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Articles du journal « l’Union » sur le quartier Croix-Rouge 2007/1


 

union070430cra- Locales - Reims

La flamme du souvenir est bien entretenue

 

Émouvante célébration devant le monument des Martyrs de la Résistance.

« N’oubliez pas de dire ce qu’ils ont fait de nous et pourquoi. » Tel est le message répété d’année en année depuis 62 ans, en souvenir de tous ceux qui ont payé de leur vie le « racisme dément et criminel » de quelques-uns dans les années 1940. Un message redit au cours de la veillée au flambeau organisée par la Ville de Reims autour du monument dédié aux « Martyrs de la Résistance » dans les Hautes-Promenades.

Les porteurs de flambeau sont descendus du monument aux morts de la place de la République au son du tambour. Un roulement déchirant le silence de la nuit tombante, qui donnait un ton solennel à cette cérémonie présidée par le maire, Jean-Louis Schneiter, le sous-préfet Jean-Louis Wiart, et le colonel Francis Lonnoy, entourés de nombreuses personnalités.

Pour les jeunes générations

 

Des enfants ont lu des textes d’Éluard, Duguy et Primo Lévy. Benjamin Ségur

 

Une fois la vasque allumée devant le monument encadré par les porte-drapeaux, les soldats de la BA112 ont présenté les armes, avant qu’un ancien déporté, M. Gourlin, ne rappelle que « c’est aux jeunes générations que nous dédions ce témoignage ».

Sa fille a lu le message des déportés.

Puis, des collégiens du collège « François-Legros » ont lu trois textes : « Avis », de Paul Éluard par Ludovic Broudy ; « Le rescapé » de Michel Duguy par Kenza Hajjaj et « Si un homme » de Primo Lévy par Jessica Boutchada.

Entrecoupée de quelques morceaux musicaux comme « le chant des partisans », interprétés par la batterie-fanfare de Reims, la cérémonie a été suivie par un public un peu plus étoffé que l’an dernier, essentiellement composé d’adultes.

Quelques jeunes sont bien passés par là, mais ils s’en sont allés, même si le « témoignage leur était dédié ».

J.-F. Scherpereel

 

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Union070428a - Locales - Reims

Voitures brûlées et volées

 

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Mercredi soir, un Renault Espace s’est enflammé allée des Landais (l’union d’hier). Il s’agit d’un acte de malveillance.

Une personne a vu un individu s’enfuir après avoir mis le feu au niveau des sièges avant.

L’intervention rapide des secours a permis de limiter l’incendie à l’habitacle. L’auteur avait fracturé la portière pour pénétrer à l’intérieur.

Jeudi vers 18 h 30, ce n’est pas une voiture mais un scooter qui a flambé rue de Rilly-la-Montagne.

Il a tellement brûlé qu’il n’a pu être identifié.

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Union070427a - Locales - Reims

Les poubelles brûlent un peu partout

 

De nombreuses poubelles ont encore brulé dans la nuit de mardi à mercredi.

……..

Le premier feu de cave de la journée de mercredi fut signalé à 16 heures allée Edgar-Degas, au n°2.

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Vers 23 heures, des papiers ont été enflammés au pied d’un lampadaire de l’allée des Bourguignons. Y’a-t-il un lien ? Une heure plus tard, un Renault Espace a pris feu tout près de là, allée des Landais.

L’habitacle est bien noirci.

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Union070426a - Locales - Reims

La tour 60 Eisenhower va prendre des couleurs

 

La couleur des soubassements a été choisie.

 

Dans le cadre des travaux d’amélioration de l’enveloppe d’immeuble sur la tour 60-Eisenhower, l’organisme logeur a prévu une isolation par l’extérieur des façades avec, pour le soubassement de l’immeuble, un choix entre deux couleurs, selon les souhaits des locataires appelés à se prononcer.

Ils devaient opter pour un soubassement gris anthracite ou pour un soubassement teinte brique. La consultation a donné les résultats suivants : 65 % ont choisi la couleur brique contre 35 % pour la couleur gris anthracite.

Le lancement de la consultation d’appel d’offres par Reims-Habitat sera effectué à la mi-mai 2007.

 

 

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Union070425c - Locales - Reims

Un malade de 160 kilos évacué difficilement

 

Lundi soir, vers 21 heures, les sapeurs-pompiers ont été appelés dans un immeuble de l’allée des Bourguignons, au numéro 4, pour transporter au centre hospitalier une personne de 160 kilos victime d’un malaise respiratoire à son domicile.

Il n’a pas été possible de l’évacuer par l’ascenseur (il était en panne) ni par l’escalier en colimaçon (trop étroit).

Les sauveteurs ont dû faire venir leur grande échelle pour sortir le malade de son appartement, par la fenêtre, en le déposant sur une nacelle.

L’intervention très compliquée a duré plus d’une heure.

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Union070425b - Locales - Reims

Des bandes s’en prennent à la police

 

Lundi vers 15 h 30, ce ne sont pas des policiers mais les surveillants d’un magasin qui ont été pris à partie par une bande.

Les faits se sont produits au supermarché Match de Croix-Rouge où un jeune voleur venait de franchir les caisses avec deux bouteilles d’alcool.

Intercepté par les surveillants, il a sorti un cutter pour se dégager, sans succès, mais une dizaine d’individus sont venus lui prêter main forte.

La présence menaçante du groupe a obligé les vigiles à relâcher le voleur.

Une enquête est en cours pour tenter de le retrouver.

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Union070425a - Locales - Reims

Le Reims patinage de vitesse toujours au top

 

Le club du Reims patinage de vitesse vient encore de prouver que l’on peut mêler convivialité et performance.

LE Reims patinage de vitesse continue d’impressionner par des performances de plus en plus régulières. Ainsi, les 7 et 8 avril à Belfort, le club a remporté deux compétitions majeures. Le Top France Club pour la troisième fois consécutive et le titre de champion de France. Le suspens avait pourtant perduré jusqu’au bout pour Ghislain Gass, le président du club. « Pour le Top France Club, on avait la pression, nous n’avions que quatre points d’avances sur Le Havre qui avec ses nombreux licenciés représentait un gros concurrent. »

Mais l’équipe soudée autour de Jean-Charles Mattei a su gérer le stress et chacun a amené sa part de points pour la victoire du collectif. Jouant tactique, le RPV avait dès le départ mis toutes ses forces sur ce titre pour laisser au Havre la première place en ligue.

En ce qui concerne le titre de champion de France obtenu également à Belfort, les protégés de Ghislain Gass partaient avec beaucoup plus de points d’avance et avaient par conséquent moins de pression.

Mais le club ne se contente pas d’être le numéro 1 en France et multiplie les bonnes nouvelles. Ludovic Matthieu, entraîneur principal du club mais aussi entraîneur adjoint de l’équipe junior nationale, vient de décrocher son diplôme de professorat de sport qui lui permet d’assumer des fonctions plus hautes comme par exemple directeur technique international.

Les excellents résultats du RPV ne seraient pas possibles sans un esprit de convivialité et de bénévolat très présents dans le club. Même certains parents qui accompagnaient leurs enfants au patinage ont fini soit par encadrer soit par pratiquer ; preuve que l’ambiance dans le club est à la hauteur de la performance.

Alors si vous voulez goûter aux joies du patinage de vitesse, le RPV vous accueille vous prêtant gratuitement le matériel nécessaire pour vous et vos enfants le jeudi de 18 à 19 heures ou le samedi de 12 h 15 à 13 h 15.

Renseignements au 03.26.02.25.45, à la patinoire Jacques-Barrot ou sur www.rpv.short-track.fr

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Union070424a - Locales - Reims

Un rallye sur la citoyenneté à Croix-Rouge

 

Devant l’espace Pays-de-France, point de départ du rallye.
Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur

Les points Information-jeunesse de la Maison de quartier Croix-Rouge (Sadhia Idami à La Nacelle et Tassadit Asloudji chez Ethnic’s) ont organisé, dans le cadre du projet PIJ Croix-Rouge 2007 ( « la citoyenneté : un engagement au quotidien » ), un rallye destiné aux jeunes des territoires de Pays-de-France, Ethnic’s et La Nacelle, inscrits aux Centres de loisirs 12-15 ans de la Maison de quartier Croix-Rouge.

L’objectif était de « permettre aux jeunes d’aller à la rencontre de différents acteurs de la vie institutionnelle et associative du quartier. »

Les équipes, accompagnées par un animateur de Centre de loisirs, et munies d’un plan de Croix-Rouge et de tickets de bus pour se déplacer, devaient se rendre en différents lieux et se donner les moyens d’obtenir les réponses à des questions, sachant qu’elles pouvaient s’adresser à des personnes averties qui les accueillaient.

Ainsi, les jeunes ont-ils découvert la résidence de personnes âgées ARFO, l’espace Billard, les points information jeunesse, l’association de promotion de Pays-de-France (Appf), l’espace Watteau, la Médiathèque Croix-Rouge, l’association Étoile Croix du Sud, l’Effort Rémois, Reims-Habitat, le commissariat de police, le Centre communal d’aide sociale (Ccas), le Foyer rémois, l’espace Aquarelle, La Poste, l’espace La Nacelle, l’espace Ethnic’s et la Circonscription de la solidarité départementale.

Pour Stéphanie Tadla (La Nacelle) : « Ces moments d’échanges et de découvertes ont favorisé chez les jeunes la compréhension et l’organisation de leur quartier. »

Une journée pêche avec l’APPF

L’association de promotion de Pays-de-France annonce l’organisation d’une nouvelle journée familiale « pêche » , dimanche 29 avril, au Moulin-Carré à Châtillons-sur-Marne.

Participation : 10 euros pour les pêcheurs, gratuit pour les autres.

Les personnes intéressées doivent s’inscrire pendant les permanences de l’APPF, allée des Picards, ce mardi et vendredi de 14 à 17 heures, ou par téléphone au 03.26.36.65.71.

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Union070423e - Locales - Reims

samedi à Croix-Rouge

 

 

Les espaces Ethnic’s, La Nacelle et Pays-de-France de la Maison de

quartier Croix-Rouge ont programmé un concert de fin de vacances de

printemps, salle municipale François-Mauriac, samedi 28 avril à 20

heures.

Au programme : les groupes « Life Tree » (reggae, notre photo)

et "les Reskapés"

 

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Union070423d - Locales - Reims

Vacances solidaires à l’espace Watteau

 

Jeux dans le parc sous un beau soleil.

L’accueil de loisirs de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge a reçu, pour cette première semaine des vacances de printemps, 42 enfants âgés de 3 à 12 ans.

Dirigée par Johnny Chevalme assisté de Delphine Bernard et animée par les animatrices Stéphanie, Lucie, Jessica et Pauline, l’équipe a préparé des activités autour de la solidarité.

En effet, l’accueil de loisirs participe à l’action « Village solidaire », organisé en partenariat avec la ville de Reims. Les enfants ont fabriqué un jeu de questions-réponses en bois avec un coup de main précieux de Daniel Houssack, bénévole de la maison de quartier.

Jeudi les enfants ont pique-niqué dans un parc de la ville, et des activités diverses comme le bricolage, la cuisine, les jeux collectifs ont été mis en place ainsi que la piscine à balles ou l’escalade.

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Union070423b - Locales - Reims

Hommage aux déportés

 

A l’occasion du 62e anniversaire de la libération des camps de concentration et de la journée nationale de la déportation, une veillée solennelle aura lieu le samedi 28 avril à 21 h 15, au monument aux Martyrs de la Résistance, place Colonel Bouchez.

Des porteurs de torches partiront du monument aux morts des deux-guerres et gagneront le monument aux martyrs de la Résistance où ils encadreront la dalle sur deux rangs.

La cérémonie sera notamment marquée par l’allocution d’un ancien déporté, M. Gourlin et la lecture d’un poème par des élèves du collège François-Legros.

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Union070423a - Locales - Reims

« Crêpes de la solidarité » : les clefs de la réussite

 

1.500 crêpes ont été confectionnées et offertes par les bénévoles

Après le succès de la journée « Crêpes de la solidarité » organisée par l’association Multi-Échanges services (MutES), le conseil d’administration a souhaité réunir, à l’espace Billard, les associations, les structures et les bénévoles qui ont concouru à son organisation et à sa réussite.

« La présidente Martine Massart, a reçu tous les partenaires pour les remercier de leur participation à la journée crêpes solidarité du mois de mars et recueillir leurs avis » confirme Jacques Baptiste, vice-président de la Mutes : « tous les acteurs ont été d’accord pour reconnaître que la mise en commun des efforts a été le moteur de la réussite.

Quelques rares difficultés ont été relevées et des solutions ont déjà été émises lors de cette réunion pour encore mieux faire l’année prochaine. »

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Union070422b - Locales - Reims

Pays-de-France

 

L’Assemblée générale de l’Association de promotion de Pays-de-France (Appf) se déroulera vendredi 27 avril à 19 heures, salle municipale François-Mauriac à Reims.

Renseignements :

- aux permanences du mardi et du vendredi de 14 à 17 heures

- ou par téléphone au 03.26.36.65.71.

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Union070422a - Locales - Reims

Feux divers

 

Feu de cave

Les sapeurs-pompiers ont été appelés hier, peu avant 9 heures, pour un feu de cave dans un immeuble situé 1-3 allée Yves-Gandon à Reims.

Des sacs plastiques et des poubelles ont brûlé, dégageant une importante fumée qui n’a pas nécessité d’évacuation. Le feu a été rapidement maîtrisé mais les sapeurs-pompiers sont restés sur place longtemps afin de bien ventiler les locaux.

Une équipe d’EDF s’est également rendue sur les lieux, ainsi que la police, afin d’effectuer les premières constatations pour l’enquête qui a été ouverte.

Arbre en feu

Vendredi, vers 20 h 30, les sapeurs-pompiers ont été appelés rue Joliot-Curie pour un arbre en feu.

Ce feu a été rapidement éteint par piétinement.

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Union070420c - Locales - Reims

L’îlot Utrillo revu et aménagé par les collégiens

 

Les futurs urbanistes de Georges-Braque.


Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres.

Dans le cadre du projet « se responsabiliser vis-à-vis du patrimoine et du cadre de vie », des élèves de 4e et 3e du collège Georges-Braque ont, sous la conduite de deux professeurs, Agnès Brion (Lettres) et Sophie Hasslauer (Arts plastiques), préparé plusieurs scénarios d’aménagement du secteur Utrillo, pour le rendre plus vivant et plus convivial.

Photos, vidéos, conception par ordinateur, réalisation de maquettes : ils ont utilisé toutes les techniques des urbanistes pour concocter leur projet, un peu révolutionnaire il faut le reconnaître.

Restait à le présenter à la hiérarchie du collège, aux habitants représentés par leur association de locataires et surtout, à l’organisme logeur, qui sera en définitif le décideur et le financeur. C’est ce qui a été fait au siège de Reims-Habitat, avenue d’Épernay.

Intimidés, les élèves ont présenté leur « projet d’aménagement sur deux ans de l’espace G17 de l’îlot Utrillo ».

- Les 4e ont mis en avant la forêt des lutins, le jardin-puzzle, le salon, « un lieu intime où l’on peut regarder le spectacle de la vie ».

- Les 3e se sont concentrés sur le jardin, « un laboratoire de féerie avec sa toile d’araignée piège à mots, tendue entre les arbres, sa palissade et son banc curseur coulissant ».

Sans doute séduits par les projets, les locataires de l’association des Hauts-de-Murigny ont même proposé leur aide pour un coup de main si besoin.

- D’autres photographies sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070420crb- Locales - Reims

Espace Watteau : reprise des sorties à vélo

 

Daniel Houssac anime les sorties cyclo.
Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur

 

A l’issue de la dernière sortie de fin d’année, l’animateur Daniel Houssack avait donné rendez-vous à ses fidèles amateurs au mois d’avril.

C’est fait, les prochaines randonnées cyclo au départ de l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau) sont prévues dimanche 22 et dimanche 29 avril.

A chaque sortie, départ à 9 heures et retour avant 12 heures pour « un parcours de 30 à 50 km dont l’itinéraire sera proposé au moment du départ ».

Un conseil : « Ces balades ont un objectif de détente et en aucun cas de compétition. »

Toute personne voulant participer à cette sortie doit être munie de son équipement personnel (vélo, casque.) en bon état de fonctionnement.

Renseignements :

à l’espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau (03.26.36.03.50.)

ou auprès de Daniel Houssack, organisateur (03.26.87.27.76).

 

 

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Union070420cra- Locales - Reims

La musique arabe classique en conférence

 

Une guitare classique arabe.
Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur

Mercredi 25 avril à 18 h 30, Bouziane Daoudi, écrivain, journaliste, rédacteur en chef de la revue musicale World, invitera le public à voyager dans le temps et l’espace à la découverte de la musique arabe savante, dite classique.

Partant des fondations irakiennes, en passant par la musique arabo-andalouse, avec naturellement une escale en Égypte puis en Algérie avec les prémisses du Chaâbi, il évoquera au cours de sa conférence les plus grands noms qui ont marqué l’histoire de cette musique merveilleuse, sophistiquée et pourtant si peu diffusée.

Médiathèque Croix-Rouge

19, rue Jean-Louis Debar

Tél. 03.26.35.68.45.

Entrée libre.

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Union070418crf - Locales - Reims

Recherche entraîneurs

 

L’équipe des entraîneurs de l’école de football de l’Acrap est déjà bien étoffée, mais « pour nous aider à encore mieux encadrer nos dix équipes, nous recherchons des dirigeants sérieux qui voudraient bien s’investir dans notre club pour animer un groupe de jeunes ».

Par ailleurs, « nous risquons d’être obligés de refuser de nouvelles inscriptions car nous avons un gros problème lors des déplacements » regrette Laurent Julliard, président du club : « en effet, nous souffrons d’un manque de parents pour accompagner les équipes. Nous leur demandons de faire un effort pour nous aider à nous déplacer vers les différents stades. »

Pour tout renseignement, s’adresser à l’Acrap (11, rue du président-Kennedy) au 03.26.06.39.54. ou à Laurent Julliard, 06.75.00.61.15.

1 photographie est disponible avec cet article :

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Union070418crd - Locales - Reims

Vacances magiques à Croix-Rouge

 

Pour les vacances de printemps, trois des « espaces » de la Maison de quartier Croix-Rouge ont préparé un programme varié et riche d’activités sportives, de loisirs, multimédia, musique, danse et même un concert, tant pour les 12-15 ans que pour les plus de 15 ans, et couvrant l’ensemble du quartier.

La danse à la Nacelle

Stages danse africaine avec Philippe Ortega, entraînement Battle (Urban Junior Tour) pour danseurs engagés et accueil des groupes de danseurs.

La musique chez Ethnic’s

- Stages rap masterclass avec le rapeur OL’Kainry,

- stages rock masterclasse avec le batteur Paco Seri,

- scène ouverte rap et cours habituels.

Un concert avec E thnic’s

Ethnic’s présente, salle municipale Mauriac, samedi 28 avril à 20 heures, un concert avec Life Tree (reggae) et les Reskapés (ska). Entrée libre.

Le multimédia (la Nacelle et Ethnic’s)

- Stages Image (transformation d’image numérique),

- concours photo (prises de vues et tirages numériques),

- Cyberbase (accès Internet, Messenger)

Le sport avec la Nacelle

- Futsal au gymnase Joliot-Curie, remise en forme (réservée aux plus de 16 ans),

- quatre sorties VTT, raid sportif par équipes de 6,

- activités multisports sur tout Croix-Rouge :

  • Croix-du-Sud (Rodin et Cityparc),
  • Université (Eisenhower et Taittinger),
  • Pays-de-France (Savoyards, gymnase et terrain de basket).

L’accueil des jeunes (Ethnic’s, la Nacelle)

Au programme, ping-pong, baby-foot et Playstation, tous les soirs du lundi au vendredi, de 17 à 20 heures.

Les loisirs dans les trois Espaces

Des sorties (bowling, planétarium, accrobranche) et des activités sportives, multimédia, danse, musique, cuisine et poterie.

Citoyenneté, avec les PIJ

Les deux Points Information Jeunesse (Ethnic’s et Nacelle) proposent expositions, sites Internet et jeux interactifs sur les thèmes « engagement et citoyenneté ».

Toutes ces activités sont gratuites.

Renseignements, horaires, inscriptions auprès des secrétariats des trois espaces :

- Espace Ethnic’s, château d’eau, rue Jean-Louis Debar (Tél. 03.26.86.08.02.).

- Espace la Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (Tél. 03.26.49.47.07.).

- Espace Pays-de-France, 1 allée des Picards, appartement D (Tél. 03.26.86.10.71.)

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Union070418crc - Locales - Reims

Croix-Rouge : Les espoirs des locataires At’Home

 

Danielle Bonfils (au centre) représente les locataires des secteurs Simon et Gandon.

« Nous rencontrons régulièrement M. Lempereur, responsable d’agence de l’Effort rémois, pour lui faire part des remarques des locataires. Nous obtenons assez souvent satisfaction » rend compte Danielle Bonfils, présidente de l’association de locataires At’Home en présentant les projets pour 2007.

Le remplacement des portes d’appartements par des portes sécurisées sera fait à la demande des locataires, mais tranche par tranche sur plusieurs années : « nous voudrions que l’Effort rémois prenne en charge 50 % des frais alors qu’il nous propose seulement 20 % ».

L’association a demandé la pose de minuteries avec cellules à déclenchement automatique dans les locaux vide-ordures sur les paliers et également l’installation de caméras de surveillance dans les garages souterrains régulièrement visités et dont les véhicules sont souvent dégradés : réponse négative de l’Effort rémois, « car le quartier n’est pas en zone sensible ». Pourtant l’insécurité ne s’arrête pas aux frontières de la zone sensible de Croix-Rouge.

Ils vivent dans le noir

Pour la peinture des cages d’escalier, toujours en béton brut et souillées, le travail est en route, mais sur un seul étage alors que l’association souhaite que l’ensemble des escaliers et des murs soit fait.

Les locataires du rez-de-chaussée du 1, Simon sont ennuyés par des jeunes qui taguent leurs murs et envoient des projectiles dans leurs fenêtres (petit chemin, côté école). Ils vivent dans le noir, volets fermés ! Il est demandé à l’Effort rémois de prolonger la barrière située devant l’entrée de l’école jusqu’au bout de l’allée Simon.

Sur les conseils d’un élu, l’association consultera les cartes thermographiques réalisées récemment par hélicoptère, pour voir où en est l’isolation thermique des immeubles : « il y a peut-être des économies substantielles à réaliser ! ».

Renseignements : association des locataires du quartier At’Hom, Danièle Bonfils, présidente, 1 allée Yves-Gandon. Tél. 03.26.86.10.03.

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Union070418crb - Locales - Reims

Foot : 60 jeunes invités à Lille

 

Dans le cadre de l’opération « Découverte », le football-club Atlas, en partenariat avec le Lille Olympique Sporting Club (LOSC), a invité, samedi 14 avril, 60 jeunes de Croix-Rouge pour assister au match de Lille contre Sochaux au Stadium de Lille. Ce sont des jeunes d’Atlas, de l’Acrap-football-club et de l’espace la Nacelle (Sport de proximité) de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Tous ont pu apprécier de grands joueurs en action. En effet, le LOSC est allé chercher une belle victoire (2-0) face à Sochaux (2-0) au Stadium Lille Métropole lors de cette 32e journée de Ligue 1 Orange.

Que de beaux souvenirs pour ces jeunes footballeurs en herbe !

3 photographies de ce voyage sont disponibles :

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Union070418cra - Locales - Reims

Un championnat de futsal interquartiers en projet

 

Une partie des responsables à pied d’oeuvre.

« Il y avait une demande forte des jeunes » explique Jean-Noël Censier, directeur de la maison de quartier Clairmarais. Aussi, à l’initiative d’Abdelhak et Moktar, animateurs des maisons de quartier Châtillons et Clairmarais, est venue l’idée d’organiser un championnat futsal. « Pas une simple rencontre d’un jour mais une manifestation inter-quartiers qui durerait toute l’année » précisent les animateurs.

C’est ainsi que des rencontres entre animateurs des différents quartiers ont eu lieu pour s’assurer de la faisabilité de ce projet. Et une première expérience a été concluante sur le secteur Croix-Rouge pendant les vacances de février.

Aujourd’hui, une grande partie des maisons de quartier rémoises sont partantes :

- Cernay-Europe avec Saïd Rezgui,

- Châtillons avec Ali Aït Yahia et Abdelhak Tamass,

- Clairmarais avec son directeur et Moktar Benzaïdi,

- Croix-Rouge avec Tarek Maamoun, Epinettes avec Denis Biamou,

- Maison-Blanche/Wilson avec Mohamed Bouzouf,

- Orgeval avec Antoine Guillot et enfin

- Trois-Fontaines avec Jérôme Lebeaux ;

chacun ayant constitué une ou plusieurs équipes de jeunes de 11 à 15 ans.

Et ceux-ci d’expliquer que « le futsall est un moyen et non un but à atteindre » car l’objectif, pour eux, est le travail d’équipe des animateurs ; favoriser l’émergence de projets transversaux ; rassembler des jeunes issus de différents quartiers « pour lutter contre les logiques de quartiers », l’aide humanitaire, le partage et le respect.

La Ville de Reims encourage ce genre de projet qui fédère plusieurs professionnels de l’animation et beaucoup de jeunes de l’agglomération.

Le championnat devrait donc débuter en septembre si les gymnases sont mis en état pour cette pratique.

Avant cela, et afin d’expérimenter ce sport, le collectif organise un tournoi de futsal au gymnase Trois-Fontaines le vendredi 27 avril de 10 à 18 heures pour les jeunes de 11 à 15 ans.

Pour l’inscription à ce tournoi (avant vendredi 20 avril), il faudra apporter des denrées non périssables pour la Banque alimentaire

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Union070417cra - Locales - Reims

Logement : la CGL pour défendre les usagers

 

Ils sont au service des usagers pour l’habitat, le cadre de vie, l’environnement, l’urbanisme et la citoyenneté.
Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur

La Confédération Générale du Logement (CGL) a été crée à l’initiative de l’abbé Pierre en 1954. Elle a enfin sa section dans le département, à Reims.

PRÉSENTE dans toute la France, elle est gérée par département. Association de consommateurs à but non lucratif, indépendante de tout parti politique, de toute confession religieuse et de toute idéologie, la CGL, Confédération Générale du Logement, est reconnue par l’État et spécialisée dans le domaine du logement.

Avec 350 antennes locales dans toute la France, elle est forte de 20.000 adhérents.

Dans la Marne, il n’y avait pas d’union départementale, d’où l’idée d’en créer une à l’initiative de trois amicales de locataires de Reims : « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », « Amicale Naudin » et « Amicale Maryse-Bastié » qui regroupent près de 350 adhérents.

Tous les organismes logeurs

Cette union départementale CGL 51 a été officialisée au cours d’une assemblée générale constitutive, sous le nom « UD CGL 51 », avec pour objectif de « regrouper les consommateurs, groupes et associations d’usagers du logement et de l’habitat, mal logés, demandeurs de logements, et les représenter dans toutes les instances liées au logement et à l’habitat. »

Sous l’œil attentif de Michel Frechet, président national de la CGL, le conseil d’administration a été élu, avec 238 voix contre 6 abstentions :

- président, Marceau Nicolas (Croix-Rouge).

- Vice président, Jacques Lagel (Naudin).

- Secrétaire, Roselyne Marandon (Croix-Rouge).

- Trésorier, François Toullec (Naudin).

- Administrateurs, Annie Boulanger (Naudin), Saïd Bouyafran (Croix-Rouge) et Salah Byar (Croix-Rouge).

« Tous les organismes logeurs sont concernés (exemple : le Foyer rémois pour Croix-Rouge Pays-de-France, l’Effort rémois pour l’amicale Naudin) et notre secteur de recrutement est illimité » explique le nouveau président Marceau Nicolas.

« Les associations et les groupements de locataires peuvent venir de tout Reims et même de toute la Marne : toutes les associations qui voudront nous rejoindre seront les bienvenues, trois ont déjà pris contact avec nous.

Nous allons montrer aux bailleurs que les défenses de locataires se structurent de mieux en mieux ! », ajoute-t-il.

En attendant un local, le siège social est fixé provisoirement au 1, rue Joliot-Curie à Croix Rouge. Tél. 03.26.83.99.90. ou 06.19.72.59.14.

4 photographies de cette assemblée sont disponibles :

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Union070415cra - Locales - Reims

Un atelier Scratch à l’espace Ethnic’s

 

Abdelali Errafii, animateur de l’espace Ethnic’s, présente DJ Salim aux commandes de ses platines.
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L’atelier Scratch de l’espace Ethnic’s est animé par DJ Salim, un musicien prometteur qui a réussi le tour de force de scratcher au Conservatoire de région de Reims en concert avec des musiciens classiques.

Grâce à un projet monté par le réseau Pôle sud musique, il a accueilli récemment un grand nom du scratch en la personne de DJ Troubl. Le double champion du monde a animé avec lui un stage à l’espace Ethnic’s et l’a vivement encouragé.

La section Scratch fonctionne :

- mardi, jeudi et vendredi, de 16 à 20 heures,

- mercredi et samedi, de 14 à 20 heures.

Renseignements : Espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge, au château d’eau. Tél. 03.26.86.08.02.

 

 

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Union070414cra - Locales - Reims

Marche

 

Samedi 12 mai, activité nature sur le thème de « l’eau » à l’espace Billard, à 14 h 30, suivie dimanche 13 mai à 9 heures d’une sortie pédestre « au fil de l’eau ».

Possibilité de covoiturage si inscription préalable.

Renseignements, inscriptions auprès de Sylvie Brin, à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).

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Union070413crc - Locales - Reims

Feu d’appartement place Rodin

 

Un appartement situé au troisième étage d’un immeuble de la place Auguste Rodin a été complètement noirci, hier en début de soirée par un feu dont l’origine semble être un four resté à trop chauffer.

Aucun blessé à déplorer si ce n’est une personne très légèrement incommodée par les fumées.

