Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mai 2011.
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Numéro 7396 du 30 mai au 5 juin 2011.
Par jugement en date du 24/05/2011, le tribunal de commerce de REIMS a décidé la résolution du plan de redressement, a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’encontre de VARLET Jean-François Raymond Georges, 3 rue Marie Dominique Maingot - 51100 REIMS. R.C.S. REIMS 2005 A 123 - 332 353 614. Activité Restauration de pianos, achat et vente de pianos.
Mandataire judiciaire SCP DARGENT TIRMANT RAULET. (Maître Bruno RAULET), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné.
95986 Le greffier : Bernadette DELPY.
La page d’accueil du site.
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Ouvertes à tous les âges et riches de mille et une activités et services, les treize maisons de quartier ont enfin un site internet à la hauteur de leur rôle au service de la population rémoise.
Depuis 2002, les 26 centres sociaux et Maisons de jeunes et de la culture ont cédé la place à 13 maisons de quartier. Si la mise en place de ces nouvelles structures via l’association des maisons de quartier n’est pas si simple à réaliser, les Rémois vont apprécier la mise en place du nouveau site internet : www.maisondequartier-reims.fr, qui est une mine d’informations. Facile d’usage, rapide, il va permettre à tous de savoir ce que leur propose comme loisirs et comme services la Maison de quartier la plus proche de chez eux, mais aussi leur permettre, à la carte et par catégorie d’âges, de savoir où ils peuvent pratiquer le sport de leur choix, garder leur enfant, se faire vacciner, rencontrer une assistante sociale, faire de la musique ou louer une salle pour une soirée familiale ou une répétition musicale.
Pas inintéressant. Avant de proposer son riche panel d’activités dans ses treize structures, l’association des Maisons de quartier rappelle son rôle au service de toutes les catégories d’habitants, de la petite enfance aux seniors et ses valeurs. Des activités à caractère social, familial, éducatif, socioculturel et culturel. Et l’on rappelle qu’une Maison de quartier est un foyer d’initiatives porté par des habitants et appuyés par des professionnels qui met en œuvre un projet de développement social pour la population de tout un territoire.
En quelques clics, vous pourrez découvrir toutes les activités et les services proposés dans les Maison de quartier grâce à différents partenaires : la ville, la caisse d’allocations familiales, le département, mais aussi tout le monde associatif.
Par catégorie d’âge (de 0 à 5 ans, de 6 à 12 ans, de 13 à 17 ans, plus de 18 ans et seniors), par pôle thématique vous pouvez trouver l’activité que vous cherchez ou en découvrir que vous ne connaissez pas.
De l’aïkido à Val-de-Murine au VTT à Clairmarais, du chant choral au studio d’enregistrement, de la danse country au hip-hop, de l’anglais au cours de théâtre, de la cuisine au café parents ou club senior.
Une large place est bien sûr consacrée aux services proposés par le département, Mars (aide aux victimes) etc. : relais assistante maternelle, conciliation, bibliothèque, éducation à la prévention. Vous saurez où vous pourrez disposer d’une salle pour des soirées familiales (dommage que les prix ne soient pas indiqués NDLR). Si vous voulez faire garder vos enfants de 3 mois à 5 ans, vous découvrirez les sites multi accueil (qui remplacent les halte garderies d’antan), les possibilités d’accueil le mercredi et durant les petites vacances.
Un seul regret peut-être, la séquence actualité est un peu pauvre ou périmée. Mais pour le reste, chapeau.
Alain MOYAT
Pour la 5e et dernière journée des Interclubs, tous les regards étaient tournés vers les Thiolettes où les filles de l’Europe Club jouaient la montée contre Sarreguemines, la lanterne rouge de la poule. La logique a été respectée même si les Rémoises menaient seulement 3-2 à l’issue des simples. Nathalie Mohn, victime d’une blessure à la cuisse, a dû abandonner et que l’habituelle n° 5 Laetitia Tordo était absente pour cause d’une fracture de la malléole. Avec un poids d’équipe nettement supérieur, les « Européennes » ont aisément remporté les doubles pour gagner le droit d’évoluer en N1B l’an prochain.
Pour le reste, tout était déjà joué. Ainsi, Cormontreuil a quitté la N2 en subissant une lourde défaite à Melun (8-0). Même score en N3 pour Vitry qui, assuré de son maintien, a présenté une équipe bien trop faible pour lutter contre le leader Belfort. En N4, battu à Nancy (4-3), le Reims Europe Club n’aura donc pas gagné un seul match cette saison et retourne à la case prénationale alors que le TC Géo-André a très brillamment assuré son maintien en allant dominer la réserve de Paris Jean-Bouin (7-1).
Enfin, en N3 féminine, les filles de Géo-André ont impressionné en prenant le meilleur sur Merlebach (5-2) avec trois « perfs » en simple. Un succès qui pourrait même propulser la troupe de Geoffrey Alessio en division supérieure suivant la probable refonte des championnats.
MELUN. – Melun TC Val de Seine bat Cormontreuil TC 8-0.
Marse (-30) bat Robert (-2/6) 6-3, 6-3 ; Hernando Ruano (-15) bat Jolly (-2/6) 6-3, 6-1 ; Kromann (-15) bat Beuque (-2/6) 6-3, 6-1 ; Charron (-4/6) bat Visy (0) 7-5, 6-4 ; Fabrici (3/6) bat Soumet (2/6) 7-6, 6-4. Marse –Hernando Ruano battent Robert – Visy 7-6, 6-0 ; Kromann – Fabrici battent Beuque – Soumet 6-1, 6-4.
BELFORT. – ASM Belfort bat TC Vitryat 8-0.
Nussbaum (-15) bat Lalouette (0) 6-3, 5-7, 7-5 ; Schena (-15) bat Blossier (2/6) 6-2, 6-1 ; Meyer (-4/6) bat G.Jeanrat (15) 6-2, 6-0 ; Dubois (1/6) bat Mulat (15/1) 6-3, 6-2 ; Rigon (2/6) bat B.Jeanrat (15/2) 6-0, 6-1. Schena – Meyer battent Blossier – G.Jeanrat 6-0, 6-3 ; Dubois – Rigon battent Mulat – B. Jeanrat 5-7, 7-6, 1-0.
NANCY. – TC Nancy Foret de Haye bat Reims Europe Club 4-3.
Leonet (0) bat Gajanovic (1/6, REC) 7-5, 6-4 ; Bourgoin (1/6) bat Seuret (2/6, REC) 6-3, 6-4 ; Tiessen (3/6) bat Castelhano (2/6, REC) 7-5, 6-4 ; Bonnet (3/6, REC) bat Faggioli (15) 7-5, 6-1 ; Clausse (5/6, REC) bat Briquet (15) 6-1, 6-0. Bourgoin – Tiessen battent Gajanovic – Castelhano 1-0 abandon ; Seuret – Bonnet battent Leonet – Faggioli 1-0 abandon.
PARIS. – TC Géo-André bat Paris Jean Bouin (B) 7-1.
Kalaydjian (0) bat Munier (1/6, Géo-André) 4-6, 7-5, 6-0 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Bismuth (3/6) 6-1, 6-3 ; Pignon (3/6, Géo-André) bat T. Oumaouche (15) 6-1, 6-4 ; Paillard (3/6, Géo-André) bat Bensoussan (15) 6-2, 6-0 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat R. Oumaouche (15) 6-3, 6-4. Pacanowski – Paillard battent Kalaydjian – T. Oumaouche 6-4, 6-1 ; Leroy – Pignon battent Bismuth – Bensoussan 6-1, 6-4.
REIMS. – Reims Europe Club bat AS Sarreguemines 6-2.
Magdalena Kiszczynska (-30, REC) bat Sylvie Philippi (2/6) 6-0, 6-0 ; Oriane Lanier (2/6) bat Nathalie Mohn (-4/6, REC) 5-4 abandon ; Sabrina Bamburac (-4/6, REC) bat Déborah Krieger (2/6) 7-5, 6-1 ; Marie Menacer (-2/6, REC) bat Carole Stroh (3/6) 6-3, 6-3 ; Sabrina Hilpert (4/6) bat Emilie Gaillot (3/6, REC) 6-3, 6-2. Magdalena Kiszczynka – Sabrina Bamburac battent Oriane Lanier – Sylvie Philippi 6-1, 6-2 ; MarieMenacer – Muriel Legué (5/6, REC) battent Déborah Krieger – Carole Stroh 6-4, 6-1.
REIMS. – TC Géo-André bat Freyming Merlebach 5-2
Tania Ostertag (-30) bat Charline Braidy (-4/6, Géo-André) 6-4, 4-6, 6-2 ; Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) bat Mylène Hernja (2/6) 6-3, 6-1 ; Cindy Castille (4/6, Géo-André) bat Claire Houdelstein (3/6) 7-6, 6-3 ; Aurélie Marchal (4/6, Géo-André) bat Mathilde Wieder (3/6) 6-2, 4-6, 6-2 ; Maeva Spooner (15, Géo-André) bat Céline Houdelstein (4/6) 6-2, 3-6, 7-6. Tania Ostertag – Claire Houdelstein battent Charline Braidy – Aurélie Marchal 4-6, 7-6, 1-0 (10/8) ; Claire Makhloufi – Cindy Castille battent Mathilde Wieder – Céline Houdelstein 6-2, 6-0.
Pour Marion Gornet et Rudy Seri, le Creps de Reims est une étape importante sur la route de l’excellence sportive.
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Sport et études ne font pas bon ménage a-t-on coutume d’affirmer. Le Creps de Reims se charge de tordre le cou à cette croyance avec une réussite scolaire qui frise les 100 %.$
LE sport incompatible avec les études ? Paradoxalement, s’il est pratiqué à haute dose et à haut niveau, le sport est plutôt un accélérateur de bons résultats scolaires. Pour s’en convaincre, il suffit d’analyser le taux de réussite des pensionnaires des pôles (France et Espoirs) basés au Creps de Reims. « L’an dernier, nous avons eu un seul échec sur les 150 élèves scolarisés », souligne Noémie Ferry, la CPE au Creps. Un bon point. L’ancienne escrimeuse châlonnaise ajoute « qu’il n’y a pas eu de redoublement, pas de réorientation non plus ». Un autre bon point.
Bref, un échec (BEP) sur 150… cela frise la perfection pour ces collégiens (27/27 reçus au brevet), lycéens (9/9 au bac S ou ES) et étudiants. A la lumière de ces chiffres, on se demande pourquoi il n’y a pas plus de demandes pour fréquenter l’établissement de la route de Bezannes. La principale raison est… sportive. Car intégrer un pôle, ça se mérite. « Le recrutement est effectué par les responsables techniques avant que le dossier scolaire ne soit étudié », explique Anne Barrois, la responsable du service du haut niveau.
Même un élève en difficulté a des chances d’être accepté (*). Charge à lui de faire les efforts nécessaires, de profiter des heures de tutorat et de soutien prodigués par le Creps pour augmenter sa moyenne. « Le rectorat nous alloue 972 heures, 27 heures par semaine, d’aide scolaire », précise Noémie Ferry. Les lundi, mardi et jeudi, les pensionnaires du Creps suivent le soir une heure et demie de soutien par petits groupes. Plus et mieux que s’ils étaient à la maison !
Cela permet de rattraper les éventuelles absences du lundi matin (retour de compétition) et/ou de compenser les aménagements d’emploi du temps (fin des cours à 16 h 30 au lieu de 17 h 30 afin de suivre les séances d’entraînements).
Ces champions en devenir sont choyés. Ils ont l’obligation, en retour, de mettre tout en œuvre pour réussir. « Ils ne doivent pas avoir de problèmes de comportement », affirme avec force Anne Barrois.
Entraînements, récupération, cours dans les collèges ou lycées, soutien au Creps : la vie de ces jeunes gens ressemble à s’y méprendre à une vie de moine. « C’est vrai, ils sont encadrés », reconnaît Noémie Ferry. Pas de télévision dans les chambres, une seule soirée TV le mercredi soir, extinction des feux à 21 h 30 pour les collégiens, 22 heures pour les lycéens : une discipline à laquelle ils se plient sans rechigner. Car après tout, « s’ils sont là, c’est un acte volontaire, c’est pour le sport, même s’ils savent que tous n’accéderont pas au plus haut niveau », ajoute Noémie Ferry. L’absentéisme scolaire est proche du zéro.
Le week-end ne ressemble pas pour autant à un exutoire. Car, quand ils reviennent dans leurs familles, c’est le plus souvent pour boucler leur sac de sport et repartir aussitôt avec leurs clubs…
(*) L’un des pensionnaires du Creps est arrivé en 1re S avec une moyenne de 5. Grâce au tutorat, aux heures de soutien et à son investissement, il est passé en Terminale S où il a une moyenne de 14,5.
Quand on a 16 ou 17 ans, que l’on vit sa troisième année de pensionnaire, que l’on cherche à marier harmonieusement sport au quotidien et études (presque) toute la journée, quels sont les leviers qui vous font avancer, qui vous permettent de gommer les moments difficiles ? Marion Gornet et Rudy Seri appartiennent aux Pôles Espoirs de judo et de handball. Tous deux ont passé avec succès les tests d’admission au Creps. Il y a trois ans, ils ont fait leurs sacs de sport, ont entassé leurs cahiers, leurs bouquins dans leurs cartables et quitté leurs familles pour emménager route de Bezannes.
« A Montmirail, j’ai toujours été une bonne élève », raconte Marion. « Avant de venir à Reims, j’ai eu mon brevet avec mention bien ». Aujourd’hui, cela n’a pas changé. La judokate poursuit brillamment son cursus scolaire en 1re S au lycée Arago et ne rate pas une occasion de fréquenter la salle de tutorat. « J’y vais volontairement. Pour les maths et la physique surtout. C’est facile de travailler dans ces conditions », souligne-t-elle. L’aménagement de ses horaires de cours ne la pénalise pas. « Le mardi et le jeudi, je quitte à 10 heures et à 16 heures pour suivre les séances d’entraînement ». Les heures qui sautent – des heures d’EPS – sont compensées par deux stages globalisés, en début et fin d’années. « On leur propose alors de découvrir des disciplines complètement différentes de celles qu’ils pratiquent intensivement », explique Anne Barrois. Par exemple, l’an dernier, les pensionnaires du Creps ont découvert l’équitation.
A 17 ans, Rudy est un grand voyageur. Le capitaine de l’équipe de France de handball cadets a quitté Epernay pour le club de Reims puis celui de Troyes.
En classe de seconde Ventes à Joliot-Curie, il n’est pas perturbé par ses études. Il ne manque aucune heure de cours – « Il n’y a pas d’aménagement possible de l’emploi du temps avec mon lycée, je rate même deux séances d’entraînement » – et n’utilise pas les heures de tutorat. « Il n’y a pas beaucoup d’heures des matières de base comme le français et les maths », souligne-t-il. L’une comme l’autre ont donc trouvé leurs marques. Ils se sentent bien au Creps au point que, quand on questionne Marion sur son avenir scolaire, elle est déterminée : « Je ne vois pas réintégrer un lycée normal ».
Le Creps, le rectorat et de nombreux établissements scolaires œuvrent pour le bien-être et le meilleur enseignement possible des sportifs appartenant à l’un des pôles (espoirs ou France) de la stucture rémoise.
Le collège François-Legros, les lycées Arago, professionnel Joliot-Curie, Libergier, Croix-Cordier à Tinqueux et Val de Murigny ont signé des conventions. D’autres établissements, qui accueillent moins de sportifs, développent un partenariat avec le Creps et aménagent les emplois du temps au coup par coup. C’est le cas du lycée Chagall, de Jean XXIII ou pour les post-bac de l’UFM K (kiné), de RMS, Staps, Médecine ou encore de la fac de Droit et de Lettres.
Impressionnant, les chevaux de Vincent, spécialiste des voltiges équestres.
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Il y a la campagne place d’Erlon, il y a aussi la ferme à l’hippodrome ! A l’initiative des Jeunes agriculteurs, cochons, vaches et tracteurs ont animé le week-end.
LES Jeunes agriculteurs de la Marne se sont donnés du mal ce week-end pour amener la ferme au plus près des citadins : samedi, ils ont mêlé leurs activités à celle du PMU, activité traditionnelle de l’hippodrome, et hier, sous un soleil de plomb, ils ont fait venir beaucoup d’amateurs de la campagne.
Les familles ont profité de ce dimanche pour venir voir des cochons, des vaches, des oies, ou bien faire des tours de poney. Les enfants pouvaient aussi s’amuser dans les structures gonflables, ou sur le taureau mécanique. Juste à côté des énormes tracteurs, de plus petits et à pédales, permettaient aux jeunes de connaître leurs premières sensations d’agriculteurs, avant de monter dans les « vrais » engins des céréaliers notamment.
Les Jeunes agriculteurs ont aussi réalisé des défis, formant deux équipes : les jeunes du Sud de la Marne contre ceux du Nord. Avec notamment du tir à la corde, un relais de course en sac et le fameux baby-foot humain, déjà vu à l’hippodrome. Un zeste de spectacle équestre, des petites courses au marché du terroir, et voilà une après-midi bien remplie, sans avoir besoin d’aller à la campagne !
G.F.
Une étudiante d’une vingtaine d’années, originaire de Taïwan, a été victime d’un vol à l’arraché, samedi à proximité de la faculté de lettres dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
L’agression a eu lieu vers 17 heures alors que la jeune fille regagnait son domicile rue de Rilly-la-Montagne. Selon ses déclarations, un individu, seul, encagoulé et entièrement vêtu de noir est soudainement arrivé derrière elle avant de s’emparer de son sac à main. L’agression a suffisamment été violente pour faire chuter la victime qui a dû être transportée vers le CHU.
Le sac à main contenait entre autres sa carte bancaire, ses papiers d’identité ainsi qu’un appareil photo. La jeune Taïwanaise a déposé plainte dès sa sortie d’hôpital ce dimanche.
Samedi soir aux alentours de 20 heures, les policiers sont appelés pour une rixe avenue Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
Les gardiens de la paix prennent les choses d’autant plus au sérieux qu’un témoin affirme avoir vu une hache dans les mains de l’un des protagonistes.
Sur place, les forces de l’ordre aperçoivent effectivement un homme blessé, notamment à la tête. La victime explique alors avoir été agressée sans raison par un homme muni d’un sabre.
Arrivés sur les lieux de l’agression, les pompiers se rendent compte que l’homme, un Rémois d’une trentaine d’années, présente une large coupure au niveau de l’épaule et que son état nécessite plusieurs points de suture. Pourtant, à la grande surprise des secours, le blessé refuse purement et simplement son transport à l’hôpital. Il a donc signé une décharge avant de regagner son domicile.
L’homme devrait être reconvoqué dans les prochains jours à l’hôtel de police de Reims.
La collision a eu lieu aux alentours de midi dans le quartier Croix-Rouge. Christian LANTENOIS
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Plus de peur que de mal hier après « la collision » entre un tramway et une voiture.
L’accident, qui n’a fait aucune victime tant parmi les passagers du tram que de ceux de la Peugeot 206, a eu lieu aux alentours de midi, devant l’hippodrome dans le quartier Croix-Rouge.
Le conducteur de la 206 a, semble-t-il coupé la route du tramway qui est venu heurter l’arrière de la voiture occasionnant quelques dégâts sur la Peugeot. L’incident n’a provoqué aucun retard sur la ligne, le tram ayant repris son trajet rapidement.
Aurélie Marchal et Géo-André pour une der sans pression.
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Forcément déterminante, la cinquième et dernière journée des Interclubs permettra aujourd’hui à certains clubs de connaître leurs destinées pour la saison prochaine.
En N2, Cormontreuil, condamné à la relégation, se déplacera à Melun l’esprit libéré. Souvent le meilleur moyen de briller….
En N3, assuré du maintien, Vitry a pris l’option de ne pas jouer la montée. A Belfort, les partenaires d’Arnaud Lalouette risquent de souffrir face aux favoris à l’accession.
En N4, il s’agira pour le Reims Europe Club d’éviter la dernière place face à Nancy alors que Géo-André peut logiquement se déplacer à Paris en toute tranquillité.
Le match le plus important aura lieu aux Thiolettes où, en N2, les dames de l’Europe Club joueront la montée contre la lanterne rouge Sarreguemines. Une mission largement à la portée des « Européennes ».
Enfin, en N3, n’ayant plus rien à jouer, les filles de Géo-André chercheront à conclure en beauté à domicile contre Merlebach.
Mohammed Moulaï Hacène est sorti de son mutisme pour avouer le meurtre de son épouse.
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D’importantes zones d’ombre persistent dans le scénario livré par le mari.
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REIMS (Marne). Rebondissement dans l’enquête sur le meurtre sauvage de Lahouaria Moulaï dont le corps avait été incendié sur un parking de Croix-Rouge, en décembre dernier. Le mari, jusqu’alors enfermé dans un mutisme complet, a fini par avouer le crime.
MOHAMMED MOULAÏ HACÈNE, 34 ans, a finalement opéré une volte-face dans l’enquête sur le meurtre de son épouse pour lequel il est mis en examen et incarcéré depuis le 3 décembre dernier (notre édition du 4 décembre 2010). Récemment, cet homme sec au crâne dégarni a fait un grand pas sur le long chemin qui le sépare de la vérité judiciaire d’une affaire sordide. Long chemin car le suspect s’était enfermé dans une version insoutenable dès les premières heures de sa garde à vue. Deux heures après l’incendie du corps sans vie de Lahouaria Moulaï sur le parking des Bourguignons à Croix-Rouge, le mari est interpellé sur l’esplanade Paul-Cézanne. Une patrouille de la BAC, partie à la recherche d’une Renault Mégane grise, vient de le rejoindre. Sur les lieux du drame, un témoin a en effet aperçu un individu en fuite à bord d’un même véhicule, peu avant la combustion.
Au fil des interrogatoires, Mohammed Moulaï Hacène jure de son innocence. Il réfute toute implication dans la disparition de son épouse. Il soutient qu’elle a quitté leur appartement du quartier Clairmarais pour se rendre à son travail au Creps de Bezannes, le mardi 30 novembre au soir. Selon lui, il ne la revoit plus jusqu’à la découverte du drame le lendemain vers 15 heures. Les policiers de la PJ ont beau soulever ses incohérences et égrener une série d’indices, le suspect n’en démord pas. L’accablant témoignage du pompiste d’une station-service de Croix-Rouge le laisse de marbre. Pourtant, celui-ci est certain d’avoir servi le suspect en carburant, peu avant l’incendie. Une facturette accrédite d’ailleurs l’achat de bouteilles d’essence alors que la Mégane roule au diesel. Les traces de sang mises à jour par le luminol n’ébranlent pas davantage les dénégations du mari. Pourtant, le produit miracle bleu fluorescent - dont la police scientifique va asperger la malle de la Mégane grise du couple - en révèle d’importantes quantités. Preuve que la malheureuse a été tuée avant d’être transportée.
Mohammed Moulaï Hacène répète au contraire qu’il est resté chez lui pour faire le ménage en l’absence de Louharia. Sans jamais mettre le nez dehors et sans que le véhicule ne bouge de sa place de stationnement. Ce qui - évidemment - relève de l’absurde.
Plutôt que de s’expliquer, l’homme préfère répéter en boucle qu’il aime son épouse à la folie depuis ce coup de foudre qui les a fait se connaître en Algérie au début de l’année 2010. Un bonheur d’abord si parfait qu’ils s’unissent par le mariage dans le courant de l’été.
Même quand les policiers lui rappellent que cette union a été émaillée de tensions et au moins d’un incident sérieux, Mohammed Moulaï Hacène soutient le contraire. Il ne lâche donc rien, un peu comme s’il était frappé d’amnésie.
Récemment donc, il a comme repris ses esprits, estimant probablement que cette version initiale aurait peu de chance de convaincre.
Cette fois, il reconnaît être l’auteur du crime.
Une violente dispute aurait éclaté au sein du couple le mercredi 1er décembre. La scène de départ est - on s’en doute - tout à son avantage. Son épouse aurait saisi un couteau dans cet ultime face à face qui les aurait mis aux prises dans l’appartement.
Selon lui, il perd l’équilibre avant de s’emparer de l’arme du crime. Un couteau qu’il plonge dans le cou de Lahouaria jusqu’à lui trancher la gorge et avec pour résultat une large plaie béante, comme en attestent les résultats de l’autopsie connus depuis le mois décembre.
Simple réflexe de défense ? Difficile à croire. Car cette blessure nette et précise ne semble rien devoir à la précipitation et tendrait plutôt à privilégier un geste froid et précis.
Mais cette version n’est peut-être pas la dernière.
Car d’autres zones d’ombre subsistent. Par exemple, l’autopsie a révélé des traces de coups importantes à la tête et sur le corps de la victime. Hématome au crâne, mâchoire brisée et côtes fêlées témoignent de la violence et de l’acharnement de l’agresseur. Rien à voir avec celui qui, finalement, se pose presque en victime au début de l’action. Il faudra aussi que Mohammed Moulaï Hacène explique comment un suspect à ce point amnésique a trouvé l’énergie de faire le ménage dans l’appartement au point d’effacer toutes traces de sang visibles à l’œil nu et susceptibles de signer son crime.
Il devra revenir sur un autre pan du scénario. Quand, confronté à son macabre fardeau, il a dû faire preuve de détermination pour le dissimuler avant de le transporter dans le coffre de la Mégane et pour finalement y mettre le feu en plein jour sur un parking de Croix-Rouge.
Le chemin qui peut mener Mohammed Moulaï Hacène à livrer son terrible secret semble encore bien long…
Eric LAINÉ
elaine@journal-lunion.fr
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La fête de l’agriculture s’installe à l’hippodrome. Bernard SIVADE
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« L’agriculture nourrit aussi la population . » C’est par une remarque volontairement provocante que Jean-Baptiste Vervy et Peggy Settier, membres des Jeunes agriculteurs de la Marne, présentent cette nouvelle Fête de l’agriculture. Chez les JA 51, comme ils se nomment, on veut amuser, s’amuser, mais pas seulement. « Nous souhaitons discuter, échanger et passer des messages » lancent nos JA. « Le monde agricole s’éloigne du reste de la population. Voilà 50 ans, dans chaque famille, au moins un parent cultivait la terre. Ce n’est plus le cas aujourd’hui et la population ne nous voit plus qu’au travers des médias ». Du coup, c’est pour rappeler leur rôle primordial dans le cycle de l’alimentation que les jeunes organisent ce rendez-vous biennal. Et cette année, la fête revient dans la région rémoise, sur l’hippodrome de Reims.
