Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge - 2008 - septembre - octobre.
mardi 2 septembre 2008
par Administrateur

 

 

Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008

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Journal « l’Union » 081030b

Atelier les petits bonhommes

 

Mercredi 5 novembre de14 h 30 à 15 h 30, le public est invité à découvrir l’univers tout en volume d’Isabelle Simon et à créer ses personnages à la manière de cette créatrice illustratrice qui sera présente à la médiathèque samedi15 novembre pour la fête du Livre.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).

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Journal « l’Union » 081030a

A la médiathèque

 

Jusqu’au 15 novembre, exposition d’œuvres originales d’Edmée Cannard et de photographies d’Isabelle Simon : une évocation de l’univers des deux illustratrices invitées à la Fête du livre. Mercredi 12 novembre à 15 heures, air du conte, lectures. Extraits de textes de Vincent Cuvellier et de Franck Pavloff, auteurs invités à la Fête du livre. À partir de 8 ans. Samedi 15 novembre, à 11 h 30 ou 17 heures, à partir de 10 ans, lecture spectacle : Matin brun de Franck Pavloff, par la Cie lil¬loise La baraque foraine. Un texte court et efficace, qui pose clairement la question difficile de l’engagement et de la résistance. Mercredi 19 novembre à 17 heures, projection de diapositives : le joli voyage de Petite Souris, texte et illustrations de P. Le Querré. Samedi 22 novembre à 9 h 30, l’heure des bébés, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. La séance s’achève par la projection de très courts métrages pour les tout-petits. Entrée libre à la médiathèque Croix-Rouge (03.26.35.68.46, 03.26.35.68.47).

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Journal « l’Union » 081029b

Atelier d’illustration pour enfants

 

Samedi 8 novembre de 10 heures à 11 h 30, atelier d’illustration avec Edmée Cannard : « Fabrication d’une bouteille à soupirs a Pour les enfants de 4 à 8 ans.

Médiathèque Croix Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. TOI 0326.35.6840

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Journal « l’Union » 081029a

À la médiathèque Croix-Rouge

 

-  Mercredi 5 à 16 heures, Julie raconte : « La naissance du dragon » (texte de Marie Sellier). 6 ans et plus.

-  Mercredi 5 de 14 h 30 à 15 h 30, atelier « les petits bonhommes ». Les enfants de 6 à 10 ans découvriront l’univers tout en volume d’Isabelle Simon et pourront créer leurs personnages à la manière d’Isabelle Simon.

- Samedi 8 novembre de 10 heures à 11 h 30, promenade créative dans l’univers d’Edmée Cannard (4 à 8 ans) : un voyage au fil des albums d’Edmée Cannard suivi d’un atelier de création : fabrication d’une « bouteille à sou¬pirs ».

Entrée libre à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar : tél : 03.26.35.68.46 ou 03.26.35.68.47.

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Journal « l’Union » 081028d

En novembre à Croix-Rouge

 

Belote

L’Étoile Croix-du-Sud organise un concours de belote le samedi 8 novembre de 13 h 30 à 19 heures au 5, avenue Léon-Blum.

50 équipes de 2 participeront à ce concours.

Inscriptions au 03.26.06.56.66.

Fête du livre

La fête du Livre se déroulera les vendredi 14 et samedi 15 novembre à la médiathèque Croix-Rouge.

Vendredi 14 est consacré aux rencontres avec les classes, samedi 15 à l’ensemble du public. Inauguration à 18 h 15.

Entrée libre, 19 rue Jean-Louis Debar.

Randonnées

Deux sorties avec l’espace Watteau : dimanche 16 novembre, une journée vers le lac du Der (13 km), départ à 7 h 30 (prévoir le pique-nique) et dimanche 23 novembre, matinée à Verzy (12 km), départ à 8 h 15.

Le covoiturage est possible si inscription préalable.

Alimentation

La semaine de l’alimentation sur le thème « Alimentation et bien-être à Pays-de-France » se déroulera du lundi 17 au vendredi 21 novembre.

Programme détaillé au secrétariat de l’espace Billard 12, rue Pierre-Taittinger (03.26.08.08.78.).

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Journal « l’Union » 081028c

Croix-Rouge : une expo avant les démolitions

 

Les œuvres sont à découvrir jusque fin novembre.

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L’exposition « Langues de peinture » présente, au centre communal d’action sociale 11 rue Voltaire, les œuvres réalisées par les résidantes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Les Primevères à Croix-Rouge avec Armelle Blary, plasticienne, dans le cadre du projet « Autre Peau, Autre Ville », porté par Reims habitat. Il s’agit de sensibiliser les habitants du quartier, par des actions artistiques, à la prochaine démolition des immeubles situés aux 25, 27, 29 et 31, Eisenhower.

Armelle Blary a demandé aux résidantes de créer des dessins autour du thème de la maison : appartement d’aujourd’hui avec ses meubles, maison de l’enfance, lieux chéris, objets d’hier, nostalgie et espoirs. Chaque participant a ainsi créé des images qui ont ensuite été rassemblées en longs bandeaux peints que rythme la répétition des motifs : on frise l’abstrait.

Le résultat a été apprécié par un public venu nombreux : habitants du secteur Eisenhower, représentants de Reims habitat, de la Ville et des associations du quartier.

Éric Quénard, 1er adjoint, a précisé : « Quitter un immeuble au bout de trente ans, c’est perdre de nombreux souvenirs. Mais c’est aussi une phase d’espoir, car toutes ces démolitions n’ont qu’un but : offrir une vie meilleure aux habitants ».

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » 081028b

Septième condamnation : Canapé en flammes au 5e étage : 11 mois de prison ferme

 

Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 23 h 30, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour un feu de canapé, sur le palier du 5e étage d’un immeuble de l’allée des Picards, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. À leur arrivée, les pompiers ont vu un homme prendre la fuite.

L’homme a été immédiatement interpellé par les policiers. Totalement ivre, il venait semble-t-il de tenter de rentrer au domicile de son ex-concubine, dans l’immeuble concerné. La jeune femme, qui a décelé l’état d’ivresse d’Eymeric Mora, lui a refusé l’accès à l’appartement. Quelques minutes plus tard, dans la cage d’escalier, le canapé sur lequel l’homme avait pris l’habitude de dormir, était en feu.

« J’étais bien là-haut, » a reconnu hier Eymeric Mora à la barre du tribunal correctionnel (qui le jugeait en comparution immédiate). « Je suis descendu fumer une cigarette. Et quand je suis remonté, il y avait le feu. J’ai même essayé de l’éteindre avec ma veste ». Quand les policiers ont voulu lui faire passer un test d’alcoolémie, l’homme n’a jamais réussi à souffler dans l’appareil. « J’avais bu 6 ou 7 cannettes, » avoue-t-il. La présidente donne lecture de son casier judiciaire qui porte mention de six condamnations, dont quatre pour des faits de conduite en état alcoolique.

Avocat de l’ex-concubine, Me Gervais a réclamé des dommages et intérêts. Pour le remboursement du canapé, mais aussi pour le préjudice moral. Le substitut du procureur de la République Frédérique Dalle estime qu’Eymeric Mora « était le seul sur le palier cette nuit-là. Il a été trouvé porteur d’un briquet et avait annoncé à son ex-compagne qu’il allait incendier l’immeuble ». Pour elle, cet acte aurait pu « avoir des conséquences beaucoup plus dramatiques car des personnes dormaient dans l’immeuble ». Face à un casier judiciaire « impressionnant en terme d’alcool », elle a requis 10 mois de prison ferme et la révocation de trois mois de prison avec sursis prononcés lors d’une précédente condamnation.

Me Rahola, pour la défense, a plaidé la relaxe. « Il reconnaît qu’il était sur place, mais il ne voulait pas mettre le feu au canapé. Il n’y a donc pas de dégradations volontaires ».

Le tribunal en a décidé autrement et a condamné Eymeric Mora à 8 mois de prison ferme et a ordonné la révocation de trois mois de prison supplémentaires, ce qui porte à 11 mois ferme la peine que devra effectuer le prévenu.

P.B.

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Journal « l’Union » 081028a

Poubelles, voitures… feux en série

 

Vers 20 h 45, un autre feu a mobilisé les secours, 2 allée des Provençaux. Trois conteneurs ont été détruits par l’incendie qui s’est propagé à une haie adjacente, ainsi qu’à une boîte postale et une voiture stationnée à proximité.

Les sapeurs-pompiers ont éteint le feu à l’aide d’une lance.

Plus tard, vers 22 h 30, un feu de voiture a été signalé au 6 place Dominique-Ingres.

La voiture se trouvait au 3e sous-sol d’un immeuble.

L’incendie a été rapidement maîtrisé.

Vers 1 heure du matin, hier, c’est un feu de poubelles qui a mobilisé les secours, face au 3 allée des Landais.

Le feu avait pris dans le couloir d’un immeuble.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081027a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7260 du 20 au 26 octobre 2008
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Le centre de Hippodrome a trouve ses marques 
Une opération exemplaire a permis le maintien d’une activité économique au quartier Croix-Rouge. 
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Le centre commercial de l’Hippodrome a trouvé sa vitesse de croisière aujourd’hui.

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La rénovation du centre commercial de l’hippodrome est un cas d’école pour l’Epareca. Cet établissement public a pour mission de racheter et restructurer des centres commerciaux en difficulté dans les quartiers sensibles. L’intervention de cet organisme se fait dans le cadre de la politique de la ville.

En substance, l’Epareca investit dans des zones et dans des équipements qui n’intéressent pas les promoteurs privés, et notamment dans les quartiers socialement difficiles et les centres commerciaux en perte de vitesse. L’objectif étant d’intervenir en tant qu’opérateur au côté des collectivités, de restructurer l’équipement, et de le céder ensuite au secteur privé une fois l’équilibre économique trouvé.

VISITE DE TERRAIN

Depuis sa création, l’Epareca a mené une vingtaine d’opérations en France, dont celle du quartier Croix-Rouge à Reims. Et actuellement, une cinquantaine de dossiers sont à l’étude dans le pays, et l’exemple rémois est souvent mis en avant. Il est vrai que le centre commercial de l’Hippodrome est un cas d’école, d’autant qu’il a suivi un cycle complet : diagnostic, études, travaux et enfin remise sur le marché privé de l’espace commercial.

« Nous avons conçu un centre ouvert vers l’extérieur et bien visible », a rappelé Serge Goldstein, l’architecte de l’opération, à l’occasion d’une visite de terrain organisée début octobre par l’association nationale « Centre-ville en mouvement n. Celle-ci a pour mission de mettre en axant et soutenir les initiatives, comme celles de Reims, visant à redynamiser l’activité commerciale des villes et quartiers. Visite qui permis de constater que le nouveau centre de 3,500 m’, plus fonctionnel que l’ancien, fonctionne bien. Un bel équipement qui a attiré les enseignes, à commencer par un supermarché Match de 2 500 m’, qui fait office de locomotive commerciale : 90 % des ménages fréquentant le centre commercial y font leurs courses.

20 % DU QUARTIER Y FAIT SES COURSES

Le centre compte également une dizaine de cellules occupées par deux pharmacies, un bureau de tabac ou encore une agence postale. Maintenir sur place des commerces et des services de proximité était l’objectif, qui a été atteint. Aujourd’¬hui, 2 700 métrages, soit 20%o de la population du quartier Croix-Rouge, y font leurs courses. Le chiffre d’affaires annuel atteint 10 millions d’euros, dont la moitié réalisée par le supermarché Match, pour une fréquentation annuelle dépassant les 400 000 visiteurs.

Enfin, le centre commercial compte aujourd’hui une soixantaine d’emplois, contre une vingtaine seulement dans l’ancienne structure qui datait des années soixante-dix et qui était devenue obsolète.

Après l’intervention de l’Epareca, le centre a été racheté comme prévu par des investisseurs privés, et sa gestion confiée à Agencia, la société d’économie mixte rémoise. D’ici quelque temps, le futur tramway s’arrêtera à proximité du centre commercial du quartier Croix-Rouge.

LAURENT LOCURCIO

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AVIS D’ATTRIBUTION 
MARCHE DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES 
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1) MAITRE D’OUVRAGE : MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE RECTORAT DE ACADÉMIE DE REIMS.

2) OBJET DU MARCHÉ : Mission de de maîtrise d’œuvre pour la démolition de 2 bâtiments sur le Campus Universitaire Croix Rouge à Reims.

3) MAÎTRISE D’OEUVRE RETENUE : SAS PINGAT INGENIERIE, 16 cours J.-B. Langlet - 51723 REIMS CEDEX.

4) MONTANT DE RÉMUNÉRATION : 74.700,00 € H.T.

5) DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION : 16 octobre 2008

69500

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Journal « l’Union » 081026d

Incendiaire passionnel

 

En colère contre son ex-concubine, un individu n’a rien trouvé de mieux que de mettre le feu dans la cage d’escalier à l’adresse de la dame, allée des Picards à Croix-Rouge.

C’était vendredi vers 23 heures.

Heureusement, le feu n’a pas eu le temps de faire trop de dégât et le colérique incendiaire a été embarqué par la police.

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Journal « l’Union » 081026c

LYCEE JOLIOT CURIE : sensations fortes au CDI

 

Cette expérience multisensorielle a réellement impressionné.

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Dans le cadre de l’ouverture de sa saison, « La Comédie » de Reims proposait d’aller à la rencontre des lycéens, en les invitant à une représentation.

Ce jeudi 23 octobre, le centre de documentation du lycée Joliot-Curie accueillait la troupe et les élèves, pour une prestation pour le moins originale. En effet, assister à un spectacle les yeux bandés n’est pas chose courante.

L’objectif consistait à amener le spectateur à faire appel, au-delà de l’histoire, à d’autres sens que la vue.

 

 

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Journal « l’Union » 081026b

Il incendie la voiture de sa mère

 

Mercredi vers 20 h 15, une Renault 5 a été incendiée allée des Landais à Reims, au quartier Croix-Rouge. L’auteur a été identifié : il s’agit du fils de la propriétaire ! Âgé de 17 ans, le jeune homme vit depuis un mois chez la mère de sa copine.

Apparemment, le courant ne passe pas entre les belles-mères puisqu’un crêpage de chignon les a opposées lors d’une visite de la maman au domicile de la famille adverse. Elle aurait eu le dessus en aspergeant la belle-mère de gaz lacrymogène, ce qui a déplu à son fils, lequel, pour se venger, est allé incendier sa Renault 5.Le lendemain, pris de remords, il s’est spontanément présenté au bureau de police de Croix-Rouge. Le mineur a fait l’objet d’une convocation devant le juge des enfants.

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Journal « l’Union » 081026a

La furie frappe son ex avec un balai

 

Elle a le sang chaud, cette jeune femme de 23 ans demeurant au quartier Croix-Rouge.

Jeudi de bon matin, à 5 h 20, elle vient frapper au domicile de la nouvelle amie de son ex, place Auguste-Rodin.

La locataire est bien mal inspirée d’ouvrir, car sa rivale pénètre de force dans l’appartement avec un couteau à la lame impressionnante (32 centimètres). Heureusement, elle n’en fait pas usage.

Les demoiselles hurlent, s’insultent.

L’ex est présent. Il aurait mieux fait de se tenir à l’écart, car son ancienne copine, d’un violent coup, lui casse un balai sur la tête (trois points de suture).

La police est venue mettre fin à la bagarre.

D’après ses déclarations, la furie n’était venue que demander une cigarette…

Déjà connue de la justice pour des violences, elle a été remise en liberté après la transmission du dossier au parquet pour un examen approfondi.

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Journal « l’Union » 081025e

A Pays-de-France aussi

 

L’association de promotion de Pays-de-France procédera à la remise des prix du concours des balcons fleuris de Pays-de-France, vendredi 31 octobre à 19 heures, à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » 081025d

C’est tellement mieux avec un bonjour

 

Delphine, Anne-Claire et Alexandra.

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Delphine, Anne-Claire et Alexandra, 18 et 19 ans, élèves du lycée Joliot-Curie de Reims, sont originaires des environs.

Ces jeunes filles ont l’habitude, comme à la campagne, de dire bonjour aux passants.

Depuis plusieurs années qu’elles pratiquent ces amabilités, elles ont constaté que seulement 30 % des passants répondent à leur bonjour, les autres les regardant un peu comme des bêtes curieuses. Au siècle de la communication, c’est bien regrettable !

 

 

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Journal « l’Union » 081025c

Dis-moi où t’habites j’te dirai si j’t’embauche

 

À l’initiative d’Adeline Hazan, la Justice, la Ville et L’État ont décidé de s’unir pour lutter contre la discrimination à l’embauche.

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« À diplôme égal, les jeunes ne sont pas traités de la même façon mais c’est impossible à prouver », déplore Karim Amry

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C’est plus difficile de décrocher un entretien quand on habite un quartier rémois dit chaud. Karim Amry qui œuvre pour l’insertion le constate. Il lutte contre cela en allant voir les employeurs.

L’ADRESSE qui figure en haut d’un CV suffit parfois pour que la demande d’emploi finisse automatiquement dans la poubelle du DRH.

« Le lieu d’habitation est la première discrimination. C’est à force de le constater qu’on s’en rend compte. À diplôme égal, un jeune qui vit en centre-ville et un autre qui vit dans un quartier dit chaud, n’a pas les mêmes chances de décrocher un entretien », explique Karim Amry, président de l’association Jeunesse et Espoir Pays-de-France.

« Le souci avec la discrimination à l’embauche, c’est que c’est très difficile d’en avoir la preuve. On est dans la suspicion. En conséquence, ce n’est pas facile de lutter contre. »

Karim se réjouit qu’un plan de lutte contre les discriminations dans l’emploi soit mis en œuvre par la municipalité (lire par ailleurs).

Cette lutte, lui et les membres de son association, la mène déjà depuis 2006 sur le terrain, à Croix-Rouge. « Nous nous sommes fixés pour mission d’aller à la rencontre des organismes et des entreprises pour aller chercher des offres d’emploi pour les jeunes de notre quartier. »

Un bon moyen de contourner la discrimination. « Pour lutter contre efficacement contre elle, il faut l’occulter. On ne va jamais voir un DRH en lui disant que nos jeunes sont victimes de discrimination à l’embauche. Ce serait se coller une étiquette sur le front. On va les voir car nous avons des jeunes motivés et compétents qui attendent de travailler. »

« Un sujet délicat »

Karim réclame ensuite du concret : « Je leur dis que s’ils viennent nous voir au local, ils doivent apporter des offres d’emploi, pas de vagues promesses ». C’est la clef de la réussite : « Nous n’affirmons jamais à un jeune qu’on va essayer de lui trouver un boulot. Avant de le motiver, voire de le remotiver, on attend d’avoir une offre concrète en face faite pour lui. »

À partir de là, en cas d’échec, « il ne pourra pas dire que c’est à cause de son adresse ou de son nom ou de sa couleur de peau. Car, parfois, la discrimination sert d’excuse. Il ne faut pas se le cacher. »

Elle sert parfois d’excuse, mais doit-elle aussi servir pour être embauché plus facilement ? « Je ne suis pas partisan de la discrimination positive, qui consiste à réserver des places dans les entreprises aux jeunes issus des quartiers. Moi, je n’aimerais pas entrer dans une boîte en sachant que je suis là parce que j’habite telle ou telle partie de la ville et d’imaginer que mes collègues le savent. »

Un plan de lutte doit donc se mener avec doigté : « Le sujet est délicat. C’est bien de lutter contre la discrimination mais, en même temps, il ne faut pas sans arrêt cibler les jeunes des quartiers car cela revient à les mettre encore plus à part.

Ce qu’ils veulent, c’est être considérés comme les autres jeunes, sur un pied d’égalité ». Avant un entretien, Karim leur tient toujours le même discours : « Ce n’est pas parce que tu as eu une mauvaise expérience que toutes les entreprises sont comme ça, alors pars en gagnant et tu gagneras ». Quelle que soit ton adresse.

Catherine Frey

 

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Un plan de lutte contre les discriminations

 

Il faut que les victimes de discrimination portent plainte. La maire, la procureure et le sous-préfet se sont réunis hier après-midi à l’hôtel de ville pour signer un plan de prévention contre les discriminations à l’embauche.

« Seules 3 % des personnes victimes osent porter plainte », a précisé Adeline Hazan. « Elles renoncent notamment parce que les plaintes n’aboutissent pas, faute de preuve. Les victimes doivent savoir que c’est maintenant au recruteur de prouver qu’il n’a pas commis l’infraction. » La procureure a ajouté que « plus il y aura de plaintes, plus on pourra débusquer les entreprises qui sont dans l’illégalité ».

Ce nouveau plan aura aussi pour ambition de mieux informer les entreprises car « la discrimination n’est pas toujours volontaire ».

Il prévoit également la création d’une cellule de soutien pour ceux qui l’ont subie. Que ce soit à cause de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur quartier, de leur homosexualité ou encore à cause d’un handicap.

« Aucune sorte de discrimination n’est acceptable », a ajouté le sous-préfet au nom de l’État.

La lutte a déjà commencé à Reims. Virginie Coez, adjointe spécialement désignée pour mener cette croisade ne laissera rien passer.

C.F.

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Journal « l’Union » 081025b

Enfants, adultes et seniors engagés dans un projet multimédia

 

Un plan multimédia fédérateur.

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« Caractère innovant, mixité des publics, valorisation sur format numérique, projet mené sur une durée courte avant fin 2008 » : autant de critères demandés aux associations agréées jeunesse éducation populaire pour entrer dans le PEM, « Plan d’éducation au multimédia » en expérimentation depuis l’an dernier.

En 2008, 10 régions sont concernées dont la Champagne Ardenne. Le budget global est de 270.000 euros.

A Reims, la maison de quartier Clairmarais a su répondre aux critères de sélection imposés par le comité de pilotage.

Trois équipes pour un DVD

En partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge La Nacelle et le Centre Saint-Exupéry, le projet avance sous trois formes qui conduiront à la réalisation d’un DVD.

On y verra un film d’animation réalisé par 6 enfants, un diaporama monté par 4 adultes et un reportage vidéo effectué par 3 seniors. a mixité demandée est donc bien respectée et les séances de travail regroupent souvent les trois équipes, pilotées par Smaïn Halit pour l’audiovisuel et Franck Simon pour le multimédia avec Nathalie Gatier coordinatrice pour la maison de quartier Clairmarais.

Le DVD sera présenté en janvier 2009 : très motivés, les participants se rassemblent mercredis et vacances scolaires pour mener à bien cette action originale qui offre à un public mixte l’occasion d’appréhender ensemble les techniques de communication liées à l’art et à la création.

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Journal « l’Union » 081025a

Feux de détritus

 

Une fois encore, les pompiers sont allés aux Pays-de-France, allée des Landais, pour éteindre un feu de cave hier à 16h 30.

A midi, une poubelle a brûlé rue du Chanoine-Lallement, puis des papiers vers 17 heures dans une cage d’ascenseur de l’esplanade Paul-Cézanne.

A 18 h 45, les pompiers ont noyé un feu de broussailles der rière le magasin Castorama à Murigny.

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Journal « l’Union » 081024d

Les Flâneries musicales vont devoir prendre un nouveau virage

 

Les principaux acteurs des Flâneries étaient réunis hier pour faire le bilan de l’édition 2008.

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A nouvelle municipalité, nouvelles orientations. Pour la 20e édition des Flâneries musicales l’an prochain, la manifestation classique et jazz de Reims devrait subir quelques ajustements. Parmi les pistes évoquées, mais non tranchées, la réduction de la durée du festival de deux semaines et l’extension vers les quartiers.

« Bien entendu les Flâneries musicales continueront », a expliqué hier Adeline Hazan à l’occasion du bilan de l’édition 2008. « Nous souhaitons qu’elles évoluent avec une plus grande diversification de l’offre, une emprise de plus en plus forte sur le territoire et une diffusion dans les quartiers de la ville. Il faut que plus de jeunes des quartiers viennent aux Flâneries. Jusqu’à présent, même au moment du concert pique-nique, ils n’étaient pas présents. »

Sur l’édition 2008, tous les acteurs présents hier à la salle des comtes de Champagne affichaient un large sourire. « Cela a été une année particulièrement positive », se félicite Christian Labruyère le président des Flâneries « avec de nouveaux lieux, une ambiance sereine et un public plus nombreux ».

+ 8 % de fréquentation cette année

La fréquentation a ainsi été en hausse de 8 % par rapport à l’année précédente, sachant que l’an passé déjà il y avait eu une augmentation de 5 % des spectateurs.

« On prépare le 20e anniversaire avec beaucoup d’ambition », poursuit le président qui devrait en savoir un peu plus sur les orientations de l’édition 2009 début décembre.

G. A.-T.

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Journal « l’Union » 081024c

Les voitures brûlent

 

Mercredi vers 20 heures, une Renault 5 s’est embrasée allée des Landais.

L’origine des sinistres est indéterminée.

Quatre poubelles ont également brûlé au quartier Pays-de-France : la première mardi à 21 heures dans un local à vide-ordures de l’allée des Limousins, la seconde dix minutes plus tard allée des Bourguignons, la troisième mercredi vers 20 heures rue des Savoyards, la quatrième hier à 16 h 30 allée des Tourangeaux.

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Journal « l’Union » 081024b

Malaises au balcon

 

Mercredi matin, les pompiers ont dû descendre en rappel la Façade d’un immeuble du groupe Eisenhower pour évacuer une personne victime d’un malaise sur son balcon.

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Journal « l’Union » 081024a

AVIS RECTIFICATIF A UNE INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) ou du BOAMP (http://djo.journal-officiel.gouv.fr MarchesPublics).

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, BP 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.

3. Objet des marchés : marché de travaux : réfection des 92 cages d’escaliers dans les immeubles existants rue Pierre-Taittinger, rue de Rilly à Reims, esplanade Eisenhower.

La date limite de remise des offres initialement prévue au : lundi 27 octobre 2008 à 17 heures est reportée au vendredi 31 octobre 2008 à 17 heures.

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Journal « l’Union » 081023f

Regrettée sœur Emmanuelle

 

Au nom de l’association des travailleurs maghrébins, section Marne, le président Mohammed El Haddaoui communique : Tous les membres de l’ATMF s’associent aux douleurs de la famille de notre sœur Emmanuelle.

Nous lui rendons hommage pour son combat en faveur des plus pauvres, des sans papiers, des sans domicile fixe. Elle s’est battue jusqu’au dernier jour de sa vie contre la misère, l’inégalité et l’injustice : c’est une femme universelle. »

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Journal « l’Union » 081023e

Balcons fleuris

 

L’association de promotion de Pays-de-France procédera à la remise des prix du concours des balcons fleuris, le vendredi 31 octobre à 19 heures, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

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Journal « l’Union » 081023d

Seniors

 

Croix-Rouge animation et promotion participe à la Semaine bleue, organisée par l’Orrpa, jusqu’au 26 octobre, Renseignements au secrétariat de l’Acrap ou au 03.26.06.39.54.

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L’hebdo du vendredi- n° 97 - 081023c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 97 - Semaine du 24 au 30 octobre 2008

 

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Transformation de quartier : les « Langues de peinture » se délient !

 

Des apprenties artistes au service de leur quartier.

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Visible au C.C.A.S (Centre Communal d’Action Sociale) jusqu’en novembre, l’exposition « Langues de peinture » réunit les habitants d’un quartier.

Inauguration.

C’est dans la continuité du projet « Autre peau /Autre ville », série d’actions artistiques visant à sensibiliser les habitants du quartier Croix-Rouge à la démolition des immeubles situés Cours Eisenhower, qu’a vu le jour l’exposition « Langues de peinture ». Initiée en 2007, en partenariat avec Reims Habitat, l’opération avait déjà livré une installation plastique éphémère sous le porche du n°25, exposant l’intérieur d’une chambre, tout en meubles et petites habitudes quotidiennes. « En démolissant ces immeubles, on n’abat pas seulement du béton », confie Armelle Blary, artiste plasticienne en charge du projet. « Pour certaines personnes, c’est 30 ans de vie qui sont happés en quelques secondes. L’ambition de cet atelier était de faire émerger la sensibilité et l’émotion ressenties à l’égard de ces modifications du paysage ».

Quelques habitantes du quartier, résidentes du CHRS Primevères (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale) qui fêtera ses 30 ans l’année prochaine, se sont particulièrement investies dans le projet. Sous l’impulsion d’Armelle, très présente à leurs côtés, des dessins ont été réalisés autour du thème de la maison (appartements, meubles, objets…), avant d’être reproduits sur de grands bandeaux de peinture, qui font aujourd’hui la fierté de leurs auteurs. « La rénovation des quartiers est un évènement parfois traumatisant, accompagné de nombreuses inquiétudes concernant l’avenir », reconnaît Eric Quénard, président de l’organisme logeur Reims Habitat. « Mais il ne faut pas perdre de vue l’objectif de ces restructurations : il s’agit avant tout d’améliorer le cadre de vie des résidents afin qu’ils se sentent mieux dans leur lieu de vie ». Car outre l’expérience commune de la transformation d’un paysage, cet atelier a surtout été l’occasion de réunir des familles, des femmes en situation parfois difficile et d’inviter les quartiers à se rencontrer. L’exposition « Langues de peinture » se tient dans les locaux du CCAS, rue Voltaire à Reims, une exposition prête à faire connaître et partager cette expérience humaine qui dure depuis 18 mois.

Pauline Godart

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Bilan très positif pour les Flâneries Musicales

 

L’emblématique concert pique-nique a drainé près de 12 000 spectateurs au Parc de Champagne.

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Du 19 juin au 3 août dernier, Reims a résonné aux sons jazzy et classiques. Un choix de programmation encore payant, puisque les Flâneries ont enregistré une affluence toujours plus importante avec près de 70 000 spectateurs.

Le public était déjà venu nombreux en 2007 (+5%), pour l’édition 2008, la statistique reste croissante avec une fréquentation en hausse de 8%. De très bons résultats que n’a pas manqué de saluer Christian Labruyère, président des Flâneries, lors de la présentation hier, jeudi, du bilan des 19e Flâneries Musicales : « Cette 19e édition est un excellent cru, tant sur le plan artistique, logistique qu’au niveau de la fréquentation où l’on a noté cette année une réelle montée en puissance de cette dernière ». Il est vrai que le président a de quoi se réjouir : le beau temps était globalement au rendez- vous et très peu de concerts ont été décalés. De même, sur tous les artistes invités, aucun n’a fait défection. Enfin, sur quarante-six lieux accueillant des concerts, aucun incident technique n’a été à déplorer. D’autre part, la billetterie mobile des Flâneries, inaugurée cet été a connu un franc succès. Autre satisfaction : l’enthousiasme du public pour le cryptoportique, le parvis de la cathédrale, les Maisons de Champagne et tous ces lieux atypiques qui ont servi pour la première fois de cadre aux concerts.

La 20ème édition déjà en préparation

« Actuellement, nous sommes déjà en train de préparer la 20ème édition des Flâneries. On va essayer de marquer le coup avec quelques projets inédits » confie, sans finalement trop en dire, Christian Labruyère. Ce qui est certain c’est que le directeur et son équipe souhaitent innover tout en conservant ce qui fait l’identité des Flâneries, à savoir la diversité des lieux de spectacles et la double programmation jazz / classique. A l’occasion du vingtième anniversaire, l’association et la mairie ont exprimé le désir commun de travailler davantage avec les quartiers périphériques rémois (par exemple à la médiathèque Croix-Rouge, au Val de Murigny…). « Il s’agit de pouvoir diffuser partout les programmes des Flâneries, de ne pas faire de l’excellence musicale uniquement pour une élite du centre-ville mais pour tout le monde, sans oublier d’y faire participer les jeunes des quartiers » explique la maire de Reims, Adeline Hazan.

Bien que le budget 2009 s’annonce serré, l’équipe artistique et la Ville essaieront de faire en sorte que le 20e anniversaire des Flâneries soit digne de l’événement.

Aymeric Henniaux

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Journal « l’Union » 081023b

Renouvellement urbain : coup de frein sur les démolitions

 

Alors que les tours du 21 au 29 Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge vont bientôt tomber, la ville veut en finir avec les démolitions pour se consacrer à la rénovation des blocs existants.

« TERMINÉE l’époque des démolitions, priorité est maintenant donnée à la rénovation du bâti », Eric Quenard, le 1er adjoint à la mairie, annonce un changement de stratégie concernant la politique de renouvellement urbain dans les quartiers de Reims. Les démolitions prévues dans les prochains mois ne sont pas remises en cause mais elles deviendront l’exception dans l’avenir.

Le budget accepté par l’Anru (l’agence nationale pour la rénovation urbaine) qui sera signé le 20 novembre passera à 460 millions d’euros sur la période 2008-2011. « 404 en ce qui concerne la rénovation urbaine proprement dite », prévient Catherine Vautrin, la chef de file de l’opposition municipale.

Une somme bien supérieure aux 170 millions d’euros de la précédente période (2004-2008). Ce qui fait passer Reims dans le Top 5 des villes françaises les mieux dotées par l’Anru. Une bonne nouvelle qui donne un peu le vertige face à l’ampleur de la tâche qui reste à entreprendre à Croix-Rouge, aux Epinettes, à Orgeval et dans une moindre mesure à Wilson.

3.000 logements rénovés

« Les discussions ont été intenses », explique Eric Quenard visiblement satisfait. « Cela était prévu dès l’origine « , tempère Catherine Vautrin. « On peut simplement constater que l’Etat respecte ses engagements. »

« Quand nous sommes arrivés à la mairie, nous avons demandé à renégocier l’avenant au projet de rénovation urbaine car on avait notre propre idée de ce que doit être la rénovation dans les quartiers », ajoute celui qui est en charge du dossier à la mairie.

Comprenez que la nouvelle majorité n’était pas forcément d’accord avec les orientations prises par l’ancienne.

« Les deux principes simples qui nous ont guidés sont les suivants : un logement social détruit pour un logement social reconstruit. Ce qui n’était pas forcément le cas jusqu’à maintenant et surtout préférer la rénovation à la démolition. Dans ce cadre 3.000 logements seront rénovés. »

« Il nous a paru très important d’augmenter la part des logements réservés aux plus modestes. Car même encadré, le montant des loyers peut être un obstacle au relogement. Nous serons également particulièrement vigilants sur le taux d’effort que doivent consentir les personnes relogées. » Le taux d’effort représente l’augmentation de loyer que subira le locataire après relogement.

Quatre ans après le lancement de l’opération par Jean-Louis Borloo à Reims, Catherine Vautrin qui l’accompagnait alors en tant que secrétaire Etat à l’Intégration et à l’Egalité des chances, dresse un premier bilan de l’opération rémoise : « On voit qu’à Wilson les choses ont changé en terme de qualité de vie pour les habitants parce qu’au-delà de l’urbain c’est de l’humain qu’il faut se préoccuper. »

Alexandre Roger

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Les habitants qui rient et ceux qui pleurent 

« Ne me faites pas peur, on va pas rester là quand même. » L’annonce de la destruction de certains immeubles de Croix-Rouge faisait visiblement des heureux. Cette habitante de Croix-du-Sud se voyait bien profiter de la destruction de sa tour pour mettre la poudre d’escampette. « Je ne sais plus quoi faire pour partir. » Pourtant sa tour de la place Rodin ne sera pas détruite.

« J’ai fait ma demande de mutation mais pour l’instant, on ne m’a rien proposé. Pour moi, vivre ici est un enfer. Je n’ose plus sortir de chez moi. » Elle cite pêle-mêle : les feux réguliers, l’ascenseur en panne mais surtout la violence que subissent ses enfants. « L’autre jour, mon fils est allé chercher un coca, il s’est fait agresser. » Le gamin confirme : « Je ne peux même plus aller jouer dehors. »

Elle habite un Type 4, plutôt bien agencé mais malheureusement trop petit pour ses quatre enfants et elle mais surtout l’ambiance générale du quartier l’a entraînée dans la spirale de la dépression..

« Je veux être relogée »

Je veux être relogée sinon, je vais péter un câble.

Pas du tout la même ambiance chez Nadia qui habite du côté de la Rafale. « Mon but n’est pas de rester là toute ma vie mais je ne me sens pas mal ici. » Il faut dire que son appartement est plutôt confortable et le loyer modeste : 480 € charges comprises. Bien sûr les gens qui fument dans les ascenseurs sont un peu casse-pieds, tout comme ceux qui jettent leurs poubelles n’importe où, mais bon, du haut de son 13e étage, la jeune femme apprécie la vue sur la campagne environnante et ça n’a pas de prix.

A.R.

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Journal « l’Union » 081023a

LE DOSSIER DU JOUR / Le RSA, c’est bien, un vrai boulot, c’est mieux

 

André Divry avait toujours rêvé de conduire un camion-grue. Il s’est révélé un excellent professionnel.

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L’exemplarité de l’association Assodel 51 a été reconnue par Martin Hirsch lui-même.

Alors que le RMI (revenu minimum d’insertion), créé il y a vingt ans, va disparaître au profit du RSA (revenu de solidarité active), l’exemple d’une association marnaise semble intéressant à suivre.

• En juillet prochain, le RMI, revenu minimum d’insertion, créé en 1988, aura vécu. Il cédera la place au RSA, revenu de solidarité active.

• Le RSA permettra de cumuler allocations et travail. Il sonne aussi le glas de la panoplie infernale des contrats aidés au profit d’un contrat unique d’insertion.

• Les Marnais se battent pour faire inscrire dans la loi l’obligation de former

les bénéficiaires.

• Martin Hirsch a reconnu l’exemplarité de l’association Assodel 51 dont les résultats en terme d’insertion professionnelle sont spectaculaires. Exemples à l’appui.

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Le témoignage / Sophie s’en est sortie 

Sophie Soumaré est une quinquagénaire heureuse, même s’il lui reste un soupçon de stress difficile à évacuer. Arrivée il y a 30 ans dans le quartier Croix-Rouge de Reims, cette mère de trois enfants, qui ont tous réussi, s’est investie très tôt, à partir d’une histoire personnelle dramatique, dans le soutien des femmes d’origine africaine.

Notamment dans la lutte contre toutes les formes de violences. Le tout bénévolement. Mais le handicap de son mari et les études des enfants l’ont obligée à devoir faire bouillir la marmite. Après une année de formation elle échoue à l’examen d’aide-soignante. Son rêve s’écroule. Elle est alors entrée dans le circuit alambiqué des contrats aidés.