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Union070413cra - Locales - Reims

Du basket contre le sida

 

Cette équipe a été élue « la plus fair-play » du tournoi.
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Dans le cadre des animations du Collectif Reims-Sidaction 2007 (sensibilisation et prévention du SIDA), un tournoi de basket-ball inter-quartiers était organisé le mardi 10 avril à Croix-Rouge, au gymnase Léo-Borgniet à l’initiative de l’association Rencontres interculturelles de Reims (Rire) animée par Joseph Cakpo.

Le public des quartiers s’est déplacé en nombre à ce rendez-vous sportif suivi d’animations musicales assurées par le groupe hip-hop Black-Industrie et le DJ Eazy de Charleville.

Les participants se sont associés aux gestes de solidarité par une collecte de fonds destinée à la recherche et aux malades.

Se sont impliqués à l’organisation et l’encadrement du tournoi :

- Ali Boukhedoumi et Valéry Bourgeois à l’arbitrage,

- Stéphanie Tadla pour les Francas et l’association Mjc Croix-Rouge,

- Tarek Maamoun pour le dispositif Sport de proximité et

- deux correspondants de quartier de la ville de Reims.

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Union070412a - Locales - Reims

Locataires du secteur At’Home : des sanitaires vieux de 32 ans !

 

« Nous allons continuer la demande de changement de fond des sols usés et de tous les sanitaires ainsi que des robinetteries qui sont d’origine » annonce Danièle Bonfils, présidente de l’association de locataires du secteur At’Home :

« Pour l’Effort rémois, seules des réparations au coup par coup seront effectuées, en fonction de l’état des appareils. Pourtant, de nombreux locataires entretiennent leur logement de façon remarquable et y apportent des améliorations sans que cela coûte à l’organisme logeur. Il nous semble anormal qu’ils aient à payer pour le remplacement d’une cuvette de WC ou d’une baignoire vieilles de trente-deux ans ! Chez les uns, l’Effort rémois change gratuitement, chez d’autres il fait payer, c’est un peu à la tête du client ! »

Au sujet des travaux d’entretien non réalisés, un habitant, M. Philippe, a signalé :

« L’existence d’un accord collectif entre les organismes logeurs et les associations de locataires représentatives, signé le 19 décembre 2003 et valable sur tout le département de la Marne, sur la procédure d’état des lieux. » Selon l’article 7, tous les locataires peuvent le recevoir (à la remise des clés ou sur demande).

Il encourage donc tous les locataires des trois organismes logeurs de Croix-Rouge à le réclamer à leur agence.

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Union070411b - Locales - Reims

Un tournoi de futsal pour mettre le racisme hors-jeu

 

Des finalistes radieux ; Enthousiasme et conviction contre le racisme
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La 2e édition du tournoi « Mettre le racisme hors-jeu », organisée par l’association Atlas en partenariat avec la Licra, le Stade de Reims et le Foyer rémois, s’est déroulée le samedi 31 mars au gymnase du Creps de Reims.

Dix équipes de Paris et de différents quartiers de Reims se sont rencontrées dans une ambiance très amicale de 8 à 18 heures, avec une pause repas le midi, réunissant joueurs et organisateurs au restaurant du Creps : football-club Atlas, quartier Croix-Rouge (QCR), Espoir jeunesse Pays-de-France, Croix-du-Sud, les Gossbo, Étudiants Marocains de Reims (EMR), Licra Paris, Association sportive Champigny, Union sportive Clairmarais et Football club Acrap vétérans.

Les finalistes furent l’équipe QCR et l’équipe Espoir jeunes Pays-de-France et, en définitive, c’est l’équipe QCR qui a remporté la finale.

On a remarqué la présence de trois joueurs, du responsable sécurité-organisation et du préparateur physique du Stade de Reims, du président de la commission futsal et de quatre arbitres du district Marne de football et de deux membres de la commission futsal du District.

Pour l’organisation, l’encadrement et les récompenses : le Foyer rémois, le conseil régional, le conseil général, les correspondants de quartiers de la ville de Reims et la Licra, rejoints par l’adjointe aux Sports Monique Nassau.

Les joueurs du Stade de Reims ont signé des posters et dédicacé des ballons de futsal et des ballons de la coupe de la ligue, remis aux clubs.

Le Foyer rémois a remis un équipement complet pour les seniors du football-club Acrap.

Deux photographies de cette manifestation sont disponibles :

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Union070411a - Locales - Reims

Un football de haute tenue

 

Jamel Chafik, responsable de l’équipe seniors 1re série Marne.
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L’équipe bannière de l’Association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap football-club) a réussi sa remontée dans plusieurs domaines : en matière comportementale, dans le domaine de la lutte contre le racisme et la ségrégation, et avec l’acquisition d’un bon esprit de jeu grâce à une équipe d’éducateurs sportifs originaires à 80 % du quartier Croix-Rouge. Ils sont très impliqués, surtout depuis l’application d’un plan draconien mis en place par le responsable, Jamel Chafik, avec la Fédération.

« Toutes nos sections ont décidé, en hommage au défunt président Jean-Jacques Lapique, d’être intransigeantes face au plus petit acte de hooliganisme, envers le moindre acte de violence et envers tout propos raciste, antisémite ou xénophobe », confirme Jamel Chafif : « Les jeunes accueillis dans nos locaux et sur nos terrains doivent se développer en citoyens engagés. C’est aujourd’hui qu’ils forment les adultes qu’ils seront demain ! »

Concrètement, qu’il s’agisse des jeunes encadrés par Laurent Julliard ou des seniors de Jamel Chafik, un « protocole » a été mis en place, une expérience conduite sur l’ensemble des matchs officiels pour faire évoluer les comportements sur et en dehors des terrains :

- « Avant chaque rencontre, le capitaine de chaque équipe est invité à lire la charte en présence des équipes, de l’arbitre et des éducateurs.

- Après lecture, les joueurs des deux équipes et l’arbitre se serrent la main, en ligne comme les pros. »

- Pendant le déroulement du match, les engagements de la charte sont appliqués et,

- à la fin du match : « Capitaines et arbitre signent la feuille de protocole et attestent de la bonne exécution du protocole. »

Présenté en assemblée générale, ce plan pour un football de haute qualité a été chaudement encouragé par l’assistance, par Monique Nassau, adjointe aux Sports, et par Bernard Lavergne, directeur de l’Office des sports.

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Union070410a- Locales - Reims

En avril à la médiathèque Croix-Rouge

 

La Ronde des albums

Mercredi 11 avril à 11 heures, une poule sur un mur qui picote du pain dur, picoti picota : « viens nous voir ! » pour enfants de 4 à 8 ans. Inscriptions en secteur jeunesse.

L’heure des bébés

Jeudi 12 avril à 10 heures, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. Renseignements et inscriptions en secteur Jeunesse.

Bouq’1 Club de lecture ado

Mardis 17 et 24 avril de 16 heures à 17 h 30 « venez échanger, discuter de vos lectures (magazine, manga, polar, roman.) et de celles que nous vous proposons de découvrir. »

L’air du conte

Mercredi 18 avril, à 15 heures, lecture à haute voix d’histoires de vies : « Matin brun » de Franck Pavloff, « « a va déménager » de Guillaume Guéraud, « Premiers jours en France » de Farid Haroud (extraits de témoignages relatant l’exil et le premier jour en France). Pour adultes et enfants à partir de 8 ans, sur inscription.

Atelier multimédia : jeux de mots

Jeudis 19 et 26 avril, samedis 21 et 28 avril, de 14 h 30 à 16 h 30 : mots-valises, cadavres exquis, devinettes, jeux d’écriture et inventions grâce à des cédéroms ludiques et réalisation d’un livre original, pour enfants de 6 à 13 ans. Inscription obligatoire (4 séances identiques), nombre limité à 8 enfants.

Projection de diapositives

Mercredi 25 avril à 16 h 30, « Ta-tan-ka », un texte de Claude Martin : Depuis plusieurs lunes, le printemps n’arrive pas. Dans la tribu de Ta - tan - ka, chacun commence à souffrir de la faim.

Pour enfants de 3 à 6 ans, inscriptions en secteur jeunesse.

Toutes activités gratuites.

Médiathèque Croix-Rouge

19 rue Jean-Louis-Debar

Tél. 03.26.35.68.45.

Deux illustrations de ces activités sont disponibles :

(1) (2)

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Union070409c - Locales - Reims

Plus moyen de dealer tranquille

 

C’est ce qui s’appelle être au mauvais endroit au mauvais moment.

Mercredi soir, la police qui patrouille avenue Bonaparte repère une bande de jeunes un brin louche. A leur vue, deux d’entre eux s’enfuient. Les policiers partent à leur poursuite.

Ils en perdent un de vue, l’autre se réfugie dans un hall d’immeuble. Les agents déboulent dans le hall et tombent sur deux autres jeunes de 19 ans.

L’un panique et fait tomber un sac plastique rempli de cannabis, l’autre s’enfuit en semant dans sa course des barrettes de résine de cannabis.

Les deux ont comparu, vendredi, devant le tribunal correctionnel.

Selon leurs versions : la résine a été balancée par le fuyard qui a tout lâché dans le hall avant de s’enfuir par les caves. Eux n’ont fait que ramasser la marchandise et l’avaient en main quand la police est arrivée. Vraiment pas de chance.

Sauf que, souligne la présidente : « L’un de vous avait déjà dealé du cannabis et était connu pour avoir « dépanné », à une époque, régulièrement les copains. » « J’avais besoin d’argent pour payer une amende. »

« Solution peu intelligente puisque vous risquez 10 ans de prison pour trafic alors qu’on n’incarcère pas pour une amende. »

Le procureur n’a pas voulu croire à l’histoire des jeunes : « D’autant moins que leurs versions ne sont même pas similaires. S’ils étaient innocents, pourquoi ne raconteraient-ils pas la même chose ? »

Les deux avocats ont joué sur la confusion avec les fuyards et le doute qui pouvait s’imposer et surtout ont tout fait pour éviter à leurs clients bientôt bacheliers une peine de prison ferme.

Ils y ont réussi. Six mois avec sursis pour celui qui avait déjà detalé et quatre mois avec sursis pour son compère.

C.F.

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Union070409b - Locales - Reims

Les résidants du 60 Eisenhower invités à se prononcer

 

La tour 60 sur l’esplanade Eisenhower va être l’objet de grands travaux.

Reims Habitat confirme aux locataires de la tour du 60, esplanade Eisenhower, le prochain lancement de travaux d’amélioration de l’enveloppe d’immeuble, un dispositif mis en œuvre dans le cadre du plan d’amélioration du quartier, après les efforts de sécurisation des accès.

« Ces travaux concerneront la reprise totale de l’étanchéité des terrasses avec contrôle et régularisation du positionnement des antennes qui y sont installées, l’isolation par l’extérieur des façades avec, pour le soubassement de l’immeuble, un choix entre deux couleurs ouvert aux locataires (l’importance du bâtiment a conduit à un travail de présélection particulièrement rigoureux en conformité avec les obligations architecturales du site) et le remplacement de certaines portes-fenêtres qui présenteraient un manque de rigidité, du 10e au 17e étages » explique-t-on à Reims- Habitat.

Jusqu’au 13 avril

« Nous avons choisi un matériau particulièrement favorable au rendement thermique nous permettant en outre de traiter l’ensemble des balcons en harmonie totale avec les façades » précise le directeur général, Patrick Baudet, qui invite les locataires à exprimer leur choix en utilisant un bulletin qu’ils déposeront à leur point accueil de quartier, 46 esplanade Eisenhower, jusqu’au 13 avril.

Une planche de présentation des produits concernés y est exposée : les locataires ont le choix entre un soubassement gris anthracite ou un soubassement teinte brique.

Les résultats de la consultation seront disponibles au point accueil et aussitôt après la collecte des opinions, les travaux seront lancés.

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Union070409a - Locales - Reims

Les locataires At’Home en colère

 

Une assistance attentive.
Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres.

L’association des locataires At’Home (secteurs Simon et Gandon de l’Effort rémois) a tenu son assemblée à l’espace Watteau il y a quelques jours.

Une baisse générale des charges 2006 a été réellement constatée à la satisfaction générale et, par ailleurs l’association a obtenu que les locataires soient remboursés en avril du trop payé en matière d’eau, facturée 3,26 euros au lieu de 3,16 euros.

Toutefois la présidente Danielle Bonfils regrette : « Nous n’avons pas pu exercer correctement un contrôle des charges locatives, n’ayant pas à notre disposition les contrats et les factures des entreprises.

Pourtant la loi oblige le bailleur à fournir ces factures pour examen. »

De nombreuses plaintes

Après une nouvelle demande, « On nous a fourni des photocopies souvent illisibles, donc inexploitables, de quelques factures et de nombreuses incohérences ont été relevées. Ces documents sont d’une telle complexité que nous avons beaucoup de mal à les comprendre. »

L’association a également transmis à l’Effort rémois de nombreuses plaintes de locataires.

- Chauffage : « Ou bien trop peu de chauffage, ou bien au contraire des surchauffes à plus de 25 degrés avec des tuyaux et des radiateurs bouillants. »

- Relations : Si Stéphane Lempereur, responsable à Croix-Rouge de l’Effort rémois, reconnaît l’utilité de l’association et l’encourage, il n’en est pas de même à l’agence locale : « On ne peut pratiquement jamais les joindre et lorsque par hasard on parvient à les contacter, nous ne sommes pas toujours bien accueillis ! »

- Portes : On note le remplacement (tardif) d’une partie de la porte palière du rez-de-chaussée du 1 Gandon, volée, les boutons d’ascenseurs tagués et simplement repeints alors que l’association demande le changement des plaques. Relevé aussi le nettoyage des ventilations mécaniques, mais « les locataires se plaignent de manque de soin et de négligences ».

Le remplacement des portes d’entrée des 1, 3 et 5 Simon, puis des 1 et 3 Gandon a été obtenu. Même résultat pour la réfection des porches des cinq halls d’entrée et des dallages dégradés à la suite des orages de l’été dernier. La réalisation de trottoirs le long du centre commercial de l’allée Yves-Gandon est en voie d’achèvement.

L’association a fait de nombreuses interventions pour minuteries, boîtes aux lettres, sonnettes, interphones, tags, grooms de portes : « En général, les réparations sont faites » admet la présidente.

- Caves : Si une proposition de construction de nouvelles caves en dur et sécurisées moyennant finances vient d’être adressée aux locataires, l’association se plaint : « Bien qu’elles ne soient plus à la charge des locataires, les caves n’ont toujours pas été démolies et sont envahies d’objets hétéroclites, notre sécurité n’est pas assurée, notamment à cause du risque d’incendie. »

- Tri sélectif : Les locaux vide-ordures et le tri posent de gros problèmes par la négligence de certains qui ne prennent pas la peine de trier leurs ordures et déposent pêle-mêle meubles, cartons, planches, bouteilles de verre alors qu’un conteneur se trouve près de la sortie du parking et une déchetterie à quelques dizaines de mètres du quartier.

Association des locataires du quartier At’Home, Danièle Bonfils, présidente, 1 allée Yves-Gandon. Tél. 03.26.86.10.03.

- D’autres photographies de cette assemblée sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070407a - Locales - Reims

CROIX-ROUGE : Les dernières nouvelles du quartier

 

Une sortie pédestre à la recherche de fossiles » est organisée demain.

Prélèvement

« De plus en plus, nous découvrons que l’Effort rémois oblige les nouveaux locataires qui prennent possession d’un appartement, à signer une autorisation de prélèvement automatique pour le règlement de leur loyer » révèle Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de défense des locataires des Polygones.

« Or, il est interdit d’imposer un mode de règlement. Tout locataire a le droit de régler son loyer par chèque, ce que nous lui conseillons vivement car cela lui permet de consulter attentivement sa facture de loyer et de déceler éventuellement toute erreur. »

Troisième âge

En conseil de quartier, Christiane Monflier, présidente de l’association de promotion de Pays-de-France, s’est adressée au représentant du Foyer rémois :

« Quand penserez-vous enfin à nous accorder un local pour nos adhérents ? Depuis deux ans et demi que nous attendons, vous nous menez en bateau. 30 enfants de notre centre de loisirs et 21 personnes âgées attendent votre décision ! »

Crêpes de la solidarité

Après le succès de la journée « Crêpes de la solidarité » organisée par l’association Multi-Échanges services (MutES), le conseil d’administration souhaite réunir les associations, les structures et les bénévoles qui ont concouru à son organisation et à sa réussite.

Rendez-vous est donné par la présidente Martine Massart, mardi 10 avril à 16 heures à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

Sur l’agenda

- Activité et randonnée nature : Avec l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.28.28.78.), ce samedi 7 avril, activité nature « la création de la terre » à l’espace Billard, à 14 h 30, suivie dimanche 8 avril à 9 heures d’une sortie pédestre « à la recherche de fossiles » (départ à 9 heures).

- Le tennis à la danse : Le Tennis-club Géo-André organise une soirée dansante avec buffet froid ce samedi 7 avril à partir de 20 heures, dans la salle des fêtes de Chamery.

Inscriptions auprès de Jean-Louis Batteux (Tél. 03.26.49.25.06.).

- Expositions « gravure » : Le vernissage des expositions gravure des bibliothèques de Reims aura lieu

  • vendredi 13 avril. 18 heures : médiathèque Jean-Falala.
  • 19 heures : médiathèque Croix-Rouge.
  • 20 heures : médiathèque Carnegie.

Vin d’honneur vers 20 h 30. Des bus seront à disposition des invités pour les accompagner depuis la médiathèque Jean-Falala à partir de 18 h 30 jusqu’à la médiathèque Croix-Rouge, puis à 19 h 30 en direction de Carnegie.

- Danse sur glace : Pour les championnats de France des 21 et 22 avril à Brest, Ludivine Lemaire, entraîneur au Reims Acrap patinage présente ses quatre finalistes avec l’espoir de décrocher un maximum de podiums : Camille Renault (pré bronze B), Solène Manceaux (bronze B), Nina Toukouk et Renan Manceaux (couple préparatoire).

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Union070406crb - Locales - Reims

Le Rap à Saint-Gervais
Nina Toukouk et Renan Manceaux avec leur coach.
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Après seulement une saison en compétitions nationales, le jeune couple Nina Toukouk et Renan Manceaux, du club du Reims Acrap patinage (Rap), était sélectionné pour la finale des championnats de France de danse sur glace à Saint-Gervais (Haute-Savoie) les 30, 31 mars et 1er avril.

Ces petits danseurs se sont hissés à une belle 4e place, au grand plaisir de leur entraîneur Ludivine Lemaire, qui va maintenant préparer les quatre jeunes patineuses du Rap sélectionnées pour les championnats solo à Brest les 20, 21 et 22 avril.

 

 

 

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Union070406cra - Locales - Reims

La peur du feu à Croix-Rouge

 

Il y a trop d’incendies dans les appartements au 9, Fragonard à tel point que les locataires se demandent si l’immeuble est aux normes. Ils ont peur et espèrent en partir. L’Effort Rémois assure que ses installations électriques sont irréprochables.

Ils veulent tous quitter la tour infernale

 

Le 9 Fragonard à Croix-Rouge prend feu régulièrement. Parfois au 3e étage, parfois au 7e. Les locataires se demandent quand ce sera leur tour. Ils rêvent de déménager.

Le septième étage a brûlé lundi 19 mars dernier. Christian LANTENOIS
Un incendie de trop qui inquiète

Au secours ! C’est le cri d’une mamy dont les petits-enfants et enfants habitent au 9 Fragonard à Croix-Rouge. L’immeuble qui prend feu.

« Ma belle-fille vit constamment dans la crainte et l’une de mes petites-filles est perturbée. Cela s’en ressent même au niveau scolaire. Et moi j’ai peur pour eux. » Un incendie s’est encore déclaré au 7e étage il y a deux semaines. « Il y en avait déjà eu un en janvier 2006, ça n’arrête pas. »

La famille de cette mamy n’est pas la seule à vivre dans la crainte. Allison et Igor aussi ont peur : « J’attends un deuxième bébé. Déjà à cause du dernier incendie, le col s’est ouvert. Comment je ferai pour descendre en urgence avec le petit si mon mari n’est pas là ? » Le couple espère déménager au plus vite. Car ils sont certains que cela recommencera : « J’ai l’impression que les installations électriques ne sont pas aux normes. L’autre jour, j’avais branché plusieurs appareils en même temps et quand j’ai débranché mon sèche-linge, j’ai pris une décharge. »

« Ascenseur horrible »

 

« On se demande si les installations électriques sont aux normes », soulèvent Igor et Allisson avec leur petit Iron.

Un autre locataire, deux étages au-dessus, est persuadé que les installations électriques laissent à désirer : « Nous n’avons que deux prises de terre pour tout l’appartement, je pensais qu’il devait y en avoir à chaque branchement. » Et l’homme d’ouvrir un placard dans le couloir rempli de fils qui s’entremêlent : « Il y a des fils d’antenne mais il y a aussi de l’électricité puisque les compteurs sont là. »

La famille de Mamadou n’est pas plus rassurée : « Je crois que tout le monde est concerné dans l’immeuble. On déménagerait bien mais nous sommes ici depuis 1978, on connaît les voisins. On sait ce qu’on quitte… » La maman d’Ibrahim partira sans regret : « Les incendies la terrorisent car ils lui rappellent les guerres de Tchétchénie », explique l’adolescent. Son grand frère étudiant espère bien les sortir rapidement de ce logement où sa maman n’a pas pu trouver la sérénité dont elle avait tant besoin.

Au 5e, Priscilia vient d’emménager et rêve déjà de mettre les voiles : « J’ai un bébé. J’ai peur du feu et l’ascenseur est horrible. Quand on est dedans depuis le haut, il tremble tellement qu’on a l’impression qu’il va se décrocher. » Priscilia fait partie de ceux qui se demandent si l’immeuble de l’Effort rémois est aux normes : « On se pose tous un peu la question. C’est pourquoi tout le monde a peur. »

Catherine Frey

« Nos installations électriques sont aux normes »

« Toutes nos installations électriques sont aux normes. Les deux sinistres sont d’origines locatives accidentelles et donc sans rapport avec les installations électriques de Plurihabitat L’Effort rémois ».

Les communs où sont disposés les compteurs électriques n’inspirent pas confiance. Christian LANTENOIS

Selon la porte-parole du bailleur : « Pour le sinistre de janvier 2006, la cause était un court-circuit du sèche-linge. L’incendie du 19 mars venait très probablement de la cuisine. »

Si le feu prend souvent, ce serait un peu la faute des locataires : « Malheureusement, nous constatons régulièrement une mauvaise utilisation des équipements électriques, ou même des branchements dangereux faits par nos locataires. » Pourtant : « Nos clients reçoivent régulièrement des informations sur la sécurité dans les logements ainsi que sur la bonne utilisation des appareils électriques. »

Pour ce qui est de l’ascenseur : « Effectivement un bruit de frottement, lors du fonctionnement de la cabine, a été constaté : des travaux ont été engagés pour atténuer le bruit. La société d’ascenseur s’est rendue sur place la semaine dernière pour vérifier son bon fonctionnement. Il n’a été constaté aucun risque pour les utilisateurs. » Bonne nouvelle pour les locataires qui ne seraient pas rassurés pour autant : « D’importants travaux de réhabilitation de l’ascenseur sont prévus courant de l’année 2007. » Le changement des normes l’impose.

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Union070405crb - Départementales - Marne

Reims : Son père lui « prend la tête » : sept voitures incendiées d’un coup !

 

Les policiers n’auront mis que quelques heures pour identifier l’auteur de l’incendie qui a détruit sept véhicules sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims, samedi vers 1 h 30 du matin (l’union de dimanche).

Il s’agit du propre fils du propriétaire de la voiture initialement mise à feu. « Mon père me prenait la tête ! » a expliqué Jean-François Masson aux enquêteurs.

Le garçon âgé de 20 ans a donc incendié sa Peugeot 405 mais ne se doutait pas que les flammes allaient se propager à six autres voitures.

Entre le père et le fils, le torchon brûle - c’est le cas de le dire - depuis plusieurs années. Vendredi soir, le jeune homme se rend chez un couple d’amis pour fêter l’anniversaire de leur fils de 14 ans.

L’alcool coule à flots. Jean-François avale une trentaine de bières, fume des joints. Ce cocktail détonnant attise sa rancœur envers le paternel. Il décide d’incendier la 405 pour se venger.

Un coup de main, SVP

Le couple d’amis ne l’en dissuade pas, bien au contraire. Jean-François veut un coup de main ? Il l’aura !

La femme lui prête un tournevis pour fracturer la voiture, l’homme lui fournit des vêtements sombres afin d’être moins visible. Il lui passe également un briquet et le badge magnétique de l’immeuble pour faciliter sa fuite.

La voiture est garée sur le parking de l’avenue Bonaparte. Jean-François Masson casse une vitre, enflamme la banquette puis s’enfuit. Les flammes atteignent six mètres de haut.

A l’abri, l’incendiaire observe le spectacle. « J’admirais ce que je venais de faire. »

La 405 brûle, puis une Clio, une Laguna, une Passat, une Astra, une 309, une Mégane. Les quatre premières flambent complètement, les trois autres partiellement grâce à l’intervention des pompiers.

Pour le propriétaire de la 405, aucun doute : c’est un coup de son fils. Il se présente l’après-midi même au commissariat pour faire part de ses soupçons.

Bière et vodka

Le suspect est arrêté. Il passe aux aveux. Cerise sur le gâteau : il reconnaît le vol puis l’incendie d’une Ford Fiesta l’été dernier dans le quartier.

Au terme des auditions, Jean-François Masson a été présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims en compagnie du couple jugé pour complicité.

Le jeune homme a été condamné à dix mois de prison dont quatre ferme avec placement en détention.

Les six mois avec sursis sont assortis d’une mise à l’épreuve comprenant l’obligation de travailler, de suivre des soins, de ne plus fréquenter les débits de boissons.

Il devra payer 1000 € de dommages-intérêts, solidairement avec le couple sanctionné par une peine de quatre mois d’emprisonnement intégralement assortis d’un sursis mise à l’épreuve.

Tous les deux avaient également bien arrosé l’anniversaire de leur fiston de 14 ans, notamment Madame : une dizaine de bières et plusieurs verres de vodka.

F.C.

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Les voitures empruntent la voie réservée aux pompiers sans se soucier des enfants qui fréquentent l’école. Une pétition circule pour faire réagir le Foyer rémois.

Les voitures circulent sur la voie des secours sans se gêner. Benjamin Segura

Toutes les mamans se sont unies. Elles ont monté un collectif pour obtenir que la voie pompiers qui longe l’école des Provençaux à Croix-Rouge soit fermée à la circulation.

Avant que l’un de leur petit finisse sous les roues d’un chauffard.

« Il n’y a pas moyen d’obtenir une chaîne pour barrer l’accès. Malgré plusieurs réclamations auprès du Foyer rémois et de la police ». Elles ont été plus d’une cinquantaine à signer une pétition.

A quoi il faut ajouter une vingtaine d’enseignants des Provençaux qui ont voulu apporter leur soutien « car la sécurité des enfants est en jeu ».

Raccourci interdit

La voie pompiers permet de relier deux parties du quartier sans en faire le tour. Un panneau indique qu’il s’agit d’une voie pompiers. Des restes d’une chaîne montrent qu’à une époque, elle a été close. L’état du poteau qui supporte le moignon de chaîne prouve qu’on ne s’est pas soucié du problème depuis longtemps.

Il suffit de rester plus de dix minutes dans les parages pour voir les voitures emprunter la rue réservée aux secours sans vergogne. Une dame qui pourrait être jeune mamie traverse à un bon rythme comme en terrain conquis. Dans son sillage, c’est un monospace qui file le plus vite possible comme pour y rester le moins longtemps possible. Un autre véhicule approche, elle passe outre l’interdiction mais circule au pas.

Même la Poste emprunte la voie de secours
Enfin, il faut le voir pour le croire, une camionnette de la Poste s’y enfile pour raccourcir sa tournée. Et pas à petite vitesse.

« C’est toute la journée et quand c’est l’heure de la sortie de l’école, je tremble pour les trois miens qui sont à l’école », raconte un papa. « Je les guette depuis le balcon pour vérifier que tout va bien ».

Claudette, grand-mère d’une petite de 5 ans n’est pas rassurée non plus : « Non seulement les voitures passent mais en plus, elles ne font pas attention ».

Christian et Géraldine qui empruntent le chemin à pied quotidiennement confirment : « Souvent, nous sommes obligés de nous écarter pour les laisser passer parce qu’elles ne s’arrêtent pas. Je ne comprends pas qu’on ne fasse pas quelque chose avant qu’il y ait un blessé ».

Une petite troupe de retraitées du quartier suggère de placer « des bornes qui se lèvent et qui s’abaissent au lieu d’une chaîne ». Pour un autre, tout serait inutile : « Ce sont les scooters qui roulent le plus vite et si on bloque la voie ils passeront à côté mais ils passeront quand même ». Au moins il n’y aurait plus que des deux-roues.

« Pourquoi n’y a-t-il personne pour verbaliser ? Pourquoi une telle impunité ? », s’indigne Michel, retraité d’un magasin de hifi-électroménager. « Si ceux qui passent se prenaient une bonne amende de temps en temps, ce serait bien plus efficace qu’une chaîne ».

Catherine Frey

Le Foyer rémois en mal de solution

Le Foyer rémois va faire quelque chose mais ne sait pas encore quoi.

« Nous sommes à la recherche de la meilleure solution pour que les voitures cessent de circuler sur cette voie. Nous nous sommes penchés sur ce problème avant même que la pétition circule », assure la porte-parole du bailleur. « Il nous faut trouver un système qui empêche à la fois les véhicules de passer et qui permet aux pompiers d’accéder facilement ».

Des bornes qui se soulèvent et s’abaissent ? Des chicanes amovibles ? Une barrière ? « Je ne peux pas répondre car nous ne le savons pas encore. Seule certitude, remettre une chaîne ne servira à rien puisque les gens ne la respectent pas ».

Quand comptez-vous sécuriser le quartier ? « Je ne peux pas donner de date. Le plus vite possible ».

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Gaz enflammé

 

Hier vers 13 h 30, une fuite de gaz enflammée s’est déclarée au deuxième étage d’un immeuble de la place Auguste-Rodin, au n°2, à la suite d’une rupture de canalisation.

