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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - décembre 2010.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010.

 

 

 

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Union101231b

Cirque de Saint-Pétersbourg : une aussi longue attente

Le public a dû attendre longtemps avant de pouvoir prendre place sous le chapiteau.
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A la corde raide.
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Magic Christie’s : un numéro qui a du chien. Photos : Christian LANTENOIS
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C’est avec près d’une heure et demie de retard, le temps de finir d’implanter le chapiteau, que le spectacle du cirque de Saint-Pétersbourg a pu commencer, hier, au grand dam de nombreux Rémois qui ont préféré partir avant.

Il n’en reste pas moins que le chapiteau était rempli et que les artistes ont parfois dû faire preuve de courage pour exécuter leur numéro dans la neige fondue et l’eau glacée.

Après cette ouverture à oublier, souhaitons que les prochaines représentations soient à la hauteur de la renommée de ce cirque.

Séances aujourd’hui à 10 h 30 et 15 heures ; demain à 16 heures et 20 h 30.

Prix des places :

- tribune populaire : 22 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans ;
- tribune d’honneur : 28 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans ;
- loges : 40 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans.

Entrée gratuite pour les enfants de 0 à 1 an.

Tarif ménagerie : 2 euros.

Location des places dans les points de vente habituels : Virgin, Auchan, Galeries Lafayette, Leclerc, Géant, Fnac, Carrefour 08 9269 7073 et 0892 692694 (0,34 euro la minute).

- www.france.billet.com et
- www.ticketnet.fr et sur
- www.cirque-medrano.fr
(avec 1,70 euro de frais de location).

Tarifs spéciaux pour les comités d’entreprise, association, groupes.

 

Tél : 05.34.56.46.08.

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Union101231a

Feu de détritus

Hier, vers 2h 30 du matin, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré place Auguste-Rodin.

Les pompiers ont assuré l’extinction.

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Union101230b

Il agresse un petit de 8 ans : Seulement 10 ans, et déjà délinquant

Voilà un jeune qui promet ! Les faits reprochés à ce gamin de 10 ans datent de trois mois mais les policiers viennent seulement de l’identifier et de l’interroger en présence de ses parents.

Le 25 septembre, il a frappé d’un coup de poing au visage un enfant de 8 ans qui venait récupérer des affaires dans la voiture de son père, au quartier Croix-Rouge. L’agresseur est ensuite monté dans le véhicule qui s’est mis à reculer, roulant au passage sur le pied du bambin (sans trop le blesser) avant de s’immobiliser au bout de quelques mètres. Le p’tit caïd prenait ensuite la fuite à pied.

Lors de son audition par les enquêteurs, il a contesté les faits, comme un grand, mais la victime l’a formellement reconnu. Le gamin va faire l’objet d’un rappel à la loi.

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Union101230a

GÉRANCE/ FIN DE GÉRANCE

51L1797761

Suivant acte S.S.P. du 17/01/2007, la société TOTAL RAFFINAGE MARKETING S.A. au capital de 623.728.035 euros, dont le siège social est 92800 Puteaux, tour TOTAL 24, cours Michelet, immatriculée au RCS de Nanterre sous le n° 542.034.921, a confié sous contrat de location-gérance pour une durée de 3 ans à compter du 5/03/2007, puis prorogé de 1 an, à la SARL DE L’HIPPODROME au capital de 7.500 euros dont le siège social est à 140, avenue d’Épernay, 51100 Reims, immatriculée au RCS de Reims sous le n’ 494.022.536 un fonds de commerce de station-service et activités annexes dénommé RELAIS DE REIMS ÉPERNAY sis à la même adresse.

Le présent contrat liant la société TOTAL RAFFINAGE MARKETING et la SARL DE L’HIPPODROME a pris fin le 23/12/2010.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101229d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7374 du 27décembre 2010 au 02 janvier 2011.

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AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 20/12/2010, il a été constituée une société à responsabilité limitée dont les caractéristiques sont les suivantes

DENOMINATION SOCIALE : COMPTOIR GOURMAND.
CAPITAL SOCIAL : 3.000 €, divisé en 300 parts sociales d’un montant nominal de 10 € chacune, libérées partiellement.
SIEGE SOCIAL : 8 allée du Vignoble -51100 REIMS.
OBJET : Exploitation de fonds de commerce de boulangerie, pâtisserie, terminaux de cuisson. Développement et création de concepts de magasins et toutes activités s’y rattachant.
DURÉE : 99 années à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 20/12/2010, fait à REIMS, Monsieur Pierre PETITFRERE, né le 22/01/1957 à VILLERS ALLERAND (51), demeurant 5 rue des Près Bonnet - 51500 MONTCHENOT a été nommé comme gérant sans limitation de durée.

La société sera immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

Pour avis et mention : 91706 La gérance.


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FOYER REMOIS : AVIS DE CONSULTATION

1. MAITRE D’OUVRAGE : S.A. d’HLM LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson. B.P. 1 - 51051 REIMS CDX.
2. MODE DE PASSATION Avis de consultation est faite en entreprises générales.
3. OBJET DES MARCHES Construction de 29 logements collectifs + 3 locaux d’activités Foyer Rémois et 21 logements collectifs + 3 locaux d’activités Foncière logement - Rue Pierre Taittinger et Allée La Rafale à REIMS.
4. NATURE ET NOMBRE DES LOTS Opération en entreprise générale.
5. DÉLAI D’EXECUTION : 18 mois de travaux y compris préparation de chantier.
6. DOSSIER DE CONSULTATION :
a) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : DIAZO 51, 2 rue Olivier Métra - 51100 REIMS. Tél. : 03.26.88.35.21 - Fax 03.26.86.84.85.
b) Les dossiers seront disponibles à compter du mardi 21 décembre 2010.
7. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES :
a) Le mardi 15 février 2011 à 17 heures. délai de rigueur.
b) Adresse où elles doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de : Monsieur LEROY, S.A. d’HLM - LE FOYER REMOIS, Direction de la Maîtrise d’Ouvrage, Service Construction. 8 rue Lanson, B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX.
c) Indications à porter sur l’enveloppe extérieure cachetée :
- Consultation : "Offre pour la construction de 29 logements collectifs + 3 locaux d’activités Foyer Rémois et 21 logements collectifs + 3 locaux d’activités Foncière logement - Rue Pierre Taittinger et Allée La Rafale à REIMS"
- Numéro du lot : Entreprise générale ;
- Mention "NE PAS OUVRIR".
8. FORME JURIDIQUE DE LATTRIBUTION DU MARCHE : Entreprises générales.
9. PRESENTATION DES OFFRES : La présentation devra être conforme aux dispositions consignées dans le règlement de consultation, en respectant les modèles joints et accompagnés des documents demandés.
10. DUREE DE VALIDITE DES OFFRES : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.
11. RENSEIGNEMENTS
- Administratifs : SA d’HLM - LE FOYER REMOIS : M. LEROY, 8 rue Lanson. B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX. Tél. : 03.26.84.46.73 - Fax : 03.26.84.46.07 ;
- Techniques : Maîtrise d’oeuvre : SA FOUQUERAY - JACQUET, 50 boulevard Lundy - 51100 REIMS. Tél. 03.26.47.84.63 - Fax : 03.26.88.36.12.

DATE D’ENVOI DE LAVIS A LA PUBLICATION : Le 21 décembre 2010.
DATE D’ENVOI DE LAVIS AU JOUE Le 20 décembre 2010.

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A Pays de France : De grands travaux de rénovation urbaine

Le parking est devenu un trou béant.
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Après le creusement du parking aérien de l’allée des Picards, et des travaux qui avancent à grands pas, c’est maintenant le parking souterrain situé en face de la succursale Croix-Rouge du Foyer rémois qui est éventré, un spectacle étonnant pour les riverains. Le city stade si apprécié des jeunes du quartier a disparu. Cette structure avec gazon synthétique et mobilier urbain permettant la polyvalence des pratiques sportives par les ados, avait coûté 28 000 euros financés à égalité par la Ville de Reims et le Foyer rémois. Elle avait été inaugurée en grande pompe en présence du sous-préfet de Reims le 9 juillet 2008, et n’aura donc pas vécu longtemps.

Pour le moment, aucun programme ne prévoit sa reconstruction sur un autre site à Pays-de-France.

530 logements réhabilités

Tous ces travaux entrent dans le cadre de la réhabilitation urbaine, sur le secteur Foyer rémois, où Pertuy Construction prend en charge les travaux des îlots A et B de Pays-de-France, répartis en six résidences.

Ils porteront sur la réhabilitation en site occupé de 530 logements et de l’ensemble des communs (cages d’escaliers, halls d’entrée, circulations).

Ce programme inclut les travaux suivants : la résidentialisation des deux îlots, avec réaménagement des extérieurs, création de voiries nouvelles et dévoiement des réseaux, reconstruction des parkings aériens, voiries d’accès et cheminements piétons, création de clôtures avec entrées sécurisées, réaménagement des éclairages extérieurs et des espaces verts, mais aussi la démolition de cinq immeubles soit 158 logements et la démolition de quatre parkings enterrés, la réhabilitation d’un parking enterré de 176 places, et la construction d’un parking enterré de 80 places, ainsi que la réalisation de cinq constructions neuves qui accueilleront 2 300 m2 de commerces, dont la future agence de quartier du Foyer rémois, et dix-huit logements neufs.

Le chantier durera au total 30 mois, y compris la période de préparation, à compter de début juillet 2010.

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Union101229b

Budget primitif 2011 : Du côté des subventions

Lors du dernier vote du budget primitif 2011, les élus de Reims ont aussi accordé des subventions à de nombreuses associations. En voici le détail.

Equipement.- Le centre communal d’action sociale reçoit une subvention de 80 000 € pour les centres multi-accueils Jean-Jacques-Rousseau et Poupply ainsi qu’une subvention de 13 000 € pour le renouvellement de l’informatique et du mobilier des locaux des Châtillons et de Wilson pour le dispositif de réussite éducative.

Congrès et assemblées.- District athlétique club : 418 €, comité de Reims de la fédération des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie : 313 € ; société des anciens combattants et victimes de guerre et leurs sympathisants : 593 € ; médaillés militaires 138e section : 593 € ; sport tonus : 313 €.

Actions touristiques.- Roseau : 2 400 € pour des séances théâtrales ; paysages de l’Unesco : 10 000 € pour la constitution du dossier de candidature.

Fonctionnement.- Verseau : 7 000 €.

Réussite scolaire.- Vivre et apprendre à Orgeval : 6 040 € ; collège Paul-Fort : 3 085 € ; collège François-Legros : 5 475 € ; collège Georges-Braque : 6 090 € ; collège Joliot-Curie : 6 560 €.

Projets étudiants.- Association rémoise des étudiants en Staps : 800 € ; Oikos Reims : 500 € ; corporation des étudiants en médecine de Reims : 2 550 € ; association de la fondation étudiante : 892 € ; association des étudiants algériens de Reims : 2 000 € ; Ereimsmus : 400 €.

Associations sportives.- Aéro-club de Champagne : 19 406 € ; Reims planeur (complément) : 10 326 € ; Entente family stade de Reims athlétisme (complément) : 3 000 € ; association sportive de Bazancourt (complément) : 3 480 €.

Projets et manifs sportives.- Compagnie d’arc de Reims : 12 000 € ; cercle rémois de boxe française : 400 € ; association gymnique rémoise : 3 000 € ; Entente family stade de Reims athlétisme : 8 900 € ; Reims association croix Rouge pour l’animation et la promotion patinage : 550 € ; école de football Reims Sainte-Anne Châtillons : 10 000 € ; association fédérative française des sportifs transplantés et dialysés : 200 €.

Associations de logement social.- Noël Paindavoine pour la promotion et l’habitat des jeunes (complément) : 7 320 € ; l’escale habitat jeunes (travailleuses, stagiaires, étudiantes) : 7 749 €.

Relations avec les quartiers.- Femmes relais 51 : 5 000 € ; Footzbeul : 3 000 €.

Associations de prévention.- Mouvement d’action et de réflexion pour l’accueil et l’insertion sociale : 11 000 €. Association pour l’égalité femmes hommes : 1 700 €.

Projets personnes âgées.- Office rémois des personnes âgées et retraitées : 4 500 € ; association résidence foyers : 1 000 €.

Clubs troisième âge.- Association de résidences foyers : 1 000 € ; association des retraités et préretraités Force ouvrière de Reims et sa région : 256 € ; union nationale des indépendants retraités du commerce 51 champagne marne : 318 € ; club troisième âge des Châtillons : 936 € ; le fil et l’amitié : 318 €.

Projet association familiale.- Union départementale des associations familiales de la Marne : 337 €.

Dispositif de réussite sportive : centre communal d’action sociale : 272 060 €. Association à caractère sanitaire : 2 000 €.

Projet à caractère économique.- rassemblement d’entreprises industrielles de la Marne sous traitantes : 3 840 €.

Animation commerciale.- Association des commerçants du faubourg de Laon : 5 000 € + 3 000 € ; association des forains et des foires et fêtes foraine de Reims : 2 000 € ; union commerciale des Châtillons : 4 000 € ; les commerces de la place Jean-Moulin : 2 650 €.

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Union101229a

Trois jours de halte pour le cirque de Saint-Pétersbourg

Un numéro avec des tigres et des lions en même temps.
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Sandrov : les Russes volants.
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La famille Klusky
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Reims (MARNE). Beau cadeau de fin d’année avec la venue jeudi, vendredi et samedi du grand cirque de Saint-Pétersbourg qui pose son chapiteau sur le parking de l’hippodrome.

EN cette fin d’année franco russe, le grand cirque de Saint-Pétersbourg, avec une sélection des meilleurs artistes de la fameuse école russe du cirque, plante son chapiteau durant trois jours sur le parking de l’hippodrome de Reims et présentera huit spectacles du jeudi 30 décembre au samedi 1er janvier inclus.

Durant plus de 2 h 15 (avec entracte) trapézistes, dompteurs, acrobates et autres faiseurs de rêves, plusieurs fois récompensés dans des festivals de cirque, proposeront ce qui se fait sans doute de mieux en Europe.

Le programme

Au cours de ce spectacle haut en couleurs vous pourrez voir différents numéros prestigieux. Ivanov le dompteur.- Ivanov avec un numéro mêlant tigres et lions et une étonnante séance d’hypnotisme avec des animaux qui deviennent alors funambules !

La famille Kludsky.- Déjà bien connue des amateurs de l’émission « le plus grand cabaret du monde », la famille Kludsky joue avec les éléphants, de Dumba joyeuse éléphante à Dumba son compagnon.

Ballet international.- Sourires et danses avec le ballet international du cirque de Saint-Pétersbourg.

Grâce aérienne avec Mila.- Etonnant numéro de cerceau aérien avec la belle Mila.

Magie avec Magic Christiii’es.- Numéro de magie et de grandes illusions à très grande vitesse dans une malle des Indes.

Malicieuse otarie.- La famille Holscher et ses facétieuses otaries.

Acrobatie du duo Diao/Zihang.- Un extraordinaire numéro d’acrobaties à travers des cerceaux par le duo Diao/Zihang que l’on a pu voir dernièrement sur M6 à « Incroyable talent » (M6).

Rire avec les Cardinalov.- Gags désopilants avec les clowns Cardinalov venus du Portugal et un numéro interactif. Les volants Sandrov.- Impressionnant numéro de trapèze avec les fabuleux Sandrov (Brésil) qui volent, virevoltent et semblent flotter dans les airs.

Les Poyarkov ont du chien.- Un numéro au poil venu de Saint-Pétersbourg sur la base de la confiance, de la complicité et des prouesses.

À moto dans une sphère.- Lancés à plus de 80 km/h dans une sphère de 4 m de diamètre les Diorios se croisent et s’entrecroisent à moto (4). Une boule infernale qui donne le tournis au public.

Du trampoline comique.- Le Professeur Jackov, professeur fou du cirque de Saint-Pétersbourg, propose un désopilant numéro de trampoline comique avec des pitreries et de belles cascades.

Séances :
- le jeudi 30 décembre à 14 h 30, 17 h 30 et 20 h 30 ;
- vendredi31 décembre à 10 h 30 et15 heures
- et samedi 1e, janvier à 18 heures et 20 h 30.

Prix des places :
- tribune populaire : 22 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans ;
- tribune d’honneur : 28 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans ;
- loges : 40 euros adultes et 12 euros enfants de 1 à 3 ans.

Entrée gratuite pour les enfants de 0 à 1 an.

Tarif ménagerie : 2 euros.

Location des places dans les points de vente habituels : Virgin, Auchan, Galeries Lafayette, Leclerc, Géant, Fnac, Carrefour 08.9269 7073 et 0892 692 694 (0,34 euro la minute).
www.france.billet.com et www.ticketnet.fr et sur www.cirque-medrano.fr (avec 1,70 euro de frais de location). Tarifs spéciaux pour les comités d’entreprise, association, groupes.
Tél. 05.34.56.46.08.

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Union101228d

Animation pour le 3e âge : Les seniors choyés à l’Acrap

De bons moments : les convives ont mangé, chanté et dansé.
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Dans la salle Jean-Jacques-Lapique, tout l’après-midi du mercredi 22 décembre, Jean-Pierre Genesseau, président de l’Acrap, Romuald Bordès et Bernadette Canu, animateurs, ont été aux petits soins auprès des 30 convives réunis pour un goûter après-midi récréatif offert aux personnes âgées ou seules, à partir de 65 ans.

Au programme, accueil, goûter et petit souvenir floral.

La bonne humeur était de rigueur : les convives ont chanté et dansé, entraînés par Véronique Breul, spécialiste des animations musicales rétro et guinguette. « Monsieur Christian », un des invités âgé de 77 ans, a été très applaudi pour ses chants anciens et ses mimes désopilants. Ces festivités sont gratuites et l’Acrap se charge même du transport des personnes qui ne peuvent pas se déplacer par leurs propres moyens.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Union101228c

Marché de Croix-du-Sud : Il s’installe avenue Bonaparte

Vue d’ensemble du quartier Croix-du-Sud avec le nouvel emplacement du marché.
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À partir du mercredi 29 décembre, le marché du quartier Croix-Rouge - secteur Croix-du-Sud - se tiendra avenue Bonaparte et non plus avenue Léon-Blum. Les horaires habituels sont maintenus : de 6 à 13 heures.

« Après notre dernière réunion avec les commerçants sédentaires et les non-sédentaires, nous leur avons présenté, avec Marie-Noëlle Gabet, adjointe au maire, différentes hypothèses pour l’installation du marché », confirme Éric Quénard, premier adjoint : « Ils nous ont fait part de leur préférence pour une installation à court terme le long du boulevard Bonaparte. »

Le nouveau site présente un linéaire d’une centaine de mètres avenue Bonaparte, à proximité du rond-point Donatini (en contrebas de la médiathèque). Le marché sera bien visible pour les automobilistes et les piétons empruntant cet axe majeur de Croix-Rouge, de part et d’autre de la rue Gladys de Polignac, une partie côté Maison de la Solidarité départementale, l’autre partie le long du parc des Landais.

Pour l’avenir, une réflexion partagée est en cours pour le choix du site final du marché, à l’horizon 2014. En effet, le site de l’esplanade Paul-Cézanne, site « traditionnel » du marché Croix-du-Sud ne pourra être réutilisé. En effet, en 2011, dans le cadre du renouvellement urbain, débutera la construction d’un immeuble de 5 étages qui sera destiné à des logements et à des commerces en rez-de-chaussée.

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Union101228b

Violences urbaines : Policiers caillassés : l’émeutier condamné

Dans la soirée du 30 octobre, de passage avenue Bonaparte au quartier Croix-Rouge, les policiers interpellent un automobiliste qui roule sans permis.

L’homme n’a pas envie de se laisse faire. Il se rebelle. Alerté par le raffut, Aïssa Sahraoui, 26 ans, vient lui porter secours en appelant les autres jeunes présents à caillasser la patrouille. Ces derniers s’exécutent.

Malgré les jets de projectiles, les policiers parviennent à se replier avec le chauffard (aucun blessé n’est à déplorer). Aïssa Sahraoui n’est pas arrêté mais il a été formellement reconnu.

Sa convocation à l’hôtel de police a suivi quel¬ques jours plus tard. Poursuivi devant le tribunal pour « provocation directe à la rébellion », le jeune homme ne vient pas s’expliquer. Il est condamné à deux mois de prison ferme.

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Union101228a

Le meurtrier présumé de Croix-Rouge malmené en cellule

Mohamed Moulaï Hacène, le soir de son incarcération après le meurtre de sa femme.
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Reims (MARNE). Accusé d’avoir égorgé puis incendié le corps de son épouse sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims, le 1er décembre (l’union des 2, 3 et 4 décembre), Mohammed Moulaï Hacène refait parler de lui. Mais en tant que victime cette fois-ci.

Ecroué à la maison d’arrêt de Reims, l’homme a été pris à partie par un codétenu qui a jeté un drap enflammé sur son lit en faisant référence au motif de son incarcération. Le feu a pu être éteint, sans faire de blessé.

Dix-sept condamnations

Les faits remontent au 5 décembre mais ils n’ont été révélés qu’à l’occasion du passage au tribunal du codétenu, Jonathan Coopman. Extrait de sa cellule, ce Rémois de 19 ans a fait l’objet d’une procédure de comparution immédiate pour « dégradation d’un bien public par moyen dangereux ». Il a cependant demandé un délai pour préparer sa défense, d’où le renvoi de l’affaire au 25 janvier. Déjà condamné à dix-sept reprises pour des vols, des violences ou des menaces de mort, Jonathan Coopman a été écroué dans le cadre de cette affaire, sachant qu’il purge déjà six mois d’emprisonnement pour un autre dossier. Ressortissant algérien de 34 ans, Mohammed Moulaï Hacène est accusé du meurtre de son épouse dont le cadavre a été incendié derrière une voiture, sur un parking de l’allée des Bourguignons. Arrêté le soir même des faits, il nie toute implication dans l’affaire, ce qui n’a pas empêché sa mise en examen pour « assassinat », le 3 décembre.

L’homme s’est retrouvé dans une cellule notamment occupée par Jonathan Coopman, écroué quelques semaines plus tôt après avoir pris six mois ferme en comparution immédiate pour le vol de deux bouquets de fleurs chez un commerçant de la rue de Vesle.

Vols et inscriptions racistes

D’après les témoignages, le jeune homme a rapidement pris en grippe l’Algérien. Il a griffonné des inscriptions racistes sur son lit. Il lui aurait volé divers effets personnels. Jusqu’à la journée du 5 décembre. Ce jour-là, vers 13 heures, Jonathan Coopman a incendié ses propres draps avec un briquet* pour les jeter sur le lit où se trouvait Mohammed Moulaï Hacène. Les flammes ont été éteintes avant l’intervention des gardiens. Il n’y a eu aucun blessé parmi les quatre occupants de la cellule.

Lors de sa garde à vue, Jonathan Coopman n’a pas contesté la mise à feu des draps. Il a expliqué qu’il voulait faire connaître à Mohammed Moulaï Hacène le sort subi par son épouse mais de là à le poursuivre pour une tentative de meurtre, il y a un fossé que le parquet s’est abstenu de franchir, d’autant que le jeune homme est décrit comme perturbé psychologiquement.

L’intention homicide n’étant pas caractérisée, les poursuites ont été limitées à la « dégradation d’un bien public par moyen dangereux ». La peine maximale encourue pour ce délit est de dix ans d’emprisonnement.

Fabrice CURLIER

* La réglementation pénitentiaire reconnaît le droit à tout détenu de pouvoir fumer en cellule, et donc de posséder un briquet.

Un crime horrible entouré de zones d’ombre

« Pourquoi aller en prison ? C’est pas moi ! J’aime ma femme. » Ainsi s’est exprimé Mohammed Moulaï Hacène, via un interprète, lors de sa présentation devant le juge des libertés et de la détention, au soir de sa mise en examen pour « assassinat » après la découverte du corps incendié de son épouse.

Un mois après, cet Algérien de 34 ans reste sur ses déclarations initiales, ce qui n’est pas pour dissiper les zones d’ombre qui enveloppent toujours cette affaire. L’homme s’était marié l’année précédente avec Lahouaria Mahi, 26 ans. La jeune femme habitait Reims, mais l’union eut lieu en Algérie. Il était venu la rejoindre en France cet été.

Le 1er décembre, le cadavre de son épouse a été incendié derrière un Volkswagen Touran, sur un parking de l’allée des Bourguignons. Un témoin a vu sur place la Renault Mégane du couple. Son conducteur s’affairait derrière le Touran juste avant la mise à feu du corps. Il s’enfuyait aussitôt.

Arrêté deux heures plus tard, Mohammed Moulaï Hacène a contesté toute implication dans le meurtre dès son placement en garde à vue. L’autopsie a révélé que sa femme était morte égorgée après avoir été rouée de coups.

Le mobile du crime pourrait être une « mésentente conjugale » car le couple battait de l’aile. Au mois de novembre, Lahouaria avait d’ailleurs appelé la police à la suite d’une violente dispute au domicile commun, dans le quartier Clairmarais. L’enquête a également révélé que la jeune femme n’avait pas que Mohammed dans sa vie. Un drame de la jalousie est donc plausible.

Où et quand la victime a-t-elle été tuée ? Elle était encore vivante le 1er décembre à midi, puisqu’elle a répondu à un appel sur son portable. A 14 h 48, son mari était localisé à la station-service Elf de l’avenue de l’Epernay où il a acheté un bidon d’essence (alors que la Mégane roule au gasoil). A 15 h 05, les témoins signalaient l’incendie sur le parking de l’allée des Bourguignons.

Les enquêteurs ignorent toujours à quel endroit la jeune femme a été mise à mort. On sait que son corps a reposé dans le coffre de la voiture, puisque d’abondantes traces de sang y ont été retrouvées. A-t-elle été tuée dans le véhicule ? Ce serait l’hypothèse la plus convaincante. Si la victime a été tuée chez elle, les policiers ne s’expliquent pas comment son époux, pas vraiment costaud, aurait pu sortir le corps de l’appartement et le charger dans la voiture, seul, en pleine journée, sans éveiller l’attention.

F.C.

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Noël solidaire : toutes les associations mobilisées : Toujours plus nombreux

Sourires et bonne humeur au Secours populaire, où l’affluence des bénéficiaires de Wilson a été grande vendredi matin.
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« UNE pintade, une dinde ou une maxi dinde, suivant la taille des familles ». Jean-Marie, le responsable du centre du Secours populaire rue des Auvergnats, détaille le colis de Noël distribué par les bénévoles de l’association, pas aussi nombreux que d’habitude en ce 24 décembre à cause de la neige.

Saumon fumé, Saint-Jacques ou poisson, glace, beurre, fromage, fruits, etc. Ce vendredi, c’est au tour du quartier Wilson de venir se ravitailler. « Nous distribuons pendant 7 heures au lieu de 6 l’année dernière, car il y a beaucoup plus de demandes : 2 600 familles sur Reims ! » poursuit Jean-Marie. Avant Wilson, il y a eu les Augustins (centre-ville), Orgeval, Châtillons et Croix-Rouge, Watteau et Billard.

Avec beaucoup de personnes âgées désormais, les traditionnelles familles qui ne s’en sortent toujours pas, et les nouveaux venus dits de la crise, ceux qui ont basculé et sont bien contents de venir acheter leur colis de Noël. Car au Secours populaire, les bénéficiaires payent un prix très modeste (de 6 à 18 euros, suivant le nombre de personnes), pour des très gros colis.