Après la journée consacrée aux scolaires hier, tous les publics sont attendus aujourd’hui et demain. Si les animations seront nombreuses et festives (lire ci-contre), les JA veulent instaurer le dialogue pour « casser l’image de l’agriculteur qui pollue et se fait attaquer pour cela. Déjà, nous avons amélioré les volumes depuis 50 ans, mais aussi nos façons de faire. La nouvelle génération a pris conscience et ne va pas faire comme ses parents ». Du coup, les 167 adhérents des Jeunes agriculteurs de la Marne vont se relayer sur l’hippodrome pour rappeler le message : la production agricole marnaise annuelle nourrit potentiellement 10 millions de personnes sur la même durée (en équivalent calories). Voilà qui doit effectivement faire regarder le monde agricole d’un œil nouveau…
F.G.
Horaires : • Samedi de 11 à 19 heures avec possibilité ensuite d’assister à la réunion hippique jusqu’à 23 heures. • Dimanche de 11 à 20 heures. Entrée : 5 euros et 2 euros pour les enfants.
VIDEO / Les jeunes agriculteurs ne manquent pas d’humour pour promouvoir cette fête, regardez plutôt…
Articulé autour d’un pôle animaux (avec vaches, veaux, cochons, porcelets, lapins, poneys, moutons, canards…) et d’un pôle végétal (blé, orge, colza, betteraves, pois, pomme de terre…) où les agriculteurs expliqueront comment sont utilisées ces matières premières dans l’alimentation, cette Fête de l’agriculture propose aussi des animations moins traditionnelles.
Différentes démonstrations sont au programme de ces deux jours : haute voltige avec des chevaux, démonstration de chiens de troupeaux de moutons, puis tonte de ces derniers ainsi qu’un troupeau de canards menés par un chien !
Enfin, si les plus jeunes pourront s’amuser sur le circuit de tracteurs à pédales et avec les structures gonflables, des défis campagnards sont aussi programmés : curling humain, lancer de ballot, course en sac, baby-foot humain…
Vous pouvez retrouver des vidéos des entraînements à ces dernières activités ainsi que tout le programme de ce week-end sur le site www.ja51.fr.
La camionnette a percuté la rame après avoir omis de respecter le passage au stop.
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Un nouvel accident impliquant le tramway s’est produit hier matin au terminus de l’hôpital Robert-Debré, avenue du Maréchal-Juin. Contrairement aux précédents, il ne concernait pas un piéton, un cyclo ou une voiture, mais une camionnette.
« Il était 9 h 05 », témoigne un riverain, Alexandre Pierron. « Je me trouvais chez moi, au dixième étage d’une tour, quand j’ai entendu le tram faire « ding » plusieurs fois. Juste après, il y a eu un grand bruit de tôles. Je suis allé à la fenêtre. C’est là que j’ai vu l’avant du tram encastré dans une camionnette blanche. »
Le véhicule s’apprêtait à rejoindre le parking du CHU mais, d’après l’enquête de police, il n’a pas respecté le stop en s’engageant sur la voie du tramway. Il a traversé les rails au moment où la rame venait de redémarrer du terminus. Le choc s’est produit à l’avant gauche.
Légèrement blessés, les deux occupants du fourgon ont finalement rejoint le centre hospitalier, mais à bord de l’ambulance des pompiers. Aucune victime n’a été déplorée dans la rame. Les passagers ont été contraints de descendre et de poursuivre leur trajet, soit par un autre moyen, soit en attendant le prochain tram.
Les agents de Citura ont reculé la rame jusqu’au terminus, où ils ont pu faire demi-tour et libérer la voie (le trafic a été interrompu pendant 5 à 10 minutes). Ils l’ont ensuite ramenée au dépôt de Bezannes, après avoir enlevé une partie du « nez » pour faciliter son déplacement (la coque a été cabossée).
Cet accident est le cinquième porté à notre connaissance depuis la mise en service du tramway le 18 avril. Le premier a impliqué une voiture le 20 avril, deux autres un scooter les 5 et 13 mai, le dernier un piéton le 9 mai (notre édition du 18 mai). Seule la collision du 5 mai, survenue avenue Bonaparte, était corporelle, mais sans blessure grave.
JUSQU’AU 25 JUIN « D’OMBRE ET DE LUMIÈRES »
Des clichés empreints d’humanité sur la cathédrale, ses coulisses et son public, de Noureddine Rhaïssi.
Médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Zola
Mardi vers 23 h 30, une friteuse a pris feu dans un appartement de la place Georges-Braque, au n°10.
Le locataire l’a jetée par la fenêtre, du 3’ étage.
Légèrement blessé, il a été conduit au CHU par les sapeurs-pompiers.
Lundi vers 21 heures, les pompiers ont été appelés pour une fuite d’acétylène au lycée François-Arago.
Elle provenait d’un déten¬deur sur le site de stockage extérieur d’une quinzaine de bouteilles.
Aucun danger spécifique n’a été relevé.
La suite de l’intervention a été prise en compte par un technicien.
Numéro 7395 du 23 au 29 mai 2011.
Par jugement du 17/05/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : IDEAL’VERANDA (SARL), 53 esplanade Eisenhower -51100 REIMS.
Activité : Etude, conception, réalisation, commer¬cialisation, négoce de composants servant le bâtiment, la construction, l’environnement de la maison ménage et l’industrie, plus particulièrement la fabrication la rénovation et la pose de vérandas, pergolas, stores, châssis, volets et toutes ossatures alu, bois, plastiques, produits de synthèse composite et aluminium. R.C.S. REIMS 2008 B 336 -B 503 933 426.
95739 Le greffier : Bernadette DELPY.
Par jugement en date du 17/05/2011, le tribunal de commerce de REIMS a mis fin à la période d’observation et a prononcé la liquidation judiciaire au cours du redressement judiciaire de : Société à responsabilité limitée KD POSE, 10 rue de Rilly la Montagne -51100 REIMS. N. Registre du Commerce : (B 483 360 913) - 2005 B 420.
Activité : Rénovation, coffrage, pose de tous produits et d’éléments du bâtiment…
Mandataire liquidateur Maître DELTOUR François, 3 rue Noël -51100 REIMS.
95754 Le greffier : Bernadette DELPY.
Ce sera alors l’occasion pour les 160 membres du club de monter tour à tour sur la glace afin d’y interpréter, en tableaux, les chorégraphies de l’entraîneur, Ludivine Lemaire.
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L’hiver est parti depuis longtemps déjà mais les sports sur glace n’en ont pas tout à fait fini. Pour clôturer la saison en beauté, le Reims Acrap Patinage présentera son gala annuel ce vendredi 27 mai à 19 h 30, patinoire Bocquaine.
Cette année, les danseurs sur glace patineront sur des musiques ayant, pour la plupart, un lien avec le grand écran. Ce sera alors l’occasion pour les 160 membres du club de monter tour à tour sur la glace afin d’y interpréter, en tableaux, les chorégraphies de l’entraîneur, Ludivine Lemaire.
Entre chacune des danses, des « solos » viendront s’intercaler.
L’occasion pour le club de mettre en valeur ses membres ayant eu des résultats remarquables aux Championnats de France.
Jean-Luc Ployé, président de l’Acrap patinage, retient également « la dernière de Margaux Abib-Gruet, médaillée de bronze dans sa catégorie en 2010, qui va rejoindre le pôle fédéral de Besançon l’an prochain après une dizaine d’années passées à Reims ».
Un aboutissement sportif pour le club puisque c’est la première fois qu’une de ses sportives est « choisie » par un partenaire, afin de former un « couple de danse sur glace, ce qui reste l’aboutissement de ce sport, contrairement à celui du patinage artistique ».
Pas de panique cependant pour les autres, la compétition et les sacrifices ne sont pas une nécessité puisque « la pratique dite loisir constitue une activité importante du club ».
Petits et grands pourront donc assister à ce spectacle, autant pour « voir l’esthétisme de ce sport » et passer un moment diversifiant, que pour découvrir la danse sur glace et, pourquoi pas, se découvrir une envie de la pratiquer.
V.P
Entrée payante, informations et réservations au 06.61.20.25.19 ou 06.77.11.49.46.
Le Reims Acrap patinage propose vendredi 27 mai à 19 h 30, son spectacle de danse sur glace à la patinoire Bocquaine.
L’équipe d’encadrement, Ludivine Lemaire, Jourdao Da Barbara, Nadia Latour-Deneuvilliers et Sébastien Wasniewski a concocté un programme alléchant.
Tarifs 9 euros (6/12 ans, 4 euros).
Informations et réservations : 06.61.20.25.19. ou 06.77.11.49.46.
Convivialité et détente chez les volleyeurs.
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Après le tournoi de football Ufolep, c’est un autre temps fort qui s’est déroulé à la halle des sports de Reims avec le tournoi de fin de saison des clubs de badminton et les finales de coupe départementale Saint-Remi Sport de volley-ball.
Chez les badistes qui se rencontraient la journée complète, Sandra Duarte et Stéphane Lambert du FJEP Muizon gagnent respectivement le simple dames et le simple messieurs, victoire pour l’amicale Jamin en double messieurs avec Arnaud Dezobry et Stéphane Rivière, le double mixte étant remporté par Sandra Duarte et Cédric Renard du FJEP Muizon.
En finales de volley-ball, le Ruc 1 l’emporte par 3 sets à 1 face à l’AS Aquatintienne en consolante, tandis qu’en challenge l’AS CANE bat RAS 1 par 3 sets à 0. La convivialité et la détente restent toutefois les grands vainqueurs des compétitions, tout ceci dans la bonne humeur et sans « championnite aiguë » respectant les valeurs Ufolep de respect et de fair-play.
Avis aux associations intéressées, aux groupes d’amis souhaitant monter une équipe, il est toujours temps de rejoindre l’Ufolep Marne !
Renseignements : Ufolep 51, tél : 03.26.84.32.26. Site : www.ufolep51.org. Courriel : ufolep51@wanadoo.fr
L’auditoire s’est montré à la fois très attentif et participatif.
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Dans l’esprit des conférences passerelles qui on fait leur chemin et trouvé leur public, RMS organisait une conférence concernant le Printemps Arabe parce que « Reims doit penser les événements et le débat, à l’école, ne doit pas être uniquement sur des phénomènes économiques et ne peut pas passer à côté de ce qui se passe dans le monde », comme le rappelle son directeur adjoint, Hervé Colas.
C’est dans cette optique que Moncef Cheikh-Rouhou est venu apporter son analyse sur les événements passés, en cours et à venir. Natif de Carthage et spécialiste mondial de finance internationale, il a lui-même dû quitter la Tunisie il y a de nombreuses années alors qu’il se battait pour la démocratie.
C’est pourquoi, en préambule, il n’a pas manqué de rappeler que « tout ce qui s’est dit sur la surprise de voir les événements prendre une telle ampleur et voir les régimes tomber les uns après les autres est totalement incompréhensible. La réelle surprise est de voir que les peuples ont mis autant de temps avant de se soulever ».
En axant sur les conséquences économiques possibles dans « un monde qui a définitivement changé, prouvé par fait qu’en Chine, le simple mot jasmin est filtré sur internet », il a exposé les scenarii possibles concernant l’équilibre mondial.
Pour cela et malgré une analyse très pointue des chiffres de macroéconomie, il a réussi à rendre la conférence très didactique et participative, imposant de fait la réflexion sur le mot essentiel et point de départ de tous les événements, « dignité humaine ».
V.P
Manifestement, la quatrième et avant-dernière journée des Interclubs Nationaux n’a pas été favorable aux clubs marnais.
Certes, en N2, Cormontreuil a remporté sa première victoire de la saison mais le TG Besançon était l’équipe la plus faible de la poule. Un succès (7-1) toutefois pas suffisant pour se maintenir. La (mauvaise) surprise est venue de Vitry-le-François puisque l’équipe locale, leader invaincu de la poule, s’est inclinée contre la lanterne rouge Schiltigheim (6-2), où évolue l’ex-Rémois de Géo-André, Jordan Balles éducateur sur place (photo d’archives). « Malgré nos trois victoires en autant de matches, nous n’avons pas revu nos ambitions à la hausse et, pour des raisons d’économies budgétaires, nous avons choisi de ne pas faire venir nos étrangers » indiquait, en toute franchise, le capitaine vitryat Arnaud Lalouette.
Dommage car les Alsaciens, sûrs de s’incliner, s’étaient déplacés avec une équipe amoindrie, sans négatifs et avec un 30/3 !
En N4, il n’y a pas de eu de miracle pour les clubs rémois puisque l’Europe Club a lourdement chuté face à l’ogre Obernai (8-0) alors que Géo-André n’a rien pu faire contre la solide et homogène formation d’Issy-les-Moulineaux (6-2).
Ouf, Géo-André…
Côté dames, les « Européennes » ont connu une grosse déconvenue en s’inclinant de peu à Villeneuve-d’Ascq (4-3). Elles pourront regretter la défaite en trois manches de Nathalie Mohn ou la perte du double 1 à la « belle » mais les protégées de Pheng Xayphengsy n’ont pas pour autant hypothéqué leurs chances d’accession.
Une victoire dimanche contre Sarreguemines, dernier, suffira pour évoluer la saison prochaine en N1B !Seul vrai rayon de soleil, la belle prestation des filles de Géo-André à Gif-sur-Yvette. Un large succès (8-0) qui assure le maintien et qui présage de belles choses pour un groupe en devenir.
Les soldats du feu n’ont pas chômé ces dernières heures, avec plus d’une dizaine d’interventions aussi bien dans l’agglomération que dans l’arrondissement.
Dimanche vers 4 heures du matin, un tas de palettes a brûlé devant la façade du magasin Lidl, rue Jacques-Maritain à Reims (secteur des Hauts-de-Murigny). Quelques tôles du magasin ont été noircies. Une heure plus tard, une Volkswagen Passat a été incendiée boulevard Desbureaux.
Dimanche en journée, une poubelle a brûlé vers 13 h 30 cours Langlet, puis une haie de thuyas et un tas de bois à 17 h 15 rue Maurice-Renard, près de l’avenue Alexandre-de-Serbie.
Lundi à 0 h 40, un fourgon Renault Master est parti en fumée rue du Docteur-Billard. Toujours lundi, vers 18 h 30, de la paille a pris feu le long de la RD530 à Cauroy-lès-Hermonville, sur une surface de 100 m2 (une reprise du feu a nécessité une nouvelle intervention hier après-midi).
Vers 19 heures, retour à Reims avec un feu de détritus dans une maison désaffectée de la rue Vernouillet, au premier étage. A 22 h 45, un incendie d’origine électrique s’est déclaré sur un lampadaire rue Auguste-Walbaum. Des détritus ont ensuite flambé à 23 h 45 rue Ledru-Rollin, à l’angle du chemin des Pensionnés.
Hier à 14 heures, un feu de cartons a enfumé une cave de la rue de Talleyrand, au n°35. Par précaution, l’école Tunon a été brièvement évacuée (environ une quarantaine de personnes). Dans le courant de l’après-midi, un feu de broussailles de 100 m2 a été éteint rue de Chantereine à Champlat-et-Boujacourt.
Vers 16 heures, un ou plusieurs incendiaires sont retournés une nouvelle fois à l’école désaffectée de la rue Farman à Bétheny pour y brûler des détritus au premier étage. Il s’agit du cinquième incendie en moins d’une semaine. Les sauveteurs ont demandé à la commune de faire le nécessaire pour murer les lieux.
La section s’adresse aux filles à partir de 5 ans qui s’entraînent le mardi et le jeudi de 17 h 45 à 19 h 45.
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Jean-Philippe Macadré, l’un des administrateurs de l’association Croix-Rouge Animation et promotion (ACRAP), donne « des petites nouvelles de la section Majorettes ».
Au championnat de l’Aisne qui a eu lieu à Beautor, sur 11 troupes présentes :
Catégorie danse « grande » : 1re ;
catégorie danse « duo » (Magali Macadré et Virginie Aligard) : 1re ;
catégorie petites « bâtons » : 2e ;
catégorie pompons : 1re
Au festival de Fresnoy-le-Grand (Aisne), sur quatorze troupes
Catégorie petites « bâtons » : 1re ;
catégorie danse « duo » (Magali Macadré et Virginie Aligard) : 2e ;
catégorie grandes « bâtons » : 2e ;
catégorie pompons : 1re.
La troupe, sous le nom des « Majorettes de Reims », a déposé une demande pour être équipée de nouveaux costumes et pompons : « Nous attendons la décision du bureau de l’Acrap ».
ACRAP - 11, avenue du Président-Kennedy (09.61.64.53.29.) lily177051.skyrock.com
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le Comité Unicef de la Marne a remercié l’ensemble des clients et des organisateurs pour ces actions conduites au profit des enfants.
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Marie-Annik Roger, présidente du Comité départemental Unicef et une délégation de bénévoles du comité de la Marne, ont été accueillies jeudi 5 mai par Richard Jimenez, directeur du magasin Ikea de Reims-Thillois et ses collaboratrices, pour la remise de deux chèques au profit de l’Unicef.
Le premier, d’un montant de 5 000 euros, correspondait à l’opération « Mille Mains » organisée lors de l’inauguration du magasin. Le deuxième, d’un montant de 26 228 euros, était le bilan de la 8e campagne de collecte de fonds « Peluches » au profit de l’Unicef France (les clients de Ikea Reims-Thillois ont en effet acheté, du 23 octobre au 24 décembre 2010, 26 228 peluches et chacune générait un don de 1 euro en faveur des programmes d’éducation de l’Unicef).
« Ces sommes financeront les projets de l’Unicef dans 21 nouveaux pays, certains en Asie (Cambodge et Malaisie) et d’autres en Europe de l’Est (Géorgie et Serbie). Elles permettront d’améliorer l’accès à l’éducation des enfants défavorisés en leur apportant des fournitures scolaires et en formant les enseignants à des techniques d’apprentissage adaptées aux élèves, notamment en Afrique », explique Marie-Annik Roger.
Parallèlement, une nouvelle opération « les petits gourmands » est actuellement organisée jusque fin juin par Ikea qui reverse intégralement à l’Unicef le montant de chaque menu enfant acheté.
Unicef Marne - 12, place Georges-Braque - 51100 Reims. Tél. 03.26.05.80.10. (permanences chaque mercredi après-midi).
L’association Étoile Croix-du-Sud a organisé un nouveau concours de pétanque sur son boulodrome, avenue Léon-Blum.
Une cinquantaine d’inscrits se sont affrontés dans l’ambiance bon-enfant qui caractérise traditionnellement cette association.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
L’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge prépare la fête 2011 du secteur Université, qui aura lieu le samedi 28 mai.
Les informations qui ont filtré précisent que, devant l’espace Billard, des ateliers seront organisés : maquillage, pochoir, peinture, chamboule-tout, pêche aux canards, tri et plein d’autres !
Des ateliers aussi bien pour les petits et les grands, le but étant de partager un moment festif et convivial entre voisins.
Pour tout renseignement complémentaire, contacter Élisabeth Causin, 12/14, rue Pierre-Taittinger (03.26.08.08.78.) ou site http://www.maisondequartier-croix-r...
Un spectacle intitulé Découverte : jeu (x) funambule(s) » est proposé le vendredi 27 mai à 20 h 30 au centre culturel du Crous sur le campus Croix-Rouge.
Entrée : 5 euros. Renseignements au 06.28.34.09.33 ou lesfeuxfautles@laposte.net
Maître d’ouvrage : L’Effort Remois, 7 rue Marie-Stuart, 51100 Reims.
Objet du marché : Désamiantage, curage et démolition d’un bâtiment de bureaux (anciennement HSBC), avenue Robert-Schuman à Reims (51100).
Réf. : DG - 010211.
Lots ; Corps d’état ; Entreprises ; Montant euros HT :
01 ; Désamiantage ; Ferrari (08) ; 498 600,00
02 ; Curage, démolition ; Brasseur (51) ; 498 484,16.
Montant du marché : 997 084,16 E HT.
Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés :
Mme FORRAY, Tél. : 03 26 05 92 33
Mme GALLOIS, Tél. : 03 26 04 99 05
M. MEUNIER, Tél. : 03 26 04 99 82.
Date d’envoi à la publication : Le 19 mai 2011 aux JAL L’Union (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et Le Moniteur.
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil Région Champagne-Ardenne. _,Correspondant : M. le président du Conseil régional Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex, adresse internet : http://www.cr-champagne-ardenne.fr
Adresse internet du profil d’acheteur : http://marchespublics.cr-champagne-...
Objet du marché : extension et restructuration du lycée Arago de Reims. Relance du lot 9 : chauffage, ventilation.
Type de marché de travaux : exécution.
CPV - Objet principal : 45331000.
Lieu d’exécution : 1, rue François-Arago, 51100 Reims. Code NUTS : FR213.
L’avis implique un marché public.
Caractéristiques principales : travaux de chauffage et ventilation. Refus des variantes.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC : oui.
Prestations divisées en lots : oui.
Possibilité de présenter une offre pour un seul lot.
Durée du marché ou délai d’exécution : 30 mois compter de la notification du marché.
Date prévisionnelle de commencement des travaux : 1" août 2011.
Modalités essentielles de financement et, de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent : financement par ressources propres inscrites au budget de la région.
Paiement 30 jours, par virement.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Unité monétaire utilisée, l’euro.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner ;
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques :
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années, ;
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants ;
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature.
Documents à produire dans tous les cas au stade de l’attribution du marché :
Piéces prévues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-S du code du travail ;
Attestations et certificats délivrés par lés administrations et organismes compétents prouvant que le candidat a satisfait à ses obligations fiscales et sociales ou documents équivalents en cas de candidat étranger.
Autres renseignements demandés
Un document relatif aux pouvoirs de la personne habilitée à engager le candidat ;
Attestations d’assurance R.C. professionnelle et décennale en cours de validité ;
Attestation de visite sur site complétée et signée ;
DC1 (lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses cotraitants, ancien DC 4, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefe.gouv.fr, thème : marchés publics ;
DC2 (déclaration du candidat individuel, ancien DC5, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefe.gouv.fr, thème : marchés publics).
Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.
valeur technique : 60 % ;
prix : 40 %.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres ; 20 juin 2011 à 16 heures. Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus : Bureau d’études Eric DE MARNE.
Correspondant : M. DE MARNE, 2, rue Léon-Patoux, 51664 Reims cedex 2, tél. : 03.26.04.74.04, télécopieur : 03.26.04.46.37, courriel : accueil@betdemarne.fr.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus : AGENCIA.
Correspondant : Amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95, boulevard du Général-Leclerc - B.R 2740, 51060 Reims cedex, tél. : 03.26.97.85.85, télécopieur : 03.26.97.72.32, courriel : amandine.festuot@agencia-rm.fr.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : AGENCIA.
Correspondant : Amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95, boulevard du Général-Leclerc - B.P. 2740, 51060 Reims Cedex, tél. : 03-26-97-85-85, télécopieur : 03.26.97.72.32, courriel : amandine.festuot@agencia-rm.fr.
Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne, tél. : 03.26.66.89_87, courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr, télécopieur : 03.26.21.01.87.
Adresse internet : http://www.ta-chalons-en- champagne...
Service auprès duquel des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne, tél. : 03.26.66.89.87, courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr, télécopieur : 03.26.21.01.87.
Adresse internet : http://www.ta-chalons-en champagne....
Précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours : référé précontractuel avant la signature du marché (article L. 551-1 du code de justice administrative).
Recours pour excès de pouvoir contre les actes détachables du contrat : deux mois à compter de leur notification et/ou de leur publication (article R. 421-1 du code de justice administrative).
Recours de pleine juridiction à l’encontre du contrat ou certaines de à ses clauses : deux mois à compter de la publicité annonçant la conclusion du contrat (CE 16/07/2007 - tropic).
Référé contractuel après la conclusion du marché (article L.551-13 et suivants et R.551-7 et suivants du code de justice administrative).
Pour la troisième année consécutive, la bibliothèque municipale de Reims a organisé l’opération « Vos héros pour 1 euro ! » une vente de ses documents « désherbés » à la médiathèque Croix-Rouge, tout un dimanche.
Il s’agissait de documents que la bibliothèque retire de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés. Cette braderie se déroulait sur le parvis de la médiathèque avec près de 13 000 documents en bon état retirés des rayonnages : CD, romans, polars, BD, magazines, ouvrages pour enfants, livres de cuisine, d’art, d’histoire… à un tarif plus qu’abordable : de 1 à 2 euros par document, dans la limite de 10 achats maximum par personne.
« Cette braderie a été l’occasion de vendre près de 6 000 documents, le reste étant donné à des associations, vers des pays émergents ou pour des bibliothèques d’hôpitaux par exemple » précise Jean-André Ithier, directeur de la médiathèque Croix-Rouge : « La fréquentation a été un peu moindre que l’année dernière, sans doute en raison des mauvaises conditions climatiques : pluie et froidure en matinée, et de la concurrence de 2 brocantes le même jour, dont une très importante à Cormontreuil. »
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Un univers ludique, éducatif, à la taille des petits.
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Des modules interactifs présentés aux écoles de la ville par « En piste l’Artiste ! »
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REIMS (Marne) Immerger le jeune enfant dans un univers ludique, sensoriel, lui permettant de découvrir et d’assimiler des concepts simples : c’est le projet de musée éducatif de deux jeunes Rémois.
« Qu’entendez-vous ? » « Que voyez-vous ? ». Oreilles collées à des écouteurs, yeux rivés à des jumelles ou face à un miroir déformant, les « moyens grands » de la maternelle Vasco-de-Gama cherchent à reconnaître les bruits, les formes. D’autres, autour d’un autre module de découverte, font tomber une poudre salée, sucrée ou chocolatée… ou touchent des surfaces de texture rugueuse ou douce, sentent des parfums.
