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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mars 2013.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010, août 2010, septembre 2010, octobre 2010, novembre 2010, décembre 2010, janvier 2011, février 2011, mars 2011, avril 2011, mai 2011, juin 2011, juillet 2011. août 2011, septembre 2011, octobre 2011, novembre 2011, décembre 2011, janvier 2012, février 2012, mars 2012, juin 2012, juillet 2012, août 2012, septembre 2012, octobre 2012, novembre 2012, décembre 2012, janvier 2013, février 2013.

 

 


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L’hebdo du vendredi- N° 298- 130315c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 298 - Semaine du 29 mars au 4 avril 2013


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« Cultures en fête » sur le campus Croix-Rouge


Jeudi 4 avril, les étudiants rémois ont rendez-vous sur le campus Croix-Rouge pour la 4e édition de « Cultures en fête ».

Cet événement, organisé par le Service des Relations Internationales et le Bureau de la Vie Étudiante de l’Université de Reims Champagne- Ardenne en partenariat avec le CROUS, a pour objectif de promouvoir les échanges inter culturels et de sensibiliser les étudiants et les Rémois à la découverte d’autres pays.

A cette occasion, de 14h à 18h30, les étudiants pourront découvrir les jeux et ateliers animés par les associations et étudiants internationaux et déguster des plats typiques.

A partir de 19h, un spectacle burlesque de théâtre et de jonglage ainsi que la fanfare « Nous on attend Pauline » animeront la deuxième partie de cette journée autour des cultures du monde.

Entrée gratuite et ouverte à tous, de 14h à 22h (Tram A et B).

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Union130329b- Marne
Aventure Boccia : Un premier challenge plein d’espoir

Le podium de BC3.
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Créé en février 2011, le club « Aventure Boccia » propose deux entraînements par semaine à ce sport réservé aux personnes handicapées au complexe Géo-André (Croix-Rouge). Neuf joueurs, des différentes catégories (BC1, BC2 et BC3) participent régulièrement à ces séances dirigées par Sébastien Plawecki, mais aussi à de nombreuses compétitions, tel le championnat de France.

Toutefois, ce dernier, prévu en mars, a été reporté en octobre à Hyères. Aussi, c’est pour pallier à ce report que la présidente du club rémois, Céline Bourichon et son équipe, ont décidé d’organiser, le week-end dernier, le premier challenge « Aventure Boccia », une compétition de boccia sous la tutelle de la fédération française handisport et sport paralympique regroupant des joueurs du groupe France et du nord-est de la France des trois catégories. « L’occasion de créer une rencontre permettant aux Rémois de se confronter aux meilleurs joueurs français ».

Trente-trois jeunes se sont ainsi retrouvés dans la salle du Creps. Ils venaient du Nord/Pas-de-Calais, Hyères, Richebourg et Saint-Jean-de-Malte (région parisienne), Rennes, Nancy, Mont-Saint-Martin, Reims Handisport et, bien entendu Aventure Boccia.

A l’issue de ce tournoi, Céline Bourichon disait sa satisfaction du bon déroulement « malgré le froid du gymnase du Creps ». La présidente se félicitait également « d’avoir reçu le soutien moral de Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film « Intouchables » et ancien patron de Pommery » avant de procéder à la remise des récompenses. « Nous espérons pouvoir recommencer une prochaine fois ».

Les résultats

Catégorie BC1. - 1. Anthony Bascour (Richebourg), 2. Mathieu Jur (Cambrai), 3. Guillaume Jumeau (Saint-Jean-de-Malte), 4. Sébastien Hubert (Mont-Saint-Martin).

BC2. - 1. David Lemonique (Rennes), 2. Damien Thibout (Richebourg), 3. Jennifer Ledoux (Cambrai), 4. Evie Pruvost (Aventure Boccia).

BC3. - 1. Ali Zakafi (Cambrai), 2. Maxime Ferry (Ludres), 3. Hakim Cheniour (Richebourg), 4. Olivier Munch (Ludres.

www.aventure-boccia.fr

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Union130329a- Marne
Haltérophilie (CdF des clubs) / Le rêve du Reims HM

Frédéric Chauvat.
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Kimberley Poiret.
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L’entraîneur David Baechler et ses filles sont ambitieux.
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Organisateur des finales de la Coupe de France des clubs, le Reims HM sera concerné à plus d’un titre. Le club du président Claude Baechler voudra justifier la confiance de la Fédé. Mais, il voudra aussi s’illustrer sur ses plateaux du gymnase François-Legros.

Car, le RHM a réussi à qualifier deux équipes pour cette finale. Les demoiselles (Kimberley Poiret, Pauline Naels, Olympe Da Rocha) tenteront de tirer leur épingle du jeu en cadettes/juniors et de repousser les velléités de leurs suivantes, les Nordistes de Comines.

Leurs petits camarades (les juniors garçons Ludwig Colombo, Frédérick Chauvat, Anthony Villette) viseront un peu plus haut. Leur relative contre-performance en demi-finale ne doit pas faire oublier leur potentiel.

Même sans Florentin Ducourty, blessé au genou à l’entraînement), et avec l’apport du cadet Anthony Villette (pas loin de la série nationale), ils peuvent envisager une place sur le podium.

Y.D.

DEMAIN. — Gymnase François-Legros, -12 heures : minimes mixtes et minimes garçons ; -15 heures : cadettes-juniors filles et féminines Open ; -17 h 30 : cadets et juniors garçons.

 

 

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Union130328e- Marne
Semaine de la petite enfance Croix-Rouge à l’heure des petits

La Semaine de la petite enfance se déroule cette année dans trois structures : l’espace Billard, l’espace Pays de France et l’espace Watteau à destination des parents d’enfants de 0 à 6 ans, du mercredi 3 au mercredi 10 avril.

De nombreux ateliers sont prévus pour ponctuer cette semaine dédiée à la petite enfance.

Mercredi 3 avril, de 14 à 16 heures, café-débat à l’espace Billard sur le thème « Parents solos : nos pistes pour alléger le quotidien » par l’association « Couple et Familles ».

Jeudi 4 avril, de 9 à 11 heures, atelier couture pour bébés, à l’espace Pays-de-France. De 14 à 16 heures, « découverte du livre pour les tout petits » à l’espace Billard, par la médiathèque Croix-Rouge.

Vendredi 5 avril, de 9 à 11 heures, atelier cuisine : préparation de petits pots pour bébés et conseils nutritionnels à l’espace Billard. De 14 à 16 heures, rencontre autour de l’allaitement et du biberon à l’espace Watteau, par l’association « Planète Parents ».

Samedi 6 avril, de 10 à 17 heures, une bourse de puériculture est organisée à l’Espace Billard de 10 à 17 heures : « Si vous êtes intéressé pour vendre ou acheter des vêtements de bébé ou d’enfant, des jouets ou du matériel de puériculture, réservez votre emplacement rapidement. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au vendredi 29 mars au prix de 5 ? la table » annoncent les animatrices.
Par ailleurs, de 14 à 17 heures, initiation au portage de bébés, à l’espace Billard.

Lundi 8 avril, de 9 à 11 heures, trucs et astuces pour le bien-être de bébé à l’espace Pays-de-France. De 14 à 16 heures, éveil musical des tout petits à l’espace Watteau.

Mardi 9 avril, de 9 à 11 heures, café-débat sur le thème « Comment et quand dire non à son enfant ? » à l’espace Billard par l’association « Couple et Familles ». De 14 à 16 heures, information sur les différents modes de garde au Relais des familles à Maison-Blanche (rendez-vous à l’espace Watteau à 13 h 30).

Mercredi 10 avril, de 9 à 11 heures, café-débat sur le thème « Mon enfant grandit » à l’espace Billard. De 15 h 30 à 17 h 30, fête des Bouts de choux (spectacle pour enfants et goûter), à l’espace Billard. Des animatrices seront présentes pour accueillir les enfants des parents qui seraient dans l’impossibilité les faire garder.

Attention : toute participation à un ou plusieurs ateliers se fait uniquement sur inscription en contactant un des espaces organisateurs : Sarah Morillon à l’espace Billard (12, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.) ; Alexandra Babin à l’espace Pays-de-France (15, avenue du Général-Bonaparte. Tél. 03.26.82.53.48.) ; Alexandra ou Sarah à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau. Tél. 03.26.36.03.50.).

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Union130328d- Marne
Les performances de nos lycées

A Châlons-en-Champagne, le lycée Oehmichen connaît une réussite de 90% au bac général et professionnel.
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Avec 79% de réussite au bac général et technologique, le lycée Colbert de Reims remplit son « taux attendu »
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MARNE. Le ministère de l’Education nationale a rendu publics hier les indicateurs sur les performances des lycées. Dans la Marne, le privé se taille toujours la part du lion.

C’EST un marronnier comme la presse les affectionne. Depuis vingt ans (le temps passe ! ), le ministère de l’Education nationale publie fin mars les performances des 4 222 lycées généraux, technologiques et professionnels de France (62 dans la Marne). Un classement ? Non, mais des « indicateurs » destinés à évaluer les établissements de la façon la plus juste et réaliste possible, c’est-à-dire en tenant compte de leur localisation, de l’origine sociale des élèves, de leur politique éducative.

On aurait donc tort de voir dans le taux de réussite au bac un juge de paix imparable. S’il est important (encore heureux !), il ne dit pas tout. A cette seule aune, en effet, on constatera ici que les établissements privés continuent de tenir les premiers rôles. Dans la catégorie des lycées généraux et technologiques (LEGT), Saint-Joseph et le Sacré-Cœur à 98 %, ce sont deux classiques marnais. Idem de Jean-Jaurès, le gros établissement public de Reims avec un score comparable. Même chose enfin pour les lycées professionnels : Saint-Michel (93%) ou Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle (90 %) caracolent. Mais Franklin Roosevelt (92%) rivalise sans problème.

L’Argonne à la traîne

Il apparaît plus intéressant de jeter un œil sur le dernier des indicateurs mentionnés dans les tableaux ci-dessous. Sans doute l’un des plus pertinents parmi les dizaines de paramètres communiqués par les relevés du ministère (on vous fait grâce des autres !). Le taux d’accès de la Seconde au Bac informe en effet sur la capacité des lycées à mener leurs élèves vers la réussite à l’examen. Quand ce chiffre est peu élevé, cela signifie soit que l’établissement est très sélectif, soit que ses élèves s’en détournent en cours de route. Il y a lieu alors de s’interroger sur les raisons de cette désaffection. La valeur ajoutée (entre parenthèses) est enfin indicative du véritable niveau de performance du lycée comparé avec celui des établissements identiques dans l’académie.

Du coup, le regard porté sur ce vrai-faux palmarès diffère sensiblement. Où l’on voit que Franklin-Roosevelt et Libergier (Reims), Oehmichen (Châlons), La Fontaine-du-Vé (Sézanne) ou François-1er (Vitry-le-François), non seulement obtiennent des résultats honorables au bac, mais figurent surtout parmi les lycées capables d’accompagner plus que d’autres établissements comparables une majorité de leurs élèves de Seconde à l’examen. Il est donc bien question ici de mesurer l’efficacité des équipes éducatives face à des publics (parfois, mais pas toujours) réputés plus difficiles.

De la même manière, on méditera a contrario le score de Louis-Arago (Reims) dont moins d’un élève de Seconde sur deux (44%) parvient jusqu’au bac. Pire encore pour le lycée professionnel Yser de Reims (37%) ou le LP Argonne de Sainte-Menehould (34%), de surcroît le lycée professionnel qui obtient le plus mauvais taux de réussite au bac pro dans la Marne.

Gilles GRANDPIERRE

Comment apprécier les établissements ?

Le taux de réussite au baccalauréat n’est pas le seul indicateur de résultat des lycées. Les taux d’accès au baccalauréat à partir de la seconde et de la 1re et la proportion de bacheliers parmi les sortants permettent aussi d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves, depuis leur entrée au lycée jusqu’au baccalauréat.

Les taux de réussite et d’accès de chaque lycée doivent être comparés à des taux « attendus », qui tiennent compte des caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves qui le fréquentent. Ceci permet de dégager la « valeur ajoutée » du lycée et d’offrir une approche relative de son efficacité.

Le ministère de l’Éducation nationale ne publie pas de classement mais propose un regard croisé sur les trois indicateurs et les « valeurs ajoutées » correspondantes. L’ensemble de ces éléments donne une image de la réalité complexe que constituent les résultats d’un établissement.

Pour consulter les indicateurs : www.education.gouv.fr/indica…

Le palmarès 2013 publié

Le ministère de l’Éducation a publié hier ses « indicateurs de réussite des lycées ». Ces statistiques sont consultables sur l’adresse www.education.gouv.fr/indica…. Comme chaque année, les chiffres publiés sont à lire selon plusieurs critères. Il ne faut pas se contenter du taux de réussite au bac pour juger de l’efficacité d’un établissement. Il faut aussi regarder la façon dont un lycée accompagne ses élèves de la seconde jusqu’au bac. Car certains établissements élitistes se séparent en cours de route d’élèves qu’ils estiment susceptibles de minorer leur taux de réussite au bac.

Lire le palmarès des lycées de votre département en pages départementales. À retrouver aussi sur www.lunion.presse.fr.

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Union130328c- Marne
Urca : Le congrès se penche sur le futur campus

C’était la deuxième fois que cette nouvelle instance se réunissait.
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A quoi ressemblera le futur campus unique rémois ? Le congrès de l’Urca a passé la semaine dernière une après-midi penché sur la question.

C’était la deuxième fois que cette nouvelle instance siégeait ; rappelons qu’elle est composée de quelque 150 membres, élus des trois conseils de l’université (administration, scientifique, des études et de la vie universitaire), doyens des facultés, directeurs d’unités de recherche et personnalités extérieures.

Elle avait tenu sa première réunion en septembre dernier à l’occasion des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

 

 

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Union130328b- Marne
La voiture brûle, les ordures aussi

Un Citroën Picasso a brûlé rue Newton, hier vers 1 heure du matin. L’origine de l’incendie est suspecte.

Mardi soir, un feu de poubelle s’est déclaré à 20 heures rue du Général-Sarrail, puis à 21 heures avenue Bonaparte.

A 21 h 30, les pompiers sont intervenus près de l’hypermarché de Saint-Brice-Courcelles pour éteindre un feu de détritus de 200 m2.

Intervention identique dans les bâtiments désaffectés de la Sernam, place de la République, hier vers 18 h 30.

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Union130328a- Marne
Trente mois de prison ferme pour le dealer

C’est une coïncidence… A chaque fois qu’il croise un policier, Lewani Lakoba, 22 ans, un ressortissant géorgien au casier déjà bien rempli (six condamnations), s’empresse de fuir et de jeter des sachets de cannabis… Sauf que ce n’est jamais lui. La faute à pas de chance, on le confond toujours avec un autre.

C’est tout du moins ce qu’il a tenté de faire croire mardi alors qu’il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Reims pour avoir été surpris à se débarrasser, le 6 mars dernier, de plusieurs sachets transparents contenant 9, 11 et 7 morceaux de résine de cannabis dans un terrain vague, non loin du n° 4 de la place Auguste-Rodin à Croix-Rouge.

Lewani Lakoba n’en démord pas. Les policiers l’ont confondu avec le véritable fuyard. Les sachets ne lui appartenaient pas…

Une version difficile à tenir, d’autant que le 27 février dernier, il avait été contrôlé une première fois dans une cave du n° 4 de la place Auguste-Rodin, avec, à ses pieds, deux sachets de cannabis (37 grammes)… qui ne lui appartenaient toujours pas.

Il n’avait alors pas été inquiété plus avant, aucun indice ne permettant de lui en imputer la propriété.

Déjà condamné à six reprises, notamment pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, Lewani Lakoba avait été déféré le 8 mars sous le régime de la comparution immédiate, mais avait demandé un délai pour se défendre au regard de la peine plancher encourue : quatre ans de prison.

Ses dénégations n’y ont rien fait. Le tribunal l’a reconnu coupable d’acquisition et de détention de stupéfiants et l’a condamné à un an de prison ferme avec maintien en détention, ainsi qu’à la révocation de 18 mois de prison…

Dans cette affaire, le parquet avait requis 4 ans de prison dont 2 avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans, ainsi qu’une interdiction du territoire français pendant 5 ans.

C.G

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130327f
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7491 du 25 au 31 mars 2013.

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EXTRAIT DES MINUTES DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 19/03/2013, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : SO.RE.BAT. (SARL), 45 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 751 014 028). Activité : Travaux de ravalements extérieurs, maçonnerie générale, enduits décoratives, isolations thermique, pose de carrelage, faïences et des dalles de terrasses.

Mandataire liquidateur : Maître François DELTOUR, 3 rue Noël 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-designé dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

114247 Le Greffier : B. DELPY.


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Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Objet : Réhabilitation Hall d’Entrée et Paliers – Quartier Croix du Sud à REIMS (51)

Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 3 lots :

-  Lot 01 : Plâtrerie / Menuiseries Intérieures / Chauffage
-  Lot 02 : Electricité
-  Lot 03 : Carrelage / Peinture

Présentation des offres : Les offres pourront être présentées en Entreprise Individuelle, en Groupement d’Entreprises, ou en Entreprise Générale pour un ou plusieurs lots ou l’ensemble du marché.

Visite sur site : Les visites sont obligatoires. Contacter Mr Hollerich / Service Maintenance au 03.26.05.92.80 pour la prise de rendez-vous.

Délai d’exécution : 1 tranche ferme de 36 mois inclus préparation de chantier

Date limite de réception des candidatures et des offres : Lundi 15 avril 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart - 51100 REIMS

Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 26 mars 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr Référence du marché : MA-030313

Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr Hollerich 03.26.05.92.80

Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 18 mars 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne et Ardennes) et le Matot Braine.

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Union130327e- Marne
Nouveaux rythmes scolaires : Le recteur tâte le pouls à Cavarrot

A la maternelle, les enfants apprennent à dessiner des nounours et à « bien vivre ensemble ».
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La loi de la refonte de l’école et des nouveaux rythmes scolaires a été votée. Les établissements doivent sauter le pas en 2013 ou peuvent différer sa mise en place jusqu’en 2014. Avant donc de passer cette étape, le recteur d’académie se plonge dans la réalité du terrain. « Mon travail est d’expliquer », insiste Philippe-Pierre Cabourdin. Mais aussi d’être à l’écoute.

« Ce site a été choisi, car ce groupe scolaire est l’un des plus importants de Reims », précise Francis Charligny, son directeur de cabinet.

« Non il n’y a pas de suppression de classe en vue, ni de création d’ailleurs », indique quant à elle la directrice académique, Anne-Marie Filho, présente sur les lieux.

L’ensemble scolaire enregistre des chiffres relativement stables. La maternelle accueille dix classes et 228 élèves, l’élémentaire, 13 classes et 275 élèves.

Un lieu cadrant et structurant

Une des spécificités de la maternelle, outre une fréquentation périscolaire massive est le nombre important d’inscriptions d’enfants de 2 ans.

« Nous en avons 38 cette année », mentionne Pascale Donnio, directrice de l’école. On apprend que la baisse du nombre de cette toute petite section a été enrayée, grâce à une bonne communication lors des « ateliers maternelle ».

Les prochains ont lieu le 1er et le 31 mai. Les enfants découvrent diverses activités. Et il y a une dernière réunion informative avec les parents.

Ces ateliers sont encore un moyen de montrer à certains parents que l’école n’est pas simplement un lieu d’accueil, mais bien « un lieu cadrant, structurant. Nous avons une mission d’éveil, d’apprentissage dans tous les domaines, comme celui du bien vivre ensemble », détaille Mme Donnio.

Celle-ci rappelle l’importance de la formation de l’équipe pédagogique pour l’accueil des tout petits, elle-même a fait un stage à Châlons. Enfin, elle insiste sur le « rôle précieux » de l’ATSEM. Parmi les sujets de discussion avec le recteur, on a évoqué le rôle social de l’enseignant et ses limites.

Cécile ROCHET-GRAINDORGE

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Union130327d- Marne
Il perd son bar PMU à cause d’un client parieur

Aujourd’hui, le bar PMU Le Bonaparte n’existe plus. Une autre structure, Le Napoléon, a pris le relais.
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REIMS (Marne). En janvier 2011, le gérant du bar PMU Le Bonaparte avait enregistré pour 77 000 euros de paris à crédit… pour le compte d’un client qui n’a jamais réglé la note. Les paris à crédit étant interdits, sa société a été placée en liquidation judiciaire pour rembourser le PMU.

C’était un client régulier. Un habitué qui pariait parfois jusqu’à 1 000 euros dans la journée. Le 28 janvier 2011, il a parié, payé, parié, payé… puis demandé crédit au gérant. Débordé et bien que les paris à crédit soient interdits, ce dernier a fini par céder… Mal lui en a pris. Il a parié sur le mauvais cheval.

C’est un mail d’alerte sur un montant anormalement élevé de paris qui va finir par mettre un terme à cet engrenage fatal. Car au-delà d’une certaine somme pariée, les agents du PMU sont automatiquement alertés. Ce 28 janvier 2011, une première alerte est arrivée aux oreilles de l’agent en charge des bars PMU de Reims, l’avisant que près de 49 000 euros venaient d’être pariés dans différentes courses au sein du bar PMU Le Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge.

Contacté par téléphone, le gérant assurera que tout était normal, que les paris étaient bien enregistrés et crédités dans la caisse. Un deuxième mail d’alerte avisant d’un montant de paris de plus de 95 000 euros poussera finalement le contrôleur à se rendre sur place et à faire fermer la boutique pour vérifier les comptes. En caisse, il ne trouvera que 18 000 euros… Les 95 000 euros n’étaient pas crédités.

Trop de bières

Le gérant expliquera avoir fait crédit à un joueur habituel à raison de 15 paris à 5 000 euros… Sauf que la législation est formelle : les paris à crédit sont strictement interdits et surtout, le client en question, retraité, n’avait aucunement les moyens de payer de telles sommes. Au plus, il avait déjà parié 1 000 euros en une journée… Le problème, c’est qu’il avait bu un peu trop de bières ce jour-là… Mais voilà que les deux hommes se sont retrouvés hier soir devant le tribunal correctionnel de Reims pour répondre de tentative d’escroquerie. Accepter de faire pour 77 000 euros de crédit en une seule journée ? La question s’est posée d’une entente entre les deux hommes afin de tromper le PMU et encaisser la mise. Ce qu’ils ont farouchement nié. Le client ne se rappelait même plus être l’auteur des paris. Il était au bar, mais il avait bu. Il n’avait d’ailleurs aucun ticket sur lui. Le gérant a assuré qu’il lui avait bien fait crédit, qu’il n’avait rien à gagner dans cette affaire. Ce jour-là, il y avait du monde, il a été dépassé par les événements. Il ne s’est pas rendu compte qu’il venait d’enregistrer pour 77 000 euros de paris fictifs… Le tribunal a cru en leur version. Ils n’ont pas été reconnus coupables de tentative d’escroquerie.