Sans oublier les pères Noëls verts et leurs cadeaux, les spectacles comme celui de jeudi à Paris, au cirque Pinder, avec un retour très tardif à cause du verglas…

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L’hebdo du vendredi- n° 195 - 101224b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 195 - Semaine du 24 au 30 décembre 2010


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Enseignement – Sport : La tête et les jambes

Au lycée Arago, tout est fait pour que les élèves (ici Ludovic Oget) puissent allier les études…
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…et la pratique d’un sport de haut niveau.
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Au lycée François Arago, les élèves n’ont pas à choisir entre les études et le sport. Ceux qui le souhaitent peuvent allier les deux ! Et à mesure que le nombre de filières augmente, ils sont de plus en plus nombreux. _C’est une tradition. Depuis 1986, le lycée François Arago, situé dans le quartier Croix-Rouge scolarise les jeunes sportifs de haut niveau pensionnaires du CREPS, le Centre d’Éducation Populaire et de Sport implanté à moins de 2km de l’établissement. Le principe : les emplois du temps de ces élèves sont aménagés de sorte qu’ils puissent étudier comme n’importe quel adolescent de leur âge tout en poursuivant la pratique d’un sport de haut niveau.

Et depuis 2009, ce dispositif a été élargi. « Il est ouvert à tous les licenciés des clubs de l’agglomération rémoise, signataires d’une convention de partenariat avec notre lycée » explique Loïc Janson, professeur de Génie Civil et responsable des classes horaires aménagées à Arago. Ce document garantit en fait l’implication des parties et fixe les principes qui les lient afin de contribuer au bon fonctionnement des aménagements d’horaires destinés à l’entraînement des élèves sportifs.

Mieux encore, ouverts jusque-là aux seules filières générales S et ES, ces horaires aménagés concernent cette année la section professionnelle Technicien du Bâtiment option Études et Économie. Quant aux clubs partenaires, ils sont de plus en nombreux. « Une quinzaine à ce jour » précise le professeur. Ainsi, en plus des clubs pionniers comme le Stade de Reims, le Reims Champagne Hockey ou l’EFSRA, trois petits nouveaux viennent juste de signer à leur tour une convention avec le lycée Arago. Il s’agit de l’AS St-Brice Handball, l’AS Tennis de Table Taissy et du Reims Champagne Natation. Aussi, avec la multiplication des partenariats, les effectifs des élèves sportifs gonflent chaque année. « On est passé d’une cinquantaine d’élèves en 2009 à 75 à la rentrée 2010 » se félicite Loïc Janson.

L’école des champions

Parmi les anciens élèves, le lycée Arago peut s’enorgueillir d’avoir accompagné de futurs grands sportifs comme le tennisman Paul-Henri Mathieu ou plus récemment la cycliste Pauline Ferrand- Prévost. Pour le lycée, le vélo est d’ailleurs un sacré pourvoyeur de champions.

Aujourd’hui, Anthony Kuentz et Ludovic Oget sont les dignes successeurs de la triple championne du monde junior. Arrivé en septembre dernier, Ludovic Oget, 17 ans et champion de France junior de Descente (VTT), nous explique son choix : « A Arago je bénéficie de deux après-midi libres ce qui me permet de m’entraîner une dizaine d’heures par semaine sans pour autant délaisser mes études ». Simple comme bonjour. Et quand un élève est absent pour cause de participation à une grande compétition ? « Il rattrape ses cours pendant les vacances et au lycée » assure immédiatement Loïc Janson. Faciliter la pratique sportive sans sacrifier les études, tel est le crédo du lycée François Arago.

Julien Debant

Renseignements auprès du lycée François Arago, 1, rue François Arago à Reims.
Tél. : 03 26 06 40 25
ou www.lyceearago-reims.fr


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JUSQU’AU 31 DÉCEMBRE : « MUSIQUE EN IMAGES »

Un itinéraire en trois étapes, allant des clichés d’artistes jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini (Laon-Zola), aux “instants volés” lors des festivals de jazz rémois par Alain Julien (Croix-Rouge) et en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) transcendant les stars internationales du rock (Jean Falala).

Entrée libre
Médiathèques Croix-Rouge, Laon-Zola et Jean Falala

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Reims Habitat lance son nouveau site internet

Un nouveau site pour être informé des futures constructions.
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Pour communiquer avec ses 23 000 Marnais logés (10 400 logements locatifs et 1 214 logements-foyers), l’organisme logeur Reims Habitat vient de mettre en ligne son nouveau site internet : www.reims-habitat.fr

De nouvelles fonctionnalités vont permettre à ses locataires, partenaires, mais aussi aux personnes en recherche de logement, de garage, de locaux commerciaux d’accéder à de nombreux services et à quantité d’informations pratiques.

La page accueil permet l’accès direct à de nombreuses rubriques : connaître Reims Habitat, chercher un logement, un garage, acheter, espace entreprise et fichiers de téléchargement (demande de logement, fiches conseils, …), sans oublier les numéros d’urgence à connaître.

Au cœur de la page accueil, trois rubriques peuvent être consultées : les actualités, des témoignages et la liste des chantiers en cours (constructions neuves, rénovation).

Le site internet de Reims Habitat a été conçu pour évoluer.

Ainsi, prochainement, il offrira la possibilité aux internautes de payer leur loyer en ligne, de faire une demande de logement en ligne et d’accéder à leur dossier en ligne.

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Tennis (Sedan) / Munier et Hamel sacrés

Quentin Munier fut expéditif.
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Ajourné dimanche en raison de la neige, le premier cru du tournoi de Sedan a livré son palmarès mercredi en soirée.

Les finalistes avaient donc eu un peu de répit pour préparer l’emballage final. Mais aucune surprise notoire ne se produisit sur la résine intérieure ardennaise qui favorisait les tempéraments offensifs.

La Sedanaise Zoé Hamel (2/6) a, comme pressenti, pris le meilleur sur sa camarade de club, Claire Duter (4/6). L’étudiante s’affirmait en patronne sur le court lors d’une première manche bouclée 6-2.

Le deuxième set se révélait plus équilibré car Claire Duter, plus jeune de quatre ans que sa rivale, se rebellait. Se montrant plus convaincante dans les échanges, la joueuse de 14 ans poussait Zoé au tie-break.

Cette dernière se faisait quelques frayeurs mais remportait cette belle finale. Zoé ajoute un nouveau titre intra-muros et peut savourer quelques jours de vacances.

Sans Jolly

Le tableau progressif masculin ne connut pas de bouleversements non plus puisque Quentin Munier (1/6, Géo-André) n’a pas fait de détail face à Julien Négrier (15, Sedan).

Notamment dans la première manche marquée par un net 6-0. Le juge-arbitre connaissait un sursaut d’orgueil par la suite mais le Rémois, décisif dans les points importants, l’emportait 6-4, profitant, au passage, de l’absence du négatif de Cormontreuil Sébastien Jolly.

Chez les plus de 35 ans, pas de suspense car le 15/3 sedanais, Grattard, ne fit qu’une bouchée du Nouzonnais Platel, un classement en dessous.

Les dirigeants sedanais donnent, d’ores et déjà, rendez-vous en 2011 pour un original tournoi de doubles lors des vacances de Pâques avant le grand tournoi d’été en extérieur.

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100912b - VRI décembre 2010 2010

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°273 de décembre 2010

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Pour un Noël joyeux et partagé


Depuis la place d’Erlon et les rues Condorcet, Buirette et de l’Etape avec les 125 chalets du Village de Noël (jusqu’au 24 décembre) à la place du Forum qui accueille une patinoire de 400 m2 en plein air (jusqu’au 2 janvier, entrée gratuite, y compris le prêt des patins) ainsi qu’un village d’artisans de Meknès (jusqu’au 24 décembre), en passant par les quartiers Croix-Rouge, Faubourg de Laon Châtillons, Cernay-Europe, Chalet/Tunisie, Maison Blanche, Wilson et en revenant place de l’Hôtel de Ville pour y découvrir un marché gourmand (10 au 12 décembre et 17 au 19 décembre), Reims parée de ses habits de fête (illuminations et sapins jusqu’au 2 janvier), scintille pour tous et on y croisera souvent le Père Noël pour la plus grande joie des enfants. Sans oublier les expositions proposées au Palais du Tau (Noël impérial), à l’Office de Tourisme et au CIS, la Foire de Noël et des Rois installée sur les Hautes Promenades (11 décembre au 16 janvier), ou "L’Etoile des Rois Mages" programmé au planétarium (18 décembre au 2 janvier). Programme complet sur www.reims.fr


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FESTIVITÉS : Un Noël dans la Ville


La fin d’année sera particulièrement festive. Petit tour d’horizon des principales attractions qui vous attendent pour les fêtes.

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La Ville a consacré cette année 749 000 euros pour les illuminations de Noël. La magie de Noël est visible partout dans la ville. La ville de Reims, les Maisons de quartier et les associations de commerçants ont concocté des animations de Noël dans l’ensemble des quartiers. A Croix- Rouge, Châlet-Tunisie, Faubourg de Laon, Châtillons, Wilson, Cernay-Europe et Maison-Blanche les marchés et les spectacles de Noël fileront cette atmosphère si particulière qui transparaît des fêtes de fin d’année.

Pour connaître le calendrier en détail reportez-vous aux pages 72, 73, 74 de ce VRI.

Jean-Louis Rumério, directeur de l’association 2Mains : « Créer son entreprise représente une possibilité supplémentaire d’accès à l’emploi ».

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DYNAMISME ÉCONOMIQUE : Des forums sur l’entrepreneuriat au cœur des quartiers


Jean-Louis Rumério, directeur de l’association 2Mains : « Créer son entreprise représente une possibilité supplémentaire d’accès à l’emploi ».
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Organisés par la Ville de Reims et la CCI, ces forums ont pour objectif de promouvoir la création d’activité et d’entreprise auprès des porteurs de projets dans l’ensemble des quartiers rémois. Prochain rendez-vous : le 16 décembre à Wilson salle Rossini.

“Créer son entreprise, c’est possible ! Pourquoi pas vous ?”.

C’est le message porteur de ces forums sur l’entrepreneuriat dans les quartiers rémois. Après Croix-Rouge le 2 décembre dernier, c’est au tour du quartier Wilson d’accueillir l’évènement le 16 décembre salle Rossini de 13 h à 19 h. L’occasion pour les porteurs de projet de rencontrer des entrepreneurs de leur quartier qui leur feront partager leurs expériences. Des experts de la création d’activité (CCI, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Reims Initiative, Pôle Emploi, Mission Locale…) seront également présents pour conseiller, orienter et accompagner les visiteurs. Sans oublier les Maisons de quartier et associations d’insertion ou d’entraide à l’image de l’association 2Mains qui aide les personnes en rupture sociale et professionnelle : « Nous évaluons les projets et les envies de ceux qui sont le plus en difficulté, et nous travaillons ensuite sur ce qui leur manque pour mener à bien ces objectifs. Notre association peut alors proposer une remise à niveau, une aide au logement, un bilan de compétences techniques, une aide à la recherche d’un stage en entreprise… », informe Jean-Louis Rumério, directeur de 2Mains. Et de conclure : « Nous sommes naturellement présents sur ces forums de l’entrepreneuriat pour accompagner nos jeunes qui ont l’idée d’un projet de création d’activité. Car créer son entreprise représente une possibilité supplémentaire d’accès à l’emploi »

S. C.

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PREMIÈRE : Tram en Fêtes


Les bus sont peints aux nouvelles couleurs chez Reims Aerospace.
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Avec le souci de diffuser largement l’esprit de fête qui s’installe à Reims en fin d’année, la Ville, Reims Métropole, Mars, les commerçants et des associations de quartier proposent en décembre deux opérations impliquant le tramway.

Pour accompagner la finition de la ligne de tramway et favoriser son appropriation par les habitants, MARS et Reims Métropole ont mis sur pied un programme d’animations cadencées jusqu’à son inauguration en avril 2011. Après la Tram Parade de septembre et l’inauguration en novembre de la nouvelle place Stalingrad rehaussée des oeuvres de Christian Lapie, avant la “marche à blanc” en février et la plantation symbolique du dernier arbre au printemps, deux opérations partenariales vont marquer la période des fêtes, l’une au centre-ville, l’autre dans le quartier Croix du Sud.

Le Père Noël sans traîneau

Financée par la Ville dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale, une semaine d’animations de Noël est organisée du 6 au 11 décembre dans le quartier Croix du Sud avec la participation des Maisons de quartier, des acteurs associatifs, des associations de commerçants. Un temps fort est prévu le mercredi 8 décembre pour tous les publics, et notamment les enfants des centres de loisirs du quartier. Sans doute en panne de traîneau, le Père Noël arrivera dans l’aprèsmidi à bord d’un tramway à la station “Léon Blum”. Pendant qu’il distribuera bonbons et papillotes et que la Maison de quartier Croix Rouge proposera des jeux à la jeune classe, la rame restera à quai pour que tous puissent la découvrir de l’intérieur. Ce même jour aura lieu le vernissage de l’exposition “Croix Rouge au fil du graff” qui présentera les 60 tableaux réalisés en 2010 par des jeunes et des parents sous la conduite de l’artiste Najim Hocini. Un autre rendez-vous festif est donné aux habitants le samedi 11 décembre, notamment autour du café associatif Bistroquet.


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QUARTIER CROIX-ROUGE-HAUTS DE MURIGNY


Festivités de Noël

• Jusqu’au 11 décembre, avenue Léon Blum, Bistroquet, place Rodin et Espace Watteau : spectacle de marionnettes, stands de maquillage, séquence photo avec le Père Noël, démonstrations de souffleurs de verre, animations musicales, retraite aux flambeaux, distribution de friandises.

• Le 8 décembre, entre 14 h et 16 h, le Père noël arrivera en tramway à la station Blum, avenue Léon Blum. Cet évènement sera accompagné de distribution de friandises.

Les échos du Conseil de quartier

Le conseil de quartier s’est réuni le 17 novembre dernier. 123 personnes ont assisté à la séance en présence d’Adeline Hazan, maire de Reims et des élus de son conseil municipal. Plusieurs points importants ont été évoqués. Le Conseil a soulevé le sujet des parkings souterrains inutilisés. A ce sujet, Eric Quénard, 1er adjoint à la maire de Reims et spécialement chargé des opérations de renouvellement urbain a indiqué que la mairie était en pourparlers, dans le cadre de l’ANRU, avec les organismes logeurs pour leur réhabilitation et leur mise en sécurité. Il est d’ailleurs prévu de construire un équipement public socioculturel sur le parking Bonaparte. Concernant le développement des modes de déplacements doux, des aménagements cyclables sont prévus sur 8 km le long du tramway. Les conseillers de quartier ont d’ailleurs fait savoir qu’une information sur la cohabitation avec le tramway auprès des habitants serait plus que souhaitable.

Enfin, les Conseillers de quartier ont posé la question du devenir du marché Croix-du-Sud. Celui-ci rencontre une baisse de fréquentation depuis son déménagement en face de l’école Galilée. Une réunion a eu lieu, fin novembre, entre les représentants de la Ville de Reims et les commerçants du marché pour trouver une solution.


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SERVICES AUX CITOYENS


Antennes municipales : 40 ans au service des Rémois

Créées il y a 40 ans, les antennes municipales sont devenues de véritables relais de proximité où il est possible d’effectuer une grande variété de démarches administratives relevant de la compétence directe de la Ville de Reims. Les antennes municipales des Châtillons, La Neuvillette, Murigny, Europe ainsi que les pôles multiservices de Croix-Rouge et d’Orgeval ont reçu quelque 70 000 usagers en 2009. Incontournables donc dans les rapports entre la collectivité et ses habitants.

Votre mairie près de chez vous

Les prestations rendues dans les antennes sont identiques à celles dispensées à l’Hôtel de ville. On peut y demander un double de son livret de famille, un extrait d’acte de naissance, une autorisation de quitter le territoire pour les mineurs, bref tous les actes administratifs qui sont du ressort de la Ville de Reims.

On peut également y faire son passeport biométrique dans les antennes Croix-Rouge, Europe, Murigny et Orgeval. Les antennes proposent des prestations qui dépassent le cadre municipal en assurant, notamment, l’encaissement des factures d’eau pour le compte de Reims Métropole.

Un solide réseau de partenaires

A côté des services strictement municipaux et communautaires, les antennes proposent des salles de permanences pour de nombreux partenaires associatifs ou institutionnels. Ainsi, le Centre communal d’action sociale de Reims tient une permanence (à Orgeval uniquement) et assure le dispositif de réussite éducative à Châtillons et prochainement à Orgeval. L’ADIE, l’aide au développement et à l’initiative économique intervient régulièrement pour accompagner les personnes dans le projet de création d’entreprise. L’ordre des avocats propose des consultations gratuites (à Croix-Rouge) qui rencontrent un vif succès. On peut citer également les permanences du CIDFF pour son action de lutte contre les discriminations. Il est impossible de tout lister mais la richesse et la diversité des aides proposées est surprenante.

Horaires d’ouverture

Antenne Croix-Rouge, 1 et 3 rue Joliot Curie, 0326356020. Ouverture le lundi après-midi, de 14 h à 17h30. Du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30. Le samedi de 8h30 à 12 h.

Nouvelles permanences de l’antenne municipale mobile

A compter du 3 janvier 2011, l’antenne municipale mobile tiendra de nouvelles permanences

Mercredi, de 9 h à 11h30 : sur le marché Croix-du-Sud. Jeudi, de 8 h 45 à 11 h, place Luton. De 12 h à 15 h, quartier des Epinettes, boulevard Gay Lussac.


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3400 enfants aux cross de Noël


Chaque année, Noël rime avec activité sportive pour un bon nombre d’élèves des écoles primaires des écoles élémentaires rémoises. Du 9 au 14 décembre, La Ville de Reims, l’EFSRA et l’Usep organisent 4 cross de Noël dans la ville. Pour cette année, c’est 3400 enfants des écoles élémentaires (soit 30 écoles) qui prendront part aux courses. A partir de 14 h : jeudi 9 décembre Parc Mendès-France, vendredi 10 décembre Parc Léo Lagrange, lundi 13 décembre Parc Saint-John-Perse, mardi 14 décembre Stade Georges-Hébert.

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ÉGALITE DES CHANCES : Zoom sur les “Entretiens de l’Excellence”


Aurélie Koval et Anaïs Mendes (de gauche à droite), étudiantes en 1èreS au lycée Arago, participaient aux Entretiens de l’Excellence à RMS
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Comment faire pour convaincre les jeunes, et notamment ceux issus des quartiers populaires, qu’ils peuvent réussir brillamment leur parcours professionnel ? C’est la vocation des Entretiens de l’Excellence qui leur permettent de rencontrer des professionnels de haut niveau de toutes origines sociales et ethniques.

Aurélie : « Nous avons reçu des conseils sur les filières à suivre pour accéder aux métiers qui nous font rêver. Je souhaite devenir ingénieur dans le domaine du marketing ou du management. J’ai appris notamment au cours d’un atelier très instructif qu’il est préférable d’intégrer une Grande Ecole d’ingénieur reconnue par l’Etat, à l’image de l’UTT de Compiègne qui semble très bien cotée ! ».

Anaïs : « J’aimerais pour ma part devenir pédiatre, et les professionnels que j’ai rencontrés ont insisté sur le fait qu’il fallait beaucoup de travail et de motivation pour poursuivre des études de médecine. Le concours à l’issue de la première année semble particulièrement difficile. Ces professionnels sont tous des passionnés, ils m’ont impressionnée ! »


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Cubes de lumières sous les projecteurs


L’exposition “Cubes de lumières” a fait une étape du 16 au 20 novembre sur le parvis de la cathédrale. Pas moins de 1000 Rémois, habitants les quartiers concernés par les opérations de rénovation urbaine, ont participé à la création d’oeuvres collectives sous la houlette de l’artiste plasticien Jérôme TOQ’R. “Cubes de lumière” est l’un des exemples des projets élaborés dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale, un dispositif financé par la Ville, l’Etat et dans le cas de “Cubes de lumières”, par l’ensemble des organismes logeurs rémois.

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EXPOSITIONS :


“Musiques en images” : musique et photographie

Du 2 novembre au 31 décembre à la médiathèque Croix-Rouge (espace musique) : Jazz par Alain Julien (photographe) & Djaz5. Cadrages audacieux, captations de moments rares, d’instants fugaces où les musiciens jouent avec l’émotion des spectateurs. Alain Julien propose de parcourir seize ans de programmation du Reims Jazz Festival, en quatorze clichés au plus près des artistes. …

Jusqu’au 29 décembre Voyages imaginaires  : de Conan à Tarzan et du Texas au Gabon Médiathèque Croix-Rouge.

Jazz

Photographies d’Alain Julien. Médiathèque Croix-Rouge.


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L’Union Locale recherche bénévoles


L’association l’Union locale des soins infirmiers des centres de soins infirmiers de Reims et de l’agglomération recherche des bénévoles souhaitant participer au développement du Centre de soins infirmiers du quartier Croix-Rouge et l’accompagner dans toutes ses démarches. Elle organise à ce sujet une assemblée générale extraordinaire le 16 décembre à 18h30 au Centre de soins, 14 rue Pierre Taittinger.

Rens. : Union Locale.
Tél. : 0326851719. unionlocale.csi@uriopss-ca.asso.fr

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Concours de dessins à Croix-Rouge : Des jeunes très doués

Tous les participants ont reçu un jouet offert par l’Acrap.
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Le traditionnel concours de dessins de l’Acrap était ouvert à tous les enfants du quartier, même non adhérents, âgés de 3 à 12 ans et comportait 3 catégories.

1re catégorie : enfants nés en 2006-2005-2004 (« Je dessine un paysage de Noël et je le colorie »). Les gagnants sont Soane Zeroual (1), Aya Abaakil (2), et Melhi Bayartan (3).

Les candidats des 2e et 3e catégories avaient pour thème Noël et le partage : « Je réalise une carte de vœux que j’aimerais pouvoir offrir aux habitants de Croix-Rouge. Je rédige un texte expliquant mon choix ».

En 2e catégorie (enfants nés en 2003-2002-2001), les vainqueurs sont Sara Guedri (1), Nour Guerrida (2) et Jigan Bayartan (3).

Quant à la 3e catégorie (enfants nés en 2000-1999-1998), les championnes sont Faowa Azougarh (1), Safa Lassoued (2) et Fatima Mechraoui (3).

Cette année, les organisateurs ont relevé une vraie recherche artistique dans la réalisation des dessins.

Selon la tradition de l’Acrap, tous les concurrents, au nombre de 36, ont été récompensés avec un jouet.

Ce qu’ils souhaitent


Parmi les textes des jeunes à destination des habitants du quartier, on a relevé celui de Rayène Trabelsi (2002) : « Noël ce sera blanc comme neige, un Noël de partage et d’amour. Plus de peine ni de haine, ce jour-là, c’est la fête… ». La jeune Safa Lassaoued (2000) écrit elle aussi un beau texte : « Noël.. Même les sans-abri qui sont les plus démunis sont tous réunis et partagent ce moment de joie qui leur chauffe tant le cœur. »

Enfin, le texte le plus remarqué a été écrit par Fatima Mechraoui (1999) : « De tout mon cœur, je souhaite une paix aussi pure que la neige pour qu’on puisse partager un moment de joie. Je garde espoir, en ce jour de fête, que les guerres s’arrêtent, que le monde comprenne qu’il n’y a rien de mieux que de s’unir afin d’arrêter ce massacre ».

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EXPOSITION : « Musiques en Images »

Musique et photographie : l’une offre l’émotion, l’autre la fixe. Un itinéraire en trois étapes ! sur trois médiathèques, allant des clichés d’artists jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini, aux « instants volés » en live lors des festivals de jazz rémois par Alain, en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) et son objectif transcendant les stars internationales du rock.

L’objectif de ce parcours est également d’amener les visiteurs à découvrir la richesse des fonds musicaux des trois médiathèques de Reims et de rencontrer l’un des photographes mis en avant par cet événement : Renaud Monfourny.

Jusqu’au 31 décembre dans les trois médiathèques.

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Pays-de-France : Marceau était parmi eux

Hervé le magicien a captivé les enfants.
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La fête de Noël organisée dans le secteur Pays-de-France et baptisée « les bonbons de Marceau » en hommage à son initiateur Marceau Nicolas, s’est déroulée dans la grande salle de spectacle du collège Joliot-Curie, mise à disposition par le principal, une initiative applaudie par tout le monde associatif du secteur.

150 enfants, beaucoup avec leurs parents, ont ainsi apprécié le spectacle d’Hervé le magicien qui les a fait participer, avant d’appeler sur scène deux malheureux adultes, Angélique et Joël, qui ont bien souffert avec leurs cordes à nœuds…

Avec les majorettes

Sentinelles vigilantes à l’entrée de la salle, Yves Pringault, directeur jeunesse, Slimane Hamdi et David Gameiro, animateurs de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, ont canalisé les entrées mais tout s’est passé dans le plus grand calme.

Pas la moindre bousculade, même quand le père Noël a commencé sa distribution des « bonbons de Marceau » offerts par l’association MJC Croix-Rouge, celle des mandarines par Salah Byar (association Point Rencontres), l’association « Promotion de Pays-de-France » se chargeant de la boisson et l’incontournable M. Longuet (collectif Croix-Rouge Accueil) produisant des centaines de gaufres appétissantes.

Omniprésents, les bénévoles de l’association de locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », derrière Roselyne Marandon et Jean-Pierre Bauwens, étaient tout sourire avec une parole de bienvenue par ci, un mot gentil par là.

Dans la salle, parmi les enfants, on a remarqué également les animateurs de La Maison de l’enfance et de l’association 2 Mains.

L’événement de l’après-midi fut incontestablement le spectacle donné bénévolement par les majorettes de l’Acrap, les « Mousquetaires de Reims », conduites par Magali Macadré leur capitaine, qui a époustouflé la salle par son lever de jambe spectaculaire et son grand écart final.

La veuve et la fille du regretté Marceau Nicolas ont fait une apparition discrète, elles ont pu constater que le souvenir de ce bénévole, trop tôt disparu, était intact et que, grâce à lui, à la Maison de quartier et aux associations du secteur, les habitants de Pays-de-France ont pu, une fois encore, bénéficier d’une belle fête de Noël.

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Avec le Reims Acrap patinage : Le père Noël sur la glace

La bonne humeur était de mise à Jacques-Barot.
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Le Reims Acrap patinage (RAP) a fêté Noël sur la glace de la patinoire Jacques-Barot, vendredi 17 décembre. Une longue file de patineurs, du plus petit de 3 ans au plus grand, a offert une démonstration aux parents et amis venus en nombre et qui n’ont pas ménagé leurs applaudissements.

Le spectacle de la patinoire, couverte d’une centaine de jeunes aux costumes bariolés, avec une dominante de rouge, était émouvant. Omniprésentes, les animatrices du club étaient sur le pont, veillant au bon déroulement de la fête.

Quant à Jean-Luc Ployé, président heureux de voir ses troupes réunies, il commentait : « Nous avons de plus en plus d’adhérents. Nous en sommes à 160 et cela ne va pas s’arrêter, grâce aux efforts d’une équipe dynamique ».

En première partie, le public a eu droit à des démonstrations offertes par les éducateurs bénévoles, des patineurs au niveau artistique et technique élevé : Norina Dakeur, Coralie Dehu, Chahinez Djeradi, Renan Manceaux, Solène Manceaux, Laura Mouthino et Chloé Pillet.

