Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge, du mois d’octobre 2007
mardi 25 décembre 2007
par Administrateur

 

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Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.

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Monsieur Fabrice Lopez nous écrit

 

Nous avons reçu de Monsieur Fabrice Lopez le courrier suivant :

"QCR infos devait être un journal d’information créé et géré par des locataires de Reims-Habitat.

Or, outre le fait que des articles y soient placés sans l’aval du groupe par Reims-Habitat (ex : les 11 commandements QCR3), désormais des articles et édito sont censuré par Reims-habitat car n’étant pas dans la ligne journalistique imposé par le bailleur (l’édito du QCR4 mettant en avant les malaises des locataires face à certaines défaillances de Reims-habitat).

Devant cette censure et l’étouffement de la liberté de parole, un journal indépendant créée et rédigé par des habitants du quartier verra le jour au premier trimestre 2008.

Pour info : le conseil de quartier public qui devait avoir lieu en décembre a été supprimé par la mairie de Reims, la démocratie n’est pas de mise pour notre quartier, les habitants se passeront des informations sur le projet de renouvellement urbain."

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l’union071031d

150 jeunes Rémois pour fêter la journée de l’arbitre

 

La journée était ponctuée de matchs et de séquence DVD.

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« S’il n’y a pas d’arbitre, on ne peut pas jouer. Il a un rôle très important. C’est lui qui contrôle le jeu, met de l’ordre et encourage le fair-play. » Tee-shirt blanc et sifflet au cou, Emile, 13 printemps, maîtrise déjà le catéchisme du bon arbitre. Il s’est rendu le 27 octobre à la Halle universitaire Croix-Rouge de Reims pour la journée nationale des arbitres.

« L’objectif de cette manifestation sportive est de faire découvrir l’arbitrage aux jeunes. C’est aussi valoriser la fonction d’arbitre ; leur montrer que ce rôle est accessible. Car il peut être difficile pour la majorité des gens », explique Sophie Brodu, présidente de la commission régionale des arbitres de basket-ball.

« C’est un excellent événement, surtout pour la reconnaissance des arbitres. Ils le méritent bien. Ils travaillent à longueur de journée. Actuellement, ils sont environ 550 à être licenciés dans la Ligue. Et l’année prochaine, on assistera à la naissance d’arbitres auxiliaires. Cette nouvelle catégorie viendra compléter le reste », annonce de son côté Gérard Cassegrain, président du District Marne de football.

Pas moins de 150 jeunes Rémois ont fêté ce grand juge des matchs. Avec une ambiance multisports : foot, rugby, basket, hand. Une séquence DVD était également proposée.

Julien, 13 ans, a arbitré une rencontre de foot en salle : « Je n’arbitre pas souvent.

L’arbitre est vraiment celui qui fait fonctionner le match. Il est aussi là pour éviter la violence et faire respecter des règles ».

Nul doute que cette journée aura permis à tous ces gamins d’avoir un autre regard sur l’arbitrage.

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l’union071031c

Aujourd’hui : Animations dans les bibliothèques

 

Atelier de création animé par Dominick Boisjeol : « Qui sont ces personnages ? » à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar, de 10 à 12 h 30 pour les enfants de 6 à 9 ans, et de 14 h 30 à 17 h 30 pour les enfants de 9 à 14 ans.

Sophie raconte… : Histoire pour les enfants à partir de 2 ans à la médiathèque Jean Falala, 2, rue des Fuseliers, de 15 h 30 à 16 heures.

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l’union071031b

La ville se met en quatre pour ses petits « orphelins de 16 h 30 »

 

À l’école élémentaire Ruisselet, les enfants peuvent s’initier au tennis de table ou à l’informatique. PHOTO : Nicolas Lopez

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Informatique, photo, cuisine, travaux manuels et aide aux devoirs… chaque soir, après l’école, des milliers d’écoliers rémois bénéficient d’un dispositif gratuit sans doute unique : le SMA, service municipal d’accueil.

A l’heure où le ministre de l’Éducation nationale se préoccupe sérieusement des « orphelins de 16heures » dans les collèges, la ville de Reims a, depuis des décennies, pensé et réglé le problème de « ses petits orphelins de 16 h 30 », les écoliers de maternelle et de primaire.

À Reims, sur les 8.267 élèves scolarisés en élémentaire, 50 % restent au SMA (service municipal d’accueil) entre 16 h 30 et 17 h 45. En maternelle, sur les 5.892 élèves scolarisés, 27 % restent au SMA. Soit un total de 5.700 écoliers qui, en moyenne, chaque soir, restent dans les locaux de leur école.

Après avoir goûté, les enfants participent à des activités très variées : du sport avec les éducateurs de la direction des sports ; de l’informatique ; des activités manuelles en partenariat avec la culture-art déco, de la poterie aux Châtillons, de la photo à la Neuvillette ; de la cuisine avec les maisons de quartier Watteau et Picards, dans le cadre de l’aide à la scolarité ; avec Ethnic’s et la Nacelle, découverte des instruments de musique et danse hip-hop ; maison de quartier Turenne, projet avec Catherine Pierre- jean avec le contrat urbain de cohésion sociale…

« Coup de pouce » et « Top leçons »

Dans 22 écoles élémentaires, l’opération « coup de pouce » est renouvelée. Il s’agit de proposer aux enfants de CP qui rencontrent quelques difficultés dans l’apprentissage de la lecture, de les prendre par petits groupes afin de les aider.

Dans 14 autres établissements, c’est l’opération « Top leçons » qui sera reprise. Il s’agit cette fois d’aider les enfants à faire leurs devoirs du soir, par groupes de 8 élèves. Ce type de dispositifs existe dans d’autres villes de France « mais il est rarement gratuit, comme à Reims, » indique Marie-Annick adjointe au maire chargée des affaires scolaires. _ La ville prend ici en charge l’intégralité du service, soit 2millions d’euros par an. « Nous avons recruté 743 .vacataires pour cette année, » précise Mary-Line Savoye, chef du service animation scolaire et périscolaire. « 359 enseignants, et 384 non enseignants. Avec les vendanges qui se sont déroulées au moment de la rentrée, nous avons eu des difficultés à recruter des non-vacataires cette année. Les enseignants ont d’ailleurs largement contribué au dispositif à 48 %. »

Le succès du SMA ne se dément pas au fil des années. « Les activités proposées sont de qualité, les enfants accrochent bien. » Peu de nouveautés attendues au plan des activités, sauf l’apprentissage d’un instrument de musique à Galliéni et Charpentier. « Nous cherchons d’ailleurs un sponsor pour financer les assurances des instruments de musique, » confie Marie-Annick Roger.

Patricia Buffet

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La fin du SMA à la rentrée 2009

En fin de semaine dernière, Marie-Annick Roger a été reçue avec d’autres représentants de grandes villes — et M. Destot, maire de Grenoble et président des maires des grandes villes de France, par le ministre de l’Éducation Xavier Darcos.

« Actuellement, l’Éducation nationale s’occupe des orphelins de 16 heures dans les collèges, » indique Marie-Annick Roger. « Le premier degré sera concerné à partir de la rentrée 2009. Ce qui signifie la disparition à ce moment-là du service municipal d’accueil, en l’état en tout cas ».

Actuellement, « les enseignants ont une semaine de 26 heures. Or, avec la fin de l’école le samedi, ils passeraient à 24 heures. » Pour l’adjointe chargée des sports, « deux heures de langue, ce serait bien. » Toujours est-il que la ville récupérera à la rentrée 2009 les 2 millions d’euros qu’elle injecte bon an mal an dans le SMA chaque année. « Xavier Darcos nous a confirmé que l’accueil des orphelins de 16 heures sera entièrement pris en charge par l’Éducation nationale.

Nous ne savons pas sous quelle forme ni si l’Éducation nationale travaillera en collaboration avec nous. »

P.B.

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l’union071031a

Il vole une moto et chute à cyclo

 

Convoqué à la même audience, Sébastien Divry, dit Babass, 32 ans, n’est pas venu. Sa carte de visite se limitait à son casier judiciaire riche de douze condamnations.

Le 20 septembre, lancé à vive allure sur son scooter, le jeune homme grille un feu rouge au carrefour de l’avenue de Gaulle et de la rue de Courlancy.

Pris en chasse par une patrouille de police, il refuse de s’arrêter, emprunte un sens interdit et roule tellement vite qu’il finit par tomber par terre.

Son état d’alcoolémie ne facilitait pas une conduite équilibrée : 0,94 gramme par litre de sang.

Maîtrisé, Sébastien Divry est ramené au commissariat où, par un hasard extraordinaire, son nom est cité une heure plus tard par deux mineurs placés en garde à vue pour une autre affaire : le recel d’une moto de cross qu’ils s’apprêtaient à dissimuler dans un immeuble de l’allée des Limousins (ils prenaient l’ascenseur avec lorsqu’ils furent surpris par la police). La moto fut dérobée le jour même rue de Courcelles. Son propriétaire se trouvait à côté lorsqu’un individu l’a poussé brusquement pour s’emparer de la machine.

Âgés de 13 et 17 ans, les deux ados ont récupéré la moto des mains du voleur, ce dernier leur demandant d’aller la cacher dans l’immeuble. Et ils ont désigné cette personne comme étant Sébastien Divry.

Jugé pour les deux affaires, Babass a pris un mois de prison ferme pour le vol de la moto, trois mois ferme pour le refus d’obtempérer et la conduite en état alcoolique.

Il devra payer 150 € d’amende pour le feu rouge, idem pour le sens interdit.

F.C.

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l’union071030b

Pas de corvée de conseil

 

Il n’y aura pas de conseil de quartier cette année. Raison invoquée : les élections municipales. La réglementation des collectivités locales empêcherait la tenue de telles réunions en période électorale, dixit le service communication de la ville.

On ne voit pas en quoi des élections qui se tiendront dans cinq mois peuvent empêcher des élus de répondre aux questions des citoyens. Mais puisqu’ils l’assurent…

Peut-être aussi que ces mêmes élus n’ont pas envie de se coltiner une dernière fois ces réunions où la population les met en face de problèmes concrets alors qu’eux préféreraient discourir de beaux projets à long terme qu’ils ficellent à l’aide de coûteux cabinets d’étude. Si au moins ils peuvent y couper cette année…

Mais ne le répétez pas car le même service communication de la ville a interdit à l’union de le dire tout de suite. « Vous pourrez l’annoncer dans quinze jours quand le maire aura signé la lettre pour informer les représentants des comités de quartier »

Et comme nous sommes aux ordres…

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l’union071030a

« Vieillir aujourd’hui » avec les Panthères grises

 

Beaucoup de monde pour la présentation de l’association 3 F.

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Renate Gossard, présidente et Gloria Cicile de La Croix, vice-présidente, ont présenté la nouvelle association 3 F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain) à une soixantaine de personnes réunies à l’espace La Nacelle à Croix-Rouge.

Émanation de l’association des Panthères grises France, c’est ici que, chaque troisième lundi du mois, 3 F proposera une rencontre-débat sur un thème déterminé.

Pour cette première, il s’agissait de faire le point sur le « Vieillir aujourd’hui », ce qui a donné lieu à des échanges intéressants.

Dans le public, un éventail représentatif de la population rémoise mais aussi régionale, avec Laure Lasguarges, des Panthères grises Paris, Odette Petit « super-mamie », avec des élus, la police de Croix-Rouge, des présidentes d’associations de locataires, la coordinatrice santé de la ville de Reims et une représentante de la ville de Cormontreuil, le président de la Licra, des membres de l’Aradopa, de l’Orrpa, de l’association MJC Croix-Rouge, et surtout des habitants.

Prochain rendez-vous, lundi 19 novembre à 14 heures, sur le thème de la consommation.

Renseignements : association « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain », Tél. 06.07.96.56.72. ou 03.26.08.22.10.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071029a

Croix-Rouge : Faits divers

 

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Que d’eau

Les sapeurs-pompiers sont intervenus samedi, vers 19 h 40, pour une fuite d’eau dans un appartement de la rue Yvon-Morandat. Ils ont asséché les lieux à la suite d’un refoulement d’eaux usées.

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Feu de papiers dans l’ascenseur

Samedi, vers 20 h 50, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour une odeur suspecte dans un immeuble situé 5 rue des Savoyards à Reims.

Il s’agissait en fait d’un feu de papiers dans la fosse de l’ascenseur. Les sapeurs-pompiers ont vite éteint ce feu à l’aide d’un seau d’eau.

Odeur d’essence

Toujours samedi, vers 21 h 30, les sapeurs-pompiers sont intervenus au 14 Groupe-Eisenhower pour une odeur d’essence dans le local à vélo.

L’espace étant fermé à clé, les sapeurs-pompiers ont fait venir un serrurier qui n’a rien pu faire, ils ont dû ouvrir de force la porte. Au final, il s’agissait bien d’une fuite d’essence sur un booster garé dans le local.

De la terre a été étalée à terre pour clore l’incident.

Feu d’ordures

Un feu s’est déclaré dans un local vide-ordures, au 14 allée des Bourguignons, samedi vers 23 h 15. Le feu a été rapidement maîtrisé.

Pour plus de sécurité, les sapeurs-pompiers ont ventilé les étages de l’immeuble.

Thuyas en feu

Un feu, d’origine vraisemblablement volontaire, s’est déclaré sur une haie de thuyas, hier, vers 2 h 30, au 2 allée des Normands. Une quinzaine de mètres de végétation a brûlé. Le feu a été rapidement éteint par les sapeurs-pompiers. La police a également ouvert une enquête.

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lhebdoduvendredi071027d

Installation éphémère

 

Le projet de renouvellement urbain du quartier Croix Rouge s’est accéléré pour Reims habitat et ses partenaires au cours de l’année 2006.

Parallèlement à la démolition de la tour Taittinger l’an passé, l’Office a lancé son plan de relogement des locataires des immeubles 25, 27, 29 et 31 avenue du Général Eisenhower depuis un an. À ce jour, les logements sont en cours de libération.

Néanmoins, Reims habitat et le Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS) ont voulu mettre l’accent sur la mémoire des anciens logements et l’avenir des habitants. C’est pourquoi une intervention artistique à la fois plastique et culturelle appelée « autre peau, autre ville » a été menée avec les habitants grâce à Armelle Blary (photo), plasticienne, qui s’est fortement impliquée dans le quartier depuis de nombreuses années.

Dernier hommage aux 46 appartements dont les jours sont maintenant comptés, une occupation artistique éphémère a été organisée ce jeudi pendant quelques heures où enfants, locataires, voisins ont offert leur concours.

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plurihabitat071027c

Liliane Feige, poétesse, embellit Croix Rouge de sa prose !

 

Toujours prête à partager sa poésie avec les autres, Liliane Feige s’inspire de son quotidien pour ses poèmes avec passion et simplicité.

Teinté d’évènements de son quartier et de la vie quotidienne, c’est un parfum de l’air du temps qui nous est évoqué au travers de ses poèmes.

Locataire chez PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS depuis 1993 à Croix du Sud, cette ardennaise d’origine, pleine de bonheur, y vit aujourd’hui avec ses deux fils. Aimant la lecture et la nature dont elle est très poche, ses poèmes se nourrissent de ces sources d’inspiration depuis 1982.

En coordination avec le dessinateur Hugues Hommel qui illustre ses poèmes, Liliane Feige participe aux différentes manifestations culturelles d’associations ou clubs, tels que la Grande Poste, un peu partout en France.

Croix- Rouge, son quartier, thème qui revient souvent dans ses récits, lui donne sa prose. Des rimes et des poèmes naissent et embellissent son quartier … tant aimé

La vie de mon quartier

Mon quartier a triomphé

Mon quartier est passé en anthologie en Belgique

Sur un air poétique

Il rime en Charente Maritime

Mais il m’a dit

Je suis mieux encore ici

A Croix Rouge

Quand plus rien ne bouge

De ma fenêtre être habitante

Parfois cela me hante

Près de la petite église

Les journées sont exquises

A la chaise au plafond

Les petites femmes sont canon

Par les allées il y a mon amour

Je reviens toujours

Les bras chargés de poèmes

Pour en faire un emblème

Parfois, je vais à l’idole

Cela me change des casseroles

Je m’en moque

Je vais chez le docteur Lecoq ?

Février 2007

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l’union071027a

Une cinéphile rémoise au Canada

 

La collégienne rémoise Charline Jaspart est experte en cinéma.

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Éduquer par le cinéma est l’objectif des nombreux festivals de cinéma jeune public qui existent en France et ailleurs. Celui de Saint-Quentin dans l’Aisne se déroule cette semaine.

C’est à celui de Rimouski au Canada, dans la province du Québec, qu’une élève de troisième du collège rémois Georges-Braque, Charline Jaspart, est allée pour exercer son œil critique au Festival international du cinéma pour la jeunesse. Un regard critique décelé par son professeur de lettres, Mme Julien et la documentaliste, Mme Barrault, qui d’ailleurs l’a accompagnée.

Charline a été la seule Française sélectionnée pour être membre du jury du « Carrousel international du film », le plus important festival francophone du cinéma jeune public. Elle a visionné plus de trente films de tous pays (fictions, longs et courts métrages, films d’animation…)

Elle a partagé ses analyses critiques avec les 18 autres jeunes du jury, venus d’Europe et du continent américain et a participé à la sélection du film nominé.

Ce fut pour cette collégienne une occasion exceptionnelle d’être immergée dans l’univers du cinéma, dans une famille canadienne et de tisser des liens avec des jeunes venus d’ailleurs.

 

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lhebdoduvendredi071026e

Association ACAO

 

L’association Art et Culture d’Afrique de l’Ouest développe en partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard et la maison de quartier Wilson Sainte Anne un projet qui s’appuie sur la réflexion : « cheminer ensemble : du jardin musical aux rencontres autour des berceuses. Force du lien chanté ».

L’objectif de cette action est d’aider les parents dans leurs fonctions éducatives en participant aux activités d’éveil de leur enfant.

Renseignements au 03 26 06 30 05, par mail : acaoreims@free.fr ou sur www.acao-reims.org

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l’union071026d

Service de prévention : du changement

 

Bienvenue à Rafika Nouar et à Jean-Philippe Marchal, nouveaux éducateurs

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L’information vient de Didier Hauguenois, responsable du Service départemental de prévention : « Deux nouveaux éducateurs vont travailler dans le quartier Croix-Rouge.

Rafika Nouar, à Pays-de-France, succède à Sébastien Jacques qui va désormais exercer à Wilson et Maison-Blanche.

Par ailleurs, dans le secteur Croix-du-Sud Hauts-de-Murigny, Jean-Philippe Marchal remplace Jean-Louis Rumerio qui va se consacrer à l’association 2 mains ».

 

 

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l’union071026c

Échange européen avec la Pologne : l’heure du bilan

 

Un auditoire très attentif à un bilan satisfaisant.Les jeunes préparent désormais la visite des Polonais en France.

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Après leur séjour en Pologne, réalisé dans le cadre d’un projet européen d’échange de jeunes, Antar, Cynthia, Hakim, Kadidia, Romuald, Sofiane, Stéphanie et Zahra ont invité tous ceux qui ont permis cette réalisation à assister jeudi 18 octobre à une projection vidéo relatant leur aventure.

Avec leurs accompagnateurs, Slimane Hamdi (animateur à la Maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France) et Sébastien Jacques (éducateur au Service départemental de prévention), ils n’étaient pas peu fiers de présenter les images de leurs visites en Pologne à Walbrzych, en compagnie de leurs camarades Polonais de l’association Ecoeurowies : Varsovie, Craco¬vie, une mine de charbon, les grottes de Wolfsberg, la campagne polonaise,…

Ils avaient été mis en condition par l’amicale franco-polonaise de Reims mais la surprise fut quand-même fort agréable.

Mais quand est venue la présentation de leur visite au camp de concentration d’Auschwitz, le ton a changé : place au recueillement.

Certes, Mme Biava, déléguée à la Mémoire combattante (Office national des anciens combattants), les avait avertis, mais devant l’horreur, les jeunes sont restés sans voix. La salle également.

Ce document est si exceptionnel que la Maison de quartier va le graver et le distribuer en CD à toutes les personnes et structures qui le demanderont : professeurs d’histoire, établissements scolaires, médiathèque Croix-Rouge, associations, etc.. (S’adresser au 03.26.06.04.10.).

Cette première expérience réussie comporte un deuxième volet : Nous allons reprendre les mêmes partenaires : l’Europe, la Région, le Département, la Maison de quartier, la Maison de l’enfance, le Foyer rémois (Mme Bégusseau, « dont l’aide pédagogique a été déterminante »),… et nous allons préparer le séjour des jeunes Polonais à Reims en juillet 2008, avec pour thème « la découverte des institutions française et européenne ».

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

- Des photographies du séjour en Pologne sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071026b

La vie des clubs Foot : un nouvel entraîneur pour les Atlatistes

 

« Moi, sans le foot, je ne suis rien ».

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Toutes ses classes, il les a faites au Stade de Reims. « Il » c’est Noredine Lakbachi, 29 ans, nouvel entraîneur du FC Atlas. « Je suis entré chez les Stadistes quand j’avais 5 ans. J’ai joué jusqu’en CFA 2. Après, je suis allé tenter une aventure à Sainte-Geneviève-des-Bois qui était en division d’honneur ».

Mais il n’y restera pas longtemps. Car très vite, il revient en Champagne. Il intègre le COC (Club olympique châlonnais), où il passera quatre bonnes années. « Là-bas j’ai eu comme coach Franck Lorenzetti. Il était le meilleur des entraîneurs que j’ai eus. C’était vraiment quelqu’un de franc, droit ». Franchise, droiture, ces valeurs cueillies dans l’école de Lorenzetti : saura-t-il les transmettre aux Atlatistes ?

Eux qui évoluent dans le District Marne de football et enregistrent deux nuls. « Entraîner les adultes, c’est différent des gosses. Eux sont déjà formés ; ils sont plus autonomes. Ce que je vais surtout apporter, c’est à la fois mon expérience de joueur et la mise sur pied d’une équipe qui va jouer collectivement. Sans oublier la rigueur et la discipline. Faire ce travail représente pour moi un tremplin pour commencer une carrière d’entraîneur. Moi sans le foot, je ne suis rien ».

Reste que le principal défi de Noredine Lakbachi sera d’assurer la montée en deuxième série. Le FC Atlas a déjà loupé deux années de suite son ascension. « Pour ce championnat, je n’ai aucune crainte. On a une belle équipe et des joueurs qui ont des qualités pour jouer au-dessus. Maintenant, le problème c’est d’instaurer un schéma tactique et collectif ».

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l’union071026a

« Piments des îles » : un repas culturel

 

L’association Kalebass et Cie veut se faire connaître et pour se présenter dans un esprit convivial, elle organise « Piments des Iles » , une soirée culturelle et familiale à l’espace Billard, 14-16 rue Pierre- Taittinger, mercredi 31 octobre de 19 h 30 à 24 heures, dans le cadre de l’opération « vivre autrement ».

Nucia Thétis, animatrice, précise : « Au programme, nous ferons une présentation des diverses îles depuis les origines avec en particulier la culture afro : les Antilles françaises, Cuba, Madagascar, les Comores, … autour d’un repas avec spécialités culinaires et animations musicales (chant traditionnel des différentes îles), projection et certainement d’autres surprises ! ».

Tarif : adultes, 6 euros ; enfants 3 euros. Réservation obligatoire au 06.28.04.64.88.

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l’union071025g

Les dernières nouvelles du quartier

 

Parcours de santé

Sollicité par des riverains et des usagers qui se plaignent de l’état du parcours de santé situé entre le quartier Croix-Rouge et la commune de Bezannes, le conseiller municipal Éric Quénard a demandé au maire de Reims de faire nettoyer cet espace puis d’y mettre en place un entretien régulier.

Démolitions

Reims-Habitat a lancé l’appel d’offres légal en vue du marché de maîtrise d’œuvre pour la déconstruction sélective d’immeubles 25/27 et 29/31, avenue du Général-Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge-Université. Les offres doivent être remises avant mercredi 31 octobre.

Conseil de quartier

Geneviève Kaczowka, président dente de l’association Les Polygones (défense des locataires) été élue vice-présidente du Conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche lors de la dernière réunion à huis clos. Elle succède à ce poste à Jean Jacques Lapique, décédé il y a un an.

Projet Démolitions

La commission « urbanisme — aménagement= habitat » annoncé le programme définitif des démolitions à Croix. Rouge : 216 logements secteur Université-Eisenhower-Hippodrome (Reims habitat), 158 logements secteur Pays-de. France (le Foyer rémois), et 75 logements secteur Croix-du. Sud (Effort rémois Pluri-habitat), soit un total de 449.

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l’union071025f

Sécurité routière : les 6e informés

 

 

 

Au collège François-Legros la semaine dernière, le major Druart, chef du bureau de police de Croix-Rouge sont passés dans toutes les classes de 6e de l’établissement.

Objectif : « évoquer avec les collégiens les problèmes de sécurité routière : place du piéton, du cycliste, respect des règles et des signaux, bien-vivre ensemble et partage de la route…

 

 

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l’union071025e

Hauts-de-Murigny Des locataires bien défendus

 

Les membres du bureau : Maud Trefcon, Isabelle Mallinger et Daniel Houssack.

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Les locataires des Hauts-de-Murigny (1.061 logements) dressent le bilan d’une année écoulée.

Au chapitre des réalisations, la présidente Maud Trefcon et le bureau citent

- le garage G.18 : « après plusieurs années de panne, la porte a été remplacée en juillet 2007 » ;

- les trous au 11 Toulouse-Lautrec : « ces trous dangereux s’étaient formés devant l’entrée. Ils ont été rebouchés. » ;

- le garde-fou Utrillo : « cet équipement manquait et rendait le lieu dangereux »

Pour le problème « du stationnement abusif dans l’allée Yves-Gandon » un courrier a été adressé au directeur départemental de la Sécurité publique afin que cessent les stationnements sauvages.

Ce qu’il reste à obtenir

Les trous laissés à Utrillo suite à l’arrachage de deux arbres et signalés depuis février 2007 ont été rebouchés et enfin, concernant le problème des bacs à sable Utrillo et Gandon, les travaux de destruction de ces bacs sont inscrits au programme 2008. « Reims Habitat n’a jamais fait autant de travaux que depuis ces deux dernières années, avec pour points forts la sécurité et les économies d’énergie » précisait Patrick Baudet.

Mais pour l’association, il reste des manques. La tour Watteau : retard très important sur les travaux d’isolation qui ne seront pas achevés avant la période de chauffe ; la tour Gandon : sept mois de retard…

Si la présidente admet que « Reims Habitat montre une grande disponibilité à prendre en compte nos questions, même quand elles sont vives » elle regrette toutefois des délais toujours reportés : « au lieu d’informer d’un retard dans l’exécution d’un travail de plusieurs mois par exemple, Reims habitat reporte l’échéance de mois en mois : les locataires ont l’impression qu’on se moque d’eux ! »

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l’union071025d

Pays-de-France Petit-déjeuner oriental

 

L’association FD’IA reconduit l’atelier cuisine orientale.

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Dans le cadre des animations « Libr’Échanges » qui ont lieu tous les vendredis de 9 h 30 à 11 heures à l’espace Aquarelle de la Maison de quartier Croix-Rouge Elham Kouch, animatrice Familles a organisé en partenariat avec l’association Femmes d’ici et d’ailleurs (FD’IA) dont elle est présidente, un petit-déjeuner oriental destiné aux familles adhérentes de Pays-de-France.

Au menu : thé à la menthe, pain marocain, crêpes à mille trous au miel, le Ms’men au miel, le pain sucré et la brioche…

A noter que l’association FD’IA reconduit l’atelier cuisine orientale à la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Picards) au 6, allée des Picards (tous les mardis de 14 à 16 heures).

Reprise mardi 6 novembre. Tél. (03.26.82.53.48.)

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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Eisenhower change de peau avant sa démolition

 

Armelle Blary, plasticienne : « L’idée plastique de départ est d’inscrire les mots des habitants sur les façades promises à la destruction, comme pour révéler la part de l’humain sous les épaisseurs de béton. » Charles LANTENOIS

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Les meubles et le « tapis » sont déjà en place, la mise en scène prend forme.

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Les femmes du CHRS gravent les souvenirs collectés sur le mur repeint en gris du Passage du 25 avenue Eisenhower.

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VOILÀ bien une aventure humaine comme on aimerait en voir plus souvent. Pas question ici de discours incompréhensible sur l’art réservé aux initiés. Non. Dans le projet baptisé « Autre peau/autre ville » qu’Armelle Blary, plasticienne rémoise, propose aux habitants de Croix-Rouge, il est question de « logique », de simplicité, mais surtout d’humanité.

Le but étant d’associer les habitants du quartier au projet de démolition des immeubles situés aux 25, 27, 29 et 31 de l’avenue Eisenhower, par le biais d’un projet de création.

Un projet qui se traduit au fil des mois par une action artistique sur les façades des immeubles condamnés et leur environnement proche. Et ce jusqu’à la démolition, prévue courant 2008.

L’aventure a débuté en juin dernier. De nombreuses rencontres ont permis à la plasticienne de collecter de précieuses paroles qui constituent la mémoire de l’esplanade Eisenhower. « J’ai voulu me recentrer sur cette notion de mémoire, à travers la collecte de mots — qui est le vecteur principal — et la dérivation plastique autour d’objets abandonnés. »

Objets de mémoire

L’idée plastique de départ étant « d’inscrire les mots des habitants sur les façades promises à la destruction, telle une peau vive, comme pour révéler la part de l’humain sous les épaisseurs de béton, pour montrer qu’on démolit aussi du souvenir, du vivant », souligne l’artiste.

Mais avant cela, une occupation éphémère du Passage du 25 boulevard Eisenhower est organisée aujourd’hui, de 16 h 30 à 19 heures. L’occasion de présenter les œuvres réalisées dans le cadre du projet au sein des différents ateliers animés par Armelle Blary. « J’ai initié un travail sur l’intérieur et l’intériorité avec les femmes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Primevères. Nous avons récupéré des meubles dans le quartier (Emmaüs nous en a aussi donnés) et les avons transformés en objets de mémoire. L’idée : donner à voir un intérieur qui évoque l’intimité de la chambre, du salon, de rendre sensible ce qui va partir en même temps que les immeubles : les souvenirs des habitants, les habitudes du quotidien… » Peints d’un « blanc sale ayant la blancheur de l’os », ils seront entreposés dans le passage, couvert de gris pour l’occasion.

Les enfants de l’école Gilberte-Droit et de l’institut Fandre ont également apporté leur concours en se livrant à des jeux d’écriture. Et en confectionnant des petites plaquettes de mots représentant des fleurs, qui seront, à terme, plantées dans le quartier, suivant « un trajet poétique ». Un autre groupe d’écoliers a, pour sa part, travaillé aux côtés de la plasticienne Florence Kutten à la création d’une cité idéale faite de terre, de couleurs et de mots. Il est aussi prévu qu’un étudiant de Tema (Reims Management School) rejoigne l’aventure prochainement en créant un site web consacré à « Autre peau/autre ville ».

« Peau de mots sur les immeubles, installation plastique au 25, parterre de fleurs… Le projet prend des formes différentes, mais le fond est toujours le même : on travaille sur l’humain, on veut aider les personnes à mieux vivre dans le quartier, à mieux accepter la démolition. »

Marion Dardard

« Intérieurs à ciel ouvert », étape première du projet « Autre peau/autre ville »aujourd’hui de 16 h 30 à 19 heures au Passage traversant 25-27 avenue du général Eisenhower.

La naissance du projet

Courant 2008, les immeubles des 25, 27, 29 et 31 avenue du général Eisenhower seront démolis. Une nouvelle étape dans le projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge, après la chute de la tour Taittinger le 19 novembre 2006.

Reims Habitat a d’ores et déjà lancé son plan de relogement des locataires des 46 logements concernés. Et parce que « ce sont des morceaux d’histoire qu’on va mettre à terre », dixit François Toublan, directeur des relations et territoires de Reims Habitat, l’organisme a décidé d’accompagner ce plan d’une intervention artistique, à la fois plastique et culturelle. L’idée : mettre sur pieds, dans le cadre d’un Contrat urbain de cohésion sociale (CUCS), un travail sur la mémoire, l’expérience et l’avenir des habitants.

Un bon moyen pour les familles « d’atténuer l’inquiétude et la déstabilisation » que peut entraîner un tel bouleversement.

« L’an dernier, Reims Habitat, la mairie et l’Etat ont estimé qu’il y avait quelque chose à faire autour de ces logements ; qu’il fallait créer un lien social autour de cette démolition et en sortir du positif » se souvient M. Toublan. « Nous avons lancé un appel à projet. La plasticienne Armelle Blary, qui travaille depuis plusieurs années sur Croix-Rouge, a répondu, a proposé son projet « Autre peau/autre ville »… qui a été retenu. » L’accord de financement du CUCS délivré en mai 2007, la création pouvait commencer dès juin… « Elle vivra jusqu’à la démolition de l’immeuble. »

M.D.

Le projet bénéficie du soutien de la Ville, de l’Etat, de Reims Habitat, des conseils général et régional.

Au fil des mots…

Comme toutes les semaines depuis plusieurs mois, les femmes du CHRS, trace-lettres à la main, gravent les souvenirs collectés sur le mur repeint en gris du Passage du 25 avenue Eisenhower. Tout doit être prêt pour 16 h 30 ce soir. Les meubles et le « tapis » sont déjà en place, la mise en scène prend forme.

Malgré le froid sec qui file dans le corridor, concentration et bonne humeur sont au rendez-vous. « Je suis dans le quartier depuis 5 mois, le CHRS m’a proposé de participer à cette activité. Cette aventure m’aide à avancer ; ça donne du punch de réaliser quelque chose par ses mains », témoigne Marie-Chantale.

« C’est l’idée du souvenir qui nous a attirées », confient Zenaba et Ernestine, au CHRS depuis près d’un an et Aminata, domiciliée à Croix-Rouge depuis 2 ans. « On laisse une trace, des souvenirs sur un bâtiment, pour nous et pour les habitants. »

« Je suis timide », « Devant chez moi il y a plein d’ombre », « Et on discute en même temps »… les bribes d’existence, lettre par lettre, reprennent vie à travers leurs mains.

M.D.

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Un rêve enfin réalisé : le grand « CAMSP Bien naître » a vu le jour

 

Un rêve enfin réalisé : le grand « CAMSP Bien naître » a vu le jour

L’INAUGURATION en a été faite officiellement le 19 octobre et le fronton affiche le nom de l’association : « Bien naître » est présidée par le Professeur Patrice Morville, chef du service de médecine néo-natale, particulièrement ému de voir son rêve enfin réalisé, tout comme celui de la directrice administrative Odile Caron et de la directrice médicale Laurence Demare.

Le centre accueille entre 8 et 18 heures des enfants de moins de six ans nés prématurément ou dans des conditions difficiles, ceux qui présentent très tôt des problèmes neurologiques, des anomalies génétiques ou des troubles du comportement ou ceux qui relèvent de problèmes sociaux.

Diagnostic et suivi

Le CAMSP est un pôle complet du diagnostic à la thérapie : le travail se fait avec les mamans qui trouvent sur place le kiné, l’orthophoniste, l’ergothérapeute, l’éducateur, le neuro-psychiatre, l’assistante sociale, la puéricultrice…

Le projet remonte à plus de 10 ans comme l’explique le professeur Morville : « Nous étions la seule ville de plus de 100.000 habitants dépourvue de CAMSP alors que les besoins étaient criants… En 2002 nous avions pu ouvrir un service provisoire dans des préfabriqués du CHU devenus vacants mais nous y étions à l’étroit dans 170 m2 et bien loin de l’objectif… Ici sur 1.000 m2 nous devrions pouvoir recevoir 900 enfants pour diagnostic et entre 200 et 240 en file active et prise en charge ».

Le bâtiment, d’un coût de deux millions et demi d’euros, est installé sur un terrain fourni par la Ville de Reims. Le financement a été assuré en partie par les organismes de tutelle (conseil général, Ddass, Cram). Des sponsors sont venus mettre leur pierre à l’édifice tel que banques, opération « Pièces jaunes » (environ 35.000 euros), avec le soutien fidèle du comité américain qui a offert 250.000 euros.

Et après ?

Des mamans ont dit combien le centre avait répondu à leurs attentes : « Nous avons trouvé ici encadrement, soutien, conseils… Nous étions enfin écoutées. Mais nos enfants vont bientôt avoir 6 ans et l’angoisse va reprendre… Où vont-ils bien pouvoir aller ? »

Catherine Vautrin a soutenu le projet mais elle reconnaît que « notre pays est encore en retard sur ce point. Avec les parlementaires et les citoyens, des progrès se font mais ils sont longs et difficiles ».

Le professeur Morville a dit qu’il fallait encore avancer pour « ne plus envoyer nos gamins en Belgique pour les soins… »

Cependant la collaboration est établie avec la PMI, l’Aide sociale à l’Enfance et l’Education nationale mais selon Laurence Dumar : « Le parcours scolaire est cahotique par manque de places, en particulier pour les polyhandicapés… »

Le Dr Christine Barrère, du service de santé scolaire, parle d’amélioration et elle a donné des chiffres : « Actuellement en France 110.000 enfants handicapés sont accueillis en primaire et 44.500 en secondaire »…

Colombes de l’American hospital

Gerald Shea s’est exprimé au nom du comité américain : « Nous sommes honorés d’avoir participé au financement et heureux d’inaugurer « notre » tout nouveau centre de dépistage et de suivi des enfants atteints d’un handicap. Ce projet nous rappelle l’histoire de notre comité et de l’hôpital américain conçu au milieu des ruines en 1916 ».

A l’origine, il s’agissait d’un « comité américain pour les blessés français » sur de nombreux points du territoire. Il s’est ensuite orienté vers les soins aux enfants en construisant un hôpital à Reims, grâce à une souscription lancée dans tous les Etats-Unis.

Les fonds ont été versés en 1921 et l’hôpital a ouvert quatre ans plus tard. « Il a été dédié, selon notre ambassadeur Myron Herrick, à la mémoire des soldats américains qui reposent en France et en témoignage d’amitié aux enfants de Reims et à leur avenir… Ce jour-là, des colombes ont été lâchées et si nous sommes attentifs, nous pouvons les voir encore… »

Réunion mondiale des directeurs de mémoriaux

Événement rarissime à Reims : les directeurs des mémoriaux américains y ont tenu leur conférence annuelle. Ces messieurs étaient une petite centaine, venus du monde entier, les plus éloignés venant de Manille (Philippines). Reims n’a sans doute pas été choisi par hasard, puisque l’ABMC ou « American battle monuments commission » a son siège à Arlington, la « jumelle » de Reims depuis deux ans.

Le président Arnaud Desplanques, Roger Vache et Jacques Pernat avec les responsables de la délégation

Cette commission a été créée en 1923 par le Congrès américain, qui en a fait une « agence » gouvernementale. Son premier président était le général Pershing. Il avait été remplacé ensuite par le général Georges Marshall.

À Reims, la délégation était conduite par le général Nicholson, venu d’Arlington, et par le général Hawkins, responsable pour l’Europe. Elle a été accueillie par le président du comité de jumelage, Arnaud Desplanques et par le « M. Jumelages » de Reims, Roger Vache. Des livres sur « les Américains à Reims » de Jacques Pernet, ont été offerts lors de la réception.

Après leur semaine de travail, les directeurs se sont rendus à Verdun, la Meuse accueillant l’un des plus grands cimetières américains d’Europe.

J.-F.S.

L’association ABMC supervise 24 cimetières - dont 11 en France - et 25 mémoriaux, répartis dans 15 pays.

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Football : mettons le racisme hors-jeu

 

Le football doit rester pour les Rémois une fête populaire qui respecte les règles et les personnes

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Le Stade de Reims et la Licra participent à la 8e semaine européenne d’action contre le racisme et la discrimination dans le foot.

Ils se sont associés pour célébrer cette initiative du FARE (Football against racism in Europe) lors de la rencontre avec l’équipe de Montpellier vendredi 19 octobre.

Les joueurs se sont échauffés en portant le tee-shirt Licra sur lequel est inscrit : « Mettons le racisme hors jeu ! ».

Des annonces ont été faites sur le thème du racisme dans le foot et 70 jeunes invités par le Stade de Reims, portant aussi le même tee-shirt ont pu ainsi applaudir la victoire de leur équipe.

Ces jeunes étaient encadrés et accompagnés par les médiateurs de quartiers de la ville de Reims et les éducateurs de prévention.

Mercredi 7 novembre, sera signé le renouvellement de la convention par M. Caillot, président du Stade de Reims et la présidente de la section rémoise de la Licra, scellant ainsi la poursuite du travail de sensibilisation auprès des jeunes sur les thèmes du racisme et des discriminations.

« Le football doit rester pour les Rémois une fête populaire qui respecte les règles et les personnes dans la joie et la convivialité », conclut Hichem Boussoufi, président du Football-club Atlas, partenaire du projet.

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La piscine Château d’eau en chantier pour 10 mois

 

Le grand bassin de la piscine Château d’eau va être refait… en inox. Christian Lantenois

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Côté vestiaires : l’existant va être réhabilité et étendu.

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Les travaux d’extension ont commencé mais la piscine va rester ouverte jusqu’à la fin décembre.

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Fin décembre, la piscine du Château d’eau fermera ses portes. Objectif : créer une extension des vestiaires et réhabiliter l’existant, mais aussi remplacer le grand bassin par une cuve en inox.

DEPUIS quelques jours, les abords de la piscine du Château d’eau sont méconnaissables. De grandes barrières ceinturent le site désormais en travaux. Jusqu’au 24décembre, la piscine va rester ouverte.

L’établissement est, rappelons-le, le 3e de Reims en terme de fréquentation, après le Nautilud et les Thiolettes. La piscine du Château d’eau a comptabilisé en 2006 44.000 entrées public, auxquelles s’ajoutent 30.000 entrées scolaires, 18.500 prestations pour les écoles de natation et 1.150 heures d’entraînement.

La piscine du Château d’eau date des années 80. L’établissement a largement souffert de l’humidité et ses vestiaires sont aujourd’hui inadaptés. La ville et la régie des équipements sportifs municipaux (REMS) ont donc décidé d’engager conjointement d’importants travaux de construction et de réhabilitation. Côté ville, les travaux vont concerner la réfection de la façade extérieure, l’extension des vestiaires et la réhabilitation des vestiaires existants. « Nous allons multiplier par deux les vestiaires existants, » indique Jacques Pernet, directeur de la réhabilitation du patrimoine bâti à la ville. « Nous allons également créer des cabines pour les personnes handicapées ».

L’entrée de l’établissement va être « requalifiée » comme l’explique Christelle Petit Gérard, architecte de la ville chargée de ce projet. « Dans le futur établissement, l’entrée se fera rue des Landais, dans l’extension du bâtiment. Nous avons cherché à insérer la piscine dans le site. La façade sera réalisée en bardage de couleur marron. »

Coût total des travaux pour la ville : 1.950.000 euros. Les travaux d’extension ont déjà commencé.

Un bassin en inox

En date du 26 septembre, le conseil d’administration de la REMS a également décidé de la rénovation du grand bassin en carrelage. « En raison du vieillissement, les carreaux de carrelage se décollent, » relève Alain Simon, directeur de la REMS. « Depuis 1981, un texte de loi recommande l’évacuation de l’eau — à 50 % minimum — des piscines par « débordement ». Et non par le fond comme c’est le cas actuellement. »

Il a donc été décidé de créer une cuve en inox avec un système de débordement intégré.

Buses de massage

« Ce système est meilleur pour l’hygiène, cela oblige les saletés à s’écouler sur les côtés. Cela va permettre d’intégrer dans les parois un système d’éclairage du bassin, de même que des buses de massage et un système de nage à contre-courant. »

Désormais, fini le bleu azur de la piscine. Place au gris clair. « C’est une matière très douce, » assure le directeur de la Rems. « Et la piscine du Château d’eau sera la 3e de France à intégrer ce type de cuve en inox. » Coût total des travaux pour la Rems : 600.000 euros pour le bassin et les carrelages, auxquels s’ajoutent 100.000 euros en casiers-vestiaires.

Patricia Buffet

 

Pour les clubs, la solidarité sportive a joué à fond !

 

Septembre 2008 : La piscine Château d’eau fermera ses portes le 24 décembre 2007 pour les rouvrir à la rentrée de septembre 2008.

Solidarité : La piscine accueille une dizaine de clubs locaux ou régionaux qui se partagent les lignes d’eau : RN89, Reims handisports, Reims champagne natation, MJC Croix-Rouge, CHU, DDJS…

« Nous avons discuté avec tous les clubs et trouvé des créneaux sur les autres piscines, » précise Alain Simon, directeur de la REMS. « La solidarité sportive a joué et certains ont raccourci leurs créneaux, d’autres se partageront des lignes… ».

Aquakid : Que les parents se rassurent : l’activité « aquakid » — à la suite des bébés nageurs — sera transférée aux Thiolettes à partir de janvier 2008, sur le même créneau du mercredi matin.

Nocturnes : Les « nocturnes » mises en place le mardi fonctionnent très bien avec en moyenne 4.000 personnes accueillies par saison (record : un peu plus de 200 personnes en une soirée !).

Personnel : Treize personnes composent l’équipe de la piscine du Château d’eau. « Les personnels ont été réaffectés pendant la durée des travaux sur les autres piscines municipales » précise encore le directeur de la REMS.

Surface : La surface existante de la piscine est de 1.346 m2. Après l’extension, elle sera de 1.623 m2.

Renseignements : Pour tout renseignement complémentaire, contacter la piscine du Château d’eau, tel. 03.26.86.18.38.

 

Comment allez-vous vous organiser ?

 

Denis Vadel, 41 ans, responsable piscine

 

Denis Vadel

« Durant ces dix mois de travaux, le personnel — 10 personnes — sera réaffecté dans d’autres sites gérés par la Rems.

Pour les usagers, les piscines les plus proches seront le Nautilud et la piscine Louvois.

La réaffectation des 10 clubs et des scolaires est déjà prévue. Ces travaux, vestiaires anciens et nouveaux, bassin, sont vraiment une nécessité. »

Kamal Larhzizal, 31 ans, salarié (Chamery) :

 

Kamal Larhzizal

« Comme nous habitons à Chamery, la piscine Château d’eau est la plus proche de notre domicile et nous y venons épisodiquement.

Mes filles sont âgées de 3 et 5 ans, l’aînée, inscrite dans un club, commence à apprendre à nager.

Pendant la fermeture, nous irons à la piscine de Louvois, ou peut-être, mais ce sera un peu plus loin, à celle d’Epernay. »

Annette et Sylvie Coquet, 54 et 24 ans (Hauts de Murigny) :

 

Annette et Sylvie Coquet

« Ma fille et moi nageons toujours ensemble. Nous venons à Château d’eau depuis au moins dix ans, tous les jours nous nageons 2 heures, et 4 heures, les mercredis et samedis. Ici c’est très familial, tout le monde se connaît plus ou moins, et les maîtres nageurs nous connaissent bien.

Quand ce sera fermé, nous irons à Nautilud. »

Mikaél et Aurélie Palamaringue, 23 et 17 ans (Châtillons) :

 

Mikaél et Aurélie Palamaringue

« Nous allons quelquefois à la piscine olympique et à Château d’eau chaque week-end. Nous aimons bien cette piscine.

Il y a plusieurs années que nous y venons, c’est ici que nous avons appris à nager.

Durant la fermeture, on aura l’embarras du choix et on découvrira les piscines que nous ne connaissons pas. »

Madeleine Thiennot, 56 ans (Murigny) :

 

Annette et Sylvie Coquet

« Je me le demande, car je ne suis pas une assez bonne nageuse pour aller à Nautilud.

Si la piscine des Châtillons est ouverte le week-end, j’irai.

J’ai appris à nager il y a 25 ans pour soigner mes maux de dos et, comme je nage sur le dos, il me faut des lignes pour me guider, ce qui est le cas à Château d’eau.

Mais les travaux prévus sont justifiés. »

 

 

 

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Maisons de quartier : ping-pong pour un audit

 

Michel Guillaudeau, conseiller municipal communiste, est têtu : cela fait plusieurs fois qu’il réclame au maire un document, en l’occurrence l’audit portant sur le fonctionnement des maisons de quartier rémoises.

Il avait déjà eu l’occasion de le faire une première fois lors d’un conseil municipal en juin, il a récidivé en septembre.

« Je transmettrai la demande »

A chaque fois, le maire l’envoie sur les roses, arguant du fait qu’il n’est pas le propriétaire du document, mais que ce dernier appartient à l’association qui gère ces maisons.

N’ayant donc pas davantage obtenu satisfaction lors du conseil de septembre, l’opposant communiste a formulé sa demande par écrit, et nous en a adressé une copie, histoire d’accroître la pression si possible.

Selon l’adjoint chargé du dossier des maisons de quartier Franck Noël, « le maire vient de répondre (le 18 octobre) à M.Guillaudeau, en lui disant qu’il venait seulement de recevoir le document officiellement en tant que maire. Auparavant, en effet, s’il l’avait entre les mains, c’était simplement au titre du conseil d’administration de l’association des maisons de quartier.

Cela dit, le bureau de l’association se réunit prochainement, et le maire s’engage à transmettre la demande de M.Guillaudeau à cette occasion. »

Alors bientôt la fin de la partie de ping-pong ?

A.P.

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Taxe d’habitation : un casse-tête pour les contribuables

 

A Reims, la taxe d’habitation assure 17 % de l’ensemble des recettes de la ville. Christian-Philippe PARIS

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La taxe d’habitation arrive, est arrivée ou arrivera dans les prochains jours dans les boîtes aux lettres. Chaque année, elle entraîne son lot de mécontents.

« BONJOUR, je vous écris pour vous faire part de mon indignation sur la taxe d’habitation à Reims. J’habite le quartier des Châtillons, dans un immeuble de 8 étages et je paie la somme de 715 euros, taxe audiovisuelle comprise. Si je viens habiter dans un quartier comme celui-ci, c’est peut-être que je n’ai pas trop les moyens de payer une telle somme sachant que mon salaire est presque équivalent à cette taxe… La mairie se rend-t-elle compte ? »

Ce courrier témoigne des inquiétudes des Rémois qui reçoivent actuellement leur taxe d’habitation.

Alors comment est calculé cet impôt et à quoi sert-il ?…. Quelques explications autour d’une taxe qui concerne toutes les personnes physiques ou morales qui ont « la disposition ou la jouissance à titre privatif de locaux imposables ».

A Reims, la taxe d’habitation assure 17 % de l’ensemble des recettes de la ville (40 % des recettes fiscales).

Impôt direct local calculé et prélevé par les services fiscaux de l’Etat pour le compte des collectivités locales, il sert, outre le financement général des services de la collectivité à couvrir les dépenses telles que les subventions au monde associatif, les dépenses pour le développement économique de la ville.

Cette année, le taux d’imposition qui s’applique aux bases nettes obtenues après déductions des abattements est fixé à 20,75 % pour la ville de Reims (6,68 % pour le département de la Marne).

« En 2006, ce taux était de 20,55 % », remarquent à la mairie, Guy Blérot, conseiller municipal, rapporteur du budget et Didier Birost, directeur adjoint des finances de Reims. « L’augmentation pour 2007 est donc de 0.97 % ».

Et les deux hommes d’assurer : « Nous sommes toujours attentifs. Et les hausses sont modérées ».

Pour 2008, ce taux ne sera voté qu’après le 16 mars. Élections municipales obligent.

« Une politique fiscale d’abattements »

105.000 contribuables rémois sont concernés par cette taxe. 75 % des ménages disposent d’abattements total ou partiel. « 76.000 foyers bénéficient de manière partielle ou totale d’exonérations », indique Guy Blérot.

« Nous sommes une des 10 premières villes de France qui a les abattements les plus importants », se félicite-t-il.

« Depuis plusieurs années, la ville suit une politique fiscale d’abattements volontairement forte afin d’apporter son soutien à chaque contribuable et plus particulièrement en faveur des personnes disposant de revenus modestes.

C’est pourquoi chaque année, le conseil municipal se prononce sur les taux d’abattements et de forfait qui viennent en réduction de la valeur locative brute ».

(Voir ci-dessous). « Chaque avis d’imposition est un cas unique », confirme Didier Birost.

« Pour le contribuable, comme pour nous, c’est toujours un vrai casse-tête.

Chaque année d’ailleurs, nous avons beaucoup de réclamations. Nous les étudions toutes. Il y a très peu d’erreurs. Mais c’est tellement complexe que les gens sont perdus. La plupart du temps, quelques explications suffisent pour que les contribuables y voient plus clairs ».

Catherine Tellier

 

Quelques pistes pour bien lire son avis d’imposition

 

Comment se calcule l’assiette

Les services fiscaux de l’Etat déterminent l’assiette fiscale en fonction de la surface du logement, de ses éléments de confort tels qu’ils ont été définis en 1970 et également de la situation générale et particulière de l’habitation. Ces coefficients prennent en compte notamment la situation géographique. Chaque logement est ensuite classé dans une nomenclature comportant huit catégories allant de « grand luxe » à « médiocre » valorisé par un tarif au m2 et réactualisé annuellement par le coefficient forfaitaire déterminé par la loi de finances. A Reims cette nomenclature compte 5 catégories. Elle est déterminée à partir de divers éléments comme la présence d’un ascenseur, l’existence d’un chauffage collectif…

Sont ensuite opérées des pondérations. La première pondération consiste à transformer en m2 imposables tous les éléments de confort de l’habitation : soit par exemple 5 m2 pour une baignoire, 3 m2 pour des WC. Une autre pondération intervient ensuite en fonction de l’entretien du logement, de sa situation géographique et divers autres éléments. En dernier lieu, une pondération dite « de situation particulière » prend en compte des données propres au logement comme la vue ou les incidences sonores. Le nombre de m2 ainsi obtenus est multiplié par le tarif communal de référence, c’est-à-dire le prix du mètre carré fixé par la commune de résidence. On obtient alors la valeur locative imposable brute.

Abattements obligatoires et facultatifs

La base nette d’imposition est obtenue après la déduction de certains abattements, notamment ceux qui sont obligatoires pour charge de famille.

A Reims, l’abattement pour charge de famille est de 10 % pour les deux premières personnes et de 25 % pour les personnes suivantes. D’autres abattements sont facultatifs. A Reims, par exemple, un abattement général est appliqué à l’ensemble des contribuables, son montant forfaitaire est de 442 euros soit une réduction de la cotisation à payer de 92 euros pour tous. D’autre part, les personnes à revenus modestes peuvent bénéficier, sous certaines conditions, d’un abattement particulier à la base.

Taux d’imposition

Une fois obtenue la valeur locative imposable nette, il faut la multiplier avec le taux d’imposition déterminé par la collectivité locale de votre lieu de résidence (cette année à Reims, le taux est de 20,75 % contre 20.55 % en 2006). Celui du département est le même que l’année dernière : 6,8 %. A cette cotisation s’ajoutent des frais de gestion prélevés par l’Etat à hauteur de 4,4 %.

 

Un cas d’école

 

« Je ne suis pas contre payer une taxe d’habitation. Mais là, une hausse de 34 %, c’est loin de représenter l’augmentation du niveau d’inflation chère à la classe politique qui d’ailleurs ne l’applique jamais en matière d’impôts ».

Roger (*) est en colère. Il habite un appartement de 150 m2 dans le centre ville de Reims et a vu, en un an, sa taxe d’habitation augmenter de 364 euros. En 2006, le montant de sa taxe d’habitation s’élevait à 1.076 euros. Cette année, il est de 1.440 euros. Ancien banquier, il s’interroge : « La dernière réforme fiscale de l’impôt sur le revenu annonçait un bénéfice plus ou moins significatif pour le contribuable. On nous a beaucoup relaté les mérites de cette mesure. Mais on a omis de signaler les effets néfastes qu’elle pouvait avoir sur la taxe d’habitation de certains citoyens et en particulier ceux bénéficiant d’un dégrèvement basé sur le revenu fiscal ».

Roger avance une explication : « Le revenu fiscal de référence utilisé comme base pour l’élaboration de la taxe d’habitation, (NDLR revenu égal pour la plupart des contribuables au revenu net imposable) est nettement plus élevé en 2007 qu’en 2006 en raison de la suppression de l’abattement des 20 %. Résultat : mon impôt sur le revenu a baissé de 79 euros mais l’allégement sur la taxe d’habitation auquel j’avais droit jusque-là mais qui est fonction du revenu fiscal de référence, a aussi été supprimé. Cet abattement était de 318 euros. Ajoutez au passage un petit prélèvement de 10 euros supplémentaire pour valeur locative élevée et l’augmentation des divers pourcentages et voilà comment vous vous retrouvez avec une augmentation de 364 euros ».

A la mairie, Guy Blérot et Didier Birost ne sont pas satisfaits de cette explication. « La suppression de cet abattement ne peut pas avoir un effet si important », expliquent-ils. « D’ailleurs, en 2005, l’avis d’imposition de ce contribuable était pratiquement équivalent à celui de 2007. Nous pensons plutôt qu’il s’agit d’un effet de seuil. Ce contribuable a certainement baissé d’une tranche en 2006 ; tranche qu’il a refranchie en 2007 ».

C.T.

(*) Roger est un prénom d’emprunt.

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l’union071023b

Les sciences à Georges-Braque

 

Pour la 16e édition de la fête de la Science, le collège Georges-Braque s’est très fortement investi mercredi dernier.

Le matin, deux professeurs et la documentaliste ont reçu les élèves des six classes de CM2 du secteur du collège.

Chaque écolier a participé à deux de ces ateliers :

- « As-tu nourri ta levure ? »,

- « Quel est cet arbre ? »,

- « Un petit qui ne ressemble pas à ses parents » et

- « Quel est le point commun entre une grenouille et un oignon ? »

Tous les cours ont été remplacés par des interventions à caractère scientifique selon un menu impressionnant, avec des professeurs mobilisés et des intervenants prestigieux.

Enfin, une conférence « Donner son sang pour sauver une vie » a été proposée aux adultes par M. Legrelle, maître de conférences de physiologie animale à l’UFR Sciences exactes et naturelles de Reims.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071023a

Un conseil municipal vite expédié

 

Il aura fallu moins de 90 minutes aux élus rémois pour examiner hier soir les 77 questions inscrites à l’ordre du jour d’un conseil municipal où l’on a appris pourtant plein de choses au détour de questions diverses.

…….

C’est le communiste Michel Guillaudeau qui a ensuite été taclé alors qu’il demandait le fameux audit sur les maisons de quartier. « Ce n’est pas à M. Noël adjoint à vous le procurer car il a été commandé par l’association des maisons de quartiers. »

Puis dans la foulée, à des inquiétudes formulées par l’opposition sur le contenu de la rénovation urbaine en 2008-2011 sur le quartier croix Rouge où les habitants craindraient la suppression d’espaces verts et de places de parking près de l’école Gilberte et Jean Droit, le maire a tenu à faire passer un message : « On a reconstruit plus de logements sociaux qu’on en a détruit. Ne soyez pas porteurs de mauvaises nouvelles. Je me demande d’ailleurs si les rumeurs ne sont pas portées par des élus. Et de se faire rassurant : il y aura une discussion avec la commission d’urbanisme et pourquoi pas une discussion avec les habitants. Il y a aussi d’autres sujets à aborder. »

……

À suivre.

Alain Moyat

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE

Offres parues le 22/10/2007 dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »

 


 

SCI STRADIS/CONSTITUTION

S.E.L.A.R.L. J.-P. CHINCHILLA

CABINET DE DROIT DES AFFAIRES

Société d’Avocats à la Cour d’Appel de Reims

31 avenue Jean Jaurès

51100 REIMS

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 10 octobre 2007, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION SOCIALE : STRADIS.

FORME SOCIALE : Société civile immobilière.

SIEGE SOCIAL : Allée des Landais - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Acquisition d’un terrain, exploitation et mise en valeur de ce terrain pour l’édification d’un immeuble et l’exploitation par bail ou autrement de cette construction qui restera la propriété de la société, éventuellement et exceptionnellement l’aliénation du ou des immeubles devenus inutiles à la société, au moyen de vente, échange ou apport en société.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 1.000 €, constitué uniquement d’apports en numéraire.

GERANCE : Monsieur Eric PLACET, demeurant 23 rue des Templiers - 51100 REIMS.

CLAUSES RELATIVES AUX CESSIONS DE PARTS : Dispense d’agrément pour cessions à associés, conjoints d’associés, ascendants ou descendants du cédant et agrément des associés représentant au moins les trois quarts des parts sociales pour cession à des tiers.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

59407

La gérance.

AGRIBAT SARL-CONSTITUTION/SARL RS ASSOCIES

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 19 octobre 2007, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION SOCIALE : AGRIBAT.

FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.

SIEGE SOCIAL : 49 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Maçonnerie, bâtiment.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 6.000 €.

GERANCE : Monsieur Tastan YILDIRIM, demeurant 61 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

59337

Pour avis.

ADA-BATI SARL-CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 27 septembre 2007, il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : S.A.R.L.

DENOMINATION : S.A.R.L. ADA-BATI.

CAPITAL : 15.000 €, divisé en 1.500 parts de 10 € chacune, entièrement souscrites et libérées.

OBJET : Bâtiment général, maçonnerie, béton armé et second œuvre.

DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.

SIEGE : 37 esp. Eisenhower - 51100 REIMS.

GERANCE : Monsieur BAYARTAN Sores, demeurant 37 esp. Eisenhower - 51100 REIMS.

DEBUT D’ACTIVITE : Dès que la société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS (Marne).

59333

Pour avis : Le gérant.
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l’union071022a

Bataille rangée à Croix-Rouge

 

La soirée de samedi a très mal commencé à Croix-Rouge. Il était environ 19 h 30 au magasin Shopi du centre commercial Croix-du-Sud quand l’ambiance a basculé. Et comme tout samedi soir, il y avait encore du monde dans le magasin.

Trois clients pas comme les autres s’y sont réfugiés pour, semble-t-il, fuir une bande d’assaillants. Le refuge n’a pas été efficace, puisque leurs poursuivants au nombre d’une quinzaine sont venus les y chercher de force.

Les deux groupes sont ensuite allés se battre dans les sous-sols du Shopi. Selon plusieurs témoins, il s’agissait de jeunes de Croix-Rouge contre d’autres de Pays-de-France.

Les coups échangés ont été si violents que l’un des fuyards est tombé dans le coma. Il s’en tire finalement avec un traumatisme crânien.

Les agresseurs se sont sauvés avant l’arrivée de la police. Aucune interpellation n’a encore eu lieu, mais les policiers auraient des pistes à exploiter. Ils n’ont pas souhaité communiquer sur cette affaire.

C.F.

l’union071023c

Rixe à Croix-du-Sud : la victime opérée hier

 

La principale victime de la bataille rangée survenue samedi soir au centre commercial Croix-du-Sud (notre précédente édition) a été opérée hier au service de neurochirurgie du CHU.

Les policiers n’ont pas encore pu l’auditionner. Agé de 20 ans, le jeune homme a repris conscience et ses jours ne semblent pas en danger.

Lui et deux camarades ont été pourchassés jusque dans un magasin par une quinzaine d’individus avec lesquels ils se sont ensuite battus dans les sous-sols.

Un contentieux entre les deux groupes serait à l’origine de ce déchaînement de violences. La police enquête.

l’union071027b

Raid punitif à Croix-Rouge : deux suspects en prison

 

Deux jeunes gens ont été écroués après la violente rixe de samedi dernier à Croix-du-Sud. Il s’agit d’une vengeance entre quartiers. La principale victime tabassée par la bande avait agressé la veille l’instigateur des représailles.

L’ENQUÊTE de police sur la violente agression commise samedi dernier par une bande à l’intérieur même du magasin Shopi de la place Auguste-Rodin (nos précédentes éditions) a donné ses premiers résultats avec l’incarcération jeudi soir de deux auteurs présumés.

Une rivalité entre certains jeunes des secteurs Croix-du-Sud et Pays-de-France, deux sous-quartiers de Croix-Rouge, est à l’origine de ce qui apparaît comme une véritable expédition punitive ayant visé deux garçons qui avaient eux-mêmes commis des violences la veille.

Coursés au magasin

Tout commence le 19 octobre en marge d’un concert de rap à Croix-du-Sud. Un jeune du quartier en interpelle un autre des Pays-de-France en lui faisant remarquer qu’il n’est pas chez lui ici, que ce n’est pas son territoire, qu’il n’a rien à y faire.

Le « Francilien » se prend une volée du « Sudiste » administrée avec la complicité d’un copain. Au lieu de porter plainte, la victime décide de régler ses comptes elle-même.

Le lendemain samedi, les deux jeunes de Croix-du-Sud s’attendent à avoir des nouvelles de leur adversaire. L’un d’eux se munit d’un bâton en bois, au cas où. Il ne lui sera d’aucune utilité face à la riposte qui se prépare.

Vers 18 heures, une douzaine d’individus portant écharpes et casquettes surgissent au centre commercial Croix-du-Sud avec barres de fer et battes de base-ball.

Ils s’échauffent à la boulangerie « Les Fruits de la Moisson » où ils balancent des tartes sur les murs et saccagent diverses viennoiseries avant de repérer et de se lancer aux trousses des deux garçons.

Ces derniers se réfugient au Shopi. La bande attend à l’extérieur. Comme personne ne ressort, elle s’engouffre dans le magasin. Le vigile est débordé par la meute qui retrouve ses proies à l’intérieur de la réserve. Les deux fuyards escomptaient s’enfuir par une porte de service donnant à l’arrière. Ils n’en ont pas le temps.

15 heures de coma

Le principal auteur de l’agression de la veille devient la principale victime. Coups de poing, coups de pied, coups de bâton et de barre de fer s’abattent sur lui alors qu’il est au sol. Il est inconscient lorsque la bande s’enfuit.

Souffrant d’un léger enfoncement de la boîte crânienne, il passe quinze heures dans le coma avant de subir une longue intervention neurochirurgicale.

Son rétablissement est spectaculaire car moins d’une semaine après l’agression, il a déjà repris tous ses esprits et peut discuter sans difficulté. Son copain, plus légèrement blessé, n’a pas souhaité porter plainte. Saisie de l’enquête, la brigade de répression des violences de la sûreté départementale de Reims a rapidement orienté ses investigations du côté des Pays-de-France.

Mercredi, elle a interpellé l’instigateur de l’expédition punitive et un complice présumé. Agés de 19 et 21 ans, ils ont été mis en examen et écroués. L’instigateur a reconnu les faits mais nie avoir recruté autour de lui pour aller en découdre avec son adversaire. Le second conteste tout : il était informé du projet de vengeance mais n’y aurait pas participé. L’enquête se poursuit pour tenter d’identifier les autres membres de la bande.

F.C.

l’union071029c

Croix-Rouge : un 3e homme écroué

 

Un troisième jeune homme a été déféré au parquet puis présenté au juge de la détention et des libertés, samedi, à la suite d’une violente rixe qui avait opposé des jeunes, dans le quartier Croix-du-Sud, le samedi précédent (l’union du 27 octobre).

À l’instar de deux autres jeunes interpellés par la police puis mis en examen et écroué, le 3e jeune a été écroué samedi.

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Matot Braine071021a

La Fondation Vinci fait un don à Bâtiment Services

 

Filiale du groupe de BTP Vinci, Sotram est implantée dans la Marne et dans l’Aube (ici, le site de Vailly).

Article paru dans le journal "Matot Braine ENTREPRISES" du 3 AU 9 SEPTEMBRE 2007 - N° 7201 (Journal hebdomadaire régional habilité par arrêté préfectoral à publier les annonces légales dans les départements des Ardennes, de l’Aube et de la Marne.)

Construction. Le grand groupe de BTP, via sa filiale à Epernay et de Vailly, la Sotram, a noué des relations avec une entreprise d’insertion rémoise.

La Fondation d’entreprise Vinci Pour la Cité a remis un chèque de 15000 € à Bâtiment Servi¬ces, une entreprise d’insertion rémoise spécialisée dans les travaux de peinture et de finition. Ce don a permis à cette société d’acquérir trois véhicules d’occasion. Bâtiment Services emploie actuellement treize personnes. Elle s’adresse en particulier aux bénéficiaires du RMI ou d’une aide sociale, la plupart du temps chômeurs de longue durée. Son but est de les accompagner vers un retour à l’emploi tout en leur apprenant un métier.

Finaliste régional du concours Talents de la création d’entreprise2007, Bâtiment Services peut compter sur l’appui de deux entreprises locales qui la font travailler en sous-traitance : l’entreprise Maurice Marchand et la SAS Gendarme. Une troisième vient s’ajouter à cette liste, et non des moindres, puisqu’i s’agit la Sotram.

LA MAÇONNERIE AUSSI

Implantée à Epernay et à Vailly, près de Troyes, la Sotram (Société de Travaux Marnais) est une filiale de Vinci Construction France Est. C’est son directeur, Luc Lenfant, qui a servi d’intermédiaire entre la Fon¬dation Vinci et Bâtiment Services, et piloté toute l’opération. Pour Luc Lenfant, un véritable partenariat doit s’établir entre sa société de gros œuvre et l’entreprise d’insertion.

« Nous lui confierons bien sûr ponctuellement des chantiers en sous-traitance, explique le directeur d’agence. Mais, plus important encore, nous allons l’aider à ajouter une corde à son arc, en se diversifiant dans la maçonnerie. La Sotram a toujours été sensible au volet insertion, mais c’est difficile à mettre en oeuvre dans le cadre d’un appel d’offres classique, en raison notamment des contraintes de délais ».

Rachetée en 1990 par le groupe Vinci, la Sotram est spécialisée dans le génie civil industriel et bâtiments publics. Outre un important portefeuille de clientèle dans l’agro-alimentaire et général et le champagne en particulier (elle travaille actuellement sur les sièges de Piper-Heid¬sieck et de Laurent-Perrier), la Sotram procède en ce moment à la reconstruction de la piscine de La Chapelle-Saint-Luc, dans l’Aube. Tournant avec un effectif de 80 à 100 personnes sur ses deux sites, elle est intervenue sur des chantiers tels que l’aéroport de Van-y, l’usine de diester à Nogent-sur-Seine ou la malterie de Vitry-le-François.

FRÉDÉRIC MARAIS

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Note de l’Etoile Croix du Sud :

« Talents » de l’Économie sociale

BATIMENT SERVICES - Monsieur Philippe Mouton,

3 Allée des Limousins

51100 Reims

Tel : 03.26.77.18.87

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l’union071020c

Les travailleurs maghrébins fêtent l’Aïd

 

Une fête en musique.

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L’association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) a fêté samedi 13 octobre l’Aïd el-Fitr, la fête marquant la rupture du jeûne du mois de ramadan pour les musulmans, avec les habitants du quartier, dans une ambiance familiale et conviviale : « Un groupe de musique constitué de jeunes de Reims et de Paris a animé cette journée et une partie de la soirée, jusqu’à 21 h 30 au 6, allée des Picards » précise Mohammed El Haddaoui, président.

Pour l’ATMF, cette journée, un moment fort d’entraide et de solidarité, fut l’occasion de réunir des jeunes de province (Reims) et des jeunes de banlieue (Paris) « pour échanger leurs compétences, partager leur savoir et travailler ensemble pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans leurs quartiers. »

 

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l’union071020b

Vols par ruse à la maison de retraite : une femme enceinte arrêtée

 

Le culot des voleurs par ruse sévissant au préjudice des personnes âgées est bien connu.

Interpellée cette semaine par la sûreté départementale du commissariat de Reims, une femme de 26 ans a poussé le toupet jusqu’à choisir ses victimes à l’intérieur même d’une résidence pour personnes âgées, non seulement à trois reprises mais de surcroît alors qu’elle était enceinte de six mois.

Sa grossesse faisait justement partie du stratagème pour abuser les trois vieilles dames hébergées pour deux d’entre elles à la résidence Maurice-Utrillo de l’Arfo, l’Association rémoise des foyers logements pour retraités qui comprend une dizaine d’établissements à Reims, notamment la résidence Avranches où demeure la troisième victime.

Les foyers de l’Arfo accueillent des personnes âgées autonomes disposant chacune d’une chambre. L’accès est libre en journée, une opportunité exploitée par la voleuse pour accéder à ses victimes.

Le premier vol commis à la résidence Avranches remonte au 19 ou au 20 septembre. La jeune femme s’est introduite dans la chambre d’une octogénaire en se faisant passer pour une employée de France-Télécom.

Elle a demandé un verre d’eau, grossesse oblige, et a profité d’un moment d’inattention de la dame pour lui dérober 200 €.

Poussée sur le lit

Deux faits similaires ont suivi le 21 septembre à la résidence Utrillo mais la seconde victime âgée de 80 ans a pris la voleuse sur le fait.

Elle a voulu actionner l’alarme directement reliée au bureau de la directrice. Pour l’en empêcher, la jeune femme l’a poussée sur le lit et a pris la fuite avec 40 €.

Elle avait dérobé 3.000 € en bijoux chez l’autre résidante.

« Nous ne savions pas qu’il y avait eu des vols avant », explique Chantal Laurent, directrice de la résidence Utrillo.

« Nous avons diffusé l’information. C’est ainsi que deux autres résidantes, ici et à Avranches, se sont rendues compte qu’elles avaient été victimes de la même personne. Cette dame toquait aux portes. Elle prétendait venir vérifier le téléphone car il grésillait. »

Elle fait un cadeau à sa voleuse

Saisis de l’enquête, les policiers de la brigade des affaires générales ont multiplié les investigations permettant d’aboutir mardi matin à l’interpellation de la jeune femme.

La piste était la bonne. Reconnue par les retraitées, elle avait gardé une paire de chaussons pour bébé que l’une des victimes au grand cœur lui avait offerte, attendrie par la naissance à venir…

Des bijoux ont été retrouvés, pas ceux des trois plaignantes (y aurait-t-il des victimes non identifiées ?). Sans doute ont-ils été revendus mais la jeune femme n’a apporté aucune explication.

Elle a tout nié malgré des preuves accablantes.

Sa grossesse lui a certainement évité de ressortir du commissariat menottes aux poignets pour une destination ombragée.

Elle a été remise en liberté avec une convocation à l’audience du tribunal correctionnel de Reims le 7 février prochain.

L’importance de la prévention

Le principe des foyers logements pour personnes âgées est tout le contraire d’un établissement fermé. Les pensionnaires sont des gens valides, du moins autonomes, qui sont libres de leurs mouvements.

C’est pour cette raison que les résidences Arfo sont ouvertes en journée. « Nous ne sommes pas une prison. On ne ferme qu’à partir de 8 heures du soir. Et puis en journée, il y a trop de personnes qui viennent, notamment les infirmières ou les aides ménagères, pour que nous puissions fermer », explique la directrice de la résidence Maurice-Utrillo, Chantal Laurent.

Dans tous les établissements de l’Arfo, l’accent est donc mis sur la prévention. « Nous rappelons les consignes par affichage. On demande aux résidants de fermer leur chambre à clef, de ne jamais ouvrir à des personnes qui n’ont pas été annoncées. Chaque visite extérieure fait l’objet d’une information préalable, comme par exemple le relevé des compteurs d’eau. »

Ces précautions n’ont malheureusement pas empêché la voleuse de faire trois victimes. « Elle savait les prendre par les sentiments », explique Mme Laurent. « Il a fallu les réconforter. Elles culpabilisaient d’avoir fait confiance à une personne alors qu’elles n’auraient pas dû. J’ai accompagné mes deux résidantes pour la confrontation au commissariat. Cela leur a fait du bien de savoir à qui elles avaient eu affaire. Nous sommes très satisfaits du travail de la police. »

Des conférences à destination des personnes âgées pour les mettre en garde sur les vols par ruse sont régulièrement organisées par les bureaux de police des quartiers. A la demande de la résidence Utrillo, il y en aura prochainement une dans ses locaux.

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l’union071020a

Immeuble enfumé : un incendiaire condamné

 

Trois ans après, l’un des auteurs d’un incendie qui avait provoqué de gros dégâts place Dominique-Ingres (photo d’archives) a été condamné.

Tribunal correctionnel de Reims : L’affaire fit grand bruit à l’époque place Dominique-Ingres, au quartier Croix-du-Sud.

Le 2 février 2004, vers 23 h 30, un premier conteneur était incendié dans le local à vide-ordures du n°10, enfumant la cage d’escalier jusqu’au quatrième et dernier étage.

Trois suspects vus en train de s’enfuir étaient rattrapés par la police. Il s’agissait de deux mineurs de 14 et 15 ans et d’un copain alors âgé de 21 ans.

Malgré ces trois interpellations, un deuxième feu de poubelles était allumé une heure plus tard au rez-de-chaussée de l’immeuble.

La fumée envahissait cette fois-ci tous les appartements. Une jeune locataire prise de malaise avait dû être évacuée à l’hôpital par les pompiers.

Là également, une surveillance policière du secteur permettait l’interpellation d’un incendiaire, un adolescent de 15 ans dont le frère mineur… figurait parmi les trois interpellés du premier feu.

Trois ans après, le seul majeur de la bande était convoqué au tribunal pour répondre de cette affaire mais Fabrice Thiefin, impliqué dans le premier feu, n’est pas venu alors qu’il se trouve pourtant sous contrôle judiciaire. Il a été condamné à six mois de prison avec sursis. D’après l’enquête, c’est lui qui avait enflammé le conteneur dans le local à vide-ordures avec un briquet prêté par l’un des mineurs.

F.C.

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lhebdoduvendredi071019b

Conférence-débat

 

L’association nationale des Panthères Grises de France et l’association 3F (Femmes d’aujourd’hui et Femmes de demain) vous invitent à une conférence-débat ayant pour thème « vieillir aujourd’hui », le lundi 22 octobre à 14h à la Maison de quartier Croix-Rouge, Espace La Nacelle, 3 rue du Dr Billard à Reims.

Dans l’actualité des problèmes liés à la vieillesse, une réflexion sera menée avec l’aide du public présent.

Renseignements au 06 07 96 56 72 ou03 26 08 22 10 ou sur

femmes.trois@laposte.net

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lhebdoduvendredi071019a

Spectacle bilingue

 

Un spectacle mêlant langues des signes et paroles, monté par la compagnie « La main tatouée » sera joué samedi 20 octobre à 14h à la médiathèque Croix- Rouge puis à 17h30 à la médiathèque Jean Falala.

Ce spectacle fait de mime, danse et jeux de mains s’adresse à un public mixte, sourd, malentendant et entendant, il peut être vu en famille.

Entrée libre.

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l’union071018c

 

 

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site Internet de REIMS HABITAT (www.reims¬habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 57 à 59 du C.M.P.

3. Objet des marchés : marchés de travaux : exécution ; isolation extérieure de la Tour 1 allée A.-Watteau à Reims.

4. Nombre et consistance des lots : 1. Lot unique.

  • Lot 1 : isolation extérieure.

5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.

6. Délai d’exécution : 10 semaines (non compris la période de préparation de 30 jours, et les intempéries de 30 jours).

7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du Code des marchés publics.

8. Critères d’attribution de l’offre :

  • Prix des prestations : 80 %,
  • Valeur technique : 20 %.

9. Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.

10. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site (->www.reims-habitat.fr]

11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims. Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site www.reims-habitat.fr - rubrique marchés publics.

12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.32, fax 03.26.48.43.40.

13. Date limite de remise des offres : lundi 5 novembre 2007 à 17 heures.

14. Date d’envoi de l’avis à la publication : 15 octobre 2007.

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l’union071018b

CROIX-ROUGE : Jeunes de Pays-de-France : le local de l’espoir

 

Karim Amry et Youssef Znati ont accueilli les personnalités pour l’inauguration.

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L’association « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » a inauguré son local au 1, allée des Béarnais, un local aménagé par le Foyer rémois, avec en particulier un bureau et deux salles de réunion et de travail, l’une d’elles déjà « meublée » d’ordinateurs prêts pour le soutien scolaire.

Il en a coûté 30.000 euros à l’organisme logeur pour tenir la promesse faite d’un local pour ces jeunes pleins d’enthousiasme et de projets, derrière leur président Karim Amry et le vice-président, Youssef Znati.

Christophe Faber, directeur de la clientèle, l’a rappelé : « Ce local tant attendu par les jeunes du secteur est la concrétisation d’un espoir pour Pays-de-France. Devant votre motivation et votre implication, le Foyer rémois est fier d’accueillir votre structure dans son patrimoine. »

La mairie, qui subventionne, était représentée par l’adjoint Ahmed El Mcherfi : « Votre association porte bien son nom car nous mettons précisément beaucoup d’espoirs en vous ! »

L’un des premiers gestes de « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » a été d’accueillir dans ses locaux flambant neufs une toute jeune association, à majorité féminine, « La lumière de l’obscurité » , qui œuvre en faveur des enfants du Niger : « Vous démontrez ainsi à quel point le jeunesse peut être un élément de cohésion, une richesse supplémentaire pour la ville » déclarait à ce propos Adeline Hazan, accompagnée du conseiller général Éric Quénard.

Les coordonnées de l’association : association « Jeunesse et Espoirs Pays-de-France » , 1 allée des Béarnais. Tél. 03.26.85.47.22.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071018a

Une opposition aux opposants au tramway

 

Hugues Lebailly, président de l’association des piétons et des usagers des transports collectifs de Reims et de ses environs (membre de la FNAUT et des Droits du Piéton), l’APUTCRE, répond à un courrier publié récemment dans l’union.

« Combien de temps encore les opposants au tramway vont-ils rabâcher les mêmes contrevérités ?

Si C. Fresnet (l’union du lundi 15 octobre 2007) s’informait un tout petit peu mieux, il saurait :

- que l’enquête d’utilité publique de la première ligne de tramway de Reims a eu lieu du 18 juin au 27 juillet, et qu’il ne reste plus qu’à attendre que le commissaire enquêteur nommé par le préfet rende ses conclusions, ce qui ne saurait plus tarder. Sachant que dans aucune ville de France, un projet de ligne de tramway n’a été bloqué par un avis négatif …

- que l’enquête publique sur la révision du Plan de déplacement urbain en cours (du 12 octobre au 13 novembre) est d’un grand intérêt pour l’avenir de notre agglomération, mais ne saurait en aucun cas remettre en cause le tramway.

- que la décision de réaliser le tramway a été prise par tous les maires et les conseillers communautaires de l’agglomération à l’unanimité (moins quatre abstentions), et non par « le maire de Reims et ses conseillers ».

- que si le projet devait être arrêté maintenant, les ménages soumis aux impôts locaux devraient payer plus de 100 M€ de dédit et frais déjà engagés pour ne rien avoir, comme en 1991. Sinon, l’agglomération remboursera pendant trente ans au groupement MARS, sur le versement transport et la taxe professionnelle payées par les entreprises, une part de l’investissement que celui-ci aura intégralement financé au départ (sans aucun endettement de la ville de Reims, ni de l’agglomération).

Mais il n’est pire sourds que ceux qui ne veulent pas entendre et ressassent sans fin les mêmes contre-vérités …

aputcre@free.fr

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l’union071017d

Futsal : neuf maisons de quartier en tournoi

 

C’est la première fois à Reims qu’un projet sportif fédère autant de maisons de quartier. En effet, 9 structures sur 14 vont participer à une activité de futsal (football en salle). La finale se déroulera au mois de juin.

A compter de ce mercredi 17 octobre, tous les mercredis de 15 à 18 heures des jeunes issus de 9 maisons de quartier de Reims vont se retrouver dans 4 gymnases de Reims (Barbusse, Richelieu, Trois-Fontaines, Roland-Bourgoin) afin de pratiquer du futsal).

Une fois par mois, les équipes se rencontreront sous forme de challenge. La 1ére de ces rencontres aura lieu le mercredi 14 novembre.

Pour l’instant 9 maisons de quartier sur 14 soit 70 à 90 jeunes ont répondu positivement à cette action : Maison-Blanche, Orgeval, Chalet Tunisie, Epinettes, Wilson, Croix-Rouge, Cernay Europe, Châtillons, Clairmarais.

Cette activité est encadrée par les animateurs des maisons de quartier avec le soutien de deux éducateurs sportifs de la ville spécialisés en football.

L’objectif est de faire participer l’équipe vainqueur de ce challenge à celui organisé par le département la saison prochaine.

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l’union071017c

Feux de voitures

 

Une Ford Escort volée a été incendiée lundi soir au quatrième et dernier niveau d’un parking souterrain de la place Georges-Braque.

Alertés à 20 heures, les pompiers ont dû progresser dans les sous-sols pour localiser l’incendie (la fumée est remontée jusqu’aux étages supérieurs).

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l’union071017b

Un enfant blessé sur une mini-moto

 

Lundi vers 17 h 45, un enfant circulant sur une pocket-bike (mini-moto) n’a pas respecté un stop rue Adrien-Sénéchal aux Hauts-de-Murigny.

Une voiture n’a pu l’éviter. Souffrant d’une fracture à la jambe, le mineur a été évacué sur l’hôpital par les pompiers avec le concours du Samu.

Cet accident survient en pleine semaine de la sécurité routière pendant laquelle les intervenants ne vont pas manquer de rappeler aux jeunes gens que la circulation des mini-motos est interdite sur la voie publique.

Une heure avant l’accident de la rue Adrien-Sénéchal, une collision impliquant deux voitures s’était produite juste à côté au rond-point des avenues Kœnig et du Maréchal-Juin (l’union d’hier).

La personne blessée est la conductrice d’une Seat percutée à l’arrière par une Laguna. Agée de 35 ans, la dame se plaignait de douleurs au cou, au visage et au bas du dos.

Hier vers 13 heures, un cycliste de 14 ans s’est blessé lors d’une chute rue Danton.

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l’union071017a

Le RHM à l’affût des rendez-vous majeurs

 

L’ossature ne cesse de se rajeunir.

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Outre une équipe de nationale 1 B hommes inscrite au championnat de France des clubs, le Reims haltérophilie musculation aura deux équipes féminines seniors (l’une d’entre elles avait fini 2e l’année dernière), deux équipes juniors hommes et une équipe cadets hommes pour la coupe de France des clubs.

C’est donc une saison riche qui s’annonce pour le RHM, dont l’ossature ne cesse de se rajeunir.

« Nous avons plein de jeunes de Croix-Rouge et ceux envoyés par la Ligue de l’enseignement. Et on poursuit nos partenariats avec le collège François-Legros avec lequel on a créé une section sportive qui permet aux élèves de pratiquer l’haltérophilie pendant les heures d’éducation physique et sportive et le mercredi après-midi en sport scolaire », explique David Baechler, entraîneur. Les loisirs ne sont guère oubliés. Le RHM leur propose une activité basée sur la musculation sportive et d’entretien.

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l’union071016h

Pouvoir médiatique

 

On ne soupçonne pas assez l’étendue du pouvoir des journalistes. Des habitants du quartier Croix-Rouge signalaient la semaine dernière un problème de chauffage.

Quand un journaliste de notre titre est arrivé, miracle ! le chauffage venait de se remettre en marche ! Et le plus fort, c’est que dès qu’il a quitté l’appartement, le chauffage a été à nouveau coupé ! En tout cas, c’est ce qu’affirment les locataires…

Conclusion, si vous voulez avoir bien chaud l’hiver, invitez des journalistes à la maison !

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l’union071016g

Le souvenir du Dr Crochet

 

Suite à l’article de l’union du 12 octobre sur le fanion de la Croix Rouge, Jacques Pernet souhaite rappeler le souvenir du Docteur Crochet.

« En effet, dès l’installation en 1933 de l’Hôpital général au lieudit « Maison Blanche », le Dr Crochet, médecin militaire pendant la 1re guerre mondiale eut l’idée de créer un aérodrome sanitaire à proximité de cet hôpital et de l’hôpital américain. Un terrain en bordure de Bezannes et de l’avenue d’Epernay fut réservé pour des travaux dans les années 1935.

En février 1936, Marcel Deat, ministre de l’Air, vint visiter cet aérodrome dit de Bezannes ou de la Maison Blanche, siège des Ailes Rémoises dont le Docteur Crochet était le président. Le but de cette visite était de créer sur ce terrain l’aéroport de Reims.

Le 28 juin 1936, était inauguré le centre aéro-médical. Le président Crochet était en Afrique avec son avion sanitaire baptisé Champagne et était représenté par le vice-président Derungs. Lors de la promotion Princesse de Polignac en juin 1938, le fanion remis maintenant au musée de la B.A. 112 avait été donné à Melle Mathieu en présence de nombreuses personnalités aéronautiques dont Mme Bleriot.

Soixante-dix ans ont passé, mais qui se souvient des vols des enfants atteints de la coqueluche dans l’avion du docteur Crochet.

En juillet 1939, le docteur Crochet avait accueilli l’empereur d’Annan S.M. Bao Daï sur cet aérodrome. Après la guerre, les Ailes Champenoises fusionnèrent avec l’aéroclub de Champagne et le terrain incorporé à la ZUP Croix Rouge. »

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l’union071016f

Feu de friteuse

 

Hier vers 13 h 30, les pompiers ont été appelés pour un « feu d’appartement » allée des Bourguignons, au rez-de-chaussée du n°6.

Il s’agissait en fait d’un feu de friteuse éteint par des voisins avant l’arrivée des secours.

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l’union071016e

Comment bien vieillir aujourd’hui

 

L’association nationale des Panthères grises de France inaugure lundi 22 octobre à 14 heures l’association 3F : « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » en présentant une conférence débat sur le thème « vieillir aujourd’hui » dans les locaux de l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du docteur-Billard.

« Dans l’actualité des problèmes lancés liés à la vieillesse, nous vous proposons une réflexion sur ce sujet qui nous interpelle tous » explique Renate Gossard, présidente de l’association 3F : « les décideurs politiques, les acteurs sociaux, les professionnels de la vieillesse, les familles et les aidants feront part de leur expérience et de leurs actions. »

Renseignements : « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain » Renate Gossard Tél. 03.26.08.22.10. ou 06.07.96.56.72.

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l’union071016d

Des logements adaptés aux handicapés ou seniors

 

Plurihabitat — l’Effort rémois vient de lancer un marché de travaux de rénovation de logements pour des personnes handicapées ou âgées à Reims, suivant un avis d’ergothérapeute.

« L’appel d’offres en cours est une consultation pour établir un (des) marché(s) à bon de commandes et par la même occasion négocier des prix intéressants en fonction d’un volume de travaux estimés » précise Patrick Sommet, directeur clientèle. Connaissant les prix unitaires du marché à bon de commande, Plurihabitat — l’Effort rémois pourra établir plus rapidement des devis et lancer les travaux dans des délais plus courts « avec la préoccupation de toujours améliorer notre qualité de service ».

A la question de savoir où de telles adaptations sont programmées, il est répondu qu’il n’y a pas, pour l’instant, de liste de logements préétablie : « Les interventions des entreprises se feront au coup par coup, suite aux demandes de nos clients (d’où l’avis d’une ergothérapeute) et suite à des libérations de logement identifiées comme étant adaptables pour des personnes à mobilité réduite. Pour info nous aurons réalisé, fin 2007, l’adaptation d’une centaine de logements. »

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l’union071016c

La médaille Jeunesse et Sports pour une vie consacrée à la danse

 

Une reconnaissance amplement méritée.

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Virginie Delauzun, responsable de la section danse à l’Association Croix-Rouge animation et promotion, a été décorée jeudi 11 octobre à Saint-Memmie, de la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports pour les nombreuses années qu’elle a consacrées à la danse.

Elle a débuté comme danseuse à l’âge de 6 ans avec Nicole Noizillier puis avec Pascal Marloy, Premier danseur au Grand-théâtre de Reims. Celui-ci pour des raisons professionnelles, devait quitter Reims et repasser la main à Nicole Noizillier jusqu’en 1985. Avant de partir, cette dernière a formé Virginie pour lui succéder.

22e saison

Il va sans dire qu’à 16 ans seulement, les débuts furent difficiles, mais c’était sans compter sur sa détermination et l’enthousiasme de la jeunesse : elle sut faire face. Depuis, bien des danseurs et danseuses ont été formés au sein de cette école (un bon millier au moins). Certains ont quitté l’association pour entrer au Conservatoire.

Le premier gala de Virginie Delauzun eut lieu en 1986 dans la salle du centre social Croix-Rouge. D’autres représentations se déroulèrent sur un podium érigé au centre de la fête foraine du quartier. Il y eut aussi la salle François-Mauriac ainsi que certaines maisons de retraite.

En 1989, elle prenait enfin possession du théâtre du Chemin-Vert où elle se produit toujours au mois de juin. Seule la réfection de celle-ci l’a obligée, pendant plusieurs années, à s’installer en la salle des fêtes de Tinqueux.

Virginie Delauzun entame cette année sa 22e saison à l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) où elle anime la section danse. On peut l’y rencontrer avec ses élèves chaque mercredi de 14 à 20 heures.

Prochain gala de danse classique, moderne et folklorique au théâtre du Chemin-Vert, dimanche 17 juin.

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l’union071016b

Créer ou reprendre une entreprise à Croix-Rouge

 

Dans le cadre des journées du Mois de la création et de l’innovation, une opération de sensibilisation et de formation à l’entreprenariat est proposée.

Elle se déroulera à Croix-Rouge mardi matin 23 octobre au lycée Joliot-Curie (4, rue Joliot-Curie) et vendredi après-midi 26 octobre à la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar). Cette opération est menée avec des bus itinérants conduits et animés par des spécialistes de l’entreprenariat, et équipés en véritables salles de formation (postes informatiques et formations en vidéo interactive).

Objectifs : faire découvrir l’entreprenariat, aborder la création ou la reprise d’entreprise avec des porteurs de projets et donner aux créateurs d’entreprises une approche spécialisée.

Pour participer à cette opération (entrée libre), contacter la direction du Développement économique de la ville de Reims au 03.26.77.87.57.

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l’union071016a

La queue à la Poste ça use, ça use…

 

Le système de tickets permet aux clients de pouvoir bouger en attendant leur tour. Et fait gagner du temps.

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« Il y a toujours la queue ici. Pratiquement à toutes les heures. Sauf en fin de mois où c’est un peu plus tranquille », regrette Thierry à Jean-Jaurès.

« Les gens, il faudrait qu’ils puissent arriver à n’importe quelle heure et qu’ils soient servis tout de suite », estime Ghislain à Europe.

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Organisé Pays-de-France

Il y a du monde mais équipé d’un système de tickets, le bureau pourtant réduit à trois guichetiers, fait face. On remarque tout de suite que les employés ont une cadence plus rapide qu’ailleurs.

« Franchement, c’est bien organisé », assure Mamadou. « Il y a des heures de pointe un peu difficiles mais les guichetiers sont efficaces », confirme Aïda.

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Catherine Frey

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l’union071015d

Ol’Kainry a chauffé l’espace Ethnic’s

 

La vedette (au centre) reçue par les animateurs de l’espace Ethnic’s.

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Rappeur d’envergure nationale, le chanteur Ol’Kainry a choisi l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge pour présenter, mercredi 10 octobre, « Démolition Man », son troisième opus.

« La journée s’est déroulée dans une très bonne ambiance », apprécie Thierry Farias, animateur musique : « Les jeunes ont été ravis et une nouvelle fois le côté relationnel de l’espace Ethnic’s a été apprécié ».

Au cours d’un mini concert, Ol’Kainry a présenté trois nouveaux titres de « Demolition Man », avant une séance de dédicaces de photos souvenirs avec les jeunes du quartier.

Pour terminer, l’artiste a écouté avec attention quelques groupes locaux qui lui ont présenté leur travail.

 

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l’union071015c

Des contes pour malentendants

 

Les médiathèques municipales proposeront spécialement à l’intention des malentendants une animation à base de contes, le samedi 20 octobre. Mais les entendants pourront aussi en profiter et sont donc également conviés. Un conteur de la Compagnie de la main tatouée commencera à raconter l’histoire avec les gestes, c’est-à-dire en langue des signes, un autre le récitera oralement.

Un premier rendez-vous est fixé à 14 heures à Croix-rouge, sur le thème « contes et jeux de mains de Chine, Afrique et Inde » ; durée 55 minutes (réservations recommandées au 03.26.35.68.40).

Le même jour, un second rendez-vous est proposé à 17 h 30 à Falala (pas besoin de réserver), sur le thème des loups : un indigo, un loup du Japon, le loup de la chèvre de M. Seguin. Durée : 1 heure.

Une animation analogue interviendra le samedi 22 décembre.

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l’union071015b

Frappé à la tête pour son scooter

 

Un vol avec violence a été rapidement résolu ce week-end par la police nationale.

Dans la nuit de vendredi à samedi, au moins deux individus ont agressé un jeune homme, allée des Provençaux, pour lui prendre son scooter. La victime a reçu un coup de poing derrière la tête.

Alertée, la brigade anticriminalité a repéré le scooter dès 3 heures du matin dans le même secteur. Le pilote a tenté de s’enfuir mais il a été rattrapé. Il avait sur lui une petite quantité de résine de cannabis.

D’après ses explications, le deux-roues lui aurait été prêté avec le consentement du plaignant. Il n’a pas convaincu les policiers ni le procureur devant lequel il a été présenté samedi après-midi.

Le garçon tout juste âgé de 18 ans a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel. Les policiers ont restitué le scooter à son légitime propriétaire.

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l’union071015a

Ivre et violent sur un cyclomoteur

 

Tribunal correctionnel de Reims : Dans la nuit du 3 au 4 mai, un cyclomotoriste démuni de casque met les gaz pour échapper à une patrouille de police qui vient de le repérer rue Newton.

Sébastien Duchêne, 20 ans, roule tellement vite qu’il tombe par terre. Il n’est pas assuré, a deux grammes d’alcool par litre de sang et tente de frapper les policiers venus le maîtriser.

Le tribunal le condamne en son absence à deux mois de prison ferme.

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l’union071014c

Le Futsal, trait d’union entre les jeunes

 

Animateurs et partenaires mettent au point le challenge interquartiers.

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« C’est une demande émanant des jeunes, relayée par les animateurs des différentes maisons de quartier, qui nous a amené à développer cette action. »

Réunis autour de Jean-Noël Censier, coordinateur du projet, au gymnase Léon-Bourgoin, et de l’équipe de pilotage, les animateurs et responsables des différentes maisons de quartier, accompagnés de quelques jeunes, ont mis au point les derniers détails du Challenge Futsal interquartiers de la saison 2007-2008.

« Lors des vacances d’avril, nous avions organisé un tournoi. Ça a très bien fonctionné. Au vu des résultats, la Ville a décidé de nous aider », ajoute J.-N. Censier. Pour répondre au mieux à cette action, qui s’inscrit dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs), l’association des maisons de quartier et la ville ont travaillé en partenariat. Quare gymnases (Bourgoin, Trois-Fontaines, Barbusse et Richelieu) permettent d’accueillir les douze équipes, soit une centaine de jeunes qui vont pouvoir profiter de ce dispositif.

« Au-delà de l’aspect sportif, ce qui nous attire dans ce projet, c’est de mettre en avant des valeurs de respect et de tolérance, de favoriser la mixité sociale entre des jeunes issus de différents secteurs de la ville, les amener vers une activité structurée et les inciter à intégrer des clubs », précise l’équipe pilote.

Les séances d’entraînement débuteront le 17 octobre. Les équipes se rencontreront en matchs de poules pour le challenge, à partir du 14 novembre, la finale ayant lieu en juin.

Outre les gymnases, la Ville met à disposition deux éducateurs sportifs et apporte une contribution en fournissant des chasubles pour les équipes. « Nous attendons beaucoup de ce projet pour la réussite duquel chacun contribue », concluent les organisateurs.

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VRI octobre 2007

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 241

 

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Quatre lauréats aux Jeunes Talents 2007 !

 

Comme chaque année, Pôle Sud Musique, le Réseau Musiques Actuelles Amateurs des Maisons de quartier de Reims organise le dispositif Jeunes Talents en partenariat avec la Cartonnerie et avec le soutien de la Ville de Reims.

Après deux concerts de sélection à la salle municipale Croix-Rouge en septembre dernier, les quatre groupes lauréats* bénéficient d’une trentaine d’heures de formation encadrée par des professionnels, notamment lors d’une résidence à la Cartonnerie avant le concert du 13 octobre au Cabaret.

* Les Maracasses-Pieds, RikTUsS, Crazy Bear First Concept et Goha

Retrouvez Pôle Sud Musique sur www.polesudmusique.com

Médiathèque Croix-Rouge

Le 13 octobre, c’est le temps d’un spectacle pour les tout-petits, écrit et interprété par Françoise Bobe (inscription en secteur jeunesse).

Salle d’exposition, samedi 13 octobre à 14h30, Didier Hauglustaine répondra à une question majeure en forme de boutade : “Le trou dans la couche d’ozone est-il rebouché ?”

Du 19 octobre au 17 novembre, découvrez les œuvres originales d’Anaïs Vaugelade et Alex Godard, deux illustrateurs conviés à la Fête du Livre.

Sur inscription en secteur jeunesse, les 17, 24, 31 octobre et le 7 novembre, rondes des albums, air du conte, projection de diapositives et ateliers de création animés par Dominick Boisjeol, plasticienne, attendent les enfants.

Quand les mots s’affichent

“Les mots s’affichent”, ateliers de création d’affiches avec Nicole Pérignon, plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain, ont fait l’objet d’une exposition à la Médiathèque.

A travers ce projet soutenu par la Ville de Reims dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale, une cinquantaine d’enfants, adolescents et adultes ont littéralement pris la parole en images, riches de la grande diversité des regards qu’ils posent sur Croix-Rouge.

Amélie Bigeard, du collectif d’artistes Odyliade, dit que « l’affiche est un grand porte-voix qui vous interpelle ».

L’expérience va se poursuivre sur le quartier Wilson durant le mois de novembre.

Joliot-Curie : un collège nouvelle génération…

Financé par le Conseil Général (12,5 M€), réalisé dans la concertation entre équipes pédagogiques et entreprises, l’établissement offre sur plus de 8000 m2 les équipements d’un collège digne de ce nom :

- salles spécialisées,

- ateliers,

- centre de documentation et d’information,

- salle polyvalente spacieuse

- et gymnase de plus de 1000 m2.

Récemment inauguré, le tout nouveau collège Joliot-Curie est déjà occupé par 386 élèves et leurs enseignants.

A l’Espace Watteau

Deux sorties à noter pour les randonneurs de l’Espace Watteau : 28 octobre et 4 novembre.

Pour les 3 à 14 ans, durant les vacances de la Toussaint, l’équipe a préparé un beau programme d’activités.

La Semaine du Goût mettra des recettes originales à l’honneur.

Du côté des animations familiales, notez que la Parent’aise propose des ateliers parents-enfants. Oum, animatrice référent famille, vous en dira davantage sur la sensibilisation aux gestes qui sauvent et à la sécurité incendie…

Pour tout renseignement : 03 26 36 03 50.

L’Espace Billard vous attend !

Parents d’ados, des rencontres permettent d’aborder les thèmes qui vous intéressent lors des rencontres du jeudi de 14 h à 16 h

(contactez Oum au 03 26 08 08 78 et Elham au 03 26 82 53 48).

Randonneurs et flâneurs, notez que la prochaine sortie nature aura lieu exceptionnellement un samedi (3 novembre).

Gastronomes, vivez la Semaine du Goût pour réaliser confitures et compotes. Et place aux vacances ! Pour celles de la Toussaint, les 3 à 12 ans sont les bienvenus.

Inscriptions, renseignements : 03 26 08 08 78.

Les Panthères Grises lancent les “3 F”

Cette association sera présentée au public lors d’une conférence-débat organisée sur le thème “Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui, femmes de demain” le 22 octobre à 14 h, Maison de quartier Croix-Rouge, Espace La Nacelle, 3 rue du Docteur Billard.

Contact : femmes3@laposte. Net

EN MUSIQUE

 

Les Lionceaux forever Groupe fondé à Reims en 1961, les Lionceaux ont connu le succès à l’âge d’or des yéyés.

Du Golfe Drouot à l’émission d’Albert Reisner Age tendre et tête de bois, en passant par les ondes du mythique Salut les copains, treize "lionceaux" (parmi lesquels Herbert Léonard), se sont succédés jusqu’à la séparation du groupe en 1966.

Il y a quelques années, Bruno Arrigoni, Richard Demay, Dan Dubois, Alain Dumont, Jean-Louis Percy et Roger Soly se sont retrouvés pour faire revivre le groupe en se produisant régulièrement sur scène.

Jeudi 18 octobre, à19h30, la médiathèque Croix-Rouge organise une conférence animée par Alain Dumont, accompagnée de la projection du documentaire Les Lionceaux forever. En bonus, un mini concert live.

HOMMAGE : Quatre équipements sportifs rebaptisés

 

Par soucis d’une meilleure lisibilité des gymnases et afin de rendre hommage aux dirigeants du monde sportif et associatif, deux équipements sportifs viennent d’être rebaptisés et deux futurs équipements ont d’ores et déjà un nom.

Ainsi, le gymnase Joliot-Curie (Croix- Rouge) porte désormais le nom de Roland Bourgoin. De même, la salle multifonctions du complexe René-Tys répondra au nom de salle Jean Armand.

Quant aux futurs gymnases des quartiers Croix-Rouge/Arago et Clairmarais, ces derniers porteront respectivement les noms du gymnase José Pérez et Jean- Jacques Lapique. Deux personnages qui, à l’instar de Roland Bourgoin et Jean Armand, se sont investis avec passion et générosité dans la vie sportive rémoise.

L’aïkido, une discipline pour tous

 

L’aïkido, art martial japonais, est une discipline qui permet d’acquérir une parfaite maîtrise de soi. Il se pratique à mains nues ou avec des armes (sabre, bâton, couteau) et s’adresse aux hommes aussi bien qu’aux femmes.

Le Ruc aïkido assure des cours hebdomadaires les lundis et vendredis de 20 h à 22h30. Halle universitaire, avenue François Mauriac. Renseignements : 03 26 36 20 95 ou www.reimsaikido.free.fr

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l’union071014a

Sortie à l’Assemblée nationale avec Réso

 

Les jeunes ont été accueillis par Renaud Dutreil.

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Dans le cadre de ses actions pédagogiques, l’association Réso (Réseau d’échanges solidaires), a organisé, mercredi, une sortie à l’Assemblée nationale.

« Cette sortie permet à tous les jeunes des quartiers de Reims de découvrir les institutions de la République avec un regard de citoyen », explique Alexi Mohamed. « Elle permet aussi, et selon nous, qu’avec ce même regard, les jeunes puissent avoir les sentiments d’appartenir à une nation et non à un périmètre selon le quartier habité. »

Cette action a été rendue possible par l’organisme logeur le Foyer rémois avec la Maison de l’enfance, « très impliqués dans la vie des quartiers et dont je remercie le soutien financier, apporté dans cette démarche ».

Avec la présence d’autant de jeunes (une quarantaine), cette sortie a été un succès pour Réso et ses partenaires, l’ATMF, la Maison de quartier des Epinettes, ainsi que Jawad et Bouhaleme d’Orgeval et la maison de quartier la Nacelle Croix-Rouge.

La prochaine sortie devrait avoir lieu au Sénat. Réso essaiera par le biais de ses partenaires, de prévoir un temps libre et un temps pour découvrir ensemble, les musées, et les monuments.

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l’union071013b

Les artistes exposent

 

Dominique Kucala.

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L’exposition « Artistes à Croix-Rouge » organisée deux fois par an par l’Acrap a permis de découvrir Dominique Kucala, artiste peintre qui réside dans le secteur Eisenhower.

Il peint depuis longtemps : « Je suis né avec un pinceau » plaisante-t-il.

Au palmarès de cet amateur, dessin, huiles et aquarelles sur ses thèmes préférés : portraits, natures mortes et animaux.

 

 

 

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l’union071013a

Pays-de-France Ascenseurs : un programme ambitieux

 

Dans l’union du jeudi 4 octobre, une annonce officielle attire l’attention : on y annonce que la SA d’HLM Le Foyer rémois, direction de la maintenance, lance un appel d’offres ouvert concernant un marché d’entretien et de maintenance de 58 ascenseurs (territoire nord pour 33 appareils et territoire sud pour 25 appareils).

On apprend que les prestations débuteront le 2 janvier 2008 et que le marché aura une durée de 5 ans. II expirera le 31 décembre 2012, date à laquelle il ne sera pas renouvelable.

Questions : sur ces 58 ascenseurs, combien sont implantés à Croix-Rouge ? A quelles adresses ? Avec quel calendrier prévisionnel ?

Joël Mouysset, responsable de l’agence Croix-Rouge du Foyer rémois répond volontiers : « Dans le cadre de la rénovation des ascenseurs, le Foyer rémois a commencé depuis 2006 un vaste programme de rénovation d’ascenseurs sur Pays-de-France, qui a déjà touché les installations suivantes : 2, 4, 14, 18 Bourguignons et 2 Provençaux en 2006, 16 Bourguignons, 1 Landais, 1 Limousins, 1 Joliot-Curie, 15 Bonaparte, 21 Savoyards, 4 Picards, 1 Lavoisier et 5 Tourangeaux en 2007.

En 2008, les ascenseurs suivants sont programmés : 3, 5, 9, 11 Bonaparte, 3 et 13 Savoyards, 4 Gascons, 19 Joliot-Curie, 3 Lavoisier, 1, 3, 4 Tourangeaux. »

Ces opérations sur trois ans représentent 26 installations sur le secteur Pays-de-France : « Il y en aura d’autres en fonction de l’appel d’offres, la volonté de notre société étant la rénovation complète du parc de Pays-de-France sur plusieurs années, compte tenu du nombre important d’ascenseurs. »

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l’union071012g

Les jeunes talents en concert à la Cartonnerie

 

Les quatre groupes labellisés « Jeunes talents 2007 » par le réseau Pôle Sud Musique : RikTusS, les Maracase-Pieds, Crazy Bear, First Concept et Goha, ont bénéficié de plus de trente heures chacun de formations encadrées par des professionnels : ateliers artistiques et techniques, répétitions accompagnées,…

Ils sont maintenant prêts à donner un aperçu de leur « jeune talent » et c’est à la Cartonnerie qu’ils se produiront demain samedi 13 octobre à 20 heures.

Entrée libre et sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Renseignements complémentaires auprès de Boris Claudel, coordinateur du réseau (Tél. 03.26.86.10.71.) ou sur le site www.polesudmusique.com

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Rock au Crous

 

Alternativ’Rock et Reims Rock’n’roll organisent samedi 20 octobre à 20h30 un concert réunissant trois groupe estampillés Rock alternatif. Au menu : les groupes Coma , My taylor is Rich et Platoon Playground qui se produiront au centre culturel du CROUS au campus Croix-Rouge.

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Unis-Cité recrute

 

Vous avez entre 18 et 25 ans et vous souhaitez vous rendre utile, agir concrètement en faveur de la solidarité et de l’environnement ? Dans ce cas, rejoignez Unis- Cité et réalisez un service civil volontaire de 6 ou 9 mois à temps plein.

Vous agirez et vous pourrez ainsi réaliser des actions concrètes concernant l’exclusion, la précarité, la lutte contre les discriminations, etc…

Renseignements sur www.uniscite.fr ou au 06 50 02 03 34.

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Le projet tramway peut-il être abandonné ?

 

Jean-Louis Schneiter a bien ficelé le projet tramway si bien que le futur maire de Reims élu en 2008 ne pourra pas faire machine arrière.

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Entre les déclarations des uns et des autres, l’avenir du tramway peut apparaître aux yeux des Rémois encore incertain.

Pourtant, à quelques mois du début des travaux, rien ne semble pouvoir empêcher le tramway de suivre sa voie.

Aujourd’hui, toutes les grandes villes de France possèdent un tramway ou projettent sa mise en service. Seules quelques villes, comme Dijon par exemple, font encore de la résistance. Il faut dire que le tramway est « le » transport collectif en vogue, proche des préoccupations environnementales actuelles.

Si Saint-Etienne est la seule ville a avoir conservé son tramway depuis sa création en 1881, c’est bien Nantes qui la première l’a remis au goût du jour dès 1985. Véritable serpent de mer à Reims, l’histoire du tramway dans la cité des Sacres est vieille de plus de 100 ans, alimentant allègrement les rumeurs. A quelques mois des élections municipales de mars2008, le projet de tramway de Reims est devenu un enjeu électoral majeur.

Pourtant, vu l’état d’avancement du projet, il apparaît aujourd’hui clairement qu’un éventuel abandon semble impossible ou alors irresponsable au vu des intérêts financiers en jeu. Voici quelques vérités, sur le projet tramway, cachées par la propagande des uns et ignorées par les autres.

Un peu d’histoire.

A la fin du XIXème siècle, Reims comme toutes les grandes villes de France adopte le tramway. La première ligne est créée en 1881 et le tramway est à traction hippomobile, c’est-à-dire tracté par des chevaux. Il faudra attendre 1900 pour voir circuler dans la Cité des Sacres le premier tramway électrique. C’est le début de l’âge d’or de ce mode de transport et la Ville de Reims compte alors 3 lignes et 3,5 millions d’utilisateurs annuels. Cependant, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, le tramway, alors exploité sur 5 lignes, est abandonné et remplacé par des autobus dont l’utilisation est alors jugée plus flexible.

Le projet avorté de Jean Falala.

C’est en 1984 que les premières études sont réalisées en vue de l’aménagement d’un nouveau tramway. L’idée d’alors est d’installer une ligne sur l’axe reliant le Grand Théâtre à l’Hôpital.

En 1990, le budget du projet est même adopté pour une mise en service de la ligne prévue en 1994. Mais en 1991, le maire de l’époque, Jean Falala, prend la décision d’abandonner ce projet qu’il avait lui-même initié, cédant alors à l’opposition et à la pression des riverains et des commerçants.

Le projet porté par Jean-Louis Schneiter.

En 2003, l’actuel maire de Reims relance le projet tramway pour Reims. À noter que lors de son élection en 2001, son programme électoral n’en faisait aucunement mention. Puis, c’est en 2005 que les élus de Reims Métropole, dont Jean-Louis Schneiter est le président, votent à l’unanimité (moins 4 abstentions) en faveur de la création d’une ligne de tramway. Le processus est lancé. Les Rémois n’auront été invités qu’à donner leur avis et à choisir la couleur puis la forme du futur tramway. Depuis, le groupement MARS a été choisi comme concessionnaire par la communauté de l’agglomération de Reims. Dès que le préfet prononcera la déclaration d’utilité publique, suite à l’enquête réalisée en juillet 2007, les travaux débuteront. La mise en service devrait intervenir en 2011.

Les enjeux de la déclaration d’utilité publique.

C’est une procédure administrative qui permet de réaliser une opération d’aménagement sur des terrains privés en les expropriant.

Elle est obtenue à la suite d’une enquête publique réalisée par un commissaire enquêteur qui recueille les avis de toutes les personnes souhaitant communiquer sur le sujet. A la suite de cette enquête, il formule des conclusions favorables ou non au projet. Le résultat de celles-ci incluant l’avis du commissaire enquêteur est alors soumis au préfet qui ensuite déclarera ou non l’utilité publique du projet étudié. Néanmoins, concernant un projet comme le tramway de Reims, jamais un préfet dans une autre ville ne s’est prononcé contre. La décision du préfet de la Marne est attendue normalement avant la fin de l’année2007.

Les recours administratifs.

Les TUR, actuels concessionnaires du réseau de bus de l’agglomération rémoise et filiale de Keolis, ont déposé un recours contre l’interruption anticipée du contrat les liant avec Reims Métropole. Signé en 1999, ce contrat devait durer jusqu’au 31 décembre 2009 mais il prendra fin au 31 décembre de cette année. Ce recours a été rejeté cet été par le tribunal administratif au profit de Reims Métropole et ce sera bien le groupement MARS qui reprendra la concession dès le 1er janvier 2008. De même, le groupement Fluo, dont Kéolis est membre, a déposé un recours, invoquant des conditions de mise en concurrence non équitables. Enfin l’association PACT, pilotée par le député Jean-Claude Thomas, a également tout tenté pour empêcher le projet tramway d’aboutir. Leurs actions ont pour l’instant toujours échoué. A suivre.

Le pouvoir du futur maire de Reims.

Naturellement, le projet tramway est l’un des grands sujets de campagne électorale, à chaque fois évoqué par les différents candidats aux élections municipales de Reims. S’il est logique que leur avis soit donné sur le sujet, ce n’est pas le futur maire de Reims qui pourra décider seul de l’abandon ou non du projet.

Il est bon de rappeler que la décision de faire le tramway a été prise par les membres du Conseil de Reims Métropole. En aucun cas le futur maire de Reims ne pourra stopper seul le projet et l’organisation d’un référendum (évoquée par différents candidats) n’y changera rien. Pour arrêter le projet tramway, il faudrait au futur maire de Reims, convaincre le conseil communautaire de l’agglomération rémoise composé de 43 délégués dont seulement 17 sièges sont détenus par des membres du conseil municipal de Reims. Une éventualité peu probable qui coûterait très cher aux communes de Reims Métropole.

Le coût d’un éventuel abandon.

C’est Adeline Hazan, députée européenne et candidate déclarée à la Mairie de Reims, qui la première a évoqué publiquement les conséquences financières d’un arrêt du projet.

« Le coût sera de 120millions d’euros à payer immédiatement » a déclaré la députée européenne. Ce chiffre, s’il n’a pas été confirmé, a été jugé « très proche de la vérité » par un proche du dossier au sein du groupement MARS. Ces 120 millions d’euros rembourseraient les études et les frais de dossiers réalisés par le groupement. C’est un tiers du coût total du tramway, évalué pour le moment à un peu plus de 300 millions d’euros. De plus, un abandon provoquerait la suppression de postes des120 personnes travaillant actuellement à Reims sur le projet au sein du groupement MARS et de la mission tramway.

Julien Debant.

Une enquête publique sur la révision du PDU

C’est au tour de la révision du PDU (Plan de Déplacements Urbains) d’être soumis à une enquête publique.

Le commissaire enquêteur Jean-Pierre Desplanques, désigné par le Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, recevra en personne* les observations du public à partir du 12 octobre et jusqu’au13 novembre. Pendant la durée de cette enquête, les observations sur la révision du PDU et son évaluation environnementale pourront être consignées sur les registres ouverts à cet effet dans tous les lieux visités par le commissaire enquêteur ou adressées par écrit à l’adresse suivante :

Monsieur Desplanques, commissaire enquêteur,

Hôtel de la communauté,

3 rue Eugène Desteuque, 51100 Reims.

*Dates et horaires disponibles en mairies.

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l’union071012c

CROIX-ROUGE : Deux nouvelles structures pour défendre les locataires

 

Dans le feuillet « QCR infos n°3 » élaboré par le collectif des locataires de Reims habitat et distribué sur l’ensemble du quartier Rafale-Université, Claude Stoltz, présidente du « Club 47 », association des locataires de ce secteur, annonce que sa structure change de nom et devient l’Union des locataires de Croix Rouge (ULCR).

Cette information est confirmée par Fabrice Lopez : « Suite à une initiative de ma part, devenue officielle lors de l’assemblée de l’association du 28 septembre 2007, le Club 47 devient en effet l’ULCR, dont je reste le vice-président. »

Un tel changement de nom n’est pas anodin. Jusqu’à présent, le Club 47 avait une vocation limitée au secteur Eisenhower. En s’ouvrant à l’ensemble de Croix-Rouge, on comprend que l’ULCR compte désormais élargir son action en direction des locataires de Reims habitat certes, mais aussi du Foyer rémois et de Pluri-habitat (l’Effort rémois).

Ne pas confondre

Il va falloir être attentif et ne pas confondre l’ULCR qui vient d’être présentée et le Collectif de défense des locataires Croix-Rouge (CDL-CR), une autre nouvelle structure : « Un collectif que je représente, fort d’un appui et d’une pétition favorable à plus de 80 % (Cour Eisenhower et limitrophes : plus de 400 logements et locaux visités) » explique le même Fabrice Lopez qui en est le président.

« Ce collectif de défense des locataires a été créé en septembre suite à une présentation du projet de renouvellement urbain pour Croix-Rouge par Reims Habitat. Il est indépendant de toute association » et encore : « Le CDL-CR n’a aucun objectif de menaces, mais de prise en compte de nos revendications face à un projet d’urbanisme destructeur de notre cadre de vie actuel../.. »

Le CDL-CR a commencé ses travaux : « Un premier rapport a été fait pour le secteur « cour Eisenhower », le deuxième pour le secteur « esplanade Eisenhower » est en cours, suivra le secteur « Taittinger » et par le biais de partenariats, d’autres secteurs du quartier. »

L’ensemble vise à constituer « un dossier complet sur le 5e canton et concerne la mobilisation de la population locale contre le projet de renouvellement urbain ».

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l’union071012b

Pour quelques degrés de plus…

 

18,2 ou 19° dans l’appartement ?

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« Nous n’avons que 17,9, et ça n’est monté parfois que jusqu’à 18,2 ! Ce n’est pas assez pour moi qui suis invalide et fragile des bronches ! »

S.B. et son mari F., tous deux septuagénaires, pestent depuis deux semaines après leur organisme logeur, Reims habitat, dans leur appartement du quartier Croix-Rouge.

Du côté du logeur, on estime que le chauffage fonctionne normalement (on va quand même demander à l’entreprise sous-traitante de vérifier) et que les 19° à assurer par contrat sont bien au rendez-vous (avec peut-être quelques minutes de décalage, vu le grand écart de températures entre la nuit et l’après-midi). Les thermomètres des uns et des autres seraient-ils en désaccord ?

A.P.

 

 

 

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l’union071012a

Une caméra pour échanger

 

Le matériel de La Nacelle sera utilisé par le public.

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L’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge s’investit dans la Semaine bleue sur le thème « Jeunes et vieux, ensemble ! » autour d’Internet, en ouvrant ses installations informatiques, mardi 16, jeudi 18, vendredi 19 et samedi 20 octobre de 15 à 17 heures.

Le thème choisi par les animateurs, permettra aux volontaires, avec leur famille, leurs amis ou un autre groupe, de s’initier sur le thème : « Web communication, une caméra pour échanger ».

Places limitées, inscription obligatoire à la Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (03.26.49.47.07.)

 

 

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Une soirée avec les Lionceaux à la médiathèque Croix-Rouge

 

Un mini-concert des Lionceaux.

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« Les Lionceaux forever ! » Les aficionados du groupe culte rémois apprécieront avec la diffusion, jeudi 18 octobre à 19 h 30, en avant-première, du documentaire « Les Lionceaux forever », en présence d’Alain Dumont (alias Willy Stevens) qui fut l’un des chanteurs de la formation dans les années 60 et qui répondra après la projection aux questions…

Cerise sur le gâteau : d’autres Lionceaux seront présents ! Et en bouquet final, un mini-concert acoustique !

Entrée gratuite à la médiathèque Croix-Rouge, 14 rue Jean-Louis-Debar, au pied du château d’eau de Croix-Rouge.

 

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La fête place Maurice-Utrillo

 

Dans le cadre de l’opération « Sortez, c’est la rentrée », la place Maurice-Utrillo a connu une journée de fête, une grande nouveauté :

« C’était une première » explique Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau « et elle fut réussie : les habitants des quartiers Croix-du-Sud et Hauts-de-Murigny avaient rendez-vous avec les associations du secteur pour fêter la rentrée. Les anciens de la résidence Arfo Maurice-Utrillo ont rejoint les joyeux drilles qui s’activaient sur la place, maniant tables, chaises, estrade et autres tonnelles. Pour faire bonne figure et marquer leur participation, c’est avec des déambulateurs fleuris qu’ils ont accompagné le cortège de vélos fleuris dans les rues avoisinantes, escortés par deux superbes voitures à pédales représentant pour l’une une gigantesque fleur et pour l’autre une jolie abeille. »

Une quarantaine de personnes se sont retrouvées pour partager leur déjeuner dominical sur la place, avant de participer à une multitude d’animations : chanteur, jongleur, accordéoniste, percussionniste, danseuses ont séduit tout l’après-midi un large public venu en nombre.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071010b

C’est la reprise aussi au Reims Acrap patinage

 

Les deux entraîneurs du Rap, Ludivine Lemaire (à gauche) et Sabrina Deconinck..

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Le Reims Acrap patinage propose trois disciplines : le patinage artistique, la danse sur glace et le patinage synchronisé. Ludivine Lemaire, entraîneur de danse sur glace titulaire d’un BE1 et Sabrina Deconinck, entraîneur de patinage artistique, titulaire également d’un BE1 accueillent les enfants et les initient aux sports de glisse, les préparent aux compétitions, et leur permettent de s’épanouir à la patinoire Jacques-Barot, avenue François-Mauriac.

Les parents peuvent rencontrer Myriam Huet et Sandrine Jaquet pendant les permanences à la patinoire Jacques-Barot le mercredi après-midi de 12 à 15 heures et le samedi de 14 h 45 à 16 h 30.

Deux essais gratuits sont proposés pour permettre aux enfants et aux grands de découvrir ce sport.

Danse sur glace et artistique

- Mardi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 15 et de 17 heures à 17 h 45.

- Mercredi de 7 à 11 heures et de 12 h 15 à 15 heures.

- Jeudi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 30 et de 17 heures à 17 h 45.

- Vendredi de 7 à 8 heures, de 12 h 15 à 13 h 15 et de 17 à 20 heures.

- Samedi de 9 à 12 heures et de 15 h 30 à 17 h 30.

- Dimanche de 8 heures à 11 h 30, en alternance, un dimanche sur deux : artistique et danse sur glace.

Club et adultes

Les heures sont dispensées mercredi de 14 à 15 heures samedi de 15 h 30 à 16 h 30. Un cours pour adulte est également proposé vendredi de 19 à 20 heures.

Reims Acrap patinage, 11 rue du président-Kennedy. Tél. 03.26.06.39.54.

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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.

3. Objet des marchés : marché de maîtrise d’oeuvre : déconstruction sélective d’immeubles 25/27 et 29/31 avenue du Général-Eisenhower, quartier Croix-Rouge, université de Reims.

4. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P. (voir règlement de consultation).

5, Critères d’attribution :

– références, compétences et moyens

– prix.

6. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr.

7. Autres renseignements :

- les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.

- Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes et techniques spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.14, fax : 03.26.48.43.40.

8. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, 51100 Reims.

9. Date limite de remise des offres : mercredi 31 octobre 2007 à 17 heures.

10. Date d’envoi de l’avis à la publication : 4 octobre 2007.

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l’union071009c

Les écoliers en visite aux jardins

 

Les écoliers ont découvert de très beaux jardins.

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Deux vagues de chacune cinquante écoliers de la maternelle Sculpteurs-Jacques ont visité les jardins familiaux de Croix-du-Sud : les grands, puis les petits, au grand plaisir des responsables de l’association et des jardiniers, fiers de présenter leurs parcelles.

La directrice, Christiane Sagan, explique ses objectifs : Dans le cadre de notre projet d’école sur l’éducation à l’environnement et la découverte du milieu environnant, cette sortie a permis aux élèves de prendre contact avec une végétation de potagers ».

 

 

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Association des Maisons de quartier : l’info en 3 clics !

 

La page d’accueil du site

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L’équipe de pilotage présente son site : facile d’accès et convivial !

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« Ce site correspond à ce qu’on souhaitait : permettre un accès à l’info simple et rapide. Il donne une image assez complète de l’association, de sa diversité et en même temps d’une certaine unicité ». Jean-Pierre Ettel, président de l’association des Maisons de quartier, ne cache pas sa satisfaction de voir le site internet opérationnel depuis trois semaines. Les membres de l’équipe de pilotage, en le présentant vendredi dernier, sont fiers du résultat ! « Une démarche collective, avec la participation de salariés et de bénévoles, qui ont travaillé durant près de trois mois », précise Benoît Guinet, directeur adjoint de l’association. L’enjeu était de regrouper les infos issues de chacune des 14 maisons de quartier (26 espaces au total), avec le souci de donner une cohérence globale de présentation, d’informer les Rémois sur l’offre socioculturelle, en prenant en compte la notion de proximité, de secteur, liée à chaque quartier, ainsi que les capacités de déplacement de l’un à l’autre.

Déjà 87 visiteurs par jour

« Nous avons appliqué la fameuse règle des 3 clics », explique le directeur de la société conceptrice du site, joignant le geste à la parole : à l’écran, une superbe photo de visages, en noir et blanc de Guillaume Gellert : « Nous souhaitions que la page d’accueil représente la diversité des publics, de la petite enfance aux seniors ».

Le visiteur peut accéder à l’info par les activités et services ou par question directe et mot-clé. 6 activités : accueil, sports, musique, danse, expression, divers. Chaque rubrique est subdivisée par type d’activité, âges, pôles thématiques. Le site a été construit de façon à ce qu’il puisse être administré et alimenté facilement. « Un moyen de remplir notre objectif : rendre le site vivant par l’insertion d’infos récentes et d’actualités ». Des liens sont prévus avec la ville et les partenaires. Un site complet, mais pas « pré mâché » : « Nous voulons amener les gens à obtenir des renseignements qui les inciteront, après la visite virtuelle, à aller sur le terrain », souhaite Pascale Enfer, directrice de l’association. L’esthétique des pages fait l’unanimité : « Trop beau ! » plaisantent certains, utilisant à dessein le langage des jeunes ! Une fréquence de consultation encourageante : 87 visiteurs avant-hier. « Pour un site qui débute, ça donne de bonnes perspectives pour l’avenir ! ».

Association des Maisons de quartier

www.maisondequartier-reims.fr

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Comment écrire un dessin animé ?

 

Une exposition est visible jusqu’au 12 octobre à la médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar, à l’occasion de la sortie du film de Jacques-Rémy Girerd « La prophétie des grenouilles ».

Cette exposition, montée pour les enfants à partir de 6 ans, tente de répondre à la question : « Comment écrit-on un dessin animé ? » . Les adultes y trouveront également matière à satisfaire leur curiosité.

Entrée libre.

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Danse et percussions africaines à Croix-Rouge

 

Des danses endiablées au programme.

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Les cours de danse et de percussions africaines de l’association Africaa reprennent, les lundis, jeudis et vendredis soirs, à l’Espace Billard de la Maison de Quartier Croix-Rouge, 12-14, rue Pierre-Taittinger.

Ils sont animés par deux professionnels expérimentés, d’origine sénégalaise : Youssouf Coly, danseur-chorégraphe et Abdoulaye Diop, musicien percussionniste qui attendent les amateurs pour partager leur passion et un peu de leur culture.

« Préparez-vous à danser pieds nus et à exécuter des figures et chorégraphies au son des djembés et rythmes d’Afrique de l’Ouest, notamment du sabar du Sénégal » avertit Corinne Broyer, administratrice : « énergique et sensuelle, la danse africaine sollicite tout le corps, un exercice idéal pour se défouler et évacuer le stress et pour libérer les émotions en travaillant endurance, coordination et souplesse » .

Ces cours s’adressent à tous les publics, jeunes et adultes, de tous niveaux, débutants ou confirmés : « dans une ambiance conviviale, chacun pourra s’exprimer selon sa personnalité et ses capacités » .

Pour tout renseignement complémentaire, consulter le site de l’association : http://www.africaa.fr

ou contacter le 06.74.62.99.77.

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Jonglage

 

Dans le cadre de la semaine de la science (8-14 octobre), une alliance atypique a lieu mercredi 10 au centre culturel du Crous – rue Rilly la Montagne sur le campus Croix Rouge.

Au menu, spectacle de jonglage avec la compagnie « Les objets volants ». Dans la foulée sera tenue une conférence sur les mathématiques du jonglage, qui oscillera entre division euclidienne, périodicité et moyenne.

Entrée libre. Renseignements : 03.26.47.56.11.

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La Fête de la Science, c’est partout !

 

L’opération « Drôles d’engins » à l’école Sylvain Lambert de Bezannes. Le 9 octobre, de 9h à 12h, des enfants pourront construire des voitures à propulsion, des fusées à eau ou des sous-marins.

« Le sens de la glisse » à la bibliothèque universitaire Sciences, le jeudi 11 octobre. Ou comment expliquer les phénomènes physiques que l’on retrouve dans les sports extrêmes.

La météo au collège Paul Fort de Reims du lundi 8 au vendredi 12 octobre. Atelier scientifique sur la météo, expériences, présentation d’appareils de mesures, etc…

« L’atelier de fabrication de pingouins » à l’URCA, le samedi 13 octobre pour le grand public.

« Dans les profondeurs du climat » à la bibliothèque universitaire Sciences et Staps, le mardi 9 octobre.

Reims, le 10 octobre, de 18h30 à 20h30, la salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville accueillera la 41ème soirée scientifique du CNAM Champagne-Ardenne. Louis-Marie Cléon, directeur scientifique et technique de la Direction de l’Innovation et de la Recherche à la SNCF montrera l’évolution de la haute technologie du ferroviaire français.

Une séance d’information sur le don du sang est prévue de 17h à 18h le vendredi 12 octobre au collège Georges Braque. Elle sera suivie d’un entretien avec le professeur Legrele qui apportera les réponses aux questions du public.

"La cellule en live" à la galerie commerciale de Cora Cormontreuil le mercredi 10 octobre.

Avize, exposition d’affiches du photographe Yann Arthus-Berrand, au collège Saint-Exupéry le samedi 13 octobre.

En savoir plus sur toutes les manifestations en Champagne-Ardenne sur www.fetedelascience.fr

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Si l’on parlait de la couche d’ozone ?

 

 

Didier Hauglustaine, directeur de recherche au CNRS et auteur de « Le trou dans la couche d’ozone est-il rebouché ? » sera à la médiathèque Croix-Rouge samedi 13 octobre à 14 h 30 pour une conférence.

Il y a une dizaine d’années, les médias révélaient une découverte scientifique inquiétante : la couche d’ozone, bouclier nécessaire à la vie sur Terre, se perçait au dessus de l’Antarctique…

Aujourd’hui, la réduction des gaz à effet de serre et la lutte contre le réchauffement climatique sont une priorité des gouvernements à l’échelle mondiale.

Si le grand public a été largement informé sur ces sujets, en revanche l’ulcération d’une partie de l’atmosphère ne fait plus la une des médias…

Cette opération s’inscrit dans le cadre de la Fête de la Science, une manifestation nationale, initiée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, soutenue en Champagne-Ardenne par le conseil régional et coordonnée par l’association Accustica.

Entrée gratuite à la médiathèque Croix-Rouge, 14 rue Jean-Louis-Debar, au pied du château d’eau de Croix-Rouge.

 

 

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Le rappeur Ol’Kainry à Croix-Rouge

 

Une tempête est annoncée sur le rap français avec Demolition Man et ses titres tueurs.

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Après son passage en mai dernier, le chanteur Ol’Kainry, rappeur de renommée nationale, a décidé de choisir l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge pour présenter « Démolition Man » , son troisième opus après « Les chemins de la dignité » sorti en 2004.

« Ce choix s’explique car Ol’Kainry avait apprécié la convivialité de notre équipe et surtout le contact direct avec le public rémois » justifie Thierry Farias, animateur musique chez Ethnic’s.

Avant une tournée dans toute la France début novembre, Ol’Kainry sera donc dans les locaux d’Ethnic’s, au château d’eau de Croix-Rouge, mercredi 10 octobre à partir de 14 heures (entrée libre).

Déroulement de la journée : mini concert d’Ol’Kainry pour présenter quelques titres de son nouvel album, séance de dédicaces, photos souvenirs avec les jeunes du quartier et enfin mini concert des ateliers de l’espace Ethnic’s.

Deux titres sont en écoute sur le skyblog officiel du rappeur : http://olkainry-officiel.skyrock.com

 

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Feux de voitures

 

 

Deux feux de voitures à signaler au cours de la nuit de vendredi à samedi : peu après deux heures du matin sur l’esplanade Hemingway (Val de Murigny) (une Ford Escort a propagé ses flammes à une Citroën stationnée à côté, ainsi qu’à des poubelles et à un poteau électrique), et vers deux heures et demie, une autre Ford Escort, place Dominique-Ingres (Croix-Rouge, photo).

 

 

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Violence en plein cœur de Reims

 

Après la bagarre entre bandes de quartiers différents, la violence des jeunes s’est cristallisée contre les policiers. Charles Lantenois

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Des barrières de chantier ont été renversées. A.P

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À la suite de l’affrontement entre deux bandes de jeunes, le centre-ville de Reims a connu hier après-midi de longues minutes d’une ambiance très électrique.

« MAMAN qu’est-ce qui se passe, on dirait que ça se bagarre en ville ? » Il est aux alentours de 16 h 30. Cet ado vient de passer par le centre-ville de Reims, la place du Théâtre et la rue de Vesle. Il n’est pas le seul à se demander ce qui arrive.

Si certains passants rigolent, d’autres affichent un masque d’inquiétude. D’un côté des policiers qui barrent la rue, certains équipés de casques et de boucliers ; face à eux, à une cinquantaine de mètres, tout un attroupement, constitué de jeunes pour l’essentiel. Entre les deux, un espace vide, jonché de débris de cailloux. Sur le côté, certains magasins ont baissé leur rideau.

« Au départ, c’est un affrontement entre bandes de différents quartiers qui a dégénéré », résume le commissaire de police ; pourquoi, on ne le saura sans doute jamais vraiment. Les suites d’une première bagarre entre jeunes filles un peu plus tôt dans l’après-midi (voir par ailleurs) ? « Ensuite, quand la police est arrivée, classique, ils se sont cristallisés contre nous à la suite d’une interpellation » poursuit le commissaire.

Les policiers ont calmé le jeu, laissant la foule se disperser peu à peu. La situation se normalisait en début de soirée, mais pendant de longues minutes, pendant le face à face entre les forces de l’ordre et l’attroupement, l’ambiance était électrique.

Les bus restaient bloqués par la foule. Une tentative de la police pour leur dégager le passage resta sans succès. Quelques cailloux volaient. Un sac-poubelle public s’enflamma. Des barrières de chantier furent écroulées. L’ambiance se détendit peu à peu. Des garçons improvisèrent une partie de ballon. Quand les badauds comprirent qu’il ne se passait plus rien, ils quittèrent les lieux.

Est-ce l’effet Saint-Dizier ? se demandaient les autorités réunies sur place pour tenter d’expliquer le phénomène (la ville de Haute-Marne vient d’être le théâtre d’échauffourées dévastatrices, notre édition d’hier).

À Reims en tout cas, le bilan sera bien plus léger : pas de blessé, quasiment pas de dégâts en dehors du sac-poubelle brûlé… On retiendra surtout cette ambiance explosive, qui aurait probablement pu dégénérer à la moindre étincelle.

Antoine Pardessus

Jeunes filles en furie en plein centre-ville

Hier en début d’après-midi, vers 14 h 30, les garçons descendus en ville n’en ont pas cru leurs yeux : sur la place du Théâtre, ils ont brusquement vu des dizaines de filles se bagarrer.

« J’étais au Mc-Do, j’ai tout vu en direct, raconte avec amusement S., une vingtaine d’années : « On ne sait pas trop pourquoi, les filles se sont frappées, se sont mis des vraies droites, des gazeuses, pire que des garçons, c’était assez violent ! On se serait cru dans un film… » « Des tigresses en chaleur ! » commente un autre.

La castagne ponctuée de cris stridents, qui a médusé les nombreux badauds présents à ce moment-là, n’a heureusement pas duré très longtemps, la police s’est montrée mais n’a pas eu à intervenir. Et il n’y a pas eu de blessé.

Les avis étaient partagés sur l’origine des bagarreuses : Europe, pont de Witry, Croix-Rouge ? Il semble qu’il s’agisse là d’une simple querelle entre quartiers.

Inquiétant tout de même de voir cette violence déferler en pleine ville…

A.P.

Les TUR débrayent

Suite aux incidents qui se sont déroulés hier après-midi au pied du Théâtre et rue de Talleyrand, le service des bus des TUR a été suspendu dans la soirée.

En ce dimanche, ce service devrait encore connaître des perturbations. Les voyageurs ont intérêt à se renseigner avant d’envisager un déplacement.

Dans la soirée, Jean-Louis Wiart, sous-préfet de Reims, a « regretté que les TUR aient fait usage de leur droit de retrait ». Pour le représentant de l’État, « rien, aucune raison ne pouvait motiver cette décision samedi (hier) soir ».

Après contact avec la direction des TUR, une réunion avec les syndicats devrait être organisée la semaine prochaine.

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l’union071008a

Violences urbaines : la tension est retombée

 

La poussée de fièvre de samedi après-midi en plein centre-ville, qui a causé des frayeurs aux commerçants, est retombée hier. Les autorités veulent dédramatiser et éviter la surenchère

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Ça s’est passé en plein centre-ville, place du Théâtre, rues de Vesle et Talleyrand.

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Dès la fin de la bagarre, les réparations ont commencé pour les vitrines brisées.

J.F.Scherpereel

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HIER matin, Reims avait retrouvé son calme. Plus aucune trace du face-à-face électrique entre bandes de jeunes et policiers survenu la veille, samedi après-midi.

Ça s’est passé en plein centre-ville, place du Théâtre, rues de Vesle et Talleyrand, et la tension et l’effet de foule avaient suscité quelque inquiétude parmi les commerçants (notre édition d’hier, et voir aussi par ailleurs).

Plus aucune trace ? Si, peut-être une : une vitrine endommagée, et puis cette affichette à un arrêt de bus, annonçant que ceux-ci ne circuleraient pas pendant la journée d’hier.

Bloqués mais pas attaqués

Mais rien de plus. Plus de débris de cailloux sur la chaussée : les balayeuses municipales étaient intervenues très vite au moment la dispersion de l’attroupement, contribuant d’ailleurs à celle-ci ; le sac-poubelle public brûlé était déjà remplacé ; les barrières de chantier écroulées, soigneusement repliées.

Alors, non-événement, comme l’estimait hier matin le sous-préfet, soucieux de dédramatiser les choses ?

« Il faut arrêter de se faire peur », commentait-il à l’attention de l’adjoint Roger Vache, sur le perron de la mairie, en attendant une cérémonie officielle ; et au maire qui lui demandait si les bus des Tur avaient été attaqués : « Non, rien ! »

D’où la colère du représentant de l’État devant le mouvement de grève déclenché aussitôt par l’entreprise de transports collectifs. Le sous-préfet reconnaissait seulement que les bus avaient été longuement bloqués par la foule ; « le plus dur, ajoutait-il, ça aura été de dégager le carrefour ! »

Pas de rechute nocturne

Au commissariat, le bilan officiel allait hier matin dans le sens du « dégonflement » de l’événement : une seule fêlure de vitrine (en réalité, il y en aurait eu au moins deux), et une seule interpellation, pour outrage à agent, celle d’un mineur impliqué dans la bagarre entre bandes qui avait tout déclenché.

On aurait pu toutefois craindre une « rechute » à la faveur de la nuit, et de l’euphorie de la victoire des rugbymen français ; il n’en a (presque) rien été.

Certes, quelques feux de poubelles et de voitures sont bien intervenus (voir aussi en page faits divers).

Et curieusement, pratiquement tous localisés dans le quartier Croix-Rouge, quartier où réside le jeune interpellé de l’après-midi…

Mais à peine plus que certaines autres nuits rémoises, et rien en tout cas qui ait dégénéré en agressions ou provocations.

Cette poussée de violence du 6 octobre 2007 en plein cœur de la ville n’aura-t-elle donc été qu’un « épiphénomène » comme le dit aussi le maire ?

Ou la partie émergée d’un iceberg bien plus discret mais aussi bien plus considérable ? L’avenir le dira.

Antoine Pardessus

Épiphénomène et non-événement ?

Le maire Jean-Louis Schneiter : « Il ne faut surtout pas gonfler les choses ; des jeunes se sont battus dans le centre-ville, et les choses se sont envenimées, mais la police a parfaitement réagi, en évitant d’aggraver la situation. À mon sens, il s’agit d’un épiphénomène qu’il ne convient pas de monter en épingle. Les médias ont leur part de responsabilité pour éviter les risques de surenchère entre jeunes. »

Le sous-préfet Jean-Louis Wiart : « Un non-événement. C’est du niveau d’une cour de récréation mal maîtrisée, avec 150 à 200 gamins réunis au même endroit, malheureusement mal choisi. Ça me rappelle personnellement les blagues qu’on faisait au lycée : on allumait des cocottes en papier, et on criait au feu ! Les surveillants arrivaient, et il n’y avait rien… car après l’interpellation, il ne s’est plus rien passé. »

Recueilli par A.P.

Les commerçants ont eu peur

« Ils étaient bien 200. Ils se tapaient comme des malades. J’ai eu la peur de ma vie ».

Comme ses voisines, cette commerçante du milieu de la rue de Talleyrand n’en revenait toujours pas, en quittant son magasin samedi vers 19 h 15.

Comme ses voisines, elle a fermé boutique au plus fort de la bagarre, invitant ses clientes à ne pas sortir.

Plus généralement, les commerçants ont subi les débordements des « jeunes » de samedi après-midi.

Rideaux baissés

« C’est moi qui ai prévenu la police. Ça se bagarrait devant moi », explique le commerçant ambulant dont l’étal était en première ligne au début de la rue de Vesle.

Lui n’a pas eu peur, affirme-t-il, en dénonçant « la violence gratuite. C’est complètement stupide ».

Un peu plus bas, à l’entrée de la galerie marchande, deux autres commerçants commentaient les faits à l’heure de la fermeture.

L’un a continué son activité, « mais j’ai gardé ma clé à la main », au cas où.

L’autre a demandé à l’ensemble de ses magasins — pourtant situés hors de la zone en effervescence — de baisser le rideau.

Même réaction aux Galeries Lafayette. « Des jeunes ont commencé à entrer, provoquant un brouhaha », raconte une vendeuse.

« Notre directeur a eu un très bon réflexe en faisant fermer immédiatement le magasin. Les jeunes ont donné des coups de pied dans les grilles, mais rien n’a été cassé ».

Le directeur a attendu que ça se calme avant de laisser partir son personnel, après une journée écourtée.

Immédiatement après la fin de l’affrontement entre les jeunes, une armée de balayeuses a nettoyé le champ de bataille dont le sol était jonché de cailloux et de pavés, preuves de la violence de certains.

Ensuite sont venus les vitriers qui ont consolidé les vitrines cassées. Tandis que des ouvriers rangeaient les barrières de chantier qui avaient valsé.

En fin de journée, de nombreux petits groupes de jeunes stationnaient encore dans le secteur du théâtre.D’autres attendaient patiemment un bus qui ne viendrait pas…

J.F.Scherpereel

Feux nocturnes : un prolongement de l’après-midi de samedi ?

Une série d’incidents, principalement feux de poubelles et de voitures, ont émaillé la nuit rémoise de samedi à dimanche.

Coïncidence : ils étaient pratiquement tous localisés sur le quartier Croix-rouge, c’est-à-dire celui du jeune homme interpellé un peu plus tôt dans l’après-midi, à l’occasion de l’affrontement entre bandes en plein centre-ville, qui avait ensuite provoqué une tension certaine du côté de la place du Théâtre (voir par ailleurs dans nos pages Reims).

La série débutait pendant le match de rugby France-Nouvelle Zélande, vers 22 heures, par un feu de véhicule (un Ford Transit) du côté du lycée Arago ; elle se poursuivait par une tentative de sabotage sur un boîtier électrique dans l’avenue du Général-Bonaparte vers 23 heures ; quelques minutes plus tard, dans la même avenue, une poubelle s’enflammait.

La police, vigilante, procédait alors à des interpellations.

Vers minuit et demie, poubelle en feu au rez-de-chaussée d’un immeuble dans l’allée des Bourguignons.

Dix minutes plus tard, l’avenue du Général-Bonaparte se signalait à nouveau par un feu du même genre dans le local d’un immeuble.

Des détritus s’enflammaient un peu après une heure allée des Limousins.

Nouveau feu de poubelle dans l’allée Chopin un peu avant une heure et demie.

Rebelote dans la rue de Dunkerque un peu avant deux heures.

Enfin, vers 4 heures, une Volvo devenait la proie des flammes dans un parking souterrain de l’allée des Bourguignons déjà citée.

Une Renault Espace qui avait la malchance d’être garée à proximité souffrit elle aussi des flammes, en particulier au niveau de son porte-bagage de toit.

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l’union071009a

« C’était pas préparé samedi la bagarre est partie comme ça »

 

Tous les jeunes adolescents interrogés sont unanaimes : "c’est parti d’une embrouille entre jeunes de plusieurs quartiers".

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Les désordres ont continué dans la soirée et plusieurs véhicules comme cette camionnette ont en fait les frais.

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« Le jeune arrêté n’est pas celui qui avait insulté les flics » assurent Farid et la plupart des jeunes de Croix-Rouge.

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Acteurs ou témoins, les gamins de Croix-Rouge donnent leur version des échauffourées qui ont affolé le centre-ville ce week-end.

ÇA cause à Croix-Rouge. Ça cause de ce qui s’est passé samedi au centre-ville puis dans le quartier quelques heures plus tard.

Ceux qui en étaient sont presque tous collégiens. Pas des bandits, des gamins pour qui la bagarre est devenue ordinaire et qui l’évoquent en toute insouciance. « Au collège on en a au moins une par semaine. C’est la routine ». Celle de samedi au centre-ville n’avait rien de pire qu’une autre : « C’est parti de rien, juste une embrouille qui a dégénéré », racontent plusieurs acteurs et témoins de « l’émeute ». À quelques détails près, tous ont la même version des événements.

L’embrouille aurait commencé à 13 h 30 « entre des filles d’Europe et de Croix-Rouge. Elles avaient rendez-vous pour s’expliquer rapport à des insultes échangées sur Internet ».

L’explication aurait été violente, « une des filles saignait ». L’affaire a duré et vers 16heures, ce sont les garçons qui auraient pris le relais : « C’est à 16 h 30 que tout a mal tourné, des garçons de Wilson et Pont de Witry se sont battus. Pont de Witry et Wilson, ils ont jamais pu s’encadrer. C’est une histoire de harki à l’origine ». Et la police est arrivée.

« On a été gazé »

Pauvre police qui en un rien de temps est devenue l’ennemi commun : « Il y a un type de chez nous qui s’est mis à insulter un keuf. Le policier, il a empoigné un petit de 14 ans qu’était là et l’a mis à terre. Seulement c’était pas lui qu’avait lancé l’insulte alors nous on s’est aussi lancé dans la bagarre. C’était trop injuste qu’ils en prennent un qu’avait rien fait ».

Des pierres ont fusé, « on a été gazé », les magasins ont tiré les grilles. « Moi, je me suis retrouvé enfermé dans le C & A.Il y en a qui en ont profité pour piquer des trucs ».

Dispersion générale, retour au calme, chaque « bande » rejoint ensuite son quartier. Mais les désordres auraient continué un peu plus tard à Croix-Rouge. « Le soir, on a remarqué qu’il y avait plein de policiers. Il y en a un qui a vu un jeune qui allumait du feu pour brûler une poubelle ou autre chose, il l’a coursé dans les rues ». La course a fait rameuter les troupes : « On s’est retrouvé à caillasser les policiers. Même qu’un inspav (ndlr : inspecteur) a pris une pierre dans la tête et qu’il saignait ». « Ils en ont arrêté pas mal du côté de la Rafale ». Bilan de la nuit : une camionnette brûlée devant le lycée Arago et onze voitures cramées dans un garage. « Samedi prochain, ça peut être pire. »

Catherine Frey et Mathieu Livoreil

Une querelle entre filles qui aurait dégénéré

Les policiers y voient un peu plus clair dans l’enchaînement des faits qui ont abouti aux violences de samedi après-midi.

Selon eux, tout a commencé vers 15 heures avec une banale altercation entre filles. Leurs amis respectifs s’en sont mêlés. D’après les renseignements recueillis, la rixe opposait alors des jeunes de Wilson au Pont-de-Witry qui s’étaient dispersés avant même l’arrivée de la police.

Même scénario lors d’une seconde altercation une heure plus tard. Vers 16 h 45, en raison d’une foule de plus en plus importante, les bus n’arrivaient plus à circuler.

C’est en voulant dégager la place que les policiers ont essuyé des outrages ainsi que des jets de pierres provenant d’une rue adjacente. Plusieurs minutes confuses ont suivi avant le retour au calme et la dispersion de la foule.

Bilan : deux vitrines étoilées, un jeune de 14 ans soupçonné d’outrages interpellé (originaire de Croix-Rouge, il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants).

Un phénomène qui n’était pas prévu

Les événements de samedi ont pris de court les autorités.

« Autant nous nous attendions à des violences à Saint-Dizier car la situation y était tendue depuis plusieurs semaines, autant il n’existait à Reims aucun signe avant- coureur de ce qui s’est passé samedi. Les quartiers sont calmes en ce moment » indique le directeur régional des Renseignements généraux*, Michel Ancillon, lequel précise qu’il n’y a « rien de comparable » entre les événements de Saint-Dizier et ceux de Reims.

« Ils n’ont pas la même ampleur. A Saint-Dizier, c’était prémédité tandis qu’à Reims, on a plutôt l’impression d’un phénomène spontané. »

Le directeur des RG nuance également la notion de « bandes ». « Il n’existe pas à Reims des bandes tel qu’on l’entend dans les quartiers difficiles de la région parisienne. Nous avons plutôt des groupes qui fonctionnent par affinité mais des bandes structurées, non ! En revanche, à l’occasion d’un événement factuel, deux groupes qui ne fonctionnent pas ensemble habituellement peuvent se rapprocher, par exemple sur la base d’une solidarité de quartier. Nous ne savons pas encore si cela a joué samedi. »

La cessation des hostilités entre protagonistes pour s’en prendre conjointement à la police n’a en revanche surpris personne au commissariat. « Quand ils se bagarrent entre eux, ils ne supportent pas qu’on vienne se mêler de leurs affaires. Se retourner contre le flic lorsqu’il arrive, c’est vieux comme le monde » assure un policier rémois.

F.C.

* Le suivi des violences urbaines est actuellement l’une des missions des RG.

La place du Théâtre un lieu stratégique

Fin connaisseur de la délinquance rémoise, ce policier explique pourquoi les violences de samedi ont éclaté place du Théâtre et non ailleurs au centre-ville.

« Tous les quartiers convergent à cet endroit via le réseau des bus. Si les jeunes des quartiers veulent se battre, se retrouver pour chercher querelle, il n’y a pas meilleur endroit. »

Un autre policier relève un deuxième facteur susceptible d’aggraver les risques de conflits. « La place du Théâtre pose un problème d’occupation de la voie publique qu’il va falloir gérer. Elle n’est plus irriguée par la circulation, à part celle des bus. C’est devenu un point de rassemblement central, un lieu de stationnement des gens et non plus un lieu de transit. Cela favorise tous les regroupements. »

Des rixes y sont signalées régulièrement, surtout le soir entre petits groupes antagonistes, mais jamais elles n’avaient dégénéré avec l’ampleur qu’on a connu samedi.

F.C.

Incendies et accidents

Les pompiers n’ont pas chômé depuis samedi soir avec une série d’accidents et d’incendies survenus un peu partout en ville.

Plusieurs ont déjà été relatés dans notre précédente édition.

Ce samedi vers 19 heures, la série s’est poursuivie avec deux piétons renversés au même moment, le premier par un deux-roues esplanade Paul-Cézanne (il s’est relevé indemne), le second par une voiture rue du 106e R.I. à Orgeval (il s’agit d’un enfant de 10 ans légèrement blessé).

Dimanche à 16 heures, les pompiers sont intervenus sur la piste de motocross de Fresnes-lès-Reims où un motard de 21 ans s’est blessé lors d’une mauvaise chute.

A 18 h 15, deux scooters ont été incendiés dans un garage souterrain de la rue de Solferino à Reims. Ils sont probablement volés.

Et ça continue…

Hier matin à 8 h 50, le pilote d’un deux-roues a refusé son transport à l’hôpital après un choc avec une voiture rue Noël.

A 13 h 30, un feu de cave s’est déclaré au 10 rue Jeanne-Jugan à Murigny. Un ascenseur s’est bloqué au même temps au sixième étage. Dégagés par les pompiers, les occupants légèrement incommodés par la fumée n’ont pas eu besoin d’être emmenés à l’hôpital.

A la même heure, les pompiers de Verzenay ont été appelés pour un accident de travail dans un vendangeoir de Rilly-la-Montagne, rue de Chigny.

Occupé à couper un parpaing avec une disqueuse, un ouvrier de Châtillon-sur-Marne, Jaime Gomes Ferreira, 48 ans, est tombé d’une échelle.

Il a fait une chute de près de trois mètres lui occasionnant de légères blessures aux jambes, au front et à un doigt. Il a été transporté au CHU de Reims.

Enfin, hier entre 16 h 20 et 16 h 40, trois collisions se sont produites en seulement vingt minutes à Reims, la première place Mozart (auto-moto), la deuxième rue Vernouillet (entre voitures), la dernière rue de Rilly-la-Montagne (piéton renversé).

Elles auraient fait chacune un blessé.

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l’union071010a

Des policiers en surveillance place du Théâtre

 

Ironie du sort : la présence quotidienne depuis lundi d’une patrouille de police en surveillance fixe place du Théâtre a été décidée… avant même les violences du week-end. Photo : Gérard Péron

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Les nombreux passants du centre-ville ont certainement remarqué depuis lundi la présence d’une patrouille de la police nationale en point fixe place du Théâtre chaque après-midi et en début de soirée.

« Première réaction visible à la suite des événements de samedi », pourrait-on penser.

Eh bien non ! Ironie du sort, cette présence policière fut décidée… avant même les violences du week-end.

Un lieu propice aux rassemblements

« Nous avions remarqué depuis quelque temps déjà que la place du Théâtre, point de convergence de tous les bus, était devenue une véritable gare routière en plein centre-ville, lieu propice aux rassemblements », explique le commissaire Jean-Jacques Dron, directeur départemental de la sécurité publique.

« Je l’évoquais déjà dans une note de service du 2 juillet. Une présence policière s’imposait pour assurer une sécurisation des lieux.

En collaboration avec le procureur de Reims, la police municipale et les Tur, nous avions donc décidé de mettre en place un point de prévention lisible, c’est-à-dire la présence permanente d’une patrouille de la sécurité publique place du Théâtre, de préférence aux heures de grande affluence, pour intervenir en amont dès la moindre friction. »

Calendrier devancé

Manque de chance ! Les derniers détails furent réglés le jeudi 4 octobre pour un démarrage de l’opération à compter du lundi 6, un calendrier devancé de 48 heures par les fauteurs de troubles…

Confirmée rétroactivement par les faits, la mise en œuvre cette présence policière depuis lundi sera adaptée en fonction des besoins, indique le commissaire Dron.

Un adolescent de 14 ans arrêté pour un feu de poubelle

Comme relaté dans l’union de lundi, plusieurs incendies ont émaillé la nuit de samedi à dimanche au quartier Croix-Rouge

Une interpellation a été effectuée : celle d’un mineur de 14 ans accusé d’avoir mis le feu à une poubelle avenue du Général-Bonaparte vers 23 h 30.

Déployée dans le quartier en prévision d’éventuels incidents suite aux violences survenues l’après-midi place du Théâtre, la brigade canine a repéré quatre jeunes gens qui ont jeté un papier enflammé dans le conteneur.

Seul le mineur de 14 ans a pu être rattrapé. Il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants. Il habite dans le même secteur que l’adolescent interpellé pour outrages lors des incidents place du Théâtre.

Le bilan des violences urbaines établi par la direction départementale de la sécurité publique pour le quartier Croix-Rouge durant la nuit de samedi à dimanche est de sept faits : un coffret électrique fracturé, quatre feux de poubelles et deux feux de véhicules (le fourgon Ford Transit devant le lycée Arago, une Volvo dans un garage allée des Bourguignons).

La rumeur court

Des enquêtes sont en cours à la sûreté départementale de Reims.

Elle court, elle court la rumeur. Plusieurs collégiens évoquaient entre eux « onze voitures brûlées » dans un garage et un « inspecteur » blessé à la tête par un jet de pierre (l’union d’hier), affirmations démenties par le commissariat. « Aucune violence n’a été exercée cette nuit-là sur nos personnels » indique le commissaire Jean-Jacques Dron.

Depuis, la situation est redevenue pratiquement calme sur le front des violences urbaines. Aucun feu n’a été signalé dans la nuit de lundi à hier.

Seuls incidents : un bus des Tur a essuyé un jet de pierre boulevard des Phéniciens aux Châtillons (vitre étoilée) ainsi qu’un équipage de la police municipale à Orgeval (le projectile ne l’a pas touché).

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l’union071021b

Des policiers plein le centre-ville

 

Des fourgons garés aux endroits stratégiques avec des hommes prêts à intervenir.

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Une bonne dizaine de couples de policiers a patrouillé tout l’après-midi dans le centre-ville

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L’épisode 3 des désordres au centre-ville le samedi n’aura pas eu lieu. Les gamins des quartiers se sont faits tout petits devant une présence policière hors du commun.

DRÔLE d’ambiance, hier après-midi, au centre ville. Pas moyen de faire deux pas sans croiser un couple de policiers en patrouille. Ils étaient partout. Même à l’intérieur des Galeries-Lafayette.

Deux fourgons, l’un à côté du théâtre, l’autre au bout de la place d’Erlon, ont stationné tout l’après-midi. À l’intérieur on pouvait apercevoir le parfait équipement du CRS assiégé.

Tout avait été prévu pour faire avorter dans l’œuf une éventuelle « émeute » entre jeunes de différents quartiers. Après deux samedis mouvementés, les forces de l’ordre s’attendaient à un troisième épisode.

Les commerçants aussi. En début d’après-midi, les vendeuses d’Armand-Thierry jetaient un œil inquiet aux rassemblements de jeunes qui s’épaississaient devant le théâtre. Chez Foot Locker, on avait prévu de fermer le rideau à la première alerte.

Lacoste sur le qui-vive

Tout le personnel, directeur inclus, était présent dans la boutique Lacoste. Encore à commenter leur frayeur de samedi dernier : « Vers 18 heures, une quarantaine de jeunes ont essayé de casser la vitrine à coups de pieds, heureusement elle a tenu bon. Il y avait des clients à l’intérieur avec des enfants, ils ont eu peur ».

La vitrine rescapée mais endommagée était fermée, hier, par un rideau de fer.

Une bande de 40 jeunes ont tenté de casser une vitrine de chez Lacoste samedi dernier. Hier, la même vitrine était fermée par un rideau de fer.

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Dans la galerie Clair-Maret, son propriétaire Laurent Cordier montait la garde : « Je suis là pour pouvoir fermer rapidement si on voit que ça bouge. Samedi dernier, une bande a traversé la galerie en courant et en criant. Ils n’ont rien volé mais une vitrine a été cassée à la sortie ». Un épisode pas vraiment traumatisant pour les clients : « S’il s’était s’agit d’un bizutage, cela aurait eu le même effet. Ce n’était que des gamins ».

D’autres bruits de pillage de magasin ont circulé toute la semaine mais il s’agissait surtout de rumeurs infondées ou de simples vols qui ont été amplifiés de bouche en bouche. Preuve qu’une petite psychose du samedi après-midi s’installe dans les commerces.

Comme dans cette parfumerie où une employée met en garde une cliente : « Méfiez-vous, il est prévu que les émeutes recommencent aujourd’hui. Je vous conseille d’éviter la rue de Vesle ».

Il n’en a rien été. Il y avait sans doute bien trop de policiers.

C.F.

 

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l’union071029b

Service d’ordre

 

La police avait déployé un service d’ordre plus conséquent que la normale, samedi après-midi, dans le centre-ville.

Aucun incident n’a été à déplorer.

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l’union071005b

Croix-rouge : Les marcheurs du dimanche reprennent leurs randonnées

 

En tête avec son bâton, Vincent Girardin, amoureux de la nature.

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Président de l’espace Watteau, Vincent Girardin est aussi organisateur et accompagnateur des randonnées familiales « les marcheurs du dimanche » et, à l’issue d’une première réunion de travail, il vient d’élaborer le programme des sorties jusqu’en février 2008, sous les réserves d’usage climatologiques ou événementielles.

- 28 octobre : direction Trépail, départ à 8 h 15.

- 4 novembre : direction le lac du Der pour la journée complète, départ 7 heures, prévoir le repas tiré du sac.

- 25 novembre : direction Hermonville, départ à 8 h 15.

- 9 décembre : direction Germaine, départ à 8 h 15.

- 20 janvier : « rando rémoise », départ à 8 h 15.

- 3 février : direction Rilly-la-Montagne, départ à 8 h 15.

- 17 février : direction Saint-Martin-d’Albois, départ à 8 h 15.

Le prochain programme sera établi début février.

Toutes ces randonnées sont des sorties « douces », « pour se détendre en famille ou entre amis, sans esprit de compétition, dans la bonne humeur et la convivialité ».

Covoiturage possible sur inscription préalable.

Renseignements :

- au secrétariat de l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau

- Tél. 03.26.36.03.50.

- Des photographies des randonnées pédestres de l’Espace Watteau sont disponibles dans notre galerie de photos

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l’union071005a

La semaine des associations

 

Goûter chantant

Il sera organisé ce vendredi, avec le chanteur Yannick Delaunay, à la résidence de personnes âgées Arfo Maurice-Utrillo (12 bis, place Maurice-Utrillo) de 15 à 17 heures. Des informations sur les activités dans le quartier pour les seniors seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations tous publics

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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l’union071004f

AVIS D’APPEL D’OFFRES

 

AVIS D’APPEL D’OFFRES

1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.

3. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprise individuelle.

4. Objet du marché : marché d’entretien et de maintenance de 58 ascenseurs.

5. Nature des travaux : le marché se compose en 2 lots :

    • Lot n° 1 : territoire nord pour 33 appareils ;
    • Lot n° 2 : territoire sud pour 25 appareils.

Le candidat remettra une offre par lot, sachant qu’il pourra être retenu pour un ou deux lots.

6. Date prévisionnelle de début des prestations : les presta¬tions débuteront au plus tôt le 2 janvier 2008.

7. Durée du marché : le marché aura une durée de 5 ans dont la première année en période d’essai. Il expirera le 31 décembre 2012, date à laquelle il ne sera pas renouvelable.

8. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A., 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24 ; fax : 03.26.07.37.61.

Les dossiers seront disponibles à compter du jeudi 4 octobre 2007.

9. Date limite de remise des offres : le lundi 26 novembre 2007, à 17 heures, délai de rigueur.

Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

Indications à porter sur l’enveloppe : « Appel d’offres : marché d’entretien et de maintenance 2008 - 58 appareils ». « Ne pas ouvrir ».

10. Présentation des offres : elle devra être conforme au modèle remis dans le dossier d’appel d’offres et comporter tous les documents demandés au R.P.A.O.

11. Jugement des offres : les critères de sélection de offres par la commission d’appel d’offres se fonderont sur :

1. Le montant global de l’offre.

2. Le respect des performances demandées.

3. Les garanties professionnelles, financières et de qualité des candidats.

4. Les références du candidat.

12. Renseignements :

Par courrier ou par fax (03.26.84.36.19) à : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, M. ALEXANDRE.

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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Organisme passant le marché : PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France.

Contact : Monsieur Alain NICOLE.

Référence du marché : MA-071007.

Objet du marché : logements personnes handicapées et âgées 2008 (marché de travaux de rénovation des logements pour des personnes handicapées ou âgées suivant un avis d’ergothérapeute à Reims).

Date limite de remise des offres : 29/10/2007 à 17 heures.

Autres informations : les dossiers sont disponibles gratuitement :

–** sur support papier sur demande écrite (par fax ou e-mail) à partir du 4 octobre 2007 et jusqu’au 24 octobre 2007 à 17 heures :

    • Auprès de PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, service marchés, Mme GALLOIS ou M. MEUNIER, 7, rue Marie-Stuart à Reims. Télécopie : 03.26.04.98.12.

E-mail : service.marches@effort-remois.com.

Date d’envoi à la publication : le 4/10/2007.

Adresses complémentaires :

    • Renseignements d’ordre administratif : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, Madame Nadine GALLOIS 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France.Tél. 03.26.04.99.05.

Fax 03.26.04.98.12.

Courriel : n.gallois@effort-remois.com

    • Renseignements d’ordre technique : PLURIHABITAT L’EF¬FORT RÉMOIS, Monsieur Pierre DUMONT 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims, France. Tél. 03.26.04.98.37.

Renseignements relatifs aux lots : marché alloti. Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.

    • Lot 1 : plomberie - CF CCTP.
    • Lot 2 : électricité - CF CCTP.
    • Lot 3 : menuiserie intérieure - CF CCTP.
    • Lot 4 : maçonnerie - CF CCTP.
    • Lot 5 : peinture, revêtement de sol, carrelage - CF CCTP. Lot 6 : menui-serie extérieure - CF CCTP.
    • Lot 7 : serrurerie - CF CCTP.
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Les Atlatistes font un bon début de saison

 

L’ossature est renforcée par l’arrivée de quelques nouveaux joueurs et d’un nouvel entraîneur.

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Excellentissime début saison pour les Atlatistes qui viennent d’écraser Berru Lavannes 16-0 dans le cadre du premier tour de la coupe Promo Club. L’année dernière, les poulains du président d’Hichem Boussoufi avaient terminé deuxièmes de la troisième série du District Marne de foot.

Pour la nouvelle saison, l’ossature est renforcée par l’arrivée de quelques nouveaux joueurs et d’un nouvel entraîneur en la personne de Noredine Lakbachi (ancien joueur au Stade de Reims). « Sa présence donnera au club une nouvelle impulsion, un nouvel esprit. Il doit notamment travailler sur la discipline, la rigueur, la concentration et l’esprit d’équipe de notre formation, avec l’objectif d’assurer la montée en deuxième série. Nous voulons finir parmi les deux premiers de la poule. »

Un objectif sportif qui ne doit pas faire oublier la pérennisation de certaines actions (telles que la lutte contre la violence, le racisme et l’incivilité) menées en partenariat avec les Maisons de quartier, la Licra, la Ville de Reims ou encore le District Marne de football.

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l’union071004c

Des locataires investis

 

A Croix-Rouge le numéro 2 de « QCR-infos » a été imprimé à 2.200 exemplaires et distribué.

Un édito sur le bon comportement à adopter en matière de déchets (les encombrants, les papiers et autres sacs poubelles…) ; un sujet sur la coupure d’eau chaude annuelle, orchestrée par la Soccram ; un sujet sur le coût du verre brisé des portes d’accès aux immeubles.

Les réflexions continuent

Que fait l’organisme logeur, les délais de réparation, le coût d’une vitre, les immeubles les plus touchés, qui paie la facture, que doivent faire les locataires, etc. ; un sujet sur le retour des étourneaux dans nos arbres (ils sont en avance, comme les vendanges…).

Toute candidature d’un locataire du quartier à ces groupes de volontaires est la bienvenue, pour travailler ensemble à l’amélioration de la qualité de vie sur le secteur Université :

- fonctionnement général et entretien des immeubles et des espaces extérieurs ;

- relations de voisinage, respect des règles de vie en commun, meilleure communication entre habitants et organisme logeur, animation du quartier ;

- rénovation urbaine, restructuration des bâtiments, des parkings souterrains, démolitions, aménagements des voies et espaces verts…

Renseignements au point accueil Croix-Rouge de Reims Habitat, 46 avenue du Général-Eisenhower (Tél. 03.26.08.16.07.)

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Animations et infos aujourd’hui

 

Le monde de Moussa

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans. Il sera présenté ce matin de 9 heures à 11 h 30, à l’espace Billard.

Il est réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons.

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, aujourd’hui de 15 à 19 heures. Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur ce parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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l’union071004a

Croix-Rouge : Un outil pour tous : le Point Info familles

 

Elham Kouch, animatrice familles, prend en charge le nouveau Point info familles.

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Dans le cadre de ses fonctions d’animatrice famille de la maison de quartier Croix-Rouge sur le secteur Pays-de-France, Elham Kouch confirme l’ouverture du Point Info famille à l’antenne municipale Croix-Rouge, 1 rue Joliot-Curie depuis le 1er octobre.

« La labellisation nous a été accordée avec une intervention à l’antenne trois fois par semaine : lundi et vendredi de 14 à 16 heures et jeudi de 9 à 11 heures » explique-t-elle.

Le Point info famille est un service gratuit à la population (adultes) de tout le quartier Croix-rouge, d’Université à Croix-du-Sud. Les habitants y trouveront les mêmes services qu’à l’Espace info famille de la rue des Capucins, près de la Caissse d’allocations familiales.

« Le Point info famille sera un espace de renseignements et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé et les loisirs. Nous y mettrons des ordinateurs à disposition pour réaliser des CV et consulter sur Internet ».

 

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l’union071003d

ANNIVERSAIRE : Jean-Jacques LAPIQUE

 

 

 

Voilà un an que la maladie t’a mis au repos, toi qui l’a toujours repoussée.

Tu me manques énormément.

Merci à ceux qui continuent de t’honorer.

Jeannine, ta compagne.

 

 

 

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l’union071003c

Judokas et jujitsukas sont de retour à François-Legros

 

Les compétiteurs du club et leurs sponsors.

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« Le traditionnel gala de fin d’année de l’association sportive Croix-Rouge, section judo, n’a pu être mis en place, la ville de Reims ayant décidé de fermer le gymnase François-Legros début juin pour des travaux. Nous n’avons donc pas pu faire ce gala, ni finir les cours » regrette Corinne Launois, bénévole du club.

Depuis, les sections judo et jujitsu self défense ont repris leurs activités. Les cours sont assurés par Mickaël Jourdan et Flavie Vidal, tous deux ceinture noire 2ème dan. Les entraînements du judo : les 5 - 6 ans, mercredi de 17 à 18 heures ; les 7 - 9 ans, mercredi de 18 heures à 19 h 15 ; les 10 - 13 ans, mardi et vendredi de 18 heures à 19 h 15 ; les ados et adultes, mardi et vendredi de 19 h 15 à 21 heures. Les cours de jujitsu, self défense ont lieu mercredi de 19 h 15 à 21 h.

Informations au 03.26.08.10.64. ou sur place, au gymnase François-Legros, 1 avenue du Président-Kennedy aux heures de cours.

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l’union071003b

Un centre pour réussir son tennis et ses études

 

Le centre accueille cette année 9 internes, 7 extérieurs, 4 entraîneurs tennis et 1 préparateur physique.

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C’est l’an 2 du Centre de formation du Tennis club Géo-André. Situé au Creps de Reims et créé grâce au soutien de la Ville de Reims, des conseils régional et départemental et de la direction régionale Jeunesse et Sport, ce temple sportif accueille cette année 9 internes, 7 extérieurs, 4 entraîneurs tennis et 1 préparateur physique.

Il résulte du constat qu’il y a une tendance inquiétante à la déscolarisation dans le tennis.

« Cette déscolarisation est nécessaire quand on fait partie des meilleurs de sa catégorie, mais elle nous paraît dangereuse pour des joueurs qui sont seulement d’un bon niveau.

Il faut être extrêmement bon pour se déscolariser.

Le risque c’est bien sûr l’échec scolaire mais également la désocialisation qui en découle pour l’enfant », explique Anthony Petit, responsable du centre.

« Ce que nous voulons c’est emmener chacun de nos éléments à la réussite, de proposer un double objectif sportif et scolaire. »

Tout est mis dans ce sens : horaires aménagés ; études surveillées et tutorat, le soir ; entraînements placés en adéquation avec les impératifs scolaires.

Différentes catégories d’âge s’y côtoient et n’ont pas toutes le même niveau.

« A ce titre d’exemple, on a un garçon Yannick Goulleven qui, lui, a des prétentions nationales ; et dans les catégories 92-93, des bons joueurs de niveau régional.

C’est le cas de Valerian Bouchaud qui va être en seconde série l’année prochaine ou Claire Genin qui est championne de Ligue minimes.

Puis on a d’autres joueurs de niveau inférieur qui viennent là sans spolier leurs études. »

Jusqu’à ce jour on n’a déploré aucun redoublement.

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Semaine des associations à Croix-Rouge : aujourd’hui

 

Musique-danse

Un concert sera proposé en même temps qu’une exposition humanitaire dans la salle municipale Croix-Rouge (avenue François-Mauriac) ce mercredi, de 14 à 19 heures.

Des informations sur les activités dans le quartier pour les 12 - 25 ans seront délivrées à cette occasion.

Le ballon d’or

C’est un film franco-guinéen de Cheik Doukouré qui sera projeté dans la salle polyvalente du collège Joliot-Curie (2, rue Joliot-Curie), de 15 heures à 16 h 30.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

Brut et contemporain

Le collectif de réflexion individuelle et éthique organise une conférence-débat le jeudi 11 octobre à 21 heures au centre Antonin-Artaud, 40 rue de Talleyrand, sur le thème « de l’art brut à l’art contemporain », prononcée par Francis Bérezné, auteur de « Dit du brut », avec la participation de Thierry Delcourt, psychiatre, auteur d’« Au risque de l’art ».

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Une association pour un orphelinat

 

Les membres de l’association sur une brocante pour financer leurs projets.

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« La Lumière de l’obscurité » est une nouvelle association qui vient de se créer à Reims sous la présidence de Lania Ben Dellal, avec un objectif humanitaire.

Nous avons pris contact avec un centre d’orphelins au Niger ; dans les environs de Niamey » explique Sabrina Hadj, chargée de communication. « Nous aimerions nous rendre sur place pour convoyer l’argent, les vêtements, les fournitures scolaires et les médicaments que nous avons collectés. »

L’association lance un appel aux dons pour cette belle cause.

Renseignements au 06.25.94.81.85.

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l’union071002c

Jeunes Talents 2007 : les lauréats

 

Comme chaque année, Pôle-Sud Musique, « réseau Musiques actuelles amateurs des Maisons de quartier de Reims », a organisé en partenariat avec La Cartonnerie et avec le soutien de la Ville de Reims, le dispositif « Jeunes talents ».

Après deux concerts de sélection à la salle municipale Croix-Rouge, les quatre groupes déclarés lauréats vont suivre une solide formation auprès de professionnels (ateliers artistiques et techniques, répétitions accompagnées, …), notamment lors d’une résidence à La Cartonnerie, avant de se produire en concert samedi 13 octobre au Cabaret.

Les Maracasse-pieds.

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Crazy Bear First Concept.

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RikTusS.

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Les Maracasses- Pieds

Réunis depuis 2006 autour des chansons de Lü et Mâ-ïne, les deux compositrices principales, les Maracasses-Pieds (5 musiciens : 4 filles et un garçon issus du Conservatoire et de la musique classique) mêlent la chanson française aux influences actuelles (jazz, musique contemporaine…), avec plein d’instruments, des gros, des petits, des moyens, à découvrir ou à redécouvrir !

RikTusS

Depuis plusieurs mois, RikTusS trimbale sa musique française dans Reims et ses environs.

Trois voix, un accordéon, deux guitares acoustiques, un violon, un piano et un saxophone : quatre amis musiciens désireux de faire partager leurs idées par le biais d’une musique populaire et festive.

Crazy Bear First Concept

Radical et sensible, Crazy Bear First Concept propose des compositions accrocheuses dans un style rock acoustique.

Composé d’une guitare, d’une batterie et d’un chant, le trio invite à découvrir un univers intense, libre et frappant grâce à la sincérité de ses textes et à l’originalité de ses mélodies.

Goha

Quatuor rémois fondé en octobre 2003, Goha évolue dans un style rock/métal. Les compositions du groupe sont le fruit des influences diverses de ses membres, de la chanson française au hardcore ! Il en résulte une musique tantôt calme, tantôt bien énervée selon l’émotion recherchée pour servir les textes ; ceux-ci sont en français et ont une place centrale dans le processus de composition.

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Semaine des associations : au menu ce mardi

 

Le monde de Moussa

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans. Il sera présenté à l’espace Pays-de-France (1, allée des Béarnais) ce mardi, de 13 h 30 à 17 h 30 (réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons).

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

Goûter chantant

Cette manifestation sera organisée avec le chanteur Yannick Delaunay, à la résidence de personnes âgées Arfo Lucien-Doyen (7, rue du Docteur-Billard) de 15 à 17 heures. Des informations sur les activités dans le quartier pour les seniors seront délivrées à cette occasion.

Création artistique

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

Informations

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.

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Les dernières nouvelles du quartier

 

Portes palières

Reims Habitat annonce la poursuite et l’achèvement des travaux engagés dans les deux tours du quartier Hauts-de-Murigny, respectivement au 1, allée Antoine-Watteau et au 5, allée Yves-Gandon, par le changement des portes palières des logements. Une consultation des habitants est prévue sur le sujet.

Conseil de quartier

Au cours de la réunion du conseil municipal du lundi 24 septembre, Geneviève Kaczowka, présidente de l’association des locataires des Polygones et Fabrice Lopez, vice-président de l’association de locataires Club 47 ont été élus membres du conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche, dans la section des associations.

Subventions

En réunion du conseil municipal le 24 septembre, deux subventions ont été attribuées à Croix-Rouge : 394 euros à l’association Étoile Croix-du-Sud pour une sortie du club « Les après-midis de Croix-du-Sud » et 2.500 euros pour le fonctionnement de l’association « Des gestes pour se comprendre ».

Chambre de métiers

La chambre de métiers, 68 bd Lundy, assure gratuitement chaque jeudi à 14 h 30, des séances d’information à l’intention des créateurs d’entreprises artisanales afin de leur permettre de réaliser leurs démarches de constitution dans les meilleures conditions.

Chauffage

Le conseil général de la Marne va entreprendre des travaux sur les sous-stations de chauffage urbain et les régulations des réseaux de chauffage aux collèges François-Legros et Georges-Braque. A terme, meilleur chauffage et économies d’énergie.

Alphabétisation

Comme tous les ans, l’atelier alphabétisation de l’association des travailleurs maghrébins de France a repris dans le local ATMF du 6, allée des Picards.

« Cette action est lancée en direction des femmes ayant besoin d’apprendre à parler et (ou) à écrire la langue française » précise le président Mohammed El Haddaoui. Les cours sont gratuits et ont lieu le lundi et le jeudi de 14 à 16 heures. Renseignements, inscriptions au 03.26.36.68.43.

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Les Hauts-de-Murigny en réunion

 

L’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny, présidée par Maud Trefcon, réunira son assemblée générale ordinaire mardi 2 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau - 3, allée Antoine-Watteau.

« Nous existons depuis quelques années et nous essayons de travailler en partenariat avec Reims-Habitat et le collège Georges-Braque afin que les habitants de notre quartier connaissent de meilleures conditions de vie », précise Isabelle Mallinger, secrétaire de l’amicale.

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l’union071001a

La semaine des associations de Croix-Rouge : ce lundi

 

LE MONDE DE MOUSSA

Ce spectacle musical de Mike Demazure est conçu pour les moins de 6 ans.

Il sera présenté de 9 à 12 heures à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau), puis de 14 à 17 heures à la circonscription de la solidarité Croix-Rouge, rue Jean-Louis-Debar (réservé aux parents présents lors de la consultation de nourrissons).

Des informations sur les activités dans le quartier pour les moins de six ans seront délivrées à cette occasion.

MULTI-ÉCHANGES SERVICES

L’association MUTES présentera ses activités autour d’un café et de gâteaux à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger, à partir de 14 heures.

CRÉATION ARTISTIQUE

Un atelier de création plastique et photographique sur la vie du quartier fonctionnera sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome avec Nicolas Bauman et Guillaume Gellert, de 15 à 19 heures.

INFORMATIONS TOUS PUBLICS

Des informations sur les activités et les services proposés pour tous dans le quartier seront données sur le parking du centre commercial de l’hippodrome.

Renseignements : Maison de quartier Croix-Rouge, Tél. 03.26.86.10.71.