nous contacter conseiller le site conseiller cet article imprimer cet article


Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - octobre 2012.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010, août 2010, septembre 2010, octobre 2010, novembre 2010, décembre 2010, janvier 2011, février 2011, mars 2011, avril 2011, mai 2011, juin 2011, juillet 2011. août 2011, septembre 2011, octobre 2011, novembre 2011, décembre 2011, janvier 2012, février 2012, mars 2012, juin 2012, juillet 2012, août 2012, septembre 2012.

 

 

***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121031g
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7470 du 29 octobre au 04 novembre 2012.

----------

Moins de charges et de CO2 grâce à la chaufferie bois

La chaufferie bois, une réussite en matière de développement durable.
- Agrandir la photo

Énergie. Après dix-huit mois de travaux, la chaufferie bois rémoise de Croix-Rouge Murigny a été inaugurée. Cet équipement est exemplaire en matière de développement durable, que ce soit sur le plan environnemental, économique ou social.

La SOCCRAM (filiale de DF Suez) et la Ville de Reims ont présenté avec fierté la nouvelle chaufferie bois. Cet investissement de 7,8 M€ HT, financé pour près de la moitié par l’Ademe et le Feder (via la Région), a d’ailleurs reçu la Marianne d’or du développement durable de la part du Conseil Constitutionnel.

Adeline Hazan, maire de Reims, a justement décrit un projet au « triple bénéfice ». Sur le plan social, les charges de chauffage des habitants du secteur et du CHU vont ainsi diminuer de 10 % grâce au seuil de 50 % des consommations produites grâce aux énergies renouvelables qui fait diminuer la TVA sur le réseau de chaleur de 19,6 % à 5,5 %. « Des économies qui s’ajoutent aux rénovations énergétiques effectuées dans le cadre du renouvellement urbain », précise l’élue. Sur le plan environnemental, les émissions de CO2 vont être réduites de 12 000 tonnes par an, soit plus de 180 000 tonnes sur la durée du contrat de délégation auprès de la SOCCRAM qui court jusqu’en 2028. La dimension économique n’est pas en reste avec l’utilisation de 20 000 tonnes de bois par an, dont 90 % en provenance de la région. « 10 emplois sont aussi générés par cette nouvelle chaufferie », ajoute Adeline Hazan qui qualifie donc ce projet de « véritable réussite collective ».

LE SOUCI DE L’ESTHÉTIQUE

Thierry Lahaye, Pdg de la SOCCRAM, a aussi souligné « l’aboutissement d’une démarche commune débutée avec la pose de la première pierre en juin 2011 ». Il explique qu’une dizaine d’entreprise, soit« près de 60 ouvriers et ingénieurs ont travaillé simultanément sur ce projet énergétique complexe ».

Concrètement, deux chaudières d’une puissance de 5 MW viennent renforcer l’installation existante et se substituer en partie aux produits fossiles (gaz, fioul, charbon). Autre réussite de cette construction, l’esthé-tique du bâtiment qui s’accompagne d’un nouveau coup de peinture sur l’emblématique cheminée de la chaufferie.

PHILIPPE DEMOOR


----------

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 3 janvier 2012, enregistré à la Recette des Impôts de REIMS NORD, le 12 janvier 2012, bordereau n° 2012/67, case 1, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
DENOMINATION SOCIALE : GROUPE MEDICAL PAYS DE FRANCE.
FORME SOCIALE : Société civile de moyens.
SIÈGE SOCIAL : 14 avenue du Général Bonaparte - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL :
— La société a pour objet exclusif la mise en commun des moyens utiles à l’exercice de la profession de ses membres en veillant au respect de la liberté de choix par le malade et de l’indépendance technique et morale de chaque associé :
— Elle peut notamment acquérir, louer, vendre, échanger les installations et appareillages nécessaires. Elle peut encore engager le personnel auxiliaire nécessaire et plus généralement, procéder à toutes opérations financières, mobilières et immobilières, se rapportant à l’objet social et n’altérant pas son caractère civil.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de son immatriculation au R.C.S.
CAPITAL SOCIAL : 50.000 €.
GERANCE : Laurent KACK KACK. demeurant 27 rue des Maraîchers 51500 TAISSY.
IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.
110123 Pour avis.


----------

Un nouveau positionnement sur la rénovation urbaine.

Bec Construction s’engage de plus en plus sur des programmes de rénovation urbaine, comme ici l’îlot Degas à Reims. réalisé pour l’Effort Rémois et conçu par l’architecte Francois Wustner (APO).
- Agrandir la photo

Bec Construction veut se spécialiser dans les chantiers de réhabilitation de logements dans toute la région.

Les entreprises du secteur du bâtiment qui s’avouent satisfaites de leur activité actuelle ne sont pas légion. Mais Bec Construction en fait partie. L’entreprise d’Epernay (95 salariés) a d’ailleurs plus que doublé son chiffre d’affaires ces dix dernières années (de 10 M€ à près de 23 M€), grâce notamment à une stratégie basée sur la patience et la volonté de continuer de travailler de gré à gré avec sa clientèle.

C’est aussi la diversification qui explique une telle progression longtemps cantonnée à une image de spécialiste des chantiers liés au champagne - ce qui est aussi une réalité - Bec Construction se tourne depuis peu vers le marché de la réhabilitation et de la rénovation urbaine. Un choix payant puisque les pro-grammes réalisés ont permis à l’entreprise de déployer de nouvelles compétences et de se positionner sur un domaine qui lui échappait jusqu’à présent.

« Nous avons choisi de nous impliquer pleinement sur le marché de la réhabilitation de logements et nous le faisons savoir ». Encouragés par la réussite de leurs chantiers de rénovation urbaine en cours de finalisation dans les quartiers de Ber-non (Epernay) et Croix-Rouge (Reims), les dirigeants de l’entreprise n’hésitent pas à se positionner comme un des acteurs de la réhabilitation sur lequel il faudra désormais compter. « Nous avons agrandi nos équipes d’encadrement pour répondre aux chantiers d’aujourd’hui : réhabilitation urbaine, Bâtiments Basse Consommation (BBC) ou en entreprise générale », précise Stéphane Rigaud. Des chantiers qui nécessitent en effet un travail de coordination important, à l’image de celui remporté par l’entreprise dans le quartier de Bernon (photo ci-contre). Il concerne la réhabilitation de 275 logements en milieu habité. Un vrai challenge et un essai transformé. « C’était notre première grosse opération de réhabilitation urbaine à cette échelle ».

INSERTION RÉUSSIE

Mené avec la Ville d’Epernay et le bailleur le Toit Champenois, le chantier devrait prendre fin en décembre 2012 et s’avère déjà positif, avec des délais et des objectifs respectés. Sur le plan social également, Bec Construction se montre très satisfait du résultat, comme le souligne le Directeur de travaux : « Ces chan-tiers prévoient que 5% des heures doivent être réalisées par des personnes du quartier. Nous en sommes à près de 20% aujourd’hui Mais nous avons toujours fait de l’insertion donc cela ne change pas fondamen-talement nos méthodes de travail ». Le recrutement d’une chargée de relations avec la clientèle issue elle aussi du quartier fait partie des motifs de satisfaction de l’entreprise. Cette dernière a agi de la même manière sur son chantier de Croix-Rouge (réalisation de l’Ilot Degas pour l’Effort Rémois) et compte bien appliquer les mêmes méthodes sur les futures opérations qu’elle veut décrocher : « Nous voulons aussi démontrer qu’il n’y a pas que les grands groupes qui savent traiter ces dossiers ».

B.B.

***********************************

Union121031f- Marne
Deux générations sous le même toit

Liam et Yolande ont plus de cinquante ans de différence. Un duo complémentaire réuni grâce à l’association Ensemble2Générations mais aussi à l’Effort rémois.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Une retraitée qui accueille un étudiant chez elle. Un cahier des charges mutuel à respecter. C’est le nouveau dispositif intergé-nérationnel.

6, rue Bernanos, dans le quartier Croix-Rouge. L’immeuble est classique, mais des rires proviennent d’un appartement du rez-de-chaussée. À l’intérieur, Yolande Forget ne boude pas son plaisir. Depuis la rentrée universitaire, elle accueille un jeune étudiant originaire de Chine : Liam. Et elle ne regrette pas d’avoir franchi le pas.

« Ce que je préfère, c’est le partage. Ça ne sert à rien de rester seule à se morfondre. J’ai eu l’occasion de postuler pour accueillir un étudiant. Et si c’était à refaire, je referai la même chose », commente la retraitée.

De plus en plus d’adeptes

Comme l’ensemble des locataires de plus de 65 ans de l’Effort rémois, Yolande a reçu une lettre lui proposant ce partenariat. Un rapprochement qui n’a été rendu possible que par l’intermédiaire des responsables de l’association Ensemble2Générations.

Cette convention de partenariat entre le bailleur social et l’association est une première. Mais cette initiative va, sans grand doute, se développer dans le mois et les années à venir.

« Nous avons pour rôle de mettre en relation des personnes. Une personne âgée qui dispose d’une chambre vacante, un étudiant qui est à la recherche d’un logement. Un accompagnement est également demandé à l’étudiant lorsqu’il accepte de « partager sa vie » avec un(e) retraité(e) », commente Anne-Sophie Renard, présidente de Ensemble2Générations.

Visiblement, l’expérience séduit puisque depuis le début de l’année, l’association, fraîchement implantée dans la cité des sacres, est à l’origine d’une quinzaine de binômes de ce genre. « A notre époque où l’on constate un repli sur soi, on ne peut que se féliciter de cette initiative. Et nous ferons tout pour qu’elles se multiplient si les premiers retours demeurent positifs », confie Laurent Roux, directeur général adjoint de l’Effort rémois.

Comme Liam, ce jeune Chinois de 22 ans, plusieurs étudiants étrangers ont choisi de tester cette nouvelle formule d’accueil. L’intégration n’en est que plus simple. Et la découverte d’une nouvelle culture aussi.

Th.D.

***********************************

Union121031e- Marne
Athlétisme / 750 élèves au cross de François-Legros

Faite sur une distance de 2,2 km, la course était ouverte
- Agrandir la photo

 

Ce jour-là, la cour du collège François-Legros avait pris les allures d’un grand meeting d’athlétisme. Puisqu’elle y accueillait le traditionnel cross de cet établissement d’enseignement. « C’est un des rares moments où l’on rassemble tout le monde, où l’on concrétise un projet pédagogique. Cela se passe par niveau de classe ; les futurs CM2 sont invités. Cette année, afin de nous faciliter le travail, nous avons un peu innové en modifiant l’ordre d’intervention des groupes. Plusieurs écoles sont présentes ici : Martin-Peller, Billard, Avroche, Sculpteur-Jacques et Franchet-d’Esperey », a confié l’un des organisateurs.

Faite sur une distance de 2,2 km, la course a été un joli temps fort pour ces 750 élèves. Ephraïm faisait partie des participants : « L’épreuve était longue et fatigante. Je l’ai faite pour évaluer mes capacités en endurance. Sinon, je suis vraiment content d’être là », a-t-il confié. « Il y en a qui couraient plus que d’autres », a observé de son côté Inès.

Et c’est à Alicia qu’est revenu le dernier mot : « Oh, ça fait du bien de courir. Pour la santé. J’y participe aussi pour avoir une bonne note. Dommage que ma sœur n’a pas pu venir. »

 

***********************************

Union121031d- Marne
Roller hockey / Fitness-vitesse : des problèmes de créneaux

Gilbert Lagors : « Il nous a fallu nous réorganiser en cédant quelques heures du roller hockey ».
- Agrandir la photo

 

Le Reims roller Champagne club n’échappe pas aux nombreux problèmes de gestion de créneaux sportifs qui touchent certains clubs rémois. La section fitness-vitesse-loisirs est la plus touchée en ce début de l’année sportive. « Il nous a fallu nous réorganiser en interne en cédant quelques heures du roller hockey pour que les nombreux adhérents présents puissent patiner dans des conditions normales de sécurité. Privé d’informations précises, le club s’en remet aux bruits de couloir annonçant le prochain déménagement de la section roller hockey vers un autre gymnase qui libérerait des créneaux au profit de la section vitesse-fitness. Même s’il est évident que ces désagréments ont entamé l’essor commencé il y a quelques années », confie Gilbert Lagors, président du Reims roller Champagne club.

Mais le RCC est conscient que tout ne peut se résoudre d’un claquement de doigt. « On aurait voulu annoncer de façon définitive à nos adhérents que le gymnase François-Legros rénové serait à leur disposition dès la mi-novembre avec les deux tranches horaires dont ils bénéficiaient les années précédentes. Mais cette annonce n’est pas complétée par l’officialisation des créneaux du roller hockey. Ce qui transférerait les difficultés d’une section vers l’autre. Pour la section roller hockey, cet équipement attendu permettrait de renforcer la position de cette discipline sportive et lui redonner une nouvelle dynamique, accompagnée par la nouvelle appellation de la section roller hockey, les Chevaliers de Champagne, qui démontre l’objectif affiché du club de promouvoir les valeurs de la chevalerie moderne », conclut Gilbert Lagors.

 

***********************************

Union121031c- Marne
Deux élèves exclus après la rixe au lycée Joliot-Curie

Le jeudi 11 octobre (notre édition du 12 octobre), peu après 10 heures, deux élèves s’étaient violemment battus alors qu’ils s’apprêtaient à pénétrer en classe pour suivre un cours de mathématiques au lycée Joliot-Curie.

A la suite de ce nouvel incident, la trentaine de professeurs présents dans l’établissement au moment des faits avait exercé leur droit de retrait « pour dénoncer le climat délétère au sein du lycée ».

Vendredi dernier, un conseil de discipline s’est réuni pour décider du sort des deux jeunes impliqués dans la bagarre.

La sentence est sans appel : la demoiselle et le jeune homme qui en étaient venus aux mains ont été définitivement exclus de l’établissement.

Ensemble2générations Reims : 122 bis, rue du Barbâtre. Tél. 06.77.36.37.25. Site internet : www.ensemble2generations.fr

***********************************

Union121031b- Marne
Un incendiaire rue de Bezannes

Les poubelles ont été mises à feu contre la façade d’un immeuble.
- Agrandir la photo

 

REIMS (Marne). Hier matin, vers 1 heure, un habitant de la rue de Bezannes qui sortait ses poubelles a entendu « comme deux coups de feu plus bas dans la rue », en direction de l’avenue d’Epernay. « J’ai eu vite fait de constater que plusieurs poubelles jaunes brûlaient violemment contre le mur de l’immeuble qui fait l’angle avec la rue Charles-de-Sèze. Il y avait même une fenêtre qui commençait à fondre sous la chaleur. J’ai appelé les pompiers, mais ils étaient déjà au courant », raconte le témoin.

Dans l’attente de leur arrivée, un riverain s’est efforcé de dégager quelques poubelles avant qu’elles soient elles aussi la proie des flammes. Cinq ou six conteneurs ont été détruits, plus un autre rue François-Dor à quelques dizaines de mètres de là. Difficile de croire à une coïncidence.

Cette même nuit, vers 3 heures, une poubelle est également partie en fumée rue Léon-Mathieu. Bizarre, bizarre, car c’est la rue juste à côté…

Vers 16 heures, à l’autre bout de la ville, un conteneur a subi le même sort dans une cave de la rue de Bethléem.

 

***********************************

Union121031a- Marne
AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : requalification et réfection des dalles G1-G2 de l’Esplanade et de la cour Eisenhower, Génie civil, réseau vidéosurveillance, situé quartier Croix-Rouge à Reims.
4) Lot. Désignation.
Lot 01 : Génie civil pour fibre optique - Requalification des dalles G1-G2.
L’opération concerne les prestations de Génie civil relatives à la mise en place de vidéosurveillance, quartier Croix-Rouge à Reims.
L’ensemble du lot fera l’objet d’un marché unique.
5) Critères de jugement des offres :
Critères. Pondération.
1. Prix des prestations : 60 %.
2. Valeur technique : 40 %.
6) Variantes : les variantes ne sont pas autorisées.
7) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble du lot est de 1 mois, les intempéries sont prévues et comprises dans le délai d’exécution. Les congés payés ne sont pas prévus.
La période de préparation de chantier de 15 jours n’est pas comprise dans ce délai.
8) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique. Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
9) Renseignements complémentaires : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT. Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la maîtrise d’ouvrage de REIMS HABITAT, Monsieur DELAVAL. Tél. 03.26.48.43.43. Fax : 03.26.48.43.40.
10) Date limite de réception des offres : le 26 novembre 2012 à 17 heures.
11) Date d’envoi à la publication : le 29 octobre 2012.

51AO1957076

***********************************

Union121030c- Marne
L’IMAGE DE LA SEMAINE

 

Après 18 mois de travaux, la ville de Reims a pris possession, la semaine dernière, de la chaufferie bois qui bénéficiera aux quartiers Croix-Rouge, le plus grand de la Ville, et Murigny.

L’équipement est constitué de deux Chaudières d’une puissance unitaire de 5 MW et permettra une réduction des émissions de CO2 de 12 000 tonnes par an.

La conception, la réalisation et l’exploitation de la chaufferie sont confiées jusqu’en 2028 à la société Soccram, filiale de GDF Suez.

Au total, l’investissement s’élève à 7,8 millions € HT, cofinancés par la ville de Reims, l’Ademe, la Région et le Feder

 

***********************************

Union121030b- Marne
SDF, depuis la mort de sa sœur dans un incendie

Kheira Bezghiche a péri dans l’incendie de son immeuble, le 7 août, allée Edgar-Degas à Croix-Rouge. Le relogement de son frère Kamel, qui vivait chez elle, pose toujours problème.Christian LANTENOIS
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

REIMS (Marne). Elle a péri dans l’incendie de son immeuble, le frère malade qui vivait chez elle se retrouve sans domicile fixe. Deux mois après le drame de l’allée Edgar-Degas à Reims, la famille de la victime continue de vivre « un cauchemar ».

« NOUS étions cinq frère et sœurs. Maintenant, deux de mes sœurs sont mortes et je ne veux pas que ce soit mon frère qu’on enterre la prochaine fois. »

Elle a perdu Kheira au mois d’août, elle ne veut pas perdre Kamel dans les mois qui viennent. S’exprimant au nom de sa famille, Menana Bezghiche est la sœur de cette habitante du quartier Croix-Rouge décédée lors du violent incendie survenu le 7 août dans un immeuble de l’allée Edgar-Degas, et au cours duquel seize autres personnes ont été intoxiquées (l’union des 8, 9 et 10 août).

Trois enfants sauvés

Le feu s’est déclaré vers 20 h 15, dans un appartement du rez-de-chaussée, probablement un jeu de gamins avec des allumettes ou un briquet qui a mal tourné. Agée de 43 ans, Kheira demeurait au troisième. Les fumées l’ont piégée alors qu’elle tentait de s’échapper par l’escalier. Elle en est morte, non sans avoir eu le temps de sauver trois enfants croisés dans sa fuite (et dont on ne sait d’ailleurs toujours pas, deux mois après, comment ils se sont retrouvés seuls dans les communs). « C’était son rêve d’avoir des enfants. Elle n’a jamais eu la chance d’en avoir. Elle est partie en en sauvant trois. »

Un riverain venu la rejoindre au deuxième a pu récupérer les bambins et sortir avec eux, en traversant la fumée. Au lieu de les suivre, Kheira est remontée. C’est au sixième que les pompiers l’ont retrouvée inanimée. Ils l’ont sortie, ont tenté de la réanimer. En vain. Sa mort a provoqué une vive émotion dans le quartier car beaucoup de gens la connaissaient. « Leur solidarité et leur compassion nous ont réconfortés dans notre malheur. »

Kheira Bezghiche n’habitait pas seule. Depuis le mois de janvier, elle hébergeait son frère Kamel, 38 ans. « Il a été opéré du cœur l’an dernier. Dans l’attente d’un logement, il était venu vivre chez ma sœur, le temps d’obtenir son dossier Cotorep », explique Menana. « Il était chez elle le soir de l’incendie. Quand le feu a pris au rez-de-chaussée, il est allé voir ce qui se passait. Il n’a pas pu revenir. Il était là lorsque les pompiers ont sorti ma sœur et qu’ils ont tenté de la réanimer. Il a assisté à sa mort. Ça l’a profondément traumatisé. Il culpabilise d’être en vie à sa place. »

Deuil impossible

Kamel Bezghiche n’était pas le titulaire du bail, d’où l’obligation de déposer une demande pour être relogé. « Nous pensions qu’il aurait obtenu un appartement rapidement, vu l’urgence de la situation, mais ça fait plus deux mois et il n’a toujours rien, alors que l’Effort rémois avait pourtant promis d’aider tous les sinistrés. Depuis l’incendie, il n’a plus de domicile fixe. On l’héberge à droite à gauche. Il lui arrive même de dormir dans la rue. » Sa famille vit d’autant plus mal cette situation que l’appartement est toujours occupé par les meubles de la défunte. « Ses affaires sont là-bas, celles de mon frère aussi. On ne peut les récupérer qu’au compte goutte. Il faut appeler pour avoir les clefs et se dépêcher car on nous accorde peu de temps. Si j’ai envie de me recueillir chez ma sœur, c’est top chrono. »

Les jours passent, les premiers froids arrivent. « Que va-t-il arriver à mon frère, avec ses problèmes de santé, s’il n’a pas de domicile ? », s’inquiète Menana. « Sa situation difficile à gérer, le décès de notre sœur… Comment faire notre deuil dans des conditions pareilles ? C’est un cauchemar que nous vivons depuis deux mois. »

Fabrice CURLIER

« Nous essayons de trouver une solution », assure l’Effort rémois

Directeur général adjoint de l’Effort rémois, Laurent Roux déclare « suivre personnellement » le dossier de Kamel Bezghiche, et s’étonne des reproches formulés par sa famille.