Enfin, clou du spectacle, le père Noël est arrivé sur la glace en traîneau, poussé par les petites patineuses, pour un tour de piste avant une distribution de confiseries et une séance photos.

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« Musiques en Images »

Musique et photographie : l’une offre l’émotion, l’autre la fixe. Un itinéraire en trois étapes ! sur trois médiathèques, allant des clichés d’artists jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini, aux « instants volés » en live lors des festivals de jazz rémois par Alain, en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) et son objectif transcendant les stars internationales du rock.

L’objectif de ce parcours est également d’amener les visiteurs à découvrir la richesse des fonds musicaux des trois médiathèques de Reims et de rencontrer l’un des photographes mis en avant par cet événement : Renaud Monfourny.

Jusqu’au 31 décembre dans les trois médiathèques.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101222a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7373 du 20 au 26 décembre 2010.

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Forum entrepreneuriat du 2 décembre 2010.

Génération entreprendre
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Reims Habitat : LE BAILLEUR VIENT DE METTRE EN LIGNE SON NOUVEAU SITE INTERNET WWW.RElMS-HABITAT.FR.

De nouvelles fonctionnalités vont permettre à ses locataires, partenaires, mais aussi aux personnes en recherche de logement, de garage, de locaux commerciaux d’accéder à de nombreux services et à une grande richesse d’informations pratiques.

Ainsi en page d’accueil, l’internaute dispose d’un accès direct à diverses rubriques : "connaître Reims habitat", "je cherche un logement", "je cherche un garage"," je suis locataire", "je souhaite acheter", "espace entreprise" qui sont riches d’informations pratiques, de liens internes et externes pour faciliter la navigation, de fichiers en téléchargement (demande de logement, fiches conseils…).

Sur la rubrique "Visitez notre patrimoine", l’internaute trouvera toutes les informations sur le patrimoine de Reims habitat sur Reims et en secteur rural : photos, typologie des logements, loyer, certifications, type de chauffage, ascenseur, proximité des transports en commun, école, mairie, banque, point accueil Reims habitat.

Aussi prochainement il offrira la possibilité aux internantes de payer leur loyer en ligne, de faire une demande de logement en ligne, d’accéder à leur dossier en ligne….


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MODIFICATION DE STATUTS.

SARL AVENIR FACADES

Société à responsabilité limitée
au capital de 3.000 €uros
Siège social : 1 Groupe Eisenhower - 51100 REIMS
SIREN : 505 055 798

Suivant délibération de l’assemblée générale extraordinaire du 1’ novembre 2010, les associés ont décidé les modifications suivantes :

ARTICLE 8 - CAPITAL SOCIAL

Compte tenu de l’acte de cession de parts intervenu le novembre 2010, entre M. MATOSO OLIVEIRA Manuel et Monsieur MATOSO JOSE Paulo Miguel pour 100 parts, la totalité des 300 parts composant le capital social sont réparties comme suit :

- Monsieur MATOSO OLIVEIRA Manuel. demeurant 1 , Groupe Eisenhower à REIMS, deux cents parts sociales numérotées de 01 à 200, ci 200 parts :
- Monsieur SANTANA FREITAS Lage Victor, demeurant 43 Groupe Eisenhower à REIMS, cent parts sociales numérotées de 201 à 300, ci 100 parts.

Total égal au nombre de parts composant le capital social, ci 300 parts.

Le dépôt légal sera effectué au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

Le gérant.
90973M. MATOSO OLIVEIRA Manuel.


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DISSOLUTION DE SOCIETE- CLOTURE DE LIQUIDATION

P.P.C.

Société à responsabilité limitée en
liquidation au capital de 8.000 €uros
Siège : Allée des Landais - 51100 REIMS
444 981 989 R.C.S. Reims

L’assemblée générale extraordinaire réunie le 7 octobre 2010 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée. Ella a nommé comme liquidateur Romain VIDAL, demeurant 21 rue Ernest Renan - 92700 COLOMBES, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi est les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.

Le siège de la liquidation est fixé 21 rue Ernest Renan - 92700 COLOMBES. C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

91102 Pour avis : Le liquidateur.

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Union101221b

Judo / Challenge rémois : un baptême réussi

Les 6/9 ans avaient ouvert le bal pour cette animation qui a réuni 200 jeunes
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Le pari était osé. Il est en passe d’être réussi. Samedi, pour le premier rendez-vous du Challenge rémois, l’AS Croix-Rouge et le Reims Judo ont rassemblé près de 200 jeunes salle Richelieu.

Une performance « face » à la neige et de début de vacances de Noël. L’animation était ouverte aux 6/14 ans et sept clubs avaient répondu à l’invitation. En plus des deux co-organisateurs (*), Judo, Judorex Saint-Brice, Tinqueux, Dormans et Fismes. « L’objectif était d’organiser une petite confrontation, sans objectif de résultat », rappelle Xavier Supernant, directeur technique du Reims Judo.

Avec son homologue de l’AS Croix-Rouge Jean Dressayre, le soutien du comité Marne et celui de la Ligue, il est à l’origine de ce rendez-vous qui connaîtra des prolongements le 12 février et le 16 avril.

« Au bout du compte, on amène les plus jeunes à découvrir l’activité. Ils s’ouvrent vers les autres et voient un autre environnement que celui de leur club », poursuit l’entraîneur rémois qui s’est félicité de la qualité de l’implication des bénévoles, des dirigeants et des parents pour la réussite de ce premier rassemblement.

Ph.L.

(*) L’AS Croix-Rouge est présidée par Patrice Launois et le Reims Judo par Laurent Bernard.

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Union101221a

Forum entrepreneuriat du 2 décembre 2010.

Génération entreprendre
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Union101220c

Animations de Noël à l’Acrap : Petits et grands vont s’éclater

Le concours de dessins remporte toujours un grand succès.
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Le traditionnel concours de dessins de l’Acrap est ouvert à tous les enfants du quartier, même non adhérents, âgés de 3 à 12 ans, et il comporte trois catégories.

1re catégorie : enfants nés en 2006-2005-2004 (« Je dessine un paysage de Noël et je le colorie »). 2e catégorie : enfants nés en 2003-2002-2001 et 3e catégorie : enfants nés en 2000-1999-1998 (avec pour thème : Noël et le partage, « Je réalise une carte de vœux que j’aimerais pouvoir offrir aux habitants de Croix-Rouge. Je rédige un texte expliquant mon choix »). Il sera tenu compte du travail de recherche et de la qualité artistique.

Les dessins devront être déposés au secrétariat de l’Acrap, où il faut demander le règlement précis du concours, jusqu’à demain mardi 21 décembre à 11 heures dernier délai. La remise des lots aux gagnants aura lieu au cours d’un après-midi récréatif avec animations et goûter dans la salle polyvalente.

L’Acrap organise par ailleurs une animation de Noël pour soixante personnes âgées et seules à partir de 65 ans (même avec conjoint moins âgé), mercredi 22 décembre, de 14 h 30 à 17 h 30, dans la salle polyvalente. Au programme, animations et buffet. Cadeau souvenir à chacun. Ces festivités sont entièrement gratuites.

Les personnes qui ne peuvent pas se déplacer doivent prévenir le secrétariat lors de l’inscription. L’Acrap se chargera du transport aller et retour.

Secrétariat de l’Acrap, 11, avenue du président Kennedy, du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 11 h 30 et de 13 à 17 heures (16 h 30 le vendredi). Tél. 03.26.06.39.54.

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Union101220b

Tennis / Prof rock’n roll : Ce coach a de la ressource !

Quand Anthony Petit prodigue ses conseils, tous ses petits protégés l’écoutent religieusement. Il faut dire que l’Axonais a entraîné sur le circuit WTA…
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REIMS (Marne). Coordinateur du centre fédéral d’entraînement de tennis de Reims, Anthony Petit est un sacré touche-à-tout. Rencontre.

IMAGINEZ-VOUS frayer dans la sphère des avocats, juristes, et chefs d’entreprise. Puis suer à renvoyer la balle à la future crème du tennis français. Enfin, empoigner la guitare et vous « finir » avec les potes sur un morceau crapuleux de T-Rex. Et tout cela dans la même journée !

Businessman, rocker…

On exagère un poil, sans doute, mais tel est, à peu de chose près, le quotidien d’Anthony Petit. La majeure partie de son temps, l’Axonais le passe au Creps, à Reims. Et en tenue de sport.

Responsable d’un centre d’entraînement à Géo-André, Anthony est monté en grade depuis qu’en septembre dernier, celui-ci a reçu le label fédéral. Concrètement, le voilà à la tête d’une structure de trois entraîneurs et deux préparateurs physiques aux petits soins pour 19 apprentis champions dont cinq parmi les meilleurs nationaux dans leur catégorie d’âge.

« Le projet est double : que les gamins soient sportivement et scolairement en réussite. Je supervise les entraînements mais je suis également très attentif aux notes en classe ».

Bref, une sorte de « dirlo » qui, en plus de composer avec les appels téléphoniques de parents soucieux de l’évolution tennistique de leur progéniture, doit en plus gérer les rapports avec les institutions qui supportent le projet (Ministère des sports, Conseil régional, Fédération française, comité Marne, Creps, Géo-André).

Rien que cette occupation suffirait à caler son homme. Pas Anthony qui trouve encore le temps de « gratouiller » le soir. Plutôt bien, visiblement. Créé en 2008, son groupe, This is not Hollywood, s’est produit au festival Rock en Stock et au Trans’Musicales de Rennes, cette année, et a eu l’honneur d’« ouvrir » pour les Wampas.

« C’est en train de se professionnaliser, » décrit sobrement Petit. « On bosse les compos, et je m’occupe des paroles et de l’organisation des concerts, de la promo. Ce que j’aime ? Le son bien gras des Stooges, AC/DC pour les riffs, la rythmique… Mais aussi la soul, Wilson Pickett, Sam & Dave, pour la montée progressive de l’intensité dans les refrains ». Diable, le bonhomme a du goût !

… bonjour l’ubiquité !

Et un gros appétit. Avec son ami Christophe Batteux (petit-fils d’Albert, sélectionneur de l’équipe de France de foot dans les années 50-60), Anthony Petit est également coactionnaire de quatre bar-brasseries à Reims.

Un miracle qu’il arrive à s’y retrouver, lui qui reconnaît ne pas avoir d’ordinateur ni d’agenda. « C’est noté sur des post-it ou dans ma tête. Ce que j’aime dans cet emploi du temps, c’est la diversité des gens que je suis amené à rencontrer. La culture d’entrepreneur, je l’ai toujours eue. Je suis très carré dans la définition des objectifs. Après, la façon de les atteindre… J’ai une vie de marginal, un peu bohème ».

Où le matérialisme n’a pas sa place. « Je gagne bien ma vie, hein, j’ai une belle baraque mais pas grand-chose dans la cuisine. Quand j’ai faim, je vais au restaurant ou je me fais un plat de pâtes, que je mange dans la casserole. L’autre jour, j’ai invité les gamins chez moi pour un repas de Noël mais je n’avais pas de couverts. On a dû en emprunter chez le voisin ».

Un sacré numéro, cet Anthony Petit !

Rémi TIRET

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« Anthony, sois sympa, rembobine ! »

De prime abord, pas facile de saisir le rapport entre ces diverses activités. Pas grave, Anthony déroule le fil de sa vie. Et tout s’éclaire…

TENNIS JUSQU’AU BAC PUIS PAPA DIT STOP

« Je suis fils unique d’une mère plutôt intellectuelle et d’un père homme d’affaires. Quand j’ai commencé le sport, mes parents n’ont pas vu ça d’un bon œil. Pas assez sérieux…

J’ai été repéré par la Fédé à 11 ans. J’ai intégré le pôle France de Poitiers mais j’ai été renvoyé au cours de la dernière année du cursus, avant l’Insep. Du coup, je suis parti au Creps de Reims, à 14 ans.

Quand j’ai eu mon bac, j’étais classé 0. Mon père m’a dit : Le tennis, c’est fini, fais des études. Je suis parti à Paris et j’ai terminé bac + 5 en droit fiscal. J’ai bien profité de la vie, là-bas, j’ai un peu tout fait (rires)… »

LE COSTARD-CRAVATE, JAMAIS !

« A la fin de mon cursus, un client de mon père me propose un poste dans sa holding. Je refuse, ça ne me dit rien, et je pars de chez moi. Je rentre à Reims, on est en 1995, et je m’installe en colocation avec mon pote Guillaume Couillard (ex-1re série). Je me remets sérieusement au tennis et en trois ans, je grimpe à -4/6 ».

LE DECLIC : LA RENCONTRE AVEC JUSTINE HENIN…

« Je passe mon diplôme d’Etat pour devenir entraîneur en 1998 et j’arrive au TC Géo-André. Gérard Valentin, le responsable du tennis-études, est très ami avec le père de Justine Henin, alors junior et inconnue.

Elle a des problèmes d’ampoules et vient se faire soigner tous les mardis à Reims. A cette occasion, je lui sers de sparring-partner. Le feeling passe bien entre nous, si bien qu’elle me garde jusqu’au Roland-Garros-1999, le premier Grand Chelem de sa carrière. Elle perd au 2e tour en trois sets contre Lindsay Davenport, n° 2 mondiale ! A ce moment-là, j’entraîne en club mais je me dis que je veux coacher au haut niveau ! »

… MAIS LES RESTOS EN GUISE DE PARACHUTE

« La précarité du poste me fait quand même un peu peur : se faire virer à la moindre défaite… Avec Christophe Batteux, j’investis dans une brasserie, histoire d’assurer mes arrières. Ce sera le Backstage. Le week-end, on organise des concerts, ça me permet d’assouvir ma passion pour la musique ».

DANS LE GRAND BAIN DU CIRCUIT…

« Tout va bien à Géo-André, le niveau est bon. Et puis, fin 2003, j’ai une proposition pour coacher Mandy Minella, une Luxembourgeoise, 420e mondiale. Le club me met en dispo un an, je ne le remercierai jamais assez. Je me lance avec Mandy mais ça se termine sur une engueulade fin janvier 2005, à Pattaya, en Thaïlande. Au même moment, un agent me propose de m’occuper de l’Allemande Marlene Weingartner, alors 49e mondiale. On se lance dans ce tournoi et Marlene bat au 1er tour Martina Hingis, pour le premier match de son come-back ! »

… JUSQU’A BOIRE LA TASSE

« Avec Marlene, on signe un contrat jusqu’à l’US Open. On bosse à Tampa, en Floride. Malheureusement, des problèmes au dos l’empêchent de jouer à son niveau. On vit six mois de galère, je sors rétamé de cette expérience. Et un peu dégoûté : dans le tennis féminin, un coach n’est pas là pour apporter ses compétences techniques mais pour servir de punching-ball verbal à sa protégée. Très peu pour moi. Je décide d’arrêter mais avec une idée derrière la tête : faire l’équivalent avec les jeunes. Là, j’aurai des chances d’être écouté. D’où ce centre d’entraînement qui verra le jour plus tard à Reims ».

ET LA MUSIQUE FUT…

« En juillet 2005, c’est le retour à Reims. Adieu la baraque et la piscine en Floride, bonjour le 50 m2 rue de Chanzy ! Je me souviens d’être allé faire des courses, de quoi tenir neuf jours enfermé. La déprime !

Et puis un matin, je ne sais pas pourquoi – la veille j’avais regardé un DVD des New York Dolls (groupe de rock US des seventies) – je me lève, je prends le train pour Paris et je m’achète une guitare. Mais pas la plus moche, hein, une Les Paul ! Je n’en avais jamais fait, le vendeur m’a regardé avec de ces yeux… Je me suis pris un prof et j’ai bossé, bossé… »

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« Repères

Né le 29 mai 1972 à Château-Thierry (Aisne).

Avril 2000 : ouverture du bar-brasserie le Backstage, à Reims, sa première affaire. Le premier Roland-Garros en tant qu’entraîneur, aux côtés de l’Allemande Marlene Wein-gartner.

19 août 2005 : « Je me souviens de la date précise. Je pose pour la toute première fois mes doigts sur une guitare ». 21 juin 2006 : premier concert. « A la Fête de la musique, place d’Erlon ».

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Marathon man !

Sa journée type ?

Levé du lit à 7 heures.

7 h 45 - 8h 45 : une heure de guitare.

9 heures -19 heures : bureau au Creps avec coups de fil entre 13 et 14 heures pour les affaires et entre 16 et 17 heures pour le groupe.

20 heures - 23 heures : répétitions, trois ou quatre fois par semaine.

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Union101220a

Tennis (AG de la Ligue) / Les jeunes au cœur des débats

Organisée samedi au Creps de Reims, l’assemblée générale de la Ligue a été d’une excellente tenue. « Malgré les conditions climatiques très difficiles, nous avons eu une bonne assistance avec un quorum facilement atteint », se félicitait Roger Moreaux.

« Favoriser la notion de groupe »

L’occasion de faire le point sur l’exercice passé avec le président de la Ligue : « Le plus important est la construction du Centre de Ligue avec une livraison prévue pour avril. Mais j’ai passé beaucoup de temps à parler du « grand frère », Roland-Garros, en exposant tous les choix possibles sur l’extension. Tout le monde a pu se faire une idée précise sur ce dossier. Ensuite, j’ai noté que le nombre de licenciés a stagné avec la perte de seulement huit licences. »

Tout en indiquant que « cette AG a été tranquille » car « tout va bien », l’homme fort du tennis champardennais indiquait ensuite les grandes lignes des actions futures à mener : « Nous avons à mettre en place le changement de la politique sportive réclamée par la Fédération. Notamment pour les jeunes, il s’agira de moins privilégier l’entraînement individuel pour favoriser la notion de groupe avec, comme fil conducteur, l’ambiance.

Comme d’autres sports, la sympathie, le plaisir, la joie d’être ensemble doivent être essentiels. Nous allons aussi initier des circuits parallèles pour des jeunes qui ne rentrent pas dans les structures fédérales mais qui voudraient, par exemple, être suivis par un parent ou un Breveté d’Etat. L’action régionale sera d’ailleurs appliquée avant celle de la Fédération pour le succès et le bien de tous. »

LICENCES. - Au 30 septembre, la Ligue comptait 18.713 licenciés contre 18.721 un an plus tôt (-0,04 %).

CLUBS. - Avec sept mises en sommeil (TC Gespunsart, TC Merycien, CSA BA112, TC du Der, ASC Les Mesneux, TC Doulaincourtois, AST Vingeanne), une démission (TC Parques Cormontreuil) et trois créations (TC Crayat, TC Fismes, ATPP Givry en Argonne), la Ligue compte désormais 205 clubs contre 209 l’an passé.

REPARTITION. - Comme toujours, la Marne mène la danse avec 8.484 licenciés (8.499 en 2009) devant l’Aube (3.884 contre 3.956), la Haute-Marne (3.217 contre 3.143) et les Ardennes (3.120 contre 3.122).

FINANCES. - Présentant un excédent de 20.157,94 euros l’an passé, le trésorier général a encore fait mieux cette année avec 27.713, 82 euros.

MEDAILLES. - A l’issue de cette AG, Michel De Baene, Michel Jupin, Pascal Smigielski, Serge Watelet et Gérard Valentin ont reçu la médaille vermeil de la FFT. Nadine Barré, Chantal Bocquet, Philippe Jacques, Michel Lagneaux, Bruno Lesaine, Jacky Siette et Jacky Van der Guth ont eu droit à la médaille d’argent. Par ailleurs, Marcel Gamon et Jean-Pierre Vasseur ont respectivement été décorés de la médaille d’Or et d’Ardent de Jeunesse et Sport.

CLE USB. - Désormais, le traditionnel mémento de la Ligue est disponible en clé USB. Avec de nouvelles et pratiques fonctions.

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Union101217f

MUSIQUES : Quand la Champagne mise sur la Bretagne

Est-on venu au restaurant retenu par la région pour écouter nos musiciens ou pour… boire du champagne ?
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Les Transmusicales, ce n’est pas loin de 90 groupes d’un peu partout dans le monde programmés sur trois jours : les places sont chères !
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Dans la délégation officielle champardennaise, on reconnaît de gauche à droite : Nathalie Dham, conseillère régionale ; Jean-Claude Daniel, président de l’Orcca ; Gérald Chabaud, président du Polca (pôle régional des musiques actuelles) ; Robby Jarazy directeur de l’Orange bleue de Vitry-le-François ; Patrick Legouix, directeur d’Ici et ailleurs (Châlons).
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FESTIVAL. Pour la troisième fois, le conseil régional champardennais a subventionné la participation de plusieurs groupes aux Transmusicales de Rennes.

Qu’on se le dise : en matière de musique, la Bretagne ne se résume pas aux binious et à la bombarde. En matière de rock, de pop, de hip-hop et des musiques actuelles en général, Rennes est devenue une référence nationale : avec ses Transmusicales : « C’est le lieu de la saison d’hiver où se concentrent le plus de professionnels » estime un spécialiste de ce domaine, Gérald Chabaud, directeur de la Cartonnerie rémoise, scène dédiée auxdites musiques actuelles, et en outre président de Polca, structure associative de promotion des artistes champardennais émargeant dans cette catégorie artistique.

Comme Lagardère

Si l’on est un groupe musical émergent et que l’on cherche à devenir pro, il est donc a priori intéressant de se montrer dans la capitale des porteurs de chapeaux ronds. C’est le raisonnement que tient le conseil régional de chez nous. Voilà pourquoi, pour la troisième année, il met des sous (40.000 euros cette fois-ci) dans cette démarche. L’année dernière, c’étaient Raj, L’Amour is the answer et Libellule qui en avaient profité ; cette fois-ci, les trois heureux élus -retenus parmi une grosse vingtaine de candidats- s’appellent Starlion (hip-hop), John Grape (pop), et This is not Hollywood (rock).

Ces trois groupes d’un certain niveau pour ne pas dire d’un niveau certain (lire par ailleurs) ne figurant malheureusement pas au programme officiel du festival breton -il faut dire qu’avec 90 groupes en trois jours, la concurrence est rude-, la Champagne-Ardenne a fait un peu comme Lagardère : puisque les Transmusicales ne sont pas allées les chercher, eh bien la région a emmené ses artistes aux Transmusicales ! Pas dans un lieu officiel, certes, mais dans un lieu officieux judicieusement choisi : un restaurant guère éloigné du centre névralgique de la manifestation, dans le centre de Rennes. « L’an dernier on s’était installé dans un lieu trop excentré, on n’avait quasiment pas eu de public », reconnaît le président Jean-Claude Daniel de l’Orrca (*) qui pilotait la délégation champardennaise en compagnie de la conseillière régionale Nathalie Dham. Mais au fait, quel est l’intérêt pour la région de financer une telle opération ? « Il s’agit de contribuer à l’attractivité de notre territoire, répond l’élue, et de montrer aux jeunes qu’ils ont une place chez nous : notre grand souci est de voir nos jeunes quitter notre région… »

« A chaque fois on apprend »

Résultat des courses de cette transhumance musicale 2010 ? Effectivement, les invitations lancées ont été honorées : le petit restau était bien rempli lors de la prestation des ambassadeurs de la Champagne ; « même si on a eu l’impression qu’ils ne venaient pas vraiment pour écouter nos groupes, estime le président Daniel, mais plutôt pour boire du champagne ! »

Cela dit, tout n’a pas été négatif, des contacts ont été effectivement noués entre auditeurs et artistes. Alors, stop ou encore ? A l’issue de cette triple « démo », le président de l’Orcca se montrait plutôt optimiste : « La question de savoir si on continue ou si on arrête de venir ici est posée, mais je pense que la réponse sera positive » (lire aussi par ailleurs). Avec peut-être des petites choses à perfectionner, pour améliorer encore le « retour sur investissement » et donc le bon usage des deniers des contribuables. Comme le dit encore le président : « à chaque fois on apprend quelque chose ! »

Textes : Antoine Pardessus

* Office régional culturel de Champagne-Ardenne.


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« Starlion » : le rappeur se rebiffe

« J’ai pas envie de me faire suer à chanter pour des mecs qu’en ont rien à… ! »
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« Starlion », c’est du hip-hop, cinq musiciens, et c’est surtout le chanteur Nicolas Vanlemmel. Un p’tit gars de Reims, qui affiche 28 ans aujourd’hui, issu du quartier Croix-du-sud, pas vraiment un quartier huppé, et qui a la musique et la chanson dans le sang : « J’en fais depuis que je suis né, plaisante ce gaillard affable à la pilosité sombre et au teint basané, mais j’ai vraiment commencé par la danse, dans la compagnie Affaire classée de Châlons. » Crâne rasé, petit bouc noir, pantalon genre survêtement sac à patate, chaussures genre sport, pas de doute, il a l’allure qui va bien avec son genre musical : un genre où l’écriture tient une place primordiale, comme c’est bien souvent le cas dans le rap.

Dommage que l’on ne comprenne pas toutes les paroles (à cause de la sono ou du débit rapide de l’artiste ?), car « Starlion » n’a pas l’air du genre antisocial, n’appelle pas à brûler les commissariats ou à « niquer » la police, son cri de révolte entre guillemets n’a pas l’air d’un cri de haine : « Je veux enfin oublier la faim, Avant que l’on m’enterre je veux faire don de ces quelques vers… »

Ça n’empêche pourtant pas notre homme de réclamer le respect. Et sentant une indifférence du public dans le restau transformé en music-hall, public plus occupé apparemment à siroter le champagne offert par les contribuables champardennais et à discuter entre soi, voilà notre homme qui quitte la « scène » et micro en main, vient au contact de ces auditeurs indélicats : « Vous êtes chi… à pas écouter ! J’ai pas envie de me faire suer à chanter pour des mecs qu’en ont rien à battre !… » Bref, c’était le rappeur se rebiffe ! Clin d’oeil involontaire à son disque, appelé à sortir pour la rentrée ? (*) * Le thème en sera « la Cave se rebiffe », allusion aux maisons de champagne.


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« Les groupes m’ont fait bonne impression »

Jean-Claude Daniel, président de l’Orcca.
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Jean-Claude Daniel, que saviez-vous des trois groupes que vous avez emmenés à Rennes avant leur prestation ?

Peu de chose en vérité, j’ai fait confiance à l’équipe de sélection dont j’ai suivi le travail ; personnellement je connais davantage le milieu musical de l’Aube et de la Haute-Marne. Je savais quand même que les sélectionneurs avaient veillé à la variété des genres musicaux représentés, j’étais d’ailleurs particulièrement content de voir qu’ils avaient pris du hip-hop, ce qui n’est pas un genre si facile, mais qui était aussi relié à tout un travail en direction des cités.

Quelle impression les trois groupes vous ont-ils faite ?

Une bonne impression, qui me permet de valider après coup le choix de l’équipe ; je pense que ce sont des groupes d’un bon niveau, conforme à ce que l’on pouvait attendre. Ils n’évoluaient pas dans des conditions très faciles, dans un lieu qui n’est pas un lieu de spectacle au départ, avec des changements de plateau à chaque fois. Mais ce sont des expériences comme ça qui peuvent justement contribuer à leur professionnalisation.

Cette démarche sera-t-elle renouvelée ?

Stop ou encore ? Cela mérite d’être débriefé, à mon avis c’est quand même plutôt « encore ». L’idée c’est que la Champagne- Ardenne fasse trace dans ce domaine des musiques actuelles, comme on a réussi à le faire avec le théâtre à Avignon ; mais cela a demandé vingt ans ! La question qui se posera si nous décidons de repartir l’an prochain, c’est : aurons-nous des artistes à promouvoir ?