En revanche, pour le gérant, la sanction est tout autre. Le pari s’est avéré perdant puisqu’il a perdu son fonds de commerce dans cette affaire. Le GIE Paris Mutuel Urbain l’ayant mis en demeure de rembourser sous 8 jours, sa société, la SNC Le Bonaparte, a été placée en cessation de paiement puis en liquidation judiciaire le 8 mars 2011.

Aujourd’hui, le bar PMU Le Bonaparte n’existe plus. Une autre structure Le Napoléon a pris le relais.

Caroline GARNIER

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Union130327c- Marne
Football féminin / Prêtes pour le trophée Ecricom

La section féminine de football du Reims Management School participe ce week-end au trophée Ecricom, où sont attendues les villes de Rouen, Nancy…
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Après avoir glané une qualification à Clairefontaine à l’occasion des phases finales de foot à sept des Grandes écoles, la section féminine de football du Reims Management School s’apprête désormais à accueillir ce samedi 30 mars sur la pelouse de Géo-André le trophée Ecricom. Un événement pour lequel participeront plusieurs villes : Bordeaux, Marseille, Rouen et Nancy…

« Cette compétition fait partie de nos grands objectifs de l’année. Nous avons la chance d’avoir une équipe qui se porte bien. Techniquement, elle est capable de faire bons enchaînements. Simplement, il faudra que les filles réussissent à reproduire la même qualité de jeu que dernièrement ; qu’elles mettent de l’agressivité dans les différents duels », souligne Yannick Cadart, entraîneur.

D’autres atouts : « Notre force, c’est qu’individuellement, on a une bonne maîtrise du ballon, et grâce à cela on réalise de belles phases qui déstabilisent régulièrement l’adversaire. De plus, on joue à la maison, par conséquent, on aura un soutien et une motivation supplémentaires. Ma peur, ce ne seraient pas les autres équipes, mais plutôt mon groupe qui pourrait passer à travers ce tournoi, suite à la pression et à la découverte de cet événement », discerne Yannick Cadart.

 

 

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Union130327b- Marne
Guignicourt : Tennis (jeunes) / Toujours le même standing

2013, le bon cru guignicourtois.
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Avec celui de Chantilly, le tournoi jeunes de Guignicourt est l’un des rendez-vous les plus prisés en Picardie, avec un large rayonnement en Champagne-Ardenne.

L’édition 2013 proposée par Olivier Depaquit, Gérard Porrès et une solide équipe de bénévoles a été à la hauteur de son standing. Et même quelque part victime de son succès.

Les meilleurs veulent s’y engager, ce qui peut créer des soucis quand des championnats comme ceux de l’Aisne ou de la Marne, ainsi que les Petites Bulles de Reims Europe Club, se déroulent en même tems. Gérard Porrès a dû jongler avec les tableaux et les horaires pour que tout coulisse au mieux. « L’année dernière, il y avait le problème des vacances de Pâques. Là, il y a eu la concurrence et l’effet d’un épisode neigeux. Il va falloir réfléchir au créneau », confie le juge-arbitre.

FILLES

9 ans. - Demi : Laura Fourny (TC Tardenois) bat Athémias Flattot (Romilly) wo ; Zoé Barreau (Sedan) bat Safia Hannoun (Guignicourt) 5-3, 5-2. Finale : Barreau bat Fourny 5-3, 5-0.

10 ans. - Demi : Léa Berriot (Guignicourt, 30/5) bat Safia Hannoun 2-5, 5-2, 5-4 ; Aurélia Rovello (Mazures Renwez, 30/3) bat Berriot 3-5, 5-2, 5-0. Finale : Rovello bat Clotilde Lantz (Bucy, 30/2) wo.

11-12 ans. - Demi : Chloé Digrazia (Guignicourt) bat Ania Renard wo ; Lola Bohanna (Soissons, 30/2) bat Digrazia 6-1, 6-3. Finale : Louise Meurisse (Vivaise) bat Bohanna 6-3, 4-6, 6-2.

13-14 ans. - Demi : Elvire Prault (Géo-André, 15/3) bat Elise Renard (Cormontreuil, 15/4) 6-1, 6-1 ; Marie Barbe (Mazures Renwez) bat Auxane Pierlot (Muizon, 30/3) 6-1, 6-1. Finale : Prault bat Barbe 6-3, 6-3.

15-16 ans. - Demi : Margaux Caron (Guignicourt, 15/4) bat Léa Holl (Athies, 30/4) 6-1, 6-1 ; Léa Meurisse bat Sarah Hannoun (Guignicourt) 6-1, 7-5. Finale : Hannoun bat Margaux Caron 6-4, 6-0.

17-18 ans. - Demi : Hannoun bat Elise Abboud (Villeneuve-Saint-Germain, 30) 4-6, 6-3, 6-2. Finale : Hannoun bat Anaïs Caron (Guignicourt, 15/3) 1-6, 6-4, 6-2.

GARÇONS

9 ans. - Demi : Deliège (URT, 30/5) bat De Abreu (Tergnier, 40) 5-2, 5-2 ; Wauthier (Bétheny, 30/5) bat Barrois (Géo-André, NC) 5-1, 5-1. Finale : Deliège bat Wauthier 5-4, 5-4.

10 ans. - Demi : Brunot (Saint-Memmie, 30/3) bat Antonicelli (Chauny, 30/3) 4-5, 5-2, 5-3 ; Gauthier (Taissy, 30/4) bat Jaslet (Bucy, 30/3) 5-2, 5-0. Finale : Brunot bat Jaslet 5-1, 5-1.

11-12 ans. - Demi : Chauvin (Villeneuve, 30) bat Lerat (Muizon, 30/1) 6-2, 6-4 ; Foulon (Charleville, 15/5) bat Dumont (Cormontreuil, 30/2) 6-2, 6-4. Finale : Foulon bat Chauvin 6-2, 4-6, 7-5.

13-14 ans. - Demi : Bonna (Charleville, 15/3) bat Lopes (Reims Europe, 15/3) 6-4, 6-4 ; Milinaire (Muizon, 15/5) bat Gauthier Henry (Géo-André, 15/2) wo. Finale : Bonna bat Milinaire 6-4, 6-4.

15-16 ans. - Demi : Vignon (Viry-Noureuil, 15/2) bat Yvan Prault (Géo-André) 6-0, 6-2 ; Chardin (Reims Europe, 15/1) bat Guillaume Tonne (Taissy, 15/2) 6-2, 6-3. Finale : Chardin bat Vignon 7-6 (4), 7-6 (5).

17-18 ans. - Demi : Chardin bat Bertin (Soissons, 15/1) 7-6 (5), 6-2 ; Compère (Vivaise) bat Leroy wo. Finale : Compère bat Chardin 6-3, 6-3.

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Union130327a- Marne
Lycéenne agressée

Une agression aux circonstances imprécises s’est produite en fin de semaine dernière au lycée Joliot-Curie. Apparemment, des individus extérieurs à l’établissement s’y sont introduits pour frapper une élève au visage.

Les auteurs sont en fuite, la jeune fille légèrement blessée.

Une enquête est en cours pour faire la lumière sur cette affaire.

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Union130326c- Marne
Judo : des médailles dans l’Aisne

Les Inters minimes organisés à Saint-Quentin dimanche ont été fructueux pour les Marnais. Le Rémois Lucas Nicolas (60 kg, AS Croix-Rouge) s’est imposé dans l’Aisne.

La 40 kg, Sarah Baudot (JC Ormes) a été battue en finale par la Normande lona Hedon. Enfin, Alicia Pierson (Reims Judo) a terminé 3e en 48 kg. Angelina Lata-Marie (JC Suippes, 7e chez les 77 kg), Mathias Perot (JC Sud-Ouest Marnais, 5e en 34 kg) et Johann Paros (ASPTT Châlons, 5e en 50 kg) se sont aussi bien comportés.

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RCAMAG 130326b
Articles parus dans « RCAMAG »

Numéro 84 PRINTEMPS 2013.

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Transfert de technologie : Quand les lycées s’ouvrent aux entreprises

PFT : derrière ce sigle mystérieux se cache une idée simple. Faire profiter les TPE et PME locales de l’équipement et des compétences des établissements scolaires et universitaires qui se trouvent à côté de chez elles.

En Champagne-Ardenne, ce sont les enseignants, les élèves et les équipements de quatre lycées qui sont mis à la disposition des entreprises via les plateformes technologiques (PFT). “À la différence des centres régionaux d’innovation et de transfert de technologie (Critt), comme celui de Charleville-Mézières, qui s’adressent plutôt aux PME ayant un besoin précis et pointu les plateformes technologiques ciblent davantage les artisans ou les TPE dépourvus de moyens de développement, sur le bassin d’emploi”, explique-t-on à la direction de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation du Conseil régional.

Concrètement, quel type de prestations ces sociétés viennentelles chercher auprès des PFT ? Par exemple, l’étude et la réalisation du prototype d’une pièce ou bien la fabrication en présérie d’un produit. Le recours aux plateformes est souvent justifié par la nécessité de faire un saut technologique après l’apparition de nouvelles normes. Les PFT ont une autre corde à leur arc : la veille et le conseil.

Retombées pédagogiques

De manière globale, c’est “la matière grise apportée par les enseignants” et le niveau d’équipement des lycées, souvent supérieur à celui des entreprises, qui attirent leurs dirigeants. Une relation gagnant-gagnant s’instaure entre les différentes parties prenantes. “L’entreprise bénéficie d’un transfert de technologie. Le professeur reste à la pointe des connaissances. L’élève se voit offrir des opportunités de stage ou d’emploi à l’issue de ses études. Et l’établissement est plus attractif”. La Région souligne que le succès des PFT repose beaucoup sur le degré d’investissement du corps professoral. “Les enseignants démarchent eux-mêmes les entreprises. Ce sont des gens qui sont véritablement habités par leur mission”.

Frédéric Marais

64 prestations en 2011

Il existe quatre plateformes technologiques labellisées en Champagne-Ardenne :
• Génie industriel, productique et maintenance au lycée OEhmichen à Châlons-en-Champagne,
• Matériaux au lycée Bazin à Charleville-Mézières,
• Transformation du bois au lycée Charles-de-Gaulle à Chaumont,
• Bâtiment et travaux publics au lycée Arago à Reims.
On peut ajouter à cette liste le lycée viticole d’Avize pour les industries connexes au champagne, bien qu’il dépende du ministère de l’agriculture et ne soit donc pas labellisé.

Les prestations des PFT sont payantes. Elles doivent représenter au moins un quart de leur budget de fonctionnement, le reste étant couvert par des subventions de la Région, de l’État, de l’Éducation nationale et des autres collectivités locales. Toutes les PFT sont adossées à un établissement d’enseignement supérieur.

En 2011, 69 PME ont bénéficié des services des quatre PFT.

Les prestations réalisées représentent un chiffre d’affaires global de 98 000 €. 220 élèves ont participé aux travaux.

Direction de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation à la région : 03 26 70 86 55 sdelaverny@cr-champagne-ardenne.fr

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Union130326a- Marne
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Objet : Réhabilitation Hall d’Entrée et Paliers – Quartier Croix du Sud à REIMS (51)

Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 3 lots :

-  Lot 01 : Plâtrerie / Menuiseries Intérieures / Chauffage
-  Lot 02 : Electricité
-  Lot 03 : Carrelage / Peinture

Présentation des offres : Les offres pourront être présentées en Entreprise Individuelle, en Groupement d’Entreprises, ou en Entreprise Générale pour un ou plusieurs lots ou l’ensemble du marché.

Visite sur site : Les visites sont obligatoires. Contacter Mr Hollerich / Service Maintenance au 03.26.05.92.80 pour la prise de rendez-vous.

Délai d’exécution : 1 tranche ferme de 36 mois inclus préparation de chantier

Date limite de réception des candidatures et des offres : Lundi 15 avril 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart - 51100 REIMS

Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 26 mars 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr Référence du marché : MA-030313

Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr Hollerich 03.26.05.92.80

Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 18 mars 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne et Ardennes) et le Matot Braine.

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Union130325a- Marne
Quartier Croix-Rouge : encore une voiture incendiée

La voiture, stationnée sur un parking de l’allée Gandon, a été entièrement brûlée.
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REIMS (Marne). Ils pensaient passer un week-end bien tranquille chez des amis à Reims. Se reposer dans l’attente de l’arrivée prochaine, dans un petit mois, de leur premier enfant. Quelle déconvenue pour ce jeune couple, originaire de Sedan.

Dimanche, au petit matin, ils ont retrouvé leur véhicule, une Alfa Roméo récemment achetée, entièrement brûlée sur un parking de l’allée Gandon, dans le quartier Croix-Rouge… avec à l’intérieur du véhicule les derniers achats pour leur enfant.

Les sapeurs-pompiers avaient été appelés peu après minuit pour circonscrire le sinistre, qui ne s’est heureusement pas propagé aux autres véhicules en stationnement. Samedi soir, le couple avait eu bien du mal à trouver une place de stationnement dans le quartier… Au cours du week-end, les pompiers avaient déjà eu à intervenir à deux reprises pour circonscrire deux feux de voiture.

Un premier rue des Ecoles, vendredi soir vers 21 h 30. Un second allée des Mamans, samedi vers 4 heures du matin. Ils ont également été appelés pour un feu de poubelle rue de Louvois, dimanche vers 2 heures du matin.

 

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Union130324a- Marne
Encore quelques incendies à Reims

Une Ford a été détruite par les flammes samedi vers 4 heures, allée des Mamans.
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Deux voitures et une poubelle brûlées en moins de 24 heures à Reims. Si l’allée des Landais - sept incendies en onze nuits - a connu un léger répit la nuit dernière, les pompiers ont dû intervenir à trois reprises dans la nuit de vendredi à samedi pour circonscrire trois nouveaux incendies.

Un premier véhicule, une Mini Cooper non signalée volée, a ainsi été entièrement détruit par les flammes, rue des Ecoles, vendredi soir aux environs de 21 h 38. Par chance, il n’y a pas eu de propagation aux véhicules stationnés à proximité. Nouvelle intervention des pompiers, quelques heures plus tard, rue Léon-Faucher, entre Bétheny et Reims. Il était 23 h 43. Cette fois, il s’agissait d’un feu de container.

Un second véhicule, une Ford, a également été entièrement détruit samedi vers 4 heures du matin dans un incendie, allée de Mamans, dans le quartier du Chemin-Vert. Cette fois encore, le feu a pu être circonscrit sans occasionner d’autres dégâts.

C.G.

 

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Union130322f- Marne
Trac.

L’association Trac a été mise en cause pour avoir été choisie sans appel d’offre pour le concert d’été à Croix-Rouge, Pascal Labelle énumérant les différentes aides reçues par le biais des délibérations de lundi : 113 000 euros ! « Pourquoi vous ne mettez pas en cause les Flâneries ou le Manège ? » lui a répondu Serge Pugeault. « Beaucoup d’autres associations ont beaucoup plus, les subventions sont accordées à celles qui portent un projet d’intérêt général. ».

Comme Pascal Labelle avait parlé de Radio primitive dans sa question, l’adjoint à la Culture en a profité pour répondre sèchement : « Cette radio avait vu sa subvention multipliée par 9 avant 2008, elle n’a pas augmenté depuis. »

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Union130322e- Marne
A l’école Blanche-Cavarrot : Un univers poétique pour la lecture enfantine

Christine Beigel a parlé aux élèves de son métier et de ses livres.
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« J’ai laissé couler un peu de sable sur chaque pavé. Un peu de temps. Un peu de toi. Ma princesse grand-mère » : Les enfants de CE1 de l’école Blanche-Cavarrot ont adoré le langage poétique de Christine Beigel et les illustrations de Clotilde Perrin.

« J’ai particulièrement aimé la page où la mamie est au-dessus du château de sable. C’est joli et en plus c’est touchant » confie Sarah, 9 ans. « J’ai mis du sable dans mon cartable ».

Un titre poétique, comme l’est la plume de l’auteur, venue rencontrer ses jeunes lecteurs : « C’est intéressant. On perçoit la façon dont ils sont rentrés dans le livre, ils posent des questions sur mon métier et mes ouvrages ». Christine Beigel aime voyager : « Ce peut être des voyages réels, ou imaginaires, des voyages intérieurs ».

Nostalgie des vacances

L’histoire ? C’est celle d’un petit garçon qui passe tout un été chez sa grand-mère, à la plage. Il doit reprendre la classe. Pour adoucir cette rentrée, il ramène dans son cartable… un château de sable !

« Le sable, c’est le temps qui passe. Le sable s’écoule et le petit garçon le remplace petit à petit par des crayons, des cahiers… » explique l’auteur, qui intervient aussi dans la classe de Claire Bezaze.

Les écoliers ont fabriqué un château de carton, muni d’une ouverture. Exposé au salon du livre de jeunesse (*), il est destiné à recevoir les menus souvenirs de vacances des jeunes visiteurs.

(*) Samedi 23 mars de 10 à 18 heures. Salle polyvalente boulevard d’Alsace-Lorraine à Cormontreuil.

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Union130322d- Marne
Conseil de Quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny : Des dates à retenir

A la tribune, des projets ont été évoqués.
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Le conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny a rassemblé 45 personnes dans la salle Mauriac entièrement rénovée.

Après trois interventions remarquées sur les problèmes de santé, dont nous reparlerons ultérieurement, Alain Boudroit, co-animateur « habitants » a évoqué la prochaine séance de « Place au cinéma », sur un lieu à déterminer avec la Pellicule ensorcelée, le mardi 9 juillet à 19 heures, précédé d’un pique-nique et de plusieurs animations.

Elisabeth Causin (Espace Watteau de la Maison de quartier) a fait remarquer que « L’été s’affiche à Croix-Rouge 2013 » démarre le même jour sur le site de Géo-André : « Pourquoi pas rassembler les deux actions ? » Affaire à suivre donc.

Alain Bisteur, co-animateur élu, a annoncé que la deuxième édition du Forum des associations de Croix-Rouge est programmée dans la salle Mauriac le samedi 16 novembre, de 10 à 16 heures, après actualisation de la liste des associations du quartier.

 

 

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Union130322c- Marne
Les incendies se multiplient allée des Landais

Après la série de feux de poubelles au n°3, les voitures se remettent à brûler sur ce parking de l’allée des Landais.
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REIMS (Marne). Hier vers 2 h 30 du matin, une voiture a été incendiée allée des Landais. Le septième feu en onze nuits dans cette rue.

L’ALLÉE des Landais est en passe de devenir la rue la plus chaude de Reims. Hier à 2 h 30, et pour la septième fois en onze nuits, les pompiers ont dû intervenir dans ce secteur du quartier Croix-Rouge pour éteindre un nouvel incendie, en l’occurrence un feu de voiture allumé devant le centre d’action médico-sociale précoce. Les flammes ont détruit une Audi A4 stationnée à quatre places de distance du précédent véhicule parti en fumée lundi à 2 heures du matin.

Depuis une semaine et demie, les pompiers n’en finissent plus de venir allée des Landais. La série a commencé le lundi 11 mars, à 23 h 45, avec la mise à feu de trois conteneurs en plastique déposés devant l’immeuble du n°3. Une quatrième poubelle a brûlé le lendemain soir, même heure, même adresse.

Cette même nuit du mardi 12 au mercredi 13 mars, mais à 2 h 45, les sauveteurs sont retournés au n°3 de l’allée des Landais pour un feu de détritus dans le local à vide-ordures. Scénario identique le jeudi 14 mars, à 4 h 30, puis le samedi 16 à 22 h 30. Une épaisse fumée était montée dans la cage d’escalier. Témoignage d’un locataire. « J’habite au deuxième. Quand j’ai ouvert la porte, le couloir était tout noir. La fumée entrait dans mon appartement. On est dégoûté. Ça n’arrête plus. On se demande qui peut faire ça. »

Les deux feux de voitures ont suivi lundi et hier.

« Parking maudit »

Si l’hypothèse d’un seul auteur paraît séduisante pour les feux de poubelles du n°3, établir un lien avec les incendies de véhicules est moins évident. D’une part, ils n’ont pas brûlé à proximité immédiate du n°3, mais une centaine de mètres plus loin. D’autre part, il y a bien longtemps que ce parking est réputé pour ses feux de voitures à répétition. Un riverain parle même de « parking maudit ».

« A une époque, quand ça brûlait régulièrement, le parking était souvent désert car plus personne n’osait se garer là-bas. Les gens allaient en face, sur le parking de la piscine. Et ça flambait sur le parking de la piscine ! »

L’homme reconnaît que « ces derniers temps, ça s’était calmé, mais voilà que ça recommence ». Aussi de nombreux locataires ont-ils renoué avec les anciennes précautions. « Je connais une dame qui habite juste à côté, aux Bourguignons. Plutôt que de se garer près de chez elle, elle préfère se mettre plus bas dans l’allée, quitte à devoir marcher plus longtemps. »

Sur la place noircie où le véhicule de lundi a flambé, un automobiliste a garé la sienne. Sans doute un inconscient qui ignore tout de la tradition locale.

F.C.

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Union130322b- Marne
Le samedi au salon

Rencontres-dédicaces avec les auteurs et illustrateurs : de 10 à 17 heures
Ateliers et jeux :
- Découpage et origami par IKetSK Design
- Atelier « à la manière de C. Voltz » : réalisation de panoramiques en famille
- Histoires, jeux, par les bibliothèques de Cormontreuil et Saint-Brice-Courcelles
- Jeux de lectures par les écoles et collèges Théâtre et lectures ;
- « 100 % coton » par la Cie « Ecoutez-voir »
- « Frigomonde » de Karin Serres, extraits mis en scène par des classes de Blanche-Cavarrot
- « Le mange-glace » de Mado Seiffert

Et la présence d’éditeurs, de libraires, du Centre de formation du livre.

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Union130322a- Marne
Animations dans les bibliothèques

Spectacles : « Ppffeeeee, le cracheur de lettres » par Muriel Bloch, à 10 h 30, à la médiathèque Laon-Zola et à 16 h 30, à la médiathèque Jean-Falala.

Visite : commentée de l’exposition « Poésie, fille du désir et de la mémoire », à 14 heures, à la bibliothèque Carnegie.

Ateliers : Jouons à Croix-Rouge : jeux vidéo ou de société avec l’association Stimuli, de 14 à 17 heures, à la médiathèque Croix-Rouge.

Atelier de linogravure animé par Dominique Boisjeol, à 14 heures, à la médiathèque Jean-Falala. La petite fabrique de vers à soi  : atelier de slam et de poésie avec Slam Tribu, à 16 heures, à la bibliothèque du Chemin-Vert.

Conférence : « Klimt : La Frise Beethoven et l’Hymne à la joie » par Yves Leroux, à 14 heures, à la médiathèque Croix-Rouge.

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Union130322e- Marne
Etoile Croix-du-Sud : Retour à l’état de grâce

Un public nombreux et enthousiaste.
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Facile de diriger une assemblée générale ? C’est ce que l’on pourrait croire après avoir assisté à celle de l’association Etoile Croix-du-Sud.