Ce parcours, joyeux, ludique, de découverte sensorielle comporte des panneaux équipés de mécanismes simples, de dessins colorés parlants, à hauteur des yeux et des oreilles des enfants, très excités au fur et à mesure des « expériences » ! « Les 5 sens, c’est ce que nous travaillons durant l’année, et, après avoir déjà fait un petit travail en classe, ce parcours est l’aboutissement. C’est intéressant. Les enfants apprennent en s’amusant » apprécie Rose-Marie Lachi l’institutrice, qui, bien qu’accompagnée d’assistants, a fort à faire avec 27 enfants, assez excités par cette mini « Cité des Sciences » ! « Ecoute, goûte, sens, vois et touche ! » c’est ce que demandent les organisateurs aux petits qui visitent leur exposition-jeu. Du 2 mai au 10 juin, elle est présentée aux écoles de la ville, aux centres de loisirs et aux familles, dans des locaux du campus Croix-Rouge. A l’initiative de cette action, David Sydor et Ramzi Harbi, qui ont déjà travaillé dans l’animation et effectué des stages au musée pour enfants de Troyes.
Leur association « En piste l’Artiste » a pour objectif de créer un musée ludo-éducatif pour enfants sur la ville de Reims. « Actuellement, nous sommes surtout dans l’itinérance, ce n’est pas évident d’installer une programmation sur l’année et de proposer des choses de qualité ». Leur souhait ? Présenter, dans un local fixe, des expos avec beaucoup de mobiliers, de manipulations et une forte scénographie.
« Nous travaillons avec des plasticiens, des anciens artisans, des gens intéressés par le monde de la petite enfance. Nous sommes à la recherche d’investisseurs prêts à nous suivre sur ce projet ». Ils travaillent avec le service municipal d’accueil, le Palais du Tau, avec la fondation Alfred-Gérard, avec le bureau de la vie étudiante et se déplacent : « Nous allons animer, dans une école, un atelier de cuisine moléculaire. Nous aimons jouer avec l’innovation, Il faut que ça bluffe l’enfant, que ça marque son esprit, avec des notions facilement mémorisables ».
« En piste l’artiste ». 06.27.46.15.61
C’est parti pour trois kilomètres de course. Le temps pour les participants de faire le tour de l’hippodrome.
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La manifestation est d’envergure nationale. Ici à Reims, les Boucles du cœur, événement caritatif organisé par l’ensemble des enseignes Carrefour pour soutenir l’association SOS Villages d’enfants, ont mobilisé une cinquantaine de bénévoles hier, tous employés au sein des hypermarchés de Reims, Tinqueux et Épernay et des supermarchés de Reims, Witry-lès-Reims et de Fismes.
Il s’agissait de réunir des fonds pour financer la rénovation de villages d’enfants à Marly-lez-Valenciennes, dans le Nord. Autrement dit des maisons où les enfants d’une même fratrie ont été réunis après avoir été retirés à leurs parents en raison de maltraitances ou de carences éducatives (lire encadré). Près de six cents personnes se sont donc déplacées à l’hippodrome sous un soleil radieux. Les âmes charitables n’avaient qu’à faire un don de deux euros, ou plus s’ils le souhaitaient, pour accéder aux animations et se voir remettre un tee-shirt aux couleurs de l’association SOS Village d’enfants. Puis à 10 h 30, les courageux ont entamé une course ou une marche de 3 km. Des enjambées symboliques pour marquer la première édition des Boucles du cœur. Et comme l’association soutenue agit en faveur des enfants, la plupart des animations sur place s’adressait aux plus petits.
Comme les promenades en poneys ou les jeux gonflables. Les enfants s’en sont d’ailleurs donnés à cœur joie dans le baby-foot géant ou sur le mur d’escalade. Quant à savoir s’il y aura une deuxième édition l’année prochaine ? « Nous ne le savons pas encore, mais nous sommes prêts à recommencer l’année prochaine. » témoigne Olivier Viron, directeur d’hypermarché Carrefour. « En revanche, afin d’attirer plus de monde, une partie des bénévoles se consacrera exclusivement à la communication ». Au final, un peu plus de 200 euros ont été récoltés. Si la recette n’est pas très conséquente le cœur, lui, y était.
Lélia BALAIRE
Chantal Palitzyne, responsable communication de l’association SOS Villages d’enfants.
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L’association SOS villages d’enfants, d’envergure internationale, compte treize villages en France.
Sa mission ? « Prendre en charge les enfants retirés de leurs familles par mesure de protection. » explique Chantal Palitzyne, responsable communication de l’association Autrement dit des enfants maltraités ou souffrant de carence éducative.
Concrètement, les enfants d’une même fratrie sont réunis sous le même toit et vivent ensemble. Une « mère SOS », salariée de la structure, s’occupe d’eux. Enfin, chaque famille est soutenue par une équipe éducative.
« Nous reconstruisons un mode de vie familial avec des heures fixes pour manger, l’obligation d’aller à l’école et des règles de vie » éclaire Chantal Palitzyne.
L’association, créée après la Seconde Guerre mondiale en Autriche, compte aujourd’hui cent vingt mères SOS en France. Elles prennent soins de six cents enfants en tout et pour tout
Au cours de cette saison, le conservatoire aura donné cinq concerts en médiathèques.
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Dans la série « Musiques en médiathèques », le dernier rendez-vous des concerts du Conservatoire à rayonnement régional de Reims avec la classe de percussion des professeurs Lecrocq et Fessard et le chœur de 1er et 2e cycle d’Hélène Le Roy sera donné vendredi 27 mai à 18 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge.
Au programme, « Un chemin sort de mes pieds » pour chœur, piano et percussions, de Henri Meschonnic (auteur) et Manuel Coley (compositeur).
Pour ce dernier, cette musique peut être définie comme « minimaliste, à l’image des poèmes, (…) inspirée de diverses réminiscences de voyages, de l’Inde à l’Afrique en passant par l’Europe du Nord et de l’Est , là où m’a conduit sans cesse ce chemin sortant de mes pieds ».
Pour les élèves du Conservatoire, c’est l’occasion de mettre leur pratique musicale à l’épreuve du feu, de se préparer pour le jour « J » et de se confronter à un public.
Renseignements au 03.26.86.77.04.
Entrée libre.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.51.).
Tramway : ligne A, station Médiathèque.
Claire Makhloufi,…
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… Laëtitia Tordo ….
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….et Charline Braidy, trois des six meilleures joueuses des Ardennes sont licenciées dans la Marne. Archives Aurélien LAUDY et Bernard SIVADE
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Réputé pour la qualité de sa formation, le Comité des Ardennes de tennis est confronté depuis plusieurs années à l’exil de ses meilleurs joueurs.
NON, il ne s’agit pas d’un inventaire à la Prévert : Julie Gervais (- 4/6, Gueugnon), Charline Braidy (- 4/6, Géo-André Reims), Marie Ménacer (- 2/6, Europe Reims), Laëtitia Tordo (0, Europe Reims), Claire Makhloufi (1/6, Géo-André Reims) et Jackie Lassaux (2/6, Géo-André Reims) sont considérées comme les six meilleures joueuses ardennaises. Mais aucune n’est aujourd’hui licenciée dans son département d’origine.
« Si un club parvenait à les réunir pour les championnats interclubs, une équipe de cette composition pourrait facilement évoluer en Nationale 2, voire en Nationale 1B, affirme Jean-Charles Dubois. Il y a plus d’un an, j’avais demandé au TC Sedan et à La Macérienne de réfléchir à la création d’une structure de compétition. Mais je n’ai pas reçu d’écho favorable. »
Plutôt exigu par la taille (2 842 licenciés), le Comité des Ardennes a beaucoup œuvré pour améliorer ses installations, à l’image de l’inauguration récente de courts couverts à Renwez, Rocroi ou Vireux-Wallerand, qui se juxtaposent dorénavant aux équipements parfois vieillissants existant à Sedan, Belval ou Saint-Laurent.
Plutôt que l’excuse du déménagement contraint par la scolarité (Zoé Hamel reste par exemple fidèle au TC Sedan alors qu’elle effectue ses études aux Etats-Unis), les dirigeants ardennais ont trouvé une autre explication à la fuite des cerveaux, auxquels il faut encore ajouter Quentin Munier (1/6, Géo-André Reims) et Cameron Silvestre (2/6, Saintes). « L’argument des études est seulement partiel dans la mesure où les jeunes s’en vont souvent dès la sortie du collège, relève le conseiller sportif départemental. En revanche, ils ont trouvé ailleurs de meilleures conditions d’entraînement, notamment à travers de nouveaux sparring-partners. »
Dans un département qui ne compte que onze deuxième série, dont les têtes d’affiche s’appellent Zoé Hamel (2/6, Sedan) et Adrien Dupuis (4/6, La Macérienne), le choix est désormais orienté vers la politique de proximité. « Nous raisonnons plutôt à travers le prisme de la Ligue de Champagne-Ardenne, confie Jean-Charles Dubois. Aujourd’hui, nous n’hésitons pas à diriger les joueurs vers le Pôle Espoirs qui s’est créé à Géo-André, où ils ne sont pas obligés de prendre leur licence »
Bien qu’adhérente dans le club rémois, Marie Ménacer est l’archétype du contre-exemple. N° 1 française entre 10 et 15 ans, au point d’avoir fréquenté pendant deux saisons le Centre national d’entraînement à Roland-Garros, la Carolomacérienne a confié depuis quelques mois ses intérêts à Stéphane Limouzin en espérant, par ce retour aux sources, renouer avec le haut niveau.
« Même si sa petite taille a peut-être joué à un moment en sa défaveur, elle dispose de toutes les qualités nécessaires, assure son ancien coach à l’ASPTT Charleville-Mézières. Mais psychologiquement, elle avait sûrement besoin de se rapprocher de sa famille. »
Comme la Revinoise Laurence Andretto (ex 130e mondiale), sans doute les talents ardennais retrouveront-ils un jour leurs racines. En attendant, priorité a été donnée à la formation. Parmi les vingt enfants actuellement pensionnaires du centre d’entraînement départemental se cachent peut-être derrière Marie Barbe (30/2, Les Mazures-Renwez), lauréate fin avril des Bottes de Nevers (10 ans), et Valentin Godart (30/1, La Macérienne), troisième des Petits Marcassins (10 ans), les futurs héritiers du Sedanais Yannick Noah.
Cédric GOURE
Souvent déterminante, la quatrième journée des Interclubs nationaux s’annonce cruciale aujourd’hui pour certaines formations du département.
Pas pour Cormontreuil qui, en N2, est déjà quasiment condamné à la relégation mais qui aura toutefois l’occasion de s’imposer contre Besançon, seule équipe présentant sur le papier un profil inférieur.
En revanche, en N3, le promu vitryat, leader invaincu, a l’occasion de croire un peu plus à une nouvelle montée en cas de victoire contre Schiltigheim.
En N4, c’est mission impossible pour le Reims Europe Club qui reçoit le leader et favori à l’accession, Obernai, alors que le TC Géo-André sera également en grande difficulté face à Issy-les-Moulineaux, emmené par un numéroté espagnol.
Du côté des dames, en N2, les Européennes se doivent de l’emporter à Villeneuve-d’Ascq pour se rapprocher un peu plus de la N1B.
Quant aux filles de Géo-André, le déplacement à Gif-sur-Yvette devrait être l’occasion d’assurer définitivement le maintien.
4ème JOURNEE.
Messieurs : Cormontreuil - Besançon (N2) ; Vitry-le-François - Schiltigheim (N3) ; Reims Europe Club - Obernai, Géo-André - Issy-les-Moulineaux (N4).
Dames :Villeneuve-d’Ascq - Reims Europe Club (N2) ; Gif-sur-Yvette - Géo-André (N3).
Le Stade a remis un chèque permettant au jeune Mustapha de se faire opérer du cœur.
Agrandir la photo Une autre photo des jeunes joueurs de l’ACRAP est visible |
REIMS 1 - ÉVIAN 2 Cela aurait pu être une belle soirée hier à Delaune. Mais les supporters du Stade ont eu l’impression d’être volés.
Vous avez peut-être entendu de gros sifflets hier soir vers 21 heures en provenance du stade Delaune. C’étaient les supporters du Stade en colère, et ces sifflets n’allaient pas être les seuls de la soirée…
Vers 21 heures donc, l’arbitre brandissait le carton rouge synonyme d’expulsion contre un Rémois. Et l’on se disait que cette sanction allait peut-être gâcher la fête. Jusque-là en effet, la soirée s’annonçait plutôt bien : c’était le dernier match de la saison à domicile, l’objectif du maintien était acquis, on jouait contre une équipe de tête, le temps était agréablement estival, le stade plutôt bien garni (plus de 11 000 spectateurs), notre champion de marche local Yohann Diniz avait donné le coup d’envoi et sur la pelouse les Rouge et Blanc faisaient preuve de bonnes inspirations face à un adversaire présenté comme plus fort. Bref, les circonstances étaient propices à un bon match.
Le carton rouge est venu doucher quelque peu l’atmosphère. Et pourtant, cinq minutes plus tard, aux sifflets contre l’arbitre succédait une grosse clameur de joie : malgré leur infériorité numérique, les Rémois réussissaient à ouvrir le score, grâce à une astucieuse tête de Fauré. Et l’on se prenait à se dire que finalement, cette dernière à domicile allait quand même être bénie des dieux pour les Champenois. Il fallut hélas déchanter : le but de Fauré ne fut pas suffisant pour préserver la fête jusqu’au bout, les visiteurs savoyards réussissant à inverser le cours de la rencontre en marquant deux fois en seconde période (lire aussi nos pages sports). Le coup de sifflet final allait donc être accueilli par une bronca de Delaune. « Il faut que vous disiez qu’on a été volés ! » pestait un supporter en quittant le stade. Il ne devait pas être le seul de cet avis.
Il y en a tout de même certains pour qui la soirée aura été belle : les jeunes sportifs de l’Acrap, association de Croix-rouge, dont les plus méritants eurent le privilège d’accompagner les joueurs du Stade à leur entrée sur la pelouse en début de partie ; et puis le jeune Mustapha, Nigérian victime d’une malformation cardiaque : grâce au chèque remis par le club de foot, il pourra financer l’indispensable mais coûteuse (10 000 euros) opération chirurgicale qui devrait garantir sa survie. Pour lui ce match gâché devrait quand même conserver le bon goût de l’espoir.
A.P.
Photos Christian LANTENOIS
Les vainqueurs des tournois 2011.
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Ils viennent des différentes SEGPA (Section d’Enseignement Général et Professionnel Adapté) de l’agglomération : les collèges rémois Maryse-Bastié, Joliot-Curie, Paul-Fort, le collège Paulette Billa de Tinqueux. L’IME de Ville-en-Selve participait également. Ce mardi, 120 jeunes collégiens de 6e et 5e ont disputé, sur le terrain du stade Marcel-Thil, les rencontres des 22e tournois de basket et de foot.
« Le but, c’est surtout de valoriser l’effort sportif de ces jeunes qui s’entraînent durant l’année scolaire. C’est aussi le prétexte à les faire se rencontrer et à partager ensemble un pique-nique », a déclaré Bruno Malherbe, professeur d’enseignement spécialisé et organisateur de l’action.
15 équipes mixtes engagées ont disputé 57 matchs (36 en basket et 21 en foot). Les arbitres ont souligné la très bonne participation et l’esprit sportif des joueurs. Classés 1er ex æquo en basket : Paul-Fort 2 et Ville-en-Selve. 1er en foot : Paul-Fort 1.
Les coupes du fair-play ont été remises à Paulettte-Billa 2 et à Maryse-Bastié 2.
Cette manifestation ludique et familiale permettra de récolter des fonds pour l’association SOS Villages d’Enfants.
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Demain à l’hippodrome de Reims se déroulera la première édition des Boucles du cœur. Il s’agira, lors de cette manifestation qui se veut ludique et familiale, de récolter des fonds pour l’association SOS Villages d’Enfants.
Olivier Viron, directeur d’hypermarché Carrefour, qui a pris l’initiative nationale de cet événement explique que « dans les magasins, des réservations ont pu être effectuées. Un don d’au moins deux euros donne accès à tout ce qui sera disponible sur place ».
En particulier, une marche de soutien à tous les enfants recueillis dans les villages, afin de pouvoir continuer à grandir en famille, sera organisée pendant la manifestation qui se déroulera de 10 à 16 heures.
« Pour cette première édition, il y a pour le moment plus de 2 100 donateurs et nous espérions une fréquentation de 2 000 à 3 000 personnes ». Avec la possibilité d’effectuer un don sur place et ainsi de rentrer sur les lieux, l’objectif sera non seulement atteint mais sans doute dépassé, « d’autant plus que le temps s’annonce clément même si nous avons prévu un espace couvert en cas de pluie ».
Les participants à l’opération, en plus d’avoir aidé une association pourront, en outre, croiser des joueurs de basket du CCRB ainsi que le speaker du Stade de Reims, Bruno Denuet, qui sera au micro pour animer la journée.
La manifestation, si elle est un succès national, devrait être reconduite l’an prochain mais M. Viron espère alors que « plus de latitude sera laissée aux organisateurs régionaux pour choisir des associations localement proches des gens partout en France ».
V. P
Margotte Fricoteaux, musicienne formatrice à l’association Enfance et Musique, travaille avec son équipe depuis plus de trente ans au développement de pratiques culturelles et artistiques vivantes pour les jeunes enfants et leurs familles.
Elle présente, le jeudi 26 mai à 18 h 30, « La chanson, une possibilité de tisser des liens entre des familles de diverses cultures », à destination des parents et des professionnels de la petite enfance.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.51.). Tramway : ligne A, station Médiathèque.
L’opération devrait être reconduite en 2011-2012.
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Pour la première année, Reims Basket Féminin, en collaboration avec l’Usep (Union sportive de l’enseignement du premier degré) et la Ville de Reims, programmait une opération d’envergure de découverte du basket-ball auprès des élèves et des enseignants des écoles primaires de Reims.
six interventions planifiées de février à mars 2011 au bénéfice d’écoles qui se sont déplacées dans les gymnases de Reims et intéressées tous les secteurs (gymnase Desbureaux, Prieur, Trois-Fontaines, Vasco-de-Gama, Roland-Bourgoin et Tournebonneau).
Dix-sept classes, treize établissements scolaires et plus de 450 élèves concernées par des interventions individuelles de 2 heures qui permettront sans doute d’éveiller des vocations et pourquoi pas de venir grossir les rangs des licenciés dans les clubs. Ces actions sont aussi l’occasion de découvrir l’ambiance conviviale d’un sport, de respecter des règles mais aussi l’adversaire, de s’affronter en toute loyauté et « fair-play » dans le cadre de compétitions. Règles fondamentales pour l’éducation de jeunes écoliers.
Mardi, dans une salle du complexe René-Tys, Guillaume Rassineux, entraîneur au RBF, en présence de Jacques Laurent, président ligue régionale BB, Mme Michèle, adjointe au maire de Reims, Martine Ribaud du comité 51 de BB, et Laetitia Mareignez, responsable des sports à la Ville de Reims, remettait une série de récompenses et de lots aux enseignants de chaque établissement participant.
Il est par ailleurs intéressant de noter que l’opération s’adressait également aux enseignants qui, pour certains, découvraient ce sport et recevait un support à caractère pédagogique sur les méthodes à mettre en œuvre pour mieux appréhender l’activité.
Les écoles bénéficiaires de cette première expérience : Charles-Arnould, Alfred-Gérard, Jean-Macé, Thillois, Turenne, Adriatique, Pommery, Amundsen, Mougne-Tixier, Blanche-Cavarrot, Provençaux, Hippodrome, Desbureaux.
L’opération devrait être renouvelée en 2011-2012.
Dix équipes ont participé au tournoi de football.
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Pour l’Ufolep, fédération sportive multisports, la saison ne s’achève jamais vraiment. C’est toutefois en mai et juin une succession de temps forts, qui marquent la fin de saison de certaines activités.
Pour le football loisir seniors, c’est une formule originale qu’ont adoptée les clubs Ufolep en 2011. En plus du classique championnat à onze et de la coupe, deux événements ont été ménagés dans le calendrier : après le tournoi de futsal organisé durant la période hivernale, c’est le tournoi de football à 7 qui a débuté le 10 avril, et qui s’est achevé le 10 mai.
C’est dans un bel esprit loisir que les différents clubs ont constitué dix équipes, n’hésitant pas à se prêter mutuellement quelques joueurs en dépassant le strict cadre des compositions d’origine des équipes.
Au final, ce sont les équipes 1 et 2 de Tinqueux qui l’emportent en challenge et en consolante.
Dix équipes ont participé au tournoi de football.
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Certains étudiants préfèrent réviser à la bibliothèque universitaire, afin de préparer leurs examens dans le calme.
L’Université de formation et de recherche de Reims (UFR), c’est 50 filières et 153 diplômes. Soit :
7 059 étudiants sur le campus de Croix-Rouge, avec les filières Droit et science politique (1 819), Sciences économiques et sociales et gestion (2 069), Lettres et sciences humaines (2 748) et administration économique et sociale (423).
5 255 étudiants sur le campus du Moulin de la Housse, avec les Sciences exactes et naturelles (2 399), le Staps (activités physiques et sportives - 686) et l’IUT de Reims (2 170).
4 230 étudiants sur le campus Maison-Blanche (le pôle Santé) avec la médecine, la pharmacie et l’odontologie.
L’Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM - 436) et l’École supérieure d’ingénieurs de Reims (ESIReims - 166).
THÉÂTRE : « SI ON ALLAIT À CROIX-ROUGE EN TRAM »
Cet événement vous invite à découvrir deux pièces : « Le frichti de Fatou » par la Cie Tombés du ciel le 17 mai, et « Le caillou de Lune » par la CieThéâtr’âmes le 24 mai.Achaque fois, le SUAC vous offre le trajet en tram. Pour cela, rendez-vous le dimanche de votre choix à la station Opéra, à 19h, pour une distribution d’un ticket aller-retour.
A 19h30 - Entrée libre sur réservation : 03 26 91 84 15 - Au Crous (campus Croix-Rouge)
JUSQU’AU 26 MAI « RÈMES/RES »
En cette fin d’année universitaire, la bibliothèque universitaire et le SUAC vous proposent une expo inédite de Céline Pierre et Laurent Plagnol, sur les chantiers urbains de l’année écoulée, notamment ceux du tram et du campus Croix-Rouge. Palissade des halles du Boulingrin, rue Andrieux, et à la bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, avenue François Mauriac.
JUSQU’AU 25 JUIN « D’OMBRE ET DE LUMIÈRES »
Des clichés empreints d’humanité sur la cathédrale, ses coulisses et son public, de Noureddine Rhaïssi.
Médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Zola
Pause amicale à Ingersheim.
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Les élèves germanistes de 1re technologique et professionnelle du lycée François-Arago, accompagnés de leur professeur, se sont rendus durant trois jours en Allemagne, à Ingersheim, près de Stuttgart, dans le land de Baden-Wurtemberg.
Ils y ont découvert la culture allemande et ont été sensibilisés au respect de l’environnement en visitant notamment une station de traitement des eaux usées et un parc à éoliennes.
Élisabeth Becker, proviseure du lycée Arago, est administratrice de l’Agence régionale de la Construction et de l’Aménagement durables. Par ailleurs, Volker Godel, maire de la commune d’Ingersheim est conseiller général du kreis de Ludwigsburg. Grâce à leurs efforts réciproques, les élèves ont bénéficié gratuitement de ce séjour dont les objectifs étaient de favoriser le rapprochement avec notre pays voisin, de promouvoir l’apprentissage de l’allemand et d’acquérir les rudiments d’une écocitoyenneté européenne durable, un objectif largement atteint : « Les élèves, enchantés de leur séjour et de l’accueil chaleureux qui leur a été réservé, sont désireux de retourner en Allemagne, pour y effectuer des stages dans le cadre de leurs études afin d’enrichir leurs formations », témoigne Élisabeth Becker.
Des centaines de plants (fleurs, légumes) Ont changé de mains.
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L’association des jardins familiaux Croix-du-Sud a ouvert ses portes au public samedi et dimanche 14 et 15 mai.
Sous un beau soleil, les visiteurs ont apprécié la visite des 92 parcelles bien entretenues et ont pu se restaurer au -barbecue des jardiniers.
Surtout, ils ont pu faire leur marché aux fleurs et de légumes.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Vendredi 13 mai à 21 h 30, à l’occasion des 90 ans, Reims habitat a organisé pour ses locataires une soirée- événement à l’angle de la rue Pierre-Taittinger et de l’avenue Kennedy.
« De nombreux locataires de Croix-Rouge, Murigny et Maison-Blanche se sont déplacés », raconte Domitille Rouhi (Reims habitat). Les enfants avaient reçu des ballons à l’effigie des 90 ans et, après un mot de bienvenue de Patrick Baudet puis d’Éric Quénard, directeur général et président de Reims habitat, place a été laissée au spectacle.
Un funambule de la compagnie « Circo Dé Tournez » a déambulé à plus de 8 mètres de hauteur sous le regard anxieux du public. Son ascension terminée, un feu d’artifice a été tiré depuis l’hippodrome.
Le public a visiblement apprécié et l’a montré par ses applaudissements. L’organisme logeur promet d’autres rendez-vous festifs au cours de l’année 2011.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Plusieurs véhicules ont brûlé ce week-end dans l’agglomération. Le premier est parti en fumée rue Alain-Colas à Bétheny, samedi vers 7 heures du matin.
Dimanche à 23 h 45, un incendie d’origine douteuse a détruit une Renault Velsatis et une Opel Astra allée des Tourangeaux à Reims. Une Mazda a été légèrement dégradée par propagation.
Dans le même quartier, dimanche vers 1 h 45, un Renault Scénic et une Mégane ont pris feu rue Joliot-Curie. Une Xantia garée à côté a subi des dommages.
A 4 heures du matin, les pompiers sont retournés allée des Tourangeaux pour une reprise du feu. Les flammes se sont alors propagées à un Renault Scénic.
Il n’y a pas que les autos qui brûlent. Dimanche à 13 h 45, un incendie d’origine indéterminée s’est déclaré sur des troènes, rue Jean-de-la-Fontaine à Witry-lès-Reims. A 18 h 40, un feu de détritus et de végétation a pris dans les locaux désaffectés de la société Struby, route de Witry. Vers 21 heures, ce sont des détritus qui ont été incendiés dans un local de l’avenue Bonaparte, au n°7.
