L’HEBDO CROIX-ROUGE n°81 du 26 octobre 2011.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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L’équipe éducative du collège François-Legros a rendu hommage à Lise Bonnafous, professeur décédée à Béziers après s’être immolée.
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Il est loin le temps où la place Eisenhower était un lieu plein de vie où les enfants pouvaient jouer au football, où leurs mamans papotaient, où les fêtes de quartier du genre place aux Saltimbanques ou crêpes et solidarité lui faisaient prendre vie une à deux fois dans l’année.
Aujourd’hui sur le secteur « Université », il n’existe plus de tel lieu comme le souligne un ancien habitant du quartier de passage au centre commercial de l’Hippodrome. « C’est beau tous les travaux mais ils enlèvent pour le moment l’esprit convivial qui régnait avant » dit-il avec regret.
Chers lecteurs,
Vous êtes nombreux à nous solliciter pour nous signaler que vous aimeriez savoir où vous procurer notre journal lorsque vous n’êtes pas dans la zone de distribution.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est disponible dans différents lieux du quartier.
Vous pouvez le retirer dans plusieurs espaces de la maison de quartier, Billard, rue Pierre-Taittinger ou encore la Nacelle, rue du Docteur-Billard.
Il est également mis à disposition à la médiathèque Croix-Rouge, rue Jean-Louis Debar, mais aussi dans le café associatif « Le Bistroquet » situé avenue Léon-Blum.
De plus, chaque semaine, L’HEBDO CROIX-ROUGE est consultable dès le vendredi sur le site internet de l’union www.lunion-presse.fr. Sur ce site il est également possible de trouver l’intégralité des anciens numéros de votre Hebdo.
Vous pouvez aussi réagir à nos articles par le biais de la rubrique « Courrier des lecteurs ». Celle-ci est destinée aux lecteurs de L’HEBDO CROIX-ROUGE qui, par son intermédiaire, pourront faire parvenir par email, par courrier ou via le forum du site internet de l’union, leur vision ou prise de position sur l’actu du quartier
Pour nous contacter, rien de plus simple :
Courrier électronique : croixrouge@journal-lunion.fr
Courrier postal : « Hebdo Croix-Rouge » l’union, 5 rue de Talleyrand 52100 Reims
Forum du site de journal l’union : http://www.lunion.presse.fr.
Thierry ACCAO FARIAS
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Chaque mercredi dans votre quartier
À feuilleter chaque vendredi sur :
Rubrique « services » en page d’accueil
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Ingrédients :
250 de chocolat noir à pâtisserie
150 g de beurre + 20 g pour le moule
6 œufs
200 g de sucre glace
80 g de farine
Préparation :
Tapissez un moule à manqué de papier sulfurisé en laissant dépasser les bords pour que le démoulage se passe en douceur, badigeonnez-le de beurre mou ou fondu au pinceau et réservez-le au réfrigérateur.
Cassez le chocolat en morceaux et faites-le fondre au bain-marie avec le beurre puis mélangez à la spatule.
Dans une terrine, battez les œufs avec le sucre glace jusqu’à ce que le mélange blanchisse, puis ajoutez le mélange chocolat/beurre fondu et la farine.
Versez dans le moule à manqué et glissez sur une grille au bas du four pour 20 à 25 minutes de cuisson.
Laissez le gâteau refroidir dans le moule avant de le démouler très délicatement et de le poser sur le plat de service.
A déguster très vite.
De gauche à droite, Geneviève Pezzotta, secrétaire, Janie Landru, vice-président, Martine Massart présidente, Eric Quénard, premier adjoint et Rustique Adigoun, trésorier.
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Le public a plébiscité la nomination de Michel Méther et Charles Santini en qualité de membres d’honneur.
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L’association MutES a organisé deux assemblées générales successives vendredi 14 octobre, à l’espace Billard de la Maison de quartier.