« J’ai rencontré M.Bezghiche à deux reprises dans les jours qui ont suivi l’incendie.La première fois pour lui présenter nos condoléances et lui exprimer le soutien de l’Effort rémois dans cette situation difficile, la seconde fois pour faire le point sur ses attentes. » M.Roux ajoute qu’« une dizaine » de rencontres ont également eu lieu entre M.Bezghiche et ses services.

« D’un point de vue juridique, il n’est pas le locataire de l’appartement.Le titulaire du bail était sa sœur. Il vivait chez elle mais n’avait effectué aucune démarche pour formaliser sa domiciliation dans le logement. Cette situation empêche la transmission automatique du bail qui a pris fin automatiquement avec le décès de sa sœur. C’est pourquoi nous avons récupéré les clefs mais si la famille souhaite en disposer plus longtemps pour organiser le déménagement, qu’elle le demande, nous l’accepterons. »

Accompagnement social nécessaire

Concernant le relogement de Kamel Bezghiche, Laurent Roux signale qu’« il ne souhaitait pas rester dans l’appartement où a vécu sa sœur, ce qui est tout à fait compréhensible ». « Cela dit, étant donné qu’il n’est pas locataire chez nous, son relogement doit nécessairement passer par le dépôt d’une demande. Il l’a effectuée mais la situation d’extrême fragilité dans laquelle il se trouvait lorsque nous l’avons rencontré nous a paru inconciliable avec son admission directe dans un logement autonome. Nous l’avons orienté vers la mise en place d’un accompagnement social pour l’encadrer et intégrer son relogement dans une structure intermédiaire, afin qu’il puisse bénéficier d’une aide lui permettant de sortir de ses difficultés.Ce n’est qu’une fois ce cheminement accompli qu’il sera possible d’envisager son installation dans un logement en complète autonomie. »

« Nous ne pouvons conclure cette démarche qu’avec les services sociaux et la personne concernée », insiste le directeur général adjoint de l’Effort rémois. « Or, depuis quelques semaines, le contact se fait plus aléatoire avec M.Bezghiche. Il ne se manifeste plus.Pour notre part, nous sommes toujours à l’écoute et restons ouverts pour trouver une solution à son problème. »

F.C.

***********************************

Union121030a- Marne
Coup de chaud sur les détritus

Un incendiaire a-t-il pris ses habitudes allée des Tourangeaux ? Hier vers 2 heures du matin, des détritus ont été enflammés dans les sous-sols du n°6 alors que dimanche à 1 h 15, un conteneur avait déjà brûlé dans le local à vide-ordures du n°4. Deux autres feux de détritus ont été signalés hier à Croix-Rouge, le premier à 3 heures avenue Bonaparte, le second à 14 h 30 groupe Eisenhower.

La route de Cernay, à la sortie de Reims, est également fréquentée par des incendiaires car les pompiers y sont intervenus à deux reprises hier pour des feux de déchets, à 12 h 30 puis à 17 heures.

La veille dimanche, vers 20 h 15, une poubelle a brûlé rue de Neufchâtel, près du magasin Carrefour market.

***********************************

Union121029c- Marne
Elle escalade le terre-plein avec 2 grammes dans le sang

Venue en virée à Reims, une Axonaise de 22 ans a copieusement arrosé sa soirée de vendredi à samedi. La fête terminée, vers 3 h 30, sans doute s’est-elle trompée de chemin en empruntant l’ave-nue du Général-Kœnig — rien d’étonnant avec deux grammes d’alcool dans le sang — car elle a fait demi-tour en n’hésitant pas à grimper sur le terre-plein central.

N’étant plus à une infraction près, elle a ensuite grillé un feu rouge. Des policiers passaient au même moment.

Ils l’ont interpellée, de même qu’un autre chauffard pris en défaut de permis à 4 heures du matin rue du Commerce (il était sous le coup d’une annulation judiciaire).

Remises en liberté, ces deux personnes sont convoquées en début de semaine au commissariat pour connaître les suites données à leurs écarts de conduite.

***********************************

Union121029b- Marne
Un incendiaire devant la cathédrale

Hier vers 15 heures, un possédé du feu a osé sévir sur le parvis de la cathédrale de Reims. De sa main diabolique, il a incendié deux corbeilles à papiers. Quelques bons coups de bottes ont suffi aux pompiers pour éteindre les flammes.

Une autre poubelle a flambé vers 17 h 10 rue du Fossé-Julien. Toujours dimanche, mais vers 1 h 15 du matin, un conteneur s’est enflammé dans un local à vide-ordures de l’allée des Tourangeaux, au n°4. Le sinistre a fait fondre des câbles dans les gaines techniques.

Une heure plus tard, un véhicule est parti en fumée rue d’Alger. Il s’agissait d’une Renault Twingo non signalée volée.

***********************************

Union121029a- Marne
Feux dans les sous-sols

REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus à deux reprises dans la nuit de dimanche à lundi pour maîtriser des feux dans les sous-sols d’immeubles collectifs dans le quartier Croix-Rouge.

A 2 heures, il sont allés au 6, allée des Tourangeaux puis à 3 h 15 au 11, avenue Bonarparte.

Les sinistres ont été éteints au moyen d’une petite lance. Les sauveteurs ont ventilé les communs des immeubles avant de regagner leur casernement.

Il n’y a fort heureusement pas eu de victimes.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 278 - 121028a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 278 - Semaine du 26 octobre au 01 novembre 2012

----------

La chaufferie bois opérationnelle pour l’hiver

Pour Thierry Lahaye, « la mission d’allier projets industriel et architectural est accomplie ». (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo
Inaugurée mercredi dernier, la chaufferie bois sera donc opérationnelle pour l’hiver à venir. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo
Visite de l’infrastructure dont l’investissement total a été de près de 8 millions d’euros. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

Prévue pour entrer en fonction en octobre, la nouvelle chaufferie bois, installée au pied de l’Usine d’Incinération des Ordures Ménagères (UIOM), a été livrée dans les temps et inaugurée officiellement mercredi dernier.

Près de quinze mois de travaux auront été nécessaires pour construire le nouveau bâtiment, dont l’investissement total s’élève à 7 828 170 euros très exactement. Et à quelques semaines de l’hiver et des premières vagues de froid, les deux chaudières de cinq mégawatts chacune ont commencé à fonctionner, chauffant le bois à plus de 1 000° ; à terme, 20 000 tonnes de bois devront être traitées chaque année. « Ce dispositif nous permettra de chauffer au moins 16 000 logements, sans compter les commerces, l’école de Police, des établissements scolaires et le CHU qui seront également alimentés », développe Thierry Lahaye, Président Directeur Général de la Soccram, filiale de GDF Suez, exploitante de la chaufferie. Et l’enjeu est de taille pour ces services et surtout pour les habitants d’une partie du quartier Croix-Rouge et de Murigny 1 qui devraient à terme voir leur facture énergétique diminuer de 10%. Par ailleurs, en complétant la chaleur déjà produite par l’UIOM, le nouvel équipement permettra d’atteindre le seuil de 50% d’énergies renouvelables dans le réseau de chaleur de la ville, ce qui entrainera une baisse de la TVA de 19,6% à 5,5% jamais négligeable. En outre, l’utilisation du bois en lieu et place du fioul ou du charbon, permettra une réduction des émissions de CO2 de 12 000 tonnes par an.

Séduisante sur le plan local, la chaufferie a également suscité l’intérêt des hautes instances françaises, puisque c’est à son titre que la Ville de Reims recevait il y a tout juste un an une Marianne d’Or du développement durable, attribuée par le Conseil Constitutionnel. « On voit donc tout le bénéfice à retirer de ce projet », n’a pas manqué de souligner la maire de Reims, Adeline Hazan. « S’inscrivant dans une politique de baisse des charges locatives, la chaufferie revêt une réelle dimension sociale. D’autre part, en travaillant sur des circuits énergétiques courts (le bois provient à 90% de la région), il y a aussi un bénéfice environnemental. Tout ceci ajouté à la dimension économique puisqu’avec cet équipement, ce sont une dizaine d’emplois directs et indirects et non délocalisables qui ont été créés. »

Alors le bois, sérieuse filière d’avenir ? Tout porte en tout cas à le croire, d’autant qu’en Champagne-Ardenne celui-ci représente la première énergie renouvelable, devant l’éolien.

Aymeric Henniaux

Liens : reims.reseau-chaleur.com


----------

8,5 millions d’euros pour les Corolles

Les travaux, d’une durée de 18 mois, débuteront d’ici une dizaine de jour. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

Au fil des années, les Corolles, ou "Coquilles", du campus Croix-Rouge, emblème de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) se sont inexorablement dégradées. Ainsi, dès 2004, l’URCA a missionné le Centre Technique du Bois et de l’Ameublement puis la société Calvi Ingénierie et Expertises des Structures Bois en vue de produire un rapport sur l’état général des corolles qui a conduit à la suspension de l’exploitation des amphis n°1, 3, 4 et 5 et une poursuite de l’utilisation des amphis n°2 et 6.

Et de 2005 à 2007, des travaux ont permis la rénovation complète des amphithéâtres 1, 3 et 4 (désamiantage, revêtement de sol, peinture, éclairage, mobilier d’amphithéâtre) qui sont aujourd’hui ouverts au public. L’URCA entame désormais la réhabilitation des structures bois des amphis 2, 5 et 6 ainsi que la rénovation intérieure des amphis 1, 2, 4, 5 et 6.

Début des travaux le 5 novembre

L’objet de l’opération confiée au Bureau d’Etude CALVI a pour objectif de consolider la structure des derniers amphithéâtres en réalisant la réfection des poutres en bois lamellé-collé, se mettant en conformité au regard des réglementations incendie et accessibilité. Les travaux seront entrepris à compter du 5 novembre et dureront au total 18 mois. La livraison des amphithéâtres s’échelonnera entre août 2013 et juin 2014. Le coût de la totalité des travaux restant à exécuter est estimé à 8,5 M€.

J.D

***********************************

Union121027a- Marne
Conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny : Un forum des associations en novembre à Croix-Rouge

L’ordre du jour allégé a laissé une large place à l’expression publique.
- Agrandir la photo
Le plan masse de l’opération « Polidrome ».
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

La dernière séance du conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny s’est déroulée non pas dans la salle municipale Croix-Rouge comme d’habitude, mais au collège Joliot-Curie, 2 rue Joliot-Curie, qui avait, pour l’occasion, ouvert ses portes en soirée. Les co-animateurs Alain Bisteur et Alain Boudroit ont communiqué l’ordre du jour de cette rencontre et, devant une soixantaine de personnes, dont plusieurs jeunes filles venues de l’institut voisin du Travail social, Alain Bisteur a tout de suite mis les choses au point : « Nous ne sommes pas ici pour régler les cas personnels, mais pour traiter de l’intérêt collectif du quartier ! » On n’a donc pas eu à supporter les éternelles crottes de chiens et autres troubles du voisinage.

L’exposé de présentation du Code de la rue par Eric Quénard, premier adjoint, et Corinne Alavant, de la direction Voirie et Déplacements, est au programme de toutes les réunions de conseils de quartier et a donc été traité largement dans nos colonnes. Il suffira aux habitants intéressés de se procurer la brochure municipale éditée sur le sujet pour tout savoir.

Alain Boudroit a rendu compte des travaux de la commission « Animation » avec en particulier l’opération « Place au cinéma » en août. Il a annoncé une innovation d’importance lancée à la suite d’une suggestion du public d’un précédent conseil de quartier : « l’organisation, samedi 24 novembre, d’un forum des associations de Croix-Rouge au gymnase Jean-Jacques-Lapique, derrière le lycée François-Arago : 23 associations ont déjà donné leur accord pour y participer et présenter leurs activités ».

Philippe Godebwski, pour la commission « Tranquillité » a souhaité l’intégration consultative d’un représentant du collectif Taittinger aux travaux du conseil de quartier. Par ailleurs, il a rappelé l’initiative de l’association des propriétaires du secteur Lézardière : « Chacun, sous la forme de voisins vigilants, est investi d’une mission de sécurité collective sur la base « observer et prévenir ».

Les habitants découvrent le Polidrome

Le directeur général adjoint de Plurial l’Effort rémois, Christophe Courtaillier, a fortement intéressé le public en développant dans le détail les opérations de reconversion de l’ancien site bancaire HSBC de l’avenue Robert-Schuman, qui va devenir l’espace affaires Polidrome (Architecte Axis-Thomassin/Rodier). Eric Quénard a précisé, en préambule : « il s’agit d’un projet mixte, avec des locaux d’activités économiques et de bureaux et des locaux d’habitation lieux de vie. » A l’horizon 2013/2015, cet espace de 22 000 m2 situé à l’angle avenue Robert-Schuman et allée des Landais, face à l’hippodrome, verra s’élever 12 000 m2 de locaux d’activités tertiaires BBC et bureaux avec 25 parkings en sous-sol et 15 locaux d’archives en sous-sol (950 m2).

Question logements, on trouvera 126 logements collectifs locatifs BBC : une résidence de 69 logements locatifs sociaux avec 25 parkings en sous-sol, 50 logements collectifs en accession sociale, sept maisons en accession sociale à la propriété en cœur d’îlot, avec parkings en sous-sol et une micro-crèche.

Les façades seront végétalisées et de nombreuses plantations devraient faire de cette réalisation d’envergure un lieu de vie particulièrement agréable à vivre et travailler.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union121026a- Marne
Disparition de Paulette Gellé, une rescapée des camps

Malgré une enfance brisée dans un camp de concentration, Paulette Gellé a élevé ses filles dans la tolérance et la joie.
- Agrandir la photo

Ancienne déportée, Paulette Gellé est décédée mardi à l’âge de 76 ans. Elle était surtout connue pour son amour de l’art et sa grandeur d’âme.

PAULETTE GELLÉ aimait le beau pourtant elle avait connu ce qu’il y a eu de plus laid dans l’histoire. A 76 ans, elle adorait emmener ses trois filles au théâtre, à l’opéra, voir des expositions. A 8 ans, elle était enfermée dans un camp de concentration nazi en Allemagne. Bergen Belsen, 1944. Paulette y était avec sa grande sœur, coupables d’être juives. Déjà orphelines de leur maman assassinée en 1942.

« Je suis juive »

« Il y avait dans l’air une odeur âcre de chair brûlée qui nous rappelait en permanence notre futur. » C’est la seule phrase que Paulette a réussi à prononcer la première fois qu’elle est venue témoigner dans les écoles rémoises. Ensuite, elle s’est effondrée.

« Tous les ans, on l’emmenait à Croix-Rouge à la rencontre des collégiens de François-Legros. Elle était anxieuse », raconte Jean Constant, président d’honneur des Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation (AFMD). « Avec plein de trémolos dans la voix, elle lâchait à la classe : « Je suis juive ». On était dans les quartiers mais jamais cela ne lui a valu une réflexion, ni même un sourire en coin. »

Les élèves pouvaient constater que Paulette, malgré cette enfance massacrée par des monstres, était d’une grande tolérance. Etrangère au sectarisme. Seulement inquiète de la montée du racisme et de l’intégrisme islamiste. Elle avait chassé la haine pour pouvoir élever ses filles dans le fait que les générations futures n’y étaient pour rien. « Je ne voulais pas que mon passé soit leur avenir », disait-elle.

Elle ne voulait pas qu’elles grandissent avec ses images de cadavres. Tous ces morts au camp qui traînaient parterre partout et que les enfants s’amusaient à compter pour passer le temps. « C’est la déshumanisation qui l’a marquée. Les prisonniers n’étaient plus considérés comme des êtres humains. Sans sa sœur qui la forçait à se laver tous les jours pour lutter contre les maladies, elle ne serait jamais revenue vivante », témoigne Suzy Sécroun, amie proche de Paulette et militante de la Licra.

« Les élèves avaient applaudi »

« La première fois qu’elle est venue témoigner pour la Licra, il y avait dans la classe une élève qui marquait son peu d’intérêt en s’affalant sur sa table. Petit à petit, cette jeune fille s’est redressée. C’est elle qui a posé le plus de questions. Le témoignage de Paulette était tellement sincère qu’on ne pouvait pas rester insensible. A la fin les élèves l’avaient applaudie. Très émue, elle ne comprenait pas qu’on puisse l’applaudir. »

Dépasser l’horreur de la déportation et se construire une vie normale, c’est la plus grande réussite de Paulette Gellé. « On me demande souvent si je peux pardonner mais jamais personne n’est venu demander mon pardon. » Ces dernières années, Paulette était revenue vers sa culture. Elle s’était mise à apprendre le yiddish. La langue qu’on parlait dans les camps avant d’être assassiné. Marie-Paule, Anne-Catherine et Bénédicte sont fières de leur maman : « C’est une femme qui s’est toujours battue. Elle s’est battue avec tout l’espoir que l’existence peut donner. Malgré toute l’horreur, elle a eu une belle vie ».

Catherine FREY

***********************************

Union121025d- Marne
Fin de cavale pour le dealer de Croix Rouge

REIMS (Marne). Fin de cavale pour un dealer rémois condamné en son absence à quatre ans de prison ferme. Avec un complice, écroué avant lui, il gérait un « supermarché de la drogue » dans un immeuble de Croix-Rouge.

SA cavale n’aura duré qu’un petit mois. Recherché depuis la fin de l’été après avoir été condamné à quatre ans de prison ferme pour sa participation à un trafic de drogue dans un immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims (l’union du 12 septembre), Djallal Sahraoui, dit Nino, 25 ans, vient d’être récupéré par la justice.

Informés de sa présence dans un appartement de l’allée des Tourangeaux, il y a quelques jours, les policiers du commissariat y sont allés et l’ont trouvé.

Nino est ainsi parti rejoindre en prison Antar Noui, 21 ans, condamné pour sa part à trois ans ferme, tous les deux étant reconnus coupables par la cour d’appel de Reims d’avoir fourni en cannabis, héroïne et cocaïne plusieurs dizaines de clients qu’ils recevaient dans le hall d’immeuble du n° 2 de l’allée des Béarnais, de l’été 2011 au printemps 2012.

Il y avait une telle affluence, certains jours, que la clientèle faisait la queue, d’où l’expression de « supermarché de la drogue » utilisée par l’accusation lors du procès en correctionnelle, le 29 mars.

Aurait-il recommencé ?

En première instance, Antar Noui - resté libre sous contrôle judiciaire - avait été condamné à dix-huit mois de prison dont six avec sursis et mise à l’épreuve tandis que Djallal Sahraoui s’en sortait avec une relaxe au motif qu’aucune charge suffisante n’était réunie à son encontre. Colère froide du parquet qui faisait appel.

Devant la cour, grand écart de la justice. S’appuyant sur plusieurs témoignages et comptes rendus de surveillance, les magistrats ont effet retenu la culpabilité de Djallal Sahraoui. Et de le condamner à quatre ans de prison ferme et 10 000 € d’amende en raison de deux précédentes mentions sur son casier judiciaire pour trafic de stupéfiants. Même sévérité envers Antar Noui, dont la peine fut relevée à trois ans ferme et 5 000 € d’amende.

Les deux prévenus étaient absents le jour du délibéré rendu le 6 septembre. Sans doute avaient-ils deviné qu’ils risquaient fort de repartir de la salle d’audience menottes aux poignets. Faute de pouvoir ordonner leur interpellation à la barre, comme elle avait prévu de le faire, la cour décernait mandat d’arrêt à leur encontre.