« Femme de ménage, c’est bien, mais je n’apprenais rien »

Sous contrat d’accompagnement à l’emploi de 21 heures pour 580 euros, elle voulait absolument une formation pouvant déboucher sur un véritable emploi. Rencontre avec l’association Assodel. Sophie retrouve l’espoir. Elle bénéficie du dispositif de validation des acquis.

« J’ai compris le sens de l’accompagnement », témoigne Sophie qui a trouvé l’écoute dont elle manquait. Première victoire : un diplôme de technicienne médiation service.

« Pour moi, c’est une reconnaissance du travail effectué auprès des familles africaines ». Et surtout, un emploi en CDI au sein de la maison de quartier Billard. 50 heures par mois, ça n’est pas assez pour vivre. Elle se lance alors dans une seconde validation des acquis pour décrocher le titre d’auxiliaire de vie sociale. Deux formations financées par l’Assodel à hauteur de 1.500 euros.

Seconde victoire, un CDD dans une maison de retraite du CHU. Et enfin, les moyens, avec deux boulots, de s’en sortir et d’avoir d’autres projets.

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Journal « l’Union » 081022b

Les collégiens sensibilisés à la société de consommation

 

Anne-Isabelle Vignaud, directrice de Saint-Ex, est venue conduire une animation auprès de deux classes de 3e et deux classes de 4e.

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Par l’atelier artistique « Acheter - Vendre », mis en place au collège Georges-Braque par Agnès Brion, professeur de Lettres modernes, en partenariat avec le centre culturel Saint-Exupéry, les élèves doivent s’approprier le vocabulaire et la grammaire de la société de consommation, en utilisant internet.

A partir de l’œuvre « L’échoppe photographique » de Nicolas Frespech, tous les élèves de 4e et de 3e ont passé une commande sur le thème de l’échange.

Par ailleurs, les élèves, invités à la 6e Nuit numérique organisée par le centre culturel Saint-Exupéry sur le thème de la société de consommation, ont assisté à la conférence de Nicolas Frespech et ont découvert la pièce « Agamemnon ».

Cette sensibilisation à la création contemporaine sera prolongée par de fréquentes visites au Fonds régional d’Art contemporain, place Museux.

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Journal « l’Union » 081022a

Insultes et coups de poing : Agression homophobe à la faculté de lettres

 

Les coups ont volé bas la semaine dernière dans les locaux d’Homozygote, association étudiante « homosexuelle, gay, bi, trans » installée à l’UFR de lettres et sciences humaines du campus Croix-Rouge.

Les faits se sont produits jeudi. « Je me trouvais seul au local lorsque sept personnes sont arrivées », raconte la victime, un étudiant en philosophie de 23 ans. « Il y a eu tout de suite des propos homophobes. L’une des personnes restées dans le couloir a dit à une autre : « Ne rentre pas là-dedans ! C’est une soupe à pédé. » Deux sont entrées dans le local. Elles m’ont insulté, m’ont porté une vingtaine de coups de poing ciblés sur le visage mais heureusement, elles visaient mal. Les cinq autres étaient dehors pour empêcher les gens d’accéder au local. Le groupe est ensuite reparti en me disant « la guerre est déclarée. »

Blessé superficiellement à l’arcade sourcilière et au nez, l’étudiant n’a pas eu besoin d’un transport à l’hôpital. Faute d’un certificat médical, sa plainte n’a pas encore été prise par les services de police. Ce devrait être fait jeudi.

Selon la victime, au moins l’un des agresseurs serait étudiant en droit, mais il reste à identifier ainsi que ses complices. « La guerre est déclarée », ont-ils dit. Il y aurait un lien avec un précédent incident survenu deux jours auparavant. « Le mardi, il y a eu un concert anti-fasciste sur le campus. Des personnes connues pour leurs idées d’extrême-droite sont venues. On leur a demandé de s’en aller car elles n’avaient rien à faire là. »

Par le passé, le local d’Homozygote a déjà subi des dégradations mais de mémoire d’adhérents, c’est la première fois qu’une agression physique y est déplorée.

F.C.

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Journal « l’Union » 081021b

Une section jeunes créée pour le secteur Eisenhower

 

Un rassemblement en plein air, faute de local.

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Un rassemblement d’une trentaine de jeunes d’Eisenhower, de 8 à 25 ans, s’est tenu vendredi 17 octobre devant le 29, cour Eisenhower à l’initiative du collectif des locataires de Croix-Rouge, dans le but de créer une section jeunes.

Objectif de cette opération : impliquer et responsabiliser les jeunes du secteur dans le projet urbain citoyen, plus particulièrement en vue de l’aménagement d’un espace vert comprenant un terrain multisports (« city-stade ») et des structures de jeux pour enfants.

« Depuis trop longtemps, les jeunes d’Eisenhower ne sont ni écoutés ni entendus » explique le président Fabrice Lopez : « à l’heure où la rénovation urbaine va modifier leur cadre de vie, il est grand temps de les associer à l’avenir de ce sous-quartier et à son développement économique, social et culturel ».

La prochaine réunion de la section jeunes Eisenhower est prévue en novembre.

En attendant, une pétition est lancée auprès des jeunes, pour transmission à la maire de Reims et à Reims habitat.

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Journal « l’Union » 081021a

Les Primevères exposent au Centre communal d’action sociale

 

Les résidantes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Les Primevères exposent leurs dessins, réalisés dans le cadre de l’atelier « Langues de peinture », animé par la plasticienne Armelle Blary et porté par Reims habitat.

Rendez-vous au centre communal d’action sociale, 11 rue Voltaire, en octobre et novebre. L’inauguration aura lieu le mercredi 22 octobre a 18 h 30.

Entrée libre.

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Journal « l’Union » 081020c

Hauts-de-Murigny : l’amicale des locataires très vigilante

 

Les adhérents soutiennent activement leur association.

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L’assemblée générale de l’amicale des Hauts-de-Murigny (locataires de Reims habitat des secteurs Watteau, Utrillo, Lautrec, Gandon, Blanche-Cavarrot) s’est déroulée devant une quarantaine d’adhérents. En présence d’Éric Quénard, premier adjoint, et Élisabeth Vasseur, conseillère municipale « représentant Catherine Vautrin ».

La présidente Maud Trefcon, la secrétaire Isabelle Mallinger et le trésorier Daniel Houssack ont loué « l’amabilité et la disponibilité reçues au cours de nos nombreux contacts avec l’agence locale de Reims habitat, dirigée par Arnaud Prieux », présent auprès d’eux avec François Toublan, directeur territorial.

La trésorerie est extrêmement simple : avec 393 euros de recettes (adhésions) dont 63 % sont reversées à la CNL, l’association, non subventionnée, ne dispose que de 19 euros pour fonctionner !

Pourtant, rien n’échappe à sa vigilance : « Nous avons beaucoup travaillé ! ». Qu’on en juge : éclairage, interrupteurs et détecteurs de mouvement, demande de caméras de surveillance, hygiène, locaux poubelles, ménage, cyclos sur les paliers, tapage dans les étages, contrôle des espaces verts selon un plan vert avec Reims habitat, mais aussi aménagement du quartier, fermeture de certains passages à risque, cheminements, réfection des allées intérieures, suppression de bacs à sable devenus des bacs à chiens, barrières automatiques et bips, taille et élagage, ils ont l’œil partout et reprochent à Reims habitat ses retards par rapport au calendrier proposé.

« Notre budget n’est pas extensible » a plaidé François Toublan : « peut-être avons-nous vu trop grand, mais tout sera fait, selon un plan pluriannuel de trois ans, vous en avez l’engagement ! »

Pour clarifier les choses, le premier adjoint Eric Quénard a annoncé de prochaines visites sur le terrain : des représentants des services municipaux, des locataires, des associations et de Reims habitat dresseront un état précis de ce qui doit être fait, par qui et selon quel calendrier.

Renseignements au siège de l’amicale : 9, place Toulouse-Lautrec.

amicalehautsmurigny@orange.fr

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Journal « l’Union » 081020b

Séjours collectifs : un bilan et un couscous

 

Le couscous de l’association « Femmes d’ici et d’ailleurs » a été apprécié.

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Dans le cadre du projet « Éducation et séjours collectifs de jeunes » monté par la maison de quartier Croix-Rouge, cinq séjours jeunesse et un séjour familial ont été organisés cet été.

Disque souvenir

Les équipes d’animation ont rassemblé, vendredi, l’ensemble des participants ainsi que leurs familles pour un bilan suivi d’un repas, à l’espace Billard. Une centaine de parents et enfants ont répondu à l’invitation.

Au cours de cette soirée conviviale, Stéphanie Tadla, directrice du projet aux Francas de la Marne, a présenté un diaporama des photographies réalisées pendant les séjours et remis aux familles un CD souvenir.

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Journal « l’Union » 081020a

Feux divers

 

Un feu de local à vide-ordures s’est déclaré samedi â 23 h 15 allée des Landais puis hier à 7 heures allée des Bourguignons.

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Journal « l’Union » 081017b

Conseils de quartier : Hazan joue les VRP

 

La mairie a présidé hier soir la première réunion d’informations.

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Convaincre que cela n’a plus rien à voir avec ce qui se faisait avant… Expliquer que la parole sera donnée aux habitants… Faire comprendre que cela pourra servir à quelque chose… Pendant près de deux heures, Adeline Hazan est venue présenter hier soir à la salle Rossini de Wilson, ce que seront les nouveaux conseils de quartiers.

« Il est toujours difficile de faire sortir les gens le soir quand ils ont déjà eu une journée chargée », explique la maire. « Ces conseils de quartiers doivent donner envie aux habitants de venir. Ils seront plus ouverts, ne seront pas des lieux où l’on viendra présenter des projets déjà bouclés. On a souvent reproché le manque de concertation à la précédente municipalité. Nous voulons au contraire que tout le monde puisse s’exprimer et que ces conseils servent à quelque chose ».

A ce jour, une centaine de volontaires ont déjà fait acte de candidature. De façon disparate selon les quartiers, leur nombre étant trop important par endroits, et pas assez dans d’autres. Les femmes sont également sous représentées.

La réunion d’hier soir était la première de trois dont l’objectif se veut avant tout pédagogique. Une seconde est prévue ce soir à la maison de quartier Cernay (19 h) et la dernière, mardi 21 octobre, à la salle municipale Goulin (19 h).

La salle se vide…

Hier soir, La maire a sans doute pu se rendre compte de la tâche qui attendait son équipe pour arriver à séduire de nouveaux habitants. Dans l’assistante de soixante-dix personnes environ, se trouvaient en effet beaucoup d’habitués de ce type de réunion publique. Les discussions ont parfois tourné au cas particulier, à la demande d’écoute de la mairie sur tel ou tel point. Et une heure et demi après le début de la réunion, un petit tiers de la salle était déjà reparti… Bref finalement retrouvé presque tous les symptômes d’une réunion de quartier à l’ancienne !

Voilà de quoi méditer même si certains n’ont également pas caché hier soir leur enthousiasme dans le nouveau projet.

G. A.-T.

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Journal « l’Union » 081017a

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : La victoire pour mot d’ordre

 

Marsault et les Rémois veulent reprendre leur destin en main.

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La 4e journée de Nationale 1 verra s’affronter demain soir, au gymnase François-Legros, les « Rapaces » de Reims et les « Bourrins » de Maisons-Laffitte, respectivement derniers et avant-derniers de leur poule.

Ce match des mal-classés s’annonce d’ores et déjà décisif dans la lutte pour le maintien. Le RHR doit le plus rapidement possible se détacher du bas de tableau, et pour ce faire, les hommes du président François Bock ne doivent plus laisser échapper le moindre point à domicile. Ils seront opposés à une rugueuse formation francilienne, qui ne leur a pas toujours souri par le passé, et dont l’effectif a quelque peu évolué cette saison.

De retour au travail

« J’aborde le match avec prudence, car Maisons-Laffitte est toujours difficile à jouer, mais également avec confiance, car j’ai senti un réel changement dans le comportement des joueurs », confie le président, satisfait d’avoir retrouvé « une équipe, et non une somme d’individualités ». Et celui-ci d’ajouter : « Il nous faudra jouer 50 minutes, jusqu’au bout, mais j’ai confiance en l’équipe et en l’entraîneur ».

Pour la deuxième fois de la saison seulement, les Rémois devraient pouvoir s’appuyer sur l’intégralité de leur effectif, et ils espèrent bien conserver la dynamique de l’équipe, dont la confiance se renforce peu à peu. « On a bien travaillé cette semaine, surtout au niveau des phases de jeu. On retrouve le vrai visage du groupe dans l’envie et la cohésion », précise Laurent Lexcellent.

Rassurés par une bonne prestation face au leader lillois la semaine précédente, les joueurs de la cité des sacres savent toutefois que la tâche sera rude. « On est redescendu de notre nuage de champion de France Nationale 2 pour retourner au charbon », ajoute le technicien rémois, qui a pu apprécier le sérieux de ses hommes cette semaine à l’entraînement. « Nous devons garder la même rigueur et le même engagement, pour ne rien avoir à regretter ». Les Rémois semblent bien décider à reprendre leur destin en main.

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L’hebdo du vendredi- n° 96 - 081016d

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 96 - Semaine du 13 au 23 octobre 2008

 

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L’Université sort de sa coquille
 
L’Université a de beaux jours devant elle !

 

Avec un nombre d’étudiants constant et malgré la fluctuation des inscriptions dans les différentes filières proposant 139 diplômes, l’Université Reims Champagne-Ardenne s’affirme en cette rentrée 2008/2009 comme une place de choix pour les études supérieures. En attendant un nouveau campus…

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Alexandre Steyer, recteur de l’académie de Reims et Richard Vistelle, président de l’URCA, pleins d’espoir quant à un campus « rénové » sur le site Croix-Rouge.

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Avec une légère hausse globale de 1% d’étudiants inscrits pour cette nouvelle année 2008/2009, l’Université de Reims Champagne- Ardenne s’affirme comme place de choix pour les études supérieures.

En cette période de rentrée universitaire, du côté de l’Université Reims Champagne-Ardenne (URCA), ce sont les chiffres qui étaient de sortie, cette semaine, à la Villa Douce, siège de l’URCA…

Un exposé arithmétique nécessaire pour dessiner les tendances de cette nouvelle année, mais aussi les contours d’un futur teinté d’optimisme.

Aux manettes de la démonstration, Richard Vistelle le président de l’URCA et Alexandre Steyer, recteur de l’académie de Reims, qui, complices, se réjouissaient de la grande attractivité des néo-bacheliers pour le cursus universitaire reflétant par la même occasion, la bonne image de l’université.

Car, si cette année, 22 220 étudiants sont inscrits dans les 18 composantes universitaires (chiffre estudiantin stable depuis trois ans), 43% des voeux des lycéens de terminale générale de l’académie se sont portés vers l’université, statistique supérieure à la moyenne nationale.

L’URCA attire également des étudiants d’autres académies, notamment du département de l’Aisne pour le site de Reims ou de l’Yonne pour Troyes, des résultats encourageants, quand on sait que la région est touchée démographiquement.

Au menu des autres réjouissances, et ce malgré une érosion des inscriptions dans certaines disciplines comme à l’UFR Sciences exactes et naturelles, facs de pharmacie, lettres, sciences humaines et éco, STAPS (voir encadré), la bonne santé des IUT et de la filière médecine (en raison notamment de l’augmentation du numerus clausus) était inscrite au tableau d’honneur.

« L’engouement affiché des jeunes pour les études de médecine se fait toujours sentir en raison des différents diplômes accessibles après la 1ère année comme en dentaire, chez les kinés ou les sages-femmes » notait Richard Vistelle.

Un grand pôle universitaire…

Du retard à l’allumage

Au mois d’avril dernier, l’URCA avait répondu au projet « Plan campus » (Projet du gouvernement Fillon, annoncé en janvier 2008 par le ministre de l’enseignement supérieur, Valérie Pécresse, ayant pour objectif de faire émerger en France dix pôles universitaires d’excellence de niveau international). Le projet proposé visait à regrouper l’ensemble des composantes rémoises sur le secteur sud de l’agglomération (malgré un tout nouveau bâtiment du STAPS flambant neuf sur le campus Moulin de la Housse ). Bien que porteur et correspondant au cahier des charges mais surtout indispensable quant à l’urgence de la situation immobilière (40% de la surface bâtie est jugée dans une situation de moyenne à mauvaise), le projet n’a pas été retenu. Un échec qui n’a pas altéré l’optimisme du président de l’URCA : « Nous allons nous débrouiller seuls, nous n’allons pas renoncer car nous n’avons pas le choix, il faut avancer vers un projet innovant, avec un TGV à 45 minutes de Paris, les facs entrent en compétition ». On le voit, l’ambition émanant du « Plan campus » reste très présente, une réflexion approfondie est en cours, avec le soutien inconditionnel de la communauté d’agglomération, pour voir d’ici 7 à 8 ans un pôle universitaire sortir de terre à Croix-Rouge (coût estimé de l’ordre de 150M€)… Reste maintenant à l’URCA à valoriser son patrimoine et notamment les 42 ha du Campus du Moulin de la Housse.

O.M

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Journal « l’Union » 081016c

Les Panthères grises de sortie

 

Après l’inauguration du Café de la solidarité des âges, à la brasserie Saint-Maurice, place Museux, lundi 22 septembre, Renate Gossard, présidente des Panthères grises de Reims et de l’association Femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain (3F), communique le calendrier de ses réunions pour les mois à venir.

-  Jeudi 23 octobre, rendez-vous au Café de la solidarité des âges à 17 heures, et accueil d’adhérents de l’Institut universitaire du temps libre.

-  Vendredi 28 novembre, à 17 heures, conférence au Café de la solidarité des âges sur les problèmes de logement pour tous, jeunes et anciens.

-  Lundi 1" décembre à 17 heures, réunion à l’espace la Nacelle de la maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du docteur-Billard, sur le thème de la consommation, du décryptage des étiquettes et sur l’initiation à l’ordinateur.

-  Jeudi 18 décembre, à 17 heures, au Café de la solidarité des âges, conférence sur la lutte contre la solitude des jeu¬nes et des personnes âgées.

Entrées gratuites. Renseignements auprès de la présidente Renate Gossard par téléphone au 03.26.08.22.10

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Journal « l’Union » 081016b

Fac : Les cinq grands chantiers de l’université

 

Le recteur Alexandre Steyer avec Richard Vistelle : « L’Urca reste très attractive ».

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LE président de l’Urca, Richard Vistelle, y croît. « L’université de Reims retrouve du dynamisme », dit-il comme pour conjurer les mauvais augures qui prédisent à son établissement un avenir en demi-teinte.

Le ministère n’a pas inclu Reims dans son « plan campus » ? Qu’importe.

C’est donc sur ses propres forces et celles des collectivités locales que l’Urca devra compter pour trouver les 150 M€ nécessaires à la réalisation du grand projet présidentiel : le regroupement sur deux campus des six sites universitaires rémois, ce qui implique le transfert du Moulin de la Housse (Sciences) vers le pôle médical de Croix-Rouge. « La réflexion est en cours. Une décision sera prise en juin 2009 », commente le président.

G.G.

 

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Journal « l’Union » 081016a

Nouveau plan de circulation à partir du 27 octobre

 

Lundi 27 octobre, début des vacances de Toussaint et aussi mise en place d’un plan de circulation qui restera en vigueur jusqu’à fin 2010. C’est autour des Promenades que ça changera le plus.

Bocquaine/De Gaulle

La chaussée Bocquaine sera fermée à la circulation. Pas de changement sur l’avenue du Général-de-Gaulle et du Général-Eisenhower.

Secteur Bonaparte

De Taittinger à Bonarparte puis Blum, pas de modification de circulation.

C.F.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081015e

Annonces parues dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7259 du 13 au 19 octobre 2008
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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE 
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1. Identification de la collectivité qui passe le marché

VILLE DE REIMS

Place de l’Hôtel de Ville

51096 REIMS Cedex

Personne responsable du marché : Monsieur le Directeur Général des Services Techniques

2. Mode de passation

Marché à procédure adaptée, conformément à l’article 28 du Code des Marchés Publics.

3. Objet

La présente consultation a pour objet l’étude d’ingénierie et assistance à maîtrise d’ouvrage relatives à la démolition partielle de la passerelle commerciale Pays de France implantée avenue du Général Bonaparte à Reims.

Le marché comprend une tranche ferme et 2 tranches conditionnelles :

- Tranche ferme : Mission 1 : Reconnaissance du site ; Etude de faisabilité ; Estimation d’une enveloppe financière ; APS – ADP – PRO ; Montage du DCE.

- Tranche conditionnelle 1 : Mission 2 : ACT, Assistance à Maître d’Ouvrage pour le choix du candidat.

- Tranche conditionnelle 2 : Mission 3 : DET, Direction de l’exécution des travaux ; AOR, Assistance à Maître d’Ouvrage pour les opérations de Réception des travaux.

4. Durée d’exécution du marché

La durée d’exécution des prestations, décomposée en trois missions, est fixée au sein du CCTP.

L’affermissement de la tranche conditionnelle 1 devra intervenir dans un délai maximum de 6 mois après réception de la tranche ferme.

L’affermissement de la tranche conditionnelle 2 devra intervenir dans un délai maximum de 1 an après réception de la tranche ferme.

5. Obtention du DCE

Le DCE sera remis gratuitement à chaque candidat qui en fera la demande à la Ville de Reims - DGST- Patrimoine et Logistique – Service des affaires administratives - 51096 REIMS cedex – bureau 110 – tél : 03-26-77-73-47 – fax : 03-26-77-73-50.

6. Date limite de réception des offres :

le 12 novembre 2008 à 17 H 00

Les offres sont à envoyer par la poste en recommandé ou à remettre contre récépissé à la Ville de Reims – DGST Patrimoine et Logistique – Service des Affaires Administratives – 51096 REIMS Cedex

7. Conditions d’envoi des offres

Sous enveloppe cachetée portant la mention « "NE PAS OUVRIR" Consultation Démolition de la passerelle commerciale Pays de France – VM5-S-08-17 »

Cette enveloppe devra contenir les pièces relatives à la candidature (article 4.2.1 du règlement de consultation) et les pièces relatives à l’offre du prestataire.

8. Critères de jugement des offres

Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères pondérés, énoncés ci-après et détaillés à l’article 4.2. du règlement de consultation.

1) Valeur technique de l’offre

2) prix

9. Renseignements complémentaires

Mme Chantal SAUVEGRAIN : 03-26-77-73-59

Direction de la Réhabilitation du Patrimoine Bâti

Service Sécurité Accessibilité et Gestion du Patrimoine

10. Date d’envoi à la publication du présent avis : 07 octobre 2008

Le Directeur Général des Services Techniques

Jean-Pierre AUGER.-

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AVIS DE CONSTITUTION 
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Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 23 sep¬tembre 2008, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : Société à responsabilité limitée.

DENOMINATION : SARL BATENN.

SIÈGE SOCIAL : 18 rue de Rilly la Montagne à REIMS (51100).

OBJET : Maçonnerie générale, construction de courts de tennis, travaux de peinture et décoration, revétements mural et sols, négoce de matériaux et matériels de bâtiment.

DUREE : Cinquante années à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPTITAL : 4.000 €.

GERANCE : Monsieur BAYDAR Ahmet, demeurant à REIMS (Marne), 22 rue de Rilly la Montagne. « ’

IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et dés Sociétés de REIMS.

Pour avis.

69158

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Journal « l’Union » 081015d

Mutes ne veut pas de subventions en 2009 !

 

A l’issue de son assemblée générale (l’union du 14 octobre), le bureau de l’association Multi échanges services (Mutes) a fait part d’une décision inhabituelle dans le monde associatif : « Nous avons suffisamment de fonds en réserve des exercices précédents. Aussi avons-nous décidé de ne pas demander de subvention à la Ville pour le prochain exercice ».

Mutes qui fonctionnait jusqu’ici avec une petite subvention municipale (1.600 euros pour 2007-2008) va donc puiser 1.341 euros dans ses réserves pour équilibrer son budget prévisionnel 2008¬2009.

Cette décision a ravi le premier adjoint Éric Quénard : « J’ai toujours regretté cette forme de systématisation par laquelle on prend la Ville pour un guichet où, année après année, on vient chercher une subvention qui alimente un bas de laine ou sert à faire du gras. Je félicite Mutes pour sa décision rare et exemplaire ! »

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Journal « l’Union » 081015c

Promotion de Pays-de-France : une association en pleine forme

 

Les habitants du quartier ont participé à l’assemblée générale.

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L’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France s’est déroulée salle Mauriac dans une très bonne ambiance.

Auprès des adhérents, des représentants associatifs avaient fait le déplacement : la maison de quartier Croix-Rouge, le comité des locataires de Pays-de-France, les Fran¬cas de la Marne, l’association MJC Croix-Rouge, l’Étoile Croix-du-Sud, les conseillers municipaux Michel Guillaudeau, représentant la maire de Reims et Benjamin Develey représentant Catherine Vautrin , et Fabrice Lopez pour Démocratie rémoise.

Avec 128 adhérents et de nombreux bénévoles, l’association peut compter sur deux subventions : 6.045 euros du Foyer rémois et 5.000 euros de la ville de Reims.

À la tribune, la présidente Christiane Monnier, la trésorière Gilberte Durant et la vice-présidente Ghislaine François ont énuméré toutes les activités de l’Appf au cours de l’exercice 2007 en faveur des habitants du secteur Pays-de-France : la galette des rois, deux sorties familiales à Niglo¬land et en baie de Somme, la participation au festival Croix-Rouge s’affiche et à « Immeubles en fête » , la journée pêche familles à Chatillon-sur-Marne, le concours des balcons fleuris, les fêtes de Noël (enfants et temps libre), l’activité jardinage dans une parcelle mise à disposition par les Jardins familiaux de Croix-du-Sud, le repas des personnes âgées, les après-midis temps libre (jeux, goûters ouverts à tous le mardi et le vendredi de 14 à 18 heures) et enfin les activités du centre de loisirs (30 enfants de 6 à 12 ans, le mercredi après-midi et pendant les vacances scolaires, en partenariat avec la maison de quartier Croix-Rouge, Evelyne Verrier, animatrice Bafa et quatre animatrices Bafa bénévoles, ce qui est exceptionnel). Trois nouveaux administrateurs ont été élus : Nathalie Dinet, Francis Hunaut et l’ancienne adjointe de l’équipe Schneiter, Chantale Richet.

Toute cette équipe se consacre avec bonheur « à favoriser les relations sociales et conviviales entre toutes les générations » .

APPF, 1, allée des Picards -Tél. 03.26.36.65.71. et 06.31.61.16.10.

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Journal « l’Union » 081015b

Mise en place des conseils de quartier

 

Des conférences sont organisées avec pour objectif de présenter à toutes les personnes intéressées et aux habitants la nouvelle démarche des conseils de quartier.

La première se déroulera ce jeudi 16 octobre à la salle Rossini en présence d’Adeline Hazan. Ali Aissaoui, adjoint à la démocratie locale, présidera ces conférences, assisté du pôle démocratie locale.

Planning des conférences : jeudi 16 octobre à 19 heures, salle polyvalente Rossini, 4 rue Rossini ; vendredi 17 octobre à 19 heures, maison de quartier Cernay, 39 rue du Général-Carré ; mardi 21 octobre à 19 heures, salle municipale Goulin, rue de La Neuvillette.

Les antennes mobiles de la mairie vont également être mobilisées pour l’occasion, du 20 au 26 octobre.

À bord du bus, l’agent de l’antenne mobile, un représentant du pôle démocratie locale et un ou une conseillère municipale investie dans la démarche conseils de quartier délivreront l’information nécessaire au conseil de quartier et renseigneront les candidats au poste de conseiller.

Planning des conseils de quartier :

- lundi 20 octobre Saint-Thomas ;

- mardi 21 octobre Clairmarais - place Sainte-Claire ;

- mercredi 22 octobre Croix du Sud ;

- jeudi 23 octobre Prieur de la Marne ;

- vendredi 24 octobre Wilson ;

- samedi 25 octobre Boulingrin ;

- dimanche 26 octobre Sainte-Anne

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Journal « l’Union » 081015a

Les Bulldog’s sont maîtres

 

Bon début de saison pour les jeunes du RRCC.

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Le championnat de roller hockey a repris ce dimanche à Rethel dans la catégorie benjamin. Cinq formations de garçons et de filles nés entre 1996 et 1997 se sont rencontrées, deux équipes des Rapaces (RH Reims), les Diables Rouges (Rethel), les Sparnariders (Epernay) et les Bulldog’s (Reims RCC).

Composé de jeunes joueurs confirmant le travail réalisé depuis le début de saison avec leur nouvel entraîneur Medhy Sozzi, le Reims RCC s’est imposé brillamment face à ses deux principaux rivaux. Victoire contre le Rhr 6 à 2 puis contre Rethel 4 à 1.

Malgré cet excellent début qui confirme les résultats de la saison dernière (quatre équipes jeunesse en demi-finale du championnat de France), les benjamins du RRCC Bulldog’s recherchent deux bons joueurs supplémentaires afin de mener cette équipe vers la plus haute marche du podium régional, qualificative pour le championnat de France.

Le club invite à venir essayer gratuitement la pratique du roller hockey. A cette occasion, du matériel pourra être prêté. Rendez-vous au gymnase François-Legros, 1 avenue du Président-Kennedy. Début de la séance d’entraînement le mardi et le jeudi à 18 heures.

Contact : www.reimsroller.fr ou par téléphone au 06.27.56.43.22 et 03.26.83.97.05.

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Journal « l’Union » 081014a

Mutes : l’assemblée générale des vingt ans

 

La Mutes va tenter une ouverture vers les étudiants de l’université voisine.

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Multi-échanges services (Mutes) a fêté ses 20 ans en mars dernier, l’occasion de retrouver une grande partie de ceux qui ont construit l’association depuis 1988.

« Qu’est-ce qui a permis que Mutes s’inscrive ainsi dans la durée ? », demandait la présidente Martine Massart en ouvrant l’assemblée générale 2008 : « Multi, c’est synonyme de diversité d’origines, de cultures, d’opinions, de passions, de possibilités, de savoirs et c’est aussi l’intergénération.

Échanges, c’est savoir donner, mais aussi recevoir.

Services, cela va du simple service rendu, un dépannage ponctuel, pour une garde d’enfant, un transport, un travail ménager ou un bricolage, à la relation qui s’inscrit dans la durée par des liens qui se tissent au fil des services rendus, tels que la visite à une personne isolée, le soutien scolaire ou les échanges de savoirs.

Persévérance

Si l’on assemble les trois, cela donne un lieu d’accueil, de convivialité, générateur de lien social, de connaissance mutuelle et de reconnaissance : chacun à quelque chose à donner, à partager ! ».

Autres éléments de survie : la ténacité des adhérents. Mutes a surmonté les obstacles grâce à la persévérance des adhérents, toujours dans l’esprit et le dynamisme que le fondateur Charles Santini a impulsés dès sa création.

Enfin, l’association a bénéficié d’un partenariat exemplaire avec la maison de quartier Croix-Rouge et avec l’ensemble des associations du quartier, dont celles présentes à l’assemblée générale : MJC Croix-Rouge, Étoile Croix-du-Sud, APPF, Secours catholique, centre de soins Croix-Rouge, espaces Billard et Watteau…

Avec une subvention municipale de 1.600€, les 30 adhérents ont animé une année de services et de manifestations, dégageant un excédent de 271€, une gestion appréciée par le premier adjoint Éric Quénard, l’un des trois élus présents avec Michel Guillaudeau et Benjamin Devevey.

Renseignements : Mutes, réseau d’échanges de services gratuits entre les habitants du quartier sur la base du temps passé ; espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78. Permanences un lundi sur deux, de 14 à 16 heures.

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Journal « l’Union » 081013c

Reims Habitat : qui peut représenter les locataires ?

 

Claude Stoltz représentera les locataires au conseil d’administration

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L’application d’un récent décret réformant les offices publics de l’habitat permet l’augmentation du nombre de représentants des locataires pouvant siéger au conseil d’administration de Reims Habitat.

A la suite de cette recomposition, le collectif des locataires de Croix-Rouge s’attendait à ce que les sièges vacants pour les amicales soient ouverts à candidature, et qu’il soit procédé à une élection des représentants, choisis par les locataires.

« Or, nous venons d’apprendre qu’une amicale a été nommée en catimini à ce poste sur la base d’une élection de 2006, privant ainsi les locataires du droit de choisir librement leurs représentants ! » (NDLR : il s’agit de l’Union des locataires de Croix-Rouge ULCR).

Fabrice Lopez, président du CDL CR, demande donc à la maire que cette nomination soit déclarée caduque, que soient informées toutes les amicales reconnues par l’organisme logeur et que soit organisée une élection libre, respectueuse des droits du locataire.

Éric Quénard, premier adjoint au maire et président du conseil d’administration de Reims Habitat, confirme la décision et le mode de désignation : « Ce sont les résultats obtenus par les différentes listes présentées à l’occasion des dernières élections des locataires (NDLR : en 2006) qui sont la référence. Au prorata du nombre de voix obtenues lors de cette élection, c’est l’association présidée par Mme Stoltz qui obtient le nouveau siège. C’est donc elle assez logiquement qui a été appelée à entrer au conseil d’administration. »

Pour information, quatre associations de défense des locataires exercent sur le territoire de Reims Habitat, secteur Université-Eisenhower : l’amicale des locataires Hippodrome-Université présidée par Micheline Sage, le Collectif des locataires de Croix-Rouge (CDL-CR) présidé par Fabrice Lopez, l’association Mieux vivre à Croix-Rouge (MVCR) présidée par Modeste M’Fenjou et l’Union des locataires de Croix-Rouge (ULCR) présidée par Claude Stoltz et membre du tout nouveau groupement des associations de défense des locataires (GADL).

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Journal « l’Union » 081013b

Zac de Bezannes : encore un air de champ de patates !

 

Le projet de déménager l’hippodrome vers Bezannes est gelé pour le moment.

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Le seul chantier actif est celui du centre de maintenance du tramway : on vient de démarrer les fondations.

Quant à l’hippodrome rémois, qui lui aussi faisait partie naguère des solliciteurs supposés, il n’a déposé aucune demande non plus, son projet de déménagement se voyant dans l’immédiat fortement ralenti (voir par ailleurs). Les « patates » du champ vont pouvoir pousser tranquilles encore un moment.

Antoine Pardessus

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Du sur place pour l’hippodrome

 

Parmi les demandeurs d’un permis de construire sur la ZAC de Bezannes ne figure pas l’hippodrome. Du moins pas encore. Car le projet de déménager l’actuel champ de courses de Croix-Rouge vers le voisinage de la gare TGV existe toujours, mais pour le moment il est sérieusement ralenti.

« Après avoir pas mal avancé l’an dernier, jusqu’à nous permettre d’auditionner en novembre cinq promoteurs intéressés, la machine s’est enrayée, confie le président de la société rémoise des courses Gilles Jeziorski. Jean-Louis Schneiter a décidé de geler le projet jusqu’aux élections. Ensuite a eu lieu la mise en place de la nouvelle équipe ; nous en avons reparlé avec Mme Hazan, qui nous a demandé un peu de patience parce qu’elle souhaitait lancer une étude sur la zone de l’hippodrome actuel, une zone qui l’intéresse en matière de rénovation urbaine. De fait, nous n’aurons pas de réponse de la part de la Ville avant mars prochain. »

Par ailleurs, à ce ralentissement dû au contexte politique, est venu s’ajouter le changement de contexte économique : « Avec la crise de l’immobilier, il faudra attendre avant de relancer vraiment le projet. Donc, entre l’attente du résultat de l’étude de la Ville, l’accord avec un partenaire promoteur immobilier, la procédure du permis de construire et les travaux proprement dits, nous sommes encore là pour cinq ans, estime le président Jeziorski, ce qui nous oblige à envisager des travaux de rénovation et de mise aux normes que nous n’avions pas programmés initialement, en raison justement du projet de déménagement… »

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Journal « l’Union » 081013a

Voiture dégradée : un mineur arrêté

 

Vendredi dernier, un jeune de 16 ans a été arrêté avenue d’Épernay par la police, alors qu’il venait semble-t-il de dégrader une voiture en stationnement, derrière le groupe Eisenhower.

À l’issue de sa garde à vue, le mineur a reçu une convocation, pour comparaître prochainement devant le délégué du procureur.

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Journal « l’Union » 081011a

566 gastronomes en culottes courtes

 

Toque sur la tête comme les grands, les écoliers du primaire Provençaux à l’atelier de pâtisserie.

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Regarder, écouter, sentir, toucher et goûter, voila le programme actuellement proposé aux 566 écoliers rémois qui participent, du 13 au 19 octobre à la Semaine du goût, au lycée professionnel Gustave-Eiffel.

Ils découvrent aussi les ingrédients culinaires, sucrés ou salés, et participent à la confection de plusieurs mets comprenant des spécialités de Reims et de la région.

Gustave-Eiffel de la partie

En partenariat avec la Ville de Reims, les entreprises agroalimentaires locales et l’Éducation nationale, les cuisines et le restaurant de Gustave-Eiffel ont mis les petits plats dans les grands pour éveiller les papilles des futurs gastronomes.

 

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Journal « l’Union » 081010b

Des illustratrices à la médiathèque

 

Du 15 octobre au 15 novembre, la médiathèque Croix-Rouge présente une exposition d’œuvres originales d’Edmée Cannard et de photographies d’Isabelle Simon : une évocation de l’univers des deux illustratrices qui seront invitées à la Fête du livre.

Samedi 18 octobre de 10 heures à 11 h 30, mercredi 29 octobre de 14 h 30 à 16 heures et samedi 8 novembre de 10 heures à 11 h 30, des promenades créatives au fil des albums d’Edmée Cannard seront suivies d’un atelier de création.

Entrée gratuite : médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.)

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Journal « l’Union » 081010a

Justice : Il frappe un invalide : six mois de prison ferme

 

Emmanuel Persin (26 ans) comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Reims pour avoir, le 17 mai dernier, commis des violences sur un homme invalide demeurant place Fragonard, dans le quartier Croix-du-Sud.

La victime a été sérieusement blessée puisqu’elle a subi un traumatisme crânien.

