par Administrateur
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Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.
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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008
Les enfants ont chanté avec le père Noël et un clown.
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Le Noël des enfants organisé par l’association des Travailleurs maghrébins de France a rencontré un beau succès.
Deux bénévoles, le clown de l’association Spectacles 51 et un père Noël, ont amusé les nombreux enfants réunis allée des Picards et à qui ont été offerts bonbons, friandises et chocolat chaud grâce à la Banque alimentaire et à deux généreux commerçants rémois.
« Cette action s’inscrit dans le cadre de la solidarité, pour faire plaisir aux enfants et aux personnes handicapées à qui nous avons offert des colis (bonbons et gâteaux) à leur domicile » explique Mohammed El Haddaoui, président de l’Atmf qui, entouré des bénévoles de l’association, a accueilli les parents et deux élus municipaux, Éric Quénard et Salah Byar.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
La séance constitutive du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny se déroulera jeudi 8 janvier à 19 heures, au collège François-Legros, 2 rue François-Legros (séance publique).
Les conseillers, qui ont été recrutés soit par tirage au sort, soit par un appel à candidature des volontaires, ont pour objectif de mettre en route le conseil.
Chaque jardinier pourra apporter son témoignage.
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« Né d’un travail de collaboration, un ouvrage « Vert-tiges de Reims » va voir le jour, montrant l’évolution et la vie des jardins familiaux de Reims et son agglomération », annonce Didier Klodawski, président des jardiniers de Reims et l’agglo.
« Cet ouvrage sera préparé par notre association, sans l’intervention de la Ville de Reims et chaque jardinier pourra y participer par des photos ou des textes. »
Les personnes intéressées peuvent contacter Didier Klodawski sur le site http://www.jardinsfamiliaux.org
Le Creps regroupe des installations sportives et d’hébergement pour la formation sportive et intellectuelle de jeunes gens allant de 12 à 25 ans.
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Le Creps de Reims procède à la construction d’un nouveau dojo et d’une nouvelle salle d’armes.
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Heureux, le directeur Gérard Baudry
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Le secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports, Bernard Laporte, a fait savoir au Creps de Reims qu’il poursuivrait son activité en tant que « campus de l’excellence sportive ». Ouf !
AUTANT le dire clairement le Creps de Reims a sauvé sa peau ! En effet, l’État réduit la voilure dans tous les domaines, y compris son soutien au sport de haut niveau. Ce qui l’amène à ramener de 17.000 à 10.000 sportifs la liste des jeunes relevant du réseau national « Jeunesse et Sport », et donc à fermer ou à se séparer de 10 des 24 structures de type Creps.
Heureusement, Reims reste parmi les 84 Campus territoriaux de l’excellence sportive ». La bonne nouvelle s’est matérialisée par une lettre du secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports, Bernard Laporte.
Le champagne a donc coulé dans le bureau du directeur Gérard Baudry, qui a ainsi pu rassurer les 80 membres du personnel, et par-delà, les 190 athlètes âgés de 12 à 25 ans. Il leur a donc expliqué que dans le cadre de sa révision des politiques publiques, l’État « resserre » à la fois la carte et les missions des établissements dédiés au sport de haut niveau.
Côté carte, cela signifie la réduction de 24 à 14 du nombre de Creps d’ici au l’r septembre 2009. Ainsi disparaîtrait celui d’Amiens, mais resterait celui de Reims (*).
Ce réseau allégé des Creps aura pour fer de lance l’Insep de Vincennes, et pour complément trois écoles nationales spécialisées (équitation, sports nautiques et sports de montagne). Les premiers mois de l’année prochaine vont donc être utilisés pour examiner le redéploiement possible des athlètes dépendant des établissements en voie de disparition.
Le Creps de Reims étant déjà « plein comme un œuf », il devrait quand même accueillir les stagiaires de Picardie qui doivent terminer une formation. Et puis, souligne M. Baudry, la réduction du nombre de jeunes sportifs à former limitera la portée des fermetures, au moins sur ce plan-là.
Sans connaître précisément les vraies raisons qui ont conduit le ministère à garder Reims, M. Baudry estime que l’effet TGV a pu jouer. De même, le Creps rémois est un lieu exclusivement dédié à sa mission de formation sportive, implanté à proximité des établissements scolaires et de l’Université.
2009 sera donc une « bonne année » pour le Creps rémois. D’ici à l’été, les travaux de construction de la nouvelle salle d’armes et d’arts martiaux seront achevés. Construction qui entre dans le cadre du plan État/Région.
Ensuite, il s’agira de refaire l’ensemble des chambres, dont la création remonte à l’origine des locaux en 1981.
Le Creps s’est également doté d’un terrain synthétique éclairé.
J.F.Scherpereel
(*) Les Creps qui deviennent « campus territoriaux de l’excellence sportive » sont ceux de Talence, Dijon, d’Ile-de-France, de Montpellier, Nancy, Provence-Alpes-Côte d’Azur, des Pays de Loire, de Toulouse, Reims, Strasbourg, Wattignies, du Centre, de la Réunion et des Antilles-Guyane.
(**) Les Creps qui ne fonctionneront plus sous la forme d’un établissement public national au 1er septembre seront Houlgate, le Limousin, la Corse, Mâcon, la Picardie, la Franche-Comté (hors site de Prémanon).
Le Creps de Reims date de 1941, mais sa forme et son emplacement actuels sont de 1981. Sur 12 ha, il regroupe des installations sportives et d’hébergement pour la formation sportive et intellectuelle de jeunes gens allant de 12 à 25 ans.
Ceci dans deux « pôles France » - escrime et bowling - et dans un « pôle espoir » : athlétisme, football, handball, basket, aviron, judo, etc.
Sur 190 jeunes, 140 sont hébergés sur place. Les plus jeunes du « pôle espoir » sont suivis sur le plan sportif et effectuent leurs études en collège (François-Legros) ou lycée (Libergier, Arago et Joliot-Curie), voire à l’Université.
La durée moyenne de séjour au Creps va de 1 à 5 ans, mais avec une moyenne de 2 ou 3 ans.
Le Creps forme également aux métiers de l’animation et du sport.
Son budget est de 3 M€, plus 1,5 M€ pour la partie fonction publique de l’établissement (40 agents).
Où les habitants feront-ils leurs achats ? Plus loin en prenant le bus, et plus cher !
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Dans le cadre des opérations de rénovation urbaine et des travaux pour le tramway, le Foyer rémois a prévu le déménagement des locaux de son agence et des commerces actuels, situés sur et près de la passerelle, dans le nouveau centre en construction, parc Arago. Celui-ci sera plus réduit en surface que le centre actuel, et la supérette ne pourra pas y trouver place en l’état. Le gérant vient de lancer une pétition contre cette non-implantation.
« Je soutiens cette initiative », annonce le conseiller municipal Michel Guillaudeau, habitant du quartier. « Un quartier de la taille de Pays-de-France (2.200 logements) ne peut se passer d’un commerce d’alimentation situé en son centre et proposant des prix accessibles à la plupart des habitants. Si aucune initiative officielle n’est prise dès le début du mois de janvier, nous organiserons une réunion publique sur cette question importante, pour l’avenir du quartier et le quotidien de la population. »
Autre soutien, et de taille, celui de l’association « Croix-Rouge, comité Pays-de-France », qui défend les intérêts des locataires du Foyer rémois dans le quartier : « La restructuration du quartier va faire disparaître la supérette, locomotive du commerce local. Il ne reste que quelques mois pour trouver une solution. Il est urgent que les habitants soient entendus et puissent donner leur avis ou faire des propositions ».
Pour 9Christophe Faber, directeur clientèle au Foyer rémois : « Nous avons de nombreuses sollicitations concernant les cellules commerciales en construction, que nous allons examiner attentivement. Mais nous accorderons une priorité aux commerçants qui sont dans le centre commercial actuel et qui ont droit, eux aussi, à des égards.
Les surfaces, dont nous disposons, ne permettront pas d’implanter une supérette de la même taille que l’actuelle, mais le Foyer rémois a bien conscience qu’un commerce d’alimentation est indispensable dans ce quartier, et il y trouvera sa place ».
Un après-midi mémorable pour les enfants.
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103 bambins de 6 à 12 ans, de tous les quartiers de Reims, étaient présents à l’après-midi récréatif offert par les Restos du cœur aux enfants de leurs bénéficiaires des trois centres de la ville.
« Cette cérémonie est réalisée depuis Maintenant plus de dix ans », rappelle Mario Rossi, responsable administratif « Nous sommes aidés par les Scouts de France du groupe Cathédrale, renforcés par ceux de Tinqueux. Ils jouent un rôle essentiel dans l’accueil, l’organisation de la kermesse et la préparation du goûter. »
Autre aide appréciée, la participation traditionnelle de quatre étudiants de l’IUT de Reims, dans le cadre d’un module de leur formation, sous la direction d’Elodie Hemmer, professeur en expression et culture Benoît Denigues, Cassio¬pée Lagarde, Phan Maly Pho¬nethanom et Mickael Vaujour ont préparé, emballé et identi¬fié chacun des 103 cadeaux personnels remis aux enfants par le père Noël.
Ils prolongeront leur action en mars, par une journée récréative dont la destination est tenue secrète pour une plus grande surprise.
Enfin entre la kermesse et le passage du père Noël, la compagnie parisienne Agile a présenté un spectacle d’inspiration fantastique « Les deux gredins », sur un texte de Roald Dahl : les enfants ont ri de bon cœur ! Sur un financement « colis de Noël » de la ville de Reims, cette opération n’a rien coûté aux Restos », précise encore Mario Rossi en présence de Stéphane Joly, adjoint à la solidarité et des bénévoles dis¬crets des Restos
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Les petits sont prêts à écouter Elodie Lahaye.
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Laurence Geoffroy, animatrice permanente de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, a mis sur pied une série d’activités de Noël pour tous publics.
Et notamment, le mercredi 17 décembre, dans le cadre de l’accueil loisirs, Elodie Lahaye, de la compagnie Crocs en Scène, a présenté un conte traditionnel africain mis en scène par Pascal David, aux enfants de l’accueil loisirs.
Croyant faire le malin, un jeune habitant de Croix-Rouge a lancé quelques Cd-rom sur les policiers qui patrouillaient au pied de son immeuble.
Pas de chance pour lui, les fonctionnaires de police l’ont rapidement repéré, puis identifié, et interpellé quelques minutes plus tard.
Le lanceur de disques devra répondre de ses actes — outrage à agents — devant la Justice.
Les faits se sont déroulés le vendredi 26 décembre peu après 18 h 15.
Une expérience formidable qu’il faudra renouveler avec plaisir !
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Un groupe de 13 jeunes âgés de 14 à 17 ans a séjourné à La Bresse, dans les Vosges, avec trois animateurs, Abdel Errafii (Ethnic’s), Magali Garcia (Hip-hop La Nacelle) et Stéphanie Tadla (les Francas).
Ce séjour était organisé dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale pour clôturer le projet 2008, par la Maison de quartier Croix-Rouge qui a fourni après-ski et combinaisons, en partenariat avec la Circonscription de la Solidarité départementale du quartier Croix-Rouge, le Service départemental de prévention et le Dispositif réussite éducative du quartier Croix-Rouge, dans le cadre du CUCS pour clôturer le projet 2008.
Hébergés en centre permanent à 100 mètres des pistes de ski, les jeunes ont pratiqué la raquette, la luge et la patinoire.
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Un agréable après-midi récréatif avec goûter et animations a été offert aux enfants de l’association Croix-Rouge animation et promotion.
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Une centaine d’enfants a apprécié le spectacle.
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Les enfants de la halte-garderie de l’espace Watteau, accompagnés par leurs parents, ont fêté Noël. C’est à l’espace Verrerie que tout ce petit monde avait rendez-vous pour assister au spectacle de l’ours Mandarine.
Toute en couleurs, cette histoire, préparée par les équipes des espaces Watteau et Saint-Remi, a enchanté la centaine de participants.
Un transport avait été organisé pour rendre accessible cette soirée à toutes les familles intéressées.
Un goûter composé de gâteaux, préparés par les parents, a clôturé cette fête.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081228b
Numéro 7269 du 22 au 28 décembre 2008
GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF
Par jugement du 16/12/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
SARL H.E. DÉVELOPPEMENT FRANCE.
10 avenue du Gal Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Le négoce de tous produits et notamment de bricolage, jardinage, décoration, gadgets.
71254 Le greffier Bernadette DELPY.
GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF
Par jugement du 16/12/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
SARL BAAR LOGISTIQUE.
6 cours du Général Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Transport de marchandises.
71227 Le greffier : Bernadette DELPY.
MODIFICATION DE STATUTS
société à responsabilité limitée au capital de 1.000Euros
8 rue d’Oseille 51100 REIMS
508 405 297 R.C.S. Reims
Par décision du 15 décembre 2008 de l’associée unique, le siège social a été transféré à REIMS (51100), 8 rue de Rilly la Montagne, à compter du même jour. Ce qui entraîne A publication des mentions suivantes :
ANCIENNE MENTION : 8 rue d’Oseille 51100 REIMS
8 NOUVELLE MENTION : 8 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS.
R.C.S. : REIMS.
8 71138 Pour avis.
Une résidence sous le charme.
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Dans le cadre de ses activités, le centre de loisirs de l’Étoile Croix-du-Sud, dirigé par Vanessa Pogniot et Sébastien Jacques, a organisé une rencontre entre les enfants et les personnes âgées de la résidence Arfo Lucien-Doyen.
Le spectacle des petits bouts de chou un peu intimidés à la résidence, chantant « Voulez-vous danser grand-mère » et autres chansons de jadis reprises en chœur, était très émouvant et a apporté un peu de douceur aux pensionnaires de Sandrine Pigeon et de l’équipe de Lucien-Doyen.
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Une féerie de couleurs sur la glace de Jacques-Barot
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Vendredi 19 décembre, une centaine de patineurs de 3 à 18 ans du Reims Acrap Patinage a évolué sur la glace de la patinoire Jacques-Barot en habits rouges de lutins.
C’était féerique !
Ils ont présenté leur spectacle entre 18 et 20 heures devant un public très nombreux, avant le passage du Père Noël en patins qui leur a remis un petit goûter.
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Les méritants posent pour la photo souvenir.
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Chaque année, plusieurs prix sont remis à des Rémois méritants qui se distinguent dans leur travail, leurs études ou auprès de leur famille. Voici la liste des récompensés en cette fin d’année.
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un prix de 4.500 € est décerné à un ou plusieurs élèves de l’enseignement primaire ou secondaire, issus de familles modestes qui se sont fait remarquer par leurs aptitudes, leur application et leur bonne moralité. Ce prix a été réparti entre 6 personnes :
…,
Alexandra Wauthier du collège François-Legros,
…
Terena Kante du collège Georges-Braque, …
…
Produire des légumes sains préserve la santé.
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La fédération des Jardins familiaux de l’agglomération de Reims a reçu le seul prix en France des Jardins familiaux collectifs. Pour faire toujours mieux, son président, Didier Klodawski, insiste maintenant sur la manière de jardiner « bio ».
« Jardiner bio, c’est tout d’abord ne pas utiliser de produits chimiques, ni de pesticides de synthèse, ni d’OGM (organismes génétique- ment modifiés). Il faut employer les traitements autorisés en jardinage biologique, ceux qui respectent l’environnement, les abeilles et la santé. Les produits chimiques et pesticides de synthèse favorisent les cancers et polluent notre environnement, donc notre planète. Il faut leur préférer une lutte biologique, au moyen d’organismes naturels antagonistes, en rivalité ou en concurrence. »
Pour Didier Klodawski, il existe des méthodes de culture basées sur la rotation : ainsi ail, poireaux et oignons reviennent après une période de 3 ans sur la même planche.
Les jardiniers sont invités à pratiquer le compostage et le recyclage des matières organiques et des déchets végétaux et à intensifier la biodiversité.
Beaucoup de monde au concours de dessins de Noël
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Les enfants du quartier Croix-Rouge étaient nombreux dans la salle de l’Acrap pour la remise des prix du concours de dessins annuel de l’association ouvert gratuitement à tous, même aux non adhérents, au cours d’un après-midi récréatif avec goûter et animations.