Antar Noui fut le premier être retrouvé, le 13 septembre, rue Joseph-Haydn à Wilson (il avait sur lui 8,5 grammes de résine de cannabis, d’où une petite peine supplémentaire de quinze jours). Djallal Sahraoui est tombé à son tour, non sans récolter au passage quelques ennuis supplémentaires. Apparemment, il avait repris son business car les policiers ont recueilli suffisamment d’indices pour alimenter une nouvelle procédure d’« offre ou cession non autorisée de stupéfiants » couvrant la période du 2 juillet au 26 septembre 2012. Il sera jugé pour cette affaire le 20 novembre.

F.C.

***********************************

Union121025c- Marne
Les coquilles de la fac rénovées

REIMS (Marne). La rénovation des amphis de la corolle (alias coquilles) du campus Croix-Rouge se poursuit : les pétales 2, 5 et 6 vont voir leur structure bois restaurée ; les numéros 1, 2, 4, 5 et 6 bénéficieront aussi d’une rénovation de leur intérieur.

Les travaux doivent débuter le 5 novembre et durer 18 mois. Le premier amphi rénové à être livré doit être le numéro 5, en août prochain.

***********************************

Union121025b- Marne
Chauffage et économie font bon ménage

Adeline Hazan et Thierry Lahaye, président général de Soccram, ont inauguré cette nouvelle installation.
- Agrandir la photo
La construction de la chaufferie avait débuté en 2011, elle est désormais totalement fonctionnelle.
- Agrandir la photo
Le bois nécessaire à la production d’énergie sera produit essentiellement dans la région.
- Agrandir la photo

 

 

La chaufferie à bois située entre Croix-Rouge et Murigny a été inaugurée hier en présence de nombreux élus locaux, 15 mois après le début de sa construction.

SA première pierre avait été posée au mois juillet 2011, 15 mois plus tard la chaufferie à bois située entre les quartiers Croix-Rouge et Murigny a été inaugurée hier en début d’après-midi. Elle vient compléter la production de l’ancienne installation afin d’alimenter en chauffage ces deux quartiers durant tout l’hiver.

Cet investissement de 7,8 M€ HT, subventionné à 53,4 % par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), la Région et le Feder, le Fonds européen de développement régional, permettra, grâce aux énergies renouvelables, d’alléger les charges des locataires de ces secteurs de la ville.

L’installation sera aussi synonyme d’écologie puisqu’elle évitera l’émission dans l’atmosphère de 15 000 tonnes de CO2.

Une récompense pour la Ville

A noter que la TVA sur ces matières passera à 5,5 % (c’est une matière première) et non plus à 19,6 % comme elle l’est aujourd’hui et que l’arrivée de cette chaufferie à bois a permis la création d’une dizaine d’emplois. La chaufferie fera aussi fonctionner la filiale bois de la région puisque 90 % du combustible qu’elle utilisera sera issu de la production champardennaise.

Pour la Ville de Reims, cette inauguration a également été l’occasion de recevoir le prix 2011 de la Marianne d’or pour ce projet qui lui avait été attribué le 26 octobre 2011 par le Conseil constitutionnel. Cette distinction récompense chaque année des élus locaux ayant conduit une politique innovante et exemplaire au service du citoyen et une saine gestion de l’argent public.

T.A.-F.
Photos H. OUDIN

 

 

***********************************

Union121025a- Marne
RMS a de bonnes raisons de sourire

François Bonvalet : « Nous avons gagné 8 places dans le Financial times. » Archives l’union et A.P.
- Agrandir la photo

Les étudiants restent nombreux, l’école gagne des places dans un classement référence : le directeur de l’école de commerce se réjouit.

LE DIRECTEUR de RMS, François Bonvalet, a le sourire. « D’abord nous avons fait une bonne rentrée, en remplissant tous nos programmes d’études, et ce avec une sélectivité au moins égale sinon supérieure à l’an dernier. Ce n’était pas gagné dans la conjoncture actuelle. »

Le paquebot de l’école supérieure de commerce et management rémoise accueille donc cette année quelque 4 400 passagers étudiants au total (dont 800 étrangers).

« C’est important pour nous, commente le directeur, parce que je rappelle que 80 % de notre budget repose sur les frais de scolarité » (la part payée par les étudiants donc).

En progrès dans le Financial

Autre motif de satisfaction : la progression dans le classement du Financial times. « Nous sommes concernés par une douzaine de classements différents en France, explique-t-il, et par deux ou trois autres internationaux ; mais celui qui compte le plus à nos yeux, c’est celui du Financial times, qui porte en gros sur l’Eurasie ; et dans le dernier classement des mastères en management de fin septembre, nous avons gagné 8 places : de la 33e, nous passons à la 25e. Remonter alors que le contexte s’est durci (avec l’émergence de nouveaux acteurs des études de commerce notamment) c’est une belle performance ! » Fort de ces bons indicateurs, le directeur peut envisager l’avenir sereinement. Cet avenir se présente sous la forme d’au moins deux grandes évolutions : la première, c’est un partenariat renforcé avec l’Urca : un accord global est en préparation, en plus des accords sectoriels déjà signés avec les cursus de droit, de philo et d’histoire.

La deuxième, c’est le rapprochement avec l’école de Rouen, gros dossier « qui avance bien », et qui s’est déjà traduit par la création d’une entité commune, Paris exécutif campus, basée dans la capitale et spécialisée dans la formation continue. Pour aller plus loin et surtout pour en dire plus, on attendra un peu (début 2013 ?)

Il y a même un troisième gros dossier qui occupe le directeur, celui du déménagement/reconcentration du campus rémois (lire par ailleurs). On le voit, le directeur a de quoi s’occuper… et de quoi garder le sourire ?

Antoine PARDESSUS

Déménagement : projet « redimensionné »

Et le projet de déménagement des campus RMesques dans Reims même direz-vous, on n’en parle plus ?

Si, on peut en parler : « Rien n’est encore acté, mais l’étude se poursuit, affirme M.Bonvalet, la seule chose c’est que le projet a été redimensionné dans la perspective du rapprochement avec Rouen. »

C’est-à-dire que l’on n’aura plus forcément besoin d’une école rémoise grand format (on parlait à une époque de quelque 40 000m2, contre 22 000 aujourd’hui).

Cela dit, ce projet s’inscrit dans une perspective de développement, ce qui est quand même aussi une bonne raison de sourire.

A.P.

***********************************

Union121024a- Marne
Incendie sur le parking d’un garage automobile

Lundi à 22 heures, un feu de poubelle s’est propagé à la Mercedes d’un client laissée en réparation sur le parking d’un garage de la rue Bachelier, dans le quartier Sainte-Anne. Une vitre du bâtiment a également explosé sous l’effet de la chaleur. La raison pour laquelle le conteneur s’est enflammé reste indéterminée. C’est étrange car le 26 juin 2009, juste après la fermeture de midi, une poubelle avait déjà pris feu contre la façade du même garage. Deux véhicules laissés en réparation avaient été détruits par propagation, sans qu’il soit possible à l’époque d’établir la cause du sinistre.

Toujours lundi, à 20 h 30, un feu de voiture s’est déclaré boulevard Paul-Doumer mais il serait d’origine accidentelle. Hier, les gendarmes ont retrouvé la carcasse d’un véhicule incendiée à l’orée d’un bois, entre Lagery et l’abbaye d’Igny. Il pourrait s’agir d’une Renault Clio.

A 16 h 15, de la fumée signalée dans les sous-sols de l’allée des Tourangeaux à Reims provenait d’un feu de papiers.

***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121023i
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7469 du 22 au 28 octobre 2012.

----------

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé établi à REIMS en date du 9 octobre 2012, il a été constitué une société par actions simplifiée présentant les caractéristiques suivantes :
DENOMINATION : LE CARREAU.
SIEGE SOCIAL : 8 allée du Vignoble - REIMS (51100).
OBJET : Bar, restaurant.
DUREE : 99 ans à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL : 70.000 € en numéraire.
PRESIDENT : Monsieur Edouard DUNTZE, demeurant 32 rue de la Gare - JONCHERY SUR VESLE (51140).
IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
109947 Pour avis : Le président.

***********************************

Union121023h- Marne
Promotion de Pays-de-France

L’assemblée générale de l’association de Promotion de Pays-de-France se déroulera vendredi 26 octobre à 18 heures, au siège, 5, allée des Picards.

Adhérents et sympathisants sont attendus par la présidente Christiane Monflier et son équipe.

***********************************

Union121023g- Marne
Les bennes à encombrants

En plus des quatre déchetteries ouvertes au public, les usagers peuvent se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues suivantes d’après ce planning.

Lundi 22 octobre : rue Richelieu (entre la rue Henri de Montherlant et la rue Roger Caillois) - rue Mazarin/rue André Chénier - rue Michel Simon/rue Jacques Bénigne Bossuet - rue Maxime Gorki/rue Richelieu (dans le renfoncement face au n°1) - rue Alexis de Tocqueville/cours Marc Wawrzyniak - rue Sully (sur le parking).

Lundi 29 octobre  : rue de Tinqueux/rue Édouard Redont - rue François Dor/rue de Pargny - rue Léon Mathieu/avenue d’Epernay (en pointe) - avenue François Mauriac/rue François Dor - rue de Salzbourg (en bout du rond-point) - rue Alexandre Dumas/rue Bernanos.

Lundi 5 novembre : rue de Bezannes/rue du Lieutenant-Colonel Schock (parking face au cimetière) - rue Gilberte et Jean Droit (sur le parking face à la rue André Schneiter) - rue Lucien Doyen/rue François Legros (sur le parking) - rue de Bourges/rue de Limoges (sur le stationnement) - rue de Dijon/avenue du 18 juin 1940 (sur la place gazon) - rue du Chili/avenue du 18 juin 1940 (sur la place gazon) - rue de Normandie (face à la tour).

***********************************

Union121023f- Marne
Croix-du-Sud et Pays-de-France : Des activités pour les familles

Alexandra Babin est animatrice référente « Familles »
- Agrandir la photo

Alexandra Babin, animatrice à la maison de quartier Croix-Rouge (espaces Watteau et Pays-de-France), propose une sortie parents/enfants à Paris, pour les familles le samedi 3 novembre.

Au programme : balade en bateau puis visite du musée Grévin. Adhésion familiale : 12 €. Tarif : 10 € pour les adultes, 8 € pour les enfants de 6 à 12 ans, 6 € pour les moins de 6 ans. Prévoir son pique-nique. Inscriptions à la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau (tél. 03.26.36.03.50.) ou Pays-de-France (tél. 03.26.82.53.48.). Départ prévu à 8 heures devant le collège Georges-Braque, retour vers 18 heures.

Animations à la Marelle

Par ailleurs, des animations parents/enfants sont organisées tous les mercredis de 10 heures à 11 h 30 à la Marelle, 3 allée des Picards. Le mercredi 24 octobre, visite du jardin musical, rendez-vous à 9 h 30 à la Marelle. Le mercredi 14 novembre, « Petites histoires d’animaux ».

Le mercredi 21 novembre, sortie à Jimbaloo, rendez-vous à 9 h 30 à la Marelle ; tarif : adulte 3 €, 1er enfant 2 €, 2e enfant 1 €, 3e enfant gratuit. Le mercredi 28 novembre, atelier perles à repasser. Le mercredi 5 décembre, en attendant Noël…

Le mercredi 12 décembre, sortie à la piscine à balles. Le mercredi 19 décembre, atelier cuisine + repas de Noël.

Rencontres

Alexandra Babin propose aussi de rencontrer d’autres parents, pour partager leurs expériences sur l’éducation des enfants et d’exprimer certaines de leurs questions et difficultés éventuelles. Ces rencontres sont gratuites au 3, allée Antoine-Watteau (tél. 03.26.36.03.50.).

***********************************

Union121023e- Marne
1 200 visiteurs et 700 scolaires au Palais du Tau

De succulentes préparations culinaires en cuillères ou verrines.
- Agrandir la photo
Dégustation de pains proposée par les Grands Moulins de Reims
- Agrandir la photo
L’équipe sélectionnée par la fondation Alfred-Gérard.
- Agrandir la photo

Défendre les valeurs du bien manger, de l’art de vivre à la champenoise : la Fondation Alfred-Gérard a réussi ses objectifs et attiré la grande foule aux Rencontres du goût.

« Le but de ces deux journées ? Organiser une vitrine des produits régionaux pour le grand public. Faire découvrir les partenaires et leurs produits sous un autre jour » : Francis Walbaum, président de la Fondation Alfred Gérard, organisatrice des « Rencontres du goût 2012 » au Palais du Tau, traverse chaque salle, attentif à ce que le « Parcours gourmand » se déroule au mieux pour le plus grand plaisir des très nombreux visiteurs qui se pressent autour des stands des 25 partenaires.

Cette année, plusieurs nouveautés : une seconde journée le jeudi pour 700 scolaires. La mise à disposition de l’ensemble du bâtiment au lieu d’une seule salle. Dans la chapelle, la Comédie de Reims joue « Les Boulingrins ». Le matériel des stands modulables a été conçu par les étudiants de l’Esad (lire l’encadre ci-dessous).

Ateliers et dégustations

Beaucoup de familles sont venues avec des enfants, ravis de grignoter les bonbons à base de glucose et de céréales, offerts par Chamtor, dont la matière première est le blé, transformé en produits sucrants, amidons et ingrédients dérivés. « Ce cépage ? Pinot ou Gamay ? » : les participants au mini-stage d’œnologie présenté par le Bureau de la Vie Etudiante hésitent. « Remettez le nez dans votre verre ! » Finalement, c’est un Merlot…

« Si on veut avancer dans l’art de la dégustation, c’est la mémoire olfactive et gustative qu’il faut travailler », assure Franck Wolfert, formateur en œnologie. On repère le stand de la Sodexo à l’affluence du public qui se presse pour déguster mini-cuillères et verrines garnies de délicates préparations : « Nous proposons des recettes que nous avons créées pour l’occasion à partir de produits régionaux partenaires ».

Sur le stand du Suac, on se renseigne sur les actions culturelles de l’année universitaire tout en goûtant aux sensationnelles pâtes de fruits fraîchement préparées par Fabrice Maillot…

Des élèves du lycée agricole de Thillois, du lycée viticole d’Avize et du lycée Joliot-Curie jouent les hôtesses à l’accueil et sur les stands. « J’apprécie la grande disponibilité des gens, leur accueil souriant, le cadre. On déguste, on voit l’origine des produits », confie Anne Souris, une rémoise venue avec ses deux plus jeunes enfants.

Les stands ont été conçus par quatre étudiants de l’Esad

Baptiste Sevin, Damien Convert, Romain Poivey et Martin Laforêt : quatre étudiants en « design objet-espace » de l’Esad sont plutôt fiers de présenter les équipements modulables des stands, dont ils sont les concepteurs.

« Chacun des partenaires avait des particularités à mettre en avant : il y avait des stands de dégustation, d’autres de présentation. Il fallait que les modules restent simples à assembler. » Ils ont opté pour des panneaux de contreplaqué de peuplier blanc et des tasseaux de pin noir.

« Il y a une identité très forte dans ces salles anciennes, il fallait que ça s’intègre. D’où le choix de structures aérées, en noir et blanc. »

Leur projet, qui réunit des qualités plastiques et une parfaite adaptation aux besoins des participants, a été retenu parmi une trentaine de propositions.

Les étudiants ont construit les modules dans les ateliers de l’école. Ces stands originaux seront réutilisés par la Fondation au cours des prochaines années.

***********************************

Union121023d- Marne
« Shake ladies » : Le remodelage corporel par le fitness

Magali Garcia fut longtemps l’animatrice de l’activité danse hip-hop à l’espace Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge. Trois ans après son départ, elle a créé son association « Shake Ladies » dans laquelle elle propose « du sport fitness ayant pour but le remodelage corporel » à destination d’un public exclusivement féminin.

« J’interviens à l’espace la Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du Docteur-Billard, le mardi de 16 h 15 à 17 h 15, le jeudi de 17 h 45 à 18 h 45 et le samedi de 10 à 11 heures. Par ailleurs, j’interviens à l’espace Louise-Michel de la Maison de quartier Wilson, 1 place Nadia-et-Lili Boulanger, le mardi et le jeudi de 14 à 15 heures. »

Le tarif est de 28 euros par mois, sans engagement, ou de 5 euros la séance : « Des conditions à la portée de toutes et le 100 % femmes correspond bien à celles qui veulent faire du sport en toute convivialité et sans complexe car ce qui nous rassemble est forcément un objectif commun ! »

Renseignements par tél. au 06.64.15.83.50.

***********************************

Union121023c- Marne
Il dissimule 54 grammes de cannabis dans son slip

De passage rue Yvon-Morondat, jeudi vers 17 heures, des policiers sont intrigués par le conducteur d’une voiture à l’arrêt qui semble paniquer à leur vue.

S’approchant, ils le voient saisir au sol un sachet qu’il s’empresse de dissimuler… dans son slip ! Le contrôle s’ensuit. Après injonction des agents, l’homme est bien obligé de leur remettre le sachet rempli de six barrettes de résine de cannabis, pour un poids total de 54 grammes.

Cette drogue ne lui appartient pas, a-t-il prétendu. Le sac aurait été perdu par l’une des nombreuses connaissances qui ont l’habitude de monter dans sa voiture, et il ne s’en est rendu compte qu’au moment où la police arrivait près de lui. C’est pourquoi, paniqué, il a tenté de cacher l’objet du délit dans son slip.

L’histoire est jolie, mais elle n’a pas convaincu le tribunal correctionnel devant lequel le jeune homme âgé de 22 ans a été déféré en comparution immédiate. Il est ressorti libre avec une peine de quatre mois de prison avec sursis.

***********************************

Union121023b- Marne
II saute du quatrième étage

Un différend sentimental s’est mal terminé dimanche vers 17 h 30 au groupe Eisenhower.

Agé de 24 ans, un jeune homme s’est posté à une fenêtre du quatrième étage, en hurlant à son amie sortie de l’immeuble qu’il allait sauter dans le vide si elle le quittait.

Il a mis sa menace à exécution, effectuant une chute d’environ 12 mètres. Polytraumatisée, la victime a été évacuée dans un état grave au CHU.

***********************************

Union121023a- Marne
Incendie souterrain

Dimanche à 21 h 45, des détritus ont pris feu dans le box d’un parking souterrain de l’allée Fernand-Kinet. L’incendie s’est propagé à un second garage, lui aussi rempli de détritus.

L’intervention des pompiers s’est prolongée jusqu’à 23 h 15, le temps de procéder à la ventilation du souterrain.

Cette même nuit, vers 0 h 10, une poubelle a brûlé allée Edgar-Degas, au n° 3.

***********************************

Union121022b- Marne
Au fil des débats

Assez de logements sociaux !

A l’occasion d’une discussion sur les terrains que compte donner l’État pour construire des logements, Catherine Vautrin a fait remarquer que Reims possédait déjà un beau chiffre de 43% de logements sociaux et qu’il serait peut-être préférable de faire des logements pour les primo-accédants, c’est-à-dire ceux qui veulent acheter pour la première fois un bien. Soit souvent les jeunes couples qui travaillent.

Zone de sécurité prioritaire : et Reims ?

Catherine Vautrin a regretté que Reims ne fasse pas partie des zones de sécurité prioritaire désignées par le ministère de l’Intérieur : « Reims a été oubliée alors que rien qu’à Croix-Rouge, nous avons des flux de délinquance qui mériteraient ce classement. » Adeline Hazan a répondu qu’il est prévu plusieurs vagues de désignation, laissant entendre que Reims ferait partie d’une prochaine vague : « Il est normal que nous n’ayons pas été désigné pour l’instant car d’autres villes comme Marseille, Amiens ou Lille sont dans des situations bien plus difficiles que la nôtre. »

Vers une nouvelle baisse de la taxe sur les ordures ménagères ?

L’opposition réclame une baisse de la taxe sur les ordures ménagères puisque le budget des déchets affiche un excédent, selon Catherine Vautrin, de 4 millions. Les communistes qui ont aussi fait le calcul réclament également la baisse de cette taxe. « Les Rémois trient de mieux en mieux et contribuent à réduire les coûts. En 2012, des recettes supplémentaires s’annoncent, en 2013, des économies pourront être réalisées. En conclusion, il faut poursuivre la baisse de la Teom engagée en 2012 », a préconisé Michel Guillaudeau pour le PS. Adeline Hazan n’a pas dit oui, mais n’a pas dit non : « Il y a déjà eu une baisse de 0,25%. J’examinerai si une autre baisse est possible pour l’année qui vient. »

Les chiffres de la fourrière

La fourrière a procédé à 1749 enlèvements de voitures en 2011, dont 32 deux-roues. Les recettes sont en hausse de 8 % !

