Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge 2007/4
samedi 29 septembre 2007
par Administrateur

 

Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.

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l’union071231a

Tennis : trois questions à… Anthony Petit

 

« Il nous faut renforcer la qualité de la prochaine sélection. »

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Vous êtes le responsable du Centre de formation du Tennis club Géo-André. Quels résultats pour vos cadets ?

« On vient de participer au championnat Marne. Au premier tour, on a battu Epernay-La nautique (3-0) en sachant qu’il y avait deux simples et un double. La semaine d’après, on a éliminé Europe club 2 (3-0). Et en finale, on a gagné face à Europe club 1 (2-1). Ce qui fait qu’on est qualifié pour les demi-finales du championnat Champagne-Ardenne qui aura lieu mi-janvier ».

Le Centre achève son premier trimestre. Quelle perception avez-vous des tennismen ?

« On fonctionne sur un groupe à deux vitesses. C’est-à-dire qu’il y a une partie qui semble intégrer le travail technique sur le terrain. Et l’autre qui n’a pas encore bien saisi ce que ça représente d’être dans un centre d’entraînement, et du coup elle est un peu en retrait ».

L’avenir ?

« Continuer à tout mettre en œuvre pour que nos joueurs progressent. Et renforcer la qualité de la sélection, pour répondre aux attentes inhérentes à l’intégration dans un Creps comme celui de Reims ».

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l’union071229c

TENNIS : AG du comité départemental Licenciés à la baisse

 

En présence de Nathalie Tauziat (à g.), la relève accompagnée des piliers du comités.

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Organisée au Parc des expositions de Châlons, l’assemblée générale du comité Marne s’est déroulée dans une ambiance conviviale.

Dans son rapport moral, le président Jean-Pierre Vasseur a évoqué l’un des points essentiels de cette année tennistique à savoir la baisse des licenciés.

« C’est un peu gênant car en 2006 on avait augmenté de 400 et là, on en perd 283. Mais, logiquement avec l’opération de 400 raquettes, on devrait se stabiliser ou repartir à la hausse », résumait Jean-Pierre Vasseur.

Il est vrai que la promotion visant les jeunes 5-10 ans prenait leurs premières licences auxquelles le comité Marne offre une raquette a formidablement bien fonctionné. Reste à les fidéliser.

Par ailleurs, Jean-Pierre Vasseur a expliqué que la Marne va chercher à mener des actions vers les scolaires ainsi que pour le sport santé et le sport adapté.

Tout en se félicitant qu’une convention ait été passée avec le conseil général pour la construction de deux courts couverts par an pendant cinq ans !

Pour cela, le président à annoncé que le projet club allait être encore accentué. Enfin, sur le plan sportif, Jean-Pierre Vasseur a rappelé la bonne saison de Margot Cremont qui a intégré le groupe avenir national, le titre de vice-champion de France de tennis entreprise de l’Education nationale de Châlons (battu encore par l’US Metro) et enfin, le titre de vice champion de France des raquettes FFT par le TC Bouzy.

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Un comité de 30 ans

REPRESENTATION. – Pour cette AG non élective, 38 clubs sur 88 étaient présents. Du classique !

LIGUE. – L’Assemblée générale de la Ligue aura lieu le samedi 26 janvier au centre des Congrès de Reims.

CLUBS. – En 2007, trois clubs (Epernay, Magenta, Hautvillers, Sporting Club Reims) ont disparu pour aucune création. Le district compte désormais 88 clubs.

TOP. – Le TC Reims est toujours le plus gros club marnais avec 603 licenciés soit le même total que l’an passé.

FINANCES. – Si l’année dernière le compte de résultats étaient excédentaire de 2024.89 euros la commission des finances a fait légèrement mieux en 2007 avec 2134.41 euros.

ANNIVERSAIRE. –Cette année, le comité Marne a fêté son 30e anniversaire.

JOURNAL. – Destiné essentiellement au président de club et aux initiateurs ; le tennis 51 est publié chaque trimestre à 600 exemplaires.

LICENCIÉS. – La Marne est passée de 8.842 licenciés en 2006 à 8.559 cette année soit une baisse de 3.2 %.

LABEL. – Cette année, 18 labels ont été decernés..

Label d’or : Reims Europe Club, Vitry, Witry les Reims, Cormontreuil ;

label d’argent : TC Reims, TC Cote des Blancs, ASPTT Châlons, ASPTT Epernay, Gueux, Betheny, Courtisols, Nautique Epernay, Géo André, URT, Montmirail ;

label de bronze : Sillery et La Muire.

MÉDAILLE. – À l’issue de cette AG, des médailles de bronze de la FFT ont été attribuées à Christophe Meunier-Ferry, Thierry Moreaux, Alain Mouton, Philippe Gerin, Francine Cordy, Jeannine Catry, Alain Michaut, Michel Gilbert, Michèle Wallart, Serge Barbier, Christophe Zymek, Christophe Jannet et Yves Bourgeois.

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l’union071229b

Danger pour les enfants aux Polygones

 

L’association demande des panneaux annonçant la traversée de la voie par les enfants.

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Toujours vigilante en matière de sécurité pour les enfants, l’association de défense des locataires Les Polygones est intervenue plusieurs fois auprès de la mairie pour sécuriser le virage de la rue Henri-Royer, ce qui devrait être réalisé prochainement.

Mais des éléments nouveaux apparaissent : « Je viens d’apprendre que des enfants très jeunes se rendent à l’école Sculpteurs-Jacques et qu’au niveau de la rue Royer, précisément à hauteur de la cabine téléphonique, il n’existe aucune matérialisation au sol leur permettant de traverser la rue en toute sécurité. Par ailleurs, il m’a été confirmé à plusieurs reprises que les étudiants de l’ESC circulent à vive allure, empruntant même les sens interdits ! » annonce la présidente Geneviève Kaczowka

« J’ai déjà rencontré le directeur de Reims Management School pour faire cesser les nuisances provoquées par certains étudiants, et je vais devoir l’interpeller à nouveau. »

Pour l’association, cette situation doit être très vite améliorée, d’où la demande d’installation d’un panneau annonçant la traversée de la voie par les enfants et d’un panneau de rappel de zone 30, rue Royer sur la voie montante et la voie descendante ainsi que d’un panneau « Stationnement sur trottoirs interdit ». « Une telle signalétique ne serait pas superflue, de nombreux automobilistes conduisant de façon anarchique. »

Enfin, dernière constatation : « Le stationnement sauvage constaté sur le trottoir des immeubles des Polygones, rue Royer, s’étend de plus en plus. La municipalité pourrait-elle insister auprès des services de police pour multiplier les passages ? »

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l’union071229a

Reims : des locataires sur les nerfs
« L’enfer » au 6 Edgar-Degas

 

Les dégradations sont de plus en plus fréquentes.

Les dégradations sont devenues pratique courante dans l’immeuble. Photos Benjamin SEGURA

Le bloc était réputé pour son calme, il est devenu l’un des pires.

Au 6, allée Edgard-Degas, à Croix-du-Sud, des locataires ont perdu leur tranquillité avec l’arrivée d’une bande de perturbateurs.

Certains ont même été menacés de mort. L’Effort Rémois promet de régler le problème.

Depuis qu’une bande s’est installée dans leur bloc, les locataires ne connaissent plus la paix. Menaces, bruit et saleté sont devenus leur quotidien à Croix-du-Sud.

Pauvres gens. Il y a deux mois encore ils étaient réputés pour avoir le bloc le plus propre et le plus calme du quartier.

Il y a deux mois encore, les locataires des quatre premiers étages du 6 Edgar-Degas à Croix du-Sud dormaient sur leurs deux oreilles. Ils n’avaient pas peur en rentrant chez eux et ne craignaient pas de laisser leur appartement sans surveillance. Ce temps est révolu.

Depuis qu’un locataire du 3’ a sous-loué son appartement, « c’est devenu l’enfer ». « Ils sont jusqu’à une vingtaine là-dedans à faire la foire jusqu’à cinq heures du matin quasi tous les soirs ». Le matin on retrouve traces d’alcool, restes de joints, urine dans les escaliers. »

Pour ouvrir la porte d’entrée du bloc, les perturbateurs ne s’embarrassent pas d’un badge : « Ils mettent des coups de pied dedans ». Conséquence le système en pâtit et la porte s’ouvre à qui la bouscule un peu. « Même les filles font la même chose. L’autre jour j’en ai vu qui donnaient des coups dans les boîtes aux lettres ».

À bout de nerf, les habitants ont fait circuler deux pétitions.

Près de trente familles ont signé. « On va envoyer une copie au procureur car certains d’entre nous ont été menacés de mort et il y a de la drogue qui circule. Il y aurait même des armes ».

« J’achète un fusil »

Personne n’a vu les armes en question mais l’odeur du pétard, ils la respirent quotidiennement. « On voit des gamins venir s’approvisionner ».

Le week-end dernier, une locataire a entendu en pleine nuit des coups dans sa porte. Tous croisent des regards menaçants dans le hall. « Moi, ils ont promis de me casser les dents », raconte un gamin. « On n’est plus en sécurité. Il faut qu’ils partent ». L’une des victimes est allée déposer une main courante au commissariat.

Les locataires parlent malgré la peur des représailles. Ils ont peur pour eux ou pour leur voiture mais ne peuvent plus se taire. « Moi, s’ils rauchent à ma voiture, je vais acheter un fusil et je tire. Tant pis si je croupis en prison, au moins je ne me serais pas laissé faire ». Ils ont besoin d’aide.

Catherine Frey

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L’Effort rémois va intervenir

« Nous sommes conscients que le locataire qui héberge ces personnes dans son appartement n’est pas en capacité de régler lui-même cette situation. C’est pourquoi nous allons entamer des démarches avec lui pour apporter une solution définitive à ce problème », promet le bailleur, qui s’engage à informer les locataires de la suite des événements.

« De plus, nous avons contacté les services de police afin qu’ils puissent intervenir dans cet immeuble et apporter une attention toute particulière aux plaintes des habitants », informe le représentant de l’Effort rémois. Enfin, « des actions vont être mises en place pour apporter des réponses rapides aux dégradations ».

C.F

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l’union071228c

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Maître d’ouvrage : Société d’HLM L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet : Marché de travaux de réfection des peintures ou revêtements muraux de 39 cages d’escaliers d’un certain nombre de bâtiments du patrimoine locatif de l’EFFORT REMOIS – REF. : MA-091207

Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Composition du marché : Le marché est composé de 13 lots :

- Lot - 1 Châtillons

- Lot - 2 Mitterrand - Cormontreuil

- Lot - 3 Croix du Sud

- Lot - 4 Debar

- Lot - 5 Bel Air

- Lot - 6 Marcel Thil

- Lot - 7 Zola

- Lot - 8 Tinqueux

- Lot - 9 Louvois

- Lot -10 Clovis

- Lot -11 Jean d’Orbais

- Lot -12 Général Patton -Châlons en Champagne

- Lot -13 Place des Arts - Châlons en Champagne

Délai d’exécution : 6 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :

Le Mercredi 23 janvier 2008 à 17h00, dépôt ou envoi des dossiers au service Marchés, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Les dossiers sont disponibles sur commande jusqu’au Mercredi 16 janvier 2008 à 17 heures auprès de :

    • Gratuitement sur support électronique à l’adresse suivante :

http://www.lunion-legales.fr

référence du marché : MA-091207

    • Payant sur support papier auprès de :

TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS

Tél. 03.26.04.81.21 – Fax : 03.26.09.71.07 – E-mail : Technic.Repro@wanadoo.fr

Pour tout renseignement technique contacter :

Service Maintenance : Mr P. DUMONT, chargé d’opérations, au 03 26 04 98 37

Pour tout renseignement administratif contacter :

Service Marchés : Mr. N. MEUNIER au 03 26 04 99 82, Mme N. GALLOIS au 03 26 04 99 05

Date de publication au JAL : L’UNION, éditions Marne, Aisne et Ardennes, le 28 décembre 2007

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l’union071228b

AVIS D’APPEL A CANDIDATURE

 

 

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet : Marché de Services – Marché d’Entretien d’espaces extérieurs (espaces verts, voies de circulation piétons et véhicules) du patrimoine immobilier de la société L’EFFORT REMOIS ou du patrimoine immobilier de la SACCLO géré par L’EFFORT REMOIS.

Réf. : RL- 021207

Procédure formalisée restreinte selon ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 et au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

Composition du marché : Le marché comporte 19 lots répartis sur le département de la Marne et de la Haute Marne avec des tranches fermes et des tranches conditionnelles :

- Lot n°1 – CORMONTREUIL : Tranche ferme : 10 sites

- Lot n°2 – REIMS – Quartiers Chanoine, Serbie Boulanger, Wilson Tranche ferme : 7 sites

- Lot n°3 – REIMS – Quartier Châtillons Tranche ferme : 3 sites

- Lot n°4 – REIMS – Quartier Croix Rouge (Université & Croix du Sud) Tranche ferme : 5 sites

- Lot n°5 – REIMS – Quartier Murigny Tranche ferme : 10 sites

- Lot n°6 – REIMS / BETHENY – Quartiers Orgeval – Neufchâtel – E. Moreau et BETHENY Tranche ferme : 12 sites

- Lot n°7 – REIMS – Quartiers Clémenceau – Jean Jaurès – Epinettes Tranche ferme : 19 sites

- Lot n° 8 – REIMS – Quartier Saint Rémi Tranche ferme : 5 sites

- Lot n° 9 – REIMS – Quartiers Saint Léonard – Avenue de Champagne Tranche ferme : 6 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 10 – TINQUEUX / SAINT BRICE COURCELLES Tranche ferme : 13 sites – Tranche conditionnelle : 2 sites

- Lot n° 11 – REIMS – Quartiers Jacquart – Carteret – Boulevard Lundy Tranche ferme : 10 sites

- Lot n° 12 – REIMS – Quartiers Laon – Zola Tranche ferme : 25 sites Lot n° 13 – REIMS – Quartiers Courlancy – Venise Tranche ferme : 7 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 14 – REIMS – Quartier Clairmarais Tranche ferme : 16 sites

- Lot n° 15 – FISMES Tranche ferme : 9 sites – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 16 – CHALONS EN CHAMPAGNE Tranche ferme : 10 sites – Tranche conditionnelle : 4 sites

- Lot n° 17 – VITRY LE FRANCOIS Tranche ferme : 3 sites – Tranche conditionnelle : 4 sites

- Lot n° 18 – SAINT DIZIER Tranche ferme : 1 site – Tranche conditionnelle : 1 site

- Lot n° 19 – EPERNAY Tranche ferme : 3 sites

Délai d’exécution : Le marché sera établi pour une durée de 4 ans (sous réserve de sa bonne exécution) à compter de la date d’effet précisée dans l’ordre de service de démarrage des prestations (dates prévisionnelles : le 1er avril 2008 et le 1er octobre 2008, selon les lots)

Date limite de réception des candidatures : Le Mardi 15 janvier 2008 à 17 heures,

dépôt ou envoi des dossiers à l’adresse suivante :

PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS - Service Marchés - 7 rue Marie Stuart – BP 324 - 51061 REIMS CEDEX.

Les dossiers sont disponibles jusqu’au 8 janvier 2008 – 17 heures :

    • Sur support papier (gratuitement) :

Auprès de PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS – Service Marchés – Mme GALLOIS ou Mr. MEUNIER - 7 rue Marie Stuart à Reims (sur demande écrite) Télécopie : 03.26.04.98.12 - E-mail : service.marches@effort-remois.com

    • Sur support électronique à l’adresse suivante :

http://www.lunion-legales.fr

Pour tout renseignement technique contacter : Service Relations Locataires : Mme S. SIMON au 03.26.04.99.61

Pour tout renseignement administratif contacter : Service Marchés : Mr N. MEUNIER au 03.26.04.99.82, Mme N. GALLOIS au 03 26 04 99 05

Date d’envoi à la publication au JOUE et au Journal L’UNION, édition Marne, ainsi que le Journal de la Haute Marne le : 14 décembre 2007

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l’union071228a

Patinage : le Rap au Tournoi de France 1re division

 

Les patineuses vont devoir perfectionner quelques éléments de leur programme.

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Le Reims Acrap Patinage a présenté onze compétitrices en solo et un couple au premier Tournoi de France 1re Division, à Belfort, avec nouveau système de notation.

Catégorie Préparatoire : Juliette Wary, toute jeune compétitrice en 1re division et bien que malade pour cette première prestation, s’octroie la 3e marche du podium après une belle prestation.

Catégorie Pré-bronze A : Eva Lemaire réalise une superbe performance sur la danse imposée mais, moins à l’aise sur le programme libre, termine 7e de sa catégorie.

Catégorie Pré-bronze B : Morgann Prey monte sur la 3e marche du podium après avoir exécuté deux belles danses, et Margaux Abib-Gruet ne démérite pas en s’attribuant la 6e place du combiné.

Catégorie Bronze A : Roxane Bouvet termine 14e en donnant le meilleur d’elle-même pour cette première fois dans cette catégorie.

Catégorie Bronze B : Camille Renault finit 8e de sa catégorie, c’est un bon début pour ce premier Tournoi de France 1re division dans cette catégorie, elle reste l’espoir montant du club.

Catégorie Argent A : Justine Delaunois, après une belle performance sur sa danse imposée et une danse d’interprétation qui reste à perfectionner, termine 8e de la compétition dans sa catégorie. Morgane Huet après une très belle prestation de sa danse d’interprétation qui lui vaut une 8e place, finit 10e du combiné, perdant des points avec le programme imposé.

Catégorie Argent B : Solène Manceaux à l’issue d’une belle danse imposée et d’une danse d’interprétation à perfectionner termine 4e de sa catégorie.

Avec le nouveau système de notation, les patineuses ont découvert les nouveaux éléments obligatoires exigés désormais dans les programmes.

Les danseuses et leur entraîneuse, Ludivine Lemaire, vont devoir perfectionner quelques éléments de leur programme.

Elles ont pour cela un mois avant le prochain tournoi de France qui se déroule au Havre les 12 et 13 janvier 2008.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 071227d

CONSTITUTION DE SOCIETE :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION : A.T.E TRANSPORTS.

FORME : Société à responsabilité limitée.

SIEGE SOCIAL : 10 esplanade Paul Cézanne - 51100 REIMS.

OBJET : Transport de marchandises.

DUREE : 99 années.

CAPITAL : 7.500 €.

GERANCE : Monsieur CHIOUKH CHERIF, demeurant à 10 esplanade Paul Cézanne - 51100 REIMS.

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

59998 Pour avis.

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l’union071227c

Les quartiers font leurs cartes de vœux

 

« Ce qu’il faut ici c’est des parcs, des squares, de l’espace ! »

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De Orgeval à Europe en passant les Épinettes et jusqu’à Croix-Rouge, Wilson et les Châtillons, les Rémois ne manquent pas de souhaits pour leur quartier en 2008. En espérant qu’ils se réalisent.

…..

« Un ascenseur multicolore pour Croix-Rouge »

Au détour d’une cage d’escalier, Yasmina et Faiza papotent. Leur quartier, elles l’adorent : « On a grandi ici et notre famille vit toujours là ». Faiza, elle, fait un vœu en couleur : « Vert, vert, vert ! Ce qu’il faut ici c’est des parcs, des squares, de l’espace ! »

Quant à l’idée de déplacer l’hippodrome : « Mais pourquoi ? Il est l’emblème de notre quartier », lance-t-elle fièrement. « C’est notre petit truc en plus », ajoute sa copine avec une audacieuse comparaison : « Vincennes est connu pour son hippodrome, et bien Croix-Rouge c’est pareil ! » Yasmina tempère ces notes de bonheur par un « si les gens pouvaient aussi communiquer plus entre eux ».

Un peu plus loin, Stéphane rentre chez lui avec un énorme paquet cadeaux. Pourtant s’il avait un présent à offrir pour 2008 ça serait « un ascenseur pour maman ». « Trois fois qu’ils doivent venir le réparer et on ne les voit jamais ».

Stéphane a un vœu encore plus fort : « Ce que je souhaite avant tout, c’est qu’il y ait moins d’incivilités ».

Un autre habitant du quartier déclare sans s’arrêter que ce qu’il faut ici, c’est un « poste de police ».

Alors pour 2008, que ce soit du vert avec les parcs ou du bleu avec la police, Croix-Rouge n’a pas fini d’en faire voir de toutes les couleurs à ses habitants qui eux ne souhaitent qu’une chose : voir la vie en rose.


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l’union071227b

Feu de scooter

 

Mardi vers 16 h 10, un scooter a pris feu esplanade Paul-Cézanne.

Une personne a éteint l’incendie avant l’arrivée des pompiers.

Il pourrait s’agir d’un engin volé.

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l’union071227a

L’agitateur du hall d’immeuble condamné

 

Plusieurs locataires d’un immeuble de l’avenue Bonaparte ont été réveillés en sursaut dimanche vers 2 heures du matin.

Un jeune homme fortement alcoolisé causait grand tapage au rez-de-chaussée du n°15 en tapant sur la porte des appartements.

L’arrivée de la police ne l’a pas calmé, bien au contraire.

Il a outragé les fonctionnaires, s’est rebellé et a opposé une nouvelle résistance lors de son placement en geôle.

Il avait également sur lui un sachet contenant de la résine de cannabis.

Déjà connu de la justice, Isaac Lepage, 20 ans, a été jugé lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel.

Il a écopé de quatre mois de prison dont la moitié assortie d’un sursis mise à l’épreuve avec obligation de se soigner et de trouver un travail.

Laissé libre, le garçon purgera ses deux mois ferme ultérieurement ou sous un mode aménagé.

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l’union071226c

 

Croix-Rouge : le 3e âge invité par l’Acrap
Les invités ont repris en chœur les chansons d’antan.

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Le traditionnel après-midi récréatif offert aux personnes âgées du quartier (plus de 65 ans) par l’association Croix-Rouge animation et promotion a rassemblé une quarantaine de convives, accueillis jeudi 20 décembre par Jean-Pierre Genesseau, président de l’association.

Au programme, un goûter et un récital de chansons anciennes par Gérald Mabile, un bénévole de l’Acrap à la voix puissante, accompagné au piano par Yvette Marlois, de la compagnie Champerette.

Pour terminer ce moment agréable organisé par Bernadette Canu, animatrice du club 3e âge, les invités sont repartis chacun avec une coupe fleurie.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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l’union071226b

 

Il sort promener son molosse et revient chez lui avec 5 amendes

 

Tribunal correctionnel de Reims : Une autre affaire impliquant le propriétaire d’un molosse fut jugée lors d’une précédente audience.

Âgé de 31 ans, il se promenait le 18 août à 23 heures allée des Provençaux avec un american staffordshire.

« Un chien très dangereux ! », tranche le président.

« Pas du tout ! » « C’est ce qu’on dit toujours ! En plus, il n’avait pas de muselière. Un bébé passe à côté, il est mangé. »

L’absence de la muselière motiva un contrôle de la police. Déjà condamné à une peine d’emprisonnement, l’homme n’avait pas le droit de détenir un tel animal.

« Je l’avais depuis dix ans. C’est pas facile de se séparer d’un chien comme ça. »

Avocat du prévenu, Me Sébastien Busy dénonce une attitude incohérente de la police. « Lors du contrôle, on lui dresse sur le champ un, deux, trois, quatre et cinq timbres-amendes. On ne lui laisse pas le temps de remonter chez lui pour chercher l’assurance, la déclaration en mairie, le certificat de vaccination.

Le lendemain, il présente tous ces documents au bureau de police. On lui dit que son chien est en situation régulière et qu’il peut aller le récupérer au refuge, ce qu’il fait.

Et quelques semaines plus tard, il reçoit une convocation de la police, car il détient ce chien alors qu’il n’en a pas le droit. »

Pour le tribunal, c’est là l’essentiel. Il condamne le prévenu à payer une amende de 500 € dans un délai de 100 jours sous peine de partir en prison pour une durée équivalente.

Le chien ne lui appartient plus. « Je l’ai donné au refuge, car je n’ai trouvé personne pour l’acheter. »

F.C.

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l’union071226a

 

Agression sur le chemin du collège

 

Un élève du collège Georges-Braque a été agressé par un adolescent de 12 ans le 14 décembre (l’union du 20).

Sa mère tient à préciser qu’il n’a pas été frappé devant l’établissement, comme écrit dans l’article, mais alors qu’il s’y rendait. Les faits ont eu lieu allée Blanche-Cavarot, « en pleine rue ».

« Ce n’est pas une rixe. Mon fils n’a pas cherché la bagarre. Il a été agressé. Il a reçu des coups de poing et des coups de pied. Il a eu les deux yeux tuméfiés, une plaie à la joue et pendant plusieurs jours, il ne pouvait plus baisser la tête. »

L’agresseur, qui harcèle la victime depuis plusieurs années, est convoqué le 15 janvier devant le juge des enfants.

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l’union071224a

 

Croix-Rouge en fête

 

« Le monde de Moussa » a émerveillé petits et grands.

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« Croix-Rouge s’affiche » , à l’initiative de José Mendes, directeur artistique et de son équipe, a offert deux spectacles mercredi 19 décembre : « Le monde de Moussa » , pour les moins de six ans, aux espaces Billard et Watteau, et « La magie des pages » pour tout public, dans la salle Mauriac.

Les petits des haltes-garderies et des centres de loisirs du quartier ont bien profité des spectacles, de même que de nombreuses mamans à titre individuel avec leurs enfants.

En complément, des photos géantes de Guillaume Gellert ont été projetées toute la semaine sur des immeubles du quartier.

- Des photographies du "Monde de Moussa-fête de Noël" à l’Espace Billard, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

- Des photographies du "Monde de Moussa-fête de Noël" à l’Espace Watteau, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

- Des photographies de "la Magie des pages" à la salle François Mauriac, le 19 décembre 2007, sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071222c

 

Les quartiers fêtent Noël

 


 


 

Une cinquantaine de parents et d’enfants se sont réunis mercredi, dans le hall d’entrée du 1, allée Yves-Gandon, dans les Hauts-de-Murigny, pour fêter le Noël de l’association At’Hom (défense des locataires de l’Effort rémois).

Si l’espace manquait, l’ambiance était chaleureuse et la convivialité très forte.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


 


 

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l’union071222b

 

Les quartiers fêtent Noël

 

Les structures de Pays-de-France s’étaient associées pour offrir, ce mercredi, un bel après-midi de fête aux enfants du quartier.

Ils étaient plusieurs centaines à se réunir à l’espace Picards sur invitation de

- la Maison de quartier Pays-de-France (centre de loisirs 12/15 ans),

- des locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France »,

- du collectif « Croix-Rouge accueil »,

et des associations :

- « Promotion Pays-de-France »,

- « Femmes d’ici et d’ailleurs »,

- « MJC Croix-Rouge »

- et « Point rencontres ».

Au programme, animations, pâtisseries, friandises…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071222a

 

Des dessins pour illustrer le sol, élément vital

 

Les classes lauréates après une agréable matinée.

« Le sol, élément vivant, élément vital pour notre planète » ou « Si le sol m’était conté » : une piste de réflexion donnée aux écoliers qui ont visité en septembre dernier « La campagne à la ville » présentée par les Vitrines de Reims avec différents partenaires dont la FDSEA de la Marne.

Pour exprimer leur opinion sur ce thème, les élèves pouvaient participer au concours de dessins proposé, soit en collectif soit en individuel.

Dix classes ont été retenues pour la qualité et la pertinence de leur travail et elles ont été invitées le mardi 18 décembre au cinéma Gaumont place d’Erlon pour une matinée de projection, d’abord de dessins animés puis de leurs propres œuvres bien mises en valeur sur grand écran.

Les lauréats ont ensuite été récompensés par des jeux, livres et bons d’achats.

Le palmarès

Petite catégorie :

- 1e Grande section de maternelle lard,

- 2e CE1 de La Providence,

- 3e CE1 de Saint-Joseph,

- 4e CE1 de Thomas-Gousset,

- 5e CP de Galilée élémentaire

- et 6e CE1 du Sacré-Cœur.

Grande catégorie :

- 1e le CE2 et 2e le CM2 de Saint-Louis,

- 3e ex aequo le CE1 /CE2 de Ruisselet et le CM2 de Clairmarais.

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l’union071221d

 

Prix de mérite et de civisme : les bénéficiaires

 

Les Rémois méritants de cette année réunis à l’hôtel de ville.

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Prix Edouard-Mignot

Deux personnes retenues pour une somme de 250 € chacune : Jocelyne Delbart salariée de la société Leclerc à Champfleury, et Martine Decombis salariée de l’entreprise Leclerc à Saint-Brice Courcelles.

Prix Veuve Blisson-Lavaine

Trois candidats, 166,67 € chacun : Sandrine Dave salariée de la société Leclerc à Champfleury, Julien Colbeaux de la société Carrefour rue de Cernay à Reims et Jean- Philippe Szczygiel de la société Leclerc à Saint-Brice Courcelles.

Prix Poullot, Laval, Irroy, Bouchez, Goulden, Mumm, Henrot, Buirette et divers

Deux personnes retenues pour ce prix, elles reçoivent 250 € chacune : Sophie Denis et Ariane Raulin.

Prix Louise-Berthe

Trois personnes retenues pour un prix de 1.500 € chacune : Andréa Lehnard, Bastien Ivonnet et Kévin Malotet.

Quatre personnes ont été choisies pour une somme de 1.125 € chacun : Elodie Poure, Marie-France Dromain, Mélodie Colzy et Jessica Feray.

Enfin, huit autres personnes qui recevront chacune 562,50 € : Stéphanie Houille, Funda Aydin, Amélie Kuc, Salima Abidi, Maïté Bitam, Elsa Corgie, Grégory Devilliers et Anthony Fatmi.

Prix Piper, Puer-Collet Lefert, Pommery et divers

Cécile Somson, étudiante à l’Ecole supérieure d’art et de design de Reims en 3e année, reçoit la somme de 500 €.

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Récompensés pour leur mérite

 

Parce qu’ils ont accompli une bonne action, font preuve de dévouement, entourent leur entourage de prévenance et d’affection, la Ville les a choisis pour leur décerner les Prix de mérite et de civisme. La cérémonie a eu lieu hier soir à l’hôtel de ville. Rencontre avec trois d’entre eux.

 

 

Elodie Poure

 

 

Elodie, 14 ans, a l’air un peu perdu. Elle sait qu’elle a reçu le prix Louise-Berthe. Mais pourquoi ? Elle l’ignore… « Je sais juste que c’est ma CPE qui a proposé mon nom. »

En fouillant un peu dans sa vie, son mérite apparaît clairement : depuis la 6e, elle aide au quotidien l’une de ses camarades, Myriam Idamar, non voyante.

Aujourd’hui, elles sont toutes les deux en 3e au collège Georges-Braque. Et toujours aussi complices. « On est tout le temps ensemble en cours. On s’entraide mutuellement. Elle a une machine qui écrit en braille, des livres transcrits, des documents… Mais dès qu’il y a des photos, je lui décris. »

Les deux jeunes filles partagent également une passion commune pour le chant. Là encore, Elodie n’hésite pas à dépanner : « Lorsque les répétitions de la chorale finissent trop tard le vendredi, elle dort à la maison ».

M.D.

 

 

Sophie Denis

 

 

Lors d’une intervention, le 24 juillet 2007 au matin, Sophie Denis, fonctionnaire de police, a porté secours à une personne âgée de 77 ans et à deux jeunes enfants âgés de 5 ans et 11 mois, prisonniers tous trois sur le palier du 6e étage d’un immeuble du 36, groupe Eisenhower à Reims, dans lequel s’était déclaré un incendie.

« Nous étions sur place avant les pompiers », se souvient Mlle Denis.

« Il y avait des personnes prises dans l’incendie. La femme dont l’appartement brûlait était remontée dans l’ascenseur avec ses deux petits-enfants pour s’y rendre.

Il a fallu aller les chercher. Avec deux collègues, nous sommes montés par les escaliers, on ne voyait rien. Nous les avons accompagnés pour redescendre. Puis au 5e, nous avons secouru des personnes handicapées. »

M.D.

 

 

 

Ariane Raulin

 

 

 

Ariane Raulin pourrait prendre sa retraite dès cette année. Pourtant, elle continue de travailler malgré quelques soucis de santé, afin de pourvoir aux frais de soins et d’éducation de son petit-fils handicapé.

Elle assume également l’éducation d’un autre de ses petits-fils.

Ce sont Evelyne Chobeau, intendante du lycée professionnel Joliot-Curie, et Gilles Gladieu, proviseur, qui ont proposé à la ville la candidature de Mme Raulin, également employée du lycée.

Mais sans lui révéler la démarche. « L’un des prix correspondait parfaitement à la situation de Mme Raulin », se souvient l’intendante. « C’est quelqu’un que j’estime beaucoup. Je souhaitais la reconnaissance de ce qu’elle fait à titre personnel. C’était aussi une façon pour moi de la remercier à titre professionnel. »

M.D.

 

 

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l’union071221c

 

Croix-du-Sud : le maniaque du briquet interpellé

 

Cela faisait plusieurs mois que des feux pour le moins suspects se répétaient dans le quartier Croix-du-Sud, en particulier du côté des allées des Catalans, des Bretons, ou des Champenois : tantôt une haie, tantôt une poubelle, tantôt une voiture se mettaient à brûler la nuit venue…

La police du commissariat de Reims mit donc en place une surveillance « pointue » du secteur en question, surveillance qui permit de repérer deux individus suspects, un garçon de 18 ans, et un mineur. Il fallait toutefois les prendre sur le fait.

Cela faillit réussir samedi dernier, à la suite d’une tentative d’incendie sur un utilitaire Kangoo. Le « boutefeu » avait bien été repéré, mais avait réussi à s’éclipser discrètement…

Perte d’un bébé

Les policiers eurent plus de chance quelques nuits plus tard. Ce mardi 18 décembre, en effet, ils surprenaient les maniaques du briquet en train d’immoler un conteneur à ordures. Le tandem habituel était même cette fois accompagné d’un troisième personnage. Deux des trois acteurs étaient interpellés rapidement, vers les trois heures du matin, le troisième larron réussissait une fois encore à se sauver, mais fut cueilli à son domicile quelques heures plus tard.

Au cours de leur garde à vue, les incendiaires ont reconnu en tout une dizaine de faits (mais les policiers estiment qu’ils pourraient bien être impliqués dans sept autres au moins).

Le majeur, Steven Lobry, comparaissait hier devant le tribunal correctionnel. Pourquoi agissait-il ainsi ?

Problème psychologique, invoquera-t-il, à la suite de la perte d’un bébé à naître, combiné à une consommation excessive d’alcool. Le président du tribunal énumérait les infractions reprochées : un vrai catalogue riche d’une quinzaine de mentions. Mais le prévenu contestait être responsable de l’ensemble. Le tribunal tenta de faire le tri. Exercice assez compliqué et fastidieux.

Le parquet fait appel

Le ministère public, lui, avait fait ses calculs, et pour lui, le prévenu devait être reconnu coupable pour au moins huit feux.

L’avocate de la défense, Me Thil, avait un autre résultat : six seulement, deux haies, deux bâches brise-vue, la poubelle du 18 décembre et la Kangoo.

Les juges ont finalement estimé que la présomption d’innocence devait jouer en faveur de Steven Lobry pour partie, mais quand même pas pour les faits qu’il reconnaissait.

Ils le condamnèrent donc à une peine de neuf mois de prison, dont six assortis du sursis, sans placement en détention immédiat.

Le parquet a fait appel de cette peine, qu’il trouve trop légère.

A.P.

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l’union071221b

 

Les dernières nouvelles du quartier

 

Contre les discriminations

Les sept classes de 4e du collège François-Legros ont bénéficié d’une action d’information menée par un représentant du CIAM (Collectif interculturel d’associations de migrants) autour des problèmes de discrimination.

Courage

Les prix de mérite et de civisme 2007 ont été décernés. Parmi les bénéficiaires, une habitante de Croix-Rouge, Sophie Denis, a été remarquée, avec un prix de 250 euros, et la citation suivante : « Lors d’une intervention, le 4 juillet 2007 au matin, Mlle Denis a porté secours à une personne âgée de 77 ans et à deux jeunes enfants âgés de 5 ans et de 11 mois, prisonniers tous trois sur le palier du 6ème étage d’un immeuble sis 36, groupe Eisenhower, dans lequel s’était déclaré un incendie d’appartement » . Voir aussi notre article en page 3.

Aire de jeux

A la suite de l’intervention de Florence Gaillard, une habitante, lors d’une réunion publique du conseil de quartier de Croix-Rouge - Maison-Blanche, le président du conseil de quartier l’a rencontrée sur place pour étudier avec elle la faisabilité de la réhabilitation d’une aire de jeux dans le secteur Bourguignons, financée dans le cadre du Contrat urbain de Cohésion sociale (Cucs), en partenariat avec le Foyer rémois.

Hauts-de-Murigny

Au cours de sa dernière assemblée générale, l’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny, le conseil d’administration et le bureau ont été élus.

Présidente, Maud Trefcon ; secrétaire : Isabelle Mallinger ; trésorier, Daniel Houssack ; administrateurs : Jean-Pierre Malbranque et Sandrine Lebel.

Zone franche urbaine

La Sarl EMJE, ayant pour objet l’électricité, la plomberie et la pose d’adoucisseurs d’eau vient de voir le jour. Son siège social est fixé au 12, allée des Bourguignons. Jérôme Estrade, de Taissy et Emmanuel Mion, de Pays-de-France en sont les gérants.

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l’union071221a

 

Échanges fonciers et aire de jeux à Croix-Rouge

 

Il a plusieurs fois été question du quartier Croix-Rouge à la réunion de conseil municipal. L’occasion pour Eric Quénard de demander plusieurs précisions.

CURIEUSE délibération que celle proposée par le maire Jean-Louis Schneiter invitant ses collègues à l’autoriser à signer une convention cadre relative à des échanges fonciers avec les trois organismes logeurs rémois dans le cadre du renouvellement du quartier Croix-Rouge.

« Vous nous demandez d’acter le principe d’échanges fonciers de 2008 à 2011 et d’autoriser le dépôt des permis de construire et le commencement des travaux alors que le conseil municipal ne connaît même pas le contenu du projet qui doit être signé au premier semestre 2008 » s’est offusqué le conseiller municipal socialiste Eric Quénard. « Vous auriez dû inverser la démarche pour plus de cohérence. Puisqu’on ne connaît pas le projet ; nous ne voterons pas cette délibération. »

Le maire, (tout miel) : « Je ne peux pas vous répondre sur le fond. Je ne veux pas perdre de temps, mes jours sont comptés… Vous verrez, je ne vous ai pas roulés dans la farine. »

Une aire peut en cacher une autre

De son côté le groupe communiste par la voix de Monique Foulard a voté la délibération, non sans quelque inquiétude sur les moyens de paiement de l’Anru « puisque les crédits d’État ont diminués de 40 %. »

À l’unanimité le conseil municipal a accepté de cofinancer à concurrence de 14.352€ le réaménagement de l’aire de jeux en libre accès de l’allée des Bourguignons, propriété du Foyer rémois. L’organisme logeur paie la même somme et l’État : 28.704€.

Eric Quénard a profité de l’occasion pour demander à la ville de s’occuper du terrain de jeux du secteur Bonaparte, « impraticable et dangereux » et que l’association Jeunesse espoir voudrait transformer en city stade.

« Cette aire de jeux n’appartient pas à la ville », a répondu Ahmed ElMcherfi, adjoint chargé des relations avec les quartiers. « Le terrain est au Foyer rémois. J’ai rencontré cette association. On a budgétisé le projet. Ça devrait aboutir. »

Jean-Louis Schneiter : « Venez ensemble m’en parler. » Ahmed El Mcherfi : « c’est cela la démocratie participative ! »

Alain Moyat

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l’union071220f

 

Rixe devant le collège

 

Un adolescent de 12 ans en a frappé un autre du même âge lors d’une rixe vendredi matin devant le collège Georges-Braque.

Un différend oppose les deux garçons depuis le primaire. Vendredi, l’agresseur a pris le dessus en distribuant gifles et coups de poing à la victime qui est tombée à terre. Il lui a alors sauté dessus !

Interpellé, l’adolescent est convoqué le 15 janvier devant le juge des enfants. L’autre garçon légèrement blessé a été transporté au centre hospitalier.

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l’union071220e

 

Feux de détritus

 

Un feu de détritus s’est déclaré dimanche à 19 heures dans un local à vide-ordures de l’allée des Provençaux, au n° 8. Il a péri par manque de combustible avant l’arrivée des pompiers.

………

Mardi à 0 h 45, ce ne sont pas des détritus mais une haie de thuyas qui a été incendiée allée des Landais. Un feu de local à vide-ordures a suivi à 17 heures allée Edgar-Degas.

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l’union071220d

 

Les rats occasionnent une facture de 80.000€ au centre de vacances

 

BEAUCOUP de Rémois gardent un souvenir ému de la Grainetière, cette belle propriété léguée à la ville qui en a fait un centre de vacances et de classe de découverte dans la commune de La Flotte en Ré. Lundi, les élus ont été invités à voter une subvention de 80.0000€ pour l’association de gestion de la Grainetière en proie à de graves difficultés financières. - « En l’espace d’un week-end, la subvention exceptionnelle est passée de 15.000€ à 80.000€ », s’est étonné le socialiste Eric Quénard.

« Comment l’association a- t-elle pu cumuler un tel déficit cette année ? Si on veut continuer à faire de ce site un lieu de villégiature, notre collectivité devra définir un plan d’investissement sur les deux bâtiments pour le mettre aux normes, les rénover. »

Sourire aux lèvres, la première adjointe Marie-Annick Roger a alors pris la parole. « Rien de tout cela. Le centre de vacances est bien entretenu.

Du tac au tac

Le clos et le couvert sont aux normes. Il n’y a plus de restauration, excepté le petit-déjeuner.

Elle vient du continent. En fait le déficit vient d’un versement tardif d’une subvention à l’association de gestion suite à des problèmes avec le nouveau gardien. » Explication : « Nous avons changé de gardien. Il a trouvé la maison dans un état déplorable avec 100 kg de rats morts dans le plafond » (sic). Nous avons fait des travaux et comme le gardien venait d’être embauché nous avons dû louer un logement pour l’héberger. » CQFD.

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Adopté, adopté, adopté

Soutien aux maisons de quartier

Les élus ont accepté d’allouer plusieurs subventions à l’association des maisons de quartier : 93.721€ pour l’acquisition de matériels et des travaux dans différentes maisons, 7.500€ pour l’organisation de l’opération « Noël dans la rue » destinée à offrir chaque année aux enfants des écoles et aux habitants du 2e canton des spectacles, des animations et des interventions artistiques dans les rues et les marchés jusqu’au 22 décembre.

Une subvention de 6.400€ servira dans le cadre du service municipal d’accueil de réaliser une activité informatique/multimédia pour les enfants de l’école élémentaire La Neuvillette et une activité « autour du conte » pour les enfants des écoles du quartier Croix-Rouge. En 2007 l’association des maisons de quartier (26 maisons) a reçu une subvention de fonctionnement de 3,81M€ ; 630.000€ pour les haltes garderies et 106.279€ de subvention de fonctionnement.

Michel Guillaudeau (PCF) s’est « inquiété des départs non remplacés, notamment trois directeurs et un poste d’animateur qui va être partagé avec une association ». Franck Noël, adjoint à la jeunesse a expliqué qu’il y avait des recrutements. En ce qui concerne le Chemin Vert, « il rouvrira en janvier sous l’égide de la ville. »

Coup de pouce à l’Opéra

La ville souhaite pérenniser l’opération coup de zoom pour favoriser le cinéma art et essai.

Elle accorde une subvention de 5.000 euros au cinéma Opéra qui propose une fois par mois le vendredi (excepté en juillet, août et septembre) une séance à 3 euros sur un film. La ville prend en charge 2 euros par place vendue dans la limite de 2.500 places.

Maison commune du Chemin Vert

À compter du 1er janvier 2008 la ville reprend en gestion directe la Maison commune du Chemin vert.

La salle de mariage sera toujours louée aux familles pour les mariages et aux associations au tarif de 100€ la journée pour les repas et bals et 62€ pour les vins d’honneur et les goûters.

Bibliothèque : les casseurs payeurs

Un tarif a été institué pour le remboursement des documents vidéo perdus, détériorés ou volés dans les bibliothèques municipales.

Il en coûtera 20€ pour une cassette VHS ; 35€ pour un DVD, 45€ pour un coffret de 2 DVD, 60€ pour un coffret de plus de 2 DVD, 20 € pour un Cédérom.

À l’écoute des ados

Dans le cadre de sa mission au bénéfice des enfants de parents séparés, l’association espace rencontre Le Creuset envisage de mettre en place une écoute particulière des parents hébergeant et de leurs adolescents. La ville accepte de subventionner à concurrence de 5.000€ ce projet évalué à 16.000€.

Le reste est pris en charge par la Caisse d’allocations familiales (6.000€) et la direction régionale et départementale des affaires sanitaires et sociales (5.000€).

Une dalle qui coûte cher

Le 17 octobre dernier, une dalle « du refus de la misère », reproduction de celle posée devant le Trocadéro a été inauguré face au transept Nord de la Cathédrale. Le coût de la pose de la dalle et de l’inauguration s’élève à 27.681€.

Pour marquer son soutien à l’association la ville a décidé de participer à ces dépenses en accordant une subvention de 19.752€ au mouvement aide à toute détresse Quart monde.

En 2007 l’association a déjà obtenu 19.000€ de subvention.

A.M.

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261.738 euros de subventions aux associations

Lundi soir, le conseil municipal a voté de nombreuses subventions.

Subvention d’équipement : Unis-Cité, 3.291 €.

Subvention pour une animation. – Association des Congolais de la Marne, à titre exceptionnel, 1.000 €.

Congrès et assemblées générales. – Les Hommes grenouilles de Champagne, à titre exceptionnel, 168 € ; Comité de jumelage Reims-Salzbourg, à titre exceptionnel, 287 € ; Les Aînés ruraux, Fédération départementale de la Marne acompte, à titre exceptionnel, 2.500 € ; Tennis club Géo- André, à titre exceptionnel, 168 € ; Société des anciens combattants et victimes de guerre et leurs sympathisants, à titre exceptionnel, 549 € ; Arts Loisirs et Culture à Reims, à titre exceptionnel, 287 € ; Sport Tonus, à titre exceptionnel, 287 € ; Union nationale des combattants, groupe Marne, à titre exceptionnel, 1.000 €.

Subventions à caractère socio-éducatif. – Association Prévention MAIF antenne de la Marne, à titre exceptionnel, 1.500 € ; Artisans du Monde, Reims, 2.000 € ; Association pour le développement de la zone prioritaire Croix-Rouge, 9.150 € ; Vivre et Apprendre à Orgeval, 9.150 € ; Association de Développement de la ZEP Wilson, 10.150 € ; Verseau, 7.000 €.

Subventions aux associations d’étudiants. – Champagne-Ardenne Photo Université Club, à titre exceptionnel, 2.000 € ; Association de Naturalistes pour l’Information et les Sorties, à titre exceptionnel, 11.000 € ; Campus Assistance, à titre exceptionnel, 4.000 € ; Association des Étudiants spécialistes de l’Europe Centrale et Orientale, à titre exceptionnel, 1.100 € ; Groupe interdisciplinaire d’étude et de prospective internationale, à titre exceptionnel, 400 € ; Campus Live, à titre exceptionnel, 5.000 €.

Subventions à caractère sportif. – Académie Billard « Le Tapis vert », à titre exceptionnel, 1.500 € ; Union Française des Œuvres Laïques et d’éducation physique, à titre exceptionnel, 3.000 € ; Reims Champagne Handball, à titre exceptionnel, 4.950 € ; Reims Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion patinage, à titre exceptionnel, 4.500 €.

Subventions à caractère culturel. – Association de la Mosquée et du Centre Islamique, à titre exceptionnel, 3.100 € ; Rencontres interculturelles de Reims, à titre exceptionnel, 1.800 € ; D’un Moment l’Autre Théâtre, à titre exceptionnel, 5.000 €.

Subvention au titre du dispositif de réussite éducative. – Action Régionale pour l’Information et l’Orientation, à titre exceptionnel, 5.000 €.

Subventions à caractère social. – Aide Familiale à Domicile de la Marne, 9.750 € ; Association Étoile Croix du Sud, à titre exceptionnel, 5.000 € ; Union Régionale Interfédérale des Œuvres et Organismes privés Sanitaires et Sociaux de la région Champagne-Ardenne, à titre exceptionnel, 500 € ; Bâtiment Services, à titre exceptionnel, 5.000 € ; Les Œuvres hospitalières françaises de l’Ordre de Malte, à titre exceptionnel, 500 € ; Comité d’Action sociale en faveur des originaires des départements d’Outremer en métropole Casadom, à titre exceptionnel, 5.000 €.

Subventions à caractère sanitaire. – Association Valentin Haüy pour les aveugles, 690 € ; Visite des Malades dans les établissements hospitaliers, 2.000 € ; Onco Bleuets, à titre exceptionnel, 153 € ; Association des Familles de traumatisés crâniens de Champagne- Ardenne, 800 € ; Groupement des intellectuels aveugles ou amblyopes, 150 € ; Myosotis, complément, à titre exceptionnel, 9.400 € ; Trisomie 21 Marne, groupe d’étude pour l’insertion sociale des personnes porteuses d’une trisomie 21, à titre exceptionnel, 325 € ; École du Chat « Comité de défense des Bêtes Libres » de Reims, 7.500 € ; Association marnaise pour le droit de mourir dans la dignité, 1.000 €.

Subventions à caractère touristique. – Comité de jumelage Reims/Aix-la-Chapelle, à titre exceptionnel, 2.000 € ; Comité de jumelage Reims-Canterbury, à titre exceptionnel, 2.000 €.

Subventions à caractère économique. – Association pour la promotion de l’agriculture biologique, à titre exceptionnel, 2.000 € ; Jeune chambre économique de Reims et de sa région, à titre exceptionnel, 4.500 € ; Fédération des entreprises Farman Pompelle, 10.000 €.

Le conseil décide de rapporter la subvention exceptionnelle de 165 € à l’Académie nationale de Reims pour l’organisation d’une assemblée générale au Centre des Congrès, la réservation étant annulée.

Il décide de rapporter la subvention de fonctionnement de 195 € attribuée au club 3e âge Saint-Remi Saint-Maurice, l’association ayant procédé à sa dissolution le 31 octobre.

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l’union071220c

 

Rencontre de fin d’année de « Multi-échanges services »

 

Les participants devaient proposer un vœu pour un monde meilleur.

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L’association Multi-échanges services a organisé son repas convivial de fin d’année, vendredi dernier à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

Selon la tradition, chaque convive (cinquante couverts, adhérents et amis de la MutES) avait offert un plat de son choix, à partager en commun.

La soirée s’est déroulée dans une grande convivialité, avec un très beau spectacle présenté par la compagnie « Les Orientales en Couleurs », des chants, de la magie, des histoires drôles, et des sketches, sans oublier naturellement l’arrivée du père Noël auquel les enfants se sont offert des dessins !

Quatre élus du quartier se joints à la présidente Martine Massart pour vanter les qualités de solidarité et de tolérance de cette association qui va bientôt fêter ses vingt ans d’existence.

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l’union071220b

 

Avis favorable pour le tramway

 

La commission d’enquête a accordé un avis favorable au projet de tramway avec seulement six modifications mineures sur la ligne préconisées par les enquêteurs. Il sera maintenant difficile de l’arrêter.

Si le préfet entérine le projet rapidement, les travaux de la ligne de tramway pourraient commencer avant les municipales. Photo archive : Christian-Philippe PARIS

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La commission d’enquête a accordé un avis favorable au projet de tramway avec seulement six modifications mineures sur la ligne préconisées par les enquêteurs. Il sera maintenant difficile de l’arrêter.

CETTE fois, il est lancé. Plus rien de devrait pouvoir empêcher le tramway de Reims de voir le jour. Juridiquement parlant, tout au moins.

Il était 12 h 45, hier, dans les locaux de l’entreprise Mars, quand le téléphone a sonné. C’était le préfet de la Marne. Christian Messelyn, directeur de la société chargée de la conception du tram, a pris l’appel.

« Le préfet m’a annoncé qu’il venait de recevoir les conclusions de la commission d’enquête et que le projet avait reçu un avis favorable ».

L’appel a été suivi d’une explosion de joie que l’équipe de Mars a essayé de contenir par respect pour le préfet qui doit encore signer la déclaration d’utilité publique. Signature qui permettra de commencer les travaux.

L’avis favorable a été assorti de six préconisations, c’est-à-dire que la commission d’enquête et le préfet considéreront que le projet mérite son avis favorable si Mars prend en compte six changements à apporter sur la ligne.

« C’est fait. Nous avons passé l’après-midi à tenir compte de leurs remarques ».

Une station en plus pour Croix-Rouge

Ces six points n’ont pas été très difficiles à prendre en compte, « car ils ne bous- culent pas beaucoup notre projet ».

Il s’agit d’abord d’ajouter une station à Croix-Rouge entre Campus et Arago, « car il y avait une trop grande distance entre les deux pour les piétons ».

Mars devra également créer un parking relais avenue de Laon : « Nous allons le réaliser sur des terrains qui appartiennent à la ville rue Lebeau ».

Il faudra aussi créer un cheminement piétonnier et une piste cyclable entre les trottoirs nord et sud de la place des Belges.

La station Danton devra être reculée à hauteur des ateliers municipaux : « On va reculer les quais. Ils seront à hauteur des ateliers qui vont déménager et laisser place à un parking ».

Les deux derniers points portent sur la configuration et l’emplacement de deux parkings relais : « Deux détails ».

Le projet ainsi modifié sera présenté au prochain conseil communautaire, fixé au lundi 7 janvier et le préfet n’aura plus qu’à signer la fameuse DUP.

Même si l’équipe du tram tient à rester prudente jusqu’à la signature finale, on n’a jamais vu un préfet aller à l’encontre de la décision favorable d’une2 commission d’enquête.

De plus, on n’a jamais vu un préfet faire traîner une déclaration d’utilité publique quand tous les éléments dont il a besoin pour se décider sont réunis.

Ce qui veut dire que les travaux du tram devraient commencer bien avant les élections municipales.

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Agnès Tisseron écrit pour les habitants

 

Agnès Tisseron.

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Après son départ à la retraite de professeur de lettres au collège Joliot-Curie en juin 2006, Agnès Tisseron n’a pas voulu rester inactive et elle vient de proposer ses services à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, en qualité d’écrivain public bénévole.

« Tous les lundis de 14 à 15 heures, je suis à la disposition des habitants pour les aider à rédiger tout courrier dont l’écriture pose problème », confirme-t-elle.

Cette activité remporte déjà un certain succès :

- beaucoup d’imprimés administratifs,

- des demandes d’aide, des CV à compléter,

- mais aussi des lettres personnelles.

« Il faudra probablement que j’ouvre une nouvelle permanence ».

On peut la rencontrer à l’espace Billard,

12 - 14 rue Pierre-Taittinger

Tél. 03.26.08.08.78.

 
 

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l’union071219c

Le locataire irascible incendie la porte de sa voisine

 

L’incident s’est produit jeudi dernier dans un immeuble de l’allée des Provençaux. Vers 21 heures, alcoolisé par 27 bières avalées au fil de la journée, un locataire ne supporte plus les pleurs d’un enfant de 30 mois qui vient de se faire mal en trébuchant chez sa mère dans l’appartement du dessous. « J’ai entendu quelqu’un crier « Ta g… ! ». J’ai répondu « La tienne ! » raconte la maman. Piqué au vif, Laurent F érin, 38 ans, descend avec un bidon d’essence qu’il déverse sur la porte de la dame. Il met le feu. Le bas de la porte s’embrase, les flammes se propageant dans l’entrée sur une longueur de 1,50 mètre en raison des traînées d’essence.

La victime éteint l’incendie avec des seaux d’eau. Sur le palier, elle se retrouve face à son voisin armé d’un sabre.

Ce n’est pas la première fois que le locataire irascible fait parler de lui dans l’immeuble.

En 2006, il fut déjà condamné pour avoir cassé le judas du voisin d’en haut : il ne supportait plus d’entendre ses enfants jouer dans la chambre.

Jugé en comparution immédiate, il a écopé d’un an de prison dont quinze jours ferme avec placement en détention. Les onze mois et quinze jours avec sursis sont assortis d’une mise à l’épreuve comprenant l’obligation de suivre des soins et d’indemniser la victime (elle a obtenu 500 €).

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 071219b

CONSTITUTION DE SOCIETE :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 10 octobre 2007, il a été constitué la société à responsa¬bilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : S.A.R.L.

DÉNOMINATION : S.M.E. (Société Marnaise d’Étanchéité).

CAPITAL : 2.000 €, divisé en 200 parts de 10 € chacune, entièrement souscrites et libérées.

OBJET :Travaux d’étanchéité.

DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.

SIEGE : 11 allée Edgard Degas -51100 REIMS.

GERANCE : Monsieur ISBILIR Murat, demeurant 11 allée Edgar Degas - 51100 REIMS.

DEBUT D’ACTIVITÉ : Dès son immatriculation au R.C.S. de REIMS (Marne).

Pour avis : 59109 Le gérant.

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l’union071219a

 

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

 

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant arti¬cles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.

3. Objet des marchés : marché de travaux : ravalement de façades, réfection des jardinières béton 32-46, esplanade Eisenhower, 39-45, rue Pierre-Taittinger.

4. Nombre et consistance des lots : quatre lots répartis comme suit :

- Lot 1 : échafaudage.

- Lot 2 : maçonnerie.

- Lot 3 : serrurerie.

- Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.

5. Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 30 jours).

6. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAM-PAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.

8. Critères d’attribution : mémoire technique : 20 % ; prix : 80 %.

9. Délai de validité des offres : 120 jours.

10. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.

Les offres peuvent également être transmises par voie élec¬tronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr, rubrique marchés publics.

11. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de REIMS HABITAT CHAM-PAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.

12. Date limite de remise des offres : jeudi 17 janvier 2008 à 17 heures.

13. Date d’envoi de l’avis à la publication : vendredi 14 décem¬bre 2007

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l’union071218d

CROIX-ROUGE : Rencontre bilan sur les séjours d’été

 

Des retrouvailles gaies et chaleureuses.

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Stéphanie Tadla, responsable des séjours, dans le cadre du pôle « loisirs et sports de proximité » de la maison de quartier Croix-Rouge et les animateurs, avaient invité samedi 15 décembre les enfants et les ados de 12 à 17 ans, qui ont participé cette année à un séjour d’été et leurs familles, à un repas bilan pour découvrir les films de l’ensemble des séjours.

Un CD sur le séjoiur « Francofolies » a été distribué aux familles.

La grande salle de l’espace Watteau était pleine pour ce joyeux moment autour d’un couscous préparé par l’association Femmes d’ici et d’ailleurs (FD’IA).

Les familles ont découvert les activités de leurs enfants aux camps en baie de Somme à Quend-Plage, à La Rochelle aux Francofolies, dans un centre équestre près du lac du Der, à Croqu’Nature en Haute-Marne avec les Éclaireurs de France (base d’Humbécourt) et à Blacy, près de Vitry-le-François avec l’association MJC Croix-Rouge.

Aux vacances de printemps

Tous ces séjours ont été possibles grâce à une collaboration entre la maison de quartier Croix-Rouge et de nombreux partenaires tels que la Circonscription de la solidarité départementale, le Service départemental de prévention, le Secours populaire, le Dispositif de réussite éducative Croix-Rouge (DRED) et les associations territoriales du quartier qui ont repéré les enfants sur le terrain.

« Devant le succès de ces séjours, pour la nouvelle saison, nous les élargissons aux vacances de printemps, avec en particulier des séjours familles, sur les mêmes bases qu’en 2006 » annonce Stéphanie Tadla.

Renseignements à la Maison de quartier Croix-Rouge (03.26.86.10.71.).

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071218c

Deal sur Croix-Rouge : un an ferme

 

Tribunal correctionnel de Reims.- Matthieu Bredemestre (20 ans) et Jaouaid Kerbouche (18 ans) comparaissaient hier pour trafic de stupéfiants.

Vendredi dernier, à l’occasion d’un contrôle routier, les policiers ayant arrêté le jeune Jaouaid ont remarqué sur la place passager des résidus de ce qu’ils croyaient être de la résine de cannabis.

Face aux dénégations du jeune homme, les policiers ont fouillé la voiture et ont trouvé plus de 700 grammes de résine, ainsi que 570 euros en billets.

Entendu, Jaouaid a indiqué que son fournisseur — un dénommé « Kamel » — était entré en contact avec lui sur un bateau de retour d’Algérie. « Il m’a toujours appelé en numéro masqué », assure Jaouaid. « Il me fournit les quantités demandées. »

Le jeune homme ne consomme pas de cannabis. Il reconnaît qu’il achetait en moyenne 200 g de résine par semaine, depuis deux ans environ « mais c’était irrégulier », ajoute-t-il aussitôt.

« De l’argent facile »

Jaouaid vendait à Croix-Rouge essentiellement, et notamment à Matthieu Bredemestre, un client très régulier. La plaquette achetée 350 euros à Kamel était revendue « 500 euros » à Matthieu. « C’était de l’argent facile, » avoue Jaouaid. « C’était tentant. Je me suis lancé dans ce trafic pour arrondir mes fins de mois. »

Le ministère public a requis 8 mois de prison dont 6 avec sursis et mise à l’épreuve à l’encontre de Matthieu Bredemestre, et 10 mois dont 4 avec sursis à l’encontre de Jaouaid Kerbouche.

L’avocat des deux jeunes, Me Thiery a souligné le jeune âge de ses clients « qui n’ont jamais eu affaire à la justice » avant de demander au tribunal de leur « donner une chance : ils ont passé 30 heures au commissariat et ont compris la leçon ».

Le tribunal en a décidé autrement. Il a condamné Jaouaid Kerbouche à 18 mois de prison dont 6 avec sursis et a décerné un mandat de dépôt à son encontre. Matthieu Bredemestre a, quant à lui, écopé d’un an de prison dont 8 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de se soigner et de justifier d’une activité professionnelle.

P.B.

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l’union071218b

SUPPLEMENT ECO : Des moyens pour les parcs d’activités rémois

 

Des retrouvailles gaies et chaleureuses.

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La chambre de commerce et d’industrie de Reims et d’Epernay, dix associations des parcs d’activités du bassin rémois et le groupement d’employeurs de Reims Champagne Idees viennent de signer une convention de partenariat.

Elle permettra aux associations de bénéficier de moyens techniques et humains pro¬pres à favoriser leur développement et de mettre en œuvre des projets participant au développement et à l’attractivité de leurs territoires.

De manière concrète, la CCI de Reims et d’Epernay va financer pour moitié un poste de secrétaire administratif et commercial à temps partagé, employé par le groupement d’employeurs Idees, aux dix associations d’entreprises des parcs d’activités du bassin rémois signataires.

La CCI financera, sous forme de contribution au groupement Idees, 50 % des heures utilisées par les associations dans la limite de 720 heures par an.

Et les associations utilisatrices complèteront le financement de ce poste en fonction de leurs besoins.

Ce poste de secrétaire va permettre aux associations d’animer, de promouvoir les parcs d’activités et d’amplifier leurs projets dans les domaines suivants : développement et animation des outils de communication (site internet, annuaire électronique ou papier, bulletin de l’association, signalétique, identité graphique des zones…), développement des projets structurants (projet environnemental, crèche interentreprises, gardiennage et sécurité…).

Les associations concernées : Bétheny Multipôles, Colbert Développement, Distripôle Nord-Eest, Farman-Pompelle (Fedap), Port Sec, Croix-Rouge Entreprises Association (C.r.e.a.), Protection et Essor (A.P.E.) de l’actipôle La Neuvillette, parc Millésime de Thillois, Witry Caurel.

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l’union071218a

Langue des signes

 

Samedi 22 décembre la bibliothèque municipale propose un spectacle bilingue, en français et langue des signes : à 14 heures à la médiathèque Croix-Rouge, à 16h 30 à Falala.

Au programme Ma parole, saynète portant sur les problèmes de communication, surtout entre entendants et malentendants.