On ne saura pas pourquoi Emmanuel Persin a pu commettre ces faits puisqu’il les nie totalement.

Le substitut du procureur de la République Marie Truchet a rappelé au jeune homme qu’il encourait 5 ans d’emprisonnement pour ces faits, car il était en état de récidive légale.

Emmanuel Persin a déjà 18 condamnations inscrites à son casier judiciaire. « Et je ne vois pas », ajoutait-elle, « pour quelle raison nous n’appliquerions pas la peine plancher ».

Elle requérait deux ans de prison ferme.

« Mon client a toujours nié les faits, » assurait Me Creusat. « Il a toujours dit qu’au moment des faits, il était en grade à vue pour ivresse sur la voie publique. C’était simple d’aller vérifier sur le cahier des gardes à vue du commissariat ! »

Selon l’avocat : « Dans ce dossier, c’est la parole de la victime - qui n’avait pas reconnu mon client dans un premier temps - contre celle de l’auteur présumé ». Il plaide la relaxe d’Emmanuel Persin.

« J’ai toujours reconnu quand c’était moi dans d’autres affaires », ajoutait le jeune homme pour sa défense.

Le tribunal l’a condamné à 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de suivre des soins psychologiques, et interdiction d’entrer en relation avec la victime.

Il devra également verser 1.500€ de dommages et intérêts à la victime.

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Journal « l’Union » 081009j

Sport : vers une nouvelle politique de subventions municipales

 

Les élus : Éric Quénard, Jacqueline Dahlem et Michel Guillaudeau.

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« La Ville nous verse une subvention de 28.000 euros, le club en redonne 23.000 pour les seuls frais de location de patinoire et de gymnases. »

La présentation du rapport financier du Reims Acrap patinage a été l’occasion pour sa présidente Jeannine Catry de faire apparaître que, dans son fonctionnement présent, la Ville distribue d’une main les subventions qu’elle reprend de l’autre en locations de patinoire et de gymnases.

Et cette association est loin d’être la seule à connaître cette situation.

Réduire les tarifs des locations

« Actuellement, plus de 80 % de la subvention municipale part en locations de gymnases et de patinoires ! » a reconnu le premier adjoint Éric Quénard

« La nouvelle équipe réfléchit : plutôt que d’augmenter sans cesse le montant des subventions aux clubs sportifs, comment rendre les tarifs des locations d’installations sportives moins onéreuses ? »

Etats généraux

Membre de commission « sports » , la conseillère municipale Jacqueline Dahlem a précisé : « La nouvelle municipalité est en effet engagée dans une phase de réflexion pour faire évoluer les rapports entre la Ville et les associations.

Les futurs États généraux du sport nous permettront de construire une nouvelle relation avec des plans bisannuels, voire trisannuels ou encore plus longs, sur des projets et des financements à long terme. Ce sera alors le départ d’une nouvelle politique sportive. »

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081009i

Annonces parues dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7258 du 06 au 12 octobre 2008
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DISSOLUTION DE SOCIETE 
CLOTURE DE LIQUIDATION 
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EURL J.M.P. SERVICE
Société à responsabilité limitée

en liquidation

au capital de 7.622 €uros

Siège :

35 rue Georges Bernanos

51100 REIMS

403 142 052 R.C.S. Reims

Aux termes d’une décision en date du 29 septembre 2008. l’associé unique a décidé la dissolution anticipée de la société à compter du 30 septembre 2008, et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel.

Monsieur Jean Marie POIRET, demeurant 35 rue Bernanos - 51100 REIMS, associé unique, exercera les fonctions de liquidateur pour réaliser les opérations de liquidation et parvenir à la clôture de celle-ci.

Le siège de la liquidation est fixé 35 rue Bernanos - 51100 REIMS. C’est à celle adresse que la correspon¬dance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

Pour avis :

Le liquidateur.

68974

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Journal « l’Union » 081009h

Brocante et fête - secteur Eisenhower

 

L’un des objectifs du Collectif des locataires de Croix-Rouge est de recréer du lien social sur le secteur Eisenhower.

Pour y parvenir, le président Fabrice Lopez a imaginé « Eis’Vital » : une brocante sur toute l’esplanade et la cour Eisenhower, dont les emplacements seraient réservés en priorité aux locataires et une manifestation culturelle, festive et pédagogique sur l’esplanade Eisenhower.

Après avoir reçu l’accord de Reims-Habitat sur ce projet, une approbation du Cucs et de la ville de Reims, il lance une phase de consultation auprès des structures de tout le quartier (et en particulier l’association Mieux vivre à Croix-Rouge et l’Union des locataires de Croix-Rouge) et même au-delà.

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Journal « l’Union » 081009g

Le guide santé Croix-Rouge est disponible

 

Élisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier, et le premier adjoint Éric Quénard lancent la diffusion du guide.

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Fruit de deux ans de travail et d’un partenariat élargi à tous les organismes et professionnels de santé et de prévention, le Guide santé Croix-Rouge, tiré à 4.000 exemplaires, est désormais disponible dans les espaces de la maison de quartier, dans les associations, les antennes municipales et chez les professionnels de santé du quartier, à l’attention des habitants.

Cette initiative de la maison de quartier Croix-Rouge (espace Billard) a été rendue possible grâce à deux étudiantes bénévoles, Marie-Laure Chatelard, pour la collecte d’informations et Pauline Crépin, pour la maquette.

« Nombreux sont les habitants qui ne connaissent pas les structures existantes dans le quartier ou à Reims. Ce guide qui contribue à l’information sur toutes les questions liées à la santé leur sera donc très utile » constatait Élisabeth Causin, directrice de la maison de quartier, le jour du lancement, en présence du premier adjoint Éric Quénard et de nombreux associatifs.

Il comporte cinq chapitres très clairs : les numéros de téléphone en cas d’urgence, où s’informer, se soigner, se faire aider sur le quartier, comment les contacter, pour en savoir plus.

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Journal « l’Union » 081009f

APPF

 

Initialement prévue le vendredi 12 septembre, mais reportée pour cause de portes closes (l’union du 16 septembre), l’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera mercredi 8 octobre dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, à partir de 19 heures.

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Journal « l’Union » 081009e

ALCOOL / Un arrêté municipal qui n’a jamais rien changé

 

L’arrêté municipal que l’on pensait destiné uniquement aux SDF s’adresse aussi aux autres Rémois, qui consomment de l’alcool sur la voie publique. Et ce, partout dans la ville.- Agrandir la photo

La place de Lisieux au centre du quartier Maison-Blanche.

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L’ARRÊTÉ municipal interdisant la consommation d’alcool sur la voie publique et la réunion de plusieurs individus accompagnés de plus de 2 chiens a pris fin début octobre. Il a aussitôt été reconduit. « L’arrêté a été renouvelé avec de nouvelles dates, car il ne peut être fixé en permanence. Le contenu, lui, est identique », explique Stéphane Joly, adjoint en charge des Solidarités et de l’administration générale.

Mis en place par l’ancienne municipalité et reconduit cet été par l’équipe d’Adeline Hazan, il est applicable dans toute la ville et pas uniquement sur la place d’Erlon. Il ne vise pas que les clochards et leurs chiens (l’union du 15 septembre). Exemple, place de Lisieux (Maison-Blanche) où les réunions de jeunes sont fréquentes.

« Un jour, un policier en scooter s’est arrêté pour dire aux jeunes qu’à partir de début octobre il y aurait une interdiction de consommer de l’alcool dans la rue. Je lui ai donc demandé s’il était possible de faire une photocopie de l’arrêté, pour que l’on transmette l’info aux jeunes en leur expliquant que, désormais, ils risquaient une amende de 11 euros s’ils étaient pris avec une canette de bière à la main », raconte ce salarié de la maison de quartier.

« C’est vrai que les jeunes boivent, mais pas plus que dans un autre quartier. Ce qui est triste c’est que Maison-Blanche a une réputation de quartier d’alcooliques depuis 20 ans. Ce n’est pas pire qu’ailleurs : regardez devant Match à Croix-Rouge, ils boivent aussi », remarque Sylvie qui habite rue de Dunkerque.

« OK, c’est gênant de les voir picoler sur la place, mais il ne faut pas croire qu’ils viennent tous de Maison-Blanche. Il y en a de Wilson », ajoute Bernard, un habitant.

L’arrêté stipule qu’une commission a été créée. Elle a pour objet de contribuer à l’écoute, au suivi et à l’accompagnement des personnes qu’il vise. « La commission se réunira pour la première fois à la fin du mois d’octobre », ajoute M. Joly. Est-ce qu’accompagnée de prévention la répression changera réellement quelque chose ? Sanctionnés ou pas, les SDF seront toujours là et pourquoi les jeunes des quartiers changeraient-ils leurs habitudes ?

Thierry Accao Farias

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Journal « l’Union » 081009d

Futsal : des animateurs bien formés

 

Trois jours pour conjuguer terrain, pratique et théorie.

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« Nous sommes ici pour former des intervenants afin de développer le football diversifié dans les quartiers » : Bernard Curel, directeur technique départemental du District Marne de football a expliqué les objectifs de cette formation à la vingtaine d’animateurs venant des différentes maisons de quartier rémoises, réunis pour trois jours au CREPS. Le but ? « Améliorer les connaissances de chacun afin qu’il soit capable d’être un référent technique dans les gymnases » explique Jean-Noël Censier, coordonnateur du projet.

Au programme, la technique du jeu, mais aussi les aspects pédagogiques, sociaux, sans oublier la lutte contre le racisme dans le sport. Des mises en situation et des démonstrations ont complété les interventions.

Un sport en vogue

« Le futsal prend de l’ampleur à Reims, il était important de se mettre au diapason. C’est une réelle opportunité que cette formation, financée par le Cucs (Contrat urbain de cohésion sociale) » ajoute Tarek Maamoun, éducateur sportif.

Les organisateurs comptent cette année sur une centaine de jeunes inscrits qui bénéficieront des nouvelles compétences de leurs animateurs. Il reste des places.

S’inscrire auprès des maisons de quartier. Adresses sur www.maisondequartier-reims.fr

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Journal « l’Union » 081009c

Lire en fête : une 20e édition « spéciale jeunesse »

 

La littérature jeunesse sera à l’honneur pour cette 20e édition de « Lire en fête ».

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Du 9 au 15 octobre, se tiendra la 20e édition de l’opération « Lire en fête ». La littérature jeunesse sera à l’honneur dans les bibliothèques et médiathèques rémoises.

PENDANT une semaine, les bibliothèques et médiathèques rémoises vont célébrer la lecture comme partout en France.

Écrivains, dessinateurs, acteurs, musiciens, bibliothécaires accueilleront le public dans tout le réseau rémois.

Tout débutera ce jeudi 9 octobre, à 19 h 30, à la médiathèque Jean-Falala avec le lancement de l’atelier Slam.

Vendredi 10 octobre, à 18 h 30, rendez-vous à la médiathèque Laon-Zola pour une « lecture-rencontre » avec le poète et romancier français Franz Bartelt, animée par Frédéric Chef.

Nuit de l’écrit

Et à partir de 20 h 30, Emmanuelle et Nadia feront des lectures sur le thème de l’enfance des écrivains dans le cadre de Lire en fête. Les amateurs de BD ne manqueront pas de se rendre samedi 11 octobre, de 14 heures à 17 heures, à la médiathèque Laon-Zola pour une dédicace de bandes dessinées par des dessinateurs amateurs, rémois ou des environs.

Sont annoncés à cette séance : Thierry Boulanger, Étienne M. Czek et Jérôme Gorgeot.

Samedi 11 octobre, aura lieu la « Nuit de l’écrit » à la médiathèque Jean-Falala. Un programme varié a été concocté, qui passera - de 10 heures à 17 heures - par des ateliers de calligraphie et secteur jeunesse, sur papier et argile, animés par les calligraphes de l’association Cultures 21.

« Un jour, mon prince viendra »

De 14 heures à 16 heures, rendez-vous à la salle pédagogique pour le club de lecture des 10-13 ans. Exceptionnellement, cet atelier sera ouvert à tous.

De 14 heures à 18 heures, à l’espace junior, atelier d’écriture animé par Eddy Pallaro. Toujours samedi, à partir de 14 heures, dans le hall de la médiathèque Falala, dédicaces BD avec Olivier Taduc, Fabrice Druet et, sous réserve, Libon.

A partir de 16 heures, café BD avec les auteurs présents, dans l’atelier pédagogique, à partir de 7 ans.

De 17 heures à 17 h 45, à l’espace musique, spectacle « Un jour mon prince viendra » par la compagnie Coup de balai, pour les enfants de 3 à 10 ans.

Puis de 17 h 30 à 18 h 30, à l’espace Littérature, lecture de textes par les comédiens de la troupe Nadia Xerri-L ou par le collectif de la Comédie de Reims.

De 20 h 30 à 21 h 30, toujours à l’espace Littérature, « Enfances : entre mémoire et fiction » par Frédérique Bruyas, lectrice publique.

De 21 h 30 à 23 heures, à l’espace Musique, « Voyage poétique : Patti Smith et Jim Morrison », lectures de textes par M’Sieur Dam’et Selecta Seb et musique par Somna.

Dimanche 12 octobre, à la bibliothèque Holden, à 10 h 30, lecture de Monsieur Botibol de Roald Dahl (pour tous, durée 40 minutes).

Enfin, mercredi 15 octobre, à 14 h 30, à la salle d’exposition, l’association La Parolière fera escale à Croix-Rouge pour des histoires merveilleuses de tous les pays (pour tous, à partir de 6 ans).

Pour tout renseignement, www.bm-reims.fr ou 03.26.35.68.00.

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Journal « l’Union » 081009b

Illustrations

 

Du 15 octobre au 15 novembre, la médiathèque Croix-Rouge présente une exposition d’œuvres originales d’Edmée Cannard et de photos d’Isabelle Simon.

Samedi 18 octobre de 10 heures à 11 h 30, mercredi 29 octobre de 14 h 30 à 16 heures et samedi 8 novembre de 10 heures à 11 h 30, des promenades créatives au fil des albums d’Edmée Cannard seront suivies d’un atelier de création (fabrication d’une « bouteille à soupirs » inspirée par l’univers de l’illustratrice).

Entrée gratuite.

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Journal « l’Union » 081009a

D’autres violents bientôt jugés

 

Jeudi dernier, deux jeunes gens qui se trouvaient allée des Bourguignons ont été agressés par trois individus.

Retrouvé, l’un des frappeurs a justifié la correction par un différend avec les victimes.

Il est convoqué le 20 novembre en correctionnelle.

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Journal « l’Union » 081008f

Collège : la motivation vient en chantant

 

Les séances dirigées par Tony Amirati aboutiront à un spectacle en public le 12 juin à Bezannes.

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Ils s’appellent Florian, Jérôme, Orhan, Sandy, ils ont tous 12 ou 13 ans, ils sont élèves au collège François-Legros et ne se montrent pas spécialement motivés par les études. Ils appartiennent à la classe de 5e dite « Apac » (à projet artistique et culturel), terme plus positif que l’ancienne « classe de consolidation ». Eh bien, pour motiver ces jeunes gens, le principal Philippe Labiausse veut les faire chanter. Dans une comédie musicale, écrite par un spécialiste du genre, Tony Amirati, directeur-fondateur de la troupe des Enfants de la balle.

Ils ont pleuré deux fois

C’est la deuxième année que le collège a recours à cette méthode. La première fois, la classe avait travaillé sur 1789, chronique d’une révolution. Avec quels résultats ? « A la fin de l’année, se souvient le principal, les enfants avaient donné un spectacle à Tinqueux devant les parents, et cela avait été un grand moment, particulièrement émouvant ; les élèves étaient vraiment transfigurés si je peux me permettre d’utiliser ce terme, mais c’était vraiment ça : ils passaient un cap ! »

« Au départ, ajoute Nelly Simonnet, professeur de français qui codirige l’activité en compagnie de M.Amirati, ils ne voulaient pas chanter, ils avaient un peu peur. Pour le premier spectacle en public, au collège, une semaine avant celui de Tinqueux, il a fallu en forcer certains à monter sur scène ! »

« Quand on voit tous les gens, ça fait un peu peur, confirme Chloé, l’une des jeunes artistes, et puis peu à peu on s’habitue. » « Et puis au contraire, la seconde fois, à Tinqueux, reprend l’enseignante, ils ont aussi pleuré, mais pour une autre raison : cette fois c’était parce que c’était fini, et ils ne voulaient pas arrêter l’aventure… ». Chloé, par exemple, a si bien voulu continuer à chanter, qu’elle a demandé à entrer dans la troupe des Enfants de la balle !

Certes, l’enseignante reconnaît que cette comédie musicale n’a pas transformé ces enfants peu scolaires en forts en thème, « mais au moins ils ont progressé au niveau de l’expression orale et ont gagné en assurance. »

Cette année une nouvelle aventure commence donc, avec nouveaux élèves, et nouvelle œuvre à travailler : le Philosophe et l’amuseur, qui imagine la rencontre (chronologiquement impossible) entre Voltaire et Offenbach.

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » 081008e

Percussions africaines : c’est la rentrée à Acao

 

Le djembé : un instrument qui réunit tous les âges !

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« Ces ateliers de percussions ne sont qu’un des aspects de notre action » rappelle Monique Dieuleveux, la présidente d’Acao. L’association a des objectifs diversifiés : promouvoir toutes les formes artistiques spécifiques de l’Afrique de l’Ouest, musique, chant, danse, contes, favoriser les échanges.

Les cours de percussions (djembé) ont repris à l’école maternelle Adriatique. C’est un instrument dont la pratique paraît facile au départ, mais qui demande une bonne latéralisation : il faut dissocier la main gauche de la main droite.

« Cet instrument, qui ne se joue pas en « solo » demande concentration et écoute des autres. La musique, qui est de culture orale, demande un effort de mémorisation » précise Mme Dieuleveux.

Les cours ont lieu le mercredi après-midi, et s’échelonnent d’heure en heure, à partir de 14 heures jusqu’à 20 h 30, en fonction des âges (à partir de 7 ans) et des niveaux.

Un atelier d’initiation rythmique a lieu également, pour les enfants de 8 à 11 ans, le samedi matin de 10 à 11 heures. Autre nouveauté, des ateliers pour adultes souhaitant s’initier à des musiques rythmiques et à des chants.

Amdy Seck, le maître, s’explique : « En Afrique, le rythme est lié au chant. Ici, ce sont de vrais ateliers, où l’on apprend à faire un texte chanté et à l’accompagner en rythme ».

Les séances auront lieu le mardi, à partir du 14 octobre, de 14 h 30 à 16 heures, ceci pour permettre à ceux qui ont un peu de temps libre de venir partager des moments de culture artistique dans une ambiance conviviale.

Contact : 03.26.06.30.05. ou acaoreims@free.fr site www.acao-reims.org

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Journal « l’Union » 081008d

Le Roller hockey affiche ses ambitions

 

« Les objectifs seront revus à la hausse au fur et à mesure de la saison », note Jordane Cheffre, entraîneur.

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Au gymnase François-Legros, le Roller hockey Reims a un plan ambitieux pour ses différents groupes. Car la concurrence sera rude.

Ainsi, il y aura deux équipes chez les poussins. « La plupart sont surclassés. Il faut qu’ils essaient de passer le cap des

quarts de finale des championnats de France. En sachant que cet objectif sera revu à la hausse au fur et à mesure de la saison », note Jordane Cheffre, entraîneur.

Deux équipes également chez les benjamins. La première est forte d’un noyau solide. L’objectif est de disputer les demi-finales des France. La seconde est plutôt constituée de jeunes joueurs qui souhaitent progresser.

L’équipe 1 minimes vise la finale du championnat de France. La B rassemble principalement de benjamins surclassés. Elle tutoiera la catégorie supérieure.

Enfin, les cadets (renforcés par quelques minimes) veulent atteindre les demi-finales des France. Les juniors caressent le même rêve.

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Journal « l’Union » 081008c

Hauts-de-Murigny

 

L’assemblée générale de l’amicale des Hauts-de-Murigny se déroulera mardi 14 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau, 1 allée Antoine-Watteau.

« Depuis la création de l’amicale, qui défend les intérêts des résidants du quartier des Hauts-de-Murigny, les membres du bureau ont beaucoup œuvré, notamment en partenariat avec Reims habitat. Aujourd’hui, les premiers projets commencent à se concrétiser mais il reste encore beaucoup à accomplir car des dossiers sont actuellement en cours d’étude » précise Maud Trefcon, présidente.

Renseignements au siège de l’amicale : 9, place Toulouse Lautrec.

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Journal « l’Union » 081008b

Direction la prison.

 

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Journal « l’Union » 081008a

Les incendiaires rôdent

 

Lundi vers 19 heures, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré au 18, esplanade Paul-Cézanne (secteur Croix-du¬Sud).

Scénario identique hier midi allée Edgar-Degas, au n°4.

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Journal « l’Union » 081007k

Lotos

 

L’Union des commerçants du quartier des Châtillons organise dimanche prochain son loto annuel. Le nombre de places étant limité, il est prudent de réserver (5 euros à déduire sur les cartons achetés). Un carton : 5 euros. 3 cartons : 13 euros. 4 cartons : 15 euros.

Sur place, buvette et restauration rapide.

Dimanche 12 octobre, 15 heures, maison de quartier, place des Argonautes.

Vente des cartons à partir de 14 heures.

Réservations au 03.26.86.07.81 ou 03.26.06.20.25

Par ailleurs, l’association L’Étoile Croix-du-Sud organise un loto samedi 11 octobre.

Horaires et préinscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum ou par téléphone au 03.26.06.56.66.

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Journal « l’Union » 081007j

En octobre à la médiathèque Croix-Rouge

 

La Caravane ensorcelée fait escale sur le parvis de la médiathèque le mercredi 22 octobre.

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Contes

Mercredi 8 octobre à 15 heures, théâtre d’images (à partir de 6 ans) : « Oh Lila ! ».

L’histoire de Lila encourage les enfants à demander de l’aide dans des situations difficiles.

Mercredi 15 octobre à 14 h 30, contes « Tout autour de la terre » : la Parolière, association rémoise de conteurs amateurs, fait escale à Croix-Rouge pour des histoires merveilleuses de tous les pays (à partir de 6 ans).

Bébés

Samedi 11 octobre à 9 h 30, l’heure des bébés, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

Albums

Mercredi 22 octobre à 11 heures, la Ronde des albums d’Isabelle Simon, une illustratrice qui sera présente à la Fête du livre samedi 15 novembre. Pour enfants à partir de 5 ans.

Projections

Mercredi 22 octobre de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures, la Caravane ensorcelée fait escale sur le parvis de la médiathèque dans le cadre de la Fête du cinéma d’animation, avec la salle de projection ambulante créée et animée par l’association « La pellicule ensorcelée ».

Renseignements : médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tél. 03.26.35.68.40.

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Journal « l’Union » 081007i

L’aquarelle, lieu d’accueil à Pays-de-France

 

Si, dans sa nouvelle organisation, la Maison de quartier Croix-Rouge est bien articulée sur quatre espaces : Billard, Ethnic’s, la Nacelle et Watteau, Yves Pringault, directeur jeunesse, précise qu’il existe un « lieu d’accueil » sur Pays-de¬-France : L’Aquarelle, au 1 allée des Béarnais, dans l’ancienne agence du Foyer rémois. À cette adresse, les habitants disposent de plusieurs services.

- Permanences assistantes sociales : lundi de 14 à 16 heures, jeudi de 9 à 11 heures et 14 à 16 heures.

- Accueil PMI : mardi de 13 h 30 à 18 heures.

- Accompagnement scolaire collège : lundi de 16 h 30 à 18 h 30.

- Libre échange : vendredi de 9 à 12 heures.

- Point info famille : lundi de 14 à 16 heures et jeudi de 9 à 12 heures.

- L’accompagnement scolaire primaire se déroule à deux pas, au 6 allée des Picards, le lundi de 16 h 30 à 18 heures.

A noter par ailleurs, informations et inscriptions pour l’espace Ethnic’s, du lundi au vendredi de 14 à 20 heures et le samedi de 14 à 18 heures et pour l’espace Nacelle, du mardi au vendredi de 14 à 19 heures et le samedi de 14 à 17 heures.

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Journal « l’Union » 081007h

Pays-de-France

 

L’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera demain mercredi 8 octobre dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, à 19 heures.

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Journal « l’Union » 081007g

Calligraphie

 

A l’occasion du mois du patrimoine écrit et en écho aux expositions consacrées à l’enluminure médiévale en Champagne à la bibliothèque Carnegie et à la médiathèque jean-Falala, la manifestation proposée par la médiathèque Croix-Rouge met en évidence la vitalité de la création calligraphique, à travers l’exemple de l’un de ses représentants : Driss Chajri.

Une exposition regroupe, jusqu’au samedi 11 octobre, des réalisations uniques de l’artiste (œuvres originales et livres-objets) où la calligraphie est intimement liée à des recherches plastiques sur la matérialité du livre.

Elle est complétée par des panneaux pédagogiques offrant la vision de Driss Chajri sur l’histoire de la calligraphie.

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Journal « l’Union » 081007f

Des cours de vovinam viet vo dao

 

Le Centre vovinam viet vo dao de Reims a repris ses activités dans les locaux de l’association Croix-Rouge Animation-Promotion (ACRAP).

Le vovinam viet vo dao est un art martial traditionnel vietnamien, remontant à plus 2800 avant J-C, le Grand Maître Nguyen Loc (1912-1960) a passé toute sa vie à le codifier. Apparu en France dans les années 1970, il a vu le jour à Reims en 1986, avec le professeur Patrick Ferray.

Les cours sont assurés aujourd’hui par deux enseignants ceinture noire 1er dan et le professeur Franck Schmitt ceinture noire 3e dan. Au programme, technique de base (poings, pieds, coudes, genoux, déplacements), chutes et roulades, enchaînements codifiés à deux, ciseaux, lutte vietnamienne, armes, self-défense, philosophie, combat, etc…

Les cours ont lieu le lundi de 20 à 22 heures au gymnase F.-Legros (1, avenue du Président Kennedy) et le vendredi de 20 à 22 heures à l’ACRAP (11, avenue du Président Kennedy).

Pour tout renseignement, contacter Franck Schmitt au 06.50.83.86.89. ou par e-mail : |->thayfranck@free.fr]

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Journal « l’Union » 081007d

Lire et faire lire : jour de rentrée pour les petits nouveaux

 

Une réunion d’information pour 20 nouveaux bénévoles.

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« Depuis deux ans, « Lire et faire lire dans la Marne » s’étoffe sérieusement : de nombreuses personnes sont venues grossir nos rangs » se félicite la présidente, Claire Métreau.

Elle recevait une vingtaine de nouveaux bénévoles, venus de tout le département. Le but de la réunion étant d’informer les arrivants des objectifs et du fonctionnement, et de leur permettre de faire connaissance.

L’après-midi, le groupe se rendait à la médiathèque Croix-Rouge, où une comédienne, Claire Deborde, leur montrait ce que l’on peut faire avec un livre. « Cette journée crée une dynamique, un lien entre des personnes animées du même désir de faire partager leur amour de la lecture en le transmettant aux jeunes » explique la présidente.

Pour adhérer, il faut être retraité et avoir plus de 50 ans. « Cette condition est posée afin de maintenir le lien intergénérationnel. »

L’une des nouvelles lectrices, Brigitte Giuliani : « Je trouve cela très intéressant. Je lisais beaucoup d’histoires à mes filles. Cela permet aussi de nouer des contacts avec d’autres personnes » confie-t-elle. Certes, nous sommes près de 150, mais il y a énormément d’écoles et nous ne sommes jamais assez » souligne la présidente.

Lire et faire lire dans la Marne, 19-23 rue Alphonse-Daudet à Reims. Tél. 03.26.84.36.90.

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Journal « l’Union » 081007c

Vols à l’arraché : les étudiants de Croix-Rouge en première ligne

 

Etudiant de 18 ans, Cédric s’est fait frapper à cet endroit le 24 septembre pour son ordinateur portable. « Je suis moins en confiance qu’avant. »

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Thomas Neff, président d’intercampus : "On a l’impression que le campus est une zone de non droit"

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Les ordinateurs portables des étudiants attisent les convoitises à Croix-Rouge. Plusieurs vols à l’arraché ont été commis dans le quartier, et même sur le campus.

Les associations étudiantes s’inquiètent.

« LA rentrée a eu lieu le 19 septembre et nous avons déjà eu connaissance de deux agressions, sans compter toutes celles que nous ignorons. Ça ne peut plus durer comme ça. Ce n’est quand même pas normal de venir à la fac le matin en se demandant si on aura toujours son ordinateur le soir en rentrant chez soi. »

Nouveau président de l’association Intercampus, Thomas Neff se fait le porte-parole des étudiants qu’inquiètent les vols avec violence commis ces derniers temps sur le site de la faculté Croix-Rouge ou à proximité (notamment dans le parc Saint-John-Perse).

Pour Cédric, un Axonais de 18 ans, le risque est devenu réalité le 24 septembre dernier. « C’était en plein jour, sur le campus, vers 16 heures. Je me rendais à la mutuelle près des coquilles. A l’entrée d’une petite allée, il y avait deux jeunes assis sur le parapet d’un mur.

Je suis passé. Ils m’ont rattrapé.

Ils ont essayé de prendre la sacoche de mon ordinateur portable. J’ai résisté. Ils m’ont frappé sur la joue. Je suis tombé. Ils ont continué à me taper et m’ont fait les poches pendant que j’étais allongé. Ils en ont profité pour me voler mon téléphone en plus de mon ordi. Ils sont repartis en courant. Ils avaient 15-18 ans. »

Préjudice financier, souffrances morales

S’il n’a pas été blessé, Cédric reste moralement atteint. « C’est difficile à accepter, surtout ici sur le campus, dans un endroit où l’on se croit normalement en sécurité. Je suis moins en confiance qu’avant. Je n’ai pas encore eu l’occasion de repasser seul là où j’ai été agressé, mais si c’est le cas, et que je vois quelqu’un assis sur le mur, je fais demi-tour, c’est certain. »

« Quand on entend un tel récit, on a vraiment l’impression que le campus est une zone de non-droit », dénonce Thomas Neff. « Des gens viennent, ils agressent des étudiants, repartent avec les objets qu’ils volent et ne se font pratiquement jamais pincer. »

Le phénomène ne date pas d’hier. Il est récurrent dans un quartier de grands ensembles comme Croix-Rouge. Début 2008, Reims Management School (RMS) avait d’ailleurs diffusé une mise en garde à ses étudiants après une série de vols à l’arraché. Les mois passent, le problème demeure, au point qu’Intercampus a décidé de dénoncer la situation dans un courrier envoyé à l’Université.

Contactée hier, celle-ci indique n’avoir encore rien reçu, précisant qu’elle travaille déjà avec la police pour tenter de prévenir les vols (notamment par des rondes dans le quartier). Intercampus veut davantage : la mise en place, « au plus vite », d’un « groupe de travail » avec l’ensemble des partenaires concernés pour discuter de toutes les solutions possibles. « Pourquoi pas l’installation d’une vidéosurveillance à des endroits stratégiques du campus ? » suggère Thomas Neff.

Vaste programme, sachant que le danger ne se limite pas à la fac.

Deux voleurs de 16 et 17 ans ont été arrêtés le 23 septembre, quelques heures après avoir tenté d’arracher l’ordinateur portable d’une étudiante de RMS.

Ils ne l’ont pas attaquée sur le campus, mais dans son hall d’immeuble place Jean-Fragonard.

Fabrice Curlier

 

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Quelques conseils

 

Comme il est impossible de clôturer le campus Croix-Rouge ou de mettre un policier à chaque coin d’immeuble, ramener à zéro le nombre des vols à l’arraché relève de la mission impossible. On peut toutefois rappeler quelques conseils toujours bons à respecter pour limiter les risques.

- Eviter de montrer ostensiblement des objets de valeur qui ne peuvent qu’attiser la convoitise.

- Eviter les espaces isolés.

- Transporter si possible son ordinateur dans un sac à dos.

- Eviter de le tenir dans la main la plus proche de la chaussée.

- Attendre pour téléphoner de pouvoir le faire en toute quiétude.

- Ne pas se couper du monde en mettant trop fort le son de son baladeur.

Au moindre problème, un seul réflexe : appeler ou faire appeler le 17 police-secours.

 

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Des jeunes joueurs du Stade de Reims eux aussi agressés

 

Les étudiants du campus Croix-Rouge ne sont pas les seuls à se faire agresser. Pendant près d’un mois, la quasi-totalité des entraînements du groupe des « 15 ans division d’honneur » du Stade de Reims ont été suspendus au complexe sportif Géo-André, rue François-Mauriac. Une décision prise par le directeur général du club, Olivier Létang, après l’agression de cinq joueurs à la sortie d’un entraînement.

Les faits remontent au 8 septembre. Ils concernent cinq internes du lycée François-Arago, obligés de traverser le quartier pour rejoindre l’établissement à chaque fin de séance. « Mon fils revenait de l’entraînement avec quatre de ses coéquipiers », raconte Karine Dana. « Ils ont été pris à partie par des jeunes du quartier. Un premier garçon a été projeté contre la loge du lycée Arago. La vitre a explosé. Il s’est retrouvé aux urgences avec une entaille au bras (NDLR : sept points de suture) et un hématome à la hanche. Un autre a été frappé au visage. Le troisième a eu des marques de strangulation et un pull déchiré. Mon fils et son dernier copain ont été insultés et menacés. »

Gare ta g… après l’entraînement !

Cette affaire a causé une vive émotion chez les parents, d’autant que le problème s’était déjà posé l’an dernier (un joueur fut lui aussi agressé en rejoignant l’internat. Lors d’une réunion organisée avant les vacances d’été, le responsable de la formation avait annoncé aux parents que leurs enfants bénéficieraient à la rentrée d’un raccompagnement par un adulte.

Ces dernières semaines, et notamment depuis l’agression du 8 septembre, une sourde colère commençait à monter car la mesure promise se faisait toujours attendre. C’est dans ce contexte que fut prise la décision de suspendre la quasi-totalité des entraînements au complexe Géo-André, « tant que la sécurité de nos enfants n’était pas assurée, nous a dit l’entraîneur ».

Seule la séance du vendredi soir a été maintenue (les internes repartent directement chez eux après l’entraînement pour cause de week-end).

Finalement, lors d’une nouvelle réunion organisée le 2 octobre, les parents ont appris que l’accompagnement tant attendu était enfin mis en place. « Une solution a été trouvée. L’accompagnement à l’aller et au retour va être assuré par l’entraîneur », annonce Olivier Létang.

Assuré en véhicule, le transport concerne les huit joueurs du groupe de DH internes au lycée Arago. Ça se passe comme ça dans certains quartiers de Reims.

F.C.

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Journal « l’Union » 081007b

 

INFORMATION RELATIV E A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Avant - propos :

Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage :

Reims habitat Champagne-Ardenne

71, avenue d’Epernay

B.P. 2720

51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Appel d’Offres Ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53,57 à 59 du code des marchés publics

3) Objet des marchés : marché de travaux : Réfection des 92 cages d’escaliers dans les immeubles existants – Rue Pierre Taittinger et rue de Rilly à Reims.

4) Nombre et consistance des Lots : 2 lots répartis comme suit :

lot 1 : électricité

lot 2 : peinture

5) Options : sans objet

6) Modalité d’attribution des lots : Par marchés séparés.

7) Délai d’exécution : pour l’ensemble des travaux est de : 18 mois, avec une période de préparation de 1 mois et une période de congés payés, con comprises.

8) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél. : 03.26.48.62.30 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site :www.reims-habitat.fr

9) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du Code des marchés publics

10) Critères d’attribution :

- Prix des prestations : 60%,

- Le délai d’exécution : 20%,

- La valeur technique de l’offre :20%

11) Délai de validité des offres : 120 jours

12) Remise des offres :

Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :

Monsieur le Directeur Général de Reims habitat Champagne Ardenne

71, Avenue d’Epernay

51100 REIMS

Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr – rubrique marchés publics.

13) Autres renseignements : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Champagne Ardenne : Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.40

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction de la Construction de Reims habitat Champagne Ardenne. – Tél. 03.26.48.62.32. Fax : 03.26.48.43.40

14) Date limite de remise des offres : Lundi 27 octobre 2008 à 17h00

15) Date d’envoi de l’avis à la publication : 1er octobre 2008.

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Journal « l’Union » 081007a

Dossier n° 08/02048 
GREFFE DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE REIMS

 

Par jugement en date du 9 septembre 2008, le Tribunal de Grande Instance de Reims, a prononcé la liquidation judiciaire à l’égard de :

Monsieur Bernard Georges Antoine GEORGE, né le 16 août 1958 à Valenciennes 159), demeurant 57, esplanade Eisenhower, 51100 Reims, exerçant l’activité d’agent commercial.

Mandataire judiciaire à la liquidation : S.C.P. DARGENT-MORANGE-TIRMANT prise en la personne de maître Jean-François DARGENT, mandataire judiciaire, demeurant en cette qualité 34, rue des Moulins, 51100 Reims.

Juge commissaire : Madame Séverine ROMI a ordonné la publicité dudit jugement.

Les créanciers sont priés de déclarer leurs créances entre les mains du mandataire liquidateur, au plus tard dans les deux mois de l’insertion qui paraîtra au bulletin officiel des annonces civiles et commerciales avec une déclaration des sommes réclamées, accompagnée d’un bordereau récapitulatif des pièces produites.

Pour extrait,

fait à Reims,

le 29 septembre 2008,

le greffier

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Journal « l’Union » 081006b

A Croix-Rouge chacun défend son territoire

 

Entre Pays-de-France et Croix-du-Sud, le torchon brûle en permanence et les marrons pleuvent. Il faut s’occuper des jeunes et leur reprendre la rue, prévient un acteur de l’insertion.

« Les jeunes n’ont pas d’endroit où se poser. Ce n’est pas bon ». Photo Christian Lantenois.

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« Faut pas qu’ils se pointent à Croix-du-Sud, c’est tout, et les petits n’ont rien à voir là-dedans ». Photo Christian Lantenois.

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A Pays-de-France, les grands disent que ce sont leurs petits frères qui entretiennent le conflit. Photo Christian Lantenois.

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Ceux de Croix-du-Sud ne peuvent pas encadrer ceux de Pays-de-France. Ils ne sont pas nombreux mais quand ils se croisent, ils se tapent. L’embrouille date d’un an.