Martine Massart, la présidente de l’association MutES a accueilli le premier adjoint Éric Quénard et deux conseillers municipaux, Michel Guillaudeau et Saïda Berthelot, pour deux assemblées générales successives vendredi 14 octobre, à l’espace Billard de la Maison de quartier.
Association loi 1901 créée en 1988, la MutES organise un échange de services gratuits entre toute personne ou famille du quartier Croix-Rouge : un service pour un service.
Quels services rendre ? « Tout ce qui est dans vos compétences et que vous avez envie de partager » répond la secrétaire Geneviève Pezzotta, « Par exemple, vous donnez 1 heure d’informatique et vous recevez 1 heure de ménage ». Suis-je compétent ? : « Dans notre association, le principe est que l’on a tous besoin un jour d’un service et que l’on est tous en capacité de rendre service. »confirme la vice-présidente Janie Landru.
Colette (23 ans de MutES) fait de la couture pour Philippe. Philippe (1 an de MutES) aide Marthe à faire son jardin. Marthe (20 ans de MutES) apprend à Geneviève à préparer un plat africain. Geneviève (10 ans de MutES) conduit Jacqueline en voiture pour ses courses. Jacqueline (8 ans de MutES) fait du ménage chez Jocelyne. Jocelyne (5 ans de MutES) apprend la calligraphie à Martine. Pierre, le mari de Martine (23 ans de MutES) fait du bricolage chez Allaoui. Allaoui (2 ans de MutES) aide Tina à emménager et beaucoup d’autres exemples encore. Comme l’a fait remarquer le premier adjoint Éric Quénard, « c’est une structure d’entraide, de solidarité, de lutte contre l’isolement et de cohésion sociale qui fonctionne grâce à ses bénévoles dévoués ».
La MutES tourne avec un petit budget géré avec prudence par Rustique Adigoun, trésorier : avec 5300 euros de dépenses pour 1463 euros de recettes (dont 1000 euros de subvention Ville de Reims), elle équilibre son compte d’exploitation 2010 en piochant dans ses réserves des années précédentes. Pour 2011, la ville a déjà doublé le montant de sa participation (2000 euros).
Une assemblée extraordinaire était nécessaire pour modifier les statuts et, en particulier, passer de 18 membres au conseil d’administration à un maximum de 15.
Autre décision, la création de la distinction de « membre d’honneur » pour « toute personne ayant ou ayant eu un investissement personnel permettant d’être une référence pour la MutES ». Première application immédiate, par un vote unanime à main levée, en faveur de Charles Santini, l’un des pères fondateurs, et Michel Méther, l’un des piliers de la structure.
Enfin, désormais, la MutES pourra organiser des sorties et voyages pour ses adhérents, « activités permettant de créer et de préserver des liens solidaires ».
Pour tout renseignement, appeler la MutES au 06.58.80.81.15
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
La totalité de l’équipe éducative de François-Legros s’est rassemblée devant les grilles de l’établissement.
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Les enseignants de François-Legros ont rendu hommage à une de leurs collègues.
Jeudi dernier, l’équipe éducative du collège François-Legros a répondu à l’appel de leurs confrères de Béziers pour rendre un hommage à Lise Bonnafous, professeur décédée après s’être immolée par le feu il y a une dizaine de jours au lycée Jean-Moulin de Béziers.
À l’heure de la recréation du matin les profs rémois se sont rassemblés devant leur établissement où ils ont déployé un message fort quant à leurs conditions de travail, conditions qui auraient d’ailleurs, selon eux, poussé leur collègue à mettre fin à ses jours. « Jeudi 13 octobre 2011, Lise Bonnafous, enseignante au lycée Jean-Moulin de Béziers, s’est suicidée dans la cour de l’établissement. Les enseignants du collège François-Legros se joignent à la douleur et à la peine de sa famille, de ses collègues de travail et des élèves »lisait à haute voix l’un des professeurs, pour conclure ce petit hommage solennel.
TAF
Photo : C LANTENOIS
Le principal adjoint et les professeurs n’ont pas ménagé leurs applaudissements.