Le président Jean-Pierre Genesseau a remarqué cette année un renouvellement des candidats avec beaucoup de nouvelles têtes, ce qui est encourageant.
Chez les enfants nés en 2002, 2003 et 2004 (« Je dessine un paysage de Noël et je le colorie »), les prix sont revenus à Océane Borges, Maxence Rougeaux, Lucas Thierry et Safina Zeradib.
Chez les enfants nés en 1999, 2000 et 2001 (« Je réalise une carte de vœux à offrir aux habitants du quartier Croix-Rouge avec un texte de mon choix »), le classement est le suivant :
1er, Quentin Boucher et Elyes Marref ;
3e, Enola Glé ;
4e, Mathilde Boudé, Alicia Morand, Anaïs Moray et Aurélie Petitjean.
Enfin, chez les enfants nés en 1996, 1997 et 1998 (avec le même thème), sept prix ont été décernés.
1er, Mariam Galagaeva, Cassandra Nicaise et Valentin Nouvion ;
4e, Imani Galagaeva, Antonin Halterre, Michaël Hanrion et Ibtissem Zeradib.
Parmi les vœux exprimés par les enfants, Imani Galagaeva « pense à tous ceux qui passent Noël à l’hôpital » ; Antonin Halterre et Ibtissem Zeradib souhaitent « que l’on respecte les personnes âgées ».
Tous les gagnants ont reçu de beaux cadeaux appréciés en cette période de fête.
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Des tablées studieuses où l’enjeu est l’avenir professionnel.
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Depuis sa constitution en février 2006, l’association Jeunesse et espoir Pays-de-France ne cesse de se faire remarquer par ses actions en faveur de l’emploi des jeunes.
Dernière en date, la première journée de recrutement (en anglais : job dating), organisée salle Mauriac en partenariat logistique et financier avec Electricité réseau distribution France (ERDF).
Une équipe de quatre étudiants stagiaires de la faculté de Lettres, Mériame Belkhir, Florence Laminaza, Mansouria Zaoui et Nancy Marin, et des bénévoles de l’association étaient aux petits soins à la réception et, dès l’ouverture des portes, près de 200 candidats se sont installé auprès des tables d’une vingtaine d’entreprises et deux associations présentes : des jeunes mais aussi de jeunes adultes, seuls ou accompagnés de leurs familles et venus des quartiers, de la fac, de la ville.
Karim Amry, président de Jeunesse et espoir Pays-de-France dresse un bilan encourageant : « L’accueil a satisfait tout le monde, l’organisation et la sélection des candidats répondaient bien aux recherches des entreprises. Quelques candidats ont été embauchés sur le champ, beaucoup ont reçu des promesses de stage ou d’embauche. »
Grande fierté pour l’équipe : « Un jeune sans emploi et sans logement, venu sans espoir et sans trop y croire, a trouvé non seulement un emploi mais aussi un accompagnement pour une aide au logement ! »
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Deux jeunes gens soupçonnés d’avoir caillassé des policiers au quartier Croix-Rouge ont été arrêtés ce week-end.
La première affaire s’est produite samedi soir, avenue Bonaparte. Vers 21 heures, une patrouille de la brigade anticri-minalité a été insultée à son passage par une quinzaine de jeunes. Se retournant, elle a vu quatre membres du groupe lancer des pierres dans sa direction, sans l’atteindre.
L’un des auteurs présumés a pu être rattrapé. C’est un tout jeune majeur de 18 ans, qui a prétendu n’avoir rien fait. Il est quand même convoqué devant le tribunal correctionnel.
Le lendemain dimanche, vers 20 h 30. une pierre a légèrement enfoncé le toit d’un véhicule de police, avenue Léon-Blum. Le responsable de la dégradation - un mineur de 17 ans - n’a pas couru assez vite pour échapper aux agents. Il est passé aux aveux, en déclarant toutefois ne pas savoir pourquoi il avait lancé le caillou.
Il s’est vu remettre une convocation avec ses parents, devant le délégué du procureur.
Les vainqueurs du cross.
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Mercredi 17 décembre, s’est déroulé le traditionnel cross du collège François-Legros : deux fois le tour de l’ensemble collège et gymnase, qui a rassemblé les 550 élèves de l’établissement, par un temps malheureusement un peu trop hivernal.
Malgré les intempéries, l’ambiance est restée bonne et tous les élèves sont allés au bout de l’effort.
Les lauréats individuels
Classe de 3e : Jessica Poret et Karim Koriche ;
classes de 4e : Pauline Marot et Alexandre Vandvick ;
classes de 5e : Désirée Bakabadio et Théoson Siebatcheu ;
classes de 6e : Diarra Kante et Faycel Ait-Ziane.
Par classe : 6e 3, 5e 3, 4e 5 et 3e 3.
Le principal Philippe Labiausse se réjouit : « bravo à toutes et à tous, sans oublier l’équipe d’EPS ainsi que les agents du collège, grâce à qui les jeunes ont pu bénéficier d’un gâteau et d’un chocolat bien chaud ! »
Le Reims Saint-Jacques sport recherche des joueuses nées en 2000, 2001 et 2002. Le club de basket féminin entend ainsi étoffer ses effectifs dans ces catégories.
Tous les niveaux sont acceptés.
Les entraînements ont lieu le mercredi de 14 à 16 heures, gymnase Léo-Borgniet (rue Raoul-Dufy).
Pour plus d’informations contactez le 03.26.88.75.65.
La semaine dernière, lors d’une promenade derrière la piscine du Château d’eau à Croix-Rouge, un passant a découvert un porte-monnaie jeté dans les buissons. Il ne contenait qu’une carte de fidélité pour un supermarché.
Grâce au nom figurant sur la carte, et après une recherche sur internet, le monsieur a localisé la propriétaire, en l’occurrence une dame de 68 ans domiciliée au Nouvion-en-Thiérache (Aisne).
Comment son porte-monnaie s’est-il retrouvé à Reims ? L’explication est toute simple.
Contactée par téléphone, l’Axonaise a révélé au monsieur qu’elle était venue le 15 décembre au CHU pour voir sa fille qui venait d’accoucher d’un prématuré. Obligée de revêtir une tenue aseptisée pour accéder au service, la grand-mère avait déposé ses vêtements et son sac à main avec portefeuille et porte-monnaie dans une armoire fermée à clef.
A son retour, l’armoire était fracturée, le portefeuille et le porte-monnaie volatilisés. Le ou les voleurs ont pris l’argent du porte-monnaie avant de l’abandonner près de la piscine. La dame a pu le récupérer avec la carte de fidélité, via sa fille, auprès de laquelle le monsieur est venu le rapporter.
Le portefeuille, lui, n’a pas été retrouvé (il contenait une carte bancaire et des papiers d’identité)
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« 2001, l’Odyssée des Maisons de quartier ». Le président Jean-Pierre Ettel, retraçant le parcours de Pascale Enfer, directrice de l’association des Maisons de quartier (MQ), a utilisé cette référence cinématographique pour évoquer la lourde tâche à laquelle la directrice a été confrontée : « Une fonction multitâches très prégnante ». Soulignant sa « rigueur pour mener les dossiers à terme », il a rappelé la volonté de l’association, qui est de concourir à un « mieux vivre ensemble ».
« Les valeurs que nous défendons sont un peu cette inaccessible étoile que chantait Brel » : Ce sera la seule -très voilée- évocation des moments difficiles que vivent les MQ : « Mais il n’y a jamais eu de moments de découragement », a précisé Pascale Enfer, ajoutant « les maisons de quartier, c’est une fourmilière, dédiée à plein de projets, qu’il faut faire avancer ». Une fourmilière de 300 salariés…
La direction doit veiller à ce que les contrats de projets d’animation sociale, développés par les différentes MQ et qui doivent être déposés en janvier, soient validés par la C.A.F, qui génère la participation financière. 2009 sera donc une année charnière, une « période transitoire en attendant que le projet prenne forme », comme le soulignait Pascale Martin, l’adjointe au maire en charge des Maisons de quartier.
« L’association s’engage dans une démarche qui vise à donner davantage d’autonomie aux MQ », confiait Benoît Guinet, qui assurera la direction par intérim, assisté d’un responsable administratif et financier assurant le suivi des budgets de chaque MQ, premier pas vers l’autonomie.
Quant à Mme Enfer, elle occupera un poste davantage tourné vers l’éducatif, en prenant la direction du Foyer Yvon-Morandat, une maison d’adolescents en difficultés sociales.
La directrice des MQ prend la direction du foyer Yvon-Morandat.
Hier, vers 13h30, une conduite de gaz de quatre bars a été percée lors de travaux avenue du Général-Bonaparte.
Les pompiers ont déployé une lance en protection pendant que GDF se chargeait de colmater la fuite.
Il n’y a pas eu d’évacuation dans les immeubles environnants.
…
Le prochain stage de récupération de points du permis de conduire, organisé par le centre ANPER (Association nationale pour la promotion de l’éducation routière), aura lieu les 9 et 10 janvier 2009, au 43 rue Pierre-Taittinger à Reims.
Ce stage s’adresse à tout conducteur ayant perdu 4 points ou plus, ou aux jeunes conducteurs en permis probatoire ayant perdu 3 points ou plus.
Ces deux journées, consacrées à une réflexion sur le comportement du conducteur et le partage de la route, sont menées par deux animateurs agréés par le ministère des Transports.
Toute personne ayant suivi ce stage récupère automatiquement quatre points maximum sur son permis de conduire.
Pour tout renseignement, contacter l’ANPER : 0.800.880.948 (appel gratuit depuis un poste fixe) du lundi au samedi, de 9 à 12 heures et de 13 h 30 à 18 h 30. Ou par Internet : www.anper.info
Ils sont fiers d’avoir gagné le concours.
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A la veille de Noël, les enfants des écoles de Reims, lauréats du concours de dessin organisé par le Crédit agricole lors de l’opération « La Campagne à la ville » en septembre dernier, ont été invités le jeudi 18 décembre au cinéma Gaumont pour une matinée récréative avec au programme des dessins animés et la projection des réalisations primées, suivie de la remise des récompenses aux dix classes gagnantes.
Ce concours a été rendu possible grâce à un partenariat entre la FDSEA de la Marne, les Vitrines de Reims, la Fnac et l’Alchimiste.
Catégorie maternelle et CP : Jard MS, élémentaires Anquetil CP et Desbureaux CP.
Catégorie CE1 : écoles Saint-Joseph (2 CE1) et Joliot-Curie CE1.
Catégorie CE2-CM2 : écoles Emile-Zola (CM2) et Ruisselet (CE2).
Ecoles spécialisées : IME l’Eveil et Clis Louvois.
Beaucoup de monde pour l’assemblée générale de l’association rémoise des jardins familiaux.
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L’association rémoise des jardins familiaux vient d’organiser son assemblée générale annuelle. L’occasion de faire le point sur les projets et de mettre en avant plusieurs jardiniers amateurs.
LA salle du centre des congrès était comble pour l’assemblée générale annuelle de l’association rémoise des jardins familiaux, cela prouve bien l’intérêt que les jardiniers portent à leur petit lopin de terre.
Une minute de silence a été respectée pour les quatre défunts, parmi les adhérents, qui sont disparus en 2008.
Puis, le président a rappelé que 31 abris avaient été installés, dont 10 émanent de la ville de Reims. Il a surtout demandé d’en prendre soin, car cela coûte cher.
Pour la même raison, à compter du 1er janvier, il n’y aura plus de bennes à ordures dans les jardins, alors il faudra déposer dans les diverses déchetteries !
Parmi les réalisations, quelques clôtures ont été mises en place, et quelques parcelles ont été nettoyées.
Tous les travaux, que ce soit Saint-Etienne Nord, Saint-Etienne Sud, Brimontel, Calmette et la Cerisaie, ont été effectués par l’association Reims Espoir.
Et les responsables de l’association les ont remerciés pour la qualité des prestations.
Pour 2009, il reste beaucoup à faire : abris neufs à mettre en place, remplacer huit pompes et 100 clôtures séparatives.
L’association ne pouvait plus assumer tout cela, et risquait de mettre sa situation financière en péril, si elle n’avait pas trouvé la solution de mettre le secteur de la Cerisaie entièrement indépendant.
En effet, suite à de réels problèmes opposés au règlement intérieur, les 64 jardins de la Cerisaie ne devraient plus faire partie de l’association à partir du 1er janvier 2009 (décision prise en CA le 25 juin 2008).
C’est pourquoi cette assemblée était houleuse, cette année.
Mais, le plus important pour M. Gosteau, président, était de remettre des diplômes aux jardiniers qui le méritaient bien :
Jean-Yves Bernard, René Celleste, Antonio Dacuna, Emile Duhamel, Marcel Lamouret, Idir Tahacourt ainsi que Gaston Tiquet.
Les patineuses rémoises ont placé leur club à la 5e place sur 11.
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Le Reims Acrap patinage a présenté, le week-end dernier, treize compétiteurs au tournoi de France de danse sur glace d’Épinal (1re division).
En catégorie Préparatoire, les jeunes patineuses Victoire Plomion, Océane Goyard-Gully et Chloé Neiva prennent respectivement les 8e, 12e et 16e places de ce groupe de 21.
En catégorie benjamin 1re année, belle performance pour Mélanie Carrie et Jeanne Reppel qui s’octroient les 3e et 6e places.
En benjamin 2e année, Juliette Wary et Renan Manceaux, 3e et 4e sur 12 compétiteurs.
En minimes 1re année, Margaux Abib-Gruet et Anaïs Milard, très performantes lors de la dernière compétition se sont laissées submerger par le stress, ratant ainsi leur premier programme. En revanche, leurs libres ont été très encourageants. En effet, Margaux patine sur un thème surprenant pour les spectateurs qui restent sans voix. Elles se classent 10e et 12e.
En minime 2e année, Camille Renault, avec une qualité de patinage au-dessus des autres, a joué l’originalité en patinant à contretemps ! Fort heureusement son programme libre lui a permis de remonter dans le classement et elle se classe 4e pendant qu’Éva Lemaire s’empare de la 8e place après une remarquable danse imposée. Coralie Dehu, nouvelle dans la catégorie, termine 18e.
En Novice 2e année, Justine Delaunois, avec deux prestations pleines d’élégance, obtient la 9e place. Quant à Solène Manceaux, après une très bonne place à l’issue de la danse imposée (son point fort), elle surprend tout le monde avec son programme libre et ses excellents scores lui permettent de monter sur la plus haute marche du podium !
L’entraîneur Ludivine Lemaire, fière de ses élèves, réfléchit déjà à perfectionner les programmes pour le prochain tournoi de France qui aura lieu à Reims les 14 et 15 février prochains, avec des clubs redoutables comme Belfort, Besançon et Fontenay.
Lundi 22 décembre, des bennes à objets encombrants seront placées dans de nombreuses rues :
Rue de Bezannes/rue du Lieutenant-colonel Schock (parking face au cimetière)
Rue Gilberte-et-Jean-Droit (sur le parking face à la rue André Schneiter)
Rue Lucien Doyen/rue François-Legros (sur le parking)
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…
Quelques feux de détritus ont également motivé une sortie des pompiers, le premier mercredi à 21 h 10 dans un local à vide-ordures de l’allée des Bourguignons, au n°4.
…
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1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’Ouvrage :
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX
2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP
3) Objet du marché : Travaux de sécurisation d’accès d’immeubles au 10-12-14-16-18 Cour Eisenhower à Reims.
4) Lots – Décomposition : Marché séparé en 5 lots :
Lot n°1 : Menuiserie métallique,
Lot n°2 : Interphonie,
Lot n°3 : Maçonnerie,
Lot n°4 : Serrurerie,
Lot n°5 : Carrelage
5) – Modalité d’attribution des lots : séparée
6) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du CMP (voir Règlement de consultation)
7) Critères d’attribution :
Valeur technique
Prix
8) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél. : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
9) Autres renseignements :
Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Tél. 03.26.48.62.30
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction Construction de Reims habitat. Tél. 03.26.48.62.32, Fax 03.26.48.43.40
10) Remise des offres :
Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :
71, Avenue d’Epernay
51100 REIMS
11) Date limite de remise des offres : Le 23 janvier 2009 à 17h00
12) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 16 décembre 2008
Pas de date pour l’instant concernant les démolitions du Foyer et de l’Effort Rémois (ici Croix-du-Sud).