Tout ce qui a été présenté par le président Jean-Michel Gauthier, rapport moral, rapport d’activités, élections des nouveaux membres du conseil d’administration, de même que le rapport financier du trésorier Jean-Louis Rumerio et son adjoint Jérôme Weiler, a été adopté à main levée, dans l’enthousiasme et sous les applaudissements des 50 personnes du public.

Mais il faut avoir en tête en amont tout le travail préparatoire, pendant une saison complète « grâce à la fidélité des bénévoles et des adhérents qui nous suivent dans tous nos concours de belote et nos lotos ».

Par ailleurs, la brocante a été un grand succès avec 60 exposants, la journée champêtre a été une réussite autour d’un barbecue et le président d’honneur, Michel Méther et Mme Gauthier, ont relancé avec bonheur l’activité des après-midi de l’association, pour les retraités et personnes seules. L’association perd quatre administrateurs, mais en accueille deux nouveaux : Jean-Luc De Mey et Yvon Morand.

Fin de l’accueil des mineurs

Seule petite ombre au tableau, l’arrêt obligé de l’accueil des mineurs : « Après un bon départ avec 30 à 50 inscriptions régulières et un voyage avec les retraités au Touquet, l’équipe d’animateurs a été cassée à la suite de la démission de la directrice, en cours de saison. Elle nous a fait faux bond alors que nous lui avons payé une formation. Difficile après cela de re-stabiliser une équipe d’animation ! Nous avons dû interrompre provisoirement l’accueil des mercredis et des vacances, faute de trouver des personnels titulaires du BAFA ».

Avenir prometteur

Alain Chevallier (l’Effort rémois) l’a annoncé : « L’Etoile Croix-du-Sud aura bientôt de nouveaux locaux dont les plans ont reçu l’aval des administrateurs. Un nouvel élan est attendu pour préparer l’avenir. Il est en cours. »

Finances : enfin l’embellie !

« Après cinq années de doute, d’efforts et de travail, ce soir nous pouvons officiellement vous l’annoncer : le trou est comblé ! Le découvert est bouché, l’association est à nouveau sur de bons rails : les comptes 2012 sont équilibrés et même excédentaires » déclarait Jean-Louis Rumerio. Avec 53 091 euros de dépenses pour 66 074 euros de recettes, dont les subventions de 9 980 euros de la ville de Reims et de 13 935 euros d’Alpha logement l’Effort rémois, le compte d’exploitation 2012 est positif de 2 983 euros. « Solidarité oblige, nous avons même pu offrir un chèque de 300 euros à l’association Roseau qui s’occupe des enfants à l’hôpital américain ! »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union130322d- Marne
Tests des roulettes 40 enfants sur la piste de François Legros

Trois étapes pour évaluer les tout-petits : roulette de bronze, roulette d’argent et roulette d’or.
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Afin d’évaluer la progression des enfants depuis septembre, le Reims roller skating a organisé au gymnase François-Legros des tests des roulettes.

« C’est une épreuve qui se présente sous trois formes : vous avez la roulette de bronze, la roulette d’argent et la roulette d’or. Sous la houlette de deux juges de l’école française de patinage artistique, ce temps fort permet de détecter les futurs compétiteurs. C’est aussi une satisfaction pour nos petits en section loisirs de réussir les différents niveaux sans pourtant envisager la compétition », indique Michèle Thomas, présidente du Reims roller skating.

« Ce qu’on fait là s’inscrit dans un engagement pris auprès de notre comité de patinage artistique et notre ligue Champagne-Ardenne. Comparativement aux éditions précédentes, cette année, on a beaucoup de participants. 40 nouveaux sont venus s’ajouter aux autres. J’ajoute que depuis quelques semaines nos entraîneurs préparent avec enthousiasme et efficacité les petits. Nous espérons que les aptitudes acquises ici leur seront d’une grande utilité à l’occasion de la compétition du club prévue le 7 avril ».

 

 

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Union130322c- Marne
La marraine est Djemila Benhabib

La marraine Djemila Benhabib permet de relier Reims scènes d’Europe et Méli’môme.
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« Avant d’aller au salon du livre à Montréal, j’ai acheté les journaux, il y avait un article sur Djemila Benhabib et je voulais absolument la rencontrer. Et en arrivant au salon, je tombe en premier sur elle. J’ai acheté son livre, qu’elle m’a dédicacé, et je suis rentré en France avec l’idée de faire quelque chose avec elle ».

De cette rencontre de Joël Simon naîtra donc la nouvelle marraine de Méli’Môme. « Nous avions un focus Québec très conséquent, et nous avions travaillé sur l’exil lors de Reims scènes d’Europe. Elle est au croisement des deux. »

« Elle est avide de rencontres, généreuse. Elle sera d’ailleurs présente 5 jours à Reims, et rencontrera des classes, à Croix-Rouge, à Saint-Thierry et à Sedan ». Djemila Benhabib est née en Ukraine, d’un père chypriote et d’un père algérien.

Son livre « Des femmes au printemps » est publié au Québec, et devrait l’être bientôt en France mais sous un titre différent. Elle était au pritemps 2012 au Caire et à Yunis, et elle dépeint l’histoire en marche. Elle est convaincue que ce sont les femmes qui achèveront les révolutions du printemps arabe.

 

 

 

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Union130322b- Marne
Détention de drogue Il fume 6 à 13 « joints » de cannabis par jour

Incarcéré en exécution de peine (il purge un an ferme pour une série de vols), un Rémois de 18 ans a reçu la visite de policiers venus boucler une procédure de stupéfiants le concernant.

Le 12 octobre, alors qu’il était encore mineur, le jeune homme avait été surpris dans un hall de la rue de la Méditerranée avec 47 grammes de résine de cannabis. Il avait également 450 €.

D’après ses déclarations, l’argent provenait d’un retrait effectué avec la carte bancaire de sa mère tandis que la drogue était destinée à sa consommation personnelle. Il se dit « accro » au cannabis depuis l’âge de 13 ans, avec une fréquence de six à treize « joints » chaque jour ! Il est reparti en cellule avec une convocation devant le juge des enfants.

Interpellé dans la nuit de lundi à mardi rue Claire-et-Yvon-Morandat, cet autre adepte de la fumette avoue une consommation plus modérée : trois à quatre « joints » par jour. Il avait deux grammes de cannabis sur lui quand les policiers l’ont contrôlé.

Le jeune homme a fait l’objet d’une convocation pénale.

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Union130322a- Marne
DANSE SUR GLACE : Espoirs marnais

Deux couples marnais tenteront, demain et dimanche, de se rapprocher du podium et, pourquoi pas, de s’y installer lors des championnats de France.

A Clermont-Ferrand, le département misera donc sur les chances des minimes châlonnais Lila-Maya Seclet-Monchot et Adrien Masseron pour enrichir l’armoire aux trophées du club. Quatre couples sont engagés.

Pour le Rap (Reims Avenir patinage), l’ambition sera peut-être plus délicate à assouvir puisque quinze couples se présenteront sur la ligne de départ en Novices. Renan Manceaux et sa partenaire bisontine Delphine Ferru tenteront d’obtenir une belle place qui les récompenserait de leur première saison.

Les danses imposées tirées au sort sont le Fox Trot et la valse américaine pour les minimes, Killian et blues pour les Novices.

Y.D.

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Union130321d- Marne
Défense des enfants

Marie Derain, chargés de la défense et de la promotion des droits des enfants en France, sera à Reims le jeudi 21 mars.

Invitée par l’Unicef Campus Reims, elle y donnera une conférence à 18 heures dans l’amphithéâtre de Sciences Po, dans l’ancien collège des Jésuites, place Museux.

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Union130321c- Marne
Aide et organisation : Les vacances en un forum

L’affiche du forum vacances 2013.
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Les animatrices « Familles » des Maisons de quartier organisent un forum infos vacances en partenariat avec la ville de Reims, la Caisse d’allocations familiales et la SNCF le samedi 23 mars à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger, de 13 h 30 à 18 h 30.

« Ce forum est destiné aux familles rémoises et on y présentera en particulier tous les dispositifs d’aide aux vacances proposés par les organisateurs, aussi bien en matière de colonies, qu’en départs en famille », précise Alexandra Babin, référente familles sur Pays-de-France et Watteau : « On y parlera également des activités proposées par la ville de Reims et les Maisons de quartier pendant les vacances scolaires ».

Les familles pourront trouver à cette réunion de l’aide et du soutien pour l’organisation de leurs vacances et des informations sur le fonctionnement des aides aux temps libre, proposées par la Maison de quartier Croix-Rouge.

Accès gratuit. Tramway, lignes A ou B, station Campus. Tél. 03.26.08.08.78.

 

 

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Union130321b- Marne
Un local attribué à la future épicerie sociale

Florian Léger (à gauche) et Adrien Hardel : « L’épicerie sociale s’installera dans le bâtiment modulaire 1/8 du campus Croix-rouge ».
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La fédération associative étudiante continue d’avancer, pas à pas, sur son projet d’épicerie sociale « Agora-é ».
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Florian Léger préside depuis peu la fédération associative étudiante Intercampus. Il est en quatrième année de pharmacie. Adrien Hardel, lui, en mastère de droit du vin, est son vice-président chargé des relations extérieures. Ils répondent à nos questions.

Où en est le projet d’épicerie sociale engagé par vos prédécesseurs ?
Il avance petit à petit : nous venons d’apprendre que ce sera le bâtiment modulaire 1/8 à Croix-rouge, qui sera mis à notre disposition.

Vous avez une idée de la date de mise en service de cette épicerie ?
Nous ne voulons pas nous engager sur une date précise. Il faut savoir que le bâtiment en question est prévu actuellement pour des cours ; nous avons rempli le formulaire pour qu’il soit déclassé et affecté à une autre utilisation ; la réponse de la mairie devrait parvenir d’ici deux ou trois mois.

Donc on peut escompter une ouverture après les grandes vacances ?
On peut effectivement envisager une mise en service après l’été, au cours du premier trimestre de l’année universitaire prochaine. D’ailleurs, sans annoncer de date, nous avons déjà lancé sur les réseaux sociaux la communication autour de cette « Agora-é », épicerie à petits prix mais aussi lieu de vie et de soutien aux plus précaires, avec pétition en ligne. 5 euros pour 3 kg de légumes

En dehors de ce gros dossier, quelles sont vos priorités du moment ?
Les actions de prévention citoyenneté jeunesse et solidarité.

Qui prennent quelle forme ?
Eh bien cette semaine justement, elles prennent la forme d’une campagne de santé publique sur tous les campus, à Reims, Châlons et Troyes, avec des intervenants extérieurs en matière de drogue, d’alcool, de sexualité, de nutrition etc.

Ce n’est pas l’Urca qui s’en occupe, normalement ?
Disons que nous prenons l’initiative d’intervenir en complément, au vu des habitudes de vie des étudiants. Dans le même ordre d’idée, nous relançons le « marché des campus » à Reims et Châlons.

Rappelez-nous de quoi il s’agit…
De permettre aux étudiants d’acheter des fruits et légumes à petits prix, 5 euros le panier de 3 kg, fournis par le maraîcher de Muizon. Le système fonctionnait depuis trois ans, mais de façon moins fréquente, une fois tous les trois mois environ, alors que nous allons le passer à une fois par mois.

Il y a vraiment une demande ?
Oui, les étudiants nous le réclament ; et nous savons d’expérience qu’ils n’ont pas toujours le temps ni pas toujours les moyens de faire des courses. Pour accompagner ce marché, nous distribuons même un « guide de recettes abordables pour les étudiants », publié par nos soins. On y trouvera par exemple la mousse de betterave rouge, les bananes caramélisées, ou le muffin aux carottes et au chèvre.

Antoine PARDESSUS

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Union130321a- Marne
Résidence : Vers la fermeture définitive de St-Nicaise

Les services du Crous, contigus à la résidence, quitteront eux aussi les lieux.
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La résidence St-Nicaise, sur le boulevard Henry-Vasnier à Reims, vit ses dernières semaines. Elle ne rouvrira pas à la prochaine rentrée universitaire.

Se trouvant désormais dans un état « déplorable », elle sera remplacée par une autre résidence à construire sur le campus Croix-rouge.

Les services centraux du Crous, contigus à St-Nicaise, eux aussi sont appelés à quitter les lieux, et le site sera alors revendu.

Ce dossier sera évoqué lors du conseil d’administration du Crous du 27 mars

 

 

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Union130320b- Marne
Basket Fêtés comme des champions

Les enfants ont été récompensés sous les applaudissements des parents.
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Samedi 16 mars, au gymnase Jean-Jacques Lapique à Croix-Rouge, un impressionnant plateau de mini-basket rassemblait 31 équipes mini-poussins et babyes, de 4 à 8 ans, mixtes, au total 156 enfants, pour des petits matches amicaux.

Cette manifestation était organisée par le Comité Marne de basket-ball et accueillie par le Reims Champagne basket, derrière le dynamique Franck Ostré, moniteur sportif du club.

Elle bénéficiait de la présence de trois joueurs pros du Champagne Châlons Reims basket, et s’est achevée par une remise solennelle de récompenses devant les gradins noirs de parents et amis.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union130320a- Marne
La galère quotidienne des habitants de l’allée Degas

Plusieurs habitants des immeubles de l’allée Degas ont demandé à déménager.
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REIMS (Marne). Incendies volontaires, portes fracturées, hall squatté, les habitants de plusieurs immeubles situés allée Degas n’en peuvent plus.

Trois mises à feu volontaires dans la même semaine, des portes fracturées, un hall allègrement squatté. Les habitants de plusieurs immeubles situés allée Degas n’en peuvent plus. Malgré les travaux réalisés par l’Agence de Rénovation urbaine tout autour, la vie n’en est pas pour autant plus paisible.

Illustration dans la nuit de dimanche à lundi avec une nouvelle mise à feu. La cible : un interrupteur. Pas grand-chose en soi. Mais après un feu de poubelle et une fenêtre dégradée au briquet quelques jours auparavant, la tension monte.

Rondes de vigiles

« L’atmosphère devient irrespirable. Les portes ne sont plus sécurisées. Tout le monde peut entrer et sortir comme il le souhaite. Je ne demande pas grand-chose mais juste de voir grandir mes enfants de façon convenable ». Comme cette jeune mère de famille, plusieurs riverains ont d’ores et déjà envoyé des demandes auprès de leur bailleur pour quitter cet ensemble d’immeubles.

Voilà plusieurs mois que l’Effort Rémois, le bailleur de l’allée Degas est au courant de ces dégradations. À chaque fois des techniciens interviennent pour réparer. Quitte à revenir quelques jours plus tard. Le bailleur tente bien de juguler le phénomène. Des signalements ont été effectués. « Des vigiles ont même été recrutés pour effectuer des rondes à certaines heures. Mais ces gamins se cachent et reviennent aussitôt que ces agents sont partis. On ne sait plus quoi faire ! » continue une autre riveraine. Du côté des forces de police, on est bien évidemment au courant de ces dégradations multiples et variées. Des rondes se font plus fréquentes certes « mais on ne peut pas mobiliser des effectifs sur un groupement de quatre immeubles toute la journée et toute la nuit ».

En attendant que les travaux de l’Anru touchent à leur fin et que des médiateurs tentent d’investir plus encore cet ensemble d’immeuble, les habitants devront serrer les dents encore quelques semaines.

Th. D

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130319d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7490 du 18 au 24 mars 2013.

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AVIS DIVERS

Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 4° étage, porte B à REIMS - Classement énergétique "D"- 59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).

Renseignements : I-MMOCOOP, au 03.26.97.67.37.

114095

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Union130319c- Marne
La Marmite, le nouveau resto socio-gastronomique

Le successeur du Bistroquet a été inauguré à Croix-du-Sud.
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A Croix-du-Sud, c’est désormais L’Assos’Café qui gère un café-restaurant convivial, un lieu de rencontres, pour les habitants, travailleurs et étudiants (Tél. 09.83.41.81.32.).

« C’est la première fois que je découvre que l’Etat est actionnaire d’un café ! », s’exclamait Michel Bernard, sous-préfet de Reims, lors de l’inauguration. En effet, grâce à des emplois aidés, l’Etat est au nombre des partenaires financiers, avec la Ville de Reims et Alpha logement l’Effort rémois.

Soixante-dix personnes s’entassaient dans la petite salle de restaurant à cette occasion, beaucoup de bénévoles et d’associatifs du quartier, charmés par un trio sympathique de rap, percussions et violon.

La députée Catherine Vautrin, le premier adjoint Eric Quénard et le directeur adjoint de l’Effort rémois étaient également présents à cette joyeuse cérémonie.

Le président Sébastien Jacques, toute son équipe réunie autour de lui, a fait l’historique de « cette structure socio-gastronomique à la cuisine prodigieuse, à des prix très raisonnables, œuvre d’une poignée d’irréductibles humanistes, créée le 17 décembre 2012 et qui favorise les échanges culturels, la participation locale, la convivialité entre tous : nous avons déjà enregistré 150 adhérents et servi 400 repas ! »

Il a terminé son intervention en dévoilant la nouvelle enseigne retenue par l’équipe et de nombreux habitants : « La Marmite ».

Marfod Serghini, le responsable du café-restaurant, et Nicolas Brocard, le chef cuisinier, accueillent le public du lundi au vendredi de 10 à 15 heures autour d’une cuisine traditionnelle et de saison ou tout simplement autour d’une boisson.

La Marmite, 5, avenue Léon-Blum (quartier Croix-Rouge) à Reims (tramway ligne B, station Léon-Blum).

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union130319b- Marne
Les dégradations continuent allée des Landais

L’histoire bégaie dans ce quartier. Après les multiples mises à feu volontaires de ces derniers jours, les pompiers ont dû une nouvelle fois intervenir Allée des Landais, dans le quartier Croix-Rouge.

Hier matin, vers 2 heures, c’est une voiture qui est parti en fumée. Elle était stationnée devant le centre médico-social du quartier.

Il ne fait guère de doutes quant à l’origine criminelle du sinistre. Rapidement sur place, les pompiers ont toutefois pu éviter la propagation.

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Union130319a- Marne
Feu dans un sous-sol

REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans la nuit de lundi à mardi 25, allée des Tourangeaux dans le quartier Croix-Rouge pour un incendie dans le sous-sol d’un immeuble collectif.

Les sauveteurs ont découvert l’origine du sinistre provoqué par un court-circuit sur un boitier électrique.

EDF-secours a pris l’intervention à sa charge.

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Union130318e- Marne
REIMS : Les Amis du fort de La Pompelle parient sur les jeunes

Une cérémonie digne sous l’Arc de Triomphe.
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L’association des Amis du fort de La Pompelle centre ses priorités sur la préparation du centenaire de la Grande Guerre et la préparation du congrès national de la fédération Maginot qui se tiendra à Reims les 17 et 18 septembre 2014 et rassemblera autour de 700 participants avec 250 porte-drapeaux.

Déjà une trentaine d’élèves volontaires des collèges Paul-Eluard de Verzy, Pierre-Souverville de Pontfaverger-Moronvilliers, Georges-Braque de Reims et des élèves du lycée François-Arago de Reims travaillent pour évoquer l’environnement rural et urbain dans cette grande zone de front qu’est la Marne et dans la proximité de leurs lieux de vie actuels.

Cette action prioritaire en direction des jeunes sera continuée.

Déjà en 2012, un voyage de collégiens et de lycéens encadrés par leurs professeurs avait eu lieu au mémorial de la Première Guerre mondiale à Meaux, suivi d’une cérémonie sous l’Arc de Triomphe, au cours de laquelle le président Hubert Walbaum avait ranimé la flamme, accompagné d’un collégien.

Les membres de l’association ont écouté un exposé du professeur Jacques Cohen, adjoint au maire de Reims, sur l’utilisation de la cartographie 3D pour superposer des données géographiques et photographiques tirées des canevas de tirs de la Grande Guerre dans un périmètre allant des Cavaliers de Courcy jusqu’au fort de la Pompelle.

Cette démonstration a permis également de découvrir le périmètre en relief des différents combats de la deuxième bataille de la Marne au cours des mois de mai et juin 1918.

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Union130318d- Marne
Les piscines déjà à l’heure d’été

« On supprime le maximum de créneaux qui mélangeaient public et clubs ».
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« On essaie de répondre aux attentes du publc qui a envie de profiter des beaux jours dès le printemps ». Photos : Chirstian LANTENOIS
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Le Nautilud ouvert de 9 à 18 heures non-stop le dimanche à partir de la fin du mois. C’est la grande nouveauté de la saison dans les piscines.

LA Ville a prévu que le printemps sera beau cette année. Du coup elle a décidé d’élargir les horaires de piscine dès maintenant.

A partir du 31 mars, grande nouveauté, le Nautilud sera ouvert de 9 à 18 heures non-stop le dimanche. Soit exactement comme en été. « D’habitude cette ouverture sans interruption le dimanche est réservée aux mois de juillet et août. On a décidé d’innover pour répondre à une demande. Notre politique est de faire un meilleur suivi de la fréquentation et de s’adapter en conséquence », souligne Pascal Vanscoor, responsable des piscines.

Les changements concernent également le mercredi matin au Nautilud qui est désormais ouvert au public de 8 heures à 11 h 45. A Orgeval, le bassin devient accessible le mercredi en fin d’après-midi de 16 heures à 17 h 45. « Nous l’ouvrons également le samedi matin de 9 heures à 11 h 30 », ajoute le responsable.

Les autres piscines restent aux horaires habituels. Voilà qui va décevoir plusieurs habités du bassin de Louvois qui espéraient aussi un élargissement : « Nous n’avons qu’une heure d’ouverture maximum par jour », dénonce un nageur. L’accès du public est prévu de 8 à 9 heures et certains jours de 11 heures à 11 h 45. « Sachant que l’évacuation des bassins s’effectue 15 minutes avant la fin de la séance, le temps de se changer, disons que cela laisse 20 minutes pour nager ! », poursuit le nageur.

« Il faut pouvoir accueillir les scolaires. De plus, on ne peut pas ouvrir toutes les piscines en même temps. On s’arrange pour qu’il y en ait toujours une qui soit accessible au public. La piscine Château d’Eau n’est pas très loin de celle de Louvois par exemple », répond M. Vanscoor.

Pas d’augmentation des tarifs

D’autres utilisateurs râlent de voir des couloirs d’eau réservés aux clubs inaccessibles et pourtant vides de nageurs : « Normalement cela ne doit pas arriver. Ce devait être épisodique. Dans le cas contraire, on fera le nécessaire pour y remédier. On a d’ailleurs supprimé le maximum de créneaux qui mélangeaient public et clubs ».

Les extensions d’horaires n’entraîneront ni augmentation des tarifs ni embauche de personnel supplémentaire : « Seulement une réorganisation ». Quant au soleil, Pascal Vanscoor fera le maximum pour qu’il brille sur la pelouse du Nautilud tous les dimanches jusqu’en septembre.