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Le collège François-Legros a accueilli les élèves reçus aux épreuves du brevet des collèges en juillet dernier, ainsi que leurs familles, pour une cérémonie de remise officielle des diplômes, au collège. Plus de soixante parents et amis étaient dans la salle et ont chaleureusement applaudi les diplômés, au nombre de 103.
« Depuis plusieurs années, le collège François-L egros se situe au-dessus des moyennes académiques » déclarait Jean-Raphaël Nicaise, principal adjoint, entouré d’une dizaine de professeurs : « Plus de 86 % de reçus pour la session 2011, c’est un résultat remarquable ! Une classe arrive même à 96 % de réussite !Par ailleurs, plus de 50 % de l’ensemble des élèves ont décroché une mention ! »
Jean-Raphaël Nicaise félicitait les collégiens : « Ces résultats signifient que, en quatre années en collège, pour votre premier examen national, vous avez construit des fondations solides, suffisantes pour suivre en-suite une scolarisation efficace. Ces fondations-là, vous encourageront à l’avenir. Dans votre vie, vous allez pouvoir prospérer à partir de votre travail à François-Legros. Cette réussite, c’est notre fierté et celle de vos enseignants ! »
Les professeurs ont remis eux-mêmes les diplômes en signalant d’autres réussites : résultats sportifs de haut niveau, prix Berthe pour élève méritant, lauréats du Concours départemental de la Résistance, diplômes supplémentaires en allemand,… occasion de valoriser encore un peu plus certains collégiens méritants.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
La ville de Reims accorde une aide de 20 euros sur la cotisation à un club sportif rémois affilié à une fé-dération sportive, à toutes les familles rémoises bénéficiaires de l’allocation de rentrée scolaire, de la CAF, ou MSA et dont les enfants sont scolarisés dans une école élémentaire.
Cette aide est directement déduite par le club de votre choix dès le premier paiement de la cotisation de votre enfant.
Cette aide est valable pour chacun de vos enfants scolarisés dans une école élémentaire et est cumulable avec les Bons CAF, MSA ou l’Aide du Ccas de Reims.
Pour en bénéficier il suffit de vous rendre dans l’association ou le club rémois de votre choix et de présenter vos justificatifs de scolarité et de bénéficiaire de l’ARS.
L’aide de 20 euros sera directement déduite par les clubs au moment de l’inscription.
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L’association « Centre de soins » a été créée en 1973 par des habitants du quartier.
Ils étaient à l’époque un simple petit groupe avant de devenir quelques années plus tard une véritable association 1901.
Basée avenue Bonaparte lors de sa création, c’est en 1978 que l’association pose ses bagages au centre so-cial Billard.
L’association, dirigée par des bénévoles, emploie des infirmières diplômées qui, en plus de tenir des perma-nences, effectuent des tournées chez des habitants du quartier pour des soins allant du vaccin à la prise de sang en passant par la pose de perfusion.
« Les infirmières sont très courageuses car ce n’est pas tous les jours facile de travailler sur le quartier. Elles peuvent aller donner des soins à des gens qui sont vraiment dans des situations difficiles » explique Michel Henri, président du Centre de soins.
« Ce qui me fait tenir aujourd’hui est d’ordre moral car je me vois mal arrêter tout et laisser autant de personnes sur le carreau, même si une infirmière retrouvera toujours du travail. » précise le président.
L’appel de celui-ci est donc très clair : il a besoin d’un soutien pour tenir et faire vivre son association.
« J’aimerais que des personnes voulant s’investir bénévolement, même quelques heures par semaine, se manifestent car seul cela devient vraiment compliqué etje commence à baisser les bras » conclut-il.
TAF
Photo : C LANTENOIS
Pour contacter l’association : 14, rue Pierre-Taittinger dans l’espace Billard de la maison de quartier. Tél. : 03.26.08.27.62
Les infirmières de l’association de Centre de soins de Croix-Rouge. On y trouve toutes les prestations qu’offre le métier d’infirmière.
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Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Takoucht-Lallemant, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Tél. 06.38.43.00.96.