***********************************

Union121022a- Marne
Les principaux investissements prévus en 2013

Dans le cadre des autorisations de programmes et de crédits de paiement permettant une meilleure visibilité et une meilleure transparence des opérations, voici les principales opérations d’investissement qui devraient être décidées pour 2013.

Si les 15,5 M€ prévus pour Science Po ne manqueront pas de susciter un débat après le rapport d’observation provisoire de la Cour des comptes et le risque de voir le Département et la Région se désengager rapidement, les autres projets ne devraient pas soulever de débat. Ainsi il est prévu de provisionner 2,2 M€ pour la réhabilitation du gymnase Clairmarais ; 2,8 M€ pour la restructuration du gymnase Gallieni ; 4,7 M€ pour la reconversion du bâtiment Jacquart, rue de Mars en une structure culturelle ; 1,6 M€ pour le nouveau musée ; 2,3 M€ pour l’extension du gymnase Henri-Barbusse ; 1,9 M€ pour rouvrir le terrain d’accueil des gens du voyage de La Neuvillette ; 1,7 M€ pour l’aménagement des places et espaces publics ; 2 M€ pour l’accessibilité des immeubles ; 5 M€ à Reims métropole pour le tramway. Une somme de 10 M€ servira aux opérations de renouvellement urbain dont 6,1 M€ pour le quartier Orgeval, 1,2 M€ pour les Épinettes et 2,8 M€ pour Croix-Rouge.

En ce qui concerne les autres grands postes, on retiendra 3,3 M€ pour des opérations foncières, 5,5 M€ pour l’enseignement, 2,6 M€ pour la culture et le patrimoine ; 3 M€ pour le sport, la jeunesse et les loisirs ; 2,2 M€ pour les espaces verts, l’environnement et les aires de jeux de proximité ; 6,5 M€ pour la voirie, les équipements et la propreté et 2,8 M€ pour les services à la population et le fonctionnement de la collectivité.

***********************************

Union121021a- Marne
Tennis (Mardeuil) / Pour qui la 5e ?

En nette augmentation des inscriptions (98 contre 75 l’an passé), la cinquième édition du tournoi du TC Mardeuil s’annonce indécise.

Limité à 15/3, la tableau masculin présente un dernier carré de choix avec les 15/3 Nicolas Lemaire (Rocroi), Antoine Renard et Benoît Martin (Géo-André) ainsi que le 15/4 Mathieu Derot (Mareuil-sur-Aÿ).

Chez les dames où la limite a été fixée à 15/2, Leslie Lancelot (15/2, TC Reims) fait figure de grande favorite puisqu’elle vient de passer 15 ! Elle devra néanmoins surveiller les postières sparnaciennes Estelle Levasseur (15/2) et Céline Japin (15/3) ou la locale Nadine Sanchez (15/5, Mardeuil).

FINALES. - Dames, à 14 heures ; messieurs à 16 heures.

***********************************

Union121019b- Marne
Semaine bleue à la maternelle Dufy-Cavarrot : Une rencontre intergénérationnelle

Pour cette prise de contact, l’enthousiasme était partagé.
- Agrandir la photo

- Voir toutes les photos.

 

Une classe de grande section de l’école maternelle Dufy-Cavarrot, allée Blanche-Cavarrot, s’est déplacée mardi après-midi à la résidence ARFO de personnes âgées, place Maurice-Utrillo. « C’est la Semaine bleue et nous avons mis en place, avec Clémence Thévenot, directrice de la résidence, une action de rencontre intergénérationnelle », précise Pascale Donnio, directrice de la maternelle. Après avoir été très attentifs à la lecture de contes, les enfants ont chanté quelques grands standards du répertoire enfantin accompagnés par les résidents ravis de se souvenir de ces chants traditionnels.

Les enfants, de leur côté, ont offert les dessins qu’ils avaient faits avant de se régaler, au cours d’un goûter partagé ensemble, de délicieuses tartes aux pommes faites la veille par les dames déjà appelées « Mamy ». « Trois autres rencontres seront organisées dans l’année » ajoute la directrice, « nous nous retrouverons en décembre autour d’un vrai conteur et la dernière rencontre sera l’invitation faite par les enfants à venir assister au spectacle de chorale et danse de fin d’année ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

***********************************

Union121019a- Marne
TENNIS / Classements 2013 En progression Constant Entreprise

Thibaut Visy, le champion de Champagne, est classé - 2/6 et son dauphin, Jean-Charles Robert à 1/6.
- Agrandir la photo

Consulter les nouveaux classements, c’est un peu, chez les filles, comme prendre connaissance d’un bulletin de santé : « On peut être vite dans le surdosage. C’est un peu comme l’homme en forme qui se blesse. C’est un équilibre subtil à trouver », avance le diplômé du Cormontreuil TC, Sébastien Jolly.

Les malheurs de Mohn

La situation ne s’est pas améliorée pour Nathalie Mohn, redescendue à 0 après avoir été - 15. Des soucis récurrents à la cheville handicapent l’Européenne qui joue en pointillés depuis quatre saisons : « Elle va passer des tests en novembre. Elle joue super bien mais elle ne peut pas courir.

Quand elle dispute un match, elle ne peut plus marcher pendant 15 jours », témoigne son entraîneur, Pheng.

Marie Menacer est à peine mieux lotie. Cheville, cuisse, la Nouzonnaise du REC enchaîne les blessures : « J’ai disputé 30 matches au lieu de 80. » Résultat, un glissement de - 4/6 à - 2/6.

Tête de « gondole » en 2011, Charline Braidy a été également trahie par son physique. L’intervention subie à l’épaule au printemps a limité sa saison à quelques matches. Tout juste suffisant pour rester - 2/6.

Claire Makhloufi - toujours à - 2/6 - est pareillement à ranger parmi les convalescentes après des soucis à l’épaule.

La Givetoise a quitté Géo-André pour Cormontreuil où elle est entraînée par Sébastien Jolly. Un tournant comme celui pris par Charline Braidy qui a donné la priorité à des études qu’elle suit en Belgique : « Claire, comme Charline, était dans une filière quasiment fédérale. Leurs venues correspondent à une volonté de se recentrer entre les études et le tennis. Désormais, c’est plus, pour eux, une question de passion avec l’objectif d’être le mieux classé possible. »

Parmi les progressions, Jackie Lassaux a rejoint les 0 comme Servane Delobelle. Un saut de puce pour l’ancienne n° 30 française qui vient de quitter Géo-André et la Champagne pour rejoindre le TC Sucy-en-Brie.

Passée de 2/6 à 1/6, Cindy Castille est « sous-classée ». Explication de son père, l’entraîneur régional, Emmanuel : « Les tournois du Tennis Europe Junior Tour n’ont pas rapporté les points escomptés. »

Emmanuel Castille pointe la pyramide des âges et des niveaux : « Il n’y a pas assez de filles. On passe de 1/6 à - 15, - 30. »

Chez les garçons, la passation de pouvoir se poursuit. Sébastien Jolly a perdu un classement (de - 2/6 à 0) et laisse le leadership marnais à l’universitaire « américain » de San Diego, Thibaut Visy (- 2/6).

Jonasz aussi

« La relève est là », constate Sébastien Jolly, aux premières loges puisqu’il suit la carrière de Constant de la Bassetière.

Le désormais pensionnaire du Pôle de Poitiers enregistre la plus belle progression, de 5/6 à 2/6.

Même bond (de 4/6 à 1/6) pour Enzo Wallart qui a rejoint l’Académie des Hauts-de-Nîmes mais reste licencié à Géo-André. Dans ce sillage et celui de CDLB, Nicolas Jonasz (Montmirail) gagne deux classements (de 5/6 à 3/6) : « Le but, c’est que Jonasz et Castille intègrent un Pôle à leur tour », souligne le CTR, Yannick Lemaire.

Le dernier mot est celui de l’espoir : il est signé Yannick Lemaire et Emmanuel Castille : « Dans les 2001, 2002, 2003, il y a du nombre et de la qualité. »

Jean-Pierre PRAULT

***********************************

Union121018c- Marne
Une éolienne au lycée

Le mât et ses trois pales se voient de loin.
- Agrandir la photo

- Voir toutes les photos.

 

 

Dans le quartier Croix-Rouge, avenue du Général-Bonaparte, le lycée François-Arago mise sur les énergies renouvelables. Première étape d’une installation qui présentera toutes les technologies possibles dans ce secteur prometteur : l’installation d’une éolienne de 12 mètres que peuvent observer les habitants du quartier. « Elle a été réalisée avec le soutien des entreprises Bemaco, Calcia et Ecolia et énergies », précise Fabrice Binet, chef de travaux du lycée.

Encadrés par Sébastien Cobo, Xavier Defer, Hervé Rogissart et Budimir Stankovic, leurs professeurs, ce sont les élèves du bac professionnel gros-oeuvre qui ont réalisé le génie civil de l’éolienne (fondation de 6 m³), les élèves de bac technologique STI2D qui ont étudié le montage de l’éolienne elle-même, et les élèves de BTS fluide énergie environnement qui vont exploiter les données liées à la production d’électricité.

L’éolienne produit quatre kilowatts/heures, elle restera en place, et servira à alimenter des salles de cours en électricité pour l’éclairage.

« Nous allons installer un panneau d’affichage lisible par les passants extérieurs. Ils pourront voir en direct la quantité d’électricité produite », précise enfin Fabrice Binet.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

***********************************

Union121018b- Marne
Fête de l’énergie

Journée sur le thème de l’isolation : ateliers sur la réglementation thermique 2012.

Réalisation d’un diagnostic thermique avec test d’étanchéité à l’air et caméra thermique chez un particulier.

Atelier organisé avec le lycée Arago de Reims, de 15 à 17 heures et de 17 h 30 à 19 h 30, à Witry-lès-Reims.

Inscription obligatoire.

Renseignements : eddie@reimsmetropole.fr ou 03.26.35.37.13.

***********************************

Union121018a- Marne
Journées de la réussite étudiante

Ateliers, jeux, visites et débats : « Handicap : le vivre pour le comprendre », de 11 h 30 à 14 heures, au restaurant universitaire Jean-Charles Prost, rue Rilly-la-Montagne.

Point info. Mise en situation les yeux bandés. Parcours handisport. Basket handisport, soirée accessibilité à la culture, de 18 à 20 heures, à la Cité U Teilhard de Chardin, 9, rue des Crayères.

Renseignements : vieetudiante-villedereims.fr

***********************************

Union121017a- Marne
A Reims, derrière le mur de la misère…

REIMS (Marne). La journée annuelle du refus de la misère prendra cette année à Reims un aspect symbolique, sous la forme d’un mur masquant des personnes. « Nous aurons un grand mur noir, de deux mètres de haut, deux de large, derrière lequel on entendra des voix, explique Anne-Marie de Pasquale, coordinatrice à Reims de cette journée mondiale ; ces voix ce seront celles des victimes de la misère, que le mur nous empêchera de voir. Ce sera une façon d’interpeller le public. »

Cette cérémonie symbolique sera précédée d’une rencontre à la médiathèque Croix-Rouge, de 15 à 17 heures, entre le public et les diverses associations partenaires de la journée (ATD quart-monde, Secours catholique, Armée du salut, Mutes (multi-échanges services) et autre Amnesty international).

A 18h30, le mur sera symboliquement abattu devant la dalle du refus de la misère (parvis nord de la cathédrale).

***********************************

Union121016f- Marne
Tennis (D1 fém.) / Cormontreuil revoit sa politique

Bibiane Schoofs a gagné quelques tournois ITF.
- Agrandir la photo

L’an dernier, pour se venger du TC Paris (qui avait déposé une réserve sur la qualification des deux Russes du CTC et obtenu gain de cause), Cormontreuil s’était présenté avec une équipe bis et même ter à Levallois avec des 15/2 et 15/5. Pour ne pas que pareille situation se reproduise, la Fédération a modifié les règlements de la Division 1. Désormais, il ne sera plus possible d’aligner des joueuses en dessous de - 2/6.

La saison 2012-2013 marquera un tournant pour le CTC. Montré du doigt pour n’aligner que des Tchèques ou des Russes, le club a changé de politique. Exit, déjà, Lucie Safarova, n° 18 à la WTA, pour raisons budgétaires.

Claire Makhloufi sur la feuille

Le noyau « dur » sera composé des Tchèques Lucie Hradecka, Eva Birnerova et de la Russe Ekaterina Bychkova, trois joueuses qui ont leurs marques, de longue date, sur les courts de l’Avenue du Languedoc.

Les règlements, toujours, n’autorisant plus que trois mutations sur une liste de dix, la présidente Nathalie Picavet a fait un pari sur l’avenir. Elle a fait signer la Néerlandaise Bibiane Schoofs (24 ans, n° 172 WTA), la jeune Tchèque (18 ans, n° 459) Tereza Martincova et, c’est la surprise, l’espoir ardennaise (16 ans), Claire Makhloufi (- 2/6). « Elle fera partie du Team », assure Nathalie Picavet.

Une autre joueuse en devenir, Cindy Castille, a elle aussi quitté Géo-André pour le Cormontreuil TC mais la fille de l’entraîneur régional, Emmanuel Castille, n’a pas encore le classement (1/6 à 14 ans) pour figurer sur la feuille de match.

« L’objectif, cette saison, est de se maintenir pour ensuite tabler sur l’avenir. Nous allons insister sur la formation », explique Nathalie Picavet.

Le CTC va devoir se déplacer chez les deux têtes de série, Lagardère et Levallois. En contrepartie, il recevra des adversaires directs pour le maintien (Saint-Germain-Val-d’Europe, Villeneuve-d’Ascq).

Arnost Balat et Lenka Nemeckova, les coaches, seront obligés de jongler pour former l’équipe d’une journée à l’autre puisque Lucie Hradecka ne disputera que deux rencontres sur trois (plus la finale s’il y a), comme Vesna Dolonc. Eva Birnerova, Ekaterina Bychkova, Tereza Martincova et Bibiane Schoofs disputeront, en principe, tous les matches.

Jean-Pierre PRAULT

Poule A : Denain, TC Paris, Entente Yonnaise, PTT Metz, Orléans. Poule B : Levallois, Lagardère, Cormontreuil, Villeneuve-d’Ascq, Saint-Germain-Val d’Europe.

Dimanche 18 novembre : Lagardère - Cormontreuil, Villeneuve-d’Ascq - Saint-Germain. Exempt : Levallois.
Mercredi 21 novembre : Villeneuve-d’Ascq - Levallois, Cormontreuil - Saint-Germain. Exempt : Lagardère.
Dimanche 25 novembre : Levallois - Cormontreuil, Saint-Germain - Lagardère. Exempt : Villeneuve-d’Ascq.
Mercredi 28 novembre : Saint-Germain - Levallois, Lagardère - Villeneuve-d’Ascq. Exempt : Cormontreuil.
Dimanche 2 décembre : Levallois - Lagardère, Cormontreuil - Villeneuve-d’Ascq. Exempt : Saint-Germain.
Finale le samedi 8 décembre au Centre de la Ligue des Flandres.

***********************************

LAMARNE>LEMAG 121016e
Articles parus dans « LAMARNE>LEMAG »

Numéro 41 de AUTOMNE 2012.

----------

Collèges : une rentrée sur de bonnes bases

Les équipes sont engagées dans des démarches pédagogiques innovantes.

Des expériences remarquables sont menées dans plusieurs collèges du département, notamment en matière d’évaluation des élèves.

Expériences innovantes

C’est précisément sous l’angle de l’innovation qu’Anne-Marie Filho, directrice des services départementaux de l’éducation nationale, aborde cette rentrée dans la Marne : « Les équipes sont engagées dans des démarches pédagogiques innovantes et la mise en oeuvre du “socle commun”. Des expériences remarquables sont menées dans plusieurs collèges du département, notamment en matière d’évaluation des élèves. » À Gueux, par exemple, la suppression des notes chiffrées est à l’essai, associée à un dialogue très étroit avec les parents ; le collège de Frignicourt organise des passerelles avec les écoles de son secteur pour favoriser la continuité des apprentissages, avec des résultats prouvés sur les progrès des élèves ; et le projet du collège Joliot Curie à Reims, basé sur l’implication forte d’une équipe autour du chef d’établissement, a été retenu par la Fondation de France au titre de la lutte contre le décrochage scolaire.

***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121016d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7468 du 15 au 21 octobre 2012.

----------

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 09/10/2012, le tribunal de commerce de REIMS a mis fin à la période d’observation et a prononcé la liquidation judiciaire au cours du redressement judiciaire avec une poursuite d’activité d’un mois de : Société à responsabilité limitée à associé unique REIMS TOILETTAGE, 8 avenue Léon Blum - 51100 REIMS N° Registre du Commerce : (B 484 107 404), 2005 B 533.
Activité : Conception installation exploitation de salons de toilettage pour animaux, vente conception de tous produits ou services en rapport avec les animaux domestiques vente conception installation de tous systèmes de protection des personnes où des animaux formation en toilettage aide ou la formation en gestion d’entreprise en rapport ou non avec les animaux. __ Mandataire liquidateur : SCP CROZAT BARAULT MAIGROT (Maître Jean-François CROZAT), 17 quai de la Villa, B.P. 1014 - 51318 EPERNAY CEDEX. 109613 Le Greffier : B. DELPY.


----------

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 09/10/2012, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : Monsieur DOGAN Bulent, 17 Cours Eisenhower 51100 REIMS. N° Répertoire des Métiers : 503 062 739 - RM 51.
Activité : Travaux publics.
Mandataire liquidateur : Maître François DELTOUR, 3 rue Noël 51100 REIMS.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-designé dans les deux mois suivant la parution au BODACC.
109638 Le Greffier : B. DELPY.

***********************************

Union121016c- Marne
Semaine bleue dans les bibliothèques jusqu’au 21 octobre

Depuis hier et jusqu’au 21 octobre, la Bibliothèque municipale participe à la Semaine bleue, semaine dédiée aux retraités et aux personnes âgées. Cette animation gratuite sera faite de deux lectures, l’idée étant de permettre à deux univers de se rencontrer, celui des jeunes, et celui des plus âgés.

Médiathèque Croix-Rouge. Demain mercredi 17 octobre à 16 heures « Sur la corde de vie » (d’après la nouvelle La vie comme une corde de violon de Shi Tiesheng (1951-2010)) : Caroline Chaudré et Pascal Salzard, du collectif artistique EutectiC, lisent une histoire venue de Chine. Celle de deux musiciens-conteurs qui parcourent les montagnes de village en village. L’un est vieux, l’autre jeune. Ils sont aveugles.

Bibliobus. A l’arrêt Trois-Fontaines demain mercredi 17 octobre à 15 h 30 et le samedi 20 octobre à 15 h 30 arrêt Châtillons. Bibliolectures avec Catherine Legoff, du collectif artistique EutectiC en partenariat avec Plurihabitat l’Effort Rémois. Le bibliobus est rempli de livres, cela se sait. Parfois les mots écrits dans ces livres veulent se faire entendre. Alors, une lectrice monte dans le bus, se saisit d’un livre et de sa plus belle voix donne vie aux textes.

Ateliers informatiques. En plus d’un service de portage de livres à domicile (mis en place en 2007), la commune vient de mettre en place de nouveaux ateliers informatiques gratuits pour les anciens. Des premiers pas en informatique à Internet en passant par la messagerie, il s’agit de combler ce fossé parfois existant entre les différentes générations quant à la maîtrise de ces nouvelles technologies (renseignements au 03.26.35.68.06).

***********************************

Union121016b- Marne
Réussite étudiante : la Ville prône l’intégration

Pour ceux qui l’ignoreraient, la Ville de Reims a le souci d’intégration, de solidarité, et de lutte contre les discriminations. Nouvelle illustration avec les journées de la réussite étudiante, premières du nom, qu’elle a initiées en partenariat avec divers organismes.

Au menu, à partir de ce mardi 16 octobre et jusqu’au lundi 22, une série d’ateliers, jeux, visites et autres débats visant à sensibiliser le public étudiant (l’essentiel est programmé sur les deux campus) à l’impact sur le déroulement des études que peuvent avoir handicap, milieu social et origine ethnique.

Mardi 16 à Croix-Rouge, à 11 h 30 au restaurant universitaire Jean-Charles-Prost : handicap, le vivre pour le comprendre, avec mise en situation les yeux bandés par exemple.

