depuis quinze jours, les locataires épongent, épongent, épongent aux deux derniers étages d’une tour allée des Béarnais.
« C’est à longueur de journée que les gens sont obligés de racler. Hier soir, on a encore épongé jusqu’à 23 h 30. Ça commence à bien faire » rouspète Catherine Josquin.
La dame réside au n°1. « Le plafond de la cage d’escalier est fissuré. Avec la pluie, l’eau tombe sur les paliers du 7e et du 6e. »
Il y a quatre appartements à chaque niveau, dont un subit lui aussi des infiltrations.
Plus grave : l’eau coule dans les compteurs électriques, ce qui provoque de régulières coupures de courant. « Ce matin, on s’est réveillé sans lumière dans les communs. »
Afin d’éviter un malheureux accident, des rubans « danger de mort » ceinturent le tableau électrique.
Les pompiers étaient déjà intervenus il y a quinze jours avec EDF.
Contacté à de multiples reprises par les locataires, tous exaspérés de voir la situation perdurer, le Foyer rémois indique que des travaux sont prévus mais qu’ils ne pourront être réalisés que lorsque le toit sera redevenu sec.
Avec la météo annoncée pour ces prochains jours, les habitants n’ont pas fini d’éponger.
![]() Une ambiance de fête régnait dans le hall du 16 allée des Bourguignons, dans le quartier Croix Rouge.
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La fête des voisins a été très suivie dans la ville de Reims, hier soir, de Maison Blanche à Neufchâtel, les initiatives des riverains ont été très bien accueillies.
CETTE année encore, la fête des voisins a été l’occasion de rencontres conviviales entre voisins. A la grande joie des Rémois, le soleil est revenu en fin de journée et a permis à ceux qui le souhaitaient de s’installer dehors.
Dans le hall, dans la cour ou sur le trottoir, la bonne humeur était de mise dans les rues de la ville.
A Maison Blanche, 70 pensionnaires des résidences seniors Avranches, Doyen et Utrillo se sont réunis à l’initiative de M. Frey, pensionnaire de cette dernière. « C’est formidable », s’exclame-t-il avant de déguster son dessert.
A Croix Rouge, ça se bouscule dans le hall, allée des bourguignons. Mme Gaillant a réuni tous les locataires de l’immeuble, elle a le cœur gros car elle déménage bientôt.
![]() Convivialité et spectacle assuré par Rafael le magicien, rue de la Neuvillette. Dédé l’organisateur est heureux de voir la fête se développer d’année en année.
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Certains sont des habitués de la fête d’autres non, comme ce commerçant, avenue de Laon, pour cette première, il a même invité un groupe de musique pour développer la convivialité avec les habitants de son immeuble, « on se connaît de vue on se dit bonjour, là on discute d’avantage » explique-t-il.
Martine, qui habite rue Forget est l’experte en fête des voisins, elle organise quelque chose depuis sa création. Ce soir, rue bloquée, grillade sur le trottoir.
Tout le monde y a mis du sien pour que la fête soit un moment agréable.
Elle a permis de tisser des liens, resserrer ceux qui existaient déjà et elle a aussi été un bon prétexte pour partager au choix une coupe de Champagne, un verre de sangria, une bière ou un jus de fruit.
Tous comptent reconduire l’expérience l’année prochaine avec d’avantage de participants.
Comment utiliser son temps ?
La question sera posée jeudi 29 mai à 14 h 30 à la médiathèque Falala, dans le cadre d’une conférence-débat organisée par l’association 3F.
L’intervenant sera Hubert de la Bruslerie, professeur à la Sorbonne.
L’association Etoile Croix-du Sud organise une vente de vêtements et de bibelots, vendredi 30 mai de 9 à 16 heures, dans ses locaux du 5, avenue Blum.
![]() L’opération fait chaque année de plus en plus d’adeptes.
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La fête des voisins c’est aujourd’hui. De plus en plus de manifestations s’organisent à Reims.
L’occasion de rencontrer ses voisins autour d’un verre et de créer des liens.
LA fête des voisins a été lancée en 1999 à l’initiative d’une association de quartier parisienne, partant du constat que dans notre société où se développe le repli sur soi, mieux connaître ses voisins permet de mieux vivre ensemble. Elle invite les riverains à se réunir dans l’espace qu’ils partagent : leur rue, leur cours ou leur hall.
À Reims, ce sont plus de 30 associations (ou amicales) et plus de 130 propriétaires ou locataires privés qui participent à la fête cette année. 73 d’entre eux ont fait appel à la mairie pour libérer leur rue des automobilistes et pouvoir s’installer en plein air.
Ainsi dans le centre-ville, rue Talleyrand, le Centre Régional Information Jeunesse (CRIJ) organise, pour sa première participation, une soirée au programme très convivial. Catherine Menut du CRIJ justifie son initiative par le constat que « dans la rue on se croise mais on se parle peu ». Tous les riverains sont invités et leurs contributions en nourriture ou boisson sont les bienvenues. Un buffet préparé par les élèves du lycée des métiers Europe ainsi qu’un concert de Pompéhop, groupe local de swing manouche, sera proposé.
À l’ouest de la ville, dans le secteur Charles-de-Sèze, près du groupe scolaire Sculpteurs Jacques, l’amicale des locataires participe pour la quatrième fois à l’opération.
« Cela a créé un réseau d’entraide »
La rue sera décorée avec des ballons, des lampions et des guirlandes. Des tables seront installées dans la rue (privée) pour accueillir les mets et &rafraîchissements apportés par la communauté « à la bonne franquette » comme l’explique Joël Pérignon, coordinateur du projet.
Il regrette cependant que les jeux à destination des enfants organisés les années précédentes avec le soutien des commerçants du quartier, ne puissent être reconduits « pour des raisons d’assurance ». Cet événement a permis de créer un « réseau d’entraide entre les familles du quartier pour aller chercher ou amener les enfants à l’école notamment » selon Joël Perignon qui attend ce soir la visite de quelques élus comme Éric Quénard, 1er adjoint au maire de Reims.
Rue de Solférino, le comité des fêtes prévoit aussi un repas partagé entre voisins et une animation musicale grâce au matériel du centre social. Une initiative à saluer dans ce quartier dit « difficile ».
La mairie a apporté sa contribution en fournissant les supports de communication aux participants en ayant fait la demande. Ainsi, 3.000 affiches, 7.000 invitations et 10.000 tracts ont été distribués. Des ballons gonflables, des T-shirts à l’effigie de l’événement ainsi que des kits comprenant le nécessaire pour un repas en plein air (gobelets, nappes et sacs poubelle) ont été mis à disposition. Une aide dont tout le monde n’a pas eu connaissance malheureusement mais l’événement se base principalement sur l’initiative individuelle de tous les citadins qui souhaitent renforcer leur lien social et se dire un peu plus qu’un simple « bonjour ».
Rémi Havyarimana
Le compte-rendu en photos dans notre édition de mercredi.
![]() Une urne et une pétition pour manifester son soutien.
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Comme tous les ans depuis 2001, l’association des Travailleurs maghrébins de France a organisé samedi 24 mai une journée de « votation citoyenne » , un vote symbolique dont l’objectif, cité par Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF - section Marne, est de « rappeler aux députés notre attachement au droit de vote des résidants non communautaires, quelle que soit leur nationalité, aux élections locales en plaçant un bulletin dans une urne prévue à cet effet et en signant la pétition demandant que cette clause soit intégrée au projet de réforme des institutions ».
Le matin, les bénévoles de l’ATMF avaient préparé un petit-déjeuner offert à la population en lui expliquant leurs motivations.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() Mme Chatelain face aux collégiens de Joliot-Curie.
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Une cinquantaine d’élèves de 3e du collège Joliot-Curie ont reçu Mme Chatelain, ancienne déportée au camp de Ravensbrück.
Originaire de Reims, Mme Chatelain habite en banlieue parisienne avec sa famille quand éclate la guerre. A 17 ans, elle distribue des tracts et lance des appels à la résistance dans des cinémas.
Arrêtée avec 18 de ses camarades, elle passe de longues semaines à la prison de Fresnes, puis transite par le fort de Romainville, avant d’être conduite, dans un wagon à bestiaux, au camp de Ravensbrück.
Elle raconte minutieusement dans tous les détails l’horreur du camp : le dépouillement, la faim, les appels, le manque de sommeil.
Au bout de quelques mois, Mme Chatelain est transférée dans un kommando de travail en Tchécoslovaquie, où elle travaillera douze heures par jour dans une usine de munitions. Lorsqu’elle est libérée, elle pèse 38 kilos. Elle rentre chez elle vêtue de la tunique rayée qui ne l’a pas quittée durant tout le temps de sa déportation et qu’elle montre aux élèves, ainsi que les quelques cadeaux « bricolés » que lui ont offerts ses camarades de camp à l’occasion de son 18e anniversaire.
Les années qui ont suivi, et aujourd’hui encore, l’ancienne déportée, aujourd’hui âgée de 82 ans, se rend dans les établissements scolaires pour prévenir la nouvelle génération « afin que ça ne se reproduise plus ».
Les élèves ont écouté ce témoignage dans un silence impressionnant, empli de respect.
![]() Liliane Feige au stand « poésie » de l’Acrap, avec Hugues Hommel.
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Connue depuis 1982 comme « poète de Croix-Rouge » , Liliane Feige vient de publier un nouveau recueil.
En 36 pages, elle exprime son admiration pour des personnalités dans « Comme au temps des seigneurs, valse mon poème ».
De grands noms de l’histoire, de la poésie, de la littérature, de la musique et des arts sont évoqués au fil des pages, avec une mention particulière pour l’artiste marnais Hugues Hommel : « dessinateur accroché d’étoiles, il a mis ma peur en déroute ».
Le recueil est disponible chez l’auteur à Croix-du-Sud, au 06.84.58.36.24.
![]() La finale a eu lieu au gymnase Géo-André.
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Les dernières phases de la coupe départementale Ufolep de volley-ball ont eu lieu ce dimanche au gymnase Géo-André.
Les demi-finales ont occupé la matinée des équipes de l’AS Cane, Bouzy, CRNA 1 et 2. Les équipes de Connantre, Muizon, RAS 1 et 2, n’étaient toutefois pas en reste, disputant en parallèle une place en finale consolante : Muizon l’emporte finalement face à Connantre.
Ce sont les équipes de l’AS CANE et de Bouzy qui se sont ensuite affrontées pour une grande finale bien disputée : l’AS CANE monte finalement sur la plus haute marche du podium.
Autour du verre de l’amitié, l’esprit d’équipe et la convivialité qui unissent partenaires et adversaires ont été particulièrement salués par les membres de la commission volley-ball de la Marne. Ce fut une saison bien remplie pour les 44 équipes marnaises qui n’ont pour autant pas encore cessé leur activité favorite, puisque les derniers matches de championnat se déroulent jusqu’en juin.
Rendez-vous dès septembre pour récompenser les vainqueurs, et amorcer une nouvelle et toute aussi dynamique saison 2008/2009.
Renseignements : Ufolep, 19-23 rue Alphonse-Daudet à Reims. Tél. 03.26.84.32.26.
Site : http://www.ufolep51.org
- Courriel : contact @ufolep51.org
![]() Mohamed Chérif, directeur du Collectif interculturel d’associations de migrants.
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La 3e édition de « Rémois et moi et toi » festival de rencontres sportives, culturelles, de débats et d’animations autour du thème « Vivons mieux ensemble » s’est déroulé du 16 au 25 mai. Mohamed Chérif directeur du Ciam, l’un des organisateurs, répond à nos questions.
« Rémois et moi et toi ». Pourquoi ce nom ?
Cette manifestation interpelle tous les Rémois, de toutes origines et catégories sociales. Car ce festival est en réalité le prolongement d’autres rencontres organisées par différentes structures de la Ville. Le « Vivre ensemble » ne se décrète pas sur une semaine, il se construit jour après jour avec les membres de la cité rémoise. Nous essayons de mobiliser les partenaires associatifs qui jouent un rôle très actif.
Une participation des associations certes, mais qu’en est-il des Rémois à titre individuel ?
Si les associations sont l’élément moteur qui permet ces rencontres, le public que nous visons, ce sont d’abord les Rémois. C’est à travers des événements comme celui-ci que nous pouvons les interpeller. Lors de cette 3e édition, on a d’ailleurs remarqué la nette participation de plus en plus de Rémois. « Rémois et moi et toi » n’est pas un festival fait par des étrangers pour des étrangers : il faut absolument s’ôter cette idée de la tête ! C’est un festival fait par des Rémois pour des Rémois. C’est un élément qui favorise la rencontre entre différentes populations de toutes cultures et pas forcément d’origine étrangère : on l’a vu avec la participation, lors de l’inauguration, de personnes handicapées à un spectacle.
Comptez-vous élargir ce festival dans les années à venir ?
Notre idée principale, c’est de l’inscrire dans la durée. Tout un travail de sensibilisation et d’information sera fait d’une manière régulière, à la fois auprès des collectivités locales et de toutes les composantes sociales, culturelles, éducatives et économiques de la ville. Il y a une collaboration intéressante à mettre en place entre les maisons de quartier, les institutions et les commerçants. Lieu d’échanges et de rencontres, les petits commerces jouent aussi un rôle social très important.
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Objet du marché : Réfection des vestiaires, des sanitaires et des installations thermiques du Gymnase Roland Bourgoin.
Référence : V5-2008-71
La Ville de Reims lance une procédure de consultation dont le texte intégral de l’avis d’appel public à la concurrence est édité sur les sites Internet de Reims (http://www.marchespublics.reims.fr) et du BOAMP (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).
L’information ci-dessous ne vise qu’à communiquer aux candidats potentiels les supports officiels de diffusion des avis et les informations leur permettant d’y accéder.
Ville de Reims
Place de l’Hôtel de Ville - 51096 Reims CEDEX
Dossier à retirer en version papier à l’Hôtel de Ville
– Direction de la Commande Publique - Bureau 202 – 2ème étage de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h, samedi excepté, demande possible par fax.
Tél. : 03.26.77.79.25
Fax. : 03.26.77.79.09 ou en version numérique à l’adresse mentionnée ci-dessus.
Prestation divisée en lots : Oui
Lot 1 : Plomberie
Lot 2 : Electricité
Lot 3 : Peinture
Lot 4 : Carrelage – faïence - maçonnerie
Lot 5 : Menuiserie
Lot 6 : Bardage translucide
Lot 7 : Génie climatique
Durée du marché ou délai d’exécution :
La durée totale du marché est de NEUF (9) mois.
La durée maximale d’exécution des travaux est de CINQ (5) mois dont 1 mois de préparation du chantier.
La date prévisionnelle de commencement d’exécution des travaux est fixée à août 2008.
L’exécution des travaux débutera à compter de la notification de l’ordre de service le prescrivant.
Conditions d’obtention du dossier et de remise des offres :
Date et heure limites d’obtention du Dossier de Consultation des Entreprises :
Le 16 juin 2008 à 17 heures
Date et heure limites de réception des offres :
Le 16 juin 2008 à 17heures
L’association Etoile Croix-duSud organise, au profit de son activité centre de loisirs (CLSH), une vente de vêtements et de bibelots, vendredi 30 mai de 9 à 16 heures, dans ses locaux du 5, avenue Léon-Blum.
« Venez faire des affaires en aidant les enfants de votre quartier ! » propose Jean-Michel Gauthier, président de l’Étoile.
Renseignements sur le site www.quartier-croix-rouge.info
![]() La troupe « Les chiens de talus » prône le théâtre pour tous.
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À l’espace Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, Patrick Gobin anime un atelier théâtre, avec la troupe « Les chiens de talus » qui, pour la troisième année consécutive, a présenté une pièce de théâtre dans le quartier, au centre culturel du Crous : « Le dieu du carnage » de Yamina Reza.
L’animateur explique : « Nous répétons et préparons nos pièces dans le quartier Croix-Rouge pour ensuite les présenter aux habitants. Pour beaucoup de gens la dernière relation avec le théâtre c’est un livre académique d’école ou l’image d’une pièce poussiéreuse ou ennuyeuse… Ce sont pourtant des moments à part que tout le monde doit pouvoir vivre. »
L’équipe des Chiens de talus, Rénald Buisine, Fanie Lanzloth, Christelle Philippot et Nouredine Tayeb, a la volonté de rendre le théâtre abordable : « ce qui ne veut pas dire de moindre qualité, car nous présentons toujours des pièces qui impliquent une certaine réflexion sous couvert de bonne humeur. » Le pari semble réussi puisque les habitants viennent de plus en plus nombreux et réclament même régulièrement « leur pièce ».
Tribunal correctionnel de Reims.- La police a été appelée place Dominique-Ingres samedi dernier parce qu’une femme appelait à l’aide de la fenêtre du 3e étage d’un immeuble de la place. Quand les policiers sont arrivés, ils ont vu le compagnon de la jeune femme se débarrasser furtivement du couteau avec lequel il venait de menacer la jeune femme.
L’homme était visiblement ivre.
Il a d’ailleurs reconnu qu’il avait consommé « une bouteille de vodka » alors qu’il est actuellement « sous méthadone ». La jeune femme a expliqué aux policiers que son compagnon avait cassé la porte de l’appartement et qu’il l’avait menacée à plusieurs reprises ainsi que leurs enfants. Un voisin, qui avait tenté d’intervenir a pris un coup de couteau (léger) à la main gauche, ce qui lui a occasionné une estafilade. Pendant son transport au commissariat de police, Mickaël Cauchy s’est excité et s’est jeté sur un policier qui l’escortait. « J’ai pété un plomb », reconnaît l’homme à la barre du tribunal correctionnel qui le jugeait selon la procédure de comparution immédiate. « Vous avez menacé de mort votre compagne ? » interroge la présidente du tribunal. « Oui, mais ce n’était que du verbal… » répond le prévenu. « Vous l’avez déjà frappée ? » poursuit la présidente ? « Oui, j’ai déjà levé la main sur elle, mais pas à lui taper dessus ». Déjà condamné pour des faits similaires, Mickaël Cauchy a un casier judiciaire qui porte mention de 8 condamnations. Sa compagne voudrait « surtout qu’il refasse sa vie ».