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Mercredi dernier, le club de football « Espérance Rémoise » a été convié aux côtés de trois autres clubs de football (Stade de Reims, Tinqueux et Ambonnay), par le district de football de la Marne. Cette rencontre avait pour but de leur remettre la labellisation de la Fédération Française de Football permettant de prétendre au statut d’école de football.
C’est au stade de la Muire que les dirigeants de « Reims Espérance » ont emmené plusieurs équipes de jeunes puisque, avant la remise de cette appellation, le district avait organisé un après-midi pour les enfants.
« Il nous fallait absolument deux grands terrains pour organiser cet après-midi, c’est pour cela que Tinqueux nous a mis les siens à disposition gracieusement. C’est ce qu’il nous fallait pour pouvoir mettre en place différents plateaux mais aussi pour accueillir les 200 enfants de ces quatre écoles de football correspondant à dix équipes de U11 et quatorze de U8/U9 (anciennement les débutants) » précise Bertrand Curel, conseiller technique du district de football de la Marne.
Le stade de la Muire, grâce à sa petite tribune, était également en capacité de recevoir les parents des en-fants évoluant au sein de ces quatre clubs.
« C’est important de suivre les enfants dans leurs activités, encore plus de répondre présent quand le club reçoit une distinction le mettant en valeur. C’est gratifiant bien sûr pour le club mais aussi pour les enfants qui ont ainsi conscience qu’ils pratiquent leur passion dans une équipe de qualité » précisait l’une des mamans présentes.
Après ces ateliers sous forme de plateaux, la remise officielle de cette labellisation a été organisée.
Durant cette petite cérémonie, les représentants des quatre clubs en question ont reçu des mains de Chris-tine Michel, adjointe au maire de Reims en charge des sports, cette distinction.
« Cette labellisation nous permet de figurer parmi les quatre meilleures écoles de football du district de la Marne, ce qui n’est pas rien pour un cluU11odeste comme le nôtre »conclut Driss, l’un des dirigeants du club de « l’Espérance Rémoise. »
TAF
Photos : C. LANTENOIS
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L’activité couture est organisée au siège de l’Acrap pour les adultes et les enfants.
Pour les adultes, c’est la possibilité de réaliser jupes, robes, tailleurs, etc. suivant les désirs des adhéren- , tes en initiation ou perfectionnement.
Pour les enfants à partir de 4 ans, réalisation d’objets en 3D type peluche… ou réalisation de travaux à la demande.
ADULTES :
Lundi : 14h00 -16h00 ou 16h00 -18h00 ou 18h00-20h00
Jeudi : 09h00 -11h00
Vendredi : 14h00 - 16h00 ou 16h00 - 18h00 ou 18h00- 20h00
ENFANTS :
Mercredi : 09h00 -11h00
Inscription : ACRAP - 11 avenue du Président Kennedy 5110051100 Reims (Accès par l’impasse Schuman) Horaires : Du lundi au vendredi de 09h30 à 11h30 et de 13h00 à 17h00 Téléphone : 03.26.06.39.54
Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch
1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
MJC Croix-Rouge
1, Allée des Béarnais.
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion. Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
Noémie Hubert éducateur de prévention. Permanence le mercredi de 14 à 16 heures à l’espace Pays-de-France de la maison de quartier
1, allée des Béarnais.
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« C’est un double plaisir l’enfant est content de montrer ses dessins mois aussi de voir ceux des autres »
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L’opération internationale « La grande lessive » s’est arrêtée le temps d’une journée dans les murs de l’école élémentaire Blanche-Cavarrot.
« La gronde lessive » est le titre d’une installation artistique éphémère créée en 2006 par la plasticienne Joëlle Gonthier.
Elle se déploie deux fois par an, partout où quelqu’un décide de la faire exister afin de développer le lien social et d’éveiller le désir d’une pratique artistique. « C’est une opération éphémère. Nous n’avons vraiment rien préparé avant. Le principe est simple, il suffit d’attacher de longs fils et d’étendre le linge comme on le faisait dans le temps dans les laveries » explique l’une des institutrices.