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Dans l’union du 29 novembre, les habitants apprenaient que les mesures d’économie de la Ville allaient se traduire par des réductions de crédits en 2009, et que les grands travaux de rénovation urbaine (Anru) seraient décalés de six mois. Nous avons posé, à ce sujet, plusieurs questions à Éric Quénard, 1er adjoint, pour faire le point de la situation à Croix-Rouge.
La destruction de la passerelle Pays-de-France est-elle remise en cause ?
L’acquisition de la passerelle est en cours, et les études techniques lancées pour sa démolition prévue à la mi-2009. Il est encore trop tôt pour donner une date exacte.
Celle des immeubles de Reims Habitat, des 25-31 cours Eisenhower, est-elle retardée ?
L’entreprise est désignée, et le démarrage des travaux prévu en janvier pour une durée de 6 mois.
Les réhabilitations de Reims Habitat, du Foyer et de l’Effort rémois, dont certains appels d’offres ont déjà été lancés, seront-elles retardées ?
Sur Eisenhower (Reims Habitat), les travaux sont déjà en cours pour la tour.
Pour les 48-54 et 53-65, ils sont prévus pour 2010. Sur Croix-du-Sud (Effort rémois), le permis de construire pour la réhabilitation de 451 logements du secteur Rodin-Degas est en cours d’instruction.
Enfin sur Pays-de-France (Foyer rémois), les réhabilitations démarreront au 2e semestre 2009 pour les 123 premiers logements des Picards.
Le lancement de la réhabilitation des 407 autres logements est prévu entre 2010 et 2011.
Ces prévisions sont-elles définitives ?
Nous n’avons pas d’échéancier plus précis pour l’instant. Toutes ces informations sont fiables, sous réserve des retards toujours possibles sur les appels d’offres et les marchés des bailleurs.
À cause du temps, les nombreux enfants s’étaient retrouvés massés dans la petite salle de l’allée des Picards. |
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Mercredi a eu lieu « Les bonbons de Marceau », nom donné à la fête de Noël qui était organisée pour les enfants de Pays-de-France en mémoire de Marceau Nicolas.
Étaient présentes sa compagne Marie et les associations du secteur : la maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France, l’association MJC Croix-Rouge, le collectif Croix-Rouge accueil, le Point rencontre, le comité de locataires de Pays-de-France, la Marelle, les commerçants de Pays-de-France, Jeunesse et espoir à Pays-de-France, les Femmes d’ici et d’ailleurs et l’association de promotion de Pays-de-France.
À cause du mauvais temps, la fête a été déplacée dans la salle de l’allée des Picards, beaucoup trop petite pour tous les enfants réunis.
Nabil Tabache, le clown de l’association rémoise d’animations « Spectacles 51 », a réjoui l’assistance avant l’arrivée du père Noël qui a provoqué l’enthousiasme général.
Dans l’assistance, on remarquait également les élus Michel Guillaudeau, Salah Byar et Éric Quénard ; et les représentants du Foyer rémois, de l’association La différence sans l’indifférence et du collectif des locataires de Croix-Rouge.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le 1er juin 2008, vers 8 heures, les sapeurs-pompiers sont alertés par une habitante de l’allée des Bourguignons : de la fumée s’échappe d’une fenêtre d’un appartement situé au n° 2. Les soldats du feu interviennent très rapidement et maîtrisent l’incendie. L’origine criminelle du feu est rapidement une évidence car trois foyers sont découverts dans l’appartement : sur le canapé du salon et les literies des deux chambres apparaissent des traces de produits inflammables.
Les occupants ne sont pas dans l’appartement au moment de l’incendie. Et une voisine indique aux policiers qu’elle a vu partir le couple et ses enfants en promenade ce dimanche matin, à 8 heures. Ce qui ne lasse pas d’étonner les enquêteurs qui entendent le père de famille, Ludovic Domice (25 ans). L’homme reconnaît les faits et explique simplement qu’il en avait « ras le bol » de cet appartement. À la barre du tribunal correctionnel, Ludovic Domice a juste bredouillé qu’il avait mis le feu « comme ça ».
Le substitut du procureur de la République va un peu plus loin dans ses explications. « Manifestement, le prévenu avait des soucis avec son voisin et c’est uniquement pour l’embêter que Ludovic Domice a mis le feu en incendiant toutes les literies et en sortant par le balcon après avoir envoyé sa petite famille en promenade, un dimanche à 8 heures du matin ! »
Le substitut a pris note des conclusions de l’expert qui a examiné le prévenu et qui estime que ce dernier « souffre d’une altération de son discernement en lien avec des carences éducatives et culturelles importantes ». Mais il « a mis la vie des autres occupants de l’immeuble en danger ». Il requiert 12 mois de prison ferme.
Me Birski, pour la défense, souhaite que « le tribunal ne compare pas cette affaire avec celle qui s’est déroulée en région parisienne - un incendie criminel dans un immeuble a abouti à plusieurs décès - et l’on ne peut pas condamner mon client sur ce qui aurait pu arriver, mais sur les faits. » L’avocate ajoute que « selon l’expert qui l’a examiné, il n’a pas d’état dangereux et est réadaptable ». Le tribunal a condamné Ludovic Domice à un an de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, avec obligation de travailler et obligation de se soigner. Il devra vers 5.126 euros de dommages et intérêts au foyer rémois.
Patricia Buffet
« Les jeunes Américains ont faim quand ils pénètrent sur le terrain. »
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Vous êtes le responsable du Centre de formation du Tennis club Géo-André. Quel est le sens du voyage que vous venez d’effectuer à Orlando, aux États-Unis ?
J’y suis allé pour évaluer le niveau exact d’Enzo Wallart. Ce dernier, qui s’entraîne à Sixième sens (l’académie de tennis de l’ancienne championne de tennis, Justine Henin), doit intégrer notre Centre. Je l’ai bien observé. C’est un gamin qui présente des qualités intéressantes et un fort potentiel de développement. Il a 11 ans.
Comment allez-vous organiser son accueil à Reims ?
Je me suis, à cet égard, rapproché du conseiller technique régional Yannick Lemaire. Je souhaite l’associer, lui et la ligue, au projet du jeune.
Il a le pouvoir de donner au garçon son classement homologué.
Du côté de la direction régionale Jeunesse et sports, Anne Barrois (responsable des sportifs de haut niveau) a instruit un dossier de subvention pour lui permettre de venir en France cet été pour disputer des compétitions majeures, et ainsi représenter la Ville et la Région.
Quelle perception avez-vous du système de formation américain ?
En France, la compétition technique est purement tennistique et nettement supérieure à celle des Américains.
Cela résulte du système de formation français, qui est le plus pointu du monde.
Pour autant, on n’a pas de meilleurs résultats qu’eux. Pour une raison simple, c’est qu’ils ont un état d’esprit meilleur que le nôtre.
Tout est fait aux USA pour valoriser le sport et ses valeurs, y compris dans le système éducatif. Alors qu’en France, on accorde une moindre importance aux sportifs.
Les jeunes Américains ont faim quand ils pénètrent sur le terrain.
L’hebdo du vendredi- n° 105 - 081218d
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 105 - Semaine du 19 au 25 décembre 2008
Il y avait déjà la vétusté des bâtiments du campus Croix-Rouge et le sureffectif des classes de médecine.
Aujourd’hui, quatre thèmes nouveaux viennent s’ajouter.
Les syndicats étudiants dénoncent la baisse du pouvoir d’achat des étudiants et la précarité galopante, comme l’atteste Nicolas Béfort, trésorier de l’Unef (Union Nationale des Etudiants de France) de Reims : « les bourses ne sont plus du tout adaptées aux besoins des jeunes. Le gouvernement encourage les prêts étudiants, mais parle dans le même temps de supprimer les prêts à taux 0 ».
Mise en cause également, la suppression annoncée à l’échelle nationale, de 900 postes dans l’enseignement supérieur.
Bonnet d’âne aussi, la politique de rénovation des campus (Reims n’a pas été retenue) et qui, selon l’Unef, mettrait en concurrence les différentes universités françaises et contribuerait à dévaloriser les diplômes.
Enfin, c’est la situation des étudiants étrangers en fac qui scandalise l’Unef. « Nous demandons à ce que la carte étudiante fasse office de carte de séjour et soit valable trois ans, le temps de passer sa licence ».
Avec des journées ponctuelles de manifestations prévues en janvier, l’Unef entend bien poursuivre le mouvement et rallier à sa cause le plus possible d’étudiants.
« J’essaie de donner du rêve aux enfants », déclare Tony Amirati.
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Tony Amirati, l’ancien régisseur du Grand-Théâtre de Reims et metteur en scène de la troupe des Enfants de la balle, devient un habitué du collège François-Legros. Accompagné de Mme Simonnet, il entreprend cette année scolaire de monter une comédie musicale intitulée « Le philosophe et l’amuseur » avec les élèves de la classe à projet de 5e.
Pour Philippe Labiausse, principal du collège, cette expérience a plusieurs objectifs, parmi lesquels : « leur redonner confiance en eux, travailler la langue et améliorer leur image de soi ».
Dans l’Olympe, les dieux ne retrouvent plus le sens de la fête. Zeux intervient, mais aussi un philosophe (Voltaire), un musicien (Jacques Offenbach), un clochard, un malentendant, avec la musique de Claude-Michel Schönberg et des costumes magnifiques inspirés de la Grèce antique, le tout avec l’humour de Tony Amirati. Après les représentations au collège François-Legros, les jeunes artistes se produiront à Bezannes et dans d’autres villes de la région.
Le conseiller municipal Olivier Nostry est venu lors d’une répétition-lecture, leur témoigner tout l’intérêt de la municipalité.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Désormais la maire a pour Bible le rapport Klopfer pour piloter jusqu’en 2013 les finances de la mairie.
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Pour éviter d’aller droit dans le mur, la Ville doit dépenser moins. La maire va donc présenter, ce soir, des orientations budgétaires 2009 marquées par des économies, mais aussi des projets.
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C’est le dada de la maire. 100.000 euros seront attribués aux conseils de quartier et à leur animation ; 230.000 € pour les deux nouvelles délégations : lutte contre les discriminations et pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Une somme de 260.000 € servira à améliorer l’accessibilité des handicapés dans les bâtiments et sur les voiries.
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Le crédit consacré à la culture atteindra les 14,7 M€. Il servira entre autres à l’organisation d’une exposition internationale consacrée à Corot, financer les établissements et associations culturelles, la mise en place d’un projet « Un quartier, une œuvre et des places à peindre », le recrutement d’un chargé de mission pour suivre le projet de friche culturelle pour jeunes artistes, des travaux de mise en conformité à la Comédie (1,9 M€).
La subvention de la régie des équipements municipaux et sportifs sera réduite de 300.000€. Poursuite de la construction des gymnases des quartiers Clairmarais et croix Rouge (2,36 M€), 480.000 € pour l’entretien des gymnases, 1,26 M€ pour des vestiaires au stade Blériot.
En ce qui concerne la politique culturelle et la politique sportive, souhaitons qu’enfin, les adjointes expliquent clairement quelle sera désormais la nouvelle politique de la Ville dans ces deux domaines. Notamment les nouveaux critères d’attribution des subventions aux associations.
A.M.
Pour son premier budget, la municipalité n’entend pas seulement rééquilibrer les finances de la ville. Dès 2009, si le conseil en est d’accord fin janvier, elle commencera à réaliser ses promesses électorales dans de nombreux domaines. Exemples.
Etudes et grands projets
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0,7 M€ d’études pour l’aménagement de Croix-Rouge et des travaux d’aménagement d’espaces publics à Orgeval.
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Sport
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Poursuite de la construction des gymnases des quartiers Clairmarais et croix Rouge (2,36 M€), 480.000 € pour l’entretien des gymnases, …
A.M.
Objet : Marché de coordination en matière de sécurité et de
protection de la santé pour la construction de la Maison des Arts
Musicaux de Saint-Brice-Courcelles.
Date de remise des offres : Lundi 24 novembre 2008 avant
17 heures.
Date de parution : L’UNION : 4 novembre 2008.
Titulaire : CABINET LEMOINE. 33 esplanade Eisenhower. B.P. n°7, 51571 Reims Cedex.
Montant : 3.756,48 € H.T.
51AO1619295
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1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’Ouvrage :
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX
2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP
3) Objet du marché : Isolation par l’extérieur des pignons et partie de façade des immeubles – sis 7-19 Cour Taittinger et 20-24 Rue de Rilly – Reims
4 ) Lots : Sans objet
5) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du CMP (voir Règlement de consultation)
6) Critères d’attribution :
Valeur technique : 30%
Prix : 70%
7) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél. : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8) Autres renseignements : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Tél. 03.26.48.62.30
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction Construction de Reims habitat. Tél. 03.26.48.43.16, Fax 03.26.48.43.40
9) Remise des offres :
Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :
71, Avenue d’Epernay
51100 REIMS
10) Date limite de remise des offres : Le 8 janvier 2009 à 17h00
11) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 12 décembre 2008
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Le club des après-midi de Croix-du-Sud, qui rassemble personnes âgées et retraités, a fêté Noël au cours d’un repas convivial dans une ambiance fraternelle et décontractée.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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L’association de locataires At’Hom a organisé une fête de Noël pour les enfants du secteur dans un hall d’immeuble, faute de local associatif : petit goûter offert aux enfants et remise de friandises par le Père Noël.
D’autres photographies de cet événement belote sont disponibles dans notre galerie d’images
Nous avions évoqué à plusieurs reprises dans nos colonnes les travaux autour du gymnase Lapique.
Si des reports de certains crédits ont été votés, il y a peu par le conseil municipal, cela ne remet pas en cause la construction elle-même du gymnase dont la livraison est prévue en mai 2009.
Les parents à l’écoute de Françoise Oudin.
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Tous les parents savent que l’apprentissage de la lecture n’est pas chose aisée.
Ils souhaitent donc aider leur enfant sur ce chemin vers la connaissance et le plaisir de lire mais ils se posent des questions : Comment faire pour le guider ? Quels livres faut-il mettre à sa disposition ?
Accompagnés de la directrice Christine Guyard, Les parents de l’école Blanche-Cavarrot viennent de participer à une animation, la première du genre à Reims.
Elle a eu pour but de leur donner des éléments de réponse sous une forme attractive puisqu’elle a pris le nom de « P’tit dèj jeunesse ».
Samedi dernier, 32 parents et 22 enfants de 3 à 11 ans sont arrivés au Centre départemental et régional de documentation pédagogique au 17, boulevard de la Paix à Reims.
Tout a commencé par un petit-déjeuner pour les parents avec Martine André, la directrice du CDDP.
Un peu plus tard, Françoise Oudin, responsable du service de littérature jeunesse, les a rassemblés pour un exposé avec échanges à partir d’exemples choisis dans un panel de livres sélectionnés par rapport à ce que les enfants aiment - y compris les histoires qui font peur « pour rire » -, passerelles pour engager le dialogue, créer la complicité, la communication, le débat : tous les sujets peuvent être abordés, même les plus sensibles.
L’intervenante a également insisté sur la diversité des ouvrages, ce qu’on peut attendre de leur format, leurs illustrations, leur présentation.
Pendant que les parents accumulaient les bons conseils, les enfants, après avoir aussi bénéficié d’une collation, étaient pris en charge par les animatrices de la bibliothèque.
Cette première matinée rémoise devrait être suivie de plusieurs autres, avec rencontres d’auteurs ou d’illustrateurs. Avec l’aide de la Ville de Reims, ces « P’tits dèj jeunesse » doivent renforcer les liens entre l’Education nationale et les parents qui, en même temps, découvrent les ressources du CDDP/CRDP (le Scérén), un lieu ouvert à tous.
Le bois a la cote (ici, rue de Madrid) mais le béton résiste encore.
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Le lycée Arago apportera une assistance technique au projet de maisons en paille de Bétheny. Il utilisera l’expérience accumulée avec le béton de chanvre (ici, les élèves près de la maquette de la maison).
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Dans la cours aux performances énergétiques, les matériaux végétaux ancestraux reviennent au goût du jour : après le bois et le chanvre, voici la paille, avec un projet de dix maisons à Bétheny.