Les secours ont coupé l’alimentation en gaz pour stopper la fuite.

Il n’a pas été nécessaire de reloger les locataires.

L’incident n’a pas eu d’impact

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Un loto familial demain à Pays-de-France

 

La maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France, organise, dans le cadre de la semaine Part’âges des maisons de quartier, un loto intergénérationnel dans la salle polyvalente du collège Joliot-Curie, 2 rue Joliot-Curie, de 16 h 45 à 19 heures, demain mercredi 4 avril.

Au programme : des contes présentés par les élèves du lycée Joliot-Curie et une représentation théâtrale par la compagnie « Au fil des mots ».

Pour tout renseignement : Elham Kouch, animatrice familles, Maison de quartier Croix-Rouge, 1 allée des Picards (Tél. 03.26.86.10.71.).

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Une semaine de Part’âges

 

Dans le cadre de la semaine Part’âges des maisons de quartier (animations valorisant la rencontre des publics d’âges différents dans ces structures), l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge a mis en place une programmation jusqu’au samedi 7 avril.

- Mardi 3 avril, à 17 heures, partie de Scrabble en duplicate par équipes.

Le Scrabble duplicate se joue, pour chaque coup, avec un même tirage de lettres pour l’ensemble des joueurs, le meilleur coup est retenu, chacun marque son propre score.

Temps limité fixé en début de partie.

Les équipes seront composées en associant des joueurs de différentes générations.

Inscriptions préalables au secrétariat (gratuit).

- Mercredi 4 avril, de 15 à 17 heures, avec les enfants du centre de loisirs et leur équipe, jeunes et adultes sont invités à participer à divers jeux collectifs de plein air au parc Murigny. Amusement assuré : inscrivez-vous ! (gratuit).

- Jeudi 5 avril, atelier cuisine :

de 9 à 11 heures, les enfants du multi-accueil et les adultes des ateliers à dominante linguistique se retrouvent autour de réalisations culinaires.

Rencontre de générations et de cultures.

Pas d’inscription à cet atelier.

- Samedi 7 avril, Mamie Mémoire à 15 heures, à la Comédie de Reims dans le cadre de Mélimôme.

Spectacle tous publics.

Réservation obligatoire auprès du secrétariat.

Renseignements : Laurence Geoffroy. Prix des places : 4 euros.

Maison de quartier Croix-Rouge Espace Watteau - 3, allée Antoine-Watteau - Tél. 03.26.36.03.50.

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Vingt Rémois méritants à l’honneur

 

Les Rémois réunis samedi en mairie.
Gérard Péron

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Ils ont œuvré pour la renommée de Reims dans les domaines universitaire, social, culturel ou encore sportif, associatif et économique. Vingt Rémois ont reçu, samedi, la médaille « Cathédrale » de la Ville de Reims.

 

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Christiane Monflier

Présidente de l’association Promotion de Pays de France depuis 2002, elle habite le quartier Croix-Rouge depuis trente-cinq ans. Membre du conseil de quartier, elle est aussi administratrice de l’association multi échange service (Mutes).

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Éloge lu par le maire de Reims à l’occasion de la remise de la Médaille « Cathédrale » de la ville de Reims à madame Christiane Monflier « en reconnaissance de l’action qu’elle mène avec compétence et dévouement dans des domaines divers et de son concours à la renommée de la cité » :

« Habitant le quartier Croix-Rouge depuis 35 ans, elle a toujours su montrer envers les habitants du quartier sa bonne humeur, sa disponibilité et son vif intérêt pour tout ce qui touche à la vie du quartier.

D’abord adhérente dès 1998, elle accepte la présidence de l’Association de promotion de Pays-de-France en 2002. L’association était en crise, elle l’a redressée avec efficacité et diplomatie.

« Depuis, elle s’affaire au développement de nombreuses activités en faveur des enfants, des familles et des personnes âgées. Ces différentes activités proposées rencontrent un grand succès auprès de tous les habitants.

Elle est devenue récemment administratrice de l’Association Multi-Échanges Services (MUTES). Elle participe également au Conseil de quartier. »

Union070405cra - Locales - Reims

Christiane Monflier : tout pour Pays- de-France

 

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Habitant le quartier Croix-Rouge depuis trente-cinq ans, Christiane Monflier a toujours su montrer envers les habitants du quartier sa bonne humeur, sa disponibilité et son vif intérêt pour tout ce qui touche à la vie du quartier.

D’abord adhérente à l’Association de promotion de Pays-de-France (APPF) depuis 1998, elle finit par accepter d’en prendre la présidence dès 2002. L’association était en crise, Christiane Monflier l’a redressée avec efficacité et surtout beaucoup de diplomatie, en sachant éviter les conflits de personnes pour aboutir à une réconciliation générale.

Depuis, elle ne cesse de développer de nombreuses activités en faveur des habitants : les enfants avec son centre de loisirs (35 enfants inscrits), les familles (journées pêche, voyages et sorties réunissant parents et enfants), et les personnes âgées (plus de 25 inscrits actuellement). Ces différentes activités proposées rencontrent un grand succès auprès de tous les habitants.

Dans le même temps, Christiane Monflier est présente à toutes les manifestations du collectif d’associations du quartier, que ce soit de la maison de quartier Croix-Rouge ou des autres associations.

Elle est devenue récemment administratrice de l’association Multi-Echanges services (Mutes) et elle a été désignée pour siéger au conseil de quartier Croix-Rouge - Maison-Blanche dans la section des associations.

Avec fougue, elle entraîne dans son sillage beaucoup de bénévoles et l’ensemble de sa famille, mari et enfants, qui, à leur tour, s’engagent bénévolement dans les activités de l’APPF.

Christiane Monflier fait partie de la dernière promotion de la médaille Cathédrale de la ville de Reims « en reconnaissance de l’action qu’elle mène avec compétence et dévouement ».

Colette Santini

Fidèle au quartier Croix-Rouge depuis vingt ans, elle s’engage comme responsable d’équipe à la pastorale des migrants, animatrice à l’espace Billard, ancienne responsable de l’association multi échange service et est membre fondatrice du collectif Croix-Rouge accueil.

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Éloge lu par le maire de Reims à l’occasion de la remise de la Médaille « Cathédrale » de la ville de Reims à madame Colette Santini « en reconnaissance de l’action qu’elle mène avec compétence et dévouement dans des domaines divers et de son concours à la renommée de la cité » :

« Elle est la cadette d’une famille de 9 enfants, elle pense que « son sens des autres vient certainement de là… » . Elle sera responsable fédérale et nationale de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne durant 8 ans.

Grâce à son expérience de travail avec les Migrants, la Caisse d’Allocations Familiales la recrute en qualité de Conseillère en Economie Sociale et Familiale et dès lors, elle consacre toute sa carrière aux Migrants.

Fidèle au quartier Croix-Rouge depuis 20 ans, elle s’engage totalement dans le bénévolat : responsable d’équipe à la Pastorale des Migrants, animatrice au Centre Social Billard (devenu Espace Billard), administratrice puis adhérente à l’Association Multi-Échanges Services (MUTES), membre fondateur du Collectif Croix-Rouge Accueil.

Elle peut prétendre aujourd’hui à une retraite bien méritée auprès de son mari, Charles Santini, lui-même médaillé de la Ville de Reims. »

Union070413crb - Locales - Reims

Colette Santini, une vie au service des autres..

 

Colette Santini fait partie de la dernière promotion de la médaille Cathédrale de la ville.
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Dernière d’une famille de neuf enfants, Colette Laplace-Claverie, épouse Santini, est née à Warcq dans les Ardennes : « Mon sens des autres vient certainement de là. » pense-t-elle.

Huit ans durant, elle fut responsable fédérale et nationale de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC).

Grâce à son expérience de travail avec les migrants, elle a été recrutée par la Caisse d’allocations familiales en qualité de conseillère en économie sociale et familiale (ESF) et, « dès lors, depuis 20 ans, je n’ai pas bougé de Croix-Rouge et j’ai consacré toute ma carrière aux migrants ! ».

Dans le même temps, elle s’est engagée à fond dans le bénévolat : responsable d’équipe à la Pastorale des Migrants, animatrice au centre social Billard qui ne s’appelait pas encore « espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge », administratrice puis adhérente à l’association Multi-Echanges Services (MUTES) et l’un des membres fondateurs du Collectif Croix-Rouge Accueil (CRA).

Colette Santini fait partie de la dernière promotion de la médaille Cathédrale de la ville de Reims « en reconnaissance de l’action qu’elle mène avec compétence et dévouement ».

Toute cette vie active l’a un peu fatiguée et, à 68 ans, elle l’assure : « Après cette médaille, je prends ma deuxième retraite ! »

Histoire pour elle de rejoindre son époux, Charles Santini, une autre grande figure du quartier et lui-même également médaillé de la Ville de Reims.

- D’autres photographies de cette cérémonie sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070401cra - Locales - Reims

Neuf voitures brûlées !

 

Deux feux de voitures allumés à Reims dans la nuit de vendredi à samedi ont finalement détruit neuf véhicules en raison de la propagation des flammes.

Le premier incendie s’est déclaré vers 1 h 30 au quartier Croix-Rouge, sur le parking de l’avenue Bonaparte.

D’après les constatations, le feu a pris sur une Peugeot 405. Les flammes se sont ensuite propagées à une Clio, une Laguna, une Passat, une Astra, une 309 et une Mégane (les trois premières ont brûlé complètement, les trois autres partiellement).

Les sapeurs-pompiers ont déployé deux lances pour éteindre le sinistre, dont une lance à mousse.

Si l’origine de l’incendie reste « indéterminée » en l’état de l’enquête, elle n’en demeure pas moins très suspecte.

Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, qu’une voiture est incendiée sur ce parking ou dans les rues environnantes.

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Union070331crc - Locales - Reims

CROIX-ROUGE : Des questions à Reims-Habitat

 

Des problèmes sur le secteur Eisenhower.

A l’issue du dernier conseil de quartier extraordinaire à Croix-Rouge, une locataire, Sophie Demangeon, aurait aimé poser quelques questions au directeur de Reims-Habitat (Courrier des lecteurs, l’union de vendredi 16 mars).

William Philippe, un autre habitant du secteur Eisenhower, ajoute celle-ci : « Nous venons de recevoir la régularisation des charges pour l’exercice 2006. Celles du parking G3 ont augmenté de plus de 33 % . Pourtant l’accès rue Taittinger est resté clos durant toute l’année 2006 ce qui, compte tenu de la dimension du parking et des textes en vigueur en matière de sécurité, met Reims-Habitat dans une totale illégalité. Pourtant les portes des boxes dégradées en novembre 2005 n’ont pour la plupart pas été réparées et ont été reloués en l’état, au motif : pas de garage, pas d’appartement » .

Sécurité assurée

Reims-Habitat confirme : « La hausse est effectivement de 33%. Ceci est dû au marché de nettoyage de garage mis en place en 2006 et qui n’existait pas en 2005. »

En revanche, « avec l’accès rue du Docteur-Billard, l’utilisation et la sécurité dans le garage étaient assurées. Le fait que la deuxième porte soit condamnée apportait simplement moins de souplesse. Cette fermeture a été rendue nécessaire en raison des grands travaux conduits dans le secteur de la Rafale. »

Enfin, en matière de portes de boxes dégradées, « cela relève de la responsabilité des occupants pour ceux qui sont loués. Dans le cadre de la relocation, Reims Habitat s’attache à effectuer les travaux nécessaires avant mise à disposition. »

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Union070331crb - Locales - Reims

Les poubelles brûlent

 

Vendredi vers 15 h 10, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré au n°20 de l’allée des Bourguignons (déjà concerné par une série de feux de détritus il y a quelques mois).

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Union070330crf - Locales - Reims

Étoile Croix-du-Sud : fréquentation en hausse et nombreux projets

 

Hélas peu de monde à l’assemblée.

L’association Étoile Croix-du-Sud (130 familles adhérentes) s’est réunie en assemblée vendredi 23 mars.

Le président a dit son plaisir d’avoir pu réintégrer ses locaux après le terrible incendie qui avait tout détruit : « depuis, la fréquentation remonte, c’est encourageant ! De nombreux projets sont en cours d’élaboration au sein de l’association, malheureusement freinés par le manque de locaux.

L’ancienne bibliothèque pour tous sera transformée, à la fin des travaux en cours, en salle informatique et accueillera peut-être une activité ping-pong avec un animateur jeunes. »

Besoin de soutien financier

Le rapport de Georges Travert présente un compte financier négatif de 4.077 euros (recettes, 85.254 euros ; dépenses, 89.331 euros).

La cause principale : le renouvellement de tous les équipements informatiques, du petit équipement de bureau et des fournitures administratives, l’occupation de locaux différents, toujours après l’incendie déjà cité.

La nécessité d’une subvention municipale de fonctionnement devient de plus en plus évidente.

De nombreuses activités

Parmi les autres sujets : un vote sur les modifications des statuts et la présentation des nouveaux contrats de location de salle (4.161 euros de recettes).

En conclusion, « l’équipe est optimiste concernant l’avenir, un soutien moral de tous est important ; le soutien financier également, mais cela est une autre chose ! »

Selon le président Pierre Agisson, parmi les activités proposées par l’association, c’est au centre de loisirs et aux mercredis loisirs « Couleurs potes » (Juliette Touajar puis Alexandra Babin) et au service d’accompagnement à la scolarité (Alexandra Babin) que la performance est la plus grande.

L’Étoile Croix-du-Sud a perdu l’activité « danse country » et le club « filles » faute de participantes et l’activité « gospel » après le décès de son animatrice.

En revanche, la section pétanque (Jean-Michel Gauthier) anime le quartier par ses différentes manifestations, la danse moderne enfants (Éline Travert) est en progression, le club « Les après-midis de Croix-du-Sud » (Francine Gauthier) a accueilli de nouveaux adhérents.

A noter encore la réussite d’un week-end camping (Ali Boukhedoumi) et la continuité des permanences éducatives de Jean-Louis Rumerio (service départemental de prévention).

Renseignements auprès du président Pierre Agisson : Étoile Croix-du-Sud 5 avenue Léon-Blum - Tél. 03.26.06.56.66.

- Toutes les photographies de cette assemblée générale sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070330cre - Locales - Reims

Croix-Rouge Acrap : un nouveau président

 

Il y a bien longtemps que l’on n’avait vu autant de monde à l’assemblée générale.

L’Association Croix Rouge pour l’Animation et la Promotion a organisé son assemblée générale, la première de l’après Jean-Jacques Lapique, président décédé en octobre dernier.

C’est Jean-Pierre Genesseau, vice-président, qui a ouvert et présidé la réunion, près de Jeannine Catry, trésorière et Antoinette Mabile, secrétaire.

Adhésions en hausse

Les représentants des différentes sections sportives, culturelles et de loisirs sont venus présenter leur compte-rendu de la saison.

Ainsi, tour à tour, le badminton (23 adhérents), les travaux manuels (2 adhérents), la couture (18), le temps libre (64), la danse classique, moderne et folklorique (48), la danse rythmique, sportive et modern’jazz (44), le football enfants (115), le football seniors (65), la gymnastique (27), le karaté shorin et kobudo d’Okinawa (42), les majorettes (27), la natation (295), la pétanque (18), le tennis (15), le viet vo dao (20) et les sections urbanisme, fêtes et loisirs (35) et information (10), ont décrit leurs activités.

Une centaine de parents bénévoles

Avec une centaine de parents bénévoles qui participent à de nombreuses activités et 847 adhérents (contre 817 en 2005-2006), l’Acrap ne montre aucun signe d’essoufflement.

Côté finances, vérifiées par Gérald Mabile, avec 209.231 euros de dépenses pour 215.438 euros de recettes (dont plus de 63.000 euros de la ville de Reims), le compte financier présente « une petite réserve de 6.207 euros » .

L’Acrap a adopté les décisions suivantes à l’unanimité.
Jean-Pierre Genesseau a été élu à l’unanimité président de l’Acrap.
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Nouveau bureau :

- président, Jean-Pierre Genesseau.

- Vice-Président : aucun candidat.

- Trésorier : aucun candidat.

- Vice-trésorière : Jeannine Catry.

- Secrétaire, Antoinette Mabile.

Au niveau du conseil d’administration :

- Laurent Julliard (football-club) et Théodore Lê (karaté shorin et kobudo d’Okinawa) ont été rélus et

- deux nouveaux membres ont été élus : Céline Herter (danse rythmique, sportive et modern’jazz) et Jamel Chafik (football seniors).

- Vincent Lapauw (badminton) reste coopté jusqu’à la prochaine assemblée général.

 

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L’exposition « Dans l’intimité des cabinets de lecture » s’inscrit dans le cadre de l’opération « Intaglio-oeuvres gravées » qui présente un ensemble d’expositions, de mars à juillet, dans les bibliothèques, média¬thèques et musées rémois.

L’exposition de la médiathèque Croix-Rouge présentera,du mercredi 4 avril au samedi 26 mai les réalisations des ateliers qui se sont déroulés dans les écoles et à la médiathèque.

En effet, Marie-Christine Bourven a travaillé avec des enfants des classes de Galilée, Provençaux, du collège Georges-Braque et avec des enfants handicapés de l’institut Michel Fandre, avec des adultes de la Parent’Aise de l’espace Watteau et avec le public de la médiathèque. Ces ateliers de gravure ont été pilotés par le Développement culturel (Alain Patrolin et Laurence Grasset).

Entrée libre – Médiathèque Croix-Rouge – 19 rue Jean-Louis-Debar Tél. 03.26.35.68.45.

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Union070330crc - Locales - Reims

Semaine de l’orientation à Georges-Braque

 

Yves Maloigne, proviseur du lycée Yser, à l’écoute des élèves.
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La semaine de l’orientation du collège Georges-Braque s’est déroulée du lundi 19 au vendredi 23 mars.

Les élèves ont pu rencontrer sur place les représentants des établissements suivants : lycée Arago (rencontre avec la totalité des élèves du collège, dans le cadre de la liaison collège/lycée, car c’est l’établissement de rattachement), lycée Yser, lycée Clemenceau, lycée Roosevelt, lycée Croix-Cordier, lycée Europe, lycée Gustave-Eiffel, lycée Libergier, lycée Joliot-Curie, lycée Godart-Roger (pour les sections spécifiques et donc uniquement pour les élèves intéressés), école de Police, Armée de terre, Armée de l’air (uniquement pour les élèves intéressés).

Les intervenants étaient les proviseurs ou proviseurs adjoints, les chefs de travaux et d’anciens élèves du collège Georges-Braque.

Fabrice Watteau, principal adjoint, dresse le bilan :

« Les échanges furent riches et constructifs, les élèves étaient vraiment très intéressés, les intervenants satisfaits de la pertinence des questions posées et de la qualité de la préparation de ces rencontres par les professeurs principaux et la conseillère d’orientation psychologue. »

 

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Encore les Provençaux

 

L’allée des Provençaux, qui s’était déjà signalée tout dernièrement, avec deux feux successifs dans un parking souterrain (c’était dans la soirée de dimanche), a encore fait parler d’elle au cours de la nuit de mardi à mercredi vers les trois heures et demie : un feu de poubelle s’y est déclenché, entrainant une nouvelle intervention des pompiers.

 

 

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Le défi « Bouge ta planète relevé à Saint-Bruno

 

Des jeux devant chaque famille.
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Les paroisses Sainte-Clotilde, Saint-François-Xavier, Saint-Pierre Saint-François, et Saint-Bruno Saint-Louis, se sont retrouvées sur l’espace Saint-Bruno à Croix-Rouge samedi 24 mars pour relever le Défi « Bouge ta planète » en lien avec le Comité catholique contre la faim et pour le développement, et la maison de quartier Croix-Rouge.

Le CCFD propose par cycle de deux ans un thème qui met l’accent sur une problématique de solidarité internationale. Cette année, il a invité à se pencher, de nouveau, sur la réalité d’un peuple de près de 9 millions de personnes en Europe qui subit un ensemble de discriminations dans la plus grande indifférence : ce sont les Roms, les Gitans et les Manouches.

Ce fut, malgré la pluie, un bel après-midi d’animation à l’intention des enfants, des jeunes et des adultes organisé autour d’un grand jeu qui permettait de découvrir la vie et les petits métiers des gens du voyage. Les joueurs, par équipes, allaient à la rencontre de plusieurs familles, qui leur étaient présentées : des ferrailleurs, des forains, des gens du cirque, des entrepreneurs, des rempailleurs, des musiciens, des saisonniers et une famille de Roms migrants.

A chaque famille était associée une activité ludique ou d’expression en rapport avec les difficultés rencontrées par chacune d’elles et leurs métiers.

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Union070329crb - Locales - Reims

Portes ouvertes sur l’avenir

 

Beau succès pour l’atelier d’expression avec les élèves de BEP vente action marchande sous l’oeil attentif de Marie-Françoise Millet, professeur de français.

La journée portes ouvertes du samedi 24 mars au lycée des métiers administratifs et commerciaux Joliot-Curie a attiré un public de familles et de jeunes intéressés par la présentation des diverses filières.

Sur trois niveaux, un panorama très complet de toutes les activités proposées s’offrait aux visiteurs, sous la conduite du proviseur Gilles Gladieu, des professeurs et des élèves.

Reste à dépouiller le questionnaire très complet rempli par chacun : il permettra de répondre de manière encore plus précise aux attentes des parents en matière d’orientation de leurs enfants vers le BEP et le bac Pro.

 

 

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Union070329cra - Locales - Reims

Feux de voitures

 

Les pompiers sont intervenus peu après minuit au cours de la nuit de lundi à mardi pour éteindre une voiture enflammée, en l’occurrence une Mégane, dans l’allée des Bourguignons (Croix-rouge).

Plus tard dans la nuit, vers quatre heures et demie du matin, les pompiers ont à nouveau été sollicités pour un feu de voiture, une R19, dans l’avenue du Général-Bonaparte (quartier de l’hippodrome) ; ce feu a également légèrement endommagé un second véhicule.

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Union070328crb - Locales - Reims

Feu en sous-sol

 

Les pompiers ont été appelés lundi soir vers 19 h 30, pour une fumée suspecte dans un immeuble de l’allée des Tourangeaux (Croix-rouge) ; en fait de fumée, ils sont tombés sur un vrai feu, dans un local vide-ordures.

Une jeune fille qui avait pu inhaler de la fumée a refusé d’être transportée à l’hôpital.

Deux heures plus tard, on signalait aux pompiers une nouvelle fumée suspecte dans la même rue. Ce n’était cette fois que le reste de celle que le feu en question avait provoquée.

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Union070328cra - Locales - Reims

La vie des clubs Danse sur glace : retour sur le tournoi de France au Havre

 

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LES 17 et 18 mars se déroulait le dernier tournoi de France de danse sur glace 1ère division au Havre avant les championnats de France des 21 et 22 avril à Brest et le Reims Acrap patinage présentait onze candidates aux podiums.

- « En catégorie « préparatoire » notre jeune représentante, Anaïs Milard, malgré une chute sur sa 1ère danse imposée où elle finit 8e, se rattrape sur la 2e danse imposée et se classe 3e ainsi que sur son programme libre, ce qui lui permet d’atteindre la 4e place au final, mais cette malheureuse chute la prive d’une place sur le podium », regrette Myriam Huet, administratrice.

- En catégorie « pré bronze A », les patineuses du RAP se sont bien défendues : elles s’attribuent la 7e place pour Roxane Bouvet, la 8e place pour Maxime Baule et la 9e place pour Eva Lemaire.

- En catégorie « pré bronze B », Camille Renault termine 2e de la compétition et Morgann Prey 6e.

- En catégorie « bronze A », Justine Delaunois termine 12e.

- En catégorie « bronze B », Solène Manceaux remporte ce dernier tournoi de France, 1ère ex-aequo des danses imposées, elle réussit à s’imposer lors du programme libre.

- En catégorie « argent B », Morgane Huet se place 8e de la compétition.

- En catégorie « couple préparatoire », Nina Toukouk et Renan Manceaux s’imposent à la 1ère place en danses imposées et programme libre.

Le club se place 6e sur 12. « Le RAP est fier de voir la section danse sur glace prendre une telle place au fil des saisons et cette reconnaissance au niveau national », apprécie Ludivine Lemaire, l’entraîneur, qui va préparer, avec ses quatre finalistes les championnats de France qui se dérouleront à Brest les 21 et 22 avril, avec l’espoir de décrocher un maximum de podiums.

Et pourquoi pas quatre ?

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Union070327crd - Locales - Reims

La gazinière explose sous son nez

 

La gazinière elle-même ne semble pas avoir trop souffert, en revanche, on voit que le plafond au-dessus a été bien noirci.

« J’étais en train de faire la cuisine, tout d’un coup il y a eu des grandes flammes, j’ai juste eu le temps de sortir de la cuisine avant que ça explose ! ».

Le jeune homme qui parle, âgé d’une vingtaine d’années, est couvert de bandages sur le visage et sur une des mains : en effet, s’il a pu s’écarter de sa gazinière devenue folle, il n’a pas pu entièrement éviter le souffle brûlant de l’explosion.

Il a fallu le conduire à l’hôpital, où on l’a soigné pour des brûlures au premier degré. Cela s’est passé dimanche soir, vers 21 h 30, dans un appartement de l’allée des Picards du quartier Croix-Rouge.

Hier, le jeune brûlé était rentré chez lui. La gazinière en question ne semblait pas avoir trop souffert elle-même, en revanche le plafond était bien noirci. « Et le circuit électrique a été touché, ajoute le locataire, il va falloir le refaire. »

Pourquoi ?

Dans la pièce d’à côté, les vitres ont volé sous le souffle de l’explosion. Pas celle de la cuisine, dont la fenêtre était alors ouverte. L’organisme lo¬geur, en l’occurrence le Foyer rémois, est venu constater les dégâts.

A quoi est dû cet incident plus impressionnant que dramatique au demeurant ?

Défaillance de l’appareil, du circuit d’alimentation, erreur du cuisinier ? On ne le savait pas précisément hier.

 

 

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Union070327crc - Locales - Reims

Feux en sous-sol

 

Les pompiers sont intervenus dimanche soir un peu après 20 h 30 pour éteindre un feu de détritus dans un parking souterrain de l’allée des Provençaux (quartier Pays de France) ; un peu moins de deux heures plus tard, ils retournaient dans la même allée pour un deuxième feu du même genre.

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Union070327crb - Locales - Reims

Voleurs violents

 

Deux frères, dont un mineur de 16 ans et un jeune homme d’une vingtaine d’années, ont été interpellés dimanche après-midi pour une tentative de vol avec violence sur l’esplanade Eisenhower.

Ils voulaient s’emparer du caméscope d’un jeune homme de 22 ans, le frappant pour cela à coups de poing et de pied. Un troisième larron qui faisait partie des agresseurs a réussi à prendre la fuite.

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Union070327cra - Locales - Reims

Général-Bonaparte

 

Vers minuit et demie dans la même nuit de dimanche à lundi, les pompiers ont éteint un feu dans un local vide-ordures de l’avenue du Général-Bonaparte (pas très éloignée de l’allée des Provençaux déjà citée).

 

 

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Union070323crb - Locales - Reims

Viens fumer chez moi, je squatte chez un ami

 

Tribunal correctionnel de Reims : Le 18 octobre 2006, un habitant de la place Dominique-Ingres appelle le commissariat pour qu’on vienne le débarrasser de plusieurs jeunes gens qui s’imposent à son domicile.

Au milieu des volutes, la police découvre une fille et trois garçons qui ne fument pas le calumet de la paix mais un autre tabac douteux connu sous nos latitudes sous le nom de résine de cannabis.

Un couteau dont la lame est noircie par la découpe de cannabis est découvert. Les policiers demandent à qui il est mais au vu des réponses, force est de constater qu’il n’appartient à personne.

En revanche, Mallé Kanté, 27 ans, ne peut contester la détention de deux plaquettes de cannabis puisqu’elles sont trouvées dans ses poches. Détenu à l’audience (il purge trois mois pour des violences), le garçon repart avec trois mois de plus à purger.

Ses trois camarades sont condamnés à 300 € d’amende.

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Union070322crb - Département - Marne

Rencontres avec un auteur-illustrateurt

 

L’auteur illustrateur Gilles Rapaport.

Gilles Rapaport était l’invité du CDDP (Centre départemental de documentation pédagogique) de la Marne vendredi dernier pour rencontrer deux classes : l’une du collège François-Legros à Reims et l’autre du collège de Bazancourt.

Ces élèves participent au « prix des Incorruptibles » : premier concours littéraire où les élèves sont électeurs. Les deux classes de sixième, accompagnées de leurs professeurs de français et d’arts plastiques ont pu poser des questions à Gilles Rapaport, auteur-illustrateur dans la presse et l’édition jeunesse. Il a illustré de nombreux albums d’un trait rond jouant avec des aplats de couleurs vives. Ses textes sont souvent dépouillés et percutants et il laisse une place essentielle au dessin.

Les albums traitent de sujets sérieux qui touchent beaucoup les élèves : l’holocauste, la guerre, le devenir de l’humanité.

Les questions des élèves ont fusé : « Pourquoi avez-vous utilisé le bleu nuit ? Pourquoi le « je » à cet endroit du texte ? Pourquoi trouvez-vous la guerre stupide ? »

Gilles Rapaport a répondu patiemment à toutes les questions en indiquant les albums où il avait mêlé aussi un peu l’histoire de sa famille.

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Union070322cra - Départementales - Marne

La Rémoise au couteau rackette un handicapé

 

Le silence n’a duré qu’un temps. Racketté plusieurs jours dans le quartier Croix-Rouge à Reims, un handicapé de 23 ans a fini par se confier à la police.

Son agresseur n’était pas un homme mais une jeune femme de 21 ans.

Interpellée en fin de semaine dernière, elle a nié les faits, sans convaincre le tribunal correctionnel de Reims qui a condamné Laetitia Wazin à deux ans de prison dont dix-huit mois ferme avec placement en détention.

Les six mois avec sursis sont assortis d’une obligation de soins, de travailler et de ne plus entrer en contact avec la victime.