C’EST l’histoire d’un monsieur divorcé qui habite Croix-du-Sud, sous-quartier de Croix-Rouge. Son ex-épouse vit avec les enfants à Pays-de-France, autre sous-quartier de Croix-Rouge, situé à un arrêt de bus. « Les enfants ne peuvent plus venir me voir. À chaque fois, ils se font taper dessus », soupire l’homme.

Quand on est « Francilien », on ne doit pas mettre les pieds chez les « Sudistes » ou alors à ses risques et périls. Et vice et versa. « On a la haine contre eux. Ils se croient supérieurs à nous », lâche Dadinho le « Sudiste », depuis son reste de passerelle sur la place Rodin.

À Pays-de-France, les jeunes se défaussent sur leurs petits frères : « C’est seulement les petits qui s’entendent pas et comme les petits n’écoutent plus rien, on n’arrive pas à les raisonner », affirme Hakima. « S’ils croisent un autre petit du Sud, ils le tapent et si eux vont là-bas, ils se font taper. Ça s’arrête là ». Pas de quoi fouetter un chat : « Non, rien de grave. Ils ont des bâtons et des couteaux mais pas d’arme », précise Hakima en se voulant rassurant.

« Les petits n’ont rien à voir là-dedans », contredisent les gars du Sud. « Et des coups de fusil, il y en a eu ».

La genèse de l’embrouille entre les deux sous-quartiers date d’un an. Une banale histoire de carottage de shit (du vol de résine de cannabis) a tout déclenché.

Le voleur et le volé ont fini par se croiser à une soirée à Croix-du-Sud, l’un a tapé sur l’autre.

L’autre s’est vengé quelques jours plus tard à l’aide de ses copains. La vengeance avait donné lieu à un retentissant passage à tabac au Shopi de la place Auguste-Rodin.

Depuis, la « guerre » entre les deux territoires est toujours d’actualité.

Avec des hauts et des bas et sous la surveillance de la police. « Les policiers viennent tous les soirs », affirment les jeunes sans s’en émouvoir plus que cela. « On a l’habitude ».

Provocateurs, toujours et dans le fond blasés, comme s’ils n’attendaient plus rien.

Les petits du quartier, non plus, n’attendent plus de miracle.

Une petite bande de 8 à 10 ans profite de son mercredi après-midi pour flâner entre les blocs. Des gamins qui travaillent encore pas trop mal, disent-ils, à leur école Blanche-Cavarrot mais qui se font taper dessus par les plus grands.

« Ceux de 14 ans, les collégiens nous frappent. En plus, ils volent tout. Une fois, j’avais le vélo de ma sœur, ils me l’ont pris et sont partis avec. On l’a retrouvé plus tard sous un porche ».

Des mésaventures qu’ils ne racontent même plus à l’école : « Les profs, ils ne veulent pas savoir ». Les mômes disparaissent en évitant de s’attarder près des grands.

Les grands glandent. Tout l’après-midi, les deux bandes vont squatter le même béton. Chacun dans leur quartier.

S’il pleut, ils trouveront une cage d’escalier « qui sent pas trop la pisse » et le soir, après deux ou trois pétards et une ou deux canettes, ils iront peut-être en découdre avec les « bâtards » d’à côté. Histoire d’avoir un but.

Catherine Frey

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« Leur reprendre la rue »

 

« Que des jeunes s’amusent à défendre leur territoire, c’est de leur âge mais s’il y a un malaise, c’est parce qu’ils se sont approprié la rue », analyse Jean-Louis Rumério, ancien éducateur de prévention et directeur de l’association d’insertion par l’emploi « 2 mains ».

« Il faudra leur reprendre la rue parce qu’ensuite on ne pourra plus rien faire. Surtout le jour où, en plus des garçons, des groupes de filles se constitueront. Elles seront bien plus terribles ».

Jean-Louis Rumério n’est pas du genre à plaindre les jeunes désœuvrés qui font des bêtises : « Je peux les comprendre mais jamais je ne les excuserai ».

Il les comprend car « ils n’ont pas d’endroit où se poser. Il n’y a pas un seul troquet à Croix-Rouge. Pas un lieu où on ne leur demande rien de particulier, un lieu juste destiné à être leur fief. Ensuite, on pourra mettre des éducateurs derrière pour les pousser à monter des projets mais pour commencer il faut les laisser tranquilles. Comme ils sont dehors, c’est de la rue qu’ils font leur fief ».

Pas question de s’attendrir non plus : « Il faut arrêter d’être tolérants avec leurs conneries, arrêter de les plaindre parce qu’ils subissent du racisme ou autre. Il est temps de les regarder tel qu’ils sont : des gamins français qui s’ennuient dans un quartier où les populations ont renoncé à vivre mieux. Où tout le monde sait que les trafics de drogue alimentent des familles entières car dans ces quartiers, la première préoccupation, c’est de bouffer. Et le premier fléau, c’est la drogue ». Il faut autre chose aussi pour réussir : « Des moyens ».

C.F.

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Journal « l’Union » 081006a

L’Aïd el-Fitr fêté chez les travailleurs maghrébins

 

Pendant le mois de ramadan, l’Association des travailleurs maghrébins de France, section Marne, a accueilli chaque soir de 70 à 80 personnes pour un repas du soir (rupture du jeûne) offert à tous sans exception.

Rupture du jeûne

« C’est pour nous une action à titre humanitaire en faveur des personnes seules, démunies et handicapées, un acte de solidarité dans le quartier et dans la ville de Reims », précise Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF. Le 1er octobre, jour de l’Aïd el-Fitr, ce fut au 6, allée des Picards, la fête marquant la rupture du jeûne du mois de ramadan :

« Nous avons accueilli cent personnes et nous avons partagé le petit-déjeuner (thé, café, gâteaux..) préparé par des femmes bénévoles, dans une ambiance familiale et conviviale pour cette journée de prière, du pardon, de partage et d’échange des vœux (santé, prospérité, réussite…) ».

Une ambiance familiale et conviviale régnait lors de cette journée festive.

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Journal « l’Union » 081005a

Le voleur des mosquées arrêté par ses « frères »

 

Une des boîtes contenant les dons des fidèles était posée sur ce radiateur.

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On connaissait les pilleurs de troncs des églises catholiques, voici les musulmans frappés à leur tour par le vol d’argent. Un individu peu scrupuleux a en effet fait main basse sur les dons des fidèles, dans deux mosquées rémoises. Mais il a été repéré et arrêté par ses frères en religion avant d’être confié à la police.

Le premier vol a été commis mercredi soir, dans la salle de culte de Croix-du-Sud, alors que la communauté musulmane venait de fêter la fin du ramadan. Selon M.Abbas, président de l’association des musulmans du quartier Al Fajr (l’Aube) l’homme, « entre deux prières, a demandé à rencontrer l’imam. Quand il s’est retrouvé seul dans la salle de prière, il en a profité pour fracturer deux boîtes métalliques contenant l’argent. » Selon les premiers éléments de l’enquête, c’est à l’aide d’un ouvre-boîte se trouvant dans son cartable qu’il a opéré. Dans une première boîte, il pioche 60 euros ; l’ouverture de la seconde lui permet de s’emparer de 50 euros supplémentaires.

Le lendemain, on le retrouve à la mosquée d’Orgeval, et il n’est pas spécialement venu pour louer Allah. Il repère la veste du recteur, laissée sur un porte-manteau, dans laquelle se trouve une enveloppe contenant des sous.

Il subtilise celle-ci. Il y découvrira un joli petit magot de 900 euros ! Mais notre homme lui aussi sera découvert. Les responsables et les fidèles des mosquées mènent en effet leur enquête, font le rapprochement entre ces vols et la présence de l’individu, et se mettent sur sa piste. Ce drôle d’étudiant (c’est ainsi qu’il se présente peu ou prou) avec son cartable, avait d’ailleurs déjà éveillé l’attention l’année dernière dans les différentes mosquées rémoises, puis semblait avoir quitté le secteur avant de réapparaître ces jours derniers…

Les enquêteurs improvisés finiront donc par le retrouver vendredi soir, dans un PMU, en train de jouer aux courses ses euros malhonnêtement acquis. Questionné par les « frères », l’homme reconnaît sans trop de difficulté qu’il est bien le voleur, il avait d’ailleurs encore une partie de l’argent sur lui.

Il peut même rendre immédiatement un peu plus de 800 euros. La police est ensuite officiellement saisie de l’affaire. L’homme, d’origine marocaine et âgé de 39 ans, est interpellé rapidement, vendredi vers 22 h 30, et placé en garde à vue. Il devrait comparaître dès demain lundi devant le tribunal correctionnel pour répondre de ses actes.

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » 081004e

Reims / Violences conjugales : Il frappe son amie et menace de lui couper la tête

 

Mardi vers 23 h 30, un violent différend entre concubins a éclaté rue des Savoyards, au quartier Croix-du-Sud à Reims. Fouab Chafik, 37 ans, a saisi sa compagne par les cheveux, l’a projetée au sol, l’a rouée de coups au visage et sur le crâne. Le tout sous un flot d’insultes et de menaces de mort.

Il a notamment promis de lui couper la tête, de lui trancher le visage avec un rasoir, du coin de la bouche jusqu’aux deux oreilles. A l’arrivée de la police, le concubin violent s’est rebellé. Les policiers ont eu beaucoup de mal à lui passer les menottes. Une fois au commissariat, il a refusé le prélèvement salivaire aux fins de recueillir son ADN, ce qui est une infraction.

Fouab Chafik a déjà été condamné pour des violences sur sa conjointe (elle affirme cette fois-ci qu’elle va définitivement le quitter). Déféré en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims, l’homme a écopé de dix-huit mois de prison dont dix assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant une obligation de soins (il boit trop, « un litre de whisky par jour » selon la plaignante).

Aux huit mois ferme s’ajoute un mois supplémentaire pour le refus du prélèvement ADN. Fouab Chafik a été écroué à l’issue de l’audience.

F.C.

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Journal « l’Union » 081004d

INDISCRÉTIONS : « II a changé le Quénard »

 

Ça change un homme d’être aux commandes après avoir été dans l’opposition.

C’est ce qui se dit de plus en plus au sujet du premier adjoint Eric Quénard, dans son quartier de Croix Rouge.

Dans des termes bien de là-bas : « Ça se la pétait quand y’avait besoin des voix et maintenant ça dort quand c’est en placé. Elle est où la différence avec la droite ? ».

Certains ont déjà décidé qu’on ne les reprendrait pas à aller voter.

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Journal « l’Union » 081004c

Une grande soirée de rentrée à Pays-de-France

 

Les gracieuses danseuses orientales ont charmé l’assistance.

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Pour marquer la rentrée à la Maison de quartier Croix-Rouge, les animateurs Slimane Hamdi et Elham Kouch ont organisé mardi 30 septembre une soirée inter-associative dans la salle municipale François-Mauriac.

Elle a en effet regroupé les associations de promotion de Pays-de-France, des travailleurs maghrébins de France, MJC Croix-Rouge, Femmes d’ici et d’ailleurs, 2 mains et jeunesse et espoir Pays-de-France, le comité de locataires de Pays-de-France, le collectif Croix-Rouge accueil et la maison de l’enfance.

Cette rencontre conviviale autour d’un verre de thé ou d’un soda, entre les habitants du secteur Pays-de-France, la Maison de quartier et ses différents espaces et les associations qui y résident, a permis d’admirer les prestations des groupes de danse orientale et de hip-hop de l’espace La Nacelle.

Ce fut l’occasion pour les nombreuses associations de se présenter physiquement aux habitants du quartier et relancer une dynamique pour des projets à venir en leur direction.

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Journal « l’Union » 081004b

Vaccinations

 

Deux séances de vaccinations sont prévues à Croix-Rouge mercredi 8 octobre, à de 9 h 30 à 10 h 30, dans le local Pays-de-France, 1 allée des Béarnais et l’après-midi, à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

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Journal « l’Union » 081004a

« Rémois et Moi et Toi » : le festival 2009 se prépare

 

Les associations partenaires mobilisées pour le festival.

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« Certains se demandent encore : Pourquoi une mission de lutte contre les discriminations ? » déclare Virginie Coez, adjointe chargée de cette question.

« Avec le festival Rémois et Moi et Toi, Nous voulons faire de Reims la ville ouverte à tous les citoyens, quels que soient leurs rangs sociaux, leurs lieux d’habitation » a-t-elle souligné.

L’élue a reçu la semaine dernière, en compagnie du CIAM et de la LICRA, les associations partenaires de ce festival pour préparer l’édition 2009.

« Rémois et Moi et Toi » : Pourquoi cet intitulé ? « Parce que, même s’il s’agit d’organisateurs qui luttent pour l’intégration des populations immigrées, ce festival est avant tout Rémois » précise Mohamed Chérif, président du Collectif interculturel d’association de migrants.

« Une fraternité qui permette aux Rémois, quelles que soient leurs origines, d’apprendre à se connaître » ajoute Claude Secroun, au nom de la LICRA.

Les organisateurs souhaiteraient que toutes les associations rémoises se disent « finalement, c’est aussi notre affaire ». Ils aimeraient que les animations fassent davantage participer le public : faire de la musique, danser avec lui. L’idée étant que « tous les Rémois se sentent d’abord rémois ».

En 2008, le festival avait rassemblé 45 associations partenaires et 3.500 participants. Pour 2009, la municipalité vise encore plus grand.

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Journal « l’Union » 081003c

Loto à Croix-du-Sud

 

L’association Étoile Croix-du-¬Sud organise un loto samedi 11 octobre.

Horaires et préinscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum ou par téléphone au 03.26.06.56.66.

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Journal « l’Union » 081003b

Roller hockey : un tournoi loisirs

 

Ce dimanche avait lieu au gymnase François-Legros le premier tournoi loisirs section roller hockey organisée par le Reims Roller Champagne Club. Les équipes d’Amiens, Tours et Villeneuve-la-Garenne y ont participé et c’est dans une ambiance sympathique avec un très bon état esprit que se sont rencontrées ces différentes équipes.

Reims se classe deuxième

A l’issue du tournoi, un verre de l’amitié a été offert à chaque participant. Rendez-vous est pris pour la deuxième édition.

Classement : Amiens 9 points, Reims 6, Tours 3, Villeneuve 0.

Le club recrute, des jeunes ou moins jeunes, qui veulent pratiquer ce sport en rejoignant le club du Reims Roller Champagne Club en contactant Stéphane au 06.27.56.43.22.

Un tournoi dans une ambiance fort sympathique.

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Journal « l’Union » 081003a

ROLLER HOCKEY / Nationale 2 : Il est temps de concrétiser

 

Battu (5-6) en ouverture à Lambersart le week-end passé, le Reims Roller Champagne Club reçoit l’ARS Châlon-sur-Saône demain (20 heures) avec la volonté de rectifier le tir.

François-Legros doit être une forteresse imprenable pour les Bulldog’s (le nom de combat du RRCC) s’ils veulent confirmer leurs ambitions de jouer les deux premières places. « Cela passe par un excellent parcours et même un sans-faute à la maison », assure Gilbert Lagors.

Le président attend donc de ses hommes qu’ils prennent le dessus sur le promu bourguignon, exempté de la première journée. Il ne faut pas remettre à plus tard ce qui peut-être fait dès demain soir…

Savoir conclure

Pour cela, les protégés de Medhy Sozzy - suspendu pour trois pénalités récoltées dans le Nord la semaine passée - devront faire preuve de plus de réalisme offensif. « Nous avons péché dans la finition », confirme le président qui a vu sa troupe gâcher trop d’opportunités sur les supériorités numériques.

Dommage car ces phases de power play ont été acquises grâce aux atouts rémois : vitesse de patinage et de circulation du palet, combativité, jeu collectif… Cette maîtrise des fondamentaux de la discipline sera nécessaire pour obtenir un résultat ce soir. En même temps que l’efficacité donc. « Le contenu du match des garçons et leur comportement à Lambersart étaient intéressants. Nous aurions mérité d’obtenir un résultat positif. Cela n’a pas été fait et nous avons grillé un joker. Il faut donc concrétiser contre les Chalonnais », conclut Gilbert Lagors.

Ph.L.

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L’hebdo du vendredi- n° 94 - 080925e

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 94 - Semaine du 03 au 09 octobre 2008

 

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SOCIÉTÉ : Des étudiants en danger ?

 

La fédération des associations étudiantes, corporations et bureaux des étudiants de Reims Champagne-Ardenne (INTERCampus) lance un cri d’alarme relatif aux agressions multiples dénombrées et répétées, aux effractions et vols dans les locaux administratifs et associatifs sur le Campus Croix-Rouge.

INTERCampus souhaite que l’Université, la mairie et les principaux représentants des usagers, lancent au plus vite un groupe de travail relatif à cette problématique afin de garantir la sécurité de tous.

 

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JUSQU’AU 11 OCTOBRE : « La calligraphie, un patrimoine vivant »

 

Une expo de Driss Chajri sur la vitalité de la création calligraphique.

Médiathèque Croix-Rouge,

19, rue Jean Louis Debar

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Journal « l’Union » 081002d

L’Étoile Croix du Sud se bouge

 

L’Étoile Croix-du-Sud est toujours dans la tourmente. Après la découverte d’un trou de 14.000 euros dans les finances de la structure (l’union du19 juillet) et malgré un plan de redressement rigoureux, factures et mises en demeure pour impayés ne cessent d’affluer ! Téléphone et Internet sont coupés (communication possible par le site http://www.etoile¬croixdusud.com) et l’association tourne avec 50 euros en caisse ! Mais la nouvelle équipe se cramponne et espère bien se sortir du gouffre.

Ainsi, début octobre, l’Etoile organise trois manifestations conviviales dans le local du 5, avenue Léon-Blum.

- Brocante : mercredi 8 octobre, de 9 à 17 heures, une vente de vêtements, bibelots et objets divers sera organisée au profit du centre de loisirs, avec la participation d’une couturière qui proposera ses réalisations.

- Loto : vendredi 10 octobre, ce sera le tour d’un grand loto associatif. Ouverture des portes à 19 h 45, départ des jeux à 20 h 30, restauration sur place.

- Belote : dimanche 12 octobre, place à un tournoi de belote. Ouverture des portes à 13 heures, inscriptions sur place par équipes de deux joueurs, à partir de 13 h 30.

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Journal « l’Union » 081002c

Le Reims Acrap patinage en pleine forme

 

L’ambiance est redevenue sereine au sein du club.

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- Voir toutes les photos.

Le Reims Acrap patinage se porte bien. L’un des objectifs de ce club est de permettre à tous de pratiquer le patinage quels que soient les moyens financiers des familles.

Après plusieurs démissions et départs, la présidente Jeannine Catry s’est employée à reconstituer un nouveau bureau et a enregistré de nouvelles adhésions, ce qui porte à 106 le nombre d’adhérents, détenteurs de 129 licences.

Le club s’entraîne à la patinoire Jacques-Barot à Croix-Rouge avec Ludivine Lemaire en danse sur glace et Cécile Mareignier en artistique, aidées de cinq bénévoles.

En assemblée générale, le rapport d’activités a présenté sur 14 pages, des résultats sportifs de qualité, en compétition, en patinage artistique comme en danse sur glace ou en patinage synchronisé.

Par exemple, il se classe 10e sur 36 au classement national des clubs en finale au tour- noi de France de danse sur glace.

La même subvention depuis 2003

Le seul problème déploré est celui de la subvention municipale, « la même depuis 2003 » : sur 28.000 euros, le club en reverse 23.000 pour les seuls frais de location de patinoire et de gymnases ! Une situation ubuesque dont les trois élus Eric Quénard, Michel Guillaudeau et Jacqueline Dahlem ont volontiers convenu, le premier adjoint parlant de « cercle vicieux » et évoquant une réflexion de la nouvelle municipalité à ce sujet.

Le nouveau bureau est le suivant : présidente, Jeannine Catry ; vice-présidente, Jocelyne Renault ; trésorière, Nadine Delaunois ; secrétaire, Anne-Marie Manceaux.

Pour tous renseignements et adhésions au secrétariat 11, avenue du président-Kennedy, ou par téléphone au 03.26.06.39.54.

On peut consulter tous les résultats sur le site http://www.reims-acrap-patinage.com

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » 081002b

Les représentants des quartiers choisis en un clic

 

La maire a clôturé le tirage au sort avec le quartier Murigny

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Il aura suffi de quelques clics de souris pour choisir les habitants susceptibles d’intégrer les douze conseils de quartiers. Susceptibles, car ils seront toujours en droit de refuser.

Le tirage au sort a eu lieu hier, à 18 h 30, à l’hôtel de ville, sous l’égide d’Ali Aissaoui, adjoint en charge de la démocratie locale, en présence de nombreux élus et quelques habitants. La maire de Reims, Adeline Hazan, est entrée en scène pour le dernier tirage.

Un tirage destiné à pointer huit habitants (quatre hommes et quatre femmes) par quartier (en plus des douze volontaires, des six élus et des huit associatifs qui composeront chaque conseil), choisis de manière informatisée et aléatoire sur les listes électorales (municipales et européennes), à la manière du tirage au sort des jurés d’assises.

Un choix qu’a tenu à expliquer la maire : « Il y a des personnalités dans les quartiers dont on sait que, naturellement, elles se porteront candidates. Mais ce qu’on a voulu, c’est aussi permettre aux habitants qui ne se sentent pas habitués à prendre part à cela de le faire ».

Concrètement, dans chaque quartier, pour chaque siège à pourvoir, trois titulaires et dix suppléants ont été tirés au sort dans chacune des trois tranches d’âge : moins de 25 ans (deux représentants), 25-55 ans (quatre représentants) et plus de 55 ans (deux représentants). Un moyen de s’assurer qu’au final, un nom sortira du lot.

Les titulaires seront contactés dans les jours qui viennent par courrier. À eux seuls reviendra le choix d’accepter ou non cette mission de représentation citoyenne. Si le premier refuse, on demandera au deuxième, etc. Tous devront avoir donné réponse le 24 octobre. La liste définitive ne devrait être connue qu’à la mi-novembre. D’ici là, les volontaires peuvent toujours se porter candidats (jusqu’au 7 novembre dernier délai). Et s’il y a plus de volontaires que de sièges, rebelote, le tirage au sort permettra de trancher.

Ils sont nombreux à s’être déjà fait connaître. Mais, petit hic, ce sont en majorité des hommes. Appel aux dames !

Marion Dardard

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Journal « l’Union » 081002a

Avec un quad et sans permis il percute la voiture de police

 

Le 6 mai dernier, une patrouille de police qui circule avenue Bonaparte aperçoit un quad non immatriculé qui grille un feu rouge. Les policiers mettent en marche leur deux tons mais le jeune conducteur prend la fuite. Une course-poursuite s’engage et une deuxième voiture de police parvient à coincer le quad un peu plus loin. Mais le conducteur, Abdelwahab A., ne parvient pas à maîtriser son engin qui termine sa course dans le carénage de la voiture de police.

Très vite, les policiers découvrent que le conducteur n’a pas le permis et qu’il circule sans assurances. Or il a déjà été condamné pour des faits similaires en 2005.

A la barre du tribunal correctionnel de Reims devant lequel il vient de comparaître, Abdelwahab A. explique qu’il ne pensait pas que la conduite d’un quad nécessitait un permis de conduire. « Ce jour-là, j’allais ranger le quad d’un ami dans un garage. Je ne savais pas qu’il n’était pas assuré. » Le procureur de la République adjoint rappelle que le jeune homme a déjà cinq condamnations à son casier judiciaire. « Il savait très bien qu’on doit avoir le permis pour un quad, c’est d’ailleurs pour ça qu’il a tenté d’échapper au contrôle. » Il requiert une peine de prison ferme. Me Ginestra a demandé « la plus grande indulgence » pour son client « qui tente de s’insérer pour retrouver le bon chemin ». Le tribunal a condamné Abdelwahab A. à deux mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, avec obligation de travailler ou de suivre une formation et 200 euros d’amende.

P.B.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081001g

Annonces parues dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7257 du 29 septembre au 05 octobre 2008
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MODIFICATION DE STATUTS

 

ATLAS TRANSPORTS EXPRESS

SARL au capital de 7.500 €.

SIEGE SOCIAL : 10 esplanade Paul Cézanne -51100 REIMS.

R.C.S. REIMS 501 726 566.

Du procès verbal de l’assemblée générale ordinaire du 22 septembre 2008, il résulte que Monsieur EL HADDAR Mohammed, demeurant 5 allée des Landais - 51100 REIMS, a été nommé en qualité de gérant, à compter de ce jour en remplacement de M. CHIOUKH Cherif.

Il a été également décidé le changement de siège social vers l’adresse 5 allée des Landais - 51100 REIMS.

Le dépôt légal sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS.

Pour avis :

Le représentant légal

68786

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CONSTITUTION DE SOCIETE

 

S.A.R.L. "K.O.S.T. MONTAGE"

Société à responsabilité limitée

au capital de 7.200 €uros

Siège social : 5 rue des Savoyards RC/A 51100 REIMS

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 23 septembre 2008, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION SOCIALE : "K .0.S. T. MONTAGE".

FORME : Société à responsabilité limitée.

SIEGE SOCIAL : 5 rue des Savoyards RC/A à REIMS (Marne).

OBJET : L’installation, l’entretien, la modernisation des ascenseurs, des tapis roulants, des escalators, de tous type de monte charges ou d’appareils similaires et de portes ou d’automatismes de porte.

CAPITAL : 7.200 €, divisé en 100 parts sociales de 72 € chacune, entièrement souscrites et libérées en numéraire.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 années à compter de l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.

GERANCE : Monsieur Mohamed AIT AMEUR, demeurant à REIMS, 161 avenue Jean Jaurès (Marne).

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

Pour insertion :

La gérance

68836

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Journal « l’Union » 081001f

Reims / Incendie
Feu d’appartement : une cigarette suspectée

 

Le feu s’est déclaré dans une chambre. L’un des locataires se serait assoupi avec une cigarette.

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Lundi vers 23 heures, un violent feu d’appartement s’est déclaré au huitième et dernier étage d’un immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims, place Auguste-Rodin (notre précédente édition).

L’un des occupants légèrement brûlé au visage a été transporté au centre hospitalier. Il se trouvait dans la chambre, lieu de départ du sinistre. S’est-il assoupi au lit avec une cigarette ? Il s’agit de l’hypothèse privilégiée par les enquêteurs.

Les autres personnes regardaient la télé. Alertées par la fumée, elles ont pu secourir leur proche et évacuer l’appartement avant qu’il ne soit trop tard. Le feu s’est rapidement propagé à la quasi-totalité des pièces. Le bailleur a été contacté pour procéder au relogement des sinistrés.

 

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Journal « l’Union » 081001e

Multi-échanges services en réunion

 

L’association Multi-Échanges services (Mutes) organise son assemblée générale samedi 4 octobre à 11 heures, espace Billard (rue Pierre-Taittinger).

Contact : Martine Massart au 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » 081001d

Pays-de-France

 

Initialement prévue le vendredi 12 septembre, mais reportée pour cause de portes closes (l’union du mardi 16 septembre), l’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera mercredi 8 octobre dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, à partir de 19 heures.

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Journal « l’Union » 081001c

Guide santé

 

La présentation officielle du « guide santé Croix-Rouge » se déroulera vendredi 3 octobre à 18 h 30 à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

« Ce guide est le résultat d’un travail collectif mené sur le quartier par des professionnels et des représentants associatifs dans le cadre d’un projet nommé « Et la santé, comment ça va ? » explique la directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » 081001bf

Vaccinations

 

Le service communal d’Hygiène et de Santé organise deux séances de vaccinations dans le quartier Croix-Rouge mercredi 8 octobre, au sein de la Maison de quartier Croix-Rouge.

- Le matin, de 9 h 30 à 10 h 30, dans le local Pays-de-France, 1 allée des Béarnais (02.26.82.53.48.)

- et l’après-midi, à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger. Renseignement au 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » 081001a

AVIS D’APPEL D’OFFRES

 

1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.

3. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprise inidividuelle.

4. Objet du marché : marché d’entretien et de maintenance 2009 ; 40 ascenseurs.

5. Nature des travaux : le marché se décompose en 2 lots :

- Lot n° 1 : agence TROIS-FONTAINES et CHEMIN-VERT pour 17 appareils.

- Lot n° 2 : agence WILSON et PAYS-DE-FRANCE pour 23 appareils.

Le candidat remettra une offre par lot, sachant qu’il pourra être retenu pour un ou deux lots.

6. Date prévisionnelle de début des prestations : les prestations débuteront au plus tôt le 2 janvier 2009.

7. Durée du marché : le marché aura une durée de 5 ans dont la première année en période d’essai.

Il expirera le 31 décembre 2013, date à laquelle il ne sera pas renouvelable.

8. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A., 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24 ; fax : 03.26.07.37.61.

Les dossiers seront disponibles à compter du jeudi 2 octobre 2008.

9. Date limite de remise des offres : le mercredi 26 novembre 2008, à 12 heures, délai de rigueur.

Adresse où les offres doivent être transmises sous double enveloppe à l’attention de : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, cellule marchés, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

Indications à porter sur l’enveloppe : « Appel d’offres : « marché d’entretien et de maintenance 2009 - 40 ascenseurs ». « Ne pas ouvrir ».

10. Présentation des offres : elle devra être conforme au modèle remis dans le dossier d’appel d’offres et comporter tous les documents demandés au R.P.A.O.

11. Jugement des offres : les critères de sélection des offres par la commission d’appels d’offres se fonderont sur :

- 1. - Le montant global de l’offre : 40 %.

- 2. - Le respect des performances demandées : 20 %.

- 3. - Les garanties professionnelles, financières et de qualité des candidats : 20 %.

- 4. - Les références du candidat : 20 %.

12. Renseignements :

- Par courrier, courriel ou fax : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance (fax : 03.26.84.36.19).

- Renseignements techniques : service exploitation, Damien ZIEGELMEYER (D.ZIEGELMEYER@foyer-remois.fr).

- Renseignements administratifs : cellule marchés, Nicole COLLIN (N.COLLIN@foyer-remois.fr).

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Journal « l’Union » 080930f

Lycée Joliot-Curie : la fin des péripéties

 

Le recteur d’académie et le président de Région guidés par le proviseur Gilles Gladieu. « Lycée plus grand et rénové. »

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La visite inaugurale (ici le CDI). L’aboutissement de 8 ans de péripéties.

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Le lycée joliot-Curie, on s’en souvient peut-être, avait défrayé la chronique l’hiver dernier, pour cause de moisissures nichées dans des faux plafonds et dégageant des odeurs plus ou moins suspectes. Rien de bien méchant à l’arrivée, mais beaucoup de folles rumeurs de « risque chimique » !

Cette mésaventure est désormais bien loin. Et hier, si l’établissement de Croix-Rouge, spécialisé dans l’enseignement professionnel tertiaire, revenait sur la scène de l’actualité, c’était dans un contexte nettement plus flatteur : on procédait en effet à l’inauguration officielle de son « extension-restructuration ».

« Maintenant, résume le proviseur Gilles Gladieu, le lycée est à la fois plus grand et complètement rénové ! » Mais ce ne fut pas sans mal.

Le président de région Bachy rappelait en effet que la décision d’effectuer les travaux avait été prise dès 2000, mais que ceux-ci n’avaient pu débuter que trois ans plus tard ! Et puis, ces travaux avaient été terminés en 2005, mais les entreprises n’avaient pas assez bien travaillé : de nombreuses réserves avaient été émises lors de la réception des marchés, si bien qu’il fallut attendre la rentrée 2006 pour utiliser les nouveaux locaux ! Puis arriva l’affaire des moisissures malodorantes, qui retardèrent à leur tour l’inauguration… Mais hier le président Bachy pouvait se féliciter du résultat obtenu grâce aux près de 5 millions d’euros investis par la région.

Le suivant sur sa liste est Roosevelt ; son inauguration est déjà prévue le 18 novembre.

Jean-Jaurès pour sa part, devrait engloutir dans les années à venir quelque 20 millions pour sa restructuration intérieure, sous réserve d’acception du projet.

A.P.

 

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Journal « l’Union » 080930e

PAYS-DE-FRANCE : une soirée familiale de rentrée.

 

La Maison de quartier Croix-Rouge propose une soirée familiale de rentrée, en partenariat avec les associations du secteur, ce mardi 30 septembre de 18 h 30 à 22 h 30 dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac (entrée gratuite).

« Il s’agit de proposer aux habitants de Pays-de-France une rencontre conviviale autour de la musique et de la danse.

La fin de la manifestation sera ouverte aux associations du secteur invitées à participer en proposant une animation, occasion pour elles de présenter leurs activités aux habitants », précisent Slimane Hamdi, animateur de proximité et Elham Kouch, animatrice familles.

L’espace la Nacelle présentera de la danse hip-hop et la danse orientale alors que l’espace Ethnic’s fera découvrir les musiques du monde.

Les organisateurs ont invité les associations Promotion de Pays-de-France, MJC Croix-Rouge, des travailleurs Maghrébins de France, 2 mains, Émergence et Jeunesse et espoir Pays-de-France, le Foyer rémois, le collectif Croix-Rouge accueil, le comité Et Croix-Rouge Pays-de-France, le Point rencontre, le service départemental de prévention, les Femmes d’ici et d’ailleurs et la maison de l’enfance.

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Journal « l’Union » 080930d

Randonnées : Les marcheurs du dimanche à l’espace Watteau

 

Un bol d’air le dimanche ; à ne pas manquer !

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A l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, allée Antoine-Watteau), c’est reparti pour une nouvelle année de randonnées dominicales. Vincent Girardin, l’organisateur et accompagnateur, communique son calendrier (sorties de matinées, sauf le 16 novembre). Le covoiturage est possible si inscription préalable.

- Dimanche 5 octobre, vers la Montagne de Reims (12 km), départ à 8 h 15.

- Dimanche 26 octobre, vers Sermiers (14 km), départ à 8 h 15.

- Dimanche 16 novembre, vers le lac du Der (13 km), départ à 7 h 30 pour une - randonnée de la journée (prévoir le pique-nique).

- Dimanche 23 novembre, à Verzy (12 km), départ à 8 h 15.

- Dimanche 21 décembre, autour de Reims (12 km), départ à 8 h 15.

- Dimanche 18 janvier, direction la Montagne de Reims (14 km), départ à 8 h 15.

- Dimanche 22 février, sortie surprise, départ à 8 h 15.

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de l’accompagnateur Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).

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Journal « l’Union » 080930c

Le Festival itinérant « En attendant les murs » anime la Ville

 

Au cœur de la cité, les Pilipily dans le cryptoportique.

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« Nous rencontrons de plus en plus de difficultés pour organiser des concerts : il n’y a pas, à Reims, de salle de petite jauge » regrette Agnès Poittevin, présidente du collectif Carma (Collectif d’associations rémoises pour les musiques actuelles). « La Cartonnerie ? C’est trop grand ! ». Les maisons de quartier ? « Depuis un an, il y a interdiction d’y tenir une buvette ». Le collectif, qui pratique des tarifs d’entrées peu élevés, ne s’en sort pas sans les ventes de boissons. Que reste-t-il ? Les cafés ! « Il n’y a pas vraiment de cafés concerts sur Reims, il nous reste deux ou trois bars qui nous acceptent ».

Le festival « En attendant les murs », avec le soutien de la Ville pour le cryptoportique, de la Cartonnerie, de Pôle Sud Musique qui les accueille au Flambeau et… de trois cafés, a proposé samedi un parcours musical itinérant. Des groupes se sont produits « afin de faire découvrir aux Rémois les lieux qu’ils investissent et qui ne sont pas forcément adaptés : c’est la débrouille ! » sourit Agnès. Le parcours commençait par le cryptoportique : Sous un soleil éclatant, les Pilipily ont totalement gagné à leur cause de nombreux Rémois.

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Journal « l’Union » 080930b

Basket féminin : Croix-Rouge a accueilli Saint-Jacques

 

Du beau monde sur le terrain des Bourguignons, inauguré en juillet.

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- Voir toutes les photos.

Une manifestation sportive inaugurale s’est déroulée sur le terrain de basket de l’allée des Bourguignons, avec six joueuses de Saint-Jacques Sport, équipe Première, conduites par Bernard Lavergne, président du club et Marie-Laure Kindoki, capitaine de la saison dernière, et une quinzaine de jeunes du quartier Croix-Rouge, de 6 à 14 ans, encadrés par les associations La Marelle et Jeunesse-espoir Pays-de-France.

Co-organisateur, le Foyer rémois était représenté par MM. Quesnel et Virot. Ce dernier explique : « Il s’agit d’un partenariat entre Saint-Jacques et le Foyer rémois, une opportunité d’utiliser le nouveau terrain des Bourguignons. Nous voulions aussi faire la promotion du basket féminin, car il n’y en a que pour le football dans les quartiers. Enfin, nous voulions encore montrer un autre aspect de Pays-de-France. L’objectif final, c’est d’aller à René-Tys voir un match de championnat. »

Après des jeux de balles et des tirs au panier, le sport a laissé la place aux questions sur le basket. Avant le goûter en fin de journée, une séance d’autographes a mis fin à cette belle opération.

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » 080930a

Un week-end chaud, chaud, chaud

 

……

Dimanche midi, un homme a rendu visite au nouvel ami de son « ex » esplanade Paul-Cézanne. Il s’est introduit de force dans l’appartement en assénant quelques coups au rival. Le parquet l’a sanctionné par une composition pénale (150 euros d’amende).

….

F.C.

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Journal « l’Union » 080929g

Défense des locataires : unis pour plus d’efficacité

 

Cette réunion historique marque une avancée dans la défense des locataires.

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Sept structures rémoises de défense des locataires se sont retrouvées aux Polygones, à Croix-Rouge, pour aborder ensemble « les points qui préoccupent chacun d’entre nous sur nos territoires respectifs, dresser un calendrier de rencontres pour préparer les réunions avec les bailleurs et échanger sur nos modes d’intervention » explique Geneviève Kaczowka, instigatrice de la rencontre.

L’association Mieux vivre à Croix-Rouge et celle des locataires de la tour Franchet-d’Esperey pourraient bientôt les rejoindre.