UNE maison en paille, à quoi cela vous fait-il penser ? Aux trois petits cochons ? Eh bien, bientôt, cela devrait vous faire penser aussi à Bétheny. L’an prochain, l’Effort rémois doit y construire dix maisons à l’aide de ce matériau, dans le lotissement de La Couturelle. Que l’on ne se méprenne pas : la paille ne servira pas à bâtir les murs porteurs - ce rôle sera confié au bois - mais servira d’isolant. Selon l’organisme logeur, qui sera constructeur, la paille en est un excellent sous réserve d’être utilisée sur une épaisseur suffisante ; en l’occurrence, il est prévu 35 cm pour les murs et les plafonds des futures maisons béthenyates. Performances attendues : moins de 15 kWh par an par mètre carré (c’est le plafond officiellement fixé aux habitations dites passives). À comparer aux quelque 300 kWh que peuvent dévorer certains logements anciens…
Le lycée Arago de Reims, spécialisé dans les métiers du BTP, a été sollicité pour apporter une assistance technique à ce chantier encore précurseur, du moins en France. (Il paraît que les Allemands ont à cet égard dix ans d’avance, et c’est d’ailleurs un architecte allemand, Stefan Brakmann, qui a été retenu par l’Effort rémois). « Nous ne prétendons pas être des experts des maisons en paille, confie Fabrice Binet, chef de travaux au lycée, mais nous allons utiliser notre expérience tirée de la maison avec béton de chanvre réalisée à Breuil-sur-Vesle par le Bâtiment associé : c’est nous qui en avions fait l’étude pendant deux ans, et actuellement, nous en dressons le bilan énergétique. Or, le matériau paille est très proche du béton de chanvre. »
Si paille et chanvre reviennent ainsi au goût du jour (le Foyer rémois, par exemple, a un programme de 11 logements en béton de chanvre à Fleury-la-Rivière près d’Epernay), ce ne sont cependant pas les seuls matériaux végétaux en vogue. Le bois, lui aussi, est redevenu tendance. Sur l’agglo rémoise, la cité-jardin du petit Bétheny avait ouvert la voie dès l’an 2000, avec un total de 117 maisons construites avec. Aujourd’hui, le Foyer rémois est en train de réaliser des pavillons en bois massif à la limite des quartiers Europe et Chemin-vert à Reims, près de la nouvelle gendarmerie.
L’Effort rémois, lui, doit réaliser 13 logements en bois à Saint-Brice-Courcelles, sur la Zac des Bords de Vesle. Mais les matériaux plus habituels pour notre époque, comme le béton, n’ont pas dit leur dernier mot (voir par ailleurs). Comme pour les petits cochons, on n’en est pas encore à des maisons identiques.
Antoine Pardessus
Isolation des bâtiments : le « classique » pas encore mort
Pour optimiser l’isolation énergétique des logements, on redécouvre certains matériaux naturels (et végétaux) que l’on pourrait qualifier d’ancestraux, qui avaient été abandonnés : bois, chanvre, paille notamment (voir par ailleurs). Mais les matériaux plus classiques pour notre époque n’ont pas dit leur dernier mot pour autant. Ainsi, les 13 logements que le Foyer rémois doit livrer fin 2009 à Bétheny, baptisés « La Clairière », seront, eux aussi, très performants en matière d’énergie (ils répondent à une double qualification officielle allemande et française). Pourtant, ils seront réalisés à base de béton et de polystyrène (l’épaisseur de l’isolant sera toutefois conséquente : 30 cm). On pourrait aussi citer un immeuble de 46 logements dans le quartier Wilson à Reims, toujours réalisé par le Foyer rémois, à livrer en 2010, et lui aussi certifié Effinergie, l’un des labels officiels en la matière, mais sans matériau « original ». Quant au grand projet d’éco-quartier le long de la rue de la 12e escadre d’aviation (lire par ailleurs), le choix de ses matériaux n’est pas encore fait.
A.P.
Mille logements écolos rue de la 12e escadre
Rue de la 12e escadre d’aviation, secteur de la rue de Neufchâtel, il y a, d’un côté, des habitations, mais de l’autre, une longue palissade de béton, genre mini-mur de Berlin. Au-delà de ce mur, des friches, traversées par une voie ferrée.
Dans quelques années, cet espace qui tient davantage du terrain vague que d’autre chose pourrait bien devenir l’un des quartiers d’habitation les plus modernes de Reims et surtout, l’un des plus écolos.
Sur une dizaine d’hectares, actuellement propriété de RFF (Réseau ferré de France), le Foyer rémois, en binôme avec Reims Habitat, a un grand projet immobilier : il porte sur plus d’un millier de logements en tout.
Des logements qui devraient être particulièrement sobres en énergie : grâce aux techniques de préréchauffement de l’air extérieur (puits canadien et double flux), à une isolation
hyperperformante et à une orientation optimale, « on devrait arriver à une consommation de l’ordre de 4 kWh par m2 par an pour le chauffage, indique Jean-Denis Mège, directeur du développement au Foyer rémois, soit 30 fois moins que les normes actuellement en vigueur ! »
Les nuisances sonores liées à la voie ferrée ? « Elles seront réduites par l’élévation de merlons », répond M.Mège.
Quant à l’obstacle physique constitué par la voie ferrée elle-même, il sera traversé par trois franchissements (dont une vraie route), qui casseront l’image de cul-de-sac qui prévaut actuellement dans le secteur.
A.P.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081216c
Numéro 7268 du 15 au 21 décembre 2008
MODIFICATION DE STATUTS
--------------------
PDR
Société par actions simplifiée
au capital de 1.100.000 Euros
Siège social :
17 rue Marie Dominique Maingot
51100 REIMS
450 990 304 R.C.S. Reims
PUBLICITE ANCIEN SIEGE
Suivant décision de l’AGE du 1er décembre 2008, le siège social a été transféré du 17 rue Marie Dominique Maingot - 51100 REIMS, au 5 rue Maigres - 52100 SAINT DIZIER, et ce à compter du 1. décembre 2008.
L’article 4 des statuts a été modifié.
Pour avis.
70959
Le public a été enchanté par cette soirée de Noël.
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Le repas de Noël de l’association Multi-échanges services s’est déroulé vendredi 12 décembre à l’espace Billard.
Une cinquantaine de convives ont été accueillis par l’équipe des bénévoles, autour de la présidente Martine Massart, pour un repas simple et convivial, rythmé par Évasion, un groupe associatif de Bazancourt.
Le père Noël était aussi de la partie.
À l’apéritif, on a noté la présence des associations MJC Croix-Rouge et l’Union des locataires de Croix-Rouge, de Nicaise Rousseau, curé de Croix-Rouge, et de trois élus : Saïda Soumaya Berthelot, Éric Quénard et Vincent Thierry.
Ce dernier a assuré : « La Ville a l’intention d’aider les associations ».
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Jeudi prochain, de 10 heures à 17 h 30, tous les jeunes Rémois qui ont envie de trouver du boulot sont invités à un « job dating », salle François-Mauriac à Croix-Rouge.
Le principe est simple. Il suffit de venir avec son CV, sa motivation pour le travail et de préparer trois défauts et trois qualités (des questions, comme beaucoup le savent, fréquemment posées lors des entretiens d’embauche mais que tout le monde oublie de préparer).
Une vingtaine d’employeurs attendront les jeunes avec des postes à la clef. Le mieux est de choisir, avant d’y aller, ses entreprises préférées et de se renseigner sur leurs activités pour ne pas avoir l’air d’un « bah ouais, j’ai envie de bosser alors pourquoi pas chez vous ».
Mieux vaut ressembler à un « oui, je vous apprécie pour telles raisons et voilà ce que je peux vous apporter ». Pas la peine de stresser, ils ne cherchent pas des gens parfaits mais des jeunes qui ont envie de s’investir pour eux.
Ceux qui stressent malgré tout peuvent contacter les quatre étudiantes qui organisent l’événement pour le compte de l’association jeunesse et Espoir-Pays de France. Elles connaissent bien les entreprises participantes. Destinées plus tard à travailler dans les ressources humaines, elles savent aussi parfaitement comment réussir son CV (même quand il n’y a pas grand-chose à mettre dessus).
Contact : 06.71.88.40.65. ou par mail nancymarin14@hotmail.com
Un après-midi avec spectacle et goûter sera organisé mardi 23 décembre à 15 heures par les Restos, destiné aux enfants des bénéficiaires, âgés de 6 à 12 ans.
Rendez-vous salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
L’Acrap organise, le mercredi 24 décembre, un après-midi récréatif gratuit pour les personnes seules et âgées (à partir de 65 ans), de 15 heures à 18 h 30.
Au programme : accueil. Animations et buffet, cadeau souvenir à chacun.
En raison de l’espace disponible à l’Acrap, seules les 80 premières inscriptions seront retenues. Date limite des réponses : vendredi 19 décembre.
Malgré la pluie, quatre poubelles ont brûlé à Reims dans la nuit de samedi à dimanche.
La première a flambé rue du Docteur-Lefort à 18 h 10, la deuxième esplanade André-Malraux à 20 h 30, la troisième à 0 h 10 rue de Rilly-la-Montagne, la quatrième à 3 h 50 dans la tour du 60 bis rue Géruzez.
L’origine des incendies est douteuse, d’autant que des poubelles ont déjà brûlé ces derniers jours esplanade Malraux et rue de Rilly-la-Montagne
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Hier à 3 heures du matin, un cyclomotoriste s’est fait remarquer avenue du Général-Eisenhower en klaxonnant de façon continue, sans aucune raison.
Des policiers l’ont arrêté. Le jeune homme âgé de 22 ans avait bien bu. Le dépistage a révélé une alcoolémie de 1.84 gramme par litre de sang.
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Le moment est venu de vendre le fruit de son travail.
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Une intense activité a régné il y a quelques jours dans les couloirs de l’institut Michel-Fandre où les équipes éducatives et les élèves avaient activement préparé un marché de Noël.
Parents et amis - dont l’adjointe chargée de la santé Mireille Wojnarowski - se pressaient devant les stands pour faire leurs emplettes de 15 à 18 heures le vendredi 12 décembre.
Bonshommes de neige, décorations pour le sapin ou pour la table, cartes de vœux, chocolats et confitures : tout avait été confectionné par des petites mains guidées par les enseignants.
Cet établissement de rééducation et d’éducation spécialisé dans le handicap sensoriel accueille actuellement 126 enfants de 3 à 18 ans. Présidé par le professeur François Legros, il est dirigé par Philippe Chabaneix qui a souligné « le travail considérable » accompli par les enfants pour faire de cet après-midi un moment de fête familiale.
Marceau avait toujours sur le feu une cause à défendre.
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Tout le monde l’appelait Marceau mais personne ne savait si c’était son prénom ou son nom.
Il s’en amusait : « Ce sera comme ça toute ma vie. » Sa vie s’est arrêtée le 6 août dernier à cause d’une cochonnerie de cancer. Marceau a lâché tout le monde en quelques semaines à 64 ans. Depuis cette date, Croix-Rouge est en deuil.
À Joliot-Curie, au « bistrot » associatif des défenseurs des locataires du quartier, on s’attend toujours à voir passer sa silhouette. On imagine encore le trouver attablé devant un café le nez dans des piles de feuilles, résultats de ses recherches juridiques. Il avait toujours une cause à défendre et ne lâchait jamais le morceau. Sans jamais se mettre en avant, c’est à peine s’il avouait être le président de l’association.
« Il aimait les gens. Il ne voyait pas leur couleur de peau ni leur bord politique, il voyait juste leur problème à résoudre », évoquent ses amis, tous orphelins. « Tout le monde l’aimait dans le quartier. Les jeunes le respectaient. »
Comment aurait-il pu en être autrement, il est venu en aide à tellement de locataires.
« Les bailleurs ne rigolaient pas quand Marceau était sur une affaire. Eux aussi, avaient du respect pour lui. » Que de réussites à son tableau de chasse : « Il a fait changer des compteurs d’eau, il a fait remplacer des fenêtres qui avaient des malfaçons, il a obtenu que les locataires se fassent rembourser l’eau chaude payée pour rien et encore beaucoup d’autres choses ».
Aujourd’hui, ils sont seuls ou presque car un type comme Marceau qui consacre sa retraite à dépanner les autres, « on n’en croise pas souvent ».
L’un de ses meilleurs potes, Salah Byar est censé reprendre le flambeau : « Sur son lit de mort, il m’a fait promettre de défendre les gens du quartier ». Il tiendra sa parole, dit-il, même s’il doit un jour se fâcher avec ses copains du conseil municipal : « La mission que m’a confiée Marceau passera toujours avant tout ».
Sa position d’élu lui permet déjà de faire en sorte qu’on n’oublie pas Marceau.
Mercredi prochain, la fête de Noël des enfants de Pays de France a été intitulée « Les bonbons de Marceau » en hommage au grand bonhomme.
« On organisera une manifestation pour lui en juin et il y aura aussi un endroit à son nom mais on attend que la rénovation se fasse. Ce sera peut-être une place ou un stade ». Peut-être le City stade puisque Marceau n’a pas fait que traquer les bailleurs dans sa vie, il a aussi beaucoup donné au foot en montant même une équipe. Marceau appréciera d’avoir son nom dans le quartier depuis là où il est, mais il appréciera encore plus que la maire tienne ses promesses en faisant baisser les charges des locataires.
Adeline Hazan doit récupérer la gestion des espaces verts qui n’incombera plus aux bailleurs. Salah dit qu’elle le fera : « Bien sûr, mais ça se fait pas en six mois. Faut du temps. » Marceau n’était pas patient dans ces cas-là. Au fait, Marceau, c’était son prénom.
Catherine Frey
Plusieurs habitants du quartier Croix-Rouge, dans le secteur de l’avenue Bonaparte, ont eu la désagréable surprise de se voir privés d’eau au robinet hier matin.
En fait, il n’aurait pas dû s’agir d’une surprise : cette coupure programmée dans le cadre des travaux préalables à la réalisation de la ligne de tramway avait été annoncée, mais il paraît que les affichettes d’information se font régulièrement arracher dans les immeubles…
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L’heure des bébés : moment de lecture tendresse pour les tout-petits (de 3 mois à 3 ans) et leurs parents, à la médiathèque Croix-Rouge à 9 h 30.
Spectacle : La couverture d’histoires par l’association lilloise Signes de Sens à la médiathèque Croix-Rouge, à 15 heures. À partir de 7 ans.
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Dans le cadre du festival « Reims à scène ouverte », des Voyages autour de la littérature russe sont proposés par la troupe du collectif artistique de la Comédie :
lundi 15 décembre à 13 heures au CDI du lycée Arago, 1 rue Arago ;
mardi 16 décembre, à 13 heures à la médiathèque RMS, 59 rue Pierre-Taittinger, et à la bibliothèque universitaire du Campus Croix-Rouge, av. François-Mauriac
mercredi 17décembre à 13 heures, à l’Esad, 12 rue Libergier, et au Cosi, 35 rue Buirette (entrée libre mais réservation indispensable)
Deux box voisins, l’un abritant une voiture, l’autre des deux-roues, ont été ravagés par le feu.
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Un feu s’est déclaré en pleine nuit de mercredi à jeudi vers minuit et demi, dans un parking souterrain de l’allée Edgar-Degas dans le quartier Croix-Rouge.
Deux box voisins, l’un abritant une voiture, l’autre des deux-roues, ont été sinistrés. Les pompiers sont intervenus avec une lance mais n’ont pas pu empêcher le contenu des garages de griller.
Hier, aucun lien n’était fait officiellement entre cet incendie suspect et le braquage raté au bureau de poste de Cormontreuil (voir en pages Marne), pour lequel le malfaiteur avait utilisé un scooter.
A.P.
Biberons, café, thé : uniquement avec de l’eau froide !
Après un hiver 2003 très difficile pour les locataires du Foyer rémois à Pays-de-France, le tribunal d’instance de Reims avait ordonné le 5 juillet 2004 deux rapports d’expertise : un sur l’état du réseau secondaire d’eau chaude et la qualité de l’eau chaude, l’autre sur l’eau potable.
Les conclusions ont été déposées le 5 décembre 2007. Le public a été informé au cours de l’assemblée générale de l’association des locataires de Pays-de-France, le 12 février 2008, mais de nombreuses questions sont toujours sans réponse puisque, selon l’association, il n’y a rien eu de nouveau depuis.
