Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2013.
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
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Le bilan 2012 a été présenté : l’opération est désormais essentielle et structurante dans le quartier.
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L’édition 2013 de l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge », compte tenu des travaux prévus sur l’hippodrome de Reims, se déroulera sur le site du complexe sportif Géo-André : trois semaines d’animations gratuites entre le 8 et le 27 juillet sur un lieu clos, avec des pistes.
Un groupe d’habitants doit plancher sur sa préparation, après une évaluation et un bilan de l’édition 2012, présentés en public par Elisabeth Causin et Slimane Hamdi devant le premier adjoint Eric Quénard et la déléguée du préfet.
Présents également, le Conseil de quartier, le Contrat urbain de cohésion sociale, le service départemental de Prévention, la Maison de quartier Croix-Rouge, le groupe Escapades, l’association de promotion de Pays-de-France, l’association Multi-échanges services et l’Effort rémois.
L’opération 2012 s’est déroulée du 6 au 26 juillet, du lundi au samedi, de 15 à 20 heures, soit 18 jours d’accueil.
L’accès du site était réservé, le matin, de 10 à 12 heures, aux enfants des centres de loisirs du quartier de 3 à 12 ans : ils ont été 327 à profiter de cette aubaine.
Pour le grand public, l’après-midi, de 15 à 20 heures, 6 874 entrées ont été dénombrées, soit une moyenne de 380 par jour d’ouverture avec des pics de fréquentation de 642 entrées le 10 juillet et 535 entrées le 23 juillet !
D’où venaient ces visiteurs ? 35 % de Pays-de-France, 35 % du secteur Université-Hippodrome, 25 % de Croix-du-Sud et 5 % du reste de l’agglomération de Reims.
Cinq grands secteurs d’animation ont été organisés : un secteur « familles-enfance », un secteur « sports », un secteur « information jeunesse », un secteur « ateliers de création » (dessin et travaux manuels) et enfin un « espace détente ». Deux grands jeux intergénérationnels ont été proposés avec 340 inscriptions et 200 goûters distribués.
Trois samedis « découverte » étaient offerts aux amateurs : des prestations rap de jeunes du quartier, Big Charley ( pop rock et blues), raï avec Jalal, variété française avec Moriss, et percussion africaine avec Act2.
Après s’être tenu tranquille plusieurs semaines, l’incendiaire de l’allée des Landais a ressorti le briquet, dimanche matin à 8 h 15, en mettant k feu à des sacs poubelles dans une cave. Du moins suppose-t-on que c’est lui car l’incendie, comme tous les précédents, s’est déclaré au n° 3.
En passant des vacances de février à celles de printemps, le tournoi jeunes du Reims Europe Club a connu des effectifs stables avec 154 ins¬crits.
Si les finales ont connu des résultats confor¬mes à la logique, le tableau garçons a connu de grosses surprise puisqu’un 15/5 et deux 30 sont passés à la trappe pour permettre au… 30/3 bragard Enzo Fouilloux d’être titré grâce au forfait du nordiste Mael Communal (30/1, Tourcoing) blessé au bras et engagé le jour même en finale départementale !
9/10 ans : Mathilde Sarcelet (30/2,TC Ménéhildien) bat Eva Fernandes (30/2, URT) 5-3, 3-5, 5-3. 11/12 ans : Julie Mathieu (15/4, Alsace Lorraine Paris) bat Elodie Brunot (15/5, Saint Memmie) 6-2, 3¬6, 6-3.
13/14 ans : Amélie Lamothe (15/4, Géo-André) bat Emma Cuny (15/5, Asptt Châlons) 7-5, 6-1.
9/10 ans : Romain Brunot (30/3, Saint Memmie) bat Adrien Ponsart (30/4, Vrigne aux Bois) 5-0, 5-2. 11/12 ans : Enzo Fouilloux (30/2, Saint Dizier) bat Mael Communal (30/1,Tourcoing) par WO.
13/14 ans : Baptiste Breton (15/3, Reims Europe Club) batThéau Duliere (15/4, Géo-André) 4-6, 6-2, 6-1. 15/16 ans : Issey Chaudré (15/2, URT) bat Yohann Girondin (15/2, Saint Dizier) 6-3, 5-7, 7-5.
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A l’AGR (Association gymnique rémoise), on connaît déjà le calendrier des compétitions à venir. Le 12 mai à Cognac, c’est la talentueuse Mathilde Leclerc qui ouvrira le bal pour les finales nationale B. Elle sera suivie, les 14 et 15 mai, de l’équipe des filles de la section sportive scolaire du collège François Legros : celles-ci sont attendues à Arques à l’occasion des finales de l’Unss en gymnastique artistique.
Puis leur succéderont, les 18 et 19 mai à Arnas (Villefranche-sur-Saône) en gymnastique rythmique, les cinq membres de l’ensemble seniors, qui seront engagées pour les finales nationales de division fédérale 1.
« N’oublions pas l’équipe féminine qui essaiera lors du dernier week-end du mois à Albi de se classer au mieux dans les finales nationales de division fédérale 2 », complète Jean-Paul Lamblin, dirigeant sportif.
Enfin, les 16 et 20 mai, l’entraîneur de la section trampoline, Philippe Coutant, tentera de « voler haut lors du Festigym national de Niort dans sa catégorie ». Au niveau des demi-finales des championnats de France (zone est), les ensembles critérium de gymnastique rythmique iront chercher, les 4 et 5 mai, à Besançon, une qualification pour les championnats de France de Valenciennes qui, eux, sont prévus les 8 et 9 juin.
1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE
71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex. +-999
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant article
10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
3) Objet du marché : mission d’ordonnancement - pilotage
et coordination (O.P.C.) dans le cadre de la construction d’un
immeuble de bureau, avenue du Général-Eisenhower à Reims
" Hôtel des Solidarités " ( 51).
4) Justifications à produire : suivant article 17 du décret
n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
5) Critères d’attribution :
Critère : valeur technique 40 %
Critère : prix des prestations 60 %
Prix 50 %
Cohérence du prix
(si plus de 3 propositions recevables) 10 %
6) Options : sans.
7) Délai d’exécution des travaux : 17 mois (compris 2 mois
de période de préparation de chantier, et 15 mois de travaux,
compris congés payés et intempéries prévisibles, à raison de
15 jours calendaires par année civile).
8) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT
CHAMPAGNE ARDENNE, tél. : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27
ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site :
www.reims-habitat.fr
9) Autres renseignements : les renseignements d’ordre
administratif peuvent être obtenus auprès du service commande
publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus
auprès de M. REINERT : tél. : 03.26.61.62.66, fax : 03.26.48.43.40.
10) Date limite de remise des offres : le 14 mai 2013 à
17 heures.
11) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 29 avril 2013.
51AO2001184
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La joyeuse équipe féminine de la Vallée de la Marne au stand ludique du développement durable.
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Sérieux, les jeunes footballeurs, quand il faut répondre aux questions sur la citoyenneté.
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Une journée pour devenir footballeur-citoyen : c’est le pari de Radio jeunes Reims, associée au Stade hier. Il y avait 90 jeunes et trois joueurs pros. « C’EST bien car il y a toujours des réflexions chez les supporters. Quand on va au stade, on entend de drôles de choses ».
L’éducation à la citoyenneté dans et via le football, c’était hier le mot d’ordre au stade Géo-André, où Radio jeunes Reims organisait le tournoi foot & citoyenneté, pour la 2e année consécutive.
Au menu, des matchs de 10 minutes, entre 9 équipes réparties dans deux poules, et une finale entre les premiers. Mais au-delà de la compétition, les jeunes ont surtout appris pas mal de choses : comment se comporter vis-à-vis du racisme quotidien, apprendre à gérer sa santé et l’apprendre aux autres, apprendre le développement durable par le tri…
Des règles de vie très diverses mais qui rappellent qu’être citoyen au quotidien est relativement simple pour qui veut s’en donner la peine.
« Nous avons décidé, avec la Banque alimentaire, de redonner tous les aliments non périssables récoltés aujourd’hui aux habitants de Wilson qui ont tout perdu dans l’explosion », explique Julien Lampin, l’un des deux journalistes de RJR organisateurs.
Car chaque équipe devait apporter, comme droit d’entrée à ce tournoi, des pâtes, des conserves, tout ce que la Banque alimentaire récolte habituellement. Ce geste marquant confirme bien que ce tournoi est tourné vers la solidarité.
Chloé, Colyne, Marie-Cécile, Jessica, Claire, Clarisse, Clara ou Marie en sont bien conscientes, elles qui ont joué sous les couleurs de la Vallée de la Marne, équipe soutenue par le District Marne de football, et qui rassemble des jeunes filles venues de Sézanne, Berru, Prunay, etc. Deux d’entre elles ont été retenues pour un stage national à Vichy. Comme les autres footballeurs venus des clubs de Cormontreuil, Prunay, l’Espérance rémoise, Bétheny (féminines), Sainte-Anne (féminines), Stade de Reims, Tinqueux et Reims Sires, elles sont passées sur les stands tenus par la Licra, l’office des sports, Reims Métropole, entre deux matchs.
Et comme les autres, les filles ont couru vers les 3 pros dès leur arrivée. Gaëtan Courtet, Antoine Devaux et Aïssa Mandi ont été assaillis par les petits footballeurs, tout heureux de se faire prendre en photo avec les stars de Ligue 1, de se faire dédicacer un ballon, un maillot…
Une belle façon de récompenser ces nouveaux petits citoyens !
G.F.
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On se souvient de l’infinie tristesse de Liliane Feige, à Croix-du-Sud, après le cambriolage de son appartement, un fait divers vécu comme une trahison par celle qu’on appelle la poète de Croix-Rouge, et qui n’a de cesse de glorifier ce quartier qu’elle adore et dans lequel elle ne veut voir que du positif.
Après une longue période de deuil poétique, Liliane Feige a retrouvé son inspiration et son optimisme. La preuve avec ces quelques vers en « Hommage à mon quartier redevenu paisible ».
Nous avons retrouvé la paix
Après de durs combats,
C’est le printemps, la belle saison.
J’ai balayé les mauvais souvenirs,
Assise sur un banc
A l’orée de la paix,
Où puisse revenir ma poésie.
Dans le cristal de l’air,
Les mots se valorisent,
C’est agréable :
Les jeunes me disent bonjour !
Le baiser des amoureux
S’harmonise
Dans le soleil du matin
Sur un beau chant d’amour.
La joie est revenue,
J’ai tourné la page.
Plus jamais de cambriolages !
Les habitants se rencontrent,
Plus de pleurs,
Le quartier se reconstruit
Réalisant notre rêve,
Et nos allées sont en fleurs.
L’association Étoile Croix-du-Sud organise une brocante sur le parking de la rue Marie-Laurencin à Croix-du-Sud, le mercredi 8 mai de 5 à 20 heures.
Elle sera ouverte à tous, sauf aux professionnels.
Renseignements et réservations (2 euros le mètre) au secrétariat de l’association, 5, avenue Léon-Blum (Tramway, ligne B station Léon-Blum), tél. 03.26.06.56.66.
Diego et Courtet devraient être présents avec les jeunes de 13 ans, avec Agassa, Ca, Glombard, Souaré, Toudic et Devaux, sous réserve bien sûr.
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Parfois, le football véhicule une image pas très reluisante de mauvais tacles ou de bagarres de supporters. Mais ce soir et demain, c’est la plus belle valeur de ce sport qui sera mise en avant, à savoir la solidarité.
Le Stade de Reims et Radio jeunes Reims organisent en effet la 2e édition de l’opération « Football et citoyenneté ». Deux journalistes de RJR, Zouhir Mansouri et Julien Lampin, veulent démontrer que le football reste un vecteur d’intégration sociale, que les valeurs de partage, de respect et de fair-play font partie de ce sport, le plus populaire de France. Ce soir, ils animeront une conférence-débat au lycée Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle (20 rue de Contrai) qui permettra, à partir de 19 heures, de parler des « enjeux du rapprochement entre foot pro et amateur ».
L’entrée au public sera gratuite.
Un tournoi ludique et citoyen se tiendra au stade Géo-André mercredi 1er mai, de 9 à 20 heures. Pour participer, il suffit de donner, comme droit d’entrée, une denrée non périssable. Tout sera entièrement reversé à la Banque Alimentaire. Dix équipes (soit une centaine de jeunes de 11 à 13 ans) seront invitées à partager leur passion du football sur les terrains aux côtés des joueurs professionnels du Stade de Reims, Ils seront aussi sensibilisés par des ateliers citoyens, représentés par la Licra, le centre de tri Reims Métropole, l’office des sports, le district de la Marne et la Ligue de foot de Champagne-Ardenne. Leur assiduité à ces ateliers rapportera des points au classement. Ainsi le vainqueur du « tournoi F & C » ne sera pas le meilleur sur le terrain mais le plus citoyen.
REIMS (Marne). L’homme qui a menacé et commis des dégradations à l’Udaf, deux fois en deux jours, ira se calmer trois mois en prison.
A lui tout seul, il a causé un sacré bazar le mois dernier dans les locaux de l’Udaf, venu commettre deux fois en deux jours de nombreuses dégradations ponctuées d’insultes et de menaces envers le personnel accusé de mal gérer sa curatelle.
Le premier coup de sang de Christophe Ribeiro, alias Cricri, 22 ans, se produit le 27 mars esplanade Eisenhower. L’accueil au public est fermé. Qu’importe ! Il brise une vitre avec un gourdin, pénètre dans les lieux, menace les personnes présentes, saccage un ordinateur, une table, un pot de fleurs et trois autres fenêtres. Coût des dégradations : 4 000 €.
Interpellé, Cricri se retrouve à l’audience des comparutions immédiates où il n’a rien perdu de sa hargne. « Je suis en colère. J’arriverai pas à me calmer. Pour moi, les gens de l’Udaf sont des gros c… ards ! Je sais que j’y retournerai car ma vengeance n’est pas finie. »
Pour des raisons de procédure, le procès est renvoyé. Son incarcération provisoire est demandée par le parquet, mais le tribunal décide de le remettre en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à l’Udaf, obligation de résider dans les Ardennes et d’aller pointer une fois par semaine à la brigade de Monthermé. La décision rendue, Cricri quitte la salle d’audience… pour aller directement menacer l’avocat et ses trois clients de l’Udaf dans le hall des pas perdus. « Vous allez voir ! Je vais revenir ! Je vais me venger ! »
Les victimes sont mises à l’abri dans une pièce du palais. Cricri s’enfuit. Pendant que les premières filent au commissariat pour déposer plainte, le second prend le tramway, direction les locaux de l’Udaf esplanade Eisenhower…
Armé d’un bâton, il casse une vitre et un volet, mais n’arrive pas à s’introduire dans le local. Bloqué à la fenêtre, il se penche du mieux possible et balaye l’intérieur de son morceau de bois pour flanquer par terre un ordinateur et plusieurs dossiers. La police l’interpelle avant qu’il ne quitte les lieux. Nouvelle facture présentée par l’Udaf : 1 500 €.
Sans surprise, ce deuxième coup de sang a valu à Cricri un retour direct à l’audience des comparutions immédiates, mais là aussi, le procès a été renvoyé pour les mêmes motifs de procédure que précédemment. Différence notable avec son premier passage. Bien qu’il se soit assagi - « J’ai eu le temps de réfléchir. Je ne retournerai plus à l’Udaf. J’ai des regrets. » -, le tribunal l’a placé en détention.
Le jeune homme vient de comparaître pour répondre des deux dossiers en même temps. Première affaire : quatre mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve ; deuxième affaire : trois mois ferme avec maintien en détention.
Les trois plaignants de l’Udaf obtiennent chacun 1 500 € de dommages-intérêts.
F.C.
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La Direction de la Jeunesse de la Ville de Reims et ses nombreux partenaires avaient donné rendez-vous aux jeunes et aux familles de 14 heures à 17 h 30, mercredi 24 avril sur le square de l’église Saint-Bruno à Croix-du-Sud en proposant de nombreuses activités gratuites ouvertes à tous.
Ils ont été entendus. Sous un beau soleil, les nombreux stands et points d’accueil ont été envahis : les familles, assises à l’ombre dans l’herbe et papotant, les jeunes pratiquant une activité ou un sport parmi la vingtaine offerts.
On a remarqué, entre autres, le ring du Cram (boxe), le coin apprentissage de la guitare, les ateliers créatifs, le tir à l’arc, le parcours en VTT et le maquillage oriental.
Les familles en ont profité pour inscrire leurs enfants au dispositif Reims Vital Eté 2013 (12-17 ans), aux séjours (6-17 ans), aux accueils de loisirs (centres aérés pour les 3-13 ans), et aux activités de la maison de quartier.
« Etaler ce déploiement spectaculaire, avec tous ces moyens humains, et on inventerait un « Croix-Rouge s’affiche-bis » ! », s’exclamait un adulte emballé.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Le Tennis club de Montmirail a organisé son traditionnel tournoi jeune du 16 avril au 21 avril, sous ses courts couverts où 105 matchs ont été disputés. 83 jeunes y ont participé : 67 garçons et 16 filles. A l’issue des rencontres, Philippe Chevriot, président du club local, a remercié la présence d’Yvonne Thimond, adjointe au maire de la commune, et Michel Dauteuil, vice-président de la communauté de communes de la Brie champenoise, qui ont remis les récompenses aux divers champions.
Chez les filles en moins de 10 ans, Mathilde Sarcelet de Saint Ménéhould, classée 30/2 a gagné devant Charlène Haddad de Montmirail par 5/0 - 5/2. En 13/14 filles, c’est Cléa Priolet de Dormans, non classée qui a battu Loubna Addioui également de Dormans, classée 30/4, par 6/4 - 6/2. Chez les filles en 15/16 ans, Emilia Dratwinskyj de Villeneuve-sur-Bellot, classée 15/4, a battu Agathe Vandenberghe de Charly classée 30, par 6/1 - 6/0.
Chez les garçons, 9 ans, Clément Diawara de Romilly a battu Naoki Medous du club Géo-André de Reims par 5/1 - 5/1. Chez les 10 ans, c’est Logan Tessier de Charly qui a battu Mathieu Lepuil de Sézanne par 5/0 - 5/0. En 11/12 ans, Axel Maget de Saint-Martin-sur-le-Pré, classé 30 a battu Thibault Renauld de Dormans, classé 30/1, par 6/0 - 6/0. Chez les 13/14 ans c’est Antoine Uy de Château-Thierry, classé 15/5, qui a battu Benjamin Bisiaux de Romilly, classé 15/3, par 6/4 - 4/6 - 6/1. Pour conclure, en 15/16 ans, Arthur Assaillit de Montmirail, classé 15/4, a battu Antoine Uy de Château-Thierry par 6/0 - 6/0 et en 17/18 ans, Arthur Assaillit a battu Romain Debaquit de Guignicourt, classé 30/2, par 6/2 - 6/1.
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La Direction de la Jeunesse de la Ville de Reims et ses nombreux partenaires avaient donné rendez-vous aux jeunes et aux familles de 14 heures à 17 h 30, mercredi 24 avril sur le square de l’église Saint-Bruno à Croix-du-Sud en proposant de nombreuses activités gratuites ouvertes à tous.
Ils ont été entendus. Sous un beau soleil, les nombreux stands et points d’accueil ont été envahis : les familles, assises à l’ombre dans l’herbe et papotant, les jeunes pratiquant une activité ou un sport parmi la vingtaine offerts.
On a remarqué, entre autres, le ring du Cram (boxe), le coin apprentissage de la guitare, les ateliers créatifs, le tir à l’arc, le parcours en VTT et le maquillage oriental.
Les familles en ont profité pour inscrire leurs enfants au dispositif Reims Vital Eté 2013 (12-17 ans), aux séjours (6-17 ans), aux accueils de loisirs (centres aérés pour les 3-13 ans), et aux activités de la maison de quartier.
« Etaler ce déploiement spectaculaire, avec tous ces moyens humains, et on inventerait un « Croix-Rouge s’affiche-bis » ! », s’exclamait un adulte emballé.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Reims sacre la culture Hip Hop
A l’image de Scratch, le documentaire réalisé par Doug Pray qui retrace l’histoire des Dj’s des années 70 à nos jours, le Boom Bap propose un très large apperçu des richesses de la culture Hip Hop.
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Du samedi 27 avril au dimanche 5 mai, le Boom Bap Reims Hip Hop Festival, organisé par l’association Velours grâce notamment au soutien de la Ville de Reims, va plonger la Cité des sacres dans l’univers particulièrement riche de la culture Hip Hop. En tout, une quinzaine de rendez-vous où se côtoient les talents locaux et les plus grands artistes nationaux et internationaux de la discipline.
Musique, danse, graff, lecture ou encore cinéma, découvrez le programme complet de cet évènement dédié au mouvement Hip Hop.
Berceau du Hip Hop à Reims, le château d’eau du quartier Croix-Rouge accueille logiquement l’inauguration du festival. C’est en effet dans ce bâtiment que l’ancienne MJC a accueilli pendant des années rappeurs, musiciens et danseurs jusqu’à sa fermeture récente.
Ainsi, après une conférence (19h - Entrée libre) donnée par Thomas Blondeau, journaliste Hip Hop aux Inrockuptibles, sur la naissance et l’évolution du mouvement en France, place à un mapping (21h - Gratuit).
Sur le fameux château d’eau, le rémois Stéphane Bordonaro proposera une projection vidéo mise en musique par le Dj et beatmaker Slivanoë.
Le football, vecteur de tolérance
Fair-play, partage et solidarité, trois valeurs phares du tournoi Football et Citoyenneté. (© Romain Heurtaut-Puppetto)
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Après une première édition au succès évident, l’opération Football et Citoyenneté revient en deux temps la semaine prochaine. Une conférence-débat mardi et un tournoi citoyen le mercredi rythmeront ainsi l’événement.
Redonner ses titres de noblesse au football, voilà bien l’un des tous premiers objectifs de Julien Lampin et Zouhir Mansouri, les deux animateurs-journalistes à l’origine du projet. D’un côté, une image de plus en plus ternie de cette discipline, pourtant la plus populaire en France, celle d’un foot business donnant, avec ses salaires mirobolants, de quoi faire tourner la tête de certains joueurs. Un foot où peut régner l’insécurité sur certaines pelouses amateurs, où des propos douteux peuvent être tenus et où les millions d’euros de certains investisseurs concourent à creuser davantage le fossé entre football professionnel et milieux amateur et féminin. A cela, Julien et Zouhir y opposent le souvenir du foot de la fin des années 1990, à l’apogée de la période « Black-Blanc-Beur », où ce sport, fédérateur, était avant tout le théâtre d’un partage de valeurs, de respect, de fair-play, mais surtout un vecteur efficace d’intégration sociale pour le mieux-vivre ensemble.
Souhaitant sensibiliser tous les publics, les jeunes en priorité, les deux organisateurs, soutenus notamment par l’Office des Sports de Reims et le Stade de Reims, invitent le grand public à participer à une grande conférence le 30 avril à 19h au Centre audiovisuel du lycée St Jean-Baptiste de la Salle (20, rue de Contrai), afin de venir débattre avec des professionnels du monde du football autour de la thématique : « Enjeux du rapprochement entre football professionnel et amateur ». « L’idée, c’est surtout de trouver des solutions à travers la concertation de tous les acteurs. C’est en nouant un dialogue sincère que des actions efficaces et concrètes pourront être mises en place », souligne Julien Lampin. Parmi les intervenants d’ores et déjà confirmés pour la conférence-débat, signalons la présence de Johan Liebus du Stade de Reims, Christophe Mouro de Ferrero, Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims et Fernand Duchaussoy, président de la Ligue Nord de football et ex-président de la FFF et de la LFA.
Et parce que les « vraies valeurs » du football se traduisent surtout sur le terrain, Julien et Zouhir ont cette fois encore mis en place un tournoi Football & Citoyenneté. Celui-ci se déroulera le mercredi 1er mai au stade Géo André de Reims. Ainsi, dix équipes de jeunes (U13) seront invitées, soit près de 100 enfants de 11 à 13 ans qui participeront à un tournoi ludique et caritatif. « Les matches se dérouleront après lecture de la charte du fair-play, précise Julien, et comme l’an passé, l’équipe vainqueur ne sera pas seulement la meilleure sur le terrain, mais aussi la plus citoyenne, celle qui aura par exemple fait preuve du plus grand fair-play, aura reçu le moins de cartons… » Par ailleurs, la Licra, Reims Métropole, le district de la Marne et l’Office des Sports seront également présents au stade afin de proposer des ateliers Lutte contre les discriminations, Sport-Santé, développement durable, Éthique et arbitrage, tandis que la Banque Alimentaire se chargera, elle, de récolter des denrées non périssables. Une vraie initiative citoyenne, jusque dans les « détails ».
Aymeric Henniaux
Entrée libre. Le stade Géo André est situé avenue François Mauriac
Le Stade de Reims et Radio Jeunes Reims (RJR) organisent le mardi 30 avril et le mercredi 1er mai un événement « Football et Citoyenneté - Pour un football plus solidaire ».
Au programme de ces deux journées, une conférence-débat, le 30 avril à 19 heures (entrée libre) à l’auditorium du lycée Saint-Jean-Baptiste de la Salle à Reims aura pour thème l’indispensable rapprochement entre football professionnel et football amateur. Le 1er mai au stade Géo André à Reims, une centaine d’enfant de 11 à 13 ans, répartis en dix équipes participeront à un tournoi de football ludique et caritatif. Plusieurs stands seront mis en place à cette occasion (Licra, Ville de Reims, District Marne, Office des Sports…). Et parce que la citoyenneté inclut la solidarité, il sera uniquement demandé en guise de droit d’entrée une denrée alimentaire non périssable. Celle-ci sera reversée à la Banque Alimentaire.
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Dans l’union d’hier, nous avons relaté le ras-le-bol de locataires privés d’ascenseur depuis quarante jours dans un immeuble de l’allée des Provençaux, au n°2.