Le procureur de la République, pour qui « le prévenu a déjà été condamné à de nombreuses reprises, » a requis 12 mois de prison dont 6 avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans, avec interdiction de voir la victime.
L’avocate de Mickaël Cauchy a préconisé des soins psychiatriques « pour cet homme qui est fatigué de la vie. C’est l’archétype du drame humain. Il a grandi dans l’alcool et la drogue. Il a fait des petits boulots et est aujourd’hui malade. Il voudrait réussir à construire quelque chose ».
Le tribunal a condamné Mickaël Cauchy à un an de prison dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans, avec obligation de se soigner, et interdiction de se rendre au domicile de sa compagne.
P.B.
![]() Avec les coupes, un ballon du Stade de Reims, signé par les joueurs.
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Huit équipes de futsal se sont retrouvées au Creps de Reims pour un tournoi dans le cadre de la manifestation « Rémois et moi et toi ?… Vivons mieux ensemble ».
Le tournoi était organisé par Hamid, sous l’égide de la Licra et du Ciam.
Dès le départ, Hamid l’organisateur soulignait qu’au delà des victoires au score, il s’agissait d’obtenir le maximum de points de fair-play pour partir avec la coupe.
Les rencontres se sont terminées par la remise des coupes par Virginie Coez, adjointe pour la Lutte contre les discriminations et Salah Byar, conseiller municipal.
Le classement
1. équipe Boum boum, 2. équipe Faouzi, 3. équipe Laouari, 4. équipe Samir, 5. équipe Driss, 6. équipe Nodi, 7. équipe Yougoslave, 8. équipe La Sauvegarde.
Le challenge du Fair play a été remporté par l’équipe La Sauvegarde.
Il sera remis en jeu l’année prochaine.
Joueurs et organisateurs se sont quittés avec la certitude de se retrouver pour la quatrième édition du tournoi dans la salle René-Tys.
Agnes Duguy n’en peut plus de voir la place d’Erlon servir à tout, y compris au pire…
« Ras-le-bol. La place d’Erlon est devenue une place à tout faire : voitures de collection, promotion de la vache folle, concerts de tam-tam, danses, expos, théâtre, marché de Noël et toute l’année, défilé des SDF et de nos amies les bêtes, etc. À croire que le centre-ville se limite à la place d’Erlon.
Cette pauvre place est devenue le lieu du meilleur comme du pire. Comme cet après-midi, où, sous mes fenêtres, des jeunes filles se trémoussent tant qu’elles peuvent sur le pavé d’erlonnien.
Passe encore dans la journée, mais quand à 10 heures du soir, vous êtes bercé par le bruit du tam-tam, il y a de quoi en avoir ras-le-bol.
« Mais de quoi vous plaignez-vous ? », me demandera-t-on. « Vous habitez place d’Erlon. Nantis, que les riverains de la place d’Erlon. Des privilégiés comme nous, devons supporter tout cela ou, sinon, rejoindre notre résidence secondaire pour le week-end, de façon à éviter le bruit occasionné par les animations.
Parce que, bien sûr, tous les riverains de la place d’Erlon sont de riches propriétaires avec résidence secondaire à la campagne. Ils ont donc les moyens de supporter le vacarme de la ville en fuyant quand il le faut…
Pourtant, les riverains de cette place sont des gens comme les autres. Pas plus privilégiés que les autres. Ils n’aspirent qu’à une chose : dormir en paix !
Passe encore les odeurs de restaurants, les gens éméchés cuvant leur vin sous nos fenêtres, rapatriés dans le panier à salade comme hier soir. Passe encore les concerts des chiens qui réveillent en pleine nuit…
Mais s’il vous plaît, arrêtons de prendre les riverains de la place d’Erlon pour une minorité de nantis ».
Samedi 31 mai et dimanche 1" juin de 9 heures à 18 heures, se dérouleront les journées portes ouvertes de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud, avec visite des jardins rue Joliot-Curie et vente de fleurs, plantes, aromates et cucurbitacées.
Entrée libre.
Renseignements sur le site http://jardinscroixdusud.site.voila.fr
…
Un peu plus tôt, vers 14 heures, un cycliste d’une soixantaine d’années avait été victime d’une chute dans la rue Jean-Baptiste-Clément (Croix-Rouge).
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Les pompiers sont intervenus hier mercredi midi au 16 esplanade Paul-Cézanne (Croix-du¬-sud), pour éteindre un feu dans un local vide-ordures. Au cours de la nuit qui précédait, vers cinq heures du matin, ils avaient déjà fait de même dans l’allée des Limousins (Pays-de-France).
…
![]() Magali Macadré, au milieu des majorettes, exprime sa déception.
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Avec un effectif de 50 filles, les majorettes de Reims, section emblématique de l’Association Croix-Rouge animation et promotion, affichent complet : « Quatre festivals sont déjà au programme : dans l’Aisne à Beautor, en Seine-et-Marne à Vimpelles, Villiers-Saint-Georges et Vaux-le-Pénil, mais avons dû refuser Vitrolles et Caen, dans le Calvados, faute de moyen de locomotion » regrette Magali Macadré, responsable avec Virginie Aligard de la compagnie.
La colère des majorettes s’est exprimée lors de la dernière assemblée générale de l’Acrap où elles étaient venues en nombre : manque de moyens de locomotion pour déplacer une quarantaine de filles, manque de soutien de l’association mère « après 32 ans de bénévolat », subvention insuffisante, « qui sert avant tout à gérer le bâtiment, le chauffage, l’électricité, les réparations », équipement pas à la hauteur de la ville : « quand on se retrouve avec d’autres compagnies, elles ont toutes des survêtements aux couleurs de leur ville sauf nous, au cœur du champagne ! » L’animatrice est à deux doigts de baisser les bras : « notre groupe s’est classé 1er au championnat de l’Aisne. Il a reçu la médaille du Mérite et du Dévouement national, la médaille Cathédrale de la ville de Reims et cette année, la médaille Jeunesse et Sports. Comment le motiver si nous ne pouvons même pas nous rendre à des défilés ou championnats ? »
![]() Les stagiaires, réunis dans la bonne humeur.
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Une formation d’animateurs sportifs de quartier a été organisée dans le quartier Croix-Rouge, dans la salle municipale Mauriac, puis à l’espace Billard de la Maison de quartier et enfin au gymnase Géo-André. Cette formation, totalement gratuite, a concerné dix inscrits de différents quartiers de Reims, demandeurs d’emploi et étudiants envoyés par la Ville de Reims, les maisons des quartiers, les associations d’insertion et la Mission locale et par des associations socio-culturelles et sportives rémoises.
Les formateurs, Hichem Boussoufi, médiateur à la ville de Reims, et Olivier Pierlot, gendarme à la brigade de prévention de la délinquance juvénile à Reims (BPDJ), ont monté la formation avec le District Marne de football, les Points information jeunesse et les éducateurs : « Nous avons ciblé plusieurs valeurs : respect et règles de vie, citoyenneté, civisme, démocratie, hygiène de vie, produits illicites, accompagner et inciter dans une démarche professionnelle, former des intervenants pour développer le « football diversifié » et le football dans les quartiers « sensibles », développer les compétences des animateurs de quartiers dans leur quotidien autour du « football diversifié », apporter des outils pédagogiques nécessaires et potentiels pour favoriser l’apprentissage de ce sport, créer un réseau d’animateurs et d’éducateurs sur le département de la Marne et enfin favoriser les liens et les échanges entre les clubs et les structures d’accueils de quartiers. »
L’hebdo du vendredi- n° 79 - 080522
![]() L’équipe est sur le pont pur préparer la dixième édition du mensuel.
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L’aventure journalistique des habitants du quartier Croix-Rouge a commencé au printemps dernier.
Depuis, une poignée de rédacteurs en herbe fait paraître chaque mois le journal QCR Infos
De l’édito à la brève, en passant par l’interview, le portrait, le fait-divers, QCR Infos (pour Quartier Croix-Rouge) a tout d’un grand. Au format triptyque, il se glisse sans souci dans les boîtes à lettres du quartier.
QCR Infos, c’est de la pure actualité. « Les idées fusent en fonction du mouvement du quartier. Le bouche-à-oreille nous fait parvenir les informations.
Les associations locales participent aussi largement ». Caroline Barré ratisse large pour obtenir les infos. Elle a l’œil, elle reste attentive aux bruits qui courent et fourmille de contacts pour les futurs articles.
Cependant les fruits d’un tel succès journalistique reviennent à toute l’équipe. Quinze personnes travaillent au contenu du journal, chacun y va de sa petite graine. Et pour coordonner ce dynamisme, l’organisme logeur, Reims Habitat se place en tuteur. Toutes les deux semaines, ils se réunissent dans une petite salle, en bas des tours. Chacun « ramène sa fraise », les conversations tournent autour de cette vie de quartier, des nouveautés, des rencontres et des connaissances communes. Plus sérieusement, ils se questionnent sur la déontologie journalistique et les barrières à ne pas dépasser dans le costume d’un professionnel de la presse.
Ce qui fait le succès florissant de QCR Infos, c’est peut-être aussi sa vraie proximité avec la population de Croix-Rouge. À ses débuts, ce journal avait pour ambition d’être le potager de l’information locale, un lien entre les habitants et les manifestations. « Il y avait des problèmes de communication au sein du quartier. L’idée a été de créer un support en se disant : si les choses sont dites, les relations s’enrichiront ». Juin 2007, la récolte d’articles et d’infos pratiques débute au cœur d’Eisenhower. D’autant que QCR Infos se veut digeste. « Nous rédigeons les articles avec nos propres mots, nos phrases à nous, celles de locataires », explique Danièle Joffroy, qui fête 40 années de vie à Croix-Rouge. En sujets phares du journal : les portraits des doyennes du quartier, le suivi du festival « Croix-Rouge S’affiche » et « Mots d’ailleurs » une rubrique mensuelle développée dans les différentes langues parlées par les habitants (le Portugais, le Tchèque ou la langue arabe). Les 2200 exemplaires de QCR Infos font figure du multiculturalisme local. Une feuille de chou, qui n’aime pas les salades et pour pas un radis !
Caroline Denime
L’hebdo du vendredi- n° 79 - 080522
Ce vendredi 23 mai, à partir de 20h30, grande soirée Didier’s Night Party, au Centre Culturel du CROUS (Rue de Rilly la Montagne, Campus Croix-Rouge). Cette soirée en partenariat avec l’association Caktus accueillera un concert de percu avec les Boulfalés et du Mix drum’n Bass avec les Djs Veak et Ikya.
Tarif : 3 euros.
PS : Entrée gratuite pour les Didier !
En partenariat avec l’association des 3 F : Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain, les Panthères grises de Reims présenteront leurs activités locales, avant de proposer une rencontre sur le thème « Comment utiliser son temps ? », avec l’intervention d’Hubert de La Bruslerie, professeur à la Sorbonne,
Jeudi 29 mai à 14 h 30,
à la médiathèque Jean-Falala, 2 rue des Fuseliers.
Entrée libre.
Rens. : 58, avenue d’Épernay (06.07.96.56.72.).
![]() Arnaud Semel : « Nous sommes parfois obligés de refuser du monde ».
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Le récent festival « Croix-Rouge s’affiche » a mis en lumière la salle de spectacles du Crous (centre régional des œuvres universitaires). « La seule salle digne de ce nom du quartier, grand comme la ville d’Epernay », indiquait l’un des organisateurs.
Une salle qui est fort demandée : « Elle abrite une cinquantaine de manifestations par an, indique son responsable Arnaud Semel ; il y a des concerts, du théâtre, de la danse, principalement des animations organisées par les associations étudiantes, comme Caktus, ou envoyées par nos différents partenaires, en particulier la ville de Reims, et s’adressant plus particulièrement aux étudiants. » « Il est vrai que notre vocation est bien d’encourager les initiatives étudiantes, précise le directeur adjoint du Crous, Toni Legouda, et comme ils sont 22.000 sur Reims !…. La salle finit par être tellement demandée que l’on est obligé de faire une sélection ».
Mais cette salle commence aussi à vieillir : elle a été construite avec le restaurant universitaire sur le campus droit-lettres (rue de Rilly-la-Montagne, non loin de l’hippodrome). Cela remonte donc à une trentaine d’années. La salle souffre aussi d’une capacité insuffisante : « 97 places assises, indique M. Semel, c’est assez petit. Nous sommes parfois obligés de refuser du monde pour respecter la jauge officielle. Il faut dire qu’autrefois le centre culturel abritait deux salles, dont une de cinéma ; celle-ci a dû fermer pour des raisons financières ; actuellement elle sert de buvette, de salle annexe. »
Mais le Crous ne se satisfait pas de cette situation. « Nous avons beaucoup d’ambition pour cette salle », affirme au contraire M. Semel. Ambition qui doit se concrétiser par des travaux de remise aux normes de l’électricité et d’agrandissement (en fait, de réaménagement de l’espace libéré par la salle de cinéma). Une cloison doit être abattue, et le sol refait. Objectif : passer à une jauge de 150 places minimum. « C’est un dossier qui se chiffre à environ 137.000 euros, estime le directeur adjoint ; nous irons à Paris le 10 juin pour défendre le dossier devant le Cnous (Conseil national des œuvres universitaires). »
Le financement devrait s’étaler sur trois exercices mais les travaux, eux, pourraient s’engager dès cette année, vers mi-août début septembre.
A.P.
![]() Les équipes qui ont remporté les rencontres basket et foot.
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« Le but, c’est de passer un bon moment ensemble, de mettre en pratique le travail effectué en sports collectifs », explique Bruno Malherbe, professeur d’ES au collège Paul-Fort. Ce mardi, au stade Marcel-Thil, six établissements de Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté), soit 120 jeunes des classes de 6e et 5e, ont disputé 39 matches sur la journée.
Après chaque match, les arbitres ont attribué une note, qui donnait lieu à une remise de coupe « spéciale Fair-play » : « Cela les oblige à se respecter, ce qui fait aussi partie de notre enseignement », ajoute Christine Gaudet, satisfaite de constater le bon comportement des jeunes, tant en compétition qu’en dehors du terrain. Coup de chapeau à l’équipe perdante, qui a joué jusqu’au bout, montrant son esprit combatif et sportif. Mardi 27 mai, toutes les classes, de la 6e à la 3e, disputeront des rencontres d’athlétisme, au stade d’Orgeval.
Football : 1er Paul Fort 4 - 2e François Legros 1 - 3e Maryse Bastié 3.
Basket : 1er Paul-Fort 1 - 2e Maryse-Bastié 1 - 3e Trois-Fontaines.
Les pompiers sont intervenus hier, mercredi après-midi, vers 16 h 30, au parc Saint John-Perse (Croix-Rouge) pour éteindre un scooter en feu.
![]() Les enfants ont participé à la retraite aux flambeaux.
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Un manège enfantin, une confiserie et une structure gonflable sur le terrain de boules.
Le quartier Verrerie avait des allures de fête foraine samedi. Autour de la place Saint-Laurent plusieurs stands tenus par des bénévoles lui conféraient plutôt un air de kermesse.
Le quartier était effectivement en fête grâce à l’espace Verrerie de la maison de quartier des Arènes du Sud qui célébrait en même temps son cinquantième anniversaire.
Depuis plusieurs jours, diverses animations avaient été menées au sein de la structure.
Mais samedi était le point d’orgue de cette manifestation avec des animations place Saint-Laurent : spectacle Yin Yang (jonglerie burlesque), démonstrations de judo avec Myriam ; danse X-Trem team et Meltin Crew, deux groupes de jeunes filles venues de l’Espace la Nacelle (Croix-Rouge), prestations du groupe des Portugais de Reims, pour finir avec la retraite aux flambeaux emmenée par fanfare et majorettes.
À noter, la belle structure réalisée, toujours par des bénévoles, sur le toit de l’espace Verrerie, simultanément avec celle de l’espace Saint-Remi.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080521f
Société à responsabilité limitée en liquidation
au capital de 10.000 Euros
Siège social : 18 rue de Rilly La Montagne REIMS (Marne)
448 104 885 R.C.S. Reims
L’assemblée générale des associés du 15 mai 2008, après avoir entendu le rapport de Monsieur Jean-Luc CAUCHOIS liquidateur, a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur et l’a déchargé de son mandat, et a constaté la clôture des opérations de liquidation.
Les comptes de liquidation seront déposés au R.C.S. de REIMS.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080521e
CLÔTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement du 29/04/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
DROUARD Yohann,
2 allée Édgar Degas - 51100 REIMS.
Activité : Vente non sédentaire d’objets d’art et décoration et tous commerces.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RÉNARD.
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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080521d
CLÔTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement du 29/04/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
FAVAUD Guy,
1 allée Yves Gandon - 51100 REIMS.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RÉNARD.
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![]() Les différents topos ont abordé la citoyenneté, l’esprit de cohésion et l’animation.
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Une douzaine de jeunes viennent de participer pendant trois jours au gymnase Géo-André à un stage de futsal. Et ce, à l’initiative du District Marne de football. « L’idée est de les initier le temps d’un match de trente minutes aux règles du futsal. Ce sont des jeunes qui sont motivés, ils sauront transmettre ce qu’ils ont appris », se réjouit Olivier Pierlot, du District Marne de football.
Sont intervenus lors de cette formation : le Contrat urbain de cohésion sociale de la Ville, la Brigade de prévention de la délinquance juvénile de Reims mais aussi la Ligue de Champagne-Ardenne de football. Ces derniers avaient axé leurs topos sur des thématiques touchant à la citoyenneté, à l’esprit de cohésion et à l’organisation d’une animation.
L’issue du stage, elle, a été marquée par la présentation d’un projet éducatif et sportif par les participants, suivie d’une remise d’attestation de participation.
Football : un nouveau départ encourageant
![]() Les différents topos ont abordé la citoyenneté, l’esprit de cohésion et l’animation.
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Au cours de la saison 2007-2008, la section football seniors de l’Acrap a pris un nouveau virage.
Jamal Chafik, animateur, explique : « L’équipe dirigeante y est parvenue grâce à un remaniement important des anciens adhérents avec un mot-clé : le fair-play. » La section enregistre un avis favorable des différentes instances du District Marne : « A chaque sortie de l’équipe bannière de l’Acrap, nous recevons les encouragements du corps arbitral qui mesure l’évolution de nos adhérents à leur comportement le temps d’un match ».
Dans le même temps, les sanctions sportives administratives ont diminué, les cotisations rentrent. Cela n’empiète plus sur la trésorerie des autres sections. Une équipe de -18 ans est engagée en 2e phase au niveau promotion. Un groupe de 16 jeunes du quartier s’est greffé à l’équipe première.
Des partenaires locaux apportent leur soutien à cette section dirigée par Abderrazak Assmi, Jamal Chafik, Samba Diakite, Abdellatif Dzouzi, Marceau Nicolas et Romuald Van Lommel.
![]() Géo-André : Vincent Betbeze, Cédric Leroy, Vincent Pacanowski, Jordan Balles, Arnaud Pignon, Michel Defossé.
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La troisième journée des Interclubs régionaux a permis à certaines équipes de relever la tête. Histoire de conserver intactes leurs chances de maintien.
À commencer par les garçons de Cormontreuil qui, en N2, ont cartonné, la reserve de Marignane (8-0). Emmené par un Sébastien Joly (-15) de gala, le CTC doit surtout son succès à Marcel Soumet (-2/6) qui a su renverser une situation bien inconfortable pour permettre à son club de mener 5-0 à l’issue des simples. Et d’exaspérer les Sudistes qui ont abandonner dans les doubles !
En N3, en déplacement en Alsace à Saint-Louis, Géo André s’est également relancé en s’imposant 6-2 alors que le Reims Europe Club a raté le coche à Toulon. Menant 3-2 après les simples, les « Européens » étaient tout près de décrocher leur maintien mais ils ont perdu les deux doubles pour s’incliner 5-3. Chez les dames, où en N1B les joueuses de Géo-André étaient au repos puisque Taverny a déclaré forfait général, l’Europe Club a respecté son tableau de marche pour la montée en dominant Cannes (7-1) avec une superbe « perf » d’Émilie Gaillot (5/6) contre une ex-1re série !
Reste à remporter dimanche prochain la « finale » chez les Lyonnaises du TC Municipal 5e.
Au même niveau, le maintien semble bien compromis pour la Macérienne, qui, contre Issy-les-Moulineaux, a subi sa troisième défaite (6-2). Et ce, malgré l’incroyable « perf » de Charline Braidy (1/6) à…-15 et la détermination de la capitaine Aurore Istace.
En N4, Sedan doit vraiment regretter ses faux pas à Brunstatt puisque les Ardennaises ont battu Moulins-les-Metz dans un match, comme prévu, très serré (4-3). Quant à la reserve de Cormontreuil elle a enregistré de nouveau un sévère 8-0 malgré les bonnes prestations d’Aurore Liance (15/2).
![]() Un espace aménagé pour les petits enfants.
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Histoires à cueillir par Francine Chevaldonné, pour les petites oreilles, qui font battre les p’tits cœurs, adaptés pour les petits.
Elles racontent le doudou, la difficulté à s’endormir, papa maman et moi….
Ces histoires parlent du quotidien et font voyager les enfants dans leur propre imaginaire.
Samedi 24 mai, 3 séances : 10 h 30, 15 h 30 et 17 heures.
Les tout-petits de 0 à 3 ans et leurs parents sont invités à partager comptines, histoires et contes musicaux avec l’association Promolec.
Avec la participation de la librairie Privat-Guerlin. Samedi 31 mai, de 10 à 12 heures et de 15 à 17 heures.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.), entrée libre mais inscription préalable obligatoire.
![]() Le gros des travaux lié au tram débute aujourd’hui sur toute la ligne. Déviations et embouteillages sont à prévoir pendant deux ans.
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Bienvenue dans l’ère des déviations de réseaux liées au tramway. À partir d’aujourd’hui et pour longtemps, les Rémois vont être plongés dans les travaux. Jusqu’au cou.
ÇA vaudrait le coup de faire sonner toutes les cloches de Reims ce matin. Ce lundi vont s’ouvrir pas moins de 18 chantiers sur la future ligne de tramway.
Après avoir éliminé les arbres, le projet entre dans sa phase déviation des réseaux qui va plonger les Rémois dans les travaux pour longtemps. Tous les quartiers situés sur la ligne vont y passer. Certains dès cette semaine et jusqu’en octobre 2009 pour les derniers. Eau, gaz, électricité, télécommunication…. 100 kilomètres de câbles, tuyaux et conduites vont être déplacés. Le tout dans 70 kilomètres de tranchées.
Une 3e phase débutera dès l’automne dans les secteurs où les tranchées seront rebouchées. Il s’agira cette fois de construire la plateforme qui accueillera le tram début 2011.
Il n’était pas prévu de dévier la circulation mais suite à l’accident qui a coûté la mort à un ouvrier sur un chantier d’assainissement avenue de Laon, Mars a demandé, pour ses propres travaux, des périmètres de sécurité plus larges. (Lire par ailleurs les déviations). En attendant voici le programme des festivités selon les côtés de la route (direction Neufchâtel vers CHU).
Neufchâtel vers rue Laberte : Côté gauche de la route de fin mai à mi-septembre et de mi-février à fin avril. Côté droit de la route de la 2e semaine de juin à la mi-mars.
Rue Laberte à la rue Schweitzer : Côté gauche la 2e et la 3e semaine de juillet, les 3 dernières semaines de septembre et 2 semaines en avril. Côté droit à partir d’aujourd’hui jusque mi-juin et 2e semaine d’août jusqu’à mi-mars.
Rue Schweitzer : Côté gauche de mi-mai à mi-février. Côté droit de mi-juillet à début février.
Rue Schweitzer (Lucien-Bettinger) au bvd des Belges : Côté gauche de la 2e semaine de juin à la mi-mai. Côté droit de la mi-juillet à la fin mai.
Bd des Belges à l’av de Laon : Côté gauche à partir d’aujourd’hui jusqu’à fin octobre. Côté droit à partir d’aujourd’hui jusque début septembre.
Place des Belges à la rue Goussiez : Côté gauche et droit de la mi-septembre à début mai.
Rue Goussiez à la rue Danton : Côté gauche et droit de la mi-juillet à la mi-mars.
Rue Danton à la rue Goulin : De la 2e semaine de juin à début décembre.
Rue Goulin à la rue Emile-Zola : À partir d’aujourd’hui jusqu’à fin novembre.
Rue Emile-Zola au Pont de Laon : À partir d’aujourd’hui à la mi-octobre.
Pont de Laon au bd Joffre : À partir d’aujourd’hui côté gauche, à partir de la 2e semaine de juin côté droit et les deux côtés jusque fin mars.
Gare et futur souterrain : les travaux commenceront en janvier pour finir environ 15 mois plus tard.
Rue Thiers au cours Langlet : Côté gauche d’aujourd’hui jusque fin juin, de la mi-octobre jusqu’à la mi-novembre, 3 semaines en janvier et de la fin février à la fin avril. Côté droit : de juin à début juillet et début septembre à fin mars.
C.F.
Cours Langlet à place du Théâtre : de fin juin à fin mars.
De la place du Théâtre à la rue de Vesle : Côté gauche fin juin, de la mi-août à début octobre, 2 semaines en février et de mi-mars à fin avril. Côté droit dernière semaine de juin, de la fin juillet à la mi-août, 2e semaine de septembre et de mi-mars à fin avril.
Rue de Vesle (Chanzy) à rue de Vesle (Capucins) : Côté gauche de fin juin à fin juillet, une semaine en septembre, de mi-novembre à fin mars et 2 semaines en avril. Côté droit de début juin à mi-juillet, une semaine en août, de novembre à mi-février et de mi-avril à fin mai.
Rue de Vesle (Capucins) à la rue de Vesle (Jeanne-d’Arc) : Côté gauche 1re semaine de juin, 2e semaine de juillet, dernière semaine d’août, de fin septembre à début novembre et les 3 dernières semaines d’avril. Côté droit à partir d’aujourd’hui et jusque fin mai, la 2e semaine de juillet, la 3e d’août, de fin septembre à mi-novembre et les 3 dernières semaines d’avril.
Rue de Vesle (Jeanne-d’Arc) à rue de Vesle (Chabaud) : Côté gauche de début juin à fin octobre et les 3 dernières semaines de mars. Côté droit : à partir d’aujourd’hui à fin septembre et 2 semaines en mars.
Rue de Vesle (Chabaud) à rue de Vesle (Stalingrad) : De la mi-juin à la fin septembre et côté gauche 3 semaines de fin mars à mi-avril.
Rue de Vesle (Stalingrad) au pont de Vesle : Côté gauche à partir d’aujourd’hui et jusque fin août et 3 semaines de fin mars début avril. Côté droit, 2e semaine de juin à fin juillet et fin août à fin septembre.
Pont de Vesle à chaussée Bocquaine : Côté gauche à partir d’aujourd’hui jusqu’à début décembre. Côté droit la 1er semaine de septembre, la dernière de septembre et les 2 premières d’octobre puis de la mi-janvier à la mi-juin.
Chaussée Bocquaine à l’avenue de Gaulle (rue de Courlancy) : Côté gauche de fin août à mi-avril. Côté droit, 3 semaines en septembre et de mars à début mai.
Av de Gaulle (de Courlancy à l’avenue d’Epernay) : Côté gauche de mi-septembre à mi-mai. Côté droit fin septembre début d’octobre, de la mi-avril à la mi-octobre 2009.
Av de Gaulle (av Epernay) à av Eisenhower (Léon-Mathieu) : Côté gauche à partir d’aujourd’hui jusqu’à fin octobre et 3 semaines en février. Côté droit de la mi-juillet à la fin novembre.
Av Eisenhower (Léon-Mathieu) à la rue Taittinger : Côté gauche de début juin à début octobre. Côté droit de début septembre à fin novembre.
Rue Taittinger à l’av Kennedy (Schuman) : Côté gauche à partir d’aujourd’hui jusque mi-juin, de début août à mi-septembre, de début janvier à mi-février et de mi-avril à début mai. Côté droit de fin octobre à début mai.
Avenue Bonaparte (de Schuman à allée des Picards) : fin juillet à début août et mi-octobre à mi-mars.
Avenue Bonaparte (allée des Picards) à carrefour Bonaparte/Blum : Côté gauche de début novembre à début juillet 2009. Côté droit à partir d’aujourd’hui jusqu’à mi-février.
Carrefour Bonaparte/Blum à la place Utrillo : Côté gauche fin novembre début décembre, de fin janvier à fin mai. Côté droit de début octobre à fin février et le mois de mai.
Carrefour Bonaparte/Blum à avenue Léon-Blum (rue Joliot-Curie) : Côté gauche de début juin à mi-janvier. Côté droit à partir d’aujourd’hui à fin septembre et de fin octobre à fin avril.
![]() « On ne savait pas qu’il allait passer là », confient 3 étudiantes.
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![]() « Sur les photos de synthèse tout est beau, calme et propre mais ce n’est pas la réalité » souligne Jean-Paul ici avec son Petit-fils.
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Plus la rue est large, moins les travaux du tramway seront gênants. C’est le cas rue Taittinger où les habitants voient l’arrivée future du nouveau moyen de transport plutôt d’un bon œil mais sans plus.
« On ne savait même pas qu’il allait passer par là », lâchent Justine, Alexandra et Pauline, trois étudiantes de la fac d’anglais.
« C’est quand même une bonne nouvelle pour l’écologie. En plus ce sera une première de le prendre car on n’est jamais monté dans un tramway ». Heureusement qu’elles ne sont qu’en première année car il faudra attendre février 2011 pour monter dedans. Alain, magasinier, n’est pas pressé de l’essayer : « Le bus me suffit. Quant au tram, je suis comme Saint-Thomas, j’attends de voir s’il est vraiment utile ».
Pas trop convaincu non plus Jean-Paul, retraité du quartier. « Ce sera peut-être intéressant mais je suis monté dedans place d’Erlon et je ne me suis pas senti en sécurité. »
Même l’avantage écologique ne convainc pas complètement Jean-Paul : « On dit souvent que ce moyen de transport est écologique mais on oublie que sa construction ne l’est pas ».
Habitant d’un quartier qu’il a vu se dégrader faute d’entretien, le Rémois de Croix-Rouge voit plus loin que le jour de l’inauguration : « Avant de juger, j’attendrai de voir le tramway deux ans après sa mise en service. Sur les photos de synthèse tout est beau, calme et propre mais ce n’est pas la réalité ».
Claude et Josette, pas du tout préoccupés par les travaux ou par l’entretien de l’engin, s’inquiètent surtout du prix du ticket. « Pour les gens d’ici, le bus est déjà trop cher alors si le tram est encore plus cher… Disons que ce sera bien pour les étudiants. »
Dans ce quartier, nombre d’habitants préféreraient voir disparaître les barres HLM au profit d’un habitat « à taille humaine » plutôt que de voir passer un tramway multicolore et onéreux. « On changera peut-être d’avis après l’avoir utilisé. Mais c’est pas sûr. »
C.F.
![]() Toutes les maisons de quartier de Reims sont concernées.
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![]() Eric Quénard, 1er adjoint, doit rencontrer des représentants de l’état.
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![]() Pascale Enfer, la directrice des maisons de quartier, est inquiète.
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La fin des contrats aidés par l’Etat va avoir de grosses conséquences d’ici quelques mois sur l’organisation et la variété des services offerts dans les maisons de quartier de Reims.
LA mesure n’avait jusque-là pas fait trop de bruit. Mais à l’approche des échéances, l’inquiétude grandie. « Dans chaque maison de quartier, des salariés (animateurs, secrétaires, personnel d’entretien) ont intégré l’équipe grâce à un contrat aidé c’est-à-dire dont le coût était atténué par des aides de l’Etat », explique Pascale Enfer, directrice de l’association des maisons de quartier de Reims. « Or le gouvernement a décidé de stopper cette aide. »
Le non-renouvellement des contrats aidés va ainsi avoir des conséquences très importantes à Reims puisque plus d’un tiers des salariés des maisons de quartier est concerné.
« Leur présence était devenue indispensable à l’accueil des publics et à la réalisation de l’ensemble des projets », témoigne Pascale Enfer. « Nous avions chaque année une centaine de contrats aidés. C’était pour nous une façon d’accueillir et de remettre sur pied des chômeurs de longue durée, des jeunes sans qualifications, des femmes isolées. C’était aussi une aide indirecte au développement des projets des associations, le coût de l’emploi étant fortement atténué par les aides versées. »
De 100 salariés concernés, les maisons de quartiers de Reims sont passées à 75 actuellement. Ils ne devraient être plus que 50 à la fin de l’été et 5 au 31 décembre prochain…
Concrètement, cela va se traduire par une modification dès septembre des horaires hebdomadaires d’ouverture de l’accueil et du secrétariat. Le nombre d’enfants pouvant être accueilli dans les haltes-garderies (2.000 le sont actuellement) sera diminué afin de rester en conformité avec la loi qui prévoit qu’un salarié qualifié ne peut jamais avoir plus de huit enfants sous sa surveillance.
« Durant certaines périodes de vacances scolaires, des maisons de quartier se regrouperont pour organiser l’accueil de loisirs amenant les parents à des déplacements supplémentaires », indique Pascale Enfer. « Ce sera par exemple le cas cet été avec Cernay-Europe, Epinettes, Chalet où il y aura un seul lieu d’accueil. Il va falloir organiser des ramassages. »
Saisie de la question, la maire de Reims a interpellé officiellement l’Etat il y a quelques jours par le biais d’un courrier. Une rencontre devrait également avoir lieu dans les prochaines semaines sur cette question entre la mairie et la sous-préfecture. « Les maisons de quartier ont pendant très longtemps eu recours à ces contrats aidés dans une proportion qui était d’ailleurs peut-être un peu trop importante », souligne Eric Quénard, premier adjoint au maire. « Cela les met en position difficile aujourd’hui. La question n’est cependant plus là mais de trouver rapidement une solution. »
Il est en effet impossible pour l’association des maisons de quartier de Reims ou même la mairie de suppléer l’Etat dans le financement de ces emplois. Rien que pour les 19 contrats aidés dans les haltes-garderies, cela reviendrait à 250.000 euros par an.
Grégoire Amir-Tahmasseb
![]() Faute de professionnels, l’espace Billard fermera du 11 au 29 août.
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Dans le quartier Croix-Rouge, le plus important de Reims, le non-renouvellement des emplois aidés frappe tous les espaces des maisons de quartier :
l’espace Pays-de-France avec Évelyne Verrier, animatrice accompagnement à la scolarité et directrice CLSH après 15 ans de bons et loyaux services
l’espace Watteau avec Johnny Chevalme, directeur de centre de loisirs
l’espace Billard avec Sylvie Maingot, secrétaire hôtesse, Akima Abbad, responsable du centre de loisirs et Laurent Tonnelier, animateur petite enfance
l’espace Ethnic’s avec Bertrand Stogowski, animateur musique, etc.
Outre ces conséquences humaines, les premières retombées sur l’organisation des maisons de quartiers sont déjà connues. L’espace Billard va ainsi devoir fermer en pleines vacances d’été, pendant une vingtaine de jours, du 11 au 29 août, a annoncé officiellement Marie-Elisabeth Causin : « La suppression des contrats aidés par l’État entraîne une diminution importante du nombre de professionnels et nous contraint à cette réorganisation pour l’été » regrette la responsable.