A 9 h 30 hier matin, les pompiers ont éteint un feu de branchages en lisière de bois à Bouilly, le long de la RD980. L’incendie concernait une superficie de 80 m2. Vers 15 h 30, un feu de végétation s’est déclaré sur le chemin de halage du canal, à la Neuvillette. Un feu de poubelle a été signalé à 17 h 15 rue Marie-Clémence-Fouriaux, puis un feu de détritus une demi-heure plus tard à une station de bus rue du Bel-Air (route de Bétheny).
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : Reims habitat Champagne-Ardenne, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics. Dans le cadre de cette procédure, Reims habitat se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3. Objet des marchés : travaux d’interphonie et de sécurisation d’accès sur les immeubles situés au 33/35/37, Cour Eisenhower et 24/26/28, rue de Rilly-la-Montagne à Reims.
4. Lots :
1 : menuiserie métallique.
2 : interphonie.
3 : carrelage.
5. Demande de renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de Reims habitat Champagne-Ardenne, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être auprès de M. POUSSE, tél. 03.26.48.43.38 fax 03.26.48.43.40
6. Date d’envoi à la publication : le 16 mai 2011
7. Date limite de remise des offres : le 16 juin 2011 à 17 heures.
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Hier vers 16 heures, un feu de détritus s’est déclaré allée du Vignoble.
Une demi-heure plus tard, les pompiers ont été requis pour une fumée s’échappant d’une maison désaffectée rue de Neufchâtel. Elle provenait d’un tas de palettes incendiées dans le sous-sol.
La section « Plantes potagères » de la Société d’horticulture de l’arrondissement de Reims organise depuis plusieurs années des séances d’initiation à la culture potagère ouvertes aux enfants des écoles, en liaison avec l’Office central de la coopération à l’école (OCCE).
Pour Jean Kozycki, secrétaire général de la SHR, l’objectif est de « sensibiliser les enfants à la pratique du jardinage en les invitant en présence de vrais jardiniers, dans de vrais jardins pour leur faire découvrir la vraie culture du légume ».
Cette année, l’action s’est déroulée dans une parcelle de l’association des Jardins familiaux de Pays-de-France « aimablement mise à disposition par les administrateurs, Michel Herbreteau et Jacques Pigne », en présence d’une classe de CM2 de l’école Jean-d’Aulan, conduite par Mme Welter et retenue par l’OCCE.
Animés par Micheline Blondeau, Jean et Marie-Thérèse André Leclerc et Claude Massart, de la SHR, et en présence de Mme Bériot pour l’OCCE, trois ateliers ont été mis en place : « Reconnaissance des semences et principe de la germination » à partir d’un présentoir grainier et de tableaux explicatifs, « Semis en rayon » de radis, navets, laitues, carottes, pois, haricots, poireaux et betteraves rouges, « Plantation de plants en mottes ou à racines nues », choux, tomates, céleris, laitues et pommes de terre, offerts par le service Espaces verts de la Ville de Reims, des horticulteurs et des jardineries.
Pour ce tour d’horizon très complet de ce qui se pratique dans tous les potagers, les élèves, en majorité intéressés, ont bien suivi et appliqué les conseils dispensés.
L’opération s’est terminée par une visite de l’ensemble des parcelles de l’association des Jardins familiaux, qui peut espérer voir là une relève assurée.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le vélo en milieu urbain demande un apprentissage
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C’est samedi 21 mai qu’auront lieu de nouveau les samedis du sport, avec 12 activités proposées : aquagym, aqua-palmes apnée, aviron, badminton et kin ball, tennis de table, escrime, gymnastique du Corps et l’Esprit, roller, test VMA/course à pied et marche nordique.
Deux nouvelles disciplines figurent au menu depuis le mois d’avril : football avec le Stade de Reims pour les 12-15 ans et apprentissage et initiation au vélo en milieu urbain, à partir de 9 ans, avec des ETAPS de la Ville de Reims.
Les lieux de pratique sont répartis dans les quartiers rémois afin que chacun puisse s’y rendre facilement : parc de Champagne, piscine Orgeval, Régates rémoises, école Gallieni, gymnases François-Legros et Léo-Borgniet, complexe René-Tys, terrain de football Géo-André.
Les activités sont le plus souvent accessibles à tous, parents et enfants. Certaines activités peuvent se pratiquer dès 6 ans comme le roller, l’escrime ou le tennis de table, d’autres dès 9 ou 16 ans (foot de 12 à 15 ans). Il faut savoir nager pour l’apnée/aqua palmes ou pour l’aviron ; pour le roller, les participants doivent apporter leur matériel (rollers et protections) de même que pour le football. Les activités sont gratuites mais il est nécessaire de s’inscrire au préalable auprès de la Direction des sports de la Ville de Reims.
La limite est fixée au 19 mai à 18 heures. L’inscription en ligne est possible sur le site sur le site www.reims.fr (sports/événements sportifs).
Le bulletin d’inscription est également téléchargeable et imprimable ; il est aussi disponible dans les antennes municipales, à l’hôtel de ville de Reims.
Les bulletins doivent être remplis et déposés ou envoyés à la direction des Sports, Stade-Auguste-Delaune, chaussée Bocquaine, à Reims.
Renseignements au 03.26.79.03.77.
Myriam, étudiante à Croix-Rouge en éco/gestion : « Le tram m’a simplifié la vie.
J’habite avenue de Laon, je le prends chaque jour pour aller à la fac. Tout est nickel. Avant, il me fallait prendre deux bus pour aller en cours. Grâce au tram, je peux dormir dix minutes de plus le matin ».
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Christine Konstanty, employée de l’école Blanche-Cavarot : « Un petit peu.
J’aimais bien prendre le bus. J’avais le K qui s’arrêtait tout près de chez moi, maintenant je dois marcher presque 10 minutes pour récupérer le tramway. Une fois qu’on est dedans, on y est bien. Il va plus vite que le bus mais il ne va pas partout ».
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Le 4 octobre 2010, un Rémois de 23 ans, Grégory Courroux, bénéficie d’une permission de sortie de la maison d’arrêt pour se rendre à une formation. Il doit réintégrer sa cellule le soir même.
Les surveillants ne le voient pas revenir, ni le lendemain et encore moins les jours suivants. Il n’est retrouvé que le 30 mars, à l’occasion d’un contrôle de police allée Edgar-Degas.
Condamné pour le délit d’évasion, Grégory Courroux devra rester trois mois de plus en prison.
Il y avait de l’ambiance, le 7 janvier dernier, dans cet appartement de la rue de Rilly-la-Montagne. Des « coups de feu » y ont d’abord été entendus durant la soirée, sans que l’on sache trop à quoi ils correspondaient.
Vers minuit, policiers et pompiers sont obligés d’intervenir car un occupant de l’appartement est retrouvé allongé devant l’immeuble, avec des traces de coups au visage et sur les jambes. Il accuse un invité, Ludovic Thiébault, 28 ans, de l’avoir passé à tabac.
La victime comme l’auteur sont complètement saouls.
L’origine de la rixe est restée obscure mais pour le tribunal chargé de juger Ludovic Thiébault, les choses sont claires : avec son casier à rallonges, le jeune homme aurait mieux fait de se tenir tranquille. En plus, il ne vient pas s’expliquer à la barre.
Il est condamné à dix-huit mois de prison ferme, plus huit mois de sursis révoqués, soit deux ans à purger derrière les barreaux. Un mandat d’arrêt a été délivré à son encontre.
Numéro 7394 du 16 au 22 mai 2011.
Les différents parcours proposés sont destinés à récolter des fonds pour l’association SOS Villages d’Enfants. 8 Boucles du Cœur sont programmées dans la région Champagne-Ardenne.
Les participants sont invités à s’inscrire dans les magasins de l’enseigne Carrefour, lors de leurs passages en caisse, en achetant une carte de participation pour un don minimum de 2 euros.
Nathalie Mohn et les « Européennes » de Reims se sont bien amusées chez les Castelroussines. Archives François NASCIMBENI
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Avec quatre victoires pour deux défaites, le bilan des clubs marnais pour la troisième journée des Interclubs est plutôt positif.
Chez les messieurs, en N2, comme on pouvait s’y attendre, Cormontreuil n’a pas pesé bien lourd face aux solides Alsaciens de Illberg (7-1). En N3, le promu vitryat a poursuivi son étonnant parcours en s’imposant nettement à Villeneuve-d’Ascq (6-2). Seul leader avec trois victoires en autant de match, Vitry a assuré son maintien et peut désormais rêver à mieux…
En N4, le Reims Europe Club, en s’inclinant (4-3) aux Thiolettes contre Bussy, a perdu ses derniers espoirs de maintien alors que le TC Géo-André a réalisé le bon coup de la journée en s’imposant avec autorité (5-2) sur le terrain des très expérimentés Nordistes du TC Flandres.
Du côté des dames, en N2, les « Européennes » n’ont laissé aucune chance à Châteauroux et sa colonie espagnole (7-1). Résultat, la route de la montée en N1B s’est ouverte puisque la troupe de Pheng Xayphengsy doit désormais affronter les deux derniers du classement !
Enfin, en N3, le TC Géo-André a fait le métier en allant battre Carqueiranne (5-2). Un succès essentiel pour le maintien.
N2
Illberg. -TC Illberg bat Cormontreuil TC 7-1.T. Groll (-15, Illberg) bat Robert (-2/6, Cormontreuil) 6-2, 6-1 ; Steger (-15, Illberg) bat Beuque (-2/6, Cormontreuil) 6-3, 6-7, 6-0 ; Pepe (-15, Illberg) bat Jolly (-2/6, Cormontreuil) 4-6, 6-3, 6-1 ; Soumet (2/6, Cormontreuil) bat K.Groll (0, Illberg) 6-1, 3-6, 6-0 ; Rauseo (1/6, Illberg) bat Blanc (3/6, Cormontreuil) 6-4, 6-4. Steger- Pepe battent Beuque -Jolly 6-1, 6-2 ;T. Groll - Rauseo battent Robert - Blanc 6-2, 6-3.
N3
Villeneuve d’Ascq. - TC Vitry bat FOS Villeneuve d’Ascq 6-2. Juska (n° 30, Vitry) bat Pastureau (0,Villeneuve-d’Ascq) 6-1, 6-3 ; Witmeur (-15, Vitry) bat Maxence Olivier (0, Villeneuve-d’Ascq) 6-3, 6-0 ; Lalouette (0, Vitry) bat Renard (1/6, Villeneuve-d’Ascq) 6-4, 3-6, 6-3 ; Cornille (1/6, Villeneuve-d’Ascq) bat Blossier (2/6, Vitry) 6-1, 6-1 ; Adam (2/6, Villeneuve-d’Ascq) bat Varin (4/6, Vitry) 6-0, 6-1. Juska -Witmeur battent Pastureau -Cornille 6-3, 6-1 ; Lalouette - Blossier battent Olivier-Adam 6-3, 3-6, 1-0.
N4
Reims. - Bussy TCVB bat Reims Europe Club 4-3. A. Rakotondramanga (-4/6, Bussy) bat Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-1 ; Dorsemaine (0, Bussy) bat Castelhano (2/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-4 ; Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Maubacq (2/6, Bussy) 6-2, 6-3 ; Bonnet (3/6, Reims Europe Club) bat Ramirez (2/6, Bussy) 7-5, 6-1 ; V. Rakotondramanga (2/6, Bussy) bat Clausse (5/6, Reims Europe Club) 6-4, 7-5. A. Rakotondramanga -Dorsemaine battent Gajanovic - Castelhano 6-1, 7-6 ; Seuret - Bonnet battent V. Rakotondramanga - Ramirez 1-6, 7-5, 1-0.
Croix. -TC Géo-André batTC Flandres 5-2. Munier (1/6, Géo-André) bat Cousin (-2/6, TC Flandres) 6-7, 6-4, 6-3 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Beun (1/6,TC Flandres) 3-6, 6-2, 6-4 ; Rousseau (1/6,TC Flandres) bat Pignon (3/6, Géo-André) 6-2, 2-6, 6-1 ; Paillard (3/6, Géo-André) bat Declercq (1/6,TC Flandres) 7-5, 6-4 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat Kuchna (5/6,TC Flandres) 6-0, 6-3. Munier - Paillard battent Beun - Rousseau 6-2, 6-3 ; Declercq - Pimek (1/6) battent Pacanowski - Leroy 6-4, 6-4.
N2
Châteauroux. - Reims Europe Club bat Châteauroux 7-1. Lucia Jimenez-Almendros (-2/6, Châteauroux) bat Magdalena Kiszczynska (-30, Reims Europe Club) 6-1, 6-1 ; Nathalie Mohn (-4/6, Reims Europe Reims) bat Cristina Arribas-Garcia (0, Châteauroux) 6-1, 6-2 ; Sabrina Bamburac (-4/6, Reims Europe Club) bat Eléonore Picot (1/6, Châteauroux) 6-1, 6-2 ; Marie Menacer (-2/6, Reims Europe Club) bat Marina Escobar-Martinez (2/6, Châteauroux) 6-1, 6-2 ; Laëtitia Tordo (0, Reims Europe Club) bat Céline Massereau (4/6, Châteauroux) 6-3, 6-1. Magdalena Kiszczynska - Sabrina Bamburac battent Lucia J imenez-Almendros - Cristina Arribas-Garcia 7-6, 6-2 ; Nathalie Mohn -Marie Menacer battent Marina Escobar-Martinez - Céline Massereau 6-3, 6-3.
N3
Carqueiranne. -TC Géo-André batTC Carqueiranne 5-2. Nelly Lelias (1/6, Carqueiranne) bat Charline Braidy (-4/6, Géo-André) 6-3, 2-6, 6-4 ; Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) bat Emilie Guisier (4/6, Carqueiranne) 6-1, 6-3 ; Jackie Lassaux (2/6, Géo-André) bat Sandra Arostegui (5/6, Carqueiranne) 7-5, 6-0 ; Cindy Castille (4/6, Géo-André) bat Marie-CarolineTrape (15, Carqueiranne) 6-4, 5-7, 6-3 ; Aurélie Marcha) (4/6, Géo-André) bat Marie Vangelisti (15/1, Carqueiranne) 6-0, 6-4. Charline Braidy - Claire Makhloufi battent Nelly Lelias - Marie-CarolineTrape 6-2, 6-2 ; Emilie Guisier - Sandra Arostegui battent Jackie Lassaux-Aurélie Marchai 7-5, 6-3.
Demain, mercredi 18 mai de 14 à 17 heures, sur le parvis en cas de beau temps ou au rez-de-chaussée de la médiathèque Croix-Rouge, les lycéens, étudiants et autres chercheurs d’emploi pourront « tout savoir sur les métiers de bouche ».
En effet, l’espace Métiers de la médiathèque, la Maison de l’Emploi et des Métiers du bassin rémois et la Mission locale de Reims, y organiseront leur 3e rencontre, consacrée aux métiers de : pâtissier, traiteur, charcutier, fromager, chocolatier, boulanger… Entrée libre.
Les Francas de Lorraine-Champagne-Ardenne organisent des sessions de formation aux fonctions d’animateur.
Formation générale animateurs.- Du 24 juin au 2 juillet à la maison de quartier Maison-Blanche à Reims en demi-pension.
Du 25 juin au 2 juillet au centre de loisirs de Saint-Roch à Chaumont (Haute-Marne) avec possibilités de l’internat ou demi-pension.
Approfondissement animateurs sur les thèmes Nature Environnement du 22 août au 27 août l’Eaudici à Les Voivres (Vosges) en internat.
Les Francas de Lorraine-Champagne-Ardenne organisent des formations pour les directeurs : Base pour directeurs en continu du 13 juin au 21 juin au siège des Francas de la Marne à Reims (avec possibilités de l’internat ou demi-pension).
Base pour directeurs en discontinu du 6 juin au 10 juin et du 14 juin au 18 juin à l’École Georges-Ouvrard à Sedan (Ardennes) en demi-pension.
Pour tout renseignement, s’adresser aux Francas, 29, rue Pierre-Taittinger à Reims.
Tél. 03.26.85 55.18.
Personnages de « bedtime stories »… Faciles à identifier…
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L’association des Amis de l’enseignement international, présidée par Joséphine Lejard, se montre toujours aussi efficace pour organiser un succulent « Breakfast », modèle traditionnel ou continental, qui réunit des centaines de parents et d’amis avant de faire partager un autre moment sympathique autour du délicieux spectacle préparé par élèves et professeurs.
La 17e édition de cette manifestation a comme chaque année, été couronnée de succès et les fonds recueillis iront aux différents projets de classe.
Sur scène, l’ambiance était joyeuse avec des élèves aussi à l’aise dans la langue anglaise que dans les costumes endossés pour camper des personnages sortis de leur imagination et de leur culture d’enfants du XXIe siècle…
Rencontres surprenantes et improbables mais bons prétextes pour être applaudis à tout rompre…
Cette année c’est le collège Schuman qui accueillait les lycéens de Chagall, les classes élémentaires d’Adriatique et les invités du Collège Joliot-Curie.
Présentation de matériel aux jeunes civils.
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LA journée de la Défense et de la Citoyenneté (JDC) a eu lieu mercredi au lycée Val-de-Murigny. Prévue pour les jeunes de Reims et de l’agglomération rémoise, elle touche un grand nombre de lycéens, mais aussi certains jeunes déscolarisés. « Cette journée permet de les détecter et de les mettre en relation avec les dispositifs d’insertion, comme l’EPIDe (Etablissement Public d’Insertion de la Défense) ou avec les missions locales avec lesquelles nous avons des partenariats » explique Bernard Mattei, chargé de Relations extérieures et partenariats. Les coordonnées des élèves en difficulté de lecture ou d’écriture sont transmises à l’Inspection Académique. Dans une salle du lycée, le maréchal des logis-chef Pacanowski rappelle quelques notions d’histoire, de droits et devoirs du citoyen aux jeunes convoqués pour la JDC, auxquels se sont ajoutés les élèves délégués du « Comité académique de la vie lycéenne » qui entendront également l’intervention d’un représentant de l’Unicef et celle de Jacqueline Ibrahim, vice-présidente régionale de la Croix-Rouge.
« Je trouve intelligent d’avoir réuni l’Éducation nationale et l’armée. Cela permet d’avoir une impression sur la défense nationale et la citoyenneté », confie Antonino Tripodi, délégué académique et élève en BTS au lycée Val-de-Murigny. Pour les jeunes de la JDC, la motivation est très intéressée : « Nous sommes là parce que c’est obligatoire et que le certificat qui nous sera remis est indispensable pour passer le bac, et aussi obtenir le permis de conduire », avouent Anthony Simon, 17 ans, de Wassy, et Maeva Dogué, rémoise, élève de Terminale.
« Ils vont avoir aussi une partie plus axée sur la défense et le monde instable dans lequel nous vivons. On va leur parler du terrorisme et de toutes les menaces qui peuvent exister. » « En 2010, dans la Marne, nous avons reçu un peu plus de 6 000 jeunes », précise Christine Giovanni, chef de centre du service national de Châlons-en-Champagne, qui insiste sur la nécessité, pour les jeunes âgés de 16 ans, de se faire recenser.
Les séances se clôturaient par un jeu de rôle autour du commerce équitable et de ses enjeux.
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Des bénévoles de l’association Artisans du monde ont proposé tout au long de l’année scolaire des petits-déjeuners solidaires à toutes les classes de 5e du collège François-Legros.
Ces repas étaient préparés à base de produits issus du commerce équitable et de l’agriculture biologique pour la plupart.
Au cours des séances, les animateurs ont expliqué aux élèves le principe du commerce équitable, des coopératives, des associations, de la solidarité et du bénévolat.
Ils présentaient les produits (parfois exotiques) constituant ces petits-déjeuners ainsi que leur mode de culture, ce qui donnait l’occasion de situer sur un planisphère les pays dont ces produits sont originaires.
Enfin ils ont abordé le thème de la nutrition, de l’intérêt de prendre un petit-déjeuner le matin et de découvrir de nouveaux goûts.
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Des œuvres à redécouvrir ou découvrir le samedi 21 mai.
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Samedi 21 mai à 16 heures, dans la salle d’exposition de la médiathèque Croix-Rouge, un concert sur le thème des « plus belles chansons d’amour du XIIIe au XVIIe siècle » sera proposé par Cosimuz, l’association des étudiants en musicologie de l’Université de Reims, sous la direction de Thierry Grandemange.
Les auditeurs pourront apprécier la grande variété des styles depuis les troubadours jusqu’à Henry Purcell, et goûter les divers regards que les auteurs ont portés sur l’amour en chansons : amour ardent du madrigal italien de la Renaissance, amour dramatique de la mort de Didon, légèreté de la pastourelle…
Le programme proposera des œuvres injustement oubliées, comme « Mille regretz » de Josquin Desprez ou « Tant que vivray » de Claudin de Sermisy, aussi bien que les grands tubes de l’époque.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.
Demain, dimanche 15 mai, de 10 à 18 heures, opération « Vos héros pour 1 euro ! » surfe parvis de la médiathèque Croix-Rouge.
La bibliothèque municipale met en vente plus de 10 000 documents retirés de ses rayonnages : CD, romans, polars, BD, magazines, ouvrages pour enfants, livres de cuisine, d’art, d’histoire… à un tarif plus qu’abordable : de I à 2 € par document (10 achats maximum par personne, revente interdite).
Le prochain concours de pétanque en doublettes de l’association Étoile Croix-du-Sud a lieu demain, dimanche 15 mai, sur le boulodrome habituel.
Inscriptions à partir de 13 h 30, début du jeu à 14 heures.
Frais d’inscription : 10 Euros par équipe.
Renseignements auprès de Jean-Michel Gauthier ( 06.11.68.16.48) ou au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum (03.26.06. .66.).
Tournant des Interclubs, la troisième journée s’annonce déjà décisive pour quelques formations marnaises.
Battu la semaine dernière par Issoire, Cormontreuil a perdu tous ses espoirs de maintien en N2. Cela devrait se confirmer avec ce déplacement à très hauts risques à Illberg qui présente deux numérotés et des négatifs.
En revanche, à l’étage au-dessous, Vitry a l’occasion d’assurer définitivement son maintien à Villeneuve d’Ascq qui compte un poids d’équipe nettement inférieur.
En N4, seule équipe à domicile, le Reims Europe Club sera en difficulté aux Thiolettes face à Bussy alors que Géo-André jouera une partie importante sur les courts du TC Flandres et de ses vieilles gloires (Patrice Kuchna, Libor Pimek).
Du côté des dames, en N2, les Européennes ont la possibilité de signer une troisième victoire d’affilée à Châteauroux. Reste qu’avec six Espagnoles dans son effectif, cette formation est imprévisible…
Enfin, les filles de Géo-André disputeront une rencontre essentielle pour leur maintien à Carqueiranne. Favorites sur le papier, les Rémoises devront le confirmer sur la résine varoise.
Pour la troisième année consécutive, la bibliothèque municipale organise une grande braderie destinée à renouveler ses stocks.
Rendez-vous donc dimanche, de 10 h à 18 h, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge pour profiter de tarifs imbattables : 1 à 2 € par document. Romans, bandes dessinées, ouvrages pour enfants, CD…
Plus de 10 000 documents seront proposés à la vente dans le cadre de cette opération baptisée « Vos héros pour 1 € ».
Seule restriction : dix achats maximum par personne.
A noter également « l’happy hour » à partir de 16 h : pour un bouquin acheté, un second offert.
Ce soir, vendredi 13 mai, une surprise attendra les habitants pour une fête à proximité de l’hippodrome de Reims.
En effet, pour fêter ses 90 ans, Reims habitat a concocté une soirée exceptionnelle : rendez-vous est donné à la population à 21 h 30 à l’angle de la rue Pierre-Taittinger et l’avenue Kennedy.
« Vous aurez l’occasion de voir un véritable funambule à 8 mètres de hauteur », annoncent les responsables de Reims habitat. « Mais ce n’est pas tout, viendra ensuite un magnifique feu d’artifice spécial 90 ans de Reims habitat. »
Accès gratuit.
La réponse de Jaques Meyer a plutôt été difficile à comprendre
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Une réunion entre parents d’élèves, élu municipal et inspectrice s’est tenue mercredi dernier au sujet d’une éventuelle fusion entre deux écoles maternelles du quartier Croix-Rouge
MERCREDI dernier, les parents d’élèves des écoles maternelles des Provençaux et des Auvergnats ont reçu un courrier les invitant à venir rencontrer Jacques Meyer, adjoint du maire pour l’éducation, ainsi que Michèle Mallebay-Vacqueur, inspectrice de Reims Sud, concernant une éventuelle fusion entre les deux établissements.
Ce projet de regrouper ces deux écoles, plus précisément d’installer les trois classes de maternelles des Auvergnats dans les murs de l’école des Provençaux qui en compte déjà cinq, est à l’initiative de l’académie qui l’a évidemment soumis à la municipalité. Mais selon Jaques Meyer, ce projet ne peut être validé que par le conseil municipal.
Cette réunion opposait deux mondes bien distincts, d’un côté des parents soucieux des conditions de scolarité de leurs enfants et de l’autre des experts administratifs semblant être à des années-lumière des réalités du terrain. « Monsieur, nous ne parlons pas de la même chose ! Vous nous parlez d’un projet alors que nous, parents d’élèves, nous vous parlons d’enfants », précise une maman avant de poser une question à l’élu : « Quel est l’intérêt de la municipalité dans cette proposition ? »
La réponse de Jaques Meyer a plutôt été difficile à comprendre pour les parents, directeurs et enseignants.