« L’agence de proximité du Foyer rémois a contacté la société Otis dès qu’elle a eu connaissance de l’arrêt de cet ascenseur », indique l’organisme logeur. « Le 8 avril, elle a informé les locataires de cette panne et de la date de remise en service de l’appareil. » « Soucieuse de la gêne occasionnée », poursuit le Foyer rémois, « l’agence a adressé le 16 avril un courrier à chaque habitant de l’immeuble afin de recenser les difficultés rencontrées suite à cette immobilisation. »
Le service technique du Foyer rémois a ensuite « recontacté l’entreprise afin d’obtenir plus d’explications ». « A ce jour (ndlr : hier), l’appareil est effectivement toujours à l’arrêt et Otis interviendra le vendredi 26 avril pour la remise en fonctionnement de l’ascenseur. »
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REIMS (Marne). Certains habitants du 2, allée des Provençaux à Croix-Rouge, ne sont pas sortis de chez eux depuis 40 jours à cause d’une panne d’ascenseur. Une pièce serait en cours de fabrication…
Il y avait des pannes régulièrement, mais cela ne durait jamais très longtemps. Au 2, allée des Provençaux, depuis le 19 mars, beaucoup de locataires sont bloqués dans les étages, comme Michel. « Je ne descends que tous les deux ou trois jours, pour chercher le courrier, car je suis à 45 % d’oxygène. »
Pour sa femme, c’est carrément l’obligation de prendre l’air sur le balcon, car elle est trop malade pour descendre par les escaliers. « Elle a besoin de soins, mais les infirmières refusent de monter tous les jours au 6e étage sans ascenseur. » Difficile aussi pour des ambulanciers de descendre dans une chaise des personnes dans un escalier étroit, d’où des reports de rendez-vous chez des médecins.
Heureusement, la solidarité s’est organisée avec les voisins qui montent les courses des personnes âgées ou malades, les aident autant qu’ils le peuvent, car certains ne sont pas sortis depuis plus d’un mois. Le Foyer rémois a bien proposé de l’aide mais sur une aussi longue période, c’est vraiment trop compliqué. La mairie a été prévenue, une main courante a été déposée à la police, « car en cas d’accident, il faudra bien délimiter les responsabilités », explique Alain.
« Au départ, on nous avait promis la remise en route pour le 18 avril, puis le 26, et maintenant, cela a été reculé au 3 mai ! » poursuit Alain, avec dans les mains une pétition signée par 27 locataires, sur une trentaine environ dans les 10 étages de cet immeuble.
Personne ne comprend pourquoi une pièce met si longtemps à venir d’Allemagne à Reims, surtout pour un ascenseur quasi neuf, qui a deux ans seulement. Certains disent que c’est l’ancien prestataire qui bloquerait la pièce pour récupérer le marché perdu l’année dernière. Cela reste une rumeur.
« Comme l’immeuble est en rénovation, il y a aussi des problèmes d’électricité dans les escaliers ! » souligne Michel. En pleine rénovation urbaine de Croix-Rouge, les habitants subissent aussi depuis deux ans les travaux devant chez eux.
Nous avons tenté de joindre depuis lundi soir le Foyer rémois sans résultat.
G.F.
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REIMS (Marne). Une proposition artistique éclectique et ambitieuse. Chaque printemps, « Reims Monte en Scène » attire un public venu apprécier les talents des grandes écoles.
« Reims Monte en Scène » : un festival de théâtre, organisé par des étudiants de « Reims Management School », qui en est à sa 26e édition. « Notre objectif ? Permettre à des étudiants, passionnés de théâtre, de révéler leurs talents dans des conditions professionnelles. L’enjeu est de réunir le plus possible de comédiens amateurs pour créer une sorte de « bouillon de culture », durant une semaine, en mai », explique Jeanne Gourlet, la présidente du festival.
L’organisation est un véritable défi. Il a fallu tenir compte des vacances scolaires, examens et jours fériés, pour avoir un maximum de spectateurs potentiellement disponibles.
La programmation, particulièrement riche et éclectique, regroupe les troupes de RMS, de l’Urca et de Sciences Po Reims, de HEC, du CELSA (Centre d’études littéraires et scientifiques appliquées), de l’UPMC (Université Pierre-et-Marie-Curie), et de l’ESCP (Ecole supérieure de commerce) de Paris et de Centrale Lille.
« Cette année, nous accueillons des troupes de comédie musicale. » A RMS, la troupe a monté « Barman », une comédie inspirée du célèbre homme chauve-souris, et, pour le théâtre, « L’importance d’être constant » d’Oscar Wilde « remis au goût du jour, avec des propositions plus contemporaines ».
Parmi les comédiens, certains sont autodidactes, d’autres suivent des cours de chant ou de théâtre : « Moi-même, j’étudie le chant lyrique au Conservatoire et je fais partie du chœur de l’Opéra de Reims », confie la jeune présidente.
On n’est pas étudiant à RMS pour rien : Ils ont managé leur festival comme les pros qu’ils sont déjà, cherché des sponsors, des salles. « Cette année, on va être à l’Affiche, au Théâtre du Crous, à la Comédie de Reims, avec laquelle nous avons un partenariat de longue date et dont le directeur, Ludovic Lagarde, est notre président de jury. » Pour les comédies musicales, c’est Amandine Amirati qui a été choisie pour donner son avis sur les troupes en lice.
Attaché aux valeurs de prestige, de curiosité, d’exigence de qualité, « Reims Monte en Scène » participe au dynamisme de la vie culturelle rémoise, en rendant les arts de la scène accessibles à un large public.
Mardi 14 mai, à 19 heures à « L’Affiche » : concours de comédies musicales (ESCP, HEC, RMS).
Mercredi 15 mai, à 19 heures au théâtre du Crous : « Hamlet chez les Soviets » par HEC. « La nuit de Valognes » par Sciences Po Reims.
Jeudi 16 mai à 19 heures à L’Affiche : La comédie musicale gagnante. La troupe d’improvisation de RMS.
Vendredi 17 mai à 18 heures à la Comédie de Reims : « Ailleurs » par l’Urca. « Les Justes » par Centrale Lille. « Incendie » par UPMC.
Samedi 18 mai à 19 heures à la Comédie de Reims : « Les Dames du jeudi » par CELSA. « L’importance d’être constant » par RMS.
festivalreimsmonteenscene@gmail.com
Le tournoi jeunes du TC de la Côte des Blancs à Avize, qualificative en 13/14 ans pour les pré-qualifs du BNP Paribas Cup du Stade Français (28 juin au 13 juillet) a été de qualité. Chez les garçons, le grand favori Eliot Roussel (15/3, Vitry) a logiquement dominé au stade ultime le Sarrysien Tristan Halle (15/4) sur le score de 6-4, 6-2.
Du côté des filles, Léana Clauss (15/3, Saint-Memmie) a aisément fait respecter la hiérarchie contre la 15/5 Emma Cuny (ASPTT Châlons), 6-4, 6-1. Ces deux joueurs représenteront la Marne sur la terre battue du Parc de la Faisanderie à Saint-Cloud.
9-10 ANS. — Alexandre Charpentier (30/5, Vertus) bat Antoine Mestrude (non-classé, Saint-Memmie) 5-4, 5-4.
11-12 ANS. — Romain Grivot (30/2, Côte des Blancs) bat Thomas Diniz (30/2, Côte des Blancs) 7-5, 4-6, 6-3.
13-14 ANS. — Eliot Roussel (15/3, Vitry) bat Tristan Halle (15/4, Sarry) 6-4, 6-2.
15-16 ANS. — Pierre Martens (15/3, Société Nautique Epernay) bat Yvan Prault (15/1, Géo-André) 6-1, 6-0.
9-10 ANS. — Mathilde Sarcelet (30/2, Sainte-Ménehould) bat Alix Bouvier (non-classée, Cormontreuil) 5-2, 5-4.
13-14 ANS. — Léana Clauss (15/3, Saint-Memmie) bat Emma Cuny (15/5, ASPTT Châlons) 6-4. 6-1.
« Le premier outil de lien social, c’est le commerçant artisan, et souvent le boulanger. » selon Brice Larchévêque, de l’enseigne « La Ronde des Pains ». C’est aussi le café. Soutenue par l’Effort rémois, l’Etat et Reims Métropole dans le cadre des crédits du Contrat urbain de cohésion sociale (CUCS), l’Assos’Café a ouvert fin décembre au 5 avenue Léon Blum un nouvel établissement de restauration qui s’est fixé pur but d’apporter de la convivialité et du lien dans le quartier entre les gens qui y vivent, qui y travaillent et qui y étudient
Un appartement témoin tout équipé pour sensibiliser la population aux éco-gestes : c’est le projet concrétisé par L’Effort rémois au rez-de-chaussée d’un immeuble du quartier Croix du Sud. Accessible à tous, cet outil sert actuellement de base à une expérience menée avec une centaine de locataires identifiés comme gros consommateurs d’eau. Approchées par le bailleur et invitées à faire la visite pédagogique de cet Appart’Eco, ces familles peuvent bénéficier d’un accompagnement personnalisé par les jeunes en service civique d’Unis- Cité. Objectif : les aider à réduire leur consommation d’eau et les charges financières qui en résultent pour eux. Appart’Eco - 1 allée Edgar Degas à Reims – visites pour tous le mardi et le jeudi de 10h à 12h.
Jeux d’écriture Les deux grandes médiathèques de Reims, Jean Falala , en centre-ville, et Croix- Rouge, fêteront leurs 10 ans en mai. Pour cheminer jusqu’à cette date anniversaire, elles proposent un cycle d’expositions, d’ateliers , de rencontres et de projections autour des « Jeux d’écriture ». L’occasion notamment de découvrir deux siècles d’abécédaires (livres, affiches, illustrations originales) et de se plonger dans l’histoire et la vie de Massin, figure emblématique de l’édition française, tour à tour graphiste, éditeur, journaliste, écrivain, illustrateur, mais aussi directeur artistique des éditions Gallimard.
Jusqu’au 27 avril 2013.
En attendant d’inaugurer sa nouvelle coupole dans une structure en forme d’ellipse construite par la Ville de Reims, à la jonction des quartiers Wilson et Croix Rouge, l’équipe d’animation du Planétarium reste active et propose ses rendez-vous étoilés en extérieur (sous réserve de conditions météorologiques favorables) et à l’observatoire de Benne-Nauroy, rue du CBR :
observation nocturne le 16 avril de 21h à 23h place du Forum
observation du soleil chaque mercredi du 15 mai au 26 juin, de 13h à 16h place du Forum
observation astronomique au grand téléscope (410 mm) chaque vendredi de 21h à 23h du 5 au 26 avril à l’observatoire de Benne-Nauroy
conférences à la médiathèque Falala les 2 avril, 14 mai et 4 juin à 19h. Pour en savoir plus : 03 26 35 34 70 planétarium@mairie-reims.fr www.ville-reims.fr (rubrique Culture)
Au-delà des aménagements dans les quartiers, le renouvellement urbain imaginé à Reims s’inscrit en cohérence avec le projet Reims 2020, en particulier dans les notions de proximité et de mixité et dans le renforcement du caractère résidentiel du territoire et l’embellissement du cadre urbain. La rénovation de Croix-Rouge dans la perspective du futur Pôle urbain de l’innovation illustre cette complémentarité.
La Ville de Reims a fait le choix d’une intervention forte sur les équipements publics qui créent du lien entre les habitants, avec les autres quartiers de la ville et les communes de l’agglomération.
Le programme de rénovation urbaine prévoit la construction par la Ville de nouveaux équipements publics qui s’inscrivent dans une double dynamique : de proximité, pour apporter de nouveaux services aux habitants du quartier (nouvelles maisons de quartier, salles municipales, réhabilitation ou reconstruction de groupes scolaires…), et d’ouverture pour attirer dans ces quartiers d’autres habitants de la ville. Ainsi en est-il de la Fileuse, friche artistique en pleine éclosion dans le Centre d’activités Schweitzer à Orgeval, du nouveau Planétarium qui ouvrira en septembre 2014 à l’entrée de Wilson, du projet de Maison de Santé issu du diagnostic « Atelier Santé Ville », qui regroupera à Orgeval une offre de soins globale, ou de l’équipement entièrement conçu en concertation avec les habitants et les partenaires du territoire qui verra le jour au cœur de Croix-Rouge.
À Croix-Rouge, après remise à plat de l’offre existante et consultation depuis 2009 d’une trentaine d’associations, la volonté a été de créer un équipement public de ville, doté d’une identité forte, axé sur la culture, intergénérationnel et d’initiative citoyenne, qui favorisera la mobilité des publics. Situé dans le secteur Pays de France, il comprendra une salle des musiques actuelles (100 places assises) et des studios de répétition et d’enregistrement, complémentaires de la Cartonnerie, un incubateur d’associations (à l’image des pépinières d’entreprises), un espace de convivialité et des services de proximité de maison de quartier (centre de loisirs, multi-accueil petite enfance, ateliers pour adultes…). Les travaux devraient commencer à la fin de cette année.
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Dans le quartier des Hauts-de-Murigny, les locataires de l’Effort rémois réclament des travaux et… n’en peuvent plus d’attendre alors que leurs factures ne cessent d’augmenter. Ils accusent l’organisme logeur de ne rien faire.
Après une minute de silence en mémoire de Jean-Pierre Malissart, administrateur, décédé le 5 septembre dernier, la présidente Danielle Bonfils a ouvert l’assemblée générale de l’association de locataires du secteur At’Hom (Hauts-de-Murigny), par une formule choc à l’encontre de l’organisme logeur, l’Effort rémois : « Nous déplorons qu’aucune de nos demandes n’ait abouti, en particulier les nouvelles plantations, les espaces verts, l’élagage des arbres, la remise en état du parking aérien suite aux incendies d’il y a deux ans, le nettoyage des peintures à cause des infiltrations dans le parking souterrain : rien n’a été fait ! »
Un constat sans appel : « Nous attendons aussi des éclairages supplémentaires aux sorties d’escalier des parkings souterrain et aérien, promis depuis une éternité ! »
« Nous n’avons pas de nouvelles non plus sur la résidentialisation de notre site et sur les petites clôtures promises autour des espaces verts. Enfin, nous réclamons depuis près de deux ans le changement des portes d’entrée de nos appartements, non sécurisées et vétustes pour beaucoup, refusé à cause d’un coût trop important pour l’Effort rémois. »
Simplement, des petits travaux ont été effectués dans les parties communes, « dus en majorité à la vétusté et surtout au vandalisme, mais toujours facturés aux locataires ».
L’association a effectué un contrôle des charges et regrette que trois comptes soient en forte hausse : « Les charges de ménage ont pratiquement doublé par rapport à l’année passée, à cause d’un changement de société de nettoyage, les charges de chauffage sont toujours en augmentation, alors qu’une nouvelle chaufferie au bois est mise en route depuis septembre 2012, qui aurait dû les réduire, et enfin, le tarif de l’eau est passé de 8,66 à 10,24 euros, c’est encore la chaufferie qui serait responsable ! »
« Nous sommes fréquemment interpellés par les locataires pour des problèmes d’ascenseurs, de pannes électriques, de saleté des locaux vide-ordures, des encombrants, des nuisances sonores et des incivilités : tags, crachats, papiers gras dans les cages d’escalier et les ascenseurs, souillures sur les vitres des halls d’entrée, emballages, bouteilles de verre et même des pièces automobiles et batteries dans le garage souterrain… Ce sont les locataires qui paient les remises en état dans leurs charges ! »
Les administrateurs bénévoles de l’association assurent une permanence dans le local associatif, au 1 allée Yves-Gandon 2e étage, porte D, les 2e et 4e mardis de chaque mois de 14 h 30 à 16 h 30. On peut, par ailleurs, joindre la présidente par téléphone au 03.26.86.10.03.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Huit ans et déjà championne de France. Ce week-end, au Havre, la jeune Marie Heretick, a remporté la catégorie préparatoire et s’est ainsi octroyé son premier titre national. Même si elle n’avait que deux concurrentes, la licenciée au Reims Avenir Patinage a survolé la compétition.
« Que ce soit sur la danse imposée ou la danse libre, elle a été bien au-dessus des autres petites filles », confirme Ludivine Lemaire, son entraîneur, ravie évidemment d’une telle issue. « Je ne dis pas que je m’y attendais mais je l’espérais, poursuit-elle. Après, je savais que c’était une compétition et que tout pouvait évoluer très vite, surtout à cet âge-là où les enfants se déconcentrent très facilement. »
Il faut croire que la Rémoise a un peu d’avance, elle qui a débuté la danse sur glace il y a maintenant trois saisons. « Dès la première année, je l’avais repéré et depuis, elle s’entraîne avec un petit groupe cinq à six heures par semaines. Elle a vraiment réalisé d’énormes progrès cette année, que ce soit sur la qualité du patinage, l’interprétation… »
Marie Heretick l’a prouvé au Havre ce week-end. D’abord pendant deux minutes sur la danse imposée, puis une minute en danse libre où elle avait choisi une musique de cirque. Dans les deux cas, elle a récolté de très bonnes notes et fait la fierté du club rémois. « C’est l’avenir », n’hésite pas à lancer Jean-Luc Ployé, président d’un Reims Avenir Patinage qui a chaussé les bons patins depuis quelques semaines.
En effet, ce titre survient quinze jours après les deux podiums obtenus par Camille Renault (espoirs 2e année) et Juliette Wary (novice 3e année) aux championnats de France solo de première division à Saint-Gervais. Et au Havre, une autre place d’honneur a été décrochée. Lison Schaeffer et Baptiste Ferrand ont pris la deuxième place (sur 2) en couple. Si jeunes et déjà si haut.
T.G
Hier vers 16 h 30, des aliments oubliés sur le feu ont provoqué un feu de cuisine allée des Bourguignons, au 2e étage du n° 11. Absent au moment des faits, l’occupant va être relogé. Ses deux chiens ont pu être évacués de l’appartement par les pompiers.
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S’initier à diverses activités sportives, en une séance ou à travers un stage : c’est ce que propose Ludosport, un dispositif de la Ville destiné aux enfants.
Une première semaine de vacances très riche en activités sportives variées pour Ludosport : ce ne sont pas moins de 10 gymnases et 18 éducateurs sportifs qui ont accueilli 642 enfants. De nombreux clubs, partenaires sont venus s’ajouter, pour une séance, ou pour des « Ludostages » d’une semaine. Certaines disciplines se déroulaient dans les parcs de la ville pour des activités de pleine nature. C’est au parc Europe qu’ont lieu trois de celles-ci : VTT, tir à l’arc et sarbacane. « Bien placer l’encoche de la flèche sur la corde » : Maryanne Godimus veille à ce que les archers débutants adoptent les bons gestes. Ce que fait également Eric Dinet, pour le tir à la sarbacane. Et c’est sous un soleil revenu qu’un petit groupe pédale sur des VTT, à travers les talus, précédé de Régis Varlet.
Service, coup droit, revers, volée et smash : au Tennis Racing club de La Muire, Etienne Bertrand initie un groupe d’enfants, en « Ludostage » d’une semaine. « Le dernier jour, ils feront des petits matches ».
« On ne s’assied pas sur les ballons : On respecte le matériel ! » lance Yoann Bourquin, animateur sportif, aux enfants présents au Gymnase Vasco-de-Gama et qui attendent des coaches un peu particuliers. Ce mardi, Stéphane Frentzel, entraîneur adjoint du CCRB et Pierre Hayon, intendant, accompagnent Pape Beye et Angelo Tsagarakis. Les gosses sont aux anges… et les deux joueurs de Pro B s’amusent au moins autant qu’eux !
A François-Legros, Jérémy, Mathilde et Nicolas s’occupent des petits 4/5 ans. « C’est un âge où ils ont besoin de se dépenser et se lassent vite », constatent les animateurs, qui varient souvent les exercices, et mettent en place des jeux adaptés.
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Au cours de l’assemblée générale de l’Ufolep, douze bénévoles ont été au fil de différentes interventions, récipiendaires de récompenses nationales pour services rendus à la fédération. Il s’agit de : (de gauche à droite de la photo)
Paul Richalot (AS Aquatintienne), Anne-Marie Vaillant-Bultel (ASAR), Albert Thiéry (Amicale des arbitres), Bruno Meilgen (ASC du Mont-de-Noix), Marjolaine Boudesocque (Brimont GRS), Pascale Perreau (ESCAL Witry-les-Reims), Dominique François (CEP Epernay), André Sifferlen (Reims Ufolep), Stéphane Robin (AMTT), Colette Houchard (AL Vertus), Régine Renaux (Gazelec) ainsi que Vincent Krieg (absent, reparti animer son association).
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C’est dans les locaux du siège social commun de la Ligue de l’enseignement, de l’Usep et de l’Ufolep à Reims, que le comité départemental Ufolep de la Marne vient de tenir son assemblée générale.
Temps fort de cette assemblée, le rapport moral exposé par le président Noël Naudin qui présenta la situation de la fédération spécifiquement dans la Marne, mais aussi les enjeux d’avenir du secteur associatif et des pratiques sportives. A partir du positionnement spécifique de l’Ufolep, fédération sportive citoyenne et solidaire, deux questions actuelles de société, en parfaite résonance avec les deux axes forts de développement retenus pour la structuration fédérale des quatre prochaines années, ont été évoquées : la loi pour la refondation de l’école, et la nécessaire complémentarité entre les temps éducatifs.
Le secteur « sport et éducation » destiné à organiser et développer l’accueil de tous les publics dans des pratiques sportives de loisirs ou de compétitions, traduit l’engagement fort de l’Ufolep aux côtés de la Ligue de l’Enseignement et de l’Usep pour agir sur ces nouveaux espaces d’intervention et de valorisation des acteurs associatifs aux côtés des collectivités locales et du monde de l’enseignement.
La pratique sportive et la santé à laquelle « l’Ufolep fédération multisports affinitaire ne peut se dérober, à l’heure où le sport est invité à participer à la santé publique », selon le président national.
Cette seconde thématique est portée par le secteur « sport et société » voué à rapprocher d’une vie physique et sociale les publics éloignés de toute pratique sportive.
Noël Naudin a terminé son intervention avec un hommage appuyé à André Vasseur, président de l’Amicale Jamin, disparu récemment, en rappelant l’infatigable militant de la cause laïque, portant haut les valeurs et l’esprit de l’éducation populaire chers à la Ligue de l’enseignement, à l’Usep et à l’Ufolep.
Différentes interventions ont jalonné la présentation du rapport d’activité qui permit de constater la diversité des actions réalisées tout au long de l’année par l’Ufolep : organisation de compétitions sportives, d’activités de loisirs, de stages sportifs, d’ateliers de découverte pour les plus jeunes, soutien au développement associatif avec la Ligue de l’enseignement.
Pour tout complément d’information sur l’Ufolep d la Marne : www. UFOLEP51.org
Lundi, deux Fismois, en état de récidive légale, ont été condamnés à quatre ans de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec mandat de dépôt décerné à l’audience, pour s’être livré à un trafic de stupéfiants (héroïne et cannabis) sur le secteur de Fismes.
L’affaire avait démarré en 2010 sur dénonciation anonyme. De filatures en écoutes téléphoniques, avec l’appui de la brigade de recherches de Reims, les gendarmes allaient identifier une dizaine de consommateurs et ainsi remonter jusqu’à deux hommes, Jimmy Villefroy, 29 ans, et Emmanuel de Barros, 39 ans.
Lors de leur interpellation le 12 mars, les gen¬darmes avaient découvert 1 kg de résine de can¬nabis, ainsi que quelques grammes d’héroïne (et non 3 kg) au domicile de Jimmy Villefroy et de la méthadone au domicile d’Emmanuel de Barros.
L’enquête révélera que pour financer leur pro¬pre consommation d’héroïne, les deux hommes, qui se fournissaient à Croix-Rouge, avaient écoulé entre mai 2008 et mars 2013 plus de 5 kg d’héroïne. Le trafic avait cours au domicile de Jimmy Villefroy. Emmanuel de Barros servait d’avantage d’intermédiaire avec les consomma¬teurs locaux.
C.G.
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Le groupe Escapades de la Maison de Quartier Croix-Rouge, a encore innové en proposant vendredi, dans les locaux de l’espace Billard, une soirée « repas hongrois » autour d’un goulash.
Dès le matin, une vingtaine de membres d’Escapades se sont donné rendez-vous pour confectionner cet excellent repas dans une ambiance très conviviale.
70 personnes se sont retrouvées pour déguster, outre l’apéritif de bienvenue, un plat de crudités suivi du goulash - pommes de terre, juste épicé comme il faut aux dires d’un Hongrois présent dans la salle, fromage - salade et tarte aux pommes accompagnée d’une boule de glace vanille.
La soirée a été agrémentée d’un karaoké mené de main de maître par Myriam, bénévole de la Maison de quartier Verrerie, qui a ensuite réussi le tour de force d’amener plus de vingt personnes sur la piste pour une initiation à la danse country qui a emballé tout le monde.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Khalid El Biach (à g.) et Abdel Aziz Radouane (à dr.) apprennent aux jeunes à respecter leur prochain et à jouer au foot.
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Apprendre le football et les règles de vie en société, c’est une des missions de l’école de foot de l’Espérance rémoise.
« AUJOURD’HUI nous avons 72 enfants sur le stade », indique Abdel Aziz Radouane, investi dans l’Espérance depuis la création de l’association et éducateur depuis cinq ans. En tout, ce sont 80 enfants qui s’entraînent une fois par semaine pour les enfants de 6 à 9 ans et deux fois pour les 11-13, sur les terrains du complexe sportif Géo-André, quartier Croix Rouge. « L’envie de devenir « pro » se retrouve chez n’importe quel enfant, quelque soit son âge », remarque Khalid El Biach, éducateur des U13, les moins de 13 ans.