Mercredi 17, à Croix-Rouge toujours : discriminations, les connaître pour les combattre, à 11 h 30 au même restaurant ; bons plans divers à 15 heures à l’Appart’éco (Croix-Rouge), à la Galerie de culture (centre-ville sur le côté de l’Opéra), et à la Maison de l’emploi (place Stalingrad) ; à 19 heures à la Maison de l’emploi, la construction des préjugés, projection de documentaire et débat.

Jeudi 18 au Moulin de la Housse, réédition du sujet sur le handicap du mardi, à 11 h 30 au restaurant universitaire du Moulin de la Housse. A 18 heures à la cité Teilhard-de-Chardin, basket handisport.

Lundi 22, sensibilisation au langage des signes, à 18 heures à l’hôtel de ville.

***********************************

Union121016a- Marne
Un feu de camionnette

Dimanche à 20 h 45, les sapeurs-pompiers de Reims ont été alertés par des habitants du quartier Croix-Rouge pour un feu de voiture.

C’est en fait une fourgonnette, un Renault Master, qui était en flammes avenue Francois-Mauriac. Le feu a rapidement été éteint par les pompiers.

Après vérifications de la police, le véhicule n’avait pas été déclaré volé à l’heure de l’incendie_

***********************************

Union121015h- Marne
Rassemblement pour la « journée du refus » de la misère

Maria Théron et Anne-Marie di Pasquale (ATD quart-monde) : « On se bouche les oreilles ou on abat le mur ? »
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). La journée annuelle du refus de la misère prendra cette année à Reims un aspect symbolique, sous la forme d’un mur masquant des personnes.

LA journée du refus de la misère, on commence à connaître son rituel à Reims : un rassemblement le 17 octobre autour de la dalle scellée au pied de la cathédrale, quelques discours dans le recueillement, et on se dit à l’année prochaine en espérant que dans l’intervalle des progrès auront été enregistrés dans la lutte contre le fléau en question. Cette année, ce rituel sera quelque peu bousculé : un seul discours est prévu, celui de la maire Adeline Hazan ; et auparavant, la nouveauté, une mise en scène symbolique des effets de la misère. Des effets d’exclusion.

Un grand mur noir

« Nous aurons un grand mur noir, de deux mètres de haut, deux de large, derrière lequel on entendra des voix, explique Anne-Marie de Pasquale, coordinatrice à Reims de cette journée mondiale ; ces voix ce seront celles des victimes de la misère, que le mur nous empêchera de voir. Ce sera une façon d’interpeller le public. Quelle est alors notre réaction en entendant ces voix ? On se bouche les oreilles, ou bien on accepte d’entendre et on essaye d’abattre le mur ? » C’est bien sûr la deuxième option que les organisateurs de l’opération proposeront de retenir…

Mais cette cérémonie symbolique sera aussi précédée d’une rencontre à la médiathèque Croix-Rouge, de 15 à 17 heures, entre le public et les diverses associations partenaires de la journée (ATD quart-monde, Secours catholique, Armée du salut, Mutes (multi-échanges services) et autre Amnesty international). Chacune présentera ses actions à sa façon (vidéos, expos, jeux…). A la suite de quoi tout le monde embarquera dans le tramway pour se rapprocher de la dalle mémorial, où l’on sera accueilli en musique par les cuivres du conservatoire. Alors pourra commencer la manifestation symbolique du mur à abattre.

Antoine PARDESSUS

Journée mondiale du refus de la misère, mercredi 17 octobre. Rencontre avec les associations à la médiathèque Croix-Rouge, de 15 à 17 heures ; 18 heures arrivée en musique à la station de tramway Opéra ; 18 h 30, rassemblement à la dalle du refus de la misère (parvis nord de la cathédrale).

La misère ne recule pas

Quelle est l’ampleur de la misère à Reims ? « Pas facile de donner des chiffres, indique Anne-Marie de Pasquale au nom d’ATD quart monde), ce que l’on peut dire c’est que la misère ne recule pas », « et si on ne fait rien, elle nous rattrape même », ajoute Maria Théron, militante de la même association.

C’est pour cela que les journées du refus se succèdent sans qu’on ait vraiment l’impression d’un recul du fléau. On avait toutefois déjà une petite idée de la peu enviable position de Reims à cet égard depuis la publication d’une étude, basée sur les chiffres Insee de 2009, indiquant que plus de 15 000 ménages de la ville vivaient au-dessous du seuil de pauvreté (notre édition du 8 septembre dernier).

***********************************

Union121015g- Marne
La salle municipale dans un triste état à Croix-Rouge

La peinture et le crépi des murs extérieurs se pèlent comme un oignon !
- Agrandir la photo

 

La prochaine réunion du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny ne se tiendra pas comme d’habitude dans la salle municipale Croix-Rouge, rue François-Mauriac, mais au collège Joliot-Curie voisin.

Cela évitera aux habitants de découvrir le triste état de cette salle dont la peinture extérieure se « décolle » par grands lambeaux, comme une pelure d’oignon.

A d’autres endroits, il n’y a plus du tout ni peinture ni crépi, mais du béton à nu !

Les habitants ont appris récemment l’ouverture d’une nouvelle salle municipale en 2015 au sein d’un futur équipement multi-espaces à Pays-de-France, face au lycée François-Arago. C’est une bonne nouvelle.

Mais en attendant 2015, il serait peut-être opportun de se pencher sur cette vieille dame qui, à l’allure où vont les dégradations extérieures, aura probablement du mal à passer l’hiver !

 

***********************************

Union121015f- Marne
Les soucis de chauffage commencent à Orgeval et Croix-Rouge

Près d’un tiers du quartier Orgeval est resté sans chauffage durant une dizaine de jours.
- Agrandir la photo

Travaux par ci, aménagements par là, les premiers froids révèlent leurs lots de problèmes de chauffage des riverains.

DANS une grande partie du quartier Orgeval, la grogne dure depuis une dizaine de jours. Une période durant laquelle les habitants ont eu toutes les peines du monde à bénéficier d’un chauffage convenable. Coubertin, Pierre-de-Fermat, des centaines de riverains sont dans l’attente.

La faute à une simple fuite dans une conduite. mais qui a pris des proportions inquiétantes. « On nous a parlé de la détection d’une fuite, d’une rupture partielle. Depuis le 28 septembre, date de remise en marche du chauffage urbain, rien n’est encore rétabli. »

Cet habitant du quartier ne comprend pas pourquoi la fuite détectée à hauteur de la rue Bettinger met autant de temps à être réparée. Sauf que cet incident se situe à proximité du réseau de tramway.

Et c’est bien là que les choses se compliquent puisque des précautions supplémentaires et donc des délais plus longs d’intervention sont requis. C’est du moins l’argument des responsables du dossier.

En attendant, près d’un tiers du quartier se retrouve sans chauffage. Plutôt gênant à l’approche des premiers froids.

Deux jours de patience

Sollicité par de nombreux riverains et de multiples associations de locataires du quartier Orgeval, le premier adjoint Eric Quénard se veut pédagogue et rassurant. « La fuite a été détectée et réparée, elle se situait sur un espace privé et non public.

Depuis mardi soir, le réseau de chauffage va être rétabli peu à peu. Mais ce sera une montée en puissance progressive pour éviter que cet incident ne se répète. » Cela dit, quelques locataires réclament désormais des aménagements et des remboursements de charges pour la dizaine de jours sans chauffage.

…..

En cause aussi à Pays-de-France

Pour certains locataires, la reprise du chauffage est effective dans le secteur Pays-de-France, à Croix-Rouge mais, souligne Jean-Pierre Bauwens, administrateur de l’amicale des locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », « pour d’autres : pas de chauffage ! Surtout les locataires.

Notamment du côté des immeubles 1, 3, 5 et 7 de la rue Joliot-Curie, en raison de la lenteur de l’installation des nouveaux radiateurs, et le changement de tuyaux d’alimentation en chaleur ». Si cette situation se prolonge, d’après le responsable associatif, « les clients locataires bloqueront le paiement des provisions de chauffage jusqu’à obtenir un fonctionnement convenable. De plus, les résidants des immeubles de la rue Joliot-Curie ressentent un certain ras-le-bol. L’électricité remise aux normes, le changement des radiateurs, la pose de nouvelles fenêtres, c’est très bien d’avoir du neuf, mais au prix de quelles nuisances : le bruit, la poussière, les revêtements de sol tâchés, les murs noircis, le Foyer rémois ne prend en considération tous ces problèmes que doivent supporter les locataires dans leur quotidien. Les entreprises sont à la disposition des locataires, et non le contraire ! »

Actes de vandalisme

De son côté, le conseiller municipal Salah Byar, également président de l’association « Point Rencontre » implantée aussi sur Pays-de-France, s’est rendu au siège du Foyer rémois, et il a obtenu des renseignements sur la situation. « Le problème ne vient pas de l’organisme logeur, mais du fait de quelques locataires qui sont absents et dans les logements desquels les entreprises ne peuvent pas rentrer. Par ailleurs, un local d’accès télévision est tellement dégradé et vandalisé qu’il faut d’abord le remettre en état avant de poursuivre les travaux. En tout état de cause, le problème sera réglé vers le 20 octobre », explique-t-il.

***********************************

Union121015e- Marne
Animations du 15 au 21 octobre Semaine bleue à l’Acrap

Bernadette Canu s’occupe de la section Temps libre de l’Acrap.
- Agrandir la photo

 

 

Du 15 au 21 octobre, c’est la Semaine bleue, une période dédiée aux retraités et aux personnes âgées.

Toujours aux petits soins pour le troisième âge, la section Temps libre de l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion participe, cette année encore, avec une belle programmation : « Nous organisons un repas suivi d’un goûter intergénérationnel le mercredi 17 octobre », annonce Bernadette Canu, l’animatrice, « un programme qui vient compléter les actions hebdomadaires de notre section qui propose des jeux de société, des sorties, des spectacles et des repas. Nous y accueillons le mercredi de 13 h 30 à 17 h 30, toutes les personnes à la retraite qui désirent tisser des liens d’amitié, rompre l’isolement et se distraire ».

Renseignements et inscriptions : Acrap, 11, avenue du Président-Kennedy, tél. 03.26.06.39.54.

 

 

***********************************

Union121015d- Marne
Conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny

 

 

La prochaine séance du conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny se déroulera mercredi 17 octobre à 19 heures, non pas dans la salle municipale Croix-Rouge comme d’habitude, mais au collège Joliot-Curie, 2, rue Joliot-Curie.

Les co-animateurs Alain Bisteur et Alain Boudroit ont communiqué l’ordre du jour de cette rencontre : présentation du code de la rue, compte rendu des travaux des commissions (animation, balades urbaines, emploi, jeunesse, tranquillité) et expression publique.

 

 

***********************************

Union121015c- Marne
Collège Georges-Braque Une journée « nature » enrichissante pour tous les 5e

La pause repas au parc de Champagne avant le départ à la cueillette de Muizon.
- Agrandir la photo

- Voir toutes les photos.

Le collège Georges-Braque a proposé à ses 100 élèves de 5e une sortie d’une journée, le jeudi 4 octobre, au parc de Champagne et à la cueillette de Muizon.

Au programme : activités sportives au parc, visite d’un jardin médicinal puis d’un espace de production locale, à Muizon. Ce projet concerne aussi bien les adultes que les jeunes. Ainsi pour les personnels du collège (personnels de cuisine, infirmière, gestionnaire, professeurs), une formation complémentaire d’une journée a été proposée sur l’alimentation et l’activité physique de l’adolescent.

Cours le matin sport l’après-midi

Pour les élèves de 5e, le but de la journée était d’éduquer les élèves du collège, situé en zone d’éducation prioritaire, au plaisir et au bienfait de repas équilibrés ; leur faire prendre conscience de l’importance du repas comme moment privilégié de convivialité et leur faire découvrir le goût des fruits et des légumes et le savoir-faire culinaire régional et les productions locales.

Par ailleurs, il s’agissait aussi d’apprendre aux demi-pensionnaires à équilibrer leur plateau-repas et ne pas gaspiller.

Cette éducation à l’alimentation plaisir et bien-être est menée en parallèle avec une pratique d’activités sportives et culturelles dans le cadre d’une expérimentation « cours le matin, sport l’après-midi » à laquelle participent les élèves de 5e (projets « bien bouger bien manger » et « Fruits à la récré »).

« Au cours de cette année scolaire, cette journée se prolongera par une formation sur l’alimentation de l’adolescent sportif, des interventions de diététiciennes dans toutes les classes de 5e et des ateliers cuisine », précise Frédérique Sarrazin, principale adjointe du collège.

Cette action est cofinancée par la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Champagne-Ardenne (Draaf), le conseil général, le ministère de la Ville par l’intermédiaire du réseau Réussite scolaire, l’agence régionale de Santé (ARS) et le collège.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union121015b- Marne
Roller-hockey (Nat 1) / Le derby pour le RHR

Reims a attaqué bille en tête le derby, mais Epernay (en vert) ne s’est pas laissé faire à Legros…
- Agrandir la photo

Les Rapaces ont passé le test du derby avec succès. Dans une salle Legros remplie comme rarement, les Rémois se sont imposés face à une formation sparnacienne composée en très grande majorité d’anciens Rémois.

Les locaux étaient les premiers à montrer leurs intentions dans cette partie et à débloquer le score par le capitaine Rogé (10’19).

Epernay se procurait quelques occasions, notamment par Audeval, mais celui-ci voyait sa tentative repoussée par un Garcia-Prieto auteur, une fois encore, d’une belle performance. Cheffre profitait d’un power play pour doubler la marque (16’10), et, sur une situation similaire, Lhoste triplait la mise (20’18).

Pris à la gorge, les Sparnariders ne pouvaient que constater les dégâts à la pause (3-0).

La seconde période était plus équilibrée. Les visiteurs exploitaient un avantage numérique pour réduire la marque par Jeambourquin (32’47, 3-1). Les deux équipes se rendaient, dorénavant, coup pour coup. Les Rémois, bien qu’en difficulté, reprenaient trois longueurs d’avance grâce à Fayault (38’14), mais Page lui répondait peu après (40’44).

Rapproché sparnacien

Puis, Rivard exploitait une grossière erreur défensive pour ramener les promus à une longueur (44’03, 4-3).

Loin d’être abattue, la jeune garde des Rapaces répondait dans la minute par Jouham, qui, grâce à son premier but, sous ses nouvelles couleurs, offrait la victoire aux siens (44’44).

Jeambourquin permettait de nouveau aux visiteurs d’y croire (48’13, 5-4), mais la sortie du gardien et un poteau, dans les ultimes instants, n’y changeaient plus rien.

Troisième succès, donc, pour les Rapaces qui continueront leur parcours du côté de Pont-de-Metz la semaine prochaine alors qu’Epernay se rendra à Tours.

***********************************

Union121015a- Marne
Plusieurs voitures incendiées à Reims

Les sapeurs-pompiers de la cité des sacres ont été dépêchés pour plusieurs incendies de véhicules qui se sont déclarés dans la nuit de samedi à dimanche.

Le premier s’est produit vers 1 h 10, à Saint-Brice Courcelles : là, chemin des Eaux vannes, un fourgon de marque Mercedes était en proie aux flammes. Non signalé volé, il a été entièrement détruit.

Puis à 3 h 36, c’est une Peugeot 407 qui a brûlé à son tour, rue de la Hachette, à Reims.

Et pour finir, vers 4 h 45, une Opel Corsa a subi le même sort, allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge. Quartier dans lequel les pompiers étaient déjà intervenus la veille, vers 17 heures, pour circonscrire un incendie survenu dans un local à ordures de la rue Pierre-Taittinger.

***********************************

Union121014a- Marne
Les poubelles brûlent

Plusieurs feux de poubelles ont émaillé la journée de vendredi, à Reims.

D’abord vers 14 h 15, rue Pierre-Taittinger.

Puis au cours de la soirée, peu avant 21 heures, à hauteur du 1 de l’allée des Landais, dans le quartier Croix-Rouge.

Enfin, à la même heure, à quelques encablures de là, les sapeurs-pompiers ont également été dépêchés allée des Bourguignons où une poubelle était elle aussi la proie des flammes.

***********************************

Union121013f- Marne
Cormontreuil / Au collège Pierre-de-Coubertin : Belle promotion des métiers des Travaux publics

L’avenir des entreprises dépend en grande partie des salariés. Informer les jeunes sur les métiers d’un secteur porteur d’emplois est une priorité de la FRTP. Exemple au collège Pierre-de-Coubertin.

ILS ont revêtu casque de protection et chasuble orange : tenue obligatoire pour pénétrer sur le chantier de voirie actuellement mis en œuvre par plusieurs entreprises, dans le prolongement de la rue Pierre-Bérégovoy. Une visite, proposée par la fédération régionale des Travaux publics et qui s’insère dans le programme de l’option DP3 : découverte professionnelle. 19 élèves ont choisi cette option.

« On va coupler cette visite avec celle du lycée Arago. Nous allons aussi travailler sur les métiers de bouche, et sans doute visiter une entreprise rémoise de biscuits » expliquent Sonia Durantel et Stéphanie Dieudonné, les deux enseignantes qui encadrent ce groupe d’élèves du collège Pierre-de-Coubertin.

Régine Vansumsen, de la FRTP Champagne-Ardenne, est venue présenter les différents secteurs d’activités et les métiers des travaux publics.

« 450 emplois sont offerts chaque année sur les dix prochaines années. Si on comptabilise le nombre de jeunes en formation dans les Travaux publics, on en dénombre environ 250. On constate donc que chaque année, 200 postes ne sont pas pourvus ».

On comprend que la FRTP essaye de sensibiliser les jeunes, dès la 3e, afin d’en inciter le plus grand nombre à s’orienter vers des formations du type Travaux publics.

Esprit d’équipe

Rappelant qu’en Champagne-Ardenne, les TP représentent 250 entreprises, 6 500 salariés et 9,2 milliards de chiffre d’affaires, Mme Vansumsen a montré la grande variété des domaines d’intervention : routes, aqueducs, ponts, stades, barrages, réseaux, tunnels, voies ferrées… la liste est loin d’être exhaustive.

Conditions de travail et niveaux de salaires ont évidemment intéressé les collégiens. Points qui ont été à nouveaux posés lors de la visite du chantier, au conducteur de travaux de l’entreprise Eurovia, Jean-Baptiste Challan.

Chantier d’aménagement de voirie, commencé il y a un an et qui devrait se terminer fin 2012. « En quoi consiste votre métier ? » demande Rémi.

« Je dois faire réaliser les travaux, suivre l’ordre de leur exécution, assurer le suivi financier, passer les commandes, le conducteur de travaux est le lien avec les clients ».

Sur un chantier, tout le monde joue un rôle important. Chacun apporte ses compétences : c’est ce qu’on appelle l’esprit d’équipe.

Sécurité, salaires, conditions de travail, rien n’est resté dans l’ombre…

***********************************

Union121013e- Marne
Dans le cadre d’Octobre Rose Une grande marche contre le cancer du sein

Des ballons lâchés comme des messages d’espoir par les femmes qui ont rejoint le mouvement d’Octobre Rose.
- Agrandir la photo

 

Hier, plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées pour montrer leur solidarité dans le cadre de la première marche urbaine d’Octobre Rose, cette grande mobilisation nationale issue de la volonté de très nombreuses femmes atteintes ou non par un cancer du sein afin de sensibiliser le grand public à cette maladie.

Après des départs simultanés depuis cinq maisons de quartier (Orgeval, 3 piliers, 3 Fontaines, Chemin Vert et Croix-Rouge) ainsi que des centres de soins infirmiers de Louvois et de la Croix-Rouge française, tout le monde s’est retrouvé au milieu de la place d’Erlon, aux environs de 16 heures afin de montrer une volonté commune de parler, soutenir ou encore réconforter autour de ce sujet qui touche des milliers de femmes et de foyers chaque année. Et c’est une nouvelle fois dans un esprit de convivialité que le message récurrent du collectif « Octobre Rose » est passé autour d’un grand lâcher de ballon.

Prévention des risques et dépistage via les mammographies restent les pierres angulaires d’un combat que de plus en plus de femmes, grâce à ce genre d’initiatives peuvent emporter. À chaque ballon était accroché un message amical, une pensée, une note d’espoir. Toutes ces femmes regardent l’avenir avec sérénité et détermination.

 

***********************************

121013d- VRI octobre 2012

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°293 d’octobre 2012

……….

DEPLACEMENTS : Un Code de la Rue pour apprendre à mieux se conduire

Le Code de la route fixe le cadre légal de nos déplacements sur le domaine public.