« La municipalité n’a aucun intérêt spécial à fermer l’une de ces écoles. Nous n’irons pas à l’encontre de l’avis du conseil d’école », répond l’élu. Ses explications ont alors fait place à de nombreux murmures « Quoi ? Eh bien qu’est-ce qu’on fait là alors ? »
Dans l’assistance, tout le monde a bien compris que la seule à avoir un intérêt dans cette histoire est l’académie qui par l’intermédiaire de l’inspectrice n’avait qu’un argument pour défendre son projet, expliquant qu’à l’origine l’école maternelle des Provençaux était conçue pour accueillir huit classes. « Arrêtez avec votre argument. Nous le savons, cela fait dix fois que vous nous le dites. Pourquoi vouloir changer les choses lorsque tout va bien ? Votre projet, on n’en veut pas. Si le seul confort qu’ont nos enfants est d’être scolarisés dans une école de cinq classes qui est prévue pour en accueillir huit, eh bien on veut le garder. Une dernière question Monsieur Meyer, est-ce que l’avis des parents est utile pour la décision finale ? » ajoute un père de famille.
Jacques Meyer a répondu directement en expliquant que la décision se prendra avant la fin de l’année scolaire. « Bien sûr que votre avis est important, je le répète nous (l’équipe municipale) n’avons pas l’habitude d’aller à l’encontre de la population. Il y aura un conseil d’école d’ici 15 jours où ce projet sera soumis à un vote. Je mettrai ensuite l’avis du conseil à l’ordre du jour du conseil municipal. »
S’en sont suivis des échanges sur le sujet devant l’école des Provençaux où s’est tenue cette rencontre, les parents d’élèves continuant à parler de cette fusion. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils ne sont pas du tout optimistes quant au poids de leur avis sur la décision finale. « Nous ne croyons pas du tout en leur baratin. Pour nous, tout est déjà acté, vous verrez au mois de septembre à la rentrée des classes tout sera fait ! » racontent Mme Elkhalkhali, représentante des parents d’élèves, et d’autres mères de famille.
« L’avenir de nos écoles aura forcement un impact sur nos futurs choix électoraux. Pour rappel c’est tout un quartier qui participé à l’élection d’Adeline Hazan, donc si la maire et son équipe ne respectent pas leurs dires, ce même quartier pourra aussi être un acteur à sa non-réélection », conclut un autre père de famille.
Thierry ACCAO FARIAS
Le week-end dernier, Najime Hocini, graffeur renommé habitant le quartier, et dix autres professionnels de la région de Reims sont venus à l’entrée du parc Saint-John-Perse, à l’intersection de l’avenue Eisenhower et la rue Pierre-Taittinger, réaliser une fresque sur le thème « Des premières maisons aux constructions BBC de Croix-Rouge », sur la clôture du chantier d’une future résidence BBC à Croix-Rouge construite par Reims habitat : la résidence Saint-John-Perse. Les locataires de Reims habitat de Croix-Rouge étaient conviés à cette manifestation.
Déjà, durant la deuxième semaine des vacances de Pâques, de nombreux enfants étaient venus s’initier au graff tout en s’amusant dans une ambiance chaleureuse et festive au cours des ateliers graff encadrés par Najime Hocini, des enfants très fiers de porter les Tee-Shirts « 90 ans Reims habitat » et de jouer avec les ballons réalisés pour l’occasion.
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Transport - Tramway Les premiers couacs
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A 66 ans, Andrée emprunte tous les jours le bus pour ses moindres trajets. Avec l’arrivée du tramway et la refonte du réseau, cette jeune retraitée de la fonction publique avoue avoir eu un peu de mal à se faire aux changements : « j’ai l’impression que certains arrêts ont été supprimés et que l’on doit du coup marcher davantage. En plus, je m’y perds un peu avec le passage des lettres aux chiffres, cela me fait faire plus de correspondances ». Yves, bien au contraire, est enchanté de ces nouvelles lignes : « J’habite dans le quartier Cernay et je travaille à l’institut Godinot. Avant je devais prendre la ligne C puis la N jusqu’à son terminus.
Désormais, je récupère directement le tramway au théâtre et je gagne pratiquement dix minutes dans mon trajet. Et puis le tram, c’est quand même plus agréable que le bus ».
Plus mesuré, Hicham, étudiant au Campus Croix-Rouge, soulève surtout la dangerosité de ce nouveau mode de transport : « Je fais beaucoup de vélo et c’est vrai que le tram, lorsqu’on traverse les voies, on ne l’entend pratiquement pas arriver. En même temps, je trouve que c’est tout de même un plus pour Reims, et puis au moins, les étudiants n’ont plus à prendre l’ancienne ligne de bus H, presque toujours surchargée ».
Du graff pour les 90 ans de Reims Habitat
Najime Hocini en plein travail.
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Dans le cadre de son 90ème anniversaire, Reims Habitat a invité, samedi 7 et dimanche 8 mai, une douzaine de graffeurs professionnels à exercer leur talent à travers la réalisation d’une grande fresque.
Emmenés par Najime Hocini, ces artistes ont travaillé sur le thème « des premières maisons de Maison Blanche aux constructions BBC de Croix-Rouge ».
Cette fresque a pris place sur la clôture du chantier de la future résidence Saint John Perse, à l’angle de l’avenue Eisenhower et de la rue Pierre Taittinger.
Braderie - Vos héros pour 1€ !
Pour la 3ème année consécutive, la bibliothèque de Reims oraganise une vente de ses documents à tout petit prix.
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Après deux premières expériences très réussies en juin 2009 et avril 2010, avec près de 1 500 visiteurs et 7 000 documents vendus à chaque fois, l’opération baptisée « Vos héros pour 1€ » revient ce dimanche 15 mai sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. Ainsi, la bibliothèque municipale de Reims « désherbe » à nouveau ses collections. En fait, il s’agit pour elle de se séparer de certains documents trop défraîchis ou qui ne correspondent plus aux attentes du grand public. Il faut savoir que la bibliothèque possède un stock d’environ 500 000 livres et autres supports multimédia et que chaque année, 30 000 nouveautés viennent compléter ce trésor. Au total, lors de cette braderie exceptionnelle, ce sont des milliers de documents (romans, bandes dessinées, magazines, CD et DVD) qui seront mis en vente au prix de 1 ou 2 euros. A noter que pour l’occasion, la médiathèque Croix-Rouge sera ouverte au public avec au programme des contes et des démonstrations de Wii.
« Vos héros pour un euro » : dimanche 15 mai, de 10h à 18h, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. Entrée libre.
MARDI 17 ET MARDI 24 MAI THÉÂTRE : « SI ON ALLAIT À CROIX-ROUGE EN TRAM »
Cet événement vous invite à découvrir deux pièces : « Le frichti de Fatou » par la Cie Tombés du ciel le 17 mai, et « Le caillou de Lune » par la Cie Théâtr’âmes » le 24 mai. A chaque fois, le SUAC vous offre le trajet en tram. Pour cela, rendez-vous le dimanche de votre choix à la station Opéra, à 19h, pour une distribution d’un ticket aller-retour.
A 19h30 - Entrée libre sur réservation au 03 26 91 84 15 Au Crous (campus Croix-Rouge)
JUSQU’AU 26 MAI : « RÈMES/RES »
En cette fin d’année universitaire, la bibliothèque universitaire et le SUAC vous proposent une expo inédite de Céline Pierre et Laurent Plagnol, sur les chantiers urbains de l’année écoulée, notamment ceux du tram et du campus Croix-Rouge.
Palissade des halles du Boulingrin, rue Andrieux, et à la bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, avenue François Mauriac.
JUSQU’AU 25 JUIN : « D’OMBRE ET DE LUMIÈRES »
Des clichés empreints d’humanité sur la cathédrale, ses coulisses et son public, de Noureddine Rhaïssi.
Médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Zola
Christina Matoso, Croix Rouge « J’utilise beaucoup les bus et maintenant le tram pour mon travail. Il faut maintenant se familiariser avec les chiffres des lignes. Je pense que je serai gagnante en temps. »
La 7e édition de la semaine du microcrédit aura lieu du 7 au 11 juin 2011. L’occasion pour Reims de faire mieux connaître ce dispositif qui peut aider certains créateurs d’entreprise à concrétiser un projet.
La Ville de Reims s’intéresse à toutes les voies susceptibles de favoriser l’entrepreneuriat et par conséquent l’emploi. Le microcrédit est l’une de ces voies. Il donne les moyens d’entreprendre à ceux qui ont un projet de création d’activité mais n’ont pas accès au crédit bancaire classique, et plus particulièrement aux demandeurs d’emploi et aux allocataires des minima sociaux. C’est à ce titre qu’elle organise le 8 juin 2011 (Hôtel de Ville, de 18 h à 19 h 30) avec l’Adie (Association pour le Droit à l’Initiative Economique) et la Fédération Bancaire Française une conférence destinée à informer les porteurs de projets sur les possibilités offertes par ce dispositif. La présentation du microcrédit en général et de l’offre développée par les banques et par l’Adie sera complétée par le témoignage de trois micro-entrepreneurs locaux qui ont bénéficié d’un microcrédit.
Principal opérateur dans ce domaine en France, l’Adie a accueilli en 2010 à Reims et alentours 310 personnes, accordé 53 microcrédits professionnels, 23 microcrédits personnels et suivi 136 clients actifs. Quelques activités financées dans ce cadre : vente ambulante, auto-école, maraîchage, peinture et décoration, prestation de soins esthétiques, coiffure à domicile, louage, service de nettoyage, atelier de retouche… Une autre forme de prêt est également disponible depuis septembre 2009 à Reims. Il s’agit du “microcrédit personnel pour l’emploi”. Celui-ci s’adresse aux personnes ayant des pro- blèmes de mobilité pour accéder ou conserver un emploi salarié. Exemples : permis de conduire, formation professionnelle, achat, réparation ou location d’un véhicule, d’un scooter, etc. Pour tout renseignement, l’Adie peut être contactée au numéro vert : 0800 800 566 ou à l’antenne de Reims, 152 avenue Jean- Jaurès. Elle tient également une permanence tous les vendredis à l’antenne municipale Croix-Rouge et le premier mercredi de chaque mois à l’antenne municipale des Châtillons
C. R.
« Notre association mène une action transversale pour la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes. Nos missions : accueillir et informer de manière confidentielle, gratuite et personnalisée, lutter contre les violences sexistes, favoriser l’accès à l’emploi pour une véritable autonomie personnelle, réaliser des actions dans le domaine de la santé centrées sur la prévention (contraception…).
Nous diffusons le 12 mai à 18 h à la Maison de quartier Billard à Croix-Rouge le film “La Journée de la jupe” réalisé par Jean-Paul Lilienfeld avec en actrice principale Isabelle Adjani.
Ce film aborde avec intensité différents sujets comme la religion, les origines ethniques, les inégalités sociales…
Il est intéressant de réfléchir à ces questions dans le cadre d’un festival qui promeut la lutte contre les discriminations.
Nous serons également présents place d’Erlon le 21 mai à l’occasion de la Journée fédérative rassemblant un grand nombre d’associations dans un esprit festif et multiculturel ».
Samedi 9 avril au Creps de Reims, présentation-concert du cd Ici l’ombre Ici l’ombre. © A
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Un atelier en classe.
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Manuel Ducros, compositeur, Mireille Dupouy, directrice artistique du projet
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“Ici l’ombre Ici l’ombre”, un cd 12 chansons écrites et chantées par 220 habitants du quartier Croix-Rouge sous la direction artistique de Mireille Dupouy et sur des musiques composées par Manuel Ducros marque la 2e étape du projet Croix-Rouge Quel chantier ! mené sur deux ans dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale.
« Je peux vous dire qu’il y a eu des nuits presque blanches, des moments de tension, des rires. Cela a été une expérience très riche de réunir des habitants du quartier » explique Yassine Ramdani, animateur permanent à la maison de quartier Croix-Rouge devant tous les participants du projet réunis pour la "présentation concert" du cd. Il régnait une ambiance de première, salle Yehudi Menuhin du creps de Reims ce samedi 9 avril. Chacun commentant les différentes étapes qui ont permis d’aboutir à la réalisation du cd, écriture répétitions, enregistrement. Eric Quénard, Premier adjoint en charge de la politique de la Ville, de l’urbanisme et du logement a tenu « à saluer l’ensemble des acteurs ici présents, des participants, la Maison de Quartier Croix-Rouge, Mireille Dupouy, les collèges, écoles, associations, les habitants du quartier. C’est rare de réussir à mobiliser tout un quartier autour d’un projet accompagnant un profond renouvellement urbain. Refaire les immeubles, mettre de l’activité, c’est essentiel mais il faut aussi que les habitants s’approprient leur quartier à travers des projets comme celui-là afin qu’ils soient acteurs de ces transformations. Car c’est bien pour eux que nous travaillons à améliorer les conditions de vie dans nos quartiers. »
« La direction artistique de ce grand projet m’a été confiée a déclaré Mireille Dupouy. Je suis passée parmi vous. Je vous ai demandé de créer avec moi un texte poétique pour arriver à une chanson complète, texte et musique, en moins de trois heures. Avec 220 coauteurs, on a fait de la création littéraire. Sur les douze titres, il y en a cinq consacrés au savoir. C’est une performance que nous avons réalisée. Merci pour ce compagnonnage. » Les douze chansons enregistrées sur le cd, Gamin gamine, Com-comédie, Rêves captifs, Destins, Démotiv’blues, Magique formule, Château de cartes, Métier en or, Respect s’invite, Travaux en cours, Wok à feu doux et Quartier dense, sont d’une qualité exceptionnelle et d’une grande diversité. Les textes, mis en forme par Mireille Dupouy, sont dus aux habitants du quartier, âgés de 5 à 71 ans : enfants, élèves, collégiens, étudiants, adultes exerçant les métiers les plus divers et retraités.
Les élèves de 5e1 du collège Joliot-Curie ont chanté en direct le jour de la présentation du cd. Leur chanson s’appelle Respect s’invite*. Pour eux, comme pour la plupart des groupes, l’aventure a débuté à l’automne avec la venue de Mireille Dupouy. « Elle nous a donné un thème » précise Oussama. « Ce qu’on pense des garçons et des filles quand on les rencontre. Avec des choses méchantes et avec des choses gentilles » poursuit Sasha. « Le texte nous a permis de nous relâcher » se souvient Halima. « Ils donnaient leurs mots.
Mireille Dupouy les mettait en forme ajoute Pascal Arnoult, leur professeur de français. Elle a pris au vol leurs expressions. Dans la chanson, le texte a très peu changé. Ils s’y sont reconnus. Simultanément, Manuel Ducros, casque sur la tête, travaillait la mélodie au synthé. Quand le refrain a été composé, il a pu faire la musique. Les élèves ont chanté le refrain à la fin de la 1ère séance. La seconde rencontre, c’était pour l’enregistrement dans un studio professionnel, rue de Neufchâtel. Mireille Dupouy a distribué à chacun une phrase à dire. Les gamins sont vite entrés dans le jeu. Tout était bouclé. » Et puis, samedi 9 avril, le direct : « Ils ont tous adoré notre chanson » (Lindsey). « On était les meilleurs » (Océane). « Il n’y avait que nous qui avions des T-shirts » (Anthony). « On était les VIP, c’est pour ça » (Océane). A la question "Est-ce que le projet a changé votre façon de voir les autres ?". « Un tout petit peu » répond Sasha qui n’a pu rester pour chanter car « elle avait basket. ». Si, dans la chanson, les mots semblent durs, il y a toutefois « une très bonne ambiance dans la classe » précise leur professeur. Ainsi, Eléna, jeune russe nouvellement arrivée, a chanté avec ses camarades
A. C.
Cette opération relève d’une thématique prioritaire de la Ville car elle accompagne l’ensemble du renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge. L’expression suscitée par Mireille Dupouy a permis de tisser des liens entre les habitants dans Croix-Rouge et avec le reste de la ville. Opération menée sur deux ans, Croix-Rouge Quel chantier ! vise à (re)définir le quartier par le récit et la mémoire et à reconstruire le regard sur soi, sur l’autre, sur l’environnement dans un contexte de transformation physique du quartier. Accompagnée par Yassine Ramdani et par Franck Simon, qui a notamment réalisé des reportages photos, Mireille Dupouy a ainsi collecté des souvenirs, des capacités à se projeter, créé de la mémoire et de l’événement et valorisé les réalisations des habitants par leur diffusion. Au terme de ce vaste projet, qui a obtenu le label "Espoir banlieue", un livre-objet qui se veut un ouvrage de création artistique et de réflexion sera édité et réunira les nombreux témoignages recueillis auprès des habitants du quartier. Croix-Rouge quel chantier ! est financé par la Ville de Reims, l’Etat, la Drac (dispositif Espoir Banlieue), le Conseil Général de la Marne, la Fondation ERDF et les trois bailleurs sociaux.
* Respect s’invite est dû à Baris, Johnny, Florina, Zinédine, Halima, Mallory, Lindsey, Kélian, Thach, Avicenne, Jessy, Océane, Vigile, Anthony, Sasha et Oussama, âgés de 12 à 13 ans. et Yassine Ramdani, animateur permanent à la Maison de quartier Croix-Rouge.
> Le cd Ici l’ombre Ici l’ombre, a été édité à 1000 exemplaires. Il a été remis à chaque participant. Il sera également inséré dans le livre-objet réalisé à la fin du projet (cf. encadré).
Le 6 avril dernier, Eric Quénard, Premier adjoint à la Maire en charge de la politique de la ville, du logement et de l’urbanisme, lançait officiellement la construction de la résidence Joséphine avenue du Général Bonaparte, mise en œuvre par Le Foyer Rémois, dans le cadre du programme de rénovation urbaine.
Cet ensemble de49 logements de qualité et de types variés -du T2 au T5- sera implanté en bordure du parc public Saint-Bruno et à proximité du lycée Arago.
Il s’agit du premier programme neuf de label BBC (Bâtiment Basse Consommation) construit dans le secteur Pays de France.
La livraison de la résidence est prévue à l’automne 2012.
Le Service Universitaire d’Action Culturelle a imaginé faire un clin d’oeil à l’arrivée du Tramway : “Et si on allait au théâtre à Croix- Rouge en Tram”, avec le concours de TRANSDEV. Objectif : faire aller du centre-ville vers Croix-Rouge un public, d’aficionados du théâtre, et tous ceux qui le voudront trois mardis, en partant à 19 h de la station Opéra. Au programme, trois pièces de théâtre au Centre Culturel du Crous à 19h30 (une par soirée). 10 mai : Demain il fera jour et Maintenant, diptyque présenté par la Cie des Enfants Curieux. 17 mai : Le Frichti de Fatou présenté par la Cie Tombés du Ciel.
Ce projet signé par les artistes CP&LP rend compte de la métamorphose de la ville depuis le chantier des halles du Boulingrin jusqu’au quartier Croix-Rouge via le parcours du tramway. Ces expositions auront lieu à la Bibliothèque Universitaire (jusqu’au 26 mai) et sur la palissade du Boulingrin, programme “arts visuels 2011” (jusqu’au 6 juin).
Une proposition du Suac au Centre culturel du Crous. Rendez-vous à 19 h arrêt Opéra.
Le Conseil de quartier a choisi les noms que porteront les deux nouvelles rues créées dans le secteur Eisenhower. Il s’agit des rues Aimée Lallement et Hubert Carpentier. Le Conseil de quartier a aussi fait un point sur les deux prochaines fêtes de quartier à venir. Il s’agit de la fête de quartier à l’Espace Billard, le 28 mai prochain, et la fête de quartier dans le secteur Pays de France à côté du lycée Arrago, lors de laquelle le Conseil de quartier y tiendra un stand
Créée par David Sydor et Ramzi Harbi, l’association En piste l’artiste ! a pour objectifs l’éveil de l’enfant aux domaines artistiques et scientifiques, la familiarisation du jeune public au domaine de la culture et l’ouverture d’un espace pédagogique alternatif en complément à l’enseignement des écoles élémentaires. Pour ce faire, l’association se propose de créer un musée interactif pour enfants âgés de 3 à 14 ans, le Reims muse & môme, inspiré des "children’s muséums" anglo-saxons.
En piste l’artiste ! organise du 2 mai au 10 juin dans la verrerie du campus Croix-Rouge "1, 2, 3… cinq sens", une exposition destinée aux enfants d’écoles maternelles et élémentaires. Contact : enpiste_lartiste@live.fr ou 0627461561.
Une douzaine de carrés à jardiner et quelques bancs pour discuter.
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Ancien président de la Fédération des jardins familiaux de Reims, Didier Klodawski l’avait annoncé avant la dissolution de cette structure : « Nous travaillons actuellement sur le concept de jardins partagés ».
La définition de cette idée, sur Internet, est simple : « Un jardin partagé est un jardin de proximité, animé par des habitants groupés en association. C’est un lieu de vie ouvert sur le quartier, qui favorise les rencontres entre générations et entre cultures. » Collectifs, associatifs, familiaux, pédagogiques ou solidaires, les nouveaux jardins urbains réinventent l’art de faire ensemble, d’échanger l’espace et les savoirs.
L’idée a été reprise par la Ligue de l’enseignement de la Marne, dont le siège est à Reims, au 19 rue Alphonse-Daudet, à la lisière de la Lézardière et au pied des immeubles des Polygones : un terrain en friche a été préparé par la ville de Reims et confié aux administrateurs. Claude Maireaux, président de la Ligue, est assez fier du résultat : « Voilà à peu près un an que l’expérience est lancée avec une douzaine de miniparcelles d’environ 2,50 m2, qui sont mises en culture par autant d’habitants du coin, locataires ou propriétaires, heureux de prendre en charge un petit bout de leur environnement » explique-t-il : « une démarche de citoyenneté avec des échanges de services, de conseils et d’aide solidaire ».
Un cabanon collectif et un point d’eau sont installés. « Nous attendons maintenant un camion de bon terreau ».
Petit à petit, la Ligue s’efforce d’intégrer ces jardiniers d’un nouveau genre dans le tissu urbain et auprès des associations locales.
Cette belle expérience a ainsi été développée par Claude Maireaux au cours de l’assemblée générale des locataires des Polygones.
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Les plus jeunes artistes sont à la maternelle Gilberte-Droit.
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Quand l’art contemporain dispose d’ambassadeurs de l’envergure des artistes exposés pour le Printemps du domaine Pommery et que le lieu s’ouvre aux enfants en partenariat avec l’Education nationale, il en résulte une opération particulièrement réussie, comme on pouvait en juger le jour où 1 100 petits écoliers ont envahi le parc, la cour d’honneur, le cellier pour le vernissage de « leurs » œuvres.
Avec leurs enseignants et parents accompagnateurs, ils sont en effet venus à raison de 600 le matin et 500 l’après-midi pour constater avec joie que les créations réalisées en classe était bien mises en valeur.
Soutenus par les conseils et le suivi de Sophie Andrade, conseillère pédagogique en arts visuels, des projets artistiques sont nés après des visites guidées par un médiateur, il y a quelques semaines, de l’exposition monumentale présentée dans les différents espaces, en surface et dans les crayères, le fil conducteur étant « Nos meilleurs souvenirs »… De retour en classe, les enfants aidés par leurs enseignants et inspirés par ce qu’ils avaient vu, dessiné, photographié, se sont, à leur tour, exprimés en toute liberté. Le résultat est remarquable, étonnant, touchant : le jeune public s’est montré très sensible aux créations qu’il avait eu la chance de découvrir et il est facile de retrouver, parmi les productions enfantines, les sources d’inspiration.
C’est ainsi qu’à l’école maternelle du Jard, à Reims, on a été influencé par l’Eléphant de Daniel Firma, le Donkey rounabout de Stephen Wilks, l’Hippopotame de DeWar et Gicquel… D’autres pistes ont été suivies : voir le joli conte mis en scène par l’école maternelle de Mailly-Champagne et la Marelle des souvenirs de Fismes…
Au fil des installations, on constate à quel point les objectifs de la démarche - faire connaître et comprendre l’art contemporain - ont été intégrés et transposés avec les moyens du bord : le carton est omniprésent dans les diverses installations mais il a aussi été fait appel aux techniques photo et video. Le Black Hole de Björn Dalhem a fourni un prétexte pour récupérer des objets et les détourner…
« Kids’experience Pommery # 8 » est présentée jusqu’au 29 mai pour les parents d’élèves des écoles concernées et bien sûr elle sera admirée par les visiteurs qui passeront par là…
Un atelier pêche-nature loin de la ville.
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Sur le site de l’étang du Gardon à Crugny, une dizaine d’enfants s’affairent à taquiner le poisson. Même si les gestes quelque peu maladroits trahissent leur inexpérience, les discussions, l’application et leurs sourires démontrent un intérêt certain pour la discipline halieutique.
Cet atelier pêche-nature, encadré par le syndicat des pêcheurs de Reims et la fédération de pêche de la Marne, accueille en partenariat avec le service départemental de prévention quelques enfants de la maison de quartier Cernay-Europe-Les épinettes de Reims.
Loin du caractère urbain de leur quotidien, ils participent à ces journées de découvertes de la pêche avec les enfants de l’institut Michel-Fandre, structure spécialisée dans l’accueil de jeunes déficients auditifs, visuels ou ayant des troubles du langage.
La pratique de la pêche, permet de transmettre des valeurs importantes de façon ludique et agréable : le respect de l’environnement, du matériel, des autres pêcheurs sont autant de points abordés par l’équipe éducative. Le partage de cette activité entre des enfants ayant des facilités ou des difficultés particulières, tend vers une acceptation de la différence et vers une attitude d’entraide nécessaire à l’activité exercée, mais aussi à la socialisation de l’individu.
Le partage du plan d’eau nécessite un travail de communication entre les enfants, qui devront savoir adapter leurs échanges à leurs interlocuteurs. Un travail difficile donc, mais facilité par un environnement inconnu, rendant l’échange incontournable.
Les enfants sont accompagnés dans ces difficultés par leurs éducateurs spécialisés ainsi que par l’équipe d’animateurs de l’atelier, notamment M. Jourdain qui est aussi responsable de l’atelier pêche-nature de Fismes. La pêche est un sport : apprentissage des techniques de montage des lignes, d’évaluation du fond, comment placer sa ligne, quels appâts pour quels poissons sont autant de notions abordées sur les techniques de pêche.
Mais aussi règles de sécurités : « On pêche le poisson, pas le voisin de berge ! », sensibilisation à la protection de l’environnement.
Nul doute qu’après une telle journée au grand air, puis un goûter bien mérité entre nouveaux pêcheurs, la nuit sera emplie de rêve de pêches miraculeuses.