Le jeune handicapé demeure dans le secteur de la place Jean-Fragonard.

D’après ses déclarations, la demoiselle a profité de sa vulnérabilité pour lui extorquer 5.000 € entre le 12 et le 26 février.

Par deux fois, elle l’aurait menacé avec un couteau pour se faire remettre l’argent. Des menaces de mort ont également été inscrites sur la porte de la victime mais comme pour le reste, Laetitia Wazin a déclaré ne pas en être l’auteur. Les enquêteurs ont conclu l’inverse.

Au terme de la garde à vue, le parquet de Reims a décidé de faire juger la jeune fille en comparution immédiate en raison de la gravité des faits et de ses nombreux antécédents.

Malgré son jeune âge, elle est déjà bien connue de la juridiction pour des faits de violence.

Sa dernière condamnation datait du 23 janvier : elle avait pris neuf mois de prison, dont trois ferme couverts par la détention provisoire, pour avoir donné un coup de couteau dans la main de son partenaire en plein ébats amoureux, car elle voulait « planter quelqu’un ».

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Union070321crg - Locales - Reims

Les marcheurs du dimanche

 

A vos chaussures, marcheurs de l’espace Watteau et des environs.

Dimanche 25 mars, direction « les villages Troglodytes du Laonnois (Moulins 02) » pour 12 km, départ à 8 h 15, retour vers 13 heures.

Dimanche 1- avril, départ à 8 h 15 vers « la Boucle des Vignes », à Mutigny (10 km, retour vers 12 h 30).

Sorties gratuites. Possibilité de covoiturage si inscription préalable.

Renseignements à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin, organisateur (06.12.99.83.09.).

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Union070321crf - Locales - Reims

At’Hom : les locataires en réunion

 

L’association des locataires du secteur At’Hom réunit son assemblée générale le mardi 27 mars à 18 h 30, dans les locaux de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, au 3 allée Antoine-Watteau.

Sont invités : le conseiller régional Michel Guillaudeau, le conseiller général Jean-Claude

Laval et l’adjointe Laurence Malassagne.

Renseignements : Association des locataires du quartier At’Hom, Danièle Bonfils, présidente,

1 allée Yves-Gandon.

Tél. 03.26.86.10.03.

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Union070321cre - Locales - Reims

Escalade : « Vertical » toujours plus haut

 

Qui veut aller loin ménage sa monture.
Christian LANTENOIS

 

Les grimpeurs du club « Vertical » ont choisi le château d’eau de Croix-Rouge comme lieu d’entraînement. Yann Durieux et quatre autres entraîneurs y gèrent trois groupes : 8-12 ans, 13-17 ans et adultes.

Le but est, comme le résume Yann « de découvrir l’activité dans une ambiance ludique et conviviale ». Cependant, cet attachement à la convivialité s’accompagne de sécurité. Et la sécurité s’accomplit de manière collective. Quand l’un descend, un autre l’aide en lui donnant du leste. Il peut aussi le conseiller sur des prises lors de sa montée.

Mais l’entraîneur, comme les membres du staff, avouent leur attirance pour l’extérieur. C’est dans ce cadre que vont être organisés le « challenge jeunes » entre les 12 clubs de la Marne et la « fête de l’escalade » sur le mont Vertu près d’Épernay. « La compétition est un prétexte pour aller grimper ailleurs et avec les autres » avoue Yann Durieux.

En tout cas, en extérieur ou en intérieur, les séances d’escalades sont ouvertes à tous.

tél. 03.26.86.13.62.

www.club.vertical.free.fr

club.vertical.free@yahoo.fr

 

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Union070320crd - Locales - Reims

Reims : Un appartement détruit par le feu

 

L’incendie s’est déclaré dans la cuisine avant de se propager à tout l’appartement.
Christian LANTENOIS

Hier vers 13 h 30, un violent incendie a détruit un appartement du quartier Croix-du-Sud à Reims, sans faire de blessé heureusement.

L’incendie s’est déclaré au n°9 de la place Jean-Fragonard, au septième étage d’un immeuble qui en compte neuf.

La locataire regardait la télé dans le salon lorsque le feu a pris dans la cuisine où elle aurait distingué avant de s’enfuir une bouteille de gaz enflammée. La dame avait préparé des frites pour le déjeuner mais selon ses déclarations, elle avait tout éteint en quittant la pièce.

A l’arrivée des pompiers, les flammes sortaient des fenêtres mais les locataires menacés par le sinistre avaient déjà évacué l’immeuble.

Une lance a été mise en manœuvre par les escaliers pendant qu’une reconnaissance était effectuée au moyen de la grande échelle. Les opérations de secours ont nécessité la fermeture de l’avenue Léon-Blum à la circulation.

L’appartement situé au huitième a également subi d’importants dégâts : ses volets ont fondu et toutes les pièces ont été enfumées.

Le locataire a dû être relogé ainsi que les deux personnes qui occupaient l’appartement dans lequel le feu s’est déclaré.

Les policiers ont ouvert une enquête pour tenter d’établir l’origine exacte de l’incendie.

Union070321cra - Locales - Reims

La tour du 9 Jean-Fragonard a encore eu très chaud lundi

 

LUNDI vers 13 h 30, un violent incendie s’est déclaré dans un appartement de la place Jean-Fragonard à Reims, sans faire de blessé heureusement (notre précédente édition).

L’origine accidentelle ne fait aucun doute, même si la cause exacte reste à identifier.

Le feu a pris au septième étage, dans la cuisine, avant de se communiquer à l’ensemble du logement.

La locataire avait préparé des frites à midi mais d’après ses déclarations, elle avait tout éteint en quittant la pièce. Les flammes sortaient des fenêtres à l’arrivée des secours, ce qui a provoqué d’importants dégâts au 8e (volets fondus, pièces enfumées).

Les occupants des deux appartements ont dû être relogés.

L’incendie de lundi après-midi a rappelé des souvenirs à bien des locataires.

Il s’est déclaré au n°9 de la place Jean-Fragonard, déjà éprouvé le 29 janvier 2006 par un violent feu d’appartement qui avait intoxiqué quatorze personnes.

D’origine accidentelle, le sinistre avait pris au troisième étage avant de se propager par la façade.

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Union070320crc - Locales - Reims

Grand succès de la fête des crêpes de la solidarité

 

Les enfants ont passé un agréable après-midi. ; 1500 crêpes ont été préparées et offertes par les bénévole

« Ce fut de l’avis de tous une réussite !

Les ingrédients de cette réussite : un très fort partenariat, beaucoup de participants dans une ambiance conviviale, et le soleil qui nous a comblés pour la 2e fois en 13 ans ! » s’exclame Martine Massart, présidente de l’association Multi-échanges services (Mutes) qui souligne la présence et le soutien de l’association Etoile Croix-du-Sud, des éducateurs du Service départemental de prévention et des correspondants de quartiers.

L’Effort rémois a mis ses locaux à la disposition des bénévoles, et a assuré l’information dans le quartier.

Les Grands moulins de Reims ont offert 31 kilos de farine et des commerçants de Croix-du-Sud ont fourni une partie des ingrédients : au total 1.500 crêpes ont été distribuées grâce aux bénévoles de la Mutes, de l’association de promotion de Pays-de-France et du collectif Croix-Rouge accueil (Cra).

Développement durable

Le thème de la Fête :

« Le développement durable », était proposé par le Secours catholique, par le biais de sa campagne annuelle d’éducation au développement intitulée les « Kilomètres de soleil ».

La paroisse Saint-Bruno, et son club Triolo de l’Action catholique des enfants (ACE) ont tenu un stand intitulé « Le vent de la solidarité » qui proposait de fabriquer des moulins à vent.

La participation de la Maison de quartier Croix-Rouge a été importante :

- présences de la compagnie des Arts de Verneuil et de José Mendes,

- comédien metteur en scène, prestations des danseuses hip-hop de l’espace Nacelle,

- présence de l’association des « Petits débrouillards », qui a proposé des expériences scientifiques ludiques,

- animation d’un espace de jeux sportifs animé par Stéphanie Tadla (la Nacelle).

- D’autres photographies de cette fête sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070320crb - Locales - Reims

Collège François-Legros : une ancienne déportée témoigne

 

Andrée Paté présente sa « robe » de déportée. ; Les collégiens ont été très attentifs au cours de cet événement très important dans la vie de l’établissement

Andrée Paté, ancienne déportée de la guerre 1939-1945, est venue vendredi dernier au collège François-Legros rencontrer les élèves des classes de 3e, dans le cadre de « Mémoire de la déportation », un projet qui comporte aussi un voyage à Verdun, la visite du camp du Struthof et une intervention lors de la journée de la Déportation au square du même nom.

En présence de plusieurs professeurs, l’ancienne déportée, âgée maintenant de 93 ans, a évoqué ses souvenirs : militante communiste, elle était arrêtée le 23 avril 1943, interrogée à Reims dans la prison rue Robespierre, puis internée successivement à Laon, Compiègne et Romainville, avant le départ en train (« un voyage en enfer en wagons à bestiaux »), déportée comme résistante vers le camp de concentration pour femmes de Ravensbrûck, où elle a reçu le matricule 35.265, avant d’être affectée au kommando de Holleischen, dépendant du camp de Flossenbûrg, et dans lequel les femmes travaillaient jour et nuit dans des conditions d’hébergement, d’alimentation et d’hygiène épouvantables, pour une usine de munitions.

« Préserver la liberté »

Mme Paté a raconté les maladies, la faim, la soif, les privations, le manque d’hygiène, le froid, les brutalités, le travail épuisant, les tortures physiques et morales, les appels interminables endurés par ces femmes jugées en état de travailler.

Elle a aussi évoqué « les piqûres intraveineuses reçues régulièrement : on n’a jamais su quel produit ils nous injectaient. »

Les élèves ont ensuite posé de nombreuses questions fort pertinentes.

La conclusion de Mme Paté est à la fois optimiste et attentive :

- « Les témoins vont être de plus en plus rares : c’est à vous les jeunes de reprendre le flambeau ! » « Même maintenant, nous, les anciens déportés, nous avons parfois dans le regard quelque chose de spécial. J’ai peur : ce que nous avons vécu, nous le revoyons un peu parfois dans le monde. Dans vos choix futurs, sachez toujours préserver ce trésor immense : la liberté ! »

- D’autres photographies de cette conférence sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070319crb - Locales - Reims

L’Étoile Croix-du-Sud en assemblée générale

 

L’association Étoile Croix-du-Sud se réunira en assemblée générale vendredi 23 mars à 18 h 30, dans la salle Claude-Prével au 5, avenue Léon-Blum.

Parmi les sujets à l’ordre du jour, un vote sur les modifications des statuts et la présentation des nouveaux contrats de location de salle.

Les candidatures au conseil d’administration doivent être présentées par écrit au président Pierre Agisson à la même adresse.

Étoile Croix-du-Sud, Tél. 03.26.06.56.66.

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Union070319cra - Locales - Reims

L’espace Watteau en action à Croix-Rouge

 

Présentation de l’almanach des collégiens aux parents, avec Laurence Geoffroy.

 

L’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge poursuit ses activités d’accompagnement à la scolarité.

« Les enfants ont reçu leurs parents pour un goûter et pour leur présenter ce qu’ils ont fait depuis le mois d’octobre. Cette activité est conduite en lien avec le service municipal d’accueil des écoles Blanche-Cavarrot et Galilée, autour de la cuisine » explique Laurence Geoffroy, référente familles : « Plus tard, les collégiens ont reçu également leurs parents autour d’une collation pour leur présenter l’Almanach qu’ils réalisent actuellement. »

Enfin, « les groupes des ateliers linguistiques et des ateliers au féminin ont dégusté leurs réalisations communes de recettes de cuisine (dépaysement garanti), après une même séance d’échange » ajoute Patrick Schmid, directeur.

- D’autres photographies de ce goûter sont disponibles dans notre galerie photos

 

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Union070317cra - Locales - Reims

Du slam à Croix-Rouge

 

(Cliquez sur la photo pour la voir en couleur et vraie grandeur)

 

Dans le cadre du Printemps des poètes, l’équipe rémoise Slam-Tribu a donné une démonstration de slam à la médiathèque Croix-Rouge, mercredi 14 mars.

Devant un auditoire de plus en plus nombreux, Abyss (Teddy), Hamid, Laureleï, Malcolm, Alain Térieur, Imora, the Queen et Zé Jam ont déclamé leurs textes sous la houlette de Selecta Seb, meneur de jeu.

Le public a apprécié et n’a pas été avare d’applaudissements.

Cliquez ici pour voir une autre photo de cet événement

 

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Union070316crd - Locales - Reims

Réalisez le maximum de puzzles

 

Animatrices et bénévoles ont préparé une activité nouvelle.
(Cliquez sur l’image pour l’agrandir)

« Venez établir le record de l’espace Billard en réalisant un maximum de puzzles en 8 heures samedi 17 mars, de 9 à 17 heures », annoncent Sylvie Brin et Sylvie Maingot, animatrices à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Ouverte à tous, « de 2 à 99 ans », enfants accompagnés, écoliers et/ou adultes, cette journée du puzzle en proposera de nombreux, de différentes tailles et pour tous les âges.

Objectif : placer le maximum de pièces sur une journée, avec possibilité d’entreprendre différents puzzles.

Par cette activité originale, les animateurs de l’espace Billard, en diversifiant leurs actions, visent l’établissement de relations intergénérationnelles et la création de liens et d’échanges en favorisant les rencontres.

Par un droit d’inscription de 2 euros par famille, personne seule ou groupe (gratuit pour les écoles), ils espèrent collecter une petite somme pour aider au financement d’un voyage en baie de Somme.

Inscriptions à l’avance au secrétariat ou sur place le jour même : Espace Billard de la Maison de quartier Croix Rouge, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).

Union070324cra - Locales - Reims

(Suite de l’article précédent)

Succès de la première opération « Puzzles »

 

Ils se sont mis à six pour venir à bout d’un 1.500 pièces.

Les animatrices de l’espace Billard, derrière Sylvie Brin et le groupe des « sorties-nature » qui prépare un voyage vers la baie de Somme, voulaient innover.

Après le succès de la première opération « bourse aux livres » , elles ont imaginé, sur le modèle belge des « 24 heures du puzzle », un concours de la journée du puzzle, samedi dernier.

Cette grande première qui a remporté un succès au-delà de toute espérance ! Une centaine de puzzles pour tous les âges, de 4 à 2000 pièces, avait été réunie.

Dès le matin, trois classes de l’école Gilberte-Droit et le groupe « accompagnement à la scolarité » d’Évelyne Verrier (Espace Pays-de-France) se lançaient dans le concours « équipes ».

A partir de 14 heures, ce fut l’arrivée massive des habitants du quartier :

« Beaucoup de familles avec leurs enfants, jusqu’à trois générations réunies » apprécie Sylvie Brin.

Une centaine de joueurs autour des tables, dans une ambiance appliquée et cependant détendue : le spectacle avait de quoi ravir les organisatrices !

Nul doute que cette nouveauté réussie sera renouvelée.

- D’autres photographies de cette journée puzzles sont disponibles dans notre galerie photos

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Union070316crc - Locales - Reims

Croix-Rouge et Maison-Blanche : « Écœurant ! »

 

Sophie Demangeon a lu « dans l’union d’aujourd’hui que s’est tenu un conseil de quartier extraordinaire à Croix-Rouge/Maison Blanche.

Un des locataires relève que peu de publicité a été faite autour de cette réunion et je confirme : aucune affiche dans mon immeuble du groupe Eisenhower (et je n’en ai pas vu dans les autres immeubles).

Je n’étais absolument pas au courant.

C’est normal que le directeur de Reims Habitat n’avait pas de soucis à se faire si les locataires de Reims Habitat n’étaient pas au courant. »

Notre lectrice évoque des problèmes qu’elle aurait aimé exposer à Reims Habitat :

« Nous avons des problèmes d’ascenseurs récurrents (en fait depuis qu’ils ont été refaits à neufs I), le tri sélectif n’est toujours pas fait à Croix-Rouge.

La tour du 60 esplanade Eisenhower va être isolée de l’extérieur et les autres immeubles ?

Le prix de l’eau chaude, plus chère que pour les autres organismes…

Bref les questions ne manquent pas… ».

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Union070316cra - Locales - Reims

Mobilisation pour une famille menacée d’expulsion

 

La famille Omarova fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.

La lettre de la préfecture est formelle : les quatre membres de la famille Omarova devront quitter la France avant le 27 mars prochain.

Frappée d’une obligation de quitter le territoire, la famille Omarova, d’origine thétchène, est pourtant installée en France depuis plus de 4 ans.

Les deux adolescentes de la famille, Mariyat et Mouminat sont même couvertes d’éloges par leurs professeurs qui soulignent la qualité de leurs efforts scolaires.

Pour les quatre membres de la famille dont le petit dernier, Mohamed, est né en France, pas question de retourner en Russie : « Quatre ans maintenant que je suis en France. Je veux pouvoir continuer à vivre et à étudier ici », espère Mouminat, actuellement en classe de seconde au lycée Europe.

L’épopée pour venir en France

Mariyat explique que sa famille a fui pour raisons politiques :

« Nous ne pouvions plus rester en Russie. Mon père a été le premier à partir en raison de son engagement pour l’indépendance de la Tchétchénie », détaille la sœur cadette.

La jeune fille se rappelle lorsqu’elle a quitté Bragounie, son village d’origine :

« Nous avons payé 3.000€ pour rejoindre la France à l’arrière d’un camion », se rappelle Mariyat.

Plus aucune attache en Tchétchénie

« A présent, cette famille n’a plus aucune attache en Tchétchénie : les proches de Mme Omarova sont tous décédés. Quant au père de la famille, il est en France, en situation régulière », souligne l’avocate en charge d’aider la famille.

Malgré leurs difficultés en français, les deux filles de la famille ont rapidement rattrapé leur retard en deux ans de scolarité.

Mais pas seulement.

En juin dernier, l’association des Palmes académiques a remis à Mouminat un prix pour un projet d’écriture sur le thème du cinéma.

Des soutiens de poids

Depuis 15 jours maintenant, les soutiens affluent.

Les premiers mobilisés sont les enseignants des établissements dans lesquels sont scolarisés les enfants Omarova.

Professeur au collège Georges-Braque, Jacky Lassaux souligne que « tous les membres de la famille Omarov ont fourni un gros travail et se sont intégrés rapidement ».

Outre le Réseau éducation sans frontières Reims qui soutient les familles menacées d’expulsion, la famille est soutenue par le maire de Reims : « Quelqu’un qui se conduit bien en France doit pouvoir y rester », a déclaré Jean-Louis Schneiter.

Une intégration exemplaire

L’édile rémois a annoncé qu’il devrait recevoir prochainement l’une des filles de la famille pour lui remettre un prix de la Francophonie, organisé dans le cadre d’un concours à Reims.

M. Schneiter se saisira de l’événement pour « attirer l’attention du préfet sur cette expulsion d’une famille dont les enfants réussissent très bien à l’école » a-t-il déclaré.

Fort de cette mobilisation la famille constitue un dossier de demande de régularisation à titre exceptionnel, car le statut de réfugié leur a été refusé.

L’avocate de la famille a bon espoir : « Cette famille est l’exemple d’une intégration réussie ».

R.M. 

Mariyat, un parcours scolaire exemplaire

 

Mariyat, aujourd’hui scolarisée au collège Georges Braque, espère continuer ses études en France

Arrivée en France en 2002, Mariyat, 16 ans est aujourd’hui soutenue par ses professeurs. « Progression exemplaire », « parcours excellent » disent ses bulletins scolaires au collège Georges-Braque.

Pour elle, la vie est ici, à Reims.

« J’aimerais continuer mes études et devenir médecin », explique-t-elle.

Arrivée il y a quatre ans en France après avoir fui sa Tchétchénie natale, Mariyat est aujourd’hui hébergée avec sa famille dans le cadre de l’Armée du salut.

Aussi brillante que sa grande sœur Mouminat, la jeune fille a de quoi être ambitieuse : en deux ans de scolarisation, Maryat a réussi à obtenir de très bons résultats.

Le conseil de classe lui a d’ailleurs accordé les félicitations.

Son français n’est pas en reste : en récompense de ses progrès fulgurants, le maire de Reims doit remettre mardi prochain à Mariyat un prix de la francophonie.

Autre soutien prestigieux : Jacqueline de Romilly, de l’Académie française.

L’historienne respectée doit remettre samedi un prix à Mariyat : celui de l’Appel à témoignages qui récompense les comportements et les témoignages vertueux des jeunes.

L’académicienne a également envoyé une lettre de soutien à la famille Omarova pour appuyer leur demande de régularisation.

Union070318cra - France - Monde

Honorée à Paris mais menacée d’expulsion

Une jeune tchétchène de 16 ans, scolarisée en France où sa mère est menacée d’expulsion, a reçu hier le prix « appel à témoignage », remis par l’académicienne Jacqueline de Romilly et doit également recevoir un prix de la francophonie mardi à Reims.

Mariyat Omarova, élève de 4e à Reims, est venue à l’Académie française recevoir le cinquième prix du concours « Appel à témoignage », qui récompense un texte de collégiens sur « des actes de solidarité réalisés par d’autres jeunes qu’ils connaissent et qui les ont marqués ».

Mobilisation contre l’expulsion

 

La collégienne rémoise, dont la mère est menacée d’expulsion, recevra mardi un prix de la francophonie dans la cité des Sacres.

Plusieurs associations dont le Réseau éducation sans frontières (RESF) se sont mobilisées contre une éventuelle expulsion de Mariyat Omarova, inscrite au collègue Georges-Braque à Reims, de sa sœur de 17 ans Mouminat, en seconde au lycée Europe, de leur petit frère et de leur mère Zagidat.

« La mère, demandeuse d’asile déboutée définitivement le 15 février 2007, a reçu un refus de séjour accompagné d’une obligation à quitter le territoire français le 27 février 2007 », a expliqué Jacky Lassaux, animateur de RESF à Reims, précisant qu’à partir du 27 mars, elle peut être arrêtée et/ou expulsée.

« En cas d’expulsion, soit la mère les abandonne et elles sont placées en foyer, soit elles repartent avec leur mère », a ajouté pour sa part leur avocate, Agnès Mercier, qui a bon espoir que la mobilisation autour de ses clientes facilite un réexamen du dossier. La famille doit être reçue à la préfecture à Reims le 6 avril, selon RESF.

Mariyat et sa soeur « collectionnent les prix ; elles sont exceptionnelles et ont des louanges de tous les enseignants », a fait valoir l’avocate.

La collégienne recevra mardi un prix de la Francophonie des mains du maire divers droite de Reims, Jean-Louis Schneiter, dans le cadre de la Journée internationale de la Francophonie du 20 mars.

Union070321crb - Locales - Reims

Reims : la famille tchétchène devrait rester

 

Soulagement, hier, à l’hôtel de ville de Reims.

La jeune Mariyat Omarova était une nouvelle fois honorée pour une participation à un concours autour de la langue française.

Étaient présents les membres du Réseau éducation sans frontières, qui soutiennent la famille Omarova depuis que cette mère de famille d’origine tchétchène a reçu un « refus de séjour », le 15 février dernier, accompagné d’une obligation à quitter le territoire français avant le 27 février (nos précédentes éditions).

Une décision qui devait être applicable dans quelques jours, le 27 mars.

« Nous avons appris hier que la situation de cette famille devrait être régularisée, » indiquait hier un membre de RESF. « Le préfet a accepté de reconsidérer le dossier ». La famille doit être reçue ce mercredi, à 11 heures, par le préfet Philippe Deslandes.

Union070321crc - Locales - Reims

Heureux dénouement attendu pour la famille de Mariyat

 

C’est ce matin, à 11 heures, que la famille Omarova va être fixée sur son sort Menacée d’expulsion, elle doit en effet être reçue par le préfet à Châlons-en-Champagne. La situation semble s’éclaircir

LES membres de l’association « réseau d’éducation sans frontière » étaient présents, hier matin, sur le parvis de l’hôtel de ville de Reims. Ils soutiennent la famille Omarova depuis que cette mère de famille d’origine tchétchène a reçu un « refus de séjour », le 15 février dernier, accompagné d’une obligation à quitter le territoire français avant le 27 février (lire nos précédentes éditions).

Une décision qui devait être applicable dans quelques jours, le 27 mars.

La mobilisation des enseignants, des personnalités et des médias autour du dossier de cette famille a touché le préfet qui a décidé de recevoir la famille Omarova à Châlons ce mercredi matin, à 11 heures.

« Le secrétaire général de la préfecture, puis le directeur de cabinet du préfet nous ont contactés lundi », explique Yves Juigner, du réseau éducation sans frontières.

« La situation de cette famille devrait être régularisée. »

Ce mercredi, à 11 heures, Mme Omarova sera accompagnée par l’avocate de la famille, Me Agnès Mercier, qui exprimait hier « le soulagement de toute la famille.

Sans préjuger de la décision du préfet, on s’oriente vers une régularisation. Nul doute que les excellents résultats de Mariyat, le soutien des personnalités… ont joué en faveur de cette famille ».

Il faut dire que le dossier de cette famille installée en France depuis 4 ans a de quoi retenir l’attention des autorités.

La maman Zadigat peut en effet être fière de la scolarité exemplaire de ses deux filles.

La première Mouminat (17 ans) est scolarisée à Europe, la deuxième Mariyat (16 ans), est en 4e au collège Georges-Braque.

Récompensée

Cette dernière a fait des progrès incroyables en langue française et s’intègre parfaitement dans son établissement scolaire où elle a même cré un « journal de la francophonie ».

Elle a participé cette année à plusieurs opérations culturelles proposées aux collégiens dans e cadre de leurs études.

Samedi dernier, la jeune fille a remporté le 5e prix du concours « appel à témoignage » qui récompense un texte de collégiens sur « des actes de solidarité réalisés par l’autres jeunes qu’ils connaissent et qui les ont marqués ».

Le prix qui a été remis à Paris par l’académicienne Jacqueline de Romilly.

Hier, à l’hôtel de ville de Reims, l’adolescente a, de nouveau, été mise à l’honneur.

Elle a, en effet, participé à l’opération « Les mots migrateurs », dans le cadre de la semaine de la langue française, avec plusieurs autres élèves de son collège et de 34 autres établissements de l’agglomération.

Les participants devaient créer un texte, un poème, un tableau… à partir de 10 mots présélectionnés (lire par ailleurs).

Mariyat s’est vue décerner le 2e prix dans la catégorie « 4e et 3e ». Intimidée par un parterre de caméras et de photographes de la presse régionale etnationale, la jeune fille a préféré cacher son visage. Nul doute en tout cas que ses excellents résultats font la fierté de toute sa famille.

Patricia Buffet

Union070331cra - Locales - Reims

Expulsions : suivi des familles en voie d’être régularisées

 

Ces dernières semaines, nous avons relaté les histoires de plusieurs familles qui étaient menacées d’expulsion : la famille Omarova, la famille Yernaux et la famille N’Tumba Mundiangani.

Après la mobilisation des enseignants et des proches des familles, les uns et les autres avaient obtenu des assurances de régularisation de leurs situations. Mais qu’en est-il dans la pratique ?

La famille Omarova (l’union des 16 et 21 mars) - une famille d’origine tchétchène - a obtenu en préfecture un titre de séjour provisoire de trois mois.

« L’obligation de quitter le territoire qui les concernait a été abrogée, » explique avec satisfaction l’avocate de la famille Me Mercier. « Mme Omarova a reçu son récépissé l’autorisant pour 3 mois à séjourner sur le territoire français, à charge pour elle de fournir différents justificatifs comme, notamment son passeport russe en cours de validité. C’est un véritable problème pour ces familles qui ont fui leurs pays car, souvent, les passeurs gardent leurs papiers. »

………….

Patricia Buffet

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Union070315crc - Locales - Reims

Les dernières nouvelles du quartier

 

Loto de l’Étoile Croix-du-sud : une organisation parfaite (debout, le président Pierre Agisson)

Le foot en sortie

60 joueurs du football-club de l’Acrap ont été invités à assister à Lille, le 3 mars, au match de ligue 1 entre le Lille olympique sporting club métropole (Losc) et Troyes.

Ce beau geste sera renouvelé une deuxième fois en avril pour les autres joueurs : de belles occasions, aussi bien pour les débutants que pour les seniors, de voir évoluer de grandes formations.

Amicales

Deux nouvelles amicales de locataires se consacrent à la défense des locataires de Reims Habitat : l’amicale « les Hauts-de-Murigny », affiliée à la CNL (présidente, Mme Trefcon) et l’amicale indépendante « le Club 47 » sur le secteur Eisenhower présidente, Mme Stolz). Cette dernière a obtenu 11,29 % des voix lors des dernières élections des représentants des locataires au conseil d’administration de Reims Habitat. Ces deux amicales seront invitées à participer aux instances locales de concertation dès la session de mars/avril 2007.

Un local pour les locataires

Nous relations, dans notre édition du mardi 20 février les difficultés rencontrées par l’association de défense des locataires Les Polygones pour obtenir un local où tenir des permanences.

Notre article n’a pas échappé au directeur clientèle de l’Effort rémois.

La présidente Geneviève Kaczowka l’a contacté : « il m’a fait part de son engagement à trouver un local pour notre association, conscient qu’un lieu de rencontre est une nécessité pour les associations et l’organisme logeur et ne peut que contribuer à une bonne information. »

Loto du karaté

Pour aider au financement d’un voyage sportif à Varsovie en Pologne du 20 au 24 avril, la section karaté de l’association Croix-Rouge animation et promotion organise un repas-loto samedi 31 mars en soirée. Inscriptions au secrétariat de l’Acrap ou auprès de Théodore

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Union070315crb - Locales - Reims

Des vacances sportives folles, folles…

 

Mini-billard à l’espace Ethnic’s.
Ping-pong à l’espace Nacelle

La journée festive autour du sport et de la culture organisée par le collectif d’associations du quartier Croix-Rouge et « Sports de proximité » s’est déroulée jeudi 8 mars dans la salle Croix-Rouge : l’occasion de rappeler en images les nombreuses activités proposées aux jeunes pendant les congés de février-mars : mini ping-pong, playstation-foot, karaoké, basket-ball, futsal.