Le Code de la Rue qui vient d’être créé dans la concertation se situe à un autre niveau : celui de la connaissance des autres usagers et de ses propres responsabilités pour mieux se partager la rue.

La rénovation urbaine des quartiers, la réappropriation par la population des espaces publics voulue par Reims 2020, l’apparition du tramway, la refonte du réseau des bus et le nouveau programme d’aménagements cyclables ont fait évoluer notre espace commun et amené une réflexion globale sur les comportements des usagers de la rue, que la Ville a souhaité ouvrir aux intéressés, par le biais de leurs associations représentatives, pour s’engager ensemble dans l’élaboration d’un Code de la Rue. « Le moment nous a semblé opportun pour replacer les différents modes de mobilité dans la ville, valoriser les modes alternatifs à la voiture individuelle, encourager les usagers à mieux se respecter les uns les autres, en intégrant bien entendu la question de l’accessibilité de manière à bien proposer un Code de la Rue pour tous », précise Eric Quénard, 1er adjoint à la maire.

Une confusion dans les priorités

Ce projet est apparu d’autant plus utile que, à travers les Conseils de quartier, des habitants ont fait état d’une difficulté de compréhension et de la confusion dans les priorités qu’entraînent certains dispositifs comme les zones 30, les double sens cyclables… Le comité de pilotage formé avec de nombreux partenaires (voir encadré) s’est fixé comme objectif de produire un document attractif, pédagogique, compréhensible par tous. Le résultat est conforme à cette ambition dans le contenu comme dans l’aspect. Dans un premier chapitre, le Code de la rue présente les aménagements existants, reprend la réglementation en vigueur et les consignes de sécurité aux abords du tram. La deuxième partie est consacrée au rappel des droits et devoirs de chaque usager, la priorité accordée au piéton ne lui donnant pas le droit de tout faire par exemple. Enfin, mieux vivre ensemble dans l’espace public, c’est aussi suivre les règles de bonne conduite qui sont détaillées dans une dernière partie où l’on nous remet en mémoire que ne pas les respecter, c’est aussi s’exposer à des sanctions.

Rendre la rue moins stressante

« C’est une démarche intéressante, a commenté Jacques Perrin, l’un des participants au comité de pilotage, parce qu’elle permet d’appréhender les contraintes des autres. Cette connaissance ne peut que générer un comportement plus courtois et rendre la rue moins stressante. » Le comité de pilotage se réunira chaque année pour faire le point sur l’évolution des comportements qui dépendra pour partie de la bonne diffusion du document et de son assimilation par les usagers. « La sécurité dans la ville, ce n’est pas seulement l’affaire de la collectivité, c’est l’affaire de tous » a rappelé Eric Quénard.

Profitant de la Semaine européenne de la mobilité, les partenaires ont organisé le 19 septembre place d’Erlon une première distribution du Code de la rue. On peut désormais se le procurer en mairie, auprès des partenaires ou sur le site www.reims.fr où il est téléchargeable.

C. R.

EN ÉTROITE CONCERTATION

Le Code de la rue est le fruit d’une étroite concertation entre des élus, les services de la collectivité, l’agence d’urbanisme, MARS, Transdev et Trema, et diverses associations : l’Association des piétons et usagers des transports collectifs de Reims e t d e s e n v i r o n s (APUC T R E ) , Vélo’Oxygène, l’Association des cyclotouristes, la Prévention routière, les Vitrines de Reims, l’Union des métiers de l’industrie hôtelière, l’Association des commerçants de Pays de France et de Croix-Rouge.


……….

Adeline Hazan, maire de Reims et son équipe municipale…

Adeline Hazan, maire de Reims et son équipe municipale, iront à votre rencontre dans les conseils de quartier du 14 novembre au 20 décembre Venez échanger, témoigner, partager sur les sujets de votre quotidien …

Croix-Rouge - Hauts de Murigny 13/12/2012, 19 h, Lycée Arago


……….

LA VIE DES QUARTIERS : QUARTIER CROIX-ROUGE - HAUTS DE MURIGNY

En Bref

• Le spectacle Music’Hall, organisé dans le cadre de l’opération “Hors les murs” initié par la Comédie de Reims, sera programmé le 24 octobre, 19h30, dans la salle culturelle du CROUS.

Tout public. Tarif unique de 5 euros.

Réservations au CROUS. 0326505900. Rue de Rilly-la-Montagne.

Tramway : arrêt faculté des Lettres.

• Un loto sera organisé par la Maison de quartier, le 11 novembre, à partir de 9 h, à l’espace Billard.

Renseignements et inscriptions à la Maison de quartier 0326080878.

Un succès pour la 3e édition de Mod’emploi

La 3e édition du dispositif Mod’emploi s’est déroulée à Croix-Rouge du 1 7 s e p t e m b r e a u 5 octobre. Piloté par la Maison de l’emploi et des métiers du bassin rémois, le dispositif a réuni, pendant trois semaines de nombreux acteurs de l’emploi et de l’insertion professionnelle au coeur du quartier et a associé le Conseil de quartier. Les demandeurs d’emploi ont ainsi pu bénéficier d’une série d’animations et de services tels que des ateliers de préparation à une candidature, des informations sur les aides à la mobilité, la création d’entreprises. Au total les nombreux partenaires (Pôle emploi, la CCI de Reims Epernay, la Mission locale, la Chambre d’agriculture…) ont proposé plus de 25 actions en faveur de l’emploi.

Conseil de Quartier

La prochaine séance plénière du Conseil de quartier aura lieu le mercredi 17 octobre à 19 h.

Pour faire paraître un article, contactez votre correspondant quartier

Vous êtes membre d’une association de quartier ou simplement un acteur de celui-ci, n’hésitez pas à contacter la rédaction du VRI pour y annoncer vos actualités et vos prochains temps forts. Pour cela, un journaliste de VRI est spécialement à votre écoute.

Pour les quartiers Croix-Rouge/Hauts de Murigny, Charles-Arnould/Clairmarais, Châtillons, La Neuvillette/Trois Fontaines.

Contactez Hervé Couilleaux, 0326777673, herve.couilleaux@reimsmetropole.fr

Pour les quartiers Centre-Ville, Barbâtre/Saint-Remi/Verrerie, Chemin vert/Clemenceau/Europe, Maison-Blanche/Sainte-Anne/Wilson.

Contactez Stéphanie Clément, 0326777553, stephanie.clement@reimsmetropole.fr

Pour les quartiers Laon-Zola/Neufchâtel/Orgeval, Bois d’Amour/Courlancy/ Porte de Paris, Cernay/Epinettes/Jamin/Jaurès, Murigny.

Contactez Alain Carton, 0326777561, alain.carton@reimsmetropole.fr


……….

Expo photo

Avec les photographies de Persistance rétinienne, Alain Julien retrace l’histoire du festival à La belle image, 46 rue Chanzy, à la librairie Rose et son Roman, 76 rue Chanzy, à la Maison de la Région, 9 rue Thiers, dans les médiathèques Croix-Rouge et Laon-Zola, au Cochon à plumes, 91 place d’Erlon, à La Galerie de Culture, place Myron Herrick, et la Fnac

A. C.


……….

Marche urbaine et lâcher de ballons pour “Octobre rose”

Dans le cadre de la Campagne de dépistage du cancer du sein “Octobre rose”, les Centres de Soins Infirmiers de Reims et de son agglomération, les Maisons de quartier et la CPAM organisent une marche urbaine le vendredi 12 octobre à 13 h 30. Les points de rendez-vous sont les suivants : Maison de quartier et Centre de Soins d’Orgeval, Maison de quartier et Centre de Soins des 3 Piliers, Maison de quartier et Centre de Soins des 3 Fontaines, Maison de quartier et Centre de Soins du Chemin Vert, Maison de quartier et Centre de Soins de Croix Rouge, Centre de soins Infirmiers de Louvois, Centre de soins de la Croix Rouge Française. Un point de rencontre est prévu au centre ville, entre le boulevard Foch et la fontaine Subé (place d’Erlon) aux alentours de 16 h. A cette occasion, le public pourra être renseigné sur le dépistage organisé du cancer du sein grâce à différents stands d’information. Cette marche se clôturera par un lâcher de 200 ballons roses.

> Renseignements : Union Locale des Centres de Soins Infirmiers de Reims et de son agglomération au 0326851719.

***********************************

Union121013c- Marne
Belote

Un concours de belote de l’association Etoile Croix-du-Sud se déroulera demain, dans la salle de réunion du 5, avenue Léon-Blum.

Inscriptions : 16 euros par équipe.

Début des jeux à 14 heures.

Tél. 03.26.06.56.66.

***********************************

Union121013b- Marne
Bennes à encombrants

En plus des déchetteries, les usagers peuvent se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues ce lundi 15 octobre : place Maurice Utrillo - rue Jeanne Jugan/rue Jean d’Aulan - rue de Turenne - rue Albert Luthuli - rue Pierre de Marivaux/rue Miguel de Cervantès - rue Jacques Prévert/rue Mazarin.

***********************************

Union121013a- Marne
Un fumigène dans les escaliers

Hier vers 17 h 30, une grosse fumée s’est répandue dans la cage d’escalier d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger à Reims, au n° 35.

Il s’agissait d’un fumigène jeté par un ou plusieurs « plaisantins ».

Les locataires n’ont guère apprécié.

***********************************

Union121012c- Marne
Les profs de Joliot-Curie exercent leur droit de retrait

Après une bagarre entre élèves hier matin, les enseignants de Joliot-Curie ont décidé d’exercer leur droit de retrait. Aucun cours n’a été dispensé hier après-midi.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Une bagarre entre élèves a provoqué le débrayage de tous les enseignants hier après-midi. Pour eux, cette rixe a été la goutte d’eau.

BEAUCOUP n’en peuvent plus des insultes, des menaces, des petites phrases balancées ça et là par des jeunes totalement perdus, sans le moindre respect face à une quelconque autorité.

Hier matin, l’établissement rémois Joliot-Curie a connu un nouvel acte de violences entre élèves. Il était un peu plus de 10 heures lorsqu’à l’entrée d’un cours de mathématiques, juste après la courte récréation matinale, quatre élèves d’une classe de première professionnelle, section comptabilité, en sont venus aux mains. Pas de blessures graves à déplorer mais une illustration de plus d’un certain climat qui règne au sein de l’établissement depuis la rentrée. « Nous avons de bons éléments il ne faut pas le nier, mais nous comptons également dans nos rangs des élèves particulièrement difficiles, presque ingérables. Nous réclamons aujourd’hui une prise de conscience de la part de l’équipe qui dirige l’établissement et une solidarité plus forte entre l’ensemble des personnels », souligne une enseignante, dégoûtée par ce qui se passe et la tournure des événements.

Après-midi blanche

Peu avant midi, les enseignants présents se sont réunis et ont décidé, comme un seul homme, d’exercer leur droit de retrait. Les 37 enseignants présents (sur une cinquantaine au total, ndlr) n’ont donc pas tenu leurs cours l’après-midi. Une forme de protestation assez rare pour être soulignée. « Depuis la rentrée, on sent bien pendant les cours, durant les interclasses ou les récréations que la tension est beaucoup plus présente que les années précédentes, qu’un dérapage peut intervenir à n’importe quel moment. Les insultes, les menaces ne sont plus exceptionnelles. Nous en avons marre de travailler dans ces conditions », confirme une autre enseignante.

L’ensemble du corps professoral est symboliquement sorti devant les grilles de l’établissement malgré les injonctions de la direction qui leur demandait de maintenir les cours pour « éviter de voir plus de 600 élèves sans cours de l’après-midi ». Les enseignants n’ont pas lâché, ils ont maintenu leur mouvement de retrait afin « d’attendre des décisions nettes et franches de la part de la direction de l’établissement ». Toutefois, un dialogue a pu s’instaurer entre la direction de Joliot-Curie et les enseignants.

Les cours reprendront dès ce matin mais des mesures conservatoires ont été prises à l’encontre de deux des quatre élèves impliqués. Ils devraient passer très prochainement en conseil de discipline.

Thomas DUPRAT

Le recteur soutient les enseignants

Hier matin, une équipe mobile de sécurité, un équipage de trois personnes dépendant de l’Education nationale, s’est rendue sur place afin d’éviter toute propagation de violences. Un peu plus tard dans la journée, le recteur de l’académie, Philippe-Pierre Cabourdin a déclaré « son soutien à l’ensemble des personnels enseignants », et qu’il comprenait « leur douleur et leurs difficultés à exercer leur métier au quotidien ». Début octobre, c’est ce même recteur qui avait envoyé un courrier à l’ensemble des responsables d’établissements afin de leur indiquer les réponses à apporter en cas de violences.

***********************************

Union121012b- Marne
Le campus Croix-Rouge aura son épicerie sociale

Le campus Croix-Rouge accueillera bientôt une épicerie sociale. Francois Nascimbeni
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Il en existe à Nice, Lyon et Brest. Bientôt Reims aura la sienne ! Une épicerie sociale destinée aux étudiants en difficulté de l’Urca est sur le point de voir le jour. Loin des utopies estudiantines, l’Agorae s’attaque à une réalité : la précarité à l’université.

Elle était dans les cartons depuis 2009. L’épicerie sociale destinée aux étudiants en difficulté, baptisée Agorae, devrait ouvrir d’ici à la fin du mois sur le campus Croix-Rouge.

Loin des effets de mode, cette épicerie sociale va répondre aux besoins des étudiants qui ont toutes les peines du monde à boucler leurs fin de mois.

"Reims fait partie des universités françaises qui compte le plus d’étudiants boursiers", explique Romain Derue, vice-président étudiant de l’université.

Il faut savoir qu’à l’Urca, plus d’un étudiant sur deux est boursier ! Soit 12 000 boursiers sur les 22 000 inscrits à la fac. Parmi eux, 36% se trouvent dans les tranches les plus aidées (boursiers échelon 5 et 6). C’est à eux en priorité que s’adressera l’Agorae et aux jeunes en rupture avec leur famille qui ne peuvent compter que sur leurs petits boulots pour vivre.

De -20 à -30%

"L’alimentation est le premier budget à être sacrifié", rappelle Philippe Loup, le président de la FAGE. Bonne nouvelle : les étudiants trouveront des denrées alimentaires de première nécessité avec des étiquettes affichant un rabais de -20% à -30% par rapport aux prix relevés dans le commerce.

"C’est une véritable victoire et une avancée importante pour les étudiants", se félicite Mathias Guichon, le président d’InterCampus qui rappelle que son association a été créée pour aider les étudiants dans leur vie quotidienne.

C’est la FAGE (Fédération des Associations Générales Étudiantes) qui est à l’origine de ces projets. Pour financer ces épiceries sociales d’un nouveau genre et alerter l’opinion publique sur la précarité étudiante, la fédération a lancé une campagne de sensibilisation baptisée "Attention, fragile". En France, les Agorae se comptent encore sur les doigts de la main. Il en existe une à Nice, Lyon, Brest. Lille doit suivre le 23 octobre, puis Nancy… et Reims !

"Le but était de pouvoir installer l’épicerie sociale là où la précarité étudiante était la plus criante : sur le campus Croix-Rouge", explique Romain Derue. "Nous avons trouvé une salle de plus de 100m2 qui devrait être libérée fin octobre, début novembre au plus tard".

Une fois le local mis à disposition, il faudra deux semaines pour tout mettre en place : la logistique et l’organisation.

Les étudiants de la fac ne se rendront pas seulement à l’Agorae pour remplir leur frigo et sustenter les cris de leur estomac, mais aussi pour y trouver de l’aide et un accompagnement sur le plan médical, psychologique ou des offres d’emploi.

Carole Bouillé

Etudiants : "Attention Fragile"

"Attention fragile". Les étudiants qui ne bouclent pas les fin de mois, mangent des pates et des conserves, cumulent les petits boulots et repoussent les soins faute d’argent… ces étudiants existent et ils sont de plus en plus nombreux à en croire le signal d’alarme envoyé par la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes).

"Attention fragile", c’est donc le slogan de la nouvelle campagne de mobilisation contre la précarité étudiante. Une vidéo de collecte de dons a été réalisée pour soutenir le développement des épiceries sociales étudiantes, les "Agoraé".

Sur le site dédié à la campagne, les visiteurs peuvent signer le manifeste en ligne et faire un don.

Il faut savoir qu’en moyenne, ce mois-ci les étudiants français devront débourses 2.434,33 euros pour s’acquitter des dépenses spécifiques à la rentrée. Une somme en hausse de 2.6% par rapport à septembre 2011. Parmi les plus fortes hausses : les frais fixes. Quant à l’alimentation, elle représente près de 15 % du budget d’un étudiant.

La FAGE dresse un constant inquiétant :

● Depuis 10 ans, le coût de la rentrée a augmenté de 50 %, soit de 33 points de plus que l’inflation alors que les aides sociales n’ont augmenté que 23 % durant cette même période ;
● L’accès à l’Enseignement Supérieur est en baisse pour la première fois de l’histoire : la part des étudiants issus de familles modestes a reculé de 36 à 31 % ;
● Plus de 15 % des étudiants renoncent à se soigner pour des raisons financières chaque année ;
● Près de 60 % des étudiants estiment que leurs ressources ne leur permettent pas de vivre dans de bonnes conditions.

Pour la fédération étudiante, une solution : la création d’épiceries solidaires étudiantes qui proposent à la fois de l’aide alimentaire, un lieu de rencontre, des activités culturelles…

Deux Agorae ont déjà vu le jour en 2011, à Lyon, Nice et Brest. Trois autres seront inaugurées au cours de la rentrée 2012 et une quinzaine de projets sont en cours de développement sur toute la France.

Plus d’un étudiant sur deux est boursier

Sur les 22 000 étudiants de l’Urca, 54% sont boursiers. 36% d’entre eux se trouvent dans les tranches les plus aidées (460€/mois)

• Sur le campus Croix-Rouge
Lettres et sciences humaines : 86% d’étudiants boursiers
Sciences Economiques, Sociales et de Gestion : 85% d’étudiants boursiers
Droit et Science politiques : 32%

• Fac de médecine
Médecine : 37% de boursiers
Pharmacie : 30%
Dentaire : 22%

• Campus Moulin de la Housse
Staps : 53%
Sciences Exactes et Naturelles : 35%

Quelques chiffres pour comprendre

Frais de rentrée (inscription) : 1251€ à Reims contre 2298 € en moyenne dans les autres villes en région. C’est +1,6% par rapport à 2011

Frais de vie courante : 933€ à Reims. Ils comprennent : le loyer, les charges, les repas, le téléphone, l’accès à internet, les transports, l’alimentation et les équipements divers. Au niveaux national, il s’élèvent à 1025€.

***********************************

Union121012a- Marne
Tennis de Table (N2) / Eddy reprend du service

Avec Lucas Créange, Eddy Lisima sera l’autre Olympien dans le tableau principal.
- Agrandir la photo

Critérium Fédéral.

Il ne boudait pas le Critérium individuel mais cette compétition individuelle lui offrait si peu de satisfactions depuis quelques mois que le Rémois Eddy Lisima a failli lui tourner le dos.

A 30 ans, dont 15 dans le « ping », le n° 522 français a, toutefois, choisi de repartir pour un tour, en Nationale 2. Et le fait que l’ouverture de la saison en « indiv » se joue à domicile, demain et dimanche, tient pour beaucoup dans son revirement.

A la Halle Universitaire de Reims (notre édition de mardi), Eddy Lisima n’aura pas toutes ses habitudes. Ses repères de match sont plutôt à Géo-André.

Il aurait quand même pu être sujet à la pression si un élément ne lui rendait pas, au contraire, les épaules moins lourdes. Le joueur de l’Olympique rémois, à la vue des engagés, ne sera pas la tête de série n° 1 cette fois dans ce tableau dit de la Zone Est (Champagne, Alsace, Lorraine, Bourgogne, Franche-Comté).

« C’était difficile de s’aligner et de s’arrêter en quart ou en demi-finale. Je n’arrivais pas à m’en sortir », confie le joueur de l’ORTT. Cette fois, le poids du tournoi pèsera sur un autre.

L’esprit d’équipe

L’occasion peut-être de gagner le tableau pour aller en Nationale 1 au 2e tour du Critérium. Eddy Lisima y a déjà goûté et n’aurait pas peur de s’y frotter à nouveau.

Ce serait une belle réussite pour celui qui accorde, toutefois, plus d’importance à la compétition par équipes. Là encore, l’ORTT évolue en N2. La compétition a débuté par deux défaites mais l’ancien Carolo y trouve une saveur particulière.