Pour Croix-Rouge, il convient de réserver au 03.26.35.68.51.

On peut aussi appeler le 03.26.35.68.00.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 071217b

CONSTITUTION DE SOCIETES :
annonces parues dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Aux termes d’un acte sous seing privé à REIMS en date du 20 novembre 2007, il a été constitué une société à responsabilité limitée au capital de 1.000 € (apport en numéraire), pour une durée de 99 ans, dénommée EMJE ayant pour objet : électricité, plomberie, pose d’adoucisseur d’eau.

Le siège social est fixé au 12 allée des Bourguignons à REIMS.

MM. ESTRADE Jérôme, demeurant au 26 rue des Thuilettes à TAISSY, et MION Emmanuel, demeurant au 12 allée des Bourguignons à REIMS, ont été nommés en tant que gérant.

La société sera immatriculée au Registre de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de REIMS.

60320

Rectification de l’annonce parue dans le journal 7213 concernant la S.A.R.L. EMJE, ayant pour objet plomberie électricité :

le siège sera fixé au 5 allée des Savoyards à REIMS, et non au 12 allée des Bourguignons à REIMS.

Mention de ces rectifications seront effectuées au R.C.S. de REIMS.

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Dénomination sociale : DenteK.

Forme sociale : E.U.R.L.

Siège social : 1, place Maurice Utrillo, 51100 Reims.

Capital social : 3.000 euros.

Objet social : vente de maétérielmédical dentaire.

Durée 99 ans.

Gérant : Monsieur KUNTZLERFabrice, 1, place Maurice-Utrillo, 51100 Reims.

La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.

Pour avis.

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l’union071217a

Noël à Pays-de-France

 

 

 

 

 

Le père Noël a fait une halte à l’Association de Promotion de Pays-de-France (APPF) mercredi 12 décembre où un goûter était organisé pour le plus grand plaisir des enfants du centre de loisirs, accompagnés de leurs parents et des bénévoles.

Un après-midi très convivial.

 

 

 

 

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l’union071215b

Les maisons de quartier léguées au prochain maire

 

Le budget 2007 a enfin pu être voté, jeudi soir, grâce à un renflouement d’argent public.

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Les maisons de quartier en héritage pour la prochaine municipalité. Et bonne chance pour les gérer… Jeudi soir aux Châtillons, l’association qui a été chargée par la ville de s’occuper des anciennes MJC, a enfin pu voter son budget 2007. Il n’avait pas pu l’être en juin car trop déficitaire.

Depuis, le maire a fait un chèque de 200.000 euros et la Caf pourrait verser 30.000 euros. De l’argent du contribuable pour rattraper par la culotte une structure budgétivore. « Aujourd’hui, nous pouvons voter notre budget 2007 car notre budget prévisionnel 2008 est presque en équilibre », se félicite Jean-Pierre Ettel, président de l’association.

« Si la Caf donne comme prévu, nous n’aurons plus qu’un déficit de 30.000 euros. Sur un budget de 10 millions d’euros ce n’est rien ». 10 millions pour faire tourner pas moins de 26 maisons de quartiers et rémunérer près de 300 salariés.

Un audit réalisé il y a quelques mois avait préconisé la fermeture de plusieurs maisons et même la suppression d’emplois.

Provoquant des inquiétudes parmi les salariés. Aujourd’hui il n’est plus question, ni de licencier, ni de fermer des maisons de quartier, ni même de les regrouper, bref il n’est plus question d’y toucher.

« Nous avons réglé le problème du budget. Ce sera à la prochaine équipe municipale de décider ce qu’elle veut faire. Nous allons d’ailleurs recevoir chaque candidat individuellement pour nous présenter. Mme Vautrin et M. Beaupuy nous ont déjà sollicités, nous allons contacter les autres ». Peut-être ne sont-ils pas pressés de découvrir le bébé…

C.F.

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l’union071215a

Calcul des impôts locaux : une révision nécessaire.
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Dossier Julien Bouillé

 

La révision est nécessaire, mais les réformes restent dans les tiroirs. Christian PARIS

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La valeur locative cadastrale, sur laquelle se fondent la taxe d’habitation et la taxe foncière, est calculée selon des données datant de 1970. D’où des incohérences dans les impôts réclamés d’un quartier à l’autre.

SOUVENEZ-VOUS de 1970. Cette année-là, les HLM n’étaient pas encore « blêmes », comme allait le chanter Renaud dix ans plus tard. Bien au contraire, les logements collectifs fraîchement construits, à caractère social ou non, avaient la cote dans la France des trente glorieuses. Il y avait tout le confort moderne : salle de bains avec baignoire, WC individuel, ascenseur, chauffage central, vide-ordures à l’étage, des places de parking et des supérettes à proximité. De quoi donner un coup de vieux aux maisons et immeubles des centre-villes souvent mal chauffés, mal isolés, dotés d’installation électriques inégales et de sanitaires parfois d’un autre âge.

Depuis, le marché immobilier a beaucoup évolué. Ce qui attirait hier n’attire plus aujourd’hui. Le problème, c’est que la valeur locative cadastrale, qui sert de base à la taxe foncière et à la taxe d’habitation, est encore calculée à partir des conditions du marché locatif de 1970. « Les critères en vigueur à cette époque ne sont plus en phase avec les valeurs d’aujourd’hui », reconnaît lui-même Xavier Galliot, directeur des finances de la ville de Reims.

Jamais appliquée

Certes, il y a quelques éléments correctifs. Chaque année, la loi de Finances prévoit une revalorisation équivalente à l’évolution de l’indice des prix (un taux de 1,60 % a été adopté pour 2008). Pour la taxe d’habitation, et dans une moindre mesure pour la taxe foncière, des abattements sont accordés en fonction de la situation et des revenus des contribuables. Mais des inégalités persistent (lire par ailleurs).

Le député socialiste de l’Aisne René Dosière considère le système « particulièrement injuste et irrationnel ». L’élu a d’autant plus de raisons de s’indigner qu’il fut le rapporteur d’une loi visant à la révision globale des bases fiscales, votée en 1990, mais qui est restée dans les tiroirs. « Des simulations ont été publiées en 1992. On s’est aperçu que la révision consisterait en une baisse des impôts de 30 % pour les logements HLM et en une hausse globale de 10 % pour les logements non HLM ». Cette nouvelle donne aurait été particulièrement problématique pour l’équilibre financier des villes ayant un fort pourcentage de logements sociaux.

« Personne n’y voit plus très clair »

Dernièrement, la commission des finances de l’Assemblée nationale a repoussé un amendement au budget 2008 qui visait à réviser les valeurs locatives à chaque mutation. On s’est inquiété des possibles « effets pervers » de cette mesure, qui pouvaient conduire, par exemple, à ce que les logements identiques d’un même immeuble soient fiscalisés de façon différente, en fonction de l’année d’achat.

Que faire aujourd’hui ? « Personne n’y voit plus très clair », reconnaît René Dosière, qui milite pour un calcul basé sur la valeur vénale des logements.

Une chose paraît inévitable : une révision passera soit par un coup de pouce, même transitoire, des finances de l’État, soit par une augmentation des impôts locaux, qui évoluent déjà au gré des taux votés par les collectivités.

Ces deux alternatives tombent mal dans un contexte où l’on veut contenir les dépenses publiques et où les contribuables attendent plus de pouvoir d’achat.

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Une équation complexe

 

Le calcul de la valeur locative cadastrale résulte d’une équation complexe. Elle dépend d’abord de la surface habitable du logement à laquelle on ajoute d’éventuelles dépendances dont les surfaces sont minorées selon un barème (un garage de 20m2 correspond ainsi à 10 m2 de surface habitable).

A cette « surface pondérée brute », on applique un « coefficient correctif d’ensemble ». La base de ce coefficient (compris entre 0,8 et 1,2) prend en compte l’entretien du logement. S’y ajoutent des coefficients relatifs à la situation « générale » ou « particulière » du logement. Par exemple, pour une « situation excellente, offrant des avantages notoires sans inconvénients marquants », on ajoutera + 0,10 au coefficient de base. Une situation « mauvaise, présentant des inconvénients notoires sans avantages particuliers », minore le coefficient de base.

On obtient alors une « surface pondérée nette » qui est majorée en fonction du confort de l’habitation. Une baignoire correspond à 5 m2 supplémentairse, le tout à l’égout à 3 m2.

Une fois que la « surface pondérée totale » est établie, on la multiplie par un prix au m2, défini dans chaque commune en 1970 et réactualisé annuellement depuis 1980, en fonction de l’indice des prix.

Au final, on obtient une somme qui correspond à ce que peut en principe rapporter la location dudit logement. Au final, pour calculer l’impôt, on retranche les divers abattements à cette base et on y applique les taux d’imposition votés par chacune des collectivités.

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Des révisions, mais au cas par cas

 

Les contribuables qui s’interrogent sur le calcul de la valeur locative de leur logement peuvent demander des explications au centre des impôts fonciers dont ils dépendent, comme ici à Châlons. Bernard SIVADE

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La révision générale n’est manifestement par à l’ordre du jour et la classification des logements, comme les valeurs locatives au m2 qui en dépendent, restent figés sur des bases de 1970.

Mais des ajustements particuliers restent possibles.

Signalement par une commission

La commission communale des impôts directs, présente dans chaque commune et généralement présidée par le maire, « elle peut signaler à l’administration fiscale qu’il y a des révisions à effectuer dans le but d’une meilleure équité entre les contribuables », précise Nicolas Adam, chef du centre des impôts fonciers de la circonscription de Châlons-en-Champagne.

Modification du logement

Depuis 1970, certains logements ont été améliorés par la mise en place d’un système de chauffage, l’installation d’une nouvelle salle de bains ou l’aménagement de combles.

Tous ces éléments sont de nature à augmenter la base d’imposition, donc l’impôt.

Lorsque les travaux ont nécessité une autorisation des services de l’urbanisme, l’administration fiscale est automatiquement informée.

Sinon, le propriétaire du logement est tenu de faire lui-même une déclaration.

Les relances sélectives

L’administration fiscale peut d’elle-même décider de remettre à jour ses bases en envoyant aux propriétaires des demandes de renseignements.

Par exemple, dans la circonscription de Châlons-en-Cham pagne (qui comprend 280 communes y compris Vitry-le-François et Sainte-Ménehould) l’administration a vérifié, entre 2004 et 2006, 1.000 des 100.000 locaux soumis à impôt.

Ni les agents des impôts, ni ceux des collectivités ne sont autorisés à entrer dans un logement sans le consentement de son propriétaire.

Les vérifications sont donc difficiles.

Ce sont les limites du régime déclaratif.

Renseignements au centre des impôts fonciers

Les contribuables qui s’interrogent sur l’évaluation de la valeur locative de leur logement peuvent avoir accès à tous les éléments qui permettent le calcul de leurs taxes en se rendant au centre des impôts fonciers dont ils dépendent.

Ils peuvent également obtenir des simulations, s’ils fournissent bien sûr les éléments descriptifs nécessaires.

Cette procédure est généralement utilisée pour l’évaluation de la fiscalité des logements en construction.

Elle peut servir aussi pour les logements anciens.

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Charleville : « Des logements de luxe en sous-imposition »

 

A Charleville-Mézières, la base de calcul des impôts locaux fait débat également. « Des personnes qui habitent en HLM paient parfois plus plus cher que des personnes qui habitent le centre-ville où des logements ont considérablement été améliorés depuis 1970. On constate que des appartements de luxe sont en sous-imposition, même si leurs propriétaires ont fait les déclarations nécessaires aux impôts », note le directeur des finances de la ville, Jean-Marc Théate.

La qualification des logements dans les huit catégories prévues dans la nomenclature fiscale fait des mécontents. « Certaines personnes estiment qu’elles ont un classement trop élevé. Parce qu’elles ont choisi de construire avec un peu plus de soin leur maison, elles se retrouvent à payer plus d’impôt que leurs voisins, à surface habitable comparable », explique Nadia Tourneux, adjointe aux finances.

Les habitants des HLM de Croix-Rouge se plaignent de payer aussi cher voire plus cher que ceux du centre-ville. Archives Christian LANTENOIS

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Pour y voir plus clair, la ville vient de lancer un état des lieux de ses bases fiscales. Nadia Tourneux estime que si l’on parvient à élargir la base d’imposition, il sera possible de réduire les taux de prélèvement, tout en conservant les mêmes recettes.

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Croix-Rouge plus cher que le centre ?

 

Depuis des années, les habitants du quartier Croix-Rouge, composé essentiellement de HLM, se plaignent de payer une taxe d’habitation au moins aussi chère, voire plus chère, que les contribuables du centre-ville, à surface habitable comparable.

Le conseiller municipal Jean-Claude Laval confirme et explique cette inégalité. « Lorsqu’un propriétaire particulier améliore son logement, il n’est pas forcément tenu d’en avertir l’urbanisme et donc l’administration fiscale. Alors qu’un organisme logeur (NDLR : tel que Reims Habitat) doit fournir l’état de son patrimoine chaque année au service des impôts. Donc, comme des travaux sont régulièrement effectués sur le parc immobilier social, la valeur locative de ce dernier augmente, ce qui n’est pas forcément les cas du parc ancien détenu par des particuliers ».

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l’union071214i

Une solution pour les problèmes de circulation du secteur des Polygones

 

Une réunion technique sur le terrain avec les services techniques de la ville et les membres de l’association a permis de constater les problèmes.

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Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de défense des locataires du secteur Polygones, se bat avec ses adhérents pour sécuriser le virage de la rue Henri-Royer, qu’elle juge très dangereux pour la sécurité des piétons, et en particulier pour les écoliers qui, depuis la fermeture il y a quatre ans de l’école Alphonse-Daudet, doivent se rendre bien loin vers les écoles Billard et Legros en traversant deux points dangereux, le virage Royer et le rond-point Eisenhower - Taittinger.

Une première tranche de travaux avait été réalisée par la municipalité, mais pour les locataires, la situation restait périlleuse.

Mme Kaczowka déplorait « le manque d’intérêt de la municipalité pour notre quartier et, en particulier, la lenteur à obtenir des aménagements sécurisant les rues Taittinger et Royer, sujet évoqué depuis 2003 et non résolu totalement : faut-il attendre qu’un enfant ou un adulte soit renversé ? ».

Une réunion sur le site

A la suite de nombreuses interpellations d’élus, elle a fini par obtenir le déplacement sur le site de deux adjoints et des services techniques de la ville. Ensemble, ils ont pris note sur place de la situation : vitesse excessive des véhicules, stationnement sauvage dans la rue Royer et virage encombré par des plots qui devaient être retirés, empêchant les bus de circuler normalement et de croiser un autre véhicule, .. et ils ont fait des propositions qui conviennent tout à fait à l’association.

« Tout ce qui a été évoqué va pouvoir être réalisé » a assuré l’adjointe à la voirie. « Les demandes faites ont étés actées pour des travaux lors du 1er trimestre 2008 » a confirmé l’autre adjoint. Devant ces bonnes nouvelles, Mme Kaczowka est satisfaite : « Tout arrive pour qui sait attendre ! Voici le petit cadeau de Noël pour les locataires ! Mais j’espère qu’avant l’exécution des travaux une mise au point sera faite, avant la fin de cette année ! »

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De nombreux aménagements

La ville rappelle que « des aménagements ont déjà été effectués au niveau du virage rues Henry-Royer et Pierre-Taittinger en 2005, début 2006 et en juin 2006. une ligne axiale continue a été matérialisée sur chaussée dans ce virage au printemps 2007 …/… Cependant, ces équipements ne semblent pas totalement résoudre la problématique du stationnement sauvage sur la rue Royer. Par contre, la largeur actuelle du trottoir rue Royer (moins de 1,50 m) ne permet pas l’implantation de potelets. »

Il est proposé les aménagements suivants :

- le stationnement sur chaussée rue Pierre-Taittinger (côté accès garage souterrain Polygones) sera supprimé pour faciliter le croisement des véhicules et la giration des autobus en sortie du virage Royer

- le zigzag de l’arrêt de bus Bergson (lignes M et S) sera rallongé, des potelets seront implantés sur le trottoir côté Polygones,

- les deux voies de circulation seront séparées sous forme d’un terre-plein accompagné de lignes axiales continues séparées par un espace dont le revêtement sera de couleur différente.

Ces aménagements seront réalisés dans le courant du 1er trimestre 2008. « Concernant la vitesse des véhicules et cycles, l’ensemble des rues Taittinger, Royer, Daudet, Noll, Flaubert, Dumas et Bernanos constitue une zone 30"-. Des panneaux entrée de zone et sortie de zone sont implantés sur toutes les voies accédant à cette zone créée début 2007. Toutefois, des mesures de vitesse seront réalisées prochainement pour évaluer objectivement les pratiques sur ce secteur. »

- Des photographies de cette événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union071214h

Nichoirs et mangeoires dans la cour de l’école Galilée

 

Les enfants ont installé leurs œuvres grâce à une équipe des espaces verts de la Ville. En tout, les enfants de CE2, CM1 et CM2 ont créé 12 nichoirs et 8 mangeoires.

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Les élèves de Galilée dans le quartier Croix-Rouge ont, hier, installé une vingtaine de nichoirs et mangeoires dans leur cour d’école.

« O N a décidé d’aider les oiseaux, pour qu’ils passent l’hiver au chaud et avec de la nourriture ».

Les enfants de l’école Galilée (CE2, CM1 et CM2), dans le quartier Croix-Rouge, ne cachaient pas leur plaisir, hier après-midi à l’idée d’installer enfin les mangeoires et nichoirs qu’ils ont fabriqués depuis plusieurs mois.

« Au début, on a imaginé les constructions puis on a dessiné les nichoirs et les mangeoires sur du papier, » explique un écolier. « Il fallait faire les plans et prendre les mesures. » Le projet a été entamé l’an dernier avec Carole Bourgeois, assistante d’éducation de l’école et qui s’occupe également de la bibliothèque centre de documentation (BCD) de l’établissement. La jeune femme avait « remarqué qu’à la BCD, les enfants s’intéressaient beaucoup aux documentaires qui concernent les animaux. »

Des rouges-gorges et des moineaux…

Le projet a pris plus de temps que prévu et l’été est passé par là. L’assistante d’éducation a avancé un peu le travail. « On a scié les planches, » expliquent les écoliers, pas peu fiers. Dès la rentrée de cette année scolaire, les petits groupes de trois se sont remis au travail et ont assemblé les nichoirs et mangeoires.

« Au début, les enfants voulaient peindre leurs œuvres, » raconte avec le sourire Carole Bourgeois, « mais je leur ai rappelé qu’on parlait d’environnement… ». Du coup, des feuilles séchées sont venues décorer les petites boîtes. Un camouflage que les oiseaux devraient apprécier.

« On devrait avoir des bébés oiseaux, » estime une écolière. « Et puis des moineaux, » ajoutent ses camarades, « et des rouges-gorges… ».

Des grandes baies vitrées de leurs classes — qui donnent sur la cour — les enfants devraient pouvoir observer les allées et venues des petits oiseaux qui resteront dans nos régions cet hiver.

Hier, une équipe des espaces verts a installé les 12 nichoirs et les 8 mangeoires.

La coopérative scolaire a financé les boules de graisse qui agrémenteront les mangeoires.

En espérant que les oiseaux comprendront vite le message !

Patricia Buffet

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l’union071214g

Pour illustrer le microcosme de la nature

 

Thierry Dedieu.

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Un atelier d’illustration fonctionnera à la médiathèque Croix-Rouge samedi 15 décembre de 14 heures à 16 h 30, avec Thierry Dedieu, auteur-illustrateur de nombreux livres pour la jeunesse, de la série « Les métiers de quand tu seras grand », très connue des enfants.

Ses livres aux techniques très variées (acrylique, linogravure, ordinateur, feutre, etc.) saisissent par leur force graphique. S’inspirant de son album « Article 309 du code pénal du jardin », Thierry Dedieu initiera les enfants de 6 à 10 ans à la représentation du microcosme de la nature.

Accès gratuit.

Renseignements et inscriptions en secteur jeunesse. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (Tél. 03.26.35.68.45.).

 

 

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l’union071214f

L’amitié et l’entraide se cultivent dans les jardins familiaux

 

MM. Colin, Brenon, Perez et Agostino ont été félicités par le président Gosteau.

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A l’occasion de son assemblée générale, l’association rémoise des jardins familiaux a montré, s’il en était encore besoin, l’intérêt porté par les centaines de jardiniers adhérents à leur parcelle de terrain à cultiver, qu’elle soit sur Reims ou sur Bétheny.

Le président Etienne Gosteau a été heureux de les rencontrer au centre des congrès le samedi 8 décembre : « L’an prochain nous ferons en sorte de ne pas nous réunir le jour du Téléthon : néanmoins nous étions plus de 200 présents pour accueillir les maires de Reims et de Bétheny, MM. Schneiter et Cavenne, avec Catherine Vautrin et Jean-Marie Beaupuy qui tous ont souligné combien les jardins sont propices à l’amitié et à l’entraide collective ».

26 nouveaux abris

Chaque année, il est procédé à l’installation de nouveaux abris de jardin : 26 seront construits en 2008, (dont 10 financés par la Ville de Reims) sur les parcelles qui bordent l’entrée à la salle polyvalente La Comète à Bétheny : « Ce sera un plus dans le coup d’œil sur les abords fleuris de cette commune labellisée… » où nombre d’adhérents restent inquiets concernant les travaux de voirie. Jean-Louis Cavenne les a rassurés : « Tout en favorisant le développement de notre commune sur le plan économique, nous maintiendrons la surface consacrée à vos parcelles ».

Sur Reims, c’est toujours l’aménagement de la Coulée verte qui angoissent les jardiniers du secteur de la Cerisaie : Jean-Marie Beaupuy a fait le point sur l’avan cement des travaux et il semblerait que huit parcelles devraient être rendues aux jardiniers…

Qualité de vie

Tout en félicitant ses adhérents pour leurs efforts en faveur de la propreté et de l’embellissement de leurs jardins, Etienne Gosteau n’a pas manqué de rappelé les principales consignes : utiliser les bacs à compost, « oublier » les traitements chimiques et bien entendu maintenir en bon état les abris qui ont un coût important et qui sont le fruit de l’aide apportée par l’association Reims Espoir pour leur installation.

L’aspect familial et relationnel de l’association s’est également exprimé d’une part par l’évocation des adhérents disparus récemment et d’autre part par la remise de diplômes aux jardiniers méritants de l’année, Daniel Colin, Guy Brenon, Edouard Perez et José Agostino.

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l’union071214e

Rue François-Dor : aucun changement à l’ordre du jour

 

Il y a un an une proposition relative à la circulation rue François-Dor avait été lancée en conseil de quartier par un habitant. « Des problèmes de circulation existent rue François-Dor, une voie qui est dans le prolongement de la rue François-Mauriac et qui va jusque l’avenue d’Épernay. Cette rue est particulièrement étroite ainsi que ses trottoirs parfois même inexistants. La circulation est particulièrement dense le matin et entre 16 et 19 heures le soir, pendant l’année universitaire et l’avenue d’Épernay est souvent engorgée avec le nombre de voitures. Or, la rue François-Dor est en double sens : les bus se croisent difficilement, sans parler des camions… »

D’où la proposition de classer la rue François-Dor et la rue de Bezannes, parallèles, toutes deux à sens unique : la rue François-Dor dans le sens centre-ville — Croix-Rouge, et la rue de Bezannes dans le sens inverse, Croix-Rouge — centre-ville.

Une visite sur le terrain était organisée par l’adjoint Ahmed El Mcherfi, président du conseil de quartier qui prenait la proposition avec beaucoup de considération.

Malheureusement, un an après, rien n’a bougé : « A l’heure d’aujourd’hui, je n’ai pas de retour sur ce dossier de la part des services municipaux » regrette Ahmed El Mcherfi qui précise qu’il est très difficile de modifier des lignes de bus existantes.

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l’union071214d

Les personnes âgées en récréation

 

L’Acrap organise un après-midi récréatif jeudi 20 décembre de 15 heures à 18 h 30, dans la salle polyvalente, pour les personnes âgées de 65 ans ou plus, seules ou accompagnées.

Au programme : accueil à 15 heures, animations et buffet, cadeau souvenir à chacun.

Cette animation est entièrement gratuite. Attention : seules les 80 premières inscriptions seront acceptées, en raison de l’espace disponible.

Les personnes qui ne peuvent pas se déplacer doivent le signaler, l’Acrap prendra en charge leur transport aller et retour.

Renseignements et inscriptions avant le 17 décembre, du lundi au vendredi, de 14 à 18 heures, au secrétariat.

Association Croix-Rouge animation et promotion, 11 rue du Président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.).

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l’union071214c

Concours de dessins de Noël avec l’Acrap

 

Le père Noël est attendu à l’Acrap mercredi 26 décembre, pour un après-midi récréatif, salle polyvalente, à 14 h 30 pour ses adhérents de 12 ans maximum et pour les enfants ayant participé au concours de dessin.

Au programme, animations, remise des prix du concours de dessin et goûter.

Doté de nombreux prix (cadeaux de Noël), le concours annuel de dessins comporte trois catégories.

Catégorie 1 : enfants nés en 2003, 2002 et 2001, « Je dessine un paysage de Noël de mon choix et je le colorie » .

Catégorie 2 : enfants nés en 2000, 1999 et 1998 et catégorie 3 : enfants nés en 1995, 1996 et 1997, « Je réalise une carte de vœux que j’aimerais pouvoir offrir aux habitants de Croix-Rouge et je rédige un texte expliquant mon choix ».

Tous les enfants du quartier, même non adhérents, peuvent participer. Règlement à demander à l’Acrap où les dessins doivent être remis avant vendredi 21 décembre avant 18 heures au secrétariat de l’Acrap.

Association Croix-Rouge animation et promotion, 11 rue du Président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.).

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l’union071214b

Pour les fêtes, l’hiver a rendez-vous avec l’été

 

A l’occasion des fêtes de fin d’année, le projet « Croix-Rouge s’affiche » propose une semaine d’animation du 17 au 22 décembre. Au programme, projection de photos sur les immeubles du quartier et diffusion de spectacles.

Dans cet esprit, la maison de quartier Croix-Rouge s’est dotée d’un directeur artistique : José Mendes, directeur artistique de l’Ageasse, auteur illustrateur pour le jeune public, metteur en scène et comédien.

En concertation avec la maison de quartier, il a imaginé le projet « L’hiver a rendez-vous avec l’été » incluant une semaine de projection de photos sur les immeubles du quartier Croix-Rouge, tous les jours du 17 au 22 décembre, de 18 à 21 heures.

Les photographies seront visibles de la rue Pierre-Taittinger, à proximité du centre commercial de l’hippodrome, de l’avenue du Général-Bonaparte, à proximité de la passerelle Pays-de-France) et de l’avenue d’Épernay, à proximité de la faculté de médecine.

Prévue également, une journée festive, mercredi 19 décembre, avec animations familiales :

- « Le monde de Moussa » pour les 4 /6 ans. Moussa parle aux souris, aux chats et aux éléphants, il s’assied sur les nuages pour rêver en écoutant la neige briller. Rien ne lui fait peur, même pas Toga le lion. Moussa aime les chansons. Moussa a son petit monde à lui, à découvrir en musique. A 10 heures, à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau), et à 15 h 30 à l’espace Billard (12,14 rue Pierre-Taittinger).

- « La magie des pages », pour tout public. Zema écrit des histoires, c’est son métier. Pourtant depuis que le roi lui a proposé de l’or en échange de quatre histoires, les idées ne viennent plus. Le temps s’écoule inexorablement et l’échéance est imminente…

A la salle municipale Croix-Rouge, rue François-Mauriac, séances à 14 h 30 et à 17 heures.

Réservations auprès de la maison de quartier Croix-Rouge, 1 allée des Picards, Appartement 1D. (Tél. 03.26.86.10.71.)

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l’union071214a

CROIX-ROUGE : Reims Habitat rencontre ses locataires

 

Lancés en juillet dernier par Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, les groupes de travail de locataires volontaires poursuivent leurs travaux : « Le groupe vie quotidienne se réunit régulièrement. Son mode de fonctionnement : sélectionner trois sujets de travail, les explorer à fond pour trouver ensemble des solutions de progrès, changer de thème lorsque l’un des sujets est traité. Ont déjà été traités : le stationnement des véhicules, la présence des animaux domestiques dans les parties communes et l’entretien et la reconstitution des pelouses, plantations et aires de jeux. »

Le groupe rénovation urbaine s’est réuni sur la présentation des projets de l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru) en cours de négociation.

Quant au groupe communication, il se réunit tous les dix jours au point accueil : « Les idées de communication et d’amélioration fusent de toute part ! »

Enfin, « Nous préparons une nouvelle réunion plénière, salle Billard, avec nos locataires et à nouveau en présence des représentants des entreprises prestataires. Elle aura lieu dès que la date sera validée par le maire de Reims » annonce François Toublan, directeur clientèle de Reims Habitat.

Il est toujours possible de s’inscrire à ces groupes de travail en s’adressant à Hervé Payen, succursale Croix-Rouge Université, 46 avenue du Général-Eisenhower. Tél 03.26.08.16.07.

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L’hebdo du vendredi- n° 58 - 071213

Croix-Rouge s’Affiche

 

Dans le cadre de l’action Croix Rouge s’Affiche et pour les fêtes de fin d’année, José Mendes, directeur artistique, en concertation avec la maison de quartier a imaginé le projet “L’hiver a rendez-vous avec l’été” incluant diverses actions comme une semaine de projection de photos sur les immeubles du quartier Croix Rouge, tous les jours du 17 au 22 décembre, de 18h à 21h .

 

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L’hebdo du vendredi- n° 58 - 071213

Le CUCS commence à porter ses fruits

 

Cinq champs prioritaires sont contenus dans le CUCS : l’habitat, l’accès à l’emploi, la réussite éducative, la santé et la citoyenneté.

Anciennement Contrat de ville, le Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS) constitue le cadre de référence d’une nouvelle étape de développement de la politique de la ville.

Signé pour un bail de trois ans, le CUCS propose jusqu’en 2009 des stratégies transversales de développement social qui se déclinent pour chacun des territoires concernés en programmes d’actions pluriannuelles.

Si la plupart des quartiers bénéficient globalement d’une bonne implantation en matière de structures socioculturelles, cela ne signifie pas pour autant que la réponse notamment quant à l’accueil des jeunes, corresponde tout à fait aux besoins exprimés. Malgré la mise en œuvre de moyens importants et un maillage associatif fort, certains secteurs recèlent des difficultés qui traduisent un mal-être pour une partie de la population comme l’insécurité, les « violences urbaines » ou un certain repli communautaire.

Aux manettes de ce grand chantier à la mairie de Reims, Ahmed El Mcherfi, parle avec connaissances en qualité d’éducateur spécialisé de ces problèmes et veut battre en brèche certaines idées reçues. « Orgeval, Croix- Rouge, Wilson, les Epinettes, Châtillons et quelques autres poches sensibles font l’objet de soins particuliers, nous finançons certains projets grâce à des diagnostics et des bilans tirés des années précédentes.

Cette année, 154 dossiers présentés par des associations ont été retenus, mais contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, l’argent n’est pas dilapidé dans des festivals hiphop » explique Ahmed El Mcherfi. Pour l’année à venir, le budget de la part ville reste quasiment inchangé soit une programmation de financement de près de 830 000 euros (la part Etat étant similaire) à destination du tissu associatif, trois axes prioritaires étant favorisés : l’emploi et le développement économique, l’habitat et le cadre de vie lors des opérations de renouvellement urbain ainsi que la thématique prévention et sécurité.

« Nous souhaitons en 2008 accentuer et intensifier les accompagnements physiques pour un retour à l’emploi à la mise en place de tutorat quand cela est possible ou développer des forums et journées portes ouvertes, mais les actions sont multiples et non exhaustives » précise l’adjoint au maire.

Au programme également, la création d’espaces maîtrisés avec la mise à disposition de locaux par le biais d’un encadrement d’animateurs ou de professionnels, mais encore des aides de soutien à la fonction parentale en se reposant sur des « référents famille » des maisons de quartiers.

Une gestion urbaine de proximité en vue d’une harmonisation des travaux sur les différents territoires comme le tri sélectif, le ramassage des poubelles ou l’enlèvement des carcasses automobiles sera mise en parallèle.

L’année 2007 écoulée, des satisfactions sont à retenir comme l’initiative de mise à disposition de mobylettes par une association pour se rendre sur son lieu de travail, la création d’un terrain multisports aux Epinettes après celui de Croix du Sud ou encore la mise en place d’une maison médicale sur Orgeval après l’évaluation d’une opération atelier-santé dans les quartiers.

O.M.

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L’hebdo du vendredi- n° 58 - 071213

Meeting

 

Dans le cadre de la campagne municipale, Alexis Mohamed tête de liste de l’UICE (Union Inter-Quartiers des Citoyens Emergents) donnera un grand meeting le samedi 22 décembre à 14h30 à la salle François Mauriac à Croix-Rouge.

 

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l’union071213c

Grand succès du marché de Noël de l’espace Billard

 

Un des nombreux stands présentés au public.

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Dès l’ouverture à 10 heures et jusqu’en fin de soirée, le traditionnel marché de Noël de l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge a bénéficié d’une affluence continue, samedi 8 décembre.

Cette grande exposition vente d’objets et de produits artisanaux a regroupé, sur une douzaine de stands vivement colorés, les réalisations du club Point de croix et du club Loisirs créatifs de Billard, des ateliers au féminin de Watteau, de l’Action catholique des enfants et de plusieurs dames du quartier à titre individuel.

Le public a pu trouver son bonheur pour ses cadeaux de fin d’année parmi poupées, perles, petits cadres, travaux de couture, broderies, coussins, peluches, cartes de vœux, cadres, bougeoirs, savonnettes, galets et ardoises décorés, colliers, poteries, pendentifs, bagues, napperons, miroirs, petits masques et autres assiettes : un enchantement !

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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l’union071213b

Le goûter de Noël du secteur At’Hom

 

L’association de défense des locataires du quartier At’Hom (Hauts-de-Murigny) organise un goûter de Noël pour les enfants du secteur mercredi 19 décembre à partir de 15 heures.

« Comme l’Effort rémois ne nous a toujours pas fourni de local, nous tiendrons cette petite manifestation amicale dans le hall d’entrée du 1-Gandon » précise la présidente Danielle Bonfils : « Nous attendons la visite du père Noël aux environs de 16 heures ».

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l’union071213a

Le football-club de l’Acrap est en bonne santé

 

La section football de l’association Croix-Rouge animation et promotion accueille les joueurs à partir de 6 ans.

Les différentes équipes s’entraînent sur le terrain stabilisé du complexe sportif Géo-André sous la direction de M. Julliard pour les enfants (tél. 06.66.44.80.89.) et de M. Chafik pour les seniors (tél. 06.24.62.85.13.).

Les joueurs évoluent, en fonction de leur âge, dans les groupes débutants, poussins, benjamins, moins de 13 ans, seniors et vétérans. Les inscriptions comprennent la licence, la cotisation à l’Acrap et l’entretien des équipements.

L’Acrap football recherche des bénévoles pour encadrer les équipes.

Renseignements au secrétariat (11, rue du président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.) de 14 à 18 heures du lundi au vendredi, ou auprès des responsables aux heures d’entraînements.

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l’union071212b

Les dernières nouvelles de Croix-Rouge

 

Jardins de Croix-du-Sud

L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud organise sa fête de Noël pour les enfants le samedi 15 décembre à 17 heures dans la nouvelle salle de Bezannes, et son assemblée générale le dimanche 20 janvier 2008 à 9 h 30, dans la salle de l’association Etoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.

Repas bilan sur les séjours d’été

Le pôle « loisirs et sports de proximité » de la Maison de quartier Croix-Rouge, animé par Stéphanie Tadla, responsable des séjours, invite les enfants et ados qui ont participé cette année à un séjour d’été et leurs familles, à un repas bilan pour découvrir les photos de l’ensemble des séjours.

Rendez-vous vendredi 14 décembre à 18 h 30 à l’espace Watteau (secteur Croix-du-Sud, 3 allée Antoine-Watteau).

Inscriptions d’urgence au secrétariat de la Maison de quartier auprès de Céline au 03.26.86.10.71.

François-Legros : la révolution

Lundi 17 décembre, à 16 h 45, Tony Amirati, président de la troupe « Les enfants de la balle », et Nelly Simonnet accueilleront, avec les élèves de la classe de 5e 5, personnels et élèves du collège François-Legros pour une lecture de travail de la comédie musicale « 1789, chroniques d’une révolution », en présence également des élèves du club théâtre.

Renseignements : Philippe Labiausse, principal du collège François-Legros, 2 rue François-Legros (Tél. 03.26.04.24.52.)

Subventions

Subventions votées au cours de la réunion du conseil municipal du 26 novembre :

- association de gestion de l’Institut Michel-Fandre, 2.442 euros pour le maintien d’un poste en CAE ;

- association des Maisons de quartier de Reims, 6.925 euros (achat de mobilier pour le Ludoval, 2.700 euros et ateliers SMA, 4.225 euros) ;

- Reims haltérophilie et musculation, 2.000 euros pour ses activités en lien avec le collège François-Legros.

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l’union071212a

La chronique des incendies

 

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En revanche, une Ford Fiesta détruite hier à 5 h 30 rue de Rilly-la-Montagne à Reims a probablement été incendiée.

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Ils sont ensuite intervenus avenue du Général-Eisenhower à 11h 30 pour un feu de poubelle mais n’ont pas eu besoin de l’éteindre : le système d’arrosage automatique s’en est occupé à leur place.

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l’union071211b

 

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

 

Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).

1 - Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2 - Procédure de passation : Appel d’offres ouvert suivant articles 33.40.52.53.57 à 59 du C.M.P.

3 - Objet des marchés : Marchés de travaux : exécution, isolation exterieur, réfection de l’étanchéité, VMC, tour du 60, avenue Eisenhower à Reims.

4 - Nombre et consistance des lots : 1 lot : lot 4 métallerie.

5 - Modalité d’attribution des lots : Par marchés séparés.

6 - Délai d’exécution : 12 mois pour l’ensemble de l’opération y compris période de préparation de 6 semaines et non compris la ou les périodes de congés payés et intempéries.

7 - Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.

8 - Critères d’attribution de l’offre : Prix 80 %, valeur technique 20 %.

9 - Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.

10 - Remise des offres : Les offres doivent être déposées contre récépissé ou adressées sous pli recommandé avec accusé de réception à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, 51100 Reims. Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.

11 - Autres renseignements : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30 Fax. 03.26.48.43.40. Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.32. Fax. 03.26.48.43.40.

12 - Date limite de remise des offres : Mercredi 9 janvier 2008 à 17 heures.

13 - Date d’envoi de l’avis à la publication : 5 décembre 2007.

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Union071211a - Marne

La peinture du son

 

 

 

Avec l’appui financier du conseil général, près de 200 collégiens de Reims et Gueux (sur notre photo ceux de Georges-Braque) ont goûté aux joies de l’improvisation musicale dirigée ou soundpainting (la peinture du son) : ils doivent produire tel ou tel son au signal donné par le chef d’orchestre, au fil de l’inspiration de celui-ci.

Un excellent exercice de mémoire et de concentration pour les élèves paraît- il.

Un concert de clôture avec accompagnement d’un orchestre spécialisé aura lieu vendredi 14 décembre au collège Billa de Tinqueux.

Christian LANTENOIS

 

 

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Union071209a - Marne

Faits divers

 

La ronde des nez rouges

Jeudi vers 5 heures du matin, un cyclomotoriste de 19 ans a grillé un feu rouge de l’avenue de Bonaparte.

Son nez était de la même couleur avec un taux de deux grammes d’alcool par litre de sang.

Le jeune homme remis en liberté est convoqué le 10 mars 2008 devant le tribunal correctionnel.

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Feux de voitures

Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir à plusieurs reprises dans la nuit de vendredi à samedi, pour des feux de voitures.

Peu après minuit, un premier feu les a mobilisés face au 2, allée des Bourguignons, à côté d’un parking souterrain. A leur arrivée, le véhicule était entièrement embrasé. Il a été rapidement maîtrisé.

Puis pers 3 heures, un autre feu de voiture a été signalé au 48 rue Joliot-Curie. Il s’agissait d’un début d’incendie sur le train avant d’une voiture. Il a été vite éteint par les soldats du feu.

Enfin, vers 4 h 45, les sapeurs-pompiers sont intervenus face au 9 allée des Champenois, pour une voiture diesel en feu.

Le scooter glisse

Les sapeurs-pompiers ont été appelés samedi, vers 6 h 15, avenue Bonaparte pour un accident de scooter.

Le conducteur, âgé d’une vingtaine d’années, avait, semble-t-il, glissé sur la chaussée humide avant de tomber. Blessé, il a été transporté au CHU.

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Union071208a - Marne

Avec des signes

 

Samedi 22 décembre, la bibliothèque municipale de Reims propose un spectacle bilingue, en français et langue des signes (celle des sourds) : à 14 heures à la médiathèque Croix-rouge, à 16 h 30 à Falala.

Au programme Ma parole, saynète portant précisément sur les problèmes de communication en général, mais surtout entre entendants et malentendants.

Pour Croix-rouge, il convient de réserver, en appelant le 03.26.35.68.51.

Pour des renseignements complémentaires, on peut aussi appeler le 03.26.35.68.00.

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Union071207d - Marne

Les obsédés de la passerelle

 

La gauche et le MoDem ne semblent parfois ne pas avoir grand-chose à se mettre sous la dent pour critiquer l’action de la municipalité sortante.

Difficile de casser le tram, Renaud Dutreil s’en charge. Difficile de casser l’embellissement du centre ville ou la construction du nouveau stade qui fait pas mal d’heureux.

Du coup ils s’accrochent à la destruction de la passerelle Croix-du-Sud. Un scandale selon eux, un déni de démocratie.

Un défaut de communication du maire sans doute mais pas un ne veut entendre que cette démolition entre dans le cadre de la rénovation urbaine qu’ils prônent tous.

Démagogie quand tu nous tiens.

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Union071207c - Marne

Conducteur pas clair dossier pas clair non plus

 

Un automobiliste a donné un peu de fil à retordre aux policiers, au cours de la nuit de mardi à mercredi vers trois heures et demie du matin, du côté de l’allée des Savoyards (Croix-rouge).

Refusant de s’arrêter comme ils le lui demandaient, il a tenté de prendre la fuite à pied. Il a été repéré un peu plus tard.

Ensuite, bien qu’il présentât des signes d’ébriété, il a refusé de se soumettre au contrôle d’alcoolémie.

Il avait également le tort de circuler sans une assurance valide pour son véhicule. Il a finalement été remis en liberté, mais devait s’expliquer hier avec la justice.

Etait-ce bien la bonne personne ? Certes, le garçon qui s’est présenté hier devant le tribunal correspondait assez bien à la description du conducteur faite par les policiers ; mais l’intéressé niait formellement.

« Je n’étais pas au volant de cette voiture, j’étais avec des amis. Je connais le vrai conducteur, et il me ressemble beaucoup ! »

La défense plaide la relaxe

Le représentant du parquet n’avait pour sa part aucun doute : le prévenu était bien celui qui était dans la voiture !

La défense, par la bouche de Me Rieg, avait une vision toute différente du dossier, et faisait valoir l’existence d’un vrai doute. « Ce ne sont pas les mêmes policiers qui ont pris la voiture en chasse et qui ont interpellé le conducteur supposé !

Par ailleurs, on sait que la voiture a été prêtée par un garage à un individu qu’on n’a même pas entendu lors de l’enquête ! Il faudrait quand même voir à quoi il ressemble ! Pour moi, ce dossier est incomplet. Je demande donc la relaxe. »

Le tribunal n’est pas allé jusque-là. Du moins pas encore : il a demandé un complément d’enquête, et renvoyé l’affaire au 7 avril.

On verra à ce moment-là si le conducteur poursuivi et le jeune interpellé sont bien la même personne ou pas.

A.P.

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Union071207b - Marne

Ni permis ni assurance

 

Un jeune garçon de 15 ans s’est fait intercepter par les policiers au volant d’une voiture, mardi soir vers 20 heures dans la rue Joliot-Curie (Croix-Rouge).

Il n’avait ni permis ni assurance. Il devrait comparaître devant le parquet des mineurs le 31 décembre.

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Union071207a - Marne

Blessés sur la voie publique

 

Les pompiers sont intervenus mercredi soir vers 18 h 30 dans l’allée Edgar-Degas (Croix-Rouge) pour venir en aide à un homme d’une cinquantaine d’années, victime de blessure ; l’intéressé a été transporté à l’hôpital.

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L’hebdo du vendredi

Pas fair-play

 

22 octobre 2006, stade Georges Hébert : coup de sifflet final. L’équipe Croix du Sud de Reims s’incline 4 à 2 face au Football Club de Reuil.

Les Rémois ne sont pas du tout enchantés par cette défaite. Résultat : au lieu de serrer les mains de leurs adversaires, s’en suit une série d’insultes et de coups en tout genre.

« C’est vrai que c’est parti en sucette à la fin du match, on s‘est tapé direct » explique Rachid dans sa déposition. « L’arbitre a dit des trucs et il était de chez eux » ajoute Redouane. Alors pour toute excuse, il lui donne un bon coup d’épaule. Et c’est parti pour une bagarre générale.

Rachid reconnaît avoir plaqué un joueur au sol pour l’immobiliser. « Il ne faut pas plaquer au foot, faut vous mettre au rugby » avance ironiquement le juge.

Au final, la troisième mi-temps a laissé des joueurs à terre : 4 blessés du côté de Reuil dont un, plutôt sérieusement touché. « Il a eu six jours d’incapacité de travail » explique son avocate « et aujourd’hui il ressent toujours des douleurs au niveau des cervicales ».

La mêlée finale a fait des dégâts même si les joueurs rémois minimisent les faits « c’était une bagarre générale, c’était des deux côtés et puis aujourd’hui on est interdit de stade ». Une interdiction de 5 ans exigée par le district de foot.

Mais le substitut tient à souligner la gravité des faits : « quelle image donnez-vous du football ? » Une image peu brillante que les six joueurs jugés du jour vont payer de 2 mois de prison avec sursis à 2 mois de prison ferme en passant par des mises à l’épreuve et des amendes de 310 euros.

Leur interdiction de stade et de pénétrer dans une enceinte sportive lors d’événement est maintenue. En attendant il faut peut-être tenter la boxe !

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L’hebdo du vendredi

« Croix-Rouge s’Affiche » caste artistes de tous horizons

 

« Croix-Rouge s’Affiche » caste artistes de tous horizons

Si un artiste sommeille en vous, Croix Rouge s’Affiche vous propose une création artistique.

Les inscriptions au casting sont ouvertes jusqu’au 13 décembre.

Le projet fait sa première cette année.

Bien connu de tous les Rémois, le festival « Croix- Rouge s’Affiche » prête sa scène à des artistes en herbe. Profil du candidat : être animé d’un talent artistique, avoir entre 13 et 20 ans, habiter l’agglomération rémoise et être susceptible d’être retenu parmi les 7 privilégiés.

Jusqu’au 13 décembre, minuit, les saltimbanques, jongleurs, casseurs de verre avec la voix et musiciens peuvent s’inscrire grâce à un questionnaire délivré par la maison de quartier Croix- Rouge.

Les artistes retenus seront convoqués pour le casting du 15 décembre, 14 heures à L’espace La Nacelle.

« Initiée par la maison de quartier Croix- Rouge, la création artistique devrait débuter début janvier. Nous travaillerons le projet jusque début mai, date du festival annuel « Croix-Rouge s’Affiche », et nous ferons certainement une petite tournée régionale », planifie Fanny Griffon, chargée de communication du festival.

La mise en scène de ce spectacle déambulatoire promet couleurs et péripéties. « Une forme courte, concise, visuelle et musicale autour de la thématique choisie : le développement durable. Nous avons dans l’idée de créer un char que le public devra suivre au rythme du spectacle. Un char constitué d’éléments de récupération comme par exemple des vieux vélos ».

Et pour donner encore plus de consistance à ce projet, les jeunes seront entourés de professionnels du spectacle. José Mendes directeur artistique, auteur, illustrateur, metteur en scène, comédien accompagnera l’équipe, en duo avec un chorégraphe.

Avis aux amoureux de nouvelles expériences artistiques.

Caroline Denime.

Renseignements : Inscription au casting par tél au 03 26 86 10 71 ou mail à croix-rouge@maisondequartier-reims.fr

Un questionnaire sera envoyé au candidat à faire parvenir avant le 13 décembre 2007 minuit à la Maison de Quartier Croix- Rouge, espace la Nacelle au 3 rue du Docteur Billard à Reims.

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Union071206e - Marne

Les derniers mois de la passerelle Croix-du-Sud

 

Dans cinq mois, plus de passerelle !

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La passerelle de Croix-du-Sud sera donc détruite car des réseaux EDF et France Telecom sont sous une pile et il faut les déplacer.

La démolition, prévue fin 2008 est avancée à avril 2008. Le premier avis d’appel public à la concurrence a été publié le 7 novembre.

C’est le conseiller municipal d’opposition Michel Guillaudeau qui a soulevé le lièvre : « Lors de la réunion de la commission d’urbanisme, j’ai demandé si la construction d’une nouvelle passerelle était prévue : aucune réponse ni de la part de l’adjoint présidant la commission, ni de la part des services présents » proteste-t-il : « un exemple qui illustre bien la conception de la démocratie de l’équipe Schneiter et son mépris de l’avis de la population ! Ce projet n’a jamais été présenté aux élus municipaux, ni aux membres du conseil de quartier, ni aux habitants ! »

Même son de cloche pour Fabrice Lopez (Modem et Collectif de défense des locataires de Croix-Rouge), sur son site. Il s’indigne : « La démocratie continue d’être bafouée puisque la décision de démolir la passerelle avenue Léon-Blum a été prise lors du dernier conseil municipal, au grand dam des habitants qui n’en savaient rien …/… L’information ne circule pas dans le quartier car les habitants n’ont pas été informés de ce projet. »

« Les habitants les grands absents »

Quant à Éric Quénard (PS), il réagit : « Si je ne remets absolument pas en cause la politique visant à aménager les commerces de Croix-Rouge en rez-de-rue, je ne peux que m’interroger sur la méthode utilisée dans ce dossier dont les habitants ont été une nouvelle fois les grands absents. Pas de consultation ni d’information à leur intention. »

Lors de la réunion du conseil municipal du 26 novembre, le maire a annoncé : « On fera une information sur le projet de centre commercial en bas d’immeubles avant la mi-avril 2008 » mais aucune date n’a été avancée pour le moment.

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Union071206d - Marne

Quelle vie de chien place Auguste-Rodin !

 

Câbles dénudés, murs dégradés depuis des années. « Quoi que fasse le bailleur, aussitôt les jeunes viennent tout casser. »

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Au 2 Auguste-Rodin, les locataires sont fatigués de subir saleté et incivilités. Ils voudraient vivre normalement mais rien ne change sinon en mal.

UNE mamy qui marche aidée d’une béquille quitte l’immeuble où son fils habite depuis un mois au 2 Auguste-Rodin à Croix-du-Sud. Un peu soucieuse. « Il ne se plaît pas. Il veut déjà changer d’appartement ». Quelques marches plus haut, le monsieur confirme qu’il veut déjà déménager : « C’est à cause de la vue sur les parkings, c’est déprimant ». Seule raison ? « Non, c’est parce que mes enfants ne peuvent plus venir me voir ». Pourquoi ? « Parce qu’ils habitent Croix-Rouge. En ce moment il y a du rififi entre les jeunes de Croix-Rouge et ceux de Croix-du-Sud. S’ils viennent jusqu’ici, ils vont se faire casser la figure. Donc il faut que je parte ».

Un mois sans gaz

Plusieurs familles descendent l’escalier. Toutes désabusées. « Il faudrait une demi-journée pour raconter tout ce qu’on a déjà subi ici », lance l’un. « Un roman il faudrait », ajoute un autre.

Incendie, saletés, boîtes aux lettres cassées, ascenseur condamné, câbles dénudés… la liste est longue. « Je paie plus de 500 euros de loyer charges comprises et jamais je ne peux prendre l’ascenseur ». « On est resté plus d’un mois sans gaz alors qu’il leur a fallu une journée pour réparer ». « À cause d’une fuite, l’eau a coulé trois jours sans réparation, c’est nous qui payons ».

Les abords de l’immeuble sont souvent jonchés d’immondices : « Certains jettent tout par les fenêtres comme dans une poubelle ». Récemment, l’Effort rémois est venu faire quelques réparations « de façade ».

L’ambiance n’a pas toujours été pourrie

« Les murs ont été repeints sur la suie, sans lessivage ». Quant aux finitions, ceux qui sont venus travailler n’en connaissent pas le mot.

« On comprend que l’Effort rémois ne répare pas trop vite car dès que quelque chose est refait, les jeunes viennent tous casser ». Impuissant le bailleur. « Ils ont beau réparer la porte d’entrée, les jeunes trouvent toujours le moyen d’entrer pour venir fumer de la drogue et faire des cochonneries ». L’ambiance n’a pas toujours été pourrie : « J’habite depuis 1983 dans le quartier, il n’y a que quelques années que c’est comme ça. Il a suffi que de nouveaux locataires sans éducation arrivent et la catastrophe a commencé ». Bien obligé de vivre là-dedans tout de même.

« On a entendu dire qu’ils allaient détruire notre bâtiment. Pas plus mal ».

Catherine Frey

Photos : Christian Lantenois

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« Les gamins tiennent le quartier »

 

Dès que la nuit tombe, il ne faut plus traîner aux abords de la passerelle à Croix-du-Sud. « Un soir, j’ai failli me faire zigouiller. Ils m’ont envoyé un silex gros comme une tuile, on m’a dit que si je l’avais pris sur la tête, je serais morte », raconte une ancienne du quartier. « Le gamin qui a balancé la pierre avait sept ans et demi. Le monsieur de l’Effort rémois est allé chez les parents, il a été a accueilli par deux Rottweilers. Le gosse avait raconté que c’est moi qui le poursuivais ».

Les riverains ont besoin de vider leur sac.

La buraliste qui ne se laisse jamais faire vient mettre son grain de sel. D’autres arrivent qui ont aussi à dire. « Ils volent tout ce qu’ils peuvent. Le boulanger à côté se fait tirer ses bonbons en permanence. Moi, ceux que je repère, je les interdis de magasin ». Le soir, les mômes passent en moto-cross à toute vitesse au milieu de la place : « Je dis qu’un jour il arrivera quelque chose et ce jour-là on se dira qu’on aurait dû réagir avant ».

Les exemples fusent. « Une fois, ils ont décroché la plaque d’égout et l’ont fait tomber depuis la passerelle. Imaginez une poussette en dessous ». « On avait fait poser des arceaux pour empêcher les quads de passer, le soir même ils étaient cassés ». « Quand je pense que je paie 723 euros d’impôts locaux pour habiter là ». « Moi, je donne 80 euros par mois pour les impôts locaux alors que je n’ose plus sortir le soir ». « Il faudrait qu’on arrête tous de payer, là ils bougeraient ».

Selon ces habitants de la place Auguste- Rodin, il n’y aurait pas grand-chose à faire : « On voudrait un commissariat de police sur place ».

« Ils ne sont qu’une trentaine de gamins à ruiner le quartier. Pas plus ».

« D’ailleurs faudrait pas mettre tout le monde dans le même sac et faire croire que tous les gosses du quartier sont mauvais. Ce serait faux ». « Les braves jeunes, eux, c’est autre chose, ils n’ont rien pour se distraire. Et pas un ne trouve un emploi ». « Avec Sarkozy, moi j’y croyais pas trop que ça changerait ». « On l’a entendu à la télé l’autre soir, que du pipeau. Pendant ce temps, c’est de pire en pire ici ».

C.F.

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Une grosse rénovation se prépare

 

On se battra bientôt pour habiter place Auguste-Rodin. « Cet endroit en particulier va faire l’objet d’une grosse restauration », annonce la ville. « Comme nous l’avons déjà annoncé, nous allons déplacer les commerces le long de la rue près du tramway et supprimer tout ce dédale d’escaliers ».

Ce n’est pas tout : « L’Effort rémois a prévu de mettre le paquet sur la rénovation des logements. Spécialement à Rodin. Ils vont améliorer l’habitat tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Il est aussi prévu de clarifier ce quartier très emberlificoté ».

Démolition du 3

La clarification passera par une démolition. Selon plusieurs sources, c’est le numéro 3, Auguste-Rodin qui sera descendu pour aérer le quartier. Le bailleur confirme même qu’il aurait préféré l’annoncer aux habitants lors d’une réunion qui doit être organisée prochainement : « Nous ne voudrions pas que nos locataires s’inquiètent ».

Ils vont plutôt se réjouir puisque leur cadre de vie va complètement changer et les relogements se feront, dans la mesure des disponibilités, selon les aspirations de chacun : « Nous avons l’intention de tenter de satisfaire tout le monde ».

Les premiers travaux devraient commencer dès 2008 pour s’achever en 2011. La nouvelle configuration des lieux permettra à la police de lutter plus facilement contre la petite délinquance et les incivilités. C’est du moins le but recherché.

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Union071206c - Marne

« Grâce » à son bras cassé, le vieux grillage a été changé

 

Abdelkader Missoum est tombé du terrain à cet endroit. Il s’est cassé le bras et quelques jours plus tard, un beau grillage tout neuf a enfin remplacé l’ancien, troué de partout.

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Comment accélérer le remplacement d’un vieux grillage troué vainement réclamé depuis des années ? Passer au travers et se casser le bras ! C’est la morale d’une histoire qui circule aux Pays-de-France.

DEPUIS des années, les anciens courts de tennis de l’avenue Bonaparte au quartier Croix-Rouge sont dans un état déplorable.

Les filets ont disparu il y a bien longtemps. Deux vieux panneaux de basket rouillent sur le plateau du bas praticable uniquement avec des bottes quand il a plu. Des jeunes ont posé deux buts sur le plateau du haut pour en faire un stade de fortune.

Il y a quelques semaines encore, le grillage séparant les deux terrains avait tout d’un gruyère. « Il y avait des trous partout. Ça faisait des années qu’on demandait au Foyer rémois de le changer pour éviter les accidents. »

Âgé de 28 ans, Abdelkader Missoum sait de quoi il parle. Le grillage, il est passé au travers.

Deux mois de plâtre

« C’était le 23 septembre. Il y avait des gamins qui jouaient au foot sur le terrain du haut. J’ai vu deux-trois amis qui se trouvaient là. Je suis allé discuter avec eux. J’étais debout, au bord du terrain, quand le ballon des gamins est parti vers nous. Pour leur éviter d’aller le chercher en bas, j’ai voulu l’attraper. J’ai perdu l’équilibre. J’ai voulu me retenir à un morceau du grillage mais sous le poids, il a cédé. »

Abdelkader Missoum s’est retrouvé 1,70 mètre plus bas. « Je suis tombé sur la main droite. J’ai tout de suite senti que je m’étais cassé quelque chose. Je n’arrivais plus à bouger le poignet. Je suis rentré chez moi. C’est ma sœur qui m’a emmené aux urgences. »

Diagnostic des médecins : « Fracture du scaphoïde ». « J’ai été opéré la semaine suivante. J’ai gardé le plâtre jusqu’au 28 novembre. J’ai encore de la rééducation mais si tout va bien, je pourrais retravailler dans quinze jours. Je suis préparateur de commandes chez un transporteur de Bétheny. »

Deux jours après son accident, M. Missoum écrit au Foyer rémois : « Je vous demande de bien vouloir prendre en considération mon état de santé et de refaire dans les plus brefs délais le grillage. Sans réponse de votre part, je me verrais dans l’obligation de saisir le tribunal de grande instance. »

Courrier suivi d’effet

Quelques jours plus tard, surprise ! Le grillage était remplacé. L’histoire a fait le tour du quartier et vient d’arriver à nos oreilles.

« Il n’y a pas forcément une relation de cause à effet. Il fallait intervenir pour remplacer ce grillage. Nous l’avons fait », assure-t-on au Foyer rémois.

Les habitants ont du mal à le croire, Abdelkader Missoum le premier. Il se console en se disant que son accident aura servi à quelque chose. Trois autres jeunes étaient tombés avant lui.

Avec le grillage flambant neuf, les chutes vont enfin cesser. Les usagers du parking voisin ont également des raisons de se réjouir. Finis les tirs de ballons perdus sur les voitures.

F.C.

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A quand un vrai terrain de sport ?

 

L’absence d’un terrain de sports digne de ce nom aux Pays-de-France apparaît en toile de fond de la mésaventure arrivée à Abdelkader Missoum.

C’est d’ailleurs un sujet de préoccupation pour l’association « Jeunesse et Espoir Pays-de-France » créée en 2006 par des jeunes du quartier.

Joint par l’union, son président Karim Amry confirme qu’un projet a été monté par l’association. Il s’agissait de « réhabiliter » les anciens courts de tennis de l’avenue Bonaparte pour les transformer en « city-stade ».

L’association a des contacts réguliers avec le Foyer rémois, propriétaire du site. Reçu le 23 novembre pour présenter le projet, M. Amry a appris qu’il « ne pourra pas se faire sur place car le terrain de tennis va disparaître dans un an pour faire une maison de quartier ».

Cette restructuration du secteur Bonaparte intervient dans le cadre du renouvellement urbain qui prévoit cependant la possibilité de créer un terrain de sports sur le site Arago. Ce lourd dossier également porté par la ville de Reims est en gestation.

En attendant, l’association demande qu’un « minimum » soit fait à titre provisoire pour rendre les anciens courts de tennis mieux adaptés à la pratique sportive. Le Foyer rémois réfléchit à la question.

F.C.

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Union071206b - Marne

Reims s’implique à fond dans le Téléthon

 

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Et bien d’autres manifestations

D’autres manifestations sont prévues en de nombreux endroits de Reims et parfois déjà en place avec des établissements scolaires (Libergier, Marc-Chagall, Colbert, IRTS, IUT, Clairmarais, Jean-Macé, Maison-Blanche, RMS, St-Michel, Martin-Peller, Jeanne-d’Arc), les Maisons de quartier, diverses structures : Amicale Jamin, corpo droit, Armée du salut, Maison d’arrêt, école de sages-femmes et son « Tricothon » (écharpe de 60 mètres de long).

Artistes individuels, banques, magasins : exemple sur l’avenue de Laon où 60 commerçants vendront des petites peluches les 7, 8 et 10 décembre.

Les lève-tôt pourront encourager en gare de Reims dimanche 9 à 7 heures le passage d’un club sportif de coureurs en relais de Givet à Langres…

Le Reims Roller Champagne club organise une randonnée roller de 18 km pour bons patineurs (débutants s’abstenir). Rendez-vous à 20 heures vendredi 7 décembre place du Boulingrin. Les enfants (équipés de rollers et de protection) pourront s’initier le samedi 8 décembre de 14 à 18 heures au gymnase François-Legros.

Et tant d’autres propositions, à découvrir sur le site www.coordination51.telethon.fr

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Union071206a - Marne

Concours lycéen sur les Droits de l’homme : émouvantes plaidoiries

 

Lycéens et membres du jury réunis après la proclamation des résultats.

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LE lycée Clémenceau de Reims a servi de cadre à la demi-finale régionale du 11e concours lycéen sur les Droits de l’homme à laquelle participaient des jeunes de Champagne-Ardenne, Bourgogne et Picardie. Ce concours est organisé par le Mémorial de Caen, avec une première sélection reposant sur une synthèse écrite.

Devant un jury composé d’Her vé Chabaud (journal l’union) ; Maître Diop, avocat ; Jocelyne Husson, Marie-Claude Bouzin (Amnesty international) ; Jean Maydat et Emmanuel Thiebot (Mémorial de Caen), les lycéens ont eu chacun dix minutes pour plaider.

Andreea Badea et Anthony Kojalavicius, du lycée européen de Villers-Cotterêts (Aisne), ont été les plus convaincants dans leur argumentation sur « Tchétchénie, le silence des cendres ». Ils ont été classés premiers.