Cependant, l’objectif est rempli pour les acteurs de cette journée : la leçon de pêche fut avant tout une belle leçon de vie.
Mardi soir, une rupture de courant a provoqué l’arrêt de plusieurs rames du tramway. L’incident concernait l’installation privée de l’exploitant car les services d’ErDF n’ont eu connaissance d’aucune panne sur son réseau susceptible de l’expliquer.
Selon ErDF, la seule panne qui lui a été signalée mardi s’est produite à 15 h 03 dans le quartier Croix-Rouge. D’une durée de quelques minutes, elle a été provoquée par une entreprise qui a endommagé un câble sous la chaussée lors de travaux.
La panne affectant le tramway est survenue peu de temps avant le derby Reims-Sedan. De nombreux passagers qui se rendaient au match ont d’ailleurs fini le reste du parcours à pied.
Contactés par l’union sur l’origine de cet incident, les services de Transdev n’avaient pas donné suite hier en fin de journée.
Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 h 30, une patrouille de police aperçoit une Renault Clio qui multiplie les embardées, avenue du Général-Eisenhower à Reims. Gyrophare allumé, elle intime l’ordre au conducteur de s’arrêter mais celui-ci accélère.
Il roule tellement vite que la patrouille décide de le garder à distance, sans le coller, pour éviter des risques inutiles. Le chauffard grille deux feux rouges et percute un trottoir si violemment que le pneu de la roue avant-droite explose.
Malgré cela, il continue sa route, jusqu’au premier virage de la rue Pierre-Taittinger qu’il loupe complètement. La Clio effectue un tonneau avant de s’immobiliser sur le flanc. Par chance, le conducteur n’est que légèrement blessé au bras.
Il s’agit d’un Rémois de 32 ans, Rachid El Badaoui, que les policiers connaissent bien, le tribunal aussi : il a déjà été condamné à dix-huit reprises, dont neuf fois pour des délits routiers. Soumis à l’éthylomètre, il accuse un taux de 1,16 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit 2,32 grammes par litre de sang.
« J’ai un problème d’alcool. Il faut que je me soigne », a-t-il concédé, lucide. Il serait temps car le jeune homme est en train de dévaler une bien mauvaise pente.
Condamné le 14 avril à six mois de prison ferme pour une conduite en état alcoolique (ce jugement prononcé en son absence n’a pas encore été mis à exécution), il s’est fait reprendre en état d’ivresse le 28 avril au volant de sa Renault Clio. Jugé le jour même en comparution immédiate, il fut condamné à un an ferme, sans mandat de dépôt, si bien qu’il était ressorti libre du tribunal. La confiscation de sa Clio avait été ordonnée mais il l’avait toujours ce week-end faute pour l’administration d’avoir eu le temps de rendre effective la mesure. Elle n’était pas passée au contrôle technique et l’automobiliste - infraction supplémentaire - roulait sans permis (il lui a été retiré). Cette fois-ci, sa route se termine en prison. De retour devant le tribunal correctionnel de Reims en comparution immédiate, le prévenu a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été écroué dans l’attente de son procès renvoyé au 14 juin. Le parquet va probablement en profiter pour mettre à exécution les deux peines de six mois et un an prononcées en avril.
F.C.
Les parents sont invités, à 17 h 30, à une réunion afin d’évoquer avec l’inspectrice de Reims Sud une éventuelle fusion sur Provençaux des classes maternelles Provençaux et Auvergnats.
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Invités ce soir à une réunion avec l’inspectrice de Reims Sud pour débattre d’un projet qui verrait la suppression de la maternelle des Auvergnats, les parents d’élèves sont inquiets.
« NOUS sommes inquiets. Les parents d’élèves de la maternelle des Auvergnats viennent de recevoir un courrier de l’adjoint aux affaires scolaires, Jacques Meyer. Il les invite à participer à une réunion ce mercredi à 17 h 30 à la maternelle des Provençaux afin d’évoquer avec l’inspectrice de la circonscription Reims Sud, les conditions dans lesquelles pourrait être mise en œuvre, à la prochaine rentrée, la fusion sur Provençaux des classes maternelles Provençaux et Auvergnats. Nous ne sommes pas d’accord. »
Représentante des parents d’élèves, Mme Elkhalkhali est à la fois surprise et en colère. Surprise parce que l’invitation est faite du jour pour le lendemain et que la réunion arrive si tard. Comme si tout était déjà décidé, calé à l’avance.
En colère parce que visiblement, à en croire les réactions de certains enseignants de la maternelle des Auvergnats, la fusion marquée par la fermeture de la maternelle Auvergnats dont le directeur, à la retraite - on le sait déjà -, ne sera pas remplacé, semblerait présenter plus d’inconvénients que d’avantages pour les enfants.
Car Mme Elkhalkhali croit savoir que cette fusion risque d’être synonyme de dégradation de la qualité de l’accueil et de l’encadrement des enfants. « Comment accueillir autant d’enfants dans des locaux globalement plus petits ? Des enseignants nous ont dit que la bibliothèque serait fermée, tout comme la salle multimédia et celle de l’informatique qui comptait neuf ordinateurs utilisés tous les jours. On nous parle aussi de la suppression du coin vidéo, du coin expérience et technique. J’ai appris que la rééducatrice ne prendrait plus en charge les enfants dans l’établissement. Ça veut dire qu’ils devront aller ailleurs en ville. On nous dit aussi que pour la sieste des tout-petits, un dortoir serait installé dans la salle de gym. Où les grands iront faire de la gym pendant ce temps ? »
Enfin, il semble que l’arrivée des effectifs des Auvergnats sur Provençaux aurait aussi un impact sur le temps accordé aux enfants pour se restaurer et les activités périscolaires. Invité à s’expliquer, l’adjoint Jacques Meyer se veut rassurant.
« C’est l’Inspection académique qui nous a fait cette proposition, mais c’est la Ville qui prendra la décision. Avant les vacances, il n’y avait pas de problème et maintenant, j’ai l’impression que ça dérange certains enseignants. Non, je ne veux pas mettre le feu dans ce secteur. Je veux rencontrer les parents, écouter leur son de cloche et en fonction de ce qui sera dit, le conseil municipal prendra sa décision. D’ailleurs, rien n’a encore été mis à l’ordre du jour. »
Alain MOYAT
Numéro 7393 du 2 au 8 mai 2011.
SARL ADVANCED ELECTRONIC SYSTEMS (AES) au capital de 27.500 €, siège social 2 place Toulouse Lautrec -51100 REIMS. N. 508 011 269 R.C.S. de REIMS.
Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 29/04/2011, l’associé unique a décidé de transférer à compter du 29/04/2011 le siège social qui était à 2 place Toulouse Lautrec - 51100 REIMS à l’adresse suivante : 17 rue Marie Dominique Maingot - 51100 REIMS.
Le dépôt légal sera effectué au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
Pour avis et mention : 95280 M. Alban PERREUL, gérant
S.R.B.G., SARL au capital de 10.000 €, siège social : 39 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS, 519 766 349 R.C.S. REIMS.
L’AGE du 28/03/2011 a décidé de transférer le siège social de la société au 26/28 rue de la République - 93170 BAGNOLET, à compter du 28/03/2011.
Radiation au R.C.S. de REIMS et réimmatriculation au R.C.S. de BOBIGNY. 95288
Spectaculaire, la dégommeuse de tags, mais à quel prix !
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Un débat sur le bruit et l’occupation des halls d’immeuble.
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Depuis 2005, Reims Habitat, Pluri habitat l’Effort rémois et le service départemental de prévention interviennent auprès des élèves de 6e du collège Georges-Braque afin de les sensibiliser au coût généré par les dégradations commises sur leur quartier. Cette année, ce projet intègre les élèves de 4e, qui ont déjà assisté, pour la plupart, aux interventions dans leur classe de 6e.
Ce nouveau projet a consisté, jeudi 5 et vendredi 6 mai, en la visite guidée d’un circuit sur le secteur des Hauts-de-Murigny et de Croix-du-Sud avant une rencontre avec le référent police du collège, M. Pous.
Frédérique Sarrazin, principale adjointe, en définit l’objectif : « Il s’agit de sensibiliser les élèves au respect des aménagements et équipements de leur quartier ainsi qu’au respect des personnes qui y habitent et y travaillent ».
Ce vaste et ambitieux projet a mobilisé Himad Ezzel et Alban Strozykowski pour Reims habitat, Nicolas Quinquis pour l’Effort rémois, Sandrine Sarret pour Alpha logement, Cédric Benadjaoud, éducateur du service départemental de prévention et les professeurs des classes de 4e. Avant et après la balade éducative, Gérard Taillefert, pour le Réseau Réussite scolaire du collège, avait préparé l’intervention en classe et la consolidera ensuite.
Après une reprise de contact avec les animateurs, les élèves devaient découvrir leur quartier sous un angle nouveau grâce à plusieurs haltes : arrêt sur le City-Stade/aire de jeux, découverte du chantier de construction Joliot-Curie, en bâtiments basse consommation (BBC), découverte du gigantesque chantier de rénovation-réhabilitation du secteur Degas, arrêt dans un hall d’immeuble au 9-Degas (notions de respect des habitants), rappel du tri sélectif devant les containers enterrés, démonstration d’enlèvement de tags avec une hydrogommeuse par la société Édivert, arrêt sur l’espace vert Utrillo aménagé par les collégiens les années précédentes et enfin rencontre avec le personnel de Reims habitat à l’Agence des Hauts-de-Murigny.
Les collégiens ont été visiblement intéressés par la démarche. Leurs nombreuses questions et leurs prises de notes en témoignent.
Le résultat sera, n’en doutons pas, positif. Déjà, les deux associations de défense des locataires, « des Hauts-de-Murigny » pour Reims habitat et « At’Hom » pour l’Effort rémois, ont relevé dans leurs récentes assemblées générales une amélioration notable du comportement des collégiens dans le secteur : c’est très encourageant.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
De gauche à droite : le préfet, Adeline Hazan, le premier adjoint Éric Quénard ; Gaelle Velay, directrice de la Caisse des dépôts et consignations, et Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois.
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Adeline Hazan : « Le programme de rénovation urbaine de Reims est le cinquième de France. »
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REIMS (Marne) Commencée sur un quartier en 2004 avec 180 M€, dopée en 2008 sur quatre quartiers pour un montant de 467 M€, la rénovation urbaine de Reims vient de bénéficier d’un nouveau coup de pouce de 27M€.
APRÈS l’inauguration du tram le 16 mars et le coup d’envoi réussi du 800e anniversaire de la cathédrale, la Ville de Reims a été inspirée de choisir le thème des « Bâtisseurs » pour ces événements. Hier, comme pour saluer la qualité de la mise en œuvre du programme de rénovation urbaine signé en 2004 à Reims et vraiment boosté en 2008, le préfet Michel Guillot est venu cosigner avec la maire Adeline Hazan et les organismes logeurs un neuvième avenant qui se traduit par une enveloppe budgétaire supplémentaire de 27 M€.
Cela porte à 494 M€ l’argent qui aura été injecté depuis 2004 pour améliorer plus de 3 000 logements sociaux dans les quartiers Wilson, Croix-Rouge, Orgeval et Épinettes de la capitale de la Champagne. Ce qui fait de ce programme de rénovation urbaine le 5e de France.
Pour faire simple cela signifie que le nombre de logements réhabilités va augmenter de 7,8 % et celui des logements résidentialisés de 14,5 %.
Confirmation de la mixité sociale aussi dans les programmes de constructions neuves avec une offre sociale reconstruite sur site qui passe de 49 à 51 % et l’offre d’accession à la propriété qui augmente de 10,5 à 13,4 % (+ 45 logements).
Sur Pays de France il est aussi prévu une salle de musique et une pépinière d’initiatives ainsi qu’une étude d’aménagement prospective sur des secteurs de Croix-Rouge pas actuellement concernés par la rénovation.
« Le but premier de cette rénovation est d’améliorer le mieux être de nos concitoyens » a rappelé la maire, saluant le travail de fourmi entrepris entre les élus, l’état et les organismes logeurs. « Il était urgent de traiter le logement social à Reims. Quand les gens n’ont pas de logement ils ont du mal à trouver un emploi, c’est aussi le début d’un processus de désinsertion. Avoir un logement digne est un des aspects d’une bonne intégration dans notre société. »
Au nom des organismes logeurs, Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, a salué « cette convention qui va permettre de caler les interventions » dont 78 % du montant a t-il rappelé sont portés par les bailleurs, le reste par l’Anru et les collectivités.
Et d’insister sur l’importance de la mixité sociale dans les programmes mais aussi la mixité des usages (locaux d’activité, commerces, bureau) avant de souhaiter un Anru II pour tous les autres quartiers pas encore rénovés.
Précisant que ce serait sans doute le dernier avenant, le représentant de l’État a invité bailleurs et élus à remettre pour 2012 leur calendrier d’action pour éviter tout retard.
De même, il a souhaité des précisions sur le dossier de résidentialisation du quartier Charles-Roche (Orgeval).
Alain MOYAT
Samedi à 15 h 30, un automobiliste a percuté deux véhicules en stationnement sur le parking du Carrefour-Market de la rue Gambetta.
Agé de 43 ans, il n’avait plus les idées très claires en raison d’un taux de 1,46 gramme d’alcool par litre de sang.
L’homme a fait l’objet d’une composition pénale (400 € d’amende, permis suspendu quatre mois).
Ce même jour à 19 heures, un autre nez rouge s’est fait prendre sur la RD944 à l’entrée de Reims, au rond-point des Eglantines.
Il barbotait dans 1 gramme 60 d’alcool : 400 € d’amende, six mois de suspension.
Toujours samedi, à 13 h 30, un habitué de la conduite sans permis ni assurance a été arrêté rue Emile-Druart.
Il fera l’objet d’un « plaider-coupable ».
Dimanche à 0 h 45, le pilote d’un scooter a chevauché une ligne continue avenue Eisenhower.
Il a refusé de souffler et ira s’en expliquer devant le tribunal correctionnel.
Par ailleurs, trois contrôles d’alcoolémies organisés ces trois dernières nuits place Aristide-Briand, place Colin et boulevard Roederer ont mis en évidence deux taux positifs parmi les soixante personnes dépistées. Il s’agissait de deux conductrices.
Manifestement, pour la deuxième journée, les équipes marnaises n’ont pas profité de l’avantage d’évoluer à domicile. En effet, avec cinq formations du 51 évoluant à la maison, le bilan de deux victoires pour quatre défaites n’est pas glorieux.
Chez les messieurs, en N2, le Cormontreuil TC a perdu (5-2) contre Issoire le match le plus important de la saison. Une défaite - logique au vu des poids d’équipe ainsi qu’à l’issue des simples - quasiment synonyme de relégation !
En revanche, en N3, le promu vitryat a poursuivi son tonitruant début de saison en signant une deuxième victoire - certes de justesse - contre Montrouge (4-3). Des Vitryats qui peuvent dire un grand merci à leurs nouveaux joueurs, le Letton Andis Juska (n° 30) et le Tchèque Martin Fafl (-4/6), impériaux en simples et en double.
A l’étage inférieur, les clubs rémois n’ont vraiment pas été à la fête.
N2
CORMONTREUIL. - US Issoire bat Cormontreuil TC 5-2. Mansour (-4/6, Issoire) bat Beuque (-2/6, Cormontreuil) 6-3, 6-2 ; Jolly (-2/6, Cormontreuil) bat Huurinainen (-4/6, Issoire) 1-6, 7-5, 6-2 ; Bettendroffer (-2/6, Issoire) bat Robert (-2/6) 6-4, 6-3 ; Laporte (-2/6, Isoire) bat Soumet (2/6, Cormontreuil) 6-4, 6-1 ; Henou (1/6, Issoire) bat Blanc (3/6, Cormontreuil) 6-4, 6-3 ; Jolly-Beuque battent Huurinainen-Laporte 7-6, 6-1 ; Mansour-Bettendroffer battent Robert-Soumet 6-3, 6-2.
N3
VITRY-LE-FRANCOIS. - TC Vitry bat SMTC Montrouge 4-3. Juska (n°30, Vitry) bat Armirail (-15, Montrouge) 6-4, 6-4 ; Fafl (-4/6, Vitry) bat Abakar (-2/6, Montrouge) 6-1, 6-4 ; Lalouette (0, Vitry) bat Truong (0, Montrouge) 6-4, 6-4 ; Galland (0, Montrouge) bat Blossier (2/6, Vitry) 6-2, 7-6 ; Mitjana (1/6, Montrouge) bat Varin (4/6, Vitry) 6-0, 6-0 ; Juska-Fafl battent Armirail-Abakar 4-6, 6-2, 1-0 ; Galland-Truong battent Lalouette-Blossier 6-3, 6-2.
N4
TALANT. - Talant AT bat Reims Europe Club 8-0. Sidbon (-15, Talant) bat Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) 6-4, 7-5 ; Aujean (-4/6, Talant) bat Seuret (2/6, Reims Europe Club) 6-1, 6-3 ; Paget (-2/6, Talant) bat Castelhano (2/6, Reims Europe Club) 3-6, 6-2, 6-4 ; Leboussof (1/6, Talant) bat Bonnet (3/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-2 ; Barrier (2/6, Talant) bat Chauvin (5/6, Reims Europe Club) 6-1, 7-6 ; Sidbon-Aujean battent Gajanovic-Castelhano 6-3, 6-4 ; Paget-Leboussof battent Seuret-Bonnet 6-7, 7-6, 1-0.
REIMS. - TC Pont Sainte Maxence bat TC Géo-André 5-2. Bogaerts (-2/6, Pont Sainte-Maxence) bat wMunier (1/6, Géo-André) 7-6, 7-6 ; Kerneis (0, Pont Sainte-Maxence) bat Pacanowski (2/6, Géo-André) 6-1, 6-0 ; Helary (2/6, Pont Sainte-Maxence) bat Paillard (3/6, Géo-André) 7-5, 3-6, 6-2 ; Naegle (3/6, Pont Sainte-Maxence) bat Pignon (3/6, Géo-André) 7-6, 4-6, 6-4 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat Mazuran (3/6, Pont Sainte Maxence) 6-2, 3-6, 6-3 ; Bogaerts-Naegle battent Munier-Pacanowski 4-6, 7-6, 1-0 ; Pignon-Leroy battent Kerneis-Helary 0-6, 6-3, 1-0.
REIMS. - Reims Europe Club bat Lagardere Paris Racing (B) 7-1. Marion Ravelojaona (-4/6, Lagardere Paris) bat Magdalena Kiszczynska (-15, Reims Europe Club) 6-2, 6-3 ; Nathalie Mohn (-4/6, Reims Europe Club) bat Camille Sireix (1/6, Lagardere Paris) 4-6, 7-6, 6-2 ; Sabrina Bamburac (-4/6, Reims Europe Club) bat Audrey Dos Santos (2/6, Lagardere Paris) 6-0, 6-0 ; Marie Menacer (-2/6, Reims Europe Club) bat Karen Guichardière (2/6, Lagardere Paris) 6-1, 6-1 ; Laetitia Tordo (0, Reims Europe Club) bat Stéphanie Weil (2/6, Lagardere Paris) 6-2, 6-2 ; Magdalena Kiszczynska - Sabrina Bamburac battent Marion Ravelojaona - Camille Sireix 6-1, 6-1 ; Nathalie Mohn - Marie Menacer battent Stéphanie Weil - Audrey Dos Santos 6-2, 6-0.
REIMS. - TC La Pape bat TC Géo-André 7-1. Alix Collombon (-15, La Pape) bat Charline Braidy (-4/6, Géo-André) 6-2, 6-0 ; Jessica Ginier (-15, La Pape) bat Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) 6-4, 6-2 ; Elodie Caillat (-2/6, La Pape) bat Jackie Lassaux (2/6, Géo-André) 6-1, 6-4 ; Laura Fernandez (1/6, La Pape) bat Cindy Castille (4/6, Géo-André) 6-2, 6-4 ; Aurélie Marchal (4/6, Géo-André) bat Jade Rafalovicz (4/6, La Pape) 2-6, 6-3, 6-2 ; Alix Collombon - Jessica Ginier battent Charline Braidy - Claire Makhloufi 6-0, 6-3 ; Elodie Caillat - Marine Chaleard (4/6, La Pape) battent Cindy Castille - Aurélie Marchal 6-4, 6-1.
Présents. Outre des représentants de la police, de la gendarmerie, du monde judiciaire et politique, le public a pu voir de nombreux uniformes : une troupe en armes de la BA 112, le porte-drapeau du 33e escadron de la BA 112, des marins de l’école de préparation militaire amiral Aube de Troyes, les sapeurs-pompiers de Reims métropole et un Écossais en kilt représentant une association qui entretient la mémoire des Écossais morts à la guerre : le 51e STHD mémorial ; les musiciens de l’harmonie municipale.
Jeunesse. Si le public aurait pu être plus nombreux, la présence de jeunes a fait chaud au cœur des nombreux porte-drapeaux et anciens combattants.
Des jeunes du lycée Croix-Cordier de Tinqueux faisant un travail de mémoire sur la guerre ont ravivé la flamme du monument aux côtés de M. Maack, président départemental de Rhin et Danube sous l’œil des écoliers de CM2 de la classe de Mme Menacer de l’école Galilée.
Europe. A la veille de la journée de l’Europe, la maire a aussi salué la volonté de peuples d’en finir avec la guerre et de construire un espace de paix et de fraternité.
Boisson. Pas de champagne au vin d’honneur, mais du vin et des bières européennes.
Avenir. Cérémonie patriotique oblige, il n’était pas question d’aborder à haute voix la question de l’avenir de la base. Et pourtant il y a urgence. Dommage.
A.M.
Les habitants de la place Dominique-Ingres n’ont pas arrêté de voir les pompiers hier. Ces derniers s’y sont rendus à trois reprises pour éteindre des incendies dans les communs.
La première intervention a eu lieu vers 13 heures, dans le local à vide-ordures du n° 2. Deux foyers distincts ont été localisés. Vers 20 h 15, un deuxième feu de local à vide-ordures s’est déclaré au n° 6.
A 22 h 30, retour place Dominique-Ingres pour le même motif.
Comme par hasard, un incendie a également enfumé un local de la place Jean-Fragonard, vers 19 h 15. L’adresse est voisine de la précédente…
Titulaires du Bafa, ces jeunes seront opérationnels dès cet été.
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Les deux associations des Francas de la Marne et de la Haute-Marne ont organisé en commun un stage de formation « Bafa Territoire », au Centre laïque d’éducation et de loisirs de Saint-Dizier.
Cette action a rassemblé 32 jeunes vitryats et bragards qui se sont retrouvés pour aborder le rôle d’un animateur et expérimenter diverses techniques d’animation leur permettant de se constituer un « bagage » pour encadrer en toute sécurité des enfants et des jeunes dès les vacances de cet été.
La plupart de ces jeunes ont été repérés par les acteurs éducatifs du territoire (CLEL et Centre social et culturel de Vitry-le-François), qui leur ont proposé cet accompagnement appelé « Bafa Territoire » car, à terme, il leur permettra de devenir des acteurs de projets d’abord à l’échelle du stage, puis du centre de loisirs, puis de leur quartier ou de l’agglomération en s’appuyant sur les ressources de leur territoire.
Stéphanie Tadla, chargée de développement aux Francas de Champagne Ardenne a recueilli quelques réactions des animateurs en herbe, qui témoignent de l’ambiance conviviale du groupe.
Lauranne et Manelle : « Cette formation nous a permis de voir comment fonctionne le monde de l’animation et de rentrer dans le monde de l’enfance ».
Samir : « La formation Bafa est une super expérience ! ».
Jérémy : « Cette formation m’a apporté énormément de connaissances sur l’enfant, l’ado et l’animation. Nous avons vécu une expérience géniale ! »
Renseignements : Francas, 29, rue Pierre-Taittinger 51100 Reims (03.26.85.55.18. ou 06.82.91.42.21.).
L’étang du Moulin-Carré est riche en truites.
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L’association de promotion de Pays-de-France organise une journée familiale « pêche à la truite » le dimanche 8 mai, à l’étang du Moulin-Carré, à 15 km d’Épernay et à 25 km de Reims, en bas de Chatillon-sur-Marne.
Tarif : 12 euros par pêcheur (gratuit pour les enfants). Apporter son repas, mais barbecue sur place. Le lac est ouvert à 7 heures et chacun arrive à l’heure qu’il souhaite.
Renseignements et inscriptions par téléphone à l’APPF, au 03.26.86.16.87. ou au 06.31.61.16.10.
La réunion a commencé par une minute de recueillement en mémoire de Nicole Duchosal « administratrice exemplaire pendant 18 ans ».
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Le bureau, de gauche à droite : Brigitte Chevalot, Ginette Terrugia, Bernadette Érard, Geneviève Kaczowka, Sandrine Chenu et André Cantener).
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L’association de défense des locataires « Les Polygones » a tenu une assemblée générale extraordinaire mercredi 27 avril, en présence du conseiller municipal Alain Bisteur, co-animateur du conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny, qui représentait la Ville de Reims. Dans la salle, une trentaine d’adhérents, Claude Maireaux, pour la Ligue de l’enseignement, et les représentants d’autres associations de défense de locataires : Champ Paveau, Jardins suspendus et Union des locataires de Croix-Rouge.
Il s’agissait de modifier les statuts. En effet, après huit ans d’attente, l’Effort rémois a fini par attribuer un local à cette association déclarée en 2003. Il fallait donc fixer désormais le siège social au 3, rue Henri-Royer (3e étage C). C’est à cette nouvelle adresse, avec boîte aux lettres associative, que l’association tiendra ses permanences les premier et troisième lundis de chaque mois, de 18 heures à 19 h 30.
La présidente Bernadette Érard passait ensuite à l’assemblée générale ordinaire. Elle présentait la liste des travaux réalisés sur le site à la suite de l’intervention de l’association : un bilan positif, même si de nombreux problèmes subsistent en matière de stationnement et de sécurité routière (virage Royer/Taittinger et rue Bergson).
La trésorière Brigitte Chevalot remerciait la Ville pour sa subvention de 1 000 euros et le groupe Plurial pour son aide de 210,22 euros. La gestion des finances a été adoptée par l’assemblée : 2 070 euros de recettes et 1 012 euros de dépenses.
C’est dans une ambiance conviviale que s’est terminée cette réunion, après des questions diverses et un pot amical préparé par les bénévoles de l’association.
La présidente a énuméré la liste des petits et gros travaux promis par l’Effort rémois pour la période 2011/2015, et en particulier les grandes opérations d’isolation thermique : « Tous les balcons détériorés seront réparés, mais non fermés, selon le calendrier suivant : du 2 au 10 Bernanos (8 mois à compter de juillet 2011), au 2 Bergson (6 mois à compter de débit 2012) puis du 11 au 17 Daudet et au 1 et 3 Royer, courant 2013, durée prévue 11 mois). »
De nombreux autres travaux de maintenance sont envisagés pour les parties communes après proposition en assemblée générale des copropriétaires (ascenseurs, volets roulants, réhabilitation d’installations électriques anciennes, enrobé de parkings aériens, barillets dans les locaux à vélos, éclairage sur les paliers et dans les entrées, marquage au sol, etc.).
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Demain, la deuxième journée des Interclubs Nationaux aura la particularité de voir cinq des six équipes marnaises évoluer à domicile !
L’occasion rêvée de prendre des points essentiels dans la course au maintien. A commencer, en N2 masculine où le Cormontreuil TC va affronter Issoire dans le match le plus important de la saison. A l’étage en-dessous, Vitry, brillant vainqueur lors de l’ouverture, cherchera à confirmer contre Montrouge mais la tâche s’annonce ardue tant les Franciliens sont homogènes.
Même cas de figure en N4 avec le TC Géo-André qui reçoit la solide formation de Pont-Sainte-Maxence.
Quant à l’Europe Club, seule équipe en déplacement, ses chances seront infimes contre des Bourguignons de Talant qui alignent trois négatifs !
Du côté des dames, en N2, le Reims Europe Club accueille la réserve du Paris Lagardère. Sur la composition de la première journée, les Rémoises seront favorites mais les Parisiennes restent compliquées à jouer. Enfin, en N3, le TC Géo-André aura très fort à faire avec les Rhodaniennes de La Pape et leurs trois négatives !
2e JOURNÉE
Messieurs : Cormontreuil -Issoire (N2) ; Vitry- François - Montrouge (N3) ; Talant - Reims Europe Club ; Géo-André – Pont-Sainte-Maxence (N4). Dames : Reims Europe Club - Paris Lagardère (N2) ; Géo-André - La Pape (N3 ;
L’heure de vérité pour Arnaud Maujean et les Rémois.
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Leur billet pour l’élite en poche, les Rapaces de Reims , privés de Louis Tran et Cyril Basset, retenus pour les demi-finales cadet, abordent la finale du championnat de France N1 ce soir dans leur gymnase fétiche.
Thomas Rogé et ses partenaires y retrouveront un adversaire bien connu, Paris XIII. Avec une victoire et une défaite cette saison face aux Corsaires, la rencontre s’annonce des plus disputées.
Thomas comment abordez-vous cette rencontre ?
« Plutôt bien. Le fait d’avoir obtenu la montée nous enlève pas mal de pression car l’objectif après lequel on court depuis quatre ans maintenant est enfin atteint. On a la satisfaction du travail accompli en quelque sorte, mais il reste une étape ».
Justement, pensez-vous pouvoir surpasser cette solide équipe parisienne ?
« Oui. C’est la finale, c’est à l’envie que ça se joue. Tout le monde sera investi. On travaille depuis longtemps, ensemble, on sait ce qu’on a à faire. Nous sommes un vrai groupe, homogène et solidaire. Ça nous a aidé cette saison et ce sera encore une fois une force. »
Le premier match est-il déjà décisif ?
« Il est important, mais tout se joue au retour. Il vaut quand même mieux avoir de l’avance, surtout avant d’aller chez eux, où il est difficile de s’imposer. Mais on joue une finale pour la gagner, donc il n’y aura pas de calculs. »
20h30 , GYMNASE FRANCOIS-LEGROS
REIMS RHR : Haas, Garcia-Prieto, Duplant, Tarte, Lexcellent, Godefroy, Rogé, Capitaine, Rivard, Lacuisse, Maujean, Fayault.
Incivilité - Mauvaise surprise à la déchetterie
Fermée exceptionnellement dimanche 1er mai, en raison de la Fête du travail, la déchetterie de Croix-Rouge a pourtant reçu quelques visiteurs. Bien que se trouvant nez à nez devant une porte close, certains d’entre eux n’ont pas hésité à déposer leurs déchets et autres encombrants sur le trottoir !
Alertée, la police municipale a retrouvé dans le tas de détritus plusieurs adresses, si bien que ces Rémois indélicats, et décidément pas très malins, devraient bientôt prendre connaissance de l’amende qu’ils auront à payer.
Dimanche 1er mai, alors que la déchetterie était fermée, certains Rémois n’ont pas hésité à jeter leurs encombrants sur le trottoir.
Théâtre - SUAC : « Si on allait à Croix-Rouge en tram »
Le Service Universitaire d’Action Culturelle (SUAC) présente « Et si on allait au théâtre à Croix-Rouge en tram ». Cet événement qui se déroulera trois mardis d’affilée, les 10, 17 et 24 mai, à 19h30, vous invite à découvrir quatre pièces : « Demain il fera jour ! » et « Maintenant » par la Cie Demain il fera jour le 10 mai, « Le frichti de Fatou » par la Cie Tombés du ciel le 17 mai, et « Le caillou de Lune » par la Cie Théâtr’âmes » le 24 mai.
A chaque fois, le SUAC vous offre le trajet en tram. Pour cela, rendezvous le mardi de votre choix à la station Opéra, à 19h, pour une distribution d’un ticket aller-retour.
Entrée libre sur réservation au 03 26 91 84 15.
Exposition - SUAC : « Rèmes/Res »
En cette fin d’année universitaire, la bibliothèque universitaire et le SUAC vous proposent une exposition inédite de Céline Pierre et Laurent Plagnol, sur quelques grands chantiers urbains de l’année écoulée, notamment ceux du tram et du campus Croix-Rouge.
A découvrir jusqu’au 26 mai sur la palissade des halles du Boulingrin, rue Andrieu, et à la bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, avenue François Mauriac.
Les expositions sur la cathédrale : _ « D’ombre et de lumières »
Des clichés empreints d’humanité sur la cathédrale, ses coulisses et son public, de Noureddine Rhaïssi.
Jusqu’au 25 juin aux médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Zola.
Vendredi 27 mai : « UN DÉTOUR PAR CROIX-ROUGE »
Le Conservatoire propose aux publics fréquentant la médiathèque Croix-Rouge un petit moment de convivialité musicale. Avec les élèves de fin de 2e et 3e cycles.
A 18h30 – Entrée libre – Rens : 03 26 47 79 41 Médiathèque Croix-rouge
Roller N1, finale aller : Reims – Paris : Après l’Élite, le titre ?
Assurés de jouer la saison prochaine en Elite, les Rapaces visent maintenant le titre de champion de N1.
Partis à Lyon en ballottage légèrement défavorable, après une demi-finale aller remportée sur le fil (4-3), les joueurs du Roller Hockey Reims se sont transcendés au match retour pour s’imposer sur le score sans appel de 10 à 6. Qualifié pour la finale, le club rémois a donc d’ores et déjà rempli son objectif de l’année qui était l’accession en Élite. Une fois la rencontre terminée, François Bock, président du RHR, pouvait laisser éclater sa joie : « Je suis très, très heureux. C’était un match serré mais on a su imposer notre jeu et surtout on a gagné avec la manière. Notre objectif est donc atteint et maintenant cette finale, c’est la cerise sur le gâteau. » La finale est donc l’ultime défi de la saison des Rapaces avec comme enjeu le titre de champion de France de N1. Les Rémois disputeront le trophée à leurs homologues de Paris XIII, favoris désignés de la compétition en début de championnat. Premiers de la saison régulière, les Parisiens ont éliminé difficilement en demi-finale l’équipe de La Rochelle (4-6 et 10-7).
Le match aller de cette finale opposant Paris et Reims se déroulera ce samedi 7 mai dans la Marne. « Nous allons essayer de jouer sans se mettre trop de pression car l’idée, c’est d’abord de produire un superbe spectacle devant notre public » espère le président Bock. « Maintenant, un titre de champion ça reste dans le palmarès d’un club. C’est aussi très important pour les joueurs. Alors évidemment, si on peut aller jusqu’au bout, on n’hésitera pas ».
Reims - Paris, samedi 7 mai à 20h30 au gymnase François Legros, boulevard Kennedy à Reims. Entrée gratuite.
Les footballeurs en herbe de l’Acrap étaient dans les tribunes du stade lors de la rencontre Stade de Reims-Dijon.
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Un millier de footballeurs en herbe, licenciés des clubs de la ville et de la Marne, ont été invités par le Stade de Reims à assister à la rencontre contre les Dijonnais vendredi dernier. Une opération que mène le Stade cinq à six fois par saison. « Car le foot a aussi un rôle social, explique Olivier Letang, le directeur général du Stade. Le but était de convier des jeunes de quartiers, qui n’en ont pas forcément les moyens, à assister à un match. » Parmi eux, soixante-cinq jeunes âgés de 6 à 13 ans et membres de l’Acrap étaient assis dans les tribunes. « Les enfants ont été ravis de rencontrer les joueurs. D’autant que certains d’entre eux rêvent de faire du haut niveau », témoigne Cyril Houppermans, le responsable de l’école de foot.
Et les jeunes sportifs ne sont pas arrivés au bout de leurs surprises. Puisque le 26 mai prochain, à l’occasion du match contre Évian-Thonon-Gaillard, onze d’entre eux fouleront du pied la pelouse du Stade, tout en escortant l’un des footballeurs de l’équipe de Ligue 2. Quant à savoir qui seront les chanceux ? « Nous récompenserons nos meilleurs licenciés », indique Cyril Houppermans. Qui d’ailleurs se souviendront très probablement pendant longtemps de cette rencontre devant 15 000 spectateurs.
Lé. B.
* (Association Croix-Rouge pour l’animation et la Promotion)
Le tram est toujours arrêté, la moto va être enlevée.
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REIMS (Marne) Le pilote est entré en collision avec une rame, hier soir, dans le quartier Croix-Rouge. Heureusement, il s’en sort avec quelques blessures légères.
UNE part d’inconscience est à l’origine du tout premier accident corporel survenu sur la ligne du tramway, à Reims, dans le quartier Croix-Rouge-Croix du sud.
Il était en effet environ 20 heures, hier, quand un jeune homme circulant au guidon d’un scooter s’est en effet amusé à braver le passage d’une rame entre les arrêts Médiathèque-Croix Rouge et Arago, le long du boulevard Bonaparte, avant de la percuter de plein fouet, à l’avant.
Selon des témoins, le pilote, âgé de 21 ans, a surgi du parc Bonaparte, face à l’église Saint-Bruno, avant de traverser la chaussée sur un passage piéton, le menant tout droit sur les voies, au moment où arrivait le tramway qui provenait de Neufchâtel et se dirigeait vers le terminus Robert-Debré.
Mais malgré un freinage d’urgence, le jeune homme, qui portait un casque, n’a pu éviter la collision. Selon ces mêmes témoins, celui-ci aurait pris beaucoup de risques, au point que des connaissances lui auraient conseillé « de ne pas y aller ».
Fort heureusement, la victime n’a été que légèrement blessée. Se plaignant de douleurs dorsales, elle a été évacuée par les sapeurs-pompiers à l’aide d’une coquille vers le CHU de Reims. L’avant de la rame a quant à elle subi quelques dégâts, sans compter le scooter qui a été largement dégradé.
Ce tout premier accident depuis la mise en service du tramway rémois, et même depuis le début des essais, rappelle combien il faut faire preuve de prudence aux abords des voies. « Contrairement à un véhicule routier, le tram ne peut pas vous éviter si vous vous mettez sur sa trajectoire » indiquait en effet hier soir sur les lieux des faits Alain Bourion, le président de Transdev Reims. Reste à savoir si, à l’avenir, cette première servira de leçon.
F.B.
Les lauréats ont reçu leur prix des mains des résistants et du préfet de région.
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Marne. « Jeunes, vous avez votre propre responsabilité » C’est par ces mots que la résistante Yvette Lundy s’est adressée hier aux collégiens et lycéens venus recevoir leur prix en préfecture, à Châlons.
« LA répression de la Résistance en France par les autorités d’occupation et le régime de Vichy. » 415 élèves de la Marne ont travaillé sur ce thème dans le cadre du Concours national de la Résistance et de la Déportation. Une mission assumée de manière volontaire.
Le concours a un demi-siècle, mais sa thématique reste primordiale.
Le nombre de participants montre que la flamme du souvenir, et de la vigilance, ne faiblit pas. 47 lauréats ont été sélectionnés, les prix leur ont été remis hier après-midi en préfecture, au cours d’une belle réception. Le préfet Michel Guillot a souligné à quel point la démarche est belle, qui réunit « ceux qui ont fait l’histoire, ceux qui l’enseignent et ceux qui l’apprennent ».
La résistante Yvette Lundy (94 ans), survivante des camps de Buchenwald et Ravensbrück, a ému l’assemblée en rappelant qu’à l’origine de la répression de la résistance il y avait « l’occupant », mais aussi l’acceptation du régime de Vichy avec tout ce qu’elle a entraîné comme « honteuses délations ». « Jeunes, vous avez votre propre responsabilité. Je vous dis : la vie est belle », a-t-elle souligné, avant de terminer sur une note plus sombre, déclarant : « Quand l’un d’entre nous quittera la table, quelque chose s’éteindra ».
Le résistant Jean Chabaud, président de l’association des Combattants volontaires de la Résistance, a pour sa part évoqué l’historique du concours depuis ses touts débuts, en rappelant que cet événement est né progressivement de la volonté d’associer les jeunes à la commémoration de la Libération. C’est en 1961 que le ministre de l’Éducation, Lucien Paye, donna à ce prix un caractère officiel et une dimension nationale.
Parmi les 47 lauréats marnais, 8 ont l’honneur de la sélection nationale. L’Histoire réserve parfois d’étranges coïncidences puisque les prix ont été remis la veille du procès de l’un des derniers criminels de guerre nazis encore vivant, Sandor Kepiro (97 ans). Il sera jugé à partir d’aujourd’hui à Budapest pour des accusations de crime de guerre perpétré en Serbie en 1942.
Mémoires collège
Collège Notre-Dame-Perrier, Châlons-en-Champagne, directeur Laurent Lanfranchi : Mathilde Marchal, Elise Wavrant, Eléonore Krawczykowski, Alexis Jacquet, Valentin Pernet, Louis Villem, Miguel Pinto, Victor Rouault, Romain Fouilland, Gaëlle Ianz*, Gwendoline Caqué*, Phébé Falconieri*.
Mémoires audiovisuels collège
Collège Notre-Dame-Perrier, Châlons-en-Champagne, directeur Laurent Lanfranchi : Rémy Denneval, Esteban Georgelin, Thomas Adam, Jules Vitry.
Devoirs collège
Collège Les Bleuets, Aÿ-Champagne, principal Yannick Tschens :
Jennifer Henry, Victoria Pongnot, Noémie Raynaud, Mathilde Thomas, Cassandre Godfroy.
Collège Notre-Dame-Perrier, Châlons-en-Champagne, directeur Laurent Lanfranchi :
Marilyne Anspach, Anne-Sophie Zanga.
Collège François-Legros, Reims, principal Roger Cordier : Axel Baudry, Caroline Lapinte*.
Collège Léonard-de-Vinci, Witry-lès-Reims, principal Hervé Danjean : Audrey Brossard-Kimmel, Joaline Fournier, Eléonore Jactat, Lisa Meilleur.
Mémoires lycée
Lycée Jean-Jaurès, Reims, proviseur Dominique Montagne : Bartholomé Gillery, Kennedid Aboubaker, Anthony Dassier, Marie Loth, Maria-Isabelle Marcus, Juliette Tricaud.
Lycée Ozanam, Châlons-en-Champagne, directrice Marie-Christine Vanet : Alice Onyszkiewicz*, Julia Montagne*, Marlène Bourly*.
Devoirs lycées
Lycée Léon-Bourgeois, Epernay, proviseur Martine Soteras-Poulet : Sarah Ortonovi.
Lycée Chagall, Reims, proviseur Michèle Sobaczek : Matthieu Gantelet.
Lycée Clémenceau, Reims, proviseur Maurice D’angelo : Damien Bertrand*, Mehdi Talbi.
Lycée professionnel François-1er, Vitry-le-François, proviseur Philippe Hanen : Sandra Duvallet, Charles-Edouard Gerard, Melvin Lebrun, Virginie Morel, Noémie Nolle.
* Élèves retenus pour le jury national.
« Les problématiques liées au logement ne doivent pas se cantonner à l’obtention d’un toit : encore faut-il pouvoir s’y maintenir », écrit la CLCV.
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C’EST illégal et cela arriverait dans nos bonnes vieilles HLM ? Une étude constate, dans environ un organisme sur huit (12 %) des augmentations de loyers qui dépassent le seuil autorisé par la loi.
L’association de consommateurs CLCV, instigatrice de l’enquête, dénonce ces pratiques et réclame un gel exceptionnel des loyers des HLM en 2012, afin de contrer la baisse de pouvoir d’achat des locataires du parc social.
La CLCV, dont l’étude a été révélée hier par France- Info, rappelle que les hausses de loyers sont limitées à 1,1 % pour cette année. Un plafond dépassé, donc, par 12 % des organismes. Ces hausses collectives, appliquées à tous les locataires, représentent des abus.
La CLCV dénonce aussi des disparités au sein de certains organismes HLM. En moyenne, la hausse est limitée à 1,1 %. Mais certains locataires voient leur loyer augmenter de 10 %, d’autres très faiblement.
Avec quatre victoires pour deux défaites, le bilan marnais lors de la première journée des Interclubs est plutôt favorable. Pourtant, en N2, les Cormontreuillois se sont inclinés chez une solide formation de Grasse. Rien de dramatique puisque le CTC disputera dimanche prochain son match le plus important contre Issoire.
En N3, le promu vitryat a fait le métier en s’imposant nettement à Yutz. De bon augure pour la suite du championnat. A l’étage inférieur, Reims Europe Club a subi une défaite à domicile contre Maisons-Alfort (4-3) qui pourrait être lourde de conséquences. En revanche, à Hettange Grande, le TC Géo-André a réalisé une excellente opération, s’imposant de justesse (4-3).
De leur côté, les dames ont fait carton plein. En N2, à Issy-les-Moulineaux, les « Européennes » ont su se faire respecter. L’idéal pour bien débuter une saison … Idem pour le TC Géo-André en N3 qui s’est nettement imposé à Vitrolles (6-1).
Charline Braidy—Claire Makhloufi battent Amélie Detriviere —Anne-Flore Guillet (2/6, Vitrolles) 7-5, 7-6 ; Stéphanie Vaccaro — Audrey Casanova battent Aurélie Marchai — Cindy Castille 6-3, 6-2.
Bayer - Meran battent Munier - Paillard 6-7, 6-3, 1-0 ; Pignon - Leroy battent Schuhmacher - Borras 7-5, 5-7, 1-0.
Dans la nuit de lundi à mardi, vers 23 h 45, des détritus ont pris feu rue du Général-Kléber à Tinqueux. L’origine est indéterminée. Un autre feu de poubelle s’est déclaré hier à 16 h 30 rue de Vesle.
A 15 h 15, un deux-roues qui pourrait être volé a été incendié allée Edgar-Degas. Vers 19 heures, les pompiers sont intervenus à Verzenay pour un début d’incendie dans les combles d’une maison rue Thiers.
Hier vers 14 heures, une collision impliquant trois voitures s’est produite avenue du Maréchal-Juin. Deux blessés légers ont été déplorés.
Numéro 7392 du 2 au 8 mai 2011.
Le Ludoval organise pour l’Association des Maisons de Quartier la tournée rémoise d’Hervé Akrich dans les quartiers Croix-Rouge, Jean-Jaurès et Val de Murigny :
Jeudi 5 mai, à 20h30, au centre culturel du Crous (rue de Rilly la Montagne),
vendredi 6 mai à 14h30 et 20h30 à L’Espace Le Flambeau (13, rue de Bétheny),
samedi 7 mai à 20h30 à l’espace Le Ludoval (1, place René Clair).
2. MODE DE PASSATION : Avis de consultation est rédigé pour des lots séparés ou en groupemens d’entreprises.
3. OBJET DES MARCHES : Construction de 30 logements, G11, Rue Juliot Curie, Croix Rouge à REIMS.
4. NATURE ET NOMBRE DE LOTS : Opération en 16 lot, séparés ou en groupement d’entreprises :
— Lot n° 1 :Terrassement - Gros oeuvre ;
— Lot n° 2 : VRD ;
— Lot n° 3 : Isolation extérieures - Ravalement de façades
— Lot n° 4 : Charpente bois ;
— Lot n° 5 : Couverture bacs aciers - Etanchéité ;
— Lot n° 6 : Menuiserie extérieures PVC ;
— Lot n° 7 : Cloisons faux plafonds - Menuiserie intérieure ;
— Lot n° 8 : Ascenseur ;
— Lot n° 9 : Electricité - Courant faible ;
— Lot n° 10 : Plomberie sanitaire - VMC - Chauffage urbain :
— Lot n° 11 : Serrurerie - Métallerie :
— Lot n° 12 : Peinture - Revêtements muraux ;
— Lot n° 13 : Revêtements de sols minces ;
— Lot n° 14 : Carrelage - Faïence
— Lot n° 15 : Espaces verts ;
— Lot n° 16 Portes de garages.
5. DELAI D’EXECUTION : 21 mois TCE.
6. DOSSIER DE CONSULTATION :
a) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : ICA REPROGRAPHIE, 34 rue Alain Colas - 51450 BETHENY. Tél. 03.26.07.37.24 - Fax : 03.26.07.37.61.
b) Les dossiers seront disponibles à compter du mardi 26 avril 2011.
7. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES :
a) Le 1 juin 2011 à 12 h 00, délai de rigueur.
b) Adresse où elles doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de : Monsieur MERCIER, S.A. d’HLM -LE FOYER REMOIS, Direction de la Maîtrise d’Ouvrage, Service Construction, 8 rue Lanson, B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX. c) Indications à porter sur l’enveloppe extérieure cachetée — Consultation "Offre pour la construction de 30 logements - G11 - Rue Juliot Curie - Croix Rouge à REIMS" ;
• Mention "Lot n° … ou groupement d’entreprises" ;
• Mention "ne pas ouvrir".
8. FORME JURIDIQUE DE L’ATTRIBUTION DU MARCHE Entreprises individuelles séparées ou groupement d’entreprises.
9. PRESENTATION DES OFFRES La présentation devra être conforme aux dispositions consignées dans le règlement de consultation, en respectant les modèles joints et accompagnés des documents demandés.
10. DUREE DE VALIDITE DES OFFRES : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.
11. RENSEIGNEMENTS — ADMINISTRATIFS : SA d’HLM LE FOYER REMOIS, M. MERCIER, 8 rue Lanson. B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX.Tél. : 03.26.84.46.59 - Fax : 03.26.84.46.07. — TECHNIQUES : Maîtrise d’oeuvre : DELAVAL - EVE HARDOT, 5 place Godinot - 51100 REIMS. Tél. : 03.26.84.94.41 - Fax : 03.26.47.21.49.
DATE D’ENVOI DE LAVIS A LA PUBLICATION : Le 22 avril 2011. 95149
Maître d’ouvrage L’EFFORT REMOIS, S.A. H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.
Objet : marché d’entretien ménager et de gestion des déchets dans des immeubles d’habitation et des garages collectifs du patrimoine de L’EFFORT RÉMOIS / Réf. RL-010411 pacte propreté 2012.
Appel d’offres restreint selon ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 et au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Le marché comporte 46 lots, répartis dans les départements de la Marne et de la Haute-Marne.
Chaque candidat pourra répondre à 1 ou plusieurs lots.
Secteur 1 - Reims/Châtillons
Lot S01-01 Châtillons tranche A (62 entrées/909 logements).
Lot S01-02 Châtillons tranche B (54 entrées/663 logements).
Lot S01-03 Châtillons tranche C (46 entrées / 652 logements).
Lot S01-04 Brunette et Maison-Blanche (5 entrées/48 logements).
Lot 501-05 Cormontreuil Voie Verte (28 entrées/172 logements).
Lot 501-06 Cormontreuil Centre (19 entrées/156 logements).
Secteur 3 - Reims/Croix-du-Sud
Lot S03-01 Croix du Sud Tranche A (15 entrées/481 logements).
Lot S03-02 Croix du Sud Tranche B (13 entrées/485 logements).
Lot S03-03 Croix du Sud Tranche C (18 entrées/622 logements).
Lot S03-04 Murigny (42 entrées/692 logements).
Lot S03-05 Hippodrome (26 entrées/423 logements). Secteur 4 - Reims/Avenue de Laon :
Lot SO4-01 Zone 1 (30 entrées/361 logements).
Lot SO4-02 Zone 2 (80 entrées/540 logements).
Lot SO4-03 Zone 3 (32 entrées/340 logements).
Lot SO4-04 Zone 4 (62 entrées/669 logements).
Lot SO4-05 Zone 5 (64 entrées/519 logements).
Lot SO4-06 Zone 6 (42 entrées/466 logements).
Lot SO4-07 Zone 7 (22 entrées/269 logements).
Lot SO4-08 Zone 8 (51 entrées/436 logements).
Secteur 5 — Epernay/Sézanne/MontmiraiI :
Lot S05-01 Sézanne (37 entrées/366 logements).
Lot S05-02 Marcilly-sur-Seine (2 entrées/12 logements).
Lot S05-03 Épernay Zone 1 (33 entrées/241 logements).
Lot S05-04 Épernay Zone 2 (18 entrées/209 logements).
Secteur 7 -Tinqueux :
Lot S07-01Tinqueux/La Haubette (18 entrées/153 logements).
Lot S07-02Tinqueux Sud (44 entrées/447 logements).
Lot S07-03 Tinqueux Nord et Centre (34 entrées/231 logements).