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Union101218c
Challenge rémois de judo

La première manche du challenge rémois de judo organisé par l’association sportive Croix-Rouge et Reims judo se déroulera ce samedi 18 décembre à partir de 13 h 30 au gymnase Richelieu (Val-de-Murigny), 55, rue Richelieu.

Organisé sur trois manches (les suivantes auront lieu les samedis 12 février et 16 avril), le challenge rémois a été mis en place pour permettre aux jeunes judokas d’acquérir de l’assurance et de la confiance dans le cadre de la confrontation physique (compétition).

Aucune récompense n’est délivrée tout au long des trois manches, néanmoins, chaque club est destinataire des résultats de ses judokas. Charge ensuite à chaque club de procéder à des remises de récompenses en fin de saison.

Inscriptions des mouches et des poussins de 13 h 30 à 14 heures ; des benjamins, minimes et cadets de 15 heures à 15 h 30.

Pour tous renseignements techniques, tél. 06.26.95.32.13.

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Union101218b
BADMINTON / Nationale 1 Un pas vers le maintien

Pour la 5e journée, la dernière du cycle aller, l’ABC Reims (3e, 8 points) accueille cet après-midi (14 h 30, Halle Universitaire Croix-Rouge) la lanterne rouge La Robertsau (6e, 5 points) avec la ferme intention de faire un grand pas vers le maintien.

A domicile, les Rémois partiront avec la faveur des pronostics face à des banlieusards strasbourgeois toujours sans succès. La seule inconnue résidera dans la présence ou non du n°1 alsacien Erwin Kehlhoffner (T20) qui, face à Béthune, avait grandement contribué au partage des points.

N3 : DES RÉMOIS CONQUÉRANTS

La réserve de l’ABC Reims affronte cet après-midi (17 h 30, Halle Universitaire Croix Rouge) son homologue de La Robertsau. Comme pour la N1B, le leader rémois, toujours invaincu, partira avec le statut de favori face à des Alsaciens avant-derniers (une victoire, trois défaites).

Le Ruc se déplacera - si la météo le permet - en conquérant chez la lanterne rouge Ostwald (16 heures). « Le but sera de prendre les quatre simples et de grappiller un point ailleurs. Avec l’équipe au complet, on peut y arriver », affirme le responsable ruciste, Aurélien Albaud.

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Union101218a
À Reims et aux environs : Les voitures brûlent

Hier vers 2 heures du matin, une Hyundai a pris feu rue de Rilly-la-Montagne. L’incendie s’est propagé à deux autres véhicules. L’origine du sinistre est suspecte.

Vers 3 h 55, une Peugeot 106 a été incendiée place de l’Eglise, à Champigny. Le véhicule était fracturé, ainsi qu’une autre voiture garée à proximité. L’hypothèse d’un incendie allumé pour effacer les traces d’une tentative de vol est privilégiée par les gendarmes.

En milieu de journée, à 12 h 30, un feu de voiture probablement accidentel s’est déclaré rue du Général-de-Gaulle à Sept-Saulx. Un bâtiment a été endommagé.

Il n’y a pas que les véhicules qui brûlent. A 16 heures, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré rue Pierre-Taittinger tandis qu’à la même heure, les pompiers ont été appelés pour un feu de cheminée rue Léon-Lefort à Muizon.

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Cross de Noël / 500 écoliers au parc Saint-John-Perse

Après l’effort, le réconfort.
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À l’arrivée de chaque course, une collation et une récompense attendaient tous les enfants.
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Les départs des huit courses étaient ensuite donnés par groupes de niveau.
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Suivant les niveaux, les écoliers
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Après Reims à toutes jambes ! et le relais des écoles Usep, les écoliers rémois ont été invités à participer à un grand rassemblement sportif : le cross de Noël des écoles primaires, organisé dans le cadre des Centres rémois d’initiation sportive (Cris), par la Ville de Reims, l’Efsra et l’Usep.

Ils se sont entraînés avec leurs enseignants pour être capables de courir « en durée » sans s’arrêter, selon leur âge, une distance de 800 à 1 800 m. Les jeunes sportifs de Croix-Rouge, inscrits par classes, ont ainsi testé leur capacité à réussir ce challenge, le lundi 13 décembre, au parc Saint-John-Perse.

Avec une organisation irréprochable, où le moindre détail était prévu, les classes, une vraie marée humaine, étaient accueillies et réparties par niveaux.

Régulateurs d’allure

Chaque groupe-classe était encadré par des éducateurs (de la Ville de Reims, de l’Usep et de l’Efsra) pour la reconnaissance des parcours, l’échauffement et les dernières recommandations d’usage.

Les départs des huit courses étaient ensuite donnés par groupes de niveau.

En tête, des régulateurs d’allure aidaient les enfants à respecter une allure donnée afin de parcourir la distance prévue sans s’arrêter. À l’arrivée de chaque course, une collation et une récompense attendaient tous les enfants, cependant que les trois premiers montaient sur le podium et recevaient leur médaille, remise par Alain Bisteur, conseiller municipal et co-animateur du conseil de quartier.

Très remarqué, un papa a accompagné son enfant du CE2 tout au long du parcours : « Un bel exemple à suivre pour les parents ! » a commenté un organisateur.

L’association départementale de la Protection civile de la Marne était prête à intervenir en cas de malaise.

« Nous n’avons reçu que quelques élèves qui souffraient de problèmes de souffle », précise l’un des sauveteurs : « Ils n’ont pas l’habitude de courir ».

À noter, après le départ des 500 élèves, le parc Saint-John-Perse était « nickel » : pas un papier, pas une timbale au sol ! Remarquable !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Le palmarès des huit courses

Trophée des podiums : 1, école Billard. 2, école Gilberte-Droit. 3, écoles Adriatique et Joliot-Curie. 5, école Provençaux. 6, école Blanche-Cavarrot. 7, Institut Michel-Fandre.

CP/CE1 filles 800 m : 1, Marika Nitiniki (Billard). 2, Enola Sturionne (Joliot-Curie). Célestine Sinapan (Billard). 4, Aïda Kante (Billard). 5, Caroline Sablon (Billard). 6, Axel Menu (Joliot-Curie).

CP/CE1 garçons 800 m : 1, Azize Djemel (Billard). 2, Nathan Reutenauer (Billard). 3, Hedi Mahaya (Joliot-Curie). 4, Axel Namurois (Billard). 5, Hugo Roussel (Joliot-Curie). 6, Angelo Xima (Billard).

CE2 filles 1 200 m : 1, Pauline Mariama (G. Droit). 2, Mariama Kamara (Provençaux). 3, Indra Sarrazin (Provençaux).

CE2 garçons 1 400 m : 1, Enes Saygili (G. Droit). 2, Metehan Efé (G. Droit). 3, Amin Hraiba (G. Droit).

CM1 filles 1 400 m : 1, Assetou Camara (G.Droit). 2, Paule Deinat (Provençaux). 3, Mounia Filali (Provençaux).

CM1 garçons 1 600 m : 1, Abdelhakim Allafoza (Billard). 2, Alexandre Mell (G. Droit). 3, Ibrahim Bedir (G.Droit).

CM2 filles 1 600 m : Hanna Sayoud (Blanche-Cavarrot). 2, Sarah Bigot (Adriatique). 3, Noëlle Allafoza (Billard).

CM2 garçons 1 800 m : 1, Baptiste Breton (Adriatique). 2, Axel Carpentier (Adriatique). 3, Osman Merdji (Blanche-Cavarrot).

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UNSS (Championnat d’Académie) / Un cross sur neige !

Troyes avait de l’avance sur la Marne ! C’est donc sur un tapis moelleux de neige que les quelque 800 courageux crossmen se sont élancés, hier, à l’assaut d’une qualification pour les championnats de France de Choisy-le-Roi (17 janvier).

Les équipes championnes d’Académie ont décroché leur billet pour le Val-de-Marne.

FEMININES

Seniors : 1. Mathieu (Lyc. viticole/Avize) ; 2. Fèvre (Lyc. viticole/Avize) ; 3. Lourdeau (Lyc. viticole/Avize) ; 4. Boulard (Lyc. viticole/Pouange) ; 5. Thiebaud (Lyc. Somme/Vesle)

Juniors : 1. Bailly (Lyc. Edme Bouchardon/Chaumont) ; 2. Moreau (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 3. Ouannoughi (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 4. Parmentier (Lyc. Diderot/Langres) ; 5. Neumann (Lyc. Camille Claudel/Troyes) ; 6. Arribas (L.P. Europe/Reims) ; 7. François (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 8. Tonglet (Lyc. Diderot/Langres) ; 9. Roux (Lyc. Joliot Curie/Romilly) ; 10. Brunois (Lyc. Chanzy/Charleville)… 13. Charvet (Lyc. Somme/Vesle) ; 15. Cadet (Lyc. viticole/Avize) ; 16. Mathieu (Lyc. viticole/Avize) ; 17. Fèvre (Lyc. viticole/Avize) ; 19. Richalet (Lyc. Somme/Vesle) ; 20. Foissy (Lyc. Somme/Vesle)

Par équipe : 1. Lycée Chanzy (Charleville) ; 2. Lyc. Diderot (Langres) ; 3. Lyc. viticole (Avize) ; 4. Lyc. Somme/Vesle

Cadettes : 1. Vincent (Lyc. Jean Jaurès/Reims) ; 2. Sourd (Lyc. Monge/Charleville) ; 3. Henry (Lyc. Monge/Charleville) ; 4. Périer (Col. Euréka/Pont Sainte-Marie) ; 5. Lebel (Lyc. Monge/Charleville) ; 6. Cardot (Lyc. Diderot/Langres) ; 7. Duchaine (Lyc. Saint-Exupéry/Saint-Dizier) ; 8. Lecler (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 9. Labillois (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 10. Baron (Lyc. Bernard/Troyes)… 12. Monier (Lyc. Jean Jaurès/Reims) ; 13. Marques (Lyc. Jean Jaurès/Reims) ; 14. Dauteuille (Lyc. Somme/Vesle) ; 17. Meyer (Lyc. Jean Jaurès/Reims)

Par équipe : 1. Lyc. Chanzy (Charleville) ; 2. Lyc. Monge (Charleville) ; 3. Lyc. Diderot (Langres) ; 4. Lyc. Jean Jaurès (Reims) ; 5. Lyc. Somme/Vesle

Minimes : 1. Baudoin (Col. Arthur Rimbaud/Charleville) ; 2. Leseine (Col. Victor Duruy/Châlons) ; 3. Picard (Col. Cote Legris/Epernay) ; 4. Petifourt (Col. Louise Michel/Chaumont) ; 5. Crowet (Col. Val de Meuse/Nouvion) ; 6. Lapeyre (Col. Camille Saint-Saens/Chaumont) ; 7. Richard (Col. Carignan-Margut) ; 8. Chaumelle (Col. P. d’Ablancourt/Châlons) ; 9. Duquenois (Col. La Villeneuve/Rosières) ; 10. Simon (Col. Nicolas Ledoux/Dormans)… 11. Fourny (Col. Nicolas Appert/Châlons) ; 14. Lhuillier (Col. Victor Duruy/Châlons)

Par équipe : 1. Col. P. d’Ablancourt (Châlons) ; 2. Col. Jean Jaurès (Nogent-sur-Seine) ; 3. Col. La Villeneuve (Rosières) ; 4. Col. Victor Duruy (Châlons) ; 5. Col. Camille Saint-Saens (Chaumont)

Benjamines : 1. Morel (Col. Les Vignes du Crey/Prauthoy) ; 2. Maréchal (Col. Attigny Machault/Attigny) ; 3. Perrotin (Col. Attigny Machault) ; 4. Declaron (Col. Françoise Dolto/Nogent-en-Bassigny) ; 5. Inès Halassi (Col. Paul Langevin/Sainte-Savine) ; 6. Iman Halassi (Col. Paul Langevin/Sainte-Savine) ; 7. Rollin (Col. Val de Meuse/Nouvion) ; 8. Mégard (Col. P. d’Ablancourt/Châlons) ; 9. Nouache (Col. Diderot/Langres) ; 10. Boffy (Col. Françoise Dolto/Nogent-en-Bassigny)… 15. Bournel (Col. P. d’Ablancourt/Châlons)

Par équipe : 1. Col. Françoise Dolto (Nogent-en-Bassigny) ; 2. Col. P. d’Ablancourt (Châlons) ; 3. Col. Jean Jaurès (Nogent-sur-Seine) ; 4. Col. Marie-Hélène Cardot (Douzy) ; 5. Col. Marie Curie (Troyes).

MASCULINS

Seniors : 1. Lenoble (Lyc. agricole/Rethel) ; 2. Neveux (Lyc. agricole/Rethel) ; 3. Soudant (Lyc. agricole/Rethel) ; 4. Royer (L.P. Denis Diderot/Romilly) ; 5. Fagot (Lyc St Jean-Baptiste de la Salle/Reims) ; 6. Wuillemin (Lyc. E.P.L./Saint-Pouange) ; 7. Massotte (Lyc. E.P.L./Saint-Pouange) ; 8. Lelong (Lyc. viticole/Avize) ; 9. Baudier (Lyc. Somme/Vesle) ; 10. Donadio (Lyc. Somme/Vesle)

Juniors : 1. Foughali (L.P. Joliot curie/Reims) ; 2. Choux (Lyc. Roosevelt/Reims) ; 3. Costa (Lyc. Godart Roger/Epernay) ; 4. Picart (Lyc. Godart Roger/Epernay) ; 5. Girost (Lyc. Joliot Curie/Reims) ; 6. Dubois (Lyc. Paul Verlaine/Rethel) ; 7. Rennesson (Lyc. Monge/Charleville) ; 8. Viaux Thomas (Lyc. Godart Roger/Epernay) ; 9. Becart (L.P. Louis Armand/Vivier-au-Court) ; 10. Sauvain (Lyc. Diderot/Langres) ; 11. Vanaquer (Lyc. Notre Dame Saint-Victor/Epernay)… 13. Macheret (Lyc. Godart Roger/Epernay) ; 14. Brebant (Lyc. viticole/Avize) ; 15. Saintenoy (Lyc. François Arago/Reims) ; 17. Dremont (Lyc. viticole/Avize) ; 20. Maillart (Lyc. Marc Chagall/Reims)

Par équipe : 1. Lyc. Godart Roger (Epernay) ; 2. L.P. Louis Armand (Vivier-au-Court) ; 3. Lyc. viticole (Avize) ; 4. Lyc. agricole (Rethel) ; 5. Lyc. E.P.L. (Saint-Pouange)

Cadets : 1. Saddedine (Lyc. Roosevelt/Reims) ; 2. Barbier (Lyc. Chanzy/Charleville) ; 3. Morel (L.P. Joliot Curie/Reims) ; 4. Clément (Lyc. Charles de Gaulle/Chaumont) ; 5. Vanduick (Lyc. Oehichen/Châlons) ; 6. Dufour (Lyc. Diderot/Langres) ; 7. Boulard (Lyc. Chrestien de Troyes) ; 8. Gouverneur (Lyc. Diderot/Langres) ; 9. Folope (Lyc. Chrestien de Troyes) ; 10. W. Halassi (Lyc. Chrestien de Troyes)… 15. Evrard (Lyc. Somme/Vesle) ; 16. Thomassin (L.P. Joliot Curie/Reims) ; 19. Nemesin (Lyc. Somme/Vesle)

Par équipe : 1. Lyc. Diderot (Langres) ; 2. Lyc. Chrestien de Troyes ; 3. Lyc. Chanzy (Charleville) ; 4. Lyc. Somme/Vesle ; 5. L.P. Joliot Curie (Reims)

Minimes : 1. Dhainaut (Col. Charles Delaunay/Lusigny-sur-Barse) ; 2. Aubry (Col. de Fayl-Billot) ; 3. Guérin (Col. de Fayl-Billot) ; 4. Bouarif (Col. Marie Curie/Troyes) ; 5. Cervantes (Col. Turenne/Sedan) ; 6. Djenane (Col. Turenne/Sedan) ; 7. Ancelot (Col. Robert Schuman/Reims) ; 8. Fanet (Col. Camille Saint-Saens/Chaumont) ; 9. Decamps (Col. Turenne/Sedan) ; 10. Magny (Col. Carignan-Margut)… 17. Robert (Col. Cote Legris/Epernay)

Par équipe : 1. Col. Marie Curie (Troyes) ; 2. Col. Turenne (Sedan) ; 3. Col. Paul Langevin (Sainte-Savine) ; 4. Col. de Fayl-Billot ; 5. Col. Charles Delaunay (Lusigny-sur-Barse)

Benjamins : 1. Benard (Col. Marie Curie/Troyes) ; 2. Sac (Col. Marie-Hélène Cardot/Douzy) ; 3. Cazzaro (Col. Jules Leroux/Villers-Semeuse) ; 4. Tricotet (Col. Albert Camus/La Chapelle-St-Luc) ; 5. Goustiaux (Col. Louise Michel/Chaumont) ; 6. Charlot (Col. Turenne/Sedan) ; 7. Odin (Col. Diderot/Langres) ; 8. Hamideche (Col. Marie Curie/Troyes) ; 9. Blaise (Col. Albert Camus/La Chapelle-St-Luc) ; 10. Mayer (Col. Robert Schuman/Reims)… 15. Mlynarczyk (Col. Pré Bréart/Bazancourt)

Par équipe : 1. Col. Marie Curie (Troyes) ; 2. Col. Albert Camus (La Chapelle-St-Luc) ; 3. Col. Marie-Hélène Cardot (Douzy) ; 4. Col. Louise Michel (Chaumont) ; 5. Col. Jules Leroux (Villers-Semeuse).

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Feux en série : Des flammes dans la nuit

Les deux dernières nuits ont été illuminées par les lueurs de plusieurs incendies. Mardi vers 4 heures du matin, une voiture a brûlé rue Berlioz. Le feu s’est propagé à un panneau publicitaire.

Toujours mardi, mais à 22 h 25, un début d’incendie s’est déclaré sur un camion, au péage de Courcy sur l’A26.

Mercredi à 4 h 50, un fourgon Peugeot s’est embrasé allée des Savoyards à Reims. Vers 18 heures, les pompiers sont intervenus dans le même quartier, rue de Rilly-la-Montagne, pour éteindre un feu de détritus derrière le campus Croix-Rouge.

A 19 h 45, d’autres détritus ont pris feu dans un hangar agricole de Thil, rue du Clos. Les gendarmes ont ouvert une enquête pour déterminer l’origine de l’incendie. Les dégâts ne sont pas importants.

Une demi-heure plus tard, retour à Reims avec un incendie dans une maison inoccupée rue de la Bonne-Femme. Il s’agissait d’un feu de matelas qui n’a manifestement pas pris tout seul.

Hier vers 19 heures, des détritus ont brûlé sur les terrains de foot de la rue de la Maladrerie tandis qu’un lampadaire prenait feu au même moment rue François-Arago.

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Un couple écroué pour avoir dissimulé un cadavre

Mercredi, les policiers de Reims se sont rendus allée des Picards, au quartier Croix-Rouge, pour interpeller une femme qui faisait l’objet d’un extrait d’arrêt de la cour d’assises de l’Aube.

Conduite au commissariat, Brigitte Bourgeois, 50 ans, a demandé à faire prévenir son ami. Ça tombait bien car lui aussi était sous le coup d’un extrait d’arrêt dans cette même affaire.

Sur les indications de la quinquagénaire, les policiers sont retournés à Croix-Rouge où ils ont appréhendé Mickaël Hospital, 30 ans.

Le couple était recherché pour purger une peine de quatre ans de prison, dont trois ferme, prononcée le 7 octobre dernier par les assises de l’Aube pour « non-assistance à personne en péril », « recel de cadavre » et « destruction de preuves ».

Une troisième personne, Emeric Vrignaud, 20 ans, fils de Brigitte Bourgeois, était impliquée dans cette affaire survenue en décembre 2008 dans une petite maison de Troyes. La victime est le père de Mickaël Hospital, Daniel, 57 ans. Lui reprochant de s’être promené nu devant sa mère, Emeric Vrignaud l’avait roué de coups, au point de le tuer. Dans ce milieu décrit comme marginal, où la violence apparaît terriblement banalisée, le propre fils de Daniel Hospital et sa compagne n’ont rien fait pour secourir le quinquagénaire, décédé de ses blessures après avoir longuement agonisé. Le trio est resté jusqu’au lendemain soir dans la maison, continuant sa petite vie entre télévision et consoles de jeux, le corps à proximité, avant de faire le nécessaire pour s’en débarrasser. Il fut chargé dans le coffre d’une voiture puis jeté dans un fossé, en dehors de Troyes.

Jugé pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner », Emeric Vrignaud a été condamné à dix ans d’emprisonnement par la cour d’assises de l’Aube. Il a été maintenu en détention, à la différence du couple laissé libre dans l’attente de purger sa peine de trois ans ferme.

L’heure de régler leur dette envers la société est arrivée alors que Brigitte Bourgeois et Mickaël Hospital étaient venus s’installer à Reims. L’homme a été conduit à la maison d’arrêt du boulevard Robespierre, sa compagne à celle de Châlons-en-Champagne.

F.C. (avec l’Est éclair)

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Il frappe et séquestre sa mère

Sans domicile depuis un licenciement et la rupture avec sa petite amie, un Rémois de 31 ans, Sébastien Varligny, avait trouvé refuge chez sa mère, rue Lavoisier, mais au fil des mois, celle-ci supportait de moins en moins son addiction à l’alcool.

Mardi midi, elle lui demande de s’en aller. Sébastien pique une violente colère, d’autant qu’il a un gramme d’alcool par litre de sang. Il la gifle, la frappe, l’insulte. La dame prévient un membre de sa famille qui alerte lui-même le commissariat. Quand il l’apprend, la fureur du fils redouble.

Il verrouille la porte de l’appartement, tente d’enfermer la victime dans une chambre, sans y parvenir. La police arrive. Il refuse d’ouvrir. Les pompiers sont appelés avec la grande échelle. Sébastien Varligny entraîne sa mère dans la salle de bain, lui recouvre le visage d’un pull, l’empêche de crier en lui appliquant une main sur la bouche. « J’ai cru que j’allais mourir étouffée. »

Elle arrive à se dégager. Par la fenêtre, les pompiers juchés sur leur grande échelle la voient arriver vers eux en pleurant. Fin du cauchemar. Examinée par un médecin, la dame blessée à l’œil, aux lèvres et au cuir chevelu se voit délivrer une journée d’incapacité totale de travail.

Déjà condamné à six reprises, notamment pour des violences, Sébastien Varligny a été jugé hier après-midi en comparution immédiate. Il a déclaré s’être emporté sous l’effet de l’alcool. Le tribunal l’a condamné à deux ans de prison dont dix-huit mois avec sursis et mise à l’épreuve. Il a l’obligation de travailler, de suivre des soins alcoologiques et n’a plus le droit de se rendre au domicile familial de la rue Lavoisier.

Le jeune homme a été écroué. Sa mère ne lui en veut pas. Elle lui a fait un gros bisou avant que l’escorte le conduise à la maison d’arrêt.

F.C.

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Une prof blessée lors d’un vol avec violence

Mercredi vers 21 heures, une enseignante vacataire a été victime d’un vol avec violence alors qu’elle venait de sortir de l’école de commerce (Reims management school).

Elle téléphonait avec son portable, rue Pierre-Taittinger, lorsque deux individus ont surgi et l’ont aspergée de gaz lacrymogène au visage. Elle est tombée et les agresseurs en ont profité pour s’emparer de son téléphone. Ils n’ont pu être rattrapés.

La victime âgée de 41 ans a été secourue par les pompiers.

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L’hebdo du vendredi- n° 194 - 101217a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 194 - Semaine du 17 au 23 décembre 2010


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Forum entrepreneuriat du 2 décembre 2010.

Génération entreprendre
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JUSQU’AU 29 DÉCEMBRE : « VOYAGES IMAGINAIRES »

Deux jeunes Rémois, Simon Sanahujas, écrivain, et Gwenn Dubourthoumieu, photographe, racontent leur périple.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 43
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar


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JUSQU’AU 31 DÉCEMBRE : « MUSIQUE EN IMAGES »

Un itinéraire en trois étapes, allant des clichés d’artistes jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini (Laon-Zola), aux “instants volés” lors des festivals de jazz rémois par Alain Julien(Croix- Rouge) et en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) transcendant les stars internationales du rock (Jean Falala).

Entrée libre
Médiathèques Croix-Rouge, Laon-Zola et Jean Falala

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Union101216a

Des solidarités pour mieux vivre ensemble au quotidien

L’aide municipale individualisée va monter en puissance à partir de 2011 pour aider les locataires après rénovation ou reconstruction de leur logement.
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Photo Remi WAFFLART
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« Au-delà des apparences la ville de Reims se caractérise par des fortes disparités économiques, sociales, culturelles et territoriales ». C’est pour cette raison que dans le budget 2011 la majorité municipale propose de coordonner et de mettre en place de nouvelles solidarités pour mieux vivre ensemble au quotidien, sa seconde priorité.

Plan local de l’habitat

Le programme de la rénovation urbaine conduit avec l’Anru sera accompagné par un budget politique de la ville de 1 M€. Simultanément à la rénovation du bâti, l’objectif est de « remettre l’habitant au cœur de la ville dans les quartiers, de recréer une mixité sociale et d’introduire des activités économiques et de commerces » (avec des crédits européens). A cet effet le plan local de l’habitat devrait être validé par les collectivités et l’état avant la fin 2011. Il sera d’ailleurs au cœur d’Assises du logement prévu en fin d’année.

Amélioration des équipements de proximité avec des inscriptions pour la rénovation de l’école Gallieni (150 000 €), la reconstruction de la maison de quartier Schweitzer (150 000 €), des études pour le nouvel espace Pays de France à Croix-Rouge (60 000 €), l’ouverture d’un espace multisolidarité pour le Secours populaire à Wilson, la requalification des espaces extérieurs dans le quartier des Epinettes (968 000€).

Soutien aux associations liées au logement social et à la vie des quartiers (164.000€) et participation à hauteur de 560 000 € au contrat urbain de cohésion sociale pour lequel l’État met la même somme. Priorité sera donnée aux projets qui privilégient l’emploi et l’insertion, la citoyenneté, la prévention de la délinquance, la réussite éducative, la lutte contre les discriminations, la santé.

Maisons de quartier : ça bouge

Ca frémit pour les maisons de quartier avec la signature d’une convention tripartite pour trois ans apposée par la ville, la CAF et l’association des maisons de quartier. La ville apporte pour 2011 une subvention de fonctionnement de 3,8 M€ et s’engage d’ici 2015 à investir 5 M€ pour rénover les maisons de quartier et en favoriser l’accessibilité. Une somme de 750 000 € est allouée à cet effet dès 2011.

Aide au logement

L’allocation municipale individualisée octroyée aux locataires qui ont subi des augmentations après la rénovation ou la reconstruction de leur logement va concerner 600 à 800 familles en 2011.

Une enveloppe de 75 000 € est ouverte en 2011.

Par ailleurs la subvention au centre communal d’action sociale passe à 6,5M€ et une épicerie sociale verra le jour en avril 2011.

En bref

Une enveloppe de 70 000 € ira au crédit municipal pour favoriser le microcrédit individuel. En plus d’une somme de 1,1M€ apportée aux associations caritatives et sociales la ville met 85 000 € ans un fonds d’aide aux personnes en difficultés.

Ouverture en février 2011 du terrain d’accueil des gens du voyage à Bétheny qui permettra la rénovation du terrain de La Neuvillette.

Poursuite de l’opération « places au public tout au long de l’été avec une centaine d’événements en ville et dans les jardins du cryptoportique (30 500 €) et du cinéma dans les quartiers (50 900 €).