Catherine FREY

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Union130318c- Marne
Cross des écoles / Apprendre le goût de l’effort

Les enfants courent avec le soutien des adultes.
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A l’heure des récompenses.
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L’épreuve de mardi dernier avait dû être reportée à jeudi prochain, en raison de la neige abondante, mais, malgré le froid persistant, les écoliers de toutes les écoles de Reims se mesurent depuis jeudi, et durant quatre jours, sur un cross organisé conjointement par la ville de Reims, l’USEP, et l’EFSRA. M. Viet, délégué USEP, et Mme Sauret, de la direction des Sports, expliquent que cette épreuve, basée sur le volontariat des enseignants, avec la participation de classes complètes, se déroule sur cinq lieux, répartis géographiquement dans la ville (Parc de Champagne, Parc Europe, Parc Léo Lagrange, Parc Saint John Perse, et Complexe Georges Hébert) afin que les parents puissent venir encourager leurs enfants, et c’est bien le cas.

Cette course, qui existe depuis de nombreuses années, et remplace le cross de Noël, est l’aboutissement d’un long travail de préparation en amont, dans les différentes écoles. A la suite du Marathon de Reims et du relais USEP, c’est encore une épreuve visant à développer chez les enfants le goût de l’effort et la persévérance. Selon leur âge, du CP au CM2, les enfants parcourent entre 600 et 1800 m, avec, dans un premier temps, une course maîtrisée, modérée par les adultes en tête, puis à leur rythme sur le reste du parcours.

Des récompenses sont prévues chaque jour par école, ainsi que des médailles individuelles pour les trois premières filles et trois premiers garçons de chaque course. Un goûter est également prévu pour tous les participants

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Union130318b- Marne
Le pyromane de l’allée des Landais récidive

REIMS (Marne). Pendant deux nuits, il s’est tenu tranquille mais cela semble plus fort que lui. Samedi soir, le pyromane de l’allée des Landais a ressorti le briquet pour incendier des ordures dans le local du n°3. Les pompiers ont été alertés vers 22 h 30. A leur arrivée, une épaisse fumée montait dans la cage d’escalier.

« J’habite au deuxième. Quand j’ai ouvert la porte, le couloir était tout noir. La fumée entrait dans mon appartement », rapporte un locataire. « On est dégoûté. Ça n’arrête plus. On se demande qui peut faire ça. »

La série a commencé lundi à 23 h 45 avec la mise à feu des trois conteneurs en plastique déposés à l’extérieur de l’immeuble. Une quatrième poubelle a brûlé mardi à la même heure.

L’incendie suivant s’est déclaré mercredi à 2 h 45 dans le local à vide-ordures, ainsi que la nuit d’après, mais plus tard, à 4 h 30. Manifestement, le pyromane du n°3 aime bien varier les horaires car jamais il n’avait sévi aussi tôt que samedi soir. A force de jouer avec le feu, va-t-il se brûler la moustache ?

D’autres incendies dans la nuit

De nombreux autres incendies ailleurs qu’allée des Landais ont illuminé la nuit de samedi à dimanche. A 22 h 20, une Peugeot 407 est partie en fumée place Pierre-de-Fermat. Une Audi A4 et une BMW ont connu le même sort place Dominique-Ingres à 1 h 50, ainsi qu’un fourgon Mercedes Vito rue de la Commune à Saint-Brice-Courcelles à 2 h 45 (il n’était pas signalé volé).

Des poubelles ont également brûlé sous un porche de la rue de Pouillon à 20 h 10 et rue de Florence à 5 h 30, tandis qu’à 20 h 45, des prospectus ont été mis à feu dans un hall d’immeuble de l’allée Edgar-Degas, au n°3 (décidément !).

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Union130318a- Marne
Reims : voiture en flammes

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus une nouvelle fois ce lundi à 2 heures allée des Landais dans le quartier Croix-Rouge où une voiture en stationnement devant le centre médico-social était la proie des flammes. Le sinistre a été éteint en présence de la police au moyen d’une petite lance.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130317b
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7489 du 11 au 17 mars 2013.

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Croix Rouge Université : le quartier mute

La résidence Saint-John Perse, « exemplaire et innovante ».
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19 M€ sont investis dans le secteur Eisenhower dans un ensemble de constructions durables assurant une mixité sociale et fonctionnelle.

Sous l’effet des aménagements du tramway et du programme de renouvellement urbain, l’entrée du quartier Croix Rouge, côté Eisenhower, a déjà changé de physionomie. Avec son architecture décalée et ses façades à bandelettes vertes, l’immeuble de 51 logements qui se dresse dans le virage face à la faculté de droit et lettres n’y est pas pour rien. Inaugurée le 7 mars dernier en présence des élus de Reims et du sous-préfet, la résidence Saint-John Perse est aux yeux de Patrick Baudet, directeur de Reims Habitat, « exemplaire et innovante », d’abord sur le plan environnemental. En témoignent les labels BBC Effinergie et Habitat et Environnement qui annoncent un bâtiment économe en charges, et l’installation d’un procédé écologique d’adoucissement d’eau collectif développé par l’entreprise Eco-Bulles de Cormontreuil, une première dans la région pour un organisme logeur. Exemplaire, la résidence veut l’être aussi sur le plan de la mixité sociale et fonctionnelle « gui participe à la commande de la collectivité sur le quartier », avec des loyers intermédiaires, entre loyer social et prix du marché, qui vont attirer une autre typologie de locatai-res, et de l’activité économique en pied d’immeuble.

UN TRÈS BON EMPLACEMENT

Une Station de tramway, proximité du campus et du centre commercial de l’Hippodrome, fort trafic de population, grande visibilité : les huit cellules commerciales aménagées au rez-de-chaussée présentent les garanties d’un très bon emplacement. En sont notamment convaincues deux habitantes du quartier qui ont déjà réservé la leur, l’une pour relocaliser son auto-école située plus loin, l’autre pour créer une activité nouvelle de déstockage de produits alimentaires et non alimentaires.

Deux autres opérations répondant aux mêmes critères de mixité des fonctions vont être mises en chantier sur place sous maîtrise d’ouvrage de Reims Habitat : la résidence de logements sociaux Robert de Sorbon (32 logements et un pole de santé en rez-de-chaussée), dont la première pierre a été posée le 7 mars pour une livraison en mai 2014, et l’Hôtel des Solidarités, un immeuble de bureaux « Haute Performance Énergétique » qui sera dédié au secteur de l’économie sociale et solidaire et devrait ouvrir début 2015. Pour Eric Quénard, ler adjoint à la maire de Rèims et président de Reims Habitat, « l’ensemble de ces programmes est conçu pour faire le lien avec l’environnement, en particulier avec l’université et le futur Pôle urbain de l’innovation et de la recherche porté par Reims Métropole. »

CATHERINE RIVIÈRE


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L’État accompagnera le projet du Grand campus universitaire

Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a visité le campus Croix-Rouge, à Reims. Si les collectivités s’engagent dans la "refondation" de ce site, l’État suivra, assure celle qui a aussi visité le pôle IAR.

Il n’est pas encore question de chiffres, mais suite à l’appel de Gilles Baillat, président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne au sujet du projet du Grand campus à Croix-Rouge, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a répondu ceci : « Tout est possible quand un projet est bon et partagé. Quand l’ensemble des collectivités s’engagent, l’État les accompagne ».

Gilles Baillat est en tout cas enthousiaste à propos de ce site qui, en plus de mettre fin au délabrement de certains bâtiments universitaires, doit créer un lieu de vie ouvert sur la ville : « Nous souhaitons un campus durable dont on pourra être encore fier en 2050 ». Il justifie ainsi les sommes à engager : « Notre projet est un investissement qui parie sur l’avenir. Comme disait Abraham Lincoln : si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance ». Adeline Hazan ajoute que le campus est lié au grand pôle urbain de l’innovation que Reims Métropole prévoit au sud de l’agglomération.

ENTRE MODERNITÉ ET PATRIMOINE

Impressionnée par la modernité de la bibliothèque universitaire, Geneviève Fioraso a dévoilé, tout en contraste, la plaque qui symbolise le label patrimoine du-XX" siècle pour les fameuses ‘‘ coquilles " du campus Croix-Rouge. La ministre de l’Enseignement supérieur a aussi profité de sa visite rémoise pour souligner l’importance des Instituts Universitaires de Technologie. Alors que les formations techniques ont trop longtemps été « les parents pauvres de la formation », elle souligne l’exemplarité de l’IUT de Reims avec qui elle partage la priorité donnée à « la réussite étudiante sa priorité et à l’insertion professionnelle ».

PHILIPPE DEMOOR


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CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 24 février 2013, il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : S.A.R.L.
DENOMINATION : RCC.
CAPITAL : 1.000 € (mille €uros), divisé en 100 parts de 10 € chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : — Maçonnerie générale, béton armé ; — Ravalements façades, carrelages, peinture bâtiment et tous autres travaux connexes.
_DUREE : 99 années à compter de son immatriculation.
_SIEGE : 9 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS.
GERANCE : Monsieur CECEN Ramazan, demeurant 9 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
DEBUT D’ACTIVITE : Dès l’immatriculation au R.C.S. de REIMS (Marne).
Pour avis : 113845 Le gérant.

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Union130317a- Marne
« Défense des enfants »

Marie Derain, chargés de la défense et de la promotion des enfants en France, sera à Reims le jeudi 21 mars.

Invitée l’Unicef Campus Reims, elle y donnera une conférence à 18 heures dans l’amphithéâtre de Sciences Po, dans l’ancien collège Jésuites, place Museux.

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L’hebdo du vendredi- N° 296- 130315c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 296 - Semaine du 15 au 21 mars 2013


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Conseil de quartier - Croix-Rouge : Régler le stationnement de l’IRTS

La thématique du stationnement était le sujet phare de la dernière séance plénière à Croix-Rouge. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Michel Charpy, directeur de l’IRTS, était présent pour s’expliquer sur les débordements sur le stationnement de certains de ses étudiants. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Depuis 2009, les habitants de la rue Dauphiné voient régulièrement certains étudiants de l’Institut Régional du Travail Social se stationner arbitrairement sur les trottoirs et devant leurs portes de garage. Après une troisième pétition, les riverains exigent une réaction immédiate.

Outre les problèmes de stationnement étant survenus près du campus de Reims Management School et derrière le lycée Arago ces dernières années, la situation autour de l’IRTS commence à entrainer une réelle colère de certains résidents des habitations situées à proximité directes de l’établissement, en particulier ceux de la rue du Dauphiné. La séance plénière du conseil de quartier Croix-Rouge était donc l’occasion idéale pour eux d’exprimer leur mécontentement.

Pour Claude Luc, l’un des habitants à l’initiative de la pétition, « cette démarche est avant tout citoyenne pour que ce problème se règle enfin, et au plus vite, car on est là dans une vraie incivilité. » Et les incivilités viendraient donc d’une partie des étudiants de l’IRTS tout proche, des jeunes conducteurs « sans gène et se garant n’importe où ». Directement visé, Michel Charpy, directeur général de l’institut, et qui avait fait le déplacement salle Mauriac pour la séance plénière, reconnaît « avoir eu portée à sa connaissance cette épineuse question de stationnement. Il faut toutefois comprendre que chez nous, il y a 600 étudiants et 2 000 stagiaires par an, pour seulement 130 places à l’intérieur du site, dont beaucoup sont réservées aux employés. On est donc limité et c’est parce que nous sommes bien conscients du problème que nous avons réalisé un investissement de 60 000 euros pour ouvrir un portail facilitant l’accès vers le parking de l’université, situé à 250 mètres. Les aménagements ont déjà été réalisés, il ne reste plus qu’à installer l’éclairage pour plus de sécurité. ».

Problème déjà réglé donc ? Pas si sûr car à l’heure actuelle, beaucoup d’étudiants refusent encore de profiter de ces nouvelles places mises à leur disposition. Pourtant, « 250 mètres ce n’est franchement pas loin, c’est ce qu’il faut bien rappeler aux étudiants », souligne Eric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims, venu justement parler stationnement. D’une manière générale, l’élu socialiste rappelle que « la problématique du stationnement touche de toute manière l’ensemble de Pays-de-France, principalement car c’est un secteur bâti dans les années 1970, à une époque où l’utilisation de la voiture n’était pas du tout la même que maintenant. » S’adressant directement aux habitants du Dauphiné, l’élu reconnaitra en conclusion « qu’il est vrai qu’aux vues des travaux actuels engagés sur le quartier, j’ai donné des consignes de souplesse à la police municipale dans la verbalisation (sauf sur les places handicapées et zone pompier), ce qui peut laisser certaines largesses aux étudiants de l’IRTS. Mais je vous promets que le problème sera réglé. » L’engagement est pris, les riverains attendent désormais des résultats dans les plus brefs délais.

Aymeric Henniaux


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L’engagement citoyen : c’est facile ?

Mardi 19 mars, de 13 h 30 à 17 h, l’Uriopss Champagne-Ardenne et la Chaire économie sociale et solidaire commune à l’Université de Reims-Champagne-Ardenne et à Reims Management School, organisent une conférence sur l’engagement citoyen au campus Croix-Rouge de l’Université. Laetitia Lethielleux, titulaire de la Chaire d’économie sociale et solidaire, restituera ses travaux. La conférence sera suivie d’une table ronde sur l’engagement citoyen.

Programme détaillé sur www.uriopss-ca.asso.fr.

Liens : www.uriopss-ca.asso.fr


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Les principaux temps forts

Du 18 au 24 mars, plusieurs autres rendez-vous sont au programme de la semaine de la santé mentale. A commencer par l’exposition mise en place par le CMP Maupassant à l’hôpital Robert Debré (de 8h à 20h), ou la projection, jeudi 21 (15h à 18h) et vendredi 22 (16h à 19h) du film L’alcool en questions- Paroles de Patients par le Centre d’Addictologie Médico-Psychologique à la médiathèque Croix-Rouge. Les 18 et 21 mars, l’Union Nationale des Amis et Familles de Malades Psychiques proposera également la projection d’un film, Le fils de la famille (Maisons de quartier Arènes du Sud et Epinettes). Mardi 19, le principal événement sera la tenue d’une conférence débat autour du thème Ville et Santé Mentale, organisée par la Ville de Reims, l’EPSMM (Etablissement Public de Santé Mentale de la Marne), le CHU (Centre Hospitalier Universitaire) et l’UNAFAM (18h à 20h30, Hôtel de Ville). Entre 18h et 20h le jeudi 21, la Maison de la Vie Associative accueillera le Service Communal d’Hygiène et de Santé de la Ville de Reims pour un bilan du Conseil Local autour de la Souffrance Psychique.

Enfin vendredi 22, le slam sera à l’honneur avec une scène spéciale proposée à la médiathèque Falala par le Foyer de l’Amitié à partir de 14h, et une soirée dédiée au Cafégem dès 17h.

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Union130315b- Marne
DANSE SUR GLACE : Cap sur les France

Grosse affluence à cette quatrième foire aux vêtements.
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Huit Rémois du Rap (et un couple) et cinq Châlonnaises (et un couple) ont décroché leur visa pour les France (il faut être classé dans les dix premiers après cinq compétitions).

Les solos ont rendez-vous du 5 au 7 avril à Saint-Gervais, les couples les auront précédés (23 et 24 mars à Clermont-Ferrand).

LES QUALIFIÉS

Benjamins 2e année : 6. Alan Da Silva Moutinho (Rap) ;
minimes 1 : 5. Evangéline Braconnier (Rap, photo) ;
minimes 2 : 1. Léna Bailly (Châlons), 4. Myrtile Navarro (Rap), 10. Marine Mélis (Rap) ;
novices 1 : 1. Chloé Aubriet (Châlons), 9. Mélusine Jacquier (Châlons), 10. Clémence Christy (Châlons) ;
novices 2 : 4. Marion Lecomte (Châlons), 8. Jeanne Reppel (Rap) ;
novices 3 : 3. Juliette Wary (Rap) ;
espoirs 2 : 4. Camille Renault (Rap) ;
juniors-seniors : 8. Solène Manceaux (Rap).
Couples : Lila-Maya Seclet-Monchot/Adrien Masseon (Châlons, minimes), Delphine Ferru (Besançon)/Renan Manceaux (Rap, Novices).

 

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Union130315a- Marne
judo

Le week-end dernier, Fleur Wargnier, judokate du Dojo rémois, a mis fin à une interminable disette de médaille marnaise. A l’INJ Paris, cette frêle jeune fille, cadette, de 15 ans a décroché le bronze chez les moins de 40 kg.

L’élève de Baptiste Soyer (club) et de Laurent Péronne et Alexandre Pigorot (au pôle espoir du Creps de Reims) y a mis la manière. Six combats et un seul perdu (contre la future championne de France). « Ses cinq victoires ont été acquises par ippon », souligne Alexandre Pigorot.

Venue au judo parce que ses parents cherchaient une activité pour qu’elle se dépense, Fleur n’a plus quitté la discipline. Cette année, elle vit sa dixième saison en kimono, sa deuxième au pôle. « Je sens que j’ai bien progressé », avoue-t-elle.

A raison d’une séance quotidienne, quelquefois deux, la minuscule Rémoise, élève en seconde au lycée Arago, améliore ses techniques, notamment les mouvements d’épaule… que craignent ses adversaires.

Y.D.

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Union130314e- Marne
A l’école Blanche-Cavarrot : .0Slam et devoir de mémoire

Yvonne Chatelain, résistante, a témoigné devant des élèves, en compagnie des Ateliers Slam.com
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« A travers le slam, les enfants travaillent, extériorisent des problématiques personnelles. Pour eux, l’écrit, ça devient quelque chose qui leur permet d’avoir un moyen de poser leurs problématiques.

Nous avons eu des textes poignants : j’en vois la restitution. Les enfants qui sont en grande difficulté de maîtrise de la langue, osent s’approprier celle-ci » confie Bertrand Dubois, directeur de l’école primaire Blanche-Cavarrot. Il se félicite du partenariat engagé avec « Les Ateliers Slam.com », et notamment avec Laurent Etienne : « Il y a tout un travail citoyen à travers le slam, autour de ces séquences d’écriture, c’est une posture d’écoute, de respect de ce qui est écrit ».

Ce lundi, l’atelier d’écriture n’est pas un atelier comme les autres : Yvonne Chatelain, ancienne résistante et déportée vient rencontrer la classe de CM2 de Gaëlle Oudot pour leur raconter toute son histoire. Les enfants écoutent avec la plus grande attention. A la suite de cet entretien, Laurent Etienne va mettre en place, des ateliers d’écriture autour des valeurs de la résistance. Le travail se poursuivra avec une scène de restitution, en partenariat avec les enfants de l’école La Providence, qui bénéficient des mêmes ateliers.

 

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Union130314d- Marne
A la maison de quartier Croix-Rouge : Une foire aux vêtements attendue

Grosse affluence à cette quatrième foire aux vêtements.
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Samedi, le groupe Escapades de la Maison de quartier Croix-Rouge (espaces Billard et La Nacelle) a organisé sa quatrième foire aux vêtements.

Une fois de plus, ce collectif a démontré son savoir-faire et son implication dans la Maison de quartier : « Plus de 150 personnes, pour qui, visiblement, cette manifestation était attendue et nécessaire, sont venues de Croix-Rouge, mais aussi de Maison-Blanche et même d’Europe » précise Jean-Marie Blancart, l’un des bénévoles organisateurs : « si le groupe a pu, grâce à la recette, financer une partie de son voyage en Touraine, il a aussi contribué à aider une population démunie et de plus en plus touchée par la crise ».

Le groupe Escapades donne d’ores et déjà rendez-vous aux habitants du quartier au repas hongrois qu’il organisera le vendredi 12 avril prochain à l’espace Billard, avec une animation karaoké et une séance d’initiation à la danse country.

 

 

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Union130314c- Marne
Loto et brocante de l’Étoile Croix-du-Sud

L’association Étoile Croix-du-Sud organise une soirée loto le vendredi 15 mars dans la salle associative au 5, avenue Léon-Blum.
Ouverture des portes à 19 heures, début des jeux à 20 heures.

Par ailleurs, l’Étoile Croix-du-Sud prépare dès maintenant sa « Folle brocante » pour le mercredi 8 mai, sur le parking de la rue Laurencin.

Ouverte à tous, sauf aux professionnels, les réservations sont ouvertes (2 euros le mètre) au secrétariat (03.26.06.56.66.) de 9 à 11 heures et de 14 à 16 heures.

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Union130314b- Marne
Un incendiaire allée des Landais

Après l’allée des Tourangeaux, où les incendies ont cessé, c’est au tour de l’allée des Landais de connaître une série de feux de poubelles. Trois conteneurs ont brûlé d’un coup, par propagation, lundi à 23 h 45. Mardi à la même heure, une autre poubelle a été mise à feu au n° 3.

La neige et le froid ont-ils dissuadé le vandale de remettre le nez dehors ? Vers 2 h 45, hier matin, un nouvel incendie s’est déclaré au n° 3, mais dans le local à vide-ordures.

Un feu de poubelle s’est également déclaré rue du Docteur-Schweitzer, mardi à 1 h 45, tandis qu’hier minuit, un incendie a été allumé dans une maison désaffectée - et squattée de la rue Géruzez, à l’angle de la rue Maldan.

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Union130314a- Marne
Feu dans un sous-sol

REIMS (Marne). Comme les jours précédents, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce jeudi à 4 h 40 allée des Landais dans le quartier Croix-Rouge pour un important dégagement de fumée en provenance du sous-sol d’un immeuble collectif.

Munis de leurs appareils respiratoires isolants, les sauveteurs ont maîtrisé le sinistre au moyen d’une petite lance.

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Union130313d- Marne
L’affaire Atané gêne

Sophie Atané le jour de l’audience. Si son jugement est confirmé en appel, les conditions de travail de tous les salariés des résidences de retraités Arfo pourraient changer.
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REIMS (Marne). Maltraitances, harcèlement moral et conditions de travail illégales… la victoire de Sophie Atané devant les prud’hommes embarrasse l’Arfo. Qui fait appel.

« NOUS faisons appel sur tout le jugement concernant Mme Atané. Je ne vais pas commenter une décision de justice mais il est impossible pour nous de ne pas faire appel », lâche Alain Simon, directeur général de l’association de résidences foyers (Arfo) qui gère seize établissements pour personnes âgées sur le secteur de Reims.

Le ton du directeur général laisse entendre que le jugement du conseil de prud’hommes rendu le 28 février a été reçu comme un coup de massue au siège de l’Arfo avenue d’Épernay.

Il a fallu prendre acte de l’annulation du licenciement de Sophie Atané (notre édition du 29 février). La salariée a été reconnue comme étant de bonne foi quand elle a dénoncé des faits de maltraitance de la part de la directrice sur les résidents de l’établissement Lucien-Doyen.

Parmi les faits énoncés, les juges ont retenu la pratique de la directrice de placer hors de portée des résidents les colliers-alarmes au prétexte qu’ils en abusaient. Selon Mme Atané, la directrice réprimandait les seniors s’ils sonnaient trop souvent pour appeler le personnel. En conséquence, il serait arrivé de retrouver des personnes à terre dans leur appartement, parfois au bout de 24 heures.