C’est l’école Blanche-Cavarrot qui a décidé une nouvelle fois de prendre part à cette opération devenue internationale en quelques années.
« 285 enfants de la primaire et une centaine de l’école maternelle ont participé mais également les enseignants, le gardien ainsi que des parents d’élèves. Il y a même une maman qui a dessiné un superbe bouquet de roses, son enfant était impressionné » ajoute-t-elle.
Que ce soit à la recréation ou bien à la sortie de 11 h 30, les enfants étaient vraiment ravis de participer à l’événement. Ils étaient également heureux de partager ce moment avec leurs camarades de classe. Exemple avec Lucas, très fier de montrer à sa maîtresse et à ses copains la jolie machine à laver qu’il avait dessinée durant la recréation.
« C’est un double plaisir l’enfant est content de montrer ses dessins mais aussi de voir ceux des autres » conclut l’enseignante.
La grande lessive se déroule dans plusieurs centaines de lieux en France métropolitaine et à la Réunion, ainsi qu’en Algérie, Allemagne, Bosnie, Chine, Égypte, Emirats Arabes Unis, Gabon, Géorgie, Suisse, Tunisie, Turquie ou encore Etats-Unis.
TAF
Photo : C. LANTENOIS
Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la Circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Cédric Bendiaoud
Espace Watteau, 3, allée Watteau.
le vendredi de 15 à 17 heures (sur rendez-vous).
Téléphone : 03.26.36.03.50
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Le groupe de rap rémois Caos Locos, originaire du secteur « Université » a mis les petits plats dans les grands pour le tournage du premier clip de son premier album.
Un homme quitté mais toujours fou d’amour et qui se rend dans l’hôtel où travaille sa compagne pour la tuer. Un fait divers réel qui a servi de trame au tournage de la première scène du clip de Caos Locos, un groupe de rap rémois pur jus. Un collectif de rappeurs, issus pour certains du quartier Croix-Rouge et qui commencent à se tailler une réputation certaine dans le monde de la musique urbaine. Ce sont eux, au passage, qui avaient fait bouger des centaines de spectateurs lors de la dernière fête de la musique dans la cité des sacres.
Récemment, ils ont posé leurs valises à « l’Escale », un hôtel proche des pistes de l’aérodrome de Prunay. Sous la direction de Marco Serri, réalisateur (il y en aura un Différent pour chaque séquence dont Grégory Sacré de Varock Films), les cinq membres du groupe, qui a fêté ses quinze ans il y a peu, se sont livrés au tournage d’un des couplets, un après-midi durant. Quatre heures de présence pour quelques secondes immortalisées au final. C’est le prix à payer pour se faire une place au soleil.
De nombreuses séquences restent encore à réaliser. Avec pour objectif final, la sortie d’un tout premier album qui résonne déjà comme une récompense. « Voilà des années que l’on bosse sur ce projet. Nous sommes issus d’un quartier. Ça n’a pas toujours été simple, même si depuis plusieurs mois, il faut admettre que de plus en plus de soutiens se manifestent. On a étoffé notre réseau », confie Jazz, un des « cinq majeurs »du groupe.
Et comme les Caos Locos (Chiens Fous) prennent leur envol, il était normal qu’un des personnages em-blématiques de la ville se prête au jeu. Cédric Fauré, le buteur stadiste, devrait prochainement apparaître dans l’une des séquences du clip. Un clin d’œil qui sent la reconnaissance. « C’est un geste super-sympa de la part de Cédric. Nous revendiquons notre identité rémoise. La présence de ce joueur dans notre clip est une façon de montrer notre appartenance et le fait que l’on sait rapper dans notre ville. »
Qu’on se le dise, Reims, connue à travers l’Europe pour ses artistes électro, devra désormais faire avec la scène rap. Pourvu que ça dure. « Une balle sans nom », le clip du groupe, devrait être finalisé lors du premier semestre 2012, tout comme l’album d’ailleurs.