Les organisateurs, David Gameiro, Tarek Maamoun et Stéphanie Tadla, la Maison de quartier (Ethnic’s, Nacelle, Pays-de-France), les partenaires associatifs, les agents de proximité et les nombreux bénévoles ont été encouragés par Anne Chavance (Direction départementale et régionale de la Jeunesse et des Sports) et les adjoints Ahmed El Mcherfi et Monique Nassau (sports) qui commentait :

« ce qui a été remarquable ici, c’est la synergie constatée entre les associations, la Maison de quartier, les dispositifs Sport de proximité et Ludosport, tous unis dans un même objectif, au même service de la jeunesse ! ».

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Union070315cra - Locales - Reims

Des vacances familiales avec les Travailleurs maghrébins

 

Beaucoup de plaisir chez les Enfants ravis.

Pendant les vacances scolaires, l’association des Travailleurs maghrébins de France (ATMF) a organisé des activités pour les enfants et familles qui’ n’ont pas les moyens financiers de partir en vacances.

Au programme : jeux de société, projection des films, danse, chansons et concours de dessins (animatrice, Naïmareçu une moyenne de 25 enfants en compagnie de quelques mamans » commente le président, Mohammed El Haddaoui.

Hommage aux mamans

Le programme a pris fin samedi 10 mars devant 60 enfants, avec chants, musique, boissons chaudes, de crêpes et de bonbons.

De nombreuses mamans étaient présentes :

« ce fut pour l’ATMF, l’occasion de leur rendre hommage dans le cadre de la journée des droits de la femme par des messages de sensibilisation et d’information qui témoignent de notre combat pour les droits de la femme et pour l’égalité des droits en général » ont précisé les responsables.

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Union070314crb - Locales - Reims

Un stage de scratch avec un champion du monde

 

Grâce à un projet monté par le réseau Pôle sud musique (Maisons de quartier de Reims), l’espace Ethnic’s, dirigé par Abdelali Errafii, a accueilli un grand nom de la musique scratch en la personne de DJ Troubl, venu animer un stage de scratch.

C’est ainsi qu’il a accueilli tous les scratcheurs de Reims et des environs, par petits groupes, pour leur faire découvrir de nouveaux assemblages sonores.

Double champion du monde « International Turntable Federation » (ITF) et Allstar Beatdown 2002-2003 et vice champion du monde Disco Mix Club (DMC) au Battle for World supremacy, à Londres en 2006,

Le virtuose a donné démonstrations, encouragements et conseils techniques aux membres de l’atelier scratch de l’espace Ethnic’s, animé par DJ Salim : « C’est un bel ensemble qu’il faut soutenir » déclarait-il.

Cette section Scratch fonctionne mardi, jeudi et vendredi, de 16 à 20 heures, mercredi et samedi, de 14 à 20 heures.

Un autodidacte

DJ Troubl raconte son parcours :

« J’ai commencé seul, en 1997 à l’âge de 18 ans en faisant mes premières armes chez un ami qui avait des platines. Puis j’ai eu l’occasion de me rendre deux ans en Angleterre et aux Etats-Unis où j’ai rencontré des joueurs émérites. Avec eux et sur leur modèle, je me suis entraîné. Mon maître a été DJ Q-Bert, un Américain qui a beaucoup développé le scratch et sa technique. »

Rentré en France, DJ Troubl s’est présenté à son premier championnat de France en 2000 : il l’a gagné et depuis il n’arrête plus de se perfectionner, devenant rapidement double champion du monde.

Pourquoi avoir choisi un tel pseudo ? :

« Il représente bien l’esprit de ma musique, trouble, pas noire mais sombre. Cela correspond bien à mon identité musicale. »

On peut découvrir son parcours et écouter sans modération ses vidéos sur le site http://www.myspace.com/djtroub

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Union070314cra - Locales - Reims

Chauffage : les locataires informés de la TVA à 5,5 %

 

Jean-Pierre Auger, directeur général adjoint au patrimoine et à la logistique de la ville.

Les bailleurs répercutent-ils bien sur la facture de leurs locataires la baisse découlant de la TVA à 5,5 % sur l’abonnement aux réseaux de chaleur ?

La loi « engagement pour le logement » du 13 juillet 2006 prévoit de fixer à 5,5 % la TVA sur les abonnements aux réseaux de chaleur et d’autre part de fixer à 5,5 % le taux de TVA sur l’ensemble de la facture (abonnement et consommation) dès lors que le réseau de chaleur est alimenté à plus de 60 % par du bois, de la géothermie, de la chaleur issue des déchets ou de récupération industrielle. Cette loi est-elle bien appliquée à Reims ?

Jean-Pierre Auger, directeur général adjoint au patrimoine et à la logistique de la ville, répond à propos de la première disposition :

« La baisse du taux de TVA sur les factures d’énergies délivrées par le réseau de chaleur est appliquée aux factures éditées après le 16 juillet 2006 avec effet au 1er juillet 2006. Le taux de TVA appliqué est donc de 5,5 % au lieu de 19,6 % sur le terme R2 (représentant les charges fixes correspondant à l’abonnement). L’impact de cette baisse sur la facture globale devrait être de l’ordre de 4 à 5 %. »

Une baisse répercutée directement par la Soccram (l’exploitant du réseau de chauffage urbain) auprès des organismes logeurs (Reims Habitat, Effort Rémois et Foyer Rémois). Qui doivent eux-mêmes la répercuter auprès des locataires (1).

Les abonnés informés par courrier

Si la Ville n’a pas les moyens de vérifier que les bailleurs appliquent bien cette réduction sur les charges des locataires, elle a bétonné la communication pour assurer au mieux la transparence :

« Les informations concernant ces nouvelles mesures ont été communiquées dès le 17 août 2006 aux associations de locataires (CNL, AFOC, CGL et CLCV) ainsi qu’aux organismes logeurs rencontrés le 4 juillet 2006 »

précise M. Auger qui ajoute :

« L’ensemble des abonnés raccordés au réseau de chaleur ont également été informés des nouvelles dispositions par courrier le 28 août dernier. Le but étant que les locataires bénéficient à 100 % de cette mesure. »

Un but honorable, car selon Michel Guillaudeau, conseiller municipal PC, la mesure ne concerne pas moins de 12 à 15.000 logements de la ville.

35 % de chaleur issue de l’énergie renouvelable à Reims

A propos de la seconde mesure, Reims est loin d’atteindre les 60 % requis de chaleur issue de l’énergie renouvelable pour bénéficier d’une baisse du taux de la TVA à 5,5 % sur la totalité de la facture (abonnement et consommation).

« Actuellement, nous sommes à 35 % (grâce à l’incinération des déchets ménagers) », explique M. Auger. « C’est dur d’atteindre 60 % sauf à utiliser le bois. Une alternative que nous sommes en train d’étudier. Il faut notamment s’assurer qu’après investissement, le coût final pour l’usager ne sera pas plus élevé qu’actuellement. »

Et Michel Guillaudeau de confirmer :

« Une étude de faisabilité pour l’installation d’une chaudière à bois est en cours sur Croix-Rouge m’a indiqué le maire dans un courrier du 13 février. La Région est prête à financer 70 % des frais d’étude et d’installation. »

Un bon moyen de faire encore baisser la facture des locataires.

Marion Dardard

(1) L’Effort rémois, pour cause de vacances, n’a pu répondre à ce sujet. Quant au Foyer rémois et à Reims Habitat, ils restaient injoignables à l’heure où nous écrivions ces lignes.

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Union070313cre - Locales - Reims

Un conseil de quartier public extraordinaire à Croix-Rouge

 

Le préau de l’école Joliot-Curie était bien plein.

« A Mauriac, lors du dernier conseil de quartier public, je m’étais engagée devant la population à organiser une rencontre avec le maire et les représentants des sociétés de HLM pour que vous puissiez leur poser vos questions sur les projets neufs et les problèmes de réhabilitation », a rappelé Marie-Annick Roger en ouvrant à l’école primaire Joliot-Curie, une séance publique extraordinaire du conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche en présence du maire de Reims et des représentants des organismes logeurs : Jean-Denis Mège pour le Foyer rémois, Patrick Baudet pour Reims-Habitat et Jean-Pierre Bertout pour l’Effort rémois.

Le président du conseil de quartier, l’adjoint Ahmed El Mcherfi, n’était pas convié à la tribune.

Il est resté dans la salle avec les autres élus : Gloria Cicile de la Croix, Éric Quénard, Mario Rossi, Marie-Thérèse Philippe et Michel Guillaudeau.

Seul ce dernier est intervenu dans le débat.

Le préau de l’école Joliot-Curie était plein malgré, de toute évidence, un déficit de communication, notamment au niveau des affichettes prévues dans les halls d’immeubles, ce que n’a pas manqué de rappeler M. Philippe (Eisenhower) : « Je m’insurge contre une publicité hâtive et tardive. »

Mme Roger a plaidé non coupable si les affichages sont venus trop tard.

A part cet incident, le directeur de Reims-Habitat a passé une soirée tranquille : pas un seul grief contre son organisme. « Je ne suis pas venu pour rien : j’ai beaucoup écouté, je suis d’ailleurs toujours à l’écoute », déclarait-il, plutôt ravi.

Questions à l’Effort émois

Pour sa part, le représentant de l’Effort rémois, Jean-Pierre Bertout, a subi les foudres de Mme Kaczowka (Les Polygones) :

« Nos immeubles ont 30 ans d’âge. La moitié serait mise en vente. Or, tout s’en va : dessus, dessous. Voulez-vous vous débarrasser d’immeubles en perdition sans même une expertise préalable ? »

Le maire est intervenu : « Toute vente de HLM est soumise au contrôle municipal, et faites-nous confiance, les structures seront vérifiées par un contrôle sérieux ! »

Toujours pour l’Effort rémois, M. Byar a souligné : « Les portes d’entrée déficientes, les carreaux cassés, la propreté du secteur,. » à Croix-du-Sud.

Un centre commercial de 800 m2 à Pays-de-France

Pour le secteur Pays-de-France (Effort rémois), il faut se souvenir que la grogne des locataires avait éclaté en apprenant que des immeubles neufs allaient être construits par le Foyer rémois, alors que, selon eux, les immeubles anciens, dans lesquels ils vivent, ne sont pas entretenus correctement.

C’est pourquoi M. Citerne (direction de l’urbanisme) et ses services ont présenté des plans et des images virtuelles de ce que devrait être le secteur Picards-Arago dans quelques mois :

- un centre commercial de 800 m2 en rez-de-rue, avec toiture végétalisée,

- 33 logements en deux bâtiments (rez-de-chaussée et 4 étages),

le tout le long de l’avenue Bonaparte, dans le prolongement de La Poste, jusqu’au virage Arago, avec privatisation de certains espaces, dans le cadre d’une résidentialisation.

- Avec la création de 67 places de stationnement, ce projet augmentera le nombre de places de stationnement sur Pays-de-France.

Priorité d’occupation sera donnée aux actuels commerces de Pays-de-France qui « descendront » en bord de rue. Quelques m2 seront proposés pour d’autres commerces.

La passerelle conservée

En ce qui concerne la passerelle de l’actuel centre commercial, le maire a été formel :

« Le tracé du tramway a été rectifié, on ne passe plus par le virage neuf entre l’Acrap et l’hippodrome, on crée une station supplémentaire et on ne casse plus la passerelle. »

Aussitôt M. Nicolas (comité des locataires de Pays-de-France) a demandé quel sera l’avenir du supermarché Diagonal :

« Au lieu de ses 600 m2 actuels, on lui propose 200 m2 dans le nouveau centre commercial. Il n’a plus qu’à fermer boutique ! Si on ne casse plus la passerelle, pourra-t-il rester là où il est ? »

Deux réponses divergentes. Pour le maire :

« Si on ne casse plus la passerelle, on peut tout étudier ».

Pour Jean-Denis Mège, « le projet de casse est toujours dans les cartons du Foyer rémois et une étude de marché est en cours ».

Y aura-t-il des destructions d’immeubles à Pays-de-France (M. Nicolas) :

« Oui ! » mais le Foyer rémois refuse de dire lesquels.

Où en est le projet du Foyer rémois ? En fait, tout l’avenir de Croix-Rouge (La Rafale/Hippodrome, Pays-de-France et Croix-du-Sud) est actuellement à l’étude :

« Trois équipes d’architectes, d’urbanistes et de penseurs de haute qualité sont en train de réfléchir ensemble sur le Croix-Rouge futur » a annoncé Jean-Louis Schneiter : « Nous les rencontrerons le 28 mars, en liaison avec les trois organismes logeurs, pour faire le point sur leurs propositions. Tous les plans d’aménagement retenus devront encore être entérinés par l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru). »

Le Foyer rémois sur la sellette
Le président du comité de locataires a soulevé de nombreux problèmes.

Le gros de l’averse a été déversé sur le Foyer rémois, qui a accumulé les plaintes tout au long de la soirée et Jean-Denis Mège a eu fort à faire pour répondre à tous les griefs.

Questions-réponses.

A Pays-de-France (M. Dehu) :

« Problèmes d’étanchéité et d’isolation des logements depuis longtemps. Environnement peu accueillant, quand on traverse Croix-Rouge, on ressent un choc visuel, entre La Rafale et Croix-du-Sud ».

(M. Byar) :

« Et l’aménagement intérieur des logements existants : isolation inexistante, froid, humidité ? Nous vivons dans des appartements trop humides et au chauffage déficient ! »

Aux Landais :

« Problèmes de fuites avec une coulée d’eau permanente dans la chambre d’un enfant ».

Aux Gascons (M. Maglo) :

« La façade qui devait être refaite avant la vente des logements, n’a pas été faite. Le Foyer rémois n’a pas tenu sa parole et maintenant, nous sommes piégés ».

Secteur Picards (M. Byar) :

« Votre projet est très joli, mais que vont devenir les habitants des Picards ? Ils vont être enfermés, cloisonnés. »

Ilot H :

« La rénovation extérieure d’une partie de l’îlot H a été faite, c’est bien, mais pourquoi pas le reste ? »

Les réponses

Jean-Denis Mège a donné des réponses qui n’ont pas toujours satisfait les habitants.

Il a évoqué « la lenteur administrative du projet de rénovation urbaine (Anru) pour valider un certain nombre de projets »,

« la rénovation s’étalera sur plusieurs années »,

« le désenclavement des Picards sera prévu »,

« à Pays-de-France, des sociologues ont rencontré 30 locataires et téléphoné à 350 autres, leurs conclusions figureront au cahier des charges des concepteurs »,

« pour les façades et les isolations, le Foyer rémois est impatient de commencer les travaux dès qu’il aura le feu vert de l’Anru : on ne veut pas rater l’aspect des façades. On devrait démarrer dans quelques mois »,

« pour les aménagements intérieurs, cela se fera immeuble par immeuble en concertation avec les habitants, mais le projet de réhabilitation n’est pas encore prêt, nous manquons de bases de réflexion, le programme, le contenu et le calendrier ne sont pas parfaitement connus ».

En conclusion, « le Foyer rémois va essayer, par une résidentialisation, de créer, en privatisant des espaces, des îlots qui vivront les uns à côté des autres. Dès lors que le projet de l’Anru sera établi, il ne fait pas de doute que Croix-Rouge sera un nouveau quartier où l’on fera venir de nouvelles personnes. »

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CROIX-ROUGE : Derniers échos du conseil de quartier

 

M. Byar a soulevé la question des impôts très élevés à Croix-Rouge.

Plusieurs questions spécifiques ont été abordées au cours du conseil de quartier public extraordinaire.

Tour d’horizon.

Impôts

M. Byar a protesté contre les impôts locaux « très chers dans ce quartier, aussi élevés qu’au centre ville ».

Le maire a expliqué : « Les impôts, cela ne dépend ni du maire ni du conseil municipal. Mais il faut savoir qu’à Reims, il y a beaucoup d’abattements : 42 % de Rémois ne paient pas d’impôts locaux, c’est énorme. Reims est une des villes de France record en ce domaine. »

Nostalgie

M. et Mme Chevalier habitent Croix-Rouge depuis sa création. Monsieur s’est inquiété : « Le Foyer rémois va construire de super immeubles, de super magasins. Mais des entreprises vont-elles venir s’installer à Pays-de-France ? »

Réponse du maire :

« La Zone franche urbaine existe toujours, et la loi impose un quota d’emplois réservés aux habitants du quartier.

La ville fera tout ce qu’elle peut pour encourager l’implantation d’entreprises. »

Quant à Mme Chevalier, elle a regretté :

« Dans les années 60, Croix-Rouge c’était génial : il y avait une bonne cohabitation entre habitants de toutes conditions sociales, il y avait l’armée, la gendarmerie, de nombreux commerces et on y vivait bien. Comment le quartier est-il arrivé dans l’état où il se trouve maintenant : les routes et les allées sont défoncées, les chemins pleins d’ornières, on ne peut même plus passer avec une poussette ou un fauteuil de handicapé ? »

Pour le maire « il y a certainement une part de responsabilité des organismes logeurs et de la ville mais aussi des habitants. »

Accessibilité

M. Amimeur est un enfant de Croix-Rouge.

A 25 ans, son diplôme de masseur-kinésithérapeute en poche, il veut s’installer tout naturellement dans son quartier, « mais voilà, le Foyer rémois m’a accordé un local au 6, Picards, au 1er étage, sans accessibilité personnes âgées et handicapés, même pas une petite rampe sur le trottoir ! »

Aussi mal placé, il se demande pourquoi on ne lui accorde pas l’ancien local de l’espace jeunes Arc-en-ciel, fermé et inutilisé.

Un de ses amis témoigne : « Tout semble fait pour que son cabinet ne se développe pas ! »

Gardiennage

M. Dehu s’est souvenu :

« A la création de Croix-Rouge, il y avait un gardien pour deux immeubles à Pays-de-France et l’harmonie sociale régnait. Pourquoi les avoir supprimés ? »

Jean-Denis Mège a reconnu :

« Dans notre enquête auprès des habitants, il ressort que la notion de proximité n’est pas satisfaisante. Il existe un décalage entre les attentes et ce que nous proposons. Notre projet de rénovation va y réfléchir. »

Rendez-vous

Pour les autres problèmes soulevés, M. Mège (Foyer rémois) maintient son explication :

« La lenteur administrative de l’Agence nationale de rénovation urbaine pour valider un certain nombre de projets ».

Le maire et les organismes logeurs ont pris l’engagement de rencontrer à nouveau la population au mois d’avril.

- D’autres photographies de cette réunion sont disponibles dans notre galerie photos

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Peu à l’aise au collège à l’aise sur les planches ?

 

Tony Amirati, animateur de l’atelier : « Avec moi, pas d’impro ! Je prépare tout : texte, musique, mise en scène ! »

Le 19 mars au soir, une vingtaine d’élèves de Joliot-Curie seront sur la scène du Grand Théâtre de Reims pour jouer la comédie. Aboutissement de nombreuses heures de persévérance, dans le cadre du projet national « T’es pas cap ».

Le lundi 19 mars au soir, une vingtaine de collégiens de Joliot-Curie auront sans doute un petit peu le trac : ils se produiront sur les planches du Grand Théâtre de Reims, devant un vrai public, pour présenter le fruit de leur travail mené dans le cadre d’une opération nationale « T’es pas cap ».

Le maître d’œuvre de cet atelier, Tony Amirati, répond à nos questions :

Rappelez-nous qui est à l’origine de cette opération, « T’es pas cap ».

_T.A.- C’est une association de la région parisienne, Belvédère 99, qui a soumis l’idée au ministère de la Cohésion sociale. En tout, une vingtaine de villes en France y ont adhéré. Comme Mme Vautrin, chargée de ce ministère, me connaît bien, c’est elle qui a insisté pour qu’à Reims, ce soit moi qui m’en occupe.

Effectifs fluctuants

Quelle était la finalité de l’opération ?

Les Parisiens l’exposaient dans un document épais comme ça ! Pour résumer, je dirais que le projet s’adresse à des enfants des collèges les moins favorisés, ceux que l’on appelle maintenant « à ambition réussite » pour ne plus parler de zone d’éducation prioritaire. Il s’agit de donner à ces enfants l’occasion d’approcher le français de façon dynamique et vivante, de faire travailler leur mémoire, et d’apprendre à vivre en communauté.

Comment les choses se sont-elles passées ?

Il y a eu au départ quelques petites difficultés à résoudre, en particulier la fluctuation des effectifs ; on a démarré à 24-25, et puis très vite, certains sont partis, d’autres sont arrivés. Je les ai avertis que ça ne pouvait pas durer comme ça ! On avait commencé le travail à la mi-septembre 2006 ; finalement, il aura fallu attendre le début de cette année pour que les effectifs se stabilisent vraiment.

Donc un problème d’assiduité. Et concernant la discipline ?

Ils sont parfois un peu bavards, mais je n’ai jamais vraiment à me plaindre ; ils restent très à l’écoute, et se sont montrés tout à fait ponctuels. Le plus gênant, c’est qu’il leur a fallu du temps avant de constituer vraiment une troupe homogène, ils préféraient former leurs petits groupes par affinités.

En tant que « maître d’œuvre » local, aviez-vous des contraintes particulières à respecter ?

Le thème de l’œuvre à faire jouer devait être « la rencontre ». Pour le reste, j’ai fait à ma façon. Je n’aime pas trop que l’on arrive en ayant l’air de ne rien avoir préparé. Avec moi, jamais d’impro ! C’est pour ça que je prépare tout moi-même : je choisis la musique, j’écris le texte, je décide de la mise en scène !

A la recherche du beau-frère

Alors, qu’avez-vous choisi de faire jouer à vos « élèves » ?

Une petite pièce que j’ai écrite moi-même, une sorte de comédie musicale, qui se situe en France quelques jours avant la prise de la Bastille ; pour l’anniversaire de la duchesse Drouet d’Erlon, on se met à la recherche du beau-frère du duc, dont on est sans nouvelle depuis des lustres. Cela donne lieu à toute une quête à travers la France. Cela s’appelle « l’Histoire sans titre ».

Les sentez-vous prêts pour le 19 mars ?

Je leur ai dit : moi je n’ai rien à prouver, c’est vous qui devez montrer ce dont vous êtes capables. Ce n’est pas forcément évident : la pièce dure 55 minutes, et ils doivent tout savoir par cœur. Mais je les sens très motivés, à 200 %. Ils sont prêts à continuer après le 19.

Antoine Pardessus

Spectacle de collégiens « T’es pas cap »,

lundi 19 mars à partir de 19 heures au Grand Théâtre.

Entrée libre.

Épernay et Châlons présenteront leurs spectacles les premiers, Joliot-Curie de Reims conclura vers 20 h 30.

Union 070323cra Locales - Reims.

(suite de l’article précédent)

Histoire sans titre mais pas sans succès

 

Les élèves de Joliot-Curie ont été « à la hauteur », estime leur metteur en scène Tony Amirati. Gérard Péron

« Ils ont été à la hauteur. » Commentaire ravi de Tony Amirati, metteur en scène, à propos de ses élèves comédiens, à la suite de leur prestation de lundi soir sur les planches du Grand théâtre.

C’était pour ces collégiens de Joliot-Curie l’aboutissement d’une longue série de répétitions hebdomadaires le samedi matin, dans le cadre d’une opération nationale intitulée « T’es pas cap », appellation sonnant comme un défi lancé à ces ados ou pré-ados supposés à tort ou à raison mal à l’aise dans le cursus scolaire classique.

Ces efforts répétés ont trouvé leur récompense avec le joli succès de leur comédie musicale, « l’Histoire sans titre », écrite par ce même Tony Amirati : la salle, bien peu remplie pour ne pas dire quasiment vide pour les prestations de Châlons et Épernay qui ouvraient la programmation, s’est heureusement bien remplie pour les trois coups des Rémois.

Ceux-ci ont semble-t-il beaucoup plu à la ministre de la Cohésion sociale présente dans l’assistance, Catherine Vautrin, dont le ministère chapeautait l’opération au niveau national, et fan à titre personnel de « Tony ».

Pour celui-ci et ses élèves occasionnels, l’aventure de T’es pas cap est donc à présent terminée, le contrat étant rempli : spectacle monté et joué en public.

Mais personne dans le groupe, pas plus le professeur que ses ouailles, n’a envie que tout s’arrête aussi brutalement. « On rejouera l’Histoire sans titre !…. ailleurs » affirme le metteur en scène.

Histoire sans titre donc, mais pas sans suite.

A.P.

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Union070313crb - Locales - Reims

Demain, opération crêpes de la solidarité

 

Chaque année, les bénévoles préparent près d’un millier de crêpes !

 

 

 

 

Organisée par l’association Multi-échanges services (Mutes), la 14e édition de l’opération Crêpes de la solidarité se déroulera cette année ce mercredi 14 mars, de 14 à 17 heures, place Auguste-Rodin à Croix-du-Sud, en partenariat avec de nombreuses associations et structures du quartier (stands et animations).

La présidente, Martine Massart, et les bénévoles de l’association perpétuent ainsi une tradition imaginée il y a treize ans par Charles Santini et Dominique Davienne :

une crêpe reçue (gratuitement) est toujours accompagnée d’une autre crêpe qui doit être offerte par l’intéressé à une personne seule, isolée, âgée, malade, handicapée, dans la détresse ou en résidence.

Mutes, 12 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.7

 

 

 

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Union070313cra - Locales - Reims

Job’s 51 inaugure ses nouveaux locaux

 

Une partie de l’assistance.

L’association intermédiaire Job’s 51, crée en 1992, était implantée au 1, rue Joliot-Curie. Elle a déménagé et occupe désormais de nouveaux locaux au 3, avenue du Général-Bonaparte.

L’inauguration s’est déroulée mardi dernier, en présence d’un public associatif, de l’adjoint Ahmed El Mcherfi, de Joël Mouysset, représentant du Foyer rémois et du président de l’association des entreprises de Croix-Rouge (Crea), Jean-Paul Lemoine.

Tous ont découvert les 180 m2 agrandis, aménagés et rénovés par le Foyer rémois : deux salles de réunion, cinq bureaux, une kitchenette, une pièce d’archivage, une réserve et des sanitaires.

Le président Michel Guillaudeau a rappelé : « Il s’agit là en quelque sorte, d’un retour aux sources, puisque dans les années 80, un club de Prévention œuvrait dans ces locaux ».

Et de poursuivre : « Avec maintenant de meilleures conditions d’accueil, nous allons pouvoir développer notre action et élargir notre champ d’action en développant des actions de formation. »

La directrice de Job’s 51 a précisé : « Près de 500 personnes sont inscrites à notre fichier. 350 ont du travail, ce qui correspond à 67.000 heures de travail, soit l’équivalent d’une PME de 50 emplois ! » L’intervention de Job’s 51 ne se limite pas à trouver des emplois : « Après un diagnostic individuel, nous montons avec chacun un parcours d’insertion sociale et professionnelle. »

Le personnel est composé de Marie-France Pernet, directrice, Sophie Grandjean, Christine Lair et Sandrine Mulot pour l’accueil, et Véronique Petitprêtre, conseillère en insertion.

Association intermédiaire Job’s 51 :

3 avenue du Général-Bonaparte

Tél. 03.26.06.18.26.

Horaires d’accueil : 8 h 30 à 12 h 30 et 14 à 18 heures, du lundi au vendredi

- D’autres photographies de cette cérémonie sont disponibles dans notre galerie photos

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Union 070312crb Locales - Reims

Humidité rue des Savoyards : Fred le locataire en a marre

 

La chambre de sa fille : « Je suis obligé d’aérer toute la journée, sinon ça sent le moisi. » L’accès au balcon est interdit aux enfants. ; En remettant de l’ordre sous la baignoire, Frédéric Stasse a perdu le lavabo de la salle de bain

Dans la série « Venez chez moi, j’habite dans un taudis », petit tour au domicile d’un locataire de la rue des Savoyards. Les murs suintent de partout.

ON a déjà vu pire mais l’appartement occupé par Frédéric Stasse au dernier étage d’un immeuble de la rue des Savoyards n’a quand même rien du confort trois étoiles. La faute aux murs qui ont tendance à suinter d’un peu partout.

« Ma fille de deux ans est toujours malade. Écoutez quand elle tousse ! On entend qu’elle est prise. »

Âgé de 22 ans, Frédéric Stasse, son amie et leurs deux enfants de deux et trois ans, habitent rue des Savoyards depuis décembre 2004.

Originaire d’Epernay, le jeune couple a d’abord vécu dans un foyer lors de son arrivée à Reims. « Quand on est dans un foyer, plus vite on en part, mieux c’est. » Le couple a donc sauté sur l’occasion lorsqu’un F3 lui a été proposé rue des Savoyards à Croix-du-Sud (sic).

« Je ne suis pas venu à l’état des lieux » regrette aujourd’hui Frédéric Stasse. « Il n’y avait que mon amie. C’est bien dommage, car elle n’a pas fait attention à certains détails que j’aurais remarqués, comme des fissures non rebouchées dans les murs. Le bâtiment, je m’y connais. Je travaille dans le BTP. Je n’aurais jamais accepté cet appartement en l’état. » Les talents de bricoleur de Frédéric lui permettent de rafistoler ce qui peut l’être.

Direction la salle de bains.

« Sous la baignoire, tout le fond était bouffé par l’humidité. J’ai dû remettre de l’enduit siliconé. De l’enduit simple, ça ne tenait pas. Là, il y avait un lavabo. En me relevant alors que je posais des joints siliconés, je l’ai heurté avec le dos, pas violemment. Il est pourtant tombé. Les pattes d’accroche étaient abîmées. »

Pas beau le lavabo

Depuis, le lavabo traîne dans le cagibi dont le mur est creusé par endroits. « Je l’ai trouvé comme ça en arrivant. »

La fenêtre de la chambre de la petite est grande ouverte. « Je suis obligé d’aérer toute la journée, sinon ça sent le moisi. Il y a des infiltrations d’eau sur les murs, dans les coins. »

C’est un peu mieux dans la chambre du garçon. Où dorment les parents ? « Dans le salon, sur le canapé. »

Le balcon est interdit aux enfants. « Il y a du vide de chaque côté. Ils peuvent laisser tomber des objets. »

Bébé arrive

Frédéric n’a pas déposé de demande de relogement auprès du bailleur. « Tant que je leur dois de l’argent, ça ne sert à rien. »

Il est en effet débiteur d’environ 2.000 €, essentiellement à cause de la facture d’eau. « On nous réclame 1.700 € car nous aurions consommé 300 m3 d’eau » dit-il. « Ca me surprend. »

Depuis janvier, le jeune homme suit une formation rémunérée qui doit lui rapporter un peu plus d’argent ce mois-ci. « Je vais en garder la moitié pour commencer à payer. »

Il est également dans l’attente d’un dossier déposé auprès du fonds de solidarité logement pour tenter de s’en sortir et de quitter cet appartement.