C’est pourquoi les administrateurs ont pris la décision de diffuser à nouveau l’information auprès des locataires, et de leur rappeler les résultats contenus dans les conclusions de l’expertise : si l’eau chaude sanitaire ne contient pas de légionelles, elle présente, en raison de la dégradation du réseau, des concentrations métalliques importantes incompatibles avec son ingestion. Il est donc essentiel, selon le rapport officiel, de respecter le caractère non potable de l’eau chaude sanitaire.
Si on peut l’utiliser pour la lessive, pour la vaisselle avec un rinçage à l’eau froide potable et pour la toilette, sauf pour les dents (risque d’ingestion), en revanche il ne faut pas utiliser cette eau chaude pour la confection des biberons, du café et du thé. Pas de cuisson d’aliments non plus.
Les Rémois vont en arriver à souhaiter qu’il y ait plus souvent des élections partielles à Reims.
En effet, eux qui n’avaient plus, ou très peu vu dans le quartier Croix-Rouge la maire, Adeline Hazan depuis sa brillante élection en mars dernier ont eu la surprise de la voir, hier, faire du porte à porte pour vanter les mérites et qualités de son premier adjoint Éric Quénard.
Le même qui, d’ailleurs, abandonnera son poste de conseiller général du secteur s’il est élu député !
L’hebdo du vendredi- n° 104 - 081211e
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 104 - Semaine du 12 au 18 décembre 2008
La représentation de la troupe Tirade et Cie pour la pièce de Marivaux« Les acteurs de bonne foi » aura lieu mercredi 17 décembre à 20h au Centre culturel du Crous pour le Campus Croix-Rouge.
À noter que la pièce est mise en scène dans un contexte des années 80, elle se veut dynamique, pleine de rebondissements dans un décor coloré et décalé. Entrée gratuite.
Une centaine de personnes étaient réunies dans la salle.
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La remise des prix des plus beaux jardins de la fédération des jardins familiaux s’est déroulée dans la salle François-Mauriac, en présence d’une centaine de personnes dont de nombreux politiques : Mario Rossi (Restos du Cœur), Daniel Baume (Réinsertion Reims Espoir), Jean Kozycki (Société d’horticulture) et Romain Demotte (Crédit mutuel).
Le président Didier Klodawski a dévoilé le palmarès du grand concours de la fédération des jardins familiaux de l’agglomération de Reims, regroupant les associations des jardins familiaux de Reims Métropole. Soit un total de 731 jardiniers.
Potager : 1er Gabriel Willems (Jaca), Jackie Mansuy (Jaca), Bernard Gillet (Trois-Fontaines) ; 2e Claude Carlier (Quartier Maroc), Carole Le Moigne (Trois-Fontaines), Yves Charpentier (Trois-Rivières), Christian Carroy (Trois-Fontaines) ; 3e Youssi El (Quartier Maroc), Jean-Claude Rousselle (Trois-Rivières), Jean-Claude Hirault (Pays-de-France), Pascal Lochon (Pays-de-France) ; 4e Alain Cossin (Jaca), Pascal Hanquez (Pays-de-France), Bruno Sega (Jardinot), Benkalfala Dauhoun (Quartier Maroc).
Potager, fleurs et esthétisme : 1er François Esposito (Jaca), Michel Daunon (Trois-Fontaines), Jackie Dumonthier (Trois-Rivières), Christian Donny (Quartier Maroc) ; 2e Michaël Kiang (Trois-Fontaines), Pierre Thibaut (Trois-Rivières), Daniel Bestel (Jardinot), Yvon Verge (Jardinot) ; 3e Guy Cornelis (Jardinot), Robert Vogt (Trois-Rivières), Hugues Donny (Quartier Maroc), Sliman Bououara (Quartier Maroc) ; 4e Lucienne Berini (Pays-de-France), Franck Vergne (Trois-Rivières), Christophe Buron (Pays-de-France) et José Thomas (Jardinot).
Salah Byar qui met de l’ambiance au micro.
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Mercredi 17 décembre de 14 heures à 17 heures, les associations du secteur (maison de quartier Croix-Rouge, MJC Croix-Rouge, Ethnic’s, Collectif Croix-Rouge accueil, Point rencontre, comité de locataires de Pays-de-France, la Marelle, Promotion de Pays-de-France, Jeunesse et espoir à Pays-de-France et maison de l’enfance) organisent une fête de Noël pour les enfants de Pays-de-France, avec le soutien du Foyer rémois, des agents municipaux de proximité et des commerçants de Pays-de-France.
Cette manifestation s’appellera « Les bonbons de Marceau », à la mémoire de Nicolas Marceau (comité de locataires de Pays-de-France) qui l’avait organisée en 2006.
L’Unicef (Fonds des Nations unies pour l’enfance) est sur le pont pour Noël et propose cartes, jeux et cadeaux à son local situé 12, place Georges-Braque (quartier Croix-Rouge), ouvert du lundi au vendredi de 14 h 30 à 18 heures.
Par ailleurs, des équipes de bénévoles seront présentes à l’office de tourisme de Reims et à la bijouterie Fléau, rue de l’Étape, chez Nature et Découverte, place d’Erlon et à la Maison du Commerce et de l’artisanat, 37, rue des Capucins jusqu’au 24 décembre.
Tous les fonds récoltés seront consacrés à cette cause.
L’Acrap organise, le mercredi 24 décembre, un après-midi récréatif gratuit pour les personnes seules et âgées (à partir de 65 ans), de 15 heures à 18 h 30.
Au programme : accueil, animations er buffet, cadeau souvenir à chacun.
En raison de l’espace disponible à l’Acrap, seules les 80 pr’emières inscriptions seront retenues.
Date limite des réponses : vendredi 19 décembre.
Après sa dernière réunion à l’espace la Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, sur le thème de la consommation (présentation, le décryptage des étiquettes, conservation et recettes de grands-mères), Renate Cossard, présidente de l’association Femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain (F3), donne maintenant rendez-vous aux Rémois qui se préoccupent du bien-être des personnes âgées, jeudi 18 décembre, à la brasserie Saint-Maurice, place Museux, à 17 heures, pour une conférence sur la lutte contre la solitude des personnes âgées.
Entrée gratuite.
Renseignements auprès de la présidente Renate Gossard par téléphone au 03.26.08.22.10.
Amaury du Closel en conférence.
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Dès leur arrivée au pouvoir, les nazis ont entrepris l’éradication de « l’art dégénéré ». Dans le domaine musical, l’avant-garde sera rejetée au nom de la pureté de la race aryenne et de nombreux compositeurs, taxés de judaïsme, de dégénérescence ou de bolchevisme, se verront privés de tout moyen d’expression et de subsistance…
Le chef d’orchestre Amaury du Closel, auteur d’un ouvrage remarquable sur le sujet, évoquera jeudi 18 décembre à 18 h 30, à la médiathèque Croix-Rouge, les destins de ces voix étouffées.
Entrée libre.Tél.03.26.35.68.40.
L’Unicef (Fonds des Nations unies pour l’enfance) est sur le pont pour Noël et propose cartes, jeux et cadeaux à son local situé 12, place Georges-Braque (quartier Croix-Rouge), ouvert du lundi au vendredi de 14 h 30 à 18 heures.
Par ailleurs, des équipes de bénévoles seront présentes à l’office de tourisme de Reims et à la bijouterie Fléau, rue de l’Étape, chez Nature et Découverte, place d’Erlon et à la Maison du Commerce et de l’artisanat, 37, rue des Capucins jusqu’au 24 décembre.
On les trouvera encore au marché de Noël des merveilles de Cormontreuil, au marché de Noël de Tinqueux et du 15 au 17 décembre au marché de Noël de Reims (chalet des associations rue de l’Etape).
Enfin, ils proposeront d’emballer les cadeaux du 10 au 14 décembre à l’hypermarché Cora de Cormontreuil, les 12 et 13 décembre à l’Intermarché du quartier Wilson, le 13 décembre au marché de Noël de la maison de quartier des Châtillons et du 18 au 21 décembre à l’hypermarché de Cora Nord.
L’Unicef œuvre pour les droits et la protection des enfants. Tous les fonds récoltés seront bien entendu consacrés à cette cause.
La nouvelle bibliothèque fait partie des batiments qui donnent un coup de jeune au campus.
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Sur les 6 « coquilles », 3 ont été entièrement rénovées à l’intérieur.
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Reims est-elle toujours une ville attractive pour les étudiants ? Pas sûr. Le campus rémois souffre d’une image désuète, « pas glamour », selon certains. Et pourtant, le potentiel est là.
« LES facs parisiennes, elles sont peut-être en mauvais état, mais elles ont une meilleure image. C’est plus sexy de faire une licence à Paris qu’à Reims. »
Plus sexy ? Alors c’est vraiment ça qui fait la différence d’après cet étudiant. Pour autant, l’Université de Reims Champagne-Ardenne (Urca) attire chaque année plus de 20.000 étudiants. Un chiffre qui stagne. Pour quelle raison ?
« L’état des locaux fait peut-être peur aux futurs étudiants. Certains amphis sont dans un état déplorable », note Nicolas Befort, en 2e année d’économie et trésorier de l’Unef, un syndicat étudiant. Et il y a peut-être de quoi avoir peur. Un étudiant nous ouvre la porte de l’amphi « le plus horrible » selon lui. Il s’agit de l’une des six « coquilles » situées à l’entrée du campus Croix-Rouge. « C’est bien simple : ça n’a pas changé depuis que mes parents ont quitté la fac. Et en plus, le chauffage ne marche plus », déplore cet étudiant.
Sur les six amphis datant de la construction du campus, trois ont tout de même été rénovés. « Ils ont fait le plus gros des travaux. Mais il reste encore le problème des préfabriqués où il fait chaud l’été et froid l’hiver », remarque Nicolas Befort.
À côté de ça, les étudiants racontent bien volontiers qu’ils ont « la plus belle bibliothèque de France ». Code couleur : gris et rouge avec un intérieur à la fois sobre et design. Des postes d’ordinateurs sont colonisés du matin au soir par des étudiants. Sur deux niveaux, d’impressionnants rayons recèlent des dizaines et des dizaines de bouquins. « C’est sûr, on n’a pas à se plaindre », assure Alexandre, étudiant en sciences sanitaires et sociales.
Un peu plus loin sur le campus, le bâtiment réservé aux étudiants en lettres participe aussi à donner un coup de jeune à l’université. Les étudiants trouvent tout ce qu’il faut sur place : un restaurant universitaire, une BU, des locaux pour les associations, un gymnase, un terrain de foot. Hormis peut-être des places en Cité U. Elles sont très prisées chaque année. « 50 % du parc a été restauré. C’est une bonne chose. Mais il n’y a que 3.500 chambres à disposition, ce n’est pas assez », regrette Christopher Lecat, représentant étudiant de l’Unef au Crous.
Et l’offre de formation, est-elle au rendez-vous ? « Il y a tout ce qu’il faut en sciences, santé, droit, sciences humaines et lettres », relève Nicolas Befort.
Forte de ses 139 diplômes (dont 37 licences et 17 DUT), l’Urca se veut attractive même au-delà des frontières. Cette année, elle accueillera près de 2.000 étudiants étrangers. Et la vie étudiante dans tout ça ? Eh bien, il n’y a pas de mystère !
« Si un nouvel étudiant ne s’investit pas à sa façon, il va passer à côté », note Anne-Marie, présidente de l’association des étudiants en psycho. Cette Axonaise explique qu’elle a eu un coup de cœur pour Reims. « C’est pas super-glamour la fac de Reims, mais on apprend vite à l’apprécier. »
M.B.
Une petite association… d’une grande utilité !
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Les enfants du centre de loisirs de l’association de promotion de Pays-de-France (APPF) ont été gâtés par le père Noël qui, entre deux chants traditionnels, leur a offert confiseries, pâtisseries, boissons et un bon d’achat pour se faire plaisir.
De nombreux parents assistaient à l’événement à l’espace Aquarelle
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081209k D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Numéro 7267 du 12 au 14 décembre 2008
Trois entreprises à la rencontre de leurs futurs salariés
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Une assemblée attentive au lycée des métiers Joliot-Curie de Reims pour écouter les entreprises de la relation clients parler de leur métier.
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À l’initiative d’Invest in Reims, 3 entreprises ont présenté les perspectives d’emplois de leurs activités aux étudiants du lycée des métiers Joliot-Curie de Reims.
Les rêves de week-end se rapprochaient doucement par les fenêtres donnant sur la Montagne de Reims. Et pourtant l’attention soutenue de la centaine d’étudiants du lycée des Métiers Joliot-Curie (740 élèves) au cœur du quartier Croix Rouge ne baissait nullement en intensité. Ces lycéens préparant Bac Pro (Commerce, vente, service accueil) ou BTS (négociation-relation clients) buvaient même quasiment du petit lait en écoutant les propos de Jean-Yves Heyer, directeur de l’agence de développement « Invest in Reims » vantant les radieuses perspectives ouvertes par les centres d’appels.
« C’est un secteur qui recrute massivement à Reims » plaidait-il. Taxis G7, l’agence de voyages Kuoni et le marchand d’informatique In Mac W.Store, 3 entreprises du club « Contacts made in Reims » qui regroupe les sociétés de relation clients implantées dans la Cité des Sacres, s’étaient joints aux propos de Jean-Yves Heyer pour parer de ses nombreuses vertus un secteur souvent décrié mais qui a su mettre en place parmi les premiers « un label social ».
Organisée dans le cadre de la semaine école-entreprise, cette rencontre était aussi dans l’esprit -de Chakib Benrazzouk, professeur et chef de travaux, de " montrer que notre lycée à du potentiel ». Du Bac Pro au BTS, et jusqu’à la licence professionnelle en partenariat avec l’URCA (Université Reims Champagne-Ardenne ou la formation continue depuis cette année, le lycée Johns Curie se veut ouvert sur le monde économique. Les étudiants passent entre 4 et B semailles en stage en entreprises et les enseignants viennent les voir là où ils vont pour renforcer encore les accompagnements. Même les professeurs d’enseignement général. Certains n’avaient jamais mis les pieds dans une entreprise », note, affectueusement ironique, Chakib Benrazzouk. Comme quoi l’entreprise est une valeur partagée. D’ailleurs, chaque année est organisée une soirée école-entreprise à thèmes. La prochaine aura lieu en février prochain. Reste à trouver le thème.
DOMINIQUE CHARTON
TRIBUNAUX DE COMMERCE
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Par jugement en date du 02022008, le tribunal de commerce de REIMS a converti le redressement judiciaire en liquidation judiciaire de l’entreprise SARL ANDRE SONIA PRODUCTION, 17 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS.
Activité : Production de manifestation, organisation de spectacles.
R.C.S. : REIMS B 478 776 040 (2005 B 00641).
Le jugement a désigné
Juge commissaire : M. Christophe PINEL
Liquidateur : SCP TORRENT. MORANGE-TIRMANT, en la personne de Maître TITRANT Isabelle, 34 rue des Moulins -51100 REIMS.
Ledit jugement a fixé provisoire- ment la date de cessation des paiements. 22/0412008.
Le greffier : Bernadette DELPY
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À l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, Laurence Geoffroy, animatrice permanente, a mis sur pied une série d’activités de Noël du 16 au 19 décembre.
Mardi 16 décembre à 17 h 30, dans le cadre de l’atelier cuisine du Service municipal d’accueil, les animateurs proposent un goûter aux familles des enfants inscrits.
Mercredi 17 décembre, dans le cadre de l’accueil loisirs, la compagnie Crogenscène présentera aux enfants un conte africain à 14 h 30, puis ce sera au tour des familles de voir, à 17 heures, un spectacle réalisé avec leurs enfants à partir d’un autre conte africain, « l’oiseau de pluie » avant un goûter.
Jeudi 18 décembre, les parents des jeunes qui fréquentent l’accompagnement a la scolarité sont invités a un goûter et participeront à un jeu de société, de l’association Partages 51, qui aborde la prévention de conduites addictives.
Vendredi 19 décembre, un repas de Noé, sera préparé par les ateliers au féminin (cuisine. couture et artisanat) et d’autres participantes (préparations à la maison). Tous se retrouveront à midi.
Enfin, le même jour, les services multi-accueils des espaces Watteau et Saint-Rémi invitent les familles à un spectacle réalisé par les équipes éducatives et certains parents, en fin d’après-midi, à l’espace Verrerie.