Lot S07-04 Reims (18 entrées/236 logements).
Lot S07-05 Fismes/Gueux (27 entrées/309 logements).
Lot S07-06 Saint-Brice-Courcelles (8 entrées/32 logements).
Secteur 8 — Reims Centre :
Lot S08-01 Zone 1 (51 entrées/264 logements).
Lot S08-02 Zone 2 (15 entrées/341 logements).
Lot S08-03 Zone 3 (9 entrées/158 logements).
Lot S08-04 Zone 4 (15 entrées/254 logements).
Lot S08-05 Zone 5 (40 entrées/417 logements).
Lot S08-06 Zone 6 (16 entrées/184 logements).
Lot S08-07 Zone 7 (19 entrées/189 logements).
Lot S08-08 Zone 8 (19 entrées/294 logements).
Lot S08-09 Zone 9 (52 entrées/449 logements).
Lot S08-10 Zone 10 (11 entrées/119 logements).
Lot S08-11 Zone 11 (26 entrées/410 logements).
Lot S08-12 Zone 12 (29 entrées/281 logements).
Secteur 9 — Châlons-en-Champagne/Vitry-le-François/Saint-Dizier
Lot S09-01 Saint-Dizier (52 entrées/460 logements).
Lot S09-02 Vitry-le-François (30 entrées/98 logements).
Lot S09-03 Châlons-en-Champagne Tranche A (22 entrées/291 logements).
Lot S09-04 Châlons-en-Champagne Tranche B (15 entrées/277 logements).
Lot S09-05 Châlons-en-Champagne Tranche C (33 entrées/de 557 logements).
Délai d’exécution : 1 an avec possibilité de 4 reconductions.
Retrait du dossier : le dossier d’appel à candidature est disponible gratuitement en téléchargement sur notre site www.effort-remois.com - Rubrique appel d’offres ou www.lunionlegales.fr - Réf. : RL-010411
Date limite de réception des candidatures : lundi 30 mai 2011 à 12 heures, par envoi ou dépôt à L’EFFORT RÉMOIS, service marchés, 7, rue Marie-Stuart à Reims, avant la date limite de réception.
Pour tout renseignement, merci de contacter le service marchés 03.26.05.92.33/03.26.04.99.05.
Date d’envoi à la publication le 28 avril 2011 aux J.O.U.E. et journal L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes) et au journal de la Haute-Marne.
À Pays-de-France, tout le monde connaissait Alain Polliart. Ce dentiste installé rue Joliot-Curie était réputé dans toute la ville comme l’un des seuls à accepter sans restriction de soigner les titulaires de la Couverture mutualiste universelle (CMU) et les malades du Sida. Ses patients devenaient vite des amis fidèles, appréciant tant la qualité du travail réalisé que les tarifs modérés demandés, mais surtout la convivialité qui s’établissait rapidement avec ce grand humaniste.
C’est précisément parce qu’il fréquentait de près toute la misère du quartier que M. Polliart s’est très vite investi dans un grand combat : défendre les locataires de Pays-de-France gérés par le Foyer rémois. Il créait l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », dont les combats allaient devenir célèbres, allant jusqu’aux tribunaux pour défendre le bon droit des habitants.
Sa victoire la plus héroïque fut « la bataille de l’eau », qui coulait dans les cuisines chargée de résidus douteux et de couleur orangée. Expertises et contre expertises coûtaient cher et l’association n’a jamais été subventionnée pour rester indépendante, mais Alain Polliart et quelques-uns de ses amis personnels devenus sponsors - et anonymes - n’hésitaient pas à mettre la main au portefeuille pour cette cause humanitaire…
Les relations entre le bailleur et les locataires furent dès lors complètement modifiées, et il en est toujours de même.
Quand vint l’heure de la retraite, Alain Polliart s’installa boulevard Franchet-d’Esperey dans la tour Vivaldi et passa les commandes de l’association à son ami Marceau Nicolas, malheureusement trop tôt disparu, et maintenant à l’équipe de Roseline Marandon, Jean-Pierre Bauwens, Salah Byar, et autres bénévoles.
Alain Polliart prenait alors enfin le temps de penser à lui. Grand défenseur des mets et vins des Corbières, passionné de jazz, il avait, disait-il, des dizaines de livres en retard à lire. Il se mit par ailleurs à voyager de par le monde : Grande-Bretagne, Algérie, Bolivie,… autant de destinations choisies pour l’observation de la condition humaine, et toujours dans l’esprit de la défense des Droits de l’homme, car cet homme-là, comme Stéphane Hessel, n’a jamais cessé de s’indigner.
C’est en visitant lundi 18 avril, son Croix-Rouge à bicyclette, un quartier en pleine évolution avec l’arrivée du tramway et les opérations de renouvellement urbain, transformations, démolitions, constructions, qu’il a été victime, au niveau du bâtiment de l’Acrap, d’un malaise cardio-vasculaire grave dont il ne s’est pas remis. Il est décédé le mardi 27 avril en soirée. Tout le quartier est sous le choc.
l’union présente à sa famille ses condoléances attristées.
Plus de 150 personnes ont rendu un dernier hommage à Alain Polliart.
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Plus de 150 personnes se sont retrouvées dans la salle de cérémonie de la maison funéraire de Reims pour rendre un dernier hommage à Alain Polliart, décédé le 27 avril : beaucoup d’amis, de nombreux responsables associatifs, des habitants de Croix-Rouge, tous ébranlés par la disparition brutale de ce grand humaniste.
Plusieurs allocutions chargées d’émotion ont été prononcées par des amis proches, par le premier adjoint Éric Quénard, qui représentait la Ville de Reims avec le conseiller municipal Nicolas Bardin et par Salah Byar, vice-président de l’association de défense des locataires créée par Alain Polliart dans le secteur Pays-de-France.
Alain Polliart repose désormais dans le caveau familial de Wassigny, dans l’Aisne. Les locataires de Pays-de-France ont prévu de lui rendre un hommage particulier dans les semaines à venir.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le chanteur/conteur André Ze Jam propose des contes, berceuses et comptines pour les tout-petits de 1 à 3 ans.
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Au cours du mois de mai, de nombreuses activités sont organisées à la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar) en direction de la petite enfance, à partir de 6 mois. Ces activités sont toutes gratuites mais sur inscription préalable auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.
Samedi 7 mai à 9 h 30 et mercredi 18 mai à 9 h 30, à l’espace Jeunesse (1er étage), l’heure des bébés est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents. « Les bibliothécaires vous accueillent avec des histoires à lire ensemble en dehors des heures d’ouverture de la médiathèque et la séance est suivie d’une projection de Petits courts pour petits bouts. » Pour les 6 mois-3 ans et leurs parents (durée : environ une demi-heure).
Mercredi 11 mai à 10 h 30, dans la salle Heure du conte au 1er étage et dans le cadre des 4 saisons des conteurs, Nathalie Loizeau propose « Comptines et randonnées de printemps », un florilège de comptines, randonnées, chansons et jeux de doigts à la fois tendres et pétillants. Au fil des mots, des gestes et des notes, tour à tour odeurs, matières, objets, manipulations sonores ponctuent le récit et invitent les enfants de 2 à 3 ans à une exploration des sens et de l’imaginaire.
Mercredi 18 mai à 9 h 30 et samedi 14 mai à 10 heures, en salle d’exposition, le chanteur/conteur André Ze Jam Afane propose des contes, berceuses et comptines pour les tout-petits de 1 an à 3 ans : « Par ici les berceuses, par là les comptines et randonnées féeriques. Ouvrez grand les oreilles, laissez passer la belle image de nos rêves perdus et retrouvés. »
Jeudi 26 mai à 16 heures, dans la salle Heure du conte au 1er étage, Margotte Fricoteaux, musicienne formatrice à l’association Enfance et Musique invite les parents à venir, avec leurs petits enfants de 6 mois à 3 ans, chanter et partager, lors d’un temps de rencontre, chansons et comptines : « Souvenirs d’enfance, chansons du jour ou chansons du voisin ».
Samedi 28 mai à 10 heures, dans la salle Heure du conte au 1er étage, le percussionniste Amdy Seck de l’association rémoise Arts et cultures de l’Afrique de l’Ouest propose son « Jardin musical pour petites oreilles », une séance d’éveil musical avec instruments de musique mis à disposition des petites mains des enfants de 8 mois à 3 ans.
« À la suite de l’attentat de Marrakech (Hôtel Argana) au Maroc, la section Marne de l’association des Travailleurs maghrébins de France condamne cet acte criminel et/ou terroriste.
Nous demandons que justice soit faite et nous adressons nos condoléances aux familles de toutes les victimes » déclare Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF-Marne, qui précise : « concernant les événements actuels au Maroc (manifestations de jeunes…), nous soutenons les manifestations pacifiques pour la liberté et la dignité du peuple marocain.
Les autorités marocaines doivent réaliser les aspirations du peuple au titre de leurs droits économiques et sociaux ».
De nombreux habitants sont venus assister aux festivités en famille. Certains ont passé la journée entière à se balader sur la brocante quand d’autres sont venus exclusivement pour les petits concerts.
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Un moment de fête et de détente en famille ou entre amis.
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Les enfants du quartier ont apprécié le spectacle proposé par les organisateurs.
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REIMS (Marne) Hier le quartier Croix-Rouge a fêté le muguet à sa manière, brocante et concerts ont animé ce 1er Mai.
Hier à Croix-du-Sud, l’un des secteurs qui composent le quartier Croix-Rouge, les associations « L’Étoile Croix-du-Sud » et « 2 Mains » ont organisé une brocante ainsi que la troisième édition de « La Fête du Muguet ».
Cinquante exposants sont venus proposer leurs articles aux promeneurs du quartier mais aussi du reste de la ville. Pendant ce temps, « La Fête du Muguet » a offert un plateau d’artistes en tout genre. Du rap avec le groupe « Muzz’X », de la musique africaine avec la formation « Afrikan » et du chaarbi marocain avec le chanteur « Cheb Abderrahim ».
« A la base, je suis venu pour la brocante et lorsque j’ai vu qu’il y avait de la musique je suis resté pour assister aux concerts » précise Jean-Marc, un Rémois de l’avenue de Laon.
Une superbe journée pour les habitants, venus pour beaucoup en famille, qui prouve, comme le souligne Jean-Louis Rumério directeur de « 2 Mains » qu’il « est encore largement possible d’organiser de jolies fêtes populaires dans le quartier »
Thierry ACCAO FARIAS
Des bennes sont mises dans les quartiers aujourd’hui à destination des particuliers.
Rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome)
rue de Rilly-la-Montagne (sur stationnement niveau gymnase)
parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards)
avenue Bonaparte (parking face Arago)
parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux)
rue Galilée (face au n°4 terrain vague - angle Arago)
avenue Léon-Blum (sur le parking).
Mohamed El-Haddaoui, président de l’association des travailleurs marocains de Reims veut croire au changement.
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La population marocaine de la cité des Sacres est choquée après ce déferlement de violences. Ils attendent, en majorité, une réaction du pouvoir en place et surtout un changement rapide.
LES gorges sont parfois prises par l’émotion. Les chaînes d’information sont en permanence branchées. Les 3 000 Marocains de Reims sont, en grande majorité, inquiets de la situation que connaît leur pays d’origine.
Après le drame de Marrakech, l’association des travailleurs marocains de Reims (AMR), regroupant 295 membres, n’a pas tardé à réagir. « Bien évidemment, la première chose que nous pouvons déclarer est que nous sommes choqués et que nous condamnons très fermement cet acte criminel- », lance Mohamed El-Haddaoui, le responsable de l’association.
Au-delà de ces déclarations, nombre de familles habitant à Reims mais ayant gardé de la famille au Maroc et à Marrakech en particulier ont, bien évidemment, tenu à s’enquérir de la santé de leurs proches, juste après l’annonce de l’attentat.
C’est le cas de Samir, étudiant de 23 ans. « Hier (jeudi, ndlr), dès que j’ai appris qu’il s’était passé quelque chose de grave à Marrakech, j’ai tenté de joindre une partie de ma famille qui habite dans cette ville. Et qui n’est pas très loin de la place Jemaa-El-Fna, là où l’attentat a été perpétré.
Visiblement, la réception Internet était saturée. Il a fallu que j’attende plus de deux heures pour avoir un ami en ligne pour me confirmer que ma famille était indemne ».
Plus de peur que de mal pour ce jeune homme qui tient toutefois à rester vigilant quant à l’évolution de la situation politique.
S’il est difficile pour la plupart des Marocains de parler du contexte actuel dans leur pays d’origine, cet attentat a eu le don de réveiller de vieux spectres. « C’est clairement aux autorités de réagir. Mais il faut reconnaître qu’il y a aussi une urgence. Ne prenons que l’exemple de Rachid Nini, directeur du journal « Almassae » arrêté hier par les autorités. Nous soutenons les manifestations pacifiques mais ces actes terroristes sont inqualifiables. Il faut trouver les coupables et les punir. Il ne faut pas voir le fossé se creuser plus encore au Maroc en tout cas », poursuit Mohamed El-Haddaoui, de l’association des travailleurs marocains de Reims.
1er mai rime toujours avec muguet.
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Cette année, pas de chance, la fête du travail tombe un dimanche, au grand dam de tous les travailleurs qui en sont quittes pour être privés de pont.
Il n’en reste pas moins que l’événement, né suite à une grève sanglante survenue le 1 er mai 1886 à Chicago polit’ obtenir des journées de travail de 8 heures, sera tout de même commémoré comme chaque année à Reims. À l’initiative d’une intersyndicale CGT, CFDT, UNSA et FSU, Solidaires, tous les salariés, retraités et demandeurs d’emploi sont invités à manifester dimanche en ville.
Rendez-vous à 10 heures à la Maison des syndicats, Bd de la Paix. Le défilé se rendra sur le marché Jean-Jaurès.
La journée du premier mai, c’est bien sûr aussi l’occasion d’aller chercher du muguet, au coin de votre rue avec les petits vendeurs, chez votre fleuriste, ou mieux, dans les bois alentours.
Enfin, en ce dimanche 1 er mai les occasions de sortie sont nombreuses à Reims (mais attention ni le bus, ni le tram ne fonctionnent) ainsi que dans le pays rémois.
Fête du canoë.
Le Reims olympique canoë-kayak organise sa traditionnelle fête du canoë. Au programme : après une randonnée en canoë le matin (il est trop tard pour s’inscrire) à partir de 14 heures, pour les badauds, possibilité de s’initier au Dragon boat et au canoë. www.reims-canoe-kayak.fr ou 06.82.28.34.90.
Fête du muguet.
Les associations « 2 Mains » et « Étoile Croix-du-Sud » organisent deux événements dans le secteur Croix-du-Sud du quartier Croix-Rouge : une brocante et la traditionnelle fête du muguet de 7 h 30 à 19 heures sur la place Paul Cézanne.
Au programme ; des concerts de rap, de la musique africaine mais aussi différents spectacles, dont l’un qui sera proposé par la compagnie « Footzbeul ».
A partir de 10 heures place de l’hôtel de ville, le Rotary club se propose de transporter le public dans de belles voitures pour financer des équipements spécifiques au traitement des enfants malades. Participation : 5 euros pour les adultes et 3 euros pour les enfants.
…
Des tickets qui ne passent pas.
Une mauvaise surprise pour beaucoup d’usagers chaque jour.
Transdev corrigera le tir très bientôt.
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Depuis la mise en service du tram, les usagers remarquent que les tickets qu’ils achètent ont du mal à être validés. Et deviennent des payeurs-fraudeurs.
NOUS avons beau essayer de les composter, ta machine ne les prend pas ». Cette histoire d’une Rémoise un brin énervée devant l’arrêt du palais de justice, il y en a des dizaines tous les jours.
Comme elle, de nombreux usagers ont du mal à valider leurs tickets unitaires ou rechargeables. Les cartes, elles, ne connaissent pas les mêmes soucis.
Aux arrêts Franchet-d’Esperey, les fraudeurs contraints sont nombreux. « On n’a pas le temps le matin d’aller acheter une carte, j’ai pris le tram deux fois sans le payer, il m’était impossible de valider mon ticket. Le chauffeur a essayé lui aussi de me le composter, il n’y est jamais parvenu et a dû se résigner à me laisser monter à bord sans titre de transport valable ». La ritournelle dure ainsi depuis la mise en service officielle du tramway, le 16 avril dernier.
Et depuis cette date, déjà plusieurs centaines de fraudeurs involontaires empruntent le tramway chaque jour. Un casse-tête pour les chauffeurs et les usagers, une perte d’argent pour Transdev.
Un fait que ne manque pas de constater l’un des syndicats de Transdev ( 1), notamment Hervé Picq représentant de la CFTC : « Nous avons reçu énormément de retours d’usagers du tram qui rencontrent des soucis de compostage. Le souci, c’est que les choses ont été faites à la hâte et que les conducteurs ne savent souvent pas quoi répondre aux usagers puisqu’ils n’ont pas été suffisamment formés. Les billets rechargeables posent encore des soucis, les cartes également ».
Bref, si la mise en route est loin d’être un loupé, il y a bel et bien des grains de sable dans les rouages neufs du tramway.
Côté Transdev et de son service communication, on reconnaît volontiers que le démarrage connaît quelques soucis. Tout en précisant. « Nous avons effectivement eu des informations au niveau des billets uniques et renouvelables jusqu’à quatre fois. Certains lots qui nous ont été livrés par nos prestataires présentent effectivement des défauts. Nous sommes en train de les recenser et de les remplacer. Tout devrait être réglé dans les semaines à venir ». Encore un petit effort pour les chauffeurs et les usagers, les choses devraient retrouver un jour normal, Transdev l’a promis.
Th. D.
(1) contacté sur le sujet, le représentant de la CGT chez Transdev ne nous a pas rappelés.
Le nouveau réseau de transports collectifs change forcément les habitudes. Les titres de transport évoluent, les tracés des lignes de bus aussi. C’est pour cela que Transdev a créé des postes d’« ambassadeurs » pour aider les usagers perturbés par ces changements.
Voici la liste des endroits où les usagers trouveront des réponses :
Espace Tram Info Centre (place Myron-Herrick) du lundi au samedi à 19 heures.
Espace Tram Info Laon (65, avenue de Laon) les lundis, mardis et jeudis, de 11 à 16 heures et les mercredis et vendredis, de 14 à 19 heures
Point Info Quartier Orgeval (3, place de Fermat) du lundi au vendredi de 14 à 16 heures.
Point Info Quartier Croix-Rouge (65, esplanade Eisenhower) du lundi au vendredi, de 14 à 16 heures.
Point Info Quartier Epinettes (Rue Sidi Bel Abbès) les mercredis, de 14 à 16 heures.
Point Info Quartier Wilson (1 place Lili et Nadia Boulanger) les mercredis, de 14 à 16 heures.
Les « ambassadeurs » du Tram sont à la disposition du public par téléphone de 7 à 19 heures du lundi au samedi inclus au 0 800 10 87 26 (appel gratuit depuis un poste fixe).
JUSQU’AU SAMEDI 30 AVRIL : « REIMS HIP HOP FESTIVAL 2 » : BLOCK PARTY
Ven. 29 à 14h – Centre culturel St-Exupéry : Conférence sur « L’âge d’or du Hip-Hop aux USA » par le journaliste David Commeillas
Ven. 29 à 20h – Médiathèque Croix-Rouge : « Street Circus contest » : Concours de shows chorégraphiques
Sam. 30 avril à 14h – Manège de Reims
Rens. : reimshiphop.canalblog.com
SAMEDI 7 MAI : SOIRÉE : « REPAS ORIENTAL »
Le groupe ESCAPADES organise un Repas Oriental afin de financer son voyage de fin de saison en Alsace.
Animation musicale pendant le repas, démonstration et initiation de danse orientale.
Tarifs : 8€ (- de 12 ans)/10€ adultes
Maison de Quartier Croix Rouge, Espace Billard
Samedi 30 avril : Foire aux vêtements
Le groupe "ESCAPADES" de la Maison de Quartier Croix Rouge Espace Billard organise une « Foire aux vêtements » pour financer son voyage de fin de saison en Alsace.
De 9h30 à 12h et de 14h à 18h
Maison de Quartier Croix Rouge, Espace Billard
Dimanche 1er mai : Reims – Vide-greniers
Contact : maison de quartier Croix du Sud
Madame Daniel POLLIART, sa mère ;
Monsieur et Madame Ivan POLLIART, ses enfants ; Monsieur Witold POLLIART, son petit-fils ;
Le docteur Daniel-Georges POLLIART, son frère ; Madame Bronislawa KIELKIEWICZ,
Monsieur et Madame Pin-i CHENG,
Sa famille
Et ses amis
ont la tristesse d’annoncer le décès à l’âge de 71 ans du
survenu le 27 avril 2011.
Un hommage lui sera rendu le samedi 30 avril, à la salle de cérémonie de la maison funéraire de Reims, 7, rue Roger-Aubry.
La cérémonie religieuse sera célébrée le même jour à 14 h 30, en l’église de Wassigny (Aisne), et sera suivie de l’inhumation dans le caveau familial.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
PFG Reims 7, rue Roger-Aubry 03.26.86.11.25 H20085161
« Nous avons entendu une petite explosion, et très vite, les flammes et la fumée ont envahi toute la rue. On n’y voyait plus rien. C’était la vraie panique », raconte un riverain.
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REIMS (Marne). Les maniaques du briquet ont encore frappé. Hier, les riverains de la rue de Kairouan, au cœur du quartier Jean-Jaurès en ont fait les frais. Ces délits commencent à résonner comme une triste ritournelle dans les esprits des forces de police.
Devant le numéro 46 de la rue de Kairouan, les poubelles sont sorties. Une ou plusieurs personnes y mettent le feu. En quelques secondes, le conteneur s’embrase. Les flammes vont venir endommager un coffret de gaz situé à proximité. Et c’est là que les choses auraient pu tourner, encore une fois, au drame. La conduite de gaz va se rompre sous les effets de la chaleur. Une boule de feu va se former et « une torchère de plusieurs mètres » va déclencher plusieurs sinistres. En effet, le feu va atteindre un premier véhicule qui va rapidement s’embraser. Avant que deux autres voitures ne soient la proie des flammes. « Nous avons entendu une petite explosion, et très vite, les flammes et la fumée ont envahi toute la rue. On n’y voyait plus rien. c’était la vraie panique », raconte un riverain. De nombreux pompiers ont été dépêchés sur place pour juguler le sinistre et mettre en sécurité deux familles. Parmi elles, deux personnes ont été légèrement incommodées par les fumées. Cependant, leur état n’a pas nécessité qu’elles soient dirigées vers un centre hospitalier. Elles ont pu regagner leurs logements à la fin de l’alerte, en début de matinée.
La dernière moitié du mois d’avril est à marquer sur les calendriers de tous les incendiaires. En effet, depuis le 16 avril, c’est une véritable série de dégradations par le feu auxquels assistent, à chaque fois, des sinistrés qui ne comprennent pas la signification exacte de ces gestes.
Le 16 avril dernier, un scénario exactement similaire à celui qui vient de se produire rue Kairouan est arrivé aux habitants de la rue de Grigny, entre l’avenue de Laon et de Neufchâtel. Cette nuit-là, huit voitures avaient fait les frais d’un feu allumé à proximité d’une conduite de gaz. Dans la nuit du 18 au 19 avril, six voitures avaient été embrasées volontairement dans le nord de l’agglomération. Des dégradations causées en à peine deux heures en divers points. Le 23 avril, deux véhicules ont été incendiés au cœur du quartier Wilson cette fois. Rattrapé, l’incendiaire s’est avéré être un gamin de 6 ans ! Et pour finir cette sinistre liste de dégradations, le 24 avril, trois voitures avaient connu le même sort rue Pierre Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge. En une quinzaine de jours, ce ne sont donc pas moins d’une vingtaine de véhicules qui ont connu un funeste sort. Par chance, aucune victime n’a été à déplorer jusque-là.
Thomas DUPRAT
Les deux futures rues s’appelleront rue Hubert-Carpentier et rue Aimée-Lallement.
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Deux nouvelles rues sont en cours de construction dans le secteur Eisenhower. Une première va relier la rue François-Legros et l’avenue du Général-Eisenhower, l’autre reliera la rue du Docteur-Billard et la rue Pierre-Taittinger. Leur construction a été décidée, après quelques démolitions d’immeubles, dans le but de désenclaver le secteur.
Le dernier conseil de quartier devait donner son avis sur les propositions municipales et le public a participé activement aux débats.
Les choix étaient à effectuer parmi la liste suivante : rue Aimée-Lallement, rue Charlotte-Delbo, rue Anna-Marly, rue Hubert-Carpentier, rue Paulette-Le-Du, rue des Bâtisseurs ou prolongation de la rue François-Legros.
Un habitant, Philippe Godebwski, a suggéré d’ajouter à cette liste le nom de Marceau Nicolas, mais ce n’était pas possible, la liste proposée par la ville de Reims n’étant pas modifiable. « De toute façon, » a expliqué le conseiller municipal Michel Guillaudeau, « d’autres rues seront créées dans le secteur Pays-de-France, il sera temps alors de proposer M. Nicolas, sur les lieux principaux de ses interventions ».
En définitive, pour la liaison Billard/Taittinger, le choix unanime est allé en faveur d’Hubert Carpentier, conseiller général PS du canton de Reims V de 1982 à 1994, entre Claude Lamblin (PCF) et François Legrand (DVD). Il fut également conseiller régional et conseiller municipal de Reims et il a fait forte impression dans le canton où son souvenir est très vivace. Pour la liaison Legros/Eisenhower, c’est Aimée Lallement (1898-1988) qui a été retenue par la majorité des participants. Elle fut une militante associative, socialiste et féministe, présidente des Droits de l’Homme, du comité départemental d’action laïque, des aides ménagères rémoises et de l’association familiale laïque. Sportive, elle se distingua dans les épreuves du 110 m et du lancer du javelot. Pour avoir hébergé, caché, aidé ou sauvé des familles juives pendant la guerre, Aimée Lallement fait partie des « Justes parmi les nations ».
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[1] Cet article a été supprimé de notre site à la demande d’une personne citée
[2] Une réponse des logeurs, par communiqué de presse, est disponible sur notre site
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