Les cours se découpent en trois phases : la mise en train qui est l’équivalent de l’échauffement pour les adultes, la partie technique et le jeu. Il est réduit ou en situation de match. « L’objectif est d’inculquer les valeurs du foot, le respect de l’autre, la courtoisie, la tolérance et les règles du jeu. De plus, le club fait partie des 200 clubs moteurs dans la fondation de foot. Nous prenons 5 minutes pendant un entraînement ou avant un match pour développer un sujet qui suit 5 axes : la santé, la citoyenneté, l’égalité des chances etc. », explique M. El Biach. « Nos jeunes sont réputés pour être polis et respectueux », ajoute-t-il. Les cours sont aussi un moyen d’initier certains participants au bénévolat.
L’école de foot a fait du chemin. « Nous avons commencé avec 7 joueurs en 2006, aujourd’hui ils sont 80 enfants de U6 à U13 », note Khalid El Biach. L’Espérance Rémoise, présidée par Hassane Aoujil est une association sportive qui comprend également trois équipes de footballeurs adultes en compétition, plus une équipe de vétérans.
Par ailleurs, le sport féminin est encouragé avec pas moins de cinq activités différentes.
Cécile ROCHET-GRAINDORGE
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La direction de la jeunesse de la ville de Reims et ses partenaires donnent rendez-vous aux jeunes et aux familles de 14 heures à 17 h 30, mercredi 24 avril au square de l’église Saint-Bruno à Croix-Rouge / Croix-du-Sud en proposant de nombreuses activités gratuites ouvertes à tous. Au programme, plus de 25 possibilités de choix (sous réserve de modification du programme et des conditions climatiques) : foot - basket - volley-ball - ateliers créatifs (bracelets, perles, scoubidou) - maquillage original - peinture - badminton - BMX - trottinette - danse hip-hop - guitare - jeux d’antan - street golf - pétanque - jeux de fléchettes - athlétisme - tennis de table - full contact - baby foot - origami - sculpture sur ballons - atelier cirque - simulateur de conduite - vannerie.
Sur place également, un stand d’informations pour les familles qui pourront préinscrire leurs enfants au dispositif de loisirs « Reims Vital Eté 2013 » (12 - 17 ans), aux séjours (6-17 ans), aux accueils de loisirs (centres aérés pour les 3-13 ans), et aux activités et services des partenaires du quartier. Un gouter sera offert à tous les participants.
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Un groupe d’étudiants de RMS, Reims management school, l’école supérieure de commerce, s’est investi dans la création artistique. Il a mis sur pied une comédie musicale sur le thème de Batman, qui a été représentée deux fois, lundi et mardi soir à la Comédie. Le Joker cherche à se venger de son plus cher ennemi, l’homme chauve-souris, devenu « Batmou » à ses yeux, les années aidant, ce qui donnait lieu à une succession de chorégraphies toutes plus emballantes les unes que les autres, pendant que les solistes s’exprimaient en chanson.
Le nombreux public a pu apprécier la qualité du spectacle : on aurait parfois juré du travail de professionnel !
A.P.
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Élèves de la RMS, ils ont organisé une course à pied humanitaire pour soutenir les malades atteints d’un cancer.
« NOUS sommes jeunes, en bonne santé, nous sommes étudiants en école de commerce, on pourrait rester dans notre bulle… ». Mais justement non, Vanessa, Luc, Tony, Amélie et leurs camarades de RMS ont choisi de sortir de leur bulle et de se bouger en pensant à d’autres qui n’ont pas autant de chance qu’eux, et plus précisément les personnes atteintes du cancer.
C’est pour cela qu’ils se sont investis dans l’association interne à RMS Cheer up (que l’on pourrait traduire par « ne fais pas cette tête ! »). Ils viennent d’organiser leur principal événement de l’année : une course humanitaire, qui s’est déroulée dimanche dans le jardin de la Patte-d’oie. « Nous sommes donc un peu plus visibles que l’an dernier, où nous avions organisé la course au parc Saint-John-Perse » indique la présidente Vanessa.
Cette course a permis de recueillir 1 306 euros grâce aux inscriptions des quelque 90 coureurs et aux dons. Pour l’anecdote, on peut préciser que le coureur ayant fait le plus de tours et qui a gagné cette course a seulement 11 ans, il s’appelle Maxime et a effectué 54 tours de 600m, soit plus de 32km.
Mais Cheer up ne se cantonne pas à cette animation ponctuelle : « Nous faisons aussi régulièrement, une fois par semaine, des interventions à l’hôpital auprès des malades, ajoute ainsi Amélie, la chargée de com ; pour cela nous avons suivi une formation spéciale. Je me souviens notamment d’une visite à un jeune de 17 ans, qui était particulièrement motivé par des études de cuisine malgré sa maladie, et qui voulait absolument trouver un stage auprès d’un cuisinier ! Il était aussi très bavard, ce qui n’est pas toujours le cas… »
On peut supposer qu’il était ravi de trouver à qui raconter ses projets.
Numéro 7494 du 15 au 21 avril 2013.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex
Objet : Réhabilitation d’une supérette en locaux associatifs et réalisation d’équipements – Place Rodin quartier Croix du Sud à REIMS (51)
Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 13 lots :
Lot 01 : Gros Oeuvre
Lot 02 : Charpente Bois
Lot 03 : Etanchéité
Lot 04 : Menuiseries Extérieures Métalliques / Serrurerie
Lot 05 : Ravalement / Peinture
Lot 06 : Menuiseries Intérieures
Lot 07 : Doublages / Cloisons / Plafonds
Lot 08 : Plafonds Démontables
Lot 09 : Carrelages / Sols Minces
Lot 10 : Ascenseur
Lot 11 : Plomberie / Chauffage / Ventilation
Lot 12 : Electricité
Lot 13 : Cuisine
Visite sur site le mercredi matin : Contacter Mr Lhermitte / Service Maintenance au 03.26.04.98.71 pour la prise de rendez-vous.
Délai d’exécution : 13 mois avec 1 mois pour préparation de chantier (9 mois pour la partie café associatif, 12 mois pour la réhabilitation de la supérette).
Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 24 mai 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart - 51100 REIMS
Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 16 avril 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr Référence du marché : MA-040413
Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr Lhermitte au 03.26.04.98.71 ou l’Agence Barrand et Corpelet au 03.26.46.16.43 et ou les bureaux d’études indiqués pages 20 et 21 du RCE.
Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 11 avril 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.
APPARTEMENT :
— Appartement de type II d’environ 51 m2, situé 13 place Toulouse Lautrec, 3° étage, porte B à REIMS - Classement energétique "D" - 71.500 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
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Pâques est déjà loin mais pourtant les cloches distributrices d’œufs en chocolat se balancent encore au-dessus de nos parcs, avec la complicité des animatrices, jamais à cours d’idées dans les Maisons de quartier pour organiser des activités ludiques.
Cette fois-ci, l’agréable cuvette de verdure du Parc Saint-John-Perse avait été choisie pour accueillir 150 familles venues des Châtillons, de Croix-Rouge, de Maison Blanche et de Val de Murigny. Une belle initiative couronnée de succès puisque qu’un chaud soleil était de partie en ce premier jour des vacances scolaires.
Le goûter devait se mériter, car pour le déguster, il fallait non seulement avoir trouvé trois œufs mais participé au moins à trois des jeux proposés, le plus spectaculaire étant celui du parachute et le plus difficile le parcours à suivre sans faire tomber un œuf posé sur une cuillère (on peut bien le dévoiler maintenant : l’œuf était attaché…)
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La Direction de la Jeunesse de la Ville de Reims et ses partenaires donnent rendez-vous aux jeunes et aux familles de 14 heures à 17 h 30, mercredi 24 avril au square de l’église Saint-Bruno à Croix-Rouge/Croix-du-Sud en proposant de nombreuses activités gratuites ouvertes à tous.
Au programme, plus de 25 possibilités de choix (sous réserve de modification du programme et des conditions climatiques) : Foot - Basket - Volley-ball - Ateliers créatifs (bracelets, perles, scoubidou) - Maquillage original - Peinture - Badminton - BMX - Trottinette - Danse hip-hop - Guitare - Jeux d’antan - Street golf - Pétanque - Jeux de fléchettes - Athlétisme - Tennis de table - Full contact - Baby foot - Origami - Sculpture sur ballons - Atelier cirque - Simulateur de conduite - Vannerie.
Sur place également, un stand d’informations pour les familles qui pourront préinscrire leurs enfants au dispositif de loisirs « Reims Vital Eté 2013 » (12 - 17 ans), aux séjours (6-17 ans), aux accueils de loisirs (centres aérés pour les 3-13 ans), et aux activités et services des partenaires du quartier.
Un goûter sera offert à tous les participants par le Crédit agricole du Nor -Est.
FISMES (Marne). Deux trafiquants de drogue qui sévissaient sur le secteur de Fismes ont été lourdement condamnés lundi après-midi par le tribunal correctionnel de Reims. Entre mai 2008 et mars 2013, ils auraient écoulé plus de 5 kg d’héroïne. L’affaire a démarré en 2010 sur dénonciation anonyme. Les gendarmes de Fismes avaient été informés qu’un habitant de la commune, Jimmy Villefroy, déjà connu de leurs services, se livrait à un trafic de stupéfiants à son domicile. De filatures en écoutes téléphoniques, avec l’appui de la brigade de recherches de Reims, ils allaient identifier une dizaine de consommateurs et ainsi remonter jusqu’à deux hommes, Jimmy Villefroy, 29 ans, et Emmanuel de Barros, 39 ans, son meilleur ami.
Les deux hommes, interpellés le 12 mars, n’allaient pas tarder à lâcher le morceau, d’autant que les gendarmes allaient découvrir 3 kg d’héroïne, ainsi que de la résine de cannabis, au domicile de Jimmy Villefroy et de la méthadone au domicile d’Emmanuel de Barros. Loin d’être un business rentable, consommateurs d’héroïne tous les deux, ils ont reconnu avoir revendu de la drogue pour financer leur propre consommation. Jimmy Villefroy a expliqué qu’il se fournissait à Croix-Rouge dans des halls d’immeuble.
Il se rendait régulièrement dans le local poubelles où des revendeurs encagoulés fournissaient les quantités demandées… Il se chargeait ensuite, avec Emmanuel de Barros, de revendre la marchandise sur la localité de Fismes. Pour Jimmy Villefroy, il s’agissait de trouver les substances les moins chères possibles afin de faire face à la demande. Emmanuel de Barros servait d’avantage d’intermédiaire. Les deux prévenus qui avaient fait l’objet d’une comparution immédiate le 15 mars avaient préféré au regard de la peine encourue (4 ans) demander un délai pour préparer leur défense. Lundi, les deux hommes, en état de récidive, ont été condamnés à 4 ans de prison dont 2 avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans avec une obligation de soins et de travail. Un mandat de dépôt a été décerné à l’audience.
C.G.
Bryan Mullins s’est plié avec bienveillance à plusieurs ateliers avec des dizaines d’enfants, au gymnase Géo André, hier après-midi à Reims.
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Le Reims Champagne Basket poursuit sa campagne de stages découverte. Quatre pros du CCRB se sont prêtés au jeu, hier, quartier Croix-Rouge.
Des dizaines de gamins qui passent une après-midi complète avec quelques joueurs de leur équipe fétiche. Il n’en faut pas plus pour leur donner du baume au cœur. Avec les stages découverte du Reims Champagne Basket, c’est la deuxième fois en quelques semaines que les professionnels ont décidé de jouer le jeu.
Bryan Mullins, Rodrigue Mels, Mari Konate et Justin Burrel ont participé aux ateliers. Une implication d’autant plus appréciée par les cadres du RCB que les basketteurs du CCRB auront une place à jouer lors des prochaines play-off. Et que le rythme des entraînements est loin de s’être atténué. Ces stages permettent à des gamins déjà licenciés, des adhérents mais également des petits nouveaux de découvrir ce sport sur leur temps de vacances. Et quoi de plus sympa pour la découverte ou le perfectionnement des plus jeunes que d’être conseillé par des yeux experts et complices.
Mullins, leader du vestiaire rémois depuis trois saisons, a également fait montre de ses capacités à transmettre son art.
Des sourires, du respect de la part de la trentaine d’enfants présents lors de cette première journée de stages au gymnase Géo-André, au cœur du quartier Croix-Rouge.
Depuis l’union des clubs professionnels de Reims et de Châlons, c’est la première saison que les basketteurs s’investissent autant pour les plus jeunes. Un signe qui illustre l’implication croissante des hommes de Nikola Antic au le plan local.
250 adhérents, un club dont les équipes ont pris l’habitude de se distinguer dans les différents championnats de jeunes l’implication des hommes du CCRB n’est pas venue par hasard. Elle vient récompenser le travail de toute l’équipe de bénévoles du Reims Champagne Basket. « C’est bien évidemment un plus d’avoir des joueurs professionnels aussi disponibles alors que ces mêmes compétiteurs vont aborder les play-off dans les semaines à venir », confie Franck Ostré, responsable de ce stage. Et à voir le sourire et les yeux pleins d’admiration des enfants, l’opération séduction a opéré.
Th. D.
Les pompiers ont eu toute une série de feux noctur¬nes à éteindre à Reims au cours de la nuit de lundi à mardi : rue de la Goulette (des palettes et des câbles), rue de Neufchâtel près du Carrefour-mar¬ket (poubelle), rue Richelieu (une 407 Peugeot), boulevard des Bouches-du-Rhône (poubelle), rue du Docteur-Roux à Cormontreuil (lampadaire), ave¬nue du Général-Bonaparte (conteneurs), rue Mar¬cel-Thil (poubelle), et rue de Louvois (poubelle). La série avait même commencé dès la soirée vers 20h30 rue du Fossé-Julien par un premier feu de poubelle. Ils sont ensuite intervenus avenue de Paris mardi matin vers 6 heures, sur un feu de canapé dans un appartement : lors de cette dernière intervention, ils ont transporté à l’hôpital une per¬sonne incommodée.
La direction régionale de la Caisse des Dépôts et l’univer¬sité de Reims Champagne-Ardenne poursuivent leur par¬tenariat sur le projet de grand campus rémois qui doit per¬mettre la construction de 63 000 mètres carrés de bâti¬ment dans le quartier Croix-Rouge.
La Caisse des Dépôts a débloqué une enveloppe de 400 000 € sur trois ans pour engager la phase pré-opéra¬tionnelle (ingénierie de projet et études complémentaires) en partenariat avec le conseil régional, Reims Métropole, le rectorat, le conseil général, l’État et I’Urca. Par ailleurs 7,5 millions d’euros de prêts bonifiés ont été signés en 2012 pour aider à la construction, par le Foyer Rémois et Reims Habitat, de 207 logements étu¬diants à Reims.
Pendant que Camille Saint-Mard (à droite) confirmait sa bonne forme actuelle, Quentin Munier remportait pour la troisième fois consécutive ce tournoi de Revin.
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Malgré une hécatombe de forfaits dans sa dernière ligne droite, le verdict livré dimanche sur la résine revinoise a tenu toutes ses promesses. Et n’a pas échappé pas à la hiérarchie, limitée à 2/6 cette année.
Peu dense mais de qualité (23 joueuses en lice), le tableau féminin a vu Camille Saint-Mard confirmer son excellente forme du moment.
Aucune joueuse n’a pu contester la suprématie de la Carolo qui collectionne actuellement les victoires après son beau doublé la semaine dernière en finale du circuit ardennais.
Déjà battue en finale lors de celui-ci, Emelyne Barre (15) a connu le même sort à Revin.
Pourtant, elle s’était installée en patronne dans la première manche, l’emportant 6-3. Le temps de régler la mire et sa puissance, Camille Saint-Mard reprenait le dessus dans la suivante pour égaliser à un set partout puis remporter la dernière manche 6-3.
Le tableau masculin, tronqué aussi par quelques forfaits, a souri pour la troisième année consécutive à Quentin Munier (2/6, Géo André). L’Ardennais licencié dans la Marne n’a fait qu’une bouchée du courageux Kevin Dubois (5/6, Loon Plage) en finale. 6/2, 6/1, le match a vite été terminé.
Le givetois d’origine, qui avait profité du forfait de Thibault Damperon (15/1, Les Mazures-Renwez) n’a tout simplement rien pu faire face à la déferlante Munier. Ce dernier avait éliminé, en demi-finale, Anthony Ladouce (15, Les Mazures-Renwez).
D’après le juge-arbitre du tournoi, le bilan de ce mois de compétition s’avère positif : « On a assisté à deux belles finales malgré l’écart de niveau chez les hommes et les nombreux forfaits. On ouvrira peut-être de nouveau le tableau aux négatifs la saison prochaine. »
Après Revin, place désormais au tournoi de Givet.
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Créé depuis une vingtaine d’années, le tournoi adulte du Revin tennis club (RTC) a réuni 150 joueurs et joueuses sur ses terrains pour cette nouvelle édition 2013. Cette manifestation sportive et conviviale encadrée par le juge arbitre Anthony Ladouce, le juge arbitre adjoint et président du RTC, Michel Baudin, a été organisée avec l’aide d’une dynamique équipe de bénévoles, Christine De Barros, secrétaire du club, Christelle Vasse, Cendrine Corvisier, Jean-Paul Dubois, Laure Barbe, le vice-président du RTC, Patrick Delelis, Siham Zerrouk, le trésorier Valentino Di Giacomo, qui se sont relayés pour assurer les permanences durant ce mois.
Tous les participants et bénévoles ont été félicités et salués par le président du club, Michel Baudin, et le maire, Alain Roy, qui a assisté à la finale avant la traditionnelle remise des prix.
« Au nom du tennis ardennais, je tiens à remercier toutes les fourmis qui œuvrent au développement du club », a souligné Jean-Paul Dubois, représentant du comité départemental de tennis, avant de lancer un appel : « J’aimerais qu’il y ait de plus en plus de jeunes au club de Revin et au sein du comité ».
Le vainqueur du tableau normal est le tenant du titre : Quentin Munier (2/6) de TC Géo André (51) face au Givetois Kevin Dubois (5/6) du club de Loon-Plage.
En fin de tableau quatrième série hommes, Boris Sainte-Rose (30/1) de Vouziers s’impose en finale face à Olivier Ronchetti (30/1) du TC 2 Vireux.
Chez les dames, Clarisse Marques (30/2) du club Renwez-Les Mazures l’emporte face à Aurélie Silvente (30/1) de Bogny-sur-Meuse.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex
Objet : Réhabilitation d’une supérette en locaux associatifs et réalisation d’équipements – Place Rodin quartier Croix du Sud à REIMS (51)
Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 13 lots :
Lot 01 : Gros Oeuvre
Lot 02 : Charpente Bois
Lot 03 : Etanchéité
Lot 04 : Menuiseries Extérieures Métalliques / Serrurerie
Lot 05 : Ravalement / Peinture
Lot 06 : Menuiseries Intérieures
Lot 07 : Doublages / Cloisons / Plafonds
Lot 08 : Plafonds Démontables
Lot 09 : Carrelages / Sols Minces
Lot 10 : Ascenseur
Lot 11 : Plomberie / Chauffage / Ventilation
Lot 12 : Electricité
Lot 13 : Cuisine
Visite sur site le mercredi matin : Contacter Mr Lhermitte / Service Maintenance au 03.26.04.98.71 pour la prise de rendez-vous.
Délai d’exécution : 13 mois avec 1 mois pour préparation de chantier (9 mois pour la partie café associatif, 12 mois pour la réhabilitation de la supérette).
Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 24 mai 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart - 51100 REIMS
Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 16 avril 2013, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr Référence du marché : MA-040413
Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr Lhermitte au 03.26.04.98.71 ou l’Agence Barrand et Corpelet au 03.26.46.16.43 et ou les bureaux d’études indiqués pages 20 et 21 du RCE.
Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 11 avril 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.
Les incendiaires n’ont pas chômé à Reims durant la nuit de samedi à dimanche. Pas moins de quatre véhicules sont venus allonger la série noire des voitures qui prennent feu « toutes seules » en plein milieu de la nuit…
Un premier véhicule, une Renault Clio, a été en partie détruite par les flammes rue Macquart vers 3 h 30.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus une nouvelle fois, vers 3 h 50, rue Saint-Thierry pour circonscrire l’incendie d’une Opel Corsa.
A 5 heures, ils ont été appelés rue Foulcart pour un feu de voitu¬rette.
Enfin, une sixième voiture a été entièrement détruite dans un incendie rue des Bourguignons.
Ouvert jusqu’à 2/6, le tournoi du TC de la Côte des Blancs à Avize a comptabilisé 194 participants pour ce millésime 2013, soit 7 de plus que l’an passé. De quoi toujours permettre au juge-arbitre Gérard Dubois d’établir de superbes tableaux. A commencer par celui des messieurs où il est bien difficile d’émettre le moindre pronostic avec trois 2/6 sur la ligne de départ : Romain Cabrillon (Saint-Dizier) ainsi que les « Européens » Alexandre Gajanovic et Florent Seuret. Mais ils devront se méfier des 4/6 Benjamin Landrieu (TC Reims), Manuel Soumet (Cormontreuil) et Jérôme Dermonsir (Romilly) qui ont connu, par le passé, des meilleurs classements.
Du côté des dames, la décision devrait se faire à 3/6 entre les habituées Laure Chardin (Romilly) et Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) ou les petites jeunes, Clémence Krug (Reims Europe Club) et Maêva Spooner (Géo-André). A moins qu’Amélie Zarev (4/6, Cormontreuil) ne mette tout le monde d’accord.
DEMAIN. - 9 h 30 : demi-finales dames ; 11 heures : demi-finales messieurs ; 14 h 30 : finales dames ; 15 h 30 : finale messieurs.
PROLONGATIONS. - Initialement prévus aux mêmes dates, les tableaux + 35 ans hommes et dames ont pris beaucoup de retard et seront terminés ultérieurement. Par ailleurs, le tournoi jeunes du TCCB aura lieu de lundi à vendredi.
Camille Saint-Mard (15, Asptt Charleville-Mézières) arrive à Revin auréolée de deux titres départementaux.
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Longtemps open, le tournoi de Revin a refusé des négatifs cette année pour sa première édition limitée à 2/6. Parmi les 150 engagés, Quentin Munier (2/6, Géo-André Reims) n’a pas échappé au statut de favori. Licencié dans la Marne, l’Ardennais entrera directement en demi-finale demain matin, où sauf surprise, il devrait retrouver Anthony Ladouce (15, Les Mazures-Renwez).
Vice-champion départemental dimanche à Sedan, le professeur de tennis est à la base d’un projet de développement qui devrait aboutir à la création d’un club à sections et d’un tournoi plus huppé dans l’avenir, issu d’un rapprochement entre Revin et Les Mazures-Renwez.
D’ici là, Kévin Dubois (5/6, Givet) devrait disputer sa place en finale à Sylvain Oxoby (15, Fourmies) dans l’autre moitié du tableau. A moins qu’Alexandre Aernout (15/1, Nouzonville), Mathieu Tisserant (15/1, Poix-Terron), Thibaut Damperon (15/1, Les Mazures-Renwez) ou Jonathan Ruault (15, Les Mazures-Renwez) ne viennent jouer les trouble-fête.
Moins étoffée, la compétition féminine se résumera à une confrontation entre joueuses carolomacériennes. En pleine forme après son doublé lors de la phase finale du Circuit ardennais, Camille Saint-Mard (15, Asptt Charleville-Mézières) semble encline à ajouter un nouveau titre à son palmarès.
Emelyne Barré (15, Asptt Charleville-Mézières), qui a été l’une de ses victimes à Sedan, sera sa principale adversaire, même si Elodie Gaertner (15/2, Asptt Charleville-Mézières) et Marion Denay (15/2, Asptt Charleville-Mézières) peuvent également nourrir des ambitions.
Cédric GOURE
Assis à une table de La Marmite le vendredi 8 mars, Sébastien Jacques et Delphine Villefranque, respectivement Président et Vice-présidente de l’Assos-Café, semblent sereins.
Le nom de ce nouveau café associatif du quartier Croix-Rouge a été dévoilé la veille à l’occasion de son inauguration officielle. Ce sont les habitants du quartier, appelés à se prononcer, qui l’ont plébiscité. « C’est très important, ce que les gens ont dans leur assiette tout comme le rapport qualité/quantité/prix » souligne le Président de l’association. Le projet est subventionné par Reims métropole, via le Contrat Urbain de Cohésion Sociale, l’Etat qui participe également au financement des postes des deux salariés. De son côté, l’Effort Rémois a mis gratuitement les locaux à disposition, a acheté une partie du matériel et a obtenu auprès de la fondation des Entreprises Sociales de l’Habitat un concours financier exceptionnel pour ce projet innovant et Alphalogement soutient le projet. Pour les fondateurs, il s’agit d’un challenge. La Marmite est en effet installée à la place du Bistroquet qui a fermé ses portes début 2012. Leur atout réside peut-être dans la carte d’usager-adhérent (coût : 5 euros/an) permettant de bénéficier d’un tarif préférentiel sur les repas. « Nous comptons déjà 150 adhérents. Bien entendu, les personnes adhérentes peuvent aussi devenir bénévoles » précise Sébastien Jacques. « Nous souhaitons avancer par étapes ajoute Delphine Villefranque. Avec le développement d’activités autour de la restauration, l’ouverture à des associations ainsi que la mise en place d’activités culturelles. C’est important en termes de stabilisation et pour pérenniser le projet. »
A. C.
La construction de la dernièrenée de Reims habitat, la résidence Saint John Perse à Croix-Rouge, aura duré de juin 2011 à janvier 2013. Elle est certifiée “Habitat et Environnement” et “BBC Effinergie” grâce à son isolation exemplaire et à son chauffage collectif en sous-station sur chaufferie biomasse. Ces logements seront, pour ses futurs habitants, très économes en charges. Pour aller jusqu’au bout de sa démarche environnementale, le bailleur marnais a choisi la solution ÉCOBULLES Collectif pour adoucir l’eau de sa résidence. Grâce à son procédé inédit d’injection de CO2 recyclé, tous les inconvénients liés au tartre (surconsommation d’eau…) pourront être évités ??
S. C.
Chaque inauguration nous rapproche de l’objectif final de la rénovation urbaine des quartiers : leur transformation en profondeur d’ici 2015-2016. La livraison le 7 mars dernier de la résidence Saint-John-Perse, la pose de la première pierre de la résidence de Sorbon et la construction annoncée de l’Hôtel des Solidarités en témoignent.
Cumulant plusieurs labels qui attestent de son exemplarité environnementale et énergétique, l’immeuble est aussi équipé d’un adoucisseur d’eau collectif EcoBulles susceptible d’augmenter le confort des usagers et la durée de vie des installations sanitaires. Quant aux loyers dits intermédiaires qui y seront pratiqués, ils permettront d’insuffler de la mixité sociale dans le quartier. Les cellules commerciales aménagées en pied d’immeuble vont compléter l’offre de commerces et de services de proximité (voir témoignages ci-dessous).
La première pierre de la future résidence Robert de Sorbon a été scellée le même jour, annonçant pour mai 2014 la livraison d’un immeuble de 32 logements à loyers sociaux, dont le rez-de-chaussée sera occupé par des professionnels de santé. A ses côtés prendra place d’ici 2015 un Hôtel des Solidarités dédié aux activités tertiaires relevant de l’économie sociale et solidaire ?? C. R.
« L’activité que nous allons installer Daniel Biiga et moi au rez-de-chaussée de la résidence concerne la vente de produits de consommation quotidienne issus du déstockage, une sorte de magasin anti-crise ! Cette création est une nouvelle aventure. Le temps d’asseoir économiquement la boutique, nous resterons à deux. Mais si l’activité se développe comme nous l’espérons, nous embaucherons. Notre ambition est de voir l’entreprise grandir dans ce quartier que nous connaissons et que nous aimons. Il n’était pas pour nous envisageable d’aller ailleurs. »
« J’ai cherché à délocaliser mon auto-école pour gagner en visibilité car là où j’étais précédemment, les gens du quartier ne me connaissaient pas. Le local proposé par Reims Habitat est neuf, dans un immeuble bien fait, avec des couleurs flashy qui attirent l’oeil, à un emplacement très stratégique : devant la fac et la station de tram où vont et viennent beaucoup d’étudiants ! C’est la première fois qu’on investit autant dans le quartier. Les gens le ressentent. Le climat est en train de changer dans le bon sens. »
Placés à l’extérieur des bâtiments publics, des boîtiers audio diffusent des messages pratiques (où se trouve-t-on, quels sont les horaires d’ouverture, comment peut-on accéder à l’intérieur du bâtiment) à destination des personnes malvoyantes et non voyantes, qui les déclenchent à l’aide d’une télécommande universelle. Ces dispositifs équipent depuis 2009 six sites de la Ville de Reims (Hôtel de Ville, Maison de la Vie Associative rue du Barbâtre, Direction de l’Education rue Jovin, Conservatoire à rayonnement régional, complexe Sportif René Tys, médiathèque Croix Rouge) et trois sites de Reims Métropole (Hôtel de la Communauté rue Eugène Desteuque, Direction de l’Urbanisme rue de Mars, Direction des Ressources Humaines rue de la Grosse Ecritoire). Des balises de nouvelle génération, pouvant être activées avec un téléphone portable, sont en cours de déploiement. Six ont été installées en 2012 : Opéra, Musée des Beaux-Arts, La Comédie, Maison de la Vie Associative (entrée rue Eugène Wiet), Maison de Quartier des Trois Piliers, Piscine Talleyrand. En 2013, 12 nouveaux bâtiments (antennes municipales et maisons de quartier) seront à leur tour équipés.
Pendant les vacances de printemps, la Ville de Reims et ses partenaires proposent plus de 25 activités gratuites à destination de toute la famille ! Rendez-vous près de chez vous !
Pas toujours facile d’occuper ses enfants pendant les vacances scolaires. Une solution s’offre à vous ! Du 15 au 26 avril, l’ensemble des quartiers rémois vibreront de 14 h à 17h30 au rythme d’activités ludiques, artistiques et sportives, ouvertes à tous. Il y en aura pour tous les goûts et pour tous les âges ! Foot, basket, volley-ball, ateliers créatifs, peinture, badminton, BMX, trottinette, danse hip-hop, guitare, jeux d’antan, street golf, pétanque, jeux de fléchettes, athlétisme, tennis de table, full contact… Avec, tous les après-midi, un goûter offert aux participants. A ne pas manquer !
Chaque jour, Le Loisirs Tour s’installera dans un quartier différent de la ville, à la rencontre des habitants. Alors à vos agendas : Murigny (lundi 15 avril), Châtillons (mardi 16 avril), Europe/Chemin Vert (mercredi 17 avril), Epinettes (jeudi 18 avril), Orgeval (vendredi 19 avril), Trois Fontaines/ La Neuvillette (lundi 22 avril), Maison Blanche (mardi 23 avril), Croix-Rouge/Croix du Sud (mercredi 24 avril), Verrerie/Saint-Remi (jeudi 25 avril), Wilson/Centre Ville (vendredi 26 avril) ?? S. C. Direction de la Jeunesse de la Ville de Reims, 3 rue des Orphelins. Tél. : 0800506956. Sur internet : www.reimsvitalete.fr ou www.reims.fr.
Durant Le Loisirs Tour, parents et enfants pourront également s’informer sur les dispositifs de loisirs proposés l’été prochain, et même procéder à des préinscriptions. Au programme : “Reims Vital Été 2013” pour les 12-17 ans, les séjours de vacances pour les 6-17 ans et l’accueil de loisirs en centres aérés pour les 3-13 ans. Par ailleurs, une sensibilisation citoyenne autour des démarches à effectuer pour voter sera également proposée, avec l’appui de SOS racisme
Après plusieurs années de sommeil, le Conseil de quartier avait réveillé le forum des associations de Croix-Rouge le 24 novembre dernier. Malgré la bonne volonté des organisateurs celui-ci ne s’était pas vraiment levé du bon pied. Peu d’associations présentes, faible fréquentation… Peu importe, la commission animation a décidé de remettre le couvert cette année. Elle s’est d’ailleurs réunie le 30 janvier dernier pour évoquer les difficultés rencontrées dans l’organisation de la première édition. La date a été fixée au 16 novembre prochain, salle François-Mauriac (date et lieu provisoires), un choix judicieux car celle-ci pourrait s’inscrire dans la Semaine de la solidarité.
Maison de quartier Escapades et la Maison de quartier Croix-Rouge organisent le 12 avril, à l’espace Billard, un repas Hongrois. Rendez-vous le 12 avril, 19h30, à l’espace Billard 12, rue Pierre-Taittinger. Réservation au 0326080878.
La semaine de la Petite enfance se déroulera du 3 au 10 avril dans les espaces de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Au programme ateliers thématiques, séances d’informations pour les futurs parents et bourse à la puériculture le 6 avril de 10 h à 18 h à l’espace Billard.
Renseignements au 0326080878.
Cette 3e édition de l’Artorthèque éphémère organisée par la Région via l’Orcca, présente à Reims une centaine d’oeuvres prêtées par 41 artistes professionnels de Champagne- Ardenne. Dix-huit nouveaux artistes y font leur entrée ainsi que deux artistes tchèques et un artiste marocain. BU des Campus Santé, Moulin de la Housse, Croix-Rouge et Villa Douce jusqu’au 26 avril. © J. D
Inkyeong Kim et Sunkyung Kim, deux designers-illustratrices diplômées de l’Ecole supérieure d’art et de design de Reims, créent des livres poétiques et interactifs pour les enfants. Elles vous invitent à la création de votre propre livre-carrousel qui sera exposé à l’occasion de l’anniversaire des 10 ans des médiathèques rémoises. Atelier à partir de 7 ans, durée 2h30. Mercredis 10 et 17 avril de 14h30 à 17 h (médiathèque Croix-Rouge, inscription au 0326356840). Samedis 20 avril et 11mai de 14h30 à 17 h (médiathèque Jean Falala, inscription au 0326356800). Mercredi 24 avril de 14h30 à 17 h (médiathèque Laon-Zola, inscription au 0326477941). Rallye "En… quête de bibliothèques"
A l’occasion de la célébration des 10 ans d’ouverture des médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge, participez à ce rallye et découvrez ou redécouvrez les bibliothèques et médiathèques de Reims. Dans chaque bibliothèque et médiathèque du réseau, trouvez l’indice visuel présenté sur la carte-jeu. Résolvez l’énigme qui vous sera proposée sur place. Une fois l’énigme résolue, faites tamponner votre carte par un bibliothécaire. Cartes jeu disponibles à la Bibliothèque Carnegie, là où commence le rallye, à partir du 16 avril. 16 avril au 15 juin. Programme complet sur www.bm-reims.fr, rubrique "10 ans".
Les vacances approchent. Si en avril, les délais moyens pour obtenir ces documents, fabriqués par un centre national de production, sont encore d’environ deux semaines pour un passeport et d’environ quatre semaines pour une carte nationale d’identité, ils sont susceptibles d’augmenter entre mai et août du fait de la multiplication des demandes sur toute la France. Le dépôt des demandes de passeports s’effectue auprès des antennes municipales Murigny, Orgeval, Croix-Rouge et Europe ainsi qu’à l’Hôtel de Ville (bureau 11). Le dépôt des demandes de cartes d’identité s’effectue auprès des antennes municipales Murigny, Orgeval, Croix-Rouge, Europe, Châtillons, La Neuvillette, et l’antenne mobile ainsi qu’à l’Hôtel de Ville (bureau 11).
« Notre rôle, c’est de proposer des animations de proximité aux parents autour des questions de l’éducation et de la parentalité ». Elisabeth Causin Animatrice du groupe de travail des référents familles pour l’Association des maisons de quartier. Des animations parents-enfants toute l’année Vous êtes parents et vous vous poser des questions sur l’éducation de vos enfants ? Sachez que les animatrices familles des Maisons de quartier peuvent vous accompagner dans votre rôle éducatif. Etre parent, ce n’est pas si simple qu’il n’y paraît. Les quinze animatrices-référentes familles des Maisons de quartier le savent bien. Lors des ateliers qu’elles organisent, les animatrices font en sorte que « les parents puissent partager des moments avec leurs enfants, qu’ils expriment leurs interrogations et difficultés rencontrées. Elles incitent aussi les parents à dialoguer entre eux, pour partager leur expérience sur l’éducation de leurs enfants », énonce Elisabeth Causin, qui anime le groupe des référents familles. Les animations familles existent depuis vingt ans dans les Maisons de quartier rémoises, lieu de socialisation et de loisirs pour tous les âges de la vie. Aujourd’hui, « notre action est bien reconnue au niveau de la petite enfance », note pour sa part Elham Kouch, animatrice familles à la Maison de quartier Clairmarais. « Maintenant, nous voudrions nous concentrer sur des activités à destination des parents d’adolescents, car on constate qu’il y a un réel besoin », conclut-elle.
Des animations en lien avec la Protection maternelle infantile (la PMI, service du Conseil Général) : une animatrice est présente dans la salle d’attente de la consultation de jeunes enfants. Elle assure un temps d’attente agréable pour l’enfant et ses parents, juste avant l’entrevue avec le médecin et la puéricultrice.
Des temps forts thématiques, liés à l’actualité, au quotidien ou à l’éducation : une bourse aux vêtements, des rencontres- débats…
Des sorties familiales : des journées ou des miniséjours de découvertes ludiques et/ou culturelles.
Des animations du lieu d’accueil parents-enfants : les familles du quartier se retrouvent autour d’une activité (cuisine, activités manuelles, sortie piscine…) ?? C. F. T.
Contact : 0326353250 association@maisondequartier-reims.fr
Numéro 7493 du 08 au 14 avril 2013.
Identification de l’organisme qui passe le marché : SA D’HLM LE FOYER REMOIS - 8, rue Lanson - CS10029 - 51722 REIMS Cedex
Objet du marché : Construction de 20 logements collectifs BBC - Quartier Croix-Rouge G10 rue Lavoisier à Reims.
LOT 9 : serrurerie / portes de garage
Durée du marché : Durée TCE y compris préparation : 16 mois
Nombre et consistance des lots : Les autres lots ont déjà fait l’objet d’une mise en concurrence et sont actuellement en analyse.
Lot objet de la présente consultation : lot n°9 : serrurerie / portes de garage.
Procédure de passation : Procédure adaptée ouverte
Modalités d’attribution : 1/ Entreprises individuelles, ou groupement d’entreprises.
2/ Les variantes sont autorisées.
COMPOSITION DU DOSSIER : Le dossier devra contenir impérativement les pièces mentionnées dans le Règlement de Consultation pour la partie "candidature" et la partie "offre".
Critères de sélection : 1) Valeur technique de l’offre pour 50%, dont :
les moyens humains, matériels et techniques affectés au chantier pour 20 points ;
la pertinence du mémoire technique pour 20 points ;
le volet insertion professionnelle pour 10 points.
2) Montant global de l’offre pour 50%.
Date limite :
Date limite de remise des offres : Le 30 avril 2013 à 17h00.
Renseignements divers : 1) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : ICA Reprographie - 34 rue Alain Colas - 51450 BETHENY - Tél : 03.26.07.37.24 - Fax : 03.26.07.37.61
2) Renseignements techniques :
a] LE FOYER REMOIS - 8, rue Lanson - CS 10029 - 51722 REIMS Cedex - Service construction - M. Eric BANNIER - Tél : 03.26.84.36.07 - Fax : 03.26.84.46.07 - Courriel : e.bannier@foyer-remois.fr
b] SARL PATRICK DURAND & ASSOCIES - Architectes et Urbanistes - 36, boulevard de la Bastille - 75012 PARIS - M. DURAND - Tél : 09.54.60.80.03 - Courriel : dpa.archi@gmail.com
3) Renseignements administratifs :
LE FOYER REMOIS - 8, rue Lanson - CS 10029 - 51722 REIMS Cedex - Cellule achats - Mme Elvina LHERMENIER - Tél : 03.26.84.36.26 - Fax : 03.26.84.36.09 - _ Courriel : e.lhermenier@foyer-remois.fr
Date d’envoi de l’avis à l’organisme de publication : le 29 mars 2013
1. POUVOIR ADJUDICATEUR : S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, CS 10029 - 51722 REIMS CEDEX.
2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Appel d’offres ouvert.
3. OBJET DU MARCHE : Prestations de nettoyage et d’entretien des parties communes des immeubles et des garages et prestations de traitement des ordures ménagères et du tri sélectif sur le secteur Pays de France à REIMS.
4. DUREE DU MARCHE : Le marché aura une durée d’un an renouvelable 3 fois, soit 4 ans au maximum.
5. VARIANTES : Interdites.
6. LOTS :
— Lot n° 1 : Nettoyage et entretien des parties communes des immeubles situés sur les îlots A et H du secteur Pays de France à REIMS ;
— Lot n° 2 : Nettoyage et entretien des parties communes des immeubles situés sur les îlots B et RILLY LA MONTAGNE du secteur Pays de France à REIMS ;
— Lot n° 3 : Nettoyage et entretien des garages du secteur Pays-de-France à REIMS
— Lot n°4 : Traitement des ordures ménagères et du tri sélectif sur le secteur Pays de France à REIMS.
7. DOSSIER DE CONSULTATION : Le dossier de consultation du marché est disponible, à titre gratuit, en le demandant auprès de : LE FOYER REMOIS, cellule achats, Mme Elvina LHERMENIER, 8 rue Lanson, CS10029 ¬51722 REIMS CEDEX. Fax : 03.26.84.36.09 - Courriel : e.lhermenier@foyer-remois.fr
8. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES : Le 22 mai 2013 à 12 h 00.
9. CONDITIONS DE PARTICIPATION :
SITUATION PROPRE DES OPERATEURS ECONOMIQUES, Y COMPRIS EXIGENCES RELATIVES A [INSCRIPTION AU REGISTRE DU COMMERCE OU DE LA PROFESSION :
— Une lettre de candidature signée (ou modèle DC1) ; — La déclaration du candidat (ou modèle DC2) et ses justificatifs ;
— Une attestation sur l’honneur indiquant que le candidat a satisfait à ses obligations fiscales et sociales ; — Une déclaration sur l’honneur justifiant que le candidat n’a pas d’interdictions de soumissionner ;
— Les renseignements sur le respect de l’obligation d’emploi mentionnée à l’article L 5212-1 à 4 du code du travail ; — Les pouvoirs de la personne habilitée à engager l’entreprise ;
— Le cas échéant, une copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire ; — Un extrait K-bis de moins de 3 mois. CAPACITE ECONOMIQUE ET FINANCIERE :
— Une déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les prestations auxquelles se réfère le marché, réalisés au cours des 3 derniers exercices ;
— Les attestations d’assurances en vigueur. CAPACITE TECHNIQUE :
— Les renseignements sur les moyens humains, matériels, techniques de l’entreprise, et une liste de références (les candidats doivent transmettre des références en privilégiant les prestations similaires) ;
— Une copie de la qualification professionnelle en vigueur à la date de la remise des offres ou, à défaut, une liste de références.
10. ANALYSE DES OFFRES : CRITERES DE JUGEMENT :
— Prix : 40 % ; — Valeur technique : 40 % ; — Système qualité pour garantir la qualité des prestations : 20 %.
11. RENSEIGNEMENTS :
RENSEIGNEMENTS RELATIFS A LEXECUTION DE LA PRESTATION : LE FOYER REMOIS, Agence Pays dé France, M. Hervé VIROT, 10 avenue du Général Bonaparte - 51100 REIMS. Tél. : 03.26.05.84.84 - Fax : 03.26.86.40.79 ¬Courriel : h.virot@foyer-remois.fr
RENSEIGNEMENTS ADMINISTRATIFS : LE FOYER REMOIS - Cellule achats - Mme Elvina LHERMENIER, 8 rue Lanson - CS10029, 51722 REIMS CEDEX. Tél. : 03.26.84.36.26 - Fax : 03.26.84.36.09 - Courriel : e.lhermenier@foyer-remois.fr
12. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS SUR LE JOUE ET SUR LE PRESENT SUPPORT : Le 04/04/2013. 114667
LE CARREAU
Société par actions simplifiée
au capital de 70.000 €uros
Siège social :
8 allée du Vignoble - 51100 REIMS
_788 961 308 R.C.S. Reims
D’un procès-verbal de l’associé unique et président du 2 avril 2013, il résulte que :
— L’objet social de la société a été étendu, à compter du 2 avril 2013, à l’activité suivante : évènements culturels.
En conséquence, l’article 2 des statuts a été modifié, comme suit :
ARTICLE 2 - OBJET SOCIAL
La société a pour objet : Bar ¬restaurant - évènements culturels.
Le reste de l’article est sans changement.
— Le siège social a été transféré, à compter du 2 avril 2013, de REIMS (51100), 8 allée du Vignoble, à REIMS (51100), 16 rue du Temple, Halles du Boulingrin.
En conséquence, l’article 4 des statuts a été modifié.
Dépôt légal au greffe du tribunal de commerce de REIMS.
__ Pour avis : Le représentant légal,
114621 Edouard DUNTZE.
ACTE : Acte reçu par Maître Hubert CROZAT, Notaire associé à GUEUX, Marne, le 22 mars 2013, enregistré à REIMS-NORD, le 26 mars 2013, bordereau 398, n° 1.
CEDANT : Maître Jean-François CROZAT, mandataire judiciaire, domicilié 17 quai de la Villa à EPERNAY, Marne, agissant en qualité de liquidateur de la société dénommée "REIMS TOILETTAGE", société à responsabilité limitée au capital de un euro, dont le siège est sis 8 avenue Léon Blum à REIMS, Marne, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS, Marne SIRENE n° 484 107 404.
CESSIONNAIRE : La société dénommée "CCBDP", société à responsabilité limitée au capital de mille €uros (1.000,00 €), dont le siège est sis 11 rue de la Moufle à GUEUX, Marne, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS, Marne, SIRENE n° 791 077 837.
FONDS : Un fonds de commerce de salon de toilettage exploité à TINQUEUX, Marne, 3 place du Commerce, pour lequel l’EURL "REIMS TOILETTAGE", est immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS, Marne, SIRENE n° 484 107 404.
TRANSFERT DE PROPRIETE : 22 mars 2013.
PRIX : Vingt cinq mille €uros (25.000,00 €), s’appliquant aux éléments incorporels pour quinze mille vingt €uros (15.020,00 €) et aux matériel, mobilier, agencements pour neuf mille neuf cent quatre vingts €uros (9.980,00 €).
OPPOSITIONS : Dans les 10 jours de la dernière en date des insertions légales, en l’Etude de Maître Jean-François CROZAT, mandataire judiciaire, domicilié 17 quai de la Villa à EPERNAY, Marne, domicile élu.
Pour unique insertion : Me Hubert CROZAT,
114520 Notaire.
Un scénario se dégage dans le pro¬jet de Grand campus rémois souhaité par l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Le site du Moulin de la Housse sera transféré à Croix-Rouge près des Coquilles, tandis que la présidence et les services centraux se situeront près de l’hippodrome, à mi-chemin de la faculté de méde¬cine. Le coût global de l’opération est évalué à 250 M€ mais, en tenant compte des futures ventes de locaux et des actions déjà entreprises, il ne reste « que » 150 M€ à trouver. Le pré¬sident Gilles Baillat n’est pas inquiet concernant le financement, car il sait que l’Etat (notamment via la vente du Moulin de la Housse), le Conseil régional, le Département et Reims Métropole participeront, comme l’URCA, au financement de ce projet primordial pour l’attractivité du territoire. Les mots clés pour défi-nir le projet : développement durable, plus fonctionnel et confortable, numé¬rique et vie étudiante facilitée. Dans cette stratégie globale, les quatre autres campus régionaux vont eux aussi évoluer.
Le Grand campus a pour objectif d’accueillir 27 000 étudiants en 2020, soit 5 000 de plus qu’aujourd’hui.
Un scénario se dégage dans le projet de Grand campus souhaité par l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Le site du Moulin de la Housse sera transféré à Croix-Rouge près des Coquilles, tandis que la présidence et les services centraux se situeront près de l’hippodrome, à mi-che-min de la faculté de médecine.
« Le coût global est estimé à 250 M€ mais des éléments ont déjà été financés comme la rénovation des Coquilles. Une partie de ce coût sera aussi portée par la valorisation des 50 hectares du site du Moulin de la Housse (entre 80 et 100 M€). Les locaux actuels de l’IUFM (Institut Universitaire de Formation des Maîtres) seront aussi revendus », annonce Gilles Baillat, président de l’URCA. Il reste donc 150 M€ à trouver. Même si la conjoncture est difficile, le président n’est pas inquiet car il sait que l’Etat (notamment via la vente du Moulin de la Housse), le Conseil régional, le Département et Reims Métropole participeront, comme l’URCA, au financement de ce projet primordial pour l’attractivité du territoire, « et qui fait consensus aujourd’hui, y compris au sein de l’Université ». D’ici à la fin de l’année, le schéma de financement (sur 8 ans) sera donc établi.
Dans l’ordre des priorités de déménagement, Gilles Baillat cite « la présidence qui va quitter la Villa Douce (boulevard de la Paix) et les services centraux répartis dans des locaux qui nous coûtent aujourd’-hui 400 000 euros par an de location ». Concernant la Villa Douce, elle pourrait être revendue même si le président ne cache pas qu’il préférerait que l’Université puisse conserver ce lieu de prestige. Sui¬vront l’IUFM et la fac de sport. « Le plus compliqué sera le transfert de l’UFR Sciences, l’IUT et l’école d’in-génieur (ex-ESIEC). Ces formations partagent des salles communes et il faudra donc les déplacer en même temps », analyse-t-il. En tout cas, tout doit être terminé en 2020, d’autant plus que l’URCA finance la maintenance du Moulin de la Housse jusqu’en 2018.
Le Grand campus sera placé sous le signe du développement dura¬ble (économies d’énergie, géother-mie, solaire, gestion de l’eau…), du numérique, de l’international (signalétique et bâtiment dédié aux étudiants ou professeurs étrangers). Plus confortable et fonctionnel, il favorisera « le vivre ensemble » grâce à des équipements comme une maison de l’étudiant et des services (restauration, crèche, commerces…). Gilles Baillat n’hésite donc pas à parler de « ville dans la ville ».
Concernant l’enseignement en lui-même, le projet doit s’accom¬pagner d’une montée en gamme de l’URCA : « L’Université va se structurer autour de grands pôles de compétences et de recherche pour favoriser les échanges, les mutuali¬sations et aussi réduire les coûts de fonctionnement ». L’enjeu est de gagner en attractivité pour un éta¬blissement qui en manque actuel¬lement : « Nos campus (vétusté, insécurité) ont un caractère rebu¬tant pour les jeunes et leurs familles. Avec 22 000 étudiants, il nous en manque 5 000 par rapport à notre potentiel ». Sur le plan pédago¬gique, l’objectif est ainsi de faire progresser le niveau des formations et les effectifs en master et doctorat.
PHILIPPE DEMOOR
Pour passer de 22 000 à 27 000 étudiants, I’URCA souhaite faire progresser qualitativement ces formations. Ce dévelop¬pement visera de façon équilibrée les 3 grands ensembles qui structurent l’offre de formation : le secteur santé, le secteur des sciences humaines et sociales, le secteur des sciences et technologies. Cet objectif quantitatif sera complété par le rééqui¬librage de l’offre de formation de l’URCA au regard des diffé¬rents niveaux de formation proposés : licence, master, docto¬rat. La priorité est aujourd’hui d’augmenter rapidement le nombre et le pourcentage des effectifs étudiants inscrits en master et en doctorat.
Actuellement 3111 étudiants inscrits en masters. Cibles 2020 : 6000 étudiants inscrits en master.
432 étudiants inscrits en doctorat. Objectif : 700 étudiants. - Le développement d’un grand pôle technologique et d’ingé¬nierie sera entrepris en liaison étroite avec les autres établis¬sements d’enseignement supérieur concernés dans la région. Cible : 700 étudiants inscrits en filières d’ingénieurs.
L’institut de la vigne et du vin L’ambition de I’URCA est de por¬ter la création de cet institut qui symbolise en lui-même, non seulement la « marque », l’emblème de la région, mais aussi une méthode : faire travailler ensemble, réunir les énergies et les compétences.
Dans le projet stratégique présenté vendredi 5 avril par Gilles Baillat, les autres sites de l’URCA sont aussi concernés.
La carte d’identité actuelle de l’URCA est la suivante : 13 UFR, écoles et instituts au total, rassemblant 22 000 étudiants encadrés par 1300 enseignants et chercheurs et 1100 personnels de bibliothèque, techniques, administratifs, sociaux et de santé qui travaillent sur 14 campus dans 5 villes dans les-quelles. 950 chercheurs tra¬vaillent dans 30 laboratoires.
Le projet de « refondation de l’Université » concerne donc toutes les composantes de l’URCA. Gilles Baille dévoile six axes de développement : la formation, la recherche, la création de l’institut de la vigne et du vin, l’international, l’or¬ganisationnel, le numérique, et le communautaire. Si le projet rémois est au coeur du dossier, les autres villes ne sont pas oubliées, assure le prési¬dent.
Le campus de Charleville-Mézières regroupe actuelle¬ment l’antenne de l’IUT de, l’IFTS et une antenne de l’IUFM (la future ESPE : École Supérieure du Professorat et de l’Éducation). L’URCA y vise un objectif de 800 étudiants à l’horizon 2020. Surtout, le site se dotera d’un pôle d’excel¬lence, dans le champ de la recherche, de l’innovation et des formations, avec la créa¬tion du cluster dédié au proto¬typage additif par ajout de matière.
Le campus de Châlons-en-Champagne regroupe actuel¬lement l’antenne de l’IUT et une autre de l’IUFM. L’URCA vise un objectif de 700 étu¬diants et le développement d’un centre d’excellence sur le thème « société et santé » avec une focale particulière sur la question du handicap.
Le campus de Troyes est rat¬taché aux UFR de lettres, droit et sciences économiques et de gestion de Reims. Il comprend aussi un IUT et l’antenne de l’IUFM. Accueillant actuelle¬ment 2 700 étudiants, le cam¬pus troyen vise un objectif de 3 500 étudiants. Parmi les pis¬tes de développement : un nouveau département d’IUT sur les carrières juridiques. Le centre troyen a par ailleurs vocation à développer des thé¬matiques d’excellence dans le champ du patrimoine.
Le campus de Chaumont comprend aujourd’hui l’an¬tenne de l’IUFM, des forma¬tions en partenariat avec les lycées ainsi qu’une offre de formation proposée par l’IUT de Troyes dans les métiers de la banque. Manquant d’étu¬diants, « ce site doit se déve¬lopper s’il veut durer ». En pro¬jet, une offre d’excellence dans le champ du graphisme, domaine dans lequel les res¬sources locales sont très significatives. Objectif : 250 étudiants.
En dévoilant son projet de Grand campus vendredi dernier, l’Université de Reims Champagne-Ardenne a fait bien plus que présenter un projet architectural. Le Grand campus c’est incontestablement l’entrée de l’URCA, voire même de la région toute entière, dans une nouvelle ère, celle de la reconquête des publics. Reconquête des étudiants régionaux - et ceux venant de l’extérieur - en leur démontrant que la Champagne-Ardenne est aussi une terre de connaissances, de recherche et de formation, qui n’a pas à rougir de ses voisines parisiennes, amiénoises ou dijonnaises.
Reconquête des familles, à qui l’on doit envoyer un message fort si l’on veut rapidement inverser la courbe démographique actuelle : oui, en Champagne-Ardenne, vos enfants trouveront sur place, les moyens d’accéder à tous les cursus, même les plus pointus.
Reconquête des entreprises enfin, qui pourront continuer à travailler et à chercher en partenariat avec l’Université où elles trouveront encore plus qu’aujourd’hui les ressources nécessaires à leur développement. Et où elles formeront leurs élites de demain. Celles de 2020.
BENJAMIN BUSSON
Conseil de quartier – Trois- Fontaines-La Neuvillette. Karine Clément (Assurance Maladie) : « Mes interventions ont toute leur place »
Karine Clément présentait aux habitants les offres de prévention disponibles en matière de santé et proposées par l’Assurance Maladie. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Tandis que les réunions publiques touchent bientôt à leur fin, cette session de printemps a notamment été marquée par la participation de plusieurs structures extérieures, en particulier l’Assurance Maladie qui, avec Karine Clément, a profité des douze conseils pour diffuser ses messages sur les offres de prévention disponibles.
Karine Clément présentait aux habitants les offres de prévention disponibles en matière de santé et proposées par l’Assurance Maladie. (© l’Hebdo du Vendredi) Selon les conseils et les quartiers, ces interventions ont été plus ou moins bien reçues des habitants. Considérées comme naturelles par certains, d’autres n’ont, au contraire, pas du tout compris, voire pas accepté la présence de ces diverses structures (à l’image de l’Assurance Maladie) dont la présence et la pertinence des messages a quelquefois été remise en cause.
Karine Clément, elle, venait donc promouvoir les offres de prévention de santé sur les thématiques du bucco-dentaire, des cancers du colon et du sein, du diabète et du bilan global de santé. Face aux critiques, la représentante reconnaît une certaine surprise au début : « C’est vrai que je ne m’attendais pas forcément à avoir des réactions quelque peu négatives, de la part de personnes ne comprenant finalement pas bien ce que je faisais là. Il faut rappeler que l’ordre du jour reste la responsabilité de chaque conseil de quartier, et que si j’ai pu m’exprimer lors des réunions publiques, c’est que la majorité des conseillers y était favorable. Pour ma part, je considère que mes interventions ont toute leur place, c’est aussi ça la mission du conseil de quartier : informer les habitants sur des sujets dont ils n’auraient pas forcément accès facilement. » Soucieuse de faire preuve d’une réelle souplesse quant à l’articulation de son discours, la représentante de l’Assurance Maladie reconnaît avoir toutefois peu à peu adapté son intervention : « Le problème majeur, c’est de ne pas être trop long tout en restant clair, car c’est vrai que la plupart des habitants présents sont là pour parler d’autres choses, des problèmes de leur quartier les concernant directement. Aussi, j’ai décidé d’expliquer les raisons de ma présence dès l’amorce de ma présentation, tout en veillant à toujours leur donner largement la parole pour répondre à leurs questions. »
Et les faits sont là : suite à son passage dans les conseils, Karine Clément affirme avoir déjà reçu des inscriptions d’habitants à l’Assurance Maladie, le conseil de quartier Croix-Rouge s’étant notamment montré très réceptif à son intervention.
Aymeric Henniaux
Action de sensibilisation : Opération nounours et découverte
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Soigner sa peluche tout en rencontrant les différents (futurs) professionnels de santé, voilà l’expérience qu’ont vécu près de 150 élèves de maternelles lundi et mardi dernier. Et pour la première fois, c’est dans les locaux de la faculté de médecine que l’opération se déroulait.
Si les pathologies des nounours sont évidemment fictives, les informations et connaissances que les étudiants participant à l’événement transmettent aux élèves sont, elles, bien réelles. En amont de la manifestation, chaque enfant a en effet imaginé une maladie pour son ours, son lapin ou autre peluche, telle qu’un sérieux rhume, un mal de ventre, de dents, de tête, une brûlure, une morsure, une fracture… Et pour soigner cette maladie, rien de mieux que 80 étudiants disponibles de deuxième et troisième années, issus des corporations Médecine, Pharmacie, Dentaire, Kinésithérapie et Manipulation Radio. « Quand ils arrivent dans notre hôpital improvisé, on fait faire un diagnostic à leur peluche avant de les orienter vers le bon service médical qui soignera leur nounours », indiquent Charline Loth et Clémence Brunois, Vice-Présidentes en charge de la Solidarité Locale à la Corporation des Etudiants en Médecine de Reims. Au total, ce sont donc 150 enfants de cinq classes de l’école maternelle Dufy-Cavarrot qui ont participé à ce dispositif lundi et mardi derniers.
Après avoir eux-mêmes confectionné les décors de cet hôpital des nounours, les jeunes élèves ont eu, fin mars, la visite de plusieurs étudiants, ces derniers les ayant mis à l’aise en amont du « jour de consultation et de soins », par rapport notamment à la blouse blanche et au stéthoscope, deux éléments caractéristiques du monde médical. Une tactique plutôt payant puisque Emma, petite fille de quatre ans et demi, venue guérir son nounours Félicia, victime « d’un mal de ventre suite à trop de chocolat et de coca », reconnaît « ne pas avoir eu peur de ces docteurs car ils étaient déjà venus nous voir en classe. Ils sont plutôt gentils, surtout ceux qui ont donné des médicaments à Félicia. »
Permettant aux petits écoliers d’avoir un premier contact informel avec le secteur de la santé, d’ôter certaines appréhensions face au milieu de l’hôpital, l’opération présente le double avantage d’apporter également un « plus » aux étudiants : « Grâce à l’hôpital des nounours, on joue un peu à notre futur métier, et c’est encore plus vrai si on souhaite se spécialiser en pédiatrie, » soulignent Clémence et Charline. « Ici, on est sur un cas pratique, sans pour autant avoir trop de stress et d’appréhension. C’est une belle opportunité pour nous car sans ça, on doit attendre d’être en externat, soit la quatrième année, pour être sur des cas concrets. »
A l’issue d’un parcours d’une vingtaine de minutes entre les sections Consultations, Sage-Femme, Radiologie ou encore Dentaire et Chirurgie, les élèves de Dufy-Cavarrot ont pu repartir avec leur nounours soigné, ainsi qu’une seconde peluche offerte dans le cadre de l’événement par les étudiants.
Aymeric Henniaux
Projet stratégique - URCA - Grand-messe pour un campus à l’américaine
De quoi se faire une première idée de ce que sera le futur Grand Campus à Croix-Rouge… (© Pierre Etienne)
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Gilles Baillat a orchestré la présentation officielle, conclue par le dévoilement des projections 3D du futur grand campus. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Si les grandes lignes du projet étaient déjà connues, le rendez-vous, lui, était important pour l’Université de Reims-Champagne Ardenne qui présentait, vendredi dernier, son ambitieux projet de développement à l’horizon 2020, dévoilant en particulier les contours du futur Grand Campus rémois.
Cette fois tout est dit, « y’a plus qu’à ». En présence de nombreux élus et officiels, recteur, maires de Reims et de Châlons, et députés en tête, le président de l’Urca, Gilles Baillat, a solennellement présenté le projet stratégique de l’Université, parti pour durer au moins une dizaine d’années.
Université publique et pluridisciplinaire, « au service du territoire et de ses populations », pour reprendre les mots de son président, l’Urca, bien que bénéficiant de puissants atouts (positionnement idéal par rapport aux grands réseaux de transport comme l’autoroute et le TGV, fort soutien des collectivités locales, de solides relations avec les autres établissements d’enseignement supérieur de la région), doit aujourd’hui se préparer à relever de nouveaux défis. Et le premier d’entre eux est sans conteste le renforcement obligé de son attractivité. « Nous devons absolument drainer plus systématiquement les étudiants, qu’ils viennent de la région mais aussi de l’ensemble du territoire national et même international. C’est en relevant le défi de l’excellence que nous pourrons réaliser cela, ainsi qu’en renforçant ou développant (selon le cas) nos relations avec l’enseignement secondaire. » Concrètement, cela passera par une présence encore plus active de l’Urca aux Forums Avenir Étudiants, au train de l’orientation, mais aussi par la création des campus lycéens universitaires (accueil d’étudiants dans les lycées) et des classes préparatoires universitaires (qui accueilleraient, elles, des néo-bacheliers) dès la rentrée 2014.
« Dans notre grand projet de formation, nous visons 27 000 étudiants d’ici 2020, soit pratiquement 5 000 de plus qu’aujourd’hui. », lance Gilles Baillat, en préambule du dévoilement concret du projet stratégique. Plus d’étudiants inscrits en doctorat, en filières d’ingénieurs et surtout plus de mastères, les ambitions sont fortes et s’appuient notamment sur une « promesse d’étoffer l’offre de formation, dans tous les domaines ». Dans le détail, le président confirme que « l’accent sera mis sur la recherche, avec la volonté de multiplier les synergies avec les partenaires institutionnels (Etat, Région, départements…) et les plus grands organismes de recherche (CNRS, INSERM, INRA, CEA…). En outre, on cible 90% d’enseignants chercheurs « produisants » pour 2020, contre 61% à l’heure actuelle. » Par ailleurs, et de façon transversale aux offres de formation et de recherche, l’Urca prévoit de s’investir encore davantage dans l’Institut de la Vigne et du Vin (axant surtout l’effervescence et la septentrionalité).
Autre point phare du projet stratégique : l’internationalisation de l’Université, un « enjeu vital » à ne pas manquer. Selon Gilles Baillat, le but ici serait « de disposer de formations permettant à nos étudiants de s’insérer au niveau local et national, tout en étant également compétitifs sur le marché mondial ». Pour arriver à cette finalité, « de nouvelles sources de financements fiables, substantielles et prévisibles devront être mises en place, favorisant entre autres les formations des étudiants à l’étranger. Sur ce sujet, on souhaite dépasser la barre des 15% d’étudiants internationaux (contre 10% aujourd’hui) et travailler à un campus à vocation internationale, qui vivrait toute l’année avec, par exemple, des écoles d’été, une maison des langues… »
Enfin, et c’est sûrement l’élément majeur, fédérateur et donc moteur de ce vaste projet universitaire : le rassemblement, tant attendu par certains, contesté par d’autres, des campus rémois de l’Urca sur le site du quartier Croix-Rouge. Un grand campus dit « à l’américaine », de par principalement son étendue et la concentration des formations et des services universitaires sur un même lieu. « La menace en termes de sécurité et le coût d’entretien et de fonctionnement de plusieurs bâtiments du campus Moulin de la Housse, ajoutée aux évolutions récentes en matière de structuration urbaine à Croix-Rouge (gare TGV de Bezannes, passage du tramway…) et à une logique générale de regroupement nous a convaincu que réunir les deux campus sur un même site était la meilleure décision à prendre, affirme sans un doute le président de l’Urca. On est là non pas dans un simple déménagement mais bien dans une refondation complète de l’Université. De ce fait, on pourra rapprocher les laboratoires de recherche, renforcer les relations entre l’université et son environnement économique, associatif et sociétal, développer des équipements communs, mutualiser les moyens, concevoir des infrastructures nouvelles et adéquates (pour le Learning Center par exemple), le tout en respectant le modèle d’une université modèle sur le développement durable et le numérique. »
Quant à l’année 2020, date suggérée, voire confirmée par certains comme étant celle de l’aboutissement du projet stratégique fondamental de l’Urca, peut-être ne sera-t-elle finalement qu’une « année-étape » entre deux phases majeures de travaux, Gilles Baillat avançant lui-même l’idée « d’un avenir dessiné à l’horizon 2025, voire 2030 ».
Aymeric Henniaux
Liens : www.univ-reims.fr
A l’aube des périodes de grands changements, l’Université de Reims-Champagne Ardenne compte actuellement 22 000 étudiants, encadrés par près de 1 300 enseignants et chercheurs et pas moins de 1 100 personnels de bibliothèques, techniques, administratifs, sociaux et de santé. Tous travaillent sur les 14 campus universitaires champenois, répartis sur cinq villes (Reims, Charleville-Mézières, Châlons-en-Champagne, Troyes et Chaumont). Au total, 150 diplômes sont proposés aux étudiants, et environ 2 000 diplômés sortent de master chaque année.
Oxmo Puccino, un parrain de choix
Le Boom Bap vous donne rendez-vous du 27 avril au 5 mai à Reims pour découvrir toutes les richesses de la culture Hip-Hop.
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Alors qu’il a tout récemment sorti son nouvel album, Le roi sans carrosse, et que la tournée débutée en octobre dernier rencontre un véritable succès, Oxmo Puccino, parrain du Boom Bap Festival où il est attendu le 3 mai prochain, a pris le temps de répondre à nos questions et de nous parler de sa passion. Rencontre.
L’Hebdo du Vendredi : Quand on vous a proposé d’être le parrain du festival Hip-Hop de Reims, avez-vous tout de suite accepté l’invitation ?
Oxmo Puccino : Même si j’étais flatté, j’ai d’abord eu peur de devoir refuser par manque de temps. Mais j’ai rapidement pris conscience de l’importance de la démarche et je n’ai pas pu faire autrement que d’accepter, avec grand plaisir, l’honneur qu’on me faisait. Il faut dire que la France manque cruellement d’événements de ce genre. Le hip hop, même s’il existe depuis 30 ans, a besoin de festivals et de manifestations comme le Boom Bap pour continuer à exister et à toucher les publics plus jeunes. J’ai déjà été parrain d’un festival et quand on m’a appelé pour celui de Reims, j’ai été ravi et heureux de pouvoir participer à cette célébration de l’univers hip hop. C’est pour moi la meilleure manière de faire aujourd’hui pour prolonger la vie et l’âme du hip hop.
LHV : L’univers hip hop dans son ensemble sera en effet mis en avant mais que pensez-vous plus particulièrement du projet d’accompagnement de jeunes rappeurs ?
O.P. : C’est une démarche formidable et je salue l’ouverture d’esprit de ces jeunes qui se laissent guider, qui acceptent les critiques constructives et qui écoutent ce que leur disent les professionnels, à l’heure où la majorité d’entre eux croit, notamment à cause d’Internet, des médias et des réseaux sociaux, qu’on peut devenir artiste sans avoir besoin de conseils. Pourtant, sans les autres, on ne peut pas progresser ni apprendre. C’est en acceptant d’être conseillé, guidé et en travaillant avec les autres qu’on peut se forger une véritable identité d’artiste. J’approuve d’autant plus que cette démarche est particulièrement développée à Reims. J’ai toujours été frustré de voir que la capitale ou les grandes villes avaient le monopole du hip hop et que rien ne se passait ailleurs. Mais aujourd’hui, la province commence à émerger et il faut poursuivre dans cette voie ! J’encourage d’ailleurs vraiment toutes les personnes qui n’osent pas franchir le pas à se lancer car c’est le bon moment, les choses commencent à bouger. Le hip hop doit pouvoir être partout, et pas seulement dans les très grandes villes.
LHV : A l’image de votre travail, le Boom Bap a pour vocation de montrer que le hip hop peut très bien s’ouvrir à d’autres choses. Chez vous, qu’est-ce qui motive cette envie de multiplier les collaborations artistiques ?
O.P. : Justement, il n’y a pas vraiment de motivation, en tout cas pas de réflexion. Je profite simplement de la rencontre et quelle que soit la personne, quelle que soit sa spécialité, si on s’entend et si on a des atomes crochus, alors on peut travailler ensemble. Le résultat sera forcément bon. Dès qu’on a l’intelligence de s’entendre, on peut faire beaucoup de choses avec des gens très différents. Mais il faut surtout garder à l’esprit qu’on ne fait rien tout seul. L’époque qui arrive aura besoin de solidarité et il faut commencer à s’ouvrir dès maintenant.
Propos recueillis par Claire Lagrange
Oxmo Puccino sera en concert à la Cartonnerie, samedi 3 mai à partir de 20h, dans le cadre du Boom Bap Reims Festival Hip-Hop (du 27 avril au 5 mai prochain).
Liens : www.velours-asso.com
Organisé par l’association Velours, le festival Hip-Hop de Reims, rebaptisé Boom Bap, prend cette année un tout nouvel élan. Plus long et plus dense, l’évènement se veut être le reflet de la culture Hip-Hop et vise à rassembler tous les publics autour des domaines qui la composent : musique, chant, danse, graff, lecture, cinéma… Avec Oxmo Puccino, parrain du festival, des artistes internationaux mais aussi locaux se partageront les scènes présentes dans différents quartiers de la ville. Parmi les principaux temps forts : le concert d’Oxmo Puccino bien sûr (4 mai à la Cartonnerie), un mapping sur la façade du Château d’eau de Croix-Rouge (samedi 27 avril), une bourse aux vyniles (dimanche 28 avril aux Halles du Boulingrin), le Boom Club avec Dee Nasty (mardi 30 avril au Valentino), les spectacles de danse Gomme (vendredi 3 mai au Manège) ou encore une Block Party avec les talents locaux (dimanche 5 mai, place du Forum). Cette programmation est évidemment non-exhaustive.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.velours-asso.com
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Comme jadis le tennis, devenu indépendant en créant le Tennis-club Géo-André, et récemment le patinage (le Reims Acrap patinage est devenu le Reims Avenir patinage), la section football a fait scission en août 2012, et a quitté le navire Acrap, causant la perte de 175 adhérents. Un grand nombre d’entre eux se retrouvent dans une nouvelle structure, le Reims Football club Sires, fort de 160 licenciés.
A l’Acrap, on n’est pas très heureux de cette défection : « cette section était redevable de 23 931 euros. Le matériel foot était entreposé dans un container avec cadenas à code. Le cadenas a été fracturé et remplacé par un autre cadenas. Il y a pour 12 000 euros de matériel. Suite à divers problèmes, avec les anciens responsables, l’équipe football Loisir de l’Acrap doit jouer désormais aux Eglantines ».
Son de cloche différent au Reims Football club Sires : « C’est l’Acrap qui a décidé de ne pas proposer d’activité foot à partir de septembre 2012 en plaçant une affiche sur la porte d’entrée pour l’annoncer aux habitants du quartier », rectifie le président Marc Millard. Quant au cadenas, « c’est un des joueurs actuels du club Acrap qui l’a enlevé. N’étant pas réservé auprès de la REMS, le container se trouvait donc vacant. » Enfin, deux questions : « Pourquoi les véhicules tombaient-ils en panne d’essence les jours de déplacement pour les matches et pourquoi les responsables de l’Acrap ne sont-ils pas venus à la réunion de conciliation en mairie ? »
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La Soirée des Poètes s’est déroulée cette année dans la salle de spectacle du Crous bondée. Le succès de ce projet proposé par la Maison de quartier Croix-Rouge prouve que la poésie est encore aujourd’hui vivante et universelle.
« Cette soirée est une rencontre conviviale, festive et familiale, dédiée à la poésie populaire et universelle », explique la coordinatrice, Catherine Pierrejean, animatrice à l’espace Billard. « Les participants expriment leurs pensées et leurs émotions à travers des textes d’auteurs ou des créations personnelles qu’ils présentent chacun à sa façon ».
La Soirée des Poètes s’inscrit dans les trois semaines thématiques du mois de mars : « le Printemps des poètes », « la semaine nationale d’Education contre le racisme et les discriminations » et « la semaine de la Langue française et de la francophonie ».
Pour cette dernière, les poésies, créées lors d’un atelier d’écriture encadré par Catherine Pierrejean, étaient inspirées par dix mots sélectionnés à l’échelon national, mises en forme ensuite par la comédienne Claire Deborde et interprétées par les auteurs.
« Pour ce voyage à travers le monde, au gré des poésies dites par des habitants originaires de cultures diverses, huit langues d’ethnies de pays d’Europe, d’Afrique et d’Asie ont reflété la diversité et richesse culturelle qui caractérise le quartier Croix-Rouge », se réjouit Catherine Pierrejean.
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Répartis sur toute la ville, les salariés des maisons de quartier ont discuté sur un projet associatif commun, qui doit être adapté en fonction des territoires urbains.
« C ’EST vrai que c’est dommage de travailler dans une même association et de ne pas se connaître ! » « Je pense que je ne connaissais que 10 % des personnes présentes ici ! » « C’est la première fois en 7 ans qu’on a l’occasion de ce type de rencontre. » « Ce gros mélange d’un seul coup, je trouve cela unique et hyper motivant. » Voici quelques réflexions entendues de la bouche des 250 salariés d’une même association : celle des maisons de quartier rémoises.
Avec 13 structures et 24 espaces différents, réparties sur toute la ville, il est bien difficile pour un préposé à l’entretien de l’Espace Turenne de rencontrer son homologue de l’Espace Chalet. « On se retrouve autour d’un pari qu’on a fait : c’est plutôt rare de réunir 250 salariés », a souligné le directeur de l’association des maisons de quartier, Eric Tournet. Conscient qu’il convenait de laisser le personnel s’exprimer, il leur a proposé à la fois le remplissage d’une feuille de questions, mais aussi un mur de « libre expression » installé dans un hall. Organisée autour de l’étude, en groupes, d’une façon participative et informelle, des différents articles du projet associatif -« on s’est rendu compte qu’il avait un peu tendance à être mis sur une étagère et oublié »-, la journée avait aussi pour objectif de décloisonner un peu les maisons de quartier.
Présent à l’ouverture de la réunion, Eric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims, a insisté sur l’importance de prendre en compte la diversité des 14 territoires, « ces projets de territoires que vous allez construire pour essayer de les adapter au mieux en fonction des besoins de l’environnent ».
Les différents bâtiments d’accueil appartiennent à la Ville. « Nous aurons au fil des mois et des années qui viennent l’occasion, soit de les rénover (c’est le cas de la maison de quartier Cernay-Europe, qui va réemménager sous peu dans ses locaux remis aux normes), soit d’en reconstruire (comme l’Espace Schweitzer, qui va être démoli et remplacé par une structure neuve rue Charles-Roche) ».
Questionné en aparté sur les problèmes d’insécurité auxquels est confronté le nouvel espace Louise-Michel, Eric Quénard a répondu : « Sur Wilson, on étudie un renforcement des moyens humains de la structure, un renforcement des moyens de sécurité, la mise en place de moyens adaptés au projet. Il faut aussi mettre en place un travail de concertation avec l’ensemble des partenaires du quartier ».
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REIMS (Marne). Sophia, c’est un service mis en place par la Caisse d’assurance-maladie en direction des diabétiques.
Avec ce dispositif, entièrement gratuit, la personne diabétique peut correspondre avec un conseiller en ligne, qui l’aidera à adapter ses habitudes alimentaires, son activité physique ou encore à évoquer ensemble les examens de santé. Sophia, c’est aussi recevoir chaque trimestre les livrets « repères » qui proposent des informations concrètes sur les soins des pieds, les repas de fête ou comment éviter les complications cardiovasculaires, et « le journal Sophia et vous », des témoignages d’adhérents et des articles sur la santé.
Enfin, Sophia, c’est un site Internet pour parfaire ses connaissances sur la maladie, ses complications, ses traitements : www.sophia-infoservice.fr
Ce service est proposé aux assurés du régime général atteints de diabète de type 1 ou de type 2, âgés de plus de 18 ans et pris en charge à 100 % au titre d’une affection de longue durée (ALD).
Pour recevoir la fiche d’inscription gratuite à Sophia, par mail : prevention@cpam-reims.cnamts.fr
On peut également s’adresser à la Maison de la nutrition, cœur, obésité, diabète de Champagne-Ardenne, à Croix-du-Sud, au 7, place Toulouse-Lautrec (03.26.48.00.00.).
Le groupe Escapades propose demain ven¬dredi 12 avril à 19 h 30, une soirée « repas hongrois » autour d’un goulash et avec animation karaoké et initiation danse country.
Rendez-vous à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge (1er étage), 12-14, rue Pierre-Taittinger.
Tarif : adulte, 12 euros ; enfant de moins de 10 ans, 8 euros ; enfant de moins de 4 ans,
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La résidence étudiante du boulevard Vasnier fermera en juin pour ne plus rouvrir. Elle sera remplacée par une nouvelle, près du campus Croix-Rouge.
CETTE année une page de l’histoire étudiante de Reims va se tourner : la résidence Saint-Nicaise du boulevard Henry-Vasnier va fermer. Elle sera remplacée par une nouvelle, à construire près du campus Croix-Rouge, qui pourrait ouvrir dès la rentrée 2014.
« Saint-Nicaise date de 1962, rappelle le directeur du Crous Didier Treutenaere, et jamais elle n’avait bénéficié de grosses réhabilitations : du coup, cinquante ans après, elle ne répondait plus aux normes et aux attentes d’aujourd’hui ».
Toilettes à un bout du couloir, douches à l’autre bout, pas de prise de terre, elle était devenue « un nid à problèmes, que ce soit au niveau de la plomberie, de l’électricité, du gaz etc ».
Alors, bien sûr, bon côté de la médaille, les loyers n’y étaient vraiment pas élevés : le reste à charge pour l’étudiant se montait entre 80 et 90 euros par mois.
Et puis elle était bien pratique pour jouer les solutions de dépannage, quand des jeunes débarquaient à Reims sans aucune adresse pour se loger. Mais cette situation ne pouvait quand même pas durer.
Le conseil d’administration du Crous a donc décidé de fermer Saint-Nicaise le 30 juin prochain, « à la fin de l’année universitaire ce qui évitera d’avoir des gens à mettre à la porte ». Le site sera alors vendu aux enchères.
Et pour la remplacer ? Profitant d’un ample programme national de logement social, le Crous a bon espoir de voir les travaux de construction d’une nouvelle résidence démarrer dès la fin de cette année 2013, « ensuite cela pourrait aller très vite, puisque la construction se ferait sous la forme d’assemblage de modules pré-usinés ».
Une ouverture à la rentrée 2014 serait donc tout à fait envisageable. Quant au lieu de cette future résidence, il sera naturellement en cohérence avec le projet de grand campus rémois regroupé sur le site Croix-Rouge/Bezannes. Mais entre la fermeture de l’une et l’ouverture de l’autre, quid de l’année de transition ? A priori cela ne posera pas trop de problème, estime le patron du Crous (lire par ailleurs). Pas d’étudiant à la rue à Reims !
Antoine PARDESSUS
Entre la fermeture de Saint-Nicaise en juin prochain et l’ouverture de son successeur à Croix-Rouge à la rentrée 2014 si tout va bien, le Crous va devoir gérer une année universitaire de transition. « Pas de problème, assure son directeur, nous avons la possibilité de recaser ailleurs l’équivalent de ceux qui résidaient à Saint-Nicaise, soit 180 étudiants. Et ceci pratiquement au même tarif. » Pas tout à fait au même tarif donc, puisque la charge résiduelle pour le locataire serait supérieure de l’ordre de 15 à 20 euros par mois. « Mais il y a la possibilité d’aides sociales », ajoute le directeur, en pensant à ceux pour qui ce surcoût ne sera pas anodin.
Et pour ce qui est du rôle bien pratique d’hébergement de dépannage joué jusqu’alors par Saint-Nicaise, et qui ne pourra donc plus être assuré (par cette résidence) à la rentrée prochaine, le directeur indique que « cela nous obligera effectivement à la rentrée à une gestion très fine de nos capacités d’accueil ».
A.P.
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Chloé Aubriet, en 1re année, et Marion Lecomte, en 2e année, l’ASG Châlons a fait main basse sur deux des trois catégories novices au programme des championnats de France solos D1. La compétition avait lieu à Saint-Gervais.
La performance est de taille pour le club châlonnais qui a aussi vu Léna Bailly se parer d’argent en minimes 2e année. Championne de France en 1re année en 2012, Léna a confirmé le potentiel affiché à Reims il y a un an ou à Brive-la-Gaillarde en 2011 (3e en benjamines).
Du côté du Reims Acrap patinage, les élèves du président Ployé ont aussi eu droit aux honneurs des cérémonies protocolaires.
Camille Renault termine à une brillante 2e place en Espoirs 2 et Juliette Wary récolte le bronze en Novices 3e année. Elle avait déjà été 3e d’un Championnat de France D1, c’était en 2011 sur la glace briviste en minimes 2.
La série des incendies ne connaît pas de répit dans le secteur de la rue de la Maladrerie. Lundi vers 19 h 30, la carcasse d’une caravane y a été mise à feu tandis qu’hier à 9 h 45, les pompiers sont intervenus rue Jules-Staat pour éteindre des détritus enflammés dans un bâtiment désaffecté. Depuis mardi dernier, il s’agit des neuvième et dixième feux allumés dans un périmètre délimité par la rue de la Maladrerie, la route de Witry et la gare de triage SNCF (l’endroit comprend de nombreux terrains vagues et une carrière). Tantôt ce sont des véhicules qui brûlent, tantôt des détritus ou des pneus (ce qui fut encore le cas dimanche à 13 heures).
Le voisinage commence sérieusement à s’inquiéter (un petit lotissement se trouve à proximité, chemin Noir).
Un autre incendiaire sévit actuellement rue de Florence. Lundi vers 5 heures, et pour la cinquième fois depuis le 17 mars, les pompiers ont dû s’y rendre pour éteindre un feu de poubelle.
Deux autres feux de détritus ont été signalés dimanche soir, le premier à 19 h 45 avenue Bonaparte, le second à 21 heures rue de la Commune à Saint-Brice-Courcelles. Ce même soir, à 23 h 15, la roue arrière droite d’un fourgon Renault Master a été incendiée boulevard Hector-Berlioz à la Neuvillette.
Un témoin a éteint les flammes avant qu’elles ne se propagent au véhicule. Hier à 14 h 30, un feu de papiers a été allumé dans un hall de la rue Pierre-Taittinger, au n°35.
Il y avait environ 25 équipes au départ de Reims vendredi contre 10 l’année dernière (photo RMS).
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RMS et l’Association internationale de mobilisation pour l’égalité (Aime) ont organisé pour la deuxième année consécutive un « jailbreack », sorte de « Pékin Express » des étudiants. Par équipe de 2, les participants avaient 36 heures pour partir le plus loin possible de Reims sans dépenser un seul euro pour le transport.
Partis le 5 avril à 8 heures, les « Babes » sont allés le plus loin, jusqu’aux eaux marocaines, soit 1 670 km. Les Ulteam08 sont allés jusque Cadix, 1 644 km et les Tout-Terrains se sont arrêtés à Malaga, soit 1 553 km.
Les équipes devaient se prendre en photo devant un monument ou un panneau pour prouver jusqu’où ils étaient allés.
Récolter des fonds
Les participants profitent de leur voyage pour récolter des fonds, qui servent à financer quatre projets portés par Aime, une association qui est à la fois sur Reims et sur Montréal. Aime intervient dans l’humanitaire au Nicaragua, au Togo, en Thaïlande et au Panama, notamment dans la construction, l’éducation et le micro-crédit.
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Reims Habitat va construire un immeuble dédié de cinq étages.
L’économie sociale et solidaire champardennaise avait déjà sa chambre régionale, elle aura bientôt avec son hôtel. L’organisme logeur Reims Habitat va construire un immeuble de bureau de cinq étages et 3 560 mètres carrés spécialement dédié aux entreprises et organismes relevant de cette économie alternative.
Un immeuble en « gestion participative »
L’Hôtel des Solidarités sera érigé dans le quartier Croix-Rouge de Reims, à côté de la nouvelle résidence Saint-John-Perse, et en face des fameuses coquilles de l’université.
Cet hôtel d’entreprises spécialisé comprendra un grand accueil, des bureaux modulaires, des salles de réunion à chaque niveau et des annexes (cafétéria, reprographie, archives, etc.) nécessaires à chaque locataire.
C’est l’architecte rémois Giovanni Pace qui a été désigné, par concours, comme maître d’œuvre principal. Il a conçu un immeuble à la façade courbe qui répondra à une démarche HQE (haute qualité environnementale) et sera bien sûr conforme à la norme RT2012.
À l’inventaire, on retrouvera donc une forte isolation de l’enveloppe par l’extérieur pour éviter les ponts thermiques ; une protection solaire par lames verticales orientables ; un double vitrage peu émissif « sous gaz argon » et des sondes de présence dans les locaux communs pour économiser l’énergie.
« Cette démarche environnementale, dans sa globalité, bénéficiera au gestionnaire et aux futurs utilisateurs de l’immeuble, en raison de prévisions de faibles charges de chauffage et de fonctionnement », explique Reims Habitat.
L’organisme logeur étudie un mode juridique de « gestion participative » qui permettrait d’associer les futurs locataires à la gestion courante de l’immeuble. Ce serait une sorte de « conseil syndical assurant la fluidité des relations entre utilisateurs des différents services partagés » tout en « demeurant dans un rapport locatif encadré par des baux professionnels ». En somme, Reims Habitat veut tester avec des entreprises innovantes et solidaires « de nouvelles manières de vivre ensemble au bureau ».
Le montant de l’opération est de 5,5 millions € et bénéficie de subvention de l’Anru (770 000 €), de la Ville de Reims (256000 €) et du Feder (22100). La livraison est attendue pour le début de l’année 2015.
Parmi les locataires pressentis, on comptera bien sûr la chambre régionale de l’économie sociale de Champagne-Ardenne (CRESCA) et aussi la Fondation France Active Champagne, l’union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uriopss), la fédération régionale des MJC. Ces entités sont actuellement à la recherche d’un lieu d’implantation. L’union des départementales des associations familiales (UDAF) de la Marne, a déjà réservé deux niveaux.
Julien bouillé
Limitée à 5/6, la 20e édition du tournoi du TC Bétheny a délivré, dimanche, un palmarès conforme à la logique.
Chez les messieurs, la finale a été la même qu’en 2011 entre les locaux Guillaume Durant (5/6, Bétheny) et Pierre Schwartz (15, Bétheny). Avec la même issue puisque Durant a dominé son partenaire de club. S’appuyant sur son service et sa puissance de frappe, Durant empochait le premier set (6-2) mais son adversaire souffrait beaucoup trop du bras pour défendre ses chances pleinement et devait se résigner à abandonner à 2-1.
Décidément, la résine de l’allée des Pâquerettes sourit aux Béthenyats puique, dans le tableau féminin, Amélie Charpentier (15/1) a « perfé » à 15 en quart de finale contre Charlotte Becret (URT) puis à 5/6 en demi-finale contre la favorite Lisa-Marie Habert (Géo-André). Au dernier stade, Amélie Charpentier n’a rien pu faire contre la Mengeotte Ketty Koniushok (5/6) qui s’est logiquement imposée 6-3, 6-1.
Quarts de figure. - Schwartz (15, Bétheny) bat Lautout (5 6, Viry Noureuil) 6-3, 6-3 ; Pierre (5/6, Reims Europe Club) bat Laurent (15, ASPTTTroyes) 2-6, 6-0, 5-0 abandon ; Fromentin (5/6,TC Reims) bat Delarme (15/1, Reims Europe Club) 6-7, 1-0 abandon ; Durant (5/6, Bétheny) bat Fromentin 6-2, 6-4.
Demi-finales. - Schwartz bat Pierre 6-3, 7-6 ; Durant bat Fromentin 6-2, 6-4.
Finale. - Durant bat Schwartz 6-2, 2-1 abandon.
Quarts de finale. - Amélie Charpentier (15/1, Bétheny) bat Charlotte Becret (15, URT) 7-6, 6-1 ; Leslie Lancelot (15, TC Reims) bat Marie Pithois (15, URT) 6-3, 3-6, 6-1.
Demi-finales. - Amélie Charpentier bat Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) 6-4, 6-4 ; Ketty Koniushok (5/6, Saint-Memmie) bat Leslie Lancelot 1-6, 6-3, 7-5.
Finale. - Ketty Koniushok bat Amélie Charpentier 6-3, 6-1.
Travaux
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : CONSEIL
GÉNÉRAL DE LA MARNE.
Correspondant : M. SAVARY René-Paul, président du conseil
général, 02 bis, Rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne
Cedex, tél. : 03.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29
adresse internet : http://www.marne.fr.
Adresse internet du profil d’acheteur : http://www.
marches-marne.fr.
Objet du marché : extension de la loge au collège Georges-
Braque à Reims.
Caractéristiques principales :
Des variantes seront-elles prises en compte : oui.
Possibilité de présenter une offre pour plusieurs lots.
Date prévisionnelle de commencement des travaux : 3 juin
2013.
Les candidatures et les offres seront entièrement rédigées
en langue française ainsi que les documents de présentation
associés.
Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse
appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous
(par ordre de priorité décroissant).
Valeur technique des prestations.
Prix.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres : 29 avril 2013,
à 12 heures.
Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter
de la date limite de réception des offres.
Numéro de référence attribué au marché par le pouvoir
adjudicateur / l’entité adjudicatrice : LOGEBRAQUE.
Renseignements complémentaires : le délai d’exécution des
travaux de l’ensemble des lots est de 3 mois.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre
administratif et technique peuvent être obtenus : CONSEIL
GÉNÉRAL DE LA MARNE, SETB ; correspondant : Vincent
DROBEZ, 02 bis, Rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne
Cedex, tél. : 03.26.69.40.20.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être
obtenus : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE, service marchés
publics, 02 bis, Rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne
Cedex, tél. : 03.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29, courriel
: marchespublics@cg51.fr, adresse internet : http://www.
marches-marne.fr.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/demandes de participation
doivent être envoyées : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE,
service marchés publics, 02 bis, rue de Jessaint, 50138 Châlonsen-
Champagne Cedex, tél. : 03.26.69.49.68, adresse internet :
http://www.marches-marne.fr.
Renseignements relatifs aux lots :
Lot 1 - Gros oeuvre, VRD, clos couvert, menuiseries métalliques.
Lot 2 - Menuiseries intérieures bois, agencement.
Date d’envoi de l’avis : 5 avril 2013.
51AO1996462
Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner
les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de
consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est
consultable sur le site internet du B.O.A.M.P. (http:/djo.journaloffi
ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : REIMS
HABITAT Champagne-Ardenne, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720,
51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : la présente procédure adaptée
ouverte est soumise aux dispositions de l’article 10 du décret
n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec
tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : construction d’un immeuble de bureaux
" Hôtel des Solidarités ", avenue du Général-Eisenhower à Reims
(51).
De plus, les candidats se devront de respecter les dispositions
contenues dans la charte de chantier propre. L’opération
respectera la RT 2012.
Allotissement : les travaux sont répartis en 2 lots. Chacun
des lots fera l’objet d’un marché séparé.
Lot n° 3 : Parement de façade
Lot n° 6 : Cloisonnements modulables,
Les autres lots sont en cours d’attribution.
5 ) Prestations supplémentaires ou alternatives.
Les candidats chiffreront impérativement les options concernant
les lots visés, sous peine de rejet de leur offre.
Lot nº 3 : option no 1 - plus-value pour mise à disposition de
l’échafaudage au lot menuiseries extérieures.
Lot nº 3 : option nº 2 - Revêtement de façade CCV.
Lot nº 3 : option nº 3 - Revêtement de façade eternit.
Lot nº 3 : option nº 4 - Revêtement de façade en panneaux
composites.
Lot nº 3 : option nº 5 - Revêtement de façade acier.
Lot nº 6 : option nº 1 - Blocs portes pleins 103 x 210 cm de
haut avec imposte fi xe.
Lot nº 6 : option nº 2 - Blocs portes de 153 x 210 cm de haut
avec imposte fi xe.
Lot nº 6 : option nº 3 - Fourniture et pose de cloisonnement
au m.
6) Les variantes sont autorisées.
7) Délai d’exécution : Délais d’exécution s’inscrivant dans un
délai global de 17 mois étant compris la période de préparation
de 2 mois, les congés payés et les intempéries.
8) Demandes de renseignements :
Renseignements administratifs pour les projets : auprès
du service commande publique de REIMS HABITAT. Tél :
03.26.48.62.30 Fax : 03.26.48.43.27.
Renseignements techniques auprès du maître d’oeuvre :
la maîtrise d’oeuvre est assurée par le groupement PACE
ARCHITECTURE (mandataire), BET UBI, BET ERIC DE MARNE,BET
BETELEC, Tél : 03.26.88.78.92. Fax : 03.26.97.79.40. Mail : contact.
pace@giovannipace.fr
9) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut
être retiré gratuitement à REIMS HABITAT, service commande
publique, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims. Tél : 03.26.48.62.30
Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement
sur le site : www.reims-habitat.fr
10) Date limite de réception des offres : le 23 avril 2013 à
17 heures.
7) Date d’envoi à la publication : le 03 avril 2013.
51AO1995872
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex.
Objet : Le présent appel d’offres concerne l’attribution d’un Marché d’entretien d’espaces extérieurs (espaces verts, voies de circulation piétons et véhicules) du patrimoine immobilier de L’Effort Rémois Marne et Haute Marne / Réf. : RL-010413 Pacte Qualité Environnement 2013
Appel d’offres Restreint selon ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 et au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Le marché comporte 30 lots (232 copropriétés), répartis dans les départements de la Marne et de la Haute Marne.
Agence Châtillons - Reims (1 Lot – 1 Copropriété)
Lot 1-S01 : Brunette
Agence Croix du Sud - Reims (3 Lots – 17 Copropriétés)
Lot 1-S03 : Croix du Sud / 36 Joliot Curie / Parking Silo / Îlot Degas – Bonaparte
Lot 2-S03 : Ind S03 - Val de Murigny / Turenne Vauban / Piazzetta / Chénier / Centre commercial
Murigny / Petites Vignes / La Pépinière
Lot 3-S03 : Ilot AB / Individuels AB / AT Home / Ballantray / Murigny / Individuels Murigny
Agence Laon - Reims (8 Lots dont 1 ARTICLE 15 – 76 Copropriétés)
Lot 1-S04 Art. 15 : Place des Fleurs Bétheny / 77 Brimontel / Saint Benoit / Zola / Battesti (Ex Gendarmerie Robespierre) / La Ferme Bétheny / La Couturelle Bétheny
Lot 2-S04 : 85 Coquebert / Lundy Templiers / Gosset Lemoine / 52 Gosset / 18 Tronsson Lecomte / Faucher Bastié / 14-16 Bastié / 2 Bastié / Rue Charlier / 9 Prieur de la Marne
Lot 3-S04 : Anquetil / Marie Clémence Fouriaux / Rue Saint Thierry / Albert 1er PVC / Démolin / Individuels Démolin / 204 Paul Vaillant Couturier / Belges Salengro / Schweitzer / 263 B Avenue de Laon / 14 Dorgelès / 301 Avenue de Laon / 49 Ter PV Couturier / Ind. 49 Ter PV Couturier / 7-9 Lesage / Faubourg de Laon / Semi-ind. Faubourg de Laon / Laon Blavier / République / 75 Robespierre
Lot 4-S04 : Raussin / Thil Pair / Vernouillet / Maucroix / Thil Impair / Maldan / Brossolette / 26 Géruzez / Vernouillet Voos Taste / Atrium / Baussonnet / Semi-individuels Baussonnet / Individuels Baussonnet / Mont d’Arène / Individuels Vernouillet
Lot 5-S04 : Bel Air / 49 Jean Jaurès / 3A 3B Rue du Chalet / Jaurès Gobelin / 60 Bétheny / 235 Jean Jaurès / 148 Bis et 150 Chalet / Individuels R.Adrian / Maladrerie et Philippeville / 10 Prieur de la Marne / 26 Boucher Perthes
Lot 6-S04 : Naudin / Hameau de l’Est / Vieux Dauphinot / Nouveau Dauphinot / Individuels Sainte Thérèse / Semi-Ind Zac Dauphinot / Fandres
Lot 7-S04 : Orgeval / Les Poètes / Christ
Lot 8-S04 : Edmé Moreau / Neuchâtel / Individuels Orgeval Neufchatel
Agence Epernay (1 Lot – 7 Copropriétés) :
Lot 1-S05 : Côte Legris / Belle Noue 1 et 2 / Mont Bernon / Huguenots Cerveaux / Rue de Verdun / Rue d’Anjou / Vignes Blanches
Agence Sézanne (1 Lot – 19 Copropriétés) :
Lot 2-S05 : Anglure - 2 à 6 Rue du 8 mai 1945 / Anglure - 8 Rue du 8 mai 1945 / Anglure - 9 à 13 Rue des Fleurs / Esternay - 1 à 11 Bois Garry / Esternay - 13/31 Imp. de la Prairie / Marcilly sur Seine - Vigne Barat / Montmirail – Rondeau / Montmirail - Ind. Montmirail / Montmirail – Rougeriaux / Montmirail - Rue des trois Gares / Montmirail - Rond de l’Avenue / Saint Just Sauvage / Briand / Fère Champenoise / Rue des Sablons / Avenue De Gaulle (Cha. Coll.) / Avenue De Gaulle / Place Champ Benoist / Rue de Sternberg
Agence Tinqueux (4 Lots dont 1 ARTICLE 15 – 35 Copropriétés) :
Lot 1-S07 -> Fismes Missions / Fismes Promenades Coll. / Individuels Fismes Promenades / Miziak Fismes / Clos Saint Ladre Fismes / Brossolette Fismes / Amourettes Fismes / Individuels Fimettes / Colbert Martin Fismes / Etang Picard Fismes / 4 rue des Ecoles Gueux / Rue de la Mésange Gueux
Lot 2-S07 Art. 15 : 1 copropriété à Vandeuil et 6 copropriétés à Saint Brice Courcelles : Bords de l’Eau Coll. Saint B / Bords de l’Eau Coll. / Bords de l’Eau Semi Coll. / 20 Thomas / Bords de l’Eau Semi Ind. / Les 13 pavillons BBC
Lot 3-S07 : Tinqueux Sud / Paix Eglise Tinqueux / Gabriel Péri Tinqueux / Hauts de Muire Tinqueux / Tinqueux Centre - 40 Logts / Tinqueux Centre - 27 logts
Lot 4-S07 : Sarah Bernhart Tinqueux / Martin du Gard Tinqueux / Jacques Monod Tinqueux / 1A et 1B Jacques Monod Tinqueux / 17 Semi Ind. La Haubette Tinqueux / La Haubette 33 Coll. Tinqueux / Champ Paveau Coll. Tinqueux / 23 bis Bezannes Reims / François d’Ors - Sculpteurs Jacques Reims / 47 bis - 47 ter François d’Or Reims
Agence Centre - Reims (7 Lots dont 2 ARTICLE 15 – 33 Copropriétés) :
Lot 1-S08 Art. 15 : Venise / Venise neuf / Apogée / Vesle / Collégium / Henry Vasnier
Lot 2-S08 Art. 15 : Courlancy Cheysson / Martin Peller / Cazin Courlancy / Passe Demoiselles / Porte de Courlancy II
Lot 3-S08 : Jacquart / Nouveau Jacquart
Lot 4-S08 : Chanoine Lallement / Bazin / Tour Chamoine / Serbie Boulanger / 43 Serbie / 23 à 29 Serbie
Lot 5-S08 : Paul Claudel / Barthou Louvois / 68 Louvois / Individuels Louvois / Barthou Louvois Chauf coll
Lot 6-S08 : Wiet Oseille / Tournebonneau / Moulins / Le Carmel
Lot 7-S08 : Monet / Champagne 1 et 2 / Champagne 3 / Maurice Peltier / Albert Thomas
Agence Saint-Dizier (1 Lot – 9 Copropriétés) :
Lot 1-S09 : Ilot Miko / Les Eglantines / Les Salamandres - Coll. / Individuels Les Salamandres / Résidence Petit Prince / Le Clos Pisani / Les Platanes / Brousseval Coll. Rue des Vergers / Pisani Coll. Benivalle
Agence Vitry-le-François (1 Lot – 13 Copropriétés) :
Lot 2-S09 : Individuels Cassin / Cassin / Collectifs Indes Crance / Individuels Indes Crance / Collectif Bords de Marne / Roches Indes / Liberté / Individuels Couronne des Indes / Aubert Roche / Frignicourt / 12 Semi-ind. Bords de Marne / Bégard Bords de Marne / Les Villas
Agence Châlons-en-Champagne (3 Lots – 22 Copropriétés) :
Lot 3-S09 : Orléans / Pierre Songy / Henri Dunant
Lot 4-S09 : Croix Dampierre / Pierre Maitre / De Gaulle 1 et 2 / Valmy 1 et 2 / Individuels Saint Joseph / 35 Faubourg Saint Antoine / Collectif Rue Baptiste Marcet / Saint Memmie Collectifs VEFA
Lot 5-S09 : Popelin / Jean Charcot / Mont Héry Collectif / Résidence Etudiants Fournier / Résidence Etudiants Degrancourt / Philippe Lebon / Emile Schmitt / Individuels Mont Héry / Nouvelle Copro St Dominique - UF2 UF3 / Nouvelle Copro St Dominique - UF1 / Saint Eloi
Délai d’exécution : 1 année probatoire et 4 reconductions d’une année chacune.
Retrait du dossier : le dossier d’appel à candidature est disponible gratuitement en téléchargement sur notre site : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres / Réf. : RL-010413
Date limite de réception des candidatures : Lundi 13 Mai 2013 à 12 heures, par envoi ou dépôt à L’Effort Rémois, Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims, avant la date limite de réception.
Pour toute demande d’information, merci de contacter le Service Marchés Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03.26.04.99.05
Date d’envoi à la publication le 3 avril 2013 aux JOUE, L’Union (Marne, Aisne, Ardennes), Matot Braine et Journal de la Haute Marne.
De g. à d., Jean-Jacques Moraux (ULCS de Reims), Isabelle Hermant (Centre de soins de Croix-Rouge) et Karine Charbaut (CPAM-Prévention).
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Caractéristique du dernier conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny : personne n’a quitté la salle avant la fin de la réunion. Trois interventions ont été ainsi appréciées et encouragent les co-animateurs à continuer sur cette lancée. Pour commencer, Jean-Jacques Moraux, son président, a présenté l’Union locale des centres de soins infirmiers de Reims et son agglomération créée en 1979 et subventionnée par la Ville de Reims : « Dans chaque quartier, une équipe d’infirmier(s) diplômé(s) d’Etat met leur professionnalisme et leur disponibilité au service de la santé des habitants », expliquait-il : « L’équivalent de 60 infirmières « temps plein » a déjà effectué plus de 720 000 actes et soins infirmiers de proximité dans sept centres ! »
Le centre de soins de Croix-Rouge : à Croix-Rouge, le centre de soins du quartier Croix-Rouge est implanté dans le bâtiment de l’espace Billard, 14, rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.27.62.) et prend en charge les Hauts-de-Murigny, Croix-Rouge, Croix-du-Sud, Bezannes et les Polygones. Isabelle Hermant, infirmière coordinatrice, l’a présenté au public du conseil de quartier : « Une équipe est à votre disposition dans cette structure de proximité créée en 1974, pour soigner, éduquer, prévenir : soins à domicile (surveillance des prises de médicaments, pansements ; prises de sang, soins d’hygiène, injections, dialyses,…), prévention et permanence au centre. » Géré par des bénévoles (« nous en manquons ! »), ce centre est très présent dans le quartier où il a un espoir : « Nous souhaitons ardemment changer de locaux, les nôtres sont trop exigus pour notre mission ! »
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Un grand moment de réflexion et de pratiques d’activités, a réuni des adhérents des Francas, durant trois jours, au Creps à Reims.
LES Francas ? « C’est un mouvement d’éducation populaire (NDLR : Francs et franches camarades) créé après la Seconde Guerre mondiale, rassemblant des hommes et des femmes préoccupés d’émancipation sociale pour les enfants et les jeunes », explique Loubna Hel Hattiti, chargée de mission régionale.
Jean-Noël Giunta, responsable de région, enchaîne : « Nous sommes là pour former les animateurs, les directeurs de centres de vacances, les bénévoles et les professionnels qui travaillent autour de l’enfance. Notre action est basée sur le volontariat, on accompagne les jeunes, porteurs de projet ». Le but de ce week-end, c’était de mobiliser tous ceux qui œuvrent dans les quatre associations départementales de la Région. Audrey Rio, présidente de l’association Champagne-Ardenne, ajoute : « Nous voulons créer du lien entre les différents acteurs départementaux. C’est aussi une manière de former nos bénévoles ».
Echanges de pratiques
Dans la salle Menuhin du Creps, des tables ont été disposées pour des discussions. Autour de la salle, des stands où chaque département expose son projet et les outils nécessaires à son exécution. Animateur Ardennes-Marne, Fabien Rey explique le sien : il est entouré de valises contenant tout un ensemble d’objets concourant à un travail ludique et pédagogique sur le thème de la nature.
La malle « T’as vu l’oiseau ? » permet d’observer les oiseaux dans la nature. Elle comporte un amplificateur de sons, un appeau, une douzaine de jumelles.
Une autre malle permet de relever et mouler les empreintes de traces d’animaux. Elisabeth Merscheltz, animatrice bénévole, habite en Meurthe-et-Moselle.
Elle fait partie de la quarantaine de participants : « Je cherchais un mouvement qui prône l’éducation populaire. Je trouve que c’est important qu’un enfant puisse se développer ailleurs qu’à l’école ou en famille. Avec les Francas, on est assuré d’une certaine pérennité et d’une certaine crédibilité ».
Des échanges et débats ont eu lieu, notamment sur les questions des rythmes scolaires, quelles conséquences attendre des changements.
Le week-end s’est achevé sur un moment de détente bien mérité : lundi matin, visite du musée de l’Automobile et des caves Pommery.
Francas.champagne.ardenne@ wanadoo.fr - www.francaslca.net
Avec des effectifs stables (169 inscrits) et limité à 5/6, le tournoi du TC Betheny s’apprête à vivre une excitante 19e édition.
En effet, dense et homogène à souhait, le tableau masculin est particulièrement indécis. Forcément, les 5/6 Mathieu Lautout (Viry Noureuil), Simon Pierre (Reims Europe Club), Jean-Baptiste Fromentin (TC Reims) et Guillaume Durant (Betheny) seront favoris.
Reste que les 15, Pierre Laurent (ASPTT Troyes), Valentin Brunet (Viry Noureuil), le finaliste 2012 Adrien lnanc (URT) et surtout le tenant du titre Pierre Schwartz (Betheny) auront leur mot à dire.
Chez les dames, la jeune et prometteuse sociétaire du TC Géo-André Lisa-Marie Habert (5/6) bénéficiera de la faveur des pronostics mais elle aura fort à faire avec Ketty Koniushok (5/6, Saint Memmie), Leslie Lancelot (15, TC Reims) ainsi que les 15 de l’URT, Charlotte Becret et Marie Pithois.
HORAIRES. - Dimanche, 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 h 30 : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.
L’architecte François Wustner a voulu apporter une touche de gaieté végétale pas trop fragile.
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REIMS (Marne). Deux immeubles et un parking en silo ont été inaugurés hier à Croix-du-Sud. On les repère facilement avec leur déco à base de gros pots de fleurs.
Le quartier Croix-Rouge n’en finit pas de se rénover. Hier matin, avait lieu l’inauguration officielle de deux nouveaux immeubles et d’un parking en silo dans le secteur Croix-du-Sud, à l’intersection des avenues Bonaparte et Léon-Blum. On ne peut pas les manquer : Leur déco extérieure originale est marquée par une profusion de méga-pots de fleurs aux balcons, avec des vraies plantes dedans.
Un premier immeuble offre 40 appartements à loyer disons « intermédiaire » : le loyer d’un T2 se monte à 470 euros, cette somme incluant les charges, l’eau chaude et le chauffage. Un T5 se loue à 730 euros. Les personnes intéressées peuvent encore se manifester : hier matin, il restait encore trois appartements disponibles. Le second bâtiment forme une résidence baptisée les Pastels, de 15 logements à caractère plus social. L’objectif de cette cohabitation est « la mixité sociale ».. Dans les deux cas, on a affaire à des habitats THPE, à très haute performance énergétique, ce qui veut dire notamment que l’isolation est particulièrement soignée.
À propos de mixité sociale, la maire Adeline Hazan a reconnu, à l’heure des discours, que cette mixité était « facile à décréter, moins facile à réaliser. C’est pourtant ce qui est en train de se réaliser ici, donc c’est possible. » Le sous-préfet pour sa part, s’est félicité de ce que « le thème des banlieues abandonnées ait beaucoup perdu de son actualité, il suffit de regarder autour de soi ». Le représentant de l’Etat en déduisait donc que l’effort des pouvoirs publics en faveur de ces quartiers autrefois déshérités portait du fruit.
Autre mixite souhaitée par les politiques, celle dite « fonctionnelle », c’est-à-dire que l’on ne veut pas uniquement des logements, mais aussi des commerces et des services. Neuf cellules à vocation commerciale sont donc prévues en rez-de-chaussée de l’immeuble aux 40 apparts’ ; six sont déjà réservées, notamment par certaines boutiques de la place Rodin voisine ; cette dernière faisait sans doute un peu place de village, mais elle apparaissait aussi un peu trop enclavée, « confinée » comme le dit la boulangère Mme Lambert. A leur nouvel emplacement, les commerces seront nettement plus visibles.
Cette place Rodin est d’ailleurs appelée à se transformer à son tour à l’avenir, pour devenir un vrai lieu de vie. C’est là notamment que sera installé le café associatif déjà présent dans le quartier.
Le nouveau président de l’Effort rémois, Jean-Claude Waterspieler, a rappelé qu’un tel chantier, c’était bon pour l’économie. Les quelque 27,5 millions qui y ont été injectés (entre autres par l’Etat et la ville) peuvent se traduire en 458.000 heures de travail, soit 130 emplois équivalents temps plein sur deux ans.
Pour en revenir aux gros pots de fleurs décorant immeubles et parking, le passant pourrait craindre qu’ils ne leur tombent un jour sur la tête. Hier lors de la visite inaugurale, il nous a été assuré que les pots étaient scellés et qu’il n’y avait donc pas de danger de chute. Et l’entretien des plantes qui sont dedans ? C’est le locataire qui en aura la charge, libre à lui de remplacer la végétation déjà en pot par une autre qui lui plairait davantage.
Antoine PARDESSUS
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CHAMPAGNE-ARDENNE. La présidence de l’université et ses services centraux s’installeront entre les campus de lettres et de médecine.
C’ÉTAIT jour de grande réunion hier pour l’université champardennaise : le président Baillat présentait devant ses partenaires majeurs son projet stratégique pour l’horizon 2020-2025. Ce projet concerne largement Reims puisqu’un des dossiers principaux de cette stratégie porte sur ce qu’il est convenu d’appeler le grand campus, c’est-à-dire le regroupement sur le seul site de Croix-rouge (droit et lettres) de ce qui est aujourd’hui installé au Moulin de la Housse (sciences, IUT).
Qu’a-t-on appris de nouveau à cette occasion ? Principalement, que la présidence et les services centraux de l’Urca s’installeraient à proximité de l’hippodrome, formant comme un trait d’union entre le campus Croix-rouge et celui de médecine. Le chantier de ce nouveau bâtiment présidentiel devrait débuter d’ici la fin de l’année ou en 2014. « Après cette date, devraient suivre la construction d’une maison de l’étudiant et le déménagement de l’IUFM (actuellement en zone Farman, ndlr) » ajoute le président.
Pour le reste, au-delà des objectifs chiffrés que se fixe le patron de l’université (lire en pages départementales) les participants à cette sorte de grand-messe ont pu se faire une idée de ce à quoi pourrait ressembler ce fameux grand campus, par la magie d’une balade virtuelle informatique. Ils ont pu apprendre qu’il est question de déplacer les actuels terrains de sport au-delà de la rocade pour offrir de l’espace constructible. Le président Baillat a aussi pu affirmer que ce projet de grand campus « est déjà en route, avec la rénovation des coquilles qui est engagée, et le nouveau bâtiment mutualisé pour droit et sciences éco qui commence à sortir de terre depuis quelques jours. » Bref, tout n’est pas uniquement virtuel.
Antoine PARDESSUS
Par jugement en date du 12 mars 2013, le tribunal de grande instance de Reims, a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif des opérations de la liquidation judiciaire de :
Monsieur David SCHNEIDER, ayant exercé une activité indépendante sous l’enseigne « CONTROL IMMO » en matière d’analyses, essais et inspections techniques à l’adresse professionnelle, 9, place Toulouse-Lautrec, 51100 Reims, demeurant 69, rue Favart-d’Herbigny, 51100 Reims.
A ordonné la publicité dudit jugement.
Pour extrait,
Dossier n° 09/00209
fait à Reims, le 28 mars 2013,
le greffier.
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Un an après Reims, les meilleurs danseurs de l’année vont se retrouver en Haute-Savoie à partir d’aujourd’hui, et ce jusqu’à dimanche. Connue pour être la plus haute de France car elle accueille le Mont-Blanc, la commune de Saint-Gervais-les-Bains sera en effet le théâtre des Championnats de France solo de première division (*).
Des benjamins aux juniors/seniors dames, dix catégories seront sur la glace de Haute-Savoie. A chaque fois, les dix meilleurs patineurs des compétitions sélectives organisées depuis novembre 2012 seront en lice.
Côté Marnais, treize patineurs sont qualifiés (8 de Reims Acrap et 5 de l’ASG Châlons). Leur objectif sera de connaître les joies du podium comme lors des exercices précédents, à Reims donc en 2012 ou à Brive en 2011.
L’an passé par exemple, la Châlonnaise Léna Bailly avait été sacrée en minime première année et la Rémoise Jeanne Reppel, alors novice première année, avait récolté le bronze.
(*) Les couples et solo D2 seront rassemblés au Havre, les 20 et 21 avril.
- ASG Châlons-en-Champagne : Chloé Aubriet, Clémence Christy et Mélusine Jacquier (novices 1re année), Marion Leconte (novices 2e année), Léna Bailly (minimes 2e année).
- Acrap Reims : Alan Da Silva Moutinho (benjamins 2e année), Evangeline Bracconnier (minimes 1re année) ; Marine Melis et Myrtile Navarro (minimes 2e année), Jeanne Reppel (novices 2e année), Juliette Wary (novices 3e année), Camille Renault (espoirs 2e année), Solène Manceaux (juniors/seniors).
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La sixième et avant-dernière journée revêt une importance cruciale pour toutes les équipes marnaises, ou presque ! Les filles et l’équipe masculine (2) de l’ORTT sont les seuls à ne ressentir aucune pression. Les premières, privées de Laurie Lambiet et peut-être de Lucie Carré, sont assurées du maintien. Laurie Vautrelle intègre l’équipe et Anaëlle Porchedda se tient prête.
Avec la refonte des championnats, les garçons sont, pour leur part, assurés de remonter en N3 avant même ce derby contre Charleville.
Pour les quatre autres formations, c’est jour d’enjeu. Les Châlonnaises - au gymnase Le Corbusier de Saint-Memmie - jouent leur maintien contre Lesquin. L’ASC (2) doit battre Neuves-Maisons (3) pour espérer rester en Prénationale. La forme affichée par les Matthieu Pérard, Franck Denis ou Alexandre Sebbag, le week-end passé au tournoi du club, incite à l’optimisme.
En Nationale 3, l’ORTT, sans Cyril Mayeux suppléé par Baptiste Veron, joue un match au sommet à Géo-André, contre Valenciennes. C’est le match de la montée. Il en va de même pour les Ascéistes qui reçoivent les Picards de Saint-Quentin. L’occasion peut-être d’une revanche pour Vincent Pérignon (n° 590) battu dimanche dans le tournoi de l’ASC par le Saint-Quentinois Guillaume Legrand (n° 605).
ASC Châlons (6e, 1 v - 4 d) reçoit Lesquin (4e, 3 v - 1 n - 1 d).
Effectif : Catherine Decure (15), Fanny Chemin (13), Manon Songis (13), Lena Riela (11).
Olympique Rémois (2e, 4 v - 1 d) reçoit Metz (5e, 2 v - 3 d).
Effectif : Laurie Vautrelle (11), Soufya Baala (10), Maëlle Winiarczyk (9), Lucie Carré (11) ou Anaëlle Porchedda (6).
ASC Châlons (1er, 5 v) reçoit Saint-Quentin (6e, 3 n - 2 d).
Effectif : Garrec (n°240), C. Chobeau (n° 350), Perignon (n° 590), Delhorbe (n° 837), Malingre (n° 895), Audoin (n° 924).
Olympique Rémois (1er, 5 v) reçoit Valenciennes (2e, 4 v - 1 d).
Effectif : Gilardi (n° 202), Gallois (n° 299), Créange (n° 966), Garot (n° 996), Souchon (18), Veron (19).
Olympique Rémois (3e, 4 v - 1 d) reçoit Charleville-Mézières (2e, 4 v - 1 d).
Effectif : Remy (n° 903), Bougy (19), Henrion (19), Serres (18), Merle (17), Poinsignon (16).
ASC Châlons (7e, 1 n - 4 d) reçoit Neuves-Maisons (8e, 5 d).
Effectif : J.-M. Carquin (n°481), P. Sebbag (19), M. Chobeau (18), A. Sebbag (17), Denis (16), Perard (16)
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REIMS (Marne). « Je suis en colère. J’arriverai pas à me calmer. Ma vengeance n’est pas finie. » Vendredi dernier, en pleine audience, un Ardennais de 22 ans jugé pour des menaces et des dégradations à l’Udaf de Reims avait promis de recommencer. Sitôt relâché par le tribunal, il a tenu parole.
Le premier épisode a été relaté dans notre édition de dimanche. Suivi par les services de l’Udaf qui gèrent sa curatelle après un séjour de dix-huit mois en hôpital psychiatrique, Cricri - c’est son surnom - a manifesté l’intention de travailler, mais aucun poste n’a pu lui être proposé en raison de son état. La faute à l’Udaf, s’est-il convaincu. Depuis, il voue une haine terrible à ses agents.
Le 27 mars, arrivé de manière fracassante dans les locaux du groupe Eisenhower en brisant une vitre avec un gourdin, il saccage un ordinateur, une table, un pot de fleurs et trois autres fenêtres. Coût des dégradations : 4 000 €.
Interpellé, Cricri se retrouve à l’audience des comparutions immédiates où il n’a rien perdu de sa hargne. « Je suis en colère. J’arriverai pas à me calmer. Pour moi, les gens de l’Udaf sont des gros c… ards ! Je sais que j’y retournerai car ma vengeance n’est pas finie. »
Pour des raisons de procédure (obligation de le soumettre à une expertise psychiatrique et de désigner un autre curateur avant tout jugement), le procès de Cricri est renvoyé au 18 avril. Le parquet réclame son incarcération provisoire, mais le tribunal préfère le remettre en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à l’Udaf, obligation de résider dans sa famille à Deville (Ardennes) et d’aller pointer une fois par semaine à la brigade voisine de Monthermé.
La décision rendue, le jeune homme quitte la salle d’audience… pour aller directement menacer les trois plaignants de l’Udaf et leur avocat, Me Julien Pineiro. « Vous allez voir ! Je vais revenir ! Je vais me venger ! »
L’avocat doit mettre ses clients en sécurité dans une pièce du palais de justice. Cricri s’enfuit. Pendant que les victimes filent au commissariat pour déposer plainte, lui prend le tramway. Destination non pas la gare de Reims et les Ardennes, mais l’Udaf, groupe Eisenhower.
À l’aide d’un bâton, Cricri casse une vitre et un volet, puis tente de s’introduire dans les locaux, sans y parvenir. Bloqué à la fenêtre, il se penche et balaye son morceau de bois à l’intérieur pour flanquer par terre un ordinateur et des dossiers : 1 500 € de dégâts supplémentaires. La police l’interpelle avant qu’il ne quitte les lieux.
Sans surprise, Cricri a fait un retour à l’audience des comparutions immédiates. Les mêmes causes produisant les mêmes effets (expertise psychiatrique, désignation d’un curateur ad hoc), ce second volet de l’affaire est lui aussi renvoyé au 18 avril, à un détail près. Me Benjamin Chauveaux, cette fois-ci, n’a pu faire de miracle : son client est maintenu en détention.
Cricri était pourtant animé d’une meilleure intention : « J’ai eu le temps de réfléchir. Je ne retournerai plus à l’Udaf. J’ai des regrets. »
F.C.
Organisé au centre de Ligue pendant le week-end pascal, le pré-tour aux championnats de Champagne individuels de deuxième série a été compliqué pour les favoris.
En effet, chez les dames, les trois têtes de série - Maëva Spooner, Mathilde Jacquin et Clémence Krug - n’ont tout simplement pas pu décrocher leur billet pour les régionaux des 15 et 16 juin.
En revanche, pas de surprise chez les messieurs où les meilleurs classements se sont imposés mais Constant De La Bassetière, Julien Evrard, Nicolas Jonasz et Charles Gilles ont dû s’employer.
3e tour.- Delphine Grillon (4/6, Saint Memmie) bat Manon Jacquin ;5/6, Saint Memmie) 6-2, 6-3 ; Audrey Sarrazyn (4/6,TC Reims) bat Flora Calcagno (5/6, Montmirail) 6-3, 6-2.
4e tour.- Emmanuelle Fradin (4/6, Saint Dizier) bat Alice Grillon (5/6, Saint Memmie) 6-0, 6-2 ;Amélie Zarev (4/6, Cormontreuil) bat Marine Fays (15, ASPTTTroyes) 6-4, 6-0 ; Laure Chardin (3/6, Romilly) bat Delphine Grillon 6-2, 6-1 ; Claire Duter (3/6, Sedan) bat Audrey Sarrazyn 6-3, 6-0 ; Paulyne Blaszczyk (4/6, Romilly) bat Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) 4-6, 7-6, 6-0.
5e tour (qualificatif).- Emmanuelle Fradin bat Maêva Spooner (3/6, Géo-André) 6-3, 4-6, 6-3 ; Amélie Zarev bat Mathilde Jacquin (3/6, Saint Memmie) 6-3, 1-6, 6-1 ; Claire Duter bat Laure Chardin 6-3, 7-5 ; Paulyne Blaszczyk bat Clémence Krug (3/6, Reims Europe Club) 1 6, 6-4, 6-4.
1er tour.- Henry (5/6, Géo-André) bat Janin (15, Rivière de Corps) 6-4, 6-3 ; Brice (15, Givet) bat Noel (15, Montmirail) 6-3, 7-6 ; Cailleux (15, TC Reims) bat Pierre (5/6, Reims Europe Club) 7-6, 0-6, 6-2 ; Chauvin (5/6, Reims Europe Club) bat Lejeune (15, Géo-André) 7-5, 6-2 ; Raulin (5/6, Rivière de Corps) bat Dispot (15, La Macérienne) 6-3, 6-4 ; Leveque (5/6, Saint Memmie) bat Inanc (15, URT) 7-5, 3-6, 6-3 ; Durant (5/6, Betheny) bat Alessio (15, Géo-André) 6-0, 6-7, 6-3 ; Woynar (5/6, Reims Europe Club) bat Vial (5/6, Saint Dizier) 7-6, 7-5.
2e tour.- Henry bat Arnaud (4/6,TC Troyes) 6-3, 6-2 ; Wauthier (, Beth eny) bat Brice 6-4, 6-0 ; Cailleux bat Latour (4/6, Cormontreuil) 6-2, 6-4 ; Barré (4/6,TCTroyes) bat Chauvin 6-1, 6-2 ; Dermonsir (4/6, Romilly) bat Mercier Huat (4/6, Dormans) 3-6, 6-2, 6-0 ; Lalouette (4/6, Cormontreuil) bat Raulin 6-4, 6-4 ; Leveque bat Bisserie (4/6, ASPTT Troyes) par WO ; Durant bat Pusset (4/6, Cormontreuil) 6-4, 6-3 ;Woynar bat Algeri (4/6, Foyer Barsequanais) 6-3, 3-6, 6-2.
3e tour.- De La Bassetière (2/6, Cormontreuil) bat Henry 4-6, 6-2, 6-1 ; Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Wauthier 6-3, 7-5 ; Barré bat Cailleux 6-3, 3-0 abandon ; Evrard (2/6, URT) bat Dermonsir 6-4, 3-6, 6-4 ; Birot (2/6, Reims Europe) bat Lalouette 6-0, 6-1 ; Jonasz (3/6, Montmirail) bat Leveque 4-6, 6-2, 6-3 ; Cabrillon (2/6, Saint Dizier) bat Durant 6-2, 6-2 ; Gilles (2/6,TC Reims) bat Woynar 6-2, 6-0.
4e tour (qualificatif).- De La Bassetière bat Seuret 2-1 abandon ; Evrard bat Barré 6-4, 6-7, 6-0 ; Jonasz bat Birot 6-3, Gilles bat Cabrillon 6-0, 2-6, 6-3.
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Le Reims HM a su transformer le gymnase François-Legros en écrin pour l’accueil des haltérophiles, samedi, à l’occasion de la Coupe de France des clubs. Six catégories d’âge - 36 équipes - étaient concernées.
Le RHM alignait deux formations. Les juniors garçons, sans Florentin Ducourty, blessé et remplacé par Anthony Villette, ont pris la 4e place alors qu’ils avaient le 5e total sur le papier.
Villette, avec ses 160 kg (65 à l’arraché + 95 à l’épaulé-jeté), a bien secondé les titulaires : Frédérick Chauvat (5 essais sur 6 pour 221 kg, 103 + 118) et Ludwig Colombo, tout proche de ses meilleurs scores (100 + 126).
L’équipe cadettes-juniors filles a créé la surprise en accrochant aussi la 4e place. Poids léger, Kimberley Poiret, même dans un jour de moindre réussite, accumule un total de série Nationale (37 + 47). Olympe Da Rocha atteint, elle, pour la première fois la série Inters en soulevant 60 kg (27 + 33). Enfin, Pauline Naëls améliore sa marque avec 89 kg soulevés (40 + 49).
Sous les yeux du nouveau président de la Fédération, Marc Andrieux, venu de La Ferté-Milon (Aisne), le RHM a prouvé ses capacités à organiser un rendez-vous national et a cumulé les satisfactions sportives, deux semaines après son accession en N1A.
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Cinq écoles de commerce se sont affronté lors du week-end de Pâques à Reims, pour le challenge Ecricome, qui permet depuis 25 ans aux étudiants de s’affronter autour de 5 sports : basket, rugby, football, tennis, handball et volley.
BEM Management School Bordeaux, Euromed Marseille Ecole de Management, ICN Business School Nancy et les deux futures mariées Rouen Business School et Reims Management School ont participé à ces trois jours de compétition, et c’est RMS qui a remporté le challenge sportif, Rouen le challenge du fair -play et Marseille le trophée de l’ambiance.