![]() Les maisons de quartier remplacent les centres sociaux et les MJC
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C’est en novembre 2002 que la municipalité a restructuré les centres sociaux et les MJC dans un nouveau concept de « Maisons de quartier ».
L’association des Maisons de quartier de Reims regroupe aujourd’hui 25 « espaces » organisées en 13 maisons de quartier, certaines maisons de quartier étant un espace à elles seules, d’autres en déclinant plusieurs.
On trouve ainsi les Maisons de quartier Arènes du sud (espaces Saint Remi et Verrerie), Cernay-Europe, Châtillons, Clairmarais, Croix-Rouge (espaces Billard, Ethnic’s, La Nacelle, Pays de France et Watteau), Epinettes, Jean-Jaurès (espaces Chalet et Le Flambeau), Les Sources (Espaces Trois-Fontaines et la Neuvillette), Maison-Blanche, Orgeval (espaces Poincaré et Schweitzer), Trois-Pilliers, Val-de-Murigny (espaces Apollinaire, Ludoval et Turenne) et Wilson (espaces Mozart, Claudel et Sainte-Anne).
Près de 1.000 salariés interviennent chaque année, à temps plein ou quelques heures par semaine, pour l’accueil de la petite enfance (halte-garderie), le loisir (CLSH), les activités en direction des jeunes, l’animation des clubs seniors, les fêtes de quartier, les activités artistiques, sportives, culturelles…
Mai 68, quarante ans après.
Des lectures d’extraits de « 68, boulevard Saint-Michel » de Danielle Martinigol et Alain Gousset, « Défense d’interdire, almanach (nostalgique) de mai 1968 » de Benjamin Lambert et « Les citations de la révolution de Mai » par Alain Ayache : seront données mercredi 21 mai à 15 heures à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).
A partir de 10 ans, entrée libre.
![]() Les enfants du quartier s’entraînent au code de la route.
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Depuis trois ans, l’Union des locataires de Croix-Rouge, association de défense des locataires du secteur Université-Eisenhower, soutenait les mamans dans leurs démarches pour obtenir un aménagement d’espaces de jeux au parc Saint-John-Perse.
« Nous avons eu l’agréable surprise de constater qu’une piste routière pour enfants a été réalisée début mai 2008 pour leur plus grande joie ! » apprécie Claude Stoltz, présidente de l’Ulcr : « Nous remercions les responsables du service espaces verts qui ont concrétisé notre demande et, déterminés à obtenir encore plus d’aménagements, nous allons poursuivre notre action pour la création d’une piste d’initiation au roller et au skate ».
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
![]() De l’Orient à l’Occident à travers les tenues traditionnelles
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« Nous avons réuni les bonnes volontés de toutes les associations de la maison de quartier pour ce grand défilé » explique Nursel Yanasma. L’animatrice du secteur socioculturel de la maison de quartier des Chatillons accueillait ce mercredi les associations, bénévoles et habitants du quartier venus participer au défilé de tenues traditionnelles « d’ici et d’ailleurs » qui démarrait le programme du festival « Rémois et moi et toi » organisé du 14 au 25 mai par le CIAM, la LICRA et la Ville de Reims.
Durant près d’une heure, une centaine de spectateurs ont applaudi les tenues colorées du Sénégal et de la Gambie, présentées par des jeunes filles des quartiers d’Orgeval et de Croix du Sud, les saris chatoyants de l’association Sourire de l’Inde, les caftans brodés d’Afrique du Nord, sans oublier les créations européennes pleines de fantaisie d’Ecoute Jeunes Murigny.
En lever de rideau, d’adorables bambins de la halte-garderie et de l’accueil de loisirs avaient défilé en costumes de leurs pays, en un « méli-mélo des cultures ».
Mai 68, quarante ans après : c’est l’occasion de se remémorer souvenirs, slogans et citations d’étudiants militants, et d’évoquer les nombreuses manifestations qui ont perturbé le pays.
La médiathèque Croix-Rouge revient sur ces événements avec des lectures d’extraits de « 68, boulevard Saint-Michel » de Danielle Martinigol et Main Gousset, « Défense d’interdire, almanach (nostalgique) de mai1968 » de Benjamin Lambert et « Les citations de la révolution de Mai » par Alain Ayache.
Pour tous, à partir de 10 ans, mercredi 21 mai à 15 heures.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar
(03.26.35.68.40.), entrée libre.
![]() Jean-Louis Rumério président d’Appuis (Association Pour Promouvoir l’Union, l’Insertion et la Solidarité)
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L’association Appuis (Association Pour Promouvoir l’Union, l’Insertion et la Solidarité) accompagne les demandeurs d’emploi dans leur démarche d’insertion professionnelle en leur fournissant des techniques de recherche (simulation d’entretien, aide aux CV, mobilité géographique…).
Avec la Ville, la Région, l’Etat, l’ANPE, elle propose des formations linguistiques aux personnes issues de l’immigration. Elle travaille aussi avec les personnes sans qualification pour faire émerger des projets personnalisés.
L’insertion professionnelle ne peut, dans la plupart des cas, se passer d’un accompagnement social. « Lorsqu’un conseiller rencontre une personne qui a des difficultés, il fait appel à un éducateur spécialisé de l’association « 2 mains » pour une prise en charge commune. Nous venons de signer une convention partenariale avec des agences d’intérim de Reims et d’Epernay. Nous envoyons certaines personnes en stage en entreprise pour vérifier leur « employabilité » et voir si l’entreprise est faite pour elles, » explique Jean-Louis Rumério président d’Appuis. « C’est un véritable réseau de partenariat que nous mettons sur pied : associations, centre d’insertion, éducation spécialisée, banques… »
Appuis, 4 rue Georges-Bernanos
03.26.04.65.83
e-mail : appuis@wanadoo.fr
![]() Les filles de Géo André avec Claire-Hélène Genin, Célia Respaut, Noémie Ruffin, Mylie Gillet et Anne-Sophie Rose.
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Décidemment, cette saison ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices pour les formations régionales.
Comme on pouvait s’y attendre, en N2, Cormontreuil a subi un deuxième revers consécutif au Stade Bordelais. Mais le score est sévère (8-0) pour « perfer » à -30. Sans parler des « contres » des -2/6 Benjamin Pilliet et Manuel Soumet.
En N3, à domicile, Géo André a été défait sur le même score par une très forte équipe de Belfort (8-0). Reste que sur les trois matches en trois sets, Géo André les a tous perdu !
Quant au Reims Europe Club, opposé aux Languedociens de Saint Georges d’Orques, il a raté l’occasion de définitivement assurer le maintien. Au prix de « perfs » à -4/6 des -2/6 Mathieu Roy et Théophile Castelhano, les « Européens » menaient 4-1 à l’issue des simples. Seulement, ils ont perdu les doubles pour un partage des points qui, sur le papier, n’a rien d’illogique.
Du côté des dames, Géo André n’a rien pu faire en N1B contre Villeneuve d’Ascq et ses deux numérotées (8-0).
La seule satisfaction de la journée est venue de N3 où les filles de l’Europe Club se sont imposées chez la réserve du CA Vincennes. Les négatives du REC ont répondu présentes pour un succès important dans la course à la montée. En déplacement dans le Var, La Macérienne n’a pas pu éviter une défaite prévisible (7-1). Malgré le succès d’Aurore Istace (3/6) et la bonne prestation du double Charline Braidy-Céline Guillaume.
Enfin, en N4, Sedan a vu ses espoirs d’accession s’envoler avec la défaite concédée à Brunstatt (5-2). Un revers qui laissera un goût très amer aux Ardennaises puisque, hormis quelques contres, elles ont perdu quatre matches en trois sets…
Outrageusement dominée par Bourgoin-Jallieu (8-0), la réserve de Cormontreuil sait que la saison sera longue et douloureuse.
![]() Un jeu de mains pour tous à la résidence Tiers-Temps.
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Mercredi après midi, à la résidence pour personnes âgées Tiers-Temps, une manifestation s’est déroulée, dans le cadre de la Semaine d’animation de la Licra, sous la houlette de Mme Renate Gossard, membre de l’Association française de gérontologie, autour du thème de la main.
Mains de soignants, mains malades, mains de l’amitié, de la convivialité, de la fidélité, du travail, mais aussi mains d’enfants venus participer à cet événement intergénérationnel.
Parmi une quinzaine de résidants, Odette Petit, 88 ans, la super mamie bien connue des Rémois, a laissé l’empreinte de sa main près de celle de Thaïs, 3 ans et demi, fille d’une employée de la résidence.
![]() Mohammed Lalami et Françoise Millet (Sgen-CFDT) : L’enseignement professionnel est la dernière roue du carrosse.
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Ils assurent des missions de surveillance ou de maintenance du matériel informatique, des tâches administratives ou l’entretien des locaux. On les appelle des contrats aidés. A Reims, le lycée professionnel Joliot-Curie, dans le quartier Croix-Rouge, en avait 26. Ils ne seront plus que 8 à la rentrée prochaine. Paradoxe : autrefois, les syndicalistes maison dénonçaient leur envolée. Au jour d’hui, ils regrettent leur départ. « En réalité, on aurait préféré leur intégration », affirme une enseignante. A défaut, l’établissement doit se consoler avec le maintien de l’effectif enseignant à la prochaine rentrée. Car pour le reste, c’est plutôt la douche froide.
Première « victime » des économies budgétaires, le poste de la gestionnaire-comptable du lycée, désormais regroupé avec celui du lycée Jean-Jaurès, en centre-ville. L’agent comptable de Joliot-Curie ne sera plus que gestionnaire. A son « lointain »
collègue la charge d’assurer la comptabilité du lycée professionnel, outre celle de son établissement de rattachement. « Une incongruité », estime Françoise Millet (Sgen-CFDT), qui fait valoir que « 70 % des élèves de Joliot-Curie sont issus de catégories défavorisées. Cela signifie gérer beaucoup de bourses, de demi-pensions, de problèmes d’impayés, et donc des contacts humains quotidiens avec les familles. Comment y parvenir à cinq kilomètres de distance ? ». L’enseignante déplore aussi la « perte » d’un poste d’adjoint administratif.
Épargnés par les suppressions de postes, les enseignants de Joliot-Curie devront, en revanche, accepter de changer de matières. Ces « glissements » concernent surtout les profs en comptabilité et gestion, qui devront « rendre » 36 heures de cours en raison de la suppression de deux classes de BEP, consécutive au passage du bac pro en trois ans. « On a l’impression que l’enseignement professionnel est la dernière roue du carrosse », regrette Françoise Millet.
G.G.
![]() L’enregistrement se termine : l’équipe est réunie autour de Gavroche et du directeur de la Cartonnerie.
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A n’en pas douter, 13 jeunes sortant de classes de 3e ou de 2e professionnelle attendent avec impatience le 4 juin prochain : ce jour-là, la Cartonnerie présentera un CD qui marque l’aboutissement d’une démarche pédagogique menée par la coordonnatrice Marie C. Rogé dans le cadre de la mission générale d’insertion. Au cœur du dispositif, la réalisation d’une action destinée à remobiliser des élèves, à les motiver dans un projet commun.
Encadré par les enseignants du Lycée Joliot Curie, le travail s’est déroulé de novembre 2007 à mai 2008. Avec l’artiste Gavroche, les jeunes ont écouté des chansons, puis sont passés à l’écriture de huit textes qui ont ensuite été mis en musique, avec la violoniste Ophéle Lebrun et le percussionniste Ahmed Mézian. De très nombreuses répétitions ont été nécessaires car les auteurs devaient aussi devenir interprètes. La pochette et un journal de bord étaient également au programme.
Au final, toute l’équipe s’est retrouvée dans les studios de la Cartonnerie où l’attendaient un ingénieur du son et d’autres musiciens professionnels pour le moment de vérité : l’enregistrement définitif.
Actuellement le CD est en cours de duplication pour 500 exemplaires destinés aux familles, aux partenaires (Education nationale, Région, Préfecture). Un travail qui mérite d’être diffusé et qui est l’aboutissement d’un projet né au collège Joliot-Curie.
![]() « Horizons ? » : dernière représentation rémoise à 20 heures.
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A 15 heures, lecture de contes « Mina, dis-moi ! » , jeu de théâtre et marionnettes écrit par une classe de CM2 de l’école Joliot-Curie et interprété par le groupe « Au fil des mots » des amateurs encadrés par Catherine Pierrejean, animatrice conte. Séance scolaire dans la salle du centre culturel du CROUS, 20 rue de Rilly-la-Montagne, en partenariat avec les maisons de quartier Croix-Rouge et Val-de-Murigny et avec le foyer Jean-Thibierge. Céline,une fillette découvre dans le coffre à jouets de son grenier, une marionnette, Mina, qui connaît quelques secrets sur certains « animaux-jouets » enfermés avec elle dans le coffre. Elle accepte un échange d’histoires et de chansonnettes.
A 20 heures, dans la même salle, présentation publique du spectacle « Horizons ? » de José Mendes, par le collectif de création 2008 du festival (musique, danse, théâtre) : notre terre est un fruit aussi nourrissant que bon. Nous le croquons à pleines dents sans nous soucier du lendemain.
« Horizons ? » illustre en sons et en images les étapes successives de notre évolution depuis la découverte du feu. Chaque nouvelle découverte aiguise notre appétit et nous invite à en réclamer encore, encore et encore ! Si la sagesse ne prend pas le pas sur notre folie gourmande, il ne restera bientôt plus qu’un malheureux trognon de pomme de notre petite planète bleue.
Enfin, à 21 heures, toujours dans la même salle, Le Théâtre à Pattes présente « Rire contre les racismes » , six pièces courtes, de 7 à 15 minutes, textes de Dario Fo, Franca Rame, J.C. Grumberg et Gérard Thévenin.
![]() Les cours de polonais, une excellente occasion de renforcer des partenariats.
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Les objectifs de l’amicale franco-polonaise n’ont pas changé depuis 35 années : renforcer l’amitié et multiplier les échanges.
L’amicale apporte notamment son aide à l’école élémentaire Charles-Arnould de Reims qui sera aux couleurs de l’Europe le vendredi 16 mai avec une exposition sur la Pologne.
Sont prévus une sortie à Liesse près de Laon le dimanche 25 mai et un déplacement à Paris le samedi 31 mai pour la journée de commémoration du 90e anniversaire de l’indépendance de la Pologne.
L’amicale participera également avec la Maison de quartier Croix-Rouge à l’accueil de jeunes de Walbrzych du 7 au 12 juillet à Reims.
![]() Rendez-vous ce mercredi à 14 h 30 pour réaliser la fresque.
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La Licra rémoise (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme) et Renate Gossard, présidente de l’association 3F « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » proposent l’élaboration d’une fresque intitulée « Mains de personnes âgées - Mains d’enfants » .
Cet événement créatif qui mêle les générations, à la résidence de personnes âgées Tiers-Temps, aura lieu ce mercredi 14 mai à 14 h 30, au 42 bis, rue des Capucins (tél. 03.26.04.36.36.). Entrée libre.
Le thème de cette fresque est « Main dans la main, de la jeune à la vieillissante, un temps de vie à se rejoindre, une main lignée, signée des traits du temps ».
![]() Yves Pringault, le directeur du festival.
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Ce mercredi 14 mai, rendez-vous salle du centre culturel du Crous, 20, rue de Rilly-la-Montagne, pour la semaine théâtre.
A 20 heures, « Le dieu du carnage » , de Yasmina Reza, par la compagnie des Chiens de Talus, animée par Patrick Gobin, animateur Théâtre à la Maison de quartier Croix-Rouge et sa troupe, avec Nouredine Tayeb, Fanie Lanzloth, Rénald Buisine et Christelle Philippot .
L’histoire : Véronique et Michel, parents du petit Bruno reçoivent Annette et Alain, parents de Ferdinand qui a frappé au visage leur fils dans la cour de l’école.
De bonne éducation, les deux couples ont décidé de cette entrevue pour régler l’affaire avec civisme et courtoisie. Mais se dire civilisé suffit-il à l’être véritablement ?
Ce soir à 20 heures au Crous, rue de Rilly-la-Montagne.
![]() Selon le président, les finances sont plombées par l’entretien et la maintenance.
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Les administrateurs qui assurent depuis quinze ans le fonctionnement du bâtiment « Ville de Reims Acrap » (Association Croix-Rouge animation et promotion) se rendent compte qu’en dépit des économies réalisées, celui-ci absorbe une grande partie de la subvention de fonctionnement attribuée par la municipalité.
« La convention de prêt de ce bâtiment ne concerne que le clos et le couvert, c’est-à-dire les murs, les portes, les fenêtres et le toit, mais toutes les installations internes sont de notre responsabilité pour l’entretien, la maintenance et la mise aux normes et là, le poids des ans compte ! » explique ainsi Jean-Pierre Genesseau, président de l’Acrap qui cite quelques exemples : alarme intrusion, systèmes de sécurité, matériels incendie, chaufferie, etc.
« N’oublions pas non plus l’augmentation du coût des énergies gaz et électricité, de l’eau, les assurances, les visites de contrôle technique obligatoires, mais également les locations d’installations sportives : gymnases, piscine, terrains de football. »
Le tout représente près de 40 % de la subvention municipale.
Conséquence : « Les augmentations de cotisations subies par les adhérents qui, par- fois, ne reviennent plus dans l’association par manque de moyens. »
![]() Le groupe Africaa a transporté la foule.