Espaces verts

L’amicale Naudin avec Jacques Lagel, l’amicale Maryse-Bastié avec Claudette Verniolle, les Polygones avec Geneviève Kaczowka, le comité Et Croix-Rouge Pays-de-France avec Salah Byar, l’association At’Hom avec Danielle Bonfils, l’Union des locataires de Croix-Rouge avec Claude Stoltz, la Confédération du logement et du cadre de vie avec Jean-Jacques Moreau ont visité le secteur des Polygones, avant de faire le point sur leurs quartiers respectifs, les difficultés à obtenir certaines interventions et certains travaux des bailleurs.

« Le sujet le plus crucial rencontré actuellement pour la plupart des associations est l’entretien des espaces verts et des communs (nettoyage et hygiène) » précise Geneviève Kaczowka.

Enfin, les participants ont décidé de se déclarer officiellement en préfecture sous la dénomination GADL : groupement d’associations de défense des locataires, avec pour objet social la représentation et la défense des droits des locataires des bailleurs rémois.

Ce GADL se réunira pour étudier et mener des réflexions et actions communes sur des points, des demandes et des dossiers qui n’auront pas été satisfaits par les bailleurs et s’apporteront aide et soutien en participant ensemble aux rencontres, visites et réunions de tous genres et en tous lieux.

Les statuts seront élaborés lors de la prochaine réunion fixée au 21 octobre : « Ensuite, des réunions se tiendront tous les deux mois pour étudier l’urgence des points à soumettre aux bailleurs en matière d’entretien, d’hygiène et de conditions de vie supportées par les locataires ».

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Journal « l’Union » 080929f

Diffusion du guide santé Croix-Rouge

 

La présentation officielle du « guide santé Croix-Rouge » se déroulera vendredi 3 octobre à 18 h 30 à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

« Ce guide est le résultat d’un travail collectif mené sur le quartier par des professionnels et des représentants associatifs dans le cadre d’un projet nommé « Et la santé, comment ça va ? » explique Marie-Élisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » 080929e

Multi-échanges services en réunion

 

L’association Multi-Échanges services (Mutes) réunira son assemblée générale le samedi 4 octobre à 11 heures à l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger).

Renseignements auprès de Martine Massart, présidente de la Mutes, au 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » 080929d

Une fête demain à Pays-de-France

 

La Maison de quartier Croix-Rouge propose une soirée familiale de rentrée, en partenariat avec les associations du secteur, demain mardi 30 septembre de 18 h 30 à 22 h 30 dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac (entrée gratuite).

« Il s’agit de proposer aux habitants une rencontre conviviale autour de la musique et de la danse » précise Slimane Hamdi, animateur de proximité.

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Journal « l’Union » 080929c

Incendies en série

 

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… tandis qu’une poubelle était incendiée à l’entrée d’une cave, allée des Tourangeaux.

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Journal « l’Union » 080929b

Armé d’une serpette il coursait une poussette

Semaine judiciaire chargée pour Sébastien Karl, dit Babasse, un nomade de 31 ans habituellement stationné dans la région de Reims.

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Interpellé rue Raoul-Dufy, Alain Loosvelt, 25 ans, était quant à lui sous le coup d’un extrait d’arrêt de la cour d’appel (trois ans de prison dont douze mois ferme pour des vols).

Djillali Mahroug, 42 ans, avait quinze jours d’emprisonnement à faire pour une détention de produits stupéfiants. Il a été arrêté boulevard Henry-Vasnier.

…..

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Journal « l’Union » 080929a

Reims à toutes jambes : une championne à l’école

 

Annette Sergent détient un nombre impressionnant de médailles.

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Afin de préparer les jeunes aux épreuves du Reims à toutes jambes 2008, la championne Annette Sergent va venir dans les écoles pour les sensibiliser avec les éducateurs et les enseignants.

POUR la 25e édition du Reims à toutes jambes ouverte à tous les amateurs de courses sur route le dimanche 19 octobre, cinq courses se croiseront dans la ville : marathon, semi-marathon, 10 km l’union, challenge Mozaïc et relais Usep.

A cette occasion, Annette Sergent, une grande dame de la course à pied interviendra dans quelques écoles rémoises volontaires pour préparer les jeunes aux courses qui leur sont ouvertes. Elle sera accompagnée par les éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives référents de la Ville.

Annette Sergent est une athlète au palmarès impressionnant : elle détient deux titres de championne du monde de cross-country, 9 médailles aux championnats du monde, 3 sélections aux Jeux olympiques (84-88-92), médaille de bronze aux championnats d’Europe sur 10.000 m, 21 titres de championne de France.

Depuis la rentrée, les éducateurs territoriaux en accord avec les enseignants font suivre aux écoliers un cycle « endurance » afin de les préparer à la grande fête rémoise du 19 octobre.

Les enseignants auront au préalable travaillé avec leurs élèves sur des sujets aussi divers et variés que les Jeux olympiques, la durée de la carrière des sportifs de haut niveau, le sport au féminin, le bienfait d’une pratique sportive, l’alimentation et le sport…

Lors de ses rencontres avec les écoliers rémois, Annette Sergent échangera avec eux sur sa carrière, les JO, interviendra sur le thème « Bien manger, bien bouger, hygiène de vie ». Elle participera aussi à la séance sportive prévue par l’enseignant et l’éducateur territorial.

Avant le jour J et afin de les motiver dans leur préparation, Annette Sergent rencontrera des écoliers participant au relais Usep, qui se compose de relais de 2 km, courus par 1.500 les élèves des écoles élémentaires sur le parcours du Marathon.

Elle sera aujourd’hui à l’école des Provençaux ce matin et à l’école Ravel cette après-midi, mardi 30 septembre à l’école Clairmarais, mardi 7 octobre à l’école Jamin et à l’école Desbureaux, jeudi 9 octobre à l’école Sully et à l’école Blanche-Cavarrot.

Le mercredi à partir de 9 heures, Annette Sergent rencontrera les jeunes fréquentant les ateliers sportifs de l’Usep : le 1er octobre au gymnase Gallieni et le 8 octobre au gymnase Ruisselet.

Elle interviendra aussi dans des entreprises participant au Challenge Entreprises ainsi que lors d’entraînements des coureurs inscrits à cette épreuve.

Par ailleurs, durant le week-end, elle animera des conférences.

- www.reimsatoutesjambes.fr

- Email : sports@mairie-reims.fr

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Journal « l’Union » 080928a

Il tente d’arracher le sac d’une étudiante

 

Avec le retour des étudiants au campus Croix-Rouge, les sacoches et autres mallettes qu’ils transportent deviennent des produits convoités par les voleurs à l’arraché. La police a pu identifier deux d’entre eux à la suite d’une tentative de vol commise mardi soir.

La victime est une étudiante de 21 ans. Alors qu’elle venait de regagner le hall d’entrée de son immeuble, place Jean-Fragonard, un individu l’a attaquée par-derrière pour lui arracher sa sacoche contenant un ordinateur portable.

La jeune femme n’a pas lâché prise. L’agresseur a finalement renoncé et a rejoint un complice qui l’attendait sur un scooter. L’étudiante n’a pas été blessée, mais reste traumatisée par cette agression.

Quelques heures plus tard, piloté par son propriétaire, un adolescent de 17 ans mis hors de cause dans le vol à l’arraché. L’enquête a permis d’apprendre qu’il avait prêté son cyclo à deux copains.

Interpellés en fin de semaine, les deux suspects âgés de 16 et 17 ans ont reconnu être les auteurs de l’agression. Ils ont été relâchés après leur présentation vendredi devant le juge des enfants. L’un d’eux est déjà bien connu de la police, notamment pour des vols et des incendies.

D’autres vols à l’arraché ont été commis dernièrement à Croix-Rouge, notamment dans le parc Saint-John-Perse, près de la faculté, où un inconnu s’est approprié l’ordinateur portable d’un étudiant. Après vérifications, l’implication des deux mineurs a été écartée dans cette affaire.

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Journal « l’Union » 080927c

Croix-Rouge : agenda d’octobre

 

Plus de mille visiteurs attendus à la 23e brocante de Croix-Rouge le 5 octobre.

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Pétanque

La section pétanque de l’association Croix-Rouge animation et promotion va rencontrer l’équipe de Trois-Fontaines à Witry-les-Reims le samedi 4 octobre, en championnat départemental des clubs.

Échanges services

L’association multi-échanges services (Mutes) réunira son assemblée générale le samedi 4 octobre, à 11 heures, à l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger).

Brocante

La 23e brocante de Croix-rouge organisée par l’Acrap sera ouverte aux particuliers le dimanche 5 octobre, de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome à Croix-rouge.

Artistes

L’Acrap expose les créations des artistes du quartier dans sa salle associative au 11, avenue du Président-Kennedy, le dimanche 5 octobre de 10 à 18 heures.

APPF

L’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera mercredi 8 octobre dans la salle municipale Croix-rouge, avenue François-Mauriac, à partir de 19 heures.

Loto

L’Étoile Croix-du-Sud organise un loto le samedi 11 octobre. Horaires et inscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum ou par téléphone au 03.26.06.56.66.

Hauts-de-Murigny

L’assemblée générale de l’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny se déroulera mardi 14 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-rouge, 1 allée Antoine-Watteau.

Logement

L’espace La Nacelle de la maison de quartier Croix-rouge organise une journée d’information logement sur le thème « Trouver un logement : comment faire ? » le mercredi 15 octobre de 10 à 18 heures, au 3 rue du Docteur-Billard.

Solijahfary

Le festival Solijahfary, organisé par l’association Émergence et initialement prévu au mois de mai, a été reporté au mois d’octobre, du 25 au 31. La programmation complète est à découvrir sur le site http://solijahfary08.free.fr

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Journal « l’Union » 080927b

Feux de poubelles

 

Deux poubelles ont brûlé jeudi soir, la première à 18 h 45 dans un local à vide-ordures de la place Maurice-Utrillo, la deuxième à:19 h 30 rue Jean-Mahuet.

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Journal « l’Union » 080927a

Université : déménager ou ne pas déménager ?

 

Rapatrier le Moulin de la Housse à Croix-Rouge coûterait très cher. Mais laisser les choses en l’état rendrait la situation « très compliquée à gérer ». L’université est à la croisée des chemins.

 

Étudiants en amphi sur le campus lettres-droit. Vers la constitution d’un « grand campus » à Croix-Rouge ?

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DÉMÉNAGER le campus du Moulin de la Housse à Croix-Rouge ? Depuis que l’idée a été officiellement lancée par le président de l’université en mai dernier (notre édition du 8 mai), cette question est toujours au cœur de la réflexion à l’Urca (université de Reims Champagne-ardenne). Les arguments pour, on les connaît : « Remédier à la dispersion de la recherche, à un manque de visibilité de l’université dans la ville, rationaliser les dépenses de fonctionnement », rappelle le vice-président chargé du patrimoine Thierry Letellier. Les arguments contre ? Essentiellement le coût. 150 millions d’euros. Le chiffre cité à l’époque.

Décision dans l’année

Et si on ne déménage pas ? Pour le vice-président, cela ne signifierait pas forcément l’arrêt de mort de l’Urca, mais cela constituerait tout de même une « erreur pour l’avenir, et ça deviendrait en tout cas très compliqué à gérer ! ».

Alors, déménager ou ne pas déménager ? Alors que les étudiants ont repris le chemin des amphis, la question est loin d’être tranchée. « Il faudra prendre une décision rapidement, estime pourtant M. Letellier, c’est-à-dire au cours de l’année universitaire. Une étude de faisabilité doit être lancée, qui sera probablement confiée à un cabinet extérieur. »

Selon le vice-président, l’opération regroupement ne peut de toute façon être engagée que si les appuis politiques sont derrière.

Pour ce qui est de la ville de Reims, pas de problème : elle est décidée à aider autant qu’elle le peut à accélérer le dossier, « parce qu’il nous semble pertinent, commente l’adjoint concerné Serge Pugeault. « Avec la gare TGV et la zone d’activités de Bezannes et des pépinières d’entreprises à proximité, ce grand campus à Croix-rouge constituerait un vaste ensemble dynamique. »

La région ? Bien qu’elle n’ait pas de compétence directe en matière d’enseignement supérieur, elle s’y intéresse de près. « Nous avons écrit à l’université pour demander des précisions sur ce projet de déménagement qui se trouve toutefois en contradiction avec le schéma directeur de l’immobilier à Reims, indique Jacques Meyer, conseiller régional, nous sommes en attente d’une réponse. » Mais la faisabilité du projet dépendra aussi largement de la capacité de l’université à trouver des financements.

On sait que l’Urca ne peut pas compter sur la manne exceptionnelle que l’État était disposé à attribuer dans le cadre de son « plan campus » du printemps dernier : sa candidature a été repoussée.

Alors, voir du côté du privé, des entreprises notamment, pour trouver des sous ?

C’est effectivement dans l’air. Il semble d’ailleurs que, du côté des patrons rémois, on soit prêt à miser de l’argent sur l’Urca : Christophe Dumaire, secrétaire général du Medef, évoque ainsi l’actuelle mise en place d’un « club entreprises université », chapeauté par cette dernière, et qui lui permettrait de drainer des financements complémentaires.

Ça tomberait très bien !

Antoine Pardessus

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Confiance dans l’avenir : les projets sont là

 

À la rentrée 2009, les étudiants devraient trouver quelque 160 logements supplémentaires dans une nouvelle résidence que le Crous veut faire construire.

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Comment se dessine l’avenir de l’université à Reims ? Déjà une bonne nouvelle, les effectifs semblent au moins se stabiliser, sinon repartir à la hausse.

Les chiffres définitifs pour cette année ne sont pas encore connus car certaines inscriptions sont encore ouvertes, mais l’an dernier, on était repassé au-dessus des 22.000, chiffre que l’on n’avait plus atteint depuis au moins une demi-douzaine d’années. Et cette année, ce serait au moins aussi bien : en médecine, les inscrits en première année sont un petit peu plus nombreux que l’an dernier (de quelques dizaines) ; en droit, le doyen perçoit au moins une stabilisation depuis deux-trois ans.

Par ailleurs, preuve d’une certaine confiance en l’avenir, les projets ne manquent pas.

En dehors du grand déménagement envisagé vers Croix-rouge (voir ci-dessus), le Crous a dans ses cartons un projet de nouvelle résidence, sur le campus Croix-rouge précisément, « qui devrait être prête pour la rentrée 2009 », indique la directrice Mme Savage.

175 logements à la clef, dont une douzaine réservés à des enseignants chercheurs étrangers. Pour le moment, les travaux n’ont pas démarré…

Le projet d’une cité étudiante internationale est également toujours dans l’air. La région est intéressée, et a déjà mis de côté quelque 3 millions dans cette perspective. Reste que l’emplacement définitif n’est pas encore choisi : les avis sont partagés entre le centre-ville et Croix-rouge…

Dans la série des nouveautés en gestation mais aux conséquences financières moindres, on notera la carte multiservices, soutenue également par la région. Cet outil qui devrait entre autres permettre aux étudiants de payer leur restau U, d’accéder aux services du Crous, de gérer leurs emprunts de livres dans les bibliothèques…, pourrait (devrait) être opérationnel à la rentrée 2009. Le 17 octobre prochain, il sera présenté à tous les chefs d’établissements supérieurs.

A.P.

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Les Rémois et l’actu : Quelle image avez-vous de l’université ?

 

Pierre et Zoé.

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Pierre Frangville et Zoé Bellot, 17 et 18 ans, étudiants (Reims) :

Pierre Frangville et Zoé Bellot, 17 et 18 ans, étudiants (Reims) : « C’est une université plutôt dynamique.

La qualité de l’enseignement est très bonne et les profs de bon niveau.

Par contre, les pôles universitaires sont trop dispersés, ce qui fait que la vie étudiante ne fonctionne que par spécialités ».

 

 

Alizée.

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Alizée, 18 ans, étudiante (Château-Thierry) :

Alizée, 18 ans, étudiante (Château-Thierry) : « Il y a trop peu de communication pour les étudiants en 1re année : mauvais accueil, manque d’infos, etc.

En Lettres où je suis, les amphis sont propres et la nouvelle bibliothèque bien fournie.

Mais j’aimerais qu’il y ait une vie étudiante plus intense à Reims ».

 

 

Camille Vigneron

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Camille Vigneron, 19 ans, étudiante (Reims) :

Camille Vigneron, 19 ans, étudiante (Reims) : « Le cadre de ma fac est agréable (Lettres), mais les nouveaux bâtiments sont hideux.

En histoire, l’enseignement est très bon. Au niveau associatif, on n’est pas assez sollicité et les étudiants ne sont pas très motivés pour des jeux ou des conférences ».

 

 

Christian Latarche.

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Christian Latarche, 64 ans, retraité (Reims) :

Christian Latarche, 64 ans, retraité (Reims) : « Mon fils, qui a 29 ans, est un ancien étudiant de l’IUT du Moulin de La Housse.

Comparé aux autres facs, cet établissement assure mieux l’encadrement, comme les lycées ou les BTS, et c’était ce qu’il lui fallait : son niveau s’est bien amélioré ».

 

 

 

Carole Bakkenhoven.

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Carole Bakkenhoven, 54 ans, salariée (Reims) :

Carole Bakkenhoven, 54 ans, salariée (Reims) : « Ma fille était en Sciences, mon fils en Pharmacie.

Je trouve l’université de Reims un peu obsolète : il y a encore trop de locaux vétustes, et le pôle « recherche » manque cruellement de crédits

Mais, l’enseignement est de bon niveau ».

 

 

 

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Journal « l’Union » 080926f

Pas de local associatif aux Polygones

 

L’association est obligée de se réunir chez les uns et les autres.

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Cela va faire sept ans que l’association des Polygones défend les intérêts des locataires de l’Effort rémois (191 foyers) et demande en vain que le bailleur lui attribue un local où tenir ses réunions et ses permanences.

Alors que le Foyer rémois vient d’en attribuer un à son association de locataires à Pays-de-France, fournissant même en prime mobilier et matériel informatique, l’Effort rémois tient toujours la même réponse : « Nous ne disposons pas de local sur ce site. La seule solution serait de mobiliser un logement de type 1 de préférence en rez-de-chaussée pour un accès aisé des personnes à mobilité réduite. Or, nous ne possédons qu’un seul logement de ce type et il est occupé ! » justifie Patrick Sommet, directeur clientèle.

En attendant, l’association est obligée de tenir ses réunions chez les uns et les autres.

 

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Journal « l’Union » 080926e

Le café de la solidarité des âges inauguré

 

Renate Gossard, Monique Morel et Jean-Claude Lava

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L’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain), le mouvement des Panthères grises et l’association Anti-Rouille (« L’audace de bien vieillir ») ont inauguré, lundi, « le Café de la solidarité des âges » à la Brasserie Saint-Maurice, place Museux.

Renate Gossard et Monique Morel, présidente et vice-présidente de ces structures, ont accueilli une cinquantaine de Rémois : « Nous voulons promouvoir la qualité de la vie des retraités, développer les solidarités inter-générations et faire évoluer les mentalités face à la vieillesse et à la dépendance du grand âge. »

C’est Odette Petit, première Super Mamie de France en 1997, qui a coupé le ruban symbolique de ce Café de la solidarité des âges, « ouvert à tous les aidants professionnels ou bénévoles, aux amis et aux voisins et à tous ceux qui aident d’une manière ou d’une autre des personnes âgées ».

Renseignements : Renate Gossard, association 3F, au 06.07.96.56.72.

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Journal « l’Union » 080926d

Acrap pétanque : une section dynamique

 

Le boulodrome officiel est impraticable.

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La section pétanque de l’Association Croix-Rouge animation et promotion, animée par Christian Gérard, a repris ses activités. L’entraînement a lieu sur le parking de l’hippodrome de Reims, « en attendant une solution prochaine » relative au boulodrome officiel impraticable en l’état.

L’Acrap participe au championnat départemental des clubs « qui nous fait voyager de Montmirail à Loisy, sans oublier Sézanne, Witry-lès-Reims, etc. » Six joueurs défendent les couleurs du club ; une équipe dans laquelle les joueuses, associées à leurs camarades masculins, se défendent plutôt bien.

Les jours d’ouverture sont le mardi et le jeudi à partir de 14 h 30.

Renseignements à l’Acrap, 11 avenue du Président-Kennedy (Tél. 03.26.06.39.54.).

 

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Journal « l’Union » 080926c

Du théâtre dans les maisons de quartier

 

Claire Deborde anime des ateliers pour tous les âges (ici les ados au Ludoval).

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« Je travaille dans les maisons de quartier depuis une dizaine d’années » : Claire Deborde, comédienne et metteur en scène, y anime des ateliers d’expression théâtrale pour enfants, adolescents et adultes.

« J’adapte la pédagogie et le jeu théâtral en fonction des âges et du profil du groupe ». Les 7-10 ans se retrouvent à l’Espace Le Flambeau le mercredi matin : « Je suscite leur imaginaire en développant leur expressivité, orale ou corporelle. Un travail collectif permet à chacun de trouver sa place dans le groupe et à apprendre le respect de l’autre. » Une démarche valable aussi pour les ados, dont l’atelier a lieu à l’espace Ludoval : « A cet âge, j’insiste sur l’affirmation de soi, le partage des émotions ». L’atelier de la Maison-Blanche existe depuis trois ans et reste ouvert à de nouveaux participants adultes.

Attentive aux souhaits de chacun, Claire Deborde veille à développer un projet qui soit propre au groupe. En fin d’année, la présentation des travaux de l’atelier pourrait être un simple montage de textes, mais aussi -pourquoi pas- une pièce, éventuellement diffusée au sein d’un festival. Pourquoi trois lieux d’accueil ? « Cela répond à une volonté de proximité, mais favorise aussi le relationnel avec des personnes issues de différents milieux et quartiers. »

Renseignements : Le Flambeau 03.26.07.28.01 - Le Ludoval 03.26.36.21.05 - Maison Blanche 03.26.35.85.60 - www.maisondequartier-reims.fr

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Journal « l’Union » 080926b

Brocante et vide-greniers

 

L’union commerciale et artisanale de Reims organise ce dimanche 28 septembre une brocante place Demaison, quartier Europe, dans le centre commercial place Louis Demaison. Face au lycée Europe.

A noter parmi les autres rendez-vous du genre, le vide-grenier organisé ce dimanche dans le quartier Neufchâtel entre le boulevard des Belges et la rue du 12e Escadre.

Le 5 octobre, vide-grenier de l’Hippodrome organisé par l’ACRAP sur le Parking de l’Hippodrome et le même jour, brocante à la Verrerie organisée par la maison de quartier espace Verrerie, sur le boulodrome (14, rue Courrreaux à Reims).

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Journal « l’Union » 080926a

AVIS D’APPEL D’OFFRES OUVERT

 

1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.

3. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprises individuelles ou groupement d’entreprises.

4. Objet du marché : marché à bons de commande pour les travaux d’embellissement suite à état des lieux.

5. Décomposition des lots : les prestations font l’objet de 7 lots répartis comme suit (en euros suite à état des lieux).

Les prestations font l’objet de 7 lots répartis comme suit (en euros annuels hors taxes) :

- Lot n° l.1 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence TROIS-FONTAINE, pour un montant de 150.000 euros à 600.000 euros.

- Lot n° l.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence EUROPE, pour un montant de 260.000 euros à 1.000.000 euros.

- Lot n°II.1 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence CHEMIN-VERT, pour un montant de 200.000 euros à 800.000 euros.

- Lot n° II.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence WILSON, pour un montant de 200.000 euros à 800.000 euros.

- Lot n° II.3 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence PAYS-DE-FRANCE, pour un montant de 200.000 euros à 800.000 euros.

- Lot n° III.1 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence RÉGIONALE NORD, pour un montant de 90.000 euros à 360.000 euros.

- Lot n° III.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence RÉGIONALE SUD pour un montant de 150.000 euros à 600.000 euros.

Le candidat répondra à un ou à plusieurs lots. Il remettra une offre par lot.

L’attribution se fera par lot, un candidat pouvant être retenu pour un ou deux lots maximum.

6. Date prévisionnelle de début des prestations et durée du marché : les prestations débuteront le vendredi 2 janvier 2009.

Le marché aura une durée de 3 ans, dont la première année en période d’essai.

Il expirera le 31 décembre 2011.

7. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante :

I.C.A., 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24 ; fax : 03.26.07.37.61.

Les dossiers seront disponibles à compter du lundi 29 septembre 2008.

8. Date limite de remise des offres : le vendredi 21 novembre 2008, à 12 heures, délai de rigueur.

Adresse où les offres doivent être transmises :

- Sous double enveloppe à l’attention de LE FOYER RÉMOIS, cellule marchés, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

Indications à porter sur l’enveloppe : " Appel d’offres ; marchés à bons de commande pour les travaux d’embellissement suite à état des lieux " ; " Ne pas ouvrir ".

9. Présentation des offres : elle devra être conforme au modèle remis dans le dossier d’appel d’offres et comporter tous les documents demandés au R.P.A.O.

10. Jugement des offres : les critères de sélection des offres

par la commission d’appel d’offres se fonderont sur :

1. - Le montant global de l’offre par l’application du rabais

par lot : 40 %.

- 2. - Le respect des performances demandées : 20 %.

- 3. - Les garanties professionnelles, financières et de qualité

des candidats : 20 %.

- 4. - Les références du candidat : 20 %.

11. Renseigmenets : par courrier, courriel ou fax à : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.

Renseignements techniques : direction de la clientèle : Maryline OLIVIER, tél. 03.26.84.35.02 ; fax : 03.26.89.63.61. Courriel : M.OLIVIER@foyer-remois.fr

Renseignements administratifs : direction de la mainte- maintenance,

Nicole COLLIN, tél. 03.26.84.36.22 ; fax : 03.26.84.36.19. , Courriel :N.COLLIN@foyer-remois.fr

08+02+51/AO1597144

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L’hebdo du vendredi- n° 93 - 080925c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 93 - Semaine du 26 septembre au 02 octobre 2008

 

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DÉMOCRATIE LOCALE : Des Conseils de quartiers revus et corrigés

 

La nouvelle municipalité a souhaité redéfinir les Conseils de quartier avec un objectif : intéresser davantage les habitants à la vie de leur Cité.

Enjeu majeur des dernières élections municipales, la démocratie participative chère à l’équipe d’Adeline Hazan retrouve le devant de la scène avec la nouvelle mouture des Conseils de quartier.

Principal objectif : donner réellement la parole aux habitants. « Nous devons leur montrer que nous ne les réunissons pas pour faire joli, mais bien pour avoir leurs avis et visions sur leur quartier et leur ville » précise Madame la maire. Si « la nouvelle philosophie » est louable, son fonctionnement pourrait être lourd à mettre en place avec pas moins de 34 membres par conseil.

Explications.

Adeline Hazan et son adjoint Ali Aissaoui, en charge de la démocratie locale, ont présenté, mercredi 24 septembre, les nouveaux Conseils de quartier.

Le découpage de la ville : 12 quartiers pour 12 conseils

- Barbâtre- St Remi- Verrerie

- Bois d’Amour-Courlancy - Porte de Paris

- Centre ville

- Cernay - Epinettes- Jamin – Jaurès

- Charles Arnould - Clairmarais - Chatillons

- Chemin Vert – Europe

- Croix Rouge - Hauts de Murigny

- La Neuvillette - Trois Fontaines

- Laon - Zola - Neufchatel - Orgeval

- Maison Blanche - Ste Anne - Wilson

- Murigny

ont été définis en fonction d’éléments structurants comme l’histoire, la culture urbaine commune, les écoles, les équipements sportifs ou les maisons de quartiers.

Le fonctionnement : Chaque conseil détermine son propre règlement intérieur qui doit être ratifié par le Conseil municipal. L’animation, l’ordre du jour et la fréquence des réunions sont décidés par chaque conseil de quartier.

Cependant, deux règles sont à respecter : l’ordre du jour doit être envoyé au pôle démocratie locale (voir ci-dessous) et chaque conseil doit se réunir au moins 3 fois par an en public.

Hormis ces règles, les conseils peuvent se réunir autant qu’ils le désirent.

Le pôle démocratie locale : composé notamment d’Ali Aissaoui, adjoint au maire chargé de la démocratie locale, ce pôle a pour but de faciliter la tenue des conseils. Ses missions : favoriser les rencontres, assurer la logistique et être le relais entre les conseils de quartier et la municipalité.

La composition des conseils : 34 membres, désignés pour 3 ans, composeront chaque conseil. Le collège des habitants, 20 membres, vivant ou travaillant dans le quartier, est soumis au principe de la parité. Les volontaires (voir ci-dessous) seront 12 tandis que 8 autres seront tirés au sort sur les listes électorales et prévenus par courrier. Bien sûr, ces derniers pourront refuser le poste. Les autres membres seront des représentants d’associations (8) et des élus issus de la majorité (4), de l’opposition (1) et du conseil général (1).

Les volontaires : les habitants intéressés peuvent se faire connaître via un coupon à détacher dans le VRI du mois d’octobre et à télécharger sur le site internet de la ville de Reims (www.reims.fr).

Le calendrier : le tirage au sort des futurs conseillers se déroulera le 1er octobre à 18h à la mairie. 3 conférences de présentation à destination des habitants suivront en octobre.

Informations au 03 26 77 78 04.

J.D

 

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JUSQU’AU 11 OCTOBRE : « La calligraphie, un patrimoine vivant »

 

Médiathèque Croix-Rouge,

19, rue Jean Louis Debar

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l’union080925b

Les conseils de quartier nouveaux sont arrivés

 

Personne ne pleurera les anciens conseils de quartier. La nouvelle municipalité s’était engagée à les rénover. Elle a tenu promesse. Elle change tout ou presque. Explications.

Les nouveaux conseils de quartier vont tenter de faire oublier les anciens. Pas facile, tant ils se sont englués dans les problèmes de crottes de chiens, poubelles qui débordent et autres trous dans la voirie.

La nouvelle municipalité nous l’assure : tout ça c’est du passé… Pour en être convaincus, les habitants devront attendre les premiers résultats concrets de la démocratie participative de l’ère Hazan.

La carte des quartiers a été redessinée, ils passent de 8 à 12. Trop grands, les anciens conseils n’avaient pas su créer une vraie identité. Un seul quartier reste à l’identique : Cernay/Epinettes/Jamin/Jaurès (voir plan ci-contre).

Les réunions à huis clos sont supprimées. Il s’agissait d’une des principales critiques lancées à l’encontre des anciens conseils.

La direction exercée jusque-là par un élu deviendra bicéphale. L’élu devra partager son siège avec un membre du collège des habitants.

Le collège des habitants justement sera composé de deux sections, toutes les deux soumises à la parité. La première sera composée de volontaires, ces derniers doivent habiter ou travailler dans le quartier où ils postulent et être majeurs. Tant pis pour les citoyens en herbe ! Il sera ouvert aux Rémois d’origine étrangère.

Tirage au sort

En revanche, les membres de la seconde section seront tirés au sort sur les listes électorales sur le modèle d’un jury d’assises. Les Rémois avec une carte d’identité étrangère (hors Union) en sont automatiquement exclus. L’autre critère : être originaire du quartier. Huit Rémois composeront ce collège.

Afin de coller à la réalité démographique, un des membres doit être âgé de moins de 25 ans, deux avoir entre 25 et 55 ans et un plus de 55 ans.

Deux autres collèges composent les nouveaux conseils : le collège des associations et celui des élus.

Le conseil des associations est constitué de 8 membres dont 7 représentants des associations de quartier et un de chaque maison de quartier.

Le collège des élus est composé de 3 ou 4 élus de la majorité, un élu de l’opposition et 1 ou 2 conseillers du conseil général. Le tirage au sort des futurs conseillers est prévu le 1er octobre. Les premières séances auront lieu à la mi-novembre.

La mairie va lancer dans les prochains jours un appel à candidatures des volontaires par des coupons à découper dans le journal municipal. Avis aux amateurs. Promis, ils ne parleront pas de crottes de chiens !

Alexandre Roger

 

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Ce qu’ils en pensent

 

Lundi soir, le conseil municipal, sans les voix des élus UMP et divers droite, a voté la création d’un conseil de quartiers comportant 12 quartiers. L’occasion pour chaque groupe de s’exprimer.

Dominique Bunel (PS-Divers gauche) a salué la mise en place de cet outil « formidable » et dit avec d’autres mots (moins bien et de façon plus soporifique) ce que Ali Aissaoui, adjoint chargé de la démocratie locale avait expliqué.

Mireille Wojnarowski (Verts) : Partant du principe que « si c’est plus facile de décider seul, c’est moins solide », l’élue Vert a dit toute sa confiance dans ce nouveau projet de conseils de quartier.

Michel Guilaudeau (PCF) : « Il ne s’agira pas de consulter les conseils de quartier une fois le projet bouclé. Il ne s’agira pas de demander aux habitants la couleur de la nouvelle façade de la nouvelle antenne municipale […] Les maisons de quartier dont l’objectif est de faire de chacun un citoyen peuvent être une base logistique pour les conseils. »

Franck Noël (MoDem) : L’élu a regretté que les 16-18 ans et les résidents non communautaires (étrangers non européens) ne soient pas représentés. Il a demandé que tous les élus de l’opposition (13) puissent siéger dans un conseil. La maire Adeline Hazan a expliqué qu’un conseil municipal jeunes allait voir le jour et qu’il n’était pas possible d’instaurer des quotas pour les étrangers non communautaires qui pouvaient se porter volontaires pour entrer dans les conseils s’ils le souhaitent. La présence désirée de résidents non communautaires sera indiquée dans la charte. Pour le 13e élu de l’opposition, il pourra siéger dans l’un des conseils existants.

Elisabeth Vasseur (UMP-Divers droite) : La nouvelle conseillère a souhaité que l’ordre du jour du conseil soit fixé et par les conseils et par la mairie. Elle a aussi demandé qu’au bout de trois absences, un conseiller de quartier soit remplacé. La maire a rappelé que l’ordre du jour sera décidé par le collectif d’animateurs du conseil dont fait partie un élu. Elle est d’accord pour remplacer les absents : « C’est une excellente idée ».

Benjamin Develey (UMP) : Après avoir salué le nouveau concept de conseils de quartier, l’élu a regretté que le Nouveau Reims n’aille pas au bout de ses réformes ambitieuses. Il a demandé la suppression progressive du conseil d’élus… tout en réclamant une plus forte représentation des élus de l’opposition. Il a réclamé des sessions d’informations et des sessions budgétaires et une place reconnue pour les résidents non communautaires. « Il aurait fallu déposer ces amendements avant la réunion », a répondu la maire.

Catherine Vautrin (UMP) a souhaité que les conseils soient animés par des gens de l’extérieur et qu’il y ait régulièrement des évaluations.

A.M.

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l’union080925a

Jeunes voleurs de vélos

 

Les policiers viennent d’interpeller deux jeunes garçons de 9 et 11 ans, pour une affaire de vol par escalade d’une mini moto et de trois vélos.

Les faits remontent au 10 août dernier et avaient eu pour cadre l’avenue Bonaparte.

Les deux intéressés ont reconnu les faits ; ils devront s’en expliquer devant le parquet des mineurs le 21 octobre.

Selon la police, la moto avait déjà été restituée à son propriétaire par le frère de l’un des jeunes voleurs.

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Journal « l’Union » 080924d

Brocante et exposition d’artistes à Croix-Rouge

 

La 23e brocante de Croix-Rouge organisée par l’Acrap, sera ouverte aux particuliers dimanche 5 octobre, de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome. La brocante d’automne est interdite aux professionnels.

L’Acrap profite de cette manifestation pour proposer aux habitants du quartier d’exposer leurs créations artistiques dans sa grande salle associative au 11 avenue du Président-Kennedy le même jour, de 10 à 18 heures.

Pour les deux activités, s’inscrire dès maintenant au secrétariat : (03.26.06.39.54.).

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l’union080924c

VILLE DE REIMS : INFORMATION RELATIVE A UN APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE
POUR UNE PROCÉDURE D’APPEL PUBLIC D’OFFRES OUVERT

 

Objet du marché : prestations d’entretien et de nettoyage dans des bâtiments culturels, scolaires et administratifs de la Ville de Reims.

Référence :V7-2008-96.

La Ville de Reims lance une procédure de consultation dont le texte intégral de l’avis d’appel public à la concurrence est édité sur les sites internet de la Ville de Reims (http://www.marches¬publics.reims.fr), du BOAMP (http://djo.journal-officiel.gouv.fr/ MarchesPublics) et du JOUE (http://ted.europa.eu/).

L’information ci-dessous ne vise qu’à communiquer aux candidats potentiels les supports officiels de diffusion des avis et les informations leur permettant d’y accéder.

Marché de services : Ville de Reims, Hôtel-de-Ville, 51096 Reims cedex.

Dossier à retirer en version papier à l’hôtel de ville, direction de la commande publique, bureau 202, 2’ étage de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures, samedi excepté, demande possible par fax. Tél. 03.26.77.79.25, fax 03.26.77.79.09 ou en version numérique à l’adresse mentionnée ci-dessus.

Prestations divisée en lots : oui.

Possibilité de soumissionner pour un ou plusieurs lots. Désignation des lots :

Lot n° 1 : médiathèques Jean-Falala et Croix-Rouge.

Lot n° 2 : 8 groupes scolaires, 14.315 m2 de surface au sol et 4.116 m2 de vitrerie.

Lot n° 3 : 10 groupes scolaires, 12.398 m2 de surface au sol et 4.027 m2 de vitrerie.

Lot n° 4 : 13 bâtiments administratifs, 6.406 m2 de surface au sol et 1.208 m2 de vitrerie.

Durée du marché ou délai d’exécution : le marché sera conclu pour une durée de un (1) an à compter de la notification de l’ordre de service prescrivant le début d’exécution des prestations et au plus tôt le 1- janvier 2009.

La collectivité pourra reconduire expressément le contrat trois (3) fois pour une période similaire au terme de chaque période de douze (12) mois par lettre recommandée avec accusé de réception envoyée au minimum trois (3) mois avant la date d’échéance annuelle.

Conditions de remise des offres :

- Date et heure limites de réception des offres : 3 novembre 2008 à 17 heures.

- Date et heure limites d’obtention du dossier de consultation des entreprises : 3 novembre 2008 à 17 heures.

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l’union080924b

Plurihabitat L’EFFORT RÉMOIS
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

 

 

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.