Les étudiants rémois ont remporté les finales en basket, rugby, tennis et volley masculin, foot et volley féminin. C’est surtout l’ambiance qui a été au rendez-vous pour tout le monde, les 800 sportifs comme leur millier de supporters !
« Ce monument que la Ville de Reims a décidé de refaire est important pour nous. C’est une reconnaissance de la participation de la communauté africaine à la guerre », soulignent les jeunes.
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Les Maliens qui font leurs études à Reims sont heureux du retour prochain du monument aux Noirs. Ils sont les premiers à donner pour aider au financement.
ILS voulaient être les premiers à donner pour le monument aux héros de l’armée noire. Les étudiants maliens de Reims ont déjà répondu à l’appel à souscription de l’association Aman* et de la Ville.
« On n’a pas donné une grosse somme, il s’agit d’un montant symbolique de 50 euros, mais nous tenions à lancer le mouvement », explique Mohamed Ba, étudiant en droit et secrétaire de l’association des étudiants maliens.
« Ce monument que la Ville de Reims a décidé de refaire est important pour nous. C’est une reconnaissance de la participation de la communauté africaine à la guerre. On a envie que ce soit médiatisé ».
Mohamed espère que l’inauguration de la copie du monument, dont l’original a été démonté et emporté par les Nazis en 1940, fera grand bruit : « Quand le premier monument a été posé en 1924, j’ai lu que le boulevard Henri-Vasnier était noir de monde. J’espère que les Rémois seront aussi nombreux le 11 novembre 2013 ».
Deux monuments identiques signés du sculpteur Moreau-Vauthier, ont été inaugurés en 1924. L’un à Reims et le second à Bamako au Mali où il se trouve encore aujourd’hui. Boutout Bah, étudiant en économie, a souvent eu l’occasion de le voir : « Il se trouve sur une place aussi importante que la place Royale à Reims. Il est très beau. Que Reims ressuscite son jumeau une fierté pour nous. J’y vois une fraternité entre nos peuples ».
Pour Mamadou Gaba, étudiant en environnement et développement durable : « Ces combattants ont lutté pour la liberté. C’est une valeur universelle ». Il y a juste une chose qui le chiffonne : « Ils veulent mettre le monument à l’intérieur du parc de Champagne. Il ne sera pas assez visible. Il faut le mettre à l’extérieur, là où se trouvait l’original. Il a fallu longtemps pour le retrouver, maintenant il faut qu’il se voit ».
Mais la roue de l’histoire a continué à tourner et il y a un monument abstrait en hommage à ces soldats à l’emplacement initial.
Catherine FREY
C’est un événement qu’on connaît bien dans le milieu estudiantin rémois.
Il s’agit de la nuit de la forme qui est organisée aujourd’hui même (mercredi 3 avril) à la Halle Croix-Rouge le Suaps (Service universitaire des activités physiques et sportives) en partenariat avec la Fédération française du sport universitaire. Cette 9e édition accueillera tous les sites de l’Université de Reims Champagne-Ardenne ainsi que ceux indépendants de la Marne. « L’objectif est de proposer, de manière ininterrompue, de 20 heures à minuit, des activités de la forme. De rassembler tous les groupes de fitness se trouvant à la Fac des Sciences et à Croix-Rouge », explique Muriel Chevrel, directrice du Service universitaire des activités physiques et sportives.
Seront associés à cette fête du bien-être et de l’éducation à la santé : les enseignants d’EPS, du Suaps et des vacataires-brevets d’Etat des métiers de la forme du Suaps.
Numéro 7492 du 01 au 07 avril 2013.
APPARTEMENT : Appartement de type V bis d’environ 110 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 4° étage, porte C à REIMS - Classement énergétique "C" - 107.250 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).
Renseignements : I-MMOCOOP, au 03.26.97.67.37.
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L’assemblée générale de l’Acrap est toujours un événement dans le quartier : avec ses 737 adhérents et sa centaine de parents et de bénévoles qui aident, c’est la « locomotive » du quartier, même si on ne la voit pas trop participer aux festivités locales extérieures, pas plus qu’au conseil de quartier.
Le nouveau président Romuald Bordes animait là sa première assemblée, assisté par les anciens : Jean-Pierre Genesseau, vice-président, Magali Macadré, secrétaire, et Jeannine Catry, trésorière. Avant de lire son rapport moral, il constatait : « Votre présence témoigne de l’intérêt que vous portez à nos activités. Pour les administrateurs c’est un encouragement à poursuivre dans la voie tracée depuis la création de l’association en 1970. »
Comme le veut l’usage, chaque animateur de section est venu présenter le bilan de la saison passée : badminton (Vincent Lapauw), balade pédestre, travaux manuels, couture, temps libre (quatre activités de Bernadette Canu), danse classique moderne et folklore (Virginie Delauzun, 59 adhérents), danse orientale (Iris Hatat), fitness-aérodanse et zumba (Isabelle Bechet : « Une section qui remporte un énorme succès »), football loisir, gym douce (Elisabeth Lorique « qui l’a animée depuis plus de 30 ans, laisse la place cette année à Sophie Pellegrin »), gymnastique d’entretien (Sophie Pellegrin-Romeggio), informatique (Romuald Bordes), karaté Shôrin et Kobudo d’Okinawa (Théodore Lé, 58 adhérents), majorettes (Magali Macadré), natation (Jeannine Catry, 286 adhérents), pétanque (Christian Gérard), tennis (Alain Lommé), vovinam viet va dao (Franck Schmitt et Kim-Lâm Nguyen), yoga (Agnès Legrand), fêtes, loisirs et urbanisme (Jean-Pierre Genesseau).
La comptabilité nécessite « un énorme travail de notre trésorière Jeannine Catry, qui passe un nombre incalculable d’heures pour présenter des comptes détaillés ! »
Subventionnée par la ville de Reims à hauteur de 57 524 euros et par le conseil général (1 230 euros), l’Acrap présente 160 067 euros de recettes et 154 606 euros de dépenses, soit un bilan positif 2012 de 5 461 euros, le tout dûment constaté par Marie-Céline Bonnaire, chargée du contrôle des comptes.
Le conseil d’administration accueille trois nouveaux membres : Iris Hatat (Danse orientale), Sophie Pellegrin (Gym douce) et Jean Monteiro (natation).
Jacques Laurent, président de l’Office des sports de Reims, a « pratiquement assisté à la naissance de l’Acrap », il constate : « Vos valeurs sont les nôtres ». Le conseiller municipal Michel Guillaudeau « apprécie la présence de 60 personnes à cette assemblée générale et les applaudissements spontanés et nombreux, preuve du bon esprit qui règne ici ».
Catherine Vautrin, députée de la Marne, fait ici sa première apparition (« c’est normal », précise son attaché parlementaire Ronan Berder, « l’Acrap fait désormais partie de sa circonscription »). Elle se dit « impressionnée par la vitalité de cette structure qui, malgré quelques déceptions comme pour le football, a su rebondir en créant de nouvelles activités, notamment la zumba, avec 94 adhérents ! » Elle insiste sur « la nécessité de dialoguer avec la Ville de Reims pour régler les petits conflits internes, ces petits détails du quotidien qui sont si importants ».
Le premier adjoint Eric Quénard est tout à fait d’accord et il avance une proposition : « Je vous suggère d’intégrer le conseil de quartier dans lequel vous êtes absent ». Il est admiratif devant les chiffres de la trésorerie. « Il est rare de voir une association gérer un budget de plus de 160 000 euros par an. C’est un vrai travail de professionnel qu’effectue votre trésorière bénévole ! »
La réunion s’est terminée sur une mauvaise nouvelle : le président Bordes, fraîchement élu, va devoir quitter la région et laisser son siège vacant.
Qui va lui succéder ? L’avenir le dira.
A chaque assemblée générale, c’est un peu le même refrain : la compagnie des majorettes de l’Acrap se plaint d’un manque de considération de la part des administrateurs.
Cette année, ce n’est pas la responsable du groupe qui est montée au créneau, elle est désormais membre du bureau en qualité de secrétaire, et ne peut donc pas être juge et partie.
La charge est venue d’une des mamans présentes, très remontée à propos des difficultés de transport de l’équipe et des conditions générales d’exercice des jeunes filles. « Nous devons nous organiser entre parents pour les déplacements, et c’est très pénible, alors que l’Acrap dispose de deux véhicules utilisés par les joueurs de la section football. Par ailleurs, quand nous nous déplaçons, parfois très loin de Reims dont nous représentons avec succès les couleurs, nos équipements font rire, comparés à ceux d’autres équipes en compétition. »
Pour le transport, le vice-président Jean-Pierre Genesseau a précisé que les deux minibus ont été offerts à l’association l’un par le journal l’union, l’autre par la Caisse d’épargne, à l’usage exclusif des footballeurs et ne peuvent pas être détournés de leur vocation.
Pour les équipements, le premier adjoint Eric Quénard s’est étonné : « Je constate que l’Acrap dispose de moyens importants, avec une réserve de 87 000 euros, mise de côté en vingt ans. Il faut savoir l’employer quand l’occasion ou la nécessité apparaissent, ce qui semble être le cas ici ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Diriger une Maison de quartier, c’est mettre en synergie des salariés, des bénévoles, des moyens, au service d’actions sociales et culturelles qui facilitent la vie des habitants.
LES Maisons de quartier (qui ne s’appelaient pas encore ainsi… c’était les MJC), Colette Marchand y est entrée par hasard : « J’avais postulé à un emploi mis en place dans le cadre d’un dispositif du « plan Barre », pour faciliter l’emploi et l’insertion des jeunes. Un contrat de 6 mois, payé au Smic ».
Pour la jeune femme qui vient de sa campagne, l’arrivée dans le quartier Wilson est un total changement…
Elle travaille d’abord au centre social Wilson, puis enchaîne avec diverses autres tâches administratives, toujours dans le domaine social. Elle réintègre Wilson, d’abord comme secrétaire, puis comme coordonnatrice petite enfance. « J’apprenais dans les bouquins de Françoise Dolto », référente famille, responsable de la halte-garderie. Elle prépare le diplôme qui permet d’accéder aux fonctions de direction. « J’ai fait 6 ans de formation et je l’ai obtenu en 1997. » Elle se souvient de l’arrivée de Simone Veil, alors ministre, à Wilson, venue rencontrer les « Femmes Relais » : « Service d’ordre, tapis, barrière de sécurité… »
Elle accompagne des séjours en camps de vacances, à la mer, à la montagne. Quelques années après, elle est nommée directrice du centre social Billard, où elle restera un an et demi.
En janvier 2001, elle prend la direction de « Saint-Remi » : « Mon premier truc, en arrivant, ça a été de poser des verrous partout… » C’est évidemment un changement total de quartier, d’ambiance. « Il a fallu me réadapter, avec une nouvelle population. A Saint-Remi, ça fourmille, ça bouge de partout, une vraie ruche ! »
En 2006, « Saint-Remi » devient « Arènes du Sud » et englobe l’espace Verrerie. Un rapprochement qui n’a pas été simple… « On a réussi à supprimer la barrière virtuelle entre les deux espaces. Ce qui m’a frappée : l’implication des bénévoles pour dynamiser leur quartier, notamment à Verrerie. »
Et durant douze ans, elle organisera de multiples actions, avec les collèges, les écoles, des professionnels de santé. Elle mettra en place des projets autour du développement durable, notamment « Butinages », le long du canal, des actions de solidarité, comme la collecte de dons pour acheter des zébus aux paysans de Madagascar.
C’est sous une avalanche d’hommages et de cadeaux de la part de tous ses collègues, que Colette Marchand, qui laisse la place à Martine Bailly, quitte Reims pour d’autres horizons, quelque part entre Albi et Cahors…
Organisés au Centre de Ligue de Reims, les championnats de la Marne des jeunes ont rassemblé quelques 272 participants. Il faut dire que cette compétition est le passage obligé pour les championnats régionaux des 18, 19 et 20 mai, toujours dans la cité des Sacres.
Au niveau des résultats, la logique a presque toujours été respectée avec, notamment, les succès d’Amélie Zarev (4/6, Europe Club), Gauthier Henry (15/2, Géo-André) ou Mikolaj Woynar (5/6, Europe Club).
10 ans : Eva Fernandes (30/2, URT) bat Flavie Bertrand (30/2, Saint-Memmie) 5-2, 5-4.
11 ans : Sibylle Pierlot (30/2, Muizon) bat Marie-Amélie Comarlot (30/1, Saint-Memmie) 6-4, 6-1.
12 ans : Lena Clauss (15/3, Saint-Memmie) bat Elise Renard (15/4, Cormontreuil) 4-6, 6-3, 6-1.
13/14 ans : Amélie Lamothe (15/4, Géo-André) bat Elvire Prault (15/3, Géo-André) 6-4, 6-2.
15/16 ans : Amélie Zarev (4/6, Cormontreuil) bat Flora Calcagno (5/6, Montmirail) 6-4, 6-3.
17/18 ans : Delphine Grillon (4/6, Saint-Memmie) bat Marine Jumelet (5/6, Vitry) 6-4, 6-1.
10 ans : Dubouch (30/3, Reims Europe Club) bat Nasser (30/3, Bezannes) 5-0, 5-4.
11 ans : Vicaire (30, Cormontreuil) bat Amier (30, Société Nautique Epernay) 6-4, 7-5.
12 ans : Lopes (15/3, Reims Europe Club) bat Zarev (15/3, Reims Europe Club) 4-6, 6-1, 6-3.
13/14 ans : G. Henry (15/2, Géo-André) bat Villenet (15/3, Taissy) 6-3, 3-6, 7-6.
15/16 ans : Woynar (5/6, Reims Europe Club) bat Compas (15/1, Géo-André) 6-4, 7-5.
17/18 ans : Leveque (5/6, Saint-Memmie) bat L. Henry (5/6, Géo-André) 6-3, 5-7, 6-3.
Sophie Atané le jour de l’audience aux Prud’hommes. (Photo d’archive). Remi WAFFLART
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REIMS (Marne). Pas très chaleureuse la réintégration de Sophie Atané au sein de l’équipe de l’Arfo.
Après avoir fait annuler son licenciement devant les prud’hommes, l’hôtesse aide à vivre devait récupérer son poste dans la résidence pour personnes âgées Lucien-Doyen le 20 mars dernier.
Elle ne reprendra finalement que ce matin. Avec la peur de voir débarquer l’équipe de la direction générale qui ne se réjouit pas de la retrouver. C’est du moins ce qu’on peut en déduire à la lecture de deux courriers du directeur général Alain Simon, datés des 14 et 22 mars.
Dans le premier, il annonce à Mme Atané que l’Arfo décide de la muter d’office dans une autre résidence.
Le ton est glacial et la lettre se termine presque en nouvelle accusation : « Nous vous invitons à suivre et respecter strictement les consignes qui vous seront données par votre responsable à l’avenir, sans en extrapoler d’autres de votre seule initiative ».
Démontée par la mutation surprise et l’accusation gratuite, déjà moralement affaiblie par des mois de procédure, Sophie Atané a craqué et a été arrêtée par son médecin. Son avocat s’est chargé d’exiger de l’Arfo le maintien de sa cliente à son poste d’origine.
Dans le courrier suivant, M. Simon reproche à sa salariée de ne pas avoir téléphoné pour prévenir de son arrêt. Il se résout à maintenir Mme Atané à la résidence Lucien-Doyen et justifie la décision de mutation par le fait que la salariée ne voulait plus travailler le dimanche. Il termine par une nouvelle remarque désobligeante : « Je vous demande de conduire en déchetterie le matelas usagé qui « orne » le balcon de l’appartement que vous occupez encore à Doyen (et/ou de tout autre détritus qui pourrait s’y trouver) […] »
Voilà qui explique le nœud à l’estomac que Sophie Atané aura ce matin au moment de sa reprise officielle. « Heureusement, je sais que j’aurai le soutien des résidents. »
Il n’a pas été possible de joindre Alain Simon pour cause de week-end de Pâques.
Catherine FREY
Une fois la fuite trouvée, il a fallu plusieurs heures d’intervention afin de rétablir le réseau d’eau.
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REIMS (Marne). Drôle de week-end de Pâques pour une partie des habitants de Croix-Rouge et de Murigny, sans oublier les patients du CHU : entre dimanche 6 h 30 et lundi 6 h 30, une fuite d’eau sur le réseau a privé de chauffage et d’eau chaude environ 10 000 logements.
La société Soccram a bossé sans arrêt jusqu’à hier, ce qui lui a permis de remettre en route le système d’eau chaude vers 8 h 30 environ, et, normalement, tous les logements ont été alimentés en chauffage et eau chaude au plus tard à midi.
« C’était une intervention rapide. Les équipes ont été mobilisées dès le début, et ont travaillé une partie de la nuit », souligne le 1er adjoint chargé du Logement, Eric Quénard.
Du côté de l’entreprise, il a donc fallu 24 heures chrono pour venir à bout de cette fuite. Le plus dur est évidemment de localiser la canalisation qui n’est plus étanche. La Soccram a donc multiplié les sondages dans le quartier, jusqu’à réduire à 50 mètres le champ de recherche, puis de trouver la fuite, allée des Landais. Pour cela, il a fallu couper le réseau d’eau dans une grande partie du quartier.
L’hôpital a été réalimenté en priorité, puis Murigny, et enfin le reste du quartier Croix-Rouge hier matin. Au CHU, il a fallu improviser pour les douches, et surtout le chauffage, augmentant le nombre de couvertures pour les patients. Du côté des habitants, le point positif était que le soleil enfin revenu permettait de se balader dans les parcs pour oublier le froid dans les appartements.
Malheureusement, hier vers 13 heures, des immeubles de la rue Taittinger étaient toujours privés de chauffage. Il leur fallait encore de la patience.
L’entreprise Soccram chargée de réparer la fuite a fini par localiser celle-ci du côté de l’allée des Landais.
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REIMS (Marne). Des milliers de logements ont été privés de chauffage hier toute la journée à la suite d’un incident sur une canalisation. Et certains le sont encore ce matin.
Quelque 10 000 logements du quartier Croix-Rouge et de ses environs ont été privés de chauffage et d’eau chaude hier toute la journée à Reims. « A 7 heures, j’avais de l’eau chaude pour me doucher, témoigne cette jeune employée de la résidence Utrillo pour personnes âgées, dans le secteur Bonaparte, mais à 7 h 30, il n’y en avait plus. » « Moi je me suis effectivement douché à l’eau froide », confie cet autre habitant.
Le problème vient d’une rupture de canalisation survenue tôt le matin, vers 6 h 15, dans l’avenue des Landais, proche de l’avenue du Général-Bonaparte.
La ville de Reims a été informée de la situation et une cellule de crise a été mise en place. Une équipe de réparation a été envoyée sur le terrain par l’entreprise Soccram, mais il lui a fallu plusieurs heures pour remédier à l’incident. « La difficulté est de repérer le lieu de la fuite, expliquait le patron de l’entreprise Thierry Lahaye alors qu’il était déjà plus de 16 heures. Pour l’instant, nous l’avons localisé à 50 mètres près. » Les sondages dans le sous-sol se sont donc multipliés jusqu’à parvenir au « point P ».
Pendant ce temps, les habitants n’avaient d’autre solution que de prendre leur mal en patience. « Ce manque de chauffage commence à être gênant pour nos pensionnaires », remarquait ainsi notre interlocutrice de la résidence Utrillo.
« Moi, je reçois des tas de questions de gens qui se demandent ce qui se passe », ajoute Nasser Benadela, président de l’association des habitants de Croix-du-sud.
Pour rétablir la situation, l’entreprise a isolé le tronçon défectueux, ce qui a permis de réalimenter certains quartiers tour à tour en recourant à d’autres circuits de canalisations : « Nous donnons la priorité au CHU et à son secteur, poursuit M.Lahaye, ensuite nous pourrons passer à Murigny, au cours de la nuit ; le reste de Croix-Rouge sera réalimenté dans la matinée de lundi (aujourd’hui, ndlr) ».
Le dernier secteur à recouvrer eau chaude et chauffage sera celui desservi par le fameux tronçon endommagé, le secteur Bonaparte, qui compte environ un millier de logements.
Les habitants doivent donc s’attendre à passer un lundi de Pâques plutôt frisquet.
Antoine PARDESSUS
REIMS (Marne). Selon le 1er adjoint au Logement, Eric Quénard, la fuite d’eau chaude qui a privé de chauffage les habitants de Croix-Rouge et de Murigny depuis hier matin est réparée depuis 6 h 30 ce matin. 10 000 foyers ne pouvaient plus se chauffer et ont dû se laver à l’eau froide hier
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REIMS (Marne). Dans la série des véhicules ou des poubelles ou qui prennent feu « toutes seules » généralement la nuit, cette fin de semaine pascale à Reims a été relativement fournie.
Figurent ainsi parmi les « victimes » :
> une Corsa (samedi vers 1 heure du matin rue Pierre-de-Coubertin),
> un Kangoo (samedi vers 3 heures à Orgeval),
> une porte d’immeuble (samedi vers 4 heures, place Auguste-Rodin),
> des conteneurs allée Edgar-Degas (même jour vers 4 h 30),
> une rafale de conteneurs (dix en tout) rue de Florence (toujours samedi, vers 6 heures),
> des sacs poubelles allée des Landais (samedi soir 20 h 30), une poubelle allée Pierre-Eschenbrenner (dimanche 0 h 30) et une autre boulevard des Bouches-du-Rhône (dimanche 5 h 30).
> Un lave-vaisselle a pris feu également, dans la nuit de samedi à dimanche, dans un immeuble du boulevard Pommery, mais là, l’origine accidentelle ne fait guère de doute.
« Cultures en fête » sur le campus Croix-Rouge
Jeudi 4 avril, les étudiants rémois ont rendez-vous sur le campus Croix-Rouge pour la 4e édition de « Cultures en fête ».
Cet événement, organisé par le Service des Relations Internationales et le Bureau de la Vie Étudiante de l’Université de Reims Champagne- Ardenne en partenariat avec le CROUS, a pour objectif de promouvoir les échanges inter culturels et de sensibiliser les étudiants et les Rémois à la découverte d’autres pays.
A cette occasion, de 14h à 18h30, les étudiants pourront découvrir les jeux et ateliers animés par les associations et étudiants internationaux et déguster des plats typiques.
A partir de 19h, un spectacle burlesque de théâtre et de jonglage ainsi que la fanfare « Nous on attend Pauline » animeront la deuxième partie de cette journée autour des cultures du monde.
Entrée gratuite et ouverte à tous, de 14h à 22h (Tram A et B).
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Créé en février 2011, le club « Aventure Boccia » propose deux entraînements par semaine à ce sport réservé aux personnes handicapées au complexe Géo-André (Croix-Rouge). Neuf joueurs, des différentes catégories (BC1, BC2 et BC3) participent régulièrement à ces séances dirigées par Sébastien Plawecki, mais aussi à de nombreuses compétitions, tel le championnat de France.
Toutefois, ce dernier, prévu en mars, a été reporté en octobre à Hyères. Aussi, c’est pour pallier à ce report que la présidente du club rémois, Céline Bourichon et son équipe, ont décidé d’organiser, le week-end dernier, le premier challenge « Aventure Boccia », une compétition de boccia sous la tutelle de la fédération française handisport et sport paralympique regroupant des joueurs du groupe France et du nord-est de la France des trois catégories. « L’occasion de créer une rencontre permettant aux Rémois de se confronter aux meilleurs joueurs français ».
Trente-trois jeunes se sont ainsi retrouvés dans la salle du Creps. Ils venaient du Nord/Pas-de-Calais, Hyères, Richebourg et Saint-Jean-de-Malte (région parisienne), Rennes, Nancy, Mont-Saint-Martin, Reims Handisport et, bien entendu Aventure Boccia.
A l’issue de ce tournoi, Céline Bourichon disait sa satisfaction du bon déroulement « malgré le froid du gymnase du Creps ». La présidente se félicitait également « d’avoir reçu le soutien moral de Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film « Intouchables » et ancien patron de Pommery » avant de procéder à la remise des récompenses. « Nous espérons pouvoir recommencer une prochaine fois ».
Catégorie BC1. - 1. Anthony Bascour (Richebourg), 2. Mathieu Jur (Cambrai), 3. Guillaume Jumeau (Saint-Jean-de-Malte), 4. Sébastien Hubert (Mont-Saint-Martin).
BC2. - 1. David Lemonique (Rennes), 2. Damien Thibout (Richebourg), 3. Jennifer Ledoux (Cambrai), 4. Evie Pruvost (Aventure Boccia).
BC3. - 1. Ali Zakafi (Cambrai), 2. Maxime Ferry (Ludres), 3. Hakim Cheniour (Richebourg), 4. Olivier Munch (Ludres.
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Organisateur des finales de la Coupe de France des clubs, le Reims HM sera concerné à plus d’un titre. Le club du président Claude Baechler voudra justifier la confiance de la Fédé. Mais, il voudra aussi s’illustrer sur ses plateaux du gymnase François-Legros.
Car, le RHM a réussi à qualifier deux équipes pour cette finale. Les demoiselles (Kimberley Poiret, Pauline Naels, Olympe Da Rocha) tenteront de tirer leur épingle du jeu en cadettes/juniors et de repousser les velléités de leurs suivantes, les Nordistes de Comines.
Leurs petits camarades (les juniors garçons Ludwig Colombo, Frédérick Chauvat, Anthony Villette) viseront un peu plus haut. Leur relative contre-performance en demi-finale ne doit pas faire oublier leur potentiel.
Même sans Florentin Ducourty, blessé au genou à l’entraînement), et avec l’apport du cadet Anthony Villette (pas loin de la série nationale), ils peuvent envisager une place sur le podium.
Y.D.
DEMAIN. — Gymnase François-Legros, -12 heures : minimes mixtes et minimes garçons ; -15 heures : cadettes-juniors filles et féminines Open ; -17 h 30 : cadets et juniors garçons.
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