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Dans le cadre du festival Croix-Rouge s’affiche, Magali Garcia, animatrice danse à la Maison de quartier Croix-Rouge a réuni l’ensemble des groupes de danse du quartier pour un spectacle sur scène, place d’Erlon, vendredi de 19 à 21 heures :
huit groupes de la Nacelle (Break, les Fées du désert, les p’tits Bouts, Dreamers Crew, Trem Team, Nunited et Meltin Crew),
un groupe de l’espace Billard (Africaa),
un groupe de l’Acrap (Danse rythmique)
et deux groupes de l’Étoile Croix-du-Sud (modern jazz)
dans des démonstrations époustouflantes de break, hip-hop, modern jazz, danse rythmique, danse orientale, danse africaine et capoeïra (Senzak).
Pour Patrick Gobin, animateur de la Nacelle, l’objectif était de « montrer à l’ensemble des Rémois le travail formidable réalisé par tous ces groupes dans les quartiers toute l’année » : à entendre les applaudissements, c’est une opération réussie !
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Rendez-vous salle du centre culturel du Crous, 20 rue de Rilly-la-Montagne, pour la semaine théâtre.
A 20 heures, « Le dieu du carnage », de Yasmina Reza, par la compagnie des Chiens de Talus, animée par Patrick Gobin, animateur Théâtre à la Maison de quartier Croix-Rouge et sa troupe, avec Nouredine Tayeb, Fanie Lanzloth, Rénald Buisine et Christelle Philippot : Véronique et Michel, parents du petit Bruno reçoivent Annette et Alain, parents de Ferdinand qui a frappé au visage leur fils dans la cour de l’école. De bonne éducation, les deux couples ont décidé de cette entrevue pour régler l’affaire avec courtoisie.
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La série s’est poursuivie dans la nuit de dimanche à lundi avec deux conteneurs incendiés sur l’esplanade Ernest-Hemingway vers 22 heures, au niveau du n°13, puis une poubelle mise à feu vers 4 heures du matin devant le n°1 de la rue des Savoyards.
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Rendez-vous salle du centre culturel du Crous, 20 rue de Rilly-la-Montagne, pour la semaine théâtre.
A 15 heures, « La Jeune Fille, le Diable et le Moulin », d’Olivier Py, par la Compagnie « La godasse et l’escarpin », une troupe de théâtre amateurs qui encourage l’intégration de personnes handicapées au sein d’un groupe de personnes valides et non valides (tous handicaps confondus) dans un esprit de partage et de solidarité.
A 20 heures, « Guantanamour », de Gérard Gelas, par la compagnie Aldente théâtre (Belgique), en partenariat avec le festival Brut de Scène, organisé par l’espace Le Flambeau de la Maison de quartier Jean-Jaurès : dans une cage grillagée, voici deux hommes, Rassoul, un prisonnier d’Afghanistan en tenue orange et Billy Harst, un GI.
Deux êtres que tout sépare, que seule la haine rapproche. Parce qu’ils ne se connaissent pas.
Seule la parole est capable de briser ces carapaces de méfiance et de peur qui opposent d’emblée deux individus, intégristes, chacun à sa manière, et pourtant désintégrés par leur propre passé qu’ils portent en eux comme une guerre civile.
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A 14 heures, randonnée au sein du secteur Pays-de-France : venez en famille et à vélo !
De 15 à 18 heures, regroupement dans le secteur Pays-de-France, sur le parking des Provençaux : des stands, des animations, des propositions artistiques dont le spectacle « Horizons ? », des expositions, des jeux, des dégustations.
Les travaux des écoles, des associations ainsi que le spectacle seront dévoilés.
Des stands, une scène, des expositions, des ateliers seront mis en place avec la collaboration des acteurs locaux, des partenaires, des associations, des écoles et de la Maison de quartier pour accueillir, renseigner et sensibiliser les visiteurs sur le thème de la planète et du développement durable.
De 18 à 21 heures, l’association Trac (Toutes recherches artistiques et de créations), sous son chapiteau, proposera une programmation artistique de 18 à 21 heures, avec scène ouverte à tous où chacun pourra s’exprimer, dans le cadre de son action « Chantier d’harmonie urbaine ».
![]() Photo de famille sur les marches de l’hôtel de ville.
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Le rallye européen organisé par Khadija Bati dans le cadre de son service civil volontaire a fait étape mercredi à l’hôtel de ville. Réalisé en deux temps, le rallye était l’occasion pour des enfants de Croix-Rouge suivis par les étudiants de l’Afev, l’association de la fondation étudiante pour la ville, de découvrir ou redécouvrir la ville aux enfants de quartiers « afin de leur montrer que leur ville ne se limite pas aux frontières de leur quartier », explique la conceptrice de l’événement.
Mercredi, à l’occasion du second rallye, les enfants ont ainsi pu visiter le palais du Tau, la place Royale et l’hôtel de ville. A la mairie, ils ont été accueillis dans la salle du conseil municipal. Visiblement très intéressés, ils ont posé mille et une questions sur la maison du peuple avant d’être reçus par Ali Aissaoui, adjoint au maire qui s’est félicité de cette initiative.
Dans quelques jours, les enfants du premier et ceux du second rallye, les étudiants et les parents se retrouveront pour une grande soirée au cours de laquelle ils partageront leurs expériences.
Quant au projet de Khadija Bati, il connaîtra probablement une seconde vie. La jeune femme a en effet réalisé une mallette pédagogique « afin que d’autres structures puissent s’en servir », explique-t-elle. Des rallyes de ce type fleuriront peut-être en ville.
![]() Yves Pringault (en médaillon) : « Le spectacle « Horizons » a été spécialement créé pour le festival ».
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Croix-Rouge, « ville dans la ville », veut montrer qu’il s’y passe aussi des événements positifs. Son festival passe par la forte mobilisation des habitants eux-mêmes.
APRÈS une ouverture qui n’est pas passée inaperçue mercredi sur la place d’Erlon, le festival « Croix-Rouge s’affiche » se poursuit encore aujourd’hui, demain dimanche, et se prolongera quatre jours la semaine prochaine. Son directeur, Yves Pringault, répond à nos questions.
On en est à la combientième édition ?
Ce n’est pas évident de répondre de façon précise, parce que les choses ont un peu évolué depuis l’origine. Disons qu’il y a une quinzaine d’années, des animations avaient été lancées par un collectif d’associations du quartier, avec Ethnic’s comme locomotive.
Qu’est-ce qui a changé depuis ?
Il y a eu la fusion en maison de quartier des MJC et centres sociaux en 2005, et c’est la maison de quartier qui a alors coordonné les animations sous le label « Croix-Rouge s’affiche ». Sous ce label, des animations sont organisées tout au long de l’année.
Par exemple ?
En mars il y a eu Crêpes solidarité ; cette année c’était près du supermarché Match, rue Pierre-Taittinger.
Quel est le principe de cette action ?
C’était : je prends une crêpe (offerte gratuitement), et j’en prends une autre pour l’offrir à quelqu’un qui n’a pas pu se déplacer.
Et le festival de mai, en cours, fait lui aussi partie des animations ?
Oui, disons que c’est la proposition la plus forte du « label ».
Avec des particularités cette année ?
La principale, c’est la création d’un spectacle de musique théâtralisée spécialement pour cette occasion, intitulé « Horizons » sur le thème du développement durable. C’est celui qui a été présenté mercredi pour l’ouverture, et qui sera redonné dans nos « sous-quartiers » Université (que certains appellent encore la Rafale), Pays-de-France et Croix-du-Sud.
Quel sens donneriez-vous à ces animations ciblées Croix-Rouge ?
Animer ce quartier, grand comme la ville d’Épernay, et qui n’a même pas une salle de spectacle (en dehors des 80 places du Crous), mais pas seulement pour, mais aussi par et avec les habitants ; c’est l’esprit de l’éducation populaire.
Antoine Pardessus
![]() Le festival avait déjà eu l’occasion de faire une incursion sur la place d’Erlon mercredi pour l’ouverture.
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Ce samedi 10 mai, le programme du festival est le suivant :
de 15 à 18 heures, sur le secteur la Rafale (ou Université), parking Billard rue Pierre-Taittinger, diverses animations, stands et expositions.
à 18 heures, au chapiteau de l’association Trac (place Dominique-Ingres, secteur Croix-du-sud), festival « off ».
de 19 à 21 heures, retour du festival sur la place d’Erlon, avec présentation des ateliers musicaux de l’espace Ethnic’s.
Dimanche 11 :
à 14 heures, randonnée familiale à vélo, rendez-vous dans le secteur Pays-de-France
de 15 à 18 heures, toujours à Pays-de-France, spectacles, stands et expositions.
à 18 heures, poursuite des festivités sous le chapiteau de Trac (place Ingres).
La semaine prochaine, le festival prend une autre tournure, avec des spectacles de théâtre en salle (au Crous, rue de Rilly-la-Montagne) :
lundi 12 à 15 heures et 20 heures ;
mardi 13 et mercredi 14 à 20 heures ;
jeudi 15 à 15 heures, 20 heures, et, nouveauté par rapport au programme d’origine, 21 h 15, « Rire contre les racismes », par la compagnie du Théâtre à pattes de Witry-les-Reims.
Entrées libres.
![]() Entrées gratuites (ici concert de l’hippodrome) grâce à l’argent public.
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On notera cette année la forte implication des scolaires dans les préparatifs du festival Croix-Rouge. Ainsi quelque 13 écoles primaires, soit plus de 600 enfants, ont participé à la confection des décors ; en recourant uniquement (ou presque) à des objets de récupération, thème du développement durable oblige.
Cette année, c’est justement la première fois que le festival est organisé sur un thème donné (en l’occurrence le développement durable). « Du coup, ça devient plus facile de fédérer le travail des associations, et même de trouver des soutiens » estime le directeur.
Toutes les animations proposées dans le cadre du festival sont gratuites. Une facilité rendue possible notamment par l’argent public. Celui-ci provient de la Ville de Reims (au titre des contrats de rénovation urbaine avec l’État et au titre de sa propre direction culturelle), de l’État donc, du département, de la région, de la caisse des dépôts et consignation, et des organismes logeurs.
Des partenaires privés soutienent également la manifestation ; pas sous forme de subventions, mais sous forme de services.
Ainsi une entreprise de photocopie assure justement cette prestation, les bus urbains reproduisent des affiches et les installent dans leurs véhicules, le Crous met sa salle à disposition, un loueur de voitures fait de même avec les siennes. La Fnac devait même accueillir un mini concert, finalement annulé.Un partenariat a également été conclu avec l’union.
![]() Une soirée pour expliquer aux jeunes les modes de recrutement.
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Maintenant traditionnelle, la soirée consacrée au partenariat « Ecole-entreprise » du lycée Joliot-Curie a rassemblé les élèves de terminale des sections vente, commerce et service conseil, leurs professeurs et maîtres de stage face à des responsables de sociétés ou de grandes surfaces qui, avec Frédéric Serniclay, directeur de l’ANPE Jacquart, ont donné des pistes sur le fonctionnement des modes de recrutement et comment les aborder avec un maximum d’efficacité, le maître mot étant la motivation soutenue par une volonté personnelle de se former.
Les filières proposées à Joliot-Curie sont appréciées et les élèves ont été encouragés. Au travers de leurs questions, les jeunes attendent beaucoup de leur premier emploi.
La brocante de l’Association Croix-Rouge animation et promotion, ouverte à tous les particuliers mais interdite aux professionnels inscrits au registre du commerce, se déroulera dimanche 18 mai de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome, près du bâtiment Acrap.
Par ailleurs, toujours à l’initiative de, l’Acrap, une exposition de peinture, modelage, décoration florale, sculpture sur bois, sculpture sur pierre…(œuvres d’artistes du quartier) sera proposée le même jour dans la salle polyvalente Jean-Jacques-Lapique, voisine, de 10 à 18 heures.
Inscriptions pour participer à la brocante et à l’expo des artistes :
Acrap, 11 avenue du président Kennedy.
Tél. 03.26.06.39.54.
L’hebdo du vendredi- n° 77 - 080509
![]() Une trentaine d’avions quatre places était à la disposition des enfants pour leur proposer un baptême de l’air.
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130 enfants valides, sourds et malvoyants de la région ont pu effectuer leur baptême de l’air lundi sur l’Aérodrome de Reims-Prunay. Une opération à l’initiative de l’association « Les Chevaliers du Ciel » et de la Jeune Chambre Economique (JCE) de Reims et sa région.
Depuis douze ans, les trente pilotes de l’association « Les Chevaliers du Ciel » parcourent le ciel de France pour offrir des vols gratuits aux enfants qu’ils nomment « ordinaires » et « extra-ordinaires ».
Pour la première fois en Champagne-Ardenne, Reims était une ville étape de ce tour de l’Hexagone. Stéphane Foulon, le Président de la JCE de Reims, se félicite que cette nouvelle collaboration coïncide avec le centenaire de l’exploit de l’aviateur Henri Farman (voir encadré) : « Nous avons voulu marquer le coup pour cet anniversaire et nous avons été ravis d’apprendre que Reims était retenue comme ville étape au mois de septembre dernier. Comme cette annonce correspondait à la rentrée scolaire, nous avons pu faire travailler tous les enfants concernés sur le thème de l’aviation pendant toute l’année. » Les enfants dont la moitié était atteint de handicaps sensoriels ont réalisé de nombreux travaux avec leurs enseignants pour préparer cette journée de baptême de l’air (dessins, frises, rédactions…), et le jour J, ils se réjouissaient tous de pouvoir enfin « voler comme des oiseaux ». A bord de petits avions à quatre places, ils se sont envolés pendant vingt minutes de « bloc à bloc », comme on dit dans le jargon, c’est-à-dire entre le départ des roues et l’arrêt complet.
Comme toute opération de cette envergure, le coût n’est pas des moindres. Sur le plan local, le budget nécessaire à cette journée se montait à 20 000 €. Une somme financée par de nombreuses associations, différents ministères et certains partenaires privés, à laquelle s’ajoute celle de l’association organisatrice. Le Président fondateur des « Chevaliers du Ciel » confie que le tour de France, parti de Grenoble trois jours auparavant et qui s’achèvera à Montpellier, aura au total coûté 280 000 euros. « La plus grande partie du financement vient des pilotes présents pendant toute cette semaine. Ils ont tous accepté de payer eux-mêmes leurs heures de vols et d’offrir aux enfants ce que nous appelons ce « Rêve de gosses ». En plus des enfants handicapés, certains adolescents en difficulté sociale ont également pris part à l’évènement. L’association « Savoir pour réussir » a proposé à ces derniers un vol spécial dans un avion de l’armée de Terre. Selon Claudine Pradel-Herichet, organisatrice depuis quatre ans, « l’idée est avant tout la citoyenneté. En mélangeant des enfants handicapés sensoriels avec d’autres enfants, puis avec des jeunes qui rencontrent certaines difficultés, cette journée est l’occasion pour tous de tendre la main. Les adolescents concernés se rendent compte que malgré leur problèmes, ils peuvent toujours venir en aide à ceux qui sont encore moins chanceux. »
Emmanuel Lagain
![]() Animations de 19 à 21 heures, place d’Erlon.
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De 19 à 21 heures, animation au centre-ville de Reims, place Drouet-d’Erlon avec une scène danse organisée par l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge qui présentera un large éventail de spectacles de danse.
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Un feu de papier leur avait aussi été signalé peu après 19 h 30 mercredi dans une cage d’escalier de l’avenue du Géné¬ral-Eisenhower, mais il était déjà éteint à leur arrivée.
Un jeune homme s’est blessé en tombant de scooter hier jeudi vers 4 heures du matin dans la rue François-Mauriac (Croix-Rouge).
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080509e
Société à responsabilité limitée au capital de 10.000 Euros
Siège social : 18 rue de Rilly la Montagne REIMS (Marne)
448 104 885 R.C.S. Reims
D’un procès verbal d’assemblée générale extraordinaire du 12 avril 2008. il résulte que :
La dissolution anticipée de la société a été prononcée à compter du 31 mars 2008, suivie de sa mise en liquidation ;
A été nommé comme liquidateur : Monsieur Jean-Luc CAUCHOIS, demeurant à REIMS (Marne), 10 rue de Rilly la Montagne, à qui ont été conférés les pouvoirs les plus étendus pour terminer les opérations sociales en cours, réaliser l’actif et acquitter le passif ;
Le siège de la liquidation est fixé à l’adresse suivante : REIMS (Marne), 10 rue de Rilly la Montagne ;
C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés ;
Le dépôt des actes et pièces relatifs à la liquidation sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS.
Pour avis : Le liquidateur.
64705
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080509d
Société à responsabilité limitée au capital de 2.000 Euros
Siège social : 3 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS
AVIS DE CONSTITUTION
Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 24 avril 2008, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
DENOMINATION SOCIALE : CHORFA BAT.
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
SIEGE SOCIAL : 3 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : La réalisation de tout travaux de petite maçonnerie et de peinture.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 2.000 €.
GÉRANCE : Monsieur YASSINE YOUNSI, demeurant 3 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
La gérance.
64983
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080509c
Par jugement en date du 29/04/2008, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
SARL CLEAN ALLIANCE REIMS,
13 place Jean Fragonard - 51100 REIMS.
Activité : Nettoyage industriel et entretien de tous locaux, maisons et établissements et leurs alentours…
R.C.S. : REIMS B 428 733 190 (1999 B 00575).
Ledit jugement a désigné :
Juge commissaire : M. Olivier MACHUEL.
Liquidateur : Maître DELTOUR François, mandataire judiciaire, 3 rue Noël - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
65073
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080509b
Par jugement en date du 29/04/2008. le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
Sté ESPACE INTERNET DEPARTEMENTAL, 43 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
Activité : Exploitation de sites Internet .R.C.S. : REIMS B 434 993 119 (2001 B 00126).
Ledit jugement a désigné :
Juge commissaire : Mme Dominique POUGEOISE
Liquidateur : SCP DARGENT MORANGE - TIRMANT, en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
65074
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Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : M. le président du Conseil Régional Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne Cedex,
tél. : 03-26-70-66-43,
télécopieur : 03-26-70-89-01,
courriel : servicejuridique@cr-champagne-arden...
adresse internet : http://www.cr-champagne-ardenne.fr.