A l’espace Billard, Sylvie Bru, guide accompagnatrice, propose une sortie nature Bol d’air. « À nous le canal ! ».
Départ a 9 heures, dimanche 14 décembre, au 14, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
A l’espace Watteau. Vincent Girardin, accompagnateur, propose une sortie « Autour de Reims » de 12 km environ.
Départ à 8 h 15, dimanche 21 décembre au 3, allée Antoine-Watteau. Tél. 03.26.36.03.50.
Saint Nicolas et Mère Fouettard ont fait sensation.
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L’Union commerciale et artisanale de Reims, associée aux commerçants du centre commercial de l’Hippodrome et avec le soutien de la ville de Reims, a réussi un bel exploit en organisant le premier marché de la Saint-Nicolas à Croix-Rouge, samedi dernier.
Un public nombreux s’est déplacé à cette occasion par familles entières. Beaucoup de politiques également. Devant les stands alignés le long du centre commercial, les visiteurs avaient le choix : décorations de Noël, cadeaux, créations artistiques et artisanales, spécialités alimentaires de Saint-Nicolas, chocolat chaud, vin chaud, friandises sans oublier un grand jeu de Noël organisé par l’Ucar et une tombola de Noël avec 300 lots en jeu !
L’espace Billard avait profité de l’occasion pour intégrer son marché de Noël à la fête et, en partenariat avec l’Ucar, l’association 2 Mains avait placé cinq jeunes, dont une fille, en insertion sociale par l’emploi.
Après l’inauguration par l’adjointe Marie-Noëlle Gabet, saint Nicolas, la Mère Fouettard et de joyeuses lutines à bonnet rouge ont invité les enfants à faire des tours en calèche dans le quartier.
Tout le monde est d’accord : il faudra renouveler cette animation fort réussie !
Nouveauté cette année : le marché de Noël a été délocalisé pour s’intégrer à une animation de quartier sur Rafale-Hippodrome
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Le repas de Noël-fin d’année de l’association Multi Échanges Services se déroulera à l’espace Billard de la Maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger), vendredi 12 décembre à 19 heures.
Renseignements et inscriptions auprès de la présidente Martine Massart, espace Billard, au 03.26.08.08.78.
Une petite association… d’une grande utilité !
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« En 2008 nous avons tenu un grand nombre de permanences, avec une demande en augmentation à Croix-Rouge et Orgeval » : Robert Dumortier, président de l’association « Je vous écris ces quelques lignes » a présenté le bilan de l’année devant les écrivains publics bénévoles.
Leur rôle ? « Nous accueillons les gens qui viennent pour qu’on les aide dans la rédaction de courriers de toutes sortes ».
De réclamations et aussi des dossiers plus délicats qui vont au-delà de simplement « prêter la main ».
Ils les accompagnent parfois aux Caisses d’allocations familiales, à la Sécurité sociale, et même à l’ANPE : « Le fait que vous soyez là, ça dénoue les problèmes beaucoup plus facilement », leur disent les usagers.
Certains viennent juste pour parler, demander des conseils. Les écrivains reçoivent dans les antennes municipales. « Nous aimerions développer d’autres points d’accueil et allons prospecter les Maisons de quartier », explique le président.
Soucieux de mieux maîtriser l’environnement administratif, juridique, social, les bénévoles vont suivre une formation d’écrivain public du CNED.
122 bis, rue du Barbâtre, le lundi de 14 à 18 heures. Tél. : 06.27.20.61.30.
Beaucoup d’indifférence dans le quartier Croix-Rouge.
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L’abstention a battu des records dimanche. À Croix-Rouge, un bureau a même dépassé les 90 %. Sur place, cela n’étonne personne, tant cette élection paraît loin des préoccupations des habitants du quartier.
SOIXANTE-DIX votants, soit à peine 9,08 % de participation. Le bureau N°47, rue Newton, a eu le triste privilège d’avoir le record d’abstention lors du premier tour de l’élection législative partielle de dimanche.
Sur place à Croix-Rouge, ce chiffre ne surprend pas grand monde, pas même ceux qui ont rempli leur devoir de citoyen. « Ici, les gens n’en ont rien à faire », lâche Jean-Marc. « Moi, je suis allé voter car j’estime que c’est un devoir. Mais quand j’en discute avec mes voisins, ils ont toujours une excuse pour ne pas y aller : pas le temps, trop de travail… En fait, je crois que cela n’intéresse personne. »
Sur la place Rodin, les jeunes ne font pas dans la dentelle : « Pourquoi voter ? À quoi ça sert ? Ça ne changera rien pour nous. » Eux, ils préfèrent parler de leur quartier qui est en plein travaux avec le tramway, ou de la passerelle qui a été détruite, voire encore de leur envie de faire de la musique. « Les législatives ? On s’en fout. Ici on connaît Quénard parce qu’il est du quartier, c’est tout. » Ne serait-ce pas une raison de plus pour aller voter ? « Ça changera quoi… »
À quelques mètres de là, allée Edgard-Degas, Samira et Laura avouent ne même pas avoir été au courant qu’il y avait des élections. « On a bien vu des panneaux mais on n’a pas fait attention. À la télé, on n’a rien vu dessus. Personne n’en parle. » Seraient-elles allées voter si elles avaient su ?
Visiblement non. « La politique, ça ne nous intéresse pas trop. On ne sait pas à quoi ça servirait de voter pour l’un ou pour l’autre. »
Devant l’école Galilée, Christian est tout aussi dubitatif. L’homme semble pourtant bien au fait des choses. « Pourquoi voulez-vous que les gens votent ? Il y a ceux qui ne croient en rien. Ceux qui se disent que, de toute façon, les politiciens n’en ont rien à faire d’eux, et puis ceux qui, comme moi, ont voté l’année dernière et ont l’impression de s’être fait avoir. Le Dutreil, il s’est bien foutu de nous… La Gauche à la mairie, ce n’est pas mieux pour l’instant. »
Beaucoup de résignation et de fatalisme dans le quartier, comme sans doute dans beaucoup d’autres à Reims.
À noter que les meilleurs taux de participation sont davantage situés en centre-ville. Mais rien de mirifique non-plus, puisque l’on ne dépasse guère les 25, 26 % en général.
Les guéguerres à droite, l’image du PS au plan national, n’ont rien arrangé. Difficile, par contre, de ne mettre cela que sur le dos d’une élection partielle.
Si l’on se réfère en effet aux récentes élections, il y avait 38,8 % de participation au premier tour sur la 8e circonscription de Gironde le 23 novembre. Loin, très loin des 21,79 % de la Marne.
Grégoire Amir-Tahmasseb
Amdy Seck raconte « Feuléfi » un spectacle interactif pour enfants.
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Amdy Seck, musicien et chanteur, a été contacté par les médiathèques pour interpréter « Feuléfi », ses « chants contés de là-bas et d’ici ».
Un spectacle destiné aux enfants, mais « où les adultes seront contents de venir ! ».
Seul avec ses instruments, il va emporter les spectateurs vers d’autres lieux : chants qui bercent, qui font taper des mains et bouger les jambes, où se croisent l’oiseau fétiche, la mère aimée et aimante et Fatou qui s’en va…
« Chaque chant à son histoire, chaque instrument est lié à un moment de la vie quotidienne… et ça se termine toujours par une morale en béton ! » sourit Monique Dieuleveux, présidente de l’association ACAO.
Une façon pour les trois médiathèques d’illustrer l’exposition « Un monde de percussions » proposée au public jusqu’au 4 janvier et qui présente plus de 500 instruments africains.
« Ces chants et ces contes sont des outils de dialogue et d’interaction, et peuvent être modulés en fonction des âges du public ».
Le samedi 13 décembre, à 16 h 30, à la Médiathèque Jean-Falala.
Tél. 03.26.35.68.00.
Le mercredi 17, à 10 h 30, à la Bibliothèque Laon-Zola.
Tél. 03.26.47.79.41.
Le mercredi 24 décembre, à 14 heures, à la Médiathèque Croix-Rouge.
Tél.03.26.35.68.40.
Acao : 03.26.06.30.05 ; acao-reims.org
Cette année encore, les illuminations de Noël font peine à voir dans les quartiers, et même dans certains secteurs du centre-ville.
Pourtant, une expertise avait été faite par la nouvelle municipalité pour voir combien cela coûterait d’illuminer convenablement les quartiers.
« Mais la somme était tellement importante que cela n’a pas pu se réalise », a confié récemment Adeline Hazan.
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Dimanche soir, vers 19 heures, un Renault Scénic est parti en fumée place Dominique Ingres.
L’origine du sinistre est indéterminée.
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Plus de 150 animations dans la région (70 dans la Marne) ont marqué l’édition 2008 de la Fête de la Science.
A Reims, dans la Cathédrale, il y avait foule pour assister à l’expérience spectaculaire du pendule de Foucault sur la rotation de la Terre. Expérience déjà réalisée une première
fois en ce même lieu en 1851.
Parmi d’autres curiosités, preuve que la science ne se prend pas trop au sérieux, une conférence Un Néandertalien dans le métro proposée à la médiathèque Croix-Rouge, et Contrepoint, un spectacle, “Jongle et Mathématiques” organisé sur le campus Croix-Rouge par la compagnie Les Objets Volants.
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Tous les acteurs de terrain du quartier se sont réunis afin de proposer une nouvelle approche des animations destinées au grand public. S’appuyant sur l’expérience de Croix-Rouge s’affiche, l’organisation devrait permettre à chacun de se positionner, de s’investir et d’être valorisé.
La réflexion en cours porte sur une répartition des projets en quatre parties permettant au bénévolat de s’impliquer selon ses centres d’intérêt, dans un travail de proximité ou à une échelle beaucoup plus étendue. Les fêtes de quartier et le festival Croix-Rouge s’affiche en tant que tel (sur la période du 21 au 28 mai 2009), seraient complétés tout au long de l’année par des animations ouvertes aux différentes cultures et aux projets d’autres Maisons de quartier, des propositions des habitants et des associations. La Maison de quartier Croix- Rouge qui serait porteuse des trois premiers volets en lien direct avec le tissu associatif jouerait également un rôle d’accompagnement pour la partie J’anime mon quartier à l’initiative des bénévoles.
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Devant la fréquentation croissante des piscines municipales, la Ville et la Régie des équipements sportifs et municipaux, ont décidé d’ouvrir de nouveaux créneaux horaires, dits nocturnes, à la piscine Talleyrand et Château d’eau. Depuis l’ouverture de ces nouveaux horaires, 600 personnes en moyenne profitent de ces nouveaux équipements chaque semaine.
Le lundi de 18h15 à 20h45 à la piscine Talleyrand (nouveauté 2007/2008)
Le mardi de 19 h à 21h45 à la piscine du Château d’eau
Le mercredi de 18 h 30 à 21 h à la piscine Talleyrand (nouveauté2007/2008)
Le jeudi de 19 h à 21h45 à la piscine des Thiolettes
Le vendredi de 19 h à 21h45 à la piscine du Château d’eau (nouveauté2008)
Le vendredi de 19 h à 21 h à la piscine Louvois.
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Deux rendezvous à suivre à l’espace musique de la Médiathèque Croix-Rouge :
• "Entartete musik", la "musique dégénérée", par Amaury du Closel.
La conférence de ce chef d’orchestre réputé retrace l’ignoble éradication de l’avant-garde artistique par les nazis.
Jeudi 18 décembre à 18h30.
• "Feulefi" ce qui signifie “ici et ailleurs” en wolof. Ce spectacle interactif pour enfants et adultes se présente sous forme de chants contés par Amdy Seck, le percussionniste de l’association Art et Culture d’Afrique de l’Ouest.
Mercredi 24 décembre à 14 h
Marcheurs du dimanche, venez vous détendre en famille et entre amis !
Vincent vous attend devant l’Espace Watteau le 21 décembre à 8h15 le temps d’une randonnée de 12 km.
Dans la foulée, prenez de bonnes résolutions : bougez ! Gym douce avec Jane, gym d’entretien avec Maud, choisissez votre rythme.
Renseignements au 0326360350 et watteau@maisondequartier-reims.fr
Notez enfin que la halte-garderie sera fermée du 25 décembre au 4 janvier inclus, en alternance avec l’Espace Billard.
L’accueil des loisirs de l’Espace Billard sera ouvert du 22 au 24 et du 29 au 31 décembre 2008 autour du thème des marionnettes : les enfants pourront les confectionner, faire appel à leur imagination et mettre en scène leurs personnages ! Un premier apprentissage des arts du spectacle !
L’Espace Billard collecte aussi les livres dont vous souhaitez vous débarrasser pour mettre en place une bourse-échange. Les ouvrages recueillis seront vendus pour une somme modique.
Les recettes permettront à des familles de partir un week-end. Les livres sont à déposer avant le 31 décembre 2008.
Renseignements au 0326080878 et billard@maisondequartier-reims.fr
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L’Acrap, association Croix-Rouge animation promotion, a été créée il y a 38 ans, peu après la construction du quartier Croix-Rouge.
Conçue à l’origine pour la défense des locataires, l’association propose aujourd’hui une vingtaine d’animations ou activités sportives (voir photo) à son millier d’adhérents.
Toutes les générations s’y retrouvent.
L’Acrap est devenue un acteur incontournable de la vie du quartier.
Acrap, 11 avenue du Président Kennedy, 0326063954.
C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, Tél. : 03.26.35.60.20.
Jours et heures d’ouverture :
• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.
L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud. Contact : 0516392102
Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h.
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Objectifs : maintenir le lien social et améliorer le cadre de vie des habitants dans les zones urbaines sensibles (Epinettes, Châtillons, Croix-Rouge, Orgeval, Wilson).
L’ensemble du dispositif représente plus de 950000 euros d’aide potentielle sur 3 ans.
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Les commerces affichés sur les palissades
Au-delà de ce premier niveau d’information, une signalétique particulière est mise en place sur des supports d’affichage de 4 mètres par 3 pour aider les automobilistes entrant à se diriger vers les pôles commerciaux qui sont ou seront concernés par les travaux : Croix du Sud, Hippodrome, …
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Dates des prochaines séances constitutives des conseils de quartier :
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• Quartier Croix-Rouge, Hauts de Murigny : jeudi 8 janvier, 19 h, Collège François Legros.
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Avec le studio national de création musicale Césaré.
Au programme :
Silences, pièces musicales de Valérie Joly.
Médiathèque Croix-Rouge à 11 h.
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L’arrivée en région du plan d’éducation au multimédia, lancé par le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, a permis à la Maison de quartier Clairmarais de proposer un projet innovant.
Validé pour sa qualité par le comité de pilotage, il se met en place sur une période de quatre mois, fédérant trois structures spécialisées en ce domaine : deux Maisons de quartier (Clairmarais, Croix-Rouge Espace La Nacelle) et le Centre Culturel Saint-Exupéry. Jusqu’à présent, les enfants, adultes et seniors concernés n’avaient pas ou très peu de connaissances en informatique.
Après un apprentissage des techniques multimédias, ces publics réaliseront un projet de groupe. Le recours au reportage vidéo, au dessin animé, à l’exposition photo et au diaporama leur permettra de s’exprimer sur des sujets qui les touchent et de les faire partager. Les travaux issus de ces ateliers seront valorisés par la création d’un DVD. On parle aussi d’un blog afin de mutualiser les productions et les expériences.
Dans le cadre des économies qu’elle compte faire, la municipalité a décidé d’abandonner le projet de gymnase Jean-Jacques-Lapique à Croix-Rouge.
La commune pourra au moins récupérer (pour le revendre) le panneau apposé par l’ancien maire, qui avait (en quelque sorte) lancé symboliquement le projet avant son départ.
Triste consolation pour les associations, qui auraient pu compter sur un tel équipement.
L’amicale des locataires « Rafale Université Hippodrome » renouvelle son concours des plus beaux balcons décorés pour Noël (visibles de l’extérieur), rue Pierre-Taittinger, avenue du Général-Eisenhower, rue de Rilly-la-Montagne, rue du Docteur-Billard et rue Gilberte-et-jean-Droit.
Inscription recommandée, en remplissant un coupon-réponse disponible, à l’espace Billard de la maison de quartier (rue Pierre-Taittinger) : ou à la succursale Croix-Rouge de Reims habitat (avenue du Général-Eisenhower).