Objet du marché : travaux de réfection de toitures et étanchéité de 15 immeubles, 6 pavillons, 16 garages et un parking du patrimoine de L’EFFORT RÉMOIS, réf. MA-020208.

Attributaires :

- Lot 1 : garage Belle-Noue 1 à Epernay - Entreprise SOPREMA pour un montant de 57.000 euros H.T.

- Lot 2 : 6 à 16, rue Bachelard à Reims - Entreprise GAYET pour un montant de 38.644 euros H.T.

- Lot 3 : 8, Cézanne et 12, Braque à Reims - Entreprise ISO-TOP pour un montant de 40.513 euros H.T.

- Lot 4 : Les Polygones, 8, Bernanos à Reims - Entreprise GAYET AGENCE WAGNER pour un montant de 32.154 euros H.T.

- Lot 5 : Champagne 1 - 7 à 27, Taissy à Reims - Entreprise GAYET AGENCE WAGNER pour un montant de 250.340 euros H.T.

- Lot 6 : 49, Passe-Demoiselle à Reims - Entreprise SERIP pour un montant de 26.951 euros H.T.

- Lot 7 : 77, Brimontel à Reims - Entreprise ISO-TOP pour un montant de 25.847 euros H.T.

- Lot 8 : 16 garages, rue de Sachs à Vandeuil - Entreprise SOPREMA pour un montant de 66.146 euros H.T.

Montant du marché : 537.595 euros H.T.

Publication au JAL : L’UNION éditions Marne, Aisne, Ardennes le 24 septembre 2008.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : M. N. MEUNIER au 03.26.04.99.82, Mme N. GALLOIS au 03.26.04.99.05.

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Journal « l’Union » 080924a

On se déchire autour des jardins familiaux

 

Le président des jardins familiaux dénonce un livre qui « aurait dévalorisé l’image des jardins ».

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Un simple projet de livre sur les jardins familiaux de Reims est en train de mettre le feu aux poudres. Pour la première fois le président des Jardins familiaux, qui refuse l’ouvrage, s’explique.

L’EN-VERT de Reims ou la chronique poétique des jardins familiaux… Lorsqu’ils ont lancé ce projet de livre Pascal Foucher, Catherine Coutant et François Schmidt ne pensaient sans doute pas susciter une telle polémique. Après plusieurs mois de rencontres avortées avec le président des jardins familiaux de Reims, ce dernier leur a interdit purement et simplement l’accès aux jardins et la moindre publication de photos sur ces lieux privés gérés par son association (l’union du 12 septembre). L’incompréhension a été totale chez les auteurs qui avaient déjà contacté la mairie, plusieurs responsables de jardins et lancé le projet. « Six mois de travail réduits à néant sans savoir pourquoi », dénonce Catherine Coutant, une des fondatrices des éditions l’Effervescence.

Jusque-là injoignable sur les motifs de ce refus, Didier Klodawski, président des jardins familiaux de Reims, a accepté de nous recevoir. Pour lui, ce projet n’est pas bon sur la forme comme sur le fond : « On a l’impression d’avoir été mis devant le fait accompli. Tout était déjà ficelé sans que nous ayons notre mot à dire. Ce n’est pas comme cela que l’on conçoit l’idée d’un tel ouvrage ». Des arguments que rejettent les auteurs du projet. « Dès avril nous avons cherché à joindre M. Klodawski. Bien évidemment lorsque l’on édite un bouquin il y a déjà un projet, une trame. Mais ensuite nous étions prêts à discuter pour travailler ensemble, voir ce qui pouvait se faire. Mais là, malgré des fax et des mails, on a jamais eu ce monsieur. Ce n’est que lors d’une rencontre fortuite en juin qu’il nous a dit qu’il refusait notre projet ».

Ce que reproche aussi le président des jardins familiaux de l’agglomération de Reims, c’est l’image véhiculée par le livre. Rien que la couverture, un homme bedonnant pris de dos avec une petite fille qui regarde le photographe avec un grand sourire, a du mal à passer.

« D’après le projet que j’ai eu entre les mains, le livre ne représente pas les jardins familiaux de l’agglomération de Reims », dénonce Didier Klodawski. « Les photos prises ne valorisent pas nos jardins, ni nos jardiniers. Ce sont des photos atypiques. Ce livre aurait dévalorisé complètement l’image des jardins familiaux et notre travail au sein des associations ». Et le président de lâcher : « Les éditions de l’Effervescence peuvent toujours écrire et vendre un livre sur les jardins publics de Reims… »

« Mais quel serait notre intérêt de dévaloriser les jardins familiaux », s’interroge Catherine Coutant qui doit rencontrer dans les prochains jours le premier adjoint à la maire de Reims pour évoquer leur projet.

Mauvaises communications des uns avec les autres ? Incompréhension ? Projets concurrents ? La situation semble au point mort et le dialogue impossible entre les deux parties.

Claude Klodawski est d’ailleurs formel : « Un nouveau livre peut être écrit sur les jardins familiaux de l’agglomération de Reims, mais pas avec eux. Ce sera un travail collaboratif avec les jardiniers et avec toute autre personne qui le désire ».

En attendant, le président des jardins familiaux scrute dans les librairies rémoises la moindre sortie de livre. « En cas de diffusion, nous pourrions être amenés à ester en justice, afin de bloquer la vente du livre et de demander des dommages et intérêts aux membres des éditions de l’Effervescence », prévient-il. De quoi encore plus réchauffer l’ambiance entre les deux parties.

G. A. -T.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080923c

Annonces parues dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7255 du 15 au 21 septembre 2008
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DISSOLUTION DE SOCIÉTÉ 
CLÔTURE DE LIQUIDATION

 

EGEO FORMATION

Société à responsabilité limitée

en liquidation

au capital de 1.000 €uros

Siège : 43 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS

492 661 384 R.C.S. Reims

L’assemblée générale extraordinaire réunie le 30 juin 2008 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour, et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée.

Elle a nommé comme liquidateur Monsieur José Fernando FERREIRA DE OLIVEIRA, demeurant 22 rue de l’Équerre à REIMS (51100), pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.

Le siège de la liquidation est fixé 43 rue Pierre Taittinger à REIMS (51100). C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

Pour avis : Le liquidateur.

66584

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CONSTITUTION DE SOCIETE 
AVIS DE CONSTITUTION
EURL

 

Aux termes d’un acte sous seing privé, il a été constitué une société à responsabilité limitée à associé unique présentant les caractéristiques suivantes :

DÉNOMINATION : EURL IDEAL RENOV.

SIEGE SOCIAL : 14 allée des Bourguignons - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Travaux aménagement et agencement intérieur, extérieur en peinture, doublage, isolation, revêtements sol et mur, façade, agencement intérieur et aménagement de logements de locaux.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de son immatriculation au Registre du Commerce.

CAPITAL SOCIAL : 5.500 E.

GERANT : DUCHENE Jacky,demeurant 14 allée des Bourguignons 51100 REIMS.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au R.C.S. de REIMS.

Pour avis.

68555

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CONSTITUTION DE SOCIETE 
INSTINCT

 

Société à responsabilité limitée au capital de 7.500 €uros

Siège social : 14 avenue Eisenhower 51100 REIMS

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 3 septembre 2008, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.

DENOMINATION SOCIALE : INSTINCT.

SIEGE SOCIAL : 14 avenue Eisenhower - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Vente sur les marchés d’articles textiles, de bibelots, de divers objets de décoration, de matériel informatique ainsi que l’achat en vue de la revente de ces mêmes produits à d’autres professionnels.

DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL : 7.500 €. GERANCE : M. Ismet MUMCU 8 esplanades Paul Cézanne – 51100 REIMS.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

La gérance

68451

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Journal « l’Union » 080923b

La piscine du Château d’Eau enfin ouverte

 

Les écoliers découvrent la piscine rénovée du Château d’Eau, après 9 mois de travaux.

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Hier, après neuf mois de travaux, la piscine du Château d’Eau située au cœur du quartier Croix-Rouge a rouvert ses bassins au public. Les écoliers étaient les premiers à plonger dedans.

HIER matin, la piscine du Château d’Eau qui se trouve dans le quartier Croix-Rouge, a rouvert ses portes au public, après un lifting qui aura duré un peu plus de neuf mois, pour un coût total de 2.650.000 euros TTC.

Les premiers a avoir profité de cette piscine « new-look » sont les écoliers du quartier.

« Maintenant elle est belle »

« C’est trop bien, on retourne à la piscine avec l’école. Moi ça m’a manqué de ne plus aller à la piscine l’année dernière » raconte Johnatan, élève en classe de CE2 à l’école primaire Provençaux.

« Moi je suis déjà venue ici quand j’étais plus petite, maintenant la piscine est belle, avant elle était moche » ajoute Océane, qui elle, est en CE1.

Ce mois-ci, les clubs locaux de natation, les étudiants, enfants des centres de loisirs et le reste des Rémois vont pouvoir profiter des nouveaux vestiaires, du bassin plaqué inox et de tous les autres petits aménagements qu’a connus l’établissement.

« Franchement c’est une bonne chose. Les gosses de ce quartier vont pouvoir pleinement profiter de la piscine. Il n’y a pas grand-chose à faire quand tu es gamin ici, donc une activité de plus c’est un facteur supplémentaire pour que les jeunes ne choisissent pas la mauvaise direction, je parle de celle qui conduit à la petite délinquance » dit Hicham, habitant du quartier.

Mixité sociale

En 2006, la piscine a enregistré près de 90.000 entrées et environ 1.050 d’heures d’entraînement.

L’établissement était le 3e de Reims en terme de fréquentation, après le Nautilud et les Thiolettes.

« L’été, il y a énormément de jeunes qui viennent dans cette piscine, mais ce qui est vraiment bien c’est que les gens viennent de tout Reims pour nager, et ce n’est pas commun dans ce quartier de rencontrer une telle mixité sociale » raconte Isabelle, qui habite en face de la piscine.

La population semble heureuse de retrouver sa piscine et les professionnels aussi, qui, durant les travaux, avaient été réaffectés dans les autres piscines municipales.

« Nous sommes fiers de l’extension des vestiaires et de pouvoir proposer des animations ludiques pour accueillir le public » confirme Denis Vadel le responsable.

Thierry Accao Farias

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Journal « l’Union » 080923a

Alcool et délit de fuite

 

Un autre chauffard alcoolisé a été jugé hier en comparution immédiate. Dimanche à 14 heures, Moreddine Zeradib, 41 ans, a continué sa route après avoir percuté la voiture d’une dame rue du Docteur-Billard à Reims.

La victime, qui l’a retrouvé garé un peu plus loin, l’a empêché de repartir. L’interpellation par la police a suivi, non sans mal car il a insulté et tenté de frapper les agents : « Sale race de morts ! Flics de m… ! Je vais te tuer ! Ça va être ta fête ! »…

Moreddine Zeradib avait 2,74 grammes d’alcool par litre de sang. Récidiviste, il a écopé d’un an de prison ferme. Lui aussi a été écroué.

F.C.

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Journal « l’Union » 080922d

Croix-Rouge : la maison de quartier se réorganise

 

Élisabeth Causin, directrice générale et Yves Pringault, directeur jeunesse.

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En cette rentrée, la maison de quartier Croix-Rouge, qui compte quatre espaces délocalisés sur son secteur, présente de nouveaux horaires et une nouvelle organisation.

APRÈS la fermeture de l’espace Pays-de-France, la maison de quartier Croix-Rouge s’est réorganisée sur quatre « espaces » répartis sur l’ensemble du territoire. Elle est membre de l’association qui regroupe 24 espaces en 13 maisons de quartier de Reims.

A Croix-Rouge, la direction générale de l’ensemble est assurée par Marie-Elisabeth Causin (bureau à Billard). Yves Pringault (bureau à la Nacelle) est responsable de la direction de la jeunesse et du projet Pays-de-France.

L’espace Billard

12-14, rue Pierre-Taittinger (03.26.08.08.78.). Informations et inscriptions : lundi de 14 heures à 17 h 45 ; du mardi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 45.

Président, Hichem Boussoufi ; directrice, Marie-Élisabeth Causin ; secrétaire-hôtesse, Sylvie Brin ; animateur permanent, Yassine Ramdani ; animatrice référent familles, Alexandra Babin ; animatrice famille, Elham Kouch ; animatrice secteur contes, Catherine Pierrejean ; multi-accueil, Marie-Joseph Duquoc et Sandrine Mouny ; personnel d’entretien, Nouredine Chouarfia et Naïma Bouchaara.

Secteurs d’intervention : petite enfance, enfance, adulte, seniors, famille, vie associative, services.

L’espace Ethnic’s

Château d’Eau, avenue d’Épernay (03.26.86.08.02.). Informations et inscriptions : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 20 heures ; mercredi de 10 à 12 heures et de 14 à 20 heures ; samedi de 14 à 18 heures. http://www.myspace.com/ethnics51100

Directeur, Yves Pringault ; animateur coordinateur, Abdelali Errafii ; animateurs ateliers musique : Karim Guermat et Salim Kobzili ; animatrice Point Information Jeunesse, Tassadit Asloudj ; entretien, Ouda Saïdane.

Secteurs d’intervention : jeunes 12-25 ans, Point information jeunesse, adulte, famille, vie associative, services.

L’espace La Nacelle

3, rue du Docteur-Billard (03.26.49.47.07.). Informations et inscriptions : mardi, jeudi et vendredi de 14 à 20 heures ; mercredi de 10 à 12 heures et de 14 à 20 heures ; samedi de 14 à 17 heures.

Directeur, Yves Pringault ; animateur coordinateur, Patrick Gobin ; secrétaire, Céline Buisson ; éducateur sportif, Tarek Maamoun ; animateur sportif, David Gameiro ; animatrice Point Information Jeunesse, Sadhia Idami ; animatrice danse, Magali Garcia ; animateur Point-Cyb, Franck Simon ; animatrice famille Elham Kouch ; directeur accueil loisirs 12-15 ans, animateur de proximité et échanges européens, Slimane Hamdi ; entretien, Ouda Saïdane.

Secteurs d’intervention : jeunes 12-25 ans, Point information jeunesse, adulte, famille, vie associative, services.

L’espace Watteau

3, allée Antoine-Watteau (03.26.36.03.50.). Informations et inscriptions : du lundi au vendredi de 14 à 18 heures ; lundi et mercredi de 9 à 12 heures ; jeudi de 10 à 12 heures.

Président, Vincent Girardin ; vice-président, Benjamin Zehr ; directeur, Patrick Schmid. Animatrice permanente, Laurence Geoffroy ; secrétaires, Sylvie Garnotel et Astrid Saadi-Birkenstock ; référent familles, Alexandra Babin ; halte-garderie, Catherine Lepreux, Stéphanie René, Fatima Talbi et Amélie Maire ; direction centre de loisirs, Johnny Chevalme ; entretien, Christelle Buiron et Fatiha Zakraoui ; agent de maintenance, Jean-Yves Deval.

Secteurs d’intervention : petite enfance, enfance, adulte, seniors, famille, vie associative, services.

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Journal « l’Union » 080922c

Travaux en vue dans la résidence Doyen

 

75 logements au calme entre Hippodrome et Eisenhower.

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Reims Habitat a fait part de sa décision de réhabiliter partiellement la résidence pour personnes âgées Lucien-Doyen, gérée par l’association rémoise de foyers-logements (Arfo), et implantée au 7, rue du Docteur-Billard.

L’appel d’offres est lancé, mais Reims Habitat n’a pas souhaité donner de détails sur ce projet évoqué de longue date et dont la réalisation devrait offrir aux personnes âgées de meilleures conditions de séjour.

 

 

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Journal « l’Union » 080922b

Acrap

 

A l’association Croix-Rouge animation et promotion, la reprise de la gymnastique est fixée à ce lundi 22 septembre et la reprise de la natation, samedi 27 septembre.

Quant au tennis-club, il a rouvert ses portes et les inscriptions sont ouvertes.

Renseignements au secrétariat 11 avenue du Président-Kennedy.

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Journal « l’Union » 080922a

Téléphone : abonné aux mauvaises surprises

 

Plus d’internet ni de téléphone fixe pour Yves Menu : « On ne sait jamais à qui s’adresser ! »

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Il est parfois certaines situations un peu ubuesques. Un habitant de Croix-Rouge a vu son abonnement téléphonique à tarif réduit plusieurs fois interrompu avant la date escomptée.

Explications.

YVES a des revenus modestes : une pension d’invalidité et les Assedic, « ce qui me fait environ 1.000 euros par mois. Avec un grand enfant à charge, ça fait pas énorme… »

Du coup, ce quinquagénaire du quartier Croix-Rouge était bien content de pouvoir bénéficier d’un tarif réduit pour l’abonnement téléphonique, l’abonnement dit « social » : « Au lieu de payer 16 euros, ça me coûtait 6,49 € par mois. » Il lui faut bien dire en effet « ça me coûtait », car sa ligne téléphonique vient de lui être coupée.

A la suite de tout un enchaînement assez implacable autant que complexe, où se conjuguent aussi bien la rigidité aveugle de l’informatique que les défaillances humaines.

Pour comprendre l’histoire, il convient de se faire une idée du circuit d’attribution de cet abonnement social : la Caf ou l’Assedic transmet à l’usager un imprimé de demande que celui-ci doit remplir et transmettre à un organisme spécialisé (autrefois Sepsi à Evry, aujourd’hui Iris à Créteil), qui à son tour transmet l’autorisation à une cellule France Télécom centralisatrice basée à Melun.

Cet abonnement est valable un an, à cette échéance le bénéficiaire doit à nouveau justifier ses droits. Bien. Dans le cas de notre homme, une première fois (au titre de la Caf), tout avait fonctionné sans problème : c’était entre le 30 juin 2005 et le 30 juin 2006. C’est avec sa deuxième demande, effectuée au cours de l’été 2006, et au titre de l’Assedic cette fois, que les ennuis ont commencé.

Cinq mois de décalage

« J’ai été avisé par courrier que mon abonnement social était effectif à compter du 18 septembre 2006, je m’attendais donc à ce que la date d’échéance tombe au 17 septembre 2007. » Or que se passe-t-il ? « En mars 2007, je reçois un courrier m’avisant que l’échéance est le 17 avril 2007 (soit cinq mois plus tôt) sans aucune explication ! »

Malgré un courrier immédiatement envoyé à France Télécom - « mais le problème, c’est qu’on ne sait jamais à qui s’adresser ! » - pour leur signaler ce qui lui semble une erreur, Yves Menu se retrouve au tarif normal. Il doit effectuer une nouvelle demande de tarif réduit, qui sera accordée, mais qui elle aussi prendra une tournure comparable : là encore il y aura un décalage entre l’échéance supposée d’après la date d’autorisation et l’échéance effective…

Yves sera obligé de renouveler à nouveau sa demande, réclamera -et obtiendra- une régularisation du trop-versé. Cependant, ces frais de courrier, de déplacements liés à ses réclamations, il entendrait aussi se les faire rembourser par France Télécom, mais un courrier en date du 23 mai dernier lui signifie que ce n’est pas possible (renvoyant cependant le plaignant au service national consommateurs basé à Bordeaux).

Finalement, dans « un pseudo » bras de fer engagé avec l’entreprise téléphoniste pour tenter d’obtenir réparation du préjudice qu’il estime avoir subi, Yves Menu a fini par commettre un retard de paiement, et du coup France Télécom lui a carrément coupé sa ligne. Fini le téléphone fixe, encore heureux qu’il existe le portable ! Mais lui ne propose pas de tarif « social ».

Antoine Pardessus

 

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La faute à l’Assedic ?

 

Le fameux décalage de cinq mois de l’année 2007 qui semble à l’origine de toute la cacophonie qui suit, et dont a été victime Yves Menu, proviendrait d’un retard de l’Assedic dans la transmission du document de demande d’abonnement téléphonique social.

C’est en tout cas ce que répond le « service téléphonique social » basé à Paris et chargé des réclamations et renseignements sur le sujet*. En tout état de cause, l’Assedic se déclare aujourd’hui toute disposée à recevoir M.Menu pour lui expliquer son dossier. Maigre consolation…

*0.800.34.91.34, numéro gratuit.

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Journal « l’Union » 080921a

Feu de poubelle

Un feu de poubelle s’est déclaré vendredi à 14 heures allée Yves-Gandon.

Les pompiers l’ont éteint avec une petite lance.

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Journal « l’Union » 080920e

C’est la rentrée à l’AS Croix-Rouge

 

Le gymnase François-Legros a retrouvé les sections judo et ju-jitsu self-défense de l’association sportive Croix-Rouge.

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Les cours sont assurés par Flavie Vidal et Mickaël Jourdan, tous deux ceinture noire 2e dan.

Entraînements du judo :

- pour les 5-6 ans, mercredi de 17 à 18 heures ;

- pour les 7-9 ans, mercredi de 18 heures à 19 h 15 ;

- pour les 10-13 ans, mardi et vendredi de 18 heures à 19 h 15 ;

- pour les ados et les adultes, mardi et vendredi de 19 h 15 à 21 heures.

Entraînements du ju-jitsu self-défense :

- mercredi de 19 h 15 à 21 heures.

Informations

- au 03.26.08.10.64. ou au 06.21.69.79.70.

- ou encore sur place, au gymnase François-Legros, 1 avenue du Président-Kennedy, aux heures de cours.

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Journal « l’Union » 080920d

Pays-de-France : un nouveau bureau au comité de locataires

 

La nouvelle présidente, Roseline Marandon.

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« Le décès de notre président Marceau Nicolas laisse notre association orpheline », regrette Jean-Pierre Bauwens, trésorier de l’association de locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » : « Mais nous devons continuer son action et rester fidèles à sa mémoire. *

Le comité poursuit donc ses actions et il s’est doté d’un nouveau bureau » :

- présidente, Roseline Marandon ;

- vice-président, Salah Byar ;

- secrétaire, Jessica Lochon ;

- vice-secrétaire, Françoise Lemoine ;

- trésorier, Jean-Pierre Bauwens ;

- adjoint commissaire aux comptes, Francis Florentin.

De nombreux sujets d’inquiétude ont déjà été évoqués par les locataires : l’augmentation des charges locatives, l’entretien des espaces verts, le chauffage, les opérations de renouvellement urbain, l’avenir réseau sur tout Croix-Rouge et la question de l’eau chaude à Pays-de-France : potable ou non ?

Pour joindre l’association : 06.19.72.59.14.

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Journal « l’Union » 080920c

Maisons de quartier : le challenge de futsal reconduit

 

L’équipe organisatrice a mis au point le projet 2008-2009.

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La première édition du challenge de futsal des maisons de quartier a rencontré un vif succès : 80 jeunes ont participé à une série de tournois qui s’est terminée par une grande finale au complexe René-Tys, remportée par l’équipe de Trois-Fontaines-Clairmarais. Le projet est reconduit cette année, et le challenge reprend dès le 1er octobre avec l’ensemble des MQ. L’équipe organisatrice se réunissait ce jeudi à La Nacelle, pour les dernières mises au point. « Le but, c’est principalement de permettre aux jeunes des différents quartiers de se rencontrer et de favoriser la mixité sociale », explique Jean-Noël Censier, directeur de la MQ Jean-Jaurès et coordonnateur du projet.

La Ville met à disposition quatre gymnases et deux éducateurs sportifs et en participe financièrement dans le cadre du Contrat urbain de Cohésion sociale. « Une nouveauté, nous mettons en place une formation à l’attention de tous les animateurs impliqués dans ce challenge », précise Béatrice Thévin, chef de projet à la direction des Sports et de la Jeunesse. « Nous avons décidé d’engager des équipes réparties par poules en fonction du secteur géographique », ajoute Tarek Maamoun, éducateur sportif et responsable du projet « Sports de proximité ». Pour participer, il suffit aux jeunes intéressés de prendre une adhésion à la maison de quartier la plus proche de leur domicile qui se chargera de l’inscription.

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Journal « l’Union » 080920b

Paulo prend trois mois à cause d’une moto

 

Tribunal correctionnel de Reims : Domicilié à Tinqueux quand il n’est pas détenu, Paul Klatt, dit Paulo, 23 ans, faisait opposition à un jugement qui l’a condamné à trois mois de prison ferme pour le recel d’une moto KTM.

Les policiers l’ont découverte par hasard, avenue Bonaparte, lors d’un vaste coup de filet déclenché en octobre 2005 dans le cadre d’une enquête visant les auteurs d’une série de vols de voitures et de cambriolages.

La moto KTM se trouvait dans la cave de Paul Klatt. Du moins est-ce l’avis de l’accusation car pour l’avocat, Me Olivier Chalot, il ne s’agissait pas de la cave de son client mais d’un « local commun utilisé par tous les habitants de l’immeuble ».

Autrement dit, la moto a pu être déposée là par n’importe qui. Me Chalot plaide la relaxe.

Paul Klatt était absent lors du premier jugement pour une raison parfaitement valable : il avait reçu la convocation chez lui alors qu’il était détenu dans le dossier des vols en série. Et le courrier n’avait pas suivi.

Par jugement rendu en délibéré, le tribunal confirme la précédente condamnation : trois mois ferme. Paul Klatt repart en prison. Depuis juillet, il est encore détenu, accusé cette fois-ci d’avoir frappé des policiers lors d’une tentative de vol de moto.

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Journal « l’Union » 080920a

Une main sur le « joint » l’autre sur le couteau

 

Tribunal correctionnel de Reims : Moussa Machachou, 20 ans, ne se cachait pas le 12 avril dernier lorsqu’il fumait son « joint » de cannabis devant un immeuble de l’allée des Bourguignons.

Il passait d’autant moins inaperçu du voisinage qu’il exhibait en même temps un couteau à cran d’arrêt.

Peut-être en avait-il besoin pour couper son morceau de résine. Le tribunal n’en saura rien car le jeune homme ne daigne pas comparaître à l’audience.

Il prend deux mois de prison ferme en raison d’un casier judiciaire déjà bien garni.

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Journal « l’Union » 080919c

Agressions sexuelles : quatre mois ferme

 

Tribunal correctionnel de Reims.- José Emond (43 ans) a été condamné par le tribunal correctionnel de Reims à 18 mois de prison dont quatre assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve pendant 3 ans, avec obligation de soins, obligation d’indemniser les victimes et interdiction d’entrer en contact avec elles.

En 2006, l’homme avait commis des attouchements sur trois fillettes du quartier Croix-Rouge.

Cette affaire a été examinée à huis clos à la demande des victimes présentes à l’audience.

Dans le cadre de ce dossier, José Emond avait déjà effectué un mois et demi de détention provisoire.

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Journal « l’Union » 080919b

Alertes au feu

 

Mercredi vers 18 h 30, une Ford a pris feu dans un parking souterrain de la rue Joliot-Curie.

L’origine de l’incendie est indéterminée.

Aucune effraction n’a été constatée dans le garage, ce qui accréditerait la thèse d’un feu accidentel.

Ce même jour à 9 h 30, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré allée des Tourangeaux.

Hier vers 13 h15, les pompiers ont été appelés pour une odeur de brûlé à l’école primaire Blanche-Cavarrot. Ils y ont découvert un petit feu d’origine électrique.

Il n’a pas été nécessaire d’évacuer l’école.

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Journal « l’Union » 080919a

La municipale dans les quartiers

 

Hier s’est réuni le conseil intercommunal de prévention de la délinquance.

Le but étant de coordonner les moyens pour lutter notamment contre les petites bandes de jeunes qui sèment la terreur dans les cités. Parmi les nouvelles mesures, il devrait y avoir la création de patrouilles de policiers municipaux dans les quartiers chauds.

Ils auront surtout un rôle de communication et devront apprendre à encaisser des insultes autrement plus virulentes que celles des automobilistes mal garés.

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Journal « l’Union » 080918e

Une grande expo sur les jardins familiaux

 

Éric Quénard et Raymond Joannesse : les deux adjoints annoncent une exposition.

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En septembre 2007, de passage à Croix-du-Sud, Jean-Marie Beaupuy, à l’époque adjoint aux jardins familiaux sous la municipalité Schneiter, annonçait aux jardiniers réunis l’intervention d’un photographe professionnel mandaté par la ville de Reims.

L’un des objectifs de ces prises de vues était de « constituer une banque de photos pédagogiques qui pourront être utilisées par la ville pour montrer les jardiniers dans leur travail quotidien, les différentes méthodes de culture, les opérations de jardinage et les différentes façons de travailler la terre ».

La nouvelle municipalité a décidé de poursuivre la démarche : « Les jardins familiaux sont une véritable richesse pour la ville. Il faut le faire savoir. C’est pourquoi une grande exposition sur tous les jardins familiaux de Reims sera présentée au parc de Champagne après celle, en cours, de Yann Arthus Bertrand » a annoncé Éric Quénard aux jardiniers. Raymond Joannesse, nouvel adjoint aux jardins familiaux en a précisé la date : « Nous installerons cette exposition en 2009 ».

 

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Journal « l’Union » 080918d

Locataires : éviter les charges indues

 

David Biton, à gauche : « Le contrôle des charges est essentiel. »

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En deuxième partie de l’assemblée générale du Collectif des locataires Croix-Rouge, le président Fabrice Lopez a donné la parole à David Biton, représentant d’associations de locataires auprès d’organismes logeurs, qui a fait un exposé très documenté sur les charges locatives récupérables et sur les dispositions à prendre « pour que des charges indues ne soient pas facturées aux locataires ».

Exemples

Il a cité des exemples : « Facturer 30 euros aux locataires pour le changement d’une ampoule, c’est inadmissible car la loi prévoit le prix de l’ampoule, mais pas le déplacement et la main-d’œuvre, à la charge du bailleur ! »

Autre exemple : « La désinsectisation, la dératisation, le nettoyage des conteneurs, le débouchage des vide-ordures sont à la charge du seul bailleur, comme le vandalisme et les dégradations ».

Prestations de mauvaise qualité

Plusieurs locataires se sont plaints de la mauvaise qualité des prestations de Reims habitat, comme cette habitante du 12, Eisenhower : « Depuis plus de deux ans, et malgré des charges importantes, nous vivons en zone de grande détresse : nous ne bénéficions plus de l’interphone, nos boîtes aux lettres sont cassées, des vitres sont brisées, l’ascenseur est régulièrement en panne, il y a de l’urine dans l’entrée et les communs et des graffitis partout ! »

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Journal « l’Union » 080918c

Journée pêche à Pays-de-France

 

Calme et détente assurés dimanche 28 septembre au Moulin-Carré.

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L’association de promotion de Pays-de-France organise sa prochaine journée pêche le dimanche 28 septembre.

La participation est de 10 euros par pêcheur, gratuite pour les enfants et les non-pêcheurs.

Cette journée se déroulera au Moulin-Carré à Châtillon-sur-Marne dès 7 heures le matin.

Inscriptions et renseignements à l’Appf, 1 allée des Picards, le mardi et le vendredi de 14 à 18 heures.

Renseignements téléphoni¬que. 03.26.36.65.71. ou 06.31.61.16.10.

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Journal « l’Union » 080918b

Piscines, patinoire… ça rouvre

 

Attendu par beaucoup de sportifs et d’utilisateurs occasionnels, la piscine du Château d’eau, celle du Nautilud et la patinoire Bocquaine rouvrent leurs portent à partir de lundi prochain, 22 septembre.

Dix mois de travaux à Château d’eau

Certaines de ces ouvertures sont plus attendues que d’autres comme celle de Château d’eau à Croix-Rouge qui a été fermée pendant de longs mois pour rénovation. C’est en effet fin décembre 2007 que l’établissement a clos ses portes. Une rénovation complète du grand bassin en inox a été effectuée, ainsi que l’extension des vestiaires. L’entrée se fera rue des Landais, dans l’extension du bâtiment.

Pour ce qui est du Nautilud (la piscine olympique) et de la patinoire Bocquaine, les fermetures étaient liées à un entretien annuel classique.

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Journal « l’Union » 080918a

Un « Café des aidants »

 

L’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain) inaugurera « le Café des aidants » lundi 22 septembre, à 14 h 30, à la Brasserie Saint-Maurice, place Museux.

Un gâteau de la solidarité sera partagé. Ce « Café des aidants » est ouvert à tous les ceux professionnels ou bénévoles, qui aident d’une manière ou d’une autre des personnes âgées.

Renseignements téléphonique au 03.26.08.22.10.

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Journal « l’Union » 080917d

Faire du sport : une histoire de santé

 

La séance débute toujours par un échauffement pour réveiller les muscles.

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A La Nacelle, l’Entraînement physique dans le monde moderne (EPMM) offre en cette rentrée d’intéressantes propositions sportives : le badminton, le speed-ball ou encore la gym d’entretien.

Des disciplines dont les bienfaits sont considérables sur des personnes souffrant d’une pathologie. « En général, nous accueillons ceux qui sont en surcharge pondérale, cardiaques, diabétiques et asthmatiques. Nous sommes orientés dans l’activité physique et sportive sur la santé », explique Elodie Rougeaux, éducatrice sportive. « L’objectif, c’est de reproduire les mouvements de la vie quotidienne, de les faire sans douleur. On débute toujours par un échauffement pour réveiller les muscles et on termine par les étirements pour éviter les courbatures de l’effort . »

Marie participe depuis deux ans à ces séances : « Venir ici, ça me change des idées, et ça fait du bien à la tête et au corps. Je ne me sentirais pas à l’aise dans une salle de sport ». « Etre là m’apporte du bien-être, la possibilité de rencontrer d’autres personnes », note Nanou.

Les séances ont lieu le lundi à 15 heures, le mardi à 9 heures, le mercredi à 12 h 15 et le jeudi à 9 heures et à 18 h 30.

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Journal « l’Union » 080917c

Croix-Rouge : Des pistes pour devenir de bons commerciaux

 

Etudiants en 2e année, équipe pédagogique et partenaires ont accueilli la promotion entrante du BTS.

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La section BTS « Négociation relation clients » implantée au lycée professionnel Joliot-Curie attire des jeunes de toute la Champagne-Ardenne : on a pu le constater lors de la réception donnée en leur honneur à l’occasion de la clôture du cycle de conférences qui traditionnellement ouvre l’année scolaire.

Les 33 étudiants récemment admis forment la 9e promotion depuis la création de cette formation dans l’établissement.

En les accueillant, le proviseur Gilles Gladieu a rappelé la nécessaire motivation et l’impératif engagement de suivre l’enseignement avec régularité, « l’absentéisme étant l’ennemi de la réussite ».

Attachement

L’inspectrice en économie gestion, Sylvette Rodrigues, a souligné la qualité de l’équipe enseignante qui encadre ces jeunes et remercié les professionnels qui ont présenté du 3 au 10 septembre, les divers aspects des métiers commerciaux dans des secteurs très différents : un panel varié d’entreprises susceptibles d’offrir des possibilités de stages.

Philippe Delauneux, président régional des DCF (Dirigeants commerciaux de France) et Jean-Michel Loeb, président DCF Reims, ont évoqué les bonnes relations entretenues avec le lycée Joliot-Curie tandis que le conseiller municipal Salah Byar formulait son attachement à un établissement qu’il « connaît depuis l’enfance… ».

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Journal « l’Union » 080917b

Du sport à l’Acrap

 

A l’association Croix-Rouge animation et promotion, la reprise de la gymnastique est fixée au lundi 22 septembre et la reprise de la natation, samedi 27 septembre.

Quant au tennis-club, il a rouvert ses portes et les inscriptions sont ouvertes.

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Journal « l’Union » 080917a

Poudre blanche

 

Il convient de tordre le cou à la rumeur.

Jeudi matin 11 septembre, un bâtiment de la faculté de Croix-Rouge a été évacué après la réception d’un colis contenant une « poudre blanche ».

Contrairement à ce qui peut se dire ici ou là, il ne s’agissait pas d’une mauvaise blague commise intentionnellement le jour anniversaire des attentats du 11-Septembre. Le colis destiné à un habitant du quartier a été déposé par erreur à la faculté.

Expédié de Madagascar, il contenait de la farine de manioc - la fameuse « poudre blanche » - ainsi que d’autres aliments.

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Journal « l’Union » 080916g

Un café pour les « aidants »

 

L’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain) présidée par Renate Gossard, inaugurera « le Café des aidants » lundi 22 septembre, à 14 h 30, à la Brasserie Saint-Maurice, place Museux.

Un gâteau de la solidarité sera partagé et pris en commun.

Cette idée est née à la suite d’un symposium national à Paris avec la participation de nombreuses personnalités. Ce « Café des aidants » sera ouvert à tous les aidants professionnels ou bénévoles, aux amis et aux voisins, à tous ceux qui aident d’une manière ou d’une autre des personnes âgées » précise Renate Gossard.

Renseignements : Renate Gossard, association 3F, au 06.07.96.56.72 ou 03.26.08.22.10.

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Journal « l’Union » 080916f

Le Collectif des locataires de Croix-Rouge en réunion

 

Des locataires de Reims habitat attentifs

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Le Collectif des locataires de Croix-Rouge a réuni ses adhérents et sympathisants en assemblée générale.

Après un hommage en mémoire de Marceau Nicolas, Fabrice Lopez, fondateur et président du Collectif, s’est félicité de la sauvegarde obtenue des parkings de l’école Gilberte-Droit et a indiqué que « même si le 30 Eisenhower doit devenir un hôtel de la solidarité, même si le 26 et le 28 ne sont plus détruits, nous maintenons notre combat contre la création d’une rue, là où 80 % des locataires ont demandé, par pétition, des espaces verts et de jeux pour les jeunes ! ».

Le contrôle des charges est en attente. Enfin, puisque les opérations de démolition prévoient un désamiantage préalable, le Collectif aimerait que soit réalisé un diagnostic technique amiante sur les immeubles qui ne seront pas détruits.

Fabrice Lopez a ensuite annoncé le projet du collectif de créer une manifestation annuelle dans le secteur Eisenhower, le premier week-end de mai, une fête avec brocante, en partenariat avec la municipalité, Reims habitat, la Maison de quartier et le Cucs, pour recréer du lien social.

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Journal « l’Union » 080916e

Portes closes pour Pays-de-France

 

Par chance, il ne pleuvait pas !

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L’association de promotion de Pays-de-France devait se réunir pour son assemblée générale vendredi 12 septembre dans la salle municipale Croix-Rouge, à 19 heures.

Nouvelle date

Arrivés à 17 h 45 (ils avaient rendez-vous pour 18 heures), les administrateurs ont battu le pavé en attendant l’arrivée du préposé municipal chargé de l’ouverture des portes.