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Échange théâtral au collège François-Legros : Cinq comédiens et cent collégiens

Des élèves capables d’une grande qualité d’écoute.
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Dans le cadre de son convent d’écrivains du théâtre en errance, le facteur théâtre a sonné au collège François-Legros, à l’invitation de son réseau de réussite scolaire.

Cinq comédiens de talent ont livré lecture du « Petit homme de bois » - une réécriture théâtrale du célèbre conte de Pinocchio - à la centaine de collégiens conviés et à son auteur, Eugène Durif, pointure du théâtre contemporain, également présent.

Les artistes ont été agréablement surpris par la qualité d’écoute des élèves - parce qu’affronter une horde de collégiens est toujours un réel challenge… - et ont été charmés aussi par le spectacle inattendu qui se jouait dans la salle.

C’est qu’ils avaient, comme public, des lecteurs avertis, voire des écrivains en herbe, issus de quatre classes engagées, avec leurs enseignantes de français, dans des projets de lecture ou d’écriture de contes ou de pièces de théâtre, répondant à la thématique d’écriture choisie pour l’année : « le Coup de foudre ».

Il y avait la 6e bilangue, la 5e qui accueille des élèves malentendants de la section Ulis, la 4e7, des élèves avides de s’engager dans une formation professionnelle à court terme, et la 3e engagée dans l’étude de l’Ours, une pièce courte de Tchékov. Étaient également invités les résidents en fauteuil de la Sève et le rameau, également partenaire culturel.

La lecture a été suivie d’un temps d’échange entre les élèves, les enseignantes, la documentaliste présente et les comédiens, le metteur en scène et l’écrivain.

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Quartier Croix-Rouge / La ligne H va disparaître

Le tram va remplacer les bus de la ligne H.
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Les bus des Tur dans les années 1990.
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Violet et doré dans les années 2000.
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Les bus version 2010 ont plusieurs couleurs Photos : C. LANTENOIS
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Avec l’arrivée du tramway, le quartier Croix-Rouge va dire adieu aux bus de la ligne H. C’est une longue histoire qui prend fin entre les usagers et l’une des lignes les plus empruntées.

C’EST une bien longue histoire d’amour, certes parfois vache, qui prendra fin le 18 avril 2011. Celle qui liait le quartier Croix-Rouge à la ligne H du réseau des Transports urbains rémois. Autrefois orange, à damiers jaune et noir, doré et violet puis récemment multicolores, les bus de la ligne H ont desservi durant de nombreuses années les arrêts situés dans les différents secteurs du quartier.

Ce divorce annoncé laissera place à un tout nouveau couple qui se formera en avril entre le plus grand quartier rémois et le tout nouveau tramway.

« L’inauguration du tram aura lieu le 16 avril 2011, la mise en service commerciale débutera le lundi 18 avril. En terme d’itinéraire, le tramway empruntera quasiment le même que la ligne H hormis l’entrée en centre-ville qui au lieu de se faire via le pont De Gaulle et la rue Libergier, se fera par la Comédie et la rue de Vesle », explique un responsable des Tur.

Du coup, de nombreux changements seront à noter. Déjà en terme de capacité, la ligne H pouvait embarquer entre 110 et 120 personnes, le tramway lui doublera le nombre de passagers puisqu’il pourra embarquer entre 220 et 230 passagers dont 54 places assises.

De nombreux changements à noter

La fréquence de passage sera elle aussi revue puisque le bus passait toutes les 7 minutes tandis que le tramway passera toutes les 4 minutes 30 et verra aussi ses journées rallongées. Il démarrera le matin à partir de 4 h 30 et rentrera au dépôt après 0 h 30. « Ce gain de temps est dû au fait que par rapport au bus, le tram circulera sur une voie lui étant intégralement réservée et ne pourra rencontrer aucun problème lié à la circulation. Il est aussi prioritaire au niveau des feux », ajoutent les Tur.

Quinze tramways aux couleurs différentes seront mis en place sur deux lignes bien distinctes, la A et la B. Ils circuleront du lundi au dimanche. L’autre grosse nouveauté viendra du nom des transports urbains rémois qui longtemps appelés les Tur deviendront la Citura. Les 18.000 abonnés que compte l’agglomération se verront offrir une toute nouvelle carte, celle-ci sera valable pour le tramway mais aussi pour les bus.

« Citura remplacera les Tur. Bus et tram formeront un seul et unique réseau. Une nouvelle carte numérique sur laquelle les usagers pourront acheter un titre de transport à l’unité, à la journée et en abonnement sera aussi mise en place », concluent les Tur.

T.A.F.

 

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Union101215a

Cet après-midi au centre-ville : Le père Noël en tram

Cet après-midi, il y aura le père Noël dans le tram. Mercredi prochain, il ira jusqu’à Orgeval.
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Événement sans précédent. Le père Noël va se balader cet après-midi au centre-ville en tramway.

Désireux de moderniser son image auprès des petits, il a décidé de délaisser temporairement son traîneau en bois pour parader dans une rame colorée.

Il fera son apparition dès 15 h 30 et restera jusqu’à la nuit. Des arrêts aux stations Vesle, Opéra et Langlet sont prévus pour que le meilleur ami des enfants puisse distribuer des tas de friandises.

Il en profitera pour ramasser les dernières listes de cadeaux des retardataires. Quelques lutins devraient l’accompagner pour aider à la distribution.

Tous les enfants sont bien sûr invités à venir à sa rencontre mais pour ceux qui ne pourraient pas se déplacer, il remettra cela mercredi prochain de Croix-Rouge à Orgeval avec des arrêts à Kennedy, Arago, Saint-Thomas et De Fermat, en plus des arrêts du centre-ville.

Il avait aussi prévu de mettre samedi et dimanche un tram à disposition dans lequel les parents auraient pu déposer leurs achats et ainsi faire leurs courses les mains libres mais la formule a été abandonnée pour cause de plan vigipirate renforcé.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101214g
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7372 du 13 au 19 décembre 2010.

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EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

Par jugement du 24/11/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de Monsieur EL MOUHOUB Mohamed, 2 all. des Béarnais - 51100 REIMS. Activité : Maçonnerie générale. Non inscrit au R.C.S. de REIMS. 91040 Le greffier Bernadette DELPY. Par jugement du 24111/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : LEBLANC Philippe, 19 Groupe Eisenhower - 51100 REIMS. R.C.S. REIMS.

91036 Le greffier Bernadette DELPY.


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Par jugement du 24/11/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : Monsieur HAUTECOEUR Patrice. 27 rue Pierre Taittinger -51100 REIMS. Activité : Entreprise de rénovation du bâtiment. Non inscrit au R.C.S.

91076 Le greffier : Bernadette DELPY.


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Par jugement du 24/11/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : SARL AKAMBOU & DIAFOUKA Corporation (SARL), 7 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS. Activité : Mise à la disposition de matériel téléphonique et informatique moyennant paiement. R.C.S. REIMS 2003B 194 - B 448 401 380.

91116 Le greffier : Bernadette DELPY.


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Par jugement du 24/11/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : B.J.F. TRADING, 7 allée des Limousins - 51100 REIMS. Activité : Commerce de gros d’ordinateurs, d’équipements informatiques périphériques et progiciels. R.C.S. REIMS 2005 B 290 - B 482 285 657.

91119 Le greffier : Bernadette DELPY.


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Par jugement du 24/11/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : CLEAN ALLIANCE REIMS (SARL), 13 pl. Jean Fragonard - 51100 REIMS. Activité : Nettoyage industriel et entretien de tous locaux, maisons et établissements et leurs alentours. R.C.S. REIMS 1999 B 575 -B 428 733 190.

91126 Le greffier : Bernadette DELPY.


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CONSTITUTION DE SOCIETE - AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 25 novembre 2010 il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : S.A.R.L.

DENOMINATION : S.M.T.P.

CAPITAL 5.000 € (cinq mille €uros), divisé en 200 parts de 25 € chacune entièrement souscrites et libérées.

OBJET :
- Travaux publics ;
- Pose de pavés et de bordures, coulage de béton, tous travaux liés aux travaux publics.

DUREE : 99 années à compter du 1er janvier 2011.

SIEGE : 35 avenue Général Eisenhower - 51100 REIMS.

GERANCE : Monsieur TASDELEN Baki, demeurant 2 rue Roger Raulet -51100 REIMS.

DEBUT D’ACTIVITÉ : 1er janvier 2011.

La société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS (Marne).

Pour avis

91230 Le gérant.


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CONSTITUTION DE SOCIETE - AVIS DE CONSTITUTION

YILMAZ
Société civile immobilière .
au capital de 1.000 €uros
Siège social : 15 avenue du Général Bonaparte 51100 REIMS

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 01/12/2010, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes : FORME SOCIALE : Société civile immobilière.

DENOMINATION SOCIALE : YILMAZ.

SIEGE SOCIAL : 15 avenue de—Général Bonaparte - 51100 REIMS. OBJET SOCIAL : L’acquisition de tous immeubles de toute nature, la propriété, l’administration, la gestion par bail ou autrement, l’attribution gratuite en jouissance aux associés des locaux occupés par eux mêmes. la disposition des biens dont elle sera propriétaire par voie d’acquisition. échange, apports ou autrement. tous placements de capitaux sous toutes formes, y compris la souscription ou l’acquisition de toutes actions, obligations, parts sociales, et, en général, toutes opérations ayant trait a l’objet ci-dessus défini, en tous pays, pourvu que ces opérations ne modifient pas le caractère civil de la société.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 1.000 €, constitué uniquement d’apports en numéraire. GÉRANCE : M. VEDAT Yilmaz. 15 avenue du Général Bonaparte -51100 REIMS.

CLAUSES RELATIVES AUX CESSIONS DE PARTS :
- Agrément requis dans tous les cas ;
- Agrément des associés représentant au moins les trois-quarts des parts sociales.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

91150 La gérance.


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DISSOLUTION DE SOCIETE - CLOTURE DE LIQUIDATION

CABINET JURIDIQUE LORETTE ET ASSOCIES
Société d’Avocats
Centre d’Affaires Colbert
34 rue des Moulins - 51100 REIMS

SELARL LABORATOIRE D’ANALYSES DE BIOLOGIE MEDICALE EL HAFIANE

Société d’exercice libéral à responsabilité limitée au capital de 500.000 €uros

Siège social3 rue Chaudru - 51170 FISMES

487 515 645 R.C.S. Reims

Aux termes d’une délibération de l’assemblée générale extraordinaire en date du 30 juin 2010, les associés de la SELARL LABM EL HAFIANE ont approuvé le traité établi SSP en date du 16 avril 2010 portant fusion par voie d’absorption de leur société par le LABORATOIRE DE L’HIPPODROME. SELARL au capital de 14.400 €, dont le siège social est 33-35 avenue Taittinger - 51100 REIMS, immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le n° 389 471 475 et l’évaluation qui en a été faite, avec effet rétroactif au 1°’ janvier 2010.

L’assemblée générale a décidé la dissolution anticipée. sans liquidation, de la SELARL LABM EL HAFIANE. le passif de cette société étant intégralement pris en charge par le LABORATOIRE DE L’HIPPODROME et les parts créées en augmentation de son capital par le LABORATOIRE DE L’HIPPODROME étant directement et individuellement remises aux associés de la SELARL LABM EL HAFIANE à raison d’1 part du LABORATOIRE DE L’HIPPODROME pour 12.5 parts de la SELARL LABM EL HAFIANE. L’assemblée générale extraordinaire des associés du LABORATOIRE DE L’HIPPODROME du 30 juin 2010 ayant approuvé le traité de fusion et augmenté son capital, la fusion et la dissolution de la SELARL LABM EL HAFIANE sont devenues effectives à cette date. Les actes et pièces concernant la dissolution seront déposés au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

91283 La gérance.


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FUSION

CABINET JURIDIQUE LORETTE ET ASSOCIES

Société d’Avocats
Centre d’Affaires Colbert
34 rue des Moulins - 51100 REIMS

LABORATOIRE DE L’HIPPODROME

Société d’exercice libéral à responsabilité limitée de directeurs et de directeurs adjoints

au capital de 14.400 €uros Siège social33-35 avenue Taittinger51100 REIMS

389 471 475 R.C.S. Reims

I - Suivant acte SSP du 16 avril 2010, la SELARL LABM EL HAFIANE, au capital de 500.000 €, dont le siège social est 3 rue Chaudru - 51170 FISMES, immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le n° 487 515 645, a fait apport. à titre de fusion, au LABORATOIRE DE L’HIPPODROME de la totalité de son actif évalué à 588.997 €, à charge par le LABORATOIRE DE L’HIPPODROME de payer la totalité de son passif évalué à 113.453 E. Lactif net apporté s’élève donc à 475.544 €. Les éléments d’actif et de passif ont été déterminés sur la base des comptes arrêtés au 31 décembre 2009. La prime de fusion s’élève globalement à 15.320 €.

II - Suivant délibérations de l’assemblée générale extraordinaire des associés du LABORATOIRE DE L’HIPPODROME en date du 30 juin 2010, il a été décidé d’approuver le projet de fusion dans toutes ses dispositions, avec effet rétroactif au -V’ janvier 2010 et en rémunération de l’apport d’augmenter le capital social de 1.600 € pour le porter de 14.400 € à 16.000 € par l’émission de 100 parts nouvelles de 16 € chacune, entièrement libérées et attribuées aux associés de la SELARL LABM EL HAFIANE à raison d’1 part du LABORATOIRE DE L’HIPPODROME pour 12,5 parts de la SELARL LABM EL HAFIANE. III - Suivant délibérations de l’assemblée générale extraordinaire des associés du LABORATOIRE DE L’HIPPODROME en date du 14 octobre 2010, il a été décidé
- De désigner M. Saïd EL HAFIANE, demeurant 3 bis rue Chaudru à FISMES (Marne), en qualité de cogérant ;
- De modifier l’objet social qui devient : La société a pour objet l’exploitation d’un Laboratoire de Biologie Médicale implanté sur un ou plusieurs sites. Elle ne peut accomplir les actes de cette profession que par l’intermédiaire d’un ou plusieurs de ses membres ayant qualité pour exercer la profession de biologiste-responsable. Elle peut réaliser toutes les opérations qui sont compatibles avec cet objet, s’y rapportent et contribuent à sa réalisation


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Développement durable et BBC

Le bailleur Reims Habitat démarre la construction de deux résidences BBC dans le quartier Croix-Rouge.

Mil Dans le projet Reims 2020 le développement durable tient toute sa place. Parmi les programmes exemplaires en la matière, Reims Habitat a lancé la construction de deux résidences Basse Consomma-tion dans le quartier Croix-Rouge.

La résidence Saint John Perse comportera 51 logements. Les travaux vont démarrer en juin 2011 et s’achèveront en octobre 2012. Pour la résidence Robert de Sorbon (32 logements), les travaux vont démarrer en novembre 2011 et s’achever en janvier 2013.

L’originalité de ces projets résidé dans le choix des matériaux et couleurs retenus pour ces nouvelles résidences au pied du tramway. Par ailleurs, pour donner un coup de fouet à la vie sociale dans le quartier le parti pris a été de créer en pied d’immeubles des locaux commerciaux qui viendront donner une vie et tout leur sens à ces nouvelles résidences.

UN HOTEL DES SOLIDARITES

Reims habitat déjà fortement présent dans le quartier Croix-Rouge avec plus de 2000 logements, a entrepris la rénovation de 275 logements pour améliorer le cadre de vie et réduire les charges des locataires. I-mmocoop, filiale de Reims Habitat va aussi construire la résidence les Jardins d’Ivoire. 28 logements destinés à l’accession sociale à la propriété, avec une livraison prévue en 2012.

Enfin Reims Habitat va également construire un immeuble de bureaux ouvert aux entreprises relevant de l’économie sociale : l’hôtel des solidarités.

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Union101214f

L’esprit d’entreprise

« J’ai créé mon job, pourquoi pas vous ? » : après le succès de cette opération de quartier, menée à Croix-Rouge le 2 décembre, un nouveau Forum création est prévu jeudi prochain, cette fois du côté de Wilson.

Rendez-vous donc à partir de 13 heures à la salle Rossini pour tout savoir sur la création ou la reprise d’entreprise.

Pour mémoire, cette opération, initiée par la Ville de Reims et la CCI, vise à développer et valoriser l’esprit d’entreprendre auprès du plus grand nombre.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union101214e

Amap / Le bonheur est dans le panier

Sacs ou cabas à la main, les urbains attendent gentiment et discutent entre eux.
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REIMS (Marne). Grâce à l’association pour le maintien d’une agriculture paysanne, des centaines de Rémois ont droit chaque semaine à leur panier de légumes bio à 15 €.

« Moi, je n’ai pas de jardin mais j’aime bien avoir des légumes frais. Chaque semaine aussi j’achète ici des laitages et du poulet. Je sais d’où ça vient au moins ». Comme Nathalie Jorand, adhérente depuis deux ans à l’association pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap), Armelle vient chercher son panier de légumes bio chaque mardi sous le porche de la Ligue de l’enseignement au 23, rue Alphonse Daudet.

« J’aime bien les légumes frais bio et je préfère faire travailler des producteurs locaux qu’on connaît plutôt que des Argentins » dit-elle.

Renée Lamiraux vient chercher des pommes qu’elle « digère bien » et des poulets. « Ils sont un peu gros pour moi mais quand j’en ai trop j’en donne à mon fils qui habite Épernay. »

18 h 30. La camionnette de Jean-Luc Mathieu arrive de Broussy-le-Grand pleine de bons légumes bio. Jean-François Brunsart, apiculteur à Cernay-lès-Reims a déjà posé sur un étal de jolis pots de miel colorés. Et Laurent Lambert d’Hagnicourt (Ardennes) est là avec ses volailles.

Sacs ou cabas à la main, les urbains attendent gentiment et discutent entre eux.

Le temps pour quelques bénévoles de décharger les cageots et pour Jean-Luc d’inscrire le contenu du panier du jour à 15€ (une barquette de pommes de terre, une botte de radis, trois panais, cinq oignons, trois poireaux, une salade, un sac d’épinards et un de brocolis) et chacun fait son marché en bon ordre.

Gagnant gagnant

La formule a sans doute été galvaudée, mais résume bien le fonctionnement de l’Amap exprimé par sa présidente Véronique Ritaly.

« Le système repose sur un double engagement solidaire. Le producteur s’engage toutes les semaines par convention à proposer un panier de produits agricoles variés bio à un prix équitable et les consommateurs s’engagent durant un an à lui acheter d’avance sa production. Il s’agit d’une vente directe, sans intermédiaire de produits locaux sains et pleins de saveurs parce qu’ils n’ont pas longtemps voyagé. C’est du gagnant gagnant car le producteur dont on est allé auparavant expertiser l’exploitation est sûr d’écouler sa marchandise et d’avoir un revenu fixe. »

Et elle ajoute : « Dans la mesure du possible les clients essaient de dire longtemps par avance quel type de légumes ou de fruits ils voudraient. Tout en sachant qu’il peut y avoir des aléas climatiques et des stratégies bio qui parfois ne rendent pas comme on l’aurait souhaité. On essaie aussi de réintroduire des légumes régionaux ou/et anciens pour lesquels on propose des recettes : soupe froide de concombre, lasagnes de courgettes au chèvre etc. Chaque semaine un adhérent est responsable de la distribution et il est possible de participer à un atelier jardinage chez le producteur. »

Plusieurs rendez-vous

L’Amap propose plusieurs rendez-vous : le mardi et le jeudi 23, rue Alphonse-Daudet, le mercredi et le jeudi au Boulingrin (« où il serait souhaitable d’avoir un peu plus d’éclairage »), le mardi à Witry-lès-Reims.

« On voudrait bien en proposer davantage avec plus de producteurs pour diversifier l’offre de produits mais il nous faudrait plus d’adhérents de façon à permettre à tous les producteurs de gagner correctement leur vie. »

L’appel est lancé.

Alain MOYAT

Pour tous renseignements Tél. 06.09.73.64.10. site : www.amapca.com

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Union101214d

Multi-Échanges services : Un agréable repas de fin d’année

À l’écoute du discours de bienvenue.
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Le traditionnel repas de fin d’année de l’association Multi-Échanges services (MutES) a réuni cinquante convives, vendredi, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Les participants ont été accueillis par le premier adjoint Éric Quénard, accompagné de la conseillère municipale, Saïda Soumaya Berthelot, et du co-animateur du conseil de quartier, Alain Bisteur.

Les bénévoles de l’association avaient décoré avec soin les tables et la salle de l’espace Billard.

Chaque participant avait, selon la coutume, apporté un plat de son choix à partager en commun, « occasion pour beaucoup de découvrir de nouvelles saveurs ». L’ambiance musicale était assurée par le groupe Élégance, avec ses variétés d’hier et d’aujourd’hui.

Cerise sur le gâteau, Allaoui Bensad, chanteur de l’association « Le destin des enfants de l’espoir » a interprété quelques-uns de ses tubes avant l’arrivée, en fin de repas, du père Noël venu distribuer petits cadeaux et friandises à des enfants ravis de cette surprise.

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Union101214c

MutES Saint-Remi : Une rencontre amicale et utile

La réunion sert aussi à recenser les propositions de services.
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Comme sa « grande sœur » de Croix-Rouge, l’association « Mutes » (Multi-Echanges services) de Saint-Remi a pour but de favoriser l’entraide entre les habitants du quartier. Tout au moins à l’origine : « J’ai étendu l’action aux quartiers Sainte-Anne et Verrerie », explique son président, Alexandre Tunc. Un échange réciproque de services circule parmi la quarantaine d’adhérents « en fonction de ses talents ou compétences, chacun fait partager son savoir-faire, manuel ou intellectuel ».

Depuis trois ans, le président de l’association a cherché à étendre les animations dans les trois quartiers : « Nous avons initié un partenariat avec les associations « Bien vivre à Sainte-Anne » et « Les amis du reliquaire » en mettant en œuvre un concert lyrique à la basilique Sainte-Clotilde au printemps dernier. Nous comptons renouveler un autre projet musical en 2011 ». Hébergée par la maison de quartier Arènes du Sud, « MutES » met aussi en place des actions de solidarité vers les pays en voie de développement. Après Madagascar, l’aide est dirigée vers le Vietnam.

Le goûter de Noël de ce samedi avait deux aspects : « Permettre à nos adhérents de mieux se connaître et recenser les services ».

Permanences les 1er et 3e mardis de 17 à 18 heures. Espace Saint-Remi, 12 rue Tournebonneau. Tél. 03.26.85.49.00.

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Union101214b

AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS — 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.

Objet du marché : construction de 55 logements, locaux d’activités et parking en silo de 249 places, îlot Degas, quartier Croix-du-Sud, 51100 Reims. Réf. : CN-090510.

Attributaires :
- Lots, corps d’état, entreprises, montants € H.T.
- Lot unique : entreprise générale, BEC (51), 9.700.000.
- Montant total du marché : 9.700.000 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82.

Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 6 décembre 2010 aux journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’AISNE NOUVELLE, LEST ECLAIR (Aube), LEST REPUBLICAIN (Meuse), LE PARISIEN (Seine-et-Marne + Oise), LE JOURNAL DE LA HAUTE-MARNE, LE COURRIER PICARD, LE MONITEUR et LE JOUE.

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Union101214a

4x4 incendié

Vendredi soir, un 4x4 pick-up a brûlé boulevard du Val-de-Vesle (notre édition de dimanche). Il s’agit d’un incendie criminel. Le véhicule était stationné dans la cour d’une entreprise lorsqu’il a été mis à feu. Le ou les auteurs ont découpé le grillage pour y accéder. La police ignore si les vandales ont incendié le 4x4 après avoir tenté de le voler.

Dimanche à 16 h 30, les pompiers ont été appelés pour un feu de local à vide-ordures rue Pierre Taittinger, au n°33.

Hier vers 15 heures, un feu de détritus a été rapidement éteint rue Schweitzer.

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Union101213a

Au feu !

Hier vers 13 h 30, un feu de cheminée a été signalé rue Narcisse-Brunette.

A 16 h 30, les pompiers sont intervenus rue Pierre-Taittinger, au n°33, pour un feu de local à vide-ordures. Un incendie similaire s’était déjà déclaré jeudi soir au n°35.

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Union101212c

Le temps nouveau de l’engagement

Les interventions des participants à la table ronde ont été appréciées par les spectateurs et par Pascale Martin (en blouson bleu), adjointe à la vie associative.
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Deux interventions ont marqué la table ronde organisée au Centre des congrès, sur le thème de l’engagement bénévole et du nouveau tempo des associations.

« La jeunesse n’est pas assez motivée, c’est souvent tous les jours dimanche. » Ces mots assez durs sont d’Ismaël Taggae, danseur chorégraphe, qui a monté sa compagnie, Footzbeul, avec les maisons de quartier de Reims.

Il a marqué de son empreinte les rencontres associatives organisées tous les deux ans et qui se tenaient hier au centre des congrès. Une centaine de personnes, souvent des responsables d’associations, l’ont applaudi.

« On ramènera la Tour Eiffel à Reims », a-t-il imagé à plusieurs reprises, parlant de son action dans les quartiers. Les jeunes se réfèrent aux titres : « Ah, t’as fait ça, alors on peut discuter. Je m’en sers pour les canaliser ».

« Trop de contraintes vont tuer le bénévolat »

Ismaël est champion du monde 2003 et champion de France 2007. La compagnie Footzbeul, six mois après sa création, a terminé 6e des France. « Je ne donne pas seulement des cours de danse, je leur parle de culture, d’où ça vient. J’ai deux cents élèves des quartiers : jamais avant on n’avait vu des jeunes du Pont de Witry, d’Orgeval et de Wilson être ainsi ensemble ».

Chaque invité a donné sa vision de l’engagement, comme Nadia Bellaoui, l’invitée vedette, secrétaire nationale de la Ligue de l’enseignement ; Véronique Vieillot, de la direction régionale Jeunesse, sports et cohésion sociale ; Laurence Weber, de l’association Ex Aequo ; Djamel Didi de la Chambre régionale d’économie sociale, ou encore Michel Dehu, vice-président de la Ligue de l’enseignement de la Marne. Peut-être a-t-il parlé plus fort que les autres, mais Thomas Dubois, directeur de l’Uriopss*, a fait réagir la salle en parlant du travail entamé par ses services sur l’engagement d’hier et l’engagement d’aujourd’hui.

« Il y a des points de rupture par rapport au temps : la durée de l’engagement n’est plus la même, maintenant, tout va vite, il faut rendre des comptes tout de suite. Il n’y a plus de vision à long terme. »

Autre rupture, le rapport à l’autre : « On est plus centré sur soi-même ». L’obligation de rentabilité aussi est un grand changement, tout comme la volonté dans l’engagement. « Avant, on voulait changer la société. Maintenant, on intervient sur un point qui nous touche, mais il n’y a pas de démarche globale. »

Gilbert Marcy, président de l’Efsra, est intervenu pour rappeler que les associations « sont très contraintes par la loi, et ont des adhérents souvent consuméristes. il faut revenir à la base de la loi de 1901, pour travailler entre les anciens et les jeunes. Trop de contraintes vont tuer le bénévolat. On manque notamment de dirigeants. » M. Kutten a, lui, mis les pieds dans le plat en critiquant le fait que les associations développent l’emploi. « Le salarié ne tue pas le bénévolat », lui a répondu Thomas Dubois. « Par exemple, lors de la création de l’Agence régionale de santé, un bénévole avait une journée de réunion tous les 15 jours, pendant des mois ! La plupart des bénévoles ne le peuvent pas. »

A moins d’être retraité, mais cela irait à l’encontre de l’envie des associations d’intégrer des jeunes.

« Comment être capable d’accueillir des jeunes, avec leurs différences, leur envie d’un autre modèle associatif, leur besoin de ne pas s’engager forcément pour 30 ans ? » s’interrogeait le directeur de l’Uriopss.

Rendez-vous maintenant en septembre 2011 pour le forum des associations. Thierry Wippler a d’ailleurs conclu ces Rencontres en demandant aux assocs d’apporter leurs idées pour faire évoluer ce forum.

G.F.

* Union régionale interfédérale des organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux.

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Union101212b

Graff à Reims -Croix-Rouge

 

 

Najime Hicini et les habitants du quartier Croix Rouge de Reims présentent une exposition baptisée « Croix-Rouge au fil du graff ». Une œuvre collective réalisée dans le cadre du projet « cultures urbaines » et portée par l’association des maisons de quartier de Reims

Il s’agit d’un parcours artistique urbain qui invite à découvrir plus de 50 tableaux réalisés par des jeunes du quartier.

Départ sur le parvis du Bistroquet à Croix-Rouge.

 

 

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Union101212a

Feux de poubelles

Hier vers 4 h 30 du matin, une poubelle a pris feu contre une habitation de la rue Cazin, face à l’église Sainte-Geneviève. L’incendie a légèrement noirci la façade et détérioré une gouttière.

Vers 18 h 30, des détritus ont été incendiés au premier étage d’un immeuble de la rue Charles-Roche. Un locataire a éteint les flammes avant l’arrivée des pompiers.

La veille vendredi, à 22 h 45, une autre poubelle a brûlé avenue Alexandre-de-Serbie. Deux conteneurs ont également flambé dimanche, le premier rue Pierre-Taittinger à 18 h 45, le second rue Charles-Marq à 22 heures.

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Union101211a

Maison de quartier Croix-Rouge : Un marché convivial

Le marché de Noël accueillait une dizaine de stands de créations artistiques.
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Pendant que des spectateurs grelottaient de froid sous la neige en arpentant les cabanons artisanaux du marché de Noël au centre commercial de l’hippodrome, d’autres, plus malins, avaient choisi de visiter l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge.

Ici, bien au chaud, Élisabeth Causin, Yassine Ramdani, leur équipe et les bénévoles accueillaient une douzaine de tablées d’exposition-vente pour leur marché de Noël, avec les ateliers au féminin, le club des arts créatifs, le groupe Escapades et l’atelier peinture Madeleine-Terrien ainsi que des particuliers ayant un talent artistique, des habitués comme Maud Horny, ou des nouveaux comme Alfred et Nicole Santembien, cette dernière ayant remplacé les bâtons de majorettes de l’Étoile champenoise par des aiguilles à tricoter.

Le public, parmi lequel on remarquait les élus Marie-Noëlle Gabet, Eric Quénard, Arnaud Robinet et Catherine Vautrin auprès de Bernard Verquerre, président des commerçants du centre commercial voisin, a bénéficié d’une prestation endiablée de la fanfare étudiante « les Boules de feu », déchaînés comme à leur habitude. Enfin, pour ceux qui avaient une petite soif ou un petit creux, l’atelier cuisine s’était surpassé.

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Union101210c

Et le tramway roulera-t-il ?

Mercredi, le tram s’est retrouvé bloqué par un aiguillage gelé à Croix-Rouge. Mars assure que ce sera différent quand il sera vraiment en service.
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Christian LANTENOIS
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Mercredi, les bus sont rentrés au dépôt dès que la neige a fait un peu de résistance sur la route. Ils ne sont pas encore ressortis.

Toujours mercredi, le tramway qui se baladait avec le père Noël à Croix-Rouge est resté bloqué devant un aiguillage gelé.

Faut-il en conclure que notre futur nouveau moyen de transport tombera en carafe au moindre flocon ?

Mars assure que non : « Quand le tramway sera en service, tous les aiguillages seront chauffés pour éviter de tels blocages. De plus, en cas d’alerte météo, le tram roulera en continu toute la nuit pour éviter que la neige s’accumule sur les rails et que la glace se forme sur les caténaires », assure le groupement constructeur. « La journée de mercredi a aussi été l’occasion de tester la brosse fixée sous la rame qui balaie la neige sur le rail APS*. Nous avons eu la satisfaction de constater que le système a fonctionné. » Il faudra attendre l’hiver 2011/2012 pour vérifier tout cela.

C.F.

(*) Alimentation par le sol

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Union101210b

Handisport : Une journée pour découvrir la boccia

Un sport adapté qui s’apparente à la pétanque.
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Le comité départemental handisport Marne organise une journée découverte de la boccia le mercredi 15 décembre de 10 à 16 heures, au Creps de Reims (route de Bezannes).

L’entraîneur régional de boccia, Sébastien Plawecki, sera présent pour expliquer l’activité (règles, matériels, adaptations possibles…) et pour répondre à toutes les questions concernant ce sport qui ressemble à la pétanque et qui est pratiqué par les personnes valides ou handicapées.

Les établissements accueillant un public handicapé sont conviés à l’événement ainsi que toutes personnes en situation de handicap souhaitant découvrir ou redécouvrir la boccia. Toutefois, le nombre de places est limité.

Pour plus de détails (déroulement de la journée, inscription…), contacter Mme Elham Seffar, agent de développement du Comité départemental Handisport Marne, 10 rue de Rilly-la-Montagne, au tél. 03.52.45.72.50. ou sur cd51@handisport.org

 

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L’hebdo du vendredi- n° 193 - 101210a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 193 - Semaine du 10 au 16 décembre 2010


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Forum de la création d’entreprise : Créer son entreprise … c’est possible !

Depuis le lancement de Génération entreprendre en 2007, la CCI de Reims-Epernay et la Ville de Reims ont pour objectif de développer et valoriser l’esprit d’entreprendre auprès du plus grand nombre : sens de l’initiative, créativité, audace, réussite, diversité… Génération entreprendre invite ainsi chacun à se poser une question : « entreprendre, pourquoi pas moi ? » et ainsi favoriser le développement d’un plus grand nombre d’entreprises et d’emplois sur le territoire. Aussi, après avoir sensibilisé un large public rémois à l’esprit d’entreprendre, la CCI de Reims- Epernay et la Ville de Reims souhaitent favoriser la proximité avec le public, en organisant des Forums de la création dans plusieurs quartiers de la ville.

Ainsi, deux quartiers sont valorisés cette année : Croix-Rouge où le Forum de la création s’est déroulé avec succès, le 2 décembre dernier, avec près de 200 participants et Wilson – Ste Anne – Maison Blanche avec un nouveau Forum de la création qui aura lieu jeudi 16 décembre (ouvert à tous de 13h à 19h, salle municipale Rossini, face à l’Intermarché).

Sur place, les candidats créateurs d’entreprise peuvent venir chercher des idées, des informations et des conseils auprès d’une vingtaine d’exposants, experts, institutionnels ou partenaires du quartier, présents pour répondre à toutes leurs attentes L’occasion également de découvrir les entrepreneurs et les acteurs de la création d’entreprises des quartiers Wilson – Ste Anne – Maison Blanche.

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Forum de la Création : Femmes Relais 51 : une affaire de famille !

Sourire et convivialité résument l’esprit Relais Femmes 51. Sarah Khlil (stagiaire), Fatima Chaouarfia (salariée), Sébastien Poincinet (coordinateur) et Noureddine (bénévole).
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Leurs missions sont nombreuses, mais toujours accomplies avec le sourire et un professionnalisme de haute volée. Les objectifs : Favoriser l’autonomie par l’accompagnement des habitants des quartiers dans leurs démarches, permettre l’insertion et l’intégration des personnes grâce à l’orientation vers différents partenaires susceptibles de répondre au mieux à la problématique rencontrée par l’usager ou encore lutter contre les violences par l’orientation vers des organismes spécialisés, l’information des usagers et la formation des Femmes relais.

L’Association Femmes Relais 51 est une association loi 1901. Cette structure a été créée en 1999 avec le soutien du Centre Social Wilson et de l’Agence de Développement des Relations Interculturelles (ADRI). Mais l’action des femmes relais avait commencé bien avant, en 1985. À l’époque, les différents acteurs sociaux du quartierWilson constataient qu’ils rencontraient des difficultés relationnelles avec les personnes d’origine étrangère et les primo-arrivants. De cette observation, dans un premier temps, se développa le rôle des femmes relais au sein du quartierWilson, puis fut étendu à d’autres quartiers de l’agglomération de Reims (quartier Orgeval, Croix-Rouge, Croix du Sud,Wilson et Châtillons).

La vocation première de femmes Relais 51 : lutter contre toutes les formes d’exclusion,mais aussi aider une certaine population dans les démarches administratives, l’orienter vers des structures adéquates. Une association qui a un rôle de médiateur social fondamental comme le confirme Sébastien Poincinet, coordinateur de Femmes relais 51 : « l’an passé nous avons eu près 1 200 sollicitations de tout ordre mais, que l’on ne s’y trompe pas, nous ne nous suppléons pas à une assistante sociale, ni aux organismes professionnels, nous restons en retrait, on sert de courroie de transmission. Nous nous situons à un carrefour pour orienter les personnes un peu perdues ». Un sentiment partagé par Fatima Chouarfia, l’une des quatre salariés de l’association : « Une relation de confiance envers les populations étrangères s’est peu à peu instaurée, nous avons la même culture, nous les rassurons, on leur explique le cheminement à suivre, quitte à les accompagner physiquement à certains rendez-vous ». Démarches administratives, dossiers de surendettement, loyers impayés, violences conjugales, ou simple lecture de courrier sont le lot quotidien de Femmes Relais 51.

Une spécialisation presque normale Le rôle de médiatrice sociale interculturelle de l’association s’est peu à peu organisé et structuré, si bien que chaque population étrangère peut avoir un interlocuteur privilégié pour pouvoir obtenir une réponse claire, déjà marqué par son parcours de vie chaotique. Ainsi, Sabira privilégie les entretiens avec une population d’origine turque, Fatima, elle, est Marocaine, quant à Viktoriya, russophone, elle s’occupe des déracinés des pays de l’Est. En ce sens, toutes ces salariées (la plupart àmitemps) agissent auprès des personnes dans un travail de traduction culturelle, dans le suivi des familles auprès des différentes institutions et dans une mise en relation et une transmission des informations auprès des services appropriés.

Le champ d’intervention des femmes relais est vaste et touche à la vie quotidienne des personnes. En tout état de cause, une de leur mission principale est de favoriser l’autonomie sociale et culturelle de l’individu… Et la réussite est au programme.

O.M-L


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Des lycéens en immersion dans l’hémicycle

Des lycéens d’Arago de Reims à l’Assemblée Nationale.
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C’est dans le cadre du dispositif des Cordées de la Réussite, lancé il y a un peu plus d’un an à Reims, que les élèves du lycée Arago ont pu se rendre à Paris il y a quelques jours, accompagnés de leurs tuteurs étudiants de Reims Management School. Dans un esprit d’ouverture à la culture, voulu par le dispositif, les élèves ont ainsi pu visiter l’Assemblée Nationale, le Louvre, la Tour Eiffel et ont eu l’opportunité d’assister à une conférence à l’Ecole des Mines. Le séjour parisien s’est terminé par une balade de nuit de la capitale. Un voyage plein de découvertes pour ces lycéens méritants issus des quartiers de Reims et qui participent à ces Cordées de la Réussite.

 

 


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Wilson-Maison Blanche au coeur du Renouvellement

Amorcée depuis plusieurs années déjà, la redynamisation du quartier Wilson-Maison Blanche, s’est traduite par un vaste programme de renouvellement, basé sur le logement et l’emploi. Un effort supporté par la Ville de Reims, appuyée par l’Etat, les Conseils général et régional.

Le logement : l’étape indispensable Il s’inscrit dans les objectifs de Reims 2020, un ambitieux programme prévoyant, dans le cadre de la convention signée avec l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine (ANRU), le déblocage de 468 millions d’euros destinés aux quartiers Epinettes, Croix-Rouge, Orgeval et Wilson. Sur ce dernier quartier, la démolition des 200 logements prévus est déjà bien entamée, tandis que la réhabilitation de plus de 700 autres est en cours. Néanmoins le renouvellement urbain passe aussi par la construction. En ce sens, le Foyer Rémois construit actuellement une résidence d’habitat locatif comprenant 66 logements, et dont les travaux devraient être achevés au printemps 2011. A quelques encablures de Wilson, c’est Reims Habitat, toujours dans le cadre du plan ANRU, qui va pour sa part démarrer prochainement la construction de deux résidences BBC (Bâtiments Basse Consommation), dans le quartier Croix-Rouge université à Reims.

Infrastructures et emploi

C’est la seconde pierre angulaire du renouvellement urbain. Et sur ce secteur, le quartier Wilson-Maison Blanche affiche des résultats remarquables. Intégré depuis 2007 à la Zone Franche Urbaine rémoise (ZFU), et répertorié en Zone Urbaine Sensible (ZUS), Wilson a ainsi pu profiter de multiples avantages pour créer des emplois et rénover ses installations.

L’exemple le plus éloquent reste la rénovation du secteur Ravel (près de 13 millions d’euros investis pour le groupe scolaire et la maison de quartier Louise Michel). Quant à l’emploi, l’appartenance à la ZFU a permis au quartier d’attirer des entreprises en leur proposant des avantages non-négligeables (abattements fiscaux, etc.). De même, l’inscription de Wilson en ZUS a entraîné le déblocage des financements du FISAC (le Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce), ceci ayant pour but d’aider les commerces existants, ou de faciliter les projets de création d’entreprises. Enfin, la Charte nationale d’Insertion, permettant aux jeunes, grâce à une clause d’embauche, de trouver un emploi dans le BTP, a également pu s’appliquer.

Le renouvellement urbain semble donc bel et bien lancé sur Wilson-Maison Blanche. Une opportunité unique pour ce quartier de connaitre le renouveau après une longue période d’enclavement.

Aymeric Henniaux


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Un pôle de l’innovation

Un pôle de l’innovation sur le site de Bezannes.
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L’objectif est de créer une vitrine technologique afin de favoriser le développement d’une économie innovante. Le lieu choisi est la ZAC de Bezannes qui est idéalement desservie par une gare TGV, deux stations de tramway et par un accès autoroutier. De plus, ce pôle devrait accueillir notamment une pépinière d’entreprises, des laboratoires et des sièges sociaux. De par sa proximité avec l’Université et Reims Management School, il devrait être étroitement lié avec le monde de l’enseignement supérieur. L’idée est aussi de séduire davantage d’étudiants et de les retenir une fois leurs études achevées. Avec une Université réunie sur un seul campus à Croix-Rouge, RMS, SciencePo, l’Ecole Centrale Paris et Agro Paris Tech (dès 2011), l’objectif est d’accueillir à Reims 10 000 étudiants supplémentaires.

 

 


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Des nouveaux quartiers

Au sein d’une région qui perd chaque année des habitants, Adeline Hazan s’est fixé pour objectif d’accroitre la population de l’agglomération de Reims de près de 20 000 âmes d’ici 10 ans. Pour ce faire, le projet prévoit notamment la création de nouveaux quartiers mêlant logements, services et activités.

Les lieux choisis : le port Colbert (le long du canal et de Clairmarais), l’espace actuellement vide entre Reims et Bétheny et jusqu’à la BA 112 et le campus du moulin de la Housse, transformé en éco-quartier après le déménagement de l’Université sur un site unique à Croix-Rouge.

Au total : 15 000 logements devraient ainsi être construits d’ici 2020.


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Logements : des résidences BBC à Croix-Rouge

Dans le prolongement de la résidence Saint John Perse, Reims habitat va construire la Résidence Robert de Sorbon. Un immeuble de 32 logements du T1bis au T5.
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Reims habitat va démarrer prochainement la construction de deux résidences BBC (Bâtiment Basse Consommation), donc très économe en charges dans le quartier Croix-Rouge université à Reims. La résidence Saint John Perse comportera 51 logements du T1 bis au T6, les travaux débuteront en juin 2011 pour s’achever en octobre 2012, mais aussi la résidence Robert de Sorbon avec 32 logements, du T1 bis au T5. Ces travaux vont démarrer en novembre 2011 et s’achever en janvier 2013. L’originalité réside dans le choix des matériaux et des couleurs retenus pour ces nouvelles résidences au pied du futur tramway. Par ailleurs pour donner un coup de fouet à la vie sociale dans le quartier le parti pris a été de créer en pied d’immeubles, des locaux commerciaux et d’activités qui viendront donner une vie et tout leur sens à ces nouvelles résidences.

Plus d’infos sur www.reims-habitat.fr

 


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Soirée Feydeau

Tirade et compagnie vous invite à sa soirée Feydeau avec "Amour et piano" suivie de "Par la fenêtre" le mercredi 15 décembre à 20h30, à la salle culturelle du Crous Jean- Charles Prost, campus Croix-Rouge à Reims.

Tarif : 3 €. Réservation sur : tiradetcie@ aol.com


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JUSQU’AU 29 DÉCEMBRE : « VOYAGES IMAGINAIRES »

Deux jeunes Rémois, Simon Sanahujas, écrivain, et Gwenn Dubourthoumieu, photographe, racontent leur périple.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 43
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar


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JUSQU’AU 31 DÉCEMBRE 2011 : « MUSIQUE EN IMAGES »

Un itinéraire en trois étapes, allant des clichés d’artistes jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini (Laon-Zola), aux “instants volés” lors des festivals de jazz rémois parAlain Julien (Croix-Rouge) et en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) transcendant les stars internationales du rock (Jean Falala).

Entrée libre
Médathèques Croix-Rouge, Laon-Zola et Jean Falala

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Union101209e

Les « bonbons de Marceau », une tradition désormais bien ancrée : Pays-de-France en fête

Les visiteurs ne souffriront plus du froid comme l’année dernière !
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La fête de Noël organisée dans le secteur Pays-de-France et connue sous le nom des « bonbons de Marceau » en hommage à son initiateur en 2005, le regretté Marceau Nicolas, se déroulera mercredi 15 décembre, de 14 à 18 heures.

Le collectif d’associations qui l’organise, l’espace Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge, le Collectif Croix-Rouge accueil, la Maison de l’enfance, l’association MJC Croix-Rouge, l’association de promotion de Pays-de-France, l’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge, comité Pays-de-France », le service départemental de Prévention, l’association « Point-Rencontre » et le Foyer rémois, a obtenu le soutien du principal du collège Joliot-Curie qui, pour l’occasion, mettra à disposition la salle de spectacle de son établissement, une grande première.

C’est devenu une tradition, l’association MJC Croix-Rouge financera les confiseries. Quant au programme, c’est une surprise : il faut s’adresser à Slimane Hamdi, à l’espace Pays-de-France de la maison de quartier au 03.26.82.53.48.

 

 

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Union101209d

Croix-Rouge : La neige n’aura pas eu raison de la fête

Un rallye a été organisé pour les 60 enfants des centres de loisirs de Watteau
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Hier malgré les fortes tombées de neige, l’espace Watteau de la maison de quartier a lancé officiellement sa fête de Noël étalée cette année sur trois journées.

Pour les 60 enfants des centres de loisirs de Watteau mais aussi de l’association l’Étoile Croix-du-Sud, un rallye a été organisé avant l’arrivée des stars du jour, les lutins du père Noël et Adeline Hazan, le maire de Reims. Les enfants se sont regroupés pour l’occasion devant le café associatif « le Bistroquet » lorsqu’une rame spécialement mise à disposition pour l’événement s’est arrêtée à la station Blum. « Regardez à l’intérieur, il y a des lutins ! » criaient certains gosses en approchant du Tram.

Après avoir participé à la distribution de bonbons, la maire de Reims est allée, quelques mètres plus loin, place Auguste-Rodin, afin d’inaugurer une exposition de graff. « Les panneaux resteront définitivement sur les lampadaires publics. Nous avons mis sept mois à réaliser cela avec l’aide de 100 enfants du quartier », souligne Najim, prof de graff.

T.A.F.

 

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Union101209c

Francas de la Marne : Les jeunes militants en formation

Vingt-deux Marnais ont suivi cette formation.
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Les Francas de Lorraine-Champagne-Ardenne ont organisé un week-end de regroupement de jeunes militants, acteurs de l’action éducative locale, à Giffaumont, au lac du Der : 22 Marnais étaient présents.

Le thème de l’action portait sur leur formation : « projet associatif et vivre ensemble ». Cette initiative, qui fait suite à une précédente organisée en juin et qui a donné toute satisfaction, a été financée par le conseil du développement de la vie associative.

« Quand on s’implique aux Francas », explique Stéphanie Tadla, chargée de développement, « on découvre des valeurs d’humanisme, d’égalité, de liberté, de solidarité et de paix. Comment les jeunes militants s’approprient-ils ces valeurs, quel sens leur donnent-ils ? Quelles démarches, quels contenus et quelles méthodes privilégie-t-on dans l’action éducative, pour illustrer ces valeurs ? »

 

 

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Union101209b

Le Pays rémois paralysé

Vingt-deux Marnais ont suivi cette formation.
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Photo Hervé OUDIN
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C’était la pagaille hier au pont de Vesle. La route s’est vite transformée en patinoire.
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Photo Aurélien Laudy
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Pas simple de circuler hier à Reims, que ce soit en scooter ou en bus. Transdev a d’ailleurs rappelé tous ses véhicules au dépôt.
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De mémoire de Rémois, on ne se souvient pas d’une tempête de neige qui ait duré si longtemps. Circulation paralysée, voitures en travers, bouchons, piétons transis…

Pas plus de cinq kilomètres en deux heures : c’est peu dire que la circulation était problématique hier après-midi à Reims. Voilà comment on se fait piéger par la neige et les bouchons :

« Il est 16 heures quand je quitte le parking de la faculté de lettres de Croix-Rouge. La neige tombe dru depuis un moment déjà ; la voiture en est couverte. La visibilité est mauvaise, mais pour sortir du parking ça se passe bien, je suis quasiment seul à rouler. Dès l’approche du premier rond-point, au bas de la rue François-Guyard, les choses se gâtent un peu tout de même : plusieurs véhicules sont à touche-touche et ne semblent guère avancer. Mais enfin, je finis par m’engager sur l’avenue François-Mauriac en direction du centre-ville. Pendant quelques minutes, ça roule lentement sur la chaussée enneigée, mais ça roule. Et puis, rue François-Dor, ça ne roule plus ! A cause des feux tricolores un peu plus loin ? C’est ce que je me dis pour me donner bon espoir. Mais les minutes passent, quelques rares véhicules me croisent en sens inverse, mais sur ma file, ça n’avance toujours pas. Arrêt complet. Faut-il faire demi-tour comme certains conducteurs devant moi ?

A un moment, un piéton s’arrête à ma hauteur : « Il y a deux bus renversés, là-bas, on ne passe pas ! » Renversés, bigre ! Et puis finalement, voilà que la file s’ébranle, au bout de presque trois quarts d’heure d’attente. J’arrive enfin en vue du carrefour de la rue François-Dor avec l’avenue d’Epernay ; de loin, ça a l’air de bloquer par là, je tourne donc à gauche dans la petite rue Jules-Guesde pour rejoindre l’avenue de Paris. Effectivement, par là, ça roule… toujours lentement bien sûr.

Poids lourds en rade

Carrefour avenue de Paris/avenue d’Epernay : deux bus à l’arrêt, certes, mais quand même pas renversés ! Et puis deux poids lourds immobilisés en pleine chaussée, au bas de la montée vers Tinqueux. Un policier fait signe d’avancer malgré le feu rouge, je m’engage. Me voici rue du Colonel-Fabien. Et là encore ça va bouchonner : je vais mettre autour d’une demi-heure avant d’atteindre le pont de Vesle. Des voitures devant, des voitures derrières, des voitures en face… Pourtant on n’entend guère de klaxonnade : tout le monde doit avoir conscience que ça ne servirait à rien. Un haut 4x4, sans doute plus à l’aise que les autres sur ce terrain glissant, tente d’échapper aux bouchons en prenant une rue à droite ; mais il se ravise bientôt, et repique à gauche, en roulant sur… une allée piétonne semble-t-il… mais sans faire de dégâts…

Enfin le pont de Vesle. Les arbres enneigés aux abords de la Comédie forment un fort joli décor d’hiver. Sur le trottoir, les piétons ne semblent pas gênés outre mesure par les flocons qui continuent à tomber (ils n’ont d’ailleurs jamais cessé depuis que je suis monté dans ma voiture). Mais ça coince à nouveau pour les voitures : une camionnette arrêtée sur la pente du pont est incapable de redémarrer. Les minutes passent à nouveau. Enfin la camionnette en galère s’arrache, me permettant de poursuivre. Je peux à nouveau rouler, toujours prudemment, mais au moins j’avance. Rue Libergier, sans problème majeur, rue Talleyrand, et rue Condorcet, terme de mon expédition ; ça y est, je suis à bon port : deux heures et vingt minutes après avoir quitté mon parking de la fac… »

Antoine PARDESSUS

 

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Union101209c

La cité des Sacres en pleine tempête

Si la rue Libergier (notre photo), comme tout le centre-ville, était bloquée, c’était bien pire en périphérie.
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REIMS (Marne). Accidents, glissades, chutes. Dès le début d’après-midi hier, l’alerte orange a été déclenchée. L’ensemble du département, en particulier Reims, s’est retrouvé sous les flocons.

LES premiers flocons sont tombés à la même heure que la veille.

Aux environs de 13 h 30, la cité des Sacres a été littéralement prise dans une bourrasque de neige. Les axes de circulation ont très rapidement été engorgés. Petit tour d’horizon des nombreuses perturbations.

14 h 30, Transdev se targue d’un communiqué indiquant que la circulation des bus est très fortement perturbée. Pour devenir quasi-inexistante par la suite alors que les chutes redoublaient d’intensité.

15 h 30, les conducteurs plus ou moins à l’aise sur ce tapis blanc, et par ailleurs, plus ou moins bien équipés pour circuler dans la poudreuse, contribuent à engendrer de très belles pagailles, notamment au niveau du Pont de Vesle ou encore à l’extrême proximité du quartier Croix-Rouge. De très nombreux automobilistes sont contraints de descendre de leur véhicule et de pousser sur une route vite transformée en patinoire. Des centaines de véhicules se retrouvent ainsi piégées, ne pouvant plus avancer, ni reculer sans se mettre en travers et perturber un peu plus le trafic.

16 heures, plusieurs voitures se sont mises en travers au niveau du nouveau tunnel de la gare paralysant les entrées et les sorties de la ville. L’avenue Brabant, longeant le canal, est totalement bloquée ce qui empêche les automobilistes de se diriger vers l’autoroute où d’ailleurs, les chasse-neige se sont mis en branle une heure plus tôt. Au niveau du péage de Dormans et dans les deux sens de circulation.

16 h 20, la présidence de l’Université Reims Champagne-Ardenne ordonne l’évacuation de l’ensemble des personnels qu’ils soient administratifs ou étudiants. Cette décision fait suite à l’arrêt de la circulation des bus un peu plus tôt et surtout à la pagaille grandissante au niveau des quartiers Wilson et Croix-Rouge ; des dizaines de voitures ne parviennent plus à redémarrer.