Adresse internet du profil d’acheteur : https://marchespublics.cr-champagne...
Le pouvoir adjudicateur n’agit pas pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.
Objet du marché : Missions de contrôle technique et de coordination SPS relatives à la maintenance annuelle 2007 au Lycée Arago de Reims :
Aménagement d’un bâtiment situé rue Joseph Cugnot à Tinqueux pour accueillir la formation « Gros Œuvre » du lycée Arago.
Caractéristiques principales : néant
Des variantes seront-elles prises en compte : non.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC : oui.
Le présent avis correspond à un avis périodique indicatif constituant une mise en concurrence.
Prestations divisées en lots :
Lot 1 : Contrôle technique
Lot 2 : Mission SPS
Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
Durée du marché ou délai d’exécution : 6 mois
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Unité monétaire utilisée : l’euro.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner ;
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques : ;
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ;
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants ;
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature ;
DC 4 (Lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses co-traitants, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème : marchés publics) ;
DC 5 (Déclaration du candidat, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr, thème :...
Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés dans le cahier des charges
Type de procédure : procédure adaptée
Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Adresse à laquelle les offres doivent être envoyées : SEM Agencia (mandataire de la Région Champagne Ardenne)
Correspondant a l’attention de M. le président, 95 boulevard du général Leclerc - BP 2740 - 51060 Reims cedex.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Demande par fax à la SEM Agencia ou par téléchargement à l’adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne...
Correspondant : Monsieur Clément RENAUX, Chargé de l’opération à la SEM Agencia télécopieur : 03-26-97-72-32.
Renseignements relatifs aux lots :
Lot 1. – Contrôle technique
C.P.V. - Objet principal : 74276100-5
Lot 2. – Mission SPS
C.P.V. - Objet principal : 74141700-6
Date de remise des offres : le vendredi 16 mai à 12h00
Date d’envoi du présent avis : le lundi 28 avril
![]() Emblème de l’université de Reims Champagne-Ardenne, les coquilles du campus Croix-Rouge qui accueillerait toutes les UFR du Pôle santé et du Moulin de la Housse.
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Puisqu’il faut reconstruire l’université, autant regrouper toutes les facultés sur un seul site. Le campus Croix-Rouge est préconisé pour accueillir également les étudiants du Moulin de la Housse et ceux du pôle santé.
Un campus à l’anglo-saxonne, c’est le rêve de Richard Vistelle, qui vient d’être réélu dans la nouvelle structure universitaire président de l’URCA, ainsi que toute son équipe. L’université de Champagne-Ardenne marche vers son autonomie et entend bien profiter de ses nouvelles libertés, pour se donner les moyens d’un avenir meilleur.
L’URCA est inscrite parmi la trentaine de candidates à l’Opération campus du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, pour bénéficier de l’effort financier exceptionnel annoncé. Il permettra de rénover dix campus français.
« Il nous faut sortir de cette situation d’éclatement, qui nous pénalise en terme d’optimisation des moyens, de mutualisation des services aux étudiants, de visibilité des enseignements et de la recherche », indique le président qui préconise un regroupement de tous les sites universitaires sur un seul et même campus.
C’est le campus Croix-Rouge qui accueillerait la nouvelle université. Un site en cours de reconstruction pour 30 millions d’euros, et qui accueille déjà des services communs dont la superbe bibliothèque universitaire de Sorbon.
« Si nous devenons propriétaire de notre patrimoine, conformément à la loi sur l’autonomie des universités, nous envisageons de vendre le site du Moulin de la Housse, vétuste, et qu’il faut de toute façon reconstruire ; ainsi que les 42 hectares de terrains pour transférer les sciences, Staps et l’IUT à Croix-Rouge. On y regrouperait également les UFR du pôle Santé. »
« L’éparpillement des locaux et des équipements nous coûte très cher », constate le président Vistelle. Le projet ambitieux et parfaitement cohérent tient compte des économies faites sur la gestion du patrimoine, mais aussi des nouvelles opportunités garanties par le TGV et sa gare de Bezannes, ainsi que du futur tramway de Reims.
La Ville de Reims, Reims Métropole, la région Champagne-Ardenne et la Caisse des dépôts approuveraient l’opération, propre à donner un nouvel élan à notre université.
« Il nous faut un campus attractif capable de séduire les étudiants, les enseignants chercheurs français et étrangers. L’avenir de l’URCA est à ce prix. »
150 millions d’euros, c’est ce que coûterait la reconstruction de l’université à Croix-Rouge à proximité du futur technopôle de Bezannes. Un partenariat public privé est à l’étude pour la faisabilité du projet, avec ouverture à des actionnaires dont la caisse des dépôts.
« On gagnerait sur tous les tableaux », affirme le président qui veut « un campus vivant et sécurisé, conçu selon un véritable plan d’urbanisme, avec des logements, des commerces, une crèche… ».
La réponse du ministère concernant l’Opération campus est attendue fin mai. Quoi qu’il arrive, Richard Vistelle entend jouer gagnant : « Même si nous ne sommes pas retenus, on fera tout pour que ce projet aboutisse autrement ».
Françoise Kunzé
![]() Les 5e en plein travail.
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Dans le cadre de l’accompagnement éducatif, onze élèves de 5e du collège Joliot-Curie créent un jeu de société intitulé « Les mineurs et la Loi ».
Animé par Mme Faucon, professeur des écoles et secrétaire du Réseau, cet atelier fonctionne deux fois par semaine.
Les élèves s’inspirent de l’exposition « Moi, jeune citoyen », mise chaque année à la disposition du collège par la Maison de la Justice et du Droit.
Trois thèmes sont abordés : l’école, la rue, la maison.
En juin, les créateurs du jeu se rendront dans les écoles primaires pour faire jouer leurs camarades de CM2. « La création de ce jeu de société s’intègre dans un projet plus large d’éducation à la citoyenneté », explique Valérie Lombard, principale adjointe.
![]() Le festival se déroule jusqu’au 15 mai.
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De 15 à 18 heures, regroupement dans le secteur Croix-du-Sud : des spectacles, jeux, dégustations, expositions, stands, animations et propositions artistiques.
Les travaux des écoles, des associations ainsi que le spectacle « Horizons ? » y seront dévoilés. Une scène et des ateliers seront mis en place avec la collaboration des acteurs locaux, des partenaires, des associations, des écoles et des Maisons de quartier pour accueillir, renseigner et sensibiliser les visiteurs sur thème de la planète et du développement durable.
De 18 à 21 heures, l’association Trac (Toutes recherches artistiques et de Créations), sous son chapiteau, proposera une programmation artistique, scène ouverte, où chacun pourra s’exprimer, sur le terrain de football, place Dominique-Ingres.
Le festival Solijahfary qui devait avoir lieu samedi 17 mai à la Cartonnerie est annulé.
L’association Emergence, organisatrice et productrice de cet événement reggae et solidaire annonce qu’elle annule la 3e édition du festival Solijahfary, lors de laquelle devaient être programmés les groupes : Neg’Marrons, Kuami Mensah Gnonnas et les Cactus Roots Band.
Les remboursements des billets s’effectuent sur le lieu d’achat jusqu’au 21 juin inclus.
Contact association Emergence : 03.26.85.46.71 ou 06.50.70.45.30.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080507b
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Maître d’ouvrage :
Société d’HLM L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Objet : REHABILITATION DU QUARTIER CROIX DU SUD A REIMS (51100)
1ERE TRANCHE- 451 LOGEMENTS - REF. : MA-030208 – PROCEDURE NEGOCIEE -
Type de marché : Travaux
Lieux d’exécution : Quartier Croix du Sud - Allée Edgar Degas et Place Auguste Rodin à REIMS (51100)
Code CPV (marché européen) : 45000000
Le marché est composé de 23 lots, à savoir :
Lot 01 A – Echafaudage
Lot 01 B – Echafaudage
Lot 01 C – Echafaudage
Lot 02 A – Démolitions/Gros Œuvre/Installations de Chantier – Terrassement
Lot 02 B – Démolitions/Gros Œuvre/Installations de Chantier – Terrassement
Lot 02 C – Démolitions/Gros Œuvre/Installations de Chantier – Terrassement
Lot 03 – Préfabrication Béton Armé
Lot 04 A – Isolation Extérieure Collée/Peinture/Pâte de Verre
Lot 04 B – Isolation Extérieure Collée/Peinture/Pâte de Verre
Lot 04 C – Isolation Extérieure Collée/Peinture/Pâte de Verre
Lot 05 – Bardage Pierre Agrafée
Lot 06 – Bardage Bois/Plaque Stratifiée
Lot 07 – Complexe Pierre Collée sur isolation/Béton de Fibre sur Isolant/Complexe plaquettes sur Isolant
Lot 08 – Bardage Aluminium/Acier
Lot 09 – Bardage Zinc
Lot 10 – Structure Métallique
Lot 11 A – Serrurerie/Façade Légère/Brise Soleil
Lot 11 B – Serrurerie/Façade Légère/Brise Soleil
Lot 11 C – Serrurerie/Façade Légère/Brise Soleil
Lot 12 – Doublage Cloisonnement
Lot 14 – ECS Solaire
Lot 15 – Prestations d’Electricité pour cellules photovoltaïques intégrées en bardage
Lot 16 – Prestations d’Electricité pour Brise-Soleil-Jardins d’Hiver, garde-corps avec cellules photovoltaïques intégrées
Durée du marché :
30 mois à compter de la date de signature de l’ordre de service de démarrage des travaux
Procédure :
Le présent marché sera passé selon une procédure négociée avec publicité et mise en concurrence et sera soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Cette procédure négociée fait suite à un appel d’offres infructueux sur les lots 1 A – 1 B – 1 C – 2 A – 2 B – 2 C – 3 – 4 A – 4 B – 4 C – 5 – 6 – 7 – 8 – 9 – 10 – 11 A – 11 B – 11 C – 12 14 – 15 – 16.
Date limite de réception des candidatures :
Le Lundi 2 juin 2008 à 17h00, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés – Plurihabitat l’Effort Rémois - 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.
Adresse auprès de laquelle retirer les dossiers de consultation :
Le dossier de consultation pourra être obtenu jusqu’au Vendredi 30 mai 2008 à 17 heures gratuitement à l’adresse suivante :
sur support papier :
- TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS
- Tél. 03.26.04.81.21 – Fax : 03.26.09.71.07
E-mail : Technic.Repro@wanadoo.fr
OU
sur support électronique :
http://www.effort-remois.com rubrique Appels d’offres ou http://www.lunion-legales.fr - référence du marché : MA-030208
La phase de négociation se déroulera du 3 juin 2008 au 13 juin 2008. A l’issue de cette phase de négociation, une offre définitive devra être remise par les candidats le Lundi 16 juin 2008 à 17 heures.
Les renseignements complémentaires éventuels seront communiqués jusqu’au Vendredi 30 mai 2008 à 17 heures auprès de :
Renseignements administratifs :
Service Marchés : Mme N. GALLOIS au 03.26.04.99.05, Mme F. BEHIH au 03.26.05.92.33 M. N. MEUNIER au 03.26.04.99.82
E-mail : (->service.marches@effort-remois.com]
Renseignements techniques :
Concernant les lots 1 à 12, contacter :
Cabinet d’Architecture BARRAND et CORPELET : M. CORPELET et Mlle HENRY
5 bis rue des Templiers – BP 1370 – 51063 REIMS CEDEX
Tél. 03.26.46.16.43 – Fax 03.26.46.16.59
E-mail : barrand-corpelet@wanadoo.fr
Précisions sur les lots de structure :
BET TAYLOR : M. TAYLOR et M. HORDEAUX – Tél. 03.26.07.99.76
Concernant le lot 14, contacter :
DCEF : M. CARBOT
Tél./Fax : 03.26.67.79.06
E-mail : dcef@9business.fr
2, impasse du Ruisseau – 51520 LA VEUVE
Concernant les lots 15 et 16, contacter :
ECOTRAL : M. POYAC
Tél. 03.88.18.74.22
Fax 03.88.20.68.10 –
E-mail : gilles.poyac@ecotral.fr
Date d’envoi du présent avis à la publication au BOAMP – JOUE, Journal L’UNION, éditions MARNE – AISNE – ARDENNES, LE MONITEUR, LE MATOT BRAINE : le 30 avril 2008
![]() La chanteuse de raï Cheba Zahouania, star en Algérie, en concert gratuit sur le parking de l’hippodrome.
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Evénement de taille pour la première journée du festival Croix-Rouge s’affiche 2008 avec un concert gratuit sur le parking de l’hippodrome ce mercredi 7 mai à 20 heures.
En première partie, le groupe châlonnais de variétés Cocktail fera monter la température.
La tête d’affiche sera la chanteuse de raï fusion Cheba Zahouania, star en Algérie.
Celle qui a choisi Zahouania (La Joyeuse) pour nom de scène, excelle aussi bien dans le registre du raï traditionnel des cheikhât que dans le raï moderne.
Avec sa voix gutturale et voluptueuse, elle compte parmi les grandes figures du raï d’aujourd’hui : dès les premières notes, le public est plongé dans l’univers dense et nocturne de la princesse raï.
Pas d’empressement, le rythme s’ébroue souple comme le trot du pur sang.
L’environnement musical demeure dans le haut de gamme du raï production maison.
Plus tôt, à 16 h 30, le spectacle « Horizons ? » créé à l’occasion du festival, sera présenté sur une scène dressée place Drouet-d’Erlon à 16 h 30.
![]() L’opération réunissait des enfants « ordinaires » et des enfants « extraordinaires » (souffrant de handicaps divers) venus de : l’institut Michel-Fandre, le centre d’audiophonologie et d’éducation sensorielle, l’école primaire de Taissy, l’école élémentaire Ravel Franchet, ou le collège Notre-Dame.
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![]() Pour avoir le droit d’embarquer dans les avions et de participer aux baptêmes de l’air d’hier, les enfants avaient dû au préalable réaliser divers travaux en classe (confection
de maquettes, études comparatives entre animaux volants et objets volants, étude de l’histoire de l’aviation avec illustration par une frise…). « Le vol devait être la récompense d’un effort », commente Gaëlle Quenelisse, cheville ouvrière de l’opération pour le compte de la Jeune chambre économique rémoise. |
![]() Divers stands d’activités (ici la sculpture sur ballon) permettaient de faire patienter les jeunes passagers avant leur embarquement.
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Invités par la Jeune chambre économique, les Chevaliers du ciel ont offert hier quelques instants de bonheur sous forme de baptêmes de l’air à une centaine d’enfants.
« Attention où tu mets les pieds ! Tu dois marcher sur le noir, pas sur le blanc. Tu as une poignée sur le côté pour t’aider. » Pour Allan, bientôt 10 ans, le grand moment est arrivé : le moment d’embarquer à bord d’un avion pour son baptême de l’air.
L’appareil, un Piper de tourisme de six-sept places, appartient à l’escadrille des Chevaliers du ciel du président Jean-Yves Glémée, association qui a pour vocation d’offrir quelques moments de bonheur aux enfants - et notamment, mais pas seulement, aux plus défavorisés - sous la forme de balades dans le ciel.
Hier, à l’invitation de la Jeune chambre économique locale, le tour de France de ces chevaliers pilotes s’était arrêté à l’aérodrome de Reims-Prunay ; ceux-ci étaient accompagnés de toute une caravane de stands de divertissement, sculpture de ballons, lecture et autre maquillage, donnant un air de kermesse aux abords de la piste de décollage.
Mais ces animations sur terre n’étaient que des amuse-gueules, permettant de faire patienter les enfants avant que ne vienne leur tour de goûter au moment clef de cette après-midi : la balade en avion.
Et le jeune Allan, de l’école Emile-Bruyant de Taissy, faisait donc partie de la grosse centaine de petits privilégiés invités à en profiter. Non sans avoir fourni un effort au préalable avec sa classe, sous la forme de divers travaux, pour mériter cette chance.
« Vous allez voir, les villages vont vous apparaître comme des jouets » explique le copilote, Jean-Luc. « A quelle hauteur est-ce qu’on va monter ? » demande Océane, qui fait partie elle aussi du petit groupe de passagers. « A 500 mètres ! »
En fait, l’appareil, piloté par Dominique atteindra même les 800 m d’altitude. De quoi s’émerveiller des paysages champenois, où les vignes brunes côtoient les carrelages verts ou jaunes des champs cultivés tirés au cordeau.
C’est vrai qu’à cette hauteur, les maisons semblent bien petites ; de vraies boîtes d’allumettes ! Et là, ce TER arrêté en gare, on dirait un lézard ! Cette péniche sur le canal ? Pas plus grosse qu’une trousse d’écolier. Oh, les jolies piscines…
Allan, présenté à l’équipage comme un garçon un peu agité, ne bronche pas. A peine a-t-il été un peu surpris par le vrombissement du moteur montant brusquement en puissance au moment du décollage. Ses deux compagnes de vol, Océane et Mathilde, bougent à peine plus sur leur siège, contemplant le paysage. De temps en temps une question aux pilotes, et en particulier pour savoir (encore !) à quelle altitude on se trouve.
Au bout d’une vingtaine de minutes la balade touche à son terme. Les maisons ne sont plus des boîtes d’allumettes, mais des boîtes à chaussures, l’aérodrome se rapproche, voici la piste droit devant. Une petite secousse et ça y est, revoilà le plancher des vaches ! « Alors, ça vous a plu ! » « Oui, beaucoup ! » « Vous n’avez pas eu peur ? » « Non, en fait c’est maman qui m’avait fait le plus peur avec ses recommandations avant le départ… »
Antoine Pardessus
Une journée familiale autour de la pêche
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L’association de promotion de Pays-de-France a, une fois encore, proposé une journée autour de la pêche au Moulin Carré à Châtillon-sur-Marne.
Une centaine de personnes ont participé à cette aventure ensoleillée.