À 19 heures, habitants, adhérents et associatifs ont commencé à se masser devant les portes toujours closes.

L’arrivée des élus, Éric Quénard puis Michel Guillaudeau, a fait souffler un vent d’espoir dans l’assistance.

Hélas, malgré plusieurs appels, le premier adjoint n’a pu joindre le responsable des clés dont le téléphone était placé sur messagerie.

Après 1 h 45 d’attente, la présidente Christiane Monflier a décidé d’annuler l’assemblée générale.

Une nouvelle date sera proposée, en espérant que, cette fois, les portes de la salle municipale s’ouvrent.

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Journal « l’Union » 080916d

Acrap

 

A l’association Croix-Rouge animation et promotion, la reprise de la gymnastique est fixée au lundi 22 septembre et la reprise de la natation, samedi 27 septembre. Quant au tennis-club, il a rouvert ses portes et les inscriptions sont ouvertes.

Deux possibilités : jouer sur les deux courts extérieurs situés près de l’hippodrome dans un cadre agréable et (ou) jouer sur l’un des créneaux en courts couverts, dans la halle de tennis de s Géo-André ou au gymnase Ruisselet.

Renseignements auprès d’Alain Lommé, responsable de section, au 03.26.84.19.41. du lundi au jeudi de 18 heures à 19 h 30.

Enfin, les nouveaux horaires du secrétariat 11 avenue du Président-Kennedy sont les suivants : du lundi au jeudi de 13 à 17 heures et le vendredi de 9 à 11 heures.

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Journal « l’Union » 080916c

Reims Acrap patinage

 

L’assemblée générale du Reims Acrap patinage se déroulera le 19 septembre à 20 h 30 dans les locaux du 11, avenue du président-Kennedy.

Renseignements : 03.26.06.39.54.

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Journal « l’Union » 080916b

Chute

 

Une jeune femme de 24 ans victime d’une chute hier lundi après-midi vers 17 heures dans la rue Taittinger a été transportée à l’hôpital par les pompiers.

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Journal « l’Union » 080916a

Odeur suspecte

 

Les pompiers se sont rendus hier lundi vers 17 heures dans un immeuble de l’allée des Bourguignons (Pays-de-France) où une odeur suspecte régnait dans les escaliers.

Les pompiers n’ont rien trouvé de plus grave que le fumet d’aliments restés trop longtemps dans un four.

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VRI septembre 2008

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 248 de septembre 2008

 

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Quand le cinéma s’invite dans les quartiers

 

Un vrai succès populaire

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Cette année encore, le dispositif Passeurs d’images a permis à des centaines de Rémois d’assister gratuitement à la projection du film d’animation Persépolis.

Le temps d’un soir, le parc de Champagne, les quartiers Chemin Vert, Croix-Rouge ou encore Orgeval se sont transformés en de vastes cinémas à ciel ouvert.

 

 

 

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RÉALISATIONS : Le tramway en si bon chemin

 

Alors que le chantier de déviations de réseaux se poursuit, dans un mois vont débuter les premiers aménagements de voirie liés à l’infrastructure du tramway.

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Le plan de déviation des bus sera mis en place à la mi-octobre.

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Alors que la mise en service commercial du tramway est désormais fixée au 18 avril 2011, le chantier va changer d’allure, les déviations vont se mettre en place, les dispositifs d’accompagnement se précisent.

Petite revue de détail.

Charte d’engagement

Dans la charte qu’elles ont signée avec Reims Métropole le 1er juillet dernier, les entreprises concessionnaires des réseaux, qui mènent actuellement les travaux de déviations des canalisations et autres câbles souterrains, ont pris un certain nombre d’engagements, parmi lesquels : le respect des délais de réalisation des travaux, la limitation de la gêne et des nuisances occasionnées, le maintien de l’accessibilité et de la sécurité autour du chantier.

J-940

C’est le nombre approximatif de jours qui nous séparent de l’inauguration du tramway. En même temps que le calendrier, le montant définitif des investissements a été arrêté. Il s’élèvera à 345 M€, somme qui prend en compte les modifications intégrées au projet, le report du début des travaux pour raisons administratives et l’actualisation des coûts.

15 octobre

La construction du système de transport et les aménagements de voirie débuteront officiellement le 15 octobre. A cette date, sera mis en place un plan de déviation de la circulation et du réseau de bus qui touchera en particulier les secteurs de la gare et de la place du Théâtre. De nombreux moyens d’information visuels permettront aux automobilistes et aux clients des bus Transdev Reims et de la SNCF de prendre leurs nouveaux repères.

Nouveaux ambassadeurs

Six nouveaux ambassadeurs du tram ont rejoint la Mission Tramway le 1er septembre dernier. De quoi améliorer encore les relations de proximité avec les riverains des travaux du tramway. Après celui de la place du Théâtre, deux autres Espaces Tram Info ouvriront cet automne dans le faubourg de Laon et dans le quartier Croix Rouge.

Guichet unique

La CCI, la Chambre de Métiers de la Marne, l’Association des Commerçants du Faubourg de Laon, EZA Reims, les Vitrines de Reims et l’UCAR ont conclu un partenariat dans le but d’accompagner les entreprises riveraines pendant les travaux de réalisation de la ligne de tramway. Premières mesures de la charte qui sera signée le 25 septembre prochain : le recrutement d’un chargé de mission Tramway et la mise en place d’un guichet unique par les organismes sociaux et l’administration fiscale.

Préjudices subis

Une commission de règlement amiable est sur le point de se constituer. Présidée par Jean-Claude Pauzies, 1er conseiller au Tribunal Administratif de Châlons-en- Champagne, elle aura pour mission d’examiner les réclamations des professionnels riverains du chantier du tramway. Elle émettra un avis sur le bien fondé de ces demandes et proposera à Reims Métropole le montant de l’indemnité permettant la réparation du préjudice subi.

C. R.

Photos : J. Driol

POUR EN SAVOIR PLUS

- Espace Tram Info, place Myron Herrick

- N° vert : 0800 10 87 26

- Sites Internet :

 

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QUARTIER CROIX ROUGE, MAISON BLANCHE

 

Des aires de jeux requalifiées à Pays de France

 

Les inaugurations ont été marquées par un après-midi

de festivités en présence de Madame la Maire.

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Pour compléter l’important programme de renouvellement urbain sur Croix- Rouge, la Ville de Reims mène une gestion urbaine de proximité en faveur de l’entretien des espaces.

Depuis quelques mois la collectivité travaille en lien étroit avec le Foyer rémois, des locataires de Pays de France et l’association “Jeunesse et Espoir Pays de France” à un programme de requalification.

Une première tranche intéresse la rénovation des aires de jeux sur la dalle Bourguignon où une partie est réservée à la petite enfance et l’autre destinée aux ados et jeunes adultes pour la pratique du football, du handball et du basket.*

La seconde tranche de travaux concerne la rénovation du plateau sportif de la dalle Bonaparte. Un gazon synthétique et un mobilier de plein air vont notamment permettre la polyvalence des pratiques sportives.**

*Montant des travaux : 57408€ ?(participation de l’Etat à hauteur de 50 %, de la Ville de Reims et du Foyer rémois pour 25 % chacun)

**Coût de l’aménagement : 28000€ (financement à parité du Foyer rémois et de la Ville de Reims).

Un Point Info Famille à votre service

Il est ouvert et assuré par Elham Kouch, animatrice familles. Elle reçoit les intéressé(e)s au 1 rue Joliot-Curie (antenne municipale) les lundi et vendredi de 14 h à 16 h et le jeudi de 9 h à 11 h.

Un numéro spécial été de QCR Infos

Si le nouveau numéro 12-13 était placé sous le signe des vacances, il n’a pas pour autant -bien au contraire- oublié sa vocation : informer, être utile et agréable.

Responsable aussi. « Pour faciliter la vie, dit le billet d’humeur des locataires, il faut de la mobilisation. » Tiré à 2200 exemplaires, QCR Infos est distribué gratuitement dans l’avenue Eisenhower et les rues Taittinger, Billard, Gilberte et Jean Droit, Rilly la Montagne, pour les locataires de Reims habitat.

Permanences de l’antenne mobile

L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 14 h à 15h30 à la Maison de quartier Maison Blanche, le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe- Demoiselles, face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.

Du nouveau…

Allée des Champenois, c’est au cours du troisième trimestre 2008 que l’îlot “Espaces Verts” sera modifié en vue de créer un parking. 4 places de stationnement seront matérialisées. Allée des Landais, jusqu’à octobre 2008, la Direction de la Voirie procède aussi à un réaménagement complet du parking de la piscine du Château d’Eau.

Votre antenne municipale

C’est la Mairie à proximité de votre domicile.

Sur Croix-Rouge :

1 rue Joliot-Curie tél. 0326356020.

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Journal « l’Union » 080913c

Un président difficile à remplacer

 

Du changement à la tête des jardins familiaux de Croix-du-Sud.

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Lors de la cérémonie de remise des prix du concours des plus belles parcelles aux jardins familiaux de Croix-du-Sud, un hommage a été rendu à Georgy Weiler, qui fut pendant près de dix ans administrateur de l’association dont cinq ans à la présidence, et qui a dû démissionner pour raisons de santé.

« Nous tenons à féliciter Monsieur Weiler pour son engagement au service des autres », a déclaré Alain Chevallier, au nom d’Alpha logement et de l’Effort rémois, organisme logeur : « il a été non seulement un bon président, mais surtout un gestionnaire remarquable qui recherchait toujours les solutions les moins coûteuses pour l’association. »

Evelyne Nkounkou, la secrétaire qui assure l’intérim de la présidence, a apprécié la performance : « Il n’y a que trois mois que je le remplace, et je me rends compte du travail que cela représente, surtout pour quelqu’un qui travaille par ailleurs ! Il sera difficile de le remplacer ! »

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Journal « l’Union » 080913b

Des jardins pas si familiaux…

 

« J’ai cru qu’on m’avait volé ma parabole. Jusqu’à ce que je la découvre dans le journal. »

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On l’a retrouvé. Le propriétaire d’une des paraboles que Reims Habitat a démonté il y a dix jours sur les toits de Croix-Rouge a été identifié. Il s’est lui-même présenté à notre rédaction quand il a découvert sa parabole en photo dans le journal (notre édition de mardi). « Je croyais qu’on me l’avait volée », s’exclame Abdelaziz Bouzenada. « J’étais sûr qu’on me l’avait volée. Ma femme m’avait même dit en riant qu’on la retrouverait peut-être un jour sur une brocante. »

Dans les règles

Jeudi 4 septembre, quand le bailleur a entrepris de démonter la parabole jugée indésirable, la femme d’Abdelaziz était devant sa télé : « D’un coup, plus rien, tout noir. Elle a essayé les autres chaînes, rien ». Le soir même, « j’ai manipulé l’appareil, les branchements, rien à faire ». Vendredi, le lendemain, « je suis monté sur le toit voir ce qu’il en était. Il n’y avait plus rien.

Absent presque tout l’été, je n’avais pas eu les courriers. Jamais, je n’aurais imaginé que ce pouvait être le bailleur ».

Abdelaziz avait installé sa parabole il y a deux ans. « J’habite au deuxième étage, je n’arrivais pas à capter depuis mon balcon. »

Le locataire de Reims Habitat a voulu faire les choses dans les règles : « Je travaille dans les travaux publics comme technicien, j’ai le souci de faire les choses selon les normes ».

Il a donc fait une demande d’autorisation au bailleur pour obtenir le droit de poser sa parabole sur le toit. « Reims Habitat a refusé. »

Têtu, Abdelaziz est allé voir ce que disait la loi sur le sujet : « J’ai trouvé un décret relatif au droit à l’antenne ». Des règles que le locataire n’a pas manqué de balancer à son bailleur par courrier le 25 septembre 2006 : « Conformément à la loi, j’ai l’honneur de vous informer de mon intention de poser une antenne satellite individuelle de moins d’un mètre sur le toit, partie collective du bâtiment n° 42 esplanade Eisenhower ».

Prudent, il ajoute : « Sans réponse de votre part dans un délai de trois mois, je ferai procéder à mes frais à l’installation de l’antenne. En effet dans son article 2, le décret précise que celui qui entend s’opposer à l’installation d’une antenne doit, sous peine de perdre son droit d’opposition, saisir dans un délai de trois mois la juridiction compétente ».

Patience…

Le locataire futé a patiemment attendu trois mois et, en l’absence de réaction de Reims Habitat : « Je suis monté installer ma parabole dans les règles de l’art ».

Si le bailleur avait un doute sur la solidité de l’installation, Abdelaziz avait joint un schéma technique de l’installation à son courrier. Tout cela n’a pas empêché Reims Habitat d’aller démonter la parabole deux ans plus tard.

« Ils l’ont mise dans leur cave. Ils voulaient que je la récupère mais je n’ai pas de place pour la stocker, je préfère qu’il la garde pour le moment. »

Pendant ce temps, Abdelaziz va chercher un moyen juridique pour obliger son bailleur à réinstaller sa parabole retirée de force. Quand ce jour sera arrivé, il remontera sur le toit avec ses tournevis et un grand sourire triomphant.

C.F.

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Journal « l’Union » 080913a

Incendiaires

 

….

L’allée Edgar-Degas reçoit elle aussi la visite des pompiers un peu trop souvent.

Ce fut encore le cas jeudi à 23 heures pour un feu de papiers dans les caves.

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Journal « l’Union » 080912f

Reims Acrap

 

L’assemblée générale du Reims Acrap patinage se déroulera vendredi 19 septembre à 20 h 30 dans les locaux du 11 avenue du président-Kennedy.

Renseignements auprès du RAP (même adresse) ou au 03.26.06.39.54.

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Journal « l’Union » 080912e

Basket

 

A l’agence Pays-de-France du Foyer rémois, Hervé Virot organise, mercredi 17 septembre, de 14 h 30 à 16 h 30, une manifestation sportive inaugurale sur le terrain de basket de l’allée des Bourguignons, avec des joueuses de Saint-Jacques Sport, équipe Première.

Des jeunes filles du quartier Croix-Rouge, encadrées par les associations La Marelle et Jeunesse-espoir Pays-de-France, seront présentes pour des concours de tirs et des petits matches 3 contre 3, avant la dégustation d’un goûter à 16 h 30.

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Journal « l’Union » 080912d

Fuite de gaz

 

Une nouvelle fuite de gaz été signalée hier sur le chantier du tramway.

Elle s’est produite à 9 h 10 avenue Léon-Blum à Croix-du¬Sud.

La rue a été barrée, le temps de colmater la fuite. Il n’y a pas eu d’évacuation.

La veille à 18 h 30, les pompiers étaient intervenus avenue Bonaparte pour une légère fuite sur un coffret GDF.

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Journal « l’Union » 080912c

Des jardins pas si familiaux…

 

Catherine Coutant des éditions l’Effervescence ne pourra sortir un livre sur les jardins familiaux.

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Ils ne comprennent toujours pas. Catherine Coutant, François Schmidt et Pascal Foucher avaient prévu de sortir cet automne un livre de photos dans leur maison d’édition, l’Effervescence : « L’en-vert de Reims ou la chronique poétique des jardins familiaux ».

Le projet ne devrait finalement pas voir le jour, faute d’accord avec Didier Klodawski, président de la Fédération des jardins familiaux de l’agglomération de Reims.

« Nous avions commencé à rencontrer les gens dans les jardins, à faire des photos », expliquent les auteurs. « Tous étaient contents de voir que nous allions mettre en avant ces lieux magnifiques, leurs occupants… »

Catherine Coutant, François Schmidt et Pascal Foucher cherchent à contacter le président Didier Klodawski. En vain… « En juin, je le croise au parc de Champagne », indique Catherine Coutant. « Quand je vais le voir il me dit qu’il refuse qu’un livre paraisse sur les jardins familiaux. » Dans la foulée en juillet, les éditions l’Effervescence reçoivent plusieurs lettres recommandées leur intimant de ne pas diffuser « des photos, des dessins ou des histoires » des jardins, ni des membres de la fédération. Le président refuse aussi l’accès aux jardins.

« Juridiquement, on ne peut rien dire. Pour nous, c’est un coup dur. Six mois de travail réduits à néant sans savoir pourquoi. Ce monsieur ne nous a jamais expliqué les raisons de ce refus. »

Nous avons cherché à joindre Didier Klodawski hier, à plusieurs reprises. Et sans succès.

G. A.-T.

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Journal « l’Union » 080912b

Les voleurs sévissent

 

Mercredi vers 20 h 30,

Pratiquement au même moment, un scooter a été volé sur l’esplanade Eisenhower.

 

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Journal « l’Union » 080912a

Les incendiaires rôdent

 

Un ou plusieurs incendiaires ont également sévi hier matin allée Edgar-Degas. Un feu de local à vide-ordures s’est déclaré à 7 h 40 au n°11, suivi de l’incendie d’une porte de local technique au 4e étage du n°16.

Une personne a été légèrement intoxiquée.

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L’hebdo du vendredi- n° 91 - 080911a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 91 - Semaine du 12 au 18septembre 2008

 

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JUSQU’AU 11 OCTOBRE : « La calligraphie, un patrimoine vivant »

 

La médiathèque Croix-Rouge met en évidence la vitalité de la création calligraphique avec une exposition de Driss Chajri.

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l’union080910b

INFORMATION RELATIV E A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 

 

Avant propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims Habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims Habitat (www.reims¬habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journalofficiel.gouv.fr/...).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : Reims Habitat Champagne-Ardenne, 71, avenue - d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims Cedex.

2) Procédure de passation : Appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.

3) Objet des marchés : Marché de travaux : aménagement de 11 locaux pour dépôt des ordures ménagères (tri sélectif) ; immeubles sis 25 à 37 et 39 à 45, rue Pierre-Taittinger à Reims.

4) Nombre et consistance des lots concernés par cette consultation : 6 lots répartis comme suit

- Lot 1 : Maçonnerie.

- Lot 2 : Serrurerie.

- Lot 3 : Électricité.

- Lot 4 : Plomberie.

- Lot 5 : Carrelage.

- Lot 6 : Peinture.

5) Options : 3 options obligatoires :

- Option 1 (du lot 1) : Dallage béton extérieur.

- Option 2 (du lot 2) : Barrières d’extérieures.

- Option 3 (du lot 3) : Peinture locaux électriques.

6) Modalité d’attribution des lots : Par marchés séparés.

7) Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 1 mois et la période de 15 jours pour les congés payés).

8) Retrait du dossier et du règlement de consultation : Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims Habitat Champagne-Ardenne, tél. 03.26.48.43.43, fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims¬habitat.fr.

9) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.

10) Critères d’attribution : Prix 80 % ; valeur technique 20 %.

11) Délai de validité des offres : 120 jours.

12) Remise des offres : Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à : Monsieur le Directeur-général de Reims-Habitat Champagne-Ardenne, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.

Les offres peuvent également être transmises par voie élec¬tronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr - rubrique marchés publics.

13) Autres renseignements : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de Reims-Habitat Champagne-Ardenne, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.40.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de Reims-Habitat Champagne-Ardenne, tél. 03.26.48.43.16, fax : 03.26.48.43.40.

14) Date limite de remise des offres : 13 octobre 2008 à 17 heures.

15) Date d’envoi de l’avis à la publication : 5 septembre 2008.

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Journal « l’Union » 080910a

Retour sur la glace pour les tout-petits

 

A l’école de glace, l’initiation se fait par le biais des exercices ludiques.

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A l’instar des autres catégories, l’école de glace du Reims Champagne hockey reprend ses activités.

Les séances ont lieu le mercredi à 15 h 15 à la patinoire Jacques Barot.

Exercices ludiques

« Nous espérons une trentaine d’enfants pour cette saison. Il faut rappeler que le hockey-sur-glace peut se pratiquer à partir de quatre ans. L’initiation se fait par le truchement des exercices ludiques sur glace (cerceau, plots, balle).

Il y a deux temps forts durant l’année.

Le premier se passe à Noël, là, les bambins font leur premier match. On invite deux ou trois équipes : celles-ci font des rencontres de vingt minutes.

Le deuxième temps fort, c’est le tournoi de clôture qui a lieu en général au mois d’avril », explique Emmanuel Clergue, responsable du hockey mineurs.

Rencontres amicales

« Pour cette tranche d’âge, pas de championnat, ils font simplement des rencontres amicales. Le hockey est souvent perçu comme un sport brutal alors que c’est la discipline collective où l’on enregistre le moins d’accidents chez les enfants grâce aux protections et à l’enseignement qui est basé sur les jeux. »

A noter qu’il y a possibilité de faire trois essais avant l’inscription.

Site internet : reimschampagnehockey.com

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Journal « l’Union » 080909f

Calligraphie à Croix-Rouge

 

À l’occasion du Mois du patrimoine écrit, la médiathèque Croix-Rouge met en évidence la vitalité de la création calligraphique, à travers l’exemple de l’un de ses représentants : Driss Chajri.

Une exposition regroupe, jusqu’au samedi 11 octobre, des réalisations uniques de l’artiste (œuvres originales et livres objets), où la calligraphie est intimement liée à des recherches plastiques sur la matérialité du livre : couverture, mise en page, typographie…

Elle est complétée par des panneaux pédagogiques offrant la vision personnelle de Driss Chajri sur l’histoire de la calligraphie.

Jeudi 18 et vendredi 19 septembre, de 14 h 30 à 17 h 30, pour les adultes ; puis samedi 20 septembre de 9 h 30 à 12 heures pour les enfants à partir de 6 ans, Driss Chajri animera des ateliers de calligraphie : jeux de mots, jeux de lettres.

Il se livrera, samedi 20 septembre à 15 heures, à une performance calligraphique sur le parvis de la médiathèque (salle d’exposition en cas de pluie).

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40).

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Journal « l’Union » 080909e

Galilée : tout est bien qui finit presque bien

 

Le calme est bien revenu devant les portes de la maternelle Galilée-Newton.

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Hier matin, les enfants de la maternelle Galilée-Newton, ont retrouvé le chemin de l’école. Après plusieurs jours de mobilisation, les parents d’élèves obtiennent le maintien d’une classe, mais à quel prix ?

LE calme est enfin revenu devant l’école maternelle Galilée-Newton (l’union de jeudi et vendredi) où les parents d’élèves s’étaient mobilisés en fin de semaine dernière après l’annonce de la fermeture d’une classe de petite section. Cette décision avait été prise suite à une baisse des effectifs par rapport à la rentrée de l’année dernière.

Après de nombreuses rencontres avec les représentants de l’Éducation nationale et ceux de la mairie, les parents d’élèves ont obtenu la création d’un poste d’enseignant à mi-temps et le maintien de la classe des tout-petits au détriment de celle des grands, qui elle est désormais fermée.

« C’est vraiment un mal pour un bien, car on aura eu gain de cause qu’à moitié », explique Cathy Lebeaux représentante des parents d’élèves.

« Nos grands subissent les conséquences de cela avec la fermeture de leur classe… c’est bien ! ils jouent avec le quotidien de gamins de cinq ans. Moi, mon fils n’a même plus le sourire lorsque je l’emmène à l’école », ajoute Isabelle, mère de famille.

« Nous avons décidé d’arrêter nos actions, même si nous n’avons pas obtenu la totalité de nos réclamations. Nous n’avons pas trop à nous plaindre car c’est toujours mieux que rien », ajoute cette autre maman.

Tout est bien qui finit presque bien pour ces parents.

Ils promettent déjà que, si, à la prochaine rentrée on touche une nouvelle fois à leur école et à ses enseignants, ils seront présents pour un nouveau combat.

« Maintenant nous savons ce qu’il faut faire lorsque les décideurs prennent des choix stupides pour ne pas être vulgaire. Et au sujet des élus qui savent nous passer de la pommade en période d’élection : on n’oubliera pas quand vous viendrez nous serrer la main sur le marché. Merci pour ce pseudo-soutien », souligne ce papa.

Thierry Accao Farias

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Journal « l’Union » 080909d

Les beaux jardins de Croix-du-Sud récompensés

 

Une vue des jardiniers récompensés.

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- Voir toutes les photos.

Samedi, sur la rocade centrale, rue Joliot-Curie, s’est déroulée la proclamation des résultats et la remise des prix du concours des plus belles parcelles de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud en présence de nombreux jardiniers, de Jean-Michel Gauthier, président de l’Etoile Croix-du-Sud et de trois élus, Éric Quénard, Raymond Joannesse et Michel Guillaudeau.

C’est Évelyne Nkounkou, secrétaire de l’association, qui a lu le palmarès : pour 51 jardiniers en lice, 25 coupes ont été attribuées, accompagnées d’un bon d’achat remis par Alain Chevallier au nom d’Alpha logement, qui a rassuré l’assistance : « Dès la fin des travaux liés à l’arrivée du tramway, les jardins bénéficieront d’une restructuration qui vous permettra de retrouver calme et sérénité. »

Le palmarès

1, Éric Dousset. 2, William Garnier. 3, Évelyne Nkounkou. 4, Christiane Maquin. 5, Jean Dugue. 6, Hugo Rexepi. 7, Jacqueline Guiot. 8, Jean-Pierre Malissart. 9, Mathilde Bidaud (« Elle fut l’une des toutes premières à recevoir un jardin dès leur création. A 81 ans, elle est toujours fidèle au poste ! »). 10, Serge Roussel. 11, Jean Dubuis. 12, Gemyk Salo.13, Catherine Graffin et Pascal Petit ex-aequo. 14, Jacques Bidaut. 15, Messaoud Madadi. 16, Lydie Dodard. 17, Béatrice Jablonski. 18, Ahmed Assim. 19, Jean Prime. 20, Laurent Leclerc. 21, Georgy Weiler. 22, Bertrand Bouzeriba. 23, Jean-Paul Dordain. 24, Brahim Hanrani. 25, Jivorak Sajik.

La suite du classement peut être consultée sur les panneaux d’affichage des jardins.

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » 080909c

Reims Habitat lance la chasse aux paraboles

 

Jeudi, des équipes du bailleur ont démonté des antennes installées sans autorisation depuis des années.

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Dans le quartier de l’université à Croix-Rouge, Reims Habitat fait retirer de force les paraboles qui dépassent des façades et qui poussent sur les toits. Les locataires n’apprécient pas et suspectent le bailleur d’agir pour des questions d’image. PHOTO (Hervé OUDIN).

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Reims Habitat qui d’un coup se soucie de faire appliquer la loi, vient d’entreprendre une chasse aux paraboles sur les blocs d’Eisenhower à Croix-Rouge. Au grand dam des habitants.

À la chasse aux paraboles. Il y avait du monde sur les toits, jeudi après-midi, dans le quartier Eisenhower. Des hommes avec des tournevis venus faire la peau aux paraboles.

Ils ont démonté en quelques minutes les antennes TV que certains locataires avaient posées au sommet des immeubles pour leur usage personnel. Sans doute parce que c’était plus pratique pour eux de les poser là. Surtout qu’en plus elles ne se voyaient pas de la rue. Bref, elles ne gênaient a priori personne.

« Faut croire que d’un coup, ça gêne Reims Habitat puisqu’ils viennent les démonter. Certaines étaient installées depuis des années, on ne comprend pas bien pourquoi ils réagissent maintenant », s’interroge Carine, locataire du quartier.

Marc n’est pas étonné : « Le bailleur avait prévenu. Nous avons tous reçu un courrier le 22 juillet. Reims Habitat donnait un mois à ceux qui ont installé ces antennes pour les ôter. Nous sommes le 4 septembre ». Dans le courrier, le bailleur social n’explique pas pourquoi il fait subitement la chasse aux paraboles et surtout, s’interroge Marc, « va-t-il ensuite s’en prendre à celles que nous avons sur nos balcons ? Il y a des bruits qui courent à ce sujet. Moi et ma femme sommes abonnés à un bouquet satellite, ce serait embêtant ».

Pendant qu’une équipe œuvre sur les toits, deux employés cols blancs de Reims Habitat sillonnent le quartier. Un homme et une femme qui se font vite héler par trois jeunes adultes du quartier.

« C’est une question d’assurance »

Très vite le ton monte entre Kamel, l’un des jeunes et la représentante du bailleur : « Ça dérange qui les paraboles ? Personne les voit. Ça fait des années qu’elles sont là, elles dérangent qui ? ». « Les personnes qui les ont posées n’ont pas demandé d’autorisation ». « Et alors ? C’est Beverly Hills ici ? ». « C’est une question d’assurance. Si elles tombent, qui sera responsable ? Cela concerne aussi les paraboles sur les balcons qui dépassent de la façade ». « Et comment ils vont faire ceux qu’ont pas de balcon ? ». « Il existe le câble ». « Mais c’est trop cher le câble ! Qu’est ce que tu crois.

Allez ferme ta gueule et dégage ». « Voilà, c’est toujours comme ça avec vous. On ne peut pas discuter. Moi, en tout cas je n’insulte personne ».

« Dégage ! ». « Tu crois que c’est parce que tu es né ici que le quartier t’appartient ! Petit con ! ». À la fin tout le monde s’insulte.

Le bailleur parti, les jeunes se calment et Kamel lâche ce qu’il a sur le cœur : « Si l’Opac veut supprimer les paraboles ici, c’est parce qu’ils veulent faire d’Eisenhower leur vitrine. C’est près de l’université, ils veulent que ça fasse résidence. Des paraboles à tous les balcons, ça fait quartier d’Arabes et ils ne veulent pas qu’ici ça fasse quartier d’Arabes. Ils diront que c’est pas vrai mais alors pourquoi les gens de Taittinger ou d’ailleurs ils les laissent tranquilles avec leurs paraboles ? Personne n’a reçu de courrier là-bas ».

Catherine Frey

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« Nous appliquons la loi »

 

« Si nous faisons ôter les paraboles sur les toits et sur les façades, ce n’est pas pour faire plus chic », assure la porte-parole de Reims Habitat.

« C’est une question de sécurité. Seules les paraboles qui ne dépasseront pas des balcons pourront rester. Nous ne faisons qu’appliquer la loi ».

Subitement et seulement dans un quartier. Alors que ces antennes ont vécu tranquille depuis des années : « Il faut bien un jour ou l’autre se mettre aux normes et nos autres quartiers seront concernés aussi ».

Les locataires pensent qu’Einsenhower est le seul quartier concerné parce qu’il est en cours de rénovation : « Oui, il y a le souci de rénover mais c’est d’abord pour des raisons de sécurité ».

Cela va poser problème à ceux qui n’ont pas de balcon. Ils ne pourront plus profiter de leur abonnement ou capter la chaîne de leur pays d’origine : « Pour ceux-ci, ils peuvent venir à l’agence où nous étudierons la situation au cas par cas ».

Le bailleur s’est renseigné et pense avoir trouvé une bonne solution pour les locataires privés d’antenne : « Numéricable propose gratuitement un adaptateur TNT sans abonnement et qui comprend 30 chaînes étrangères. Il faut juste verser une caution d’environ 70 euros ». Bonne nouvelle sauf que pour certains, 70 euros, c’est beaucoup.

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Trouvez-vous les paraboles inesthétiques ?

 

Julia Duval

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Julia Duval, 37 ans, vendeuse (Clairmarais) :

« Oui, je trouve cela assez vilain, d’autant plus qu’il y en a partout sur les toits, aux fenêtres, aux balcons et même dans les jardins !

II y aura peut-être un jour des antennes plus discrètes, avec les technologies comme la TNT, le câble, le free-box.

Ces paraboles qui fleurissent surtout dans les quartiers périphériques de la ville ne contribuent pas à l’embellissement. »

 

 

Massaouda Chabet-Dis

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Massaouda Chabet-Dis, 29 ans, en formation (Croix-Rouge) :

« Oui ! Dans mon quartier, qui n’est déjà pas très esthétique, ces paraboles ajoutent de la laideur.

Au départ, dans les immeubles, il n’y a pas de paraboles, ce sont les locataires qui les installent et, Espace-Habitat, mon bailleur, nous a adressé un courrier nous demandant de les retirer. Il n’a rien prévu pour les remplacer ! »

 

 

Patricia Denis

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Patricia Denis, 45 ans, salariée (hôtel de ville) :

« Oui, je trouve que ce n’est pas beau. Actuellement il en existe de plus petites qu’on peut mettre en intérieur. Par rapport aux anciennes antennes de télé, ça parait gros et inesthétique, mais il fallait bien pouvoir capter le satellite !

En centre-ville, on n’en voit pas comme en périphérie où les habitants ont plus besoin de capter des programmes étrangers. »

 

 

Michèle et Pascal Douchets

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Michèle et Pascal Douchet, 36 et 39 ans, salariés, (Hauts de Murigny) :

« Nous pensons que c’est horrible et que çà devrait être interdit. Dans notre coin il n’y en a pas trop, c’est surtout à côté : aux Pays de France et à Croix-du-Sud qu’il y en a plein les toits.

Il faudrait que les bailleurs réinstallent des équipements plus discrets et interdisent aux locataires d’en installer n’importe où : aux balcons ou aux fenêtres. »

 

 

 

 

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Journal « l’Union » 080909b

Il falsifiait des ordonnances

 

Tribunal correctionnel de Reims. Il y a quelques jours, un médecin de la rue de Courcelles est venu déposer plainte auprès du commissariat de police de Reims.

Il avait constaté, à son retour de vacances, la disparition dans son cabinet médical, d’un paquet d’ordonnances, et d’un tampon encreur. Dans le même temps, la police était alertée par la CPAM car un jeune homme semblait écumer les pharmacies de la ville avec des ordonnances suspectes. La pharmacie Croix-du-Sud avait ainsi contacté la Sécu pour indiquer qu’un jeune homme s’était présenté avec une ordonnance portant l’en-tête du médecin volé, et la pharmacienne avait ajouté qu’elle avait tenté d’obtenir des renseignements supplémentaires mais que, la voyant avec le téléphone, l’homme était devenu agressif, qu’il avait repris immédiatement son ordonnance avant de prendre la fuite. Dans les quartiers Maison-Blanche, Wilson ou le centre-ville, plusieurs pharmacies devaient signaler des anomalies similaires tandis que quatre établissements avaient tout de même délivré les médicaments prescrits : de l’Atarax et du Rohypnol, un anxiolytique et un somnifère. Selon les différentes pharmacies auprès desquelles le jeune homme a utilisé des ordonnances falsifiées, les posologies écrites par Mackhlouf Aït-Tayeb étaient tantôt précises et logiques, tantôt fantaisistes. « Je n’étais pas bien, » a, hier, expliqué le jeune homme à la barre du tribunal. « Je faisais tous les médecins de Reims pour avoir des ordonnances, puis j’allais dans différentes pharmacies pour avoir les médicaments ». Makhlouf Aït-Tayeb affirme qu’il n’est pas l’auteur du vol de la rue de Courcelles. Ce serait « un sdf » qui lui aurait fourni les ordonnances tamponnées avec le cachet du médecin. Ancien toxicomane à l’héroïne, le jeune homme a suivi un traitement à la méthadone, traitement auquel il est devenu accro et a voulu se sevrer. « C’est pour ça que je prenais du Rohypnol. Mais cela a empiré. » Ces dernières semaines, le jeune homme affirme qu’il prenait « 24 cachets par jour » de ce somnifère de la famille des benzodiazépines. Face à l’effarement de la présidente, le jeune homme convient « Je sais, c’est grave ».

La CPAM a réalisé une enquête et découvert qu’entre septembre 2006 et septembre 2008, Makhlouf Aït Tayeb s’est fait délivrer… 622 boîtes de Rohypnol, pour un montant de 464 euros. La plupart des ordonnances étaient parfaitement normales et avaient été prescrites par des dizaines de médecins qui n’avaient pas connaissance des prescriptions des autres.

Le substitut du procureur de la République a requis deux ans de prison ferme, précisant que la CPAM a trouvé une « parade » aux agissements « légaux mais désastreux » du prévenu : « désormais il ne devra plus s’adresser qu’à un médecin référent et à la même pharmacie ».

Pour le ministère public, qui note 14 condamnations au casier judiciaire de Makhlouf Aït-Tayeb, « la réinsertion du prévenu semble bien compromise car il est connu en négatif des institutions, des médecins… ». Pour la défense, Me Zajara a rappelé que son client était « malade. La drogue est une délinquance à part. C’est une maladie et cela fait des années qu’il traîne ce problème. »

Le tribunal a condamné Makhlouf Aït-Tayeb à deux ans de prison ferme.

P.B.

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Journal « l’Union » 080909a

Un plein qui va coûter cher

 

Plutôt que de payer cher un plein de carburant à la station-service du coin, un habitant du groupe Eisenhower a cru malin de descendre dans le parking souterrain de son immeuble, samedi vers 5 heures du matin, pour se ravitailler en direct.

Un bidon dans une main, un tournevis dans l’autre, il a percé le réservoir d’une Renault Mégane.

Il n’y avait plus qu’à collecter le précieux liquide mais un témoin suscpicieux a signalé la présence de l’individu dans les garages.

Les policiers l’ont interpellé la main sur le bidon.

Agé de 48 ans, l’homme a fait l’objet d’un rappel à la loi. Il devra indemniser les dégâts occasionnés au réservoir, ce qui va lui coûter bien plus cher qu’un plein de carburant.

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Journal « l’Union » 080908d

Jardiniers et maraîchers célèbrent saint-Fiacre à Saint-Remi

 

La statue du saint, portée par les maraîchers, sur le portail de Saint-Remi.

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Dimanche matin, la traditionnelle messe de la Saint-Fiacre a été célébrée à la basilique Saint-Remi par le père Philippe Lang, prêtre auxiliaire de la paroisse, devant une centaine de professionnels de l’horticulture, du maraîchage et de représentants des « Jardins familiaux ».

Comme chaque année, ces personnes ont célébré leur saint patron dans un esprit de convivialité, autour de José Veisse, président du Comité Saint-Fiacre et horticulteur Des Mesneux, de Maurice Jacqueminet, vice-président, de Jean-Marie Marx, maire de Cormontreuil et de Corinne Berriot, conseillère municipale, représentant la maire de Reims.

Cette année, le président d’honneur a été Gérard Cathelain, de la société d’horticulture. La cérémonie a été suivie d’un déjeuner dansant en la salle des fêtes de Cormontreuil.