17 heures, si le centre-ville et ses abords immédiats sont bloqués, la contagion touche maintenant la périphérie. De nombreux automobilistes peinent à avancer ou sont carrément bloqués dans leurs véhicules. Les pompiers ne cessent d’intervenir pour parer au plus pressé, la plupart des interventions concernant des enfants en bas âges bloqués depuis plusieurs dizaines de minutes dans les véhicules.

17 h 30. Thillois, Tinqueux, Ormes, Champfleury… les points de blocage sont innombrables. Le péage de Taissy, le réseau autoroutier, les nationales et départementales sont paralysés. Des centaines d’automobilistes sont pris au piège.

17 h 40, l’ensemble des réseaux des téléphones mobiles est saturé. Les personnes bloquées sur les routes sont totalement isolées.

18 heures, Transdev annonce qu’il n’y aura plus de transports urbains dans la cité des Sacres, les bus resteront au dépôt jusqu’à nouvel ordre. Par ailleurs et dans le même temps, le ramassage scolaire ne s’effectuera pas demain, à Reims comme dans l’ensemble du département.

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Union101208f

Réussite scolaire à Joliot-Curie : L’info passe bien entre les parents et le collège

 

 

C’est une première à l’association des Travailleurs maghrébins : une réunion a été organisée au 6, allée des Picards, au local de l’ATMF, avec des parents d’élèves et le principal du collège Joliot-Curie et son adjoint sur le thème de la sensibilisation pour la réussite scolaire. « Cet après-midi de rencontre avec les parents a été riche en échanges, en dialogue et en sensibilisation pour la réussite scolaire », apprécie Mohammed El Haddaoui, président de l’association. « Nous souhaitons encourager les parents (femmes et hommes) à franchir les portes des établissements scolaires de leurs enfants. » Cette action se renouvellera au sein du collège au début de l’année 2011 : il y aura un suivi et un engagement de l’ATMF pour la réussite scolaire.

« Pour nous permettre d’informer les parents, le principal du collège va nous transmettre régulièrement le calendrier des réunions et autres rencontres, au sein du collège, afin que les parents participent régulièrement, pour l’avenir de leurs enfants. » Un bel exemple de collaboration entre l’Éducation nationale et une association de quartier pour cet établissement classé « ambition réussite ».

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Union101208e

Danse sur glace : Six podiums pour le Rap

Une belle fierté pour l’ensemble des participants rémois.
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Avec 160 adhérents, le « Reims Acrap Patinage » est en pleine expansion. « Le club garde sa culture de quartier, mais on essaie aussi de le dynamiser. Nous avons de plus en plus de résultats » explique le président Jean-Luc Ployé.

Ce week-end, une quinzaine de clubs ont participé au tournoi qualificatif pour les championnats de France. Les bénévoles se sont mobilisés pour accueillir les 250 engagés. « Si on obtenait 5 podiums, ce serait bien » espérait Ludivine Lemaire, l’entraîneur. Ils en ont obtenu 6 !

Sur la plus haute marche, Jeanne Reppel (1re en solo bronze 1), a effectué sa danse libre sur une musique country : « Une chorégraphie avec beaucoup de passages rapides. La danse sur glace, c’est à la fois de la technique et de la danse : Il faut surtout s’éclater ! ». « Nous avons aussi un entraînement de danse classique et nos programmes libres sont élaborés avec un chorégraphe » ajoute Juliette Wary (2e en solo bronze 2). Ludivine Lemaire, très satisfaite d’avoir 6 podiums, a pourtant un petit regret : pas de couple. L’unique compétiteur garçon, Renan Manceaux, patine lui aussi en « solo ». Il semblerait que le club ait quelque espoir de couple pour le futur…

 

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Union101208d

Aucun blessé Squat incendié : 20 locataires évacués

Hier vers 11 h 15, un incendie s’est déclaré dans un appartement de l’allée des Picards, au troisième étage du n°4, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Une vingtaine de locataires ont préféré évacuer l’immeuble avant l’arrivée des pompiers.

Maîtrisé au moyen d’une petite lance, le feu a pris dans un logement inoccupé mais régulièrement squatté. Les constatations ont permis d’établir qu’il s’agissait d’un incendie criminel.

Les dégâts se limitent au squat. Le sinistre éteint, tous les habitants ont pu rentrer chez eux. Ce n’est pas la première fois qu’un logement squatté est mis à feu allée des Picards.

Deux autres incendies ont été signalés hier. Vers 13 heures, un feu de détritus s’est déclaré dans un conteneur enterré rue de Rockefeller tandis qu’à 14 h 50, une cabane de jardin a brûlé rue Marcel-Dassault à Tinqueux.

Lundi vers 10 heures, une Fiat Uno volée au mois de novembre à Reims a été retrouvée calcinée avenue Maurice-Plongeron à la Neuvillette. A la même heure, un cyclomoteur a brûlé place René-Clair, au Val-de-Murigny. Il pourrait être volé.

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Union101208c

Dix bennes à Croix-Rouge : Jeter les encombrants

Les usagers du secteur Université pourront se débarrasser de leurs objets
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encombrants dans les trois bennes qui vont être installées le lundi 13 décembre dans les rues suivantes : rue de Bezannes/rue du Lieutenant-Colonel-Schock (parking face au cimetière), rue Gilberte et Jean-Droit (sur le parking face à la rue André-Schneiter) et rue Lucien-Doyen/rue François-Legros (sur le parking).

Sept autres bennes seront positionnées le lundi 20 décembre rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome), rue de Rilly-la-Montagne (sur le stationnement au niveau du gymnase), parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards), avenue Bonaparte (sur le parking face à Arago), parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux), rue Galilée (face au n° 4 terrain vague - angle Arago) et avenue Léon-Blum (sur le parking).

 

 

 

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Union101208b

Samedi au centre commercial de l’Hippodrome : Un marché pour la Saint-Nicolas

Le bon saint Nicolas et le funeste père Fouettard sont venus rendre visite aux enfants.
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Comme tous les ans, l’association des commerçants de l’Hippodrome a organisé le marché de Saint-Nicolas, coup d’envoi des fêtes de fin d’année sur le quartier. C’était samedi 4 décembre, au centre commercial, dans le froid et sous la neige, ce qui n’a pas empêché le public de se déplacer. « Quinze chalets ont été prêtés et installés par la Ville, positionnés le long du centre commercial pour accueillir des artistes amateurs », explique Bernard Verquerre, président de l’association des commerçants, omniprésent sur le site.

Jusque 18 heures, des animations ont été proposées : concours de dessin, tombola, vente de spécialités et de produits de l’artisanat, distribution de friandises et bien d’autres surprises parmi lesquelles la prestation dynamique des Boules de feu, la fanfare étudiante de la Fac de médecine qui a enflammé le public, et la calèche de Saint-Nicolas et du Père Fouettard qui proposait des balades en groupe de 6 enfants, tirée par la courageuse Jonquille, une jument boulonnaise stoïque sous la neige. Un après-midi convivial monté par des commerçants très impliqués dans la vie du quartier, comme l’ont constaté les élus Catherine Vautrin, Arnaud Robinet, Éric Quénard et Marie-Noëlle Gabet qui ont arpenté le site.

 

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Union101208a

Au centre culturel du Crous : « Le Premier » sur toute la ligne

De gauche à droite : Simon de Gliniasty, Catherine Krajewski, Michel Thomas. Joel Lokossou et Henri Payet témoignent d’une belle énergie.
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LA pièce s’ouvre sur un individu allongé. Il a passé la nuit, là, afin de se trouver en tête de la file le lendemain pour on ne sait quel événement.

Mais, le jour J, un petit malin féru de Mozart lui vole sa place tant désirée. Un autre, grand escogriffe en smoking, se joindra un peu plus tard à la querelle, de même qu’un couple étrange formé d’une vamp et de son mari usé qu’elle malmène.

D’une brûlante actualité

Pendant une bonne heure, le quintette va rivaliser d’ingéniosité pour occuper le premier rang, voire se contenter de la deuxième ou troisième position, mais pas plus loin. Une femme, la seule du lot, détournera quelque temps les quatre hommes de leur objectif avant qu’ils n’abandonnent le plaisir du sexe pour revenir à leurs premières amours.

Écrit voici une quarantaine d’années, ce texte d’Israël Horovitz, le dramaturge américain le plus joué en France, se révèle d’une brûlante actualité dans une société obnubilée par une conquête du pouvoir propice à la violence. Cette parabole d’un humour féroce brosse le portrait de cinq archétypes sociaux comme le jeune loup aux dents longues, le bourgeois tiré à quatre épingles ou l’émigré toujours plus ou moins marginalisé.

Dans cette arène de la vie, ces personnages se livrent une lutte sans merci. L’enjeu dévoile peu à peu leurs sentiments d’agressivité, leur face sombre qu’indiquent les éclairages de Thierry Robert les plongeant peu à peu dans la pénombre.

L’énergie des comédiens

En optant pour un plateau nu, le metteur en scène José Renault n’a pas seulement respecté les indications initiales de l’auteur qui n’avait gardé pour tout élément de décor que cette ligne derrière laquelle on se presse. Ce spectacle s’en est même passé à l’époque de la virtualité.

Toujours est-il que la sobriété de l’espace permet aux comédiens de s’exprimer, sans artifice ni paravent, en se consacrant à la langue riche, inventive, surréaliste qui surfe aux confins de l’absurdité par la ritournelle verbale que provoque, chez ces cinq quidams, leur unique obsession.

Catherine Krajewski campe avec un bel aplomb la tentatrice qui essaiera de les dévier de leur but.

Simon de Gliniasty, un chanteur d’opéra qui fait admirer le son de sa voix, et Michel Thomas évoluent davantage au second degré, avec un certain détachement, l’un par son élégance vestimentaire, l’autre par une philosophie de l’existence que les années lui ont inculquée.

Leurs deux partenaires masculins, le Béninois Joel Lokossou et Henri Payet dans un jeu explosif, rentrent en revanche de plain-pied dans la chair d’une interprétation viscérale.

Les interprètes signent une belle performance en témoignant d’une sacrée énergie qu’ils mettent au service d’une écriture magique tournant en boucle.

Ce premier-là le reste sur toute la ligne.

Fabrice LITTAMÉ

Prochaines représentations ce soir et demain jeudi 9 décembre à 19 heures au centre culturel du Crous. Renseignements au 03.26.91.84.15.

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Union101207d

Chantal a monté sa boîte

Chantal Domboue, exemple parmi d’autres de la « Génération entreprendre » à Croix-Rouge.
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Forum. Dans le quartier Croix-Rouge de Reims, la création d’entreprise intéresse.

Chantal Domboue est devenue une égérie. Les bus urbains de Reims affichent son portrait, parmi d’autres créateurs d’entreprise.

Jeudi après-midi, elle était présente à la maison municipale du quartier Croix-Rouge. Pour témoigner, et raconter son parcours à l’occasion du Forum de la création organisé par la CCI et la ville de Reims. Avec des associations de ce quartier de 20 000 habitants grand comme une ville.

« J’étais au chômage. Entre des petits boulots, je faisais des stages, m’arrangeant toujours pour apprendre des choses en informatique. En 2007, je me suis lancée en créant Y-media, une société de télécommunication qui reçoit du public pour de la téléphonie et des connexions Internet. Les gens achètent des temps de connexion. »

Elle n’avait pas de local. Reims Habitat a mis à sa disposition un deux pièces qu’elle a fait transformer à Croix-Rouge. « Il m’a fallu un permis de construire. » Chantal Domboue est allée à la chambre de commerce, a obtenu des aides à droite à gauche pour boucler un budget de près de 20 000 euros. « Au départ, j’avais pris un salarié. C’était une erreur à cause des charges. J’ai dû le licencier. »

« Il y a des nuits où je ne dors pas beaucoup »

A 52 ans, Chantal Domboue, mère de deux enfants, peut être fière du chemin parcouru. « Même s’il y a des nuits où je ne dors pas beaucoup. »

Jeudi à Croix-Rouge, des gens de tous âges sont venus s’informer sur la création d’entreprise. Par simple curiosité, où dans l’idée d’un projet futur. Comme Pierre et Benjamin, deux jeunes étudiants de l’IUT de Reims en génie climatique, qui rêvent de se mettre un jour à leur compte. Peut-être rejoindront-ils les 250 entreprises existantes à Croix-Rouge. On y trouve aussi bien des artisans, des professions libérales, des créateurs de sites Internet, du commerce de gros, etc. La réputation d’insécurité qui colle parfois un peu trop à ce quartier n’est pas rédhibitoire pour tout le monde.

Zone franche urbaine, Croix-Rouge offre certains avantages fiscaux et des exonérations à ceux qui veulent s’y installer. Attention, il leur faudra se décider avant le 30 décembre 2011, date limite des avantages consentis. D’où l’intérêt de ces forums de la création, qui vont être reconduits. En espérant qu’une place soit aussi faite à des institutions bancaires, grandes absentes de ce premier forum qui offrait, au demeurant, un riche panel d’interlocuteurs. Les organisateurs ont comptabilisé un visiteur à chaque minute. Au printemps prochain, ils feront aussi se rencontrer des entrepreneurs et des lycéens du quartier, dans leurs établissements scolaires.

Dominique Herbemont

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Union101207c

Collège Georges-Braque : La promotion de la langue allemande

Une initiation sous forme de jeux.
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Maria Hüter, lectrice du Deutsch mobil du Goethe Institut de Nancy est venue au collège Georges-Braque jeudi 2 décembre pour une animation en direction des élèves de 5ème1 et 5ème2. Objectif : promouvoir l’apprentissage de l’allemand au collège.

Sous forme de jeux, Maria Hüter a parlé de la langue et de la civilisation allemande.

Les élèves, très réceptifs, ont pris part activement à l’animation et sont sortis en sachant déjà quelques mots d’allemand. Un bon début !

Maria Hüter reviendra au prochain trimestre pour une nouvelle séance devant les élèves de 5ème3 et 5ème4.

« Nous espérons que cette animation relancera l’apprentissage de l’allemand dans notre établissement » commente Frédérique Sarrazin, principale adjointe.

 

 

 

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Union101207b

Alors que Noël approche, un nouveau concours de balcons décorés

Qui aura le plus balcon en cette fin d’année 2010 ?
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Nouvelle édition pour le concours des plus beaux balcons de Noël organisé par Reims habitat : « cette année, les locataires n’auront pas besoin de s’inscrire. Le jury passera le mercredi 22 décembre à partir de 17 h 30 et arpentera la rue Pierre-Taittinger, l’avenue du Général-Eisenhower, la rue de Rilly-la-Montagne, la rue du Docteur-Billard et la rue Gilberte et Jean-Droit, à la recherche des plus beaux balcons décorés », précisent les organisateurs.

Seront appréciés l’esthétique, l’originalité et la créativité des balcons illuminés. La remise des prix aura lieu en début d’année 2011.

Les lauréats des deux années précédentes ne pourront obtenir de prix.

 

 

 

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Union101207a

Concours de belote « spécial Noël »

Pour les fêtes de Noël, l’association Étoile Croix-du-Sud propose un concours de belote spécial le dimanche 12 décembre au 5, avenue Léon-Blum.

Inscriptions à 13 h 30 (16 € par équipe), début des jeux à 14 heures.

Pour tout renseignement : 03.26.06.56.66.

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Union101206c

Forum Création d’entreprise / Une foule de candidats

Les créateurs d’entreprise du quartier valorisés au forum.
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De très nombreux candidats créateurs d’entreprise s’étaient réunis, jeudi 2 décembre, salle Mauriac à Croix-Rouge, à l’occasion du Forum « Création d’activité » organisé par la ville de Reims et la Chambre de commerce et d’industrie de Reims et Épernay.

Ils sont venus chercher des idées, des informations et des conseils auprès d’une multitude de partenaires, du quartier (Job’s 51, 2 Mains, Espoir Jeunes Pays-de-France, ATMF, Maison de quartier Croix-Rouge,…) et institutionnels (Afpa, ADIE, Pôle emploi, Mission locale, Maison de l’emploi et des métiers, Urssaf, Finances publiques, CCI), présents pour répondre à toutes les questions. Ici, on trouvait toutes les réponses sur la zone franche urbaine, les aides et les exonérations fiscales et sociales, et à toutes les questions à se poser pour créer une entreprise.

Visiteurs et curieux pouvaient également rencontrer des entrepreneurs du quartier qui ont osé franchir le pas et découvrir leurs parcours : Chantal Domboue, Y-Média, internet et téléphonie, Adem Isik, Isolatherm, isolation par l’extérieur et bardage, Sandrine Coupé et Carine Sorriaux, Bon plan permis, site internet de location de véhicules double commandes, Thibaut Caron, Logisat et Numéricable, Agence Croix Rouge et Farida Kébé, infirmière libérale, centre médical Eisenhower.

Pour tous ceux qui n’ont pas pu se déplacer, un deuxième forum sera organisé jeudi 16 décembre, de 12 à 19 heures, salle Rossini à Wilson.

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Un exemple de réussite

Thibaut Caron, à gauche, et Nicolas Zebic, les deux gérants.
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Thibaut Caron a 28 ans, il a décidé de créer son entreprise à Croix-Rouge il y a maintenant trois ans : la SARL Logisat - dépannage et formation en informatique et multimédia.

« Je travaillais comme salarié dans la vente de matériel Hi-Fi multimedia dans une grande enseigne nationale à Cormontreuil, et j’ai décidé de me mettre à mon compte. Ce fut d’abord une grande collecte d’informations et de nombreuses formalités avant de me lancer. »

Au départ, Thibaut Caron proposait uniquement du dépannage informatique chez des particuliers. Il avait installé son siège social à son domicile jusqu’au jour où Reims habitat lui proposa un local en zone franche urbaine, esplanade Eisenhower.

Logisat s’y est développée (logisat.fr/) et, au bout de deux ans, le créateur s’est associé avec Nicolas Zebic, maintenant co-gérant. À eux deux, ils ont fait évoluer leur projet jusqu’à leur transfert dans un autre local de Reims habitat, au centre commercial des Hauts-de-Murigny, 8 allée Yves-Gandon.

Entre temps, ils avaient monté une deuxième agence Numericable à Reims, développée au fil des mois : « la marque nous apporte sa notoriété, et nous lui apportons une compétence supplémentaire dans le domaine de l’installation et de la configuration de leur matériel ». Pour en arriver là, Thibaut Caron a bénéficié d’un prêt OSEO à la Création d’entreprise, qui l’a aidé financièrement à démarrer et d’une subvention du FISAC (Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce) sur des travaux réalisés pour la modernisation et la sécurisation de ses locaux : « des aides très appréciables pour les petits créateurs ! » commente-t-il.

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Union101206b

Echange théâtral « Coups de foudre » au collège François-Legros

Les jeunes ont été ravis de cette journée artistique.
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Ce jeudi 2 décembre après-midi, dans le cadre d’Ecrivains du théâtre en errance, le Facteur théâtre a sonné au collège François-Legros, à l’invitation de son réseau de réussite scolaire.

Cinq comédiens de talent, venus des quatre coins de France, ont livré lecture du Petit homme de bois - une réécriture théâtrale du célèbre conte de Pinocchio - à la centaine de collégiens conviés et à son auteur, Eugène Durif, pointure du théâtre contemporain, également présent.

Les artistes ont été agréablement surpris par la qualité d’écoute des élèves - parce qu’affronter une horde de collégiens est toujours un réel challenge… ils ont été charmés aussi par le spectacle inattendu qui se jouait dans la salle.

C’est qu’ils avaient, comme public, des lecteurs avertis, voire des écrivains en herbe, issus de quatre classes engagées dans des projets de lecture ou d’écriture de conte ou de pièce de théâtre, répondant à la thématique d’écriture choisie pour l’année : « le Coup de foudre ».

Il s’agit de la 6e bilangue, classe d’excellence alimentée d’élèves des six écoles du secteur, en particulier des écoles d’Avranches en pleine séquence d’étude du conte ; la 5e qui accueille des élèves malentendants de la section Ulis. Ces derniers ont pu suivre le spectacle dans les meilleures conditions grâce aux deux enseignantes qui avaient travaillé le texte en amont et qui se sont relayées pour les aider à percevoir, comme leurs camarades, les éléments de la farce qui se jouait sous leurs yeux.

La 4e7 était aussi présente avec l’équipe enseignante qui œuvre à rendre la confiance et l’estime de soi à des élèves avides de s’engager dans une formation professionnelle à court terme.

Enfin la 3e engagée dans l’étude de l’Ours, une pièce courte de Tchékov qu’ils savourent avant d’en proposer eux-mêmes des ré-écritures contemporaines et des mises en scène, sous la direction de Didier Lelong, metteur en scène du Facteur théâtre, qu’ils retrouveront au printemps, à la Maison de quartier Louise Michel.

La lecture a été suivie d’un temps d’échange chaleureux entre les élèves, les enseignantes, la documentaliste présente et les comédiens, le metteur en scène et l’écrivain ; échange durant lequel chacun a pu satisfaire sa curiosité de l’autre.

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Union101206a

Un conteneur prend feu

Des murs noircis et des gaines de fils électriques fondus : ce sont les dégâts occasionnés, samedi, peu après 17 h 30, par un feu qui s’est déclaré, pour une raison indéterminée, dans un conteneur à poubelles située dans le local à ordures du 41 de la rue Pierre-Taittinger à Reims.

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Union101205a

Comité handisport Marne : Les nouveaux locaux inaugurés

Les partenaires ont découvert les nouveaux locaux.
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« Cette inauguration signifie un nouveau départ pour le comité départemental handisport Marne dans nos missions de développement du handisport sur le département ».

Le comité départemental Marne handisport, qui a emménagé dans de nouveaux locaux vient d’inviter l’ensemble des institutions, associations, partenaires privés… « qui nous ont accompagnés et qui nous accompagnent sur nos projets de développement » se félicite le président Christian Khouth.

« Avec les associations ou sections du département, le comité propose en effet une douzaine d’activités sportives accessibles aux personnes handicapées physiques ou sensorielles (handicap auditif ou visuel) » explique la trésorière Annette Richet.

Cette journée était organisée par le président du comité départemental handisport Marne en présence de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations, l’association CSSR (Club Sportif des Sourds de Reims), la MJEP Cormontreuil section judo, l’EFSRA (Entente Family Stade de Reims Athlétisme), l’office des sports de Reims ainsi que l’ensemble des élus du comité départemental handisport Marne.

Aucun projet n’a été évoqué, mais le président a remercié « le soutien de tous dans le développement de nos actions ».

A noter qu’une journée découverte de la boccia (pétanque adaptée avec, éventuellement, utilisation de gouttières) est organisée le 15 décembre au Creps de Reims, avec la présence de l’entraîneur fédéral Sébastien Plawecki afin de sensibiliser les personnes encadrantes.

Comité départemental Handisport, 10, rue de Rilly-la-Montagne à Reims. Tél. 03.52.45.72.50.

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Union101204b

Un graffeur de Croix-Rouge à Époye : Un bel exemple de solidarité

L’artiste présente son œuvre.
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Samuel Huynh, graffeur à l’espace Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge a été sollicité par les élus du village d’Époye, pour la création d’une fresque destinée à être partagée en pièces de puzzle, vendues à l’unité (1 euro), en ce jour du Téléthon, aujourd’hui samedi 4 décembre à la salle des fêtes du village.

Samuel avait donné rendez-vous à ceux, grands et petits qui souhaitent se sensibiliser à l’art du graff, en organisant en parallèle d’autres ateliers sur le thème de Noël, tout au long de l’après-midi avec une performance graff interactive, associée à la vente des pièces de puzzle.

Un bel exemple de solidarité tout à l’honneur de l’espace Ethnic’s.

 

 

 

 

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Union101204a

Croix-Rouge / L’épouse rouée de coups puis égorgée

Hier soir, Mohammed Moulaï Hacène a été mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint puis incarcéré à Reims.
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REIMS (Marne). Le drame du parking des Bourguignons à Croix-Rouge et l’inquiétante disparition d’une mère de famille de 26 ans ne font qu’un. Hier, Mohammed Moulaï Hacène a été mis en examen pour le meurtre de son épouse, Lahouaria. De lourdes charges pèsent sur cet homme de 34 ans écroué à Reims et suspecté d’un crime barbare.

LA victime est identifiée et sa mort atroce. C’est ce qu’indiquent les résultats de l’autopsie pratiquée jeudi après-midi sur le cadavre retrouvé incendié sur le parking des Bourguignons, à Croix-Rouge. Lahouaria Moulaï, puisqu’il s’agit bien d’elle, a été identifiée grâce à une intervention chirurgicale récente.

La mort est atroce car le médecin légiste a pu déterminer qu’elle avait été rouée de coups à la tête et sur le corps. Hématome au crâne, mâchoire brisée et côtes fêlées témoignent de la violence et de l’acharnement dont a fait preuve son agresseur.

Ticket de caisse pour de l’essence

Un agresseur si enragé qu’il s’est ensuite saisi d’une arme blanche pour l’achever. Peut-être un couteau puisque la malheureuse a eu la gorge tranchée.

On sait aussi que Lahouaria est agressée entre mardi soir quand elle dépose son fils de 4 ans chez sa mère et mercredi vers 15 heures au moment où son corps est incendié sur le parking des Bourguignons, à deux pas de l’immeuble où réside sa mère. C’est à cet endroit qu’un témoin note la présence de la Renault Mégane grise de la jeune femme et relève sa plaque d’immatriculation. « Il a vu le conducteur s’affairer derrière le véhicule juste avant la mise à feu du corps », relate le procureur de la République, Fabrice Belargent.

Interpellé deux heures après au volant du véhicule par la brigade anticriminalité sur l’esplanade Paul-Cézanne, Mohammed Moulaï Hacène est placé en garde à vue. Très vite, les policiers du SRPJ soupçonnent le mari d’être impliqué dans la tragédie. D’abord parce que son épouse a mystérieusement disparu. Ensuite, parce qu’il livre un emploi du temps sujet à caution.

Mohammed Moulaï Hacène, 34 ans, affirme être resté dans leur appartement de Clairmarais jusqu’en milieu d’après-midi, soit trois heures après le départ de la jeune femme à son travail au Creps de Bezannes vers midi. Comme il nie en bloc, il n’explique pas la présence de la Mégane sur les lieux de l’incendie.

C’est d’autant plus troublant qu’« il a été vu à une station-service de Croix-Rouge », précise Fabrice Belargent. A 14 h 48, comme en atteste le ticket de caisse délivré par le pompiste. Encore plus curieux : il n’a pas mis de gasoil dans le réservoir de la Mégane mais il a acheté un bidon… d’essence. S’il est impossible pour l’heure de déterminer où et quand Lahouaria a été tuée, on sait que son corps sanguinolent a reposé dans le coffre de sa voiture.

Beaucoup de sang dans le coffre

C’est ce que révèlent d’abondantes traces de sang détectées par la police scientifique au moyen du luminol, y compris sur la carrosserie à l’arrière du véhicule. Des traces invisibles à l’œil nu que le tueur a pris soin d’effacer dans l’espoir de ne pas signer son crime. Et c’est évidemment dans le même but que Lahouaria a été abandonnée sans vie sur le parking puis incendié.

Le mobile du crime ? Il pourrait s’agir « d’une mésentente conjugale », avance le procureur. Le couple battait effectivement de l’aile, un an après son mariage en Algérie et quatre mois seulement après que Mohammed Moulaï Hacène est venu la rejoindre à Reims.

Au mois de novembre, la jeune femme, déjà divorcée et mère d’un enfant de 4 ans, avait appelé la police à la suite d’une violente dispute. Elle avait finalement renoncé à déposer plainte avant de songer à le quitter. La piste du crime passionnel est plus que probable.