Une vingtaine a pêché la truite, et les autres ont profité du pique-nique, du barbecue et des animations : jeux de sociétés, balades, jeux de plein air, placées sous la responsabilité de Christiane et Yves Monflier et des bénévoles de l’association.
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Le nouveau programme des activités proposées aux habitants par l’association Etoile Croix-du-Sud vient d’être présenté par le président Jean-Michel Gauthier, avec quelques innovations originales, comme la section philatélie.
Gymnastique : le jeudi de 9 heures à 10 h 30, ouvert à tous.
Club des Après-midi de Croix-du-Sud (belote, jeux de société, …) : le jeudi de 13 h 30 à 18 h 30.
Femmes-Relais 51 : permanence le vendredi de 9 à 12 heures.
Danse moderne : le mercredi de 17 h 30 à 18 h 30, pour les 6 à 15 ans.
Rencontre philatélique : le vendredi 9 mai à 14 heures, organisé par la vice présidente du club philatéliste de Reims.
En prévision : cours d’alphabétisation avec Mme Kaddour.
Pétanque : un nouveau concours est organisé le dimanche 11 mai (inscriptions à 13 h 30, début à 14 h 15), sur le boulodrome de l’avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud. Il est ouvert à tous en doublette, 10 euros par équipe.
Renseignements et inscriptions : 03.26.06.56.66. ou 06.11.68.16.48.
Site : http://www.quartier-croix-rouge.info/
Consultez nos articles sur :
Le concours de pétanque du 11 mai 2008
![]() Un groupe de travail prépare déjà l’échange franco-polonais.
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A l’espace Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge, on prépare activement un accueil de jeunes Polonais.
Il s’agit de la deuxième partie d’un projet commencé en 2007 par le séjour en Pologne de jeunes de Croix-Rouge par l’association Ecoeurowies.
« Le premier séjour qui a vu le groupe de Français se rendre en Pologne s’est très bien déroulé. Des liens se sont créés et la venue des Polonais en France clôturera ce projet d’échange culturel européen de jeunes » explique Slimane Hamdi, animateur et organisateur à l’espace Pays-de-France.
Alors que le séjour des Français en Pologne en 2007 abordait la lutte contre toutes les formes de discrimination avec, en point d’orgue, la visite du camp d’Auschwitz, cette année, Français et Polonais seront hébergés ensemble au CREPS de Reims, du 7 au 15 juillet, sur le thème de la découverte du fonctionnement des institutions administratives et politiques de la France et de l’Europe.
http://festivalcroixrouge2008.blogs...
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http://festivalcroixrouge2008.blogs...
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![]() Après la salle d’attente, direction la consultation…
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![]() Dans le bloc opératoire, les enfants, avec la tenue appropriée, ont suivi parfois avec inquiétude l’intervention des « nounoursologues ».
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![]() L’hygiène bucco-dentaire faisait aussi partie de l’animation.
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Les étudiants en médecine de Reims ont, pendant deux jours, « joué » les nounoursologues à l’école Raoul-Dufy. Objectif : rassurer les enfants devant les blouses blanches.« COMMENT il s’appelle ton doudou ? », demande une étudiante en médecine. « Miguel », répond la petite fille.
« Et il a mal où ? » Salma, 4 ans, réfléchit quelques instants : « Au bras, à la tête et au front ! » Dans la salle aménagée en mini-hôpital, la classe de Pascale Donnio, la directrice de l’école Raoul-Dufy, participe ce matin-là à l’opération « hôpital des nounours ».
Organisée par les étudiants en médecine de Reims, devenus « nounoursologues », la manifestation avait pour objectif de réduire la peur des enfants devant les « blouses blanches ». « Les enfants ont ici le rôle de parents. Les patients, ce sont les peluches », explique Alexandre Lourdelle, un des organisateurs. « De cette manière, ils regardent ce qui se passe. Tout en suivant une consultation dans sa globalité, de l’accueil à la pharmacie, on les rassure, on leur explique et on leur montre chaque geste. Ainsi, si un jour ils sont confrontés à l’hôpital, en tant que patients cette fois, ils auront moins d’angoisse ». Deux jours durant, cinq classes de l’école maternelle - 111 élèves de 3 à 6 ans - ont participé à cette animation.
« Ils ont tous apporté des doudous. Les parents ont bien joué le jeu », se félicite la directrice. « De notre côté, on avait préparé cette journée. Chaque enfant avait notamment décidé des maladies. Ce sont surtout des petits bobos. Des bras cassés. Mais aussi des trachéos ».
Dans la classe, tout a été recréé comme en vrai. Salle d’attente, consultation, radio, pansements, bloc opératoire, pharmacie…, les enfants ont suivi méthodiquement chaque étape. Un peu timides au début, ils se sont vite pris au jeu. Les étudiants, eux, ont su faire preuve de patience et de pédagogie.
« Moi, il a mal aux fesses », lance Dorian qui prend Bouba dans ses bras.
« Moi, il a mal là », indique Yanis en montrant la queue de son Tigrou.
Une petite radio, un gros pansement et ça allait déjà beaucoup mieux.
Mais le bloc opératoire a visiblement impressionné. Déjà parce qu’il fallait s’habiller : blouse, chaussons, charlotte, masque chirurgical… Ensuite par l’acte lui-même.
Et même si les étudiants faisaient, bien sûr, semblant, les enfants étaient plutôt inquiets. D’ailleurs la plupart tenait, bien serré contre eux, la main de leur doudou.
C.T.
![]() L’association a été créée par Myriam Munch.
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Créée à l’initiative de Myriam Munch, infirmière libérale, l’association pour le libre choix des malades est née d’un constat :
Les personnes qui entrent en maison de retraite se voient, dans la plupart des cas, coupées des liens rassurants qui existaient avec leur médecin traitant et les professionnels de santé de l’extérieur… »
La maltraitance commence souvent par la privation de ses droits » affirme la présidente .
Il s’agit d’ œuvrer pour la « bientraitance », avec une disposition qui vient d’entrer en vigueur : la création d’un numéro, le 39 - 77, pour signaler la maltraitance des personnes âgées et des adultes handicapés.
Pour tous renseignements sur l’association : ALCM, 46 ter, groupe Eisenhower Reims. 06.14.58.67.73.
![]() Les deux garçons près de Sabrina Deconinck, leur entraîneur et Camille Renault.
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Après une blessure en début de saison, Jonathan Jaquet s’est quand même sélectionné pour les championnats de France Novices à Rouen. En pleine forme, il a exécuté un programme libre sans faute et s’est classé 11e meilleur de France.
De son côté, Gianni Daffini, en catégorie minimes garçons, a participé pour la première fois au tournoi de France et s’est qualifié pour les championnats. Il s’est classé 18e.
…
Dans la soirée qui avait précédé, ils avaient également été appelés, vers 18 h 30, place Auguste-Rodin (Croix du sud), pour un carton enflammé sur une plaque de cuisson dans un appartement ; mais le feu était déjà éteint à leur arrivée.
…
Au cours des vacances, beaucoup d’associations se mobilisent en faveur des enfants et des adolescents à Pays-de-France : parmi elles, au 1, allée des Béarnais, discrète et encore peu connue, la Marelle, un espace rencontre autour du jeu.
Son action s’adresse aux jeunes enfants âgés de 6 à 11 ans. Un groupe de professionnels (éducateurs, sociologues, psychologue…) accompagne les enfants dans leurs jeux et dans leurs activités relationnelles. « Les enfants peuvent parler de tout ce qui les intéresse » explique
Agnès Bégusseau, coordinatrice, de la Maison de l’enfance : « les parents peuvent également poser leurs questions, lors de permanences d’accueil, sur les sujets qui les préoccupent. »
Mais on fait aussi la fête à la Marelle comme lorsque petits et grands étaient conviés à découvrir le spectacle du Petit Chaperon Rouge, présenté par la bibliothèque pour tous Cernay-Europe.
![]() Courageuse Camille !
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Ce week-end, Camille Renault, patineuse du Reims Acrap patinage, a participé aux championnats de France solo qui se déroulaient à Épinal.
Une chute, survenue dans sa première danse imposée, lui a causé une fracture au poignet.
Malgré la douleur, elle a toutefois décidé de ne pas déclarer forfait. Elle a alors effectué sa deuxième danse imposée.
Puis après un passage aux urgences, elle a été plâtrée.
Camille Renault a terminé 8e du classement national 1re division.
Tous ses camarades et entraîneurs sont fiers de cette leçon de courage !
![]() L’Acrap est inquiète à cause de la restructuration prévue du quartier, des travaux du tramway et du réaménagement du site de l’hippodrome.
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Avec 798 adhérents et une centaine de bénévoles pour 18 sections, l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) est la structure la plus dynamique du quartier.
Les cinq sections les plus fréquentées sont la natation (256 adhérents), le football (154), la danse (87), le karaté shorin (52) et les majorettes (49), mais on y pratique également le badminton, le fitness step, la gymnastique, la pétanque…
Les autres sections sont également bien fréquentées : travaux manuels, couture, temps libre, fêtes et loisirs.
L’Acrap rencontre un problème interne : « l’eau sanitaire est polluée par des conglomérats de rouille, sable et graviers. Elle est juste bonne à se laver les mains, et encore…Cela obture les canalisations et il nous faut sans cesse purger, démonter et changer des pièces ! »
REIMS METROPOLE magazine 080502f
Article paru dans « REIMS METROPOLE magazine » n° 103 de mai 2008
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Comme tous les ans et cela depuis 15 ans maintenant, la Maison de Quartier Croix Rouge a mis en place une action nommée "Croix Rouge s’affiche".
Son but premier est l’animation d’un quartier d’une manière participative avec une résonance des actions du quartier hors de ses frontières. Commencé le 7 mai, le festival se poursuit jusqu’au 15 mai.
De 19 h à 21h, place d’Erlon, l’espace la Nacelle de la Maison de Quartier Croix Rouge présente un large éventail de spectacles de danse (fruits des ateliers 2007-2008).
De 15 h à 18 h, secteur Université, parking de l’espace Billard, spectacles, animations, stands et expositions. Randonnées pédestres pour découvrir la nature cachée dans le quartier.
18h, poursuite des festivités avec l’association TRAC, sous chapiteau.
De 19 h à 21h, place d’Erlon, l’espace Ethnic’s de la Maison de Quartier Croix Rouge présente sur scène un large éventail de styles musicaux (fruits des ateliers 2007,2008).
14h00, secteur Pays de France, randonnée au sein du quartier, venez en famille et à vélo !
De 15 h à 18 h, secteur pays de France, parking de l’école des Provençaux, spectacles, animations, stands et expositions
18h, poursuite des festivités avec l’association TRAC, sous chapiteau.
15h, La Jeune Fille, le Diable et le Moulin, d’Olivier Py, par la Compagnie La godasse et l’escarpin,
20h, Guantanamour, de Gérard GELAS, par la Compagnie Aldente théâtre (Belgique), en partenariat avec le Festival Brut de Scène, organisé par l’Espace Le Flambeau de la Maison de Quartier Jean Jaurès.
20h, Le dieu du carnage, de Yasmina Reza, par la compagnie des Chiens de Talus.
15h, Mina dis-moi ! de la classe de CM2 de l’école Joliot Curie, par le groupe
Au fil des mots (séance scolaire).
20h, Horizons ?, de José Mendes, par le collectif de création 2008 du festival (musique, danse, théâtre).
festivalcroixrouge2008.blogspot.com
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080502e
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du28 avril au 04 mai 2008
Société à responsabilité limitée au capital de 8.000 Euros
Siège social : 6 allée Yves Gandon - 51100 REIMS
N° SIRET : 480 544 493 00012
Aux termes d’une délibération en date du 26 mars 2008, la collectivité des associés a pris acte de la démission de Monsieur Romuald VAN LOMMEL de ses fonctions de cogérant.
La gérance
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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080502d
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du10 au 16 mars 2008
MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX
1. IDENTIFICATION DE L’ORGANISME QUI PASSE LE MARCHE : MINISTERE DE LA SANTE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS, représenté par : la DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LEQUIPEMENT DE LA MARNE.
2. NOM ET ADRESSE OFFICIELS DE [ORGANISME ACHETEUR :
REPRESENTANT DU POUVOIR ADJUDICATEUR : Monsieur le Directeur Départemental Délégué de l’ÉQUIPEMENT DE LA MARNE, 40 bd Anatole France - 51022 CHALONS EN CHAMPAGNE.
3. OBJET DU MARCHE : Construction d’un complexe sportif Dojo/escrime.
4. LIEU D’EXECUTION : CREPS DE REIMS, Route de Bezannes à REIMS.
5. TYPE DE MARCHE DE TRAVAUX : Exécution.
6. CPV - OBJET PRINCIPAL : 4500000.
7. CARACTERISTIQUES PRINCIPALES : Une variante est prise en compte pour le lot 1 et des options pour les lots 8 et 10.
Il y a possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
Les prestations sont divisées en 16 lots :
- 1. Lot 01 : Gros oeuvre ;
- 2. Lot 02 : Charpente lamellé collé ;
- 3. Lot 03 : Couverture / Bardage ;
- 4. Lot 04 : Bardage bois ;
- 5. Lot 05 : Menuiserie extérieure Serrurerie ;
- 6. Lot 06 : Menuiserie intérieure ;
- 7. Lot 07 : Doublages / Plafonds ;
- 8. Lot 08 : Electricité ;
- 9. Lot 09 : Chauffage / Ventilation ;
- 10. Lot 10 : Plomberie ;
- 11. Lot 11 : Carrelage / Faïence ;
- 12. Lot 12 : Parquet ;
- 13. Lot 13 : Peinture ;
- 14. Lot 14 : Equipement d’escrime ;
- 15. Lot 15 : Equipement de judo ;
- 16. Lot 16 : VRD.
8. FORME IMPOSEE PAR LE POUVOIR ADJUDICATEUR EN CAS DE GROUPEMENT D’ENTREPRISES : Solidaire.
9. MODALITES ESSENTIELLES DE FINANCEMENT : Financement Etat 100 %.
10. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES : [annonce complète a été envoyée au B.O.A.M.P. le 05/03/2008.
Les documents de la consultation pourront être obtenus par voie électronique sur la plate-forme de dématérialisation http://www.marches-publics.gouv.fr/ sous la référence publique "DDE51/UTR/IAT/CREPS/2008/01".
11. DATE ET HEURE LIMITES DE REMISE DES OFFRES : 07/04/2008, à 16h 00.
DATE D’ENVOI DE L’AVIS : 06/03/2008.
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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080502c
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du10 au 16 mars 2008
Lycées. L’AIE, le Medef et l’Education nationale s’associent pour un cycle de réunions d’information dans quatre lycées rémois.
Sensibiliser les jeunes à l’économie régionale et à la place de l’entreprise dans la société. Tel est l’objectif de l’opération « l’entreprise c’est la vie », mise en œuvre par l’Association Jeunesse et Entreprise et par le Medef Marne, en collaboration avec l’Education nationale.
Au programme, quatre sessions de deux heures chacune, animées par des professionnels de l’économie, auprès des terminales ES de lycées rémois. Le 5 février, c’est l’amphi du Lycée Libergier qui a accueilli la première séance, sur le thème des « atouts de l’économie régionale ».
C’est Guy Delabre, professeur d’économie, directeur de la formation continue à l’Urca et animateur de la réunion, qui a introduit le sujet en resituant notamment le rôle de l’entreprise au cœur du système économique.
« Avez-vous conscience de vivre dans un paradis pour les entreprises ? », a ensuite lancé aux lycéens Jean-Yves Heyer, directeur général de Reims Champagne Développement, avant de se livrer à une démonstration de marketing territorial mettant en valeur tous les atouts susceptibles de favoriser les implantations d’entreprises dans notre région.
Une réunion conclue par l’intervention de Bernard Malapel, directeur du site Cristal Union de Bazancourt, portant sur une présentation du pôle de compétitivité et de ses enjeux.
Les trois prochaines réunions, portant sur d’autres thèmes liés à l’économie : création d’entreprise, ressources humaines… auront pour cadres les lycées Saint-Michel, Roosevelt et Arago.
J.M.-R.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080502b
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du10 au 16 mars 2008
Par jugement du 05/02/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
SARL PASS’FRANCE,
1 rue Joliot Curie - 51100 REIMS.
Activité : Publicité marketing, communication.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
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Après Europe, Croix-Rouge ! Cette semaine, les policiers de la brigade des violences urbaines ont également placé en garde à vue deux autres jeunes suspectés d’avoir incendié le salon de coiffure Tif City situé au rez-de-chaussée d’un immeuble de l’allée des Provençaux.
L’affaire remonte à la nuit du 3 au 4 mars 2007. Les pompiers avaient dû évacuer pendant quelques minutes les cinq occupants des deux appartements les plus proches de la boutique.
Le salon a été incendié après avoir été cambriolé. Les auteurs avaient emporté le fond de caisse et de nombreux produits capillaires écoulés, pour une bonne partie, auprès de jeunes filles du quartier.
De fil en aiguille, les enquêteurs ont orienté leurs soupçons vers deux jeunes majeurs du quartier déjà connus de leurs services.
Là encore, l’exploitation des traces ADN relevées dans le salon a été déterminante. Mettre la main sur les suspects n’était plus qu’une formalité : ils sont actuellement en prison pour d’autres affaires…
Placés en garde à vue, Ismael Brarou-Selmani, 21 ans, et Toufik Mahamdi, 22 ans, ont contesté leur présence au salon de coiffure la nuit des faits.
Les deux garçons ont toutefois rejoint la maison d’arrêt avec une convocation le 14 octobre devant le tribunal correctionnel.
L’un des mis en cause, Toufik Mahamdi, comparaîtra en état de récidive légale pour avoir déjà été condamné à deux reprises pour des faits de destruction par incendie.
La peine plancher est de quatre ans d’emprisonnement.
F.C.