Maurice Jacqueminet s’est exprimé sur la conjoncture actuelle de l’horticulture et du maraîchage : « Les cultures ont démarré assez tard cette année, avec une météo instable, ce qui a gêné les horticulteurs et les maraîchers et, de plus en plus, nous constatons le vieillissement de ces professions, surtout dans la vente directe des produits. Il n’y a plus assez de jeunes chez nous. »

Saint-Fiacre était un moine irlandais du VIIe siècle, réfugié en France, il se fit ermite dans la région de la Brie. Saint-Fiacre est souvent représenté avec une bêche à la main.

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Journal « l’Union » 080908c

Un demi-poste supplémentaire à l’école Galilée ?

 

Les parents d’élèves s’étaient mobilisés en fin de semaine dernière.

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C’est aujourd’hui que les parents d’élèves de l’école Galilée, dans le quartier Croix-Rouge, devraient décider s’ils poursuivent leur action pour protester contre la fermeture d’une classe chez les tout-petits, quelques jours après la rentrée.

Samedi matin, des parents d’élèves ont reçu un coup de fil de l’inspection leur indiquant qu’un demi-poste supplémentaire allait être accordé à l’école. Pas de nouvelle classe a priori mais un renfort pour aider les enseignants dans leur travail. « Il parait que c’est ce qu’ont demandé les enseignants », indique une parente. « Nous allons voir lundi (aujourd’hui) si cela répond vraiment au problème et si nous continuons l’action. »

L’inspection académique avait justifié cette décision par un différentiel de quinze élèves entre ce qui était annoncé et la réalité de la rentrée. Dans cette école située en zone d’éducation prioritaire, la fermeture une fois la rentrée effectuée a entraîné une vive réaction des parents.

 

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Journal « l’Union » 080908b

Croix-Rouge à la fête du sport

 

L’association Croix-Rouge animation et promotion et la Reims Acrap patinage représenteront le quartier à la Fête du sport samedi 13 et dimanche 14 septembre au parc de Champagne, avec des démonstrations de patinage artistique en roller par le RAP, samedi à 16 h 50, dimanche à 11 h 10 et à 14h 35, en zone B.

Par ailleurs, des évolutions de danse rythmique, sportive, modern’ jazz, classique ainsi que des majorettes auront lieu samedi à 14 heures, dimanche à 14 h 14 et à 16 h 40, par l’Acrap en zone E.

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Journal « l’Union » 080908a

Inscriptions à la piscine

 

Les inscriptions dans les écoles de natation des six piscines auront lieu les 9 et 10 septembre au complexe René Tys. Rendez-vous pour les activités adultes (aquagym, aquaplanes, natation) le mardi 9 septembre de 7 à 19 heures.

Les inscriptions pour les activités enfants (baby club, aquakid et activités 4/5 ans natation, water-polo, prépabac, spécial nageur) se feront le mercredi 10 septembre de 7 à 19 heures.

Les inscriptions pour toutes les activités pour les places restant disponibles se feront le mercredi 10 septembre.

Cette année, près de 4.500 personnes étaient inscrites dans les écoles de natation des six piscines de Reims.

Pour la saison 2008-2009, ce seront plus de 5.000 places qui seront proposées.

Le jour de l’inscription, il n’y aura qu’un formulaire à remplir sur place. Aucune pièce ne sera à présenter. Le paiement s’effectuera entre le 15 et 19 septembre dans la piscine où l’on s’est inscrit.

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Journal « l’Union » 080906d

La sérénité est revenue sur la place Auguste-Rodin

 

Des activités calmes et encadrées.

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A la suite d’une demande des commerçants de la place Auguste-Rodin, à Croix-du-Sud, appuyée par une pétition de 400 signatures, un constat a été posé : des jeunes de 13 à 25 ans, voire plus, sont installés sur la place Auguste-Rodin. Il leur arrive d’invectiver les passants, les clients des commerces et les commerçants. Ils créent des nuisances en après-midi et en soirée. Cette situation déjà ancienne s’est aggravée notablement après la destruction de la passerelle.

Éric Quénard, premier adjoint, a réuni, les associations 2 mains, Étoile Croix-du-Sud, la maison de quartier, les correspondants de quartier, le CUCS, les commerçants, la police municipale, les organismes logeurs.

Avec pour objectif de rendre la place Rodin conviviale et de créer du lien entre les jeunes, les habitants et les commerçants, les jeunes ont été encadrés sur la place et au niveau de l’ancienne gendarmerie, de 15 à 19 heures, jusque fin août, pour des animations. La logistique était assurée par l’association Étoile Croix-du-Sud et l’UCAR, avec deux animateurs de la Maison de quartier et un accompagnateur social de l’association 2 Mains.

Le résultat a été probant selon les commerçants : « C’est super ! Il faut cela tous les jours, les jeunes sont occupés et tranquilles jusque 19 heures » explique Mme Berdin. Même commentaire de Mme Choquez : « C’est très bien ! Il faut maintenant que cette action continue ».

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Journal « l’Union » 080906c

École Galilée : les esprits s’échauffent

 

Les parents s’organisent avant leur départ à la mairie.

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Depuis jeudi, les parents d’élèves de l’école maternelle Galilée-Newton du quartier Croix-Rouge, continuent leur mouvement contestataire contre la fermeture de la classe des tout-petits (l’union d’hier).

Mais l’ambiance générale s’est dégradée hier matin lorsque les parents ont mis leurs menaces à exécution en bloquant l’accès à l’établissement. Insultes et disputes, entre parents en colère et ceux qui ne se sentaient pas concernés ont éclaté aux portes de l’école. Un violent début d’altercation a même été signalé entre un père de famille et une maman manifestante : « Il a essayé de frapper une maman qui a évité le coup, mais la gamine derrière l’a pris en pleine poire », témoigne Mme Lobjois.

Heureusement, le calme est très vite revenu mais les revendications sont reparties de plus belle.

« Nous avons eu au téléphone un responsable de l’Éducation nationale. Il nous soutient, mais nous dit que c’est à sa hiérarchie de décider de la réouverture de la classe », explique Cathy Lebeaux.

« Nous ne lâcherons rien, on arrêtera seulement lorsque la réouverture de la classe des tout-petits sera annoncée. » insiste Ourdia, une jeune maman.

Les manifestants ont décidé en début d’après-midi de se déplacer à la mairie pour voir un représentant de la ville, qui les a reçus en fin d’après midi : « Il ne faut pas oublier que l’on a soutenu Adeline Hazan et Éric Quénard lors des dernières élections. Qu’ils nous renvoient la pareille car c’est grâce aux votes des habitants de Croix-Rouge qu’ils ont été élus. » dit Mme Zazzy, une maman très en colère.

« C’est bizarre au centre-ville, les bourgeois ne rencontrent pas ce genre de problème. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas d’argent, que l’on ne pense pas à nos enfants », ajoute cette mère de famille.

Suite aux rendez-vous avec les représentants de l’Éducation nationale, les parents affirment qu’une réponse leur sera donnée lundi prochain dans la journée.

De toute façon ils sont fermement décidés à poursuivre leur action tous les jours d’école, jusqu’à ce qu’ils obtiennent gain de cause.

Contacté par téléphone, Jacques Meyer, adjoint aux écoles estime que la situation est beaucoup moins simple qu’à Dauphinot. « S’il s’agissait d’une ouverture de classe, les effectifs sont en dessous des normes, ce serait indéfendable. Là il s’agit d’une classe qui existait en zone d’éducation prioritaire. L’Éducation nationale l’a ouverte, les parents sont venus durant trois jours et on leur dit, on ferme. Ils ont de quoi être en colère. »

T.A.-F.

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Journal « l’Union » 080906b

La comédie (musicale) au collège

 

Nouveau contrat pour Tony Amirati : le collège François-Legros a été tellement satisfait de son projet de comédie musicale à mettre sur pied avec une classe « de consolidation », (d’élèves ayant moins de facilités que d’autres) qu’il lui demande de recommencer cette année. Le projet portera cette fois sur « le Philosophe et l’amuseur », divertissement écrit par M.Amirati lui-même.

Première séance pour les élèves lundi prochain.

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Journal « l’Union » 080906a

Calligraphie : un art vivant

 

Jusqu’au 11 octobre, la médiathèque Croix-Rouge accueille une exposition des réalisations calligraphiques de Driss Chajri, artiste qui vit et travaille en France. Objectif de cette exposition : inciter le public à la rencontre de la calligraphie comme passerelle entre mémoire et présent. »

Incisé dans la pierre, l’argile, le parchemin, le papier, au travers les matières et les supports multiples, « l’écrit ne cesse de nous interroger ».

Plusieurs ateliers (gratuits) seront proposés dans le cadre de cette exposition (pour enfants et pour adultes). Le 20 septembre, sur le parvis de la médiathèque, l’artiste réalisera une perfor-mance en public.

Pour tout renseignement, Tél. 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » 080905f

Classe fermée à Galilée-Newton : les parents en commando

 

Très vite, les parents ont décidé de bloquer les accès de l’établissement ce matin.

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Ils ont appris hier matin que la classe des tout-petits allait fermer à l’école Galilée-Newton. Les parents d’élèves très remontés ont décidé d’agir dès ce matin.

Nos enfants sont depuis trois jours à l’école et c’est aujourd’hui qu’on nous annonce la fermeture de leur classe. C’est dingue. »

Révoltés d’apprendre hier que l’Inspection académique a décidé de fermer la classe des tout petits, les parents d’élèves de l’école Galilée-Newton ont décidé d’agir. Ils devraient occuper l’établissement ce matin.

C’est une bien mauvaise nouvelle que les parents d’élèves de l’école maternelle Galilée-Newton ont apprise. En plus de la fermeture de la classe des tout-petits, on leur a annoncé la réorganisation de toutes les classes et, cerise sur le gâteau, la mutation du professeur Pierre Patérour, dans l’école maternelle Dauphinot qui elle, récupère une classe (l’union de mardi et mercredi) !

Les réactions ont été très vives :

« Une honte ! Les gens qui décident ne voient pas la réalité sur le terrain ! C’est facile de décider derrière son bureau dans un joli fauteuil en cuir » dit cette maman plus qu’énervée.

« Ça va perturber les enfants, donner plus de travail aux instituteurs et après on va dire que Croix-Rouge est un quartier difficile… » Dit Isabelle, une autre maman.

« Il y en a ras-le-bol. En plus de la fermeture d’une classe de primaire, ils annoncent celle d’une maternelle et ils pensent qu’on va subir sans rien dire » reprend Sophie Delissus.

Après de nombreuses discussions, les parents d’élèves ont décidé d’agir au plus tôt. Affichages, banderoles, pétitions, retrait de leurs enfants de l’école, distribution de tracts et blocage des accès à l’établissement devraient être mises en place dès ce matin.

« Nous allons faire comme nos collègues de l’école Dau¬phinot, en espérant avoir la même fin heureuse qu’eux » dit Cathy Lebeaux, représentante des parents d’élèves.

Du côté de l’Éducation nationale, Christian Adnot, inspecteur adjoint, confirme bien cette suppression de classe. Il la justifie :

« Ce qui motive cette fermeture, c’est le différentiel entre les prévisions et le chiffre d’élèves réel, explique-t-il. L’école Galilée attendait 160 enfants, mais lors de la rentrée, nous avons constaté qu’il n’y en avait que 145 à l’appel, d’où notre décision. »

Thierry Accao Farias

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Journal « l’Union » 080905e

Déviations rue Joliot-Curie

 

Dans le cadre des déviations des réseaux réalisées actuellement sur le tracé de la ligne de tramway, la rue Joliot-Curie sera fermée au niveau de l’avenue du Général Bonaparte et mise en impasse à partir de lundi 8 septembre pour une durée d’une quinzaine de jours.

Les modifications des lignes de bus sont affichées aux arrêts concernés et pour plus d’information, appelez au 03.26.88.25.38. ou consultez le site www.tur.fr.

Pour toute information sur les travaux du tram, numéro vert : 0800 10 87 26.

De 7 à 20 heures, Espace Tram Info, Place Myron T. Her¬rick, près du Grand Théâtre. Du lundi au samedi de 12 à 19 heures sur www.mars-reims.fr

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Journal « l’Union » 080905d

Victime ou agresseur ?

 

Un jeune homme de 27 ans a été interpellé lundi après-midi dans le quartier Croix-Rouge pour des violences envers son ex-concubine un peu plus jeune que lui.

La demoiselle affirme qu’il aurait même tenté de l’étrangler, ce qu’il nie. C’est elle qui au contraire l’aurait « gazé ».

En tout état de cause, il devra s’en expliquer devant la justice le 11 décembre prochain.

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Journal « l’Union » 080905c

AVIS DE MODIFICATION D’OBJET SOCIAL

 

Société : ÉLECTRIC SYSTEM. S.A.R.L. au capital de : 10.000 euros.

Siège social : 31, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.

Numéro R.C.S. : 497579755 Reims.

L’assemblée générale tenue le 1/09/08 a décidé de modifier l’objet social à compter du 1/09/08 et de modifier en conséquence l’article 2 des statuts.

Corrélativement, l’avis précédemment publié, relativement à l’objet social est ainsi modifié :

Article 2 objet social :

Ancienne mention : l’électricité générale, installation d’alarme, de caméras de vidéo surveillance, le câblage informatique, la téléphonie, l’alimentation générale et la restauration.

Nouvelle mention : l’électricité générale, installation d’alarme, de caméras de vidéo surveillance, le câblage informatique, la téléphonie, l’alimentation générale, la restauration, la vente non sédentaire, la cuisson de produits de boulangerie et l’import-export.

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Journal « l’Union » 080905b

316.400 euros pour les zones sensibles

 

Hier soir, dans un communiqué, la députée Catherine Vautrin, vice-présidente de l’Assemblée nationale, a annoncé l’attribution d’une subvention de 316.400 € au titre du Fonds d’intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce (FISAC), pour le financement de la première tranche de l’opération urbaine dans les zones sensibles de Reims.

L’ex secrétaire d’Etat explique que cette subvention intervient suite à une intervention qu’elle aurait faite auprès de Christine Lagarde, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi.

C’est Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des petites et moyennes Entreprises, du Tourisme et des Services qui a informé la députée rémoise de la bonne nouvelle.

Cette subvention devrait permettre la réalisation de travaux dans ces quartiers en matière de rénovation des vitrines commerciales, de modernisation des entreprises ou encore de sécurisation des locaux d’activité et d’aménagement de l’accessibilité pour les personnes handicapées.

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Journal « l’Union » 080905a

Nocturne chaque samedi en septembre à l’hippodrome

 

Sept courses et de nombreuses animations samedi soir.

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C’est la rentrée aussi à l’hippodrome de la Champagne, avenue Robert-Schuman. Bonne nouvelle pour les turfistes et leur famille : tous les samedis de septembre de 19 h 30 à 23 heures, des courses seront organisées à Reims au cours de soirées animée.

Samedi 6 septembre

Au programme de la soirée,

- sept courses.

- Tiercé des dames. Chaque femme présente sur l’hippodrome recevra un ticket. Elle devra pronostiquer les trois chevaux à l’arrivée du grand prix.

- Suite à l’arrivée de la course, trois tickets seront tirés au sort parmi ceux qui auront les trois chevaux à l’arrivée.

- Stands de produits du terroir : spécialités de Reims.

- Ambiance Jazzy.

- Opération « Courez aux courses » pour les enfants avec la distribution de nombreux cadeaux.

- Jeu gonflable. Balades à poney.

Entrée gratuite pour les enfants de moins de 18 ans.

Samedi 13

- Sept courses nocturnes.

- Tiercé des dames.

- Stands de spécialités du terroir de Sainte-Ménehould. Présence de la confrérie du pied de cochon de Sainte-Ménehould.

- Ambiance fanfare avec les Boules de feu, fanfare des étudiants de la Fac de Médecine de Reims.

- Jeu gonflable pour les enfants.

Samedi 20

- Sept courses nocturnes.

- Tiercé des dames.

- Stand de spécialités du terroir de Rethel. Présence de la confrérie du boudin blanc de Rethel.

- Ambiance féria avec l’harmonie municipale de Châlons-en-Champagne.

- Course de chevaux ardennais.

- Jeu gonflable pour les enfants.

- Tombola panier garni à gagner.

Samedi 27

- Sept courses nocturnes.

- Tiercé des dames.

- Stands de spécialités du terroir d’Épernay. Dégustation et vente de produits.

- Ambiance saxo avec le quatuor de saxophones d’Hirson.

- Jeu gonflable pour les enfants.

Début des opérations à 19 h 30. Programme de pronostics gratuits. Réservation restauration panoramique, restauration rapide sur place.

Bus : arrêt Maurica par les lignes H, K, M, P, S. Infos au : Tél. 03.26.08.65.29. ou www.lescourseshippiques.com

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Une pluie d’animations

 

A l’heure où le soleil veillera à tirer sa révérence, c’est une… pluie d’animations qui s’abattra sur l’hippodrome de Reims.

Une réouverture ambiance « Jazzy » - avec Twin’s Jazz Quartet - où tout le monde devrait y trouver son compte.

Outre l’opération « Courez aux courses » (1) chacun aura à cœur de fréquenter les stands gastronomiques rémois, de jouer au tiercé des dames sur le Grand Prix Louis-Roederer (jeu gratuit hors PMH et soumi à conditions) avant de participer à une tombola.

De quoi débuter du bon pied un mois de septembre où chaque samedi l’hippodrome assurera le spectacle.

(1)L’opération se propose de remettre à chaque enfant présent sur l’hippodrome - dans la limitation des stocks disponibles - le sac du parfait petit écolier (trousse, cahier, stylo et autre surprises). Il sera offert à Reims et Amiens le 6 septembre, puis à Laon le lendemain. Une occasion de plus d’aller aux courses en… famille !

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L’hebdo du vendredi- n° 90 - 080904f

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 90 - Semaine du 05 au 11 septembre 2008

 

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JUSQU’AU 11 OCTOBRE : « La calligraphie, un patrimoine vivant »

 

La médiathèque Croix-Rouge met en évidence la vitalité de la création calligraphique avec une exposition de Driss Chajri.

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Infos travaux

 

Dans le cadre des déviations de réseaux réalisées actuellement sur le tracé de la ligne de tramway, la rue Joliot Curie sera fermée au niveau de l’avenue du Général

Bonaparte et mise en impasse à partir du lundi 8 septembre 2008 pour une durée d’une quinzaine de jours.

Les modifications des lignes de bus sont affichées aux arrêts concernés et pour plus d’informations, appelez au 03 26 88 25 38 ou consultez le site www.tur.fr.

Information travaux, numéro vert : 0 80010 87 26, de 7h à 20h.

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Journal « l’Union » 080904e

Une association junior créée à Croix-du-Sud

 

Un groupe de jeunes au travail avec Halim Lemboub.

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Un petit groupe d’une quinzaine de jeunes, âgés de 13 à 14 ans, désireux de créer une équipe de football, s’est constitué spontanément à Croix-du-Sud.

Ils ont rencontré les éducateurs spécialisés de l’association 2 Mains, chargés d’accompagnement social, et ils ont monté ensemble un partenariat avec Alpha Logement et l’Effort rémois.

L’organisme logeur leur a proposé un chantier jeunes : repeindre les grilles et barrières des espaces Auguste-Rodin et Paul-Cézanne en échange d’une subvention versée pour la création et le lancement d’une association junior.

Objectif : développer des actions sportives, dont le football, encadrées au sein de l’Etoile Croix-du-Sud, association porteuse.

Pour Jean-Louis Rumerio (2 Mains), c’est là un excellent exercice d’apprentissage à la citoyenneté.

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Journal « l’Union » 080904d

Une fermeture à l’école Galilée ?

 

Douche froide pour les parents d’élèves et enseignants de l’école Galilée-Newton du quartier Croix-Rouge : alors que la rentrée semblait s’être passée tout à fait normalement, la directrice aurait été avisée hier par un coup de fil de l’inspecteur qu’une des classes pourrait fermer, faute d’effectifs suffisants (il y aurait 149 élèves au lieu des 152 escomptés).

Les parents devraient décider aujourd’hui d’une action de protestation contre cette éventualité.

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Journal « l’Union » 080904c

Réunion de locataires à Croix-Rouge

 

Le Collectif des locataires de Croix-Rouge réunira ses adhérents et sympathisants en assemblée générale le mercredi 10 septembre à 19 heures, au centre de services aux initiatives économiques (CSIE), 43, rue Pierre-Taittinger.

« Deux thèmes principaux seront abordés lors de cette réunion : les charges locatives, avec David Biton, représentant d’une association de locataires du quartier Saint-Rémi et la rénovation urbaine, abordée lors d’un débat participatif », annonce Fabrice Lopez, fondateur et président du Collectif.

Reims-Habitat sera représenté par Éric Quénard, président de son conseil d’administration.

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Journal « l’Union » 080904b

Promotion Pays-de-France

 

L’association de promotion de Pays-de-France réunira son assemblée générale vendredi 12 septembre à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

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Journal « l’Union » 080904a

Piscine : inscriptions les 9 et 10 septembre

 

L’école de natation rémoise remporte toujours un franc succès.

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Les inscriptions à l’école de natation se dérouleront pour les adultes le 9 septembre et pour les enfants le 10 septembre. Avec un seul lieu d’inscription pour les six piscines rémoises.

COMME chaque année, le mois de septembre est souvent synonyme de course aux diverses inscriptions. Pour ce qui est de celles de l’école de natation et de ses multiples activités, deux dates ont été fixées par la Régie des équipements municipaux sportifs (Rems) : le mardi 9 septembre pour les adultes et le mercredi 10 septembre pour les enfants. Comme l’année dernière, les inscriptions se dérouleront au complexe sportif René-Tys, esplanade Léo-Lagrange : de 7 à 19 heures.

Une fiche numérotée sera remise à l’entrée du complexe, chaque personne devra la renseigner puis la présenter ensuite au secrétariat chargé de valider l’inscription en déterminant l’activité, le jour, et l’horaire choisis.

« Pour une inscription, il faut compter entre deux à trois minutes, pas plus », indique Pascal Vanscoor, responsable de la Rems. Pour ce qui est du paiement, il se fera au sein de la piscine choisie et non pas le jour de l’inscription.

Le montant du règlement complet de la cotisation sera déterminé sur présentation de la taxe d’habitation 2007 uniquement et devra être soldé dans la semaine du 15 au 19 septembre entre 8 h 30 et 19 heures. Attention, toute inscription non réglée le 19 septembre à 19 heures sera automatiquement annulée. « 80 % des personnes obtiennent le créneau désiré. Je n’ai jamais vu quelqu’un partir sans sa place à la piscine », explique Pascal Vanscoor.

C’est environ 4.000 personnes qui sont attendues durant ces deux jours. « Les gens sont devant les portes dès 6 h 30. Les rumeurs racontent qu’il n’y aura pas assez de places pour tous, mais c’est totalement faux, car il y a 5.000 places disponibles. La demande ne dépasse pas le nombre d’inscriptions possible », ajoute Pascal Vanscoor.

Thierry Accao Farias

Renseignements :

- Nautilud, Tél.03.26.82.60.00.

- Thiolettes, Tél.03.26.05.04.25.

- Chateau d’eau, Tél.03.26.86.18.38.

- Talleyrand, Tél.03.26.47.56.18.

- Louvois, Tél.03.26.82.29.39.

- Orgeval, Tél.03.26.77.49.60.

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Journal « l’Union » 080903b

Un centre de loisirs à l’Étoile Croix-du-Sud

 

Une fête pour les parents lors de la dernière journée.

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- Voir toutes les photos.

Malgré des finances calamiteuses (la nouvelle équipe dirigeante a repris le rènes avec un « trou » de 14.000 euros dans la caisse et de nouvelles factures impayées ne cessent d’arriver), l’association Étoile Croix-du-Sud, consciente que beaucoup d’enfants du quartier ne pouvaient pas partir pendant les grandes vacances, a décidé de tout faire pour ouvrir un centre de loisirs en juillet et en août.

Opération réussie : « Une trentaine d’enfants de 5 à 12 ans ont été accueillis chaque jour et ont bénéficié d’activités ludiques, éducatives en bénéficiant d’un encadrement professionnel » commente Jean-Michel Gauthier, président de l’Étoile.

La direction de l’équipe d’animation a été assurée bénévolement par deux éducateurs spécialisés de l’association « 2 Mains » , Sébastien Jacques en juillet et Vanessa Pogniot en août.

Tout est histoire de financement

Quatre animateurs diplômés, trois animateurs en formation BAFA et quatre jeunes animateurs juniors de Reims Vital’Ados ont apporté leurs compétences aux jeunes du quartier avec des activités peu onéreuses : piscine, bowling, stade de Reims, place d’Erlon, parc de Champagne, etc.

« Les parents, invités à une fête de fin de séjour, ont affirmé leur satisfaction et ils souhaitent que notre CLSH continue avec cette nouvelle formule » : mais bien évidemment, tout est une histoire de financement.

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images [1]

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Journal « l’Union » 080903a

En septembre à Croix-Rouge

 

Parcelles :

samedi 6 septembre à 10 heures, sur la rocade centrale, rue Joliot-Curie, se déroulera la proclamation la remise des prix du concours des plus belles parcelles de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud. Renseignements sur le site http://jardinscroixdusud.site.voila.fr

Collectif :

le Collectif des locataires de Croix-Rouge tiendra son assemblée générale le mercredi 11 septembre à 19 heures, au Centre de services aux Initiatives économiques (CSIE), 43 rue Pierre-Taittinger. Renseignements au CdlCR au 06.05.95.75.61. ou au 03.51.00.27.69.

Promotion :

l’association de promotion de Pays-de-France réunira son assemblée générale vendredi 12 septembre à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac. Renseignements auprès de l’Appf, 1 allée des Picards (03.26.36.65.71.).

Fête du sport :

l’Acrap et la Rap seront présents à la fête du sport au parc de Champagne, l’occasion de présenter leurs activités avec des démonstrations de majorettes, karaté et viet vo Dao.

Patinage :

l’assemblée générale du Reims Acrap patinage se déroulera vendredi 19 septembre à 20 h 30 dans les locaux du 11, avenue du président-Kennedy.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080902b

Annonces parues dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7253 du 01 au 07septembre 2008
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MODIFICATION DE STATUTS

 

L’EURL CYBER-DYC, au capital social de 3.000 €, sise au 12 place Maurice Utrillo à REIMS et immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le n° 499 893 170, décide d’étendre l’objet social aux activités suivantes : e-commerce, exploitation licence I.

Modification sera faite au R.C.S. de REIMS.

Fait à REIMS, le 26/08/08.

68225

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Journal « l’Union » 080902a

RENTRÉE 2008 / L’école, ça pourrait être bien mais…

 

« Et puis aussi, il faudrait que les adultes écoutent plus les enfants. »

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« On est trop nombreux dans les classes. »

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« Si la récré pouvait être un peu plus longue. »

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Ils sont peu nombreux à avoir envie d’y retourner ce matin. Quel que soit leur âge ou leur établissement. En revanche, les élèves ont des idées pour rendre l’école moins ennuyeuse.

L’ÉCOLE, c’est pourri.

À Croix-Rouge, secteur Croix-du-Sud, la petite bande qui traîne près de l’ancienne passerelle, n’est pas pressée de reprendre les cours. « On nous demande tout le temps de travailler alors qu’on n’aime que le sport, l’art plastique et la musique », lâchent ces élèves de François-Legros.

« J’ai pas de bonnes notes »

Seul Aliou modère le propos : « Il n’y a pas que du mauvais à l’école mais parfois c’est trop compliqué, du coup on décroche. Je travaille quand même car je veux devenir militaire ».

Assise dans un petit square du quartier, Camille profite de ses derniers moments de vacances. « Je rentre en 6e avec un peu de retard. J’ai pas de bonnes notes. Cette année ma mère me change d’école ». La jeune fille pense que ça irait mieux « si on était moins dans les classes et si les profs étaient plus gentils ».

Pour Marwane et Acheraf qui entrent à la primaire Galliéni, la rentrée n’est pas un problème. Ils ont 17 de moyenne et aiment apprendre. Acheraf précise toutefois que « la récré devrait être plus longue ».

« Supprimer les devoirs à la maison »

Sarah entre en CM2 à Martin-Peller. Elle est ravie. « Ce serait parfait s’il y avait davantage de dessin et de sorties. Même à l’étranger. Et puis aussi, il faudrait que les adultes écoutent plus les enfants. Ils croient toujours un autre adulte plutôt qu’un enfant et parfois il arrive des choses injustes. »

Marion, Géraud, Ombeline, Noëmie et Delphine prennent le soleil voilé sur le parvis de la cathédrale. Pas un n’a envie de retrouver ses chers professeurs.

Pourtant ils ne sont pas tous du même bahut : Chagall, Sacré-Cœur et Jean-XXIII. « Pour qu’on ait envie d’y retourner, il faudrait commencer par supprimer les devoirs à la maison », estime Ombeline. « On passe déjà toute la journée en classe et en rentrant il faut encore travailler, c’est lourd. »

Géraud, lui, serait pour diminuer la durée de la journée scolaire : « Ce serait bien de finir vers 14 heures comme cela existe dans certains pays ».

Les profs n’ont pas trop à changer : « Il faut qu’ils aient de l’autorité mais en même temps qu’ils soient davantage humains. Bref, ils manquent souvent de psychologie. En revanche, ils sont souvent passionnés et intéressants ».

On garde à peu près les mêmes matières mais « il faut étudier les langues autrement car au final on n’est pas bon. Il faudrait aussi davantage de sport et qu’on puisse le choisir. Ce serait bien d’ajouter un cours de psychologie ». Que les profs pourraient suivre aussi.

Catherine Frey

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Journal « l’Union » 080901a

INDISCRETIONS : Ouverture et inauguration

 

Après d’importants’ travaux, la piscine de Croix-Rouge doit rouvrir au public le lundi 22 septembre.

Reste que la municipalité aurait décidé de procéder tout de même à une inauguration de ces travaux voulus par l’ancienne équipe de Jean-Louis Schneiter. « On espère que la nouvelle adjointe aux sports aura la délicatesse de ne pas tirer la couverture à elle en disant que la nouvelle municipalité a particulièrement à cœur de donner de beaux équipements aux quartiers. »

C’est dit.

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Journal « l’Union » 080830d

A la médiathèque Croix-Rouge

 

L’alphabet des sables, mercredi 10 septembre.

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Julie raconte : Mercredi 3 septembre à 15 heures, « L’histoire de Sedna », extrait de Mythes des Amériques d’Hélène Montardre. Au pays de la mer et des glaces, vivait une jeune fille nommée Sedna. Elle était très belle et repoussait tous ses prétendants jusqu’au jour où… Pour tous, à partir de 6 ans.

Mercredi 10 septembre à 11 heures, l’alphabet des sables : une lettre, une calligraphie, une histoire…. Pour enfants de 4 à 8 ans.

L’air du conte : Mercredi 17 septembre à 15 heures, théâtre d’images : le turban du sultan. Pour enfants à partir de 5 ans.

L’heure des bébés : Samedi 20 septembre à 9 h 30, moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

La séance s’achève par la projection de très courts métrages. Pour enfants accompagnés d’un adulte.

Diapositives : Mercredi 24 septembre à 16 h 30, « La petite boule noire », écrit par Patrick Larriveau, dessins de Shiruzu Bochaton, pour enfants de 4 à 8 ans.

Entrée libre sur inscription préalable à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tél. 03.26.35.68.40.

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Journal « l’Union » 080830c

Rentrée au lycée Arago

 

Les 1 ère année BTS rentreront à l’internat du lycée Arago, lundi, entre 16 et 17 heures. Puis les terminales STI GC — GE et TCA entre 17 et 18 heures.

Les filles seront hébergées au lycée Libergier, elles y seront accueillies lundi de 14 à 16 heures, au 20 rue des Augustins. En cas d’empêchement prévenir au 03.26.77.63.23.

La rentrée sera échelonnée sur la journée de mardi :

- de 8 à 10 heures : terminales STI GC/GE, terminales CA, 1"’ années BTS.

- de 10 à 12 heures : 1res S et ES, terminales S et ES.

- de 11 à 13 heures : 1 res STI GC/GE, V’ adaptation STI GC/E.

- de 14 à 16 heures : tous les BEP et bac pro., 2e année de BTS.

- de 15 h 30 à 17 heures : secondes.*

Début des cours à 14 heures pour les 1e année BTS, terminales C.A., terminales GC-GE. Pour les autres à mercredi 8 heures selon l’emploi du temps.

Rentrée à l’internat le mardi 2 au lycée Arago,

- De 8 h 30 à 9 heures 1res et terminales S et ES.

- De 9 h 30 à 10 h 30 : 1res adaptation STI GC-GE et 1res STI GC.

- De 11 à 12 heures : tous les BEP et bac pro.

- De 14 à 15 heures : les secondes.

Les garçons inscrits en 2e année BTS seront accueillis à l’internat de Murigny à 10 h 30. En cas d’empêchement prévenir au 03.26.83.50.50.

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Journal « l’Union » 080830b

Déviations rue Joliot-Curie

 

Dans le cadre des déviations des réseaux réalisées actuellement sur le tracé de la ligne de tramway, la rue Joliot-Curie sera fermée au niveau de l’avenue du Général-Bonaparte et mise en impasse à partir de lundi 8 septembre pour une quinzaine de jours.

Les modifications des lignes de bus sont affichées aux arrêts concernés et pour plus d’information, appelez au 03.26.88.25.38 ou consultez le site www.tur.fr.

Pour tout information sur les travaux du tram : numéro vert : 0.800.10.87.26. ou www.mars-reims.fr

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Journal « l’Union » 080830a

Refus d’obtempérer

 

Deux individus sur motos de cross sans casque et roulant à vive allure ont été interpellés mercredi vers 20 heures, avenue Bonaparte, à Croix Rouge.

Se sachant dans l’illégalité, ils ont pris la fuite. Néanmoins les policiers ont eu le temps d’identifier un des deux motards.

Trois heures plus tard, celui-ci sera interpellé à son domicile.

Questionné, il reconnaît les faits mais refuse de donner le nom de son ami.

Il fera l’objet d’une convocation devant un officier de police judiciaire le ter décembre pour refus d’obtempérer.

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l’union080829h

RENTRÉE 2008 : La rentrée scolaire dans les collèges publics

 

Les nouveautés de la rentrée dans les collèges publics rémois ne seront pas forcément spectaculaires. Mais il y en aura. Voici le point avant la rentrée collège par collège.

Georges-Braque

Principal : Sylvie Malaval. Nombre d’élèves : 350. Enseignants : 40 dont 4 nouveaux.

Particularités : 6e « Passerelle » ; 4e « alternance » et 3e « insertion » professionnelle.

Nouveautés : Langue vivante 2 chinois avec le professeur de « Jean-Jaurès ». Départ pour Aÿ de la principale adjointe Marielle Fichou, qui sera remplacée au début du mois de septembre. Section sportive badminton.

Rentrée : mardi 2 à 8 h 30 pour les 6e ; les 5e à 14 h 15 ; les 4/3e à 15 heures.

Joliot-Curie

Principal : Philippe Lhuillier. Nombre d’élèves : 350. Enseignants : 40, dont 7 nouveaux.

Particularités : 6e bi-langue (anglais/allemand) ; 3e pour projets professionnels (6 heures ; Segpa) ; accompagnement éducatif anticipé.

Nouveautés : Le collège lui-même : il a été inauguré à la rentrée dernière. Une équipe d’assistants pédagogiques (étudiants préparant l’IUFM) soutiendra les élèves en difficulté, comme dans 3 écoles du quartier.

Rentrée : mardi 2 : les sixièmes uniquement pour la journée. Le 3 : tous les autres sauf les 6e. Le 4 : tout le collège.

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l’union080829g

Football

 

Bonne nouvelle pour le football-club Atlas : il vient d’accéder à la 2e série du district Marne de football.

Le président Hichem Boussoufi est plein d’espoir malgré une baisse de plus de 76 % de la subvention municipale.

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l’union080829f

Rentrée au collège François-Legros

 

Les horaires de rentrée au collège François-Legros sont les suivants.

Mardi 2 septembre, de 8 h 30 à 11 h 30, classes de 6e ; de 13 h 45 à 15 h 45, classes de 5e.

Mercredi 3 septembre, de 8 à 10 heures, classes de 4e ; de 10 à 12 heures, classes de 3e ; de 13 h 30 à 15 heures, rassemblement des classes de 6e au gymnase.

Pour tous les élèves, début des cours suivant l’emploi du temps, jeudi 4 septembre à 8 heures.

Le restaurant scolaire ouvrira ses portes jeudi 4 septembre midi.

Renseignements : collège François-Legros, 2 rue François-Legros, tél. 03.26.08.03.77.

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l’union080829e

Découvrir l’industrie et la métallurgie

 

Mercredi 3 septembre de 14 à 18 heures, l’Union des industries et des métiers de la Métallurgie propose un point d’information pour répondre aux questions et aux attentes des personnes intéressées par une formation, un apprentissage et ou un métier dans l’industrie et la métallurgie.

Présentation des métiers de l’électricité, de la maintenance, de la mécanique, de l’usinage, des systèmes automatisés, de la chaudronnerie, etc…

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).

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l’union080829d

Concours des jardins de Croix-du-Sud

 

Samedi 6 septembre à 10 heures, sur la rocade centrale, rue Joliot-Curie, aura lieu la proclamation des résultats et la remise des prix du concours des plus belles parcelles de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud.

Renseignements sur le site http://jardinscroix¬dusud.site.voila.fr

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l’union080829c

Patinage

 

L’assemblée générale du Reims Acrap patinage se dérou¬lera vendredi 19 septembre à 20 h 30 dans les locaux du 11, avenue du président-Kennedy.

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l’union080829b

Feu de poubelle

 

Les pompiers sont intervenus hier jeudi peu après 4 heures du matin pour éteindre un feu de conteneur à ordures à hauteur du 3 de l’avenue du Général-Bonaparte, quartier Croix-Rouge à Reims.

Le conteneur se trouvait placé en plein milieu de la chaussée…

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l’union080829a

Allée Edgar-Degas

 

Les pompiers sont intervenus mercredi soir vers 22 h 30 dans l’allée Edgar-Degas du quartier Croix-Rouge, pour éteindre un feu de conteneur survenu dans un local vide-ordures.

[1] Ce qui semble être ignoré par le journal qui ne l’indique pas.