Attention, les lauréats des 3 dernières années ne peuvent concourir.
Un jury, composé de membres de l’amicale et de représentants de Reims habitat, passera entre Noé’ et jour de l’an.
Remise des prix prévue début 2009.
Le repas de Noël de Multi¬échanges services se déroulera à l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger), le vendredi 12 décembre à 19 heures.
Samedi 13 décembre, soirée de Noël de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-¬Sud ; et mercredi 31 décembre, soirée repas traiteur de fin d’année et nouvel an, Renseignements auprès de la présidente Évelyne Nkounkou, au 03.26.36.04.82.
Mercredi après-midi 17 décembre, se déroulera la fête de Noël des enfants de Pays-de-France, avec la participation de la Maison de quartier, des associations du secteur et des commerçants.
Baptisée Les bonbons de Marceau », elle sera dédiée à la mémoire de Marceau Nicolas (comité de locataires Pays-de-France).
La fête de Noël de l’association des Travailleurs maghrébins de France aura lieu le samedi 20 décembre à partir de 14 heures, 6 allée des Picards.
Au programme : musique, père Noël, distribution de bonbons, chocolat et boissons chaudes.
Dimanche, un feu de voiture a été signalé rue du Docteur-Billard, à Reims.
Il s’agissait en fait d’un début d’incendie sur un camion-benne.
Le feu a été vite maîtrisé par les sapeurs-pom¬piers et la police s’est rendue sur les lieux.
Les pompiers ont été appelés vendredi, vers 20h45, pour une odeur suspecte esplanade Paul-Cézanne. Il s’agissait en fait d’aliments restés sur le feu.
Suite à la démission de l’UMP Renaud Dutreil, député de la 1re circonscription Reims-Tinqueux, 58.868 électrices et électeurs sont invités à aller choisir son successeur parmi neuf candidats.
NEUF candidats sont inscrits pour l’élection législative partielle organisée les dimanches 7 et le 14 décembre prochain de 8 heures à 18 heures dans la première circonscription Reims-Tinqueux afin de procéder au remplacement du député UMP démissionnaire Renaud Dutreil. Il s’agit dans l’ordre d’inscription de : Francis Falala (Divers droite), Arnaud Robinet (UMP), Corinne Berriot (Les Verts ), Jean-Jacques Michelet (LCR), Eric Quénard (PS), Franck Noël (MoDem), Thierry Maillard (FN), Michel Guillaudeau (PCF) et Patrick Weber (socialiste-Divers gauche).
La première circonscription peuplée d’un peu plus de 100.000 habitants est une circonscription très hétérogène. Elle englobe le cœur de Reims avec le centre-ville (1er et 2e canton) mais aussi des grands quartiers populaires. Il s’agit du 5e canton presque aussi grand qu’Épernay à lui tout seul et qui héberge dans le quartier de la Croix-Rouge (La Lézardière, sculpteurs Jacques, Croix-Rouge université, Pays-de-France et Croix-du-Sud) plus d’un quart des logements sociaux de la ville. Il s’agit aussi du 6e canton avec les quartiers Europe, Chemin-Vert, Clemenceau et Cérès.
À cela, héritage du découpage électoral s’ajoutent des communes jouxtant Reims : Tinqueux, Ormes et Thillois pour le premier canton et Bezannes pour le 5e canton. À noter que les électeurs des 1er et 2e canton ont élu pour les représenter au niveau du département de la Marne des conseillers généraux de droite : Jean-Pierre Fortuné (Reims1) et Francis Falala (Reims2) tandis que ceux des 5e et 6e canton leur ont préféré des élus socialistes : Eric Quénard (Reims V) et Francis Hénon (Reims VI).
Élections prud’homales, élections législatives partielles, les services techniques de la ville sont très sollicités en cette fin d’année et ce sont 160 personnes qui seront encore sur le pont les 7 et 14 décembre pour la bonne organisation de la législative partielle sur la première circonscription. À noter que le scrutin se déroulera de façon traditionnelle. Ce n’est pas encore cette fois que l’on ressortira les coûteuses urnes électroniques
Pourront voter ce dimanche et le 14 décembre afin d’élire un nouveau député les électeurs demeurant dans les 1er, 2e, 5e et 6e canton de Reims ainsi que tous ceux des communes de Tinqueux, Bezannes, Ormes, Thillois.
Pour savoir si vous pouvez voter il suffit de reprendre votre carte d’électeur et de consulter le numéro de bureau indiqué dessus. Peuvent aller voter les 10.524 électrices et électeurs des bureaux de 1 à 10 inclus pour le premier canton de Reims ; les 13.512 électeurs des bureaux 12 à 23 inclus pour le 2e canton de Reims, les 9.708 électeurs des bureaux 39 à 47 pour le cinquième canton de Reims et les 14.072 électeurs des bureaux 48 à 60 inscrits pour le 6e canton. Attention les électeurs du 2e canton votant habituellement au 1, rue Xavier-Dizi (bureaux 18 et 19) sont avisés que pour permettre l’accessibilité des personnes à mobilité réduite dans ces deux bureaux l’entrée se fera place Margueritte-Rousselet.
Alain Moyat
Au palais de justice de Reims, personne n’a oublié le spectaculaire acquittement de Nordinne D. par la cour d’assises de la Marne en février 2008. Accusé du viol de deux retraitées rémoises, il avait échappé aux 20 ans de réclusion criminelle réclamés par le parquet grâce à son petit sexe. Le premier des deux viols remonte au 10 septembre 2005, place Jean-Fragonard au quartier Croix-Rouge. Cette nuit-là, vers 1 heure, une femme de 66 ans ouvre la porte à un homme qui se fait passer pour son petit-fils. Après avoir bloqué la porte avec le pied, l’individu saisit la victime par la gorge et l’entraîne dans la chambre en la frappant. Il veut la pénétrer mais elle dit qu’elle a le sida. Il l’oblige alors à lui faire une fellation. La seconde victime âgée de 84 ans est attaquée le 8 octobre 2005 avenue d’Epernay.
Prétextant venir relever le compteur d’eau, le violeur repousse violemment la porte d’entrée et conduit de force l’octogénaire dans son lit. Elle est giflée, frappée, contrainte à une fellation. Il la pénètre ensuite, « un peu mais pas totalement » dira la victime. Son mari, un homme de 85 ans grabataire en fauteuil roulant, se trouvait dans une pièce à côté. Alerté par le remue-ménage, il s’était rendu avec difficulté dans la chambre, découvrant sa femme à moitié dévêtue sur le lit avec l’agresseur. Celui-ci s’enfuyait aussitôt. L’enquête s’est orientée rapidement vers Nordinne D. C’était le voisin de la première victime. En 2002, le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières l’avait condamné à quatre ans de prison ferme pour les agressions sexuelles de deux voisines âgées de 76 et 80 ans. Il avait donc le profil idéal, d’où sa mise en examen et son renvoi le 28 février 2008 devant la cour d’assises de la Marne. La taille de son sexe fut au centre des débats, un « micropénis », selon les experts, qui empêcherait l’accusé de pratiquer une pénétration. De plus, le témoignage des victimes ne correspondait pas avec cette anomalie anatomique. Elles ont seulement reconnu leur agresseur à sa corpulence et à sa voix, « insuffisant » pour la défense. Pour les experts, l’argument du petit sexe censé l’innocenter pouvait également se retourner contre l’accusé. Celui-ci s’attaquerait à des personnes âgées non seulement parce qu’elles sont plus vulnérables, mais parce qu’elles ont l’âge de sa mère dont il veut se venger de son infirmité.
L’acquittement fut prononcé à 3 heures du matin après une journée de procès. Fureur du parquet qui interjetait aussitôt appel. A l’époque, la justice ne disposait pas de l’ADN de Nordinne D. Il avait refusé de se faire prélever (ce qui lui a d’ailleurs valu d’être condamné à six mois de prison ferme en décembre 2005). Aucune comparaison n’avait pu être effectuée. Son ADN a été prélevé cet été après son arrestation pour le vol avec violence. Reste à savoir si ce nouvel élément va pouvoir être versé, pour vérification, au dossier actuellement en attente d’appel devant les assises de l’Aube.
F.C.
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A 17 h 40, les pompiers ont été appelés pour un feu de poubelle esplanade Paul-Cézanne, au n° 12 (secteur Croix-du-Sud).
Ils étaient déjà intervenus mercredi soir à la même adresse, même heure, pour un incendie dans le local à vide-ordures.
Jeudi à 20 h 45, toujours esplanade Paul-Cézanne, c’est au n°16 que leur présence fut sollicitée pour une fumée suspecte dans les communs. Elle provenait d’aliments oubliés sur le feu.
Le repas de Noël de l’association Multi Échanges Services se déroulera à l’espace Billard de la Maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger), vendredi 12 décembre à 19 heures. Inscriptions auprès de Martine Massart au 03.26.08.08.78.
Ça sent le gaz
Une odeur de gaz a été signalée lundi soir dans un immeuble de la rue Joliot-Curie. Elle provenait d’une bouteille laissée ouverte. Les pompiers ont procédé à sa fermeture.
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Lundi vers 21 heures, un feu de cave s’est déclaré rue de Rilly-la-Montagne. L’incendie intéressait un seul conteneur.
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Le soir à 23 heures, des papiers ont été incendiés dans un hall d’immeuble de la place Auguste-Rodin, au n°4. Des locataires ont étouffé les flammes avant l’arrivée des secours.
Hier à 17 h 30, les pompiers sont retournés dans le quartier, esplanade Paul-Cézanne, pour un feu de local à vide-ordures au n°12. Les fumées ont légèrement incommodé un enfant (il n’a pas été nécessaire de le conduire à l’hôpital).
La fermeture du supermarché Diagonal dans le cadre d’un nouveau centre commercial dans le secteur Arago commence vraiment à irriter les habitants du quartier qui parlent de faire une pétition.
Et le conseiller municipal communiste, candidat à la députation, n’est pas le dernier à animer ce mouvement qu’il soutient officiellement.
Les bénévoles contribuent au plaisir de la lecture chez les enfants.
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Les bénévoles de l’association « Lire et faire lire » se sont réunies pour prendre connaissance du programme 2009 et pour entendre Danielle Roux, vice-présidente, leur présenter le compte rendu des Rencontres nationales de Lorient.
Pendant ce colloque, Alexandre Jardin a annoncé qu’il « passait la main », face au développement croissant de l’association et ne se consacrait plus qu’à l’écriture.
Les représentantes rémoises y ont travaillé avec Robin Renucci et feront partager cette expérience, le 22 janvier, lors d’une journée de formation.
Lire et faire lire, 19-23, rue Alphonse-Daudet, tél. 03.26.84.37.57
Cette compétition a permis de consolider les acquis et de s’améliorer encore avant le tournoi de France prévu mi-décembre.
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La première rencontre de danse sur glace, à Belfort dimanche dernier, laisse présager une belle saison pour le Reims Acrap patinage.
Dans la catégorie préparatoire A, Chloé Pillet, Océane Goyard-Gully et Chloé Neiva s’octroient les 1re, 2e et 4e places
En préparatoire B, Victoire Plomion prend la 2e place.
Dans la catégorie pré-bronze A, les deux jeunes éducatrices, Norina Dakeur et Marine Ravaux, décrochent les 1re et 4e places.
En pré-bronze B, Juliette Wary réussit un joli exploit en remportant la compétition. Ses camarades, Renan Manceaux et Jeanne Reppel ne déméritent pas en s’attribuant les 8e et la 9e places.
En bronze A, première participation à une compétition de danse sur glace et belle 3e place pour Vinciane Manceaux.
En bronze B, les deux représentantes du RAP, Margaux Abib-Gruet et Anaïs Milard, terminent 2e et la 3e. Enfin, en catégorie argent, Solène Manceaux s’octroie l’argent.
L’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge va renouveler l’expérience réussie il y a deux ans d’une bourse-échange de livres.
Les ouvrages sont échangés ou cédés pour des sommes minimes, destinées à financer un week-end familles fin mai 2009.
Sylvie Brin récupère les livres dont les habitants acceptent de se séparer, leur donnant de la sorte une deuxième vie.
Tous les genres d’ouvrages sont acceptés, pour adultes et pour enfants, jusqu’au 31 décembre, il suffit de les déposer 12, rue Pierre Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
C’est une nouveauté à Croix-Rouge : l’Union commerciale et artisanale de Reims, associée aux commerçants du centre commercial de l’Hippodrome, organise, samedi 6 décembre de 9 heures à 19 h 30, le premier marché de la Saint-Nicolas, avec le soutien de la ville de Reims.
Les commerçants et l’Ucar proposeront de nombreux stands de décoration de Noël avec cadeaux, des spécialités alimentaires de Saint-Nicolas (chocolat chaud, vin chaud, friandises), une tombola de Noël avec 300 lots à gagner, un grand jeu de Noël organisé par l’Ucar, un stand de maquillage pour les enfants le matin et un autre au henné l’après-midi et des jeux géants.
Bien entendu, les enfants attendront avec impatience le passage de Saint-Nicolas et de sa troupe en calèche avant de s’embarquer à leur tour pour des tours de calèche.
Inauguration à 11 h 30. Accès libre au Centre commercial de l’Hippodrome, rue Pierre-Taittinger.
L’association de locataires At’Hom organise une fête de Noël pour les enfants du secteur, le mercredi 10 décembre à partir de 16 heures, dans le hall de l’immeuble du 3, allée jacques-Simon : petit goûter offert aux enfants avec remise de friandises par le père Noël.
Jeudi 11 décembre, le père Noël municipal » sera en calèche dans les secteurs Pays-de—France et Hauts-de-Murigny.
Vendredi 12 décembre, sa calèche sera dans les secteurs Croix-du-Sud et Jeanne-Jugan.
Enfin, son chalet sera installé jeudi et vendredi place Auguste-Rodin, secteur Croix-du-Sud.
Le repas de Noël de l’association Multi Échanges Services se déroulera à l’espace Billard de la Maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger), vendredi 12 décembre à 19 heures. Inscriptions auprès de Martine Massart au 03.26.08.08.78.
Au total, 5 km de réseaux aériens seront déposés.
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Une quinzaine d’hommes mobilisés dont certains juchés à plusieurs dizaines de mètres de haut, des policiers municipaux qui bloquent l’avenue Pompidou pendant près d’une heure… Il y avait beaucoup d’agitation hier matin dans le quartier Val-de-Murigny de Reims.
À l’origine de cette mobilisation : la dépose d’une ligne de 20.000 volts qui surplombe notamment le quartier et les voies SNCF qui relient la gare centre de Reims à la gare Champagne-Ardenne TGV.
« L’intervention de cette semaine constitue la deuxième étape, la plus spectaculaire, de la restructuration des réseaux 20.000 volts sud de l’agglomération de Reims, suite à une étude engagée en 2006 », expliquent les responsables. « Elle consiste à déposer environ 2.500 mètres de ligne aérienne en zone urbaine, entre le quartier Croix-Rouge à Reims et la commune de Cormontreuil, en passant par le quartier Val de Murigny ».
La première étape a été réalisée au printemps 2008 avec la dépose d’environ 1.300 mètres de réseau aérien à Cormontreuil, au-dessus des lotissements et de la zone commerciale.
La troisième et dernière étape interviendra début 2009, avec la dépose de lignes aériennes au croisement avec la future A4 Bis.
Au final, environ 5.000 mètres de réseaux aériens auront été remplacés par 1.500 mètres de réseaux souterrains.
Les raisons de cette intervention sont multiples : la sécurité tout d’abord, car ces lignes étaient en surplomb de la future ligne de tramway à Croix-Rouge (rue Léon-Blum, à proximité du futur centre de maintenance), de la ligne SNCF Reims-Epernay à Cormontreuil, de la zone commerciale des Parques à Cormontreuil et du croisement avec le futur contournement autoroutier de Reims - A4 Bis - à Cormontreuil et Taissy).
Cette opération répond également à des raisons de capacité. Elle permet le renforcement des réseaux dans le quartier Croix-Rouge, en particulier pour l’alimentation électrique du tramway, dont la future sous-station de traction située à proximité du centre hospitalier régional.
S’ajoutent enfin des raisons d’environnement avec la suppression par enfouissement de lignes aériennes traversant des zones d’activités et d’habitat.