« Il y a les encouragements, l’entraide, la convivialité. On y perdra sans doute avec la réforme du championnat qui prévoit des équipes de quatre joueurs et non plus six », confie-t-il. Cette nouvelle donne est prévue pour septembre 2013. En attendant, Eddy profite…

Ph.L.

***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121010e
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7467 du 08 au 14 octobre 2012.

----------

DISSOLUTION DE SOCIETE

SARL PLANET PIZZA
au capital de 1.000 €uros
Siège social : 10 avenue Président Kennedy51100 REIMS
R.C.S. Reims 524 058 492

Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 24/09/2012, les associés ont décidé la dissolution anticipée de ladite société. La société subsistera pour les besoins de la liquidation et jusqu’à la clôture de celle-ci.

M. Nordine BOURFII, demeurant 17 rue Alphonse Daudet - 51100 REIMS, est nommé liquidateur.

Le siège de la liquidation est fixé au domicile du liquidateur ci-dessus nommé.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

Pour avis et mention : M. BOURFII Nordine,

109494 Liquidateur.


----------

AVIS DIVERS : APPARTEMENTS

— Appartement de type III, d’environ 60 m2, situé au 21 rue Joliot Curie à REIMS, 3° étage, porte B -Classement énergétique "C" - 92.468 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III, d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie à REIMS, rez-chaussée, porte B Classement énergétique "C" - 92.468 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type IV, d’environ 90 m2, situé au 52 boulevard Président à REIMS, 4° étage, porte A Classement énergétique "C" 110.000 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).

Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.

109515

***********************************

Union121010d- Marne
Pays-de-France. Une brocante réussie

Barbara, Caroline et Cassandra, fidèles au poste, en compagnie de salah Byar, co-organisateur
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

 

 

Les associations « Et Croix-Rouge ? Comité des locataires de Pays-de-France » et « Point Rencontre » ont organisé leur 3e brocante toute la journée de dimanche dans l’espace délimité par la rue Joliot-Curie et de l’allée des Savoyards, avec l’accord du Foyer rémois.

Les organisateurs, Jean-Pierre Bauwens et Salah Byar, ont demandé une participation de 2 euros par mètre linéaire : « Les sommes perçues au cours de cette manifestation seront consacrées à la fête de Noël du secteur, connue sous le nom des « Bonbons de Marceaux ».

Sous un soleil encourageant, une quinzaine d’étals ont permis aux habitants, venus en famille, de faire de bonnes affaires.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

***********************************

Union121010c- Marne
Sport scolaire / Une journée sportive pour les collégiens

Outre l’haltérophilie, les élèves ont fait de la gym, du basket…
- Agrandir la photo

 

 

Le partenariat entre le Reims haltérophilie musculation et le collège François-Legros fonctionne bien. Les deux structures (l’une sportive et l’autre éducative) viennent d’organiser à l’intérieur du gymnase qui jouxte l’établissement d’enseignement une journée de promotion du sport scolaire.

« Le but est d’inviter les collégiens à pratiquer le sport dans le cadre de l’UNSS. Trois activités ont ainsi été proposées : la gym, le basket et l’athlétisme. Ces sports sont agrémentés par des olympiades ouvertes à la fois aux 6e et aux autres élèves volontaires du collège. C’est également un moment où l’on procède à une détection, et où les enfants s’adonnent à une activité de façon ludique et festive », a confié un des organisateurs.

Les meilleurs de chaque catégorie d’âge se sont vu offrir une licence au club et un t-shirt.

 

 

***********************************

Union121010b- Marne
Danse orientale Emotion et magie

 

 

Les cours de danse orientale ont repris dans les maisons de quartier de Ludoval, Billard, Clairmarais de Reims et à l’Escal de Witry-lès-Reims avec Houria Gauzelin.

Pour les enfants et les débutants, Houria propose une initiation « apprendre à exprimer ses émotions à travers la danse, développer les capacités expressives du corps ; apprendre des pas de base et mémoriser une chorégraphie simple ». Pour les mordues et les confirmées, Houria propose d’appréhender différents styles, du classique Raks Sharky égyptien au folklore baladi, en passant par le bollywood, le flamenco arabe, le fusion tribal… Une constellation de techniques et d’ambiances à découvrir.

Pratiquer la danse orientale accompagnée d’un professeur permet d’en découvrir les multiples facettes. « Loin du cliché réducteur de simple danse du ventre, elle permet l’évasion et est un chemin vers l’épanouissement personnel », explique Houria. A noter qu’Houria ouvre un nouveau cours adultes le dimanche matin et enfants le mercredi matin à l’espace Fin’Dance de Murigny. Et des cours adultes pop bollywood et tribal fusion le mercredi soir à la maison de quartier Billard.

Renseignements : maisons de quartier de Reims ou Compagnie les Orientales en couleurs, tél. 06.67.73.98.36. houria.reims@cegetel.net, www.houria.fr, facebook : Houria Gauzelin

 

 

***********************************

Union121010a- Marne
Roller hockey (N1) / Derby entre meilleurs « ennemis »

Laurent Lexcellent (entraîneur-joueur d’Epernay). Bernard SIVADE
- Agrandir la photo

 

Les Rapaces de Reims recevront les Sparnariders d’Epernay samedi soir.Au-delà de l’aspect sportif, le côté émotionnel présidera ces retrouvailles.

UN derby sent souvent (toujours ?) le soufre. Celui de samedi, qui opposera les Rémois du RHR, relégués de l’Elite, aux Sparnaciens des Sparnariders, promus de N2, ne dérogera pas à la règle.

Il faut dire que depuis deux saisons, les mouvements entre Reims et Epernay ont été nombreux. Dans l’effectif actuel des Sparnaciens, seul Gaël Jeanbourquin n’a pas évolué sous les couleurs du RHR. Pour quelles raisons cet exode d’une trentaine de kilomètres ? Incompatibilité d’humeur ? Envie de nouveaux horizons, de nouveaux challenges ?

Ce qui est sûr, c’est que le gymnase François-Legros, à Reims, s’apprête à vivre des moments forts en émotions sportives et humaines samedi soir. Car, tous ces jeunes gens se connaissent par cœur et nourrissent une ambition légitime. Tout le monde espère qu’ils sauront laisser les éventuelles rancœurs au vestiaire. Et qu’ils disputeront un match comme un autre. Ou presque.

Yves DOGUE

 

***********************************

Union121009d- Marne
Croix-du-Sud : concours de belote

Le prochain concours de belote de l’association Etoile Croix-du-Sud se déroulera le dimanche 14 octobre, dans la salle de réunion du 5, avenue Léon-Blum (Tramway, ligne B station Léon-Blum).

Le concours est ouvert à tous.

Les inscriptions se montent à 16 euros par équipe.

Ouverture des portes à 13 heures, début des jeux à 14 heures.

Le président Jean-Michel Gauthier précise : « il y aura des lots pour tous et en plus, une tombola ».

Renseignements auprès du secrétariat de l’association : tél. 03.26.06.56.66.

***********************************

Union121009c- Marne
Reims : pour deux doses d’héroïne

Deux Marnais de passage dans la cité des Sacres ont fini leur journée de samedi en garde à vue. Motif : tous deux avaient fait le déplacement dans le quartier Croix-Rouge pour s’approvisionner en héroïne. Après la transaction, ils ont été cueillis par les policiers aux alentours de 17 h 30, l’un d’eux en possession de deux bonbonnes de poudre, soit l’équivalent d’environ deux grammes. Âgé de 42 ans, ce dernier a reconnu au cours de sa garde à vue avoir acheté ses doses de stupéfiants dans le quartier, avant d’être remis en liberté. Il a écopé d’une composition pénale.

L’individu qui l’accompagnait, âgé de 30 ans, a quant à lui bénéficié d’un classement sans suite.

***********************************

Union121009b- Marne
Challenge Leroy à Reims

Cet après-midi et demain, les synthétiques du Creps et de Géo-André abriteront la poule 3 du Challenge Jean-Leroy.

La compétition est réservée aux sections sportives des lycées (souvent affiliées aux clubs pros). Ainsi à Reims, le lycée Colbert défiera Lambersart (lycée affilié au Losc), Le Quesnoy (section sportive de Picardie) et le lycée Condorcet de Lens (affilié aux Sang et Or).

Les premiers matches sont prévus à 15 h 30 (2 x 30 minutes). Le vainqueur de ce tournoi à quatre, où toutes les équipes s’affrontent, sera qualifié pour la phase finale nationale.

***********************************

Union121009a- Marne
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet : Aménagement des agences de Tinqueux (51430) et Croix du Sud à Reims (51100) Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de deux tranches et 15 lots : Tranche 1 : Tinqueux (360 m2)
- Lot 101 : GROS ŒUVRE
- Lot 102 : DOUBLAGE ISOLATION / CLOISONS / MENUISERIES EXTERIEURES / FAUX PLAFONDS
-  Lot 103 : ELECTRICITE / COURANTS FAIBLES / ECLAIRAGE
-  Lot 104 : VMC / CHAUFFAGE / RAFRAICHISSEMENT
-  Lot 105 : CARRELAGE / FAIENCE
-  Lot 106 : PEINTURE / SOLS SOUPLES
Visite obligatoire le jeudi 18 octobre 2012 de 9h à 11h, Place de l’Eglise à Tinqueux
Délai d’exécution Tinqueux : notification prévisionnelle le 13 novembre 2012 pour réception des travaux le 15 mars 2012

Tranche 2 : Croix du Sud (360 m2)
-  Lot 201 : FERMETURE / METALLERIE
-  Lot 202 : MENUISERIES INTERIEURES / PLATRERIE
-  Lot 203 : FAUX PLAFONDS
-  Lot 204 : PLOMBERIE / SANITAIRE
-  Lot 205 : CLIMATISATION / VMC
-  Lot 206 : ELECTRICITE / COURANT FAIBLE / ECLAIRAGE
-  Lot 207 : CARRELAGE / FAIENCE
-  Lot 208 : PEINTURE / TENTURES
-  Lot 209 : SOLS SOUPLES

Visite obligatoire le vendredi 19 octobre 2012 de 14h à 16h, Avenue du Général Bonaparte Croix du Sud à Reims

Délai d’exécution Croix du Sud : notification prévisionnelle le 16 novembre 2012 pour réception des travaux le 30 mars 2012

Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 26 Octobre 2012 avant 12 heures, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’Effort Rémois, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 9 octobre 2012 à 16 heures, auprès de :

Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, Référence du marché : SG-011012

Renseignements techniques :
Tinqueux : Cabinet Jacquet 03.26.47.84.63 / Socrel Mr Tourneur 03.26.05.92.50 / Sces Généraux Mr Debrin 03.26.05.92.38
Croix du Sud : Cabinet APO WUSTNER 03.26.47.69.01 / Sces Généraux Mr Debrin 03.26.05.92.38

Renseignements administratifs : Sce Marchés Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03.26.04.99.05

Date d’envoi du présent avis à la publication : le mercredi 3 octobre 2012 aux Journaux L’UNION ECO (Marne) et Matot Braine.

***********************************

Union121008d- Marne
Danse de salon à l’espace Watteau

Pour apprendre les danses de base qui se pratiquent à deux.
- Agrandir la photo

 

 

L’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge propose un nouvel atelier pour les adultes, hommes et femmes : la danse de salon.

Cette activité se déroule les vendredis de 10 à 11 heures pour les débutants et les mardis de 18 h 30 à 19 h 30 pour les danseurs confirmés.

Au programme : valse, cha-cha-cha, tango, rumba…, dans une ambiance conviviale et détendue.

Renseignements et inscriptions : Espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, 3, allée Antoine-Watteau. Tél. 03.26.36.03.50.

 

 

***********************************

Union121008c- Marne
Forum des métiers et des formations à I’IRTS

Ayant pour but de valoriser les différents métiers du social et les formations ad hoc, le 19e forum des métiers et des formations du social aura lieu le vendredi 19 octobre de 10à 17 heures à l’Institut régional du travail social de Champagne-Ardenne, 8, rue Joliot-Curie.

Cette journée est ouverte aux lycéens (toutes filières), étudiants, enseignants professionnels, professionnels de l’orientation, salariés en reconversion mais aussi aux professionnels du secteur social en phase de construction de leur projet de formation continue.

Cette journée sera organisée autour d’espaces de rencontres et d’échanges déclinés par secteurs d’activité : éducation spécialisée, service social, aide à domicile, petite enfance, animation, encadre-ment, expertise, perfectionnement professionnel.

De nombreux acteurs de l’action sociale du conseil régional à la Maif en passant par la protection judiciaire de l’enfance, l’Udaf, la chambre régionale d’économie sociale etc. seront aussi présents. Pour en savoir plus : http://www.irts-ca.fr/com/forum2012.html ou Tél. 03.26.06.82.66 ou 03.26.06.82.32 ou 03.26.06.82.69.

***********************************

Union121008b- Marne
Détente à Croix-du-Sud

L’activité « Les après-midi de Croix-du-Sud » (belote - tarots jeux de dames…) a repris le jeudi à 13 h 30 dans les locaux associatifs de l’Étoile Croix-du-Sud du 5, avenue Léon-Blum.

Adhésion : 8 euros pour l’année.

Pour plus de renseignements, s’adresser à Jean-Michel Gauthier au secrétariat au 03.26.06.56.66.

***********************************

Union121008a- Marne
Les étourneaux signent leur retour

« Les platanes servent de nichoirs à des milliers d’oiseaux, il y a des fientes partout », explique une riveraine.
- Agrandir la photo
Comme chaque année, les étourneaux marquent bruyamment leur retour en ville.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Tous les ans ou presque, cette période est synonyme de galère pour de nombreux riverains. Notamment ceux de la rue Poincaré. Focus.

POUR les habitants de la rue Poincaré, dans le quartier Orgeval, le mois d’octobre résonne depuis plusieurs années comme une période difficile. Les premiers froids ? Pas directement. Mais cette baisse des températures a des conséquences sur les oiseaux, les étourneaux en particulier. En effet, lorsque le mercure chute, ces petits passereaux ont tendance à se regrouper pour se préparer ensemble au ballet de leur migration. Sauf que, lorsque des milliers de spécimens élisent domicile sous vos fenêtres, les dégâts ne tardent pas à apparaître.

Lumières de la ville

« Les platanes servent purement et simplement de nichoirs à des milliers d’oiseaux. On ne peut plus ouvrir les fenêtres tant l’odeur des fientes est pestilentielle par moments. Les carrosseries des voitures sont littéralement oxydées. Rue Poincaré, on survit. Nos balcons sont recouverts de fientes, comme les trottoirs. Et on prie pour ne pas s’en prendre sur la tête lorsque l’on rentre chez nous », tempête Sandra, riveraine depuis un peu plus d’un an.

Pas fous, ces sansonnets, attirés par la lumière et surtout la chaleur qui règne dans les villes, ils ne se font pas prier, le soir venu, pour rejoindre les rues de nos cités. Ajoutez à cela un régime alimentaire où le raisin prend une grande place et dont les conséquences sont désastreuses.

Résultat : chaque année, les services municipaux sont débordés par les appels des riverains, la situation se dégradant avec le temps. Et encore, selon les naturalistes, le gros des troupes n’a pas encore pris ses quartiers dans nos arbres et sous nos toits !

Certains habitants de la rue Poincaré ou encore du boulevard Carteret ne comprennent pas pourquoi a Ville ne fait pas le choix d’élaguer de manière plus conséquente les arbres. En tout cas, comme chaque année, il va falloir être vigilant pour garder sa voiture ou son blouson immaculés.

Th.D.

« Nous n’avons pas encore reçu de plaintes »

Difficile d’intervenir quand aucun habitant n’a fait appel aux services municipaux. C’est ce qu’a déclaré l’adjointe en charge notamment de ce dossier « étourneaux », Mireille Wojnarowski.

« Nous n’avons pas encore reçu de plaintes. Mais il est certain qu’il y en aura dans les jours à venir. L’année dernière, nous avions observé de fortes colonies d’oiseaux sur les secteurs de Murigny et de Croix-Rouge. Cependant, la Ville est tout à fait prête à agir même si nous préférerions que nos interventions débutent une fois le passage à l’heure d’hiver effectuée (le 28 octobre, ndlr). Pourquoi ? Tout simplement parce que nous intervenons avec des pistolets effaroucheurs et des sirènes à la tombée de la nuit au moment où les étourneaux se concentrent. Avant le passage à l’heure d’hiver, les bruits provoqués par nos interventions peuvent déranger les enfants. » L’élue précise toutefois que ces interventions ne servent, la plupart du temps et « malheureusement », qu’à déplacer le problème vers d’autres quartiers.

***********************************

Union121006a- Marne
Reims : feux de voitures

REIMS (Marne). Dans la nuit de jeudi à vendredi, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus rue François-Mauriac dans le quartier Croix-Rouge pour éteindre un véhicule en stationnement qui était en flammes.

Ils se sont rendus ce matin vers 5 heures, sur le parking de l’hôpital Robert-Debré où un incendie s’était déclaré sur un véhicule.

Les deux sinistres ont été maîtrisés au moyen d’une petite lance.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 275 - 121005c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 275 - Semaine du 05 au 11 octobre 2012

----------

Du Bistroquet à l’Assos’Café

Pour Eric Quénard, il était important de conserver un café associatif au coeur du quartier Croix-Rouge. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

Huit mois après la fermeture du café associatif, consécutive aux problèmes financiers de l’association 2 Mains qui le gérait, un nouvel établissement du même type devrait ouvrir ses portes au même endroit le mois prochain.

Il n’avait pas fallu longtemps pour que le Bistroquet devienne, pour les habitants de Croix-du-Sud et de tout Croix-Rouge, un véritable lieu encourageant le lien social de proximité et l’intergénérationnalité. Aussi, c’est une entité à part entière du quartier qui manquait depuis sa disparition en février dernier, et qui ne pouvait être remplacée que par un projet du même type.

C’est chose faite avec l’arrivée prochaine de l’Assos’Café, du nom de l’association portant ce nouveau projet de café associatif qui devrait prendre ses quartiers dans le local de Plurial-l’Effort Rémois (qui mettra à disposition le mobilier existant servant au fonctionnement du café), là-même où se trouvait le Bistroquet. « L’association nous a officiellement fait une demande de subventions, de 12 000 euros, que nous avons acceptée », souligne Eric Quénard, Premier adjoint à la maire de Reims. Le futur café se veut avant tout être une initiative ouverte aux habitants du quartier et plus largement aux Rémois. « Pour ne pas voir pérécliter ce projet, nous avons mis sur pied un comité des financeurs pour suivre le dossier, avec Plurial donc, et l’Etat qui soutient aussi le projet. » Dans cet espace de 35 m2 environ sont prévus la vente de boissons non alcoolisées et un service de petite restauration (le midi pour le moment). En outre, des actions solidaires et citoyennes seront menées dans le lieu, ainsi que des temps d’animation à différents moments de la journée (mini-concerts, ateliers artistiques, organisation de lotos, soirées dansantes…). Afin de mettre en oeuvre et mener à bien le projet, il est prévu le recrutement de quatre à cinq personnes, notamment un cuisinier, un aide-cuisinier et un adulte-relais responsable.

Avec une ouverture programmée à la mi-novembre au 5, avenue Léon Blum, l’Assos’Café devrait à terme déménager en 2013/14 pour s’installer sur la future place Rodin.

Aymeric Henniaux


----------

Une nouvelle salle municipale en 2015

La nouvelle salle sera placée en face de la station tram, à côté de l’actuel parking. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

C’est acté, la rénovation urbaine se poursuivra dans le quartier avec la construction d’un futur équipement public multi-espaces à Pays-de-France, qui prendra place en face du lycée Arago.

Croix-Rouge n’a décidément pas fini de se transformer. Après les nouveaux logements, les nouvelles cellules commerciales et les créations de rues, c’est un nouvel équipement public qui devrait voir le jour au coeur du quartier, le long de l’avenue Bonaparte. D’une superficie d’environ 1 500 m2, cette nouvelle construction devrait s’articuler sur deux niveaux, un sous-sol et un rez-de-chaussée, avec toiture végétalisée et labellisation BBC (Bâtiment Basse Consommation). Pour Eric Quénard, Premier adjoint à la maire de Reims en charge du dossier, « cet équipement s’inscrit dans une politique générale de la Ville, visant à développer les lieux/pôles de centralité dans les quartiers, à l’image de la Friche d’Orgeval ou de la délocalisation programmée du Planétarium à Wilson ». Car il paraît en effet essentiel pour l’élu « que tout ne se passe pas au centre-ville, mais qu’au contraire chaque quartier ait ses propres infrastructures ». Après toute une série de concertations en 2009, un pré-programme en 2010 et des études complémentaires l’an passé, l’année 2012 aura été celle du choix du cabinet d’architectes retenu pour ce marché, en l’occurrence Jean-Philippe Thomas Architectes. « On espère pouvoir poser la première pierre fin 2013/début 2014, pour une livraison à l’automne 2015 », précise l’adjoint.

Mais alors que comprendra ce nouvel équipement, dont le financement total est estimé à plus de six millions d’euros ? Parmi les différents espaces du lieu, une salle modulable réservée aux spectacles est prévue, d’une capacité de 100 places assises et 300 places debout, ainsi qu’un espace bar et petite restauration. En outre, un espace dédié spécifiquement aux musiques amplifiées devrait lui aussi trouver sa place. Il comprendra notamment des salles de répétition et un studio d’enregistrement à destination des groupes locaux. Par ailleurs, le nouvel équipement comportera un espace dédié à l’animation globale dans lequel se trouvera par exemple une halte-garderie pour les moins de six ans. « C’est l’activité petite enfance de Watteau, de Croix-du-Sud qui sera déplacée là », clarifie Eric Quénard. Enfin, et afin de dynamiser la vie du quartier, un espace Incubateur d’associations fera son apparition. Celui-ci devrait être géré par les responsables de la maison de la vie associative qui proposeront conseils et soutien aux acteurs locaux désireux de mener à bien des initiatives. Quant à la salle de sport, longtemps demandée par certains habitants, elle ne figurera finalement pas dans les plans de l’équipement ; Eric Quénard précisant toutefois « qu’un terrain mitoyen que le Foyer Rémois devrait très probablement laisser à la Ville, pourrait tout à fait convenir à l’implantation d’une aire de jeu en libre accès ».

A noter que c’est à la fin du mois d’octobre, début novembre au plus tard, que la municipalité devrait officiellement présenter les plans et visuels de ce futur équipement. De quoi permettre aux habitants du quartier de prendre connaissance des prochaines étapes qui les attendent dans ce vaste chantier de rénovation urbaine.

Aymeric Henniaux

***********************************

Union121005c- Marne
Feu de cuisine

Mercredi vers 22 heures, un feu de gazinière provoqué par de l’huile bouillante s’est déclaré dans la cuisine d’un couple de locataires rue Marie-Laurencin, près de la place Jean-Fragonard. Alerté, un voisin a éteint l’incendie avec un extincteur.

Le couple a été légèrement incommodé. L’une des personnes souffre également de légères brûlures aux mains et aux jambes.

***********************************

Union121005b- Marne
Départ

La société à responsabilité limitée Top Transports a décidé de transférer le siège social du 18, rue de Rilly-la-Montagne au 34, esplanade Ernest-Hemingway à Reims.

***********************************

Union121005a- Marne
Reims : caillassage au printemps, condamnation en automne

Et de quatre ! Survenu le 3 juin dans le quartier Croix-Rouge à Reims, un caillassage n’en finit plus de jouer les prolongations judiciaires avec l’interpellation d’une quatrième personne impliquée dans l’échauffourée. Elle avait été identifiée le jour même, mais les policiers ne l’ont interpellée que mardi après-midi, lors d’un contrôle dans le quartier.

Ce 3 juin vers 20 h 30, de passage avenue Bonaparte, la brigade anticriminalité repère un jeune homme de 22 ans recherché pour purger une peine de prison ferme. S’opposant à son arrestation, il appelle ses camarades à l’aide. Une vingtaine d’individus surgissent alors de tous côtés pour tenter de le libérer. Des pierres sont jetées, un policier légèrement blessé à la tête, le véhicule de service cabossé.

Pour se dégager avec son prisonnier, la patrouille fait usage des tonfas (« bâtons de défense ») puis d’une bombe lacrymogène et enfin du Flash-Ball, avec lequel elle tire à trois reprises. Débandade générale, mais les fonctionnaires ont eu le temps de reconnaître quelques visages.

Trois sur quatre en prison

Jugé en comparution immédiate, celui par qui l’émeute a éclaté est le premier à être condamné : huit mois de prison ferme, la même peine sanctionnant un ami de 19 ans reconnu coupable d’avoir jeté une pierre.

Début juillet, les enquêteurs mettent la main sur un troisième larron de 23 ans accusé d’avoir tenté de libérer son camarade en le tirant par le bras. Comme les précédents prévenus, il conteste les faits mais se prend quand même quatre mois de prison ferme.

Un quatrième suspect figurait sur la liste. Il ne pensait pas être inquiété, plusieurs policiers l’ayant déjà croisé dans le quartier sans rien lui demander. Sauf que mardi après-midi, à la suite d’un contrôle d’identité avenue François-Mauriac, ce jeune homme de 20 ans fut invité à suivre la patrouille pour apprendre au commissariat qu’on lui reprochait un jet de pierre sur le capot de la voiture de police lors des événements du 3 juin.

Le garçon n’a pas dérogé à la règle en contestant les faits, mais lui a eu plus de chance que ses trois camarades. Jugé hier après-midi en comparution immédiate, il est ressorti libre du tribunal après avoir été condamné à un travail d’intérêt général de 70 heures.

D’après le parquet, il s’agit de la quatrième et dernière personne identifiée lors du caillassage. Il faut dire que la plupart des individus, avant de tomber à bras raccourcis sur les policiers, avaient pris soin de se masquer le visage avec cols et capuches.

F.C.

***********************************

Union121004c- Marne
GREFFE DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE REIMS

Dossier n° 10/01988

Par jugement en date du 11 septembre 2012, le tribunal de Grande Instance de Reims, a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif des opérations de la liquidation judiciaire de : association AIDE FAMILIALE A DOMICILE DE LA MARNE (A.F.A.D.) 4, place Rodin, 51100 Reims, prise en la personne de son président Monsieur Christian BADER, demeurant 18, boulevard Robespierre, 51100 Reims.
A ordonné la publicité dudit jugement.
Pour extrait.
Fait à Reims, le 28 septembre 2012,
le greffier.

***********************************

Union121004b- Marne
Diplômes à François-Legros

Lundi 8 octobre à 17 h 45 dans la salle des conseils du collège François-Legros les anciens élèves de 3e seront mis à l’honneur par une remise officielle des diplômes du Brevet.

Une première signature pour une première réussite.

Élèves et parents sont naturellement attendus pour cette courte mais importante cérémonie. En cas de contradiction avec les horaires des lycées touchés par cet événement les proviseurs de ces nouveaux élèves de Seconde sont invités à libérer ces derniers pour qu’ils retrouvent un instant leur ancien collège.

***********************************

Union121004a- Marne
Il tente de voler la caisse sous la menace d’un couteau

Il tente de voler la caisse sous la menace d’un couteau
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). La tentative de braquage s’est déroulée au magasin Dia avenue d’Épernay.

Mardi soir, un homme a braqué au couteau l’employée d’un magasin discount pour se faire remettre la caisse. Il est reparti bredouille.

Il a tenté, il a échoué. Mardi vers 17 h 30, un homme, dont l’allure générale faisait penser à un SDF, s’est essayé au vol à main armée dans un magasin de l’enseigne discount Dia, avenue d’Épernay à Reims.

Agé de 20 à 30 ans, le malfaiteur a opéré à visage découvert. Se mêlant à la clientèle, il a fait mine d’acheter un paquet de chewing-gums pour justifier sa venue aux caisses. Il a d’abord laissé passer des personnes devant lui, peut-être pour attendre de se retrouver seul avec la caissière, mais d’autres clients continuaient d’arriver. Aussi n’a-t-il plus tergiversé. Quelqu’un l’a entendu murmurer : « Ce que je vais faire ne va pas plaire ».

Drogue et alcool ?

Lorsque son tour est arrivé, l’individu a sorti de sa poche ou de sa manche un couteau de cuisine qu’il a pointé vers l’employée en réclamant la caisse. La peur a paralysée cette dernière. Hors d’état de répondre aux sommations de l’agresseur, elle a cependant pu actionner l’alarme installée à portée de main

« Je me trouvais dans les rayons lorsque la sonnerie a retenti », raconte le responsable du magasin. « Nous sommes allés aux caisses mais le gars était déjà reparti. Le temps que je sorte, il avait disparu. Il s’est peut-être faufilé entre les voitures. J’ai couru une vingtaine de mètres avenue d’Épernay, là où on m’a dit qu’il s’était enfui, avant de renoncer. »

D’après certains témoignages recueillis par la police, le malfaiteur aurait disparu à pied en direction du quartier Croix-Rouge, par l’avenue Eisenhower. Il n’a rien volé, laissant sur le tapis roulant le paquet de chewing-gums saisi par les enquêteurs aux fins de prélèvements papillaires et ADN.

Si elle n’a pas été frappée, la caissière a subi un gros choc psychologique nécessitant un arrêt de travail. Son agresseur a-t-il agi dans un état normal ? Les témoins de la scène en doutent, le responsable du magasin aussi. « J’ai regardé les images de la vidéosurveillance. Il n’a pas l’air bien. On dirait qu’il est shooté ou alcoolisé, peut-être les deux. » Il fallait bien ça pour opérer à visage découvert devant tout le monde.

Ce braquage est le premier déploré au discount de l’avenue d’Épernay depuis mars 2009 (il s’agissait alors de l’enseigne Ed). Sous la menace d’un pistolet, l’auteur avait raflé 60 €… avant de se faire prendre quelques heures plus tard et d’être condamné en comparution immédiate à quatre ans de prison ferme pour ce vol à main armée et un autre commis quatre jours plus tôt au Lidl du boulevard Carteret.

F.C.

***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121003c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7466 du 01 au 07 octobre 2012.

----------

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seings privés en date du 24 septembre 2012 à REIMS, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION : MARNE CONSTRUCTIONS.
SIEGE SOCIAL : REIMS (51), 10 rue Lucien Doyen.
OBJET : Tous travaux de batiment, neuf et rénovation.
DUREE : 99 années à compter de son immatriculation.
MONTANT CAPITAL : 2.000 €.
GERANCE : Monsieur KARAKUS Ukap, demeurant 10 rue Lucien Doyen 51100 REIMS.
IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
Pour avis : Le représentant légal,
109157
M. KARAKUS Ukap

----------

AVIS DIVERS

— Appartement de type IV d’environ 81 m2, situé au 9 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 1° étage, porte B - Classement énergétique "D" - 41.600 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type I bis d’environ 30 m2, situé au 7 allée Yves Gandon à REIMS, 2° étage, porte B Classement énergétique "D"- 56.090 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type I bis d’environ 30 m2, situé au 9 allée Yves Gandon à REIMS, 4° étage, porte B Classement énergétique "D"- 56.090 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 7 allée Yves Gandon à REIMS, 3° ét pte C Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 7 allée Yves Gandon à REIMS, 2° ét pàte A Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 11 place Toulouse Lautrec à REIMS, 3° étage, porte C - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 15 place Toulouse Lautrec à REIMS, 2° étage, porte A - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 15 place Toulouse Lautrec à REIMS, 3° étage, porte A - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 17 place Toulouse Lautrec à REIMS, 1° étage, porte C - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé au 9 place Toulouse Lautrec à REIMS, 1° étage, porte A - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type V Duplex d’environ 98 m2, situé au 13 rue Miguel de Cervantès à REIMS, rez-de-chaussée - Classement énergétique "D" - 171.751 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ 64 m2, situé au 5 rue Benjamin Franklin à REIMS, La Neuvillette, 3° étage, porte B Classement énergétique "D"- 98.880 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 74 m2, situé au 5 rue Benjamin Franklin à REIMS, La Neuvillette, 2° ét., porte A 7 Classement énergétique "D" 114.330 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS). Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37. 109INSE

***********************************

Union121003b- Marne
Badminton : la saison Ufolep est prête

Des récompenses ont été décernées pour la saison passée.
- Agrandir la photo

 

 

Si la pratique du badminton en Ufolep revêt un fort caractère de loisir avec ses quelques 400 pratiquants dans la Marne, elle n’est pas dénuée d’enjeux compétitifs : le comité départemental a récemment convié les clubs désirant structurer leur pratique via l’organisation d’un championnat départemental. La saison débutera juste après les vacances de Toussaint, et dès le 18 novembre, l’équipe de Muizon renouvelle sa proposition de tournoi de début de saison. Si l’aspect compétitif demeure, elle annonce aussi renforcer cette année son côté convivial. L’ensemble des équipes confirme sa volonté de soutenir et d’encourager la pratique féminine du badminton, notamment par l’attribution de points de bonus pour les équipes comportant au moins une femme.

Renseignements : Comité départemental Ufolep 51, tél. 03.26.84.32.26. Site www./ufolep51.org Courriel : ufolep51@wanadoo.fr

 

 

***********************************

Union121003a- Marne
Capoeira : un art martial à découvrir

Venant du Brésil, la capoeira mêle à la fois le folklore et la culture de ce pays.
- Agrandir la photo

 

L’Association sportive de capoeira à Reims innove. Cette année, les cours enfants (mardi de 18 h 30 à 20 heures) et les cours adultes (mardi de 20 à 22 heures) auront lieu au même endroit, c’est-à-dire à l’école Carteret. Une séance supplémentaire est prévue le jeudi de 20 à 22 heures à Géo-André. « Ce changement est intervenu afin de faciliter l’entraînement de ces deux groupes. Avant, les adultes étaient à la Maison de la vie associative. Maintenant ce ne sera plus le cas », explique Romain Coyard, entraîneur.

L’enseignement, une nouvelle fois, sera dispensé par le professeur Nô et ses élèves gradés. « La capoeira est un art martial du Brésil ; il mêle à la fois le folklore et la culture de ce pays. C’est un sport dans lequel on apprend à donner des coups de pied, à esquisser des pas et à contre-attaquer l’adversaire. Il apporte une souplesse, un équilibre ainsi qu’une grande maîtrise de soi », soutient Romain Coyard.

Une démonstration aura lieu le samedi 6 octobre au Parc de Champagne pour la fête du sport étudiant.

 

***********************************

Union121002a- Marne
Tennis (Saint-Memmie) / Betbeze et Jarles en favoris

Le sociétaire du TC Reims est venu à bout de Romain Cabrillon (Saint-Dizier).
- Agrandir la photo

Limitée à 2/6, la 5e édition du tournoi du TC Saint-Memmie a délivré dimanche un palmarès conforme à la logique puisque les favoris se sont imposés.

Ainsi, dans un tableau masculin marqué par le superbe parcours du 15 de Géo-André Mikolaj Woynar (cinq tours passés avec plusieurs « perfs » dont une à 4/6), la finale a opposé les deux têtes de série à 2/6, à savoir Vincent Betbeze (TC Reims) et Romain Cabrillon (Saint-Dizier).

Et, au terme de 2 h 30 d’efforts intenses, le pensionnaire de la Rue Lagrive a pris le meilleur, en trois sets (6-3, 3-6, 6-4), sur un Bragard décidément pas en réussite sur les courts mengeots puisque déjà battu en finale l’an passé.

Du côté des dames, la tête de série n° 1 Fanny Jarles (3/6, Saint Dizier) a fait respecter la hiérarchie en dominant logiquement la n° 2 Amélie Zarev (4/6, Reims Europe Club) sur le score de 6-3, 6-3.

MESSIEURS

Quarts de finale : Gilles (3/6, TC Reims) bat Henry (5/6, Géo-André) 6-1, 7-6 ; Woynar (15, Géo-André) bat Masson (4/6, Saint-Memmie) 7-6, 2-6, 6-3.

Demi-finales : Cabrillon (2/6, Saint-Dizier) bat Gilles 6-1, 6-3 ; Betbeze (2/6, TC Reims) bat Woynar 6-4, 6-1.

Finale : Betbeze bat Cabrillon 6-3, 3-6, 6-4.

DAMES

Quarts de finale : Alice Grillon (15, Saint-Memmie) bat Claire Sandre (15/2, TC Reims) 6-0, 6-2 ; Flora Calcagno (5/6, Montmirail) bat Mélissa Noizet (15/2, Cormontreuil) 6-2, 6-1.

Demi-finales : Amélie Zarev (4/6, Reims Europe Club) bat Alice Grillon 6-3, 6-0 ; Fanny Jarles (3/6, Saint-Dizier) bat Flora Calcagno 6-2, 6-2.

Finale : Fanny Jarles bat Amélie Zarev 6-3, 6-3.

***********************************

Union120930a- Marne
Conseil municipal : les bons plans du saupoudrage associatif

Conseil municipal de Reims, toujours, des dizaines de milliers d’euros de subventions ont été distribuées à tout un tas d’associations, évidemment utiles, mais dont certaines semblent bénéficier de facilités un peu surprenantes. Ainsi, il apparaît, au fil des questions posées par l’opposition menée par Mme Vautrin, et des réponses fournies par Eric Quénard, que lorsqu’une association est particulièrement mal gérée, que l’argent public qui lui est délivré se retrouve absorbé sans justification sérieuse de ce qu’il a servi à financer les actions prévues par l’objet associatif, eh bien, ce n’est pas grave. Ainsi, l’association « Deux mains » qui servait de tuteur au Bistroquet (Croix Rouge), s’est-elle plantée, embarquant avec elle 50 emplois aidés qui ne l’ont pas été tant que ça ! Pour pallier la disparition du fameux Bistroquet, Eric Quénard suscite l’ouverture d’un café associatif, et le financement de « l’Assos’Café » à hauteur de 12.000 euros pour le budget 2012. De fait, pour le dernier trimestre 2012. Et pour hâter le mouvement - ouverture nécessaire en novembre - demande incontinent le versement à la nouvelle association de 80 % de sa subvention annuelle, sans condition, ni objectifs ; donc sans possibilité de contrôle réel de l’emploi de ce financement.

Interpellé sur ce risque renouvelé suite au crash de l’association « Deux mains », Eric Quénard a expliqué qu’il y aurait une convention, à partir de 2013, et des réunions de partenaires au moins une fois par an… Draconien !

Le même problème est soulevé avec le financement de l’Association des travailleurs maghrébins de France-Marne, créditée de 7.000 euros, dont la mairie est le seul financeur. L’opposition a souligné que la précédente municipalité avait été contrainte de cesser l’aide à cette association qui ne rendait pas compte de l’utilisation des subventions qui lui étaient attribuées. Eric Quénard a convenu de la réalité du problème et pieusement expliqué qu’à l’avenir elle bénéficierait du dispositif local d’accompagnement pour monter des budgets financiers. Cette association donnerait dans l’alphabétisation, l’aide aux étrangers, sans oublier de nombreuses fêtes sur Croix Rouge. Il a oublié de rappeler que cette même association s’était associée, début 2010, aux côtés du conseiller Ali Aissaoui (chargé de centraliser les contacts et l’information des médias locaux pour l’organisation d’une conférence de presse), à l’organisation sur Reims de l’événement - sans doute culturel - 24 Heures sans Immigrés, avec le Collectif antifasciste, et l’Association France Palestine Solidarité. L’objet du comité rémois : « La stratégie consiste donc au vu des prochaines échéances électorales de faire pression sur les têtes de liste pour qu’ils se déterminent politiquement dans ce débat sur la politique de l’immigration, l’entrée et le séjour des étrangers, les sans-papiers… » Mais il n’y avait strictement rien de politique dans tout ça, juste une démarche de bonnes « relations avec les quartiers », l’intitulé du chapitre donnant droit aux subventions municipales. Or donc, M. Quénard, 1er adjoint, a expliqué que pour éviter tout problème de fonds, il faudrait professionnaliser l’association.

Le même esprit prévaut dans le discours tenu par ailleurs à l’endroit du « collectif libertaire » qui squatte une maison au 4 rue de la Cerisaie, incité à se constituer en association par les « cultureux » rémois, quand Reims Métropole cherche à l’expulser. Las, explique Arnaud Robinet, quand bien même le collectif passe sous loi 1901, la maison qu’il occupe sous prétexte d’en faire un centre social autogéré se mue en Etablissement recevant du public (ERP) ce qui implique d’importants travaux de mise aux normes ; et pour Reims Métropole, le devoir de supporter transfert la responsabilité pénale qui va avec, en cas d’accident. Fait plaisant c’est Mme Hazan qui est concernée tant par Reims Métropole qu’au titre de la ville… Enfin, régulariser de la sorte un squat porte en soi un drôle de sens, car cela signifie quelque part que le droit de propriété est désormais nul et non avenu.

Et si on squattait l’hôtel de ville de Reims, ce serait cool, non ?


Commentaires

Navigation

Articles de la rubrique