Th.D.
Photo : F. NASCIMBENI
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Le mercredi de 18 heures à 20 heures (hors vacances scolaires) l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge propose un atelier peinture encadré par Raymonde et Christian.
Cette activité créée par Madeleine Terrien, aujourd’hui disparue, attire chaque mercredi un petit groupe de passionnés dont certains étaient élèves de la créatrice de cette activité.
« Ce cours est, avant tout, une activité de détente où chacun peut progresser à son rythme, selon ses dis-ponibilités, dans la convivialité et la bonne humeur. De plus, chaque année, nous fêtons ensembles la galette des rois et participons à un repas commun »précisent les deux bénévoles encadrant l’activité.
La première année est consacrée à l’acquisition des bases avec une série d’exercices réalisés à la gouache en utilisant les couleurs primaires (jaune, rouge, bleu plus le blanc et le noir).
« Nous avons aussi la chance de pouvoir pratiquer cet atelier dans une magnifique salle et cela, nous tenons vraiment à le préciser aussi »conclut Raymonde.
TAF
Photo : C. LANTENOIS
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Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 55571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau
Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures,
le mercredi et jeudi de 10 à 18 heures,
le samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Crèche : 6 allée des Landais. Tél. 03.26.06.20.58
Déchetterie : impasse de la Chaufferie. Ouverte du lundi au samedi de 9 à 19 heures.
Association 2 MAINS
4 place Dominique Ingres — 52100 Reims. Tél. 03.10.16.10.40 — Fax. : 03.10.16.10.41.
E-mail : assos2mains@aol.com
Déchèterie Croix-Rouge : ouverte de 9 heures à 19 heures du lundi au samedi, et de 9 heures à 12 heures les dimanches et jours fériés.
Vous pouvez y déposer gratuitement vos déchets ménagers dans la limite de 250 kg ou 1 m3 par voyage.
Impasse de la Chaufferie.
Tél. : 03.26.02.90.90.
Effort rémois : agence de Croix-du-Sud, 9 place Jean Fragonard. Tél : 03.26.06.04.42.
Foyer rémois : agence de Pays-de-France, 1 avenue Bonaparte. Tél : 03.26.05.84.84.
Reims Habitat : Succursale Croix-Rouge, 46, bis groupe Eisenhower. Tél : 03.26.08.16.07.
Dans cet entretien. Adeline Hazan ne le cache pas : « Bien sûr que je serai candidate à ma succession… ».
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La maire de Reims revient sur les différents dossiers touchant ou ayant touche le quartier depuis son élection ici le tram.
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Adeline Hazan revient sur les différents dossiers touchant ou ayant touché le quartier depuis son élection. Rénovations urbaines, maisons de quartier ou encore Reims 2020, la maire dresse le bilan pour la première fois dans l’HEBDO CROIX-ROUGE.
Si dans le quartier, les avis des habitants sont quelque peu mitigés concernant le mandat d’Adeline Hazan, fort est de constater que l’on ne peut pas lui enlever le fait d’être souvent présente à Croix-Rouge, quartier populaire rémois qui comme les autres a largement contribué à son élection lors des municipales de 2008.
C’est dans son bureau à la mairie de Reims qu’Adeline Hazan nous a reçus dans le cadre d’un entretien 100 % tourné vers le quartier Croix-Rouge. Rénovations urbaines, maisons de quartier, conseils de quartier, tram, etc. c’est avec elle et en présence de son premier adjoint Éric Quénard que nous sommes revenus sur les gros dossiers qui font ou qui ont fait l’actualité de ce secteur de Reims.
Premier point, et pas des moindres, les rénovations urbaines pour lesquelles la ville, les bailleurs sociaux et l’Etat auront versé près de 150 millions d’euros. « Ce que l’on peut dire sur les rénovations urbaines (ANRU) ? C’est que pour nous, elles étaient une réelle priorité, comme pour les autres quartiers de Reims, et qu’elles ne se déroulent pas dans les mêmes conditions que ce qui avait été fait dans le quartier Wilson. Dans ce quartier, les habitants n’avaient pas été consultés et i/ y avait des surcoûts de loyer. C’est pour cela que de nombreux ateliers de proximité avaient été organisés afin d’informer au mieux la population.