« On ne peut pas continuer à vivre là-dedans. En plus, mon amie est enceinte d’un troisième enfant. Il va naître en août. »

Avec l’humidité ambiante, ils craignent pour sa santé. La famille va également se retrouver à l’étroit. « On va peut-être faire de la place dans le cagibi. »

F.C.

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Union 070312cra Locales - Reims

Avec le Stade et la Licra les jeunes contre la violence

 

Les jeunes champions et des joueurs du Stade de Reims. Les vainqueurs du tournoi de futsal des plus de 16 ans sont récompensés. ; Des joueurs du Stade de Reims assistent aux tournois de futsal

Stéphanie Tadla, coordinatrice de « Sports de proximité » à l’échelle du quartier Croix-Rouge, a animé la remise des récompenses des divers tournois interquartiers qui se sont déroulés pendant les vacances scolaires. Dix jours durant, les jeunes des différents quartiers se sont affrontés dans plusieurs disciplines. Au programme, entre autres : futsal, basket, mini ping-pong, basket et karaoké. Le PIJ (Point Information Jeunesse) proposait aussi des animations.

Une ambiance festive

Les quatre équipes finalistes du tournoi futsal (deux pour les 12-15 ans et deux pour les plus de 16 ans) jouaient toutes pour le quartier Croix-Rouge.

A chaque but, des bruits résonnaient dans les gradins du gymnase Joliot-Curie.

16 heures, fin des rencontres. Coupes, places de matches pour voir le Stade de Reims, tee-shirts de la Licra et du Stade sont remis aux vainqueurs, sous les applaudissements de la salle. Et de trois joueurs du Stade de Reims. Tagro Baléguhé, Miguel Comminges et Johan Liébus, accompagnés de leur préparateur physique Philippe Simonin, avaient en effet fait le déplacement. Pour le plus grand plaisir des enfants et des jeunes avec qui ils ont longuement discuté et auxquels ils ont signé une ribambelle de dédicaces sur des posters de l’équipe.

En présence de joueurs du Stade

Cette année, le Stade de Reims s’est en effet associé à la manifestation afin de « montrer qu’on est là pour les jeunes », explique son représentant, Jacques Fillols.

Et d’ajouter : « Les problèmes de violence entre supporters sont quasi inexistants à Reims. Il suffit d’écouter et de respecter les jeunes. »

La Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) a également souhaité parrainer la manifestation cette année.

Ces festivités sont organisées depuis 5 ans par l’association Atlas, présidée par Hichem Boussoufi, en partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge La Nacelle.

L’objectif, c’est aussi de permettre aux jeunes de s’exprimer sur le racisme et de montrer une belle image de leurs quartiers.

Le samedi 31 mars, Atlas renouvellera l’opération, mais à plus grande échelle. Des quartiers de plusieurs régions devraient être amenés à se rencontrer.

Brigitte Servas

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Union 070308cra Locales - Reims

Les « musiques actuelles » ont leur site

 

Boris Claudel a revisité son site internet.

Boris Claudel, animateur du réseau « Pôle sud-Musique » de la maison de quartier Croix-Rouge, présente le nouveau site internet mis à jour : www.polesudmusique.com.

Ce réseau est né du rapprochement de cinq structures des quartiers sud de Reims désireuses d’établir des passerelles entre leurs différents projets culturels liés aux musiques actuelles amateurs.

L’arrivée de La Cartonnerie dans le paysage musical rémois et la création de l’association des maisons de quartier de Reims ont nécessité un positionnement du réseau Pôle Sud Musique dans cette nouvelle organisation.

Ainsi, Pôle Sud Musique a été déclaré « Pôle de compétences Musiques actuelles » des maisons de quartier de Reims et concerne maintenant tout acteur local développant une réelle politique culturelle liée aux musiques actuelles, espace d’une maison de quartier ou association amateur de programmation musicale.

En septembre 2005, le réseau a ainsi intégré la maison de quartier Clairmarais, l’association les Pirates de l’art et le collectif 51 Monochrome.

En septembre 2006, c’était au tour de l’association Oxal’Art.

A travers les activités proposées par les structures et les services mis en place par le réseau, Pôle Sud Musique est devenu un véritable relais entre amateurs et professionnels : « Musiciens, groupes ou associations, le réseau accompagne vos projets ! » déclare Boris Claudel.

La partie « Services » détaille les formations proposées par le réseau Pôle sud Musiques : cycle de formations internes, accompagnement des initiatives amateurs, rencontres musicales Pôle Sud Musique, dispositif Jeunes talents 2007, fête de la Musique 2007.

Le site énumère toutes les pratiques musicales dispensées dans les structures membres du réseau.

Un répertoire des salles de répétition est également disponible.

Pôle Sud Musique, 1 allée des Picards - Tél. 03.26.86.10.71.

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Union 070307crb Locales - Reims

Réunion du comité de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche le jeudi 8 mars

 

Mme Roger, premier adjoint au maire de Reims, convoque une réunion du comité de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche « en séance publique, en présence de monsieur le Maire et des représentants des organismes logeurs, sur les projets d’aménagement du quartier ».

Cette réunion exceptionnelle se déroulera demain jeudi 8 mars, à 18 heures, à l’école primaire Joliot-Curie.

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Union 070307cra Locales - Reims

En attendant Brest.

 

Les six danseuses du Rap et leur entraîneur.

 

Le Reims Acrap Patinage a participé pour la 4e fois aux demi-finales solos des championnats de France et quatre danseuses sont sélectionnées pour la finale qui aura lieu à Brest les 20, 21 et 22 avril.

Grâce au travail assidu de Ludivine Lemaire, entraîneur, le club remporte quatre beaux podiums.

- Catégorie Benjamin 1re année : 1. Morgann Prey, 3. Margaux Abib-Gruet.

- Catégorie Benjamin 2e année : 1. Camille Renault (vice championne de France 2006), 9. Eva Lemaire.

- Catégorie Minime 2e année : 3. Solène Manceaux.

- Catégorie Novice 1re année : 12. Morgane Huet.

 

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Union 070305crb Locales - Reims

Ludosport : ça continue.

 

Roller au gymnase Roux.

OUVERTES aux jeunes de 4 à 11 ans, les activités de Ludosport proposées par la ville se poursuivent jusqu’au 9 mars.

L’accès est gratuit dans la limite des places disponibles. « On balaie l’ensemble des quartiers et chaque jour on a entre 360 à 400 enfants », témoigne Laetitia Mareigner. « Il y a des activités dominantes : la gymnastique, les sports de raquettes et les sports collectifs. Il y a aussi des activités d’éveil pour les plus petits avec des jeux collectifs. Les éducateurs apprennent aux enfants à évoluer dans l’espace avec des parcours gymniques. On a même refusé du monde dans certains gymnases : à Courcelles, Vasco de Gama et à la patinoire Barot. »

Les activités proposées :

- Gymnase Léo-Borgniet (4, rue Raoul-Duffy à Croix-Rouge) de 10 à 12 heures éveil sportif pour les 4/5 ans ; sports collectifs pour les 6/11 ans.

- Patinoire Barot (avenue François-Mauriac à Croix-Rouge) ouverture d’une séance baby glace pour les 4/5 ans de 14 heures à 15 h 30 (avoir un vêtement chaud, anorak, bonnet, gants et écharpes).

Les patins sont fournis à partir de la taille 23.

Pour les 6/11 ans initiation patinage et initiation hockey et de 15 h 30 à 17 heures patinage libre, match de hockey.

- Gymnase Richelieu (Val de Murigny) de 10 à 12 heures badminton et mini tennis pour les 6/11 ans.

- Gymnase Roux (Chemin des Charbonniers) de 10 à 12 heures activité roller pour les 6/11 ans.

- Gymnase Vasco de Gama (Les Châtillons) de 14 à 17 heures sports collectifs pour les 6/11 ans.

- Gymnase Barbusse (Cernay) de 10 à 12 heures éveil sportif pour les 4/5 ans ; sports insolites et sports de raquettes pour les 6/11 ans.

- Gymnase Prieur de la Marne (1, rue Xavier Dizy à Jean-Jaurès) de 14 à 17 heures sports collectifs et sports de raquettes pour les 6/11 ans.

- Gymnase Desbureaux (rue de Florence à Neufchâtel) de 10 à 12 heures éveil sportif pour les 4/5 ans et sports collectifs pour les 6/11 ans.

- Gymnase Gallieni (Orgeval) de 14 à 17 heures sports collectifs pour les 6/11 ans.

- Gymnase Courcelles (75, rue du Mont d’Arène à Clairmarais) de 14 à 17 heures sports insolites et sports de raquettes pour les 6/11 ans.

Pour y participer

Si vous n’avez pas encore la carte Ludosport 2006-2007 ou une carte Usal, il suffit de se présenter sur le site avec une photo d’identité, un formulaire d’inscription (disponible à la mairie, aux annexes ou dans les maisons de quartier).

Avoir une paire de basket propre et une tenue de sport.

Pour tous renseignements : numéro vert (gratuit depuis un poste fixe) : tél.0.800.50.69.56.

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Union 070305cra Locales - Reims

Cambriolage et incendie au salon de coiffure

 

Sur place, la police a tenté de relever des indices (photo A.P.).

Les pompiers sont intervenus hier matin vers sept heures sur un incendie qui s’est déclaré dans un salon de coiffure du quartier Croix-rouge, le salon Tif city de l’allée des Provençaux.

Ce salon est situé en rez-de-chaussée d’un immeuble d’habitation.

Par précaution, les pompiers ont évacué pendant quelques minutes les occupants des deux appartements les plus proches de la boutique, cinq personnes en tout.

Mais les dégâts n’ont finalement affecté que le local du coiffeur.

Cet incendie n’est probablement pas d’origine accidentelle.

Il y a au contraire tout lieu de penser qu’il est lié à un cambriolage : sur place les policiers ont trouvé le rideau métallique de la façade arrière relevé, et la vitre brisée.

De source policière, ce salon de coiffure, sous différents noms, aurait déjà connu des effractions par le passé à plusieurs reprises.

A.P.

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Union 070303cra Locales - Reims

CROIX-ROUGE : les dates à retenir en mars

 

Inauguration

L’inauguration des nouveaux locaux de l’association intermédiaire Job’s’51 se déroulera mardi 6 mars à partir de 18 h 30 au 3, avenue du Général-Bonaparte.

D.J. champion du monde

 

DJ Troubl, scratcheur d’envergure mondiale, sera à l’espace Ethnic’s les 6 et 7 mars.

Mardi 6 et mercredi 7 mars, l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge accueille, en partenariat avec le réseau Pôle sud musiques, DJ Troubl, double champion du monde « International Turntable Federation » (ITF) 2002-2003 et vice-champion du monde DMC au Battle for World supremacy, à Londres en 2006.

Renseignements chez Ethnic’s au 03.26.86.08.02.

 

 

Sport et culture

Jeudi 8 mars, journée sport et culture (baby-foot, ping-pong, karaoké, futsal, basket-ball), suivie d’un goûter avec spectacle. Renseignements auprès de Stéphanie Tadla, à l’espace la Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard , téléphone (03.26.49.47.07.).

Assemblée générale

L’Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap) organise son assemblée générale vendredi 9 mars à 20 h 30, salle Jean-Jacques Lapique au 11 avenue du Président-Kennedy.

Belote

Le prochain concours de belote organisé par la section pétanque de l’Étoile Croix-du-Sud aura lieu dimanche 11 mars.

Inscriptions à 13 h 30 à l’association, 5 avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66.).

Randonnées

Marcheurs du dimanche de l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau), à vos chaussures dimanche 11 mars, pour le tour du lac des Vieilles-Forges (Ardennes), 14 km, départ à 8 heures, retour vers 16 heures. Sortie en journée.

Autre sortie, dimanche 25 mars, pour découvrir les villages troglodytes du Laonnois à Moulins (Aisne), 12 km, départ à 8 h 15 et retour vers 13 heures.

Renseignements, inscriptions à l’Espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).

Crêpes-solidarité

Organisée par l’association Multi-échanges services (MutES), la 14e édition de l’opération Crêpes-solidarité se déroulera mercredi 14 mars de 14 à 17 heures, place Auguste-Rodin à Croix-du-Sud, en partenariat avec de nombreuses asociations du quartier.

La journée du puzzle

La maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard 12-14, rue Pierre-Taittinger, organise « la grande journée du puzzle » samedi 17 mars. « Venez établir le record de l’espace Billard en réalisant un maximum de puzzles en 8 heures. »

Renseignements au 03.26.08.08.78.

Locataires en réunion

L’association des locataires du secteur At’Hom réunit son assemblée générale mardi 27 mars à 18 h 30, dans les locaux de l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, au 3 allée Antoine-Watteau.

Renseignements : Danièle Bonfils, présidente, 1 allée Yves-Gandon. Tél. 03.26.86.10.03

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Union 070302crb Locales - Reims

Des ateliers informatique le mercredi à l’école

 

Les jeunes, particulièrement intéressés par ces ateliers informatiques.

Pour la troisième année consécutive, depuis octobre, chaque mercredi des enfants se retrouvent au sein d’ateliers informatiques.

Coordonnées par la Direction de l’Education Jeunesse de la Ville et l’USEP/USAL, dix écoles rémoises accueillent cette activité en 2006 -2007 : Alfred-Gérard, Avranches, Blanche-Cavarrot, Clairmarais, Desbureaux, Galliéni, Jamin, Ruisselet, Sully et Université selon les principes suivants :

Huit à douze enfants de cycle 3 peuvent participer. L’encadrement est assuré par un binôme composé d’un élève stagiaire de l’IUFM et un animateur de l’association Informati’x.

Enfin, l’année scolaire a été découpée en deux sessions avec à la fin de chacune un moment de présentation des travaux aux enfants des autres ateliers.

Mercredi dernier avait donc lieu le premier moment de rencontre et présentation de ces informaticiens en herbe au collège Pierre-de-Coubertin.

Devant les personnalités présentes la richesse de ces ateliers a été remarquée au travers des journaux d’école, des sites internet d’école, des travaux sur l’image, ou bien encore des diaporamas.

A l’issue de cette après-midi les enfants vont remettre du cœur à l’ouvrage au travers de cette activité informatique dès le 14 mars.

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Union 070302cra Locales - Reims

Succès du baby glace à la patinoire Barot

 

La nouvelle activité « baby glace » proposée aux enfants âgés de 4 à 5 ans dans le cadre de Ludosport remporte un beau succès tous les après-midi de 14 à 15 h 30 à la patinoire Barot, avenue Mauriac.

« Il s’agit de sensibiliser les petits à la pratique d’un sport de glisse, le patin à glace » explique Laetitia Mareigner. « Le but, tout en leur faisant plaisir est de leur apprendre à maîtriser les rudiments du patinage, savoir jouer et se déplacer sur la glace. »

L’activité se poursuivra la semaine prochaine. L’accès est gratuit dans la limite des places disponibles.

Pour y participer, si vous n’avez pas encore la carte ludosport 2006-2007 ou une carte Usal, il suffit de se présenter sur le site avec une photo d’identité, un formulaire d’inscription (disponible à la mairie, aux annexes ou dans les maisons de quartier).

Il est impératif d’avoir un vêtement chaud, anorak, bonnet, gants et écharpes.

Les patins sont fournis à partir de la taille 23.

 

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Union 070301cra Locales - Reims

Foot : la rentrée des jeunes à l’Acrap

 

Les débutants (de 6 à 8 ans). ; Les poussins (de 8 à 10 ans)

Les débutants et les poussins de l’école de football de l’association Croix-Rouge animation et promotion ont repris leurs entraînements mercredi 21 février sur le complexe sportif Géo-André, avenue François-Mauriac.

Sur les 150 joueurs et joueuses venus de plusieurs quartiers de Reims que compte ce club, on compte cinq équipes de débutants (de 6 à 8 ans : 40 inscrits dont une équipe féminine, avec cinq entraîneurs) et deux équipes de poussins (de 8 à 10 ans : 40 inscrits, avec cinq entraîneurs).

« Ils sont tous là pour découvrir la vie d’un club de football et apprendre le jeu avec ses règles sportives et de fair-play » explique Laurent Julliard, président du club : « ils ont déjà participé à des plateaux et à un tournoi en salle à Taissy avec le sens de la discipline et un bon esprit sportif. »

Pour ces joueurs, l’entraînement a lieu à Géo-André tous les mercredis de 16 h 30 à 18 h 30, même pendant les vacances scolaires.

L’école de football, dirigée par Cyril Houppermans, comporte encore une cinquantaine de joueurs dans les équipes benjamins et treize ans.

Enfin, en dehors de l’école, une section senior représente l’Acrap avec 20 joueurs, sous la direction de James Chafik.

Pour tout renseignement, s’adresser :

- Acrap 11, rue du président-Kennedy

- 03.26.06.39.54.

- ou à Laurent Julliard, 06.75.00.61.15.

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Un beau mois de mars à la médiathèque Croix-Rouge

 

A écouter, les contes de Rémy Boussengui, le 14 mars. ; Un spectacle « Rimbaud » le 24 mars

Contes, spectacles, musiques, BD, documentaires. la médiathèque Croix-Rouge propose de nombreuses activités au mois de mars. Pour les plus grands comme pour les plus petits.

A la découverte du Studio One

Samedi 3 mars à 14 h 30, Thibault Ehrengardt, le passionnant rédacteur en chef du magazine « Natty Dread » évoque, pour sa troisième conférence avec illustrations musicales à Reims, la mythique maison de disques « Studio One », l’équivalent jamaïcain de la Tamla Motown. Cré par le légendaire Coxsone Dodd, producteur et propriétaire des lieux, ce label d’une importance fondamentale pour le reggae a permis à bien des artistes de débuter.

Club de lecture ado

Avec Bouq’1 #, venez échanger, discuter de vos lectures (magazine, manga, polar, roman.) et de celles qu’il vous sera proposé de découvrir, mardi 6 mars de 16 heures à 17 h 30.

L’heure du conte avec Julie

« Les bêtes dans le fossé » : mercredi 7 mars à 15 heures, une histoire tirée des contes populaires russes d’Afanasiev. Le loup, la renarde, l’ours et le lièvre tombent dans un même fossé. Y aura-t-il un survivant ?

Spectacles de contes

Rémy Boussengui nous plonge par les mots dans l’univers de son enfance, sur les traces d’une tradition orale léguée par son père.

Il raconte des histoires du village et de la forêt, des histoires de tortues, de lièvres, de rats fouisseurs, des histoires de vivants et de revenants. Mercredi 14 mars à 14 h 30, avec « Paroles de baobab », c’est un bouquet de contes qui peuvent varier au gré de l’humeur du conteur et de la respiration du public : « à cette époque-là, l’homme et l’animal parlaient la même langue, le lion mangeait à la table du roi, l’éléphant passait ses soirées avec les princes du royaume. »

La Ronde des albums

« Le printemps arrive ! », mercredi 21 mars à 11 heures, heure du conte.

L’heure des bébés

Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents, jeudi 22 mars à 10 heures.

Avec Arthur Rimbaud

« Les Illuminations » d’Arthur Rimbaud en spectacle : extraits mis en scène et interprétés par Christine Bruneau de la compagnie « le Repos éclairé », pour adultes et adolescents, samedi 24 mars à 15 heures.

Projection de diapositives

Mimi fourmi : texte et illustrations en 3D de Patrice Le Querre.

Fourmis noires et fourmis rouges se détestent. Pourtant, voici l’histoire émouvante du sauvetage d’une petite fourmi rouge par une fourmi noire : le début d’une grande amitié.

Une histoire évoquant la tolérance et la différence : mercredi 28 mars à 16 h 30.

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Union070228crb Locales - Reims

Marc Chagall à l’honneur à la médiathèque

 

Bimba Landmann présente Marc Chagall.

Bimba Landmann, illustratrice de livres pour la jeunesse, illustre la vie de Marc Chagall dans une exposition du 6 au 28 mars. Née à Milan en 1968, Bimba Landmann est l’auteur de « Comment je suis devenu Marc Chagall », un récit librement inspiré de « Ma vie » de Marc Chagall (Grasset jeunesse, 2006).

Cette exposition proposée par l’association « Lires et délires » en préambule du Salon du livre de Cormontreuil qui se déroulera le 31 mars et réalisée en partenariat avec la Bibliothèque de Reims, présente des oeuvres originales de Bimba Landmann, peintures et créations en volumes.

Rencontre

Après la projection d’un film sur Marc Chagall (durée : 52 minutes), Bimba Landmann partagera avec le public sa passion pour le peintre et évoquera les étapes de la réalisation de son livre, jeudi 29 mars à 17 h 30.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).

Toutes les animations sont gratuites, mais les inscriptions préalables sont très vivement recommandées (nombre de places limité).

Animations aux Points information

Une animation est proposée du 5 au 9 mars par les Points information jeunesse (PIJ) de la Maison de quartier Croix-Rouge, sur le thème « La citoyenneté, un engagement au quotidien » .

« Tu souhaites t’investir dans un projet (humanitaire, sportif, culturel, …), les animatrices des Points information jeunesse proposent de t’informer sur les possibilités qui s’offrent à toi pour réaliser tes envies et t’accompagner sur la réalisation de ton projet », expliquent les responsables.

Au programme, une exposition sur les projets réalisés par des jeunes du quartier : actions de solidarité au Maroc et au Bénin, projet de réparation de vélos, découverte du groupe des Meltin’crew (danse HipHop), réalisation d’un journal : Croix-Rouge, un quartier qui bouge, …

Différentes associations interviendront pour répondre aux questions :

Centre du bénévolat,

Rencontres interculturelles de Reims (Rire), …

PIJ La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (03.26.49.47.07.).

PIJ Ethnic’s, château d’eau avenue d’Épernay (03.26.86.08.02.)

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CROIX-ROUGE : Galerie d’art dans les couloirs de Joliot-Curie

 

Des couloirs transformés en galerie d’art.

Les murs des couloirs du lycée professionnel Joliot-Curie attestent de la qualité des réalisations faites par les élèves lors de divers projets artistiques.

Ils viennent de s’enrichir encore puisqu’une série de photos déjà exposées en juin dernier à l’Ancien collège des Jésuites est maintenant installée de manière permanente.

Le transfert a donné lieu le 22 février à un vernissage en présence de l’équipe pédagogique et de personnalités qui ont apprécié la forme d’expression utilisée par les 20 élèves de terminale Bac pro vente de 2006/2007 qui ont travaillé sur le thème de l’Art déco.

Frédérique Ackermann, professeur d’art appliqué, a rappelé la démarche suivie :

il s’agissait de découvrir la ville, de faire l’inventaire de détails architecturaux pour les photographier et les retravailler ensuite avec les conseils du photographe Guillaume Gellert : « Je leur ai proposé d’utiliser la technique du sténopé qui déforme, adoucit et fait varier la lumière ».

La création est née de surimpressions où se mêlent des graphismes sobres creusés dans la pierre, de riches entrelacs en ferronnerie qui parfois laissent deviner une statue, un visage, une silhouette.

Pour répondre au souhait de la Ville concernant l’Art déco et la reconstruction de Reims, cette démarche artistique a été partagée avec les détenus de la maison d’arrêt qui ont effectué les mêmes recherches (leurs photos sont maintenant dans le parloir de la prison).

On se souvient de la multitude d’ateliers mis en place : « Le partenariat a été largement ouvert à des publics nouveaux » a déclaré Alain Patrolin, de la direction de la Culture de Reims.

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Union070227cra Locales - Reims

CROIX-ROUGE : Vers des factures de chauffage moins lourdes

 

Dans un premier temps, les tours sont encollées avant d’être enduites.

Reims-Habitat souhaite réduire le poste « charges de chauffage » sur le loyer des locataires : « Après la réhabilitation des 875 logements des Hauts-de-Murigny en 2001, nous venons de lancer des travaux d’isolation thermique des tours situées au 5 allée Yves-Gandon (93 logements) et au 1, allée Antoine-Watteau (93 logements) » annonce l’organisme logeur.

Un isolant est en cours de pose sur les façades des immeubles.

Après encollage, il sera recouvert d’un revêtement plastique épais.

« Ces tours sont chauffées par un système à haute pression fournie par la SOCCRAM.

Le ravalement ainsi réalisé renforcera l’isolation thermique des immeubles et contribuera à une diminution significative des dépenses d’énergie. »

Dans le secteur Rafale-Université, la tour du 60 Eisenhower (102 logements) doit bénéficier du même traitement de ravalement par un enduit et d’isolation thermique par l’extérieur : « A terme, cela se traduira également par une diminution des dépenses d’énergie pour le chauffage de cet immeuble. »

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Union070227crb Locales - Reims

Les conseils de quartier en crise

 

C’est catastrophique, plus ça va, moins il y a de monde », déplore un membre du comité de quartier Europe-Verrerie.

Absentéisme record à la réunion des conseillers de quartier. Ils auraient dû être 232, ils étaient environ 30 à la séance plénière. Reflet d’une démotivation qui gagne.

Les chaises vides étaient les plus parlantes à la séance plénière des conseils de quartiers jeudi soir en mairie.

La réunion qui permet à la ville de présenter ses projets aux représentants des différents quartiers n’a pas attiré les intéressés.

Alors qu’ils auraient dû être 232, ils étaient environ 30 dans la salle à suivre la présentation de la maison de l’emploi ou encore du plan de déplacement urbain.

« C’est catastrophique, plus ça va, moins il y a de monde », déplore un membre du comité de quartier Europe-Verrerie.

« Si les gens se désengagent, c’est parce qu’ils sont déçus. On leur avait dit que les conseils de quartier seraient des acteurs à part entière, qu’on les consulterait mais ce n’est jamais le cas. Ces réunions ne servent qu’à avoir des informations sur des sujets qui sont déjà entérinés. Ce qui fait que le conseil de quartier se réduit à parler des crottes de chien et des problèmes de stationnement.

Normal que même les plus motivés se lassent.

Et comme on n’ose pas remplacer les membres qui se désengagent, on se retrouve avec une salle vide ».

Guère davantage positive cette représentante du quartier centre isolée dans une rangée vide.

« Il faudrait élire les conseillers »

A la question de la désaffection, elle sourit, rit presque et finit par dire : « Je préfère ne pas répondre. Disons que je viens ici pour m’informer à titre personnel »

Quelques rangées derrière, une autre membre du centre-ville, par ailleurs conseillère municipale communiste, explique l’absentéisme : « Les conseillers sont tirés au sort, il faudrait qu’ils soient élus. Ainsi ils auraient une légitimité ».

Claude Lamblin, ancien maire communiste, ajoute son grain de sel : « Les conseils de quartiers sont désaffectés parce qu’ils fonctionnent à l’envers. Ils devraient servir à faire remonter l’information des quartiers vers la mairie or les élus font l’inverse, ils donnent leur information pour la répandre dans les quartiers ».

Réducteur selon Francis Kaminski, adjoint au maire et conseiller pour le quartier Wilson : « Les conseils de quartier fonctionnent dans les deux sens.

Les élus vont chercher dans les quartiers les demandes des habitants et il y a les réunions comme ce soir où la ville expose ses projets pour informer ces mêmes quartiers ».

Il n’y a donc pas de consultation préalable des conseillers avant les votes : « On ne peut pas consulter tout le monde sur chaque sujet. Surtout sur des dossiers techniques. Sauf éventuellement ceux qui auraient des compétences particulières ». Reste le problème du désengagement des conseillers : « Les élire au lieu de les trier au sort ne changera rien. On aura toujours ceux qui s’investissent et ceux qui ne font pas grand-chose. Ce sont souvent ces derniers qui critiquent le plus ».

Assis au milieu de la salle, Alimi n’est pas du camp des déserteurs. Il représente le quartier Sainte-Thérèse : « J’écoute tout pour tout répéter aux gens qui habitent près de chez moi. Évidemment que ces réunions sont utiles ».

Catherine Frey

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Union070227crc Locales - Reims

TRAMWAY : Une station en plus pour Croix-Rouge

 

Autre bonne nouvelle, cette fois pour les habitants de Croix-Rouge. Du moins pour ceux qui attendent avec joie l’arrivée du tram.

Un problème se posait dans le secteur de l’hippodrome : « Nous nous retrouvions avec 900 mètres de distance entre deux stations à cause d’une courbe nouvellement crée, le « site propre bus ». Il était prévu que le tramway passe par cette nouvelle voie sur laquelle il était techniquement impossible de placer une station.

Les concepteurs de la ligne ont finalement renoncé à cette route propre bus : « On gomme la courbe. Le tram passera par l’avenue Kennedy et nous pourrons y installer une station supplémentaire ». Autre avantage du changement : « La passerelle Pays-de-France ne sera pas démolie comme cela était prévu ».

Finalement, la courbe programmée (en vert) ne sera pas réalisée. Le tram passera par l’avenue Kennedy, ce qui permettra d’installer une station supplémentaire. Par ailleurs la passerelle Pays-de-France ne sera pas démolie.

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Union070224cra Locales - Reims

Un premier loto encourageant

 

Dirigé de main de maître par Georges Travert, le jeu a duré plus de cinq heures.

La soirée loto organisée par l’Etoile Croix-du-Sud, une nouveauté à l’initiative de la famille Travert (Georges, Muriel et Eline), a remporté un succès qualifié de « grandiose et même débordant ». Bien avant l’heure annoncée, les candidats se pressaient à la table de Christian Journet.