Viennent ensuite Valentine Rolaz, Lindsey Jezequel et Julie Lecoeur, du lycée Pierre-Larousse de Toucy (Yonne) suivis de Sabrina Decupper et Sabrina Patinet, du lycée Joliot-Curie de Reims.

Cris du cœur

S’adressant aux participants, Jean Maydat a déclaré au nom du jury : « Un grand merci à vous tous d’avoir su pousser vos cris du cœur pour dénoncer l’intolérable dans le monde avec la conviction et la générosité de votre jeunesse ».

Qu’on en juge par les thèmes choisis : l’avortement, les discriminations homme-femme dans le travail et les SDF pour le lycée Pierre-Larousse. Les lauréates du lycée Joliot-Curie ont soutenu la cause d’Ingrid Betancourt. Ont été dénoncés les crimes homophobes, le racisme et défendus le protocole de Kyôto, les enfants maltraités : la tâche du jury a été difficile.

Ont également participé les lycées Godart-Roger et Léon-Bourgeois d’Epernay, Jean XXIII et Saint Michel de Reims.

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Union071205d - Marne

Bagarre après le match : six joueurs interdits de stade pendant 5 ans

 

4 à 2. Le 22 octobre 2006, au stade Georges-Hébert, le match opposant l’équipe première de Croix-du-Sud (Reims) à l’équipe 1 du FC Reuil (canton de Châtillon-sur-Marne) s’est achevé sur un score qui n’a pas plu aux Rémois.

Six d’entre eux, dès le coup de sifflet final, s’en sont directement pris aux joueurs adverses. Coups, crachats, insultes… en tout, quatre joueurs de Reuil ont été blessés.

À l’époque, le district de football avait interdit de stade les joueurs de Reims pour 5 ans. Leur équipe avait été radiée de la coupe promo club. Hier, le tribunal correctionnel de Reims jugeait les six joueurs rémois pour violences volontaires commises en réunion.

« C’est parti en sucette »

« Il y a bien eu une bagarre à la fin du match, » reconnaît Nasser B. (22 ans).

« L’arbitre avait dit plusieurs choses avec lesquelles je n’étais pas d’accord, » ajoute le gardien de but de l’époque, Redouane H. (25 ans). « J’ai donné un coup d’épaule à l’arbitre, mais je n’ai pas frappé les autres joueurs » assure-t-il.

Rachid B. (22 ans) était absent hier de l’audience correctionnelle.

Aux policiers qui l’avaient auditionné, il avait indiqué « à la fin du match, c’est parti en sucette » avant de reconnaître avoir « plaqué un autre joueur à terre pour l’immobiliser ».

Le président du tribunal Mario-Louis Craighero ne peut que remarquer « il faut éviter de plaquer, c’est du foot, pas du rugby… »

L’avocate du joueur de Reuil le plus sérieusement blessé a réclamé une expertise médicale pour son client.

« Il a eu 6 jours d’incapacité de travail. À ce jour, il n’est pas remis et a toujours des douleurs cervicales invalidantes. »

Le substitut du procureur de la République Frédérique Dalle a requis des peines allant de 4 mois de prison avec sursis à deux mois de prison ferme à l’encontre des six joueurs dont certains casiers judiciaires portent déjà mention de plusieurs condamnations mais qui ont « tous donné une image inadmissible du sport. »

« Les réquisitions sont lourdes »

« C’est beaucoup pour un match, » s’est défendu Nasser B. « La bagarre, c’était des deux côtés. » Aliou S. (21 ans) estime lui aussi que les réquisitions « sont lourdes ».

Le tribunal a condamné les six joueurs à des peines allant de deux mois de prison avec sursis à deux mois de prison ferme.

Mais surtout, tous ont « interdiction pendant 5 ans de péné trer ou de se trouver aux abords d’une enceinte sportive où se déroule une manifestation sportive ».

Le tribunal a par ailleurs ordonné une expertise médicale pour le joueur qui avait été blessé.

P.B.

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Union071205c - Marne

Amicales de locataires sans local

 

« Les représentants des locataires présents en réunion de concertation disposent tous de locaux, sans acquittement de loyer et même de charges, sauf les associations At’Home et Polygones ! » regrette Geneviève Kaczowka, présidente de cette dernière : « pour notre part, nous le demandons depuis six ans maintenant à l’Effort rémois et nous avons toujours essuyé un refus catégorique ! »

En effet, alors que l’Effort rémois reconnaît « la nécessité de la présence des associations et sa volonté de travailler étroitement avec elles » , cet organisme logeur n’attribue pas de local à ces deux associations de défense des locataires de Croix-Rouge.

La présidente des Polygones n’en peut plus : « Depuis des années, je dois stocker dans mon appartement F4 tous les dossiers de travail de l’association qui œuvre depuis quinze ans sur le quartier, ainsi que du matériel qui nous a été offert par le conseil général. Ce local est devenu maintenant notre priorité. Nous ne pouvons plus travailler dans ces conditions matérielles difficiles qui empiètent sur le logement personnel, et des permanences sur le site permettraient un échange dans un lieu neutre avec les locataires et, pourquoi pas, des rencontres avec les représentants de l’Effort rémois afin d’instaurer un dialogue locataires-bailleur-association. »

Pour l’Effort rémois, « en ce qui concerne la mise à disposition de locaux pour les deux amicales citées, nous assurons que nous n’opposons pas un refus de principe. Nous ne pouvons tout simplement pas fournir des locaux que nous ne possédons pas sur place. Nous sommes attentifs à toute éventuelle alternative que nous pourrions proposer aux présidentes » assure Patrick Sommet, directeur Clientèle.

Un cadeau de Noël sera-t-il offert par l’Effort rémois ?

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Union071205b - Marne

Judo : l’AS Croix-Rouge définit ses priorités

 

Un des objectifs est de travailler pour intégrer les jeunes en milieu fédéral.

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C’était attendu, et c’est maintenant fait. A l’AS Croix-Rouge judo, l’on vient de procéder à la définition des objectifs devant présider la saison 2007-2008.

En section judo, les priorités sont quadruples.

- Tout d’abord avoir des places à toutes les manifestations officielles de la fédération ;

- puis travailler en partenariat avec différentes associations pour l’intégration des jeunes en milieu fédéral ;

- puis encore redynamiser l’esprit convivial ;

- enfin organiser un voyage (s’inscrivant dans le cadre d’un jumelage) en Allemagne afin de découvrir les différentes pratiques de judo du pays de Goethe.

Pour la section jiu-jitsu,

« je souhaite qu’il y ait davantage de femmes. Ils sont 30 pratiquants dont 70 % de femmes. C’est un groupe dynamique et sympathique. Le projet en cours, c’est de créer un tournoi interclubs », annonce Flavie Vidal, entraîneur.

Le 15 décembre, Mickaël Jourdan participera à Paris aux championnats de France entreprises. Le lendemain, les espoirs benjamins lui emboîteront le pas pour une série de tournois départementaux et régionaux.

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Union071205a - Marne

L’incendiaire sévit deux fois

 

Un incendiaire semble avoir pris ses habitudes rue du Dauphiné au quartier des Pays-de-France.

Lundi vers 4 heures du matin, une Renault Twingo y avait brûlé complètement (l’union de lundi).

Hier à la même heure, toujours rue du Dauphiné, une deuxième voiture est partie en fumée. Il s’agit d’une Peugeot 106 non signalée volée (comme la précédente).

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Union071204c - Marne

Des chocolats pour les aînés

 

En application du legs Berthe, une distribution de chocolats est organisée à l’occasion de la présentation des vœux de la municipalité dans les établissements recevant les personnes âgées.

C’est ainsi que les élus Marie-Thérèse Picot et Louis Flandre se rendront, dimanche 9 décembre à 11 heures, la première dans la résidence Lucien-Doyen (7, rue du docteur-Billard), le second dans la résidence Maurice-Utrillo (12 bis, place Maurice-Utrillo) pour satisfaire à cette agréable mission.

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Union071204b - Marne

Un casting pour Croix-Rouge s’affiche

 

Dans le cadre de l’action Croix-Rouge s’affiche, le directeur artistique Jose Mendes, en concertation avec la maison de quartier Croix-Rouge, a choisi d’aborder le thème du développement durable.

L’équipe d’animation a décidé de produire un spectacle déambulatoire, une forme courte, concise, visuelle et musicale, autour du thème choisi.

Le spectacle sera présenté au festival Croix-Rouge s’affiche en mai prochain et transportera avec lui les travaux réalisés par les autres partenaires de l’action Croix-Rouge s’affiche : associations et écoles.

L’ensemble des travaux sera par ailleurs diffusé à travers la région. La création artistique regroupera deux professionnels et une équipe de sept jeunes de 13 à 20 ans.

Afin de recruter ces derniers, des jeunes amateurs de toute l’agglomération rémoise, de 13 à 20 ans, chanteurs, comédiens, danseurs, un casting se déroulera le 15 décembre dès 14 heures, à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du Docteur-Billard.

Pour s’inscrire, il faut téléphoner au 03.26.86.10.71.

Les candidats retenus pour le casting seront prévenus le 14 décembre après-midi par téléphone.

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Union071204a - Marne

Feux divers

 

Ça brûle dans la cuisine

Les pompiers se sont rendus samedi vers 22 heures dans un appartement de la place Fragonard, dans lequel l’huile d’une friteuse avait commencé à s’enflammer sur la cuisinière.

Le feu a été éteint avant leur arrivée. Les murs de la cuisine ont été noircis, mais aucun autre dégât ne fut à déplorer.

Vaisselle brûlée

Hier à 17 heures, les pompiers ont été appelés pour un « feu d’appartement », allée Jacques Simon. Il s’agissait d’un petit feu de lave-vaisselle.

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Union071203d - Marne

A la médiathèque Croix-Rouge en décembre

 

« Le chant de l’éclaireur » avec André Ze Jam mercredi 5 décembre.

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Contes

Le chant de l’éclaireur, par André Ze Jam : l’éclaireur donne à voir et à écouter, des contes initiatiques où des personnages font la longue expérience de l’ignorance et de la bêtise, pour apprendre la sagesse.

Pour tous, à partir de 6 ans : mercredi 5 décembre à 16 heures.

L’heure des bébés

Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents, samedi 8 décembre à 9 h 30.

La Ronde des albums

Bientôt Noël ! Pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 12 décembre à 11 heures.

L’air du conte

Lectures d’albums et petites histoires de l’hiver et du froid.

Pour tous, à partir de 6 ans, mercredi 12 décembre à 15 heures.

Diapositives

Projection : « Le père Noël et les sorcières », textes et dessins de Jean-François Vergne, pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 26 décembre à 16 h 30.

Spectacles et activités gratuits.

Inscription préalable vivement conseillée (places limitées).

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (Tél. 03.26.35.68.45.).

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Union071203c - Marne

Promotion de Pays-de-France : décoration du sapin de Noël

 

Le groupe travaille dans la bonne humeur.

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Le groupe d’enfants de 9 à 12 ans du centre de loisirs de l’Association de promotion de Pays-de-France, des bénévoles et des adhérents de l’association, se sont rencontrés trois mercredis après-midi pour créer ensemble des décors pour le sapin de Noël.

Dans une ambiance conviviale, l’apprentissage de quelques points de base en couture, les échanges de savoirs et de connaissances ont permis à ce groupe de réaliser de façon très personnalisée des objets en feutrine, qu’ils partageront avec le groupe des 6-9 ans.

Cet atelier-rencontre inter-générations a remporté un franc succès. « Expérience à suivre ! » conclut la présidente Christiane Monflier.


 

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Union071203b - Marne

MutES

 

L’association Multi-Échanges services propose son repas convivial de fin d’année, vendredi 14 décembre à partir de 19 heures, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

Selon la tradition, chaque convive est invité à apporter un plat de son choix, à partager en commun. L’inscription préalable est obligatoire, avant le 6 décembre, auprès de Martine Massart, présidente de la MutES ou à l’espace Billard (Tél. 03.26.08.08.78.).

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Union071203a - Marne

Téléthon au tennis-club Géo-André

 

Samedi 8 décembre, venez participer au Téléthon avec le Tennis-club Géo-André et aider en vous amusant : le TCGA vous invite à venir occuper les courts pendant une journée.

De 9 à 12 heures, les adultes pourront mesurer leur service au radar et participer à un tournoi de doubles avec diverses animations, avant un verre de l’amitié.

De 13 à 19 heures, au tour des jeunes : « Mesurez votre service au radar comme les grands, animations école de tennis, tournoi surprise et goûter ».

En contrepartie une participation de 3 euros (ou plus si vous le souhaitez) sera demandée en faveur du Téléthon.

Tennis-club Géo-André, complexe sportif Géo-André, avenue François-Mauriac.

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Union071202b - Marne

Prévention au collège François-Legros

 

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En préambule à la Journée mondiale de lutte contre le sida, les élèves du collège François-Legros se sont présentés, mercredi dernier, au 11, rue Eugène-Wiet, pour participer aux actions proposées par la Maison des préventions : un jeu collectif avec questions-réponses animé par l’association Aides, avant des échanges avec des bénévoles de Reims-Sidaction.

A l’issue de ces interventions, des documents leur ont été remis et des préservatifs masculins et féminins distribués.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Union071202a - Marne

Feu en sous-sol

 

 

 

 

Hier matin, une fumée inhabituelle en provenance du parking souterrain a quelque peu inquiété les habitants de l’avenue Eisenhower de Reims, à hauteur du 32. Elle provenait d’une voiture en feu au deuxième sous-sol.

Les pompiers sont intervenus avec une lance pour l’extinction.

A.P.

 

 

 

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Union071201b - Marne

Animations tous azimuts en décembre à Croix-Rouge

 

Noël à Billard

Les Ateliers au féminin et le club Point de croix de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge proposent leur traditionnelle journée exposition vente avec dégustation de pâtisseries et confiseries de Noël, samedi 8 décembre, de 10 heures à 18 h 30.

Entrée libre à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.)

Les marcheurs du dimanche

La randonnée du mois à l’espace Watteau avec Vin- cent Girardin : dimanche 9 décembre : direction Germaine, départ à 8 h 15.

Maison de l’enfance

Une fête est programmée mercredi 12 décembre sur Pays-de-France avec la Maison de l’enfance.

Sortie nature

Sylvie Brin, guide nature à l’Espace Billard, anime une sortie « bol d’air » pour prendre l’air, se promener, flâner, écouter les oiseaux et découvrir les paysages de notre région. Rendez-vous dimanche 16 décembre à 9 heures sur le thème « Les animaux en hiver ». Possibilité de covoiturage. Espace Billard, 12 rue Pierre-Taittinger Tél. 03.26.08.08.78.

Repas de fin d’année

L’association Multi-Échanges services propose son repas convivial de fin d’année, ven-dredi 14 décembre à partir de 19 heures, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Inscriptions : Martine Massart ou espace Billard (Tél. 03.26.08.08.78.).

Jardins de Croix-du-Sud

L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud organise sa fête de Noël pour les enfants, le samedi 15 décembre, à 17 heures, dans la salle de l’association Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.

Conférence reportée

La conférence débat annoncée à l’espace La Nacelle, lundi après-midi 17 décembre, par l’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain), sur le thème de l’adolescence, est reportée à une date ultérieure.

Fête à Pays-de-France

Une fête est programmée, mercredi 19 décembre, à Pays-de-France, associant la Maison de quartier et l’APPF.

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Union071201a - Marne

Reims : Noël animé pour petits et grands

 

Pour les enfants : chaque année, le père Noël vient à l’Acrap (association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion). A cette occasion, l’association organise un après-midi récréatif dans la salle polyvalente pour ses adhérents de 12 ans maximum et pour les enfants ayant participé au concours de dessins.

Pour les personnes âgées : l’Acrap organise pour les personnes âgées et seules à partir de 65 ans un après-midi récréatif (animation et buffet) gratuit, dans la salle polyvalente, de l’association entre 15 heures et 18 h 30 environ. L’association peut prendre en charge le transport aller/retour des personnes qui ne peuvent se déplacer.

Dates, informations et inscriptions au secrétariat, 11 avenue du président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.)

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L’hebdo du vendredi

Restos du cœur

 

Les colis de Noël destinés aux bénéficiaires des Restos du cœur seront distribués vendredi 21 décembre à 11h au centre Marchandeau, bd Wilson à Reims.

Une après-midi récréative au profit des enfants de 6 à 12 ans des bénéficiaires des Restos aura lieu le jeudi 27 décembre entre 14h30 et 17h, salle François Mauriac à Croix-Rouge.

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Reims Métropole Magazine - N° 100 - novembre/décembre 2007

HABITAT : 1947-2007 : bon anniversaire l’Effort Rémois !

 

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L’organisme logeur a consolidé en 60 ans son rôle d’acteur important de l’économie locale.

L’Effort Rémois, organisme constructeur au service du COPLORR (Comité paritaire du logement de Reims et de sa Région), a été créé en 1947 par Bertrand de Vogüé (employeur) et Charles Guggiari (syndicaliste) pour faire face à la crise du logement qui sévissait à Reims et risquait de compromettre le développement de l’industrie. En 1957, il livre son 1000ème logement, dans le quartier Jacquart. En 1977, son rythme de construction s’élève à 1000 logements par an. Depuis 1997, Plurihabitat L’Effort Rémois fait partie du groupe Plurial.

Principal collecteur du 1% logement en Champagne-Ardenne, celui-ci met à la disposition des entreprises le parc immobilier le plus important de la région (40000 logements) et accompagne les salariés dans leur parcours résidentiel (installation, mutation, accès à la propriété…).

Aujourd’hui l’organisme logeur construit en moyenne 300 logements par an. Il a récemment participé à l’aménagement de plusieurs ZAC dans l’agglomération : La Couturelle à Bétheny, La Bergerie à Bezannes, les Bords de Vesle à Saint-Brice Courcelles, Dauphinot à Reims, La Haubette à Tinqueux…

Depuis 2006, les programmes sont conçus et réalisés selon des critères de développement durable. Sur certains de ces projets, il travaille en collaboration avec d’autres pays, en particulier au nord de l’Europe. Ainsi en est-il du projet de maisons passives en paille et chanvre dans lequel est impliqué un architecte de Fribourg en Allemagne. Pour l’aider dans sa démarche de développement durable, l’organisme vient de signer une convention de partenariat avec le lycée Arago de Reims, spécialiste dans ce domaine. 60 ans ont ainsi passé depuis sa création. Un anniversaire que Plurihabitat l’Effort Rémois, représenté par son président, Jean Martin, et son directeur général, Alain Nicole, a fêté le 26 octobre dernier au centre des congrès en compagnie de 700 invités.

Reims Métropole Magazine - N° 100 - novembre/décembre 2007

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Union071130d - Marne

En lutte demain contre le Sida

 

« Nous attendons les volontaires pour constituer un « ruban humain »

Demain, c’est la journée mondiale de lutte contre le Sida.

A Reims, un ruban humain est programmé tandis que d’autres événements ont déjà été organisés par des collégiens.

DEMAIN, le monde entier se mobilise pour lutter contre le sida avec partout des manifestations axées sur la prévention et l’information.

La Ville de Reims a de son côté organisé mercredi dernier une journée en direction des jeunes, dans la « Maison des préventions » qui jouxte la maison de la Vie associative.

Ruban humain

Le matin était consacré à deux collèges et l’après-midi aux Centres de loisirs des Maisons de quartier et à tout public. Dominique Bertrand, de la direction de la cohésion sociale des quartiers et l’infirmière responsable du Centre marnais de promotion de la santé — en liaison avec le service d’hygiène de la Ville — accueillaient les participants.

Avec à la clef des discussions autour de questions-réponses, de documents et de préservatifs masculins et féminins, les élèves du collège Colbert ont rencontré l’association Aides tandis que ceux de 3e de François-Legros étaient reçus, avec leur professeur Jean-Pierre Tailfer et l’infirmière d’établissement Jacqueline Boyer, par Coffi Joseph Cakpo et Jérémie Hodin, de Reims Sidaction.

A noter le projet de Reims Sidaction : « Nous attendons demain à 14 h 30 au square Colbert toutes les personnes volontaires pour constituer un « ruban humain ». Nous voulons rassembler au moins 300 personnes qui peuvent venir à la dernière minute mais il est préférable de s’inscrire sur le site sidaction.org. Chaque participant recevra un t-shirt ».

D’autres actions sont programmées demain avec un stand sur le marché de Noël autour de la prévention (angle rue de Vesle) et des dépistages anonyme et gratuit de 14 à 18 heures dans les locaux de l’association Aides (26 rue des Capucins).

Par ailleurs, pour la seconde année consécutive, l’école de management TEMA du groupe Reims Management School organise des activités en partenariat avec le Sidaction. L’an dernier, les étudiants de Tema ont collecté gagné 2.200 euros.

Cette année, outre le ruban humain qui se formera au parc Colbert à 15 heures, plusieurs événements sont organisés : deux English breakfasts au campus 2 de RMS les 3 et 6 décembre, un cocktail au « Kilberry » lundi 3 décembre à partir de 21 heures, et une soirée mercredi 5 décembre au « Vogue » à partir de 21 heures.

Ces événements seront également l’occasion de faire de la prévention. Les premiers événements organisés début novembre ont permis de collecter 300 euros.

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Union071130c - Marne

Station hippodrome

 

Décidément le nouveau quartier de l’hippodrome est bien en route.

Lors de la commission générale municipale du lundi 2 novembre, Mars qui construit la ligne de tram aurait présenté plusieurs documents du tracé de la ligne avec, en particulier, une nouvelle station, située avenue Kennedy, soit le long de l’hippodrome.

La station ne se dénommerait pas Hippodrome mais Kennedy.

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Union071130b - Marne

L’hippodrome encore

 

Toujours pour dire que le déménagement de l’hippodrome sem¬ble plus que décidé : lors du dernier débat d’orientation budgétaire de Reims Métropole, des images ont été affichées sur grand écran dans le dos du président.

Lorsque ce dernier a abordé le financement de la Zac de Bezannes, une image du futur site serait apparue avec un… hippodrome.

Pour un projet que le maire a promis réversible après les élections, il semble drôlement entériné…

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Union071130a - Marne

« Quels sont les quartiers qui craignent à Reims ? »

 

« J’habite un super quartier et on m’avait dit : ne va pas là-bas tu vas te faire trucider etc. J’en rigole encore ! » a répondu le pseudo anne3878 qui met en garde notre internaute contre les a priori.

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Un internaute qui s’apprête à habiter Reims voulait connaître les quartiers à éviter. Il a posé la question sur internet et n’a pas dû être déçu des réponses.

« JE voudrais emménager à Reims. Ne connaissant pas la ville, je ne voudrais pas tomber dans un quartier qui craint. Merci de votre aide. »

Ce message a été laissé sur un forum internet. Avant, quand on déménageait on allait voir le notaire, le curé ou la mairie pour connaître la réputation des quartiers, aujourd’hui on pose la question sur la toile et les réponses ne manquent pas. Elles sont instructives.

« Évite Croix-du-Sud »

Réponse de xds51 : Un conseil surtout, ne déménage pas à Croix du Sud. Je te le dis parce que même les keufs (policiers) ne peuvent rien faire contre les mecs du quartier.

Même les meufs (femmes) s’y mettent. […] Après c’est ton choix. Les autres quartiers se sont calmés sauf Croix-du-Sud, Pont-de-Witry et Châtillons.

« Wilson craint »

Remois5 : Moi j’ai vécu 7 ans dans le quartier Wilson et je peux vous dire que je regrette d’y avoir habité !

Ayant déménagé, il m’arrive de croiser un ami d’enfance habitant Wilson. Ils se moquent de ma tenue vestimentaire car je porte des chemises (je m’habille très classe) ils m’ont même surnommé Jean-Baptiste, pourtant je suis d’origine marocaine (mais Français avant tout).

Moi je pense que tout cela relève d’une certaine amertume, voire d’une jalousie à mon égard car je suis sorti du « quartier ».

Ils veulent que tout le monde soit pareil dans leur quartier. J’espère pour vous que vous n’envisagez pas d’habiter dans ce quartier qui même en restructuration reste exécrable. […]

« Wilson ne craint pas »

Earwen499 : Eh bien, que d’a priori…

Personnellement, j’habite à Wilson, et c’est vrai que ce n’est pas le quartier le plus tranquille qu’on puisse trouver, mais n’exagérons rien ! On ne risque pas de se faire agresser ou violer à chaque coin de rue parce qu’on habite à Wilson !

J’ai eu davantage de problèmes au centre-ville le soir qu’à Wilson, alors ne diabolisez pas les quartiers dits « difficiles ».

« Va voir en mairie »

Ondina34 : Je te conseillerais d’aller voir la mairie de Reims. […] Tu y seras bien guidée. Pour le moment, certains quartiers sont mal encadrés.

Croix rouge change ; le pont de Witry je connais moins. Wilson est en reconstruction. Europe est assez calme. Pont-de-Laon avec des tas de petits magasins est sympa.

« Zéro problème »

Wilsonniquetout […] : Moi je suis de Wilson, j’ai eu zéro problème. Que tu habites Wilson, Murigny, au centre-ville, Croix-Rouge, Croix-du-Sud, etc. Tu n’es jamais à l’abri de te faire agresser. […] C’est bien pire à Paris parce que là-bas ils ne s’occupent pas des gens tandis qu’à Reims, on ne les laisse pas trop tomber. Par exemple, à Croix Rouge et Croix du Sud, ils ont refait un centre commercial qui s’appelle l’hippodrome. À Wilson, ils ont refait plein d’immeubles. […] On a un nouveau stade de foot. Ils retapent le centre-ville, on va avoir le tramway, on a eu le TGV, etc. Voilà, je suis fier de ma ville.

« Reims, c’est la campagne »

Monkey2 : À côté de Paris où j’ai vécu, Reims c’est la campagne !! Je vis seule avec 2 bébés, j’ai un appart’ immense pour moins cher qu’à Evry. Mes voisins sont sympas […] Je suis proche d’écoles, de commerces, de médecins, etc. de tout ! Il y a pas mal d’aires de jeux pour les enfants en bas de mon bâtiment, verdure et tout. Il est vrai que c’est une ville de bourges mais bon, faut pas oublier qu’ils ont le champagne, ils ont la grosse tête quoi. […]

« Vive Reims ! »

Tesiss : […] De toute façon, y’a des cons partout, des délinquants partout. Au moins à Reims quand je quitte mon boulot, je ne me tape pas 30 minutes de bouchon. J’arrive dans mon quartier qui est vert et agréable. J’habite un grand appart’ qui ne me coûte pas cher, car les logements sociaux à Reims sont très accessibles […]

À éviter…

Fafa650 : J’ai habité pendant 3 ans à Reims et je peux te dire qu’il vaut mieux éviter les quartiers Wilson, Orgeval, Murigny, Croix-Rouge et Croix-du-Sud.

Par contre, pas de problème pour Betheny, faubourg de Laon, Cormontreuil et centre-ville […]

Solidaires au Pont

Scarfe2 : J’habite au Pont-de-Witry, c’est vrai qu’il y a de la délinquance mais on est solidaires entre nous, il y a une bonne ambiance le soir quand tout le monde est dehors et personne se fait agresser. Pas comme au centre-ville.

« Jamais eu de problème »

manou513 : Eh il faut arrêter ! Ok il y a quelques quartiers qui sont parfois un peu chauds mais on n’est pas à New-York non plus. Moi j’habite à Croix-Rouge, à Eisenhower et je n’ai jamais eu de problème.

J’ai 24 ans, mariée avec 1 enfant et suis toujours vivante. Je te souhaite la bienvenue et bon courage pour tes recherches.

Les conseils d’un gamin

reims7 : Les quartiers qui craignent le plus à Reims sont le Pont-de-Witry, Croix-Rouge, Orgeval et Wilson. Ceux-ci sont à éviter sinon il y en a des autres qui craignent un peu moins comme Croix-du-Sud, Europe, Bonaparte et Maison-Blanche. Les quartiers sympas sont Murigny, Châtillons…

Je n’ai que 12 ans mais je connais très bien les quartiers de Reims ça fait 12 ans que j’habite à Croix-Rouge.

C’est un quartier qui craint mais bon c’est cool quand même là-bas et sinon bah bonne chance et j’espère que tu te trouveras un très bon appartement à Reims, cette très belle ville où je suis fier d’habiter.

« Refuse ! »

lady555 : Reims est une ville qui craint de plus en plus, que tu sois au centre ville ou en périphérie.

Mais si on te propose un appart’à Croix-Rouge, Pont de Witry, Wilson ou La Neuvillette, alors là, surtout : REFUSE

« Un truc de bourge »

Boblars : La Neuvillette, ça craint pas du tout. C’est un truc de bourge de dire ça, faut arrêter. Sérieux […]

AntiReims

valgb21 : Ah non alors !!!!!!! Ne venez pas à Reims. Et pourtant j’y suis née !!! Je peux vous dire qu’il y a plein de gens sympas et accueillants partout en France mais sûrement pas là-bas !

Très heureuse d’être partie de cette ville où tous les snobinards ne pensent qu’à ressembler à ce qu’ils croient être ; c’est-à-dire des Parisiens.

Lamentable !!!!!

Aucune personnalité, même pas fier de leur culture ni de leur région, […] incapable de mettre en avant leurs richesses patrimoniales ainsi que leur champagne !!

« Se font peur pour rien »

anne3878 : Par choix et pour mon boulot j’ai déménagé souvent et je suis à Reims depuis 3 ans. Dans toutes les villes on entend la même chose : qu’ici les gens sont froids, qu’ils sont comme ci ou comme ça et gnagnagna… […] Hé vous qui dites que les Rémois sont froids, prenez-vous le temps de vous occuper des autres ? Reims est une ville super comme beaucoup en France […] J’habite dans le quartier Chemin vert et on m’avait dit : ne va pas là-bas tu vas te faire trucider, etc. J’en rigole encore ! Ici les gens sont formidables !!!!!

C.F.

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Union071129d - Marne

En campagne : Café politique

 

En parallèle aux rencontres avec les acteurs de la vie associative rémoise, la socialiste Adeline Hazan et son équipe lancent des cafés de quartier à partir de ce jeudi.

« L’idée est d’aller au plus près des Rémois au cœur des différents quartiers pour écouter et ainsi mieux cerner leurs attentes en matière d’emploi, de sécurité, de logement, de cadre de vie, de commerces de proximité, de services publics.

Et quoi de plus convivial qu’un café pour discuter ensemble », explique l’élue.

Les quatre cafés de quartier « Ça discute » seront organisés selon le planning suivant :

aujourd’hui à 19 heures « Ça discute à Pays-de-France » au Point Rencontre, 7 rue Joliot-Curie à Reims.

Jeudi 6 décembre à 19 heures « Ça discute à Laon, Zola, Clairmarais » au Café l’Appart, 9 avenue de Laon à Reims.

Jeudi 13 décembre à 19 heures « Ça discute à Europe » au Bar de l’Europe, 21 place Jean Moulin à Reims

et jeudi 20 décembre à 19 heures « Ça discute au centre ville » au Café le Gaulois, place d’Erlon à Reims.

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Union071129c - Marne

Vandalisme dans un parking des Hauts-de-Murigny

 

Rayures sur les carrosseries.

« Nous rencontrons actuellement de très gros problèmes de vandalisme sur les voitures garées dans le parking souterrain Adrien-Sénéchal, celles qui ne sont pas dans des box individuels fermés » proteste Danielle Bonfils, présidente de l’association de défense des locataires du secteur At’Hom aux Hauts-de-Murigny.

« Ces faits se produisent depuis plusieurs semaines et s’accentuent en ce moment, en particulier les week-ends. De nombreux véhicules ont subi des dommages : vols d’autoradios, saccages en tous genres, rayures et graffitis obscènes. D’autres ont été vandalisés et pillés, des portes ont été forcées, un extincteur a été vidé sur les véhicules. Fait plus grave, des croix gammées ont été gravées sur les carrosseries ! »

Les propriétaires des quatre véhicules les plus abîmés, des voitures assez puissantes et récentes, ont porté plainte.

Une vidéosurveillance sera installée

L’association a signalé ces faits depuis plusieurs semaines à l’Effort rémois, « qui fait la sourde oreille et semble être indifférent aux préjudices rencontrés par les locataires ».

Cependant les responsables ont rencontré récemment le directeur du personnel.

« Nous avons abordé, entre autres, la sécurité des véhicules dans les parkings souterrains. Le directeur nous a dit être sensible à ce problème. Il réfléchit sur la façon de sécuriser davantage ce parking, en particulier dans les systèmes de fermeture des portes » reconnaît Danielle Bonfils qui est excédée.

« Ces actes sont de plus en plus fréquents et nous commençons vraiment à en avoir assez, d’autant qu’en ce moment les impôts sur ces garages viennent d’arriver ! »

Patrick Sommet, directeur de la clientèle à l’Effort rémois, va dans le même sens : « Nous ne pouvons que déplorer ce type de faits qui nuisent fortement à la qualité de vie de nos locataires : nous nous sommes engagés auprès de l’amicale à installer une vidéosurveillance début 2008 » assure-t-il.

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Union071129b - Marne

De Croix-Rouge à la Pologne à travers un film

 

Organisateurs et jeunes présenteront leur séjour en Pologne.

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Dans un objectif d’éveil à la conscience européenne et de lutte contre les discriminations, la Maison de quartier Croix-Rouge, le Service départemental de prévention en partenariat avec l’association polonaise Ecoeurowies présentent « Échan ge culturel européen de jeunes », un film sur la Pologne réalisé par les jeunes du quartier, notamment dans le camp de concentration d’Auschwitz.

La projection de ce film de 23 minutes sera suivie d’un échange avec les jeunes ayant participé à cette expérience.

Samedi 1er décembre à 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar (Tél. 03.26.35.68.45.).

 

 

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Union071129a - Marne

L’avenir de la Maison de quartier du Chemin Vert et de l’hippodrome

 

Lors du dernier conseil municipal, les élus ont aussi parlé à nouveau du devenir de l’hippodrome et de la Maison commune du Chemin Vert.

LES réunions de conseil municipal ont du bon. Elles permettent à l’opposition de poser des questions sur des sujets chauds que la majorité n’a pas forcement envie d’évoquer tout de suite. Parce que tout n’est pas calé. Parce que les solutions aux problèmes n’ont pas toujours été trouvées.

Candidat à sa propre réélection sur le secteur Croix Rouge, le conseiller général Eric Quénard, conseiller municipal PS a demandé au maire d’éclairer l’assemblée sur le futur aménagement urbain de l’hippodrome, non sans dire auparavant : « Vous m’avez sollicité pour participer à un jury de sélection du projet. J’ai été sensible à la proposition mais je l’ai refusée pour une question de forme : l’absence de consultation des habitants et du conseil de quartier, et une de fond : la construction de 900 logements. »

– Jean-Louis Schneiter : « Vous auriez dû venir car il y a eu des propositions chiffrées faites par des urbanistes, avec les délais, les surfaces d’espaces verts occupées, etc. Nous en informerons le conseil municipal. Nous n’avons pas le couteau sous la gorge. Soyez rassuré, je ne passerai pas en force sur ce dossier. »

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Alain Moyat

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

Article paru dans le numéro 721 du 12 au 18 novembre des "Petites Affiches Matot-Braine"

1. IDENTIFICATION DE LA COLLECTIVITE QUI PASSE LE MARCHE : VILLE DE REIMS, Place de l’Hôtel de Ville - 51096 REIMS CEDEX.

PERSONNE RESPONSABLE DU MARCHE : Monsieur le Directeur Général des Services Techniques.

2. MODE DE PASSATION : Marché â procédure adaptée, conformément à l’article 28 du code des marchés publics.

3. OBJET : La présente consultation a pour objet l’étude d’ingénierie et assistance à maîtrise d’ouvrage relatives â la démolition totale de la passerelle piétonne Croix du Sud implantée Avenue Léon Blum à REIMS.

Le marché sera conclu â prix forfaitaires.

4. DUREE DU MARCHE : La durée globale du marché est fixée â 6 mois.

5. OBTENTION DU D.C.E. : Le D.C.E. sera remis gratuitement â chaque candidat qui en fera la demande à la VILLE DE REIMS, D.G.S.T. Patrimoine et Logistique, Service des Affaires Administratives - 51096 REIMS CEDEX, Bureau 110. Tél. : 03.26.77.73.47 - Fax : 03.26.77.73.50.

6. DATE LIMITE DE RECEPTION DES OFFRES : Le 30 novembre 2007, â 17 h 00.

Les offres sont â envoyer par La Poste en recommandé ou à remettre contre récépissé à la VILLE DE REIMS, D.G.S.T. Patrimoine et Logistique, Service des Affaires Administratives - 51096 REIMS CEDEX.

8. CONDITIONS D’ENVOI DES OFFRES : Sous enveloppe cachetée portant la mention "NE PAS OUVRIR" -"Consultation démolition de la passerelle piétonne Croix du Sud - VM5S-07-48".

Cette enveloppe devra contenir les pièces relatives à la candidature (article 4.2.1 du règlement de consultation)et les pièces relatives â l’offre du prestataire.

9. CRITERES DE JUGEMENT DES OFFRES : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères pondérés, énoncés ci-après et détaillés à l’article 4.2. du règlement de consultation.

1) Valeur technique de l’offre.

2) Prix.

10. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES : Mme Chantal SAUVEGRAIN : 03.26.77.73.59, Direction de la Réhabilitation du Patrimoine Bâti - Service Sécurité Accessibilité.

11. DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION DU PRESENT AVIS : 7 novembre 2007.

Le Directeur Général des Services Techniques : 59918 Jean-Pierre AUGER.

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Union071128b - Marne

Publicité mensongère

 

Rien n’est encore fait sur le transfert de l’hippodrome à Bezannes mais cela n’empêche pas Reims Métropole de s’en servir dans sa plaquette de pub pour faire venir les entrepreneurs à Bezannes.

L’agglomération vante son nouveau parc d’affaires en y annonçant des infrastructures sportives et de loisirs dont… l’hippodrome.

Quand on pense que le maire a assuré que le dossier hippodrome ne serait pas irréversible avant les élections, les entrepreneurs turfistes risquent d’être déçus.

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Union071128a - Marne

Trahi par le tram

 

Toujours sur le projet déménagement de l’hippodrome et la construction de logements de standing à la place, le maire aurait demandé à Mars, l’entreprise chargée de monter le tramway, d’étudier la faisabilité d’une station supplémentaire pour desservir ce nouveau quartier.

Ce serait encore une preuve que ce projet hippodrome est déjà bien ficelé.

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Union071127d - Marne

Innocenté après 5 ans passés en prison

 

Abdelfettah Rachdad devant le palais de justice de Reims : neuf ans après, il revient en homme libre, relaxé après un long combat judiciaire.

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Condamné à Reims pour des trafics de drogue qu’il a toujours contestés, un homme vient d’être relaxé après un long combat judiciaire. Il a passé cinq ans en prison.

« CINQ ans de prison pour rien ! J’ai le sentiment d’un gros gâchis mais j’ai eu raison de m’accrocher, de batailler. Malgré tout ce qui a pu se produire avant, j’ai toujours cru en la justice. Ça a été très long, très fatiguant mais aujourd’hui, elle reconnaît enfin mon innocence. »

Abdelfettah Rachdad parle d’une voix calme, posée, celle d’un homme mûri par le temps et les épreuves de la vie. Aujourd’hui âgé de 44 ans, cet ancien gosse du quartier Croix-Rouge à Reims y avait perdu sa liberté en 1998, incarcéré et condamné à six ans de prison ferme sous l’étiquette infamante de trafiquant de drogue. « Avec les remises de peines, j’ai fait 56 mois, plus quatre mois car j’avais une contrainte par corps des douanes. »

Soixante mois d’emprisonnement pour rien. Neuf ans après, rejugé à Nancy, il a été relaxé au terme d’une longue procédure qui l’a conduit jusque devant la Cour de cassation et la Cour européenne des droits de l’Homme dont l’arrêt rendu le 13 novembre 2003 fut une première victoire.

La France condamnée

Ce jour-là, la haute juridiction européenne condamnait la France pour « violation des droits de la défense » au motif qu’Abdelfettah Rachdad, mis en cause alors qu’il était reparti au Maroc, fut condamné « sur le fondement exclusif de déclarations de témoins qu’il n’a pu interroger ou faire interroger ».

« La justice française avait toujours refusé de le confronter à ses accusateurs » explique son avocat, Me Simon Miravete. « Cet arrêt de la Cour européenne des droits de l’Homme lui donnait la possibilité de demander à être rejugé. Nous avons saisi la commission de réexamen de la Cour de cassation, seule compétente pour décider ou non de l’opportunité d’un nouveau procès. Elle a accepté notre demande. »

Abdelfettah Rachdad a été rejugé par la cour d’appel de Nancy. Elle l’a confronté à ses accusateurs qui se sont rétractés et l’a relaxé en constatant l’absence « d’éléments permettant de le mettre indiscutablement en cause ».

Dossier exceptionnel

« Il s’agit d’un dossier exceptionnel » insiste Me Miravete. « Quand la Cour européenne des droits de l’Homme constate une méconnaissance des règles de droit, elle accorde une réparation et la plupart du temps, ça s’arrête là. Que la personne soit rejugée et obtienne une relaxe, c’est encore plus exceptionnel. On aurait très bien pu laisser tomber. M.Rachdad avait purgé sa peine. Il y avait le risque de voir la cour d’appel le condamner encore et lui mettre huit ans ferme, pourquoi pas ? »

« J’ai voulu aller jusqu’au bout car j’avais toujours un statut de coupable » explique Abdelfettah Rachdad. « C’est très pesant à vivre quand vous savez que vous n’avez rien fait. Un être normalement constitué ne peut pas accepter une telle situation. »

Marocain arrivé à Reims à l’âge de 8 ans, Abdelfettah y a toujours sa famille mais son présent et son avenir ne sont plus ici. Il a refait sa vie à Bordeaux où il réside depuis sa sortie de prison. Devenu électricien, il vient d’être embauché comme chef de chantier dans une grande entreprise du Sud-Ouest.

Fabrice Curlier

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Seize ans de procédure

1991-1992 : Plusieurs dealers rémois mettent en cause Abdelfettah Rachad — alors reparti au Maroc — dans trois trafics de drogue. Il est condamné en son absence à trois peines de cinq ans ferme.

22 janvier 1998 : Arrestation à Reims lors d’un séjour chez sa famille. Il est rejugé le 24 mars par le tribunal correctionnel qui joint les trois dossiers et le condamne à cinq ans ferme sans l’avoir confronté avec ses accusateurs. Il fait appel.

En revanche, rejugé à Charleville-Mézières où il fut mis en cause par deux autres toxicomanes dans une quatrième affaire, Abdelfettah Rachdad est relaxé (il avait pris deux ans ferme par défaut).

2 décembre 1998 : La cour d’appel porte la condamnation du tribunal de Reims à six ans ferme après avoir renoncé à faire entendre les témoins (ils n’ont pas répondu aux convocations).

24 mai 2000 : La Cour de cassation rejette son pourvoi.

Début 2003 : Libéré, Abdelfettah Rachdad part s’installer à Bordeaux.

13 novembre 2003 : La Cour européenne des droits de l’Hom me condamne la France pour « violation des droits de la défense » et accorde une indemnité de 5.470 € à Abdelfettah Rachdad.

27 janvier 2005 : La commission de réexamen de la Cour de cassation fait droit à sa demande d’être rejugé. L’affaire est renvoyée devant la cour d’appel de Nancy.

11 mai 2006 : La cour d’appel ordonne une réouverture de l’enquête « avec mission d’organiser et d’effectuer une confrontation » entre le requérant et les « témoins ». Le premier est décédé, l’état de santé du deuxième ne permet plus son audition, un troisième tient des déclarations incohérentes, les quatre derniers retirent leurs accusations en faisant état de « pressions policières » subies à l’époque pour accuser Abdelfettah Rachdad.

15 novembre 2007 : La cour d’appel de Nancy le relaxe.

L’affaire n’est pas terminée. Me Miravete va engager une procédure d’indemnisation devant la cour d’appel de Bordeaux pour obtenir réparation du préjudice subi par son client.

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De la prison aux pages de la presse nationale

La jeunesse d’Abdelfettah Rachdad à Croix-Rouge a longtemps rimé avec la délinquance.

« Je suis issu des cités. J’ai eu un parcours difficile. J’ai pris des lourdes peines de prison pour des vols, des escroqueries mais je n’ai jamais touché à la drogue. A un moment, j’en ai eu marre. La prison m’a fait réfléchir. J’ai voulu m’en sortir. »

En 1991, il part au Maroc pour trouver du travail. En 1998, retour en milieu carcéral. « J’ai tenu le coup en participant à la vie associative de la prison. J’ai créé des cours d’alphabétisation et d’informatique pour les autres détenus. Je me suis inscrit par correspondance à la fac. Je ne me suis jamais laissé aller. »

Son innocence retrouvée va s’étaler dans la presse. La cour d’appel de Nancy a ordonné la publication de l’arrêt au Journal Officiel, dans l’union, Libération, Le Monde, Le Point et Le Nouvel Observateur.

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Union071127c - Marne

Récits fantastiques

 

 

 

Demain, mercredi 28 novembre à 15 h 30, une lecture de récits fantastiques sera donnée pour les jeunes, à la médiathèque Croix-Rouge, par Catherine Le Goff, de la compagnie rémoise « Questions d’époque » et Pascal Salzard.

Pour avoir un peu peur mais pas trop, juste ce qu’il faut…

Des histoires qui frôlent l’absurde et font finalement sourire ! Mais tout cela n’est peut-être qu’un rêve !

Textes lus : « L’histoire de Paul » de Mary Norton, « L’aventure au pied de mon lit » de Pascal Salzard ainsi que des extraits du roman « Le rêveur » de Ian Mac Ewan.

 

 

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Union071127b - Marne

Gros silence autour de l’hippodrome

 

Un jury qui doit se prononcer incessamment sur le devenir du site.

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La ville a lancé un concours d’architectes.

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QU’EST-CE qui va pousser à la place de l’hippodrome ? Tout un quartier s’interroge, personne n’apporte de réponse. Encore des blocs ? Un grand parc ? Une zone commerciale ? Il en est question depuis longtemps mais le projet pourrait sortir plus rapidement que prévu.

La ville a lancé un concours d’architectes. Elle a constitué un jury qui doit se prononcer incessamment.

Les élus communistes et socialistes soupçonnent le maire de vouloir aller vite sur ce dossier et d’avoir déjà tout décidé. Paranoïa ? Le maire fait répondre qu’il est trop tôt pour communiquer sur l’hippodrome, que quatre projets sont à l’étude, qu’ils doivent d’abord passer devant le jury et être présentés aux élus.

L’information à la population passera après. La grosse crainte du communiste Michel Guillaudeau est toujours de voir se construire « 900 logements haut de gamme avec un espace vert au milieu qui serait de fait réservé à ces nouveaux habitants et quelques commerces également à leur usage ».

Golf miniature

Éric Quénard, élu socialiste du quartier s’inquiète aussi : « Je me demande déjà s’il est vraiment utile de déplacer l’hippodrome ! Il y a à mon sens d’autres priorités pour la ville ». Et si déplacement il y a : « Nous préférerions voir à la place un lieu de vie et de services pour les habitants du quartier ». Du genre golf miniature, espaces de skate, maison des associations…

Joli sur le papier mais utopique d’un point de vue financier. Construire un nouvel hippodrome ne coûtera pas trois sous, le département ne serait pas disposé à financer donc pour que l’opération ne retombe pas sur les contribuables rémois, le maire n’aura qu’un choix : faire financer par les promoteurs immobiliers.

« Au départ il devait seulement urbaniser le long de l’avenue d’Epernay et laisser le reste de l’espace aux habitants mais cela ne suffira pas pour autofinancer l’opération », estime Éric Quénard.

Qui craint donc que le terrain soit presque entièrement confisqué au profit des investisseurs : « D’autant plus que le maire dans son projet a prévu que celui qui construira les logements à Croix-Rouge sera aussi celui qui fera l’hippodrome. À lui ensuite de se débrouiller pour que cela coûte le moins possible à la ville. C’est en construisant beaucoup qu’il parviendra à un équilibre et nous perdrons le seul poumon vert de ce quartier ». À ces craintes, fondées ou pas, le maire ne répond pas mais son adjoint à l’environnement, Jean-Marie Beaupuy se veut rassurant : « Le maire ne fera rien de définitif avant les élections et son souhait sera sans doute d’aménager un espace vert qui sera mis à la disposition du quartier Croix-Rouge. J’ai bon espoir de voir pousser un second Léo-Lagrange. Pas moins que cela ».

Catherine Frey

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« Il restera 8 hectares de parc »

 

Un proche de l’hippodrome semble mieux informé que certains élus et que tous les riverains :

« J’ai vu les projets. Je peux dire que quoi qu’il arrive il restera 8 hectares de verdure pour les habitants.

Ce qui est aujourd’hui la piste ne sera pas bétonnée. Il ne sert à rien qu’ils s’inquiètent.

Voté avant les élections

Les riverains vont y gagner puisque pour le moment, ils ne peuvent pas du tout accéder au site ». Il y aura aussi des constructions : « Oui mais pas de grands immeubles ». Et le tout sera sans doute voté avant les élections : « Je crois que le maire en a la ferme volonté ». Les responsables du site doivent sans doute y compter car si leur hippodrome n’est pas reconstruit ailleurs : « Dans 10 ans, il sera obsolète à cause des normes et ne pourra plus accueillir de réunions nationales PMU ».

Il pourrait même perdre son titre de pôle national : « Ce serait dommage car Reims est le seul hippodrome du grand est à être pôle national ».

C.F.

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« Surtout pas de blocs ! »

 

« Jean Taittinger avait dit à mon mari qu’il avait fait le nécessaire pour qu’il n’y ait jamais d’immeuble à cet endroit », se souvient Huguette dont les fenêtres donnent sur l’hippodrome

« Qu’au moins ça reste un parc ! », intime Roger.

Que l’on habite d’un côté ou de l’autre de l’hippodrome, les souhaits sur le devenir du site différent un peu.

Avec toutefois une constante : personne ne veut voir de nouveaux blocs là où courent encore les chevaux.

Dans les chics immeubles de la résidence dites de l’hippodrome, difficile de trouver quelqu’un qui a envie de voir le paysage changer.

« Qu’au moins ça reste un parc ! D’ailleurs on ne comprend pas très bien pourquoi ils tiennent tant à le déplacer cet hippodrome. On nous dit rien », regrette Roger.

Quelques étages plus haut, Huguette partage le même avis : « A choisir, je préférerais que l’hippodrome reste. A l’époque, Jean Taittinger avait dit à mon mari qu’il avait fait le nécessaire pour qu’il n’y ait jamais d’immeubles à cet endroit. Au pire, je préférerais un parc ».

Edwige aussi : « Un superbe parc du genre bien boisé et ni maison ni immeuble ».

Le gardien de la résidence ne veut rien du tout : « Qu’il laisse ça comme ça. C’est tranquille, c’est grillagé et il sert de séparation avec des quartiers moins sereins. S’ils font un parc à la place, on est certain de voir arriver le désordre ». De l’autre côté, justement, dans les quartiers moins sereins, les habitants ne sont guère au courant du déménagement envisagé de l’hippodrome.

Ils prennent acte avec résignation mais ne manquent pas d’idée pour le meubler : « Il faudrait faire un parc pour tous les enfants du quartier », estime Claudine.

« Une salle de concert », suggère Alicia. « Un espace vert sans jeu.

Très simple et propre surtout. Je viens d’un quartier de Rennes, je n’ai jamais vu ça.

C’est sale partout. Ils ne respectent rien ici. J’ai hâte de m’en aller », témoigne une jeune femme qui préfère rester anonyme.

Maude sera très claire : « Un grand parc de loisirs mais pas de route et surtout pas de blocs ».

C.F.

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Union071127a - Marne

Conseil municipal : Des réponses pas toujours complètes

 

Suppression des conseils de quartier

« La suppression des conseils de quartier en décembre est illégale » a répété au maire la socialiste Adeline Hazan. « Pourquoi alors ne pas supprimer le bulletin VRI ou les permanences dans les quartiers ? »

- Le maire a plaidé coupable. « Oui j’aurai dû demander l’autorisation au conseil, mais je le fais en tout état de cause. Il risquait, -pas forcement avec des membres du conseil- d’y avoir des menaces de dérives électorales. J’ai eu des informations à ce sujet. J’ai déjà eu des exemples lors de manifestations publiques ou patriotiques » (NDLR : allusion aux accrochages avec le candidat UMP Renaud Dutreil).

« Je suis désolé. Je suis aussi garant de l’égalité de l’ensemble des Rémois. »

- Adeline Hazan a pris acte de la déclaration du maire mais regretté qu’il ne « sache pas se prémunir d’une éventuelle dérive démocratique. »

Au maire qui proposa tout de même de faire voter cette suppression des conseils, l’élue d’opposition a rappelé que ça n’était pas à l’ordre du jour du conseil.

……

Sans chauffage

À Eric Quénard qui a plaidé le remboursement pour une centaine de locataires du quartier Pays de France qui n’ont eu ni chauffage ni eau chaude durant un mois mais qui ont tout de même dû s’acquitter des charges de loyers, le maire a répondu. « Je veux voir la Soccram et le Foyer Rémois. On réunira les locataires car il faut bien que quelqu’un paye. Je ferai alors Salomon ou j’interviendrai. »

Utile passerelle

Pas de feu vert pour détruire la passerelle Croix du Sud. La mesure est passée sans les voix de l’opposition qui a voté contre. « C’est un trait d’union entre deux parties du quartier » a expliqué Michel Guillaudeau (PCF). « Elle permet une meilleure sécurité pour les piétons, les poussettes, les personnes âgées. Il faut une réunion pour expliquer aux gens le projet de déplacement du centre commercial au pied des immeubles pour lesquels ni les élus, ni la population n’ont été informés. »

- « Nous ne sommes pas contre des commerces en rez de rue, mais une nouvelle fois, les habitants ont été écartés de la discussion » a regretté Eric Quénard.

- Le maire : « Les commerçants sont d’accord pour descendre. J’ai demandé une étude chiffrée. On informera la population avant avril 2008. »

A.M.
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Union071126b - Marne

Pays-de-France : des locataires remboursés

 

Une nouvelle action est engagée en faveur des locataires de Joliot-Curie, Limousins, Savoyards et Picards

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A la suite d’un contrôle des charges effectué en juillet 2006 par l’association de défense des locataires de Pays-de-France « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », affiliée à la Confédération générale du logement (CGL), le président Marceau Nicolas annonce une bonne nouvelle : « le Foyer rémois va rembourser un peu d’argent à certains locataires suite à des factures de réparations locatives normalement à la charge du bailleur mais facturées à tort aux locataires (le montant gobal remboursé est de 16.330,37 euros).

Une somme leur sera créditée sur les quittances de décembre pour les locataires concernés. » L’association a engagé une nouvelle action : « Les locataires concernés par la coupure d’eau chaude et de chauffage en octobre dernier, pendant un mois et deux jours (station 219 : Joliot-Curie, Limousins, Savoyards et Picards), sont invités à remplir un dossier de demande d’indemnisation et à le déposer auprès de M. Salah Byar au Point-Rencontre, 7 rue Joliot-Curie, avant vendredi 30 novembre, dernier délai. »

Renseignements : Comité Pays-de-France, tél. 06.19.72.59.14.

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Union071126a - Marne

En bref : Musique plein Poe

 

Le Crous de Reims, rue de Rilly-la-Montagne (campus Croix-rouge) accueillera vendredi 30 novembre à 20 heures un spectacle associant musique et poésie.

Avec Debussy interprété par un quatuor à cordes, Rimbaud lu par un comédien et Edgar Poe, l’écrivain américain, mis en musique par un groupe de rock progressif.

Tarifs : 5 ou 8€.

Réservations au 03.26.85.93.29.

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Union071125d - Marne

Sorties de promotions à l’école de police

 

Une cérémonie a marqué la sortie de ces deux promotions.

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Vendredi matin, la cérémonie de sortie de la 212e promotion d’élèves gardiens de la paix et la 67e promotion d’adjoints de sécurité s’est tenue à l’Ecole nationale de police de Reims, dirigée par le commissaire divisionnaire Nathalie Bernard-Guelle, directrice de l’EPN, en présence de plusieurs personnalités civiles et militaires.

Cette promotion porte le nom du lieutenant de police Jean-Richard Robinson, cité à l’ordre de la Nation, qui, le 15 avril 2006 à Cayenne (Guyane) a succombé à des blessures par balles au cours d’une intervention sur un vol à main armée où des malfaiteurs menaçaient plusieurs personnes. L’agent Robinson s’était lancé à leur poursuite.

La 212e promotion compte 1.685 gardiens de la paix dont la formation, d’une durée d’une année, a été assurée dans dix écoles nationales et centres de formation de la police. A l’ENP de Reims, 65 élèves ont été formés. Ils sont issus de trois concours : 10 femmes et 18 hommes au concours national, 14 femmes et 21 hommes du concours de Paris, et une femme et un homme sont issus du concours délocalisé Guyane.

Ils ont obtenu les affectations suivantes : 26 en sécurité publique, 28 en préfecture de police Paris, 7 en police de l’air et des frontières et 1 au centre départemental d’intervention de Seine-et-Marne, 2 dans les services de police de Guyane et 1 à la direction des opérations de soutien technique et logistique.

Le major de cette 212e promotion est Samuel Vaniet, originaire de Bully-les-Mines (Pas-de-Calais).

Ayant, par ses très bons résultats obtenu la 16e place au rang national, il a choisi comme affectation la circonscription de sécurité publique de Lille.

La 67e promotion d’adjoints de sécurité compte en France 654 adjoints formés sur trois mois, assurée dans huit ENP et centres de formation.

A l’ENP de Reims, 29 élèves ont été formés, soit 10 femmes et 19 hommes. A leur sortie, ils sont affectés dans des commissariats de police au plus proche de leur domicile. Le major de cette promotion est Anthony Chef, originaire de Brou-Chantereine (Seine-et-Marne). Il est issu d’une famille de policiers.

Un élève-gardien, Xavier Douine, a été décoré de la médaille de bronze du courage et du dévouement pour avoir sauvé une vie lors d’un incendie à Croix-Rouge, au cours d’une opération de stage pratique.

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Union071125c - Marne

Bilingue

 

La bibliothèque municipale propose un spectacle bilingue, en français et langue des signes (celle des sourds), le samedi 22 décembre : à 14 heures à la médiathèque Croix-Rouge, à 16 h 30 à Falala.

Au programme Ma parole, saynète portant précisément sur les problèmes de communication en général, mais surtout entre entendants et malentendants.

Pour Croix-Rouge, il convient de réserver en appelant le 03.26.35.68.51.

Pour des renseignements complémentaires, on peut aussi appeler le 03.26.35.68.00.

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Union071125b - Marne

Élèves en difficulté : Legros fait la Révolution

 

Échauffement de la voix avant de commencer la séance, sous la direction de Tony Amirati.

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Kelly tient le rôle du dauphin. Pour les élèves, une façon ludique d’apprendre français, histoire et musique.

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Comment motiver des collégiens fâchés avec le français ou l’histoire ? François-Legros leur fait apprendre une comédie musicale.

AU collège François-Legros de Reims, tout proche de l’hippodrome, on a certains élèves fâchés avec les matières scolaires. Parfois même très fâchés. Pour les réconcilier avec elles, le principal Philippe Labiausse a eu l’idée de recourir à la comédie musicale. « J’avais vu ce que faisait Tony Amirati à Joliot-Curie, confie-t-il, et j’ai eu envie de proposer la même chose ici. »

Ce que faisait M. Amirati, l’animateur-fondateur de la Troupe des enfants de la balle ? Cela consistait, dans le cadre d’une opération nationale « T’es pas cap », à transformer les élèves en apprentis artistes, en mettant sur pied avec eux un des spectacles chantés écrits par lui.

« T’es pas cap » est fini ; François-Legros a donc organisé son projet dans le cadre plus simple, et plus local à la fois, de « l’accompagnement éducatif des élèves en difficulté ».

Tony Amirati a pris sa classe en charge à la rentrée de septembre, à raison de deux heures par semaine. Ils sont 18 élèves de 5e, garçons et filles.

« Je les fais travailler sur « 1789, chronique d’une Révolution », explique le metteur en scène ; c’est une comédie musicale racontant la Révolution française vue par le dauphin ; cela permet aux enfants de travailler à la fois le français, l’histoire et la musique. »

Le français, car pour certains, la première difficulté venait tout simplement de lire leur texte. « J’ai pu mesurer les progrès accomplis, témoigne le principal ; au début, il y avait certains blocages incroyables quand il s’agissait de lire à haute voix ; depuis, grâce notamment à la passion communicative de Tony Amirati, des déblocages ont eu lieu. »

L’histoire ? « Je leur ai expliqué certains termes, indique le metteur en scène : le bonnet phrygien, la Terreur, les sans-culottes, le découpage du pays en départements… » Et puis la musique, car tout ceci est chanté.

Théo, 14 ans, se retrouve ainsi dans la peau de Saint-Just ; Kelly joue le rôle du dauphin ; Angélique, plus modestement incarne un valet et un gardien.

Mais tous, après quelques réticences initiales, semblent contents de cette expérience.

Et attention : il ne s’agit pas uniquement d’aborder entre les murs du collège les leçons traditionnelles de façon un peu plus ludique que d’habitude ; il y a aussi, comme pour les vrais artistes, un vrai rendez-vous avec le public.

Les dates des représentations sont déjà fixées aux 14 et 20 juin prochains.

C’est là que les parents notamment se rendront compte si leurs enfants ont bien retenu quelque chose de ces cours pas comme les autres.

Antoine Pardessus

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Union071125a - Marne

Soixante ans au service de l’habitat

 

Une convention signée par Michel Gagneux, proviseur du lycée Arago et Alain Bouré, vice-président de Plurihabitat L’Effort rémois. L’objectif est pour l’Effort rémois d’enrichir la recherche et l’expérimentation des maisons qui s’inscrivent dans le développement durable, le lycée étant reconnu nationalement pour ses connaissances précieuses dans ce domaine

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Autre convention signée entre M. Toggenburger (GEIQ BTP) et Alain Boulin, président de la filiale Alpha Logement. Un partenariat permet à des jeunes candidats aux métiers du BTP de se former et ensuite de pouvoir mieux d’insérer dans la vie professionnelle.

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Depuis 60 ans, Plurihabitat L’Effort rémois, filiale du groupe Plurial, est un acteur régional économique, écologique et social. Une assistance particulièrement nombreuse a participé aux cérémonies du soixantième anniversaire.

A cette occasion, l’organisme a présenté sa future politique d’habitat :

- répondre aux évolutions des modes de vie par une offre diversifiée de logements,

- favoriser et sécuriser les parcours résidentiels des clients afin de leur permettre de devenir propriétaire ou de redevenir locataires, selon les évolutions de leur vie professionnelle et familiale,

- contribuer au développement des entreprises de la région en accompagnant les grands projets en cours par un accueil des salariés et la réalisation rapide de nouveaux logements de qualité.

Deux conventions ont également été signées.

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Union071124b - Marne

Semaine d’actions contre le Sida

 

Les responsables d’Aides à Reims, dont l’association intervient mercredi auprès de collégiens et organise des dépistages le 1er décembre dans son local.

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Information, dépistages, jeux… plusieurs manifestations sont organisées la semaine prochaine dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre le Sida.

LA journée mondiale de lutte contre le Sida se déroule le 1er décembre prochain. Plusieurs actions sont prévues à Reims ce jour-là mais aussi en amont.

- Mercredi 28 novembre, la Maison des Préventions (11 rue Eugène-Wiet), organisera des actions de prévention. Le matin, des jeunes de collèges rémois (François-Legros et Colbert) participeront à un jeu collectif animations puis à des échanges animés par Aides et Reims Sidaction.

Il y aura aussi une remise de documents et distribution de préservatifs masculins et féminins.

L’après-midi l’accueil sera réservé aux jeunes des centres de loisirs des Maisons de Quartier et au public. L’infirmière responsable du Centre Marnais de Promotion de la Santé (CMPS) sera présente cette demi-journée pour recevoir les jeunes.