D’autre part, nous avons voulu que les réhabilitations comme les nouvelles constructions répondent aux techniques actuelles avec les mêmes matériaux, qui permettront au passage une baisse des charges pour les locataires, et que ces travaux soient faits de la même manière que ceux que l’on peut voir ailleurs. Nous avons aussi cherché à désenclaver le quartier, l’aérer, mettre à disposition de nouveaux équipements et de nouveaux services. C’est la première fois que Croix-Rouge subit une telle transformation depuis sa création avec en prime le fait de mettre de l’humain dans l’urbain et de faire en sorte que ce grand quartier soit aussi beau que le reste de la ville. »
Bébé de Franck Noël sous le mandat de Jean-Louis Schneiter, la fusion entre les centres sociaux et les MJC, donnant naissance à l’actuelle association des maisons de quartier de Reims, est le deuxième sujet abordé avec Adeline Hazan.
« À l’époque, nous étions complètement contre ce projet lorsque nous étions dans l’opposition. C’était le fruit d’une réforme que nous ne voulions pas car cela ne nous semblait pas être une bonne idée. Aujourd’hui, il est impossible de revenir en arrière. D’une part, car cette association n’est pas une association municipale mais bien une association indépendante et d’autre part, car nous ne sommes pas les seuls à la subventionner. Nous avons demandé à un cabinet de faire un audit et nous avons mis différents groupes de travail en route avec la CAF, l’autre financeur, et bien sûr l’association. Un travail est également en cours quant à la convention. C’est une façon de travailler plus efficace qui permet de se mettre d’accord sur les objectifs à atteindre. Cela peut paraître long mais c’est une démarche très arbitraire pour travailler au mieux, que ce soit sur la jeunesse, l’insertion ou les seniors »
Si le quartier change de visage, c’est aussi le cas globalement de la cité des sacres. Ce projet de modernisation de la ville a été baptisé Reims 2020.
« Nous faisons en sorte que toutes les décisions concernant cet immense chantier soient bénéfiques pour tout le monde. C’est une façon de redessiner la ville, qu’elle soit un ensemble et non pas différentes plaques ou quartiers, pour que tous les habitants vivent rassemblés. Qu’II y ait dans chaque secteur de la ville des lieux pour la culture, pour les loisirs et des commerces sans bien sûr recréer des ghettos. Ce projet est aussi un outil pour requalifier les lieux publics comme créer un seul et unique pôle universitaire, un nouvel équipe-ment culturel avenue Bonaparte pour les habitants du quartier mais également pour y faire venir ceux qui habitent l’extérieur. C’est une façon de créer une sorte de fluidité. Le tram est également pour nous un symbole de changement, une sorte de lien entre la ville et les quartiers. À noter que peu de problèmes de dégradation ont eu lieu, c’est aussi la preuve -sans être angélique - que lorsque l’on donne du beau et des choses de qualité, cela apaise les tensions ».
Même si ces conseils de quartier partent d’une bonne attention, il est vrai qu’ils ont tout de même du mal à mobiliser les habitants.
« Cela ne se décrète pas mais se construit au fur et à mesure des séances. C’est un travail de fourmi. Il y a des villes où cela fonctionne bien, c’est certainement long à se construire, mais c’est en prouvant que ce qui s’y dit a de véritables répercussions que les gens penseront que les conseils de quartier sont d’une réelle utilité et qui commenceront à faire venir des jeunes. Sur ce dossier je reste vraiment très optimiste »
Et pour conclure lorsque l’on demande à la maire de Reims si elle sera candidate à sa propre succession pour les prochaines élections municipales en 2014, la réponse est sans appel ! « Bien sûr que je serai candidate à ma succession… ».
TA F
Photos R.WAFFLART
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