Eric LAINÉ et Fabrice CURLIER


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Conjointe tuée et incendiée : un précédent l’an dernier à Reims

L’effroyable crime de cette semaine en rappelle un autre survenu l’an dernier à Reims : le meurtre d’une femme elle aussi retrouvée carbonisée, mais dans une voiture, sur l’A4.

Marie Rita Hoareau habitait le quartier Croix-Rouge, à seulement 200 mètres du parking de l’allée des Bourguignons, lieu de découverte du corps calciné de mercredi après-midi. Elle était la concierge du lycée Arago.

Son conjoint, Mohamed Chouikine, 59 ans, est accusé de l’avoir tuée dans son sommeil de plusieurs coups de marteau à la tête, durant la nuit du 27 au 28 octobre 2009. Il aurait ensuite chargé le corps dans le Renault Espace familial, pris un bidon d’essence et une bouteille de gaz, puis rejoint l’A4 où il s’est garé sur la bande d’arrêt d’urgence, sous le pont de l’avenue de Champagne.

Là, le véhicule fut aspergé avec le carburant, puis mis à feu. L’homme était déjà touché par les flammes lorsque la bouteille de gaz a explosé, blessant trois autres personnes arrêtées sur les lieux de l’incendie.

Brûlé à 70 %, Mohamed Chouikine a survécu après être resté de longues semaines entre la vie et la mort. Mis en examen le 12 mars 2010 pour « assassinat », lui aussi est accusé d’un crime passionnel. Le week-end précédant les faits, sa compagne lui avait annoncé qu’elle allait le quitter après 35 années de vie commune.

F.C.

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Union101203d

INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reimshabitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant l’article 28 du code des marchés publics.
Dans le cadre de cette procédure REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : réfection de l’étanchéité du parking G13 allée Toulouse-Lautrec à Reims.
4) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30 - Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
5) Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30 - Fax 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16 - Fax : 03.26.48.43.40.
6) Date limite de remise des offres : le 20 décembre 2010 à 17 heures.
7) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 30 novembre 2010.

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Union101203c

Croix-Rouge : De nouvelles entreprises

Chantal Domboue (enseigne Y Media) au 12, place Maurice-Utrillo, crée un e-commerce.
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Internet

Chantal Domboue, créatrice de l’enseigne Y Media (12, place Maurice-Utrillo), vient de mettre son site en ligne : y-media-connectic.fr. En effet, elle ajoute désormais à sa palette un e-commerce de revente d’accessoires informatiques et électriques d’une grande enseigne.

Télébazar

Halim Lemboub et Ismet Mumou ont acquis le fonds de commerce connu sous le nom de Amira, situé et exploité au 9, place Auguste-Rodin et ont créé la SARL TéléBazar à la même adresse. Ils y proposent la vente de prêt-à-porter hommes, femmes et enfants, ainsi qu’une cyber et une téléboutique.

Autour de la peinture

Murat Safran vient de créer la SARL M.M.S. (Enseigne MMS Déco) au 30, avenue du Général-Eisenhower. Ses activités : travaux de peinture de bâtiment, intérieur et extérieur, papiers peints, revêtements muraux et sols, ravalements.

Tous commerces

Selcen Tipirdamaz vient de créer ArtModa, une EURL basée au 45, rue Pierre-Taittinger. Cette dame propose les activités d’importation-exportation et de commercialisation de tout type de produits en gros et en détail.

Immobilier

La SARL M et A Immobilier, créée par Denise Moine, s’est installée au 18, avenue du Général-Bonaparte. Dans son objet social, on note toutes opérations de marchand de biens et de lotisseur.

Départ

La SARL D-Ker a décidé de quitter définitivement le 7, rue Joliot-Curie pour s’installer au 42, boulevard Jamin.

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Union101203b

Corps carbonisé / La piste d’un crime passionnel

Moins de 24 heures après la découverte d’un corps calciné sur un parking de l’allée des Bourguignons, les enquêteurs sont désormais lancés sur la piste d’un crime passionnel.
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Photo Hervé OUDIN
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REIMS (Marne). La piste criminelle est désormais privilégiée dans l’affaire du corps carbonisé retrouvé mercredi sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims. La victime reste à identifier mais la police est sans nouvelle d’une femme de 26 ans. Son mari est en garde à vue.

UN corps carbonisé toujours sans nom, une femme qui a disparu, son mari en garde à vue… Telles sont les données de la délicate équation que doivent résoudre les policiers du SRPJ de Reims chargés d’enquêter sur l’affaire du parking de l’allée des Bourguignons, à Croix-Rouge, où un cadavre calciné de sexe féminin a été retrouvé mercredi après-midi, derrière une voiture partiellement brûlée (notre précédente édition).

La nature criminelle de l’affaire ne fait cependant plus l’ombre d’un doute. Selon toutes vraisemblances, la victime a été tuée, puis son corps incendié, ce qui a provoqué l’inflammation du véhicule. Le fil conducteur de cette tragédie est une autre voiture : une Renault Mégane grise. Immatriculée au nom de la disparue, Lahouaria Moulaï, 26 ans, elle a pris la fuite du parking dans les instants précédant l’incendie.

Angle mort

Au volant : un homme fortement soupçonné d’être le mari mais celui-ci, Mohammed Moulaï Hacène, affirmerait le contraire aux policiers, assurant n’avoir plus vu sa femme depuis son départ au travail mercredi midi, avec la fameuse Mégane. La garde à vue de cet Algérien de 34 ans a néanmoins été prolongée hier soir.

L’affaire a commencé à 15 h 05, ce mercredi, comme un banal feu de voiture, tant ils sont fréquents allée des Bourguignons. « Les pompiers sont arrivés », raconte un témoin. « Ils ont commencé à éteindre le feu puis à la fin, ils ont dit : « il y a autre chose que la voiture ». Ils n’ont pas voulu nous dire quoi. Mais quand on nous a fait reculer, que le coin a été encadré et qu’on a vu arriver les policiers scientifiques, on a compris qu’il s’était passé quelque chose de grave. »

Un corps carbonisé gisait derrière le véhicule, « un Touran Volkswagen que j’ai acheté d’occasion il y a seulement deux mois », indique son propriétaire. « Je m’étais garé une demi-heure avant, tout contre le mur, dans l’angle. »

A cet endroit, un parapet s’avance au-dessus du parking, si bien que le petit espace laissé libre derrière le Touran, là où le corps a été retrouvé, masqué de l’autre côté par un deuxième véhicule en stationnement, se dérobait au regard des passants ou des voisins.

On comprend mieux, dès lors, le choix du meurtrier de brûler la victime dans ce réduit.

D’après un renseignement, quelqu’un aurait vu la Mégane arrêtée sur le parking, un individu à côté, comme s’il manipulait du carburant.

Il se serait baissé sous le Touran, puis serait reparti au moment où les flammes apparaissaient.

Bidon d’essence

De son côté, un jeune homme a assisté au départ de la Mégane. « Elle est repartie tellement vite qu’elle a calé. En même temps, le jeune a vu le feu de voiture. Il s’est dit que le coup avait été fait par le gars de la Mégane. C’est pour ça qu’il a relevé le matricule », relate un proche.

Informés, les policiers retrouvaient le véhicule en soirée esplanade Paul-Cézanne. Sa propriétaire disparue, le mari était logiquement conduit au commissariat, puis finalement placé en garde à vue. Plus les renseignements s’accumulent, plus sa situation devient inconfortable. Son signalement correspond à celui d’un homme passé dans une station-service du quartier, avant l’incendie, pour acheter un bidon d’essence.

Fabrice CURLIER (avec Eric LAINÉ)


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L’épouse du suspect portée disparue

La famille Mahi, ancrée de longue date dans le quartier Wilson à Reims, est plongée dans une angoisse terrible depuis hier. D’abord parce qu’une des filles de la fratrie, Lahouaria Moulaï, a mystérieusement disparu dans la journée de mercredi. Une disparition brutale et d’autant plus inquiétante que ce n’est pas dans les habitudes de cette jeune femme de 26 ans de ne plus donner signe de vie.

Agent d’entretien, elle ne se présente pas à son travail au complexe sportif du Creps de Reims, situé route de Bezannes. « Elle devait prendre son service mercredi aux environs de midi », souligne un proche. Et Lahouaria Moulaï, femme sérieuse et assidue, n’aurait évidemment pas manqué de prévenir si elle avait eu un empêchement.

« Un sucre »

Mais surtout, elle ne serait pas partie volontairement, en abandonnant l’être qui était le plus cher à ses yeux. Ce petit garçon de 4 ans qu’elle chérit et dont elle a la garde depuis sa séparation d’avec son premier mari. « C’est une femme douce, d’une grande gentillesse… un sucre », résume une connaissance. Et puis, Lahouaria est également très proche des siens, de sa mère en particulier qui s’occupe de son fils de temps à autre.

Hier, un autre événement précipite cette fois les proches de Lahouaria dans un abyme d’angoisse incommensurable. En effet, Mohammed Moulaï Hacène, l’homme de 34 ans avec qui elle a refait sa vie récemment, est en garde à vue à l’hôtel de police de Reims depuis la veille au soir.

Au départ, les policiers ne l’interpellent pas pour la disparition de Lahouaria. En réalité, ils s’intéressent à lui dans le cadre du drame effroyable qui s’est joué sur le parking des Bourguignons à Croix-Rouge, mercredi après-midi (notre précédente édition).

Sur place, un témoin relève le numéro de la plaque minéralogique d’une Renault Mégane dont le conducteur a un comportement suspect peu avant la mise à feu d’un corps. Et la Renault Mégane en question est justement celle de Lahouaria. Autre élément troublant : si le cadavre retrouvé calciné n’a toujours pas été identifié, il s’agit bien de celui d’une femme.

On sait aussi que les relations au sein du couple se sont sérieusement dégradées ces dernières semaines.

Mariés cet été

Divorcée depuis environ deux ans, Lahouaria a pourtant cru trouver le grand amour en rencontrant Mohammed Moulaï Hacène lors d’un récent séjour en Algérie, le pays d’origine de cette Française de Mostaganem. Tant et si bien que tous deux se marient de l’autre côté de la Méditerranée au cours de l’été dernier. Ainsi, le nouveau mari peut venir s’installer en France aux côtés de son épouse et de son jeune fils de 4 ans.

Au fil des mois, Lahouaria déchante. Celui qui lui a promis monts et merveilles se révèle bien difficile à vivre.

Sans travail, il améliore l’ordinaire en commettant quelques rapines comme par exemple un vol à l’étalage. Ce qui ne manque pas de faire bondir sa tendre et honnête épouse. Mais ce n’est pas tout. Car un soir, il se montre violent. Suffisamment pour que Lahouaria « appelle la police à la rescousse », confie un proche. Si elle ne dépose pas plainte, Lahouaria envisage de le quitter. Car elle comprend sans doute qu’il a profité de sa candeur et par là même trahi ses sentiments. Comment cet homme pour le moins rigide a-t-il réagi à l’idée d’une séparation ?

Les proches redoutent le pire tout en gardant un infime espoir. Car plus que quiconque aujourd’hui, ils savent que les enquêteurs s’attachent à assembler les pièces d’un terrible puzzle… le corps d’une femme calcinée, une épouse disparue, de sérieux déboires conjugaux, une voiture suspecte, des témoignages inquiétants et un mari empêtré dans ses dénégations…

E.L.


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« La Mégane était garée devant chez moi, comme pour se planquer »

Un lecteur de l’union a sursauté, hier, en lisant dans nos colonnes qu’une Renault Mégane était impliquée dans l’affaire du corps carbonisé. « Lundi et mardi, une Mégane que je n’avais jamais vue auparavant est venue se garer devant chez moi, au bout d’une impasse, comme pour se planquer. Il y avait un couple le premier jour. Le lendemain, l’homme était seul, et son comportement m’a paru étrange. »

Renseignement pris, cette Renault Mégane est bien celle retrouvée par la police esplanade Paul-Cézanne. « Lundi matin, à 6 heures, j’ai découvert cette voiture garée près de mon portillon, au fond de l’impasse », témoigne le monsieur, un retraité de 69 ans domicilié dans une voie sans issue, derrière la piscine de l’allée des Landais. « Ça m’a intrigué car pour moi, venir ici, ce n’est pas se garer mais se planquer. Les seules personnes extérieures au voisinage qui se garent ici, bien souvent, c’est pour faire des échanges de farine, si vous voyez ce que je veux dire. J’ai donc surveillé. En milieu de matinée, un couple est arrivé et a déneigé la voiture. Je suis allé les voir. Ça n’avait pas l’air houleux entre eux, aucune animosité. Je leur ai signifié gentiment que c’était un endroit réservé aux riverains et qu’ils n’avaient pas à se garer là. « On ne reste pas longtemps », m’ont-ils dit, puis ils sont partis avec la voiture. »

Le lendemain soir, vers 20 h 30, le retraité avait oublié cette histoire lorsqu’il a eu la surprise d’assister au retour de la Mégane. « L’homme était seul. Je n’ai pas vu la femme. Il s’est garé au même endroit. Je l’observais derrière les rideaux. Et là, il s’est passé quelque chose de bizarre. Il est descendu, il est allé à mon portillon, il a jeté un rapide coup d’œil par-dessus, comme pour vérifier que personne ne l’avait pas repéré, puis il a filé à pied vers la piscine. Le temps que j’ouvre la porte, il avait disparu. La Mégane est repartie dans les deux heures qui ont suivi, mais je ne sais pas quand. » Le lendemain après-midi, le même véhicule s’enfuyait du parking où le corps carbonisé a été retrouvé. Seulement 200 mètres séparent les deux endroits. Que venait donc faire l’occupant de la Mégane dans cette impasse ?

F.C.

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L’hebdo du vendredi- n° 192 - 101203a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 192 - Semaine du 03 au 09décembre 2010


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Solidarité - Langage des signes : Des mots en gestes, pour se comprendre

Pendant toute une semaine, Sophie et son collègue Jérôme animent les stages intensifs.
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Quelles soient ses motivations, personne ne s’inscrit jamais par hasard aux stages proposés par l’association Des Gestes Pour se Comprendre (DGPC). Dispensés par des professeurs eux-mêmes sourds, les cours d’apprentissage s’adressent à un large public, qu’il soit entendant ou non.

À l’instar d’un cours de langue étrangère, la formation en langue des signes française s’effectue par niveaux d’évolution (douze au total). Le premier palier correspondant à la maitrise en langage des signes des expressions courantes, des termes liés au corps et des formes. Au douzième niveau, l’élève est potentiellement capable de tenir une conversation en gestes. Pour se familiariser avec ce langage, des cours hebdomadaires, semi-hebdomadaires et des stages intensifs sont mis en place par l’association DGPC, principalement pendant les vacances scolaires. « C’est un apprentissage qui demande une très grande concentration. Par exemple, les stages intensifs durent toute une semaine à raison de six heures de cours chaque jour » avertit Sophie, professeure sourde en langage des signes, par l’intermédiaire d’Amélie qui assure l’interprétation. Sourde de naissance, Sophie souligne « l’indispensable nécessité pour les élèves entendants, de s’entraîner régulièrement pour ne pas perdre les connaissances acquises ».

Des élèves aux profils différents

Parmi les personnes présentes ce jour-là, Aurore, qui travaille au contact d’enfants sourds ou malentendants : « j’ai la chance de pouvoir m’entrainer à communiquer par signes avec les enfants dans le cadre de mon emploi, il faut une pratique constante ». A ses côtés, Odile suit ces mêmes cours depuis un an déjà : « moi je suis en train de perdre l’audition, alors apprendre le langage des signes est une chose indispensable pour moi, afin de ne pas me murer dans le silence… ». D’une manière générale, les élèves désireux d’apprendre la langue des signes française le font le plus souvent dans le cadre d’une formation professionnelle, pour pouvoir communiquer avec un proche atteint de surdité, ou simplement par intérêt personnel. Sophie (et son collègue Jérôme) réalisent régulièrement des opérations de sensibilisation dans les collèges, lycées, universités, dans les hôpitaux, mais également en milieu professionnel. En conclusion, si l’apprentissage du langage des signes n’est aujourd’hui pas encore assez diffusé, il est à noter que l’évolution des technologies est, elle, un vrai pas en avant pour les personnes sourdes (accès à internet, appels téléphoniques en visiophonie, etc.). Une manière de communiquer plus rapidement et d’oublier complètement son absence auditive.

Aymeric Henniaux

Renseignements :

infos.lsf@dgpc.fr /
www.dgpc.fr /
03.26.08.96.48

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Union101202b

Une famille victime d’insultes et de menaces

REIMS (Marne). QUI en veut à la famille Xima ? Depuis un mois et demi, le couple et ses six enfants - dont trois handicapés malvoyants - font l’objet de menaces et d’insultes griffonnées autour de leur appar- tement de l’esplanade Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge.

« Ça a commencé par des insultes sur notre boîte aux lettres », raconte Mme Xima. « A l’époque, on n’y a pas trop prêté attention mais, il y a quinze jours, on a retrouvé des menaces sur la porte de notre appartement et sur les murs du palier. Il y en a encore eu dans la nuit du 20 au 21 novembre. Elles étaient toutes écrites au marqueur. »

L’individu s’en prend méchamment au couple, à ses enfants handicapés, mais, lui, est sérieusement handicapé de l’orthographe : « Toi, ta femme et tes gosse, ont vas vous crevé » ; « handicapé manto » ; « famille handicapée » ; « batar ».

Aucun ennemi connu

La famille a porté plainte auprès des services de police. Domiciliée depuis cinq ans à Croix-Rouge, elle ne se connaît pas d’ennemis et n’a aucun souvenir d’une altercation avec qui que ce soit.

Les époux soupçonnent également la même personne de ne pas être étrangère à la dégradation de la camionnette du mari, chauffeur-livreur. « C’était deux jours après les insultes sur la boîte aux lettres. Le carreau du camion a été cassé. Il n’y a pas eu de vol car il n’y avait rien à prendre à l’intérieur. »

La famille n’a qu’une idée en tête : déménager au plus vite, d’autant qu’elle se plaint depuis longtemps de l’humidité de son appartement. « Il est rempli de moisissures. »

Bonne nouvelle : leur demande de relogement a été acceptée. « On attend maintenant les propositions. »

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Union101202a

Un corps retrouvé carbonisé derrière une voiture

Le corps carbonisé a été retrouvé derrière ce Touran Volkswagen.
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Les experts de la police judiciaire ont procédé aux constatations matérielles.
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La voiture n’a que partiellement brûlé.
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Le drame s’est produit sur ce parking de l’allée des Bourguignons, au quartier Croix-Rouge à Reims.
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REIMS (Marne). Hier après-midi, le corps carbonisé d’un inconnu a été découvert derrière une voiture partiellement brûlée, sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims. Meurtre ? Accident ? Suicide ? Le mystère demeure.

15 h 05, hier après-midi, allée des Bourguignons à Reims. « J’étais chez moi quand j’ai entendu un petit boum », raconte une habitante. « Ça ressemblait au bruit des voitures quand « ils » les font exploser ici. J’ai vu une petite fumée se dégager. »

Au bas de son immeuble, un véhicule commence à prendre feu. Un de plus, pensent alors tous les témoins, tant les incendies de voitures sont fréquents dans cette allée du quartier Croix-Rouge dominée par une interminable rangée de barres. Sauf qu’hier après-midi, il ne s’agit pas d’un feu de voiture ordinaire. Derrière le véhicule partiellement calciné, les secours retrouvent un corps carbonisé.

Cadavre sans nom

Meurtre ? Incendiaire brûlé accidentellement ? Suicide par le feu ? Aucune information n’a filtré hier, à supposer que les enquêteurs en disposent. « Une voiture a brûlé, une personne carbonisée se trouvait à côté. Nous n’en savons pas plus. Nous ignorons jusqu’au nom de la victime qui n’est pas identifiable », déclarait en soirée Fabrice Belargent, procureur de la République de Reims. Même le sexe restait indéterminé.

L’enquête actuellement ouverte pour « recherche des causes de la mort » a été confiée au SRPJ. Pendant plusieurs heures, les policiers ont bouclé les alentours pour procéder aux constatations matérielles. Le véhicule - un Touran Volkswagen - était garé entre deux voitures, en marche arrière, pratiquement au contact d’un parapet. Le corps gisait dans ce faible espace. Seule une partie du Touran a été détruite, jusqu’au niveau des portières arrière.

Un suspect en Renault Mégane

N’excluant aucune hypothèse, les policiers ont fouillé les poubelles, à la recherche d’éventuels indices, et entamé une classique enquête de voisinage : relevé d’identité des passants, porte-à-porte chez les riverains, tous sous le choc de l’horrible nouvelle. Habitués aux dégradations, ils le sont, mais pas à une mort aussi violente en pleine journée, sous leurs fenêtres, sur un parking fréquenté.

Ce ratissage du quartier par les services de police a permis de recueillir le témoignage d’une personne qui a remarqué la présence d’une Renault Mégane peu de temps avant l’incendie. Elle a vu un homme en descendre, se diriger vers l’arrière du Touran Volkswagen, là où le feu allait prendre, « comme pour jeter un coup d’œil », avant de repartir.

Une immatriculation partielle a été relevée. Il se trouve qu’elle est très proche d’une Renault Mégane repérée en soirée dans un autre secteur de Croix-Rouge, esplanade Paul-Cézanne. Identifié, l’utilisateur du véhicule a été conduit à l’hôtel de police pour vérifier s’il avait un alibi au moment du drame. Le résultat de son audition n’était pas encore connu à l’instant où nous écrivions ces lignes.

Les prochaines heures, voire les prochains jours, vont probablement apporter de nouveaux éléments utiles à l’enquête de police. L’identification de la victime en est un. Des réponses sont également attendues avec l’autopsie prévue aujourd’hui. La victime est-elle morte carbonisée ou était-elle déjà décédée - et de quoi - quand son corps a pris feu ? Une zone d’ombre parmi d’autres dans cette affaire hors du commun.

Fabrice CURLIER et Eric LAINÉ

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Union101201a

Palmes académiques / La section marnaise toujours dynamique

Martine André fut promue au rang d’officier.
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Pol Lavefve a été nommé chevalier.
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La section de la Marne de l’Amopa, l’association des membres de l’ordre des Palmes académiques, a tenu son assemblée générale annuelle dans les locaux du collège Jean-Moulin à Saint-Memmie où le président, Jean-Marie Munier, a rencontré MM. Reibel, principal du collège et Adnot, inspecteur adjoint, représentant l’inspectrice d’Académie. Il a présenté la ville de Saint-Memmie, en rappelant que l’origine du nom était liée à celui de l’abbaye de Saint-Menge, qui donna leur nom aux habitants : « les Mengeots ».

Le rapport moral présenta une section de la Marne qui fonctionne à la satisfaction générale et qui fait preuve d’un dynamisme jamais démenti.

Le rapport d’activités, présenté par Hélène Charpentier, secrétaire, récapitule les nombreuses activités culturelles et conviviales de l’association durant l’année écoulée, qui connurent un franc succès.

La seconde partie de cette assemblée fut consacrée à une conférence de Martine Carrieu, directrice du service du développement économique de Cités en Champagne sur « Les axes de développement économique de l’agglomération châlonnaise ».

Décorations

Enfin, en troisième partie de cette assemblée, place à la remise de décorations à quatre personnes. Il s’agit de : Martine André, directrice de l’école d’application La-Fontaine à Châlons, promue au rang d’officier, Marie-Françoise Grenier, professeur d’histoire géographie au collège Georges-Braque à Reims, promue au rang d’officier, Joëlle Grandjean, professeur de lettres modernes au collège Perrot-d’Ablancourt à Châlons, nommée chevalier et Pol Lavefve, expert-comptable et professeur d’économie gestion, retraité pour les deux activités, nommé chevalier.

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Union101130f

Idées cadeaux : Des fêtes solidaires avec l’Unicef

Le comité départemental Unicef de la Marne (12, place Georges-Braque) expose les nouvelles collections de cartes de vœux ainsi que des décorations et cadeaux de Noël.

Les membres du comité seront présents sur un stand à l’intérieur du magasin Ikea de Reims-Thillois jusqu’au 24 décembre, dans un chalet sur le village de Noël, place d’Erlon, au centre de Reims, les 20, 21, 22 et 23 décembre ainsi qu’à la permanence, 12, place Georges-Braque, du lundi au vendredi de 14 h 30 à 18 heures, pour proposer un large choix de produits.

Avec les appels de fonds, la vente de ces produits fait partie des initiatives mises en place par l’Unicef pour assurer à chaque enfant dans le monde, santé, éducation, égalité et protection.

Des cartes de vœux et des produits

L’Unicef présente une variété de cartes de vœux à découvrir en intégralité dans ses différents points de vente, des plus classiques aux plus fantaisistes. L’Unicef propose également des étiquettes cadeau autocollantes, des agendas, calendriers et « P’tit ours marionnette », pour raconter de belles histoires à tous les enfants. Les cartes Unicef sont vendues, par paquet de 10 au prix de 7 €, l’équivalent d’une bâche-abri d’urgence.

Comité Unicef de la Marne, 12 place Georges-Braque à Reims. Tél. 03.26.05.80.10.

www.unicef.fr

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Union101130e

Calendrier du Reims Acrap patinage : Gala de Noël le dimanche 19 décembre

Le club au tournoi de France au Havre.
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Le Reims Acrap patinage a établi le calendrier des principales manifestations à venir cette saison.

Samedi 4 et dimanche 5 décembre, tournoi de France de danse sur glace (« Trophée Jean-Jacques Lapique ») à la patinoire Bocquaine. Vendredi 17 décembre, à 18 heures, spectacle de Noël, avec passage du père Noël vers 19 h 30, à la patinoire Jacques-Barot. Dimanche 19 décembre, à 18 h 30, gala de Noël, à la patinoire Bocquaine.

Samedi 23 et dimanche 24 avril, coupe de la Champagne (compétition interclubs de danse sur glace), à la patinoire Bocquaine. Mai 2011 : Coupe Barot, compétition interne au club, ouverte à tous.

Dimanche 22 mai, répétition générale pour le gala, à la patinoire Bocquaine. Vendredi 27 mai à 19 h 45, gala annuel du Rap à la patinoire Bocquaine. Vendredi 3 juin à 20 h 30, assemblée générale du club.

Renseignements : secrétariat Acrap/Rap, 11 avenue du président Kennedy (derrière l’hippodrome), ouvert du lundi au jeudi de 13 à 17 heures et le vendredi de 9 à 11 heures. Téléphone 03.26.06.39.54.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union101130d

A la médiathèque Croix-Rouge : Une belle initiative

Julie Eboundit (Médiathèque Croix-Rouge) et Marie-France Pernet (Job’s 51) : déjà 30 visiteurs à la mi-journée !
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Le secteur Emploi-Formation de la médiathèque Croix-Rouge fait découvrir plusieurs corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année. La dernière session, mercredi 24 novembre, était dédiée aux métiers de l’aide à domicile et des services à la personne, avec à la clé, une information sur le chèque emploi service universel (Cesu). Elle a rencontré un vif succès.

Une douzaine de stands attendaient les visiteurs, de tous âges, des collégiens et lycéens aux adultes jusqu’aux seniors : la médiathèque, Job’s 51, l’espace Métiers de la Maison de l’emploi, la Mission locale de Reims, l’Aradopa, la Fédération des particuliers employeurs (FePEm), Axxis, les Aides ménagères rémoises (AMR), Maison et Services (services à la personne), l’UFCV, le Greta de Reims et le Cref.

De toute évidence, cette initiative répondait à un réel besoin.


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