- Jeudi 29, vendredi 30 novembre et les 1er et 2 décembre, le centre du dépistage du Sida sera sur le marché de Noël. Installé dans le chalet mis à disposition des associations rue Théodore-Dubois à l’angle de la rue de Vesle, le centre proposera de nombreuses informations autour de la maladie.

- Samedi 1er décembre. Reims a été sélectionné parmi huit villes françaises pour organiser une chaîne humaine, composée de 300 personnes diverses, se tenant les mains et représentant chacun le symbole principal de la lutte contre le sida : le ruban rouge.

Cette chaîne sera mise en place à Reims autour du square Colbert à partir de 15 heures pour une durée de 20 minutes environ.

Ce même jour, l’association Aides ouvrira ses locaux du 26 rue des Capucins pour de l’information et du dépistage (Renseignement au 03.26.09.38.38).

G. A.-T.

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Union071124a - Marne

Où sont les plus beaux balcons fleuris de Pays-de-France ?

 

Voici les gagnants du concours 2007. Félicitations !

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Edmond Dorgeot (18, allée des Tourangeaux) a présenté le plus beau balcon de Pays-de-France.

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Daniel Bachelet, depuis de nombreuses années, présente au 7, allée des Champenois, le plus beau jardinet fleuri.

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La remise des prix du concours 2007 des balcons fleuris s’est déroulée dans la salle municipale Croix-Rouge mercredi dernier devant une cinquantaine de personnes.

Christiane Monflier, présidente de l’association de promotion de Pays-de-France, organisatrice, a précisé que, cette année, 34 balcons ont été sélectionnés par le jury et, avec les représentants du Foyer rémois, Agnès Bégusseau (développement social) et Didier Rajol (espaces verts), elle a félicité les locataires participants.

Après la lecture du palmarès, la remise des récompenses a été faite par les représentants de l’Appf, avec l’aide des élus du quartier : Chantale Richet, Michel Guillaudeau, Éric Quénard et Marie-Thérèse Philippe.

Jean-Marie Beaupuy, adjoint représentant le maire, a encouragé les gagnants à s’inscrire nombreux au concours organisé par la municipalité et la Société d’horticulture de Reims : « vous avez toutes vos chances.

Par vos efforts individuels, vous participez à l’embellissement général de la ville, ce qui nous vaut, depuis bientôt dix ans, quatre fleurs au palmarès national. »

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Le palmarès complet

 

  • 1. Edmond Dorgeot (18-Tourangeaux),
  • 2. Maryse Gilbert (5-Limousins),
  • 3. Dominique Cosmon (10-Tourangeaux),
  • 4. Monique Goffard (4-Picards) et José Hernandez (1-Savoyards),
  • 6. Nicole Avelange,
  • 7. Lucienne Bérini,
  • 8. Jeannie Pierrot,
  • 9. Micheline Diot et Christophe Lefeuvre.
  • 11. Marie-Claude Batillot, Jacky Noël et Luc Tollitte,
  • 14. Corinne Mary,
  • 15. Daniel Bachelet (plus beau jardinet au 7-Champenois),
  • 16. Jacqueline Poursinoff,
  • 17. Sylvie Fonte-Duval, Chantal Gaillot et Marie-Line Maamar.
  • 20. Laétitia Hude,
  • 21. Christine Lair, Daniel Plagne et Annie Thill,
  • 24. Lydiane Frayon,
  • 25. Yaya Bourebrab, Philumena Galasso et Thi Hayen Nguyen,
  • 28. Antoinette Dehaye, Odette Deville et Anne-Marie Trouchon,
  • 31. Mireille Montay,
  • 32. Brigitte Roult, Delphine Velard et Ahmet Yldiz.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union071123d - Marne

AVIS DE CONSTITUTION

 

Par acte sous seing privé à Reims en date du 25 octobre 2007, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

Forme : société à responsabilité limitée (S.A.R.L.).

Dénomination : « S.A.R.L.T.H.L. »

Capital : 1.500 euros.

Siège social : Reims (Marne) 17, rue Pierre-Taittinger.

Objet : le transport routier de marchandises de moins de 3,5 tonnes, la location de véhicules avec chauffeurs, l’achat et la vente de véhicules neufs et d’occasion, l’achat et la vente de marchandises neuves et d’occasion.

Durée : 99 ans à compter de l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés de Reims.

Gérant : Mademoiselle Dalila HANNOU, demeurant à Reims (Marne), 60, avenue Jean-Jaurès, nommée pour une durée indéterminée.

Pour avis, le gérant.

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Union071123c - Marne

Les dernières nouvelles de Croix-Rouge

 

Stage Bafa

Le stage « Approfondissement Bafa » qui fait suite au stage de base de juin, s’est déroulé pour 35 stagiaires en partie dans les locaux des Francas et de la Ligue de l’Enseignement (ancienne école Alphonse-Daudet) et en partie à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Troisième âge

Au cours de la réunion du conseil municipal du 22 octobre, les subventions suivantes ont été votées : Acrap, 504 euros (club du 3e âge) ; résidences Arfo, 6.225 euros (clubs du 3e âge) et association des Maisons de quartier de Reims, 3.137 euros (clubs du 3e âge).

Contre les discriminations

Les classes de 4e du collège François-Legros vont bénéficier, mercredi 5 et vendredi 7 décembre, d’une action d’information menée par un représentant du Ciam (Collectif interculturel d’associations de migrants) autour des problèmes de discrimination. Cette intervention se fera sous la forme d’une séance d’environ 1 h 30.

Démission

Des événements importants vont bouleverser le cadre et l’environnement du quartier Croix-Rouge dès 2008. Ayant des divergences d’opinions sur les actions que souhaite mener l’Union des locataires de Croix-Rouge (ULCR, ex Club-47), dont il est vice-président, Fabrice Lopez, par ailleurs président-fondateur du Collectif de défense des locataires de Croix-Rouge (CDL-CR) a préféré remettre sa démission de vice-président de l’association ULCR. « Je peux désormais assumer pleinement mes responsabilités de président du CDL-CR et m’atteler efficacement à des dossiers primordiaux pour notre quartier », explique-t-il.

Noël à Billard

Les Ateliers au féminin et le club Point de croix de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge proposent leur traditionnelle journée exposition vente avec dégustation de pâtisseries et confiseries de Noël, samedi 8 décembre, de 10 heures à 18 h 30. Entrée libre à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).

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Union071123b - Marne

Les conseils de quartier doivent avoir lieu

 

Selon Adeline Hazan, qui s’est fendue de quelques recherches juridiques, la décision du maire de supprimer les conseils de quartier de décembre est irrégulière.

Élections municipales ou pas. « Le fonctionnement des conseils de quartier est régi par une charte adoptée par délibération du conseil municipal en date du 19 décembre 2002. Cette charte, dans son article 13, prévoit l’organisation de conseils ouverts à la population. S’agissant d’un règlement adopté par le conseil municipal, seul le conseil peut le modifier ou le suspendre, pas le maire tout seul tel un prince ».

Reims

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Union071123a - Marne

Remises de prix aux jeunes musulmans méritants

 

La « Journée du savoir dans la ville des sacres » était organisée par les JMF.

- Agrandir la photo

« Notre but, c’est récompenser les jeunes issus des quartiers défavorisés et sensibles qui réussissent leur scolarité ». Mohamed Bouzzagou préside la section rémoise des Jeunes Musulmans de France, qui organisait samedi, une remise de prix à la médiathèque Jean-Falala.

« Nous voulons expliquer aux jeunes que ce n’est pas en zonant dans les quartiers qu’on arrive à quelque chose, mais que le chemin de la réussite passe par les études », ajoute le vice-président Khalid Halloumi. D’après l’examen des bulletins scolaires, un jury a sélectionné 25 lycéens et collégiens. « Nous avons été surpris de la qualité des notes et des appréciations ».

Retrouver l’ambiance de distribution

La plupart des élus, députés, conseillers généraux, avaient tenu à être présents et, en remettant leurs prix aux lauréats, ont tous souligné l’intérêt de cette action pour faire évoluer les mentalités.

« Cette Journée du Savoir dans la ville des sacres pourrait tout aussi bien s’intituler Journée des sacres dans la ville du savoir ! » a lancé avec humour l’adjoint au maire Mario Rossi, félicitant l’association pour l’action menée en direction des jeunes.

Anouar Alami, président de l’AMCIR, a préféré, pour l’occasion, parler en tant que professeur : « Dans nos écoles nous n’avons plus cette fête qu’on faisait avant dans les écoles et collèges pour récompenser les plus méritants. J’espère qu’avec JMF on va retrouver cette ambiance ».

Parmi les lauréats, Hajar Benkara 15 ans, prix de la meilleure note, confie : « Mes matières préférées sont Science et Vie de la Terre, Espagnol et Maths. Je suis membre du Karaté-club et j’envisage des études de médecine ».

Pas de réponse de l’Education nationale

Seule ombre au tableau : « Nous avons sollicité tous les établissements scolaires des zones classées en Z.E.P : aucun d’entre eux ne nous a répondu. Nous avons contacté aussi les Maisons de Quartier : une seule nous a répondus. Nous avons dû nous débrouiller seuls pour recueillir les bulletins scolaires », regrette le président des JMF.

Peut-être s’agissait-il d’un problème de confidentialité des notes ?

Contacté, Philippe Lhuillier, principal du collège Joliot-Curie répond :

« Je confirme qu’il y a effectivement un problème de confidentialité. Seuls les parents sont autorisés à faire des copies des bulletins de leurs enfants. L’information concernant cette manifestation est arrivée bien tard, à la rentrée des vacances de Toussaint. Tous les établissements des zones sensibles étaient justement en train de mettre en place le dispositif d’accompagnement éducatif, qui devait démarrer le 8 novembre. Si on nous avait donnés plus de temps, nous aurions peut-être pu faire un peu plus d’infos. De plus, il ne pouvait s’agir que des bulletins de l’année 2005-2006. (Ils sont trimestriels), qui ne sont pas gardés pour les enfants sortis du collège. »

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Union071122a - Marne

AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

1. Identification de l’établissement : Régie des équipements municipaux sportifs de la ville de Reims, 2, esplanade Léo-Lagrange, 51100 Reims, tél. 03.26.77.32.40 ; fax : 03.26.77.32.41. Web :http//www.rems.fr ; e-mail : direct@rems.fr ; personne responsable du marché : Alain SIMON, directeur.

2. Objet du marché : rénovation de la piscine du Château-d’Eau (bassins, locaux et acoustique).

3. Procédure de passation : appel d’offres ouvert.

4. Division en lots :

- Lot n° 1 : bassin inox.

- Lot n° 2 : carrelage.

- Lot n° 3 : plomberie.

- Lot n° 4 : acoustique.

- Lot n° 5 : électricité.

- Lot n° 6 : animations aquatiques.

- Lot n° 7 : maçonnerie, gros oeuvre.

Les candidats pourront présenter une offre pour un ou plusieurs lots.

5. Délai d’exécution des travaux : du 25 février 2008 au 30 juin 2008.

6. Justifications à produire quant aux qualités et capacités des candidats : se reporter au règlement de consultation.

7. Critères de jugement des offres :

1er critère de choix : la valeur technique de l’offre (note sur 20 coefficient 0.70)

- Mise en oeuvre technique.

- Liste des matériels proposés : le candidat précisera les marques, références et caractéristiques.

2ème critère de choix : le prix (note sur 20 coefficient 0.30).

8. Lieu où l’on peut retirer le dossier de consultation : siège social de la Régie des équipements municipaux sportifs de la ville de Reims à l’adresse indiquée ci-dessus.

9. Date limite de réception des offres : 15 janvier 2008, à 17 heures.

10. Délai de validité des offres : 150 jours à compter de la date limite de réception des offres.

11. Date d’envoi de l’avis à la Publication : 19 novembre 2007.

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Union071121g - Marne

L’Étoile champenoise en fête

 

 

L’harmonie fanfare l’Étoile champenoise et ses majorettes ont fêté comme il se doit Cécile, leur sainte patronne, au cours d’un rassemblement dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac samedi dernier.

Les invités, une centaine, en ont pris plein les yeux et les oreilles avec un concert dynamique des musiciens de la fanfare et les évolutions des majorettes (la relève est assurée !), avant la traditionnelle remise annuelle des récompenses.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

 

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VRI novembre 2007

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 242 de novembre 2007

 

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PRATIQUE : Un nouveau service de portage de livres à domicile

Depuis le 7 novembre, la bibliothèque municipale de Reims propose aux personnes à mobilité réduite un service de portage de livres à domicile. « L’idée nous est venue suite à la demande d’un couple de personnes âgées de 80 ans nous expliquant sa difficulté à se déplacer jusqu’à la bibliothèque de son quartier. Notre souhait est de proposer un accès à la lecture pour les personnes ayant des difficultés à se mouvoir du fait de l’âge ou d’un handicap », explique Delphine Quereux, conservateur responsable de la bibliothèque municipale de Reims. Pour cela, la bibliothèque municipale s’est rapprochée de l’Aradopa, organisme d’aide et de services aux personnes âgées, pour effectuer le portage à domicile des documents.

Grâce à ce nouveau service, l’usager pourra recevoir à son domicile 2 livres et 2revues pour une durée d’un mois. Les documents prêtés sont issus des collections du service aux collectivités basé à la médiathèque Croix-Rouge. « Nous nous adaptons à la demande de nos usagers. Parmi notre collection figure actuellement des ouvrages en grands caractères (livres d’histoire, géographie, jardinage, poésie, cuisine), des revues, des romans, mais aussi des documentaires » précise Delphine Quereux. Pour bénéficier de ce service, l’usager devra régler sa cotisation d’adhérent à la bibliothèque municipale au tarif de 10 euros et participer aux frais de portage par une participation mensuelle de 3 euros perçue par l’Aradopa.

Aujourd’hui, la bibliothèque compte parmi ses lecteurs 884 personnes de plus de 70ans alors que la ville compte 18 000 personnes dans cette tranche d’âge. Le développement d’un service de portage à domicile s’inscrit dans une volonté d’accessibilité maximale, et d’action en direction des publics empêchés.

> Renseignements complémentaires auprès de la bibliothèque au 03.26.35.68.00.

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ZONE FRANCHE URBAINE : Un coup de pouce efficace pour l’emploi dans les quartiers

Créé en 1997, le dispositif de Zone Franche Urbaine a permis de développer l’activité économique dans le quartier Croix Rouge. Le périmètre est désormais étendu à Wilson.

La politique de rénovation urbaine est inséparable d’une action forte pour renforcer l’activité économique, et donc créer de l’emploi, dans les quartiers fragilisés. C’est là toute l’ambition des Zones Franches Urbaines (ZFU) mises en place il y a dix ans. Le principe du dispositif est simple : les entreprises s’installant dans le périmètre de la ZFU profitent, sous certaines conditions, de mesures fiscales et sociales particulièrement incitatives (exonération d’impôts sur les bénéfices, de la taxe professionnelle, des charges sociales patronales…). Sont concernées les entreprises de moins de cinquante salariés, qu’il s’agisse de commerces, de services, de professions libérales…

En 1997, le quartier Croix Rouge a accueilli l’une des 44 premières ZFU créées dans le pays. Dix ans plus tard, le bilan s’avère positif puisque le mouvement engagé a permis de rassembler 1 280 emplois et de constituer un véritable pôle d’activités économiques avec l’installation de 200 nouvelles entreprises qui se répartissent dans des secteurs très diversifiés : commerce, services aux entreprises et aux particuliers, santé, BTP, informatique…Une enquête menée en 2004 auprès des chefs d’entreprises qui ont adhéré à ce dispositif faisait ressortir qu’une grande majorité d’entre eux se félicitaient de leur choix. Une réussite qui s’inscrit dans un contexte de redynamisation progressive du quartier. Lequel ne manque pas d’atouts pour séduire encore davantage d’acteurs économiques : un périmètre de 20 000 habitants quotidiennement fréquenté par 15 000étudiants et les 6 800 salariés de l’hôpital, une offre de locaux commerciaux en extension, la proximité de la gare TGV Champagne-Ardenne, l’arrivée du tramway en 2010…

A noter que l’attractivité des incitations liées au ZFU s’étend désormais au quartier Wilson qui a bénéficié d’une extension du périmètre initial du dispositif.

> A compter du 1er janvier 2008, les conditions d’application du dispositif ZFU seront unifiées. Renseignements sur www.urssaf.fr.

Un premier contact pour vous orienter : Ville de Reims, Direction du Développement Economique, Nathalie Marié tél. 0326778759.

A Croix-Rouge, deux demi-journées de sensibilisation et de formation à la reprise et à la création d’entreprise étaient proposées les 23 et 26 octobre derniers dans le cadre du Mois de la création et de l’innovation.

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Parenthèses pour les conseils de quartier

A quelques mois des élections municipales et cantonales (les 9 et16 mars prochains), la municipalité a fait le choix de mettre entre parenthèses l’exercice des conseils de quartier et de ne pas organiser mes séances publiques de décembre.

Une décision liée à la réglementation qui encadre la communication des collectivités locales en période électorale, et à la volonté de prévenir le risque que ces conseils de quartier ne deviennent des tribunes électoralistes à l’approche des scrutins. Déliés de tout conflit de légitimité, les candidats pourront ainsi développer et défendre, sans confusion de rôle, leur projet électoral. La municipalité se range ainsi à la position adoptée par de nombreuses villes de France.

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Les Maisons de quartier sur Internet

L’association des Maisons de quartier de Reims s’est dotée d’un site Internet. « Avant de réaliser ce site, nous attendions que le regroupement de toutes les Maisons de quartier soit opéré », indique-t-on à la direction de l’association.

Sur www.maisondequartier-reims.fr, les internautes ont accès à l’ensemble des activités proposées dans leur Maison de quartier, les recherches étant possibles par thème ou par classe d’âge.

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Cap sur des fêtes

Au cœur de la ville, là où règnent les marchands, vous déambulerez bientôt dans les allées du Village de Noël, voguant d’un chalet à un autre, à la recherche de succulentes denrées ou de précieux cadeaux pour vos proches. Laissez-vous conter cette merveilleuse histoire… Il était une fois un village rémois fait de 128 petits chalets en bois. Dans certains s’amoncellent des quantités de pain d’épices, foies gras et autres fromages délicieux…Dans d’autres, des artisans de toutes les régions de France et parfois de bien plus loin s’affairent pour réaliser et présenter leurs ouvrages de bois, de céramique et de cuir. De pure tradition germanique, le marché de Noël est un petit joyau. Le paradis du vin chaud aux épices, le royaume des petites douceurs qui fondent dans la bouche, vous ouvrira sa caverne aux merveilles. Et devant tant de senteurs, vous n’aurez d’autre choix que de vous laisser tenter.

La magie de Noël, c’est d’abord l’ambiance du centre-ville illuminé et décoré comme un conte de fées. Quelque part, au bout de la place d’Erlon brillant de mille feux, vous viendrez admirer le roi des forêts, ce grand sapin majestueux bleu intense, fièrement dressé chaque année vers les étoiles. La magie de Noël, c’est également la tradition des cadeaux, des arts et des plaisirs de la table, des étrennes et de la convivialité. La magie de Noël à Reims, c’est enfin une multitude d’animations : concerts, chorales, contes, troupes d’artistes ambulatoires, fanfares viendront rythmer les prochaines semaines. Dès le23 novembre, à 18 h, le Père Noël fera son entrée place d’Erlon avec sa suite et une parade musicale. Puis, vers 20 h, sera donné le coup d’envoi des illuminations de la ville, plus abondantes cette année, sur les grandes artères et dans les quartiers (Croix du Sud, Croix-Rouge, Murigny, Maison Blanche, Châtillons, Wilson, Europe, Saint-Rémi, Sainte-Anne, Luton et La Neuvillette). Au total, ce sont 30 km de guirlandes électriques qui seront installés par les services municipaux.

L’édition 2007 du Village de Noël, organisé par l’association de commerçants les Vitrines de Reims avec le soutien de la Ville, devrait battre tous les records de fréquentation, confortant sa troisième place nationale derrière les Villages de noël de Strasbourg et Colmar : « Nous espérons 2 millions de visiteurs, d’abord parce que la mise en service du TGV attirera probablement davantage de touristes de la région parisienne mais aussi parce que le Village durera plus longtemps que l’année passée pour se terminer le27 décembre 2007 », conclut Claude Clément, responsable de l’organisation du Village de Noël pour l’association les Vitrines de Reims.

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QUARTIER CROIX ROUGE, MAISON BLANCHE

La mairie plus près de chez vous

Antenne municipale Croix Rouge, 1 rue Joliot Curie, tél. : 0326356020

Un Point Information Famille

Initié par la Maison de quartier Croix-Rouge, il a tout aussitôt été pris en considération par la Ville de Reims. Répondant à un réel besoin sur le quartier, c’est au sein de l’Antenne municipale, par vocation pôle multiservices, que l’animatrice famille Elham Kouch va tenir des permanences aux horaires suivants : lundi de 14 h à 16 h, jeudi de 9 h à 11 h et vendredi de 14 h à 16 h.

Place aux bus

Rue Cognacq Jay, un îlot refuge a été implanté par la Direction de la Voirie à l’entrée du parking de l’hôpital, au niveau du boulevard du Chili. Il s’agissait de faciliter le croisement des bus de la TUR.

Une saison animée avec la Maison de quartier

En complément des activités traditionnelles du secteur jeunesse, des activités nouvelles sont proposées depuis la rentrée : pour les 12-15 ans, loisirs jeunes les mercredis et durant les vacances scolaires, ainsi que les samedis découvertes (créations artisanales, sport, sciences et techniques…) Pour tous les jeunes, des cours de théâtre animés à l’espace Billard par José Mendes de l’Ageasse Théâtre et des ateliers multimédias avec Franck Simon à l’Espace La Nacelle. Enfin, pour musiciens et danseurs, la salle de répétition musique à l’Espace Ethnic’s et la salle de répétition danses ont à leur disposition. Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge tél. 0326861071. Mail :croix-rouge@maisondequartier-reims.fr

Une allée Henri Lamiral, bienfaiteur du quartier

Sur le quartier Maison Blanche, une allée piétonne n’a jamais été dénommée. Elle portera désormais le nom d’une personnalité qui a fortement marqué la cité-jardin : Henri Lamiral (1913-2007), Président de la Commune Libre de la Maison Blanche à la Libération, a su fédérer activement son quartier sur le plan social, culturel et sportif. Fondateur de la "Maison pour Tous « dès 1950, il a été le premier président fondateur de la MJC. Son engagement et son rayonnement ont trouvé leur pleine mesure lorsqu’il a créé l’Etoile Gymnique et les Aides Ménagères Rémoises (1957), association parmi les toutes premières à promouvoir l’idée du maintien à domicile des personnes âgées.

Semaine de la solidarité internationale

A Reims, elle aura lieu du17 au 25 novembre prochains à l’Espace la Nacelle, 3 rue du Docteur Billard (tél. 0326494707) Campagne “aliment-terre”, concerts, danses et slam, mini- forum d’échanges et de discussion en direction des jeunes et table ronde sur le codéveloppement vous attendent. Des fresques de la Solidarité et une exposition consacrée à la faim dans le monde complètent cette initiative.

A l’Espace Watteau, ça marche !

Marcheurs du dimanche, rendez-vous le 25 novembre. Vincent vous propose une sortie dans les environs d’Hermonville. Point de départ à 8h15devant l’Espace Watteau. En savoir plus:0326360350 et watteau@maisondequartier-reims.fr. Prochaine sortie le9 décembre du côté de Germaine.

Un goût de nature et un avant-goût de Noël à l’Espace Billard

Seul ou en famille, pensez à la prochaine sortie sur le thème des animaux en hiver. Ce sera le dimanche16 décembre à partir de 9 h. Notez aussi que les ateliers au féminin et point de croix de la Maison de quartier Croix-Rouge organisent une journée d’exposition-vente samedi 8 décembre de 10 h à 17h30 à l’Espace Billard. A découvrir en dégustant pâtisseries et confiseries de Noël.

Tout renseignement au 0326080878 et billard@maisondequartier-reims.fr

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE

SNC LE BONAPARTE-CONSTITUTION :
annonce parue le 19/11/2007 dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 

Il a été constitué, par acte sous seing privé en date à REIMS du 12 novembre 2007, une société en nom collectif au capital de 1.000 € (apports en numéraire), pour une durée de 99 ans, dénommée S.N.C. LE BONAPARTE, ayant pour objet l’exploitation d’un tabac presse. La société est sise Centre Commercial des Pays de France, Avenue du Général Bonaparte à REIMS. M. Sofiane BEJAOUI, demeurant 67 rue de Fismes - 51100 REIMS, a été nommé en tant que gérant. La société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS.

60037 Le gérant.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE

Immocoop valorise « l’accession aidée » :
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » Numéro 7212 du 19 au 25 novembre 2007.

 

Stanislas Varangot, président du directoire d’Immocoop était auparavant directeur de l’ARCA-HLM.

Logement. Le Foyer rémois et Reims Habitat ont fusionné leurs activités accession à la propriété pour profiter d’un marché croissant.

Immocoop prône une accession accessible.

Pour la société Immocoop’ issue, en septembre dernier de la fusion entre les activités accession à la propriété respectives de Reims Habitat et du Foyer rémois, l’avenir est fondé sur un rêve, celui des revenus modestes à devenir propriétaire et il vise haut : « Etre en capacité le proposer par an au minimum 300 produits ».

Il faut dire que la fusion partielle orchestrée entre Reims Habitat et le Foyer rémois procède d’un bilan foncièrement en faveur d’une explosion du marché de l’accession à la propriété ria les logements sociaux. D’une part, plus de 80 % de la population est éligible à l’accession facilitée », affirme Stanislas Varangot, président du directoire d’Immocoop, qui note par ailleurs que « sur Reims, on compte 38 % de propriétaires, tandis qu’en moyenne nationale, on est autour de 56 %». Il faut dire qu’avec un prix plafond de 2 278 du m2 à Reims et de 2 014 € du m2 hors agglomération, les offres sont alléchantes.

« Souvent des gens qui ont un revenu limité voyant les prix proposés dans l’agglomération se disent qu’ils ne deviendront jamais propriétaires. Nous sommes là pour leur démontrer que c’est possible », analyse Stanislas Varangot.

La conjoncture politique, elle aussi est favorable à l’accroissement du nombre de propriétaires, l’un des rares thèmes à faire l’unanimité lors de la campagne pour les élections présidentielles.

La conjoncture rémoise favorable vient s’ajouter à ce contexte souriant y compris dans les quartiers contrairement à ce qu’on peut penser, les ventes sur Orgeval et sur Croix Rouge marchent bien », soutient Stanislas Varangot.

En 2008, lmmocoop espère entre 80 et 100 ventes dans du neuf, une centaine dans des HLM existants et environ 90 dans des lotissements. Plusieurs opérations de constructions sont déjà programmées : 13 logements collectifs derrière la gare de Reims, 27 dans le quartier Dauphinot (individuels et collectifs), une dizaine en habitat collectif à Epernay, trois lotissements à Pontfaverger et trois maisons de cœur de village à Bazancourt.

Cette commune est d’ailleurs entrée dans le capital Immocoop au côté du Foyer rémois. « Nous montons des projets en étroite collaboration avec les mairies, explique StanislasVarangot qui précise « nous entrons dans des stratégies de développement concerté ».

GUILLAUME TRÉCAN

* lmmocoop est une SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) au capital de 3 M€.

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Union071121c - Marne

Un tournoi pour lutter contre le Sida

 

Cinquième du genre, ce tournoi de basket réunira huit équipes.

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Rires (rencontres interculturelles de Reims) organisera le 2 décembre au complexe sportif de Géo-André un tournoi de basket. Toutes les générations et tous les quartiers rémois y sont conviés.

« La philosophie de cette manifestation sportive depuis qu’on l’a initiée, c’est de faire passer (grâce aux professionnels de santé qui s’associent à nous) le message de prévention contre le Sida et les maladies sexuellement transmissibles. N’oublions pas que les fêtes de fin d’année sont des périodes à risques. Chaque jeune en participant fait acte de solidarité. Nous voulons également surmonter les tabous culturels, religieux et philosophiques », expliquent Joseph Cakpo, Ali Boukhedoumi et Valery Bourgeois, co-organisateurs. Il y aura huit équipes en tout. Et les matches se feront en formule de championnat. « C’est un tournoi qui est désormais reconnu par les jeunes et par les différents clubs de la place. »

L’inscription est gratuite.

Tél. : 06.62.43.07.76 ou 06.10.29.14.92.

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Union071121b - Marne

La première compétition du Reims Acrap Patinage

 

De gauche à droite, Jonathan Jaquet, Sabrina Deconinck et Camille Nicolats.

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Pour sa première compétition de la saison 2007-2008 en patinage artistique à Wasquehal (Tournoi de France 2e division), le Reims Acrap patinage a présenté deux patineurs. En catégorie « novices filles », Camille Nicolats s’est classée 16e après avoir effectué un programme très propre. En catégorie « Novices garçons », Jonathan Jaquet est monté sur la 2e marche du podium malgré une blessure au genou pendant l’échauffement.

Leur entraîneur, Sabrina Deconinck précise que les entraînements n’ont repris que depuis deux mois : « Les compétiteurs ont présenté de nouveaux programmes, ils ont encore beaucoup de travail pour arriver à une maîtrise parfaite mais la motivation dont ils font preuve leur permettra tout au long de l’année et des compétitions de gagner des places dans le classement. »

Ils ont quatre tournois de France pour obtenir les résultats attendus qui permettront à Camille Nicolats et à Jonathan Jaquet de participer au championnat de France les 26 et 27 avril à Rouen.

 

 

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Union071121a - Marne

« Les Rémois ne sont pas assez consultés »

 

« Il est impossible d’empêcher la moindre réalisation car les décisions sont déjà prises quand le conseil arrive », déplore Geneviève Kaczowka, membre du conseil de quartier de Croix-Rouge.

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Les conseils de quartier devaient associer la population aux projets de la ville. Au final, ils n’ont servi qu’à traiter des microproblèmes. Du moins selon certains.

LES derniers conseils de quartier de la mandature n’auront pas lieu. Traditionnellement organisés en décembre, ils ont été annulés pour cause d’élections municipales. Certains membres le regrettent car ils sont quasi la seule occasion pour la population de parler directement aux élus. D’autres ont déjà tourné la page et considèrent qu’il faudrait réformer ces conseils. Voire les supprimer carrément.

Croix-Rouge : « Il n’y a aucune concertation »

Membre du conseil de quartier de Croix-Rouge, Geneviève Kaczowka n’est pas satisfaite des conseils tels qu’ils fonctionnent : « Il n’y a pas de concertation. C’est impossible d’empêcher la moindre réalisation car les décisions sont déjà prises quand le conseil arrive ». Pour Geneviève, il faudrait « qu’on soit informé des projets bien avant leur mise en forme pour donner nos suggestions et qu’il y ait au moins une réunion publique par trimestre ».

Jean-Jaurès : « On obtient des choses »

Ginette Astier fait partie du conseil qui inclut Jean-Jaurès. Elle a vérifié l’efficacité de ce dispositif : « À chaque fois que nous avons demandé des équipements comme un feu rouge ou un passage piéton, nous les avons obtenus. J’ai l’impression qu’on est entendu par les élus ». Quant à ceux qui critiquent : « Il y a toujours des gens qui se plaignent. On ne peut pas demander l’impossible ».

Épinettes : « On n’a pas la parole »

A.I. préfère rester anonyme. La dame siège au conseil qui regroupe les Épinettes et environs. « On n’a pas la parole dans ces conseils.

Personne ne nous écoute. On a beau dire qu’il y a des feux de poubelle sans arrêt, que font-ils ? Rien. On vit très mal dans certains quartiers, on le signale, ça ne sert à rien ».

Clairmarais : « On ne sert pas à grand-chose »

Lucien Blondet, conseiller pour Clairmarais le déplore : « On ne sert pas à grand-chose. On nous demande d’apporter des améliorations mais encore faut-il être écouté. Parfois ça marche mais seulement pour des petits trucs comme un arrêt minute ». Lucien souhaiterait que les conseillers aient un vrai pouvoir consultatif : « En amont des décisions, pas une fois que tout est fait ».

Orgeval : « C’est à nous de les améliorer »

Plutôt satisfait des conseils de quartiers Michel Durand, figure d’Orgeval : « On ne peut pas dire que c’est réussi mais c’est en progression. Je remarque que l’élu se rend sur place quand on lui soumet un problème. Mais c’est peut-être parce qu’on a la chance d’en avoir un bon ». Pour que ce soit plus utile, cela dépend aussi des membres : « Il y a des gens qu’on ne voit jamais. C’est à la population de se bouger pour faire bouger les élus ».

Laon : « Je n’ai pas envie d’y retourner »

« On y parle surtout de voirie. Passer 3heures le soir pour évoquer des histoires de nids de poule dans le quartier d’à côté, ce n’est pas motivant », constate une conseillère de Laon sud. Qui n’hésiterait pas à supprimer carrément ces réunions : « Je ne vois pas l’intérêt de dépenser de l’argent inutilement ».

Neufchâtel : « On se sert de nous »

« On a l’impression qu’on se sert de nous pour entériner des décisions déjà prises. On sert de caution, pas de consultant », estime Robert Brateau, quartier Neufchâtel. « Par exemple pour le tramway, on pouvait voir sur le registre qu’il y avait 5 scénarios au départ de Cora Nord et qu’ils avaient choisi le n° 2. À aucun moment on n’a été consulté ». Robert comprend l’absentéisme grandissant et propose « d’alléger l’ordre du jour et de nous associer vraiment aux projets futurs ».

Sainte-Anne : « Trop d’absents »

« Au dernier conseil, on était 4. On peut ne pas être d’accord mais au moins on vient le dire ». Du coup Micheline Souef fait avancer ses revendications par d’autres moyens : « On obtient davantage par le biais des associations. Tant que les gens ne seront pas prêts à voir plus loin que leur portail, les conseils de quartier ne joueront pas leur rôle ».

Châtillons : « C’est un peu symbolique »

« Je n’ai pas l’impression qu’ils servent à quelque chose et je sais de quoi je parle car j’en ai fréquenté deux », témoigne Ramazan Narin aux Châtillons. « Tout cela est un peu symbolique ».

Saint-Remi : « Ils devraient être à huis clos »

« Ces conseils sont utiles. Ils permettent à ceux qui y viennent de pouvoir poser des questions et d’avoir des réponses même si on n’a pas toujours satisfaction ». Pierre Burguet de Saint-Remi dénonce une dérive trop courante : « On finit toujours par parler déjection canine. Pour éviter cela, je suis partisan de ne plus ouvrir ces réunions au public. À charge aux membres ensuite de répercuter l’information dans son quartier ».

Catherine Frey

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Que fera le prochain maire ?

 

La plupart des conseillers réclament un vrai pouvoir consultatif et qu’on arrête de parler déjections canines.

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Jean-Marie Beaupuy

« Il va falloir changer le système. Autant la relation entre mairie et associations fonctionne bien à Reims, en revanche la relation mairie population est en panne. Je proposerai des réunions en deux phases : une première où l’on recueille des idées et les souhaits et une seconde pour présenter le projet. La première devant servir à enrichir la seconde. »

Adeline Hazan

« Nous savons que Jean-Louis Schneiter n’a jamais cru aux conseils de quartier et qu’il ne les a installés à Reims que parce que la loi l’y obligeait. Ils n’ont jamais été utilisés comme un lieu de concertation et n’ont servi à la majorité qu’à faire la promotion de ses projets. Je crois aux vertus de la démocratie de proximité. C’est pourquoi je proposerai en 2008 de véritables conseils à la taille des quartiers historiques de la ville, avec une représentation majoritaire des associations et de la population désignée après une véritable concertation. Des conseils qui aient un fonctionnement autonome, qui soient force de proposition et un outil réel de consultation de l’ensemble des Rémoises et des Rémois. »

Renaud Dutreil

« Je commencerai par redécouper les périmètres des conseils de quartier car ils sont trop vastes. Il faut revenir à un conseil par lieu de vie. Je vais maintenir deux sortes de conseils : d’abord deux réunions publiques par an pour que la population vienne s’exprimer et ensuite des conseils à huis clos où la ville viendra soumettre ses projets, avant leur réalisation et dans un second temps après leur finalisation. Je vais tout simplement inverser le système. Au lieu d’avoir de l’information qui vient de la mairie vers la population, je veux qu’elle vienne de la population vers la mairie. »

Catherine Vautrin

« C’est un bon système, une base de la démocratie participative qu’il faut maintenir mais qu’il faut aussi modifier. Je voudrais m’inspirer du conseil économique et social qui sert d’organe de consultation au conseil régional. Les conseillers de quartier (dont il faudra revoir la représentativité notamment au niveau des étrangers sous-représentés) devront être associés à toutes les décisions de fond de la ville. Il nous faut développer un lien plus fort avec eux et faire en sorte que leur avis compte ».

Sollicité, Jean-Louis Schneiter n’a pas répondu sur le sujet.

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Union071120c - Marne

Fête du livre à la médiathèque Croix-rouge

 

De gauche à droite, Guy Jimenes, Anaïs Vaugelade, Yaël Hassan, Guillaume Guéraud et Alex Godard.

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La fête du Livre 2007 a été officiellement ouverte vendredi 16 novembre à la médiathèque Croix-rouge. Muriel Masini, conservateur, a accueilli Mario Rossi, adjoint à la culture et son collègue Franck Noël, le député Renaud Dutreil, l’inspecteur de l’Éducation nationale Christian Adnot et le public.

Elle leur a présenté les cinq intervenants de cette édition : les auteurs Guillaume Guéraud, Yaël Hassan et Guy Jimenes, et les auteurs-illustrateurs Alex Godard et Anaïs Vaugelade. Outre les visiteurs habituels, quinze classes les ont rencontrés et 160 personnes ont participé à leurs ateliers de création.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

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Union071120b - Marne

Une action de proximité pour la réduction des déchets

 

L’association CLCV 51 (Consommation, logement et cadre de vie) et Reims habitat participent à la campagne nationale de sensibilisation « Réduisons vite nos déchets, ça déborde ! » en organisant une exposition ouverte jusqu’au 7 décembre à l’accueil des locaux du siège de Reims habitat, 71 avenue d’Epernay tous les jours de 8 h 30 à 12 heures et de 13 à 17 heures.

Cet événement vise à informer la population, responsabiliser les citoyens et inciter chacun à agir concrètement pour réduire ses déchets par le biais d’une consommation responsable et de petits gestes de la vie quotidienne.

« Parce que les petits ruisseaux forment les grandes rivières, chaque action, même à une petite échelle, a un impact sur l’environnement, et chaque citoyen a son rôle à tenir dans la sauvegarde de la planète », explique ainsi M. Welche, président de la CLCV-51. Tous les mercredis après-midi de 13 à 17 heures, Mme Gary (CLCV) sera présente sur cette exposition afin d’expliquer au public le but et l’impact d’une réduction au quotidien de ses déchets.

Par ailleurs, une animatrice de Reims Métropole sera présente le mercredi 21 novembre de 14 à 17 heures et mettra en place des ateliers de tri visant à sensibiliser les plus petits comme les plus grands à ces gestes du quotidien.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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Union071120a - Marne

Affaires de joints et de résine

 

Les policiers ont interpellé samedi après-midi un jeune garçon de 16 ans qu’ils avaient surpris en train de fumer un joint allée des Bourguignons (Croix-rouge).

Comme l’intéressé n’avait nulle envie de retourner au commissariat, où il était déjà passé pour des faits du même genre il n’y a pas longtemps, il a bien tenté de se débattre, sans succès, ne réussissant qu’à aggraver son cas. Il devra répondre de ses actes devant le juge des enfants.

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Union071117b - Marne

Les jardiniers méritants récompensés

 

Ils sont 1.500 jardiniers dans le paysage rémois.

 

Le maire de Reims, Jean-Louis Schneiter, accompagné de l’adjoint Jean-Marie Beaupuy vient d’assister à la salle Armonville à une imposante remise de coupes et récompenses à des jardiniers méritants.

Président de la fédération des jardins familiaux, Didier Klodawski, assisté des membres de son bureau a présidé ce grand rendez-vous des jardiniers qui a rassemblé une bonne centaine d’adhérents de toutes les associations des jardins familiaux de l’agglomération rémoise

Potagers ou jardins de fleurs ont été mis à l’honneur dans cette sympathique cérémonie.

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Union071117a - Marne

Eisenhower a ses mouchards ;
Les caméras chassent les vandales au 60 Eisenhower.

 

La caméra au premier plan surveille les allées et venues.

C’est bien mieux mais ce n’est pas encore parfait.

Le sentiment d’insécurité a bien diminue avec ces cameras. Photos Christian Lantenois

Le 60 Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge est placé sous vidéo-surveillance.

Deux caméras surveillent le hall d’entrée depuis presqu’un an.

En conséquence, le vandalisme a beaucoup baissé mais les incivilités perdurent dans les étages.

Depuis que le hall du 60 Eisenhower à Croix-Rouge est placé sous vidéosurveillance, les boîtes aux lettres ne brûlent plus.

Mais tout n’est pas résolu.

VIVE la vidéosurveillance ! Deux petits globes espion disposés dans le hall d’entrée ont tout changé ou presque au 60 Eisenhower. « Avant il y avait une dizaine de boîtes aux lettres ouvertes par effraction chaque semaine », se souvient Aminda.

Avant, c’était il y a quelques mois, avant la mise sous vidéosurveillance du hall et du sous-sol de la tour. « On avait toujours des petits jeunes dans le hall avec leurs cannettes et leur shit. Quand ils étaient bien faits, ils devenaient violents et s’amusaient à casser ce qu’ils pouvaient. On a aussi appris qu’il y avait un trafic de drogue ».

Aminda apprécie le retour du calme mais ne s’en prend pas aux jeunes pour autant : « Ce ne sont pas des mauvais gosses. Je suis handicapée et plusieurs fois ils m’ont aidé à porter mes courses. J’ai plutôt eu l’impression qu’ils étaient en déshérence. Pas de but, rien pour les occuper ».

« Ils vont dans les étages »

Sans but ou pas, ils faisaient peur à la cousine de Chakilaty : « Elle n’osait même plus sortir avec les enfants ». André confirme le sentiment d’insécurité qui régnait avant les caméras : « Certains avaient peur de rentrer chez eux. Le dimanche matin on retrouvait des carcasses de poulet et des frites dans le hall ». Signe que les jeunes avaient passé la soirée là.

C’est bien mieux mais pas encore parfait : « Il ne fait pas croire qu’ils ne viennent plus. Il y a toujours des gens pour ouvrir la porte d’entrée sans même vérifier qui a sonné », constate une employée de ménage. Qui a encore eu beaucoup de travail cette semaine : « Il ne reste plus dans le hall mais ils montent dans les étages. Au 15e notamment. Ils mangent là-dedans, ils crachent, ils urinent. Pour nous c’est pas drôle tous les jours ».

Par un moment ils s’amusaient aussi à masquer les caméras : « Une fois ils ont essayé de couper le câble, une autre fois ils ont mis du papier journal sur les globes ».

Mais il y a des choses que les chenapans n’osent plus faire : « Comme mettre le feu aux boîtes aux lettres ».

Daniel et Marie-Annick l’ont remarqué : « C’est tout de même un peu plus calme mais c’est à parier qu’ils vont semer la pagaille ailleurs ». Pas gêné d’être filmé, Daniel n’aurait rien contre multiplier les caméras à tous les blocs et à tous les étages « Pour moi, la tranquillité est plus importante que la petite atteinte à la vie privée due à la vidéo-surveillance ». Les locataires en redemandent des caméras même s’ils sont conscients que la vidéosurveillance déplace les problèmes mais ne les résout pas.

Catherine Frey

Propagation lente

 

Reims habitat n’a pas l’intention de placer des caméras à tous les étages au 60 Eisenhower. Déjà pour des raisons budgétaires et parce qu’« elles ont été placées uniquement pour contrôler les accès de l’immeuble. S’il survient des dégradations, on peut vérifier qui est entré et retrouver les auteurs », explique le porte-parole du bailleur.

L’organisme logeur a prévu de placer le même dispositif « rue des Bons Malades » dans le quartier Porte de Paris. Les autres blocs d’Eisenhower ne devraient pas en profiter : « Du moins pas pour le moment. Nous sommes encore en phase de test ».

Avant de décider l’installation de nouvelles caméras, un courrier de consultation est envoyé à tous les locataires. Ils doivent donner leur ac¬cord à la majorité.

L’Effort Rémois a également installé des caméras sur plusieurs sites mais préfère ne pas en révéler l’endroit. Le Foyer Rémois a placé la tour 77 Maison-Blanche dans le quartier Wilson sous vidéosurveillance après l’avoir rénovée. D’autres projets sont à l’étude, tous à Wilson.

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lhv071116d

 

Ce vendredi à 20h30 au Centre Culturel du Crous, rue de Rilly la Montagne sur le Campus Croix Rouge, venez écouter et applaudir le groupe parisien Unlogistic (hardcore), les Marseillais de Binaire (électro punk) et Generic (Rock noise) de Besançon.

Tarif : 3 euros.

Renseignements au 06 80 36 16 00.

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Union071116c - Marne

CROIX-ROUGE Une circulation périlleuse dans le secteur des Polygones

 

Le virage Royer-Taittinger est dangereux pour les écoliers.

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Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de locataires des Polygones, attire une nouvelle fois l’attention sur les deux rues Henri-Royer et Pierre-Taittinger : « Un ensemble très dangereux pour la circulation, en particulier dans le virage, pour les piétons qui doivent marcher sur la route en raison du stationnement sauvage des véhicules sur les trottoirs, pour les enfants sur le passage protégé (mal signalé) et encombré de plots qui devaient être retirés et fixés sur le trottoir et enfin pour les bus et véhicules se croisant, gênés par les mêmes éléments quand ils se croisent. » Mme Kaczowka signale une anomalie dans la signalétique installée : « La circulation des véhicules et des cycles à moteur est trop rapide dans cette zone qui devait être classée « limitée à 30 » et qui ne l’est pas. Seul un panneau à la fin de la rue Royer annonce une « fin de limite de vitesse » qui ne commence nulle part ! » .

Le conseiller général Éric Quénard s’intéresse au problème : « J’ai eu l’occasion d’alerter la ville de Reims par écrit, puis je me suis rendu sur place à plusieurs reprises dont une fois avec des membres de l’association Les Polygones et les services de la ville de Reims que nous avions alertés conjointement : il reste encore des aménagements à réaliser pour garantir la sécurité de tous ».

Mais ni l’adjointe Florence Mobuchon ni le président du Conseil de quartier, Ahmed El Mcherfi n’ont souhaité s’exprimer sur ce sujet.

« Pourtant, insiste Geneviève Kaczowka, tout ce secteur devrait être revisité pour une sécurité optimale des usagers et surtout celle des enfants qui se rendent à l’école Billard en empruntant le passage (trop légèrement) protégé. »

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Union071116b - Marne

Patinage : pluie de podiums pour les danseurs de l’Acrap

 

Une équipe très prometteuse.

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La première rencontre de danse sur glace s’est déroulée à Besançon samedi 10 novembre. Le Reims Acrap patinage présentait 22 danseurs qui ont défendu les couleurs de leur club avec 10 podiums obtenus dont 7 premières places.

Ludivine Lemaire, leur entraîneur, accompagnée de ses assistantes et éducatrices bénévoles Justine Delaunois et Morgane Huet, ont présenté de toutes jeunes compétitrices.

- En catégorie A, Chahinëz Djeradi monte sur la plus haute marche du podium pour sa première compétition.

- En catégorie B, Jeanne Reppel se distingue en remportant la 2e place. Victoire Plomion et Océane Persinet ne déméritent pas en prenant la 4e et 6e place : une belle relève !

- Catégorie Préliminaire : Coralie Déhu participait elle aussi à sa première compétition de danse sur glace. Elle remporte aisément la plus haute marche du podium.

- Préliminaire + : Deux jeunes danseuses, Juliette Wary et Nina Toukouk montent sur la 1ère et 2e marche du podium.

- Préparatoire : Christopher Guissant prend la 6e place.

- Préparatoire + : Renan Manceaux remporte la compétition en imposé et en libre.

- Pré-Bronze B : Lucile Sarrazin termine 2e. Jessica Guissant et Marine Ravaux s’attribuent la 6e et 7e place.

- Pré-Bronze A : Morgann Prey remporte la compétition.

- Bronze B : Camille Renault s’impose et monte sur la plus haute marche du podium. Quant à Margaux Abib-Gruet et Éva Lemaire, surclassées, elles prennent respectivement les 8e et 11e places. Roxane Bouvet termine 12e.

- Bronze A : Marie Blazquez termine 1ère.

- Argent : Solène Manceaux termine 8e, Morgane Huet 12e et Karen Martin 15e. Dans cette catégorie, la plus haute de la compétition, les danseuses du RAP se sont bien défendues.

- Classement : Le club Reims Acrap patinage termine 3e de la compétition.

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Union071116a - Marne

Maison de quartier : l’aide du département

 

Au conseil général de la Marne, les interventions d’aide sociale à l’enfance ainsi que les actions de prévention sociale en faveur de l’enfance, de la jeunesse et de la famille s’appuient en partie sur des actions de prévention conduites seules ou en partenariat avec des associations.

« C’est le cas avec la Maison de quartier Croix-Rouge et ses différents espaces (Billard, Watteau, Pays-de-France) » confirme le conseiller général Eric Quénard : « Il s’agit tout d’abord d’une subvention annuelle de fonctionnement eu égard aux actions socio-éducatives réalisées par les différentes maisons de quartier. Dans ce cadre, l’espace Billard perçoit 11.527 euros, l’espace Watteau 6.413 euros, l’espace Pays-de-France 30.500 euros qui correspond au financement du poste du référent famille et la maison de quartier Croix-Rouge de 30.000 euros au titre du financement d’un poste d’animateur. »

Par ailleurs, le département soutient financièrement les maisons de quartier qui mettent en place des lieux d’animation parents-enfants (LAPE). Ces lieux participent au soutien à la fonction parentale des pères et mères du quartier Croix-Rouge : « Pour ces actions, les espaces Watteau et Billard perçoivent chacun 1.525 euros » .

Enfin, le conseil général de la Marne apporte un financement complémentaire en rémunérant des prestations de services : « Il peut s’agir de l’animation en salle d’attente Protection maternelle et infantile (PMI) pour laquelle les espaces Billard et Watteau perçoivent respectivement 1.500 et 1.900 euros, ou de participer à la réalisation des actions vie quotidienne mises en œuvre dans le cadre du programme départemental d’insertion comme c’est le cas pour l’espace Watteau qui perçoit 7.000 euros pour ces actions. »

Au total, le soutien du conseil général de la Marne à la maison de quartier Croix-Rouge s’est élevé en 2007 à 91.890 euros, montant auquel s’ajoutent les financements sur des projets culturels comme le festival Croix-Rouge s’affiche (6.307 euros) et le dispositif « Jeunes talents » (2.300 euros).

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Union071115b - Marne

Un salon transformé en pataugeoire

 

Hier vers 10 heures du matin, un couple domicilié allée des Provençaux regardait la télé lorsqu’une vis du radiateur du salon a soudain lâché. « La pièce a été inondée. On avait les pieds dans sept centimètres d’eau », raconte le locataire, Yvan Brémont. « Heureusement que nous étions là ! J’ai vidé les armoires des chambres pour faire barrage avec des vêtements. On a limité l’inondation au salon mais maintenant, j’ai treize sacs de vêtements mouillés qui font au moins trente kilos chacun. »

Appelés au secours, les sapeurs-pompiers ont aspiré une quantité d’eau estimée à 500 litres. L’intervention a duré une bonne heure. A leur demande, la société privée assurant la gestion des radiateurs pour le compte du Foyer rémois a envoyé un technicien pour effectuer une réparation d’urgence.

« Ça fait un an que je demande le changement de ce radiateur. Il est tout vieux. Il doit bien avoir trente ans, comme l’immeuble ! », râle M. Brémont, peu rassuré par la nouvelle installation posée. « J’ai laissé une grosse gamelle de cinq litres dessous, on ne sait jamais. Mais si ça claque encore, ça ne servira pas à grand-chose. »

L’appartement situé au-dessous a subi quelques dégâts sur la tapisserie.

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Union071115a - Marne

Une semaine de la solidarité à Croix-Rouge

 

Joseph Cakpa (Rire et Coleij), coorganisateur de la semaine.

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L’association RIRe (Rencontres interculturelles de Reims) 6 allée des Picards, et le réseau Coleij organisent la semaine de la solidarité, du 17 au 28 novembre.

« Cette manifestation sera l’occasion de rencontres entre des responsables d’associations (ONG, OSIM), des jeunes, des professionnels ainsi que des élus dans le domaine de la santé, la formation ou des perspectives pour agir dans le domaine de la solidarité ici et là-bas », explique Joseph Cakpo, chargé de mission.

Expositions

Du 17 au 25 novembre à l’espace Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3 rue du docteur Billard. Tél. 03.26.49.47.07.), expositions photos sur la construction d’une école en milieu rural à Haïti, la faim dans le monde (Alimen-Terre) et une fresque de la Solidarité (graff).

A l’espace Ethnic’s, exposition sur le commerce équitable au Château d’eau (Tél. 03.26.06.61.69.).

Petit-déjeuner solidaire

Mercredi 21 novembre, de 8 à 10 heures, à l’espace la Nacelle, petit déjeuner solidaire et convivial dans le cadre de la campagne « Alimen-Terre 07 », avec collecte de denrées non périssables.

Goûter - Concert

Mercredi 21 novembre à partir de 15 heures à l’espace Ethnic’s.

Concert

Mercredi 28 novembre à 15 heures, salle municipale Croix-Rouge, journée de la solidarité « jeunes talents » avec les groupes Africaa (percussions africaines) et As So Wi Do (Reggae dancehall et rag¬gamuffin), danse et choré¬graphie. Présence d’un stand santé sur la sensibilisation et la prévention Sida-lst.

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Une table ronde sur le codéveloppement

 

Samedi 24 novembre à partir de 17 heures à l’espace la Nacelle, 3 rue du Docteur Billard : table ronde sur « Le Co-développement, état des lieux, enjeux et perspectives ».

On y abordera de nouvelles dynamiques entre la coopération et le développement dans les pays du Sud, avec Antony et Anne, qui présentent la réalisation de « Défi-santé Atabu » (construction d’un dispensaire-maternité au Ghana) ; Stéphane Monges, permanent-coordinateur de l’Accir (Association champenoise de coopération inter-régionale), qui mène des actions autour de l’agriculture paysanne depuis 40 ans auprès des populations du Burkina Faso, du Sénégal et du Mali ; Faustin Aïssi, universitaire conseiller communautaire à Villeneuve-d’Ascq et Tafika Rakotomayo, secrétaire général du Forim (Forum des organisations de solidarité internationale issues des migrations). Entrée libre.

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Union071114e - Marne

Balcons fleuris à Pays-de-France

 

L’association de promotion de Pays-de-France, présidée par Christiane Monflier, a organisé cette année encore son concours des plus beaux balcons et des plus beaux jardinets fleuris.

La proclamation des résultats et la remise des prix se dérouleront mercredi 21 novembre à partir de 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

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Union071114d - Marne

Création à l’espace Watteau

 

Les réalisations des jeunes sont exposées jusqu’au samedi 17 novembre.

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Dominick Boisjeol, plasticienne, a animé des ateliers de création à la médiathèque Croix-Rouge.

Une trentaine d’enfants y ont participé, ainsi qu’un groupe de personnes de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Toutes leurs réalisations, inspirées des illustrateurs Alex Godard et Anaïs Vaugelade, invités à la Fête du livre, sont exposées à la médiathèque jusqu’au 17 novembre.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

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Union071114c - Marne

Hip-hop et danse contemporaine

 

A l’occasion de l’opération nationale « le mois du film documentaire », la médiathèque Croix-Rouge présente trois films de Luc Riolon, pour tout public à partir de 11 ans, une programmation axée sur la rencontre entre deux genres a priori éloignés : la danse hip-hop et la danse contemporaine.

Mardi 20 novembre à 17 h 3
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Suresnes Cité Danse (1999, France, 1h14min). Avec sa caméra, Luc Riolon présente la rencontre entre des danseurs de hip-hop et des chorégraphes contemporains (Régis Obadia, Karine Saporta, Blanca Li, Farid Berki et Laura Scozzi), relevant ainsi le défi lancé par Olivier Meyer, directeur du Théâtre de Suresnes : « Investissez le théâtre pendant deux mois, utilisez les plateaux, studios, matériels, lumière, son, techniciens du théâtre, travaillez le jour, la nuit et créez cinq pièces que je me charge de présenter au public » .

Mercredi 21 à 14 h 30

Hip-Hop Fusion (2000, France, 1h38min). Après la découverte en 1999 de la formidable énergie née de la rencontre du hip-hop et des chorégraphes contemporains, Luc Riolon propose un retour à Suresnes un an après.

Une nouvelle étape dans la reconnaissance de la danse hip-hop dans le monde artistique, où la parole est donnée aux artistes : interprètes et chorégraphes.

Samedi 24 à 14 h 30

Abou Lagraa, du hip-hop à la danse contemporaine (2005, France, 1h30min). Découvert en 2000 lors de la création du spectacle « Passage » célébrant les noces du ciel et de la mer, du Maghreb, de l’Orient et de l’Occident, de la chanteuse Feirouz et de la musique électronique d’Eric Aldéa, le chorégraphe puise dans le hip-hop un langage gestuel qui enrichit son travail.

Inscriptions (gratuites) et renseignements auprès des bibliothécaires. Le programme complet est disponible dans les médiathèques et sur le site de la bibliothèque http://www.bm-reims.fr/

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Union071114b - Marne

Arrêté ivre au volant trois fois en un mois

 

Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 4 heures, les policiers de la Brigade anti-criminalité (Bac) ont arrêté un automobiliste qui venait de franchir un feu rouge, rue du Docteur-Billard (l’union de lundi).

Non seulement le conducteur se trouvait en état d’ivresse (1,74 gramme par litre de sang), mais il circulait également sans permis à la suite d’une précédente conduite en état alcoolique constatée le 4 octobre.

Et depuis, le mis en cause, Jamel Mahkloufi, 34 ans, s’était fait reprendre fin octobre pour un motif similaire.

Cette fois-ci, pas de remise en liberté avec une troisième convocation devant le tribunal correctionnel, mais un aller direct pour l’audience des comparutions immédiates.

Il a été condamné à quatre mois de prison dont trois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de se soigner et de travailler. Son permis de conduire est annulé avec interdiction de le repasser avant 18 mois.

La décision rendue, le jeune homme est parti à la maison d’arrêt pour purger ses trente jours d’emprisonnement.

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Union071114a - Marne

« Un plus pour leur bien-être »

 

11 h 30. Comme dans les autres écoles de la ville, à Gilberte-Droit, la sonnerie retentit. Si les enfants pensaient se jeter, l’air de rien, sur leurs assiettes, c’est peine perdue. Avant même de rentrer dans le réfectoire, ils doivent passer se laver les mains. Et les règles du guide, ils connaissent. Comme un réflexe, Brighton, 7 ans, lève les yeux et montre le panneau récapitulant les 11 règles, tout en commençant à lire fièrement. « Ben, oui, on les connaît les règles, même si c’est vrai que parfois on les oublie », avoue Cloé, 8 ans.

Du côté des parents, on note la différence. « En tant que maman, je trouve cela génial, se réjouit Delphine Fournier, représentante des parents d’élèves. Mère de Maelle 8 ans et Thaïs 10 ans, demi-pensionnaires, elle se rappelle que sa fille, l’an passé, ne voulait plus manger à la cantine car elle trouvait cela trop bruyant. « Désormais, l’encadrement leur apprend à manger dans le calme même s’ils peuvent toutefois chuchoter. C’est un vrai plus pour leur bien-être »

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l’union071113c

Des documentaires pour entrer dans la danse

 

Les amateurs de danse peuvent se rendre à Reims les jours prochains aux spectacles du Manège (1) mais aussi à la médiathèque Falala. Là, ils ne verront peut-être pas des danseurs en chair et en tutu, mais au moins des films consacrés à leur discipline affectionnée.

C’est en effet la danse que la médiathèque rémoise a choisie comme thème du « mois du film documentaire », opération nationale à laquelle elle participe pour la quatrième fois (l’an dernier, on s’en souvient peut-être, le thème retenu était la justice).

Au programme de ce « mois » documentariste, qui court jusqu’au 1er décembre inclus, une trentaine de projections, dont deux décentralisées à la médiathèque Croix-rouge.

Parmi ces films, plusieurs inédits, qui permettent au public de faire connaissance avec des troupes, non seulement sur scène mais aussi dans les coulisses.

Un partenariat avec le Manège déjà cité offrira également la possibilité d’associer projection et rencontre avec des artistes en chair et en os cette fois, comme Nacéra Belaza et Dominique Boivin, chorégraphes.

Ce festival de projections, gratuites comme tout ce qui est organisé par les bibliothèques municipales, est complété par une exposition de photos d’Alain Julien, présentant « Dix ans de danse en Champagne-Ardenne ».

Un livret disponible dans les bibliothèques donne le détail de la programmation. Avec celui-ci, vous n’avez plus qu’à faire votre choix et à entrer dans la danse.

A.P.

(1) Grand soir « danse » du Manège, mardi 27 et mercredi 28 novembre, avec Dominique Boivin et Pascale Houbin ; mélange danse-théâtre-musique « La Chambre d’Isabella », jeudi 6 et vendredi 7 décembre.

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l’union071113b

La passerelle Croix-du-Sud menacée de démolition

 

Ce sont les poussettes qui profitent le plus de la passerelle

La décision de démolir la passerelle avenue Léon-Blum doit être prise lors du prochain conseil municipal. Au grand dam des habitants qui n’en savaient rien.

ON ne fait pas un tramway sans casser une passerelle. C’est celle de Croix-du-Sud avenue Léon-Blum qui devrait être sacrifiée.

L’information ne circule pas dans le quartier car les habitants n’ont pas été informés de ce projet. C’est l’élu communiste Michel Guillaudeau qui a sursauté en lisant que l’autorisation de démolir la passerelle sera votée lors du conseil municipal du 26 novembre prochain. Autant dire que c’est fait.

« De toute façon, même si on n’est pas d’accord, ils le feront quand même », se résigne Sophie, habituée à franchir le petit pont pour aller chercher son pain. « C’était une protection pour les piétons. Elle avait juste besoin d’être nettoyée, pas détruite ». Elle ne devait pas l’être au départ mais « des raisons obscures de réseaux EDF et France Telecom situés sous la passerelle sont avancées pour justifier la démolition », dévoile Michel Guillaudeau

« Ils peuvent l’enlever »

 

Le facteur : J« e vais être obligé de faire le tour. Ce sera galère. »

« C’était une protection pour les piétons. Elle avait juste besoin d’être nettoyée, pas détruite. »

Pas de raison qui tienne pour cette maman : « Pour moi, c’est niet. Il n’est pas question qu’ils la descendent. On passe ici tous les jours avec les poussettes pour aller faire les courses ». Anne-Marie tient aussi à sa passerelle : « C’était tout de même bien. Mieux que de traverser la route. Surtout que les voitures ne se soucient pas beaucoup des piétons ».Pas content non plus le facteur. Chaque jour, les besaces bien pleines de courrier, il franchit le raccourci à vélo : « Je vais être obligé de faire tout le tour. Ce sera galère ».

Dommage pour les enfants et pour les personnes âgées. Même Youcef, jeune homme alerte, condamne cette prochaine décision : « Avant il y avait des accidents sous le pont, il y en aura à nouveau ».

D’autres habitants s’en soucient beaucoup moins. Comme Lucie, jeune maman en congé parental :

« Cela ne me dérange pas qu’ils l’enlèvent. Ce n’est pas très grave ». Ou encore Jean-Luc, contrôleur de gestion à la retraite : « Ça m’est égal. Je préfère avoir un tram plutôt qu’une passerelle ».

Catherine Frey

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« Nous voulons remettre les commerces le long des rues »

La suppression de cette passerelle n’aurait rien d’un caprice lié aux installations EDF ou France Telecom. Ce ne serait même pas la faute du tramway, du moins pas directement : « Ce type de passerelle est voué à disparaître.