Travail du dimanche illégal

La direction a également dû prendre acte de la décision des Prud’hommes d’ordonner la réintégration de Mme Atané au sein du personnel. Procédure d’appel ou pas, l’ancienne hôtesse aide à vivre est censée retrouver son poste le 21 mars prochain. À ce jour, son retour ne semble pas avoir été organisé : « Je n’ai pas été contactée par l’Arfo. J’avoue que cette situation est assez inconfortable », confie la salariée.

Enfin, il a été reconnu qu’elle a bien été victime de harcèlement moral. Des propos du type : « Vous êtes conne ou quoi, faites pas chier » auraient été tenus par la directrice à son adresse.

Il n’y a pas que cela. Une seconde partie du jugement porte sur les conditions de travail de Sophie Atané et donc, par extension, sur les conditions de travail de tous les salariés de l’Arfo. C’est peut-être cette partie qui tracasse le plus le directeur général. « Le conseil a jugé que le travail du dimanche à l’Arfo n’a pas de fondement juridique faute d’autorisation de la préfecture », souligne Gérald Chalon, avocat de la salariée.

16 nuits par mois

Autre coup de tonnerre : « Le travail de nuit était géré sous le régime de l’astreinte, les juges considèrent qu’il doit être payé heure par heure », poursuit l’avocat. Mme Atané devait effectuer en moyenne 16 nuits par mois. Des nuits pendant lesquelles elle devait non seulement répondre aux appels des résidents mais aussi gérer les situations liées à ces appels. « Il ne s’agit pas d’une simple permanence mais bien d’heures de travail. »

Mme Atané, rémunérée sur la base de 35 heures, touchait 1 380 euros brut par mois (auquel il faut ajouter un logement gratuit). Les prud’hommes relèvent qu’« elle enchaînait à la fois une journée de travail et une nuit de travail, elle-même suivie d’une autre journée de travail. » Le tout sans respect des temps de pause.

Si ce jugement devait être confirmé en appel, une petite révolution des conditions de travail se profile à l’Arfo.

Catherine FREY

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Union130313c- Marne
TENNIS : France par équipe (15-16 ans) : Un petit tour et puis s’en va…

Dommage pour Maêva Spooner et ses coéquipières.
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Le parcours des filles du TC Géo-André a été rapidement écourté. En déplacement à Fontenay-sous-Bois lors du premier tour, Maêva Spooner et ses copines n’ont rien pu faire, comme en témoigne le score sans appel de 3-0. Chez les garçons, le CO Saint-Dizier n’a pas fait mieux en s’inclinant 2-1 à Blois.

FONTENAY-SOUS-BOIS. — US Fontenay bat TC Géo-André 3-0.

Kassandra Davesne (3/6, Fontenay) bat Maêva Spooner (3/6, Geo-André) 6-0, 6-1 ; Eloine Guery (4/6, Fontenay) bat Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) 6-0, 7-6.

Kassandra Davesne-Eloine Guery battent Lisa-Marie Habert-Angela Charles-Alfred (4/6, Géo-André) 6-7, 6-4, 1-0.

 

 

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Union130313b- Marne
Menacée et expulsée de chez elle par son ex

Un Rémois de 45 ans se retrouve convoqué le 24 mai devant le tribunal correctionnel pour avoir eu un comportement très incorrect envers sa concubine.

Samedi soir, après avoir trop bu, l’homme s’est énervé et a menacé à plusieurs reprises de la « buter ». Il l’a ensuite mise à la porte de l’appartement, avenue Georges-Hodin, alors même que le bail est au nom de la dame. Interpellé par les policiers, l’excité accusait un taux de 0,77 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit 1,54 gramme par litre de sang. Il a dit regretter son geste et a présenté ses excuses.

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Union130313a- Marne
Reims : conteneurs en flammes

Peu avant minuit, dans la nuit de mardi à mercredi, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans le quartier Croix-Rouge allée des Landais à hauteur de l’allée des Bourguignons pour des conteneurs à ordures qui étaient en flammes alors que la neige tombait encore ! Le sinistre a été maîtrisé au moyen d’une petite lance.

A 2 h 55, ils étaient de retour allée des Landais, cette fois pour éteindre un feu dans un local vide-ordures.

La police a ouvert une enquête.

Cela fait plusieurs nuits que des sinistres sont signalés dans ce secteur urbain.

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Union130312e- Marne
Bien préparer l’été Forum infos vacances le 23 mars

Avec pour principaux partenaires la Ville de Reims, la CAF et la SNCF, l’association des Maisons de quartier organise un Forum Infos Vacances le samedi 23 mars à l’Espace Billard, 14, rue Taittinger à Reims de 13 h 30 à 18 h 30.

Il rassemblera notamment tous les dispositifs d’aides aux vacances (en particulier CAF, Jeunesse au Plein Air, ANCV, UFCV) proposés par les organisateurs aussi bien en matière de colonies que de départs en famille, week-ends et loisirs, voyages accessibles à tous, séjours pour enfants, adolescents et adultes.

Sera présentée la palette d’activités proposée par la Ville de Reims et les Maisons de quartier pendant les vacances scolaires.

Forum Infos vacances, espace Billard, 14, rue Taittinger le 23 mars de 13 h 30 à 18 h 30. Bus ligne 11, arrêt Campus Croix-Rouge. Tramway ligne A et B.

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Union130312d- Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

Maître d’ouvrage : L’EFFORT RÉMOIS, S.A. d’H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. sous numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, B.P. 324, 51061 Reims cedex.

Affaire : construction d’un foyer logements de 69 appartements, site HSBC, avenue Robert-Schuman, 51100 Reims. Référence marché : CN-121211.

Attributaires :

Lot Corps d’état Entreprise Montant € H.T. 01 Gros oeuvre CARI (51) 1.095.431,79 € (Retrait du poste terrassement pour 82.568,21 € H.T)
02 Charpente bois bardage bois GILBERT THIÉRACHIENNES CHARPENTES (02) 61.038 €
03 Couverture Zinguerie CTB (02) 60.185,88 €
04 Étanchéité EZ ETANCHE (101 77871,68 €
05 Ravalement – Isolation par l’extérieur FCC (51) 152.835,88 € (125.000 offre de base et en sus échafaudage pour 10.000 € H.T. et ITE sous végétalisation pour 17835,88 € H.T)
06 Menuiseries extérieures PVC DENIS Patrick (51) 61.947,60 €
07 Menuiseries extérieures acier/aluminium PAQUATTE (55) 47000 €
08 Serrurerie ARTT PRODUCTION (08) 247.580 €
09 Menuiseries intérieures CARI (51) 141.594,28 €
10 Plâtrerie isolation MENUISERIE CHARPENTE DU VILLON (02) 136.578,72 €
11 Courants forts et faibles BLANCHARD (51) 239.500 €
12 Chauffage Ventilation KOCH (02) 231.000 €
13 Plomberie sanitaires COLAS Francis (08) 257.714,29 €
14 Carrelage DALPAC SERVICES(51) 23.332,93 €
15 Sols souples LAGARDE ET MEREGNANI (51) 144.000,92 €

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Union130312c- Marne
Danse sur glace (Tournoi de France) / Record en vue

La Châlonnaise Léna Bailly est montée sur la première marche du podium en Minimes 2.
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Il va falloir patienter un peu avant de savoir qui a décroché son billet pour les championnats de France. Bien sûr, à Châlons et à Reims (Rap), on a évalué les chances des unes et des autres. Mais, après cinq étapes du tournoi de France, la dernière ce week-end à Fontenay-sous-Bois, il faut retenir les trois meilleurs résultats et établir la liste des dix premiers de chaque catégorie.

Dans une compétition francilienne (dont était absent le club de Belfort, qui avait déjà son quota de tournois), les Marnais ont dominé les débats. On s’achemine vers une participation marnaise record.

Châlons : tous qualifiés

Pour un peu, le club préfectoral aurait ramené un 100 % de son déplacement dans la banlieue. « Dommage que Marion (Lecomte) ait chuté d’entrée », regrette Alexandre Piton. « Elle n’était pas loin de la première place ». Après cet accroc, la jeune Châlonnaise a montré ses qualités morales et techniques pour prendre la 2e place de la compétition.

Léna Bailly, Chloé Aubriet et le couple Lila-Maya Seclet-Monchot/Adrien Masseron sont montés sur la première marche du podium. « Tous les membres de notre équipe (5/5 solos et un couple) sont qualifiés. Léna (Bailly) et Chloé (Aubriet) sont en tête de leurs catégories », se réjouit Alexandre Piton.

Reims : en progrès

Le Rap est en progrès. Avec deux places de 1re en Solos et une en couple, le club du président Jean-Luc Ployé a pris date pour les France.

Car, c’est bien dans quinze jours à Clermont-Ferran (couples) et dans un mois à Saint-Gervais (Solos) que l’on saura si oui ou non, la saison est réussie. A Fontenay, Evangéline Braconnier et Camille Renault ont décroché la victoire, entraînant leurs camarades dans leur sillage pour un succès par équipes.

Y.D.

Benjamins 2 : Alan Da Silva Moutinho (Rap Reims) 4e.
Minimes 1 : Evangéline Braconnier (Rap) 1rre, Jeanne Georges (Rap)
Minimes 2 : Léna Bailly (Châlons) 1re ; Myrtile Navarro (Rap) 5e, Marine Melis (Rap) 7e, Clémentine Rocher (Rap) 9e, Marine Credot (Rap) 16e.
Novices 1 : Chloé Aubriet (Châlons) 1re, Clémence Christy (Châlons) 3e, Mélusine Jacquier (Châlons) 6e, Ylona Kebe (Rap) 14e.
Novices 2 : Marion Lecomte (Châlons) 2e, Jeanne Reppel (Rap) 3e.
Novices 3 : Juliette Wary (Rap) 2e, Camille Leblon (Rap) 7e.
Espoirs 1 : Morgann Prey (Rap) 8e.
Espoirs 2 : Camille Renault (Rap) 1re, Eva Lemaire (Rap) 3e.
Juniors-seniors : Solène Manceaux (Rap)
Couples Bronze : Lila-Maya Seclet-Monchot - Adrien Masseron (Châlons) 1er.
Couples Argent : Delphine Ferru - Renan Manceaux (Besançon-Reims) 1".

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Union130312b- Marne
Reims : conteneurs en feu

Ce mardi vers 1 heures, les sapeurs-pompiers de Reims ont été requis au 3 et 5, allée des Landais dans le quartier Croix-Rouge pour trois gros conteneurs à ordures qui étaient la proie des flammes.

Une heure plus tard, ils se rendaient rue du docteur Albert-Schweitzer dans le quartier Orgeval pour éteindre d’autres conteneurs à ordures qui avaient pris feu malgré le froid et de petites chutes de neige.

Les sinistres ont été rapidement maîtrisés.

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Union130312a- Marne
Voitures en feu

Très récemment, les services de police, de justice et ceux de la Ville se félicitaient de la baisse des chiffres de la délinquance. Non sans oublier de préciser qu’il restait encore beaucoup de travail. La nuit de samedi à dimanche l’a bien montré avec pas moins de huit véhicules qui sont partis en fumée.

Samedi vers 19 h 30, une 306 a été mise à feu rue de la Bonne-Femme, dans le quartier Wilson.

Rue du Bétheny, aux environs de trois heures dimanche, six voitures ont brûlé dans une casse auto. La police ignorait dimanche si les six véhicules ont été mis à feu où si cinq d’entre eux avaient subi une propagation.

Enfin, dans le quartier Croix-Rouge, allée des Landais, une autre voiture a été incendiée vers 7 h 30. Il va sans dire que l’ensemble de ces dégradations sont d’origine volontaire.

Lundi vers une heure du matin, c’est une 307 qui a subi le même sort dans la rue Charles-Roche (Orgeval).

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Union130311b- Marne
Des jeunes embellissent plusieurs halls de caves

Quelques-uns des jeunes volontaires.
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- Voir toutes les photos.

Le dispositif SCop’Ados est renouvelé cette année sur le secteur de Croix-du-Sud. Un chantier de remise en état et d’embellissement des halls des caves de l’immeuble du 8, place Dominique-Ingres, a déjà été retenu sur quatre matinées pendant les vacances de Noël 2012, avec un groupe de 7 adolescents. Pour les vacances d’hiver 2013, du 18 au 22 février, un nouveau groupe s’est activé, en matinées de 9 à 12 heures, à embellir le hall des caves du 3, place Edgar-Degas.

Développer les liens entre générations

A la fin du chantier, un pot de l’amitié était organisé entre ces jeunes volontaires et les locataires de chaque immeuble. « Une bonne quinzaine d’habitants de tous âges sont venus partager ce moment de convivialité et sont allés voir le travail réalisé dans les caves » se souvient Nicolas Quinquis, de l’Effort rémois : « Tous ont été très satisfaits du travail réalisé et la tenue du pot a permis aux jeunes et aux habitants d’engager des échanges intéressants. »

L’encadrement de ce dispositif est assuré par un groupe de pilotage, formé par l’éducateur de prévention du secteur du conseil général (Cédric Benadjaoud), d’un animateur de la Maison de quartier Croix-Rouge (David Gameiro) et d’un responsable de l’agence de l’Effort rémois de Croix-du-Sud (Nicolas Quinquis).

Ce dispositif est soutenu financièrement par l’association Alpha-logement et entre dans le Contrat Urbain de Cohésion Sociale. Ces financements permettent de voir aboutir de nombreux projets de loisirs pour les jeunes engagés : week-end dans les Vosges, stade de France, Aquaboulevard, Center Parcs…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union130311a- Marne
Les logements poussent comme des champignons

Une nouvelle résidence en construction à l’angle de la rue du Bastion et du boulevard Carteret. Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne). Les programmes immobiliers continuent de sortir de terredans l’agglomération de Reims.Un phénomène qui ne devrait passe ralentir même si la Ville souhaite une diversification des types de logement. Inventaire non exhaustif…

LES grands panneaux annonçant la construction d’un nouvel immeuble poussent comme des champignons à Reims et dans son agglomération. Le choix s’avère vaste pour les candidats au « chez-soi » et les investisseurs, sachant que des programmes vont être lancés dans les jours qui viennent, notamment lors du salon régional de l’Immobilier (lire par ailleurs). Voici un florilège de ces logements proposés à la vente, quasiment tous éligibles au dispositif de défiscalisation Duflot.

Encore disponibles

Ces programmes sont quasiment tous sortis de terre et presque habitables pour certains.

A Croix-du-Sud, Plurial propose un dispositif de location/accession pour 22 logements à 1800 € le m2. Sur des produits à la vente simple, à moins de 3000 € le m2, il reste des logements aux Jardins de Sainte-Clothilde (près de la basilique – Patrimoine Promotion), à la Résidence Modigliani (rue Lallement – CIMA), aux Alizés (rue Vernouillet – Brooks), rue de Saint-Thierry (Immo PBM), rue Flin-des-Oliviers (Immo PBM) et des studios avenue Marchandeau (Immo PBM).

A 3000 € le m2, cinq logements sont encore à la vente aux Etangs du Golf à Bezannes (Nacarat), cinq autres à Mona Lisa (rue Camille-Lenoir – Côté Immo), quatre à la Résidence Bastion-Carteret (RM-Immo), onze à la Vigneraie (rue de Verdun – Brooks). Enfin, dans cette même gamme de prix, Immo PBM dispose entre de deux T3 rue Cognacq-Jay et d’un T3 aussi rue Boucher-de-Perthes. A 3100 € le m2, Brooks propose encore quatre logements dans son programme Perle à Clairmarais.

En montant, dans les prix, Il reste quatre logements disponibles dans la résidence Paul-Jammot (RM Immo) à 3500 € le m2, et trois appartements à la résidence Renfermerie (4500 € le m2 – CIMA).

Programmes lancés ou presque

Ces programmes viennent d’être lancés ou le seront très prochainement.

Cela commence à 2600 € le m2 aux jardins de Saint-Brice, avec 41 logements (RM IMMO). A 2800 €, le m2, 65 logements sont disponibles à Côté Parc, rue Dreyfus, et 70 appartements à Zéphyr, rue Soussillon, (Brooks pour les deux résidences). Dans le secteur Jamin, la résidence Le Prieuré dispose encore de 30 logements (2900 € le m2 – Victoria Keys). Au même tarif, à Cormontreuil, Le Blan Promotion propose 17 logements à Solemio. Enfin, 19 lofts, à 2900 € le m2, vont être commercialisés par Côté Immo, le Kubre, dans le secteur Jean-Jaurès.

Le programme Les rives du Golf, rue Jules-Mélone à Bezannes, va être lancé, proposant 30 logements à 3000 € le m2 en moyenne (Nacarat). A un prix un peu supérieur (3200 €), 10 appartements sont disponibles à la Résidence 21, rue du Barbâtre (RM Immo). Boulevard Jamin, la CIMA va lancer un programme de 10 logements à 3500 le m2 en moyenne. Dans l’hyper-centre, Victoria Keys propose deux résidences, La Villa Palatine, 21 logements à 3500 € le m2 place Godinot, et la Villa M, rue Ponsardin, avec 50 logements (3900 € le m2). Enfin, à la résidence Octave, rue des Elus, 12 appartements sont encore à la vente, sur 19, à 5000 € le m2 en moyenne (CIMA).

Des maisons aussi…

Dans les jardins de Sainte-Clothilde, Patrimoine Promotion propose six maisons à ossature bois (à 1950 € le m2 en moyenne). Pour sa part, Plurial a lancé un programme de 18 maisons, le Green Cottage à Tinqueux, à 3100 € le m2. De plus, Plurial propose 21 maisons en accession sociale (2000 € le m2), dans l’éco-quartier du hameau des Courtes-Martin aux Epinettes.

Des projets plus ou moins établis

Si le site des Gobelins, une opération mixte (accession et location de 53 logements) à l’angle de la rue des Gobelins et du boulevard Dauphinot est en cours de travaux, d’autres programmes sont aux prémices, voire juste évoqués.

L’ancienne caserne Colbert, boulevard de la Paix, devait voir 210 logements (un tiers de locatif, le reste en accession à la propriété) sortir de terre. Un nouvel éco-quartier, dans le secteur Dauphinot-Remafer, doit proposer, à l’horizon 2020, 700 logements.

Restent deux gros projets ; celui du site Sernam, pour lequel le dernier chiffre fait état de 36000 m2 de logements, soit environ 500 appartements, et celui de l’ancien tri postal, le long du boulevard Joffre qui prévoirait 10000 m2 de logements sociaux et 6000 m2 de logements en accession à la propriété, soit 200 appartements environ. Pour l’instant, ces deux projets demeurent de jolies esquisses dans des cartons…

F.G.

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Union130310a- Marne
Son ex casse la porte et vole la poussette

Deux conjoints violents ont été arrêtés à Reims au cours de la semaine. La première affaire remonte à mardi soir. Bien qu’elle soit séparée de lui, une jeune femme invite son ex à dîner chez elle, rue Pierre-Taittinger.

On ne sait pas si l’homme a bien mangé, mais il a bien bu. Vers 22 h 30, fatiguée de ses soûleries, la demoiselle lui demande de partir. Il refuse, pousse des hurlements, casse la porte à coups de pied et vole la poussette au moment de s’enfuir.

A l’arrivée des policiers, il aggrave son cas en essayant de leur porter des coups.

Force est revenue à la loi. Dégrisé au commissariat, l’homme âgé de 21 ans a été remis en liberté avec une convocation le 6 mai devant le tribunal pour vol, rébellion et dégradations.

Piste sanglante

Mercredi matin, des voisins entendent hurler dans un immeuble de la rue de Brazzaville. La police est alertée. Dans le couloir du rez-de-chaussée, elle découvre des traces de sang qui mènent à un appartement du premier étage.

La porte s’ouvre, un homme surexcité en sort avec les mains ensanglantées. Il se met en garde, tente de frapper les fonctionnaires, continue de se débattre même après la pose des menottes.

Agé d’une vingtaine d’années, l’individu s’était blessé en cassant un miroir, lors d’une violente altercation avec son amie qu’il a tirée par les cheveux sans raison apparente. Il était sorti une première fois de l’appartement, avant d’y revenir avant que la police n’arrive.

Interrogé après avoir cuvé ses libations, le concubin a déclaré ne se souvenir de rien tellement il avait bu. Lui aussi est convoqué le 6 mai devant le tribunal correctionnel. L’un des policiers, touché par les coups, a subi six jours d’incapacité totale de travail.

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Union130309b- Marne
La municipalité met le paquet contre les désordres et l’insécurité

Nicolas Roche : « Les caméras vidéo ont été implantées pour lutter contre les faits d’incivilité et de délinquance, pas pour verbaliser les automobilistes »
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REIMS (Marne). Prise de conscience ou stratégie électorale, la municipalité a fait savoir lors du conseil de quartier du centre-ville qu’elle s’active pour lutter contre l’insécurité.

IL Y A encore quelques mois, aux habitants qui protestaient contre l’insécurité, la municipalité répondait qu’il fallait relativiser, que « c’était souvent plus un sentiment d’insécurité. » Jeudi soir, lors de la réunion du conseil du quartier centre-ville, Éric Quénard, premier adjoint, s’appuyant sur le bilan présenté par Nicolas Roche, responsable de la police municipale, a changé de discours. Oui la ville est préoccupée par les désordres, l’incivilité et l’insécurité. Et d’annoncer diverses mesures pour y remédier.

Réorganisation de la vidéo surveillance

En 2008, pour 1,5 M €, la ville bénéficiant de la fibre optique avait mis en place 36 caméras en ville dont une quinzaine place d’Erlon, le reste autour du stade Delaune, à Croix-Rouge et dans la ZAC de La Neuvillette. Un audit mené en 2011-2012 a permis de faire le point sur leur utilité.

« D’évidence, même si c’est difficilement quantifiable, les caméras sont un frein aux actions de délinquance dans les secteurs où elles se trouvent », a expliqué Nicolas Roche. « Elles sont très utiles pour les interventions quand il y a des actes malveillants ou de délinquance. Leur utilisation permet des interventions et des interpellations en temps réel. Après coup, utilisées par la justice, elles permettent de résoudre aussi des affaires. Leur intérêt global est évident mais leur localisation ou leur orientation ne sont plus toujours judicieuses. Pour cette raison la municipalité a décidé de redéployer ces caméras. Il y en aura sur le cheminement piétonnier qui va de la place d’Erlon à la gare mais aussi en bas de la rue de Vesle, place Stalingrad ainsi que dans les quartiers Orgeval et Wilson. »

Le temps d’étudier le système pour reporter les images transmises par le PC des transports urbains, la salle de commandement vidéo de la ville, en liaison permanente avec la police nationale, les sapeurs-pompiers et les transports urbains va pouvoir en cours d’année exploiter en temps réel les images diffusées par la centaine de caméras installées le long du parcours du tram. Pour avoir un œil sur les quais, les croisements, les lieux stratégiques.

Signe que la vidéo n’est plus la mal aimée des élus, les habitants qui le souhaitent pourront demander à visiter le central de commandement.

Neuf agents de nuit au centre-ville

Au mois de mai, en plus des policiers nationaux, neuf agents municipaux dédiés (dont cinq recrutés sur le budget 2013) seront chargés en soirée de bien se montrer, et de faire le tour des lieux de vie et des éventuels points chauds dans un triangle constitué par la place d’Erlon, la place du Forum et le Boulingrin. Ils seront notamment chargés de bien vérifier aussi le respect de la réglementation (interdiction de la vente à emporter d’alcool et la vente aux gobelets, alcoolisation dans les soirées happy-hour, tags etc.) Comme tous leurs collègues de jour ils seront eux aussi dotés de gilets pare-balles.

Retour des bornes

Enfin, on ne se souvient plus pourquoi elles avaient disparu, transformant la place d’Erlon en la place piétonne la plus circulante de France, les bornes d’accès à la place vont être réinstallées courant avril place d’Erlon et rue de Chativesle.

Alain MOYAT

Il faut le savoir

Au cours de la soirée Nicole Roche, responsable de la police municipale a apporté de nombreuses informations relatives à la sécurité.

PV.- Aux riverains de la place d’Erlon qui reprochent à la police de ne pas verbaliser les voitures stationnées devant les garages, le responsable a rappelé que « la police municipale distribuait tout de même 100 000 timbres amende par an. Trop pour beaucoup. »

RÉQUISITIONS.- « Preuve que la vidéo est très utile, nous avons 3 à 4 réquisitions par jour pour consultation de bandes vidéo afin de consolider des preuves suite à des actes répréhensibles. »

ARCHIVES.- « Les images vidéo enregistrées sont stockées 7 jours (la loi permet un mois, NDR). Conservées dans un endroit protégé elles sont détruites après cette période ».

MISSIONS.- « Les caméras vidéo ont été installées sur les endroits stratégiques pour lutter contre les phénomènes de délinquance, pas pour verbaliser les automobilistes. »

HAPPY HOURS- « Avec les happy hours on a constaté des phénomènes d’hyperviolence.

Elles attirent des groupes de prédateurs qui repèrent leurs proies enivrées et les dépouilles de leur téléphone portable et de leur carte bleue. »

A.M.

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Union130309a- Marne
A qui sont les sachets de cannabis ?

La drogue circule partout au quartier Croix-Rouge, les policiers le savent bien. L’un des secteurs connus pour être un lieu de deal est la place Auguste-Rodin.

Mercredi vers 17 heures, un homme sort du n°4 à l’instant où passe une patrouille de la brigade anticriminalité. Dès qu’il repère les agents, l’individu prend la fuite en se débarrassant de « quelque chose » dans un terrain vague. Ce sont trois sachets de résine de cannabis, d’un poids total de 48 grammes.

Un jeune du quartier est rattrapé mais Lewani Lakoba, 22 ans, affirme avoir été confondu avec le fuyard. Sa mise en cause tombe mal. Le 27 février, les policiers l’avaient contrôlé dans une cave du n°4, à proximité de deux sachets de cannabis abandonnés à terre (37 grammes). L’interpellation n’eut cependant aucune suite car aucun indice ne permettait de lui en imputer la propriété.

Après l’arrestation de mercredi, les perquisitions menées à son domicile n’ont rien donné. Quant aux 800 € retrouvés sur lui, alors qu’il ne travaille pas, leur origine proviendrait d’une allocation versée à sa sortie de prison.

Direction la prison

Déjà condamné à neuf reprises, notamment pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, Lewani Lakoba a en effet résidé à la maison d’arrêt de Reims d’août à novembre 2012, après avoir pris trois mois ferme pour un jet de pierre sur une patrouille de police, lors d’un affrontement allée Edgar-Degas pour s’opposer à la saisie d’une moto volée (une vingtaine d’individus avaient participé au caillassage).

Le jeune homme a retrouvé le tribunal hier après-midi, dans le cadre d’une comparution immédiate regroupant la procédure de mercredi mais aussi celle du 27 février. Au vu de la peine plancher encourue (quatre ans de prison), il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été écroué, son procès renvoyé au mardi 26 mars.

F.C.

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L’hebdo du vendredi- N° 295- 130308g
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 295 - Semaine du 8 au 14 mars 2013


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Rénovation urbaine : L’entrée de Croix-Rouge métamorphosée

Située juste en face du campus Croix-Rouge, la résidence Saint-John Perse est prête à accueillir ses premiers locataires. (© l’Hebdo du Vendredi)
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La première pierre du projet Robert de Sorbon a été symboliquement posée. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Avec la livraison de la résidence Saint-John-Perse, la pose de la première pierre du programme Robert de Sorbon et le lancement de l’Hôtel des solidarités, la porte d’entrée du quartier Croix-Rouge est en pleine mutation. Ce programme réalisé par Reims Habitat est évalué à 19 millions d’euros, financés principalement par le bailleur social, la ville de Reims et l’Etat.

Avec son jeu de couleurs, vert, blanc et noir, les façades de la résidence Saint-John-Perse, dont les travaux viennent tout juste de s’achever, donnent une nouvelle image au quartier Croix-Rouge. Situé juste en face du campus universitaire, cet immeuble de six étages, dont la maitrise d’oeuvre a été assurée par l’achitecte rémois Jean-Philippe Thomas, présente un caractère résolument innovant à l’échelle du quartier et même de la ville. Comprenant 51 logements locatifs, allant du T1 bis au T6, cette résidence labellisée BBC, au delà de son aspect gai et lumineux, se veut exemplaire en matière de construction durable. Équipés de grandes baies vitrées, de fenêtres munies de brises soleil automatisés, les appartements bénéficient d’un environnement plutôt zen grâce à des touches végétales avec des caillebotis bois venant habiller les balcons. De plus, les futurs locataires bénéficieront également du dispositif Ecobulles. Développé par la société marnaise Ecobulles Habitat, ce système permet d’adoucir l’eau calcaire tout en respectant l’environnement. En rez-de-chaussée, à quelques mètres à peine d’un arrêt tramway, sept cellules commerciales certifiées Qualitel THPE (Très Haute Performance Energétique) ont été aménagées s’offrant ainsi aux flux des habitants comme des étudiants. D’ores et déjà, une auto-école, une boucherie traditionnelle ainsi qu’un magasin de déstockage non alimentaire vont très prochainement ouvrir leurs portes.

Cette nouvelle construction n’est pas la dernière, puis qu’une autre résidence, baptisée Robert de Sorbon, est actuellement en cours de construction en prolongement de Saint-John-Perse. Il s’agit d’un immeuble qui disposera de 32 logements BBC, allant du T1 bis au T5, mais aussi de quatre cellules d’activité qui pourraient accueillir un pôle santé. Enfin, tout près des deux résidences, Croix-Rouge accueillera d’ici peu un autre immeuble à l’architecture audacieuse avec l’édification à partir de 2013 d’un Hôtel des Solidarités. Toujours sous la conduite de Reims Habitat, cet immeuble de bureaux d’environ 3000 m2 sur cinq niveaux sera destiné à des entreprises relevant de l’économie sociale et solidaire.

J.D


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Projet de nouveau campus : Des encouragements de la ministre, à défaut de promesse

La ministre a dévoilé la plaque posée sur les amphithéâtre de l’Université, inscrivant ainsi les coquilles en tant que Patrimoine du XXe siècle. (© l’Hebdo du Vendredi)
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La ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a semblé séduite par le projet de nouveau campus de l’Universitié de Reims Champagne-Ardenne. (© l’Hebdo du Vendredi)
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La ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso a passé la journée d’hier à Reims. Après une visite du campus Croix-Rouge, au cours de laquelle elle a notamment dévoilé une plaque labellisant la Corolle (Les Coquilles) « Patrimoine du XXe siècle », elle a ensuite participé à une table-ronde avec des étudiants de l’IUT, avant de se rendre au Pôle IAR à Pomacle.

Évidemment, Gilles Baillat, président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne, a profité de ce déplacement ministériel pour évoquer le projet de nouveau campus qu’il souhaite voir ériger à Croix-Rouge à l’horizon 2020. Estimé à environ 200 millions d’euros, ce projet qui vise à rassembler sur un site unique les différents campus rémois, a semblé séduire la ministre. « C’est un projet prometteur pour l’avenir. Et tout est possible quand les projets sont partagés par l’ensemble des collectivités publiques. Et quand c’est le cas, comme ici à Reims, l’Etat s’engage », a déclaré Geneviève Fioraso,- avant de préciser, « que n’ayant pas encore pris connaissance des lignes budgétaires du projet, son soutien est un engagement, mais pas une promesse ».

J.D


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Conférence : « l’Urgence Industrielle ! »

Le laboratoire Regards de l’Université de Reims Champagne-Ardenne recevra Gabriel Colletis, professeur d’Économie à l’Université de Toulouse, pour une conférence autour de son ouvrage l’Urgence Industrielle !

Cette conférence grand public aura lieu le 11 mars à 15h dans l’amphithéâtre recherche du campus Croix-Rouge à Reims. Entrée libre et gratuite.

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Union130308f- Marne
A Croix-Rouge : le cap vert du renouveau

Une résidence s’achève, une autre débute : Adeline Hazan, le sous-préfet Michel Bernard, la députée Catherine Vautrin et le 1er adjoint chargé du logement Eric Quénard ont salué ces chantiers.
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Remi WAFFLART
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Monique et Daniel sont plein d’enthousiasme à l’idée d’intégrer ces locaux tout neufs.
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Les nouvelles résidences poussent à toute vitesse à Croix-Rouge, autour de la fac. Reims Habitat a inauguré l’une d’elles hier.

ENTRE la résidence Saint-John Perse, achevée, la résidence Sorbon, dont la première pierre a été posée, le parking pergola et le futur hôtel des Solidarités, les habitants de Croix-Rouge voient leur quartier bouger, évoluer, et prendre des couleurs.

C’est le vert qui dominait hier pour l’inauguration de la première résidence, dont l’organisme logeur vante les qualités de modularité, car les appartements ne contiennent aucun mur porteur. Avec le premier BBC effinergie pour Reims habitat, ils bénéficient d’une autre innovation, avec un nouveau dispositif de traitement de l’eau par Ecobles habitat.

L’immeuble a aussi l’avantage d’avoir le tramway juste en bas, ainsi que des commerces. Et là, rien n’est évident en cette période de crise. Il faut parvenir à attirer certes des investisseurs, mais surtout ne pas affaiblir les voisins !

« C’est pour cela qu’on s’est mis d’accord avec le Foyer rémois, qui va en ouvrir dans sa résidence juste en face. il faut trouver des commerces qui ne pénalisent pas les autres. Ici, nous aurons sans doute une boucherie, une agence immobilière, une auto-école et un magasin de déstockage » explique M. Toublanc, responsable de la commercialisation à Reims habitat.

Sept cellules sont disponibles en bas de la résidence Saint-John Perse, pour 10 euros le m2 pour la location. « J’ai une grande cellule que je pensais destiner à une chaîne de restauration, du style sandwicherie haut de gamme, mais nous n’avons pas encore trouvé pour l’instant ».

La résidence comprend 51 logements, du T1bis au T6. Il y en aura 32 pour la résidence Sorbon, qui devrait être terminée en 2015. Enfin, l’organisme logeur dirigé par Patrick Baudet va lancer un autre projet, l’hôtel des solidarités, qui regroupera l’union départementale des associations familiales, la fédération régionale des MJC, la chambre régionale de l’économie sociale, etc.

Le coût total de ces opérations est de 19 millions d’euros. Qui comprend aussi l’intervention qui peut paraître étonnante d’une philosophe, qui a accompagné l’architecte Jean-Philippe Thomas, pour mieux penser cet habitat, que les locataires puissent y circuler sans avoir l’impression d’y être enfermés. La philo dans le logement social, il fallait y penser !

G.F.

Ils croient dans leur quartier

« Cela fait plus d’un quart de siècle que nous habitons le quartier. Alors, quand nous avons eu l’opportunité d’y ouvrir un magasin, dans des locaux tout neufs, on n’a pas hésité ! » Monique Biyong va ouvrir « Classe’A », un espace de déstockage tous produits, sauf alimentation, avec Daniel Biiga.

« Nous avons soumis notre projet à Reims habitat, qui a adhéré. Ça ne nous fait pas peur, même en temps de crise, car nous avons bien étudié le marché, et ce genre de magasin devrait bien marcher sur Croix-Rouge ». Pour Monique, c’est une reconversion, car elle était comptable avant.

« Nous nous sommes placés en tant que consommateur, pour voir ce que les habitants voulaient ».

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Union130308e- Marne
La ministre adhère mais ne signe pas de chèque

La ministre au campus Croix-Rouge hier matin en compagnie du président de l’université et de la député Catherine Vautrin. Geneviève Fioraso a ainsi pu se rendre compte de la nécessité de faire quelques travaux
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En visite à l’université hier matin, la ministre de l’Enseignement supérieur s’est félicitée du projet de grand campus. Mais n’a pas ouvert son porte-monnaie.

S’ENGAGER sans rien promettre. La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche est finalement venue sans son carnet de chèques hier matin à l’université. A tous ceux qui lui ont demandé si l’État allait mettre la main à la poche pour financer le projet de grand campus à Croix-Rouge, Geneviève Fioraso a répondu en évitant de répondre : « Je me félicite de ce projet centré sur l’innovation et qui mise sur la recherche. Je suis frappée par la coopération entre les différents acteurs, université et collectivités, qui travaillent à sa réussite. J’encourage et je salue cette ambition dans une région qui perd des habitants mais qui mise sur l’avenir ».

Oui d’accord mais l’État donnera-t-il un petit quelque chose ? La réunion des facultés sur un grand campus entre Croix-Rouge et Bezannes doit coûter entre 200 et 300 millions d’euros : « Il n’y a pas que le financement qui compte, il y a la proximité, l’ouverture et le fait que ce projet soit porté par les citoyens. A partir de là des financements croisés se mettent en place et on parvient à trouver l’argent nécessaire ». Oui mais l’État donnera-t-il ? « Oui l’État donnera dans le cadre des financements croisés mais je ne ferai pas aujourd’hui d’annonce particulière. Les effets d’annonce ne sont pas le genre de ce gouvernement ».

Bref la ministre est venue sans enveloppe mais adhère sur le fond. Il faut dire que le président de l’université Gilles Baillat lui a bien vendu le bébé : « Le nouveau campus sera un véritable lieu de vie universitaire qui associera l’étude, le travail de recherche, la vie sociale, les loisirs, la sociabilité. Ce sera aussi un campus que nous souhaitons durable ». Un campus un peu cher aussi mais pour contrer cet argument, Gilles Baillat avait trouvé dans son bouquin de citations une phrase adéquate d’Abraham Lincoln : « Si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance ».

La maire de Reims Adeline Hazan a pris le relais et enfoncé le clou en évoquant la volonté de la Métropole de développer un pole dédié à la recherche et la volonté de faire de Reims « une ville universitaire moderne et ambitieuse ». La Région avait annoncé la veille qu’elle était du projet et le département, dont le président René-Paul Savary était présent, devrait aussi être de la partie. Une telle unité en faveur d’un projet, au-delà des clivages politiques, n’est pas si courante. La ministre en a pris la mesure et à force qu’on lui tire le porte-monnaie, elle a fini par lâcher : « Tout est possible quand le projet est bon ».

Catherine FREY

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Union130308d- Marne
Classées les coquilles

Les coquilles ne bougeront plus de leur rocher. La ministre, la maire, la député, le président du département et celui de l’université ont dévoilé une plaque signifiant leur classement au titre du patrimoine du XXe siècle.
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Ceux qui les trouvaient laides vont devoir se faire une raison. Les coquilles de l’université sont désormais classées au titre du patrimoine du XXe siècle. Une plaque a été dévoilée hier matin par la ministre Geneviève Fioraso. Elles ne bougeront plus de leur rocher.

Elles avaient flambé en 1985

Elles reviennent de loin ces coquilles aujourd’hui classées. Avant de tomber doucement en ruine au point que leur démolition a été envisagée, elles ont failli partir en flamme en mars 1985. Un incendie s’était déclaré dans l’un des amphis et tout a bien failli partir en fumée. A l’époque le maire Jean Falala avait déclaré : « Cet incendie est grave pour cette jeune université qui fait tant d’efforts pour avoir la place qu’elle mérite ».

« C’était qui ? »

Donovan étudiant en géographie a échangé quelques mots aimables avec la ministre de l’Enseignement supérieur et la Recherche. Il était installé à la bibliothèque universitaire quand il a vu cette dame entourée de caméras et d’appareil photos venir l’interroger sur son lieu d’étude. Il n’a pas eu le trac et pour cause : « C’était qui ? La ministre ? Ministre de quoi ? Ah oui, je m’en suis douté ».

 

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Union130308c- Marne
Unicef / La cause des enfants mobilise les clients d’Ikea

« Le chèque est conséquent ! » apprécient Marie-Annick Roger et les bénévoles de l’Unicef.
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Pour la troisième année consécutive, Marie-Annick Roger, présidente du comité Marne Unicef a reçu, au profit de cette organisation caritative, un chèque de 10 085 euros, « résultat d’une opération originale combinant l’engagement de l’enseigne Ikea,

 

de ses collaborateurs et de ses clients ».

En effet, cette somme représente 1 euro par peluche achetée au cours de la période précédant Noël.

« Elle va directement bénéficier à nos actions développées en vue d’améliorer l’accès à l’éducation des enfants défavorisés dans le monde ».

L’Unicef, fonds des Nations-Unies pour l’Enfance, a en effet pour vocation d’assurer à chaque enfant santé, éducation égalité et protection Les bénévoles du comité Marne, 12 place Georges-Braque (03.26.05.80.10.) apprécient ce partenariat Unicef-Ikea, qui fait rimer solidarité et générosité.

 

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Union130308b- Marne
Reims : conteneurs en flammes

Dans la nuit de mercredi à jeudi, les sapeurs-pompiers de Reims ont effectué plusieurs interventions pour éteindre des conteneurs à ordures en flammes.

Ces sinistres dont l’origine suspecte ne fait aucun doute ont eu lieu au 3, allée des Landais, dans le quartier Croix-Rouge, au 3, rue Blaise-Pascal puis rue Pierre-Mougne dans le quartier des Châtillons.

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Union130308a- Marne
II n’aime pas les sonnettes

Mercredi après-midi, une sonnette a été incendiée dans l’immeuble du 3, allée Edgar-Degas.

Décidément, quelqu’un là-bas n’aime pas les sonnettes car plusieurs ont déjà brûlé.

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Union130307e- Marne
L’Assos’Café, le nouveau lieu de convivialité à Croix Rouge

L’Assos’café succède à l’ancien Bistroquet désormais fermé.
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L’Assos’Café est une nouvelle association rémoise qui gère un café-restaurant. Ce café convivial est un lieu de rencontres, pour les habitants, travailleurs et étudiants, situé dans le quartier Croix-Rouge.

Cette structure socio-gastronomique contribue à apporter du lien social en favorisant les échanges culturels, la participation locale, la convivialité entre tous.

Marfod Serchini, le responsable du café restaurant, et Nicolas Brocard, le chef cuisinier, accueillent le public du lundi au vendredi de 10 à 15 heures autour d’une cuisine traditionnelle et de saison ou tout simplement autour d’une boisson. « Nous sommes également à la recherche de bénévoles. Vous pouvez nous offrir de votre temps ou nous faire partager vos savoir-faire », ajoute Sébastien Jacques, directeur de la structure.

Ce projet est soutenu par l’Effort rémois, Alpha logement, la Ville de Reims et l’Etat.

« Venez partager le verre de l’amitié lors de l’inauguration qui aura lieu ce jeudi 7 mars à 18 heures », propose Delphine Villefranque, vice-présidente.

L’Assos’Café, 5, avenue Léon-Blum dans le quartie Croix-Rouge, tramway ligne B, station Léon-Blum. Tél. 09.83.41.81.32.

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Union130307d- Marne
Les Coquilles classées patrimoine du XXe siècle

Une plaque sera dévoilée ce matin sur les coquilles pour signifier leur classement au patrimoine du XXe siècle.
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REIMS (Marne). La ministre de l’Enseignement supérieur vient ce matin célébrer la rénovation des coquilles de la faculté. Elle devrait aussi s’engager en faveur du projet de grand campus.

SURTOUT qu’elle n’oublie pas son carnet de chèques ! La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, est attendue ce matin sur le campus Croix-Rouge.

Geneviève Fioraso est invitée à dévoiler une plaque sur les coquilles de la faculté marquant leur classement au titre du patrimoine du XXe siècle, soit leur immortalisation.

« Ce classement obtenu fin 2012 va permettre de préserver ces six coquilles et nous a aidés à obtenir des subventions pour les rénover », souligne Gilles Baillat, président de l’université.

Plus de 200 millions à trouver

L’Etat s’est engagé à donner 3 millions d’euros pour aider au financement des travaux qui ont commencé et qui devraient être terminés pour septembre 2014. Cette petite cérémonie sera une magnifique occasion pour le président de présenter à la ministre le projet de grand campus rémois.

« Je vais expliquer que ces travaux sur les coquilles s’inscrivent dans une démarche plus globale. » Beaucoup plus globale. Gilles Baillat va présenter à la ministre le projet de regroupement de toutes les facultés sur un campus unique et exemplaire sur le site de Croix-Rouge et Bezannes.

Il est prévu de réaliser une sorte de petite ville universitaire avec un équipement à la pointe qui favorisera la recherche et qui devrait faire de Reims une université du futur.

Un beau bébé à plus de 200 millions prévu pour 2020. « La ministre devrait manifester son adhésion au projet. »

Elle fera bien car il est temps de commencer à réunir la somme nécessaire : « L’année 2013 doit servir à faire le tour de table financier. Cette visite d’aujourd’hui est une étape importante ». Geneviève Fioraso est ensuite attendue à l’IUT de Reims où est prévue une table ronde avec des étudiants : « Elle souhaite notamment les entendre sur leurs moyens d’insertion dans la vie professionnelle ».

Alliance avec Troyes

La ministre devrait réaffirmer la volonté du gouvernement de « réserver » les IUT aux étudiants qui ont un profil technologique.

Le repas qui suivra s’annonce studieux : « Nous avons prévu d’évoquer les rapprochements entre universités et notamment avec l’université technologique de Troyes qui pourrait rejoindre l’Urca. On parlera sans doute aussi de l’école de commerce (RMS) ou encore de l’école de design (Esad) qui pourraient faire alliance avec l’université ».

La journée rémoise de la ministre doit se terminer par la visite des sites de recherche industrielle de Pomacle-Bazancourt où l’université est partie prenante.

Geneviève Fioraso devrait rentrer à Paris en se disant qu’il y a matière à investir à Reims. C’est un peu le but.

Catherine FREY

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Union130307c- Marne
Quand RMS travaille pour l’Express

Nos RMSsiens ont eu droit à une formation à Paris au sein du magazine avant de se lancer dans leurs travaux journalistiques, ici avec le directeur Christophe Barbier.
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Une dizaine d’étudiants de RMS se sont lancés dans le journalisme. Leur mission : réaliser un supplément sur leur ville, qui s’adjoindra au numéro de l’Express à paraître le 13 mars.

Ce vrai travail de pro s’inscrit dans le cadre d’un concours inter-écoles organisé par l’hebdomadaire, le Défi l’Express. « Et comme c’était la 25e édition de ce concours, indique Mylène, l’une des étudiantes rémoises participantes, nous étions tenus de faire référence au chiffre 25 ; nous avons alors choisi comme thème « avoir 25 ans à Reims ».

Le résultat des travaux, 16 pages en tout, vous le découvrirez donc le 13 mars, dans les départements de la Marne et de l’Aube, en kiosque et avec le magazine habituel si vous êtes abonné ; cet Express avec son supplément rémois sera également vendu à la criée ce jour-là, mais uniquement dans la ville de Reims.

A.P.

 

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Union130307b- Marne
La ministre Geneviève Fioraso à Reims

Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. BERTRAND GUAY
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REIMS (Marne). Geneviève Fioraso, la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche sera en visite à Reims ce jeudi.

Elle doit se rendre au campus Croix-Rouge de l’université de Reims Champagne-Ardenne dans le cadre du classement au « patrimoine du XXe siècle » du site dont ses fameuses coquilles, où se logent les amphithéâtres.

La ministre devrait ensuite se rendre à l’IUT pour prononcer un discours sur la réforme de l’IUT avant d’évoquer le projet de loi portant sur la communauté universitaire lors du déjeuner.

L’après-midi, un passage par le pôle IAR de Pomacle-Bazancourt, qui accueille des étudiants de l’École Centrale de Paris, de Agro-Paris-Tech et de Reims Management School, est aussi évoqué.

F.G.

 

 

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Union130307a- Marne
Voiture brûlée

Mardi vers 22 h 30, une Volkswagen Eos a été détruite par le feu, rué Joliot-Curie. L’incendie est suspect.

Hier après-midi, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré à 14 h 40, allée Edgar-Degas, au n° 3, suivi d’un feu de poubelle à 17 heures esplanade Richard-Wagner.

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Union130306e- Marne
Ludosport / Un petit tour dans les gymnases de quartier

Géo-André : traverser le tapis en sauts de… kangourous !
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Courcelles : premiers essais de paniers !
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Ruisselet : jeux de ballons avec un animateur.
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Les gymnases de la Ville ont accueilli 300 enfants durant ces vacances d’hiver, avec des jeux sportifs adaptés à chaque tranche d’âge.

HUIT gymnases (Desbureaux, Géo-André, Europe, Dr-Roux, Ruisselet, Courcelles, Vasco-de-Gama et Gallieni) étaient ouverts pour Ludosport.

• Europe

Marianne, Horacio, Brandon et Bryan encadrent les plus jeunes : « C’est surtout de l’éveil sportif, de la découverte. Jeux de ballon, parcours de motricité, roulades », explique Marianne. Revêtus de chasubles aux couleurs de leurs « équipes », les gosses participent à des mini-compétitions : « Les 4/5 ans adorent les challenges. Mais il n’y a jamais de perdants, sinon ils sont frustrés ».

• Géo-André

Deux animateurs pour 14 petits. « A cet âge, il convient de varier les activités : ils s’ennuient vite. On doit susciter constamment leur intérêt et leur attention », confient Céline et Brahim. Les jumeaux Louis et Gabin, 4 ans, apprécient : « On s’amuse avec nos copains, on fait du sport et on s’entraîne. Les animateurs sont gentils ! »

• Courcelles

Les 6/11 ans ont découvert des jeux de raquette, pratiqué le badminton, joué au ping-pong et au speed-ball, avec les animateurs Saïd, Mathilde et Ulysse. « On essaie de faire un thème nouveau par jour. On propose des ateliers de découverte, suivis de tournois ou de mises en jeu. »

• Ruisselet

Mohamed et Saïd ont organisé des jeux de raquettes, des parties de basket, hand, futsal : « Nos activités incitent les enfants à bouger, à développer agilité, motricité, maîtrise du ballon ». Qu’en ont pensé les enfants ? « On a passé une très bonne semaine : on a appris à pratiquer plein de sports nouveaux », résument Adam et Collin.

Ludosport printemps : inscriptions à partir du lundi 18 mars à 14 heures sur www.reims.fr et à la Direction des sports au rez-de-chaussée du stade Delaune.

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Union130306d- Marne
Les jeunes Rémois apprennent à nager

A la piscine Louvois, les « frites » sont au menu !
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« Mon fils l’avait déjà fait l’an dernier. Il a encore un peu de mal à surmonter une angoisse du contact avec l’eau. Il revient cette année. »

Assises près du bassin de la piscine Louvois, des mamans regardent leurs enfants apprendre les rudiments de la natation, sous l’œil de Carole Vanscoor : « Certes, il y a quelques appréhensions, mais le fait d’être en groupe et en vacances les rend plus détendus que d’habitude », commente le maître-nageur.

Certains viennent pour une mise en route, avant de pratiquer la natation à l’école. Des fidèles se réinscrivent pour se perfectionner : « Ils ont déjà demandé si on en refaisait en avril ! Certains participent à l’opération « J’apprends à nager » depuis qu’elle existe ! Je les connais et je suis leur évolution ».

Le but est d’atteindre le niveau « crevette » ou « hippocampe », et pour les autres, d’apprendre les différentes nages : « Le dernier groupe saura certainement pratiquer la brasse et la nage sur le dos à la fin de la semaine ».

Trois piscines, Château d’eau, Louvois et Orgeval ont accueilli les enfants pour un stage d’une semaine, à raison d’un cours tous les matins.

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Union130306c- Marne
Danse sur glace / La dernière ligne droite

La Rémoise Juliette Wary, 2e en novices 3 en banlieue parisienne.
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Les jeunes danseurs, en solo et en couple, abordent leur dernière ligne droite… avant le championnat de France. Ce week-end à Fontenay (5e et dernière étape), ils chercheront à conforter leur position ou à l’améliorer, sachant que les dix premiers du classement gagneront leur billet pour les France (5 au 7 avril, à Saint-Gervais).

Avant ce déplacement en banlieue parisienne, ils sont six à rêver d’un podium et plus d’une dizaine à envisager la qualification.

Les couples auront connu leur consécration - on l’espère - du 22 au 24 mars sur la glace de Clermont-Ferrand. Les Marnais seront représentés par les Châlonnais Lila-Maya Seclet-Monchot (minimes) et par le Rémois Renan Manceaux, associé à la Bisontine Delphine Ferru (Novices).

 

 

 

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Union130306b- Marne
Sport au féminin du 8 au 10 mars

Un sport très en vogue chez les filles actuellement : le roller derby, pratiqué ici par les beastie girls.

La Ville ouvre ses équipements aux filles et femmes ce week-end, pour qu’elles puissent découvrir et s’initier à une vingtaine d’activités.

RÉSERVÉ aux femmes ! Ce week-end, les vedettes du sport seront des reines. Reims, pour la 3e année, propose en effet au public féminin de découvrir et de s’initier à différentes pratiques sportives. Journée des droits de la femme oblige, le week-end débutera dès vendredi, avec la mobilisation de 24 clubs, de l’Office des sports et de ses éducateurs sportifs.

Cinq équipements sportifs de la Ville permettront de proposer une large palette d’activités sportives : espace Léo-Lagrange, piscine Nautilud, patinoire Bocquaine, complexe René-Tys, stade Auguste-Delaune. L’aviron et le roller Derby se dérouleront en sites plus adaptés. Certains ateliers peuvent accueillir un public accompagné d’enfants.

« Nous avons choisi, avec les clubs, de concentrer cet événement en un week-end, et non une semaine. Le stade Delaune, avec le parc Léo, devient aussi le centre névralgique de l’opération », explique Christine Michel adjointe aux sports. Qui note une forte participation des clubs, ainsi que celle de la Ville, qui propose ses pratiques, comme l’aquabike, la danse, etc.

Il sera possible vendredi de découvrir ou redécouvrir de la gymnastique pour le dos, le canoë-kayak avec le fameux dragon boat, la marche nordique, sport athlétique de plus en plus prisé par des femmes de tous âges, et la zumba, l’activité à la mode, dans les clubs de gym comme dans la piscine.

Samedi, s’ajouteront du footing initiation, de la danse africaine, du patinage artistique, du futsal et de la rando vélo. Les fans de foot, et il y en a de plus en plus chez les femmes, seront ravis de pouvoir visiter le stade Delaune.

Enfin, dimanche, place au rallye sportif au complexe René-Tys : ouvert aux équipes féminines ou mamans-enfants, il permettra de pratiquer de la course d’orientation, de la marche, de la trottinette, de l’aviron, des jeux d’adresse, du basket (animation de tirs au panier)… Les méninges ne seront pas en reste, puisqu’il y aura des énigmes à résoudre.

« Les femmes viennent faire du sport pour se retrouver, pour pouvoir partager. D’où l’idée du rallye du dimanche. » A noter que l’Usep/Usal fera découvrir en famille le swin golf, ainsi que le king ball ultimate, une pratique innovante de sports peu connus. Un peu mystérieux, non ?

« Les femmes auront un panel d’activités très important, elles devraient pouvoir trouver chaussure à leur pied », poursuit Christine Michel, qui se réjouit d’avoir déjà beaucoup d’inscriptions. « Mais toute femme qui le souhaite pourra trouver une activité à laquelle s’initier, pour pouvoir ensuite prolonger cet essai ! »

G.F.

Pour les inscriptions, se renseigner sur reims.fr

Le programme

Régates Rémoises (en intérieur, Tank à ramer, ergomètre, bateau d’initiation), vendredi, 15 à 17 heures. Inscription auprès du Club au 03.26.50.19.34, regates.remoises@free.fr. Impératif : savoir nager.

Cercle Nautique Rémois : initiation à l’aviron en salle et sortie accompagnée, vendredi, 15 à 17 heures, et samedi, 14 à 16 heures. Inscription secretariatducnr@gmail.com. Impératif : savoir nager.

Reims Basket Féminin : invitations pour le match RBF/Limoges, samedi 20 heures, complexe René-Tys. Invitation à retirer au stade Delaune jusqu’au 9 mars.

Ring Athlétique Rémois (boxe anglaise), samedi 15 heures à 16 h 30, René-Tys, inscription auprès du club, ypillion@free.fr ; Ring Régional de Champagne, samedi à partir de 10 heures stade Delaune.

Balades en vélo avec La pédale rémoise, Groupe Cyclo Reims Bezannes et Vélo Club Rémois au départ du parc Léo-Lagrange (amener son vélo).

Danse Africaine, samedi 10 h 30 à 12 heures, stade Delaune ; Majorettes Les Diablesses, samedi 13 h 30 à 14 h 30, parvis stade Delaune ; Zumba, vendredi 17 à 18 heures et samedi, 12 h 30 à 13 h 30 ; 14 h 30 à 15 h 30 ; 16 h 30 à 17 h 30, stade Delaune.

Escrime, vendredi 18 à 20 heures, salle d’armes René-Tys, samedi 15 à 16 heures, stade Delaune.

Futsal, samedi 10 à 11 heures, René-Tys ; football, samedi 10 à 12 heures (Sainte-Anne), 15 à 17 heures (avec la Neuvillette), stade Delaune

Gymnastique : vendredi, 15 à 17 heures, René-Tys (AGR et Elo forme et détente).

Swin Golf, samedi 10 à 12 heures et King ball ultimate de 14 à 17 heures, parc Léo-Lagrange (Usep-Usal).

Natation : aquabike, samedi 10 heures à 10 h 45 et 11 heures à 11 h 45, Nautilud ; Reims Avenir Natation, Reims Natation 89 et Reims Palme Apnée présenteront leurs activités à partir de 10 heures samedi à Delaune et au Nautilud.

Patinage sur glace, vendredi 14 h 30 à 15 h 15, patinoire Bocquaine ; championnat de France de patinage artistique minime (CPAR) samedi à partir de 12 h 15, patinoire Bocquaine

Roller derby avec Beastie Derby Girls, samedi, 10 heures à 11 h 30, gymnase François-Legros ; Reims Patinage de Vitesse samedi à partir de 10 heures, stade Delaune, présentation des activités.

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Union130306a- Marne
Natation / Stage multi-activités au RN 89

Les petits nageurs ont participé à différents ateliers.
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Au Reims Natation 89, une trentaine parmi les 250 petits nageurs de l’Ecole de l’eau du club s’est retrouvée pour un stage sportif du lundi 25 février au vendredi 1er mars.

Ces enfants âgés de 7 à 11 ans sont titulaires du Sauv’nage et ont pour objectif de préparer le Pass’sport de l’eau qui est la deuxième étape du dispositif de l’Ecole de natation française. Il s’agit d’acquérir des habiletés motrices en pratiquant cinq disciplines (natation course, natation synchronisée, plongeon, nage avec palmes et water-polo).

L’organisation générale a été orchestrée par Jessica Degand, salariée du club, et l’encadrement assuré par Maxence Brisy, jérémy Lahkdar, Zacharia Jamai, Aurore Sowinski et Etienne Ienny, éducateurs, qui ont pu mettre en pratique les compétences tirées des brevets fédéraux qu’ils préparent au sein de l’Erfan (Ecole régionale de formation des activités de la natation de Champagne-Ardenne).

Les enfants ont donc pratiqué dans l’eau lors d’ateliers thématiques à la piscine Château d’Eau tous les matins, mais aussi en gymnase autour de compétences gymnique et de jeux de ballons : handball et rugby.

Les après-midi ont ouvert les esprits à d’autres domaines : bowling et cinéma mais aussi à la culture avec les visites du musée Le Vergeur et de la cathédrale.

Pour finir, la sortie du vendredi a permis d’évoluer dans un autre cadre aquatique : l’AquaMundo de Center Parcs-Ailette ! Ce stage sera renouvelé lors des vacances de Pâques avec le même objectif de construire des petits sportifs complets.

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La Marne>le Mag 130305e
Articles parus dans « La Marne>le Mag »

Numéro 43 PRINTEMPS 2013.

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QUE FAIT LE CONSEIL GÉNÉRAL POUR VOUS EN 2013 ?

Chaque fois que le Département investit un euro, cette somme est multipliée par trois et injectée dans l’économie locale. Par ses propres investissements ou en soutenant les projets des collectivités locales et des associations, le Département contribue au dynamisme économique et au maintien de l’emploi dans la Marne. Lancement d’études, ouverture de chantiers, poursuite de travaux, mise en service d’équipements, le budget 2013 joue la solidarité avec les Marnais et leurs territoires.

Voici quelques-uns des principaux projets dont la réalisation, annuelle ou échelonnée sur plusieurs années, modèle l’avenir de notre département.

REIMS ET SA RÉGION

• Beaumont s/ Vesle : aménagement de la déviation – livraison de l’ouvrage d’art et travaux de terrassement
• Berru : création d’une cantine scolaire et d’un accueil périscolaire / Travaux de rénovation et d’agrandissement du foyer rural
• Bezannes : création d’un terrain de football / Requalification de la traversée d’agglomération (RD 6)
• Boult-sur-Suippe : restructuration et extension du pôle scolaire
• Cormicy : extension du pôle scolaire
• Cormontreuil : création d’une Maison des jeunes et d’éducation populaire / Participation à la poursuite des travaux de l’échangeur A4/A34
• Fismes : réhabilitation et extension du restaurant scolaire de l’école « centre » / Déploiement d’un espace numérique de travail au collège Thibaud de Champagne
• Gueux : déploiement d’un espace numérique de travail (ENT) au collège R. Sirot
• Les Mesneux : construction d’un bâtiment communal
• Reims : reconstruction HQE des Archives départementales / Déploiement d’un espace numérique de travail (ENT) aux collèges P. Brossolette, F. Legros et G. Braque / Ouverture de 98 places spécialisées Alzheimer à l’EHPAD « Les Parentèles »
• Rilly-la-Montagne : construction d’un groupe scolaire avec cantine
• Saint-Brice-Courcelles : construction d’une maison des associations
• Venteuil : requalification de la traversée de l’agglomération (RD 22A)
• Villedommange : réhabilitation de l’ancienne classe en micro-crèche
• Witry-les-Reims : rénovation et réhabilitation de l’espace sportif Jean Boucton

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130305d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7488 du 4 au 10 mars 2013.

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MODIFICATION DE STATUTS

En date du 26/02/2013, Capella ressources et developpement, SARL à associé unique au capital de 4.400 €, siège social : 20 allée Yves Gandon 51100 REIMS, 514 878 669 R.C.S. REIMS, l’associé unique a décidé de transférer le siège social au 36 B RDC rue Nationale F. Mitterrand 59280 ARMENTIERES, à compter du 26/02/2013.

Radiation au R.C.S. de REIMS et réimmatriculation au R.C.S. de LILLE Métropole. 113594


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Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Maître d’œuvre conception : Cabinet THIENOT BALLAN ZULAICA - 2 impasse des Comptoirs Français – 51100 REIMS Tél. 03.26.88.27.27 - Fax 03.26.84.93.18

Objet : Résidentialisation Croix du Sud à Reims (51) – Ilôts Fragonard/Cézanne/Ingres - Tranche 2

Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 7 lots :

-  Lot 01 : VRD/ESPACES VERTS
-  Lot 02 : metallerie
-  Lot 03 : GROS OEUVRE
-  Lot 04 : ETANCHEITE
-  Lot 05 : ASCENSEUR
-  Lot 06 : ELECTRICITE
-  Lot 07 : MENUISERIES INTERIEURES

Délai d’exécution :
Tranche ferme 1 : 1 mois de préparation + 5 mois de travaux
Tranche ferme 2 : 1 mois de préparation + 5 mois de travaux

Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 5 avril 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart à REIMS

Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 5 mars 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr
Référence du marché : MA-010213

Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr Lhermitte 03.26.04.98.71

Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 28 février 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.

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Union130305c- Marne
Un rallye Reims express ouvert à tous les étudiants

De gauche à droite Audrey Painavoine, Soazig Hubert, Apolline Chaurand, Louis Gros, Blandine Delesse et Léa Brégeon.
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Afin de faire une promotion originale du patrimoine rémois, six élèves de l’association Champ’de Reims management school organisent un rallye express Reims le jeudi 14 mars.

« NOUS constatons que de nombreux étudiants arrivés à Reims en septembre ne sont guère intéressés par la ville et son patrimoine. Ils vont à leur cours, reprennent le tram et rentrent chez eux. C’est dommage. »

Étudiante à Reims Management school et en double cursus L2 droit à l’Urca, Blandine Delesse et cinq autres étudiant(e)s, comme elle, en première année à RMS, programme Sup de Co : Audrey Painavoine, Soazig Hubert, Apolline Chaurand, Louis Gros, et Léa Brégéon, veulent faire bouger les choses.

« À RMS, au sein de Team Leader nous avons créé l’association Champ’(Culture, Histoire, Architecture, Monuments, Patrimoine). Nous avons d’abord commencé par organiser plusieurs visites de la ville le samedi. Objectif : dépoussiérer la perception qu’ont les jeunes du patrimoine et de l’histoire en général tout en leur offrant une nouvelle approche de la ville qui les entoure. »

Par équipe

Le concept ayant bien plu à partir de petites questions comme « le saviez-vous », elles ont décidé d’organiser le jeudi 14 mars le premier Rallye Reims express. « Il y a tant de rues à découvrir, tant de motifs à remarquer, tant de mosaïques négligées, tant de statues à notifier, tant de stations de tramway à explorer, tant de traces d’obus à se remémorer, tant de plaques à comprendre, tant de détails à observer. »

Tous les étudiants sont invités à y participer par équipe de 4 à 6, le but étant aussi de rapprocher les étudiants de RMS et ceux de l’Urca qui ne se connaissent parfois pas du tout.

Le départ se fera à 13 heures sur le parvis de la cathédrale le jeudi 14 mars. « Venez découvrir votre ville dans une équipe de quatre à six personnes dont les membres devront répondre au maximum de missions du guide qui leur sera confié », explique l’étudiante.

Des missions du genre : qu’y a-t-il au 23, rue Buirette ? Faire la photo la plus originale du Manège, etc. Pas question d’en dévoiler plus. « Esprit d’équipe et vivacité seront la clef pour gagner cette course d’orientation de deux heures à l’issue de laquelle sera organisé un cocktail à l’hôtel de ville pour récompenser les participants (1). »

Pour s’inscrire

Pour participer à ce rallye, rien de plus simple, il suffit de s’inscrire au cours des permanences qui seront organisées au Restaurant Universitaire du Campus Croix-Rouge les mercredis 6, vendredi 8 et mardi 12 mars de 12 h 30 à 13 h 30. À prévoir : un nom d’équipe et 1 € de participation symbolique. Dans un souci d’organisation, les places sont limitées et ouvertes uniquement aux étudiants de la ville de Reims.

Alain MOYAT

Pour plus d’information, n’hésitez pas à écrire à l’adresse reimsexpress@hotmail.fr, ou consulter la page facebook de l’événement : https://www.facebook.com/pages/Reims…

(1) Si des commerçants sont intéressés pour offrir des lots, les étudiants sont preneurs. Tél. 06.76.10.47.84.

Le saviez-vous ?

Saviez-vous… qu’un sacre royal durait plus de cinq heures ? Pour l’occasion la cathédrale était revêtue de ses plus beaux atours, et une partie de son intérieur a notamment été repeinte en bleu pour le sacre de Charles X ! Cinq poulets par personne étaient prévus pour ripailler dans le Palais du Tau à l’issue de la cérémonie.

Saviez-vous que… trente-trois souverains ont été sacrés dans la cathédrale de Reims ? Le premier, Louis le Pieux, l’a été en 816. Les sacres se sont poursuivis jusqu’en 1825 avec celui de Charles X. En 1 000 ans de sacres, ce sont notamment Louis IX, François Ier, Louis XIV et Louis XV qui se sont vus couronnés dans cette cathédrale, incontournable du patrimoine rémois !

Saviez-vous que… 143 fleurs de lys hautes d’un mètre trente chacune surmontent la cathédrale de Reims ? Un incendie a touché la cathédrale le 24 juillet 1481. C’est pour remercier les rois Charles VIII et Louis XII de leurs dons sous forme de rentes sur la gabelle, en vue de sa reconstruction, qu’il est décidé de placer des fleurs de lys sur le faîtage de la toiture. Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, elles ne sont pas un signe distinctif de la cathédrale des sacres !

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Union130305b- Marne
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Maître d’œuvre conception : Cabinet THIENOT BALLAN ZULAICA - 2 impasse des Comptoirs Français – 51100 REIMS Tél. 03.26.88.27.27 - Fax 03.26.84.93.18

Objet : Résidentialisation Croix du Sud à Reims (51) – Ilôts Fragonard/Cézanne/Ingres - Tranche 2

Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 7 lots :

-  Lot 01 : VRD/ESPACES VERTS
-  Lot 02 : METALLERIE
-  Lot 03 : GROS OEUVRE
-  Lot 04 : ETANCHEITE
-  Lot 05 : ASCENSEUR
-  Lot 06 : ELECTRICITE
-  Lot 07 : MENUISERIES INTERIEURES

Délai d’exécution :
Tranche ferme 1 : 1 mois de préparation + 5 mois de travaux
Tranche ferme 2 : 1 mois de préparation + 5 mois de travaux

Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 5 avril 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart à REIMS

Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 5 mars 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr
Référence du marché : MA-010213

Renseignements techniques :
Service Maintenance : Mr Lhermitte 03.26.04.98.71

Renseignements administratifs :
Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 28 février 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.