L’hebdo du vendredi- n° 76 - 080501
![]() Attentifs aux explications de leur guide, les ados ont profité pleinement de leur après-midi culturel
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Cette semaine, une quinzaine de jeunes volontaires du quartier Croix Rouge sont partis à la découverte de leur ville et de ses monuments. Ambiance historique garantie.
Mercredi 30 avril, 13h45. Au pied de la Porte Mars apparaît soudain une quinzaine d’adolescents, la tête tournée vers le ciel, lorgnant les détails de l’architecture de la Porte que leur désigne Richard, leur guide.
Avec cet agent du patrimoine de la ville, les mystères tombent un à un sur ces hauts lieux historiques rémois. Cet après-midi pédagogique s’inscrit pleinement dans la démarche citoyenne de Khadija Bati.
Etudiante en sciences à l’IUFM, Khadija est engagée en parallèle avec l’Afev (l’Association de la Fondation Etudiante pour la Ville). L’association permet aux étudiants qui le souhaitent de s’engager, pour une durée donnée, auprès d’un enfant alors en difficulté scolaire. En marge de cela, l’Afev permet à ces étudiants de monter un projet personnel se voulant utile à la communauté.
Ainsi, Khadija a mis en place un rallye citoyen à travers le centre-ville afin de permettre à tous ces jeunes de sortir de leur quartier l’espace de quelques heures : « Je voulais montrer à tous ces enfants que leur vie ne se borne pas à Croix Rouge. Avec cette sortie, ils découvrent des monuments que certains ne connaissaient même pas. L’idéal serait qu’une fois rentrés chez eux, ils expriment le désir de retourner sur ces lieux ou d’aller en visiter d’autres avec leurs parents ». Afin d’intéresser ces touristes en herbe au rallye, des ateliers ont été organisés autour des trois édifices choisis pour la sortie : la Porte Mars, le Cryptoportique de la place du Forum et la Cathédrale.
Au fil de la visite, les jeunes remontent l’histoire, quittant l’Antiquité pour rejoindre le Moyen Âge. L’occasion rêvée pour Chems de glaner çà et là quelques idées pour son futur métier. Passionné d’architecture, ce collégien de treize ans désire en faire sa profession : « La sortie d’aujourd’hui m’intéresse car le guide nous explique quelles sont les différentes techniques de construction des bâtiments selon les différentes époques ». Informations techniques pour les uns, plaisir des yeux pour les autres, chacun semble apprécier ce concept de rallye citoyen, une satisfaction pour Khadija Bati qui, néanmoins, voudrait donner une portée plus large à son projet en impliquant davantage les parents des adolescents : « Généralement, les parents s’occupent des résultats scolaires de leurs enfants mais n’ont pas forcément l’initiative d’aller avec eux visiter une expo ou un musée. J’essaie de les ouvrir aux multiples possibilités culturelles qui leur sont offertes ».
Un deuxième rallye citoyen est programmé mercredi 7 mai, l’occasion pour ces écoliers et collégiens, d’accroître encore un peu plus leurs connaissances de la ville.
Aymeric Henniaux.
L’hebdo du vendredi- n° 76 - 080501
![]() La piscine du Château d’eau sera la première du genre dans le Nord-Est de la France. |
La piscine du Château d’eau dans le quartier Croix-Rouge rouvrira à la rentrée prochaine et devrait satisfaire ses usagers tout en attirant de nouveaux baigneurs. Visite guidée…
Aux termes de plusieurs mois de travaux menés par la Ville de Reims et la Régie des Equipements Municipaux Sportifs de la Ville (REMS), la piscine du Château d’eau rouvrira ses portes en septembre prochain.
Comme l’explique Christine Michel, Adjointe au Maire en charge des Sports et Présidente de la REMS « Ce projet s’inscrit dans les objectifs concernant les équipements, par la rénovation de bâtiments anciens ; le souci étant d’améliorer le confort des usagers, limité ici notamment par la taille des vestiaires. » En effet, cette piscine accueille 90 000 personnes par an, familles, scolaires, centres de vacances, étudiants, clubs sportifs, école de natation et pour répondre aux besoins de ces divers publics la structure nécessitait d’importants travaux.
En attendant de s’y plonger, visite guidée des travaux : l’entrée se fera désormais par l’allée des Landais, ce qui permettra une meilleure visibilité et un accès plus pratique ; une deuxième entrée de plein pied est prévue pour les personnes à mobilité réduite, ainsi qu’un siège spécial pour accéder au bassin ; la surface des vestiaires sera doublée, le hall d’accueil agrandi ; la rénovation des extérieurs et des façades est en cours, ainsi que celle des trois bassins, la sécurité sera renforcée, grâce à un système d’éclairage performant.
La grande innovation, venue d’Europe du Nord, réside dans la mise en place d’une cuve en acier inoxydable dans le grand bassin, qui revêt de nombreux avantages. Cette technologie permet une économie d’eau grâce à sa bonne étanchéité. De plus, comme le souligne Alain Simon, directeur ordonnateur de la REMS : « L’eau arrivera désormais à 100% par le fond et s’évacuera à 100% par débordement, ce qui améliore l’évacuation des éléments organiques. » La qualité de l’eau sera donc améliorée et l’hygiène renforcée.
Ce système nécessitera aussi moins d’entretien et de produits phytosanitaires (par nature agressifs pour l’environnement et les organismes). Comme le précise Christine Michel : « Le bassin en inox traduit une volonté de qualité et de respect environnemental ».
Cette piscine sera la cinquième de France métropolitaine équipée d’un bassin en acier inoxydable et la première dans le Nord-Est.
Noémie Maillard
Piscine du Château d’eau -12, allée des Landais à Reims. Réouverture en septembre 2008
L’hebdo du vendredi- n° 76 - 080501
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Du 7 au 15 mai prochain, Croix-Rouge fait son festival. Pour cette 15ème édition, les scènes investissent les rues et les places, autour du thème du développement durable.
« Faire raisonner toutes les sensibilités artistiques du quartier, tout simplement pour illustrer la diversité de Croix- Rouge », José Mendes, directeur artistique du festival donne le ton. Autrement dit, faire connecter de nombreux savoirfaire dans le but de dynamiser une Ville…notre Ville, Reims. Car « si à la base, l’évènement est monté par et pour les gens de Croix-Rouge, grâce aux associations et aux maisons de quartier, il s’adresse à toute la métropole rémoise », assure Fanny Griffon, chargée de la programmation.
La danse, le théâtre, la création scénique, les arts plastiques, la musique, le chant….Hé oui, c’est ça Croix Rouge S’affiche ! Un condensé de tous les arts de la scène dans leurs plus originaux apparats.
Voilà pour cette 15ème édition un évènement haut en échanges, placé sous le signe du développement durable. Car « même entre les tours de béton, les gens s’intéressent à leur planète et à l’environnement », assure José Mendes.
Alors « cette année, Croix-Rouge fait un clin d’oeil responsable à l’avenir de la planète ». Et se demande « si l’une des solutions pour sauver la terre ne pourraitelle pas être dans l’échange ? Après tout, le développement durable c’est comme le lien social. »
Croix-Rouge S’affiche, c’est une invitation à découvrir et à se nourrir de performances scéniques locales. D’autant qu’« une bonne nutrition culturelle doit être variée et un quartier de 25 000 habitants compte forcément des graines d’artistes », illustre Eric Quenard, 1er adjoint à la Mairie en charge notamment de la vie des quartiers.
Des graines d’artistes à aller applaudir en l’honneur de généreuses initiatives.
Caroline Denime
Infos supplémentaires et programme complet sur www.festivalcroixrouge2008.blogspot.com ou au 03.26.86.10.71.
Entrée libre.
![]() Jean-Louis Rumério, président d’APPUIS.
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l’union : Jean-Louis Rumério, vous êtes le président d’APPUIS : Association Pour Promouvoir l’Union, l’Insertion et la Solidarité. Comment vous est venue l’idée de cette association ?
Dans des quartiers dits « sensibles », nous avons constaté que le chômage, pour beaucoup, semble être une fatalité.
Pour certains, c’est dû à la non-maîtrise de la langue française.
Pour un public jeune, c’est le fait d’être sorti prématurément du système scolaire sans qualification.
Pour les adultes, chômeurs de longue durée, il faut redéfinir un projet professionnel leur permettant un retour à l’emploi.
Enfin, pour les plus âgés, qui connaissent une longue période de chômage, il est nécessaire de les remotiver, voire de leur donner des formations porteuses d’emploi.
Comment intervenez-vous ?
Au travers d’actions avec la ville de Reims, la Région, l’Etat, l’ANPE, nous accompagnons les demandeurs d’emploi dans leur démarche d’insertion professionnelle en leur fournissant des techniques de recherche (simulation d’entretien, aide aux CV, mobilité géographique…).
Nous proposons des formations linguistiques aux personnes issues de l’immigration. Dans le cadre de la Région, nous travaillons avec les personnes sans qualification pour faire émerger des projets professionnels personnalisés.
Associez-vous des partenaires à vos projets ?
L’insertion professionnelle ne peut, dans la plupart des cas, se passer d’un accompagnement social. Lorsqu’un conseiller rencontre une personne qui a des difficultés d’ordre social, il fait appel à un éducateur spécialisé de l’association « 2 mains » pour une prise en charge commune.
Nous venons de signer une convention partenariale avec des agences d’intérim de Reims et d’Epernay. Nous envoyons certaines personnes en stage pour vérifier leur « employabilité » et voir si l’entreprise est faite pour elles. C’est un véritable réseau de partenariat que nous sommes en train de tisser.
Appuis 4 rue Georges Bernanos 03.26.04.65.83 e-mail appuis@wanadoo.fr
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims- habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel. gouv.fr/MarchesPublics)
1. Identification de l’organîsme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE- ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant artî¬cles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.
3. Objet des marchés : marché de travaux et d’entretien des ascenseurs de REIMS HABITAT.
4. Nombre et consistance des lots : les travaux sont répartis en 4 lots dits géographiques désignés ci-dessous : lot, désignation
Lot 1 : succursale centre-est.
Lot 2 : succursale nord.
Lot 3 : succursale Croix-Rouge.
Lot 4 : succursale Murigny.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Durée du marché : à compter du 1’ juillet 2008 jusqu’au 30 juîn 2013.
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
8. Critères d’attributîon de l’offre :
1. Prix des prestations 60 %.
2. Moyens humains mis en oeuvre pour la réalisation du marché 20 %.
3. Moyens techniques mis en oeuvre pour la réalisatîon du marché 20 %.
9. Délai de valîdité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
10. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remîses à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
Les offres peuvent également être transmises par voie élec¬tronique en toute confidentialité et de manière sécurîsée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.
12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction deS programmes techniques et spéci¬fiques de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.38, fax 03.26.48.43.40.
13. Date lîmite de remise des offres : le 6 juin 2008, à 17 heures.
14. Date d’envoi de l’avis à la publication : le 24 avril 2008.
Du mercredi 7 mai au jeudi 15 mai, à l’occasion du Festival « Croix-Rouge s’affiche 2008 », nous publierons chaque matin le programme de la journée.
A l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau, Vincent Girardin propose une sortie dimanche 4 mai, dans les Ardennes, la promenade de Cornay (12 km). Départ 8 heures, retour vers 16 heures. Prévoir son pique-nique. Détails au secrétariat (03.26.36.03.50.), ou auprès de Vincent au 06.12.99.83.09.
Vendredi 9 mai à 14 heures, la vice présidente du club philatéliste de Reims organise une rencontre avec les habitants à l’Etoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum. En vue, la création d’un club philatélie à Croix-Rouge.
L’association Émergence (coopération et solidarité avec le Bénin) propose le festival Solijahfary 2008 qui se déroulera du 10 au 17 mai et dont les recettes serviront à financer l’aménagement de la bibliothèque scolaire de Hon au Bénin. Programme auprès de Jean-Philippe Zinzindohoué, 4 allée des Picards (03.26.85.46.71.).
Concours de pétanque en doublettes dimanche 11 mai (inscriptions à 13 h 30, début à 14 h 15, sur le boulodrome de l’avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud).
Renseignements et inscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66.) ou auprès du responsable : 06.11.68.16.48.
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![]() Une exposition ludique et sensorielle jusqu’au 28 juin, autour du livre.
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En mai, la médiathèque Croix-Rouge propose un ensemble de manifestations destinées aux tout-petits.
« Au clair de la lune, trois petits bouquins » est une exposition ludique et sensorielle jusqu’au 28 juin, autour du livre, permettant aux tout-petits jusqu’à 3 ans de manipuler, observer et explorer et aux adultes de raconter des histoires en situation, dans deux salles, « J’ai sommeil » et « Je veux un câlin ».
Pour les 3 mois - 3 ans et leurs parents, un moment de lecture tendresse, suivi d’une projection de très courts métrages. Mercredi 7 mai, samedi 17 mai, mercredi 21 mai et mercredi 28 mai à 9 h 30.
Une très belle histoire d’amitié avec Petit Bleu et Petit jaune, qui est aussi une initiation artistique, par Florence Arnould. Samedi 10 mai à 10 h 30.
Bénédicte Guettier a publié pas moins de 200 albums. Elle les présente le vendredi 16 mai, de 16 h 15 à 17 h 45, à la librairie Privat-Guerlin.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Debar (03.26.35.68.40.), entrée libre mais inscription préalable obligatoire.
L’association « Point rencontre », présidée par Salah Byar et l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », présidée par Marceau Nicolas, invitent les parents d’élèves du collège Joliot-Curie à une réunion, lundi 5 mai à 20 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, « pour discuter de l’avenir et de la réussite de nos enfants ».
![]() Constance et Thiphaine fiers de leur ceinture noire.
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Bonheur à l’association sportive Croix-Rouge : Constance Leroy, du haut de ses 15 printemps, pratique le judo depuis 10 ans.
Elle a obtenu ses katas (examens techniques) puis les points qui lui manquaient.
Tiphaine Logeard, âgé lui de 17 ans, n’avait que la présentation de ses katas à effectuer puisqu’il avait déjà les 100 points demandés pour l’obtention de la ceinture noire.
Il les a obtenus avec les félicitations du jury.
![]() Beaucoup d’émotion hier soir à l’occasion du 63e anniversaire de la libération des camps.
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Des dizaines d’hommes et de femmes portants des torches réunis dans la pénombre tandis que le chant des partisans résonne au-dessus de la nombreuse assistance…
Il y a eu beaucoup d’émotion hier soir autour du monument aux martyrs de la résistance à l’occasion du 63e anniversaire de la libération des camps de concentration.
La cérémonie a débuté vers 21 heures par un long cortège venu du monument aux morts, avec à sa tête des membres des associations des anciens déportés et résistants portant tous une torche.
Rassemblés ensuite sur l’esplanade, personnalités, militaires et anciens combattants ont écouté la lecture de poèmes par des élèves du collège François Legros, ainsi que les chants du chœur Arts Vocalis.
Dans un court discours Raymond Gourlin, ancien déporté au camp de Neuengamme, a souhaité rendre hommage à tous « ses camarades ».
Il a aussi dénoncé « l’incivilité grandissante de certains » qui ne respectent pas les lieux et la mémoire de ceux qui sont morts pour la France.
G. A.-T.
![]() Une belle 2ème place pour le Rap.
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Pour leur dernière compétition de la saison, à Reims, les patineurs artistiques du Reims Acrap patinage ont terminé en beauté, puisque leur club s’est classé 2e de la manche et 2e au classement final.
Deux membres de la section de patinage artistique sont sélectionnés pour les championnats de France 2e division qui vont se dérouler à Rouen : Gianni Daffini dans la catégorie minimes et Jonathan Jacquet dans la catégorie novices.
![]() Une joyeuse sortie cycliste en bord de Seine.
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Dans le cadre des actions Éducation et séjours collectifs de jeunes porté par la Maison de quartier Croix-Rouge, un séjour a été organisé, du 14 au 18 avril, pour onze jeunes de 12 à 14 ans, au gîte de loisirs de Méry-sur-Seine dans l’Aube, avec David Gameiro.
Un hébergement à proximité d’un centre équestre et de la Seine, c’était l’idéal pour les balades en vélo et la pratique du canoë et la pêche.
L’équipe pédagogique a proposé des activités de pleine nature mais également du tir à l’arc et de l’équitation.
![]() Danielle Bonfils (au centre) est entourée d’un conseil d’administration étoffé. |
L’association de défense des locataires du secteur At’Hom intervient sur les secteurs 1-3-5 allée Jacques-Simon, 1-3 allée Yves-Gandon, parking Adrien-Sénéchal. Elle a élu son bureau à l’issue de sa dernière assemblée générale :
Présidente : Danielle Bonfils. 1 allée Yves-Gandon.
Vice- présidentes : Yvette Brehaut, 3 allée Jacques-Simon et Charline Van Conpernol, 1 allée Yves-Gandon.
Secrétaire : Marie-Noëlle Dimanche, 1 allée Yves-Gandon.
Secrétaire adjoint : Jean-Pierre Rasselet, 3 allée Jacques-Simon.
Trésorière : Josette Achain, 1 allée Yves-Gandon.
Trésorier adjoint : Alain Deboste, 1 allée Yves-Gandon.
Administrateurs :
- Bernard Champaloux, 1 allée Yves-Gandon,
- Rose-Marie De Feyter, 1 allée Jacques-Simon,
- José Fonseca, 1 allée Yves-Gandon,
- Jean-Pierre Malissart, 3 allée Jacques-Simon,
- Astrid Saadi-Birkenstock, 1 allée Yves-Gandon,
- et Hélène Vilcocq, 1 allée Yves-Gandon.
Siège Social : 1 allée Yves Gandon. Tél. 03.26.86.10.03.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
[1] Pourquoi les lecteurs de « l’Union » ne doivent-ils pas, une nouvelle fois, savoir que les renseignements les plus complets s’obtiennent sur notre site ?
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