La grande salle Claude-Prével était rapidement comble, avec 130 familles de joueurs : « il ne restait plus aucun espace pour placer de nouvelles tables ! » Résultat : bien d’autres candidats sont restés dans l’entrée, surpris par l’affluence.

Pierre et Ginette Agisson, président et vice-présidente, ont su maintenir une parfaite organisation avec l’aide de Gilles Juveniel. La leçon qui sera retenue de cette première, c’est « le plaisir de se rencontrer et de se distraire, toutes générations confondues : seniors, adultes, ados et enfants, unis dans les liens d’amitié. »

Un administrateur raconte : « le moment le plus émouvant pour moi, a été la remise d’un lot gagné par un enfant d’une douzaine d’années grâce à un bulletin offert par le conseil d’administration et qui s’est exclamé : « C’est ma mère qui va être contente ! »

Cette soirée a encore permis à de nombreux adhérents de découvrir le site internet de l’association, http://www.quartier-croix-rouge.info/sur lequel le webmaistre a installé un compte rendu détaillé, illustré d’une cinquantaine de photos.

A quand la prochaine fois ?

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Union070222cra Locales - Reims

Défense des locataires : le bilan très positif de l’association des Polygones

 

Une salle comble et des locataires actifs.

L’assemblée générale de l’association de défense des locataires « les Polygones » à Croix-Rouge a permis aux administrateurs de présenter un impressionnant bilan de réussites devant une salle comble.

Ont été satisfaites les revendications suivantes : fin de la réfection de la place principale (embellissement prévu au printemps), remise complète en état de la terrasse du 1-Royer qui présentait de très nombreuses infiltrations, remise en état des halls des 11-Daudet, 6 et 8-Bernanos (les boîtes aux lettres vont être repeintes), remplacement des interphones par des platines au 1-Royer, 6 et 8-Bernanos, renforcement de l’éclairage des paliers du 11-Daudet (immeuble pilote : à terme, l’ensemble des immeubles sera effectué).

« Ces travaux sont entièrement pris en charge par l’Effort rémois » a précisé Geneviève Kaczowka : « ces améliorations de l’habitat ne sont pas imputables aux locataires. » Au niveau de l’environnement du secteur, satisfaction a été donnée à l’association à propos du virage dangereux des rues Royer et Taittinger, « après plus de deux ans de démarches auprès de la mairie » , avec l’élargissement du virage, l’implantation de plots sur le trottoir de Reims management School, et bientôt le tracé d’une ligne continue dans le virage et la mise du secteur en zone 30.

Au-delà de ces « gros » travaux, d’autres améliorations ont encore été obtenues : intervention sur une erreur de facturation de l’eau comptée 3,26 euros au lieu de 3,16 pendant plusieurs mois : les locataires vont être remboursés.

Et encore marquage des derniers emplacements de parking côté Daudet ( « après trois ans d’attente ! » ), réalisation de grilles de ventilation sur toutes les portes extérieures des locaux vide-ordures (réduction des odeurs…), pose de butées au niveau des portes palières (réduction du bruit), vérification générale des grooms, pose de minuteries avec cellules à déclenchement automatique à chaque passage dans les locaux vide-ordures, pose de points d’ancrage pour cycles pour les locataires demandeurs, réparation de la grille de clôture des plantations à l’entrée du 3-Royer ( « demandée depuis 3 ans ! » ), remise de vernis sur les sols des paliers après le décapage général de 2005, …

Il reste des difficultés à résoudre

« Nous avons gagné une bataille, mais pas la guerre ! », précise Geneviève Kaczowka. Il existe des problèmes de distribution d’eau chaude et froide au 11-Daudet (eau colorée, présence de fins graviers dans l’eau, pétition pour obtenir un remboursement de quatre mois), des travaux de plomberie sur des fuites avant compteur d’eau sont facturés systématiquement aux locataires, de même que des interventions sur vétusté (les sanitaires par exemple, ont plus de 30 ans d’âge), …

L’association demande encore que le renforcement de l’éclairage des paliers soit poursuivi, que la façade du garage soit peinte (elle ne l’a jamais été ! ), que des numéros fluorescents soient posés au-dessus des porches de chaque immeuble, la signalétique actuelle étant obsolète, que les voies de circulation « entrée » et « sortie » soient matérialisées au sol pour éviter les collisions et que la réfection des plafonds et papiers peints soit effectuée dans les nombreux logements victimes d’infiltrations.

« Nous sommes pris en otages »

De g. à d., Ginette Terrugia, Brigitte Chevalot, Geneviève Kaczowka, Bernard Duchozal et Sandrine Chenu.

Sandrine Chenu, Brigitte Chevalot, Bernard Duchozal et Ginette Terrugia, réunis autour de leur présidente Geneviève Kaczowka, accusent : « Les relations entre les locataires de l’agence de secteur sont tendues et difficiles ( « difficultés d’accès au standard du secteur, énorme problème de communication, obligation d’écrire » ), et par ailleurs, nous-mêmes rencontrons de grosses difficultés pour consulter les documents et contrôler les charges qui augmentent sans arrêt : impossible d’analyser les contrats, les décisions prises, les factures : c’est l’obscurité, nous sommes pris en otages par l’Effort rémois, on nous traite très mal, on veut nous faire payer des frais qui incombent à la maintenance, à la société de nettoyage ou à l’Effort rémois et on nous confond dans des calculs, des méandres, des tableaux qui nous sont incompréhensibles, pour nous noyer ! Or, nous voulons arriver à maîtriser nos charges ! »

Association « Les Polygones » - 8, rue Georges Bernanos - (boîte aux lettres associative) - Tél. 06.81.41.06.72.

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Union 070221a Locales - Reims

Conseil de la communauté d’agglomération Tramway : les élus redemandent l’ouverture de l’enquête publique

 

Réunis hier soir en conseil communautaire, les élus des six communes qui constituent Reims métropole ont approuvé le dossier de la première ligne de tramway à Reims.

Ils ont demandé au préfet l’ouverture d’une enquête publique pour ce projet.

Seul le maire de Tinqueux, Jean-Pierre Fortuné, s’est abstenu, suivant là la position qu’il avait prise en juillet dernier lors du choix du concessionnaire.

Une demande d’ouverture d’enquête publique avait pourtant déjà été faite le 26 octobre dernier mais elle n’avait pas été suivie d’effets car un nouveau dossier a été présenté depuis par le concessionnaire. « Ce dernier a voulu sécuriser au maximum la procédure », a expliqué Alain Lescouet, maire de Saint-Brice- Courcelles, en charge du dossier tramway au sein de l’agglomération.

Des modifications

« Il y avait peut-être un vice de forme avec le précédent dossier car un document administratif des services fiscaux de la Marne était arrivé postérieurement à notre délibération du 26 octobre. Dans ces conditions, le concessionnaire a présenté un nouveau dossier qui, outre cet élément, retrace des améliorations techniques liées à la poursuite des études ».

C’est ainsi que de nouveaux relevés sur l’avenue de Laon permettront finalement de faire passer une voie véhicule de chaque côté de la rame tramway. Dans l’ancienne version, les voitures devaient passer par certaines stations du tramway et donc être plus ou moins freinées en fonction de la présence de rames ou pas.

Autre aménagement, celui d’une nouvelle station dans le secteur de l’hippodrome.

« Les habitants s’étaient plaints qu’il y avait près de 900 mètres entre deux stations, ce qui était, il est vrai, important », a commenté Alain Lescouet. « Il y avait un problème de virage qui rendait impossible toute autre solution.

Finalement, avec quelques aménagements, la courbe a été redressée et une nouvelle station prévue.

Cette modification permettra aussi de ne plus toucher à la passerelle Pays de France qui dans la première version devait être démolie ».

En attendant la décision du préfet

Les élus de Reims métropole ayant sollicité hier soir du préfet l’ouverture de l’enquête publique en vue de la déclaration d’utilité publique du projet, il reste à savoir maintenant quand celui-ci décidera de lancer la procédure.

Ce n’est en effet qu’au terme de cette enquête, si rien ne s’y oppose, que le préfet pourra déclarer le projet d’utilité publique. Il s’agira là alors du véritable feu vert pour des travaux dont le montant estimé à mai 2006 était de 305 millions d’euros et qui devraient se terminer à l’horizon 2011.

« Il faut que cela se fasse dans les meilleurs délais », a insisté Jean-Louis Schneiter, président de Reims métropole et maire de Reims en faisant allusion à la décision du préfet. « Nous aurons sans doute l’occasion d’en parler très prochainement avec lui ».

Il est vrai qu’avec les prochaines échéances électorales et que le dossier presse.

G. A.-T.

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Union070220cra Locales - Reims

Les dernières nouvelles du quartier Croix-Rouge

 

Christiane Monflier (APPF) a demandé l’intervention d’Ahmed El Mcherfi pour son association.

Une salle pour le 3e âge

Christiane Monflier, présidente de l’association de promotion de Pays-de-France a profité d’une rencontre avec l’adjoint Ahmed El Mcherfi pour demander son intervention : « La section 3e âge de l’APPF est très fréquentée, nous avons de plus en plus d’adhérents, et notre salle associative est trop petite pour les recevoir tous.

Allons-nous devoir installer des tables et des chaises dans le hall de l’immeuble pour qu’ils puissent se rencontrer dans de bonnes conditions ? Nous demandons à bénéficier d’une salle plus grande. »

Entreprises

Selon nos pointages, à la date du 11 février, nous avons répertorié 294 arrivées et 70 départs d’entreprises sur le quartier Croix-Rouge et la Zone franche urbaine (ZFU Croix-Rouge), soit 224 restantes : 118 sur la Rafale/Université, 56 à Pays-de-France et 50 à Croix-du-sud.

Local pour les Polygones

Les administrateurs de l’association de défense des locataires des Polygones demandent depuis plusieurs années à l’Effort rémois « la mise à disposition d’un local pour assurer des permanences, de façon à traiter plus rapidement les problèmes liés à notre secteur : nous attendons toujours le bon vouloir de notre bailleur ! »

Balcons dangereux

A la suite de notre article du lundi 5 février « Des balcons qui inquiètent », Marceau Nicolas, président de l’association de défense des locataires du Foyer rémois « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » s’inquiète : « A quand la rénovation des façades et des balcons à Pays-de-France programmée par le Foyer rémois en 2004, puis en 2005 et encore en 2006 ? »

Éducateurs

Dans notre article sur l’inauguration des locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge, allée des Picards, nous avons oublié de citer le service départemental de prévention grâce auquel les éducateurs bénéficient également d’un bureau pour travailler.

Immobilier Arago

A une question écrite du conseiller municipal Michel Guillaudeau, la ville a précisé que « le dossier de demande de permis de construire pour le futur centre commercial Pays-de-France est actuellement en cours d’instruction. La date limite pour délivrer ce permis est prévue le 28 février prochain. »

Pour Michel Guillaudeau, il reste donc très peu de temps au Foyer rémois pour organiser la concertation préalable promise aux habitants.

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Union070215cra Locales - Reims

Les locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge inaugurés

 

Toutes les forces vives de Croix-Rouge étaient présentes.

Le Foyer rémois a investi 25.000 euros pour aménager deux appartements réunis au 1er étage du 1, allée des Picards et en faire le siège de la direction de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Avec 180 m2 à leur disposition, le directeur Éric Krzywda, les secrétaires, Céline Buisson et Marie-France Pinto, mais aussi le réseau Pôle sud musique de Boris Claudel (musiques actuelles des Maisons de quartier de Reims), et le secteur contes de Catherine Pierrejean sont maintenant bien installés, avec une salle de réunion et une salle de travail.

Ils ne sont pas seuls, puisque l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge y a également élu domicile, avec un bureau pour l’animateur Slimane Hamdi et le médiateur Karim Medaouar, un autre pour l’animatrice des centres de loisirs, Évelyne Verrier et enfin un autre encore pour l’animatrice familles, Elham Kouch.

Maison de quartier Croix-Rouge

1 allée des Picards (appartement 1.D.)

Tél. 03.26.86.10.71.

Une maison pour l’avenir du quartier

 

De gauche à droite : Ahmed El Mcherfi, Jean-Pierre Ettel et Christophe Villers.

Pour l’inauguration, tout le Croix-Rouge associatif était présent ainsi que les élus et les représentants de l’organisme logeur.

Jean-Pierre Ettel, président de l’association des Maisons de quartier de Reims a rappelé son historique.

Il a évoqué le financement exclusif du Foyer rémois, sur demande de la ville.

Toutefois, « reste la question du financement de cette maison de quartier, l’apport du contrat de ville en 2006 et l’espoir qu’il en soit de même en 2007 avec le Cucs. »

Une interrogation enfin « dans le cadre des nouvelles constructions prévues par le Foyer rémois à Pays-de-France, et notamment le projet Arago (NDLR : dont le permis de construire est déposé), il est probable qu’un nouvel équipement apparaisse dans les années 2009-2010 à Pays-de-France. »

Pour Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois, « la Maison de quartier est un élément important de la reconquête de Pays-de-France.

Le Foyer rémois, engagé fortement avec l’Agence nationale de renouvellement urbain, a un programme ambitieux de requalification de l’ensemble de ce secteur.

Le bon fonctionnement social est un élément essentiel d’une bonne qualité de vie retrouvée dans le quartier. »

Enfin, Ahmed El Mcherfi, pour le maire de Reims, a reconnu qu’il a été « très inquiet après la fermeture de l’espace jeunes Arc-en-ciel et les moments difficiles vécus dans le secteur Picards ».

Pour lui, « ce local tombe à point, il est bien situé et fort convivial. Cette Maison de quartier accompagnera toutes les associations du quartier sans exception, une réflexion à ce sujet est en cours et j’en attends beaucoup ».

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Union 070215crb Locales - Reims

Un public de choix pour une répétition particulière

 

Les personnalités se sont rapidement prêtés au jeu.

Le lancement officiel de l’expérience nationale « T’es pas cap ! » a eu lieu au collège Joliot-Curie de Reims, en présence de Catherine Vautrin, ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la Parité, Jean-Louis Wiart, sous-préfet de Reims, Ali Bencheneb, recteur de l’Académie de Reims, Francis Falala, député de la 1re circonscription de la Marne et Franck Noël, adjoint au maire de Reims, délégué à la Jeunesse.

Participaient également à cette rencontre, Pierre-Olivier Scotto et Gérard Dahan représentant l’association Belvédère 99 qui organise cette action au niveau national.

A l’occasion de ce lancement, les élèves et leur formateur ont présenté des extraits du futur spectacle aux personnalités venues amicalement les encourager dans leur travail.

Ces spectateurs improvisés se sont rapidement prêté au jeu en répondant avec entrain aux jeunes acteurs.

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Union 070213a Locales - Reims

Les collégiens de Joliot-Curie découvrent l’art dramatique

 

Une répétition exceptionnelle.

Situé en zone d’éducation prioritaire, le collège Joliot-Curie est labellisé « Ambition réussite » (il n’y en a que deux en Champagne-Ardenne).

Une opération originale y a été mise en place dans le cadre de l’expérience nationale « T’es pas cap ! ». Depuis septembre, tous les samedis, une vingtaine de collégiens volontaires travaillent le chant, la mise en scène, la comédie à travers une pièce, « L’histoire sans titre », sur des musiques de divers compositeurs.

Rien n’aurait été possible sans la participation active de Tony Amirati, directeur de la scène au grand Théâtre de Reims et animateur de la troupe « Les enfants de la balle ».

C’est lui qui a écrit cette pièce et qui encadre ces jeunes au collège ou au théâtre.

Responsabilité musicale et scénique

Cette expérience « T’es pas cap ! » a pour but d’initier les collégiens aux mystères de cet art mal connu qu’est le théâtre chanté à travers un atelier de production qui rassemble tous les arts du spectacle vivant, en leur donnant la responsabilité musicale et scénique quasi totale de la réalisation de l’œuvre « L’histoire sans titre ».

Il est donc indispensable que ce travail difficile trouve sa ¬véritable dimension sur une scène, pour l’occasion : le grand Théâtre de Reims.

Pour ce qui est des représentations, Reims donnera le coup d’envoi le lundi 19 mars pour le spectacle donné par les élèves de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et enfin de Reims (vers 20 h 30).

L’entrée au grand Théâtre sera libre ce soir-là.

Les autres villes participantes se produiront le samedi 24 mars dans leurs régions.

« Nous espérons que les Rémois répondront présent pour venir nombreux voir le résultat de cette expérience unique en son genre », espère Tony Amirati.

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Union 070213b Locales - Reims

L’Australie à la médiathèque Croix-Rouge

 

La médiathèque Croix-Rouge présente, jusqu’au 28 février, l’exposition « Australie : voyage au pays du rêve ».

Cette présentation de l’Australie et plus précisément de la culture aborigène, a été conçue par l’ambassade d’Australie en France et est composée de panneaux illustrés sur le pays du Bush, d’œuvres picturales contemporaines réalisées par des artistes de la communauté aborigène des Tiwis, au nord de l’Australie et d’objets aborigènes : instruments de musique, outils, armes de chasse.

L’exposition est complétée par des ateliers pédagogiques de peinture, animés par Élisabeth Potron : « Inspirez-vous des motifs des peintres aborigènes d’Australie », demain, mercredi 14 février et mercredi 21 février de 16 à 18 heures, pour tous, à partir de 8 ans, sur inscription.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (Tél. 03.26.35.68.45.). Possibilité de visite guidée pour les groupes ou les classes : renseignements au 03.26.35.68.44.

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Union 070212b Locales - Reims

Le courrier des lecteurs : Balcons de croix rouge

Sophie Demangeon n’est pas convaincue par les arguments de Reims Habitat au sujet du mauvais état des balcons de Croix-Rouge.

« Je tiens à réagir sur votre article concernant les balcons à Eisenhower. Je trouve aberrant de dire que si les balcons sont en piteux état c’est à cause de la jardinière et des locataires qui arrosent leur plantation.

Alors il faudrait expliquer pourquoi il y a des fissures et des morceaux qui manquent à l’autre bout du balcon, là où il n’y a pas de jardinière ? Si les balcons sont en si mauvais état c’est sans doute qu’ils n’ont pas été entretenus pendant plus de 30 ans.

Et si on parlait des purges qui ont été faites ! Ça ne manque pas de piquant non plus : Un beau matin, j’entends des bruits de piolet puis je vois un homme descendre en rappel sur mon balcon ! Parce que bien sûr on n’a pas pris la peine de prévenir les locataires !

Et il y a mieux : on ne savait pas s’il fallait libérer les balcons (j’ai 3 vélos sur mon balcon) et quand je suis descendue (pas en rappel mais en ascenseur, pour une fois qu’il fonctionnait ! ), là une jolie affiche posée le matin même annonçait les travaux et l’entreprise déclinait toute responsabilité quant aux dommages occasionnés aux biens se trouvant sur les balcons.

Et pour terminer en beauté je ne pouvais pas sortir de chez moi car comme les « alpinistes » travaillaient sur le devant et l’arrière de mon immeuble, il m’était interdit de sortir pour ma sécurité ! Et cela fait plusieurs mois que mon balcon est décharné, et je ne suis pas sûre que ce soit très efficace comme rénovation que de laisser l’armature du béton à nu ! ».

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Union 070212a Locales - Reims

Incendie au 6e étage hier, à Croix-du-Sud

Survenu vers 15 heures, le feu d’appartement a mis en émoi une tour du quartier Croix-du-Sud, au n°2 de l’esplanade Paul-Cézanne, non loin du n°8 où le terrible incendie de 1999 est encore dans toutes les mémoires (un mort et une vingtaine de blessés).

Les secours ont rapidement éteint le sinistre qui a noirci toutes les pièces du logement situé au sixième et avant-dernier étage.

La locataire et ses trois enfants sont indemnes mais leur chat, hélas, a péri asphyxié. Selon les déclarations de la jeune femme, la surchauffe d’une raclette à fromage branchée sur le secteur par l’un des enfants serait à l’origine de l’incendie.

Elle est partie se réfugier chez sa mère dans l’attente d’un relogement.

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Union 070210a Locales - Reims

Croix-Rouge Les jardiniers subventionnés « en fonction des besoins »

 

En 2006, la ville a subventionné les 67 jardiniers de Croix-du-Sud : 3.500 euros pour le fonctionnement, 4.500 euros pour l’équipement et 4.000 euros pour la fête des vingt ans, ce qui représente une aide d’environ 179 euros par jardinier.

Dans le même temps, les 49 jardiniers de Pays-de-France ont reçu 2.200 euros pour le fonctionnement, 574 euros pour l’équipement et 900 euros pour la fête des 20 ans, ce qui représente une aide de près de 75 euros par jardinier.

En ce qui concerne l’aide apportée par les organismes logeurs, Alpha logement, émanation de l’Effort rémois, a accordé 2.000 euros et une dotation pour le concours des belles parcelles à l’association des jardiniers de Croix-du-Sud soit près de 30 euros par jardinier, alors que le Foyer rémois a consenti 980 euros à l’association des jardiniers de Pays-de-France, soit 20 euros par jardinier.

Conclusion apparente : à Croix-Rouge, on jardine beaucoup plus « richement » à Croix-du-Sud qu’à Pays-de-France !

« Nous refusons d’attribuer une subvention par parcelle », explique-t-on à la Ville, « les subventions fluctuent d’une année à l’autre en fonction des besoins des associations. Certaines ne demandent presque rien alors que d’autres demandent beaucoup, pour des occasions diverses dont nous tenons compte. »

Par ailleurs, la ville prend en compte dans ses calculs les autres aides, qu’elles soient financières (Foyer rémois, Effort rémois.) ou matérielles telles que des ordinateurs offerts par le conseil général :

« Chaque année nous travaillons avec les présidents des jardins familiaux dans une relation de confiance et nous examinons ensemble leurs besoins. »

Conclusion, pour obtenir beaucoup, il faut avoir des projets et des besoins, et demander davantage.

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Union 070210b Locales - Reims

Le Reims Acrap patinage remarqué à Charleville

 

Les jeunes pousses : l’équipe montante en patinage artistique.

Pour le 2e challenge Nord Picardie Champagne-Ardenne des 3 et 4 février à Charleville-Mézières, dans les Ardennes, le Reims Acrap patinage s’est distingué en ramenant treize podiums.

- Catégorie -16 ans PN3, Morgane Huet monte sur la 1re marche du podium grâce à une très belle prestation, suivie sur la 2e marche par Caroline Négroni, dont la maîtrise ne cesse de croître.

- Catégorie -16 ans PN5, Vinciane Manceaux prend la 2e place après avoir effectué un programme artistique sans faute. Ludivine Ganthier se place 6e avec une belle interprétation.

- Catégorie -13 ans PN1, Maxine Baule monte sur la 2e marche du podium.

- Catégorie -13 ans PN3, Claire Cadel interprète un beau programme et termine 2e.

- Catégorie -13 ans PN5, Justine Laroussi avec beaucoup d’aisance finit 4e et Boudalia Salomé 6e.

- Catégorie +16 ans PN5, Marie Blazquez termine 1re, Lucile Sarazin est 2e et Perrine Momboisse, 3e : le Reims Acrap patinage occupe le podium entier.

- Catégorie préparatoire, Cécile Husson finit 2e.

- Catégorie vermeil, Jonathan Jaquet prend une belle 1re place avec un programme exécuté à la perfection.

- Catégorie 2-10 ans, pour leur 1re prestation de la saison, Mélanie Gabreau, Juliette Wary, Nina Toukouk et Pauline Jacob se placent respectivement 2e, 3e, 4e et 5e : c’est l’équipe montante en artistique.

- Catégorie 2-10 ans garçon, Renan Manceaux monte sur la 1re marche du podium.

- Catégorie 3-10 ans, Morgann Prey avec beaucoup de grâce termine 4e.

- Catégorie 2-8 ans, Justine Desousa termine 5e.

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Union 070210c Locales - Reims

A propos des ascenseurs

 

Une discussion animée.

Marceau Nicolas, président de l’association de défense des locataires du Foyer rémois « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », a profité de l’inauguration des nouveaux locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge pour interpeller M. Quesnel, responsable des gérances du Foyer Rémois.

« Je lui ai parlé des contrats des prestataires de services, et en particulier de la nouvelle société chargée de l’entretien des ascenseurs depuis le 1er janvier. En effet, le week-end dernier, sept ascenseurs étaient en panne ! »

Marceau Nicolas constate une amélioration des qualités de service : « Contrairement aux années précédentes, les visites annuelles sont accompagnées d’effet puisque les travaux qui peuvent l’être sont réalisés dans la foulée le jour-même, rendez-vous étant pris pour les autres travaux. »

Toutefois, il reste quelques bémols : « Quelques facturations litigieuses pour des travaux identiques et la lenteur des réponses aux appels téléphoniques. Les locataires paient un contrat mensuel d’entretien qui leur profite autant qu’au Foyer rémois puisque la société gère l’entretien du patrimoine bâti ».

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Union 070209a Locales - Reims

Le TC Géo-André « réservoir de jeunes talents »

 

A l’heure du palmarès et des récompenses.

Le Tennis-club Géo-André a organisé son rassemblement interne annuel sur les courts du Creps et du complexe Géo-André, occasion d’un tournoi par poules suivi de tableaux finaux par catégorie d’âge.

« Ce rassemblement et ce tournoi nous permettent de constater que le TC Géo-André est un réservoir de jeunes talents » assure Jean-François Tronchon, administrateur.

Après des rencontres de haute qualité, dirigées de main de maître par Jean-Louis Batteux et les initiateurs (Cédric Leroy, Vincent Pacanowski et Hugo Saurat) et les bénévoles Damien Spooner et Jean-François Tronchon, les finales ont livré leur verdict :

catégorie 97-98 filles, Maëva Spooner bat Marine Massenat ;

catégorie 97-98 garçons, Jules Rambaut bat Jeff Boury ;

catégorie 95-96 filles, Alice Thiéry bat Louise Chardonnet ;

catégorie 95-96 garçons, Alexandre Génin bat Thomas Griffon ;

catégorie 93-94 garçons, Paul Benayoun bat Victor Garnier ;

catégorie 91-92 garçons, Maxime Espi bat Clément Chopin ;

catégorie 88-90 garçons, Baptiste Demailly bat Thibault Batteux.

Il faut retenir le bon esprit dans lequel s’est déroulé ce rassemblement et le bon comportement des participants sur le terrain ainsi qu’en dehors.

D’ailleurs, grâce aux résultats obtenus par ses jeunes, le Tennis-club Géo-André se classe désormais à la 2e place de la ligue de Champagne.

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Union 070209b Locales - Reims

L’association 2-mains se mettra en quatre pour l’insertion

 

Le promoteur de l’association Jean-Louis Rumerio. Photo J.-F.S.

Pour faire du « sur-mesure » dans l’accompagnement des jeunes en difficulté d’insertion, une nouvelle association est en gestation. Sa mise en œuvre dépendra des financements publics.

Des structures publiques ou associatives pour tenter d’insérer les jeunes en difficulté, il y en a des tas.

Pourtant, des jeunes en difficulté d’insertion, il y en a de plus en plus et il est de plus en plus difficile de les réinsérer.

Les raisons sont nombreuses, mais Jean-Louis Rumerio en a repéré deux en particulier, à partir desquelles il a monté une association qui se mettra en œuvre en février, si les fonds publics qu’il espère lui sont attribués.

M. Rumerio est un professionnel de l’éducation spécialisée. Il exerce son métier dans le quartier Croix-Rouge, pour le Département.

Il y a observé que la jeunesse concernée par son projet est souvent désœuvrée, et qu’elle traîne « au pied des immeubles » où elle gâche la vie des habitants par des « incivilités » multiples.

Les organismes officiels étant submergés par le nombre de jeunes adultes à suivre, Jean-Louis Rumerio a donc le projet - déjà ficelé - de créer une structure « réactive » pour aller à leur rencontre.

Il en dénombre près de 250 rien que pour Croix-Rouge, et près d’un millier à l’échelle de Reims, âgés de 16 à 30 ans.

Son association « 2-mains » se donne quatre buts :

« être un espace de réflexion et d’écoute permettant l’ouverture autour de pratiques éducatives novatrices » ;

« créer des liens entre le monde de l’entreprise et le secteur socio-éducatif » ;

« créer un accompagnement éducatif permettant aux jeunes les plus en difficulté de construire un meilleur avenir » ;

« créer des dispositifs innovants pour inclure tous les jeunes dans la société civile ».

Deux outils

Pour parvenir à ses fins, l’association disposera de deux outils distincts.

- « DENIS », comme « dispositif éducatif novateur insertion sociale » : ou comme « déni contre la misère ».

Il s’agit d’aller chercher les jeunes oisifs au pied des immeubles et de les amener dans un réseau « déjà constitué », allant du médecin à la vie professionnelle, en passant par les organismes logeurs, de façon à combler leurs manques et leur permettre de revenir dans les « dispositifs de droit commun ».

- « DAP », comme « dispositif accompagnement personnalisé ».

Par « accompagnement personnalisé », M. Rumerio entend « physique ».

Exemples : on va chercher chez lui celui qui aurait des « pannes de réveil » à répétition.

On essaie de comprendre pourquoi un jeune « décroche » de son emploi ou de sa formation (problèmes avec les parents, ennuis d’argent, défaillance du moyen de locomotion.), etc.

Ces deux dispositifs concerneraient de 40 à 80 jeunes au départ, pour une période de six mois renouvelables.

Leur lancement est lié au contrat urbain de cohésion sociale signée le 9 février, dont l’application sur le terrain sera affinée le 19.

Application qui débloquera, ou pas, les 180.000 € nécessaires à la mise en œuvre de trois éducateurs spécialisés et d’une secrétaire.

Un grand établissement bancaire a déjà apporté son « obole » de 4.500 €.

Enfin, pour compléter « l’offre » de son association, M. Rumerio s’est affilié à l’association nationale « Groupie », qui réunit des bénévoles « professionnels » qui mettent leurs compétences au service des jeunes.

J.-F. Scherpereel

Renseignements : 06.86.58.49.09 ou assoc2mains@aol.com

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Union 070209c Locales - Reims

Ca coince à la porte

 

QMichel Chaingy : « Je suis obligé de descendre ouvrir à l’infirmière. »

Plus moyen d’ouvrir la porte d’entrée de l’immeuble depuis son appartement au 6 de l’allée Edgar-Degas, dans le quartier Croix-du-sud. Et ceci depuis une semaine.