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Union130305a- Marne
Feu de véhicule

Un fourgon Fiat Ducato a été partiellement détruit par le feu dimanche soir vers 21 h 30 dans l’allée des Limousins à Reims.

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Union130304c- Marne
Agapes à Pays-de-France : Les seniors chouchoutés

Trente convives enchantés de se retrouver à table.
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Tous les ans, l’association de promotion de Pays-de-France organise son repas des seniors, un moment festif très recherché dans le quartier.

Cette année, la présidente, Christiane Monflier, a confié la préparation de ce repas à la toute nouvelle structure qui remplace le défunt « Bistroquet » qui a dû mettre la clé sous la porte. Elle n’a pas été déçue : quand l’équipe composée de Delphine Villefranque, vice-présidente, Nicolas Brocard, chef cuisinier, et Marfod Serchini, responsable associatif, est arrivée avec les préparations, ce fut une explosion de cris admiratifs devant la quantité de plats et leur présentation impeccable.

Professionnel de l’alimentation, le trésorier de l’APPF, Yves Monflier, ne cachait pas son admiration : « C’est vraiment du travail de pros et je m’y connais ! Qu’ils continuent comme cela, ils pourront compter sur nous pour leur faire de la pub ! ». La dégustation devait montrer que la qualité était à la hauteur de la quantité : un régal pour les papilles des seniors !

Cette belle journée s’est terminée par des danses et des chants de jadis, pour le plus grand bonheur de tous !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union130304b- Marne
L’Étoile Croix-du-Sud en réunion

L’association Étoile Croix-du-Sud réunira son assemblée générale vendredi 8 mars à 20 heures, dans la grande salle du 5, avenue Léon-Blum à Reims. Tramway, ligne B, station Léon-Blum.

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Union130304a- Marne
Feux de voitures

Samedi à 21 h 30, deux voitures ont pris feu sur un parking de la rue des Savoyards. L’incendie a détruit une Dacia, une Clio et s’est propagé à une Renault Mégane.

Hier vers 4 heures, trois conteneurs ont brûlé rue de Normandie.

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Union130303b- Marne
TENNIS DE TABLE : La leçon de Robinot

Quentin Robinot : « J’espère que cela donnera envie aux jeunes »
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Opposé à Guillaume Gallois et arbitré par des jeunes du club, Quentin Robinot a séduit son « auditoire ».
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Bernard SIVADE
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Avant que les demoiselles et les jeunes gens de l’Olympique rémois disputent leurs matches de championnats de France, la salle Géo-André a vécu un petit événement hier en début d’après-midi.

Quentin Robinot, leader européen quand il était junior, membre de l’équipe de France depuis son passage chez les seniors, a effectué une démonstration avec le local Guillaume Gallois, n° 299.

« Cela s’est fait naturellement. Mon amie Soufya joue ici à Reims, Cyril (Mayeux) voulait organiser un après-midi de promotion, j’étais libre. J’espère que cela va donner envie aux plus jeunes ».

Seul Français à avoir battu Ma Lin

Dans sa famille, on voue une passion sans nom aux sports de raquette. Sa mère joue au tennis, son père et son frère au tennis de table. « Moi, j’ai commencé à l’âge de 7 ans à Maisons-Alfort ». Depuis, il n’a pas perdu son temps.

A 20 ans, Quentin Robinot, dispute sa deuxième année de seniors. « Bien sûr, ce n’est plus comme en juniors.Les joueurs ont une plus grande maturité, l’habitude de la pression.Tous les matches sont difficiles ».

Cet attaquant qui avoue « aimer jouer à mi-distance » possède pourtant une belle expérience.Il a dominé le ping européen dès sa première saison chez les juniors. Champion d’Europe individuel, en double, par équipes, bronzé mondial en simple, argenté en double, le Levalloisien est donc entré dans le monde des grands avec ambition.

Il est le seul Français à avoir battu le Chinois Ma Lin, n° 6 mondial après avoir été n° 2, mais n’est pas pour autant tout en haut de l’échelle tricolore. Numéro 6 français, 143 mondial, Quentin Robinot met tous les atouts de son côté. Le tennis de table, « c’est mon métier », affirme-t-il. A raison de cinq à six heures de travail par jour, d’une ou deux séances le week-end, il progresse à pas de géant. « Mon objectif, c’est Rio 2016 », conclut-il.

Yves DOGUÉ

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Union130303a- Marne
Voitures en feu à Reims

REIMS (Marne). Dans la nuit de samedi à dimanche, les sapeurs-pompiers de Reims ont été requis dans le quartier Croix-Rouge, allée des Savoyards où deux voitures en stationnement étaient la proie des flammes.

Le sinistre dont l’origine est indéterminée a été maîtrisé au moyen d’une petite lance en présence de la police.

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Union130302a- Marne
Les voleurs de la vieille dame posent en photo avec elle

« Je ressens un grand soulagement et de la joie pour tous ceux qui m’ont soutenue », réagit Sophie Atané
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Les deux Rémois ont profité de la naïveté de leur voisine pour la voler. (Photo d’archive). Remi WAFFLART

REIMS (Marne). Deux Rémois ont profité de la naïveté d’une voisine de 77 ans pour lui voler à son insu bijoux, TV, chèques et carte bancaire. Ils ont poussé le vice à se faire photographier avec elle.

« MDR sa nouvelle fiancer. » Sur sa page Facebook, Vincent Gagnaire fait preuve d’un humour aussi douteux que sa maîtrise de l’orthographe. Ainsi a-t-il légendé la photo d’un de ses camarades « Mort De Rire », Mickaël Dousset, qu’on voit faire le guignol derrière une vieille dame qui prend la pose, sagement assise les bras croisés, sourire aux lèvres, trop naïve pour comprendre que les deux larrons sont en train de se moquer d’elle.

La « nouvelle fiancer » de Mickaël Dousset a 77 ans. Elle habite à Croix-Rouge, secteur Joliot-Curie, dans le même immeuble que Vincent Gagnaire. Non contents de la tourner en ridicule, les deux jeunes gens âgés de 18 ans avaient transformé son appartement en libre-service. Bijoux, carte bancaire, chèques et téléviseur disparaissaient à chacune de leur visite.

Elle s’endort, ils arrivent

Le 14 décembre, Mickaël Dousset se brûle aux mollets. Faute de pommade chez son copain Vincent, ils vont en demander à la vieille dame. Pendant qu’elle va chercher la crème, Mickaël décide de faire les tiroirs : il vole des bijoux et un double des clefs de l’appartement.

De retour chez Vincent, il lui montre la clef en riant de l’entourloupe. Le soir même, alors que la voisine est partie se coucher, ils retournent à son domicile pour lui voler quatre chèques qu’ils déposent sur leur compte. Mickaël Dousset s’octroie 400, 600 et 800 €, Vincent Gagnaire 400 € avec le dernier chèque.

Ils ont également pris la carte bancaire, mais n’arrivent pas à retirer de l’argent : le code qu’ils avaient cru trouver sur un bout de papier n’était pas le bon. Vincent arrive cependant à payer des recharges téléphoniques avec la carte.

L’adresse est bonne. Quelques jours plus tard, informé de l’absence de la septuagénaire, Mickaël revient se servir en bijoux. Le téléviseur disparaît lors d’une autre visite. La fille de la victime s’en rend compte fin décembre. Une plainte est déposée, les autres vols mis en lumière.

18 ans, 28 condamnations

Mickaël Dousset est arrêté mercredi matin, dans un magasin de la rue de Cernay. Les bijoux sont retrouvés à son domicile, ainsi que le téléviseur qu’il comptait revendre sur un site web.

Les enquêteurs de la sûreté départementale en profitent pour traiter une plainte de son ex. Le 28 décembre, au moment de rompre, il lui a extorqué son téléphone portable en faisant mine d’avoir un couteau sur lui : « Donne-le moi, sinon je te plante ! »

Il était également recherché pour le vol d’un scooter impasse Demolin, le 3 janvier. Vincent est arrêté le même jour que son complice. Malgré leur jeune âge, tous les deux sont déjà bien connus de la justice : sept mentions au casier pour Vincent, vingt-huit pour Mickaël, avec huit sursis en cours d’un quantum de 39 mois.

A l’audience des comparutions immédiates, fini de rire : Vincent Gagnaire a pris trois ans de prison dont un an ferme, Mickaël Dousset quatre ans dont deux ferme.

Le tribunal a également révoqué ses huit sursis. Soit un total à purger de cinq ans et trois mois d’emprisonnement.

F.C.

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L’hebdo du vendredi- N° 294- 130301d
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 294 - Semaine du 1 au 7 mars 2013


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Dégradations : Croix-Rouge : des habitants ont les nerfs à vifs

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Les habitants attendent avec impatience le rafraichissement de leur immeuble.
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La situation dans l’immeuble du 34-36-38 de la rue de Rilly la Montagne serait de moins en moins supportable pour les locataires y demeurant, ceux-ci dénonçant une dégradation croissante de leur cadre de vie tout en pointant du doigt l’inaction de l’organisme logeur, le Foyer Rémois.

Cage d’ascenseur remplie d’urine, garages forcés et pillés, signes sataniques inscrits dans le hall, interphone éventré, parties communes squattées, les incivilités ne cessent d’empirer dans cet immeuble du quartier Croix-Rouge, situé à Pays-de-France. « Les dégradations ont commencé fin 2005 et depuis, rien n’a vraiment été fait, ou alors à la va-vite », regrette Corinne Legros, l’une des locataires du bâtiment. Relançant régulièrement le bailleur social pour que le nécessaire soit fait, les habitants affirment avoir vu leurs requêtes restées sans réponses. Et le point de non-retour semble avoir été franchi dans la nuit du 18 au 19 février dernier quand, profitant de l’état de délabrement avancé des portes d’accès à l’immeuble, un groupe de jeunes mal intentionnés s’est introduit à l’intérieur de la bâtisse, mettant le feu à des meubles (dont un canapé), entreposés dans les sous-sols. « On avait demandé au Foyer Rémois d’intervenir pour remplacer ou du moins réparer les portes mais rien n’a été fait. A la suite de cet incendie, des fumées noires se sont propagées dans tous les appartements, laissant entrer la suie partout. Une voisine a même dû mettre des linges humides en bas de ses portes pour stopper la fumée », précise Corinne Legros. Très remontée, cette dernière, soutenue par la totalité des résidents du 34, vient de lancer une pétition, circulant actuellement dans l’immeuble. « On demande au bailleur de remettre au locataire un logement décent et sans risque car je pense qu’on a été un peu oubliés. On finit par se demander si notre immeuble rentre finalement bien dans le cadre de l’Anru… »

Au siège de l’organisme logeur, on assure avoir bien reçu la pétition. « On va se pencher en détail sur ce courrier pour voir quelles réponses pourraient être apportées aux locataires, promet Christophe Faber, directeur de la Clientèle au Foyer Rémois. Dans tout ce qui est cité, le problème vient surtout du vandalisme et de l’absence de civisme de certains. Les locataires en souffrent mais nos personnels et nos prestataires aussi quand ils viennent nettoyer. Car nous ne restons pas inactifs : pour l’incendie de février, on a fait intervenir des sociétés de nettoyage et installer des éclairages provisoires. Il faut reconnaître que depuis quelques temps, ce quartier, d’ordinaire assez calme, se dégrade. Actuellement il y a une étude prospective menée par la Ville de Reims, qui devra définir le schéma directeur de l’Anru 2 et qui pourrait intégrer le quartier de Rilly la Montagne dans les futures réhabilitations. On ne peut pas aujourd’hui lancer de gros travaux sur l’immeuble, comme la sécurisation des entrées par exemple, si celles-ci sont finalement intégrées dans l’Anru 2. Tout ceci doit s’inscrire à l’échelle d’un programme global. »

En attendant, Christophe Faber promet aux locataires une réponse du Foyer Rémois d’ici à la fin du mois de mars.

Aymeric Henniaux

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Union130301c- Marne
TENNIS DE TABLE / Nationaux : Maudites vacances !

Manon Songis de retour.
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La 4e journée des championnats par équipes ne tombe pas au mieux pour les clubs marnais.

Demain (17 heures), Rémois et Châlonnais devront composer avec les absences prévisibles et excusables en pleines vacances et les pépins pour tirer leur épingle du jeu.

NATIONALE 2 FÉMININE

ASC Châlons (6e, 1 v - 2 d) reçoit Grand-Quevilly (4e, 1 v - 1 n - 1 d), gymnase Le Corbusier à Saint-Memmie.

ENJEU. - Face à Grand-Quevilly (2), réserve de Pro A, l’ASC sait qu’il y aura au moins une numérotée en face. Les Normandes sont difficilement jouables. En prime, les absences ont obligé Châlons à enregistrer le retour de Manon Songis et à lancer Sophie Genninasca, déjà vue dans l’équipe pour le Bernard-Jeu.

EFFECTIF. - Manon Songis (13), Fanny Chemin (13), Sophie Genninasca (10), Clémence Legry (9).

NATIONALE 3 FÉMININE

Olympique Rémois (1er, 3 v) reçoit Blanville (2e, 3 v), à Géo-André.

ENJEU. - C’est le match pour la première place. Les Lorraines de l’entente entre Blainville et Damelevière risquent d’aligner Malaurie Mathieu (n° 186), une des toutes meilleures cadettes de France. A l’ORTT en revanche, Lucie Carré et Maëlle Winiarczyk manquent à l’appel.

EFFECTIF. - Laurie Lambiet (14), Véronika Necasova (11), Soufya Baala (10), Anaëlle Porchedda (6).

NATIONALE 3

Olympique Rémois (1er, 3 v) reçoit Sarrebourg (8e, 3 d), à Géo-André.

ENJEU. - Sans Eddy Lisima (tendinite) et peut-être sans Fabien Gilardi (raisons professionnelles), l’ORTT a les moyens de vaincre. Lucas Créange est incorporé dans cette équipe jusqu’à la fin de saison.

EFFECTIF. - Gallois (n° 299), Mayeux (n° 674), Remy (n° 903), Créange (n° 966), Garot (n° 996), Souchon (18).

ASC Châlons (1er, 3 v) reçoit Wavignies (8e, 3 d), gymnase Le Corbusier à Saint-Memmie.

ENJEU. - Avec un Clément Chobeau qui voudra effacer son tour d’individuel en deçà de ses espérances, l’ASC doit dominer la lanterne rouge, même si la participation de Benjamin Malingre est incertaine. Franck Denis pourrait le suppléer.

EFFECTIF. - Garrec (n° 240), C. Chobeau (n° 350), Pérignon (n° 590), Delhorbe (n° 837), Audoin (n° 924), Denis (16 ?).

PRÉNATIONALE

ASC Châlons (6e, 1 n - 2 d) reçoit Dijon (1er, 3 v), gymnase Le Corbusier à Saint-Memmie.

ENJEU. - Battue à Reims il y a deux semaines malgré les perfs de « Maxi-Chob » et des Sebbag père et fils, l’ASC (2) doit réaliser un exploit contre le leader pour se donner de l’air.

EFFECTIF. - Carquin (n°481), P. Sebbag (19), M.Chobeau (18), A. Sebbag (17), Pérard (16), Huvet (16).

Olympique Rémois (2e, 3 v) va à Besançon (5e, 1 v - 1 n - 1 d).

ENJEU. - Effectif incomplet en équipe première veut dire réajustement en dessous ! Hugo Poisignon revient en Prénationale et y restera jusqu’à la fin. Robin Coelho fait sa première apparition.

EFFECTIF. - Bougy (19), Henrion (19), Véron (19), Serres (18), Poinsignon (16), Coelho (14).

Ph.L.

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Union130301b- Marne
Sophie Atané gagne contre l’Arfo

« Je ressens un grand soulagement et de la joie pour tous ceux qui m’ont soutenue », réagit Sophie Atané
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REIMS (Marne). Sophie, hôtesse de l’Arfo, a été licenciée après avoir dénoncé le manque de respect de sa directrice envers les résidents de la maison de retraite. Elle a obtenu gain de cause aux Prud’hommes. Son licenciement est annulé et elle devra être réintégrée.

La décision des Prud’hommes est tombée hier. Sophie Atané, qui contestait son licenciement et demandait sa réintégration au sein du personnel des résidences pour personnes âgées Arfo, a obtenu gain de cause .

Hôtesse aide à vivre, elle avait été mise à la porte pour déloyauté envers son employeur après avoir dénoncé le comportement irrespectueux de sa directrice envers les résidents de la maison Lucien-Doyen à Croix-Rouge.

Elle retrouvera son poste dans un délai de deux semaines à compter de la notification du jugement. « Je ressens un grand soulagement et de la joie pour tous ceux qui m’ont soutenue », confie Sophie Atané.

Une douzaine de personnes âgées de la résidence avaient accompagné leur hôtesse lors de l’audience pour bien signifier que ce qu’elle dénonçait était fondé. « Aujourd’hui, je me dis qu’il y a une justice. J’avais confiance et je n’aurais pas compris que la décision soit autre ».

« Harcèlement moral »

Le harcèlement moral subi par l’employée a aussi été reconnu et l’Arfo a été condamnée sur plusieurs points relatifs aux conditions de travail : « Notamment le régime des astreintes, les repos dominicaux, les temps de pause…

J’espère que cette décision va contribuer à faire bouger les choses pour l’ensemble des salariés ».

Alain Simon, directeur général de l’Arfo, n’était pas encore au courant de la décision quand nous l’avons joint hier. Il n’était donc pas encore en mesure de réagir, ni d’annoncer s’il faisait appel ou pas.

Catherine FREY

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Union130301a- Marne
Les incendiaires sont de sortie

Deux poubelles ont brûlé dans la nuit de mercredi à jeudi, la première à 0 h 45, rue Guillaume-Apollinaire au quartier Murigny. Une Golf a été endommagée par propagation.

Un autre conteneur flambé dix minutes plus tard rue Blaise-Pascal aux Châtillons.

Auparavant, à 2 h 15, un vandale a mis le feu à la sonnette d’un appartement de l’allée Edgar-Degas.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130228b
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7487 du 25 février au 03 mars 2013.

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AVIS DIVERS

APPARTEMENT :
— Appartement de type IV d’environ 79 m2, situé 15 place Toulouse Lautrec, 4° étage, porte C, à REIMS - Classement énergétique "D" 110.583 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ; 8 Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.33. 8 113462


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AVIS DE CONSTITUTION DE SOCIETE

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :
DENOMINATION SOCIALE : WebComBusiness.
FORME : Société par actions simplifiée.
CAPITAL : 30.000 €.
SIEGE SOCIAL : 39 esplanade du Général Eisenhower - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : Prestations générales de communication d’entreprise, prestation de négoce et de formation incidentes ou non.
DUREE : 99 années à compter de l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.
PRESIDENT : MATABA Boukar, demeurant à REIMS (51100), 5 A rue de la Pompelle.
IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
113364

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Union130228a- Marne
Tennis de table : Du top niveau européen à Reims

Quentin Robinot, en exhibition samedi salle Géo-André.
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Le fait est tellement rare qu’il serait de mauvais goût de passer à côté. Samedi après-midi, l’un des meilleurs pongistes français et même mondial sera à la salle Géo-André de Reims. Quentin Robinot (n° 18 français* et 173e joueur mondial) sera en exhibition, de 14 heures à 16 heures.

Que peut bien faire ce quintuple champion d’Europe cadet et junior à Géo-André en ouverture d’une journée consacrée aux championnats nationaux par équipes ? Le cœur a ses raisons… Et l’ORTT du président Coelho comme la Ligue ont profité des attaches entre le pongiste international et Soufya Baala pour bâtir une opération à destination des amateurs de tennis de table en général et des jeunes en particulier.

Le point de l’année à voir en vidéo

En passe d’être sélectionné pour les Mondiaux de Paris au printemps prochain, Robinot est un joueur d’avenir doublé d’un show man. La vidéo qui circule sur Youtube (baptisée Robinot le French flair) en donne un aperçu. Le Levalloisien a renvoyé au Bélarus Kiril Barabanov, point gagnant à la clé, une balle avec la dextérité qui n’a rien à envier au coup dos au filet et entre les jambes du tennisman. Désormais, ça s’appellera une « Robinot »…

Après-demain, lors d’une démonstration, l’Olympien Guillaume Gallois (n° 299) lui donnera la réplique.

Ensuite, les relanceurs seront des jeunes de l’ORTT et du centre régional d’entraînement. « Ce sera ludique », assure Christophe Canat, l’entraîneur de l’Olympique Rémois. « Les jeunes iront jouer deux ou trois points contre Quentin avant une séance de questions-réponses, un goûter et des autographes. »

L’ancien chargé du développement au comité marne et l’actuel conseiller technique de la Ligue ne pouvaient pas passer à côté de cette opération promotion ouverte à tous les licenciés. Il faut faire profiter…

Ph.L.

(*) Le Parisien (20 ans) serait même n° 7 dans une hiérarchie excluant les étrangers. Au niveau européen, il apparaît au 95e rang. L’entrée sera libre samedi.

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Union130227a- Marne
Chauffards condamnés, voiture et scooter confisqués

REIMS (Marne). Depuis l’entrée en vigueur au mois de mars 2011 d’une nouvelle loi renforçant la lutte contre l’insécurité routière, les récidivistes de la conduite en état alcoolique s’exposent à la confiscation automatique de leur véhicule (à condition d’en être le propriétaire et de l’avoir utilisé pour l’infraction).

Deux Rémois jugés à la dernière audience des délits routiers ont eu droit à l’application de cette mesure.

Dans la nuit du 22 au 23 février 2012, Thierry Duchêne, 38 ans, prend le volant sans mettre sa ceinture. Un oubli lourd de conséquence. Repéré par une patrouille de police allée des Champenois, il est incapable de présenter un permis de conduire - il n’en est pas titulaire - et ne peut donc justifier d’une assurance pour son véhicule.

Le passage à l’éthylomètre finit d’aggraver son cas : 0,48 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit 0,96 gramme par litre de sang.

Récidiviste, le prévenu ne vient pas s’expliquer à la barre. Le tribunal le condamne à dix mois de prison ferme et ordonne la confiscation de son auto.

Nordin Aribi, 45 ans, n’était pas au volant mais au guidon de son scooter lorsqu’il a franchi une ligne continue boulevard Pommery, le 5 mai 2012. Positif à l’alcool (0,80 gramme), il l’était également aux produits stupéfiants (résine de cannabis).

Là aussi, absence à la barre et gros casier judiciaire ont irrité le tribunal : un an de prison ferme, confiscation du scooter, interdiction de conduire tout véhicule à moteur pendant une durée de six mois.

F.C


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