Ce n’est ni fonctionnel, ni satisfaisant du point de vue de la sécurité », explique Eric Citerne, directeur de l’urbanisme.

« Nous voulons remettre les commerces le long des rues en bas des immeubles. Le but étant que la rue redevienne un lieu plaisant de promenade avec de larges trottoirs, des voitures qui roulent moins vite et le tram au milieu. Nous allons réaliser à Croix-du-Sud ce qu’on a commencé à La Rafale ». En ramenant piétons et commerces au niveau de la rue, la ville en collaboration avec les organismes logeurs, entend lutter contre l’enclavement des quartiers et l’insécurité qui va parfois avec.

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l’union071113a

Ethnic’s ose le mélange des genres

 

Des mini-stages hors du commun et réussis. Une expérience à renouveler.

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L’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge a innové, en organisant des sessions de regroupements. « Nous avons dans un premier temps regroupé les ateliers guitares, basses et batterie » explique Abdel Errafii, animateur, « puis dans un deuxième temps, nous avons rapproché les ateliers scratch et rap ».

 

 

 

 

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071111a Correspondant particulier

Exposition de la plasticienne Dominik Boisjeol

 

Dominick Boisjeol, plasticienne, a animé des ateliers de création à la médiathèque Croix Rouge. Une trentaine d’enfants y ont participé, ainsi qu’un groupe de personnes de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix - Rouge. Toutes leurs réalisations, inspirées des illustrateurs Alex Godard et Anais Vaugelade, invités à la Fête du livre, sont exposées à la médiathèque jusqu’au 17 novembre.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

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l’union071110c

Le collectif des migrants soucieux de la psychologie des immigrés

 

Le Ciam anime des sessions de formation, comme ici avec les travailleurs sociaux. J.-F. Scherpereel

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Les étrangers qui s’installent en France — et à Reims — doivent résoudre des questions matérielles. Ils doivent aussi s’adapter à leurs nouvelles conditions de vie. D’où la « cellule psychologique » mise en place par le « Ciam ».

S’IMPLANTER dans une ville, voire dans un pays inconnu est loin d’être simple, surtout quand on est d’une culture différente. Même entouré de sa famille, le « migrant » doit fournir un effort d’adaptation qui peut jouer sur son moral. Aussi, le collectif interculturel des associations de migrants a-t-il mis sur pied une « cellule psychologique ». Celle-ci entre dans le champ plus large des actions du Ciam pour faciliter l’intégration des nouveaux venus à Reims.

Quand le Ciam est né, en 1984, le but de ses 15 associations fondatrices était simplement d’aider à l’intégration des immigrants. Leur regroupement permettait d’aborder ensemble les problèmes communs à toutes les personnes d’origine étrangère.

Évolution

Aujourd’hui, la société a évolué. Les problèmes et la façon de les résoudre aussi. A la simple « intégration », se sont ajoutés les questions sociales, la discrimination, le chômage, etc.

Le nombre des personnes concernées s’est également accru. Le directeur du Ciam, Mohamed Chérif estime donc à « 4.000 personnes » la population qui traverse une situation difficile par le seul fait de son déplacement.

Cette population est généralement originaire d’Afrique (Nord et sub-Sahara) et… Portugal. Mais l’on commence à voir venir des ressortissants d’Europe de l’Est, « qui seront de plus en plus présents, avec des problèmes différents ».

En revanche, les Asiatiques sont invisibles.

En 2006, près de 1.600 personnes sont venues dans les nouveaux locaux du collectif. 560 dossiers ont été traités.

Les principaux problèmes posés concernaient quatre points particuliers.

- Le premier, c’est la régularisation du séjour (refus ou renouvellement). « Un gros problème » pour les migrants concernés.

- Le second, le « regroupement familial », dont les conditions sont devenues plus restrictives et plus formelles pour les « primo-arrivants ».

- Le troisième concerne le logement.

Ceux qui peuvent franchir les différentes étapes, avec des ressources suffisantes, s’en sortent. Mais pour les autres ? « C’est un casse-tête » admet M. Cherif, « l’urgence » devenant alors la seule solution.

Et quand on trouve une solution, « la promiscuité » entre des cultures trop différentes engendre de nouveaux problèmes.

Discrimination

Enfin, il y a le problème de fond de la société française, l’emploi. Son accès est de plus en plus étroit pour tout le monde.

Il l’est encore un peu plus quand la langue, la couleur, l’éducation, l’âge, la faible qualification, deviennent des barrières réunies sous le label « discrimination ».

Le Ciam intervient donc pour expliquer le(s) droit(s) ; diffuser l’information ; former les travailleurs sociaux, etc.

Il a aussi créé une « cellule psychologique » destinée surtout aux « victimes de discriminations » en matière de logement, de travail, etc.

« Nous avions régulièrement des plaintes de ce type. Mais nous n’étions pas préparés à ça. Il fallait professionnaliser l’écoute, au-delà de l’urgence, pour une meilleure prise en charge des migrants », indique M. Cherif.

En ce samedi 10 novembre, les 15 associations du collectif réfléchiront justement sur leurs « pratiques » et la meilleure façon de les améliorer.

J.-F. Scherpereel

Le Ciam se trouve boulevard Lundy, face au marché des Halles. Ouverture de 8 h 30 à 12 heures et de 14 à 17 h 30.

Renseignements : 03.26.05.76.05.

Cellule psychologique au 03.26.77.00.77.

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Le Ciam en quelques mots

 

Le collectif interculturel des associations de migrants est constitué de 15 associations. Il est présidé par Rachid Alaoui et dirigé par Mohamed Cherif.

Il emploie 5 personnes, dont la psychologue. Son conseil d’administration réunit des personnalités qualifiées et des élus de la ville de Reims, en plus des représentants des associations.

Son budget est alimenté par la Ville de Reims (66.000 €) ; l’agence de Cohésion sociale (l’État) (47.000 €) ; le « CUCS » (contrat urbain de cohésion sociale) ; les contrats aidés (pour certains salariés).`

Le Ciam a son siège dans un local rénové par la Ville de Reims, près de la place de la République. « 

Cet emplacement est une forme de reconnaissance de la population immigrée », sourit M. Chérif, qui rappelle que le Ciam défend justement les « valeurs et la laïcité » de la République française.

J.-F.S.

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l’union071110b

Un partenariat théâtral réussi

 

« Au fil des mots » a joué devant les enfants de Wilson et Châtillons.

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« Ce groupe est issu d’une rencontre entre des mamans adhérentes de l’Espace Apollinaire, qui fabriquaient des marionnettes, et des mamans de la Maison de Quartier Croix-Rouge qui racontaient les histoires créées par des enfants des écoles du quartier », explique Catherine Pierrejean, qui encadre et anime « Au fil des mots ».

Le spectacle, un jeu théâtral qui met en scène des marionnettes et des acteurs, a été monté en partenariat avec des personnes du Foyer Thibierge. « Certaines manipulent, d’au tres ont enregistré les voix et la bande son, et le foyer a fabriqué le Castelet. Le spectacle, qui tourne déjà depuis quelque temps, s’enrichit et s’améliore au fil des années », ajoute Catherine.

Le groupe intervient pour aider les animateurs des maisons de quartier à mettre en place des projets : « Nous sommes l’illustration de ce qu’on peut faire avec peu de moyens : mélanger action théâtrale, expression, et création de marionnettes ».

Un atelier interdisciplinaire qui permet à chacun de s’investir et qui prouve que des adultes, d’origines sociales et culturelles différentes, peuvent prendre plaisir à jouer des histoires pour les enfants.

Ce mercredi, « Mina, dis-moi pourquoi ? » a été joué à la maison de quartier des Châtillons, devant des enfants de deux centres de loisirs.

Marie-Ange manipule sa tortue : « La difficulté, c’est de pouvoir donner vie à la marionnette tout en étant raccord avec la bande son », confie- t-elle. Les petits découvriront pourquoi la tortue a une carapace et la girafe un long cou…

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l’union071110a

Activités sportives et ludiques au menu du rallye

 

Un tour de piste en trottinette.

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Dans le cadre des activités de la plate-forme 9/12 ans sur Croix-Rouge et du centre de loisirs 12/15 ans, un rallye a été organisé mercredi après-midi au gymnase Roland-Bourgoin.

« Cette animation commune aux deux accueils avait pour objectif de faciliter le passage des enfants de 12 ans d’un type d’accueil à un autre, et ainsi motiver ce public à rester dans un système de loisirs gratifiant et structurant », explique Patrick Schmid (espace Watteau).

Sur une idée collective au départ, l’idée a été finalisée par Laurent Tonnelier, responsable plate-forme à Billard et David Gameiro, responsable accueil 12/15 ans, à La Nacelle. Ils ont regroupé les enfants des centres de loisirs (12-15 ans) et ceux du centre de loisirs de la plate-forme (9-12 ans) Pays-de-France, association de promotion de Pays-de-France, Watteau, Billard et Étoile Croix-du-Sud, les jeunes de la malle de proximité d’Agnès Bégusseau avec Nicolas Cauet, et deux équipes de Sport de proximité (Tarek Maamoun). Une vingtaine d’adultes se sont retrouvés pour encadrer ces enfants, on remarquait parmi eux les personnels des différents espaces de la Maison de quartier Croix-Rouge, le service départemental de prévention, l’association Rencontres interculturelles de Reims, les Points information jeunesse et familles et les correspondants de quartier.

Les enfants, répartis par équipes, ont tourné d’atelier en atelier avant un classement final et un bon goûter solidaire pour redonner des forces à tout ce petit monde.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071109c

Réduire ses déchets

 

 

L’association « Consommation Logement et Cadre de Vie » propose une exposition dans les locaux de Reims habitat, 71 avenue d’Épernay, pour sensibiliser locataires et futurs locataires à la réduction de leurs déchets au quotidien.

CLVC, Reims habitat et les associations de locataires « Mieux Vivre à Croix-Rouge » et Club 47-ULCR ont découvert, mardi 6 novembre, les panneaux et conseils mis à la disposition du public pendant la Semaine de la réduction des Déchets, sur le thème « Réduire, c’est agir ! »

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

 

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l’union071109b

Le cannabis mène au coffre-fort

 

Mardi dernier en début de soirée, une patrouille de police repère un individu au comportement quelque peu suspect dans une rue du quartier Croix-du-sud de Reims.

L’homme accélère le pas, semblant vouloir échapper aux regards des fonctionnaires des forces de l’ordre. Rien de tel pour donner envie à ceux-ci de savoir à qui ils ont affaire. Ils interceptent l’homme au coin d’un immeuble. Contrôle, palpation, tiens ! Qu’est-ce que c’est que cette substance plus ou moins dissimulée dans un paquet de cigarettes ? Du cannabis. Pas beaucoup certes, un demi-gramme, même pas un joint, mais suffisamment tout de même pour justifier interpellation et garde à vue. D’autant que l’intéressé est connu des services, avec déjà cinq mentions à son casier, bien qu’il n’ait que 20 ans.

Moins que le plancher

Les policiers profitent de ce qu’ils ont ce « client » sous la main pour faire des rapprochements avec une autre affaire, qui remonte à la nuit du 1er au 2 août derniers. Un coffre-fort contenant 840€ et quelques tickets loisirs, ainsi qu’un rétroprojecteur, avaient été volés, avec force dégâts à la clef, chez Charles-Heidsieck, dans la rue du Vignoble.

Les rapprochements sont si implacables que le jeune interpellé reconnaît ces faits sans trop de difficulté. Hier jeudi, il était présenté au tribunal correctionnel pour répondre de ces deux infractions, le cannabis, et le vol du coffre.

Plus une usurpation d’identité, puisqu’il avait tenté de se faire passer pour son frère lors de l’interpellation…

On notera que, se trouvant en état de récidive avec sa détention de drogue, Michel Tavares encourait théoriquement une peine plancher de 4 ans de prison ! Pour un demi-gramme, ça faisait peut-être lourd. Le substitut du procureur se contenta de réclamer un an. Les juges, pour l’ensemble de son œuvre, sont descendus jusqu’à neuf mois.

A.P.

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l’union071109a

Reims fête le livre

 

Guillaume Guéraud, auteur de romans pour adolescents.

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La Fête du livre, prévue cette année les vendredi 16 et samedi 17 novembre, c’est des rencontres, des dédicaces, des ateliers, un spectacle à la médiathèque Croix-Rouge.

La manifestation est réalisée par la Bibliothèque municipale de Reims, en partenariat

avec l’inspection de l’Education nationale, la Maison de quartier Croix-Rouge, avec la participation de la librairie Privat et avec le soutien de la Direction régionale des Affaires culturelles.

Entrée libre et gratuite, dans la limite des places disponibles.

Le programme

Vendredi 16

- De 17 heures à 18 h 15, rencontres avec Alex Godard, Guy Jimenes et Anaïs Vaugelade.

Samedi 17

- De 10 h 30 à 11 h 30, rencontres avec Guillaume Guéraud et Yaël Hassan.

- De 14 heures à 15 h 15, rencontres avec Alex Godard et Anaïs Vaugelade. Dédicaces de Guillaume Guéraud, Yaël Hassan et Guy Jimenes.

- De 15 h 30 à 17 h 30, rencontres avec Guillaume Guéraud, Yaël Hassan et Guy Jimenes. Dédicaces d’Alex Godard et Anaïs Vaugelade.

- De 10 heures à 17 h 30, ventes par la librairie Privat.

- A 18 heures, spectacle de contes de Claire Landais : « Contes de braise et de tisons » .

Jusqu’au 17 novembre

Exposition d’œuvres originales d’Alex Godard et Anaïs Vaugelade.

Renseignements et inscriptions préalables à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar (Tél. 03.26.35.68.40.).

Les invités

Alex Godard : Auteur et illustrateur de livres pour enfants, loin des clichés de cartes postales, Alex Godard évoque son île natale, la Guadeloupe. Les couleurs chaudes de ses pastels dessinent des paysages à la fois poétiques et réalistes.

Guillaume Guéraud : Auteur de romans pour adolescents, Guillaume Guéraud, avec un style incisif, tantôt familier, tantôt littéraire, sait capter l’attention des adolescents.

Yaël Hassan : Auteur de romans pour enfants et adolescents, d’origine juive polonaise, Yaël Hassan a écrit plusieurs romans en rapport avec la Shoah. Le devoir de mémoire et de transmission est pour elle capital.

Guy Jimenes : Auteur de romans pour enfants et adolescents (romans historiques, romans d’aventures, romans humoristiques), Guy Jimenes n’aime pas s’enfermer dans des catégories. Son plaisir, c’est avant tout de raconter des histoires.

Anaïs Vaugelade : Auteur et illustrateur de livres pour enfants, Anaïs Vaugelade comprend les enfants, leurs peurs, leurs difficultés et sait leur raconter des histoires ; mais les parents aussi peuvent trouver matière à réfléchir dans ses albums !

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l’union071108a

La cigarette met le feu à la chambre

 

Traces du sinistre : des débris calcinés au pied de l’immeuble.

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Un feu d’appartement s’est déclaré hier mercredi vers 1 h 30 du matin, dans l’immeuble n°1 de l’avenue du Général-Bonaparte, au troisième étage. Il aurait été provoqué accidentellement dans la chambre par une cigarette.

Les dégâts sont restés essentiellement matériels : l’occupant des lieux, un homme d’une quarantaine d’années, n’a été que légèrement intoxiqué par la fumée. Pris en charge par les pompiers, il a toutefois été conduit à l’hôpital.

Son appartement en revanche, a nettement plus souffert. Les voisins quant à eux n’ont pas eu à évacuer l’immeuble pendant l’intervention des secours.

A.P.

 

 

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l’union071107a

Tony et Fleuriane : une vie gâchée à cause des cafards

 

Sous et derrière le frigo, une véritable colonie…

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Les locataires du 17, avenue Bonaparte sont confrontés quotidiennement à des hordes de cafards depuis plusieurs années. Pour le moment, rien n’y fait.

« ON n’ose plus inviter les gens. Le soir, ça grouille partout : dans les WC, la cuisine, la salle de bain, la chambre de notre fils. On envoie le petit dormir chez ma belle-mère. Notre amie qui est enceinte fait venir son mari en reconnaissance quand ils nous rendent visite… ».

Tony et Fleuriane sont à bout. Depuis deux ans qu’ils habitent au 17 avenue Bonaparte, ils doivent partager leurs 100m2 avec des colonies de cafards. Effectivement, il y en a partout. Et rien n’y fait.

Pas le choix

Ce jeune couple de 23 et 20 ans est du genre heureux de son sort. Un métier de réparateur en électroménager pour Tony ; deux enfants de 2 ans et de 2 mois à élever pour Fleuriane. Un appartement (très bien entretenu) au 5e étage d’une vieille résidence du Foyer rémois. « On n’avait pas le choix : on vivait dans 11m2 très propres, chez un propriétaire privé en centre-ville. Mais avec les enfants… ».

Même les hamsters ont été placés dans une cage spéciale pour échapper aux insectes.

Dès le début et chaque jour, pourtant, cette petite famille a dû cohabiter avec les cafards, jour et nuit, 365 jours par an. Impossible de diffuser des insecticides : Tony est épileptique. Aussi, le couple a alerté l’organisme logeur. Puis fait venir le service d’hygiène de la mairie.

« Dans le corridor, ils ont déchiré les papiers peints qui se décollaient. Derrière, il y avait des nids de cafards dans le mur… Tout a été refait ».

Pétition

Pendant « six mois », ils ont cru être débarrassés de ce fléau. Et puis un jour, les bestioles sont revenues, d’abord en petit nombre. Tony a fait signer une pétition à ses voisins.

Dans les toilettes, les cadavres de quelques cafards.

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Le Foyer rémois a donc engagé une entreprise qui a répandu un produit, « mais depuis, il y en a encore plus, comme si le produit les attirait », analyse Tony. Qui ajoute que « l’entreprise ne s’est rendue que chez ceux à qui j’avais fait signer la pétition ».

Il y a quelques jours, n’en pouvant plus, Fleuriane s’est rendue au bureau du Foyer rémois, situé juste en face de l’immeuble. La réponse a été assez évasive, selon la jeune femme. « C’est les vacances »… lui aurait-on répondu en substance.

Ne sachant plus quoi faire, le jeune couple lance un nouvel appel. La famille n’a pas envie de quitter cet appartement où elle se sent bien malgré ces visiteurs indésirables. Ou alors, il faudrait retrouver un appartement aussi vaste pour 450 € par mois. En attendant la solution définitive, Tony a décidé, en quelque sorte, de faire la « grève des charges ». Il les met de côté depuis plusieurs mois pour faire comprendre au Foyer rémois qu’il y a réellement un problème de fond. « C’est comme la porte d’entrée. Elle a été forcée, mais elle n’est toujours pas remplacée ».

Pendant ce temps, chaque jour, dans chaque pièce, Fleuriane fait la chasse aux cafards…

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Le Foyer rémois : « Tous les locataires doivent nous ouvrir »

 

Le Foyer rémois est sensible à la situation de Tony et Fleuriane. Cependant, la mauvaise volonté de certains locataires empêcherait de venir à bout des cafards.

« Nous avons des contrats d’entretien qui couvrent la désinsectisation et comprennent une visite de contrôle annuelle et une intervention à chacune des demandes de nos clients.

Mais nous sommes dépendants de la « bonne volonté » de nos locataires. En effet, pour qu’une désinsectisation soit pleinement réussie, il faut que notre prestataire puisse entrer dans chaque logement de l’immeuble touché. Ceci de façon à pouvoir traiter l’ensemble du bâtiment.

Intervenir dans 80 %, 90 %, voire même 95 % des logements de l’immeuble n’est donc pas suffisant et peut traiter le fléau pour un temps, mais sans l’éradiquer. Cela nous pose donc un véritable problème : nous avons lancé des campagnes d’information, nous avons laissé des messages aux personnes qui n’ouvrent pas leur logement. Mais nous n’avons pas d’autre recours pour y pénétrer ».

J.-F.S.

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l’union071106g

LE DOSSIER ÉCO : La sécurité des entreprises en questions

 

Selon Bernard Verquerre, le quartier rémois Croix-Rouge est surtout "victime d’incivilités".

PHOTO (Karen KUBENA) : « Nous n’imaginions pas que l’agence puisse être attaquée en notre présence », témoigne Damien Depontieu.

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Jean-Paul Lemoine : « Je n’ai jamais lâché d’un pouce ». PHOTO Hervé OUDIN

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Timothée Périn : « La sécurité électronique gagne du terrain ».

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Vols, dédragations…La sécurité est une des préoccupations de commerces et d’entreprises en zones sensibles ou isolées. Témoignages dans la région.

« JE n’avais jamais vu ça. C’était comme dans un film. » La vendeuse du point chaud « Aux fruits de la moisson » n’en est pas encore revenue. Une vraie bataille rangée avait éclaté, le samedi 19octobre en fin de journée, dans le secteur Croix-Rouge de Reims, un quartier classé en zone franche urbaine, où le patron de ce petit commerce est installé depuis 1989.

« Je n’avais jamais eu de soucis. A l’époque, il y avait encore une gendarmerie », raconte Bernard Verquerre. Les zones sensibles, il connaît. Ses 23 commerces « Aux fruits de la moisson » sont installés dans des quartiers qu’il qualifie « à forte densité ». De Châlons-en-Champagne au Pas-de-Calais, en passant par l’Aisne, siège de sa société, où il préside de surcroît le syndicat CGPME (Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises) départemental.

« Au quotidien, ce sont plus des incivilités que de l’insécurité. Les vols sont monnaie courante. » Des friandises, des babioles. Assez pour terroriser certaines de ses employées. « Il y a un impact psychologique sur le personnel. On m’a conseillé d’embaucher un homme… » Son voisin qui tient un tabac-presse s’offusque : « C’est quand même pas à nous de s’adapter aux délinquants ! ».

Bernard Verquerre s’est rendu au commissariat et a pris rendez-vous avec le maire de Reims. « Il faut tirer les quartiers vers le haut », dit-il. « Et que tout le monde s’y mette . »

Lui-même veut donner l’exemple, en souscrivant à la charte de qualité des commerçants. « Sinon les problèmes risquent de se déplacer vers le centre-ville. »

Dans les Ardennes, c’est un véritable traumatisme qu’ont vécu des salariés de l’agence de transport routier Calberson à Tournes.

Le directeur, Damien Depontieu, raconte : « L’agence a été braquée le 6juillet dernier à trois heures du matin. Une bande de six ou huit malfaiteurs encagoulés et armés a débarqué au moment où les premiers manutentionnaires étaient déjà présents. Ils ont enfermé dans un de nos camions 13 personnes de l’agence qui ont été libérées par un chauffeur. Ils sont repartis avec un autre camion chargé de spiritueux ».

Braquage à Tournes

Bilan : 8.000 euros de champagne et de whisky dans la nature. Et surtout un personnel très choqué. « Une cellule de soutien psychologique est intervenue immédiatement. Deux personnes ont été blessées. L’une d’elles vient seulement de reprendre le travail ».

Le directeur de cette agence de 70 salariés (dont 50 chauffeurs) parle de « septembre noir » à propos d’un traumatisme qui a laissé des traces. « Nous n’avions jamais imaginé que l’on pouvait être attaqués tant que l’on était présents dans l’agence. » L’enquête a été confiée au SRPJ de Reims.

Sans attendre, Calberson a rapidement pris des dispositions pour la sécurité des personnes. Vidéo surveillance, contrôle des accès, portail électronique, géolocalisation par balises dans les camions, etc. L’investissement représentera 160.000 euros. Ce fait divers a aussi accéléré la réflexion sur les questions de sécurité au sein du groupe Geodis dont dépend Calberson.

Un dossier réalisé par Dominique Herbemont

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« On a fait notre police nous-mêmes »

 

Jean-Paul Lemoine, 140 kilos, a un gabarit qui lui permet de s’imposer. « J’ai failli me faire agresser une fois. Mais je m’en suis pris au meneur », témoigne le président de Croix-Rouge entreprises de Reims. Une association au cœur de la zone franche urbaine, qui regroupe une trentaine d’entreprises sur les 188 (pour 850 salariés) que compte Croix-Rouge.

« C’est assez tranquille depuis trois à quatre ans », assure le patron de ce cabinet d’ingénierie du bâtiment (7 personnes) situé sur l’esplanade Einsenhower. « La partie la plus chaude. Mais depuis que la passerelle de la Rafale a été abattue, ça s’est amélioré. Encore qu’il suffise que l’un d’entre eux rameute les autres… »

Jean-Paul Lemoine décrit un quotidien qui n’a pourtant pas toujours été rose. « Il y a encore des squats, des excréments..On a même eu des lames de rasoirs dans les interrupteurs ! » Lui n’était pas du genre à baisser les bras. « On a fait notre police nous-mêmes. On n’a jamais lâché d’un pouce. » Le hall d’entrée a été « assaini ». « Maintenant, on joue un peu les assistantes sociales dans le quartier. On ne fait pas de bruit, on rassure. »

Jean-Paul Lemoine recherchait des locaux pour s’installer. En 2000, il est venu s’établir à Croix-Rouge où il dispose maintenant de 150m2 de bureaux. « Je paie trois fois moins qu’en centre-ville. Et je n’ai été cambriolé qu’une fois. »

« Pas plus qu’ailleurs », en conclut Jean-Paul Lemoine, qui trouve dans les facilités de stationnement un autre avantage à ce quartier. La zone franche urbaine offre surtout des exonérations de charges appréciables pour des entreprises qui démarrent. L’image du quartier ? « On reçoit peu de monde au bureau. Il s’agit souvent ici de micro-entreprises, et qui ne sont pas propriétaires des murs. »

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Forte demande sur la sécurité électronique

 

La société ardennaise Périn sécurité (50 personnes) revendique une position de leader, comme prestataire local, en Picardie et en Champagne-Ardenne. « Nous avons environ 4.000 clients qui se comptent parmi les entreprises, les collectivités locales et les particuliers », expose le directeur, Timothée Périn.

Son créneau : la sécurité électronique. « Nous avons renoncé à la surveillance humaine qui est une prestation difficile à mettre en œuvre. » Et de souligner que le recrutement est souvent compliqué et l’intégrité des agents pas toujours avérée pour un métier synonyme de confiance.

Réactivité des forces de l’ordre

« La vidéo surveillance connaît le plus fort développement et la plus forte demande. De nouveaux produits sortent quotidiennement. Il y a un énorme potentiel. »

Le directeur explique notamment comment un opérateur peut, depuis son PC de télésurveillance, prendre la main sur les caméras ou les laisser suivre des parcours déterminés. « En cas d’effraction, la caméra permet de lever le doute à distance. L’opérateur peut alors appeler la police qui lui réservera un accueil favorable. »

Timothée Périn mesure une réactivité plus grande des forces de l’ordre. « Dans les Ardennes et la Marne notamment, il y a une politique de résultats qui suppose plus de flagrants délits. »

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l’union071106f

Pour aider les orphelins du Niger

 

Quelques-unes des animatrices de l’association.

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La toute jeune association « La lumière de l’obscurité » , créée pour venir en aide à des orphelins du Niger, est bien lancée. En effet, elle a participé au concours « L’été des projets » et elle a remporté la deuxième place du classement : « Notre association a été élue « coup de coeur du jury » et un chèque de 500 euros nous a été remis » se réjouit Sabrina Hadj, chargée de communication.

Pour se faire connaître, l’association était présente au Forum des associations et pour installer son siège social, elle a été accueillie par l’association « Jeunesse et espoirs de Pays-de-France » dans son local du 1 allée des Béarnais (téléphone : 03.26.85.47.22.) où elle peut utiliser une salle avec ordinateur.

Dure réalité : pour financer des actions, l’association doit trouver des crédits.

C’est ainsi qu’on l’a vue assurer un étal à la brocante d’automne de l’Acrap. Pour la période de Noël, les adhérentes ont rencontré le directeur du centre commercial de l’Hippodrome : « Depuis le 3 novembre, il nous autorise à vendre des crêpes, gaufres, thé à la menthe et chocolat chaud, tous les week-ends, le samedi de 9 heures à 19 h 30 et le dimanche de 9 heures à 12 h 30 : notre stand se tiendra devant les caisses durant l’hiver et à l’extérieur par beau temps » .

Cerise sur le gâteau, « nous pourrons disposer gratuitement d’un chalet destiné aux associations, du 24 au 27 décembre sur la place d’Erlon » .

Décidément la Lumière de l’obscurité semble bien partie pour éclairer les orphelins du Niger.

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l’union071106e

CROIX-ROUGE Les dernières nouvelles du quartier

 

Karine Gaulier, nouvelle attachée de communication de Reims-Habitat.

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Point information familles

Depuis le 1er octobre, Elham Kouch, animatrice « famille » à la maison de quartier Croix-Rouge, assure la permanence du Point information famille, au sein du Pôle multiservices Croix-Rouge, 1 rue Joliot-Curie, lundi et vendredi de 14 à 16 heures et jeudi de 9 à 11 heures.

C’est un espace de renseignements pour les familles, sur l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé et les loisirs, avec mise à disposition d’un ordinateur (notamment pour la rédaction de CV) et d’un accès à Internet.

Projets

Au chapitre de ses projets pour la saison 2007-2008, l’association de défense des locataires des Hauts-de-Murigny annonce :

  • « Espaces verts et allées intérieures : attente de l’étude réalisée, à la demande de Reims Habitat, par un cabinet spécialisé ;
  • parking Gandon : réaménagement de la zone « parking » situé en bas du 5-Gandon ;
  • stationnements sauvages : continuer la vigilance et intensifier l’action sur le secteur Toulouse-Lautrec et
  • enfin, continuer la lutte pour une baisse de la taxe d’habitation. »

Renseignements : Maud Trefcon, présidente, 9 place Toulouse-Lautrec.

Communication

Après le départ de Laurence Thirion pour raisons familiales, après quinze ans de services, Karine Gaulier vient de prendre possession du poste de responsable accueil communication de l’organisme logeur Reims Habitat, au siège 71, avenue d’Épernay.

Collectif des locataires

Le thème de la prochaine réunion du collectif des associations de défense des locataires du quartier sera la révision de l’accord collectif sur la procédure d’état des lieux : « Nous voulons en effet remettre en cause l’actuelle grille des vétustés, certaines applications concernant l’état des lieux lors de la visite de sortie et les droits des locataires ».

Renseignements auprès de l’association de locataires de votre secteur : Hauts-de-Murigny, At’Hom, Comité Pays-de-France, Polygones, Club 47 ou MVCR.

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l’union071106d

Ateliers et exposition à la médiathèque

 

Mercredi 7 novembre

De 14 h 30 à 17 h 30, ateliers de création autour du livre, animés par Dominick Boisjeol, plasticienne. Qui sont ces personnages ? Les réalisations seront imaginées à partir des livres des auteurs et illustrateurs invités à la Fête du livre.

Jusqu’au samedi 17 novembre

Exposition d’œuvres originales d’Anaïs Vaugelade et Alex Godard : une évocation de l’univers des deux illustrateurs invités à la fête du livre des 16 et 17 novembre. Les couleurs chaudes des pastels veloutés d’Alex Godard invitent le spectateur à un voyage exotique aux Antilles. Des dessins à l’encre d’Anaïs Vaugelade naissent des personnages - animaux ou humains - drôles et attachants.

Manifestations gratuites.

Renseignements et inscriptions préalables à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Debar (Tél. 03.26.35.68.40.).

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Demain : Animations bibliothèques

 

Atelier de création animé par Dominick Boisjeol : « Qui sont ces personnages ? » à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar, de 10 à 12 h 30 pour les enfants de 6 à 9 ans, et de 14 h 30 à 17 h 30 pour les enfants de 9 à 14 ans.

Sophie raconte… : Histoire pour les enfants à partir de 2 ans à la médiathèque Jean Falala, 2, rue des Fuseliers, de 15 h 30 à 16 heures.

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La bibliothèque se déplace à domicile

 

Les personnes à mobilité réduite peuvent bénéficier, à partir de demain, d’un nouveau service de portage de livres à domicile. L’Aradopa et l’Effort rémois s’unissent à cette initiative de la médiathèque Croix-Rouge.

Chaque mercredi, Régis Brasseur sera chargé d’acheminer les ouvrages chez les particuliers à mobilité réduite

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SI vous ne pouvez pas aller à la culture, c’est la culture qui viendra à vous. Afin de permettre l’accès à la lecture aux personnes qui connaissent des difficultés pour se déplacer du fait de leur âge ou d’un handicap, la bibliothèque municipale a décidé de mettre en place un service de portage de livres à domicile. Une initiative qui débute demain mercredi, appuyée par l’Aradopa, organisme d’aide et services à domicile et l’Effort Rémois, organisme logeur.

Le public ciblé, pour le moment, est clairement les personnes âgées. Avec 18.000 Rémois de plus de 70 ans mais, seulement 5 % d’entre eux inscrits à la bibliothèque, il y a des usagers à aller chercher.

Une cinquantaine d’entre eux s’est d’ores et déjà dite intéressée. « Il y a une vraie demande de la part des lecteurs à mobilité réduite mais aussi une volonté, de notre part, d’aller à leur rencontre, en leur offrant un service de proximité explique Marylise Meunier, bibliothécaire. Avec une relation de personne à personne, ils se sentent plus en confiance. ».

La crainte des chutes

« Les personnes âgées ne veulent pas beaucoup se déplacer même celles valides car elles craignent les chutes, précise Carole Haye, chargé de développement pour l’Adapora. Pour elles, la bibliothèque paraît loin et nécessite parfois de prendre le bus ».

Les usagers pourront emprunter deux livres et deux revues, pendant quatre semaines. Mais quand on ne peut pas arpenter les allées de la bibliothèque ou feuilleter un bouquin, trouver son bonheur relève parfois du casse-tête chinois. La bibliothèque a eu l’idée d’élaborer de petites sélections thématiques pour aider les usagers à se retrouver dans les collections. Des collections empruntées au service de prêt aux collectivités de la médiathèque Croix-Rouge.

Un budget spécifique devrait également être voté, en 2008, pour l’achat de nouveaux ouvrages.

Concernant le portage à domicile, il est confié à l’Aradopa au moyen d’un agent et d’un véhicule dédié. Régis Brasseur — qui s’occupe, par ailleurs, du depann’age — prendra le volant. L’Effort rémois, quant à lui, se charge de la diffusion de l’information et a mis la main au porte-monnaie.

« Les personnes âgées sont parfois craintives et ne veulent pas ouvrir leur porte à une personne à laquelle elles ne sont pas habituées », confie Carole Haye. « Avec M. Brasseur qui, je l’espère, sera leur seul référent, une relation de confiance pourra être instaurée ».

Sahra Saoudi

Cotisation d’adhérent à la bibliothèque de 10 euros plus une participation aux frais de portage de 3 euros par mois. Renseignements et inscription auprès de la bibliothèque : 03.26.35.68.00.

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l’union071106c

Des filles très sportives

 

Les filles de Croix-Rouge récompensées

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En 2007, les femmes étaient à l’honneur au « Reims à toutes jambes ». Il était donc légitime que les filles le soient également dans le cadre du relais Usep 2007.

Il a donc été décidé de récompenser les écoles qui comptaient dans leur rang le plus grand pourcentage de filles usépiennes.

Parmi les 35 écoles participantes, le classement final spécial filles s’établit ainsi : 1. AS Provençaux Reims, 2. AS Louis-Pasteur Vitry-le-François (l’ensemble du département de la Marne était représenté au Relais usep 2007), 3. AS Prieur-la-Marne Reims.

Les lauréates ont eu la chance de pouvoir rencontrer Annette Sergent, marraine du Ratj 2007 et de parcourir le dernier kilomètre à ses côtés.

« Voir figurer l’école Provençaux n’est en soi pas une surprise » explique Françoise Cloux, présidente de l’Usep. « Dans cette école au plein cœur de Croix-Rouge, les filles se créent de longue date une vraie place lors des différentes rencontres sportives Usep ».

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l’union071106b

LE COURRIER DES LECTEURS : Démocratie à distance

 

Claude Stoltz [1]de Reims réagit à notre indiscrétion sur les conseils de quartier qui n’auront pas lieu pour cause d’élections municipales et se souvient d’un conseil en mars dernier, à moins de deux mois des élections.

« La réunion publique du conseil de quartier prévue pour le mois de décembre prochain n’aurait pas lieu pour cause d’élections municipales dont le premier tour aura lieu le 9 mars, donc trois mois plus tard. […]

Mme Marie-Annick Roger, premier adjoint au maire, n’a pas hésité à convoquer une réunion du comité de quartier Croix-Rouge/Maison-Blanche […] dont nous avions été informés dans vos colonnes le mercredi 7 mars pour le lendemain jeudi 8 mars, soit un mois et demi avant le premier tour des élections présidentielles…

Singulière notion de la démocratie de proximité. Il est vrai que sur les 22.000 habitants de Croix-Rouge, il y a moins de 8.000 électeurs ».

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l’union071106a

Torchons trop chauds

 

Jean-Marc Oro ( avec lezs torchons réduits en cendres auprès de lui) : « Ils ont dû être trop chauffés dans le sèche-linge »

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Les pompiers ont dû défoncer la porte de l’appartement pour éteindre le petit feu de torchons. Gérard Péron

Moment d’inquiétude hier en début d’après-midi du côté du 5 de la rue du Général-Eisenhower : une fumée suspecte se dégageait de l’un des appartements du premier étage…

Les pompiers se sont rendus sur place, et l’appartement étant désert, ils ont dû en forcer la porte pour accéder à l’origine de la fumée en question.

« Elle provenait d’un tas de torchons gras du restaurant, que nous avions lavés à la maison et qui sortaient du sèche-linge, explique l’occupant des lieux, M.Oro, qui tient le Petit basque, dans la rue du Colonel-Fabien. Apparemment, les torchons étaient trop chauds, c’est pour ça qu’ils ont commencé à se consumer… »

Fort heureusement, les pompiers ayant été prévenus à temps par un voisin, les dégâts sont restés très limités : seuls les torchons ont fini en cendres.

Même le petit chien qui se trouvait dans l’appartement au moment des faits n’a pas souffert : un voisin l’avait pris en charge tandis que les pompiers opéraient.

A.P.

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l’union071105c

Succès de l’opération « Animateur junior »

 

Dix-neuf jeunes ont reçu une bourse pour préparer le Bafa.

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Reims Vital Ado 2007 a suscité des vocations.

En effet 28 jeunes de 16 ans ont participé à l’opération « Animateur junior » organisée par la Ville de Reims en partenariat avec des maisons de quartier : Cernay-Europe, Croix-Rouge espace Watteau, Arènes du Sud espace Saint-Remi et espace Verrerie, Trois-Piliers, Val de Murigny espace Turenne, Epinettes et Châtillons ont participé au dispositif qui consistait à intégrer ces jeunes dans « l’envers du décor » de RVA pendant au moins une semaine.

Les plus motivés

Parmi eux, 19 futurs animateurs ont été repérés pour leur motivation. Réunis à la mairie de Reims le lundi 29 octobre, ils ont reçu des mains de l’adjoint Franck Noël une attestation d’attribution d’une bourse pour la préparation du Bafa.

L’adjoint a précisé que le budget initial de 6.220 € avait été doublé compte tenu de l’intérêt manifesté.

Cette formation sera assurée par les Francas, représentés par Muriel Jour’heuil, heureuse de constater l’engagement et la prise d’initiative de ces jeunes gens.

Au nom de l’association des Maisons de quartier, Jean-Pierre Ettel les a félicités en soulignant le rôle de tutorat exercé par les diverses équipes des accueils de loisirs et l’adéquation du projet avec les missions de l’association : « favoriser l’implication des habitants dans la vie de leur quartier ».

Les bénéficiaires d’une bourse Bafa sont les suivants :

Atigui Farah, Besnard Charlotte, Blondeau Anaïs, Bourgain Teddy, Denis Steven, Duarte-Leite Franck, Dumangin Lucie, El Karmoudi Nora, Estermann Claire, Gouvion Chloé, Groch Marion, Harakat Julien, Lemoal Chloé, Nostry Pierre, Ouali Héléna, Oudin Victor, Perrot Marine, Prin Audrey, Tirant Alexandre.

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l’union071105b

Visite du Conseil de l’Europe

 

Pour étayer le projet « Vivre Ensemble » conduit à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, une visite au Conseil de l’Europe à Strasbourg est proposée le mercredi 7 novembre (départ à 8 h 15).

Au programme :

- présentation générale du Conseil de l’Europe, projection d’un film,

- visite de l’hémicycle de l’Assemblée,

- débat sur le rôle et le fonctionnement du Conseil,

- il sera même possible de suivre un débat à l’Hémicycle.

Cette visite est organisée pour les familles et leurs enfants de plus de 10 ans.

Inscriptions à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).

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l’union071105a

123.000 euros de subventions aux associations

 

Lors de la dernière réunion du conseil municipal, les élus ont décidé d’attribuer de nombreuses subventions aux associations, parfois à titre exceptionnel.

En voici le détail :

Congrès et assemblées générales :

Service universitaire d’éducation permanente Champagne-Ardenne Institut universitaire du temps libre 700 euros ; Association rémoise des jardins familiaux 536 ; Association des retraités militaires et des veuves de militaires de la Marne 281 ; Reims patinage de vitesse 517 ; Union nationale des combattants 536 ; Association formation médicale continue Courlancy 3.000 ; Mutuelle générale des cheminots 187 ; Roseau 2.400 ; Elus, santé publique et territoires, Association nationale des villes pour le développement de la santé publique 600.

Subventions à caractère socio-éducatif :

Reims échec et mat 1.925 ; Association sportive du lycée professionnel Gustave-Eiffel Neufchâtel 2.000 ; Fédération régionale des maisons des jeunes et de la culture Champagne-Ardenne 15.000.

Reims vital ado :

Association de badminton champenois250 ; Club Jules Verne 200 ; Groupe d’activités subaquatiques marnais 150 ; Olympique rémois tennis de table 320 ; Société de tir de Reims 294 ; Association des maisons de quartier de Reims 3.994 ; Tennis Racing Club de la Muire 175 ; Cercle rémois d’arts martiaux 348 ; Toutes recherches artistiques et de créations 180 ; Régates rémoises 150 ; Arts et culture d’Afrique de l’Ouest 188 ; Les petits débrouillards Champagne- Ardenne 1.640.

Subventions à une association d’étudiants :

Association pour l’accueil des étudiants étrangers à Reims (à titre exceptionnel) 2.800 ; dépense à imputer sur le crédit ouvert au code fonctionnel 23.0 article 6574 du budget 2007.

Subventions à caractère sportif :

Association de badminton champenois 4.000 ; Reims patinage de vitesse 3.800 ; Association sportive de l’Automobile Club de Champagne-Ardenne 4.000 ; Ecole de football Reims-Sainte-Anne-Châtillons 800.

Manifestations culturelles :

Association pour le développement de la communication locale Radio Primitive 3.000.

Subventions à caractère culturel :

Bien vivre à Sainte-Anne 300 ; La troupe des enfants de la balle 1.500 ; Patagaya 1.000.

Subventions à caractère social :

Aides ménagères rémoises 20.000 ; Les habitants de Wilson 1.500.

Subventions de fonctionnement aux clubs troisième âge :

Office rémois des personnes âgées 2.090 ; Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion 504 ; Visite des malades dans les établissements hospitaliers 720 ; Association rémoise de foyers logements pour retraités 6.225 ; Au sourire de Reims 688 ; Qualité de vie Wilson 1.125 ; Union nationale des retraités et des personnes âgées 355 ; Association des maisons de quartier de Reims 3.137 ; Amicale des retraités Valéo-Chausson thermique 173 ; Association des retraités et préretraités Force ouvrière de Reims et de sa région 150 ; Rassemblement des énergies pour une gérontologie active… ; La 5e saison, Association des résidents personnels et amis de la résidence Roux 1.260 ; Amicale du club du troisième âge des sourds et muets de la Champagne 675 ; Association des retraités de l’artisanat du département de la Marne 150 ; Amicale des anciens des avions Max-Holste et Reims-Aviation 324 ; Union nationale des retraités de la police nationale, section locale 150 ; Club Saint-Thomas Mont-d’Arène 756 ; Club troisième âge Saint-Remi-Saint-Maurice 195 ; Club troisième âge des Châtillons 648 ; Association nationale des retraités de la Poste et de France Télécom 150 ; Association club de Talleyrand 720.

Subventions à caractère sanitaire :

Association des coronariens de Champagne- Ardenne « La Cordiale » 1.500 ; Maison d’accueil des familles de malades hospitalisés 3.100 ; Centre départemental des professions de santé de la Marne 6.100 ; Aides délégation Marne 3.000.

Subvention à caractère économique :

Société de biologie de Reims 750.

Subvention d’animation commerciale :

Association des exploitants de l’espace Drouet-d’Erlon 8.000.

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l’union071103i

Sur l’agenda

 

Un bol d’air

Sylvie Brin propose un bol d’air (sortie nature) sur le thème des oiseaux en hiver (migration) ce samedi 3 novembre, au départ de l’espace Billard, 12 rue Pierre-Taittinger, à 8 h 15

Renseignements 03.26.08.08.78.

Les marcheurs du dimanche

Deux randonnées ce mois-ci à l’espace Watteau avec Vincent Girardin : dimanche 4 novembre : direction le lac du Der pour la journée complète, départ 7 heures, prévoir le repas tiré du sac, et dimanche 25 novembre : direction Hermonville, départ à 8 h 15.

Renseignements : 3, allée Antoine-Watteau. 03.26.36.03.50.

Hippodrome

Mardi 6 novembre, réunion PMU à partir de 13 h 30. Dimanche 18 novembre, à partir de 13 h 30.

Renseignements : société des Courses de Reims, 3 rue du Président-Kennedy — Tél. : 03.26.08.65.29. — Site : http://www.hippodromedereims.com

Conseil de l’Europe

Dans le cadre du projet « Vivre ensemble » mené à l’espace Billard de la Maison de quartier, une visite destinée aux familles est organisée au Conseil de l’Europe à Strasbourg mercredi 7 novembre.

Tél. 03.26.08.08.78.

Fête du livre

Auteurs et illustrateurs sont invités à la Fête du livre les 16 et 17 novembre.

Renseignements : médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).

Sainte-Cécile

L’Harmonie fanfare l’Étoile champenoise et ses majorettes fêteront la Sainte-Cécile samedi 17 novembre dans la salle municipale, avenue François-Mauriac, à partir de 21 heures.

Conférence débat

L’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain) organise une conférence débat publique à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard, lundi 19 novembre de 14 à 16 heures sur le thème de la consommation.

Entrée libre.

Renseignements au 06.07.96.56.72.

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l’union071103h

Ce mois-ci à la médiathèque

 

Corinne est chargée des projections, des diapositives, de la vidéo et des animations.

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La danse

Novembre est le mois du film documentaire sur le thème de la danse dans les médiathèques Croix-Rouge et Jean-Falala, en partenariat avec le Manège.

L’heure du conte

Mercredi 7 novembre à 15 heures, Julie raconte : L’arbre lecteur, une histoire de Didier Lévy (Une nuit d’été, lors d’un orage terrible, la foudre s’écrase sur l’arbre lecteur…).

Pour tous, à partir de 6 ans.

L’air du conte

Mercredi 14 novembre à 15 heures, lectures zoom sur Guillaume Guéraud : l’écriture telle une caméra, son style sans concession donne aux événements une autre dimension.

A partir de 10 ans.

À retenir, une rencontre avec Guillaume Guéraud samedi 17 novembre de 10 h 30 à 11 h 30 et de 15 h 30 à 17 h 30.

Diapositives

Mercredi 21 novembre à 16 h 30, projection des « Musiciens de Brême » d’après un conte des frères Grimm, illustrations de Christian Buis (Quatre animaux devenus trop vieux s’échappent d’un cruel destin pour devenir…)

Pour enfants de 4 à 8 ans.

L’heure des bébés

Samedi 24 novembre à 9 h 30, un moment de lecture pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Inscription préalable obligatoire.

Fantastique

Mercredi 28 novembre à 15 h 30, lecture de récits fantastiques pour les jeunes par Catherine Le Goff de la compagnie rémoise « Questions d’époque » et Pascal Salzard : pour avoir un peu peur mais pas trop.

À partir de 6 ans.

Manifestations gratuites.

Renseignements et inscriptions à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar (Tél. 03.26.35.68.40.)

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l’union071103g

Des vacances très multimédia à La Nacelle

 

Le Point-Cyb de La Nacelle ne chôme pas pendant les vacances de la Toussaint.

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A l’espace La Nacelle, l’ensemble des activités a bien repris avec en nouveauté la Capoeïra, le mardi et le vendredi de 18 à 19 heures.

« En matière de danse, en plus des créneaux de danse quotidiens par groupes de niveau, nous organisons un stage de danse indienne (style Bollywood) le mardi 6 novembre, encadré par la compagnie Manjushree Pradhan (2 euros pour les adhérents, 15 euros pour les non adhérents) » annonce Patrick Gobin, responsable de la structure.

Le Point-Cyb Croix-Rouge propose pendant les vacances des ateliers simples afin de concevoir des productions multimédia originales qui impressionneront famille et amis : « Débutant ou confirmé vous découvrirez des utilisations peu habituelles de l’ordinateur » assure Franck Simon, animateur.

Cinéma d’animation

Grâce à une simple web cam il est facile de produire un véritable film d’animation, afin de donner vie à n’importe quel objet en les animant image par image.

Résultat : des films du type de « Wallace et Gromit », « Chicken Run » ou encore « Le Manège enchanté » (pour les moins jeunes). Du 5 au 7novembre de 14 à 16 heures.

Image

Trois séances pour aborder la modification d’image, améliorer ses images et créer des effets spéciaux simples : du 5 au 7 novembre, de 17 à 19 heures.

Maison de quartier Croix-Rouge, espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (03.26.419.47.07.).

Tous renseignements complémentaires sur le blog http://espacenumeriquecroix rouge.blogspot.com

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l’union071103f

CROIX-ROUGE : Six associations de défense des locataires regroupeés en collectif

 

« Notre collectif a pour but d’assister un maximum de locataires, de quelque secteur qu’ils soient ».

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À l’issue de l’assemblée générale du Club 47, l’idée avait été lancée d’un regroupement en « collectif » des différentes associations de défense des locataires du quartier Croix-Rouge et Hauts-de-Murigny en vue de mettre les efforts en commun, partager les expériences et les compétences, comparer les acquis et recenser les demandes collectives.

Ecrire au Premier ministre

Marceau Nicolas, Jean-Pierre Bowens et Françoise Lemoine (« Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France ») ont concrétisé cette idée au cours d’une première séance de coordination qui a réuni autour d’eux Maud Trefcon et Isabelle Mallinger (Hauts-de-Murigny), Claude Stoltz (Club 47, secteur Eisenhower), Danielle Bonfils (At’Hom), Geneviève Kaczowka (Polygones) et Bernadette Michelot (Mieux vivre à Croix-Rouge).

« Notre objectif : créer un collectif d’associations qui se retrouveraient une fois par mois afin de parler de nos problèmes communs » explique Marceau Nicolas : « trois thèmes ont été abordés : la taxe d’habitation (les associations se sont toutes engagées à écrire au Premier ministre pour demander la révision du calcul de la taxe d’habitation sur nos logements qui ont 40 ans d’âge), dénoncer ensemble les contraintes imposées aux locataires par les plans de rénovation urbaine, et enfin les associations vont s’intéresser de plus près à la vie au quotidien de leurs locataires par des contrôles plus efficaces et plus réguliers des charges et des réparations locatives (le montant des charges devient en effet de plus en plus important sur les quittances de loyer).

Les problèmes de locataires non résolus seront mis en commun pour trouver une solution en fonction de nos droits et connaissances. »

Une précision : « Face à la tendance politisée qui se développe actuellement sur le 5e canton, notre collectif s’affirme rigoureusement apolitique, seul importe l’intérêt et le quotidien des locataires. Toutefois, il est bien évident que chaque association reste autonome de ses propres décisions dans son secteur d’intervention ».

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l’union071103e

Des réponses pour Pays-de-France

 

L’ancien espace jeunes Arc-en-ciel pourrait devenir une Maison de l’enfance.

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Plusieurs questions au Foyer rémois relatives à Pays- de-France étaient restées sans réponse jusqu’à présent.

La présence de Christophe Faber, directeur clientèle, et de Joël Mouysset, responsable de l’agence Croix-Rouge, à l’inauguration des locaux de l’association « Jeunesse espoirs Pays-de-France » a permis de lever le voile et d’obtenir des réponses à plusieurs interrogations des locataires de Pays-de-France.

Espace jeunes Arc-en-ciel

Les locaux vides de l’ancien Espace jeunes Arc-en-ciel, allée des Béarnais, « pourraient être consacrés à une des activités de la Maison de l’enfance » qui sera placée sous la responsabilité d’Agnès Bégusseau, agent de développement social du Foyer rémois.

Un local pour l’APPF

« Oui : l’association de promotion de Pays-de-France aura son local ! » mais « Non : l’affirmation de la présidente (l’union du 25 septembre) selon laquelle le Foyer rémois aurait reçu un financement de l’ANRU pour l’aménagement de ce local est fausse puisque la convention avec l’Agence nationale de renouvellement urbain n’est pas encore signée ! »

L’avenir du stabile

Menacé par les futurs travaux de construction sur l’espace Arago (l’union du 28 août), le stabile, œuvre d’art emblématique de Pays-de-France, « ne devrait pas bouger d’après les plans ».

Supermarché Diagonal

Les commerces du centre commercial de Pays-de-France, sur la passerelle, vont « descendre » en rez-de-rue le long de l’avenue du Général-Bonaparte.

M. Assefar demande une surface convenable dans les nouveaux locaux commerciaux qui vont être construits, pour le déplacement de son supermarché (l’union du 4 mai) : « le Foyer rémois a fait une nouvelle proposition à M. Assefar. Mais si nous lui accordions les 800 m2 qu’il souhaite, il ne resterait pas assez de surface pour déplacer tous les autres commerces de la passerelle ! »

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l’union071103d

Plus de 2.000 habitants privés d’eau chaude à Croix-Rouge

 

Les factures de gaz explosent pour les locataires. photos Christian LANTENOIS

Plus du tout de douche depuis des semaines ; les locataires se lavent à la casserole et font exploser leur facture de gaz.

Les réparateurs étaient enfin à l’œuvre hier.

Ils se lavent en chauffant des casseroles d’eau.

Plus de 2.000 habitants du quartier Joliot-Curie, à Croix-Rouge, sont privés d’eau chaude depuis près d’un mois.

A Croix-Rouge, du côté de la rue Joliot-Curie, l’eau chauffe dans les casseroles pour laver les enfants. Il y aura bientôt un mois que plus de deux mille clients du Foyer rémois vivent à l’eau froide. La faute à qui ? Personne ne veut assumer.

SÉBASTIEN n’a jamais connu l’eau chaude. Il est âgé d’un mois et vit allée des Limousins à Croix-Rouge. Le bébé ne connaît que les bains à l’eau de casserole.

Il n’est pas le seul. Plus de 2.000 personnes qui vivent dans les blocs de Joliot-Curie, Savoyards, Limousin et Picards, n’ont plus que de l’eau à peine tiède depuis pas loin d’un mois : « Au début on avait quelques coupures dans la journée et une coupure permanente le week-end. Depuis une semaine on n’en a plus du tout », dénonce Rhazouani, père de deux enfants : « Les gosses sont obligés de se laver au lavabo avec de l’eau qu’on fait chauffer sur le gaz. Comme il y a 30 ans ! »

Pas dramatique diront certains sauf qu’en attendant « les locataires continuent à payer leurs charges et ils dépensent le double de gaz pour chauffer leur eau. Les étudiants, eux, qui paient au forfait, ont été prévenus qu’ils ne seraient pas remboursés », s’insurge Marceau Nicolas, président de l’amicale des locataires.

Furieux, il entend se battre, avec sa ténacité habituelle, pour que tous les clients du Foyer rémois et du Crous (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) obtiennent non seulement une ristourne sur leurs charges mais aussi un dédommagement pour le gaz qu’ils sont obligés d’utiliser : « Ce ne sera que justice ».

« II n’y a jamais eu d’entretien »

Marceau Nicolas se charge aussi de traquer le responsable de cette panne qui s’éternise : « De plusieurs sources, venant notamment du Foyer rémois, j’ai appris que les échangeurs qui devaient être révisés en juin ne l’ont pas été. C’est donc de la négligence ».

Selon le président de l’amicale, « c’est à la Soccram, prestataire de la ville, d’entretenir les installations. Mais c’est au maire que nous en voulons le plus.

Une honte tout de même de laisser sans eau chaude des personnes déjà parmi les plus défavorisées de la ville ».

Pourtant on s’activait, hier matin, dans le local où se trouvent les échangeurs qui permettent à l’eau de partir alimenter les robinets.

À l’aide d’un tube, l’employé d’une société sous-traitante du Foyer rémois était occupé à envoyer de l’eau sous pression dans les tuyaux pour les débarrasser de leur boue et autres impuretés.

Dommage de ne pas avoir fait cela avant que tout soit hors service : « Ce n’est pas une opération qui se fait de façon systématique. C’est quand votre voiture tombe en panne que vous allez au garage. Tout n’est pas prévisible », se défend le prestataire.

Deux cas d’hypothermie

Cela n’explique pas pourquoi il a fallu plus de trois semaines pour voir apparaître un « garagiste ». « La vérité, estiment les défenseurs du quartier, c’est que ces installations pleines de calcaire n’ont jamais été entretenues. Ce qui arrive n’était que trop prévisible ».

Ils sont plus de 2.000 à en souffrir et certains en tombent même malades. Deux médecins du quartier ont recensé des cas .d’hypothermie pour cause de douche froide Pourvu que cela n’arrive pas au petit Sébastien.

Catherine Frey

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Une panne résolue dès aujourd’hui ?

Qui est responsable de cette panne longue durée ? L’amicale des locataires de Croix-Rouge montre du doigt la ville et son prestataire pour le chauffage, la Soccram.

Les deux nient toute responsabilité : « Ce sont les équipements du Foyer rémois qui sont en cause » fait savoir la ville.

« On fournit notre service normalement, la partie sous la sous-station appartient au bailleur, c’est à lui d’entretenir », confirme-t-on à la Soccram en donnant un exemple : « C’est comme si on reprochait à EDF d’amener l’électricité mais qu’il n’y ait ni interrupteur ni ampoule dans la cage d’escalier ».

Le Foyer rémois ne renvoie pas la balle à l’envoyeur mais ne veut pas tout assumer : « Nous sommes en bout de chaîne. On récupère donc toutes les imperfections qui surviennent avant », souligne le responsable du territoire.

Qui réfute tout manque d’entretien de la part de l’organisme-logeur : « Quand on pense à tous les travaux qu’on a pu effectuer, cette panne est difficile à comprendre ». Et longue à réparer : « Il a fallu prendre le temps de chercher la cause, faire un diagnostic ».

Trois semaines de diagnostic. « C’est un souci technique et je suis en mesure de dire qu’il devrait être résolu dès aujourd’hui. Nous sommes très optimistes.

Quant aux causes, nous allons étudier de près la qualité du travail de notre prestataire et nous verrons quelles conséquences en tirer ». Bref, c’est pas eux, c’est l’autre.

C.F.

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l’union071103c

Courrier des lecteurs : « Merci aux élus »

 

Nathalie Bien de Reims réagit à notre indiscrétion concernant la suppression des conseils de quartier. Elle prend la défense des élus et estime qu’ils ont raison de vouloir parler de projets à long terme.

« […] Je suis de ces Rémois - et oui, ils existent - qui désirent fortement être fiers de leur ville. Certes, les poubelles sur les trottoirs, les chaussées défoncées ne m’y aident pas. Mais je lève aussi le nez. Et je vois une ville qui ne demande qu’à prospérer, accueillir de nouveaux habitants, s’enrichir d’entreprises innovantes.

Et sur quels critères croyez-vous qu’on vient s’installer dans une ville ? Son image en est une de taille.

Il manque à Reims un lieu de vie tel que nous en voyons désormais dans toutes les grandes villes, une agora. Je pense à cette malheureuse place du Boulingrin oubliée, négligée depuis des années. Tous les Rémois se désespèrent de la voir un jour réhabilitée, alors qu’elle est au cœur de la cité. J’aimerais la voir transformée, rénovée. Devenue un grand centre culturel grâce au musée reconstruit sur la place et une vitrine des compétences artisanales de la région installée dans les Halles rénovées, elle verra y affluer, toutes générations confondues, rémois du centre ville et des quartiers, habitants du pays rémois, de la région et touristes. On y fera son marché, on passera admirer la dernière exposition du musée et, flânant dans les rues adjacentes on partira à la recherche d’une bonne affaire, ou d’une terrasse pour déguster une petite salade.

Oui les élus doivent assumer leurs responsabilités de gestionnaires, mais ils se doivent aussi de doter leur ville d’une image attractive, tournée vers le futur. Si on aime vivre à Reims, on aimera aussi y travailler… et y rester !

Merci donc aux élus, passés, présents et futurs, de vouloir faire-de Reims la plus belle des cités ».

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l’union071103b

Locataires de Croix-Rouge : la bonne orthographe

 

Dans l’article paru hier et portant sur la « taxe d’habitation : la colère des habitants de Croix-Rouge », une malencontreuse erreur s’est glissée dans le nom du représentant de Renaud Dutreil qui assistait à l’assemblée générale des locataires.

Il s’agissait bien de Philippe Malpezzi (et non pas de Philippe Mazzeti). Avec nos excuses à l’intéressé.

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l’union071103a

Halloween à Pays-de-France

 

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Un groupe d’enfants de 6 à 9 ans du centre de loisirs de l’Association de promotion de Pays-de-France (APPF) a défilé pour la fête d’Halloween.

« Les jeunes ont rencontré un bon accueil de la part des habitants du quartier et ont reçu de nombreuses friandises à leur, grande joie, » raconte Christiane Monflier, présidente de I’APPF : « L’après-midi s’est terminée par un goûter où tous les enfants du centre de loisirs (30 enfants de 6 à 12 ans) étaient réunis, accompagnés des parents. »

 

 

 

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l’union071102e

Opération « vérité » sur le prix du m3 d’eau

 

La nouvelle station d’épuration constitue l’un des principaux « postes » compris dans le prix du m3 d’eau à Reims. Archives l’union

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LE magazine « Que choisir » affirmait en début de semaine (l’union du mardi 30 octobre) que le prix du m3 d’eau est « surfacturé » à Reims et que les marges y sont de « 40 à 50 % ». Le prix demandé dans l’agglomération rémoise est composé de plusieurs éléments qui permettent de mieux comprendre ce que paient les usagers. Voici les explications sur l’addition par Michel Verdisson, chargé de l’environnement à la communauté d’agglomération de Reims.

Champs captants

Quand on parle de l’eau à Reims, on doit plutôt penser aux six communes de la Car. Au total, les 35 à 36.000 abonnés répertoriés utilisent près de 13,5 millions de m3 par an. Cette quantité vaut pour les particuliers et pour les entreprises hors prélèvements souterrains directs par ces dernières.

L’eau provient de trois champs captants : Auménancourt (25.000 m3/jour), Taissy (Couroux) (25.000 m3/jour) et Fléchambault (le long de l’A4, 30.000 m3/jour). Soit un prélèvement possible de 80.000 m3/jour, dont la moitié est effectivement consommée.

La gestion de cette eau est confiée à une « régie municipale », ou plutôt « communautaire » pour la production et pour la distribution. Le personnel et le matériel relèvent donc de la collectivité et non pas d’une entreprise privée. Cependant, précise M.Verdisson sans donner de chiffre, il arrive que la Car « rachète de l’eau à la Générale des Eaux ».

Dans la facture, l’eau à elle seule coûte 0,97 €, indique Michel Verdisson. A cette somme, s’ajoute la redevance assainissement, soit 1,5 €. Il faut encore ajouter la « contre-valeur pollution », soit 0,74 €, versés à l’agence de l’eau. Ce total de 3,21 € est majoré d’une TVA à 5,5 %

Face à ce prix, M.Verdisson admet que « Reims se situe dans le tiers supérieur des villes de même importance. Le prix moyen du m3 d’eau et de l’assainissement étant d’environ 3 € ».

Justification

Pour justifier le prix d’un m3, il faut tenir compte du réseau et de ses branchements à entretenir. Soit 1.100 km pour l’assainissement et 500 km pour l’eau potable.

« A chaque travaux de voirie, nous renouvelons les canalisations si nécessaire, et nous remplaçons les branchements en plomb », indique M.Verdisson. Lequel précise que le taux de fuite ne serait que de « 2 % » à Reims, et que les canalisations y ont une durée moyenne de vie de 50 ans.

Une durée de vie qui peut aller jusque 100 à 120 ans dans certaines communes, comme dans l’Aube, avec un « taux de rendement de 70 % » (donc avec 30 % de fuites, Ndlr) complète un spécialiste des collectivités locales.

Par ailleurs, l’assainissement pompe une grande partie du budget. La remise aux normes de la station d’épuration — eaux usées et en partie pluviales — a coûté 70 M€ à amortir en 30 ans (*). Sa capacité est de 470.000 équivalents/habitants. « Nous avons de fortes contraintes parce que la Vesle est une petite rivière pour une grande agglo ».

Aussi, « à terme, le prix du m3 ne baissera pas. Au mieux, il se stabilisera. Car il y a de plus en plus d’exigences », conclut Michel Verdisson.

J.F.Scherpereel

(*) Un contentieux est toujours en cours (suivi depuis 2005 par l’union).

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l’union071102d

« Autre peau, autre ville »

 

Le Passage du 25 Eisenhower a attiré les foules.

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Il y avait toute sous le passage du 25 Eisenhower, pour inaugurer l’installation « surprise » de l’artiste Armelle Blary, réalisée avec les habitants, les enfants des écoles du quartier, les femmes du centre d’hébergement et de réinsertion sociale primevères et les enfants de l’institut Michel-Fandre.

Cette création, en lien avec le projet de démolition des immeubles situés aux 25, 27, 29, 31 de l’avenue Eisenhower, se traduit au fil des mois par une action artistique sur les façades .des immeubles condamnés, et leur environnement proche.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

 

 

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Documentaires

 

Du 3 novembre jusqu’au 1er décembre se déroule dans les médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge, le mois du documentaire. La manifestation permet de faire découvrir des centaines de films récents ou anciens, français ou étrangers, courts ou longs.

Samedi 3 novembre à 14h30 sera projeté « le tour du monde en 80 danses » puis à 16h00 « Ubuhle bembali : la beauté des fleurs ».

Mercredi 7/11 à 14h30, « Kabuki, la voie du geste » et à 15h30, « Duende y misterio del flamenco ».

Entrée libre.

Programme complet sur www.bm-reims.fr

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LA MARNE > LEMAG nov-déc 2007

INAUGURATION : Le Conseil général de la Marne inaugure le collège Joliot Curie

 

 

Les élèves du collège Joliot Curie ont été heureux d’accueillir, le 21 septembre dernier, le Président du Conseil général pour l’inauguration de leur collège, qui a bénéficié d’une restructuration complète. Près de trois ans de travaux ont été nécessaires à la reconstruction de ce collège entièrement financée par le Conseil général de la Marne.

Désormais le collège rémois est doté d’un nouveau gymnase de 1000m2, de nouvelles salles de sciences et d’ateliers, d’un CDI flambant neuf, de salles de détente pour élèves et professeurs…

L’ancien établissement des années soixante-dix aux structures métalliques a laissé place à une architecture de qualité, aux couleurs chaudes, où se mêlent avec harmonie courbes et lignes droites. Le collège Joliot Curie devient ainsi un des piliers du quartier Croix-Rouge, qui est actuellement en pleine mutation.

 

 

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l’union071102a

Taxe d’habitation : la colère des habitants de Croix-Rouge

 

La taxe d’habitation sera un enjeu des prochaines municipales.

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L’assemblée Générale de l’association des locataires des Hauts-de-Murigny a été l’occasion, pour les habitants excédés, d’un débat avec les élus sur la taxe d’habitation « aussi élevée à Croix-Rouge, voire plus, qu’au centre-ville : depuis 35 ans, nous demandons la même chose » protestent en effet les habitants.

Sur préconisation du conseil d’administration de Reims Habitat, Patrick Baudet, directeur général, a pris contact avec un cabinet spécialisé qui a lancé une étude sur le quartier : « Cette démarche peut avoir une influence sur la taxe d’habitation, le processus est engagé » assure-t-il.

Jean-Claude Laval, conseiller général, a produit un document relatif au calcul de la valeur locative. « Ce texte date des années 1970-74, époque à laquelle un prix a été fixé. Il n’a été révisé qu’en 1982 et n’a plus évolué depuis, sinon dans un secteur comme le vôtre, cela aurait baissé les coûts de 40 % ! C’est à la commune de lancer une telle initiative ! La démarche de Reims Habitat est certes une première démarche intéressante mais on attend une vraie action de la ville !

Il faut savoir qu’à chaque tranche de travaux de réhabilitation, le bailleur social est tenu de la déclarer à l’administration qui s’empresse aussitôt d’augmenter la valeur locative, alors que la lente dégradation des immeubles « trente ans d’âge » n’a jamais été prise en compte pour réduire la même valeur locative.

De plus, l’ouverture voisine de la gare TGV à Bezannes et l’arrivée programmée du tramway dans le quartier risquent encore d’accroître les valeurs locatives et de faire flamber la taxe d’habitation.

Catherine Vautrin l’a assuré : « Le conseil municipal a un rôle essentiel, puisque c’est lui qui détermine le pourcentage d’abattement qui sera appliqué à la valeur locative. Le rôle de l’analyse financière de la ville est prépondérant. C’est un très gros chantier ! »

Représentant le maire de Reims, l’adjointe Laurence Malassagne n’est pas intervenue dans ce débat.

Une inégalité dénoncée par Jean-Claude Laval

Un « vide juridique » a été dévoilé par le conseiller général Jean-Claude Laval : « Quand des travaux de réhabilitation ou de rénovation sont réalisés chez des particuliers, rien n’oblige ni les propriétaires ni les entreprises à les déclarer et aucune administration ne peut entrer chez eux pour exercer un contrôle : je connais ainsi des immeubles en centre-ville qui ont fait l’objet d’une luxueuse rénovation de standing et qui continuent à être imposés sur la base de leur état dans les années 1970, avec des montants ridicules ! »

Cette découverte a fait bondir Catherine Vautrin qui l’ignorait : « Je vous promets que, en qualité de parlementaire, je vais m’impliquer dans les différents travaux sur ce sujet si important et sur ce vide juridique ! »

Enfin, Renaud Dutreil, représenté à la réunion par Philippe Mazetti, a fait parvenir un message au bureau de l’association : « J’ai déjà saisi les services fiscaux pour examiner avec eux le problème du coût très élevé de la taxe d’habitation à Croix-Rouge ».

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071101c

Sur l’absence de réunion des conseils de quartiers

 

Il y a quelques jours, l’union a signalé que les conseils de quartiers ne se réuniraient plus avant les élections municipales de mars prochain. M. Lopez envoie cet e-mail :

« Une fois de plus, le maire bafoue la moindre once démocratique. Membre du conseil de quartier Croix-Rouge, Maison-Blanche, je trouve scandaleux l’annulation de la réunion publique et également le motif évoqué. Sans doute a-t-il eu vent de la « fronde » d’une partie de la population contre le projet de renouvellement urbain pour le quartier Croix-Rouge ».

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l’union071101b

… les deux frères aussi

 

Le 6 août 2006, la police intervient place Dominique-Ingres à la suite d’un appel signalant qu’une quinzaine d’individus sont entrés de force dans un appartement pour en découdre avec le locataire.

Deux portes du logement sont retrouvées défoncées. Il y a des traces de sang. Interrogé, l’occupant explique avoir reçu la visite d’une bande amenée par Karfa et Pathé Keita, deux frères de 23 et 24 ans.

Ces derniers n’auraient pas apprécié la présence d’une copine au domicile du locataire. Pour se défendre, il a donné des coups de machette qui ont légèrement blessé Pathé, d’où les traces de sang.

Pathé est absent à la barre. Seul est présent Keita qui conteste les faits. Il ne serait resté qu’au bas de l’immeuble. il n’y avait pas de bande avec lui.

« Si on était quinze comme il dit, il ne serait pas là aujourd’hui ! Et puis même à cinq, ça aurait suffi ! » Déclare le prévenu à l’impressionnant physique de basketteur.

« Depuis ce jour-là, j’ai des menaces, même ici aujour¬d’hui au tribunal. Il a amené des copains avec lui pour me menacer » révèle le plaignant.

Le substitut Dufourd menace à son tour. « Attention M.Keita ! S’il lui arrive quoi que ce soit, on saura vous retrouver. »

Les deux frères sont condamnés à quatre mois de prison ferme. La victime ressort de la salle par une porte dérobée en compagnie d’un policier.

F.C.

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l’union071101a

Vol avec violence

 

Habitué de la justice des mineurs, Mickaël Silbereiss, 18 ans, fait son entrée dans la « cour des grands », selon la formule de son avocat Me Creusat, avec cette première comparution en correctionnelle.

Le jeune homme est jugé pour le vol avec violence d’un scooter allée des Provençaux, le 12 octobre vers 3 heures du matin (la victime a reçu un coup derrière la tête).

Repéré sur le scooter par des policiers, il était tombé en voulant leur échapper. Deux morceaux de résine de cannabis furent retrouvés en sa possession.

A titre de peine alternative à l’emprisonnement, le garçon est condamné à un travail d’intérêt général de 70 heures.

F.C.

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Monsieur Fabrice Lopez nous écrit

 

Nous avons reçu de Monsieur Fabrice Lopez le courrier suivant :

"QCR infos devait être un journal d’information créé et géré par des locataires de Reims-Habitat.

Or, outre le fait que des articles y soient placés sans l’aval du groupe par Reims-Habitat (ex : les 11 commandements QCR3), désormais des articles et édito sont censuré par Reims-habitat car n’étant pas dans la ligne journalistique imposé par le bailleur (l’édito du QCR4 mettant en avant les malaises des locataires face à certaines défaillances de Reims-habitat).

Devant cette censure et l’étouffement de la liberté de parole, un journal indépendant créée et rédigé par des habitants du quartier verra le jour au premier trimestre 2008.

Pour info : le conseil de quartier public qui devait avoir lieu en décembre a été supprimé par la mairie de Reims, la démocratie n’est pas de mise pour notre quartier, les habitants se passeront des informations sur le projet de renouvellement urbain."

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l’union071031d

150 jeunes Rémois pour fêter la journée de l’arbitre

 

La journée était ponctuée de matchs et de séquence DVD.

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« S’il n’y a pas d’arbitre, on ne peut pas jouer. Il a un rôle très important. C’est lui qui contrôle le jeu, met de l’ordre et encourage le fair-play. » Tee-shirt blanc et sifflet au cou, Emile, 13 printemps, maîtrise déjà le catéchisme du bon arbitre. Il s’est rendu le 27 octobre à la Halle universitaire Croix-Rouge de Reims pour la journée nationale des arbitres.

« L’objectif de cette manifestation sportive est de faire découvrir l’arbitrage aux jeunes. C’est aussi valoriser la fonction d’arbitre ; leur montrer que ce rôle est accessible. Car il peut être difficile pour la majorité des gens », explique Sophie Brodu, présidente de la commission régionale des arbitres de basket-ball.

« C’est un excellent événement, surtout pour la reconnaissance des arbitres. Ils le méritent bien. Ils travaillent à longueur de journée. Actuellement, ils sont environ 550 à être licenciés dans la Ligue. Et l’année prochaine, on assistera à la naissance d’arbitres auxiliaires. Cette nouvelle catégorie viendra compléter le reste », annonce de son côté Gérard Cassegrain, président du District Marne de football.

Pas moins de 150 jeunes Rémois ont fêté ce grand juge des matchs. Avec une ambiance multisports : foot, rugby, basket, hand. Une séquence DVD était également proposée.

Julien, 13 ans, a arbitré une rencontre de foot en salle : « Je n’arbitre pas souvent.

L’arbitre est vraiment celui qui fait fonctionner le match. Il est aussi là pour éviter la violence et faire respecter des règles ».

Nul doute que cette journée aura permis à tous ces gamins d’avoir un autre regard sur l’arbitrage.

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l’union071031c

Aujourd’hui : Animations dans les bibliothèques

 

Atelier de création animé par Dominick Boisjeol : « Qui sont ces personnages ? » à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar, de 10 à 12 h 30 pour les enfants de 6 à 9 ans, et de 14 h 30 à 17 h 30 pour les enfants de 9 à 14 ans.

Sophie raconte… : Histoire pour les enfants à partir de 2 ans à la médiathèque Jean Falala, 2, rue des Fuseliers, de 15 h 30 à 16 heures.

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l’union071031b

La ville se met en quatre pour ses petits « orphelins de 16 h 30 »

 

À l’école élémentaire Ruisselet, les enfants peuvent s’initier au tennis de table ou à l’informatique. PHOTO : Nicolas Lopez

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Informatique, photo, cuisine, travaux manuels et aide aux devoirs… chaque soir, après l’école, des milliers d’écoliers rémois bénéficient d’un dispositif gratuit sans doute unique : le SMA, service municipal d’accueil.

A l’heure où le ministre de l’Éducation nationale se préoccupe sérieusement des « orphelins de 16heures » dans les collèges, la ville de Reims a, depuis des décennies, pensé et réglé le problème de « ses petits orphelins de 16 h 30 », les écoliers de maternelle et de primaire.

À Reims, sur les 8.267 élèves scolarisés en élémentaire, 50 % restent au SMA (service municipal d’accueil) entre 16 h 30 et 17 h 45. En maternelle, sur les 5.892 élèves scolarisés, 27 % restent au SMA. Soit un total de 5.700 écoliers qui, en moyenne, chaque soir, restent dans les locaux de leur école.

Après avoir goûté, les enfants participent à des activités très variées : du sport avec les éducateurs de la direction des sports ; de l’informatique ; des activités manuelles en partenariat avec la culture-art déco, de la poterie aux Châtillons, de la photo à la Neuvillette ; de la cuisine avec les maisons de quartier Watteau et Picards, dans le cadre de l’aide à la scolarité ; avec Ethnic’s et la Nacelle, découverte des instruments de musique et danse hip-hop ; maison de quartier Turenne, projet avec Catherine Pierre- jean avec le contrat urbain de cohésion sociale…

« Coup de pouce » et « Top leçons »

Dans 22 écoles élémentaires, l’opération « coup de pouce » est renouvelée. Il s’agit de proposer aux enfants de CP qui rencontrent quelques difficultés dans l’apprentissage de la lecture, de les prendre par petits groupes afin de les aider.

Dans 14 autres établissements, c’est l’opération « Top leçons » qui sera reprise. Il s’agit cette fois d’aider les enfants à faire leurs devoirs du soir, par groupes de 8 élèves. Ce type de dispositifs existe dans d’autres villes de France « mais il est rarement gratuit, comme à Reims, » indique Marie-Annick adjointe au maire chargée des affaires scolaires. _ La ville prend ici en charge l’intégralité du service, soit 2millions d’euros par an. « Nous avons recruté 743 .vacataires pour cette année, » précise Mary-Line Savoye, chef du service animation scolaire et périscolaire. « 359 enseignants, et 384 non enseignants. Avec les vendanges qui se sont déroulées au moment de la rentrée, nous avons eu des difficultés à recruter des non-vacataires cette année. Les enseignants ont d’ailleurs largement contribué au dispositif à 48 %. »

Le succès du SMA ne se dément pas au fil des années. « Les activités proposées sont de qualité, les enfants accrochent bien. » Peu de nouveautés attendues au plan des activités, sauf l’apprentissage d’un instrument de musique à Galliéni et Charpentier. « Nous cherchons d’ailleurs un sponsor pour financer les assurances des instruments de musique, » confie Marie-Annick Roger.

Patricia Buffet

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La fin du SMA à la rentrée 2009

En fin de semaine dernière, Marie-Annick Roger a été reçue avec d’autres représentants de grandes villes — et M. Destot, maire de Grenoble et président des maires des grandes villes de France, par le ministre de l’Éducation Xavier Darcos.

« Actuellement, l’Éducation nationale s’occupe des orphelins de 16 heures dans les collèges, » indique Marie-Annick Roger. « Le premier degré sera concerné à partir de la rentrée 2009. Ce qui signifie la disparition à ce moment-là du service municipal d’accueil, en l’état en tout cas ».

Actuellement, « les enseignants ont une semaine de 26 heures. Or, avec la fin de l’école le samedi, ils passeraient à 24 heures. » Pour l’adjointe chargée des sports, « deux heures de langue, ce serait bien. » Toujours est-il que la ville récupérera à la rentrée 2009 les 2 millions d’euros qu’elle injecte bon an mal an dans le SMA chaque année. « Xavier Darcos nous a confirmé que l’accueil des orphelins de 16 heures sera entièrement pris en charge par l’Éducation nationale.

Nous ne savons pas sous quelle forme ni si l’Éducation nationale travaillera en collaboration avec nous. »

P.B.

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l’union071031a

Il vole une moto et chute à cyclo

 

Convoqué à la même audience, Sébastien Divry, dit Babass, 32 ans, n’est pas venu. Sa carte de visite se limitait à son casier judiciaire riche de douze condamnations.

Le 20 septembre, lancé à vive allure sur son scooter, le jeune homme grille un feu rouge au carrefour de l’avenue de Gaulle et de la rue de Courlancy.

Pris en chasse par une patrouille de police, il refuse de s’arrêter, emprunte un sens interdit et roule tellement vite qu’il finit par tomber par terre.

Son état d’alcoolémie ne facilitait pas une conduite équilibrée : 0,94 gramme par litre de sang.

Maîtrisé, Sébastien Divry est ramené au commissariat où, par un hasard extraordinaire, son nom est cité une heure plus tard par deux mineurs placés en garde à vue pour une autre affaire : le recel d’une moto de cross qu’ils s’apprêtaient à dissimuler dans un immeuble de l’allée des Limousins (ils prenaient l’ascenseur avec lorsqu’ils furent surpris par la police). La moto fut dérobée le jour même rue de Courcelles. Son propriétaire se trouvait à côté lorsqu’un individu l’a poussé brusquement pour s’emparer de la machine.

Âgés de 13 et 17 ans, les deux ados ont récupéré la moto des mains du voleur, ce dernier leur demandant d’aller la cacher dans l’immeuble. Et ils ont désigné cette personne comme étant Sébastien Divry.

Jugé pour les deux affaires, Babass a pris un mois de prison ferme pour le vol de la moto, trois mois ferme pour le refus d’obtempérer et la conduite en état alcoolique.

Il devra payer 150 € d’amende pour le feu rouge, idem pour le sens interdit.

F.C.

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l’union071030b

Pas de corvée de conseil

 

Il n’y aura pas de conseil de quartier cette année. Raison invoquée : les élections municipales. La réglementation des collectivités locales empêcherait la tenue de telles réunions en période électorale, dixit le service communication de la ville.

On ne voit pas en quoi des élections qui se tiendront dans cinq mois peuvent empêcher des élus de répondre aux questions des citoyens. Mais puisqu’ils l’assurent…

Peut-être aussi que ces mêmes élus n’ont pas envie de se coltiner une dernière fois ces réunions où la population les met en face de problèmes concrets alors qu’eux préféreraient discourir de beaux projets à long terme qu’ils ficellent à l’aide de coûteux cabinets d’étude. Si au moins ils peuvent y couper cette année…

Mais ne le répétez pas car le même service communication de la ville a interdit à l’union de le dire tout de suite. « Vous pourrez l’annoncer dans quinze jours quand le maire aura signé la lettre pour informer les représentants des comités de quartier »

Et comme nous sommes aux ordres…

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l’union071030a

« Vieillir aujourd’hui » avec les Panthères grises

 

Beaucoup de monde pour la présentation de l’association 3 F.

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Renate Gossard, présidente et Gloria Cicile de La Croix, vice-présidente, ont présenté la nouvelle association 3 F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain) à une soixantaine de personnes réunies à l’espace La Nacelle à Croix-Rouge.

Émanation de l’association des Panthères grises France, c’est ici que, chaque troisième lundi du mois, 3 F proposera une rencontre-débat sur un thème déterminé.

Pour cette première, il s’agissait de faire le point sur le « Vieillir aujourd’hui », ce qui a donné lieu à des échanges intéressants.

Dans le public, un éventail représentatif de la population rémoise mais aussi régionale, avec Laure Lasguarges, des Panthères grises Paris, Odette Petit « super-mamie », avec des élus, la police de Croix-Rouge, des présidentes d’associations de locataires, la coordinatrice santé de la ville de Reims et une représentante de la ville de Cormontreuil, le président de la Licra, des membres de l’Aradopa, de l’Orrpa, de l’association MJC Croix-Rouge, et surtout des habitants.

Prochain rendez-vous, lundi 19 novembre à 14 heures, sur le thème de la consommation.

Renseignements : association « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain », Tél. 06.07.96.56.72. ou 03.26.08.22.10.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071029a

Croix-Rouge : Faits divers

 

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Que d’eau

Les sapeurs-pompiers sont intervenus samedi, vers 19 h 40, pour une fuite d’eau dans un appartement de la rue Yvon-Morandat. Ils ont asséché les lieux à la suite d’un refoulement d’eaux usées.

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Feu de papiers dans l’ascenseur

Samedi, vers 20 h 50, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour une odeur suspecte dans un immeuble situé 5 rue des Savoyards à Reims.

Il s’agissait en fait d’un feu de papiers dans la fosse de l’ascenseur. Les sapeurs-pompiers ont vite éteint ce feu à l’aide d’un seau d’eau.

Odeur d’essence

Toujours samedi, vers 21 h 30, les sapeurs-pompiers sont intervenus au 14 Groupe-Eisenhower pour une odeur d’essence dans le local à vélo.

L’espace étant fermé à clé, les sapeurs-pompiers ont fait venir un serrurier qui n’a rien pu faire, ils ont dû ouvrir de force la porte. Au final, il s’agissait bien d’une fuite d’essence sur un booster garé dans le local.

De la terre a été étalée à terre pour clore l’incident.

Feu d’ordures

Un feu s’est déclaré dans un local vide-ordures, au 14 allée des Bourguignons, samedi vers 23 h 15. Le feu a été rapidement maîtrisé.

Pour plus de sécurité, les sapeurs-pompiers ont ventilé les étages de l’immeuble.

Thuyas en feu

Un feu, d’origine vraisemblablement volontaire, s’est déclaré sur une haie de thuyas, hier, vers 2 h 30, au 2 allée des Normands. Une quinzaine de mètres de végétation a brûlé. Le feu a été rapidement éteint par les sapeurs-pompiers. La police a également ouvert une enquête.

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lhebdoduvendredi071027d

Installation éphémère

 

Le projet de renouvellement urbain du quartier Croix Rouge s’est accéléré pour Reims habitat et ses partenaires au cours de l’année 2006.

Parallèlement à la démolition de la tour Taittinger l’an passé, l’Office a lancé son plan de relogement des locataires des immeubles 25, 27, 29 et 31 avenue du Général Eisenhower depuis un an. À ce jour, les logements sont en cours de libération.

Néanmoins, Reims habitat et le Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS) ont voulu mettre l’accent sur la mémoire des anciens logements et l’avenir des habitants. C’est pourquoi une intervention artistique à la fois plastique et culturelle appelée « autre peau, autre ville » a été menée avec les habitants grâce à Armelle Blary (photo), plasticienne, qui s’est fortement impliquée dans le quartier depuis de nombreuses années.

Dernier hommage aux 46 appartements dont les jours sont maintenant comptés, une occupation artistique éphémère a été organisée ce jeudi pendant quelques heures où enfants, locataires, voisins ont offert leur concours.

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plurihabitat071027c

Liliane Feige, poétesse, embellit Croix Rouge de sa prose !

 

Toujours prête à partager sa poésie avec les autres, Liliane Feige s’inspire de son quotidien pour ses poèmes avec passion et simplicité.

Teinté d’évènements de son quartier et de la vie quotidienne, c’est un parfum de l’air du temps qui nous est évoqué au travers de ses poèmes.

Locataire chez PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS depuis 1993 à Croix du Sud, cette ardennaise d’origine, pleine de bonheur, y vit aujourd’hui avec ses deux fils. Aimant la lecture et la nature dont elle est très poche, ses poèmes se nourrissent de ces sources d’inspiration depuis 1982.

En coordination avec le dessinateur Hugues Hommel qui illustre ses poèmes, Liliane Feige participe aux différentes manifestations culturelles d’associations ou clubs, tels que la Grande Poste, un peu partout en France.

Croix- Rouge, son quartier, thème qui revient souvent dans ses récits, lui donne sa prose. Des rimes et des poèmes naissent et embellissent son quartier … tant aimé

La vie de mon quartier

Mon quartier a triomphé

Mon quartier est passé en anthologie en Belgique

Sur un air poétique

Il rime en Charente Maritime

Mais il m’a dit

Je suis mieux encore ici

A Croix Rouge

Quand plus rien ne bouge

De ma fenêtre être habitante

Parfois cela me hante

Près de la petite église

Les journées sont exquises

A la chaise au plafond

Les petites femmes sont canon

Par les allées il y a mon amour

Je reviens toujours

Les bras chargés de poèmes

Pour en faire un emblème

Parfois, je vais à l’idole

Cela me change des casseroles

Je m’en moque

Je vais chez le docteur Lecoq ?

Février 2007

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l’union071027a

Une cinéphile rémoise au Canada

 

La collégienne rémoise Charline Jaspart est experte en cinéma.

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Éduquer par le cinéma est l’objectif des nombreux festivals de cinéma jeune public qui existent en France et ailleurs. Celui de Saint-Quentin dans l’Aisne se déroule cette semaine.

C’est à celui de Rimouski au Canada, dans la province du Québec, qu’une élève de troisième du collège rémois Georges-Braque, Charline Jaspart, est allée pour exercer son œil critique au Festival international du cinéma pour la jeunesse. Un regard critique décelé par son professeur de lettres, Mme Julien et la documentaliste, Mme Barrault, qui d’ailleurs l’a accompagnée.

Charline a été la seule Française sélectionnée pour être membre du jury du « Carrousel international du film », le plus important festival francophone du cinéma jeune public. Elle a visionné plus de trente films de tous pays (fictions, longs et courts métrages, films d’animation…)

Elle a partagé ses analyses critiques avec les 18 autres jeunes du jury, venus d’Europe et du continent américain et a participé à la sélection du film nominé.

Ce fut pour cette collégienne une occasion exceptionnelle d’être immergée dans l’univers du cinéma, dans une famille canadienne et de tisser des liens avec des jeunes venus d’ailleurs.

 

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lhebdoduvendredi071026e

Association ACAO

 

L’association Art et Culture d’Afrique de l’Ouest développe en partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard et la maison de quartier Wilson Sainte Anne un projet qui s’appuie sur la réflexion : « cheminer ensemble : du jardin musical aux rencontres autour des berceuses. Force du lien chanté ».

L’objectif de cette action est d’aider les parents dans leurs fonctions éducatives en participant aux activités d’éveil de leur enfant.

Renseignements au 03 26 06 30 05, par mail : acaoreims@free.fr ou sur www.acao-reims.org

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l’union071026d

Service de prévention : du changement

 

Bienvenue à Rafika Nouar et à Jean-Philippe Marchal, nouveaux éducateurs

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L’information vient de Didier Hauguenois, responsable du Service départemental de prévention : « Deux nouveaux éducateurs vont travailler dans le quartier Croix-Rouge.

Rafika Nouar, à Pays-de-France, succède à Sébastien Jacques qui va désormais exercer à Wilson et Maison-Blanche.

Par ailleurs, dans le secteur Croix-du-Sud Hauts-de-Murigny, Jean-Philippe Marchal remplace Jean-Louis Rumerio qui va se consacrer à l’association 2 mains ».

 

 

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l’union071026c

Échange européen avec la Pologne : l’heure du bilan

 

Un auditoire très attentif à un bilan satisfaisant.Les jeunes préparent désormais la visite des Polonais en France.

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Après leur séjour en Pologne, réalisé dans le cadre d’un projet européen d’échange de jeunes, Antar, Cynthia, Hakim, Kadidia, Romuald, Sofiane, Stéphanie et Zahra ont invité tous ceux qui ont permis cette réalisation à assister jeudi 18 octobre à une projection vidéo relatant leur aventure.

Avec leurs accompagnateurs, Slimane Hamdi (animateur à la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France) et Sébastien Jacques (éducateur au Service départemental de prévention), ils n’étaient pas peu fiers de présenter les images de leurs visites en Pologne à Walbrzych, en compagnie de leurs camarades Polonais de l’association Ecoeurowies : Varsovie, Craco¬vie, une mine de charbon, les grottes de Wolfsberg, la campagne polonaise,…

Ils avaient été mis en condition par l’amicale franco-polonaise de Reims mais la surprise fut quand-même fort agréable.

Mais quand est venue la présentation de leur visite au camp de concentration d’Auschwitz, le ton a changé : place au recueillement.

Certes, Mme Biava, déléguée à la Mémoire combattante (Office national des anciens combattants), les avait avertis, mais devant l’horreur, les jeunes sont restés sans voix. La salle également.

Ce document est si exceptionnel que la Maison de quartier va le graver et le distribuer en CD à toutes les personnes et structures qui le demanderont : professeurs d’histoire, établissements scolaires, médiathèque Croix-Rouge, associations, etc.. (S’adresser au 03.26.06.04.10.).

Cette première expérience réussie comporte un deuxième volet : Nous allons reprendre les mêmes partenaires : l’Europe, la Région, le Département, la Maison de quartier, la Maison de l’enfance, le Foyer rémois (Mme Bégusseau, « dont l’aide pédagogique a été déterminante »),… et nous allons préparer le séjour des jeunes Polonais à Reims en juillet 2008, avec pour thème « la découverte des institutions française et européenne ».

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

- Des photographies du séjour en Pologne sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071026b

La vie des clubs Foot : un nouvel entraîneur pour les Atlatistes

 

« Moi, sans le foot, je ne suis rien ».

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Toutes ses classes, il les a faites au Stade de Reims. « Il » c’est Noredine Lakbachi, 29 ans, nouvel entraîneur du FC Atlas. « Je suis entré chez les Stadistes quand j’avais 5 ans. J’ai joué jusqu’en CFA 2. Après, je suis allé tenter une aventure à Sainte-Geneviève-des-Bois qui était en division d’honneur ».

Mais il n’y restera pas longtemps. Car très vite, il revient en Champagne. Il intègre le COC (Club olympique châlonnais), où il passera quatre bonnes années. « Là-bas j’ai eu comme coach Franck Lorenzetti. Il était le meilleur des entraîneurs que j’ai eus. C’était vraiment quelqu’un de franc, droit ». Franchise, droiture, ces valeurs cueillies dans l’école de Lorenzetti : saura-t-il les transmettre aux Atlatistes ?

Eux qui évoluent dans le District Marne de football et enregistrent deux nuls. « Entraîner les adultes, c’est différent des gosses. Eux sont déjà formés ; ils sont plus autonomes. Ce que je vais surtout apporter, c’est à la fois mon expérience de joueur et la mise sur pied d’une équipe qui va jouer collectivement. Sans oublier la rigueur et la discipline. Faire ce travail représente pour moi un tremplin pour commencer une carrière d’entraîneur. Moi sans le foot, je ne suis rien ».

Reste que le principal défi de Noredine Lakbachi sera d’assurer la montée en deuxième série. Le FC Atlas a déjà loupé deux années de suite son ascension. « Pour ce championnat, je n’ai aucune crainte. On a une belle équipe et des joueurs qui ont des qualités pour jouer au-dessus. Maintenant, le problème c’est d’instaurer un schéma tactique et collectif ».

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l’union071026a

« Piments des îles » : un repas culturel

 

L’association Kalebass et Cie veut se faire connaître et pour se présenter dans un esprit convivial, elle organise « Piments des Iles » , une soirée culturelle et familiale à l’espace Billard, 14-16 rue Pierre- Taittinger, mercredi 31 octobre de 19 h 30 à 24 heures, dans le cadre de l’opération « vivre autrement ».

Nucia Thétis, animatrice, précise : « Au programme, nous ferons une présentation des diverses îles depuis les origines avec en particulier la culture afro : les Antilles françaises, Cuba, Madagascar, les Comores, … autour d’un repas avec spécialités culinaires et animations musicales (chant traditionnel des différentes îles), projection et certainement d’autres surprises ! ».

Tarif : adultes, 6 euros ; enfants 3 euros. Réservation obligatoire au 06.28.04.64.88.

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l’union071025g

Les dernières nouvelles du quartier

 

Parcours de santé

Sollicité par des riverains et des usagers qui se plaignent de l’état du parcours de santé situé entre le quartier Croix-Rouge et la commune de Bezannes, le conseiller municipal Éric Quénard a demandé au maire de Reims de faire nettoyer cet espace puis d’y mettre en place un entretien régulier.

Démolitions

Reims-Habitat a lancé l’appel d’offres légal en vue du marché de maîtrise d’œuvre pour la déconstruction sélective d’immeubles 25/27 et 29/31, avenue du Général-Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge-Université. Les offres doivent être remises avant mercredi 31 octobre.

Conseil de quartier

Geneviève Kaczowka, président dente de l’association Les Polygones (défense des locataires) été élue vice-présidente du Conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche lors de la dernière réunion à huis clos. Elle succède à ce poste à Jean Jacques Lapique, décédé il y a un an.

Projet Démolitions

La commission « urbanisme — aménagement= habitat » annoncé le programme définitif des démolitions à Croix. Rouge : 216 logements secteur Université-Eisenhower-Hippodrome (Reims habitat), 158 logements secteur Pays-de. France (le Foyer rémois), et 75 logements secteur Croix-du. Sud (Effort rémois Pluri-habitat), soit un total de 449.

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l’union071025f

Sécurité routière : les 6e informés

 

 

 

Au collège François-Legros la semaine dernière, le major Druart, chef du bureau de police de Croix-Rouge sont passés dans toutes les classes de 6e de l’établissement.

Objectif : « évoquer avec les collégiens les problèmes de sécurité routière : place du piéton, du cycliste, respect des règles et des signaux, bien-vivre ensemble et partage de la route…

 

 

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l’union071025e

Hauts-de-Murigny Des locataires bien défendus

 

Les membres du bureau : Maud Trefcon, Isabelle Mallinger et Daniel Houssack.

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Les locataires des Hauts-de-Murigny (1.061 logements) dressent le bilan d’une année écoulée.

Au chapitre des réalisations, la présidente Maud Trefcon et le bureau citent

- le garage G.18 : « après plusieurs années de panne, la porte a été remplacée en juillet 2007 » ;

- les trous au 11 Toulouse-Lautrec : « ces trous dangereux s’étaient formés devant l’entrée. Ils ont été rebouchés. » ;

- le garde-fou Utrillo : « cet équipement manquait et rendait le lieu dangereux »

Pour le problème « du stationnement abusif dans l’allée Yves-Gandon » un courrier a été adressé au directeur départemental de la Sécurité publique afin que cessent les stationnements sauvages.

Ce qu’il reste à obtenir

Les trous laissés à Utrillo suite à l’arrachage de deux arbres et signalés depuis février 2007 ont été rebouchés et enfin, concernant le problème des bacs à sable Utrillo et Gandon, les travaux de destruction de ces bacs sont inscrits au programme 2008. « Reims Habitat n’a jamais fait autant de travaux que depuis ces deux dernières années, avec pour points forts la sécurité et les économies d’énergie » précisait Patrick Baudet.

Mais pour l’association, il reste des manques. La tour Watteau : retard très important sur les travaux d’isolation qui ne seront pas achevés avant la période de chauffe ; la tour Gandon : sept mois de retard…

Si la présidente admet que « Reims Habitat montre une grande disponibilité à prendre en compte nos questions, même quand elles sont vives » elle regrette toutefois des délais toujours reportés : « au lieu d’informer d’un retard dans l’exécution d’un travail de plusieurs mois par exemple, Reims habitat reporte l’échéance de mois en mois : les locataires ont l’impression qu’on se moque d’eux ! »

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l’union071025d

Pays-de-France Petit-déjeuner oriental

 

L’association FD’IA reconduit l’atelier cuisine orientale.

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Dans le cadre des animations « Libr’Échanges » qui ont lieu tous les vendredis de 9 h 30 à 11 heures à l’espace Aquarelle de la Maison de quartier Croix-Rouge Elham Kouch, animatrice Familles a organisé en partenariat avec l’association Femmes d’ici et d’ailleurs (FD’IA) dont elle est présidente, un petit-déjeuner oriental destiné aux familles adhérentes de Pays-de-France.

Au menu : thé à la menthe, pain marocain, crêpes à mille trous au miel, le Ms’men au miel, le pain sucré et la brioche…

A noter que l’association FD’IA reconduit l’atelier cuisine orientale à la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Picards) au 6, allée des Picards (tous les mardis de 14 à 16 heures).

Reprise mardi 6 novembre. Tél. (03.26.82.53.48.)

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l’union071025c

Eisenhower change de peau avant sa démolition

 

Armelle Blary, plasticienne : « L’idée plastique de départ est d’inscrire les mots des habitants sur les façades promises à la destruction, comme pour révéler la part de l’humain sous les épaisseurs de béton. » Charles LANTENOIS

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Les meubles et le « tapis » sont déjà en place, la mise en scène prend forme.

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Les femmes du CHRS gravent les souvenirs collectés sur le mur repeint en gris du Passage du 25 avenue Eisenhower.

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VOILÀ bien une aventure humaine comme on aimerait en voir plus souvent. Pas question ici de discours incompréhensible sur l’art réservé aux initiés. Non. Dans le projet baptisé « Autre peau/autre ville » qu’Armelle Blary, plasticienne rémoise, propose aux habitants de Croix-Rouge, il est question de « logique », de simplicité, mais surtout d’humanité.

Le but étant d’associer les habitants du quartier au projet de démolition des immeubles situés aux 25, 27, 29 et 31 de l’avenue Eisenhower, par le biais d’un projet de création.

Un projet qui se traduit au fil des mois par une action artistique sur les façades des immeubles condamnés et leur environnement proche. Et ce jusqu’à la démolition, prévue courant 2008.

L’aventure a débuté en juin dernier. De nombreuses rencontres ont permis à la plasticienne de collecter de précieuses paroles qui constituent la mémoire de l’esplanade Eisenhower. « J’ai voulu me recentrer sur cette notion de mémoire, à travers la collecte de mots — qui est le vecteur principal — et la dérivation plastique autour d’objets abandonnés. »

Objets de mémoire

L’idée plastique de départ étant « d’inscrire les mots des habitants sur les façades promises à la destruction, telle une peau vive, comme pour révéler la part de l’humain sous les épaisseurs de béton, pour montrer qu’on démolit aussi du souvenir, du vivant », souligne l’artiste.

Mais avant cela, une occupation éphémère du Passage du 25 boulevard Eisenhower est organisée aujourd’hui, de 16 h 30 à 19 heures. L’occasion de présenter les œuvres réalisées dans le cadre du projet au sein des différents ateliers animés par Armelle Blary. « J’ai initié un travail sur l’intérieur et l’intériorité avec les femmes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Primevères. Nous avons récupéré des meubles dans le quartier (Emmaüs nous en a aussi donnés) et les avons transformés en objets de mémoire. L’idée : donner à voir un intérieur qui évoque l’intimité de la chambre, du salon, de rendre sensible ce qui va partir en même temps que les immeubles : les souvenirs des habitants, les habitudes du quotidien… » Peints d’un « blanc sale ayant la blancheur de l’os », ils seront entreposés dans le passage, couvert de gris pour l’occasion.

Les enfants de l’école Gilberte-Droit et de l’institut Fandre ont également apporté leur concours en se livrant à des jeux d’écriture. Et en confectionnant des petites plaquettes de mots représentant des fleurs, qui seront, à terme, plantées dans le quartier, suivant « un trajet poétique ». Un autre groupe d’écoliers a, pour sa part, travaillé aux côtés de la plasticienne Florence Kutten à la création d’une cité idéale faite de terre, de couleurs et de mots. Il est aussi prévu qu’un étudiant de Tema (Reims Management School) rejoigne l’aventure prochainement en créant un site web consacré à « Autre peau/autre ville ».

« Peau de mots sur les immeubles, installation plastique au 25, parterre de fleurs… Le projet prend des formes différentes, mais le fond est toujours le même : on travaille sur l’humain, on veut aider les personnes à mieux vivre dans le quartier, à mieux accepter la démolition. »

Marion Dardard

« Intérieurs à ciel ouvert », étape première du projet « Autre peau/autre ville »aujourd’hui de 16 h 30 à 19 heures au Passage traversant 25-27 avenue du général Eisenhower.

La naissance du projet

Courant 2008, les immeubles des 25, 27, 29 et 31 avenue du général Eisenhower seront démolis. Une nouvelle étape dans le projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge, après la chute de la tour Taittinger le 19 novembre 2006.

Reims Habitat a d’ores et déjà lancé son plan de relogement des locataires des 46 logements concernés. Et parce que « ce sont des morceaux d’histoire qu’on va mettre à terre », dixit François Toublan, directeur des relations et territoires de Reims Habitat, l’organisme a décidé d’accompagner ce plan d’une intervention artistique, à la fois plastique et culturelle. L’idée : mettre sur pieds, dans le cadre d’un Contrat urbain de cohésion sociale (CUCS), un travail sur la mémoire, l’expérience et l’avenir des habitants.

Un bon moyen pour les familles « d’atténuer l’inquiétude et la déstabilisation » que peut entraîner un tel bouleversement.

« L’an dernier, Reims Habitat, la mairie et l’Etat ont estimé qu’il y avait quelque chose à faire autour de ces logements ; qu’il fallait créer un lien social autour de cette démolition et en sortir du positif » se souvient M. Toublan. « Nous avons lancé un appel à projet. La plasticienne Armelle Blary, qui travaille depuis plusieurs années sur Croix-Rouge, a répondu, a proposé son projet « Autre peau/autre ville »… qui a été retenu. » L’accord de financement du CUCS délivré en mai 2007, la création pouvait commencer dès juin… « Elle vivra jusqu’à la démolition de l’immeuble. »

M.D.

Le projet bénéficie du soutien de la Ville, de l’Etat, de Reims Habitat, des conseils général et régional.

Au fil des mots…

Comme toutes les semaines depuis plusieurs mois, les femmes du CHRS, trace-lettres à la main, gravent les souvenirs collectés sur le mur repeint en gris du Passage du 25 avenue Eisenhower. Tout doit être prêt pour 16 h 30 ce soir. Les meubles et le « tapis » sont déjà en place, la mise en scène prend forme.

Malgré le froid sec qui file dans le corridor, concentration et bonne humeur sont au rendez-vous. « Je suis dans le quartier depuis 5 mois, le CHRS m’a proposé de participer à cette activité. Cette aventure m’aide à avancer ; ça donne du punch de réaliser quelque chose par ses mains », témoigne Marie-Chantale.

« C’est l’idée du souvenir qui nous a attirées », confient Zenaba et Ernestine, au CHRS depuis près d’un an et Aminata, domiciliée à Croix-Rouge depuis 2 ans. « On laisse une trace, des souvenirs sur un bâtiment, pour nous et pour les habitants. »

« Je suis timide », « Devant chez moi il y a plein d’ombre », « Et on discute en même temps »… les bribes d’existence, lettre par lettre, reprennent vie à travers leurs mains.

M.D.

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l’union071025b

Un rêve enfin réalisé : le grand « CAMSP Bien naître » a vu le jour

 

Un rêve enfin réalisé : le grand « CAMSP Bien naître » a vu le jour

L’INAUGURATION en a été faite officiellement le 19 octobre et le fronton affiche le nom de l’association : « Bien naître » est présidée par le Professeur Patrice Morville, chef du service de médecine néo-natale, particulièrement ému de voir son rêve enfin réalisé, tout comme celui de la directrice administrative Odile Caron et de la directrice médicale Laurence Demare.

Le centre accueille entre 8 et 18 heures des enfants de moins de six ans nés prématurément ou dans des conditions difficiles, ceux qui présentent très tôt des problèmes neurologiques, des anomalies génétiques ou des troubles du comportement ou ceux qui relèvent de problèmes sociaux.

Diagnostic et suivi

Le CAMSP est un pôle complet du diagnostic à la thérapie : le travail se fait avec les mamans qui trouvent sur place le kiné, l’orthophoniste, l’ergothérapeute, l’éducateur, le neuro-psychiatre, l’assistante sociale, la puéricultrice…

Le projet remonte à plus de 10 ans comme l’explique le professeur Morville : « Nous étions la seule ville de plus de 100.000 habitants dépourvue de CAMSP alors que les besoins étaient criants… En 2002 nous avions pu ouvrir un service provisoire dans des préfabriqués du CHU devenus vacants mais nous y étions à l’étroit dans 170 m2 et bien loin de l’objectif… Ici sur 1.000 m2 nous devrions pouvoir recevoir 900 enfants pour diagnostic et entre 200 et 240 en file active et prise en charge ».

Le bâtiment, d’un coût de deux millions et demi d’euros, est installé sur un terrain fourni par la Ville de Reims. Le financement a été assuré en partie par les organismes de tutelle (conseil général, Ddass, Cram). Des sponsors sont venus mettre leur pierre à l’édifice tel que banques, opération « Pièces jaunes » (environ 35.000 euros), avec le soutien fidèle du comité américain qui a offert 250.000 euros.

Et après ?

Des mamans ont dit combien le centre avait répondu à leurs attentes : « Nous avons trouvé ici encadrement, soutien, conseils… Nous étions enfin écoutées. Mais nos enfants vont bientôt avoir 6 ans et l’angoisse va reprendre… Où vont-ils bien pouvoir aller ? »

Catherine Vautrin a soutenu le projet mais elle reconnaît que « notre pays est encore en retard sur ce point. Avec les parlementaires et les citoyens, des progrès se font mais ils sont longs et difficiles ».

Le professeur Morville a dit qu’il fallait encore avancer pour « ne plus envoyer nos gamins en Belgique pour les soins… »

Cependant la collaboration est établie avec la PMI, l’Aide sociale à l’Enfance et l’Education nationale mais selon Laurence Dumar : « Le parcours scolaire est cahotique par manque de places, en particulier pour les polyhandicapés… »

Le Dr Christine Barrère, du service de santé scolaire, parle d’amélioration et elle a donné des chiffres : « Actuellement en France 110.000 enfants handicapés sont accueillis en primaire et 44.500 en secondaire »…

Colombes de l’American hospital

Gerald Shea s’est exprimé au nom du comité américain : « Nous sommes honorés d’avoir participé au financement et heureux d’inaugurer « notre » tout nouveau centre de dépistage et de suivi des enfants atteints d’un handicap. Ce projet nous rappelle l’histoire de notre comité et de l’hôpital américain conçu au milieu des ruines en 1916 ».

A l’origine, il s’agissait d’un « comité américain pour les blessés français » sur de nombreux points du territoire. Il s’est ensuite orienté vers les soins aux enfants en construisant un hôpital à Reims, grâce à une souscription lancée dans tous les Etats-Unis.

Les fonds ont été versés en 1921 et l’hôpital a ouvert quatre ans plus tard. « Il a été dédié, selon notre ambassadeur Myron Herrick, à la mémoire des soldats américains qui reposent en France et en témoignage d’amitié aux enfants de Reims et à leur avenir… Ce jour-là, des colombes ont été lâchées et si nous sommes attentifs, nous pouvons les voir encore… »

Réunion mondiale des directeurs de mémoriaux

Événement rarissime à Reims : les directeurs des mémoriaux américains y ont tenu leur conférence annuelle. Ces messieurs étaient une petite centaine, venus du monde entier, les plus éloignés venant de Manille (Philippines). Reims n’a sans doute pas été choisi par hasard, puisque l’ABMC ou « American battle monuments commission » a son siège à Arlington, la « jumelle » de Reims depuis deux ans.

Le président Arnaud Desplanques, Roger Vache et Jacques Pernat avec les responsables de la délégation

Cette commission a été créée en 1923 par le Congrès américain, qui en a fait une « agence » gouvernementale. Son premier président était le général Pershing. Il avait été remplacé ensuite par le général Georges Marshall.

À Reims, la délégation était conduite par le général Nicholson, venu d’Arlington, et par le général Hawkins, responsable pour l’Europe. Elle a été accueillie par le président du comité de jumelage, Arnaud Desplanques et par le « M. Jumelages » de Reims, Roger Vache. Des livres sur « les Américains à Reims » de Jacques Pernet, ont été offerts lors de la réception.

Après leur semaine de travail, les directeurs se sont rendus à Verdun, la Meuse accueillant l’un des plus grands cimetières américains d’Europe.

J.-F.S.

L’association ABMC supervise 24 cimetières - dont 11 en France - et 25 mémoriaux, répartis dans 15 pays.

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l’union071025a

Football : mettons le racisme hors-jeu

 

Le football doit rester pour les Rémois une fête populaire qui respecte les règles et les personnes

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Le Stade de Reims et la Licra participent à la 8e semaine européenne d’action contre le racisme et la discrimination dans le foot.

Ils se sont associés pour célébrer cette initiative du FARE (Football against racism in Europe) lors de la rencontre avec l’équipe de Montpellier vendredi 19 octobre.

Les joueurs se sont échauffés en portant le tee-shirt Licra sur lequel est inscrit : « Mettons le racisme hors jeu ! ».

Des annonces ont été faites sur le thème du racisme dans le foot et 70 jeunes invités par le Stade de Reims, portant aussi le même tee-shirt ont pu ainsi applaudir la victoire de leur équipe.

Ces jeunes étaient encadrés et accompagnés par les médiateurs de quartiers de la ville de Reims et les éducateurs de prévention.

Mercredi 7 novembre, sera signé le renouvellement de la convention par M. Caillot, président du Stade de Reims et la présidente de la section rémoise de la Licra, scellant ainsi la poursuite du travail de sensibilisation auprès des jeunes sur les thèmes du racisme et des discriminations.

« Le football doit rester pour les Rémois une fête populaire qui respecte les règles et les personnes dans la joie et la convivialité », conclut Hichem Boussoufi, président du Football-club Atlas, partenaire du projet.

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l’union071024c

La piscine Château d’eau en chantier pour 10 mois

 

Le grand bassin de la piscine Château d’eau va être refait… en inox. Christian Lantenois

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Côté vestiaires : l’existant va être réhabilité et étendu.

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Les travaux d’extension ont commencé mais la piscine va rester ouverte jusqu’à la fin décembre.

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Fin décembre, la piscine du Château d’eau fermera ses portes. Objectif : créer une extension des vestiaires et réhabiliter l’existant, mais aussi remplacer le grand bassin par une cuve en inox.

DEPUIS quelques jours, les abords de la piscine du Château d’eau sont méconnaissables. De grandes barrières ceinturent le site désormais en travaux. Jusqu’au 24décembre, la piscine va rester ouverte.

L’établissement est, rappelons-le, le 3e de Reims en terme de fréquentation, après le Nautilud et les Thiolettes. La piscine du Château d’eau a comptabilisé en 2006 44.000 entrées public, auxquelles s’ajoutent 30.000 entrées scolaires, 18.500 prestations pour les écoles de natation et 1.150 heures d’entraînement.

La piscine du Château d’eau date des années 80. L’établissement a largement souffert de l’humidité et ses vestiaires sont aujourd’hui inadaptés. La ville et la régie des équipements sportifs municipaux (REMS) ont donc décidé d’engager conjointement d’importants travaux de construction et de réhabilitation. Côté ville, les travaux vont concerner la réfection de la façade extérieure, l’extension des vestiaires et la réhabilitation des vestiaires existants. « Nous allons multiplier par deux les vestiaires existants, » indique Jacques Pernet, directeur de la réhabilitation du patrimoine bâti à la ville. « Nous allons également créer des cabines pour les personnes handicapées ».

L’entrée de l’établissement va être « requalifiée » comme l’explique Christelle Petit Gérard, architecte de la ville chargée de ce projet. « Dans le futur établissement, l’entrée se fera rue des Landais, dans l’extension du bâtiment. Nous avons cherché à insérer la piscine dans le site. La façade sera réalisée en bardage de couleur marron. »

Coût total des travaux pour la ville : 1.950.000 euros. Les travaux d’extension ont déjà commencé.

Un bassin en inox

En date du 26 septembre, le conseil d’administration de la REMS a également décidé de la rénovation du grand bassin en carrelage. « En raison du vieillissement, les carreaux de carrelage se décollent, » relève Alain Simon, directeur de la REMS. « Depuis 1981, un texte de loi recommande l’évacuation de l’eau — à 50 % minimum — des piscines par « débordement ». Et non par le fond comme c’est le cas actuellement. »

Il a donc été décidé de créer une cuve en inox avec un système de débordement intégré.

Buses de massage

« Ce système est meilleur pour l’hygiène, cela oblige les saletés à s’écouler sur les côtés. Cela va permettre d’intégrer dans les parois un système d’éclairage du bassin, de même que des buses de massage et un système de nage à contre-courant. »

Désormais, fini le bleu azur de la piscine. Place au gris clair. « C’est une matière très douce, » assure le directeur de la Rems. « Et la piscine du Château d’eau sera la 3e de France à intégrer ce type de cuve en inox. » Coût total des travaux pour la Rems : 600.000 euros pour le bassin et les carrelages, auxquels s’ajoutent 100.000 euros en casiers-vestiaires.

Patricia Buffet

 

Pour les clubs, la solidarité sportive a joué à fond !

 

Septembre 2008 : La piscine Château d’eau fermera ses portes le 24 décembre 2007 pour les rouvrir à la rentrée de septembre 2008.

Solidarité : La piscine accueille une dizaine de clubs locaux ou régionaux qui se partagent les lignes d’eau : RN89, Reims handisports, Reims champagne natation, MJC Croix-Rouge, CHU, DDJS…

« Nous avons discuté avec tous les clubs et trouvé des créneaux sur les autres piscines, » précise Alain Simon, directeur de la REMS. « La solidarité sportive a joué et certains ont raccourci leurs créneaux, d’autres se partageront des lignes… ».

Aquakid : Que les parents se rassurent : l’activité « aquakid » — à la suite des bébés nageurs — sera transférée aux Thiolettes à partir de janvier 2008, sur le même créneau du mercredi matin.

Nocturnes : Les « nocturnes » mises en place le mardi fonctionnent très bien avec en moyenne 4.000 personnes accueillies par saison (record : un peu plus de 200 personnes en une soirée !).

Personnel : Treize personnes composent l’équipe de la piscine du Château d’eau. « Les personnels ont été réaffectés pendant la durée des travaux sur les autres piscines municipales » précise encore le directeur de la REMS.

Surface : La surface existante de la piscine est de 1.346 m2. Après l’extension, elle sera de 1.623 m2.

Renseignements : Pour tout renseignement complémentaire, contacter la piscine du Château d’eau, tel. 03.26.86.18.38.

 

Comment allez-vous vous organiser ?

 

Denis Vadel, 41 ans, responsable piscine

 

Denis Vadel

« Durant ces dix mois de travaux, le personnel — 10 personnes — sera réaffecté dans d’autres sites gérés par la Rems.

Pour les usagers, les piscines les plus proches seront le Nautilud et la piscine Louvois.

La réaffectation des 10 clubs et des scolaires est déjà prévue. Ces travaux, vestiaires anciens et nouveaux, bassin, sont vraiment une nécessité. »

Kamal Larhzizal, 31 ans, salarié (Chamery) :

 

Kamal Larhzizal

« Comme nous habitons à Chamery, la piscine Château d’eau est la plus proche de notre domicile et nous y venons épisodiquement.

Mes filles sont âgées de 3 et 5 ans, l’aînée, inscrite dans un club, commence à apprendre à nager.

Pendant la fermeture, nous irons à la piscine de Louvois, ou peut-être, mais ce sera un peu plus loin, à celle d’Epernay. »

Annette et Sylvie Coquet, 54 et 24 ans (Hauts de Murigny) :

 

Annette et Sylvie Coquet

« Ma fille et moi nageons toujours ensemble. Nous venons à Château d’eau depuis au moins dix ans, tous les jours nous nageons 2 heures, et 4 heures, les mercredis et samedis. Ici c’est très familial, tout le monde se connaît plus ou moins, et les maîtres nageurs nous connaissent bien.

Quand ce sera fermé, nous irons à Nautilud. »

Mikaél et Aurélie Palamaringue, 23 et 17 ans (Châtillons) :

 

Mikaél et Aurélie Palamaringue

« Nous allons quelquefois à la piscine olympique et à Château d’eau chaque week-end. Nous aimons bien cette piscine.

Il y a plusieurs années que nous y venons, c’est ici que nous avons appris à nager.

Durant la fermeture, on aura l’embarras du choix et on découvrira les piscines que nous ne connaissons pas. »

Madeleine Thiennot, 56 ans (Murigny) :

 

Annette et Sylvie Coquet

« Je me le demande, car je ne suis pas une assez bonne nageuse pour aller à Nautilud.

Si la piscine des Châtillons est ouverte le week-end, j’irai.

J’ai appris à nager il y a 25 ans pour soigner mes maux de dos et, comme je nage sur le dos, il me faut des lignes pour me guider, ce qui est le cas à Château d’eau.

Mais les travaux prévus sont justifiés. »

 

 

 

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l’union071024b

Maisons de quartier : ping-pong pour un audit

 

Michel Guillaudeau, conseiller municipal communiste, est têtu : cela fait plusieurs fois qu’il réclame au maire un document, en l’occurrence l’audit portant sur le fonctionnement des maisons de quartier rémoises.

Il avait déjà eu l’occasion de le faire une première fois lors d’un conseil municipal en juin, il a récidivé en septembre.

« Je transmettrai la demande »

A chaque fois, le maire l’envoie sur les roses, arguant du fait qu’il n’est pas le propriétaire du document, mais que ce dernier appartient à l’association qui gère ces maisons.

N’ayant donc pas davantage obtenu satisfaction lors du conseil de septembre, l’opposant communiste a formulé sa demande par écrit, et nous en a adressé une copie, histoire d’accroître la pression si possible.

Selon l’adjoint chargé du dossier des maisons de quartier Franck Noël, « le maire vient de répondre (le 18 octobre) à M.Guillaudeau, en lui disant qu’il venait seulement de recevoir le document officiellement en tant que maire. Auparavant, en effet, s’il l’avait entre les mains, c’était simplement au titre du conseil d’administration de l’association des maisons de quartier.

Cela dit, le bureau de l’association se réunit prochainement, et le maire s’engage à transmettre la demande de M.Guillaudeau à cette occasion. »

Alors bientôt la fin de la partie de ping-pong ?

A.P.

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l’union071024a

Taxe d’habitation : un casse-tête pour les contribuables

 

A Reims, la taxe d’habitation assure 17 % de l’ensemble des recettes de la ville. Christian-Philippe PARIS

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La taxe d’habitation arrive, est arrivée ou arrivera dans les prochains jours dans les boîtes aux lettres. Chaque année, elle entraîne son lot de mécontents.

« BONJOUR, je vous écris pour vous faire part de mon indignation sur la taxe d’habitation à Reims. J’habite le quartier des Châtillons, dans un immeuble de 8 étages et je paie la somme de 715 euros, taxe audiovisuelle comprise. Si je viens habiter dans un quartier comme celui-ci, c’est peut-être que je n’ai pas trop les moyens de payer une telle somme sachant que mon salaire est presque équivalent à cette taxe… La mairie se rend-t-elle compte ? »

Ce courrier témoigne des inquiétudes des Rémois qui reçoivent actuellement leur taxe d’habitation.

Alors comment est calculé cet impôt et à quoi sert-il ?…. Quelques explications autour d’une taxe qui concerne toutes les personnes physiques ou morales qui ont « la disposition ou la jouissance à titre privatif de locaux imposables ».

A Reims, la taxe d’habitation assure 17 % de l’ensemble des recettes de la ville (40 % des recettes fiscales).

Impôt direct local calculé et prélevé par les services fiscaux de l’Etat pour le compte des collectivités locales, il sert, outre le financement général des services de la collectivité à couvrir les dépenses telles que les subventions au monde associatif, les dépenses pour le développement économique de la ville.

Cette année, le taux d’imposition qui s’applique aux bases nettes obtenues après déductions des abattements est fixé à 20,75 % pour la ville de Reims (6,68 % pour le département de la Marne).

« En 2006, ce taux était de 20,55 % », remarquent à la mairie, Guy Blérot, conseiller municipal, rapporteur du budget et Didier Birost, directeur adjoint des finances de Reims. « L’augmentation pour 2007 est donc de 0.97 % ».

Et les deux hommes d’assurer : « Nous sommes toujours attentifs. Et les hausses sont modérées ».

Pour 2008, ce taux ne sera voté qu’après le 16 mars. Élections municipales obligent.

« Une politique fiscale d’abattements »

105.000 contribuables rémois sont concernés par cette taxe. 75 % des ménages disposent d’abattements total ou partiel. « 76.000 foyers bénéficient de manière partielle ou totale d’exonérations », indique Guy Blérot.

« Nous sommes une des 10 premières villes de France qui a les abattements les plus importants », se félicite-t-il.

« Depuis plusieurs années, la ville suit une politique fiscale d’abattements volontairement forte afin d’apporter son soutien à chaque contribuable et plus particulièrement en faveur des personnes disposant de revenus modestes.

C’est pourquoi chaque année, le conseil municipal se prononce sur les taux d’abattements et de forfait qui viennent en réduction de la valeur locative brute ».

(Voir ci-dessous). « Chaque avis d’imposition est un cas unique », confirme Didier Birost.

« Pour le contribuable, comme pour nous, c’est toujours un vrai casse-tête.

Chaque année d’ailleurs, nous avons beaucoup de réclamations. Nous les étudions toutes. Il y a très peu d’erreurs. Mais c’est tellement complexe que les gens sont perdus. La plupart du temps, quelques explications suffisent pour que les contribuables y voient plus clairs ».

Catherine Tellier

 

Quelques pistes pour bien lire son avis d’imposition

 

Comment se calcule l’assiette

Les services fiscaux de l’Etat déterminent l’assiette fiscale en fonction de la surface du logement, de ses éléments de confort tels qu’ils ont été définis en 1970 et également de la situation générale et particulière de l’habitation. Ces coefficients prennent en compte notamment la situation géographique. Chaque logement est ensuite classé dans une nomenclature comportant huit catégories allant de « grand luxe » à « médiocre » valorisé par un tarif au m2 et réactualisé annuellement par le coefficient forfaitaire déterminé par la loi de finances. A Reims cette nomenclature compte 5 catégories. Elle est déterminée à partir de divers éléments comme la présence d’un ascenseur, l’existence d’un chauffage collectif…

Sont ensuite opérées des pondérations. La première pondération consiste à transformer en m2 imposables tous les éléments de confort de l’habitation : soit par exemple 5 m2 pour une baignoire, 3 m2 pour des WC. Une autre pondération intervient ensuite en fonction de l’entretien du logement, de sa situation géographique et divers autres éléments. En dernier lieu, une pondération dite « de situation particulière » prend en compte des données propres au logement comme la vue ou les incidences sonores. Le nombre de m2 ainsi obtenus est multiplié par le tarif communal de référence, c’est-à-dire le prix du mètre carré fixé par la commune de résidence. On obtient alors la valeur locative imposable brute.

Abattements obligatoires et facultatifs

La base nette d’imposition est obtenue après la déduction de certains abattements, notamment ceux qui sont obligatoires pour charge de famille.

A Reims, l’abattement pour charge de famille est de 10 % pour les deux premières personnes et de 25 % pour les personnes suivantes. D’autres abattements sont facultatifs. A Reims, par exemple, un abattement général est appliqué à l’ensemble des contribuables, son montant forfaitaire est de 442 euros soit une réduction de la cotisation à payer de 92 euros pour tous. D’autre part, les personnes à revenus modestes peuvent bénéficier, sous certaines conditions, d’un abattement particulier à la base.

Taux d’imposition

Une fois obtenue la valeur locative imposable nette, il faut la multiplier avec le taux d’imposition déterminé par la collectivité locale de votre lieu de résidence (cette année à Reims, le taux est de 20,75 % contre 20.55 % en 2006). Celui du département est le même que l’année dernière : 6,8 %. A cette cotisation s’ajoutent des frais de gestion prélevés par l’Etat à hauteur de 4,4 %.

 

Un cas d’école

 

« Je ne suis pas contre payer une taxe d’habitation. Mais là, une hausse de 34 %, c’est loin de représenter l’augmentation du niveau d’inflation chère à la classe politique qui d’ailleurs ne l’applique jamais en matière d’impôts ».

Roger (*) est en colère. Il habite un appartement de 150 m2 dans le centre ville de Reims et a vu, en un an, sa taxe d’habitation augmenter de 364 euros. En 2006, le montant de sa taxe d’habitation s’élevait à 1.076 euros. Cette année, il est de 1.440 euros. Ancien banquier, il s’interroge : « La dernière réforme fiscale de l’impôt sur le revenu annonçait un bénéfice plus ou moins significatif pour le contribuable. On nous a beaucoup relaté les mérites de cette mesure. Mais on a omis de signaler les effets néfastes qu’elle pouvait avoir sur la taxe d’habitation de certains citoyens et en particulier ceux bénéficiant d’un dégrèvement basé sur le revenu fiscal ».

Roger avance une explication : « Le revenu fiscal de référence utilisé comme base pour l’élaboration de la taxe d’habitation, (NDLR revenu égal pour la plupart des contribuables au revenu net imposable) est nettement plus élevé en 2007 qu’en 2006 en raison de la suppression de l’abattement des 20 %. Résultat : mon impôt sur le revenu a baissé de 79 euros mais l’allégement sur la taxe d’habitation auquel j’avais droit jusque-là mais qui est fonction du revenu fiscal de référence, a aussi été supprimé. Cet abattement était de 318 euros. Ajoutez au passage un petit prélèvement de 10 euros supplémentaire pour valeur locative élevée et l’augmentation des divers pourcentages et voilà comment vous vous retrouvez avec une augmentation de 364 euros ».

A la mairie, Guy Blérot et Didier Birost ne sont pas satisfaits de cette explication. « La suppression de cet abattement ne peut pas avoir un effet si important », expliquent-ils. « D’ailleurs, en 2005, l’avis d’imposition de ce contribuable était pratiquement équivalent à celui de 2007. Nous pensons plutôt qu’il s’agit d’un effet de seuil. Ce contribuable a certainement baissé d’une tranche en 2006 ; tranche qu’il a refranchie en 2007 ».

C.T.

(*) Roger est un prénom d’emprunt.

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l’union071023b

Les sciences à Georges-Braque

 

Pour la 16e édition de la fête de la Science, le collège Georges-Braque s’est très fortement investi mercredi dernier.

Le matin, deux professeurs et la documentaliste ont reçu les élèves des six classes de CM2 du secteur du collège.

Chaque écolier a participé à deux de ces ateliers :

- « As-tu nourri ta levure ? »,

- « Quel est cet arbre ? »,

- « Un petit qui ne ressemble pas à ses parents » et

- « Quel est le point commun entre une grenouille et un oignon ? »

Tous les cours ont été remplacés par des interventions à caractère scientifique selon un menu impressionnant, avec des professeurs mobilisés et des intervenants prestigieux.

Enfin, une conférence « Donner son sang pour sauver une vie » a été proposée aux adultes par M. Legrelle, maître de conférences de physiologie animale à l’UFR Sciences exactes et naturelles de Reims.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071023a

Un conseil municipal vite expédié

 

Il aura fallu moins de 90 minutes aux élus rémois pour examiner hier soir les 77 questions inscrites à l’ordre du jour d’un conseil municipal où l’on a appris pourtant plein de choses au détour de questions diverses.

…….

C’est le communiste Michel Guillaudeau qui a ensuite été taclé alors qu’il demandait le fameux audit sur les maisons de quartier. « Ce n’est pas à M. Noël adjoint à vous le procurer car il a été commandé par l’association des maisons de quartiers. »

Puis dans la foulée, à des inquiétudes formulées par l’opposition sur le contenu de la rénovation urbaine en 2008-2011 sur le quartier croix Rouge où les habitants craindraient la suppression d’espaces verts et de places de parking près de l’école Gilberte et Jean Droit, le maire a tenu à faire passer un message : « On a reconstruit plus de logements sociaux qu’on en a détruit. Ne soyez pas porteurs de mauvaises nouvelles. Je me demande d’ailleurs si les rumeurs ne sont pas portées par des élus. Et de se faire rassurant : il y aura une discussion avec la commission d’urbanisme et pourquoi pas une discussion avec les habitants. Il y a aussi d’autres sujets à aborder. »

……

À suivre.

Alain Moyat

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE

Offres parues le 22/10/2007 dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 


 

SCI STRADIS/CONSTITUTION

S.E.L.A.R.L. J.-P. CHINCHILLA

CABINET DE DROIT DES AFFAIRES

Société d’Avocats à la Cour d’Appel de Reims

31 avenue Jean Jaurès

51100 REIMS

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 10 octobre 2007, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION SOCIALE : STRADIS.

FORME SOCIALE : Société civile immobilière.

SIEGE SOCIAL : Allée des Landais - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Acquisition d’un terrain, exploitation et mise en valeur de ce terrain pour l’édification d’un immeuble et l’exploitation par bail ou autrement de cette construction qui restera la propriété de la société, éventuellement et exceptionnellement l’aliénation du ou des immeubles devenus inutiles à la société, au moyen de vente, échange ou apport en société.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 1.000 €, constitué uniquement d’apports en numéraire.

GERANCE : Monsieur Eric PLACET, demeurant 23 rue des Templiers - 51100 REIMS.

CLAUSES RELATIVES AUX CESSIONS DE PARTS : Dispense d’agrément pour cessions à associés, conjoints d’associés, ascendants ou descendants du cédant et agrément des associés représentant au moins les trois quarts des parts sociales pour cession à des tiers.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

59407

La gérance.

AGRIBAT SARL-CONSTITUTION/SARL RS ASSOCIES

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 19 octobre 2007, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION SOCIALE : AGRIBAT.

FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.

SIEGE SOCIAL : 49 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Maçonnerie, bâtiment.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 6.000 €.

GERANCE : Monsieur Tastan YILDIRIM, demeurant 61 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

59337

Pour avis.

ADA-BATI SARL-CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 27 septembre 2007, il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : S.A.R.L.

DENOMINATION : S.A.R.L. ADA-BATI.

CAPITAL : 15.000 €, divisé en 1.500 parts de 10 € chacune, entièrement souscrites et libérées.

OBJET : Bâtiment général, maçonnerie, béton armé et second œuvre.

DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.

SIEGE : 37 esp. Eisenhower - 51100 REIMS.

GERANCE : Monsieur BAYARTAN Sores, demeurant 37 esp. Eisenhower - 51100 REIMS.

DEBUT D’ACTIVITE : Dès que la société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS (Marne).

59333

Pour avis : Le gérant.
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l’union071022a

Bataille rangée à Croix-Rouge

 

La soirée de samedi a très mal commencé à Croix-Rouge. Il était environ 19 h 30 au magasin Shopi du centre commercial Croix-du-Sud quand l’ambiance a basculé. Et comme tout samedi soir, il y avait encore du monde dans le magasin.

Trois clients pas comme les autres s’y sont réfugiés pour, semble-t-il, fuir une bande d’assaillants. Le refuge n’a pas été efficace, puisque leurs poursuivants au nombre d’une quinzaine sont venus les y chercher de force.

Les deux groupes sont ensuite allés se battre dans les sous-sols du Shopi. Selon plusieurs témoins, il s’agissait de jeunes de Croix-Rouge contre d’autres de Pays-de-France.

Les coups échangés ont été si violents que l’un des fuyards est tombé dans le coma. Il s’en tire finalement avec un traumatisme crânien.

Les agresseurs se sont sauvés avant l’arrivée de la police. Aucune interpellation n’a encore eu lieu, mais les policiers auraient des pistes à exploiter. Ils n’ont pas souhaité communiquer sur cette affaire.

C.F.

l’union071023c

Rixe à Croix-du-Sud : la victime opérée hier

 

La principale victime de la bataille rangée survenue samedi soir au centre commercial Croix-du-Sud (notre précédente édition) a été opérée hier au service de neurochirurgie du CHU.

Les policiers n’ont pas encore pu l’auditionner. Agé de 20 ans, le jeune homme a repris conscience et ses jours ne semblent pas en danger.

Lui et deux camarades ont été pourchassés jusque dans un magasin par une quinzaine d’individus avec lesquels ils se sont ensuite battus dans les sous-sols.

Un contentieux entre les deux groupes serait à l’origine de ce déchaînement de violences. La police enquête.

l’union071027b

Raid punitif à Croix-Rouge : deux suspects en prison

 

Deux jeunes gens ont été écroués après la violente rixe de samedi dernier à Croix-du-Sud. Il s’agit d’une vengeance entre quartiers. La principale victime tabassée par la bande avait agressé la veille l’instigateur des représailles.

L’ENQUÊTE de police sur la violente agression commise samedi dernier par une bande à l’intérieur même du magasin Shopi de la place Auguste-Rodin (nos précédentes éditions) a donné ses premiers résultats avec l’incarcération jeudi soir de deux auteurs présumés.

Une rivalité entre certains jeunes des secteurs Croix-du-Sud et Pays-de-France, deux sous-quartiers de Croix-Rouge, est à l’origine de ce qui apparaît comme une véritable expédition punitive ayant visé deux garçons qui avaient eux-mêmes commis des violences la veille.

Coursés au magasin

Tout commence le 19 octobre en marge d’un concert de rap à Croix-du-Sud. Un jeune du quartier en interpelle un autre des Pays-de-France en lui faisant remarquer qu’il n’est pas chez lui ici, que ce n’est pas son territoire, qu’il n’a rien à y faire.

Le « Francilien » se prend une volée du « Sudiste » administrée avec la complicité d’un copain. Au lieu de porter plainte, la victime décide de régler ses comptes elle-même.

Le lendemain samedi, les deux jeunes de Croix-du-Sud s’attendent à avoir des nouvelles de leur adversaire. L’un d’eux se munit d’un bâton en bois, au cas où. Il ne lui sera d’aucune utilité face à la riposte qui se prépare.

Vers 18 heures, une douzaine d’individus portant écharpes et casquettes surgissent au centre commercial Croix-du-Sud avec barres de fer et battes de base-ball.

Ils s’échauffent à la boulangerie « Les Fruits de la Moisson » où ils balancent des tartes sur les murs et saccagent diverses viennoiseries avant de repérer et de se lancer aux trousses des deux garçons.

Ces derniers se réfugient au Shopi. La bande attend à l’extérieur. Comme personne ne ressort, elle s’engouffre dans le magasin. Le vigile est débordé par la meute qui retrouve ses proies à l’intérieur de la réserve. Les deux fuyards escomptaient s’enfuir par une porte de service donnant à l’arrière. Ils n’en ont pas le temps.

15 heures de coma

Le principal auteur de l’agression de la veille devient la principale victime. Coups de poing, coups de pied, coups de bâton et de barre de fer s’abattent sur lui alors qu’il est au sol. Il est inconscient lorsque la bande s’enfuit.

Souffrant d’un léger enfoncement de la boîte crânienne, il passe quinze heures dans le coma avant de subir une longue intervention neurochirurgicale.

Son rétablissement est spectaculaire car moins d’une semaine après l’agression, il a déjà repris tous ses esprits et peut discuter sans difficulté. Son copain, plus légèrement blessé, n’a pas souhaité porter plainte. Saisie de l’enquête, la brigade de répression des violences de la sûreté départementale de Reims a rapidement orienté ses investigations du côté des Pays-de-France.

Mercredi, elle a interpellé l’instigateur de l’expédition punitive et un complice présumé. Agés de 19 et 21 ans, ils ont été mis en examen et écroués. L’instigateur a reconnu les faits mais nie avoir recruté autour de lui pour aller en découdre avec son adversaire. Le second conteste tout : il était informé du projet de vengeance mais n’y aurait pas participé. L’enquête se poursuit pour tenter d’identifier les autres membres de la bande.

F.C.

l’union071029c

Croix-Rouge : un 3e homme écroué

 

Un troisième jeune homme a été déféré au parquet puis présenté au juge de la détention et des libertés, samedi, à la suite d’une violente rixe qui avait opposé des jeunes, dans le quartier Croix-du-Sud, le samedi précédent (l’union du 27 octobre).

À l’instar de deux autres jeunes interpellés par la police puis mis en examen et écroué, le 3e jeune a été écroué samedi.

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Matot Braine071021a

La Fondation Vinci fait un don à Bâtiment Services

 

Filiale du groupe de BTP Vinci, Sotram est implantée dans la Marne et dans l’Aube (ici, le site de Vailly).

Article paru dans le journal "Matot Braine ENTREPRISES" du 3 AU 9 SEPTEMBRE 2007 - N° 7201 (Journal hebdomadaire régional habilité par arrêté préfectoral à publier les annonces légales dans les départements des Ardennes, de l’Aube et de la Marne.)

Construction. Le grand groupe de BTP, via sa filiale à Epernay et de Vailly, la Sotram, a noué des relations avec une entreprise d’insertion rémoise.

La Fondation d’entreprise Vinci Pour la Cité a remis un chèque de 15000 € à Bâtiment Servi¬ces, une entreprise d’insertion rémoise spécialisée dans les travaux de peinture et de finition. Ce don a permis à cette société d’acquérir trois véhicules d’occasion. Bâtiment Services emploie actuellement treize personnes. Elle s’adresse en particulier aux bénéficiaires du RMI ou d’une aide sociale, la plupart du temps chômeurs de longue durée. Son but est de les accompagner vers un retour à l’emploi tout en leur apprenant un métier.

Finaliste régional du concours Talents de la création d’entreprise2007, Bâtiment Services peut compter sur l’appui de deux entreprises locales qui la font travailler en sous-traitance : l’entreprise Maurice Marchand et la SAS Gendarme. Une troisième vient s’ajouter à cette liste, et non des moindres, puisqu’i s’agit la Sotram.

LA MAÇONNERIE AUSSI

Implantée à Epernay et à Vailly, près de Troyes, la Sotram (Société de Travaux Marnais) est une filiale de Vinci Construction France Est. C’est son directeur, Luc Lenfant, qui a servi d’intermédiaire entre la Fon¬dation Vinci et Bâtiment Services, et piloté toute l’opération. Pour Luc Lenfant, un véritable partenariat doit s’établir entre sa société de gros œuvre et l’entreprise d’insertion.

« Nous lui confierons bien sûr ponctuellement des chantiers en sous-traitance, explique le directeur d’agence. Mais, plus important encore, nous allons l’aider à ajouter une corde à son arc, en se diversifiant dans la maçonnerie. La Sotram a toujours été sensible au volet insertion, mais c’est difficile à mettre en oeuvre dans le cadre d’un appel d’offres classique, en raison notamment des contraintes de délais ».

Rachetée en 1990 par le groupe Vinci, la Sotram est spécialisée dans le génie civil industriel et bâtiments publics. Outre un important portefeuille de clientèle dans l’agro-alimentaire et général et le champagne en particulier (elle travaille actuellement sur les sièges de Piper-Heid¬sieck et de Laurent-Perrier), la Sotram procède en ce moment à la reconstruction de la piscine de La Chapelle-Saint-Luc, dans l’Aube. Tournant avec un effectif de 80 à 100 personnes sur ses deux sites, elle est intervenue sur des chantiers tels que l’aéroport de Van-y, l’usine de diester à Nogent-sur-Seine ou la malterie de Vitry-le-François.

FRÉDÉRIC MARAIS

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Note de l’Etoile Croix du Sud :

« Talents » de l’Économie sociale

BATIMENT SERVICES - Monsieur Philippe Mouton,

3 Allée des Limousins

51100 Reims

Tel : 03.26.77.18.87

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l’union071020c

Les travailleurs maghrébins fêtent l’Aïd

 

Une fête en musique.

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L’association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) a fêté samedi 13 octobre l’Aïd el-Fitr, la fête marquant la rupture du jeûne du mois de ramadan pour les musulmans, avec les habitants du quartier, dans une ambiance familiale et conviviale : « Un groupe de musique constitué de jeunes de Reims et de Paris a animé cette journée et une partie de la soirée, jusqu’à 21 h 30 au 6, allée des Picards » précise Mohammed El Haddaoui, président.

Pour l’ATMF, cette journée, un moment fort d’entraide et de solidarité, fut l’occasion de réunir des jeunes de province (Reims) et des jeunes de banlieue (Paris) « pour échanger leurs compétences, partager leur savoir et travailler ensemble pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans leurs quartiers. »

 

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l’union071020b

Vols par ruse à la maison de retraite : une femme enceinte arrêtée

 

Le culot des voleurs par ruse sévissant au préjudice des personnes âgées est bien connu.

Interpellée cette semaine par la sûreté départementale du commissariat de Reims, une femme de 26 ans a poussé le toupet jusqu’à choisir ses victimes à l’intérieur même d’une résidence pour personnes âgées, non seulement à trois reprises mais de surcroît alors qu’elle était enceinte de six mois.

Sa grossesse faisait justement partie du stratagème pour abuser les trois vieilles dames hébergées pour deux d’entre elles à la résidence Maurice-Utrillo de l’Arfo, l’Association rémoise des foyers logements pour retraités qui comprend une dizaine d’établissements à Reims, notamment la résidence Avranches où demeure la troisième victime.

Les foyers de l’Arfo accueillent des personnes âgées autonomes disposant chacune d’une chambre. L’accès est libre en journée, une opportunité exploitée par la voleuse pour accéder à ses victimes.

Le premier vol commis à la résidence Avranches remonte au 19 ou au 20 septembre. La jeune femme s’est introduite dans la chambre d’une octogénaire en se faisant passer pour une employée de France-Télécom.

Elle a demandé un verre d’eau, grossesse oblige, et a profité d’un moment d’inattention de la dame pour lui dérober 200 €.

Poussée sur le lit

Deux faits similaires ont suivi le 21 septembre à la résidence Utrillo mais la seconde victime âgée de 80 ans a pris la voleuse sur le fait.

Elle a voulu actionner l’alarme directement reliée au bureau de la directrice. Pour l’en empêcher, la jeune femme l’a poussée sur le lit et a pris la fuite avec 40 €.

Elle avait dérobé 3.000 € en bijoux chez l’autre résidante.

« Nous ne savions pas qu’il y avait eu des vols avant », explique Chantal Laurent, directrice de la résidence Utrillo.

« Nous avons diffusé l’information. C’est ainsi que deux autres résidantes, ici et à Avranches, se sont rendues compte qu’elles avaient été victimes de la même personne. Cette dame toquait aux portes. Elle prétendait venir vérifier le téléphone car il grésillait. »

Elle fait un cadeau à sa voleuse

Saisis de l’enquête, les policiers de la brigade des affaires générales ont multiplié les investigations permettant d’aboutir mardi matin à l’interpellation de la jeune femme.

La piste était la bonne. Reconnue par les retraitées, elle avait gardé une paire de chaussons pour bébé que l’une des victimes au grand cœur lui avait offerte, attendrie par la naissance à venir…

Des bijoux ont été retrouvés, pas ceux des trois plaignantes (y aurait-t-il des victimes non identifiées ?). Sans doute ont-ils été revendus mais la jeune femme n’a apporté aucune explication.

Elle a tout nié malgré des preuves accablantes.

Sa grossesse lui a certainement évité de ressortir du commissariat menottes aux poignets pour une destination ombragée.

Elle a été remise en liberté avec une convocation à l’audience du tribunal correctionnel de Reims le 7 février prochain.

L’importance de la prévention

Le principe des foyers logements pour personnes âgées est tout le contraire d’un établissement fermé. Les pensionnaires sont des gens valides, du moins autonomes, qui sont libres de leurs mouvements.

C’est pour cette raison que les résidences Arfo sont ouvertes en journée. « Nous ne sommes pas une prison. On ne ferme qu’à partir de 8 heures du soir. Et puis en journée, il y a trop de personnes qui viennent, notamment les infirmières ou les aides ménagères, pour que nous puissions fermer », explique la directrice de la résidence Maurice-Utrillo, Chantal Laurent.

Dans tous les établissements de l’Arfo, l’accent est donc mis sur la prévention. « Nous rappelons les consignes par affichage. On demande aux résidants de fermer leur chambre à clef, de ne jamais ouvrir à des personnes qui n’ont pas été annoncées. Chaque visite extérieure fait l’objet d’une information préalable, comme par exemple le relevé des compteurs d’eau. »

Ces précautions n’ont malheureusement pas empêché la voleuse de faire trois victimes. « Elle savait les prendre par les sentiments », explique Mme Laurent. « Il a fallu les réconforter. Elles culpabilisaient d’avoir fait confiance à une personne alors qu’elles n’auraient pas dû. J’ai accompagné mes deux résidantes pour la confrontation au commissariat. Cela leur a fait du bien de savoir à qui elles avaient eu affaire. Nous sommes très satisfaits du travail de la police. »

Des conférences à destination des personnes âgées pour les mettre en garde sur les vols par ruse sont régulièrement organisées par les bureaux de police des quartiers. A la demande de la résidence Utrillo, il y en aura prochainement une dans ses locaux.

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l’union071020a

Immeuble enfumé : un incendiaire condamné

 

Trois ans après, l’un des auteurs d’un incendie qui avait provoqué de gros dégâts place Dominique-Ingres (photo d’archives) a été condamné.

Tribunal correctionnel de Reims : L’affaire fit grand bruit à l’époque place Dominique-Ingres, au quartier Croix-du-Sud.

Le 2 février 2004, vers 23 h 30, un premier conteneur était incendié dans le local à vide-ordures du n°10, enfumant la cage d’escalier jusqu’au quatrième et dernier étage.

Trois suspects vus en train de s’enfuir étaient rattrapés par la police. Il s’agissait de deux mineurs de 14 et 15 ans et d’un copain alors âgé de 21 ans.

Malgré ces trois interpellations, un deuxième feu de poubelles était allumé une heure plus tard au rez-de-chaussée de l’immeuble.

La fumée envahissait cette fois-ci tous les appartements. Une jeune locataire prise de malaise avait dû être évacuée à l’hôpital par les pompiers.

Là également, une surveillance policière du secteur permettait l’interpellation d’un incendiaire, un adolescent de 15 ans dont le frère mineur… figurait parmi les trois interpellés du premier feu.

Trois ans après, le seul majeur de la bande était convoqué au tribunal pour répondre de cette affaire mais Fabrice Thiefin, impliqué dans le premier feu, n’est pas venu alors qu’il se trouve pourtant sous contrôle judiciaire. Il a été condamné à six mois de prison avec sursis. D’après l’enquête, c’est lui qui avait enflammé le conteneur dans le local à vide-ordures avec un briquet prêté par l’un des mineurs.

F.C.

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lhebdoduvendredi071019b

Conférence-débat

 

L’association nationale des Panthères Grises de France et l’association 3F (Femmes d’aujourd’hui et Femmes de demain) vous invitent à une conférence-débat ayant pour thème « vieillir aujourd’hui », le lundi 22 octobre à 14h à la Maison de quartier Croix-Rouge, Espace La Nacelle, 3 rue du Dr Billard à Reims.

Dans l’actualité des problèmes liés à la vieillesse, une réflexion sera menée avec l’aide du public présent.

Renseignements au 06 07 96 56 72 ou03 26 08 22 10 ou sur

femmes.trois@laposte.net

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lhebdoduvendredi071019a

Spectacle bilingue

 

Un spectacle mêlant langues des signes et paroles, monté par la compagnie « La main tatouée » sera joué samedi 20 octobre à 14h à la médiathèque Croix- Rouge puis à 17h30 à la médiathèque Jean Falala.

Ce spectacle fait de mime, danse et jeux de mains s’adresse à un public mixte, sourd, malentendant et entendant, il peut être vu en famille.

Entrée libre.

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l’union071018c

 

 

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site Internet de REIMS HABITAT (www.reims¬habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 57 à 59 du C.M.P.

3. Objet des marchés : marchés de travaux : exécution ; isolation extérieure de la Tour 1 allée A.-Watteau à Reims.

4. Nombre et consistance des lots : 1. Lot unique.

  • Lot 1 : isolation extérieure.

5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.

6. Délai d’exécution : 10 semaines (non compris la période de préparation de 30 jours, et les intempéries de 30 jours).

7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du Code des marchés publics.

8. Critères d’attribution de l’offre :

  • Prix des prestations : 80 %,
  • Valeur technique : 20 %.

9. Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.

10. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site (->www.reims-habitat.fr]

11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims. Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site www.reims-habitat.fr - rubrique marchés publics.

12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.32, fax 03.26.48.43.40.

13. Date limite de remise des offres : lundi 5 novembre 2007 à 17 heures.

14. Date d’envoi de l’avis à la publication : 15 octobre 2007.

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l’union071018b

CROIX-ROUGE : Jeunes de Pays-de-France : le local de l’espoir

 

Karim Amry et Youssef Znati ont accueilli les personnalités pour l’inauguration.

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L’association « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » a inauguré son local au 1, allée des Béarnais, un local aménagé par le Foyer rémois, avec en particulier un bureau et deux salles de réunion et de travail, l’une d’elles déjà « meublée » d’ordinateurs prêts pour le soutien scolaire.

Il en a coûté 30.000 euros à l’organisme logeur pour tenir la promesse faite d’un local pour ces jeunes pleins d’enthousiasme et de projets, derrière leur président Karim Amry et le vice-président, Youssef Znati.

Christophe Faber, directeur de la clientèle, l’a rappelé : « Ce local tant attendu par les jeunes du secteur est la concrétisation d’un espoir pour Pays-de-France. Devant votre motivation et votre implication, le Foyer rémois est fier d’accueillir votre structure dans son patrimoine. »

La mairie, qui subventionne, était représentée par l’adjoint Ahmed El Mcherfi : « Votre association porte bien son nom car nous mettons précisément beaucoup d’espoirs en vous ! »

L’un des premiers gestes de « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » a été d’accueillir dans ses locaux flambant neufs une toute jeune association, à majorité féminine, « La lumière de l’obscurité » , qui œuvre en faveur des enfants du Niger : « Vous démontrez ainsi à quel point le jeunesse peut être un élément de cohésion, une richesse supplémentaire pour la ville » déclarait à ce propos Adeline Hazan, accompagnée du conseiller général Éric Quénard.

Les coordonnées de l’association : association « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » , 1 allée des Béarnais. Tél. 03.26.85.47.22.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071018a

Une opposition aux opposants au tramway

 

Hugues Lebailly, président de l’association des piétons et des usagers des transports collectifs de Reims et de ses environs (membre de la FNAUT et des Droits du Piéton), l’APUTCRE, répond à un courrier publié récemment dans l’union.

« Combien de temps encore les opposants au tramway vont-ils rabâcher les mêmes contrevérités ?

Si C. Fresnet (l’union du lundi 15 octobre 2007) s’informait un tout petit peu mieux, il saurait :

- que l’enquête d’utilité publique de la première ligne de tramway de Reims a eu lieu du 18 juin au 27 juillet, et qu’il ne reste plus qu’à attendre que le commissaire enquêteur nommé par le préfet rende ses conclusions, ce qui ne saurait plus tarder. Sachant que dans aucune ville de France, un projet de ligne de tramway n’a été bloqué par un avis négatif …

- que l’enquête publique sur la révision du Plan de déplacement urbain en cours (du 12 octobre au 13 novembre) est d’un grand intérêt pour l’avenir de notre agglomération, mais ne saurait en aucun cas remettre en cause le tramway.

- que la décision de réaliser le tramway a été prise par tous les maires et les conseillers communautaires de l’agglomération à l’unanimité (moins quatre abstentions), et non par « le maire de Reims et ses conseillers ».

- que si le projet devait être arrêté maintenant, les ménages soumis aux impôts locaux devraient payer plus de 100 M€ de dédit et frais déjà engagés pour ne rien avoir, comme en 1991. Sinon, l’agglomération remboursera pendant trente ans au groupement MARS, sur le versement transport et la taxe professionnelle payées par les entreprises, une part de l’investissement que celui-ci aura intégralement financé au départ (sans aucun endettement de la ville de Reims, ni de l’agglomération).

Mais il n’est pire sourds que ceux qui ne veulent pas entendre et ressassent sans fin les mêmes contre-vérités …

aputcre@free.fr

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l’union071017d

Futsal : neuf maisons de quartier en tournoi

 

C’est la première fois à Reims qu’un projet sportif fédère autant de maisons de quartier. En effet, 9 structures sur 14 vont participer à une activité de futsal (football en salle). La finale se déroulera au mois de juin.

A compter de ce mercredi 17 octobre, tous les mercredis de 15 à 18 heures des jeunes issus de 9 maisons de quartier de Reims vont se retrouver dans 4 gymnases de Reims (Barbusse, Richelieu, Trois-Fontaines, Roland-Bourgoin) afin de pratiquer du futsal).

Une fois par mois, les équipes se rencontreront sous forme de challenge. La 1ére de ces rencontres aura lieu le mercredi 14 novembre.

Pour l’instant 9 maisons de quartier sur 14 soit 70 à 90 jeunes ont répondu positivement à cette action : Maison-Blanche, Orgeval, Chalet Tunisie, Epinettes, Wilson, Croix-Rouge, Cernay Europe, Châtillons, Clairmarais.

Cette activité est encadrée par les animateurs des maisons de quartier avec le soutien de deux éducateurs sportifs de la ville spécialisés en football.

L’objectif est de faire participer l’équipe vainqueur de ce challenge à celui organisé par le département la saison prochaine.

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l’union071017c

Feux de voitures

 

Une Ford Escort volée a été incendiée lundi soir au quatrième et dernier niveau d’un parking souterrain de la place Georges-Braque.

Alertés à 20 heures, les pompiers ont dû progresser dans les sous-sols pour localiser l’incendie (la fumée est remontée jusqu’aux étages supérieurs).

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l’union071017b

Un enfant blessé sur une mini-moto

 

Lundi vers 17 h 45, un enfant circulant sur une pocket-bike (mini-moto) n’a pas respecté un stop rue Adrien-Sénéchal aux Hauts-de-Murigny.

Une voiture n’a pu l’éviter. Souffrant d’une fracture à la jambe, le mineur a été évacué sur l’hôpital par les pompiers avec le concours du Samu.

Cet accident survient en pleine semaine de la sécurité routière pendant laquelle les intervenants ne vont pas manquer de rappeler aux jeunes gens que la circulation des mini-motos est interdite sur la voie publique.

Une heure avant l’accident de la rue Adrien-Sénéchal, une collision impliquant deux voitures s’était produite juste à côté au rond-point des avenues Kœnig et du Maréchal-Juin (l’union d’hier).

La personne blessée est la conductrice d’une Seat percutée à l’arrière par une Laguna. Agée de 35 ans, la dame se plaignait de douleurs au cou, au visage et au bas du dos.

Hier vers 13 heures, un cycliste de 14 ans s’est blessé lors d’une chute rue Danton.

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l’union071017a

Le RHM à l’affût des rendez-vous majeurs

 

L’ossature ne cesse de se rajeunir.

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Outre une équipe de nationale 1 B hommes inscrite au championnat de France des clubs, le Reims haltérophilie musculation aura deux équipes féminines seniors (l’une d’entre elles avait fini 2e l’année dernière), deux équipes juniors hommes et une équipe cadets hommes pour la coupe de France des clubs.

C’est donc une saison riche qui s’annonce pour le RHM, dont l’ossature ne cesse de se rajeunir.

« Nous avons plein de jeunes de Croix-Rouge et ceux envoyés par la Ligue de l’enseignement. Et on poursuit nos partenariats avec le collège François-Legros avec lequel on a créé une section sportive qui permet aux élèves de pratiquer l’haltérophilie pendant les heures d’éducation physique et sportive et le mercredi après-midi en sport scolaire », explique David Baechler, entraîneur. Les loisirs ne sont guère oubliés. Le RHM leur propose une activité basée sur la musculation sportive et d’entretien.

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l’union071016h

Pouvoir médiatique

 

On ne soupçonne pas assez l’étendue du pouvoir des journalistes. Des habitants du quartier Croix-Rouge signalaient la semaine dernière un problème de chauffage.

Quand un journaliste de notre titre est arrivé, miracle ! le chauffage venait de se remettre en marche ! Et le plus fort, c’est que dès qu’il a quitté l’appartement, le chauffage a été à nouveau coupé ! En tout cas, c’est ce qu’affirment les locataires…

Conclusion, si vous voulez avoir bien chaud l’hiver, invitez des journalistes à la maison !

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l’union071016g

Le souvenir du Dr Crochet

 

Suite à l’article de l’union du 12 octobre sur le fanion de la Croix Rouge, Jacques Pernet souhaite rappeler le souvenir du Docteur Crochet.

« En effet, dès l’installation en 1933 de l’Hôpital général au lieudit « Maison Blanche », le Dr Crochet, médecin militaire pendant la 1re guerre mondiale eut l’idée de créer un aérodrome sanitaire à proximité de cet hôpital et de l’hôpital américain. Un terrain en bordure de Bezannes et de l’avenue d’Epernay fut réservé pour des travaux dans les années 1935.

En février 1936, Marcel Deat, ministre de l’Air, vint visiter cet aérodrome dit de Bezannes ou de la Maison Blanche, siège des Ailes Rémoises dont le Docteur Crochet était le président. Le but de cette visite était de créer sur ce terrain l’aéroport de Reims.

Le 28 juin 1936, était inauguré le centre aéro-médical. Le président Crochet était en Afrique avec son avion sanitaire baptisé Champagne et était représenté par le vice-président Derungs. Lors de la promotion Princesse de Polignac en juin 1938, le fanion remis maintenant au musée de la B.A. 112 avait été donné à Melle Mathieu en présence de nombreuses personnalités aéronautiques dont Mme Bleriot.

Soixante-dix ans ont passé, mais qui se souvient des vols des enfants atteints de la coqueluche dans l’avion du docteur Crochet.

En juillet 1939, le docteur Crochet avait accueilli l’empereur d’Annan S.M. Bao Daï sur cet aérodrome. Après la guerre, les Ailes Champenoises fusionnèrent avec l’aéroclub de Champagne et le terrain incorporé à la ZUP Croix Rouge. »

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l’union071016f

Feu de friteuse

 

Hier vers 13 h 30, les pompiers ont été appelés pour un « feu d’appartement » allée des Bourguignons, au rez-de-chaussée du n°6.

Il s’agissait en fait d’un feu de friteuse éteint par des voisins avant l’arrivée des secours.

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l’union071016e

Comment bien vieillir aujourd’hui

 

L’association nationale des Panthères grises de France inaugure lundi 22 octobre à 14 heures l’association 3F : « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » en présentant une conférence débat sur le thème « vieillir aujourd’hui » dans les locaux de l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du docteur-Billard.

« Dans l’actualité des problèmes lancés liés à la vieillesse, nous vous proposons une réflexion sur ce sujet qui nous interpelle tous » explique Renate Gossard, présidente de l’association 3F : « les décideurs politiques, les acteurs sociaux, les professionnels de la vieillesse, les familles et les aidants feront part de leur expérience et de leurs actions. »

Renseignements : « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » Renate Gossard Tél. 03.26.08.22.10. ou 06.07.96.56.72.

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l’union071016d

Des logements adaptés aux handicapés ou seniors

 

Plurihabitat — l’Effort rémois vient de lancer un marché de travaux de rénovation de logements pour des personnes handicapées ou âgées à Reims, suivant un avis d’ergothérapeute.

« L’appel d’offres en cours est une consultation pour établir un (des) marché(s) à bon de commandes et par la même occasion négocier des prix intéressants en fonction d’un volume de travaux estimés » précise Patrick Sommet, directeur clientèle. Connaissant les prix unitaires du marché à bon de commande, Plurihabitat — l’Effort rémois pourra établir plus rapidement des devis et lancer les travaux dans des délais plus courts « avec la préoccupation de toujours améliorer notre qualité de service ».

A la question de savoir où de telles adaptations sont programmées, il est répondu qu’il n’y a pas, pour l’instant, de liste de logements préétablie : « Les interventions des entreprises se feront au coup par coup, suite aux demandes de nos clients (d’où l’avis d’une ergothérapeute) et suite à des libérations de logement identifiées comme étant adaptables pour des personnes à mobilité réduite. Pour info nous aurons réalisé, fin 2007, l’adaptation d’une centaine de logements. »

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l’union071016c

La médaille Jeunesse et Sports pour une vie consacrée à la danse

 

Une reconnaissance amplement méritée.

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Virginie Delauzun, responsable de la section danse à l’Association Croix-Rouge animation et promotion, a été décorée jeudi 11 octobre à Saint-Memmie, de la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports pour les nombreuses années qu’elle a consacrées à la danse.

Elle a débuté comme danseuse à l’âge de 6 ans avec Nicole Noizillier puis avec Pascal Marloy, Premier danseur au Grand-théâtre de Reims. Celui-ci pour des raisons professionnelles, devait quitter Reims et repasser la main à Nicole Noizillier jusqu’en 1985. Avant de partir, cette dernière a formé Virginie pour lui succéder.

22e saison

Il va sans dire qu’à 16 ans seulement, les débuts furent difficiles, mais c’était sans compter sur sa détermination et l’enthousiasme de la jeunesse : elle sut faire face. Depuis, bien des danseurs et danseuses ont été formés au sein de cette école (un bon millier au moins). Certains ont quitté l’association pour entrer au Conservatoire.

Le premier gala de Virginie Delauzun eut lieu en 1986 dans la salle du centre social Croix-Rouge. D’autres représentations se déroulèrent sur un podium érigé au centre de la fête foraine du quartier. Il y eut aussi la salle François-Mauriac ainsi que certaines maisons de retraite.

En 1989, elle prenait enfin possession du théâtre du Chemin-Vert où elle se produit toujours au mois de juin. Seule la réfection de celle-ci l’a obligée, pendant plusieurs années, à s’installer en la salle des fêtes de Tinqueux.

Virginie Delauzun entame cette année sa 22e saison à l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) où elle anime la section danse. On peut l’y rencontrer avec ses élèves chaque mercredi de 14 à 20 heures.

Prochain gala de danse classique, moderne et folklorique au théâtre du Chemin-Vert, dimanche 17 juin.

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Créer ou reprendre une entreprise à Croix-Rouge

 

Dans le cadre des journées du Mois de la création et de l’innovation, une opération de sensibilisation et de formation à l’entreprenariat est proposée.

Elle se déroulera à Croix-Rouge mardi matin 23 octobre au lycée Joliot-Curie (4, rue Joliot-Curie) et vendredi après-midi 26 octobre à la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar). Cette opération est menée avec des bus itinérants conduits et animés par des spécialistes de l’entreprenariat, et équipés en véritables salles de formation (postes informatiques et formations en vidéo interactive).

Objectifs : faire découvrir l’entreprenariat, aborder la création ou la reprise d’entreprise avec des porteurs de projets et donner aux créateurs d’entreprises une approche spécialisée.

Pour participer à cette opération (entrée libre), contacter la direction du Développement économique de la ville de Reims au 03.26.77.87.57.

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La queue à la Poste ça use, ça use…

 

Le système de tickets permet aux clients de pouvoir bouger en attendant leur tour. Et fait gagner du temps.

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« Il y a toujours la queue ici. Pratiquement à toutes les heures. Sauf en fin de mois où c’est un peu plus tranquille », regrette Thierry à Jean-Jaurès.

« Les gens, il faudrait qu’ils puissent arriver à n’importe quelle heure et qu’ils soient servis tout de suite », estime Ghislain à Europe.

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Organisé Pays-de-France

Il y a du monde mais équipé d’un système de tickets, le bureau pourtant réduit à trois guichetiers, fait face. On remarque tout de suite que les employés ont une cadence plus rapide qu’ailleurs.

« Franchement, c’est bien organisé », assure Mamadou. « Il y a des heures de pointe un peu difficiles mais les guichetiers sont efficaces », confirme Aïda.

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Catherine Frey

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Ol’Kainry a chauffé l’espace Ethnic’s

 

La vedette (au centre) reçue par les animateurs de l’espace Ethnic’s.

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Rappeur d’envergure nationale, le chanteur Ol’Kainry a choisi l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge pour présenter, mercredi 10 octobre, « Démolition Man », son troisième opus.

« La journée s’est déroulée dans une très bonne ambiance », apprécie Thierry Farias, animateur musique : « Les jeunes ont été ravis et une nouvelle fois le côté relationnel de l’espace Ethnic’s a été apprécié ».

Au cours d’un mini concert, Ol’Kainry a présenté trois nouveaux titres de « Demolition Man », avant une séance de dédicaces de photos souvenirs avec les jeunes du quartier.

Pour terminer, l’artiste a écouté avec attention quelques groupes locaux qui lui ont présenté leur travail.

 

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Des contes pour malentendants

 

Les médiathèques municipales proposeront spécialement à l’intention des malentendants une animation à base de contes, le samedi 20 octobre. Mais les entendants pourront aussi en profiter et sont donc également conviés. Un conteur de la Compagnie de la main tatouée commencera à raconter l’histoire avec les gestes, c’est-à-dire en langue des signes, un autre le récitera oralement.

Un premier rendez-vous est fixé à 14 heures à Croix-rouge, sur le thème « contes et jeux de mains de Chine, Afrique et Inde » ; durée 55 minutes (réservations recommandées au 03.26.35.68.40).

Le même jour, un second rendez-vous est proposé à 17 h 30 à Falala (pas besoin de réserver), sur le thème des loups : un indigo, un loup du Japon, le loup de la chèvre de M. Seguin. Durée : 1 heure.

Une animation analogue interviendra le samedi 22 décembre.

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l’union071015b

Frappé à la tête pour son scooter

 

Un vol avec violence a été rapidement résolu ce week-end par la police nationale.

Dans la nuit de vendredi à samedi, au moins deux individus ont agressé un jeune homme, allée des Provençaux, pour lui prendre son scooter. La victime a reçu un coup de poing derrière la tête.

Alertée, la brigade anticriminalité a repéré le scooter dès 3 heures du matin dans le même secteur. Le pilote a tenté de s’enfuir mais il a été rattrapé. Il avait sur lui une petite quantité de résine de cannabis.

D’après ses explications, le deux-roues lui aurait été prêté avec le consentement du plaignant. Il n’a pas convaincu les policiers ni le procureur devant lequel il a été présenté samedi après-midi.

Le garçon tout juste âgé de 18 ans a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel. Les policiers ont restitué le scooter à son légitime propriétaire.

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l’union071015a

Ivre et violent sur un cyclomoteur

 

Tribunal correctionnel de Reims : Dans la nuit du 3 au 4 mai, un cyclomotoriste démuni de casque met les gaz pour échapper à une patrouille de police qui vient de le repérer rue Newton.

Sébastien Duchêne, 20 ans, roule tellement vite qu’il tombe par terre. Il n’est pas assuré, a deux grammes d’alcool par litre de sang et tente de frapper les policiers venus le maîtriser.

Le tribunal le condamne en son absence à deux mois de prison ferme.

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l’union071014c

Le Futsal, trait d’union entre les jeunes

 

Animateurs et partenaires mettent au point le challenge interquartiers.

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« C’est une demande émanant des jeunes, relayée par les animateurs des différentes maisons de quartier, qui nous a amené à développer cette action. »

Réunis autour de Jean-Noël Censier, coordinateur du projet, au gymnase Léon-Bourgoin, et de l’équipe de pilotage, les animateurs et responsables des différentes maisons de quartier, accompagnés de quelques jeunes, ont mis au point les derniers détails du Challenge Futsal interquartiers de la saison 2007-2008.

« Lors des vacances d’avril, nous avions organisé un tournoi. Ça a très bien fonctionné. Au vu des résultats, la Ville a décidé de nous aider », ajoute J.-N. Censier. Pour répondre au mieux à cette action, qui s’inscrit dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs), l’association des maisons de quartier et la ville ont travaillé en partenariat. Quare gymnases (Bourgoin, Trois-Fontaines, Barbusse et Richelieu) permettent d’accueillir les douze équipes, soit une centaine de jeunes qui vont pouvoir profiter de ce dispositif.

« Au-delà de l’aspect sportif, ce qui nous attire dans ce projet, c’est de mettre en avant des valeurs de respect et de tolérance, de favoriser la mixité sociale entre des jeunes issus de différents secteurs de la ville, les amener vers une activité structurée et les inciter à intégrer des clubs », précise l’équipe pilote.

Les séances d’entraînement débuteront le 17 octobre. Les équipes se rencontreront en matchs de poules pour le challenge, à partir du 14 novembre, la finale ayant lieu en juin.

Outre les gymnases, la Ville met à disposition deux éducateurs sportifs et apporte une contribution en fournissant des chasubles pour les équipes. « Nous attendons beaucoup de ce projet pour la réussite duquel chacun contribue », concluent les organisateurs.

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VRI octobre 2007

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 241

 

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Quatre lauréats aux Jeunes Talents 2007 !

 

Comme chaque année, Pôle Sud Musique, le Réseau Musiques Actuelles Amateurs des Maisons de quartier de Reims organise le dispositif Jeunes Talents en partenariat avec la Cartonnerie et avec le soutien de la Ville de Reims.

Après deux concerts de sélection à la salle municipale Croix-Rouge en septembre dernier, les quatre groupes lauréats* bénéficient d’une trentaine d’heures de formation encadrée par des professionnels, notamment lors d’une résidence à la Cartonnerie avant le concert du 13 octobre au Cabaret.

* Les Maracasses-Pieds, RikTUsS, Crazy Bear First Concept et Goha

Retrouvez Pôle Sud Musique sur www.polesudmusique.com

Médiathèque Croix-Rouge

Le 13 octobre, c’est le temps d’un spectacle pour les tout-petits, écrit et interprété par Françoise Bobe (inscription en secteur jeunesse).

Salle d’exposition, samedi 13 octobre à 14h30, Didier Hauglustaine répondra à une question majeure en forme de boutade : “Le trou dans la couche d’ozone est-il rebouché ?”

Du 19 octobre au 17 novembre, découvrez les œuvres originales d’Anaïs Vaugelade et Alex Godard, deux illustrateurs conviés à la Fête du Livre.

Sur inscription en secteur jeunesse, les 17, 24, 31 octobre et le 7 novembre, rondes des albums, air du conte, projection de diapositives et ateliers de création animés par Dominick Boisjeol, plasticienne, attendent les enfants.

Quand les mots s’affichent

“Les mots s’affichent”, ateliers de création d’affiches avec Nicole Pérignon, plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain, ont fait l’objet d’une exposition à la Médiathèque.

A travers ce projet soutenu par la Ville de Reims dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale, une cinquantaine d’enfants, adolescents et adultes ont littéralement pris la parole en images, riches de la grande diversité des regards qu’ils posent sur Croix-Rouge.

Amélie Bigeard, du collectif d’artistes Odyliade, dit que « l’affiche est un grand porte-voix qui vous interpelle ».

L’expérience va se poursuivre sur le quartier Wilson durant le mois de novembre.

Joliot-Curie : un collège nouvelle génération…

Financé par le Conseil Général (12,5 M€), réalisé dans la concertation entre équipes pédagogiques et entreprises, l’établissement offre sur plus de 8000 m2 les équipements d’un collège digne de ce nom :

- salles spécialisées,

- ateliers,

- centre de documentation et d’information,

- salle polyvalente spacieuse

- et gymnase de plus de 1000 m2.

Récemment inauguré, le tout nouveau collège Joliot-Curie est déjà occupé par 386 élèves et leurs enseignants.

A l’Espace Watteau

Deux sorties à noter pour les randonneurs de l’Espace Watteau : 28 octobre et 4 novembre.

Pour les 3 à 14 ans, durant les vacances de la Toussaint, l’équipe a préparé un beau programme d’activités.

La Semaine du Goût mettra des recettes originales à l’honneur.

Du côté des animations familiales, notez que la Parent’aise propose des ateliers parents-enfants. Oum, animatrice référent famille, vous en dira davantage sur la sensibilisation aux gestes qui sauvent et à la sécurité incendie…

Pour tout renseignement : 03 26 36 03 50.

L’Espace Billard vous attend !

Parents d’ados, des rencontres permettent d’aborder les thèmes qui vous intéressent lors des rencontres du jeudi de 14 h à 16 h

(contactez Oum au 03 26 08 08 78 et Elham au 03 26 82 53 48).

Randonneurs et flâneurs, notez que la prochaine sortie nature aura lieu exceptionnellement un samedi (3 novembre).

Gastronomes, vivez la Semaine du Goût pour réaliser confitures et compotes. Et place aux vacances ! Pour celles de la Toussaint, les 3 à 12 ans sont les bienvenus.

Inscriptions, renseignements : 03 26 08 08 78.

Les Panthères Grises lancent les “3 F”

Cette association sera présentée au public lors d’une conférence-débat organisée sur le thème “Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain” le 22 octobre à 14 h, Maison de quartier Croix-Rouge, Espace La Nacelle, 3 rue du Docteur Billard.

Contact : femmes3@laposte. Net

EN MUSIQUE

 

Les Lionceaux forever Groupe fondé à Reims en 1961, les Lionceaux ont connu le succès à l’âge d’or des yéyés.

Du Golfe Drouot à l’émission d’Albert Reisner Age tendre et tête de bois, en passant par les ondes du mythique Salut les copains, treize "lionceaux" (parmi lesquels Herbert Léonard), se sont succédés jusqu’à la séparation du groupe en 1966.

Il y a quelques années, Bruno Arrigoni, Richard Demay, Dan Dubois, Alain Dumont, Jean-Louis Percy et Roger Soly se sont retrouvés pour faire revivre le groupe en se produisant régulièrement sur scène.

Jeudi 18 octobre, à19h30, la médiathèque Croix-Rouge organise une conférence animée par Alain Dumont, accompagnée de la projection du documentaire Les Lionceaux forever. En bonus, un mini concert live.

HOMMAGE : Quatre équipements sportifs rebaptisés

 

Par soucis d’une meilleure lisibilité des gymnases et afin de rendre hommage aux dirigeants du monde sportif et associatif, deux équipements sportifs viennent d’être rebaptisés et deux futurs équipements ont d’ores et déjà un nom.

Ainsi, le gymnase Joliot-Curie (Croix- Rouge) porte désormais le nom de Roland Bourgoin. De même, la salle multifonctions du complexe René-Tys répondra au nom de salle Jean Armand.

Quant aux futurs gymnases des quartiers Croix-Rouge/Arago et Clairmarais, ces derniers porteront respectivement les noms du gymnase José Pérez et Jean- Jacques Lapique. Deux personnages qui, à l’instar de Roland Bourgoin et Jean Armand, se sont investis avec passion et générosité dans la vie sportive rémoise.

L’aïkido, une discipline pour tous

 

L’aïkido, art martial japonais, est une discipline qui permet d’acquérir une parfaite maîtrise de soi. Il se pratique à mains nues ou avec des armes (sabre, bâton, couteau) et s’adresse aux hommes aussi bien qu’aux femmes.

Le Ruc aïkido assure des cours hebdomadaires les lundis et vendredis de 20 h à 22h30. Halle universitaire, avenue François Mauriac. Renseignements : 03 26 36 20 95 ou www.reimsaikido.free.fr

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l’union071014a

Sortie à l’Assemblée nationale avec Réso

 

Les jeunes ont été accueillis par Renaud Dutreil.

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Dans le cadre de ses actions pédagogiques, l’association Réso (Réseau d’échanges solidaires), a organisé, mercredi, une sortie à l’Assemblée nationale.

« Cette sortie permet à tous les jeunes des quartiers de Reims de découvrir les institutions de la République avec un regard de citoyen », explique Alexi Mohamed. « Elle permet aussi, et selon nous, qu’avec ce même regard, les jeunes puissent avoir les sentiments d’appartenir à une nation et non à un périmètre selon le quartier habité. »

Cette action a été rendue possible par l’organisme logeur le Foyer rémois avec la Maison de l’enfance, « très impliqués dans la vie des quartiers et dont je remercie le soutien financier, apporté dans cette démarche ».

Avec la présence d’autant de jeunes (une quarantaine), cette sortie a été un succès pour Réso et ses partenaires, l’ATMF, la Maison de quartier des Epinettes, ainsi que Jawad et Bouhaleme d’Orgeval et la maison de quartier la Nacelle Croix-Rouge.

La prochaine sortie devrait avoir lieu au Sénat. Réso essaiera par le biais de ses partenaires, de prévoir un temps libre et un temps pour découvrir ensemble, les musées, et les monuments.

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l’union071013b

Les artistes exposent

 

Dominique Kucala.

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L’exposition « Artistes à Croix-Rouge » organisée deux fois par an par l’Acrap a permis de découvrir Dominique Kucala, artiste peintre qui réside dans le secteur Eisenhower.

Il peint depuis longtemps : « Je suis né avec un pinceau » plaisante-t-il.

Au palmarès de cet amateur, dessin, huiles et aquarelles sur ses thèmes préférés : portraits, natures mortes et animaux.

 

 

 

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l’union071013a

Pays-de-France Ascenseurs : un programme ambitieux

 

Dans l’union du jeudi 4 octobre, une annonce officielle attire l’attention : on y annonce que la SA d’HLM Le Foyer rémois, direction de la maintenance, lance un appel d’offres ouvert concernant un marché d’entretien et de maintenance de 58 ascenseurs (territoire nord pour 33 appareils et territoire sud pour 25 appareils).

On apprend que les prestations débuteront le 2 janvier 2008 et que le marché aura une durée de 5 ans. II expirera le 31 décembre 2012, date à laquelle il ne sera pas renouvelable.

Questions : sur ces 58 ascenseurs, combien sont implantés à Croix-Rouge ? A quelles adresses ? Avec quel calendrier prévisionnel ?

Joël Mouysset, responsable de l’agence Croix-Rouge du Foyer rémois répond volontiers : « Dans le cadre de la rénovation des ascenseurs, le Foyer rémois a commencé depuis 2006 un vaste programme de rénovation d’ascenseurs sur Pays-de-France, qui a déjà touché les installations suivantes : 2, 4, 14, 18 Bourguignons et 2 Provençaux en 2006, 16 Bourguignons, 1 Landais, 1 Limousins, 1 Joliot-Curie, 15 Bonaparte, 21 Savoyards, 4 Picards, 1 Lavoisier et 5 Tourangeaux en 2007.

En 2008, les ascenseurs suivants sont programmés : 3, 5, 9, 11 Bonaparte, 3 et 13 Savoyards, 4 Gascons, 19 Joliot-Curie, 3 Lavoisier, 1, 3, 4 Tourangeaux. »

Ces opérations sur trois ans représentent 26 installations sur le secteur Pays-de-France : « Il y en aura d’autres en fonction de l’appel d’offres, la volonté de notre société étant la rénovation complète du parc de Pays-de-France sur plusieurs années, compte tenu du nombre important d’ascenseurs. »

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Les jeunes talents en concert à la Cartonnerie

 

Les quatre groupes labellisés « Jeunes talents 2007 » par le réseau Pôle Sud Musique : RikTusS, les Maracase-Pieds, Crazy Bear, First Concept et Goha, ont bénéficié de plus de trente heures chacun de formations encadrées par des professionnels : ateliers artistiques et techniques, répétitions accompagnées,…

Ils sont maintenant prêts à donner un aperçu de leur « jeune talent » et c’est à la Cartonnerie qu’ils se produiront demain samedi 13 octobre à 20 heures.

Entrée libre et sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Renseignements complémentaires auprès de Boris Claudel, coordinateur du réseau (Tél. 03.26.86.10.71.) ou sur le site www.polesudmusique.com

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Rock au Crous

 

Alternativ’Rock et Reims Rock’n’roll organisent samedi 20 octobre à 20h30 un concert réunissant trois groupe estampillés Rock alternatif. Au menu : les groupes Coma , My taylor is Rich et Platoon Playground qui se produiront au centre culturel du CROUS au campus Croix-Rouge.

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Unis-Cité recrute

 

Vous avez entre 18 et 25 ans et vous souhaitez vous rendre utile, agir concrètement en faveur de la solidarité et de l’environnement ? Dans ce cas, rejoignez Unis- Cité et réalisez un service civil volontaire de 6 ou 9 mois à temps plein.

Vous agirez et vous pourrez ainsi réaliser des actions concrètes concernant l’exclusion, la précarité, la lutte contre les discriminations, etc…

Renseignements sur www.uniscite.fr ou au 06 50 02 03 34.

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Le projet tramway peut-il être abandonné ?

 

Jean-Louis Schneiter a bien ficelé le projet tramway si bien que le futur maire de Reims élu en 2008 ne pourra pas faire machine arrière.

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Entre les déclarations des uns et des autres, l’avenir du tramway peut apparaître aux yeux des Rémois encore incertain.

Pourtant, à quelques mois du début des travaux, rien ne semble pouvoir empêcher le tramway de suivre sa voie.

Aujourd’hui, toutes les grandes villes de France possèdent un tramway ou projettent sa mise en service. Seules quelques villes, comme Dijon par exemple, font encore de la résistance. Il faut dire que le tramway est « le » transport collectif en vogue, proche des préoccupations environnementales actuelles.

Si Saint-Etienne est la seule ville a avoir conservé son tramway depuis sa création en 1881, c’est bien Nantes qui la première l’a remis au goût du jour dès 1985. Véritable serpent de mer à Reims, l’histoire du tramway dans la cité des Sacres est vieille de plus de 100 ans, alimentant allègrement les rumeurs. A quelques mois des élections municipales de mars2008, le projet de tramway de Reims est devenu un enjeu électoral majeur.

Pourtant, vu l’état d’avancement du projet, il apparaît aujourd’hui clairement qu’un éventuel abandon semble impossible ou alors irresponsable au vu des intérêts financiers en jeu. Voici quelques vérités, sur le projet tramway, cachées par la propagande des uns et ignorées par les autres.

Un peu d’histoire.

A la fin du XIXème siècle, Reims comme toutes les grandes villes de France adopte le tramway. La première ligne est créée en 1881 et le tramway est à traction hippomobile, c’est-à-dire tracté par des chevaux. Il faudra attendre 1900 pour voir circuler dans la Cité des Sacres le premier tramway électrique. C’est le début de l’âge d’or de ce mode de transport et la Ville de Reims compte alors 3 lignes et 3,5 millions d’utilisateurs annuels. Cependant, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, le tramway, alors exploité sur 5 lignes, est abandonné et remplacé par des autobus dont l’utilisation est alors jugée plus flexible.

Le projet avorté de Jean Falala.

C’est en 1984 que les premières études sont réalisées en vue de l’aménagement d’un nouveau tramway. L’idée d’alors est d’installer une ligne sur l’axe reliant le Grand Théâtre à l’Hôpital.

En 1990, le budget du projet est même adopté pour une mise en service de la ligne prévue en 1994. Mais en 1991, le maire de l’époque, Jean Falala, prend la décision d’abandonner ce projet qu’il avait lui-même initié, cédant alors à l’opposition et à la pression des riverains et des commerçants.

Le projet porté par Jean-Louis Schneiter.

En 2003, l’actuel maire de Reims relance le projet tramway pour Reims. À noter que lors de son élection en 2001, son programme électoral n’en faisait aucunement mention. Puis, c’est en 2005 que les élus de Reims Métropole, dont Jean-Louis Schneiter est le président, votent à l’unanimité (moins 4 abstentions) en faveur de la création d’une ligne de tramway. Le processus est lancé. Les Rémois n’auront été invités qu’à donner leur avis et à choisir la couleur puis la forme du futur tramway. Depuis, le groupement MARS a été choisi comme concessionnaire par la communauté de l’agglomération de Reims. Dès que le préfet prononcera la déclaration d’utilité publique, suite à l’enquête réalisée en juillet 2007, les travaux débuteront. La mise en service devrait intervenir en 2011.

Les enjeux de la déclaration d’utilité publique.

C’est une procédure administrative qui permet de réaliser une opération d’aménagement sur des terrains privés en les expropriant.

Elle est obtenue à la suite d’une enquête publique réalisée par un commissaire enquêteur qui recueille les avis de toutes les personnes souhaitant communiquer sur le sujet. A la suite de cette enquête, il formule des conclusions favorables ou non au projet. Le résultat de celles-ci incluant l’avis du commissaire enquêteur est alors soumis au préfet qui ensuite déclarera ou non l’utilité publique du projet étudié. Néanmoins, concernant un projet comme le tramway de Reims, jamais un préfet dans une autre ville ne s’est prononcé contre. La décision du préfet de la Marne est attendue normalement avant la fin de l’année2007.

Les recours administratifs.

Les TUR, actuels concessionnaires du réseau de bus de l’agglomération rémoise et filiale de Keolis, ont déposé un recours contre l’interruption anticipée du contrat les liant avec Reims Métropole. Signé en 1999, ce contrat devait durer jusqu’au 31 décembre 2009 mais il prendra fin au 31 décembre de cette année. Ce recours a été rejeté cet été par le tribunal administratif au profit de Reims Métropole et ce sera bien le groupement MARS qui reprendra la concession dès le 1er janvier 2008. De même, le groupement Fluo, dont Kéolis est membre, a déposé un recours, invoquant des conditions de mise en concurrence non équitables. Enfin l’association PACT, pilotée par le député Jean-Claude Thomas, a également tout tenté pour empêcher le projet tramway d’aboutir. Leurs actions ont pour l’instant toujours échoué. A suivre.

Le pouvoir du futur maire de Reims.

Naturellement, le projet tramway est l’un des grands sujets de campagne électorale, à chaque fois évoqué par les différents candidats aux élections municipales de Reims. S’il est logique que leur avis soit donné sur le sujet, ce n’est pas le futur maire de Reims qui pourra décider seul de l’abandon ou non du projet.

Il est bon de rappeler que la décision de faire le tramway a été prise par les membres du Conseil de Reims Métropole. En aucun cas le futur maire de Reims ne pourra stopper seul le projet et l’organisation d’un référendum (évoquée par différents candidats) n’y changera rien. Pour arrêter le projet tramway, il faudrait au futur maire de Reims, convaincre le conseil communautaire de l’agglomération rémoise composé de 43 délégués dont seulement 17 sièges sont détenus par des membres du conseil municipal de Reims. Une éventualité peu probable qui coûterait très cher aux communes de Reims Métropole.

Le coût d’un éventuel abandon.

C’est Adeline Hazan, députée européenne et candidate déclarée à la Mairie de Reims, qui la première a évoqué publiquement les conséquences financières d’un arrêt du projet.

« Le coût sera de 120millions d’euros à payer immédiatement » a déclaré la députée européenne. Ce chiffre, s’il n’a pas été confirmé, a été jugé « très proche de la vérité » par un proche du dossier au sein du groupement MARS. Ces 120 millions d’euros rembourseraient les études et les frais de dossiers réalisés par le groupement. C’est un tiers du coût total du tramway, évalué pour le moment à un peu plus de 300 millions d’euros. De plus, un abandon provoquerait la suppression de postes des120 personnes travaillant actuellement à Reims sur le projet au sein du groupement MARS et de la mission tramway.

Julien Debant.

Une enquête publique sur la révision du PDU

C’est au tour de la révision du PDU (Plan de Déplacements Urbains) d’être soumis à une enquête publique.

Le commissaire enquêteur Jean-Pierre Desplanques, désigné par le Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, recevra en personne* les observations du public à partir du 12 octobre et jusqu’au13 novembre. Pendant la durée de cette enquête, les observations sur la révision du PDU et son évaluation environnementale pourront être consignées sur les registres ouverts à cet effet dans tous les lieux visités par le commissaire enquêteur ou adressées par écrit à l’adresse suivante :

Monsieur Desplanques, commissaire enquêteur,

Hôtel de la communauté,

3 rue Eugène Desteuque, 51100 Reims.

*Dates et horaires disponibles en mairies.

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l’union071012c

CROIX-ROUGE : Deux nouvelles structures pour défendre les locataires

 

Dans le feuillet « QCR infos n°3 » élaboré par le collectif des locataires de Reims habitat et distribué sur l’ensemble du quartier Rafale-Université, Claude Stoltz, présidente du « Club 47 », association des locataires de ce secteur, annonce que sa structure change de nom et devient l’Union des locataires de Croix Rouge (ULCR).

Cette information est confirmée par Fabrice Lopez : « Suite à une initiative de ma part, devenue officielle lors de l’assemblée de l’association du 28 septembre 2007, le Club 47 devient en effet l’ULCR, dont je reste le vice-président. »

Un tel changement de nom n’est pas anodin. Jusqu’à présent, le Club 47 avait une vocation limitée au secteur Eisenhower. En s’ouvrant à l’ensemble de Croix-Rouge, on comprend que l’ULCR compte désormais élargir son action en direction des locataires de Reims habitat certes, mais aussi du Foyer rémois et de Pluri-habitat (l’Effort rémois).

Ne pas confondre

Il va falloir être attentif et ne pas confondre l’ULCR qui vient d’être présentée et le Collectif de défense des locataires Croix-Rouge (CDL-CR), une autre nouvelle structure : « Un collectif que je représente, fort d’un appui et d’une pétition favorable à plus de 80 % (Cour Eisenhower et limitrophes : plus de 400 logements et locaux visités) » explique le même Fabrice Lopez qui en est le président.

« Ce collectif de défense des locataires a été créé en septembre suite à une présentation du projet de renouvellement urbain pour Croix-Rouge par Reims Habitat. Il est indépendant de toute association » et encore : « Le CDL-CR n’a aucun objectif de menaces, mais de prise en compte de nos revendications face à un projet d’urbanisme destructeur de notre cadre de vie actuel../.. »

Le CDL-CR a commencé ses travaux : « Un premier rapport a été fait pour le secteur « cour Eisenhower », le deuxième pour le secteur « esplanade Eisenhower » est en cours, suivra le secteur « Taittinger » et par le biais de partenariats, d’autres secteurs du quartier. »

L’ensemble vise à constituer « un dossier complet sur le 5e canton et concerne la mobilisation de la population locale contre le projet de renouvellement urbain ».

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l’union071012b

Pour quelques degrés de plus…

 

18,2 ou 19° dans l’appartement ?

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« Nous n’avons que 17,9, et ça n’est monté parfois que jusqu’à 18,2 ! Ce n’est pas assez pour moi qui suis invalide et fragile des bronches ! »

S.B. et son mari F., tous deux septuagénaires, pestent depuis deux semaines après leur organisme logeur, Reims habitat, dans leur appartement du quartier Croix-Rouge.

Du côté du logeur, on estime que le chauffage fonctionne normalement (on va quand même demander à l’entreprise sous-traitante de vérifier) et que les 19° à assurer par contrat sont bien au rendez-vous (avec peut-être quelques minutes de décalage, vu le grand écart de températures entre la nuit et l’après-midi). Les thermomètres des uns et des autres seraient-ils en désaccord ?

A.P.

 

 

 

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Une caméra pour échanger

 

Le matériel de La Nacelle sera utilisé par le public.

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L’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge s’investit dans la Semaine bleue sur le thème « Jeunes et vieux, ensemble ! » autour d’Internet, en ouvrant ses installations informatiques, mardi 16, jeudi 18, vendredi 19 et samedi 20 octobre de 15 à 17 heures.

Le thème choisi par les animateurs, permettra aux volontaires, avec leur famille, leurs amis ou un autre groupe, de s’initier sur le thème : « Web communication, une caméra pour échanger ».

Places limitées, inscription obligatoire à la Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (03.26.49.47.07.)

 

 

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Une soirée avec les Lionceaux à la médiathèque Croix-Rouge

 

Un mini-concert des Lionceaux.

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« Les Lionceaux forever ! » Les aficionados du groupe culte rémois apprécieront avec la diffusion, jeudi 18 octobre à 19 h 30, en avant-première, du documentaire « Les Lionceaux forever », en présence d’Alain Dumont (alias Willy Stevens) qui fut l’un des chanteurs de la formation dans les années 60 et qui répondra après la projection aux questions…

Cerise sur le gâteau : d’autres Lionceaux seront présents ! Et en bouquet final, un mini-concert acoustique !

Entrée gratuite à la médiathèque Croix-Rouge, 14 rue Jean-Louis-Debar, au pied du château d’eau de Croix-Rouge.

 

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La fête place Maurice-Utrillo

 

Dans le cadre de l’opération « Sortez, c’est la rentrée », la place Maurice-Utrillo a connu une journée de fête, une grande nouveauté :

« C’était une première » explique Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau « et elle fut réussie : les habitants des quartiers Croix-du-Sud et Hauts-de-Murigny avaient rendez-vous avec les associations du secteur pour fêter la rentrée. Les anciens de la résidence Arfo Maurice-Utrillo ont rejoint les joyeux drilles qui s’activaient sur la place, maniant tables, chaises, estrade et autres tonnelles. Pour faire bonne figure et marquer leur participation, c’est avec des déambulateurs fleuris qu’ils ont accompagné le cortège de vélos fleuris dans les rues avoisinantes, escortés par deux superbes voitures à pédales représentant pour l’une une gigantesque fleur et pour l’autre une jolie abeille. »

Une quarantaine de personnes se sont retrouvées pour partager leur déjeuner dominical sur la place, avant de participer à une multitude d’animations : chanteur, jongleur, accordéoniste, percussionniste, danseuses ont séduit tout l’après-midi un large public venu en nombre.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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C’est la reprise aussi au Reims Acrap patinage

 

Les deux entraîneurs du Rap, Ludivine Lemaire (à gauche) et Sabrina Deconinck..

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Le Reims Acrap patinage propose trois disciplines : le patinage artistique, la danse sur glace et le patinage synchronisé. Ludivine Lemaire, entraîneur de danse sur glace titulaire d’un BE1 et Sabrina Deconinck, entraîneur de patinage artistique, titulaire également d’un BE1 accueillent les enfants et les initient aux sports de glisse, les préparent aux compétitions, et leur permettent de s’épanouir à la patinoire Jacques-Barot, avenue François-Mauriac.

Les parents peuvent rencontrer Myriam Huet et Sandrine Jaquet pendant les permanences à la patinoire Jacques-Barot le mercredi après-midi de 12 à 15 heures et le samedi de 14 h 45 à 16 h 30.

Deux essais gratuits sont proposés pour permettre aux enfants et aux grands de découvrir ce sport.

Danse sur glace et artistique

- Mardi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 15 et de 17 heures à 17 h 45.

- Mercredi de 7 à 11 heures et de 12 h 15 à 15 heures.

- Jeudi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 30 et de 17 heures à 17 h 45.

- Vendredi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 15 et de 17 à 20 heures.

- Samedi de 9 à 12 heures et de 15 h 30 à 17 h 30.

- Dimanche de 8 heures à 11 h 30, en alternance, un dimanche sur deux : artistique et danse sur glace.

Club et adultes

Les heures sont dispensées mercredi de 14 à 15 heures samedi de 15 h 30 à 16 h 30. Un cours pour adulte est également proposé vendredi de 19 à 20 heures.

Reims Acrap patinage, 11 rue du président-Kennedy. Tél. 03.26.06.39.54.

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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.

3. Objet des marchés : marché de maîtrise d’oeuvre : déconstruction sélective d’immeubles 25/27 et 29/31 avenue du Général-Eisenhower, quartier Croix-Rouge, université de Reims.

4. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P. (voir règlement de consultation).

5, Critères d’attribution :

– références, compétences et moyens

– prix.

6. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr.

7. Autres renseignements :

- les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.

- Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes et techniques spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.14, fax : 03.26.48.43.40.

8. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, 51100 Reims.

9. Date limite de remise des offres : mercredi 31 octobre 2007 à 17 heures.

10. Date d’envoi de l’avis à la publication : 4 octobre 2007.

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Les écoliers en visite aux jardins

 

Les écoliers ont découvert de très beaux jardins.

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Deux vagues de chacune cinquante écoliers de la maternelle Sculpteurs-Jacques ont visité les jardins familiaux de Croix-du-Sud : les grands, puis les petits, au grand plaisir des responsables de l’association et des jardiniers, fiers de présenter leurs parcelles.

La directrice, Christiane Sagan, explique ses objectifs : Dans le cadre de notre projet d’école sur l’éducation à l’environnement et la découverte du milieu environnant, cette sortie a permis aux élèves de prendre contact avec une végétation de potagers ».

 

 

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Association des Maisons de quartier : l’info en 3 clics !

 

La page d’accueil du site

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L’équipe de pilotage présente son site : facile d’accès et convivial !

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« Ce site correspond à ce qu’on souhaitait : permettre un accès à l’info simple et rapide. Il donne une image assez complète de l’association, de sa diversité et en même temps d’une certaine unicité ». Jean-Pierre Ettel, président de l’association des Maisons de quartier, ne cache pas sa satisfaction de voir le site internet opérationnel depuis trois semaines. Les membres de l’équipe de pilotage, en le présentant vendredi dernier, sont fiers du résultat ! « Une démarche collective, avec la participation de salariés et de bénévoles, qui ont travaillé durant près de trois mois », précise Benoît Guinet, directeur adjoint de l’association. L’enjeu était de regrouper les infos issues de chacune des 14 maisons de quartier (26 espaces au total), avec le souci de donner une cohérence globale de présentation, d’informer les Rémois sur l’offre socioculturelle, en prenant en compte la notion de proximité, de secteur, liée à chaque quartier, ainsi que les capacités de déplacement de l’un à l’autre.

Déjà 87 visiteurs par jour

« Nous avons appliqué la fameuse règle des 3 clics », explique le directeur de la société conceptrice du site, joignant le geste à la parole : à l’écran, une superbe photo de visages, en noir et blanc de Guillaume Gellert : « Nous souhaitions que la page d’accueil représente la diversité des publics, de la petite enfance aux seniors ».

Le visiteur peut accéder à l’info par les activités et services ou par question directe et mot-clé. 6 activités : accueil, sports, musique, danse, expression, divers. Chaque rubrique est subdivisée par type d’activité, âges, pôles thématiques. Le site a été construit de façon à ce qu’il puisse être administré et alimenté facilement. « Un moyen de remplir notre objectif : rendre le site vivant par l’insertion d’infos récentes et d’actualités ». Des liens sont prévus avec la ville et les partenaires. Un site complet, mais pas « pré mâché » : « Nous voulons amener les gens à obtenir des renseignements qui les inciteront, après la visite virtuelle, à aller sur le terrain », souhaite Pascale Enfer, directrice de l’association. L’esthétique des pages fait l’unanimité : « Trop beau ! » plaisantent certains, utilisant à dessein le langage des jeunes ! Une fréquence de consultation encourageante : 87 visiteurs avant-hier. « Pour un site qui débute, ça donne de bonnes perspectives pour l’avenir ! ».

Association des Maisons de quartier

www.maisondequartier-reims.fr

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Comment écrire un dessin animé ?

 

Une exposition est visible jusqu’au 12 octobre à la médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar, à l’occasion de la sortie du film de Jacques-Rémy Girerd « La prophétie des grenouilles ».

Cette exposition, montée pour les enfants à partir de 6 ans, tente de répondre à la question : « Comment écrit-on un dessin animé ? » . Les adultes y trouveront également matière à satisfaire leur curiosité.

Entrée libre.

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Danse et percussions africaines à Croix-Rouge

 

Des danses endiablées au programme.

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Les cours de danse et de percussions africaines de l’association Africaa reprennent, les lundis, jeudis et vendredis soirs, à l’Espace Billard de la Maison de Quartier Croix-Rouge, 12-14, rue Pierre-Taittinger.

Ils sont animés par deux professionnels expérimentés, d’origine sénégalaise : Youssouf Coly, danseur-chorégraphe et Abdoulaye Diop, musicien percussionniste qui attendent les amateurs pour partager leur passion et un peu de leur culture.

« Préparez-vous à danser pieds nus et à exécuter des figures et chorégraphies au son des djembés et rythmes d’Afrique de l’Ouest, notamment du sabar du Sénégal » avertit Corinne Broyer, administratrice : « énergique et sensuelle, la danse africaine sollicite tout le corps, un exercice idéal pour se défouler et évacuer le stress et pour libérer les émotions en travaillant endurance, coordination et souplesse » .

Ces cours s’adressent à tous les publics, jeunes et adultes, de tous niveaux, débutants ou confirmés : « dans une ambiance conviviale, chacun pourra s’exprimer selon sa personnalité et ses capacités » .

Pour tout renseignement complémentaire, consulter le site de l’association : http://www.africaa.fr

ou contacter le 06.74.62.99.77.

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Jonglage

 

Dans le cadre de la semaine de la science (8-14 octobre), une alliance atypique a lieu mercredi 10 au centre culturel du Crous – rue Rilly la Montagne sur le campus Croix Rouge.

Au menu, spectacle de jonglage avec la compagnie « Les objets volants ». Dans la foulée sera tenue une conférence sur les mathématiques du jonglage, qui oscillera entre division euclidienne, périodicité et moyenne.

Entrée libre. Renseignements : 03.26.47.56.11.

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La Fête de la Science, c’est partout !

 

L’opération « Drôles d’engins » à l’école Sylvain Lambert de Bezannes. Le 9 octobre, de 9h à 12h, des enfants pourront construire des voitures à propulsion, des fusées à eau ou des sous-marins.

« Le sens de la glisse » à la bibliothèque universitaire Sciences, le jeudi 11 octobre. Ou comment expliquer les phénomènes physiques que l’on retrouve dans les sports extrêmes.

La météo au collège Paul Fort de Reims du lundi 8 au vendredi 12 octobre. Atelier scientifique sur la météo, expériences, présentation d’appareils de mesures, etc…

« L’atelier de fabrication de pingouins » à l’URCA, le samedi 13 octobre pour le grand public.

« Dans les profondeurs du climat » à la bibliothèque universitaire Sciences et Staps, le mardi 9 octobre.

Reims, le 10 octobre, de 18h30 à 20h30, la salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville accueillera la 41ème soirée scientifique du CNAM Champagne-Ardenne. Louis-Marie Cléon, directeur scientifique et technique de la Direction de l’Innovation et de la Recherche à la SNCF montrera l’évolution de la haute technologie du ferroviaire français.

Une séance d’information sur le don du sang est prévue de 17h à 18h le vendredi 12 octobre au collège Georges Braque. Elle sera suivie d’un entretien avec le professeur Legrele qui apportera les réponses aux questions du public.

"La cellule en live" à la galerie commerciale de Cora Cormontreuil le mercredi 10 octobre.

Avize, exposition d’affiches du photographe Yann Arthus-Berrand, au collège Saint-Exupéry le samedi 13 octobre.

En savoir plus sur toutes les manifestations en Champagne-Ardenne sur www.fetedelascience.fr

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Si l’on parlait de la couche d’ozone ?

 

 

Didier Hauglustaine, directeur de recherche au CNRS et auteur de « Le trou dans la couche d’ozone est-il rebouché ? » sera à la médiathèque Croix-Rouge samedi 13 octobre à 14 h 30 pour une conférence.

Il y a une dizaine d’années, les médias révélaient une découverte scientifique inquiétante : la couche d’ozone, bouclier nécessaire à la vie sur Terre, se perçait au dessus de l’Antarctique…

Aujourd’hui, la réduction des gaz à effet de serre et la lutte contre le réchauffement climatique sont une priorité des gouvernements à l’échelle mondiale.

Si le grand public a été largement informé sur ces sujets, en revanche l’ulcération d’une partie de l’atmosphère ne fait plus la une des médias…

Cette opération s’inscrit dans le cadre de la Fête de la Science, une manifestation nationale, initiée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, soutenue en Champagne-Ardenne par le conseil régional et coordonnée par l’association Accustica.

Entrée gratuite à la médiathèque Croix-Rouge, 14 rue Jean-Louis-Debar, au pied du château d’eau de Croix-Rouge.

 

 

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Le rappeur Ol’Kainry à Croix-Rouge

 

Une tempête est annoncée sur le rap français avec Demolition Man et ses titres tueurs.

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Après son passage en mai dernier, le chanteur Ol’Kainry, rappeur de renommée nationale, a décidé de choisir l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge pour présenter « Démolition Man » , son troisième opus après « Les chemins de la dignité » sorti en 2004.

« Ce choix s’explique car Ol’Kainry avait apprécié la convivialité de notre équipe et surtout le contact direct avec le public rémois » justifie Thierry Farias, animateur musique chez Ethnic’s.

Avant une tournée dans toute la France début novembre, Ol’Kainry sera donc dans les locaux d’Ethnic’s, au château d’eau de Croix-Rouge, mercredi 10 octobre à partir de 14 heures (entrée libre).

Déroulement de la journée : mini concert d’Ol’Kainry pour présenter quelques titres de son nouvel album, séance de dédicaces, photos souvenirs avec les jeunes du quartier et enfin mini concert des ateliers de l’espace Ethnic’s.

Deux titres sont en écoute sur le skyblog officiel du rappeur : http://olkainry-officiel.skyrock.com

 

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Feux de voitures

 

 

Deux feux de voitures à signaler au cours de la nuit de vendredi à samedi : peu après deux heures du matin sur l’esplanade Hemingway (Val de Murigny) (une Ford Escort a propagé ses flammes à une Citroën stationnée à côté, ainsi qu’à des poubelles et à un poteau électrique), et vers deux heures et demie, une autre Ford Escort, place Dominique-Ingres (Croix-Rouge, photo).

 

 

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Violence en plein cœur de Reims

 

Après la bagarre entre bandes de quartiers différents, la violence des jeunes s’est cristallisée contre les policiers. Charles Lantenois

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Des barrières de chantier ont été renversées. A.P

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À la suite de l’affrontement entre deux bandes de jeunes, le centre-ville de Reims a connu hier après-midi de longues minutes d’une ambiance très électrique.

« MAMAN qu’est-ce qui se passe, on dirait que ça se bagarre en ville ? » Il est aux alentours de 16 h 30. Cet ado vient de passer par le centre-ville de Reims, la place du Théâtre et la rue de Vesle. Il n’est pas le seul à se demander ce qui arrive.

Si certains passants rigolent, d’autres affichent un masque d’inquiétude. D’un côté des policiers qui barrent la rue, certains équipés de casques et de boucliers ; face à eux, à une cinquantaine de mètres, tout un attroupement, constitué de jeunes pour l’essentiel. Entre les deux, un espace vide, jonché de débris de cailloux. Sur le côté, certains magasins ont baissé leur rideau.

« Au départ, c’est un affrontement entre bandes de différents quartiers qui a dégénéré », résume le commissaire de police ; pourquoi, on ne le saura sans doute jamais vraiment. Les suites d’une première bagarre entre jeunes filles un peu plus tôt dans l’après-midi (voir par ailleurs) ? « Ensuite, quand la police est arrivée, classique, ils se sont cristallisés contre nous à la suite d’une interpellation » poursuit le commissaire.

Les policiers ont calmé le jeu, laissant la foule se disperser peu à peu. La situation se normalisait en début de soirée, mais pendant de longues minutes, pendant le face à face entre les forces de l’ordre et l’attroupement, l’ambiance était électrique.

Les bus restaient bloqués par la foule. Une tentative de la police pour leur dégager le passage resta sans succès. Quelques cailloux volaient. Un sac-poubelle public s’enflamma. Des barrières de chantier furent écroulées. L’ambiance se détendit peu à peu. Des garçons improvisèrent une partie de ballon. Quand les badauds comprirent qu’il ne se passait plus rien, ils quittèrent les lieux.

Est-ce l’effet Saint-Dizier ? se demandaient les autorités réunies sur place pour tenter d’expliquer le phénomène (la ville de Haute-Marne vient d’être le théâtre d’échauffourées dévastatrices, notre édition d’hier).

À Reims en tout cas, le bilan sera bien plus léger : pas de blessé, quasiment pas de dégâts en dehors du sac-poubelle brûlé… On retiendra surtout cette ambiance explosive, qui aurait probablement pu dégénérer à la moindre étincelle.

Antoine Pardessus

Jeunes filles en furie en plein centre-ville

Hier en début d’après-midi, vers 14 h 30, les garçons descendus en ville n’en ont pas cru leurs yeux : sur la place du Théâtre, ils ont brusquement vu des dizaines de filles se bagarrer.

« J’étais au Mc-Do, j’ai tout vu en direct, raconte avec amusement S., une vingtaine d’années : « On ne sait pas trop pourquoi, les filles se sont frappées, se sont mis des vraies droites, des gazeuses, pire que des garçons, c’était assez violent ! On se serait cru dans un film… » « Des tigresses en chaleur ! » commente un autre.

La castagne ponctuée de cris stridents, qui a médusé les nombreux badauds présents à ce moment-là, n’a heureusement pas duré très longtemps, la police s’est montrée mais n’a pas eu à intervenir. Et il n’y a pas eu de blessé.

Les avis étaient partagés sur l’origine des bagarreuses : Europe, pont de Witry, Croix-Rouge ? Il semble qu’il s’agisse là d’une simple querelle entre quartiers.

Inquiétant tout de même de voir cette violence déferler en pleine ville…

A.P.

Les TUR débrayent

Suite aux incidents qui se sont déroulés hier après-midi au pied du Théâtre et rue de Talleyrand, le service des bus des TUR a été suspendu dans la soirée.

En ce dimanche, ce service devrait encore connaître des perturbations. Les voyageurs ont intérêt à se renseigner avant d’envisager un déplacement.

Dans la soirée, Jean-Louis Wiart, sous-préfet de Reims, a « regretté que les TUR aient fait usage de leur droit de retrait ». Pour le représentant de l’État, « rien, aucune raison ne pouvait motiver cette décision samedi (hier) soir ».

Après contact avec la direction des TUR, une réunion avec les syndicats devrait être organisée la semaine prochaine.

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Violences urbaines : la tension est retombée

 

La poussée de fièvre de samedi après-midi en plein centre-ville, qui a causé des frayeurs aux commerçants, est retombée hier. Les autorités veulent dédramatiser et éviter la surenchère

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Ça s’est passé en plein centre-ville, place du Théâtre, rues de Vesle et Talleyrand.

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Dès la fin de la bagarre, les réparations ont commencé pour les vitrines brisées.

J.F.Scherpereel

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HIER matin, Reims avait retrouvé son calme. Plus aucune trace du face-à-face électrique entre bandes de jeunes et policiers survenu la veille, samedi après-midi.

Ça s’est passé en plein centre-ville, place du Théâtre, rues de Vesle et Talleyrand, et la tension et l’effet de foule avaient suscité quelque inquiétude parmi les commerçants (notre édition d’hier, et voir aussi par ailleurs).

Plus aucune trace ? Si, peut-être une : une vitrine endommagée, et puis cette affichette à un arrêt de bus, annonçant que ceux-ci ne circuleraient pas pendant la journée d’hier.

Bloqués mais pas attaqués

Mais rien de plus. Plus de débris de cailloux sur la chaussée : les balayeuses municipales étaient intervenues très vite au moment la dispersion de l’attroupement, contribuant d’ailleurs à celle-ci ; le sac-poubelle public brûlé était déjà remplacé ; les barrières de chantier écroulées, soigneusement repliées.

Alors, non-événement, comme l’estimait hier matin le sous-préfet, soucieux de dédramatiser les choses ?

« Il faut arrêter de se faire peur », commentait-il à l’attention de l’adjoint Roger Vache, sur le perron de la mairie, en attendant une cérémonie officielle ; et au maire qui lui demandait si les bus des Tur avaient été attaqués : « Non, rien ! »

D’où la colère du représentant de l’État devant le mouvement de grève déclenché aussitôt par l’entreprise de transports collectifs. Le sous-préfet reconnaissait seulement que les bus avaient été longuement bloqués par la foule ; « le plus dur, ajoutait-il, ça aura été de dégager le carrefour ! »

Pas de rechute nocturne

Au commissariat, le bilan officiel allait hier matin dans le sens du « dégonflement » de l’événement : une seule fêlure de vitrine (en réalité, il y en aurait eu au moins deux), et une seule interpellation, pour outrage à agent, celle d’un mineur impliqué dans la bagarre entre bandes qui avait tout déclenché.

On aurait pu toutefois craindre une « rechute » à la faveur de la nuit, et de l’euphorie de la victoire des rugbymen français ; il n’en a (presque) rien été.

Certes, quelques feux de poubelles et de voitures sont bien intervenus (voir aussi en page faits divers).

Et curieusement, pratiquement tous localisés dans le quartier Croix-Rouge, quartier où réside le jeune interpellé de l’après-midi…

Mais à peine plus que certaines autres nuits rémoises, et rien en tout cas qui ait dégénéré en agressions ou provocations.

Cette poussée de violence du 6 octobre 2007 en plein cœur de la ville n’aura-t-elle donc été qu’un « épiphénomène » comme le dit aussi le maire ?

Ou la partie émergée d’un iceberg bien plus discret mais aussi bien plus considérable ? L’avenir le dira.

Antoine Pardessus

Épiphénomène et non-événement ?

Le maire Jean-Louis Schneiter : « Il ne faut surtout pas gonfler les choses ; des jeunes se sont battus dans le centre-ville, et les choses se sont envenimées, mais la police a parfaitement réagi, en évitant d’aggraver la situation. À mon sens, il s’agit d’un épiphénomène qu’il ne convient pas de monter en épingle. Les médias ont leur part de responsabilité pour éviter les risques de surenchère entre jeunes. »

Le sous-préfet Jean-Louis Wiart : « Un non-événement. C’est du niveau d’une cour de récréation mal maîtrisée, avec 150 à 200 gamins réunis au même endroit, malheureusement mal choisi. Ça me rappelle personnellement les blagues qu’on faisait au lycée : on allumait des cocottes en papier, et on criait au feu ! Les surveillants arrivaient, et il n’y avait rien… car après l’interpellation, il ne s’est plus rien passé. »

Recueilli par A.P.

Les commerçants ont eu peur

« Ils étaient bien 200. Ils se tapaient comme des malades. J’ai eu la peur de ma vie ».

Comme ses voisines, cette commerçante du milieu de la rue de Talleyrand n’en revenait toujours pas, en quittant son magasin samedi vers 19 h 15.

Comme ses voisines, elle a fermé boutique au plus fort de la bagarre, invitant ses clientes à ne pas sortir.

Plus généralement, les commerçants ont subi les débordements des « jeunes » de samedi après-midi.

Rideaux baissés

« C’est moi qui ai prévenu la police. Ça se bagarrait devant moi », explique le commerçant ambulant dont l’étal était en première ligne au début de la rue de Vesle.

Lui n’a pas eu peur, affirme-t-il, en dénonçant « la violence gratuite. C’est complètement stupide ».

Un peu plus bas, à l’entrée de la galerie marchande, deux autres commerçants commentaient les faits à l’heure de la fermeture.

L’un a continué son activité, « mais j’ai gardé ma clé à la main », au cas où.

L’autre a demandé à l’ensemble de ses magasins — pourtant situés hors de la zone en effervescence — de baisser le rideau.

Même réaction aux Galeries Lafayette. « Des jeunes ont commencé à entrer, provoquant un brouhaha », raconte une vendeuse.

« Notre directeur a eu un très bon réflexe en faisant fermer immédiatement le magasin. Les jeunes ont donné des coups de pied dans les grilles, mais rien n’a été cassé ».

Le directeur a attendu que ça se calme avant de laisser partir son personnel, après une journée écourtée.

Immédiatement après la fin de l’affrontement entre les jeunes, une armée de balayeuses a nettoyé le champ de bataille dont le sol était jonché de cailloux et de pavés, preuves de la violence de certains.

Ensuite sont venus les vitriers qui ont consolidé les vitrines cassées. Tandis que des ouvriers rangeaient les barrières de chantier qui avaient valsé.

En fin de journée, de nombreux petits groupes de jeunes stationnaient encore dans le secteur du théâtre.D’autres attendaient patiemment un bus qui ne viendrait pas…

J.F.Scherpereel

Feux nocturnes : un prolongement de l’après-midi de samedi ?

Une série d’incidents, principalement feux de poubelles et de voitures, ont émaillé la nuit rémoise de samedi à dimanche.

Coïncidence : ils étaient pratiquement tous localisés sur le quartier Croix-rouge, c’est-à-dire celui du jeune homme interpellé un peu plus tôt dans l’après-midi, à l’occasion de l’affrontement entre bandes en plein centre-ville, qui avait ensuite provoqué une tension certaine du côté de la place du Théâtre (voir par ailleurs dans nos pages Reims).

La série débutait pendant le match de rugby France-Nouvelle Zélande, vers 22 heures, par un feu de véhicule (un Ford Transit) du côté du lycée Arago ; elle se poursuivait par une tentative de sabotage sur un boîtier électrique dans l’avenue du Général-Bonaparte vers 23 heures ; quelques minutes plus tard, dans la même avenue, une poubelle s’enflammait.

La police, vigilante, procédait alors à des interpellations.

Vers minuit et demie, poubelle en feu au rez-de-chaussée d’un immeuble dans l’allée des Bourguignons.

Dix minutes plus tard, l’avenue du Général-Bonaparte se signalait à nouveau par un feu du même genre dans le local d’un immeuble.

Des détritus s’enflammaient un peu après une heure allée des Limousins.

Nouveau feu de poubelle dans l’allée Chopin un peu avant une heure et demie.

Rebelote dans la rue de Dunkerque un peu avant deux heures.

Enfin, vers 4 heures, une Volvo devenait la proie des flammes dans un parking souterrain de l’allée des Bourguignons déjà citée.

Une Renault Espace qui avait la malchance d’être garée à proximité souffrit elle aussi des flammes, en particulier au niveau de son porte-bagage de toit.

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« C’était pas préparé samedi la bagarre est partie comme ça »

 

Tous les jeunes adolescents interrogés sont unanaimes : "c’est parti d’une embrouille entre jeunes de plusieurs quartiers".

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Les désordres ont continué dans la soirée et plusieurs véhicules comme cette camionnette ont en fait les frais.

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« Le jeune arrêté n’est pas celui qui avait insulté les flics » assurent Farid et la plupart des jeunes de Croix-Rouge.

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Acteurs ou témoins, les gamins de Croix-Rouge donnent leur version des échauffourées qui ont affolé le centre-ville ce week-end.

ÇA cause à Croix-Rouge. Ça cause de ce qui s’est passé samedi au centre-ville puis dans le quartier quelques heures plus tard.

Ceux qui en étaient sont presque tous collégiens. Pas des bandits, des gamins pour qui la bagarre est devenue ordinaire et qui l’évoquent en toute insouciance. « Au collège on en a au moins une par semaine. C’est la routine ». Celle de samedi au centre-ville n’avait rien de pire qu’une autre : « C’est parti de rien, juste une embrouille qui a dégénéré », racontent plusieurs acteurs et témoins de « l’émeute ». À quelques détails près, tous ont la même version des événements.

L’embrouille aurait commencé à 13 h 30 « entre des filles d’Europe et de Croix-Rouge. Elles avaient rendez-vous pour s’expliquer rapport à des insultes échangées sur Internet ».

L’explication aurait été violente, « une des filles saignait ». L’affaire a duré et vers 16heures, ce sont les garçons qui auraient pris le relais : « C’est à 16 h 30 que tout a mal tourné, des garçons de Wilson et Pont de Witry se sont battus. Pont de Witry et Wilson, ils ont jamais pu s’encadrer. C’est une histoire de harki à l’origine ». Et la police est arrivée.

« On a été gazé »

Pauvre police qui en un rien de temps est devenue l’ennemi commun : « Il y a un type de chez nous qui s’est mis à insulter un keuf. Le policier, il a empoigné un petit de 14 ans qu’était là et l’a mis à terre. Seulement c’était pas lui qu’avait lancé l’insulte alors nous on s’est aussi lancé dans la bagarre. C’était trop injuste qu’ils en prennent un qu’avait rien fait ».

Des pierres ont fusé, « on a été gazé », les magasins ont tiré les grilles. « Moi, je me suis retrouvé enfermé dans le C & A.Il y en a qui en ont profité pour piquer des trucs ».

Dispersion générale, retour au calme, chaque « bande » rejoint ensuite son quartier. Mais les désordres auraient continué un peu plus tard à Croix-Rouge. « Le soir, on a remarqué qu’il y avait plein de policiers. Il y en a un qui a vu un jeune qui allumait du feu pour brûler une poubelle ou autre chose, il l’a coursé dans les rues ». La course a fait rameuter les troupes : « On s’est retrouvé à caillasser les policiers. Même qu’un inspav (ndlr : inspecteur) a pris une pierre dans la tête et qu’il saignait ». « Ils en ont arrêté pas mal du côté de la Rafale ». Bilan de la nuit : une camionnette brûlée devant le lycée Arago et onze voitures cramées dans un garage. « Samedi prochain, ça peut être pire. »

Catherine Frey et Mathieu Livoreil

Une querelle entre filles qui aurait dégénéré

Les policiers y voient un peu plus clair dans l’enchaînement des faits qui ont abouti aux violences de samedi après-midi.

Selon eux, tout a commencé vers 15 heures avec une banale altercation entre filles. Leurs amis respectifs s’en sont mêlés. D’après les renseignements recueillis, la rixe opposait alors des jeunes de Wilson au Pont-de-Witry qui s’étaient dispersés avant même l’arrivée de la police.

Même scénario lors d’une seconde altercation une heure plus tard. Vers 16 h 45, en raison d’une foule de plus en plus importante, les bus n’arrivaient plus à circuler.

C’est en voulant dégager la place que les policiers ont essuyé des outrages ainsi que des jets de pierres provenant d’une rue adjacente. Plusieurs minutes confuses ont suivi avant le retour au calme et la dispersion de la foule.

Bilan : deux vitrines étoilées, un jeune de 14 ans soupçonné d’outrages interpellé (originaire de Croix-Rouge, il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants).

Un phénomène qui n’était pas prévu

Les événements de samedi ont pris de court les autorités.

« Autant nous nous attendions à des violences à Saint-Dizier car la situation y était tendue depuis plusieurs semaines, autant il n’existait à Reims aucun signe avant- coureur de ce qui s’est passé samedi. Les quartiers sont calmes en ce moment » indique le directeur régional des Renseignements généraux*, Michel Ancillon, lequel précise qu’il n’y a « rien de comparable » entre les événements de Saint-Dizier et ceux de Reims.

« Ils n’ont pas la même ampleur. A Saint-Dizier, c’était prémédité tandis qu’à Reims, on a plutôt l’impression d’un phénomène spontané. »

Le directeur des RG nuance également la notion de « bandes ». « Il n’existe pas à Reims des bandes tel qu’on l’entend dans les quartiers difficiles de la région parisienne. Nous avons plutôt des groupes qui fonctionnent par affinité mais des bandes structurées, non ! En revanche, à l’occasion d’un événement factuel, deux groupes qui ne fonctionnent pas ensemble habituellement peuvent se rapprocher, par exemple sur la base d’une solidarité de quartier. Nous ne savons pas encore si cela a joué samedi. »

La cessation des hostilités entre protagonistes pour s’en prendre conjointement à la police n’a en revanche surpris personne au commissariat. « Quand ils se bagarrent entre eux, ils ne supportent pas qu’on vienne se mêler de leurs affaires. Se retourner contre le flic lorsqu’il arrive, c’est vieux comme le monde » assure un policier rémois.

F.C.

* Le suivi des violences urbaines est actuellement l’une des missions des RG.

La place du Théâtre un lieu stratégique

Fin connaisseur de la délinquance rémoise, ce policier explique pourquoi les violences de samedi ont éclaté place du Théâtre et non ailleurs au centre-ville.

« Tous les quartiers convergent à cet endroit via le réseau des bus. Si les jeunes des quartiers veulent se battre, se retrouver pour chercher querelle, il n’y a pas meilleur endroit. »

Un autre policier relève un deuxième facteur susceptible d’aggraver les risques de conflits. « La place du Théâtre pose un problème d’occupation de la voie publique qu’il va falloir gérer. Elle n’est plus irriguée par la circulation, à part celle des bus. C’est devenu un point de rassemblement central, un lieu de stationnement des gens et non plus un lieu de transit. Cela favorise tous les regroupements. »

Des rixes y sont signalées régulièrement, surtout le soir entre petits groupes antagonistes, mais jamais elles n’avaient dégénéré avec l’ampleur qu’on a connu samedi.

F.C.

Incendies et accidents

Les pompiers n’ont pas chômé depuis samedi soir avec une série d’accidents et d’incendies survenus un peu partout en ville.

Plusieurs ont déjà été relatés dans notre précédente édition.

Ce samedi vers 19 heures, la série s’est poursuivie avec deux piétons renversés au même moment, le premier par un deux-roues esplanade Paul-Cézanne (il s’est relevé indemne), le second par une voiture rue du 106e R.I. à Orgeval (il s’agit d’un enfant de 10 ans légèrement blessé).

Dimanche à 16 heures, les pompiers sont intervenus sur la piste de motocross de Fresnes-lès-Reims où un motard de 21 ans s’est blessé lors d’une mauvaise chute.

A 18 h 15, deux scooters ont été incendiés dans un garage souterrain de la rue de Solferino à Reims. Ils sont probablement volés.

Et ça continue…

Hier matin à 8 h 50, le pilote d’un deux-roues a refusé son transport à l’hôpital après un choc avec une voiture rue Noël.

A 13 h 30, un feu de cave s’est déclaré au 10 rue Jeanne-Jugan à Murigny. Un ascenseur s’est bloqué au même temps au sixième étage. Dégagés par les pompiers, les occupants légèrement incommodés par la fumée n’ont pas eu besoin d’être emmenés à l’hôpital.

A la même heure, les pompiers de Verzenay ont été appelés pour un accident de travail dans un vendangeoir de Rilly-la-Montagne, rue de Chigny.

Occupé à couper un parpaing avec une disqueuse, un ouvrier de Châtillon-sur-Marne, Jaime Gomes Ferreira, 48 ans, est tombé d’une échelle.

Il a fait une chute de près de trois mètres lui occasionnant de légères blessures aux jambes, au front et à un doigt. Il a été transporté au CHU de Reims.

Enfin, hier entre 16 h 20 et 16 h 40, trois collisions se sont produites en seulement vingt minutes à Reims, la première place Mozart (auto-moto), la deuxième rue Vernouillet (entre voitures), la dernière rue de Rilly-la-Montagne (piéton renversé).

Elles auraient fait chacune un blessé.

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Des policiers en surveillance place du Théâtre

 

Ironie du sort : la présence quotidienne depuis lundi d’une patrouille de police en surveillance fixe place du Théâtre a été décidée… avant même les violences du week-end. Photo : Gérard Péron

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Les nombreux passants du centre-ville ont certainement remarqué depuis lundi la présence d’une patrouille de la police nationale en point fixe place du Théâtre chaque après-midi et en début de soirée.

« Première réaction visible à la suite des événements de samedi », pourrait-on penser.

Eh bien non ! Ironie du sort, cette présence policière fut décidée… avant même les violences du week-end.

Un lieu propice aux rassemblements

« Nous avions remarqué depuis quelque temps déjà que la place du Théâtre, point de convergence de tous les bus, était devenue une véritable gare routière en plein centre-ville, lieu propice aux rassemblements », explique le commissaire Jean-Jacques Dron, directeur départemental de la sécurité publique.

« Je l’évoquais déjà dans une note de service du 2 juillet. Une présence policière s’imposait pour assurer une sécurisation des lieux.

En collaboration avec le procureur de Reims, la police municipale et les Tur, nous avions donc décidé de mettre en place un point de prévention lisible, c’est-à-dire la présence permanente d’une patrouille de la sécurité publique place du Théâtre, de préférence aux heures de grande affluence, pour intervenir en amont dès la moindre friction. »

Calendrier devancé

Manque de chance ! Les derniers détails furent réglés le jeudi 4 octobre pour un démarrage de l’opération à compter du lundi 6, un calendrier devancé de 48 heures par les fauteurs de troubles…

Confirmée rétroactivement par les faits, la mise en œuvre cette présence policière depuis lundi sera adaptée en fonction des besoins, indique le commissaire Dron.

Un adolescent de 14 ans arrêté pour un feu de poubelle

Comme relaté dans l’union de lundi, plusieurs incendies ont émaillé la nuit de samedi à dimanche au quartier Croix-Rouge

Une interpellation a été effectuée : celle d’un mineur de 14 ans accusé d’avoir mis le feu à une poubelle avenue du Général-Bonaparte vers 23 h 30.

Déployée dans le quartier en prévision d’éventuels incidents suite aux violences survenues l’après-midi place du Théâtre, la brigade canine a repéré quatre jeunes gens qui ont jeté un papier enflammé dans le conteneur.

Seul le mineur de 14 ans a pu être rattrapé. Il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants. Il habite dans le même secteur que l’adolescent interpellé pour outrages lors des incidents place du Théâtre.

Le bilan des violences urbaines établi par la direction départementale de la sécurité publique pour le quartier Croix-Rouge durant la nuit de samedi à dimanche est de sept faits : un coffret électrique fracturé, quatre feux de poubelles et deux feux de véhicules (le fourgon Ford Transit devant le lycée Arago, une Volvo dans un garage allée des Bourguignons).

La rumeur court

Des enquêtes sont en cours à la sûreté départementale de Reims.

Elle court, elle court la rumeur. Plusieurs collégiens évoquaient entre eux « onze voitures brûlées » dans un garage et un « inspecteur » blessé à la tête par un jet de pierre (l’union d’hier), affirmations démenties par le commissariat. « Aucune violence n’a été exercée cette nuit-là sur nos personnels » indique le commissaire Jean-Jacques Dron.

Depuis, la situation est redevenue pratiquement calme sur le front des violences urbaines. Aucun feu n’a été signalé dans la nuit de lundi à hier.

Seuls incidents : un bus des Tur a essuyé un jet de pierre boulevard des Phéniciens aux Châtillons (vitre étoilée) ainsi qu’un équipage de la police municipale à Orgeval (le projectile ne l’a pas touché).

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l’union071021b

Des policiers plein le centre-ville

 

Des fourgons garés aux endroits stratégiques avec des hommes prêts à intervenir.

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Une bonne dizaine de couples de policiers a patrouillé tout l’après-midi dans le centre-ville

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L’épisode 3 des désordres au centre-ville le samedi n’aura pas eu lieu. Les gamins des quartiers se sont faits tout petits devant une présence policière hors du commun.

DRÔLE d’ambiance, hier après-midi, au centre ville. Pas moyen de faire deux pas sans croiser un couple de policiers en patrouille. Ils étaient partout. Même à l’intérieur des Galeries-Lafayette.

Deux fourgons, l’un à côté du théâtre, l’autre au bout de la place d’Erlon, ont stationné tout l’après-midi. À l’intérieur on pouvait apercevoir le parfait équipement du CRS assiégé.

Tout avait été prévu pour faire avorter dans l’œuf une éventuelle « émeute » entre jeunes de différents quartiers. Après deux samedis mouvementés, les forces de l’ordre s’attendaient à un troisième épisode.

Les commerçants aussi. En début d’après-midi, les vendeuses d’Armand-Thierry jetaient un œil inquiet aux rassemblements de jeunes qui s’épaississaient devant le théâtre. Chez Foot Locker, on avait prévu de fermer le rideau à la première alerte.

Lacoste sur le qui-vive

Tout le personnel, directeur inclus, était présent dans la boutique Lacoste. Encore à commenter leur frayeur de samedi dernier : « Vers 18 heures, une quarantaine de jeunes ont essayé de casser la vitrine à coups de pieds, heureusement elle a tenu bon. Il y avait des clients à l’intérieur avec des enfants, ils ont eu peur ».

La vitrine rescapée mais endommagée était fermée, hier, par un rideau de fer.

Une bande de 40 jeunes ont tenté de casser une vitrine de chez Lacoste samedi dernier. Hier, la même vitrine était fermée par un rideau de fer.

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Dans la galerie Clair-Maret, son propriétaire Laurent Cordier montait la garde : « Je suis là pour pouvoir fermer rapidement si on voit que ça bouge. Samedi dernier, une bande a traversé la galerie en courant et en criant. Ils n’ont rien volé mais une vitrine a été cassée à la sortie ». Un épisode pas vraiment traumatisant pour les clients : « S’il s’était s’agit d’un bizutage, cela aurait eu le même effet. Ce n’était que des gamins ».

D’autres bruits de pillage de magasin ont circulé toute la semaine mais il s’agissait surtout de rumeurs infondées ou de simples vols qui ont été amplifiés de bouche en bouche. Preuve qu’une petite psychose du samedi après-midi s’installe dans les commerces.

Comme dans cette parfumerie où une employée met en garde une cliente : « Méfiez-vous, il est prévu que les émeutes recommencent aujourd’hui. Je vous conseille d’éviter la rue de Vesle ».

Il n’en a rien été. Il y avait sans doute bien trop de policiers.

C.F.

 

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l’union071029b

Service d’ordre

 

La police avait déployé un service d’ordre plus conséquent que la normale, samedi après-midi, dans le centre-ville.

Aucun incident n’a été à déplorer.

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l’union071005b

Croix-rouge : Les marcheurs du dimanche reprennent leurs randonnées

 

En tête avec son bâton, Vincent Girardin, amoureux de la nature.

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Président de l’espace Watteau, Vincent Girardin est aussi organisateur et accompagnateur des randonnées familiales « les marcheurs du dimanche » et, à l’issue d’une première réunion de travail, il vient d’élaborer le programme des sorties jusqu’en février 2008, sous les réserves d’usage climatologiques ou événementielles.

- 28 octobre : direction Trépail, départ à 8 h 15.

- 4 novembre : direction le lac du Der pour la journée complète, départ 7 heures, prévoir le repas tiré du sac.

- 25 novembre : direction Hermonville, départ à 8 h 15.

- 9 décembre : direction Germaine, départ à 8 h 15.

- 20 janvier : « rando rémoise », départ à 8 h 15.

- 3 février : direction Rilly-la-Montagne, départ à 8 h 15.

- 17 février : direction Saint-Martin-d’Albois, départ à 8 h 15.

Le prochain programme sera établi début février.

Toutes ces randonnées sont des sorties « douces », « pour se détendre en famille ou entre amis, sans esprit de compétition, dans la bonne humeur et la convivialité ».

Covoiturage possible sur inscription préalable.

Renseignements :

- au secrétariat de l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau

- Tél. 03.26.36.03.50.

- Des photographies des randonnées pédestres de l’Espace Watteau sont disponibles dans notre galerie de photos

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La semaine des associations

 

Goûter chantant

Il sera organisé ce vendredi, avec le chanteur Yannick Delaunay, à la résidence de personnes âgées Arfo Maurice-Utrillo (12 bis, place Maurice-Utrillo) de 15 à 17 heures. Des informations sur les activités dans le quartier pour les seniors seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations tous publics

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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AVIS D’APPEL D’OFFRES

 

AVIS D’APPEL D’OFFRES

1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.

3. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprise individuelle.

4. Objet du marché : marché d’entretien et de maintenance de 58 ascenseurs.

5. Nature des travaux : le marché se compose en 2 lots :

    • Lot n° 1 : territoire nord pour 33 appareils ;
    • Lot n° 2 : territoire sud pour 25 appareils.

Le candidat remettra une offre par lot, sachant qu’il pourra être retenu pour un ou deux lots.

6. Date prévisionnelle de début des prestations : les presta¬tions débuteront au plus tôt le 2 janvier 2008.

7. Durée du marché : le marché aura une durée de 5 ans dont la première année en période d’essai. Il expirera le 31 décembre 2012, date à laquelle il ne sera pas renouvelable.

8. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A., 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24 ; fax : 03.26.07.37.61.

Les dossiers seront disponibles à compter du jeudi 4 octobre 2007.

9. Date limite de remise des offres : le lundi 26 novembre 2007, à 17 heures, délai de rigueur.

Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

Indications à porter sur l’enveloppe : « Appel d’offres : marché d’entretien et de maintenance 2008 - 58 appareils ». « Ne pas ouvrir ».

10. Présentation des offres : elle devra être conforme au modèle remis dans le dossier d’appel d’offres et comporter tous les documents demandés au R.P.A.O.

11. Jugement des offres : les critères de sélection de offres par la commission d’appel d’offres se fonderont sur :

1. Le montant global de l’offre.

2. Le respect des performances demandées.

3. Les garanties professionnelles, financières et de qualité des candidats.

4. Les références du candidat.

12. Renseignements :

Par courrier ou par fax (03.26.84.36.19) à : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, M. ALEXANDRE.

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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Organisme passant le marché : PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France.

Contact : Monsieur Alain NICOLE.

Référence du marché : MA-071007.

Objet du marché : logements personnes handicapées et âgées 2008 (marché de travaux de rénovation des logements pour des personnes handicapées ou âgées suivant un avis d’ergothérapeute à Reims).

Date limite de remise des offres : 29/10/2007 à 17 heures.

Autres informations : les dossiers sont disponibles gratuitement :

–** sur support papier sur demande écrite (par fax ou e-mail) à partir du 4 octobre 2007 et jusqu’au 24 octobre 2007 à 17 heures :

    • Auprès de PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, service marchés, Mme GALLOIS ou M. MEUNIER, 7, rue Marie-Stuart à Reims. Télécopie : 03.26.04.98.12.

E-mail : service.marches@effort-remois.com.

Date d’envoi à la publication : le 4/10/2007.

Adresses complémentaires :

    • Renseignements d’ordre administratif : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, Madame Nadine GALLOIS 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France.Tél. 03.26.04.99.05.

Fax 03.26.04.98.12.

Courriel : n.gallois@effort-remois.com

    • Renseignements d’ordre technique : PLURIHABITAT L’EF¬FORT RÉMOIS, Monsieur Pierre DUMONT 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France. Tél. 03.26.04.98.37.

Renseignements relatifs aux lots : marché alloti. Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.

    • Lot 1 : plomberie - CF CCTP.
    • Lot 2 : électricité - CF CCTP.
    • Lot 3 : menuiserie intérieure - CF CCTP.
    • Lot 4 : maçonnerie - CF CCTP.
    • Lot 5 : peinture, revêtement de sol, carrelage - CF CCTP. Lot 6 : menui-serie extérieure - CF CCTP.
    • Lot 7 : serrurerie - CF CCTP.
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l’union071004a

Les Atlatistes font un bon début de saison

 

L’ossature est renforcée par l’arrivée de quelques nouveaux joueurs et d’un nouvel entraîneur.

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Excellentissime début saison pour les Atlatistes qui viennent d’écraser Berru Lavannes 16-0 dans le cadre du premier tour de la coupe Promo Club. L’année dernière, les poulains du président d’Hichem Boussoufi avaient terminé deuxièmes de la troisième série du District Marne de foot.

Pour la nouvelle saison, l’ossature est renforcée par l’arrivée de quelques nouveaux joueurs et d’un nouvel entraîneur en la personne de Noredine Lakbachi (ancien joueur au Stade de Reims). « Sa présence donnera au club une nouvelle impulsion, un nouvel esprit. Il doit notamment travailler sur la discipline, la rigueur, la concentration et l’esprit d’équipe de notre formation, avec l’objectif d’assurer la montée en deuxième série. Nous voulons finir parmi les deux premiers de la poule. »

Un objectif sportif qui ne doit pas faire oublier la pérennisation de certaines actions (telles que la lutte contre la violence, le racisme et l’incivilité) menées en partenariat avec les Maisons de quartier, la Licra, la Ville de Reims ou encore le District Marne de football.

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l’union071004c

Des locataires investis

 

A Croix-Rouge le numéro 2 de « QCR-infos » a été imprimé à 2.200 exemplaires et distribué.

Un édito sur le bon comportement à adopter en matière de déchets (les encombrants, les papiers et autres sacs poubelles…) ; un sujet sur la coupure d’eau chaude annuelle, orchestrée par la Soccram ; un sujet sur le coût du verre brisé des portes d’accès aux immeubles.

Les réflexions continuent

Que fait l’organisme logeur, les délais de réparation, le coût d’une vitre, les immeubles les plus touchés, qui paie la facture, que doivent faire les locataires, etc. ; un sujet sur le retour des étourneaux dans nos arbres (ils sont en avance, comme les vendanges…).

Toute candidature d’un locataire du quartier à ces groupes de volontaires est la bienvenue, pour travailler ensemble à l’amélioration de la qualité de vie sur le secteur Université :

- fonctionnement général et entretien des immeubles et des espaces extérieurs ;

- relations de voisinage, respect des règles de vie en commun, meilleure communication entre habitants et organisme logeur, animation du quartier ;

- rénovation urbaine, restructuration des bâtiments, des parkings souterrains, démolitions, aménagements des voies et espaces verts…

Renseignements au point accueil Croix-Rouge de Reims Habitat, 46 avenue du Général-Eisenhower (Tél. 03.26.08.16.07.)

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l’union071004b

Animations et infos aujourd’hui

 

Le monde de Moussa

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans. Il sera présenté ce matin de 9 heures à 11 h 30, à l’espace Billard.

Il est réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons.

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, aujourd’hui de 15 à 19 heures. Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur ce parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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l’union071004a

Croix-Rouge : Un outil pour tous : le Point Info familles

 

Elham Kouch, animatrice familles, prend en charge le nouveau Point info familles.

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Dans le cadre de ses fonctions d’animatrice famille de la maison de quartier Croix-Rouge sur le secteur Pays-de-France, Elham Kouch confirme l’ouverture du Point Info famille à l’antenne municipale Croix-Rouge, 1 rue Joliot-Curie depuis le 1er octobre.

« La labellisation nous a été accordée avec une intervention à l’antenne trois fois par semaine : lundi et vendredi de 14 à 16 heures et jeudi de 9 à 11 heures » explique-t-elle.

Le Point info famille est un service gratuit à la population (adultes) de tout le quartier Croix-rouge, d’Université à Croix-du-Sud. Les habitants y trouveront les mêmes services qu’à l’Espace info famille de la rue des Capucins, près de la Caissse d’allocations familiales.

« Le Point info famille sera un espace de renseignements et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé et les loisirs. Nous y mettrons des ordinateurs à disposition pour réaliser des CV et consulter sur Internet ».

 

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l’union071003d

ANNIVERSAIRE : Jean-Jacques LAPIQUE

 

 

 

Voilà un an que la maladie t’a mis au repos, toi qui l’a toujours repoussée.

Tu me manques énormément.

Merci à ceux qui continuent de t’honorer.

Jeannine, ta compagne.

 

 

 

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l’union071003c

Judokas et jujitsukas sont de retour à François-Legros

 

Les compétiteurs du club et leurs sponsors.

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« Le traditionnel gala de fin d’année de l’association sportive Croix-Rouge, section judo, n’a pu être mis en place, la ville de Reims ayant décidé de fermer le gymnase François-Legros début juin pour des travaux. Nous n’avons donc pas pu faire ce gala, ni finir les cours » regrette Corinne Launois, bénévole du club.

Depuis, les sections judo et jujitsu self défense ont repris leurs activités. Les cours sont assurés par Mickaël Jourdan et Flavie Vidal, tous deux ceinture noire 2ème dan. Les entraînements du judo : les 5 - 6 ans, mercredi de 17 à 18 heures ; les 7 - 9 ans, mercredi de 18 heures à 19 h 15 ; les 10 - 13 ans, mardi et vendredi de 18 heures à 19 h 15 ; les ados et adultes, mardi et vendredi de 19 h 15 à 21 heures. Les cours de jujitsu, self défense ont lieu mercredi de 19 h 15 à 21 h.

Informations au 03.26.08.10.64. ou sur place, au gymnase François-Legros, 1 avenue du Président-Kennedy aux heures de cours.

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Un centre pour réussir son tennis et ses études

 

Le centre accueille cette année 9 internes, 7 extérieurs, 4 entraîneurs tennis et 1 préparateur physique.

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C’est l’an 2 du Centre de formation du Tennis club Géo-André. Situé au Creps de Reims et créé grâce au soutien de la Ville de Reims, des conseils régional et départemental et de la direction régionale Jeunesse et Sport, ce temple sportif accueille cette année 9 internes, 7 extérieurs, 4 entraîneurs tennis et 1 préparateur physique.

Il résulte du constat qu’il y a une tendance inquiétante à la déscolarisation dans le tennis.

« Cette déscolarisation est nécessaire quand on fait partie des meilleurs de sa catégorie, mais elle nous paraît dangereuse pour des joueurs qui sont seulement d’un bon niveau.

Il faut être extrêmement bon pour se déscolariser.

Le risque c’est bien sûr l’échec scolaire mais également la désocialisation qui en découle pour l’enfant », explique Anthony Petit, responsable du centre.

« Ce que nous voulons c’est emmener chacun de nos éléments à la réussite, de proposer un double objectif sportif et scolaire. »

Tout est mis dans ce sens : horaires aménagés ; études surveillées et tutorat, le soir ; entraînements placés en adéquation avec les impératifs scolaires.

Différentes catégories d’âge s’y côtoient et n’ont pas toutes le même niveau.

« A ce titre d’exemple, on a un garçon Yannick Goulleven qui, lui, a des prétentions nationales ; et dans les catégories 92-93, des bons joueurs de niveau régional.

C’est le cas de Valerian Bouchaud qui va être en seconde série l’année prochaine ou Claire Genin qui est championne de Ligue minimes.

Puis on a d’autres joueurs de niveau inférieur qui viennent là sans spolier leurs études. »

Jusqu’à ce jour on n’a déploré aucun redoublement.

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Semaine des associations à Croix-Rouge : aujourd’hui

 

Musique-danse

Un concert sera proposé en même temps qu’une exposition humanitaire dans la salle municipale Croix-Rouge (avenue François-Mauriac) ce mercredi, de 14 à 19 heures.

Des informations sur les activités dans le quartier pour les 12 - 25 ans seront délivrées à cette occasion.

Le ballon d’or

C’est un film franco-guinéen de Cheik Doukouré qui sera projeté dans la salle polyvalente du collège Joliot-Curie (2, rue Joliot-Curie), de 15 heures à 16 h 30.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

Brut et contemporain

Le collectif de réflexion individuelle et éthique organise une conférence-débat le jeudi 11 octobre à 21 heures au centre Antonin-Artaud, 40 rue de Talleyrand, sur le thème « de l’art brut à l’art contemporain », prononcée par Francis Bérezné, auteur de « Dit du brut », avec la participation de Thierry Delcourt, psychiatre, auteur d’« Au risque de l’art ».

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Une association pour un orphelinat

 

Les membres de l’association sur une brocante pour financer leurs projets.

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« La Lumière de l’obscurité » est une nouvelle association qui vient de se créer à Reims sous la présidence de Lania Ben Dellal, avec un objectif humanitaire.

Nous avons pris contact avec un centre d’orphelins au Niger ; dans les environs de Niamey » explique Sabrina Hadj, chargée de communication. « Nous aimerions nous rendre sur place pour convoyer l’argent, les vêtements, les fournitures scolaires et les médicaments que nous avons collectés. »

L’association lance un appel aux dons pour cette belle cause.

Renseignements au 06.25.94.81.85.

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Jeunes Talents 2007 : les lauréats

 

Comme chaque année, Pôle-Sud Musique, « réseau Musiques actuelles amateurs des Maisons de quartier de Reims », a organisé en partenariat avec La Cartonnerie et avec le soutien de la Ville de Reims, le dispositif « Jeunes talents ».

Après deux concerts de sélection à la salle municipale Croix-Rouge, les quatre groupes déclarés lauréats vont suivre une solide formation auprès de professionnels (ateliers artistiques et techniques, répétitions accompagnées, …), notamment lors d’une résidence à La Cartonnerie, avant de se produire en concert samedi 13 octobre au Cabaret.

Les Maracasse-pieds.

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Crazy Bear First Concept.

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RikTusS.

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Les Maracasses- Pieds

Réunis depuis 2006 autour des chansons de Lü et Mâ-ïne, les deux compositrices principales, les Maracasses-Pieds (5 musiciens : 4 filles et un garçon issus du Conservatoire et de la musique classique) mêlent la chanson française aux influences actuelles (jazz, musique contemporaine…), avec plein d’instruments, des gros, des petits, des moyens, à découvrir ou à redécouvrir !

RikTusS

Depuis plusieurs mois, RikTusS trimbale sa musique française dans Reims et ses environs.

Trois voix, un accordéon, deux guitares acoustiques, un violon, un piano et un saxophone : quatre amis musiciens désireux de faire partager leurs idées par le biais d’une musique populaire et festive.

Crazy Bear First Concept

Radical et sensible, Crazy Bear First Concept propose des compositions accrocheuses dans un style rock acoustique.

Composé d’une guitare, d’une batterie et d’un chant, le trio invite à découvrir un univers intense, libre et frappant grâce à la sincérité de ses textes et à l’originalité de ses mélodies.

Goha

Quatuor rémois fondé en octobre 2003, Goha évolue dans un style rock/métal. Les compositions du groupe sont le fruit des influences diverses de ses membres, de la chanson française au hardcore ! Il en résulte une musique tantôt calme, tantôt bien énervée selon l’émotion recherchée pour servir les textes ; ceux-ci sont en français et ont une place centrale dans le processus de composition.

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Semaine des associations : au menu ce mardi

 

Le monde de Moussa

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans. Il sera présenté à l’espace Pays-de-France (1, allée des Béarnais) ce mardi, de 13 h 30 à 17 h 30 (réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons).

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

Goûter chantant

Cette manifestation sera organisée avec le chanteur Yannick Delaunay, à la résidence de personnes âgées Arfo Lucien-Doyen (7, rue du Docteur-Billard) de 15 à 17 heures. Des informations sur les activités dans le quartier pour les seniors seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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Les dernières nouvelles du quartier

 

Portes palières

Reims Habitat annonce la poursuite et l’achèvement des travaux engagés dans les deux tours du quartier Hauts-de-Murigny, respectivement au 1, allée Antoine-Watteau et au 5, allée Yves-Gandon, par le changement des portes palières des logements. Une consultation des habitants est prévue sur le sujet.

Conseil de quartier

Au cours de la réunion du conseil municipal du lundi 24 septembre, Geneviève Kaczowka, présidente de l’association des locataires des Polygones et Fabrice Lopez, vice-président de l’association de locataires Club 47 ont été élus membres du conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche, dans la section des associations.

Subventions

En réunion du conseil municipal le 24 septembre, deux subventions ont été attribuées à Croix-Rouge : 394 euros à l’association Étoile Croix-du-Sud pour une sortie du club « Les après-midis de Croix-du-Sud » et 2.500 euros pour le fonctionnement de l’association « Des gestes pour se comprendre ».

Chambre de métiers

La chambre de métiers, 68 bd Lundy, assure gratuitement chaque jeudi à 14 h 30, des séances d’information à l’intention des créateurs d’entreprises artisanales afin de leur permettre de réaliser leurs démarches de constitution dans les meilleures conditions.

Chauffage

Le conseil général de la Marne va entreprendre des travaux sur les sous-stations de chauffage urbain et les régulations des réseaux de chauffage aux collèges François-Legros et Georges-Braque. A terme, meilleur chauffage et économies d’énergie.

Alphabétisation

Comme tous les ans, l’atelier alphabétisation de l’association des travailleurs maghrébins de France a repris dans le local ATMF du 6, allée des Picards.

« Cette action est lancée en direction des femmes ayant besoin d’apprendre à parler et (ou) à écrire la langue française » précise le président Mohammed El Haddaoui. Les cours sont gratuits et ont lieu le lundi et le jeudi de 14 à 16 heures. Renseignements, inscriptions au 03.26.36.68.43.

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Les Hauts-de-Murigny en réunion

 

L’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny, présidée par Maud Trefcon, réunira son assemblée générale ordinaire mardi 2 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau - 3, allée Antoine-Watteau.

« Nous existons depuis quelques années et nous essayons de travailler en partenariat avec Reims-Habitat et le collège Georges-Braque afin que les habitants de notre quartier connaissent de meilleures conditions de vie », précise Isabelle Mallinger, secrétaire de l’amicale.

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La semaine des associations de Croix-Rouge : ce lundi

 

LE MONDE DE MOUSSA

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans.

Il sera présenté de 9 à 12 heures à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau), puis de 14 à 17 heures à la circonscription de la solidarité Croix-Rouge, rue Jean-Louis-Debar (réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons).

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

MULTI-ÉCHANGES SERVICES

L’association MUTES présentera ses activités autour d’un café et de gâteaux à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger, à partir de 14 heures.

CRÉATION ARTISTIQUE

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

INFORMATIONS TOUS PUBLICS

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

[1] Claude Stoltz est présidente du club 47 ULCR