Pas dramatique certes, mais quand même embêtant quand on habite dans l’immeuble et que l’on connaît quelques difficultés de mobilité.

C’est le cas de Michel Chaingy, ancien cuisinier proche de la retraite : « Je sors de l’hôpital, où je me suis fait opérer des artères.

L’infirmière vient midi et soir, à chaque fois je suis obligé de descendre pour lui ouvrir ! »

Heureusement, notre homme peut encore marcher, et surtout, il loge au premier étage.

« Heureusement que ce n’est pas au dixième ! » commente-t-il. Effectivement, ça serait sûrement plus embêtant encore…

A.P.

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Union 070207a Locales - Reims

Tests des balles au Tennis-club Géo-André

 

Quelques-uns des heureux élus.

Sur les courts couverts du complexe sportif Géo-André, une trentaine de participants ont subi les épreuves des tests de balles de couleurs sous la houlette de Jean-Louis Batteux, de Bruno Dagnee et Cédric Leroy, initiateurs, et d’une équipe de bénévoles toujours fidèles au rendez-vous : Nathalie et Damien Spooner, Eric Robert et Jean-François Tronchon.

« Cette année encore, le passage des balles de différentes couleurs a montré la bonne forme de l’école de tennis du Tennis-club Géo-André avec des résultats qui confirment le label Or « Club junior » attribué une fois de plus au club », déclare avec satisfaction ce dernier.

Le palmarès

- Balle blanche : Clara Courant, Justine Courant, Rémy Frumin, Maëva Grenier, Nesim Keskin, Alice Laplaise et Tom Razafindralambo.

- Balle jaune : Opale Boury, Alexis Lamalle et Marie Schmidt.

- Balle orange : Paul Boury, Yamin Darkaoui Allaoui et Maxime Ledieu.

- Balle verte : Lucien Brochet, Grégoire Perseval, Lucie Renard et Quentin Spooner.

- Balle rouge : Medhi Kharbouch et Maxime Massenat.

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Union 070205b Locales - Reims

La médiathèque Croix-Rouge en février

 

Mercredi 7 février à 15 heures,

« la triste fin d’une crêpe » une histoire recueillie par

Muriel Bloch, extraite de « 365 contes de gourmandise »,

pour tous, à partir de 6 ans.

Mercredi 7 février à 18 h 15,

conférence par Christian Seguret, écrivain et musicien : « Léo Fender, l’homme qui initia une révolution ».

Par ses différents modèles et ses multiples inventions, Léo Fender a directement influencé tous les genres de musiques populaires depuis 1950. De Hendrix à Clapton, peu de grands guitaristes ont échappé à l’omniprésence des instruments Fender, sans oublier les bassistes et les claviers !

Mercredi 14 février à 11 heures,

la ronde des albums : les amoureux.

« Les amoureux, on les reconnaît avec leurs joues rouges et leurs sourires en forme de banane.

Mais où vivent-ils ? »,

pour enfants de 4 à 8 ans.

Jeudi 15 février à 10 heures,

l’heure des bébés, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Samedi 17 février,

avec le bibliobus urbain, une journée en Australie : « la légende des animaux d’Australie », une lecture à 10 heures à l’arrêt Europe, place d’Aix-la-Chapelle et « Morceaux choisis de Paul Wenz, écrivain australien d’adoption, né à Reims », une lecture à 15 heures à l’arrêt Châtillons, place des Argonautes.

Pour tous, à partir de 7 ans, dans la limite des places disponibles.

Mercredi 21 février, à 15 heures :

« Mais qui se cache derrière le loup ? ».

Contes et lectures, à partir de 7 ans.

Mercredi 21 février à 16 h 30,

projection de diapositives : « la crêpe qui ne voulait pas être mangée », conte populaire dessiné par Benoît Déchelle,

pour enfants de 4 à 8 ans.

Mardi 27 février et mardi 6 mars de 16 heures à 17 h 30,

Bouq’1 # Club de lecture ado : « Venez échanger, discuter de vos lectures (magazines, mangas, polars, romans.) et de celles que nous vous proposons de découvrir. »

Médiathèque Croix-Rouge :

19, rue Jean-Louis-Debar

tél. 03.26.35.68.45.,

toutes les activités sont gratuites.

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Union 070203a Locales - Reims

CROIX-ROUGE Collégiens et secouristes

 

Ils sont prêts désormais à sauver des vies.

Événement exceptionnel au collège Joliot-Curie : la remise des diplômes « premiers secours » à dix élèves de 3e de la section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa).

Ces jeunes ont suivi une formation aux gestes de premiers secours au collège sous la conduite de Valérie Lombard, principal adjoint, titulaire du diplôme national de moniteur de premier secours.

Binyamine Avci, Samia Belbachir, Xavier Collard, Johnny Duguet, Vincent Gibout, Tony Giffey, Laura Justin, Mélissa Lacroix, Cyril Noël et Carolyne Radermecker ont tous obtenu l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS) ainsi que leur professeur, Hervé Vallet.

Leur formation a été complète : la protection, l’alerte, la victime s’étouffe, la victime saigne abondamment, la victime est inconsciente, la victime ne respire plus (réanimation cardio-pulmonaire), la victime se plaint d’un malaise, la victime se plaint après un traumatisme.

« Vous êtes maintenant prêts à sauver des vies » leur a déclaré Philippe Lhuillier, principal du collège, devant les professeurs et les parents des élèves : « Quand vous serez au travail, devenez secouristes d’entreprise ! »

Valérie Lombard n’a pas fini sa mission : « D’ici fin juin, une cinquantaine d’élèves de 3e aura bénéficié de cette formation. Douze adultes de l’établissement (professeurs, agents de service et assistants pédagogiques) sont également inscrits. Cette formation aux gestes de premiers secours sera encore proposée pendant l’École ouverte. »

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Union 070203crb Locales - Reims

« Les mineurs et la loi » à Joliot-Curie

 

Attentifs, les élèves avaient préparé de nombreuses questions. ; Maître Adélaïde Kadiyago et Clothilde Costes (AAEM), les intervenante

Le collège Joliot-Curie a fait intervenir une avocate du Barreau de Reims et une bénévole de l’Association d’accompagnement éducatif de la Marne (AAEM) dans les classes de 4e, sur le thème « Les mineurs et la loi ».

Chaque séquence avait été préparée par les jeunes en cours d’éducation civique et chaque classe disposait d’une bonne batterie de questions à poser : « la justice en France », « les audiences », « les décisions de justice », « les risques encourus », « les prisons françaises », « l’avocat à l’audience », « le métier d’avocat », etc.

Dans une bonne atmosphère attentive, les collégiens ont participé activement à ces rencontres auxquelles ils ont montré un grand intérêt.

Les intervenantes n’ont pas manqué de présenter les mesures d’aide proposées aux jeunes qui ont des problèmes ou qui sont désorientés,

- que ce soit à la Maison de l’Avocat (17, place du Chapître - 03.26.03.56.38.)

- ou à l’association d’accompagnement éducatif de la Marne (13, rue Chanzy, 03.26.03.56.38.).

Une centaine d’ados a bénéficié de cette formation originale et manifestement fructueuse.

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Union 070203c Locales - Reims

Des locataires sensibilisés au développement durable

 

Plutôt qu’un grand discours, chaque foyer de locataires recevra une fiche explicative conçue de façon à être comprise autant par les adultes que par les enfants.

Avec leur avis d’échéance mensuelle, les locataires de l’Effort rémois recevront une fiche de sensibilisation à la préservation de l’environnement. Une démarche qui s’appliquera aussi à la construction neuve.

QUAND on parle de « développement durable », on ne sait pas toujours très bien ce que cela recouvre.

L’organisme logeur « L’Effort rémois » s’engage donc dans une démarche à long terme pour sensibiliser ses 22.000 locataires aux petits gestes quotidiens qui permettront sinon de préserver la planète, au moins de la ménager. Chaque avis d’échéance sera donc accompagné d’une fiche explicative. Cette démarche envers les particuliers se doublera d’un effort accru dans le domaine de la construction en « HQE », comme « haute qualité environnementale ».

Gestes simples

L’idée de départ, explique Nathalie Remus, le porte-parole de l’organisme logeur, reprend le principe des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Chacun, à son échelle, peut agir par « des gestes simples ».

Plutôt qu’un grand discours, chaque foyer de locataires recevra une fiche explicative conçue de façon à être comprise autant par les adultes que par les enfants. La première concerne par exemple la nécessité de dégivrer le frigo et le congélateur dès que la couche de givre dépasse les 2 mm. Partenaire (financier), l’ADEME (agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) apporte l’information en rappelant que ces deux appareils représentent « 1/3 de la consommation électrique » et que « 5 mm de givre augmentent cette dernière de 30 % ».

Chaque mois un nouveau thème sera décliné, portant sur la ventilation des appartements, la réduction de la quantité des emballages, le tri des déchets, le bruit, l’eau, le chauffage, etc.

Démarche qualitative

Certaines opérations compléteront cette sensibilisation, comme l’incitation au sourire entre voisins pour « mieux vivre ensemble ». Ou cette association d’un jour avec les TUR qui offriront un ticket pour montrer l’intérêt de substituer le bus à la voiture.

Plus généralement, le personnel de l’entreprise sera également impliqué dans cette démarche « qualitative ». De même, l’organisme logeur fournira des efforts de « qualité environnementale » dans ses constructions.

Exemple avec ces panneaux solaires pour chauffer l’eau dans 15 logements et des briques isolantes dans 30 autres habitations ; des terrasses « végétalisées » en toiture des séjours de 6 pavillons de la « ZAC-Dauphinot », dont l’eau chaude sera également chauffée par le soleil ; orientation des maisons vers le sud à Saint-Brice-Courcelles, construction de maisons en bois sur le modèle canadien à Champigny ; production d’électricité par cellules photovoltaïques dans des logements pour personnes âgées à Chigny-les-Roses, etc.

Enfin, des expositions montées par l’ADEME seront déployées dans les différentes agences de l’Effort rémois.

Compte-tenu du nombre de foyers concernés, il sera intéressant de reprendre dans douze mois l’ensemble des points abordés tout au long de l’année, pour voir dans quelle mesure les locataires ont joué le jeu et quel sera l’impact collectif de leur action individuelle.

J.F.Scherpereel

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Union 070202a Locales - Reims

Rondes aux jardins

 

Attention : si vous voyez quelqu’un la nuit dans les jardins familiaux de Croix-du-Sud, il s’agit certainement d’un vigile d’une société de surveillance.

L’assemblée générale l’a en effet décidé : le contrat de gardiennage nocturne a été reconduit pour 2007.

Par ailleurs, si vous voyez quelqu’un évoluer tout seul et lentement, la journée, dans ces mêmes jardins, c’est peut-être une personnalité du monde jardinier ou horticole chargée d’une mission d’inspection.

L’assemblée générale a en effet décidé de réagir car certaines parcelles sont négligées, ou recèlent des bâches ou des toiles inesthétiques.

On a même vu un matelas à lattes ! Des opérations surprises seront donc organisées à des dates tenues secrètes, en vue de sanctionner ces pratiques !

Qu’on se le dise !

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Union 070202b Locales - Reims

Bonne nouvelle à l’Étoile

 

Au cours de la réunion du conseil d’administration du 7 décembre 2006, Ginette Agisson, vice-présidente de l’association Étoile Croix-du-Sud, a annoncé une bonne nouvelle :

« Depuis la dernière assemblée générale, les enfants du centre de loisirs ont désormais accès au gymnase Léo-Borgniet, ce qui n’avait pas été obtenu après des années de lutte ! »

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Union 070202c Locales - Reims

Vague de lumière

 

Les projecteurs de la « vague de lumière » sur Eisenhower vont être démontés.

Lors de la programmation des travaux pour le site propre de Croix-Rouge, il avait été décidé de réaliser une « vague de lumière » qui devait suivre l’axe principal du quartier : Eisenhower, Bonaparte et Léon-Blum. Cette « vague » a déjà été installée sur le secteur Eisenhower pour un coût de 50.000 euros HT.

Depuis, le projet Tramway est apparu et, avec lui, la fin du dossier Bonaparte-Léon-Blum « dans le souci de rationaliser les aménagements ».

Les secteurs Pays-de-France et Croix-du-Sud seront donc aménagés plus tard dans le cadre du projet Tramway.

Les projecteurs déjà installés sur le secteur Rafale auraient pu demeurer en place, mais le conseil de Reims Métropole a décidé, le 28 novembre, de les retirer « car la vague de lumière n’a d’intérêt que sur la globalité du projet ».

Il en coûtera 7.000 euros HT supplémentaires.

« Ce matériel [.] sera réimplanté sur le territoire de la collectivité » assure Michel Voisin, vice-président de Reims Métropole.

« Trop beau pour Croix-Rouge ? » ironise le conseiller municipal d’opposition Michel Guillaudeau.

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Union 070202d Locales - Reims

De l’aide pour tous ceux qui ont des projets

 

Les représentants de treize structures et associations étaient présentes pour découvrir la plaquette.

A l’invitation de l’association MJC Croix-Rouge, de nombreuses structures et associations se sont retrouvées à l’espace Aquarelle pour découvrir la plaquette éditée à l’intention de tous ceux qui, individuellement, en groupe ou en association, ont un projet social, culturel, éducatif, sportif ou de loisir à proposer, et qui ne peuvent pas ou n’osent pas le réaliser quelle que soit la raison invoquée.

Mise en page « de main de maître » par Frédéric Dumay et financée avec l’aide du Fonds d’initiative locale de la ville de Reims, cette plaquette doit permettre aux habitants du quartier Croix-Rouge de trouver des pistes pour avancer dans leurs projets et logistiques administratives et surtout financières.

Béatrice Sicard, présidente, et Christian Énault, trésorier, ont expliqué : « Capitalisons les savoirs de chacun pour aider ceux qui n’ont pas encore fait mais qui voudraient faire ! C’est un passage de relais. Ceux qui ont construit avant nous peuvent nous aider à construire à notre tour ! »

Une liste de « correspondants » a été établie, tous s’engagent à diriger les porteurs de projets non aboutis vers l’association MJC : l’Étoile Croix-du-Sud, « 2 Mains », association de promotion de Pays-de-France, association des travailleurs Maghrébins de France, Avenir jeunes Croix-du-Sud, collectif Croix-Rouge accueil, collectif Créa-Form’Aide, Espoir jeunesse Pays-de-France, « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », FCPE François-Legros, Femmes d’ici et d’ailleurs, Job’s 51, association MJC Croix-Rouge, Multi-échanges services, Rencontres interculturelles de Reims, les Panthères grises, le Service départemental de Prévention, les cinq espaces de la Maison de quartier Croix-Rouge et la circonscription de la Solidarité départementale.

L’association MJC attend maintenant les porteurs de projets au cours de sa permanence à l’espace Aquarelle-Pays-de-France chaque dernier jeudi du mois à 18 h 30.

- Regardez les photographies de cette réunion aimablement transmises par Monsieur Christian Caron.

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Union 070202e Locales - Reims

Les rendez-vous à ne pas manquer en février

 

Les marcheurs du dimanche vont découvrir le sud d’Épernay.

Vendredi 2 février : A 18 h 30 aura lieu l’inauguration des locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge au 1, allée des Picards.

Samedi 10 février, l’association Étoile Croix-du-Sud organise un loto. Départ du jeu à 20 heures. Nombreux lots à gagner.

Renseignements : Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.) ou sur le site www.etoiledusud.com

Mercredi 14 février, le service communal d’hygiène et de santé organise une séance de vaccinations de 14 à 15 heures, dans les locaux de l’espace Billard (14, rue Pierre-Taittinger).

Renseignements : espace Billard (03.26.08.08.78.) ou service d’hygiène et de santé (03.26.35.68.70.).

Mardi 20 février et mercredi 21 février, à partir de 18 h 30 au stade Géo-André : reprise des entraînements enfants et juniors du football-club de l’Acrap. Renseignements auprès de Laurent Julliard (Tél. 06.75.00.61.15.)

Dimanche 25 février : A vos chaussures ! Les marcheurs du dimanche iront découvrir la région du Baizil, au sud d’Épernay, le 25 février. Départ de Watteau à 8 h 15, retour vers 12 h 30. Possibilité de co-voiturage si inscription préalable.

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin, accompagnateur, au 06.12.99.83.09.

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Union 070201a Locales - Reims

Ahmed El Mcherfi

 

La politique dite « de la ville », c’est-à-dire d’aide aux quartiers les plus défavorisés, change quelque peu de modalités. Désormais on ne parle plus de « contrat de ville », mais de contrat urbain de cohésion sociale (Cucs).

L’adjoint chargé de ce dossier, Ahmed El Mcherfi, répond à nos questions :

« Désormais, ce sont uniquement les territoires les plus sensibles qui bénéficieront des financements »

l’union : En dehors du changement de nom, y a-t-il de vraies différences entre contrat de ville et Cucs ?

Ahmed El Mcherfi :

Il y en a plusieurs :

- le Cucs offre davantage de souplesse, parce qu’il court sur trois ans, renouvelables une fois, alors que le contrat de ville portait sur six ans d’un coup et que les grands axes d’action étaient figés pendant toute cette période.

- Ensuite, deuxième grande différence : le financement pluriannuel devient possible, alors que dans le contrat de ville, il ne pouvait être qu’annuel, ce qui était source d’incertitudes.

- Une autre différence porte sur le territoire éligible à ces aides : avant, c’était toute l’agglomération, désormais ce sont uniquement les territoires les plus sensibles, ce qui évite le saupoudrage.

- Enfin, l’évaluation des actions se fera chaque année, et non plus deux fois seulement sur les six ans, à mi-parcours et à la fin.

l’union : Quels sont les territoires sensibles retenus pour ce Cucs rémois ?

Ahmed El Mcherfi :

Dans l’ordre des priorités nous retrouvons

- des quartiers bien connus pour cumuler les handicaps, chômage, santé, monoparentalité etc : Croix-rouge, Orgeval, Épinettes, Wilson,

- plus quelques petites « poches » de dimension plus réduite : les rues Chanoine-Lallement, Canterbury, et Louis-Bréhier.

- A un degré d’urgence moindre, on trouve Châtillons et Concorde.

- Et à un degré encore inférieur, Chemin-vert et Europe.

l’union :Mais globalement, l’enveloppe financière reste-t-elle la même ?

Ahmed El Mcherfi :

Oui, avec, annuellement 600.000€ de la Ville, 500.000 € de l’État, plus une possible aide plus modeste d’autres partenaires comme la Caf, cela équivaut aux sommes engagées dans le contrat de ville.

Propos recueillis par Antoine Pardessus

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Union 070130a Locales - Reims

Croix Rouge : Les anciens ont été choyés

 

Le repas des anciens, retraités et personnes âgées du quartier Croix-Rouge principalement, de 65 ans et plus (avec leurs conjoints) s’est déroulé après un apéritif pris avec le premier adjoint au maire Marie-Annick Roger, le conseiller général Éric Quénard et le conseiller municipal Michel Guillaudeau qui ont tous présenté leurs vœux.

Les correspondants de quartier ont joué, une fois encore, les chauffeurs bénévoles avec les véhicules de l’Acrap, pour transporter une quinzaine de personnes ne pouvant pas se déplacer seules et c’est ainsi que 56 personnes âgées (dont 43 femmes) ont bénéficié d’un excellent repas servi dans la salle Jean-Jacques-Lapique.

Puis, une animation était proposée par la section « Danse rythmique et sportive » de l’Acrap, encadrée par Céline Herter (une quinzaine de danseuses) avec, en prime, un divertissement improvisé par des anciens, conviés au repas.

Chaque convive est reparti avec un cadeau : une composition florale de jacinthes pour les dames, un sachet de friandises et de chocolats à base de liqueur pour les messieurs.

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Union 070126a Locales - Reims

Étoile Croix-du-Sud : l’assemblée générale en DVD

 

Pour entendre en direct les interventions des officiels.

Devant le succès rencontré par le film de la dernière assemblée générale de l’association Etoile Croix-du-Sud, sur le site http://www.quartier-croix-rouge.info/ , le webmestre en propose la diffusion sur Dvd car « la vidéo mise en ligne est le meilleur reflet de la qualité de notre assemblée générale » .

On y perçoit bien « la vivacité et l’ambiance de franche et courtoise confrontation des intervenants » , et surtout « l’ambiance de fronde avec les exposés de nos énormes besoins, des faibles réalisations officielles et des promesses non tenues. »

Le conseil d’administration a chargé la secrétaire Éline Travert de sonder la population du quartier : toute personne intéressée par un tel Dvd peut la contacter au

5 avenue Léon-Blum

Tél. 03.26.06.56.66.

 

 

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Union 070126b Locales - Reims

Construire et réhabiliter à Pays-de-France

 

A Pays-de-France, des locataires sont en colère.

Le Foyer rémois met des moyens dans la réhabilitation de quelques immeubles qui sont destinés à être vendus. Il annonce en avril la construction de deux immeubles avec parkings souterrains et espaces verts privatifs, dans le virage Arago, avenue du général-Bonaparte.

Lors de la réunion publique du conseil de quartier du 6 décembre, les habitants du quartier Pays de France présents, qui attendent des travaux dans leurs immeubles, avaient fortement manifesté : ils ont mis en cause cette construction de logements dans le cadre du projet de déplacement du centre commercial.

Ils estiment que la construction de ces logements, à loyer hors de portée de la plupart d’entre eux, va créer une situation de quartier à « deux vitesses » alors que selon eux, la priorité devrait être la réhabilitation des immeubles construits au début des années 1970.

Le projet présenté aux habitants

Au Foyer rémois, Jean-Denis Mège, directeur du développement, « comprend leur inquiétude » et tient à les « rassurer » : « Un projet de réhabilitation et d’amélioration de l’habitat est bien prévu sur Pays de France. Actuellement, nous mettons au point une proposition de programmation de travaux.

La ville de Reims et le Foyer rémois ont fait travailler des urbanistes sur un projet que nous présenterons aux habitants dans les mois à venir. »

Le Foyer rémois va soumettre ce programme à l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru) qui centralise tous les financements pour ces projets : « Nous sommes déterminés à obtenir cet accord d’ici la fin du premier semestre 2007. Viendra ensuite le temps de la concertation avec les habitants et la programmation de travaux qui s’étalera sur les années à venir. »

 

 

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Union 070125a • Locales - Reims

Danse modern’jazz à Croix-du-Sud
Éline Travert et quelques-unes de ses danseuses.

 

L’association Étoile Croix-du-Sud propose, pour les jeunes de 6 à 15 ans, garçons et filles, un cours de modern’jazz tous les mercredis de 17 h 30 à 18 h 30, dans la salle associative Claude-Prével, sur fond de musiques actuelles.

Cette section existe depuis douze ans, et quand la première animatrice a quitté l’association, Éline Travert, qui était l’une de ses élèves, a tout naturellement pris bénévolement la relève depuis maintenant sept ans.

Le bénévolat semble être une spécificité de la famille, puisque son père Georges est trésorier et sa mère, Muriel trésorière adjointe !

« Je danse depuis l’âge de 7 ans et je ne pourrais plus arrêter », explique Éline avec grâce et simplicité. Ce ne sont pas ses élèves qui s’en plaindront !

Étoile Croix-du-Sud 5, avenue Léon-Blum tél. 03.26.06.56.66.

http://www.quartier-croix-rouge.info

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Union 070125b Locales - Reims

Pour bien préparer l’entrée des petits en maternelle

L’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge s’intéresse à l’entrée des petits en maternelle. Il organise à cet effet une préparation spécifique en direction des parents et des enfants.

« Cette action consiste à préparer les petits à l’entrée en maternelle, à la vie en collectivité et à la séparation parent-enfant », explique Oumkeltoum Fedaïli, référente familles.

Les séances auront lieu tous les vendredis de 14 h 30 à 16 heures (sauf vacances scolaires).

Première phase, de février à fin mars : les parents et les enfants seront accueillis à l’espace Watteau.

Deuxième phase, de mai à juin : les parents et les enfants seront accueillis séparément à l’espace Watteau, les parents autour d’échanges, de débats sur la scolarité de leur enfant et sur la séparation.

Troisième phase, les parents et les enfants seront accueillis à l’école autour d’un goûter.

La réunion de préparation de cet atelier aura lieu le vendredi 26 janvier à 15 heures à l’espace Watteau.

Renseignements, inscriptions : Maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.).

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Union 070125c • Locales - Reims

Les bonnes nouvelles de l’espace Watteau

L’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge vient de présenter ses vœux aux usagers.

Usagers, professionnels et associatifs réunis pour les vœux et la galette.

Le président Vincent Girardin a évoqué la prochaine constitution d’un conseil d’orientation qui réunira l’espace Watteau et les associations voisines dont Ethnic’s et l’Étoile Croix-du-Sud « pour fédérer et coordonner nos actions communes dans un meilleur souci d’efficacité ».

Il a également informé l’assistance d’un audit financier et organisationnel commandé par l’association des Maisons de quartier de Reims.

Quant à Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau, il a annoncé une bonne nouvelle : « Karine Camphyn va entreprendre la réactivation de notre site internet http://perso.orange.fr/maisondequar…. Au nom du maire de Reims, le conseiller municipal José Domice a assuré l’espace Watteau et la Maison de quartier Croix-Rouge du soutien municipal actif.

La soirée s’est terminée par la dégustation de la galette des Rois.

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Union 070125d • Locales - Reims

Des résultats pour le contrat de réussite éducative à Croix-Rouge.

Des actions bien ciblées en faveur d’enfants en grande difficulté qui sont repérés et signalés. tel est l’esprit du contrat de réussite éducative lancé à Croix-Rouge.

Mohammed Es-Saïdi a présenté son bilan au public du conseil de quartier.

Dans une délibération adoptée en conseil municipal le 18 décembre dernier, la municipalité a proposé d’étendre le dispositif de réussite éducative (Dred) expérimenté sur le quartier Croix-Rouge, aux quartiers Orgeval et Epinettes et d’attribuer une subvention au Centre communal d’action sociale (Ccas) pour organiser ce dispositif.

Ainsi la Ville engage pour l’année scolaire 2006 - 2007, une somme de 219.000 euros dans ce dispositif.

Les élus communistes ont protesté : « nous sommes toujours en attente du bilan de l’expérimentation sur Croix-Rouge. »

Or, si le conseil municipal n’est pas informé, Mohammed Es-Saïdi, coordonnateur du dispositif à Croix-Rouge, a dressé un bilan lors de la réunion publique du conseil de quartier :

« Le Dred a été mis en place pour cinq ans sur le quartier Croix-Rouge en direction d’un public composé des enfants de 2 à 16 ans, en zone d’éducation prioritaire, habitant Croix-Rouge ou y étant scolarisés.

La Maison de quartier, les établissements scolaires, les assistantes sociales, le conseil général, les associations peuvent proposer des enfants susceptibles d’en bénéficier. »

Les actions en 2005

Quatre actions ont été engagées en décembre 2005 pour un montant subventionné de 13.345 euros : « Des mots de parents pour prévenir des maux d’enfants » (Maison de quartier. 900 euros), « Education et séjours collectifs de jeunes » (Maison de quartier. 3.445 euros), « Vivre et apprendre ensemble » (Association pour le développement de la Zep, 8.000 euros), « Parentalité et interculturalité » (Collectif interculturel des associations de migrants - Ciam, 1.000 euros).

482 jeunes ont été concernés par ces actions (134 de 2 à 6 ans, 150 de 6 à 11 ans et 198 de 11 à 16 ans). 299 étaient suivis par l’Education nationale, 161 par l’Aide sociale à l’enfant (Ase) et 22 par le service départemental de prévention.

Les actions de 2006

En 2006, le Dred a subventionné dix actions, pour un montant de 85.378 euros, que Mohammed Es-Saïdi a détaillées.

- Trois ateliers « Accompagnement à la scolarité » (un à l’espace Billard : 2.840 euros, un à l’espace Ethnic’s : 9.292 euros et un à l’espace Watteau : 1.800 euros),

- l’opération « Education et séjours collectifs de jeunes » à l’espace La Nacelle, pour 16.926 euros),

- l’atelier « Réinvestir les apprentissages de l’école primaire » à l’espace Watteau, pour un montant de 3.600 euros,

- les actions « Vivre et apprendre ensemble » portées par l’association pour le développement de la Zep : 16.000 euros,

- « l’école ouverte Georges-Braque », une initiative du Foyer socio-éducatif du collège Georges-Braque : 4.000 euros,

- une action « Prévention pour la santé bucco-dentaire dans la Zep » en faveur de 400 enfants de Croix-Rouge avec l’Union française pour la santé bucco-dentaire de la Marne (coût : 9.120 euros),

- la « Classe relais au collège Université » (Collège Université : 8.800 euros),

- et le « Dispositif d’accompagnement individualisé à la scolarité » organisé par l’antenne rémoise de l’association de la fondation étudiante pour la ville - Afev et qui a été détaillé en question-réponse dans l’union de jeudi 11 janvier : 13.000 euros, un trimestre).

En définitive, il s’agit d’un ensemble d’actions bien ciblé en faveur d’enfants en grande difficulté qui sont repérés et signalés.

Ces actions ne sont pas concurrentes mais, au contraire, elles s’ajoutent à toutes celles déjà engagées par les institutionnels, l’éducation nationale et en particulier la zone d’éducation prioritaire, le service départemental de prévention, l’aide sociale à l’enfance, les associations et la Maison de quartier : qui s’en plaindrait ?

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Union 070125e • Locales - Reims

Avez-vous des projets ?

L’association Mjc Croix-Rouge invite tous ceux qui ont, individuellement, en groupe ou en association, un projet social, culturel, éducatif, sportif ou de loisir à proposer, à se retrouver, pour les aider.

Une plaquette, éditée avec l’aide du Fonds d’initiative locale de la ville de Reims et prévue pour une large diffusion dans le quartier sera présentée officiellement.

Rendez-vous aujourd’hui jeudi 25 janvier, à 18 h 30, dans les locaux de la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France (Béarnais-Aquarelle).


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