À noter que ces opérations, dont celle d’hier, n’ont pas eu de conséquences sur le réseau EDF ; les travaux de déviation de réseau ayant été faits bien en amont.
G.A.-T.
« C’est une très bonne nouvelle », se réjouissent Nathalie et ses amis.
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La nouvelle halte sera située en face de l’école de commerce, à quelques minutes des facultés de Croix-Rouge.
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Une halte ferroviaire ouvrira d’ici un an à Franchet-d’Esperey. Elle évitera aux étudiants de prendre le bus jusqu’au centre. De plus, les trains iront plus vite et coûteront moins chers à certains.
LES étudiants vont avoir leur gare. En septembre 2009, une halte ferroviaire ouvrira à Franchet-d’Esperey, c’est-à-dire juste en face de l’école de commerce RMS et à quelques minutes à pied des facultés.
« Pour beaucoup d’étudiants, ce sera un changement de taille. On ne sera plus obligés de prendre le bus pour rejoindre l’une des deux gares. Surtout qu’en général, on est chargés », se réjouissent Nathalie et ses amies de RMS.
Il est question que les TER qui poussent maintenant vers Bezannes TGV et servent de navettes entre les deux gares s’y arrêtent. Sans doute pas tous mais, peut-on espérer, assez pour assurer les départs et retours de week-ends des jeunes. De là, les étudiants vont donc pouvoir repartir vers Châlons, Épernay ou encore Charleville.
Des travaux sur toutes les lignes
Michel Guillaudeau, conseiller régional, était heureux de faire partie de ceux qui ont annoncé cette nouvelle, hier soir, lors de la réunion du collectif pour le développement du transport collectif (lire par ailleurs).
D’autant plus content que plusieurs projets de gare étudiés à cet endroit avaient déjà été envisagés par le passé mais n’avaient jamais été concrétisés. L’ouverture de la gare TGV a changé la donne en donnant aux trains une raison économiquement viable de passer par là.
Anne-Sophie, en licence de droit, se félicite aussi de cette future halte, même si elle n’en profitera pas : « J’habite à Troyes, il n’y a pour le moment aucune liaison ferroviaire vers Troyes. Je dois prendre un bus chaque vendredi que je vais chercher en ville et qui met 1 h 30 pour me ramener chez moi ». L’absence de liaison entre Reims et Troyes fait encore partie des tares de la région. Tout comme l’absence de liaison rapide avec Châlons-en-Champagne.
Un habitué de trente ans témoigne : « Il faut au moins 45 minutes et au pire une heure pour aller jusqu’à Châlons. C’est encore loin d’être optimal ». Aussi longtemps ou plus que pour aller à Paris…
Selon Michel Guillaudeau, « une liaison rapide est en projet. Pour l’instant, nous allons améliorer les trajets en créant un horaire cadencé. Les trains, par exemple, partiront à 7 h 02, 8 h 02, 9 h 02 etc. » Ainsi, les usagers n’auront plus à se demander à quelle heure trouver un train.
« De plus, Réseau Ferré de France va faire des travaux sur toutes les lignes dont celle de Châlons. » Pas du luxe : « Nous achetons des trains qui peuvent rouler à 160 km/h mais à certains endroits, à cause de l’état des voies, on ne peut dépasser le 60 ».
Tout cela devrait augmenter la fréquentation. La nouvelle tarification sociale qui sera débattue mi-décembre au conseil régional a aussi pour but, notamment, de gonfler le nombre de voyageurs. « Plusieurs hypothèses sont à l’étude. Des réductions de 60 voire 70 % pourraient entrer en vigueur pour les actifs qui ont des petits revenus. Comme ceux qui travaillent à temps partiel. » L’élu communiste cite en exemple les Pyrénées-Orientales où la Région a passé tous ses autocars à 1 euro. « Cette mesure a eu pour résultat de réduire terriblement le nombre de voitures sur les routes ». La Champagne-Ardenne ne devrait pas aller jusqu’au TER à un euro. Dommage. Les étudiants auraient été encore plus contents.
Luxembourg et Rouen à notre porte
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Jean-Paul Bachy, président de la Région, est venu en père Noël, hier soir, au lycée Arago pour la réunion du Clad (Comité local d’animation et de développement du transport régional). Dommage, à cause d’une convocation tardive, l’assemblée ne comptait que 17 personnes.
Les absents ont raté un bilan de l’année plutôt positif. « Nous nous félicitons de la nouvelle desserte Reims/Fismes et surtout de la liaison avec Bazancourt ouverte depuis septembre et qui bat des records de voyageurs. »
Il a aussi été question de tous ces TER bien plus confortables qu’avant. « Fin 2009, nous les aurons tous remplacés. »
Il va y avoir du nouveau sur les lignes TGV. Luxembourg sera desservi depuis chez nous à partir du 14 décembre. Il y aura un aller et retour par jour avec un départ à 8 h 39 le matin (arrivée à 10 h 52) et un retour à 19 h 06 (arrivée à Reims à 21 h 19). « On espère que cette desserte encouragera les Luxembourgeois à investir à Reims », a rêvé tout haut le président de la Région.
Autre nouvelle : « Un TGV Le Havre/Rouen/Strasbourg s’arrêtera à Reims à partir de juillet prochain. Il desservira Roissy et sera donc une liaison de plus avec l’aéroport », ont précisé les représentants de la SNCF.
On a appris aussi que le projet d’une ligne Reims/Troyes était à l’étude. Seulement, le coût est attendu élevé et les crédits de l’État sont loin d’être octroyés.
C.F.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 081203a
Numéro 7266 du 01 au 07 décembre 2008
TRIBUNAUX DE COMMERCE
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
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Par jugement en date du 25/11/2008, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
M. LEROY Patrice Jacques Georges, 33 place Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Nettoyage, entretien, rénovation de locaux.
R.C.S. : REIMS F 344 081 708 (2008 F 00017).
Ledit jugement a désigné
Juge commissaire : Mme Dominique POUGEOISE.
Liquidateur : SCP DARGENT - MORANGE - TIRMANT, en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Le greffier : Bernadette DELPY.
70688
CONSTITUTION DE SOCIETE
AVIS DE CONSTITUTION
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Il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION : S.A.R.L. "Les Lions du Bar.
SIEGE SOCIAL : Le siège social est fixé au 4 allée des Basques à REIMS (Marne).
OBJET : Les travaux du bâtiment sous toutes ses formes, notamment : assainissement, maçonnerie, plâtrerie, ravalement de façades, cloisons et finitions, peintures intérieures et extérieures, électricité, démolition, rénovation, charpente, chauffage, couverture, électricité générale, plomberie, carrelage, menuiserie, agencement, décoration, travaux artistiques sur tout support ; le conseil en création, réalisation, organisation, mise en œuvre, le suivi de chantier, l’organisation de tous travaux se rapportant de près ou de loin au bâtiment en général, la vente, ainsi que le dépôt vente de matériaux neufs ou d’occasion se rapportant à cette activité, en France et à l’étranger.
DUREE : Cinquante années à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL : Huit mille €uros (8.000,00 €).
GERANCE : M. Eyup AKKAS, demeurant à REIMS (Marne), 4 allée des Basques.
IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.
Pour avis.
70611
MODIFICATION DE STATUTS
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Par décision ordinaire des associés de la société CB & TP, SARL au capital de 1.000 €, N° SIRET : 482 170 271 00019 CODE APE : 4312 A, le siège social a été transféré :
ANCIENNE ADRESSE : 9 allée Georges Bizet -51100 REIMS.
NOUVELLE ADRESSE : 30 avenue Général Eisenhower -51100 REIMS. Modification sera faite au R.C.S. de REIMS.
Pour avis : La gérance
70500
L’association de Renate Gossard (à gauche) s’active en faveur des personnes âgées.
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Vendredi, l’association Femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain (F3) a tenu une séance de travail avec débat à la brasserie Saint-Maurice : « Comment rester chez soi le plus longtemps possible, comment aménager son logement, comment lutter contre la solitude, comment se faire aider,… ».
Une trentaine de personnes avaient répondu à l’invitation de Renate Cossard, présidente des Panthères grises de Reims.
Renseignements sur l’association au 03.26.08.22.10.
Les belotes se passent toujours dans une ambiance détendue.
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L’association Étoile Croix-du-Sud organise un grand tournoi de belote le samedi 6 décembre dans ses locaux du 5, avenue Léon-Blum.
Inscriptions sur place à 13 h 30 par équipes de deux joueurs.
Par ailleurs, l’association a édité son calendrier 2009 qui est en vente au prix de 2 euros au secrétariat à la même adresse.
Renseignements far téléphone au 03.26.06.56.66. et sur le site www.quartier-croix-rouge.info
De gauche à droite : Maud Trefcon, Isabelle Mallinger et Daniel Houssack.
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À la suite de son assemblée générale, l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny a réuni son conseil d’administration qui a élu son nouveau bureau.
Il se compose comme suit : présidente : Maud Trefcon 9 place Toulouse-Lautrec ; secrétaire : Isabelle Mallinger ; trésorier : Daniel Houssack ; administrateurs : Jean-Pierre Malbranque et Thomas Romedenne.
Contact : amicalehautsmurigny@orange.fr
« L’objectif principal pour 2009 sera l’emploi », a annoncé le président.
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C’est dans une salle comble, bien trop petite pour le nombre d’adhérents présents, venus de tout Reims, que le président Mohammed El Haddaoui a ouvert l’assemblée générale de l’association des Travailleurs maghrébins de France, section Marne.
Entouré des administrateurs Mustapha Benmourad, Naïma Closson, Mohammed El Aadda, Adil Abdelghani, Miloud Adil et Ahmed Arraiz, il a livré un rapport d’activités très dense et « résolument volontariste ».
Les objectifs de l’association ont été précisés, dans un cadre laïque, démocratique et non lucratif, en faveur d’une importante population en difficulté sociale et économique que la crise touche beaucoup et dont la situation se dégrade de plus en plus.L’ATMF est ouverte à toutes les populations, et pas seulement maghrébine : « Nous nous consacrons à la solidarité, à la lutte contre les discriminations et le racisme, à l’égalité des femmes. Notre action de médiation et nos multiples actions auprès des adultes, des familles, des femmes, des jeunes, des personnes âgées et handicapées, se traduisent par une forte fréquentation : près de 600 visites par an, 80 % d’hommes et 20 % de femmes. »
Ouvert toute la semaine de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 à 18 heures (sauf le samedi, de 14 à 18 heures), le local du 6, allée des Picards, reçoit pour les sujets les plus variés : information sur les droits et devoirs, législation, orientation, logement, écrivain public, traductions… L’ATMF fait maintenant partie des associations subventionnées et les comptes ont été rendus. Avec 4.000 euros de la Ville de Reims, 4.000 euros de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et 2.000 euros de la délégation régionale aux Droits des Femmes et à l’Égalité, le compte financier présente un déficit de 1.554 euros « que nous essaierons de combler cette nouvelle saison ».
Dans la salle, trois élus, candidats à la prochaine législative, Éric Quénard, Michel Guillaudeau et Franck Noël, ont eu fort à faire pour répondre aux nombreuses questions qui ont suivi l’assemblée générale : cartes de séjour, discriminations, problèmes cultuels, lieux de culte, abattage des moutons, etc.
Certaines parcelles sont d’une grande beauté.
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La remise des prix du concours des plus beaux jardins associatifs, organisé par la fédération des Jardins familiaux de l’agglomération de Reims, se déroulera samedi 6 décembre à 14 h 30, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, sous la présidence de la maire de Reims, présidente de Reims Métropole.
731 jardiniers sont en compétition, inscrits dans les associations de Jardins familiaux Trois-Fontaines, Trois-Rivières, Pays-de-France, Quartier Maroc, Jardinot ou jardin du cheminot et Jardins associatifs (JACA).
L’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge de Reims va organiser une bourse-échange de livres. Les ouvrages seront échangés ou cédés pour des sommes minimes, destinées à financer un week-end familles fin mai 2009.
Tous les genres d’ouvrages sont acceptés, pour adultes et pour enfants, jusqu’au 31 décembre, il suffit de les déposer au secrétariat de l’espace Billard, 12 rue Pierre-Taittinger à Reims (Tél. 03.26.08.08.78.).
La médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis Debar) lance un club de lecture, le samedi, une fois par mois, ouvert aux adultes et aux adolescents dès 15 ans.
« Tourné vers le monde des littératures de l’imaginaire (science-fiction, fantasy et fantastique), ce rendez-vous concernera aussi bien le lecteur initié avide de partager ses coups de cœur que l’amateur de nouvelles sensations littéraires », précise Muriel Masini, conservateur de la médiathèque.
Pour connaître les dates, Tél. 03.26.35.68.46. ou 03.26.35.68.47.
L’association Femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain (F3) réunit aujourd’hui toutes les personnes qui se penchent sur les problèmes des personnes âgées à l’espace la Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 rue du docteur Billard sur le thème de la consommation : présentation, étiquettes, conservation et recettes de grands-mères.
Une autre réunion est prévue jeudi 18 décembre, à 17 heures, au Café de la solidarité des âges, brasserie Saint-Maurice, place Museux, pour une conférence sur à lutte contre la solitude des jeunes et des personnes âgées.
Entrées gratuites Renseignements auprès de la présidente Renate Gossard au 03.26.08.22.10.
Les acteurs de la compagnie La Main tatouée.
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Un spectacle pour tous, malentendants et entendants, à voir en famille, à partir de 6 ans (durée 1 heure), sera présenté par la compagnie La Main tatouée.
« Chaud, froid, chaud » aura lieu à la médiathèque Croix-Rouge, le mercredi 3 décembre à 14 h 30.
C’est un conte d’Oscar Wilde, un conte du désert et des petites formes bilingues, poèmes, aphorismes et jeux de mains.
Par ailleurs, l’association lilloise Signes de Sens, proposera les aventures contées du petit bonhomme des bois, de Pramzy et autres héros, toujours pour un public malentendants et entendants, à partir de 7 ans (durée 1 heure), le samedi 13 décembre à 15 heures.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (Tél. 03.26.35.68.40).
Intervenants et élèves ont échangé sur la relation avec la clientèle.
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Dans le cadre de la semaine « Ecoles-Entreprises », le lycée Joliot-Curie a reçu Jean-Yves Hayer, directeur général de Reims Champagne développement, pour une conférence sur la relation/clientèle au travers de trois exemples de sociétés implantées à Reims et qui devraient, dans les années proches, être en mesure de proposer des emplois.
Dans la salle, les élèves concernés (Bac pro vente, commerce et services clients, BTS relations clients et négociations) ont entendu divers intervenants. Ces derniers se sont succédé pour présenter la philosophie qui règne dans leurs différents secteurs (agence de voyages Kuoni, taxis G7, Immac Wstore avec ses 250 commerciaux sédentaires).
Les jeunes se sont inquiétés de savoir si ces sociétés pourraient, dans un premier temps, leur offrir des possibilités de stage pendant leur formation.
A noter qu’une trentaine de professeurs de l’établissement sont allés sur place pour observer les pratiques afin d’adapter au mieux l’enseignement à la demande.
Ils n’ont que 13 ans mais promettent déjà… Mercredi vers 18 h 30, les deux adolescents traînent du côté de l’avenue Léon-Blum, au quartier Croix-du-Sud à Reims, lorsqu’ils repèrent une dame de 99 ans qui revient des courses avec son sac à main.
Les deux garçons entament la conversation avec elle, se proposant de la raccompagner jusqu’au bas de son immeuble. Ça ne se refuse pas : les rues sont si mal fréquentées de nos jours…
Une fois devant l’immeuble, l’un des ados continue de bavarder avec la vieille dame qui a déposé son sac par terre. Il s’agit en fait d’une manœuvre pour détourner son attention et permettre au copain de chiper le sac.
Les jambes fatiguées de la retraitée ne lui ont pas permis de courir derrière les deux voleurs. Rejoints par un copain du même âge, ils se sont rendus dans un supermarché où ils ont dépensé les 30 euros du butin en achats alimentaires.
Malgré son âge, la victime a encore de bons yeux. Grâce à la description fournie aux services de police, une patrouille a retrouvé les garnements un peu plus tard dans la soirée.
Le trio a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants.