Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - janvier 2009.
jeudi 1er janvier 2009
par Administrateur

 

Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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Journal « l’Union » 090131e

L’expo sur les résistantes marque les collégiens


Les douze collégiens ayant lu des textes préparés pour l’occasion.
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Le principal et la documentaliste du collège François-Legros ont accueilli les représentants de l’État (charte européenne de l’égalité des chances), du rectotat (cellule égalité des chances garçons-filles) et de la région Champagne-Ardenne (convention égalité hommes/femmes) pour dresser le bilan de l’exposition « Résistantes contemporaines » : soit 25 photos, de Pierre-Yves Ginet pour l’essentiel, exposées au centre de documentation et dans les couloirs de l’établissement avec des textes d’accompagnement.
 
« Cette exposition a été vue par 320 élèves de 15 classes et de tous niveaux », s’est félicité le principal. « Leurs professeurs de géographie, d’histoire et de français l’ont exploitée pour les faire voyager dans le temps et dans l’histoire. »

Douze élèves, représentant leurs camarades, ont lu des textes qu’ils avaient préparés pour l’occasion ; chacun s’étant approprié l’une des nombreuses résistantes présentées, des femmes à l’engagement exemplaire.

La documentaliste avait aussi invité Yves Pringault, qui s’est montré intéressé en qualité de directeur des activités jeunesse de la maison de quartier Croix-Rouge.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Journal « l’Union » 090131d

Ça râle dans le parking des Bourguignons !


Hier matin ça râlait ferme du côté de l’allée des Bourguignons, à Croix-Rouge. A cause d’un nouveau de feu de voiture. Celui-ci était survenu jeudi soir vers 22 heures, au niveau moins quatre d’un parking souterrain. Hier matin, il était malaisé d’identifier le véhicule concerné, complètement calciné, mais selon la police et certains riverains, il s’agit d’une 309. Gaby Kieffer fait partie de ces riverains. C’est même lui qui avait donné l’alerte aux pompiers : « Je sortais le chien quand j’ai vu de la fumée sortir par les bouches d’aération, il y en avait partout… » Et s’il pestait hier, ce n’est pas tant devant la triste fin de la carcasse de la voiture en question, mais parce que cet incendie a eu des conséquences sur sa propre voiture, en l’occurrence une Renault Espace. Celle-ci se trouvait garée dans le box juste au-dessus de la voiture brûlée. Effectivement, les vitres de l’Espace étaient toutes noires, souillées par la suie. « Et j’ai aussi mon filtre à particules à changer, les garnitures à nettoyer, et les moquettes, le plafond, tout quoi ! » Sans parler du scooter du fils, encrassé lui aussi et impossible à démarrer hier ! « Et si je veux faire jouer mon assurance, précise-t-il, j’en aurai pour 137 euros de franchise ! »

A l’abandon depuis 3 ans ?

 

Ce qui le met en rogne surtout, c’est que ce genre de désagrément aurait probablement pu être évité si la fameuse 309 avait été enlevée : « Cela fait plusieurs mois que cette voiture traînait dans ce box, elle était visiblement abandonnée ; d’après un voisin, cela faisait même trois ans qu’elle était là ! Je l’avais moi-même signalée au Foyer rémois pour qu’il la fasse enlever, mais ça n’a jamais été fait. On voit le résultat : finalement, il y a des gamins qui s’amusent à y mettre le feu… » On voit mal en effet comment une voiture abandonnée pourrait brusquement s’enflammer - surtout à une heure aussi suspecte - sans que quelqu’un l’y aide un peu…

Et malheureusement pour M. Kieffer et ses voisins, la fameuse 309 n’est apparemment pas la seule voiture à l’abandon dans le secteur. Hier matin, on pouvait ainsi en remarquer une autre, pneu à plat, macaron d’assurance périmé, et n’ayant visiblement pas changé de place depuis un bon moment.

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » 090131c

Top des cantines dans les collèges


Même quand le menu n’est pas à la hauteur, il reste toujours le plaisir d’être entre copines.
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De 8 à 17/20 de moyenne, les collégiens rémois ont noté leur cantine. Ils ont noté les plats, les locaux, l’organisation. Ont lâché ce qu’ils détestent le plus et ce qu’ils préfèrent aussi. Sans concession.


Bon Georges-Braque
 
Moyenne générale : 17,25.
 

Bien vue par ses habitués, la cantine de Georges-Braque. Rien à redire sur les locaux et les horaires qui récoltent pas loin de 20. « Sauf qu’on a souvent que 30 minutes pour manger », tempère Vincent. Ines donne un 20/20 au plat principal, mais tout juste la moyenne au reste : « Il faut reconnaître que les plats sont bons. Surtout quand il y a des pâtes et de la sauce. Sinon, je n’aime pas le céleri et la crème au chocolat est bizarre ». Jordan veut bien lui prendre sa part, il met 19/20 aux desserts mais c’est la tartiflette qu’il préfère. « Et je déteste quand c’est kangourou. Je ne sais pas si c’est leur façon de le préparer ou si c’est la viande elle-même, mais c’est pas bon du tout. »


François-Legros sans souci
 
Moyenne générale : 16,75.
 

Alexis déteste les poires et les pois, adore la mousse au chocolat et suggère un dessert bûche de Noël par semaine. Diarra et Fatoumata ont du mal avec les carottes, la file d’attente et les bousculades. Hamza n’aiment pas non plus, ni les carottes, ni la viande « parce que je suis musulman ». Voilà pour le négatif, sinon les notes volent plutôt haut. Surtout pour les desserts. Philosophes, les élèves de François-Legros : « La plupart du temps, on mange très bien, sauf les jours où c’est moins bon ».


Beurk les légumes à Joliot-Curie
 
Moyenne générale : 14,23.
 

Être obligé d’aller jusqu’au lycée pour manger, au lieu d’avoir sa propre salle fait baisser la moyenne de Joliot-Curie. Surtout que, selon Ousman, « il faut finir en 30 minutes ». Si encore il n’y avait pas autant de légumes au menu : « Ils sont terriblement mauvais. Ma mère, elle les fait mieux ». Heureusement, il y a le dessert ensuite et l’ambiance est bonne. Si Samatha préfèrerait rentrer chez elle, la collégienne admet qu’on s’amuse bien entre midi et deux. Pour faire monter la note générale, certains suggèrent que l’établissement installe un distributeur de coca et de jus d’orange. Pas gagné.

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Le palmarès
 

- 1. Georges-Braque 17,25.
- 2. François-Legros : 16,75.
- 3. Notre-Dame 16,22.
- 4. Maryse-Bastié 15,76.
- 5. Robert-Schuman : 15,43.
- 6. Brossolette : 15,35.
- 7. Trois-Fontaines : 14,91.
- 8. Joliot-Curie : 14,23.
- 9. Université : 14,12.

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Journal « l’Union » 090131b

Pôle Sud Musique


Ce samedi, à 18 heures, à la maison de quartier Val-de-Murigny (espace Apollinaire - 18, rue Guillaume-Apollinaire), signature de la nouvelle charte du réseau Pôle Sud Musique (le réseau des acteurs de musiques actuelles amateurs, des maisons de quartiers de Reims).

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Journal « l’Union » 090131a

Feux de déchets


Après avoir éteint un feu de voiture dans un parking souterrain de l’allée des Bourguignons jeudi soir (lire par ailleurs), les pompiers sont retournés presque à la même adresse un peu plus tard vers cinq heures du matin ; cette fois c’était pour un feu de poubelle à hauteur de l’immeuble n° 2.

Jeudi vers 20 heures, ils s’étaient déjà rendus place Georges-Braque (Croix-du-sud) pour un feu de local vide-ordures.

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Journal « l’Union » 090130c

Lancement ennuyeux de la rénovation urbaine


Une fête dans les quartiers pour lancer le plan de rénovation urbaine aurait été appropriée. Au final, on a eu des discours soporifiques au centre-ville.
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Trois discours soporifiques devant un parterre d’officiels dans les salons de la mairie. On aurait imaginé autre chose pour le lancement du plan Anru. Qu’au moins ça se déroule dans les quartiers.

ON aurait imaginé autre chose pour le lancement du plan de rénovation urbaine.

On aurait imaginé une fête dans un quartier avec un lâcher de ballons par les enfants, de la musique de tous les pays, un couscous ou une paella géante partagée par les futurs rénovés. Avec par-dessus les rires, une maire qui annonce au haut-parleur que « 468 millions d’euros vont être dépensés pour que vous viviez mieux ! » Ça aurait eu de la gueule.

Au lieu de cela, on a eu une réunion de 45 minutes, hier soir, dans les salons de l’hôtel de ville où les gens des quartiers ne viennent jamais.

On a eu droit à un discours institutionnel au possible de la maire suivi d’une intervention convenue du directeur général de Reims Habitat et couronnée par une tirade autant interminable que soporifique du sous-préfet.

Dommage car c’est tellement une bonne nouvelle d’imaginer Croix-Rouge, Orgeval, Wilson et Les Épinettes tels qu’ils seront en 2013 quand tout le programme sera terminé. Des immeubles propres, plus de balcons qui pendouillent, des quartiers plus sûrs pour tous que les jeunes, on l’espère, n’auront pas envie de dégrader.

Si Adeline Hazan a fait le choix de faire sinistre à l’hôtel de ville plutôt que joyeux entre les blocs-taudis en sursis, on ne peut pas lui en vouloir. C’était même décent de sa part. Car même si elle ne va pas le clamer sur le boulevard Taittinger, la maire sait bien que le plan de rénovation urbaine, plus communément nommé plan Anru (nom tiré de l’agence de rénovation urbaine de l’État) n’est pas son œuvre. Ce plan a été bouclé à 98 % par ses prédécesseurs et soutenu par l’État via Catherine Vautrin et Jean-Louis Borloo. On lui laisse 2 % pas anodins mais qui se résument à obtenir la requalification de 127 logements en HLM petites ressources et à une accélération de la charte d’insertion qui consiste à faire réserver des emplois aux chômeurs des quartiers et qui peinait un peu sous Schneiter. Alors, elle n’a sans doute pas osé organiser une fête. Ce sera pour plus tard.

Catherine Frey

Le programme détaillé sera exposé aux habitants lors de prochaines réunions : le vendredi 6 février à Orgeval à 18 h 30 au lycée Colbert, jeudi 12 février à 18 h 30 pour Croix-du-Sud, mercredi 18 février à 18 h 30 pour Pays de France, jeudi 19 février à 18 h 30 pour Université (les réunions de Croix-Rouge auront lieu dans la salle Mauriac), jeudi 5 mars à 18 h 30 à la maison de quartier des Épinettes, jeudi 12 mars à 18 h 30 salle Rossini à Wilson.

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Journal « l’Union » 090130b

Le compteur chauffe


Les pompiers ont été appelés hier jeudi matin peu avant 10 heures dans un appartement du cours Eisenhower pour un feu d’origine électrique : feu provenant de l’échauffement d’un compteur. Les pompiers ont laissé EDF régler le problème.

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Journal « l’Union » 090130a

Feu de friteuse


Les pompiers ont été appelés hier peu avant 13 heures pour un feu de friteuse survenu dans un appartement de l’allée des Landais (Croix-Rouge). Légèrement brûlé au bras, le locataire a été transporté à l’hôpital.

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Journal « l’Union » 090129b

Rue Blum fermée

Dans le cadre des travaux de déviations de réseaux, la rue Léon-Blum sera fermée, à partir de la rue Newton jusqu’à la rue Joliot-Curie, jusqu’au vendredi 30 janvier au soir.

La déviation se fera par la rue Newton, à sens unique jusqu’à l’Allée E.-Degas. L’accès riverains sera maintenu.

Infos tram au 0.800.10.87.26.

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Journal « l’Union » 090129a

Ça gaze

Hier midi, les Pompiers ont été appelés pour une fuite de gaz place Dominique-Ingres, sur un compteur extérieur au n°2.

Les Pompiers ont procédé à une couPure générale de l’alimentation dans l’immeuble avant de laisser l’intervention à GDF

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Journal « l’Union » 090127d

Prévention cancers

Sous l’égide du groupement régional de santé publique de Champagne-Ardenne et du centre d’information sur les droits des femmes et des familles de la Marne, une intervention de prévention et d’information sur les cancers du sein, des ovaires, de l’utérus et du col de l’utérus se déroulera à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 14, rue Pierre-Taittinger, lundi 2 février de 14 à 16 heures.

Cette action s’adresse aux femmes de tous âges.

Entrée libre. Renseignements à l’espace Billard au 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » 090127c

INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos :

Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage : Reims habitat Champagne – Ardenne : 71, avenue d’Epernay - B.P. 2720 - 51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Appel d’Offres Ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du CMP

3) Objet des marchés :

Marchés de travaux : Réhabilitation et partielle de la RPA Doyen, 7 rue du Docteur Billard à Reims pour le compte de Reims Habitat.

4) Nombre et consistance des Lots :

Les travaux sont répartis en 3 lots désignés ci-dessous :

- Lot 5 : Menuiseries intérieures
- Lot 6 : Sols souples – sols collés
- Lot 7 : Peinture

Les autres lots sont attribués.

5) Options : 1 option obligatoire :

Lot n°5 : Option n°6 : Gaines VMC

6) Modalité d’attribution des lots : Par marchés séparés.

7) Délai d’exécution : 12 mois, la période de préparation de 1 mois étant comprise, ainsi que les intempéries et les congés payés.

8) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du Code des Marchés Publics.

9) Critères d’attribution de l’offre :

- Prix des prestations 70 %
- Valeur technique 30%

10) Délai de validité des offres :

120 jours à compter de la date limite de remise des offres.

11) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

12) Remise des offres :

Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :

Monsieur le Directeur Général de Reims habitat Champagne Ardenne
71, Avenue d’Epernay
51100 REIMS

Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr – rubrique marchés publics.

13) Autres renseignements :

Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Champagne Ardenne : Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.40

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction des Programmes Techniques et Spécifiques de Reims habitat champagne ardenne. – Tél. 03.26.48.43.14. ou auprès du maître d’œuvre : SARL FAUPIN – Tél : 03.26.88.27.94. Fax : 03.26.40.49.36.

14) Date limite de remise des offres : 17 février 2009 à 17H00

15) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 22 janvier 2009 à 17h00

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Journal « l’Union » 090127b

Quand le mieux est l’ennemi du bien…


La dernière assemblée générale de l’association Étoile Croix-du-Sud en a décidé ainsi : le webmaster du site www.etoilecroixdusud.com, l’un des plus beaux sites associatifs de Reims, a été désavoué par une forte majorité des adhérents. Il a aussitôt démissionné, et a été remplacé par un jeune administrateur, déjà créateur du site de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud.

Ce qui était reproché au webmaster rejeté, c’est sa trop grande ouverture sur le reste du quartier.

En effet, auprès des nombreuses informations consacrées en propre à l’association Étoile Croix-du-Sud, il avait imaginé toute une batterie d’informations sur le quartier Croix-Rouge : une rubrique « Souvenirs » d’il y a 37 ans, un guide des services du quartier (enseignement, santé, social, sports, associations, commerces et culture-loisirs), une rubrique sur toutes les activités de la maison de quartier Croix-Rouge et de l’Acrap ; et la présentation des activités de l’ensemble du quartier, à partir de la presse (soit une véritable banque d’informations et une galerie de photos impressionnante, très appréciées des associations et des habitants du quartier qui s’y référaient très souvent, avec une fréquentation supérieure à 100 visiteurs par jour).

Le nouveau webmaster de l’Étoile Croix-du-Sud a pour mission de resserrer le site sur les seules activités de l’association, et de faire disparaître toutes les informations d’intérêt général concernant le quartier Croix-Rouge.

Yvon Zebic, boudé car trop ouvert…

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images..

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Journal « l’Union » 090127a

Balcons décorés : remise des prix

Une remise de prix dans la joie et la bonne humeur.
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Les six jurés du concours des plus beaux balcons décorés de Noël, secteur Eisenhower-Taittinger, sont passés à la nuit tombée, pendant 2 h 30, pour établir le classement, en appréciant l’esthétique, la créativité et l’originalité des balcons illuminés.

La remise des prix s’est déroulée à la résidence Arfo Lucien-Doyen, sous la conduite de Micheline Sage et d’Agnès Métais, présidente et vice-présidente de l’amicale des locataires Université-Hippodrome, en présence de Sandrine Pigeon, directrice de la résidence, et des représentants de Reims habitat venus en nombre.
Cinquante-cinq familles ont participé au concours : « Je suis admiratif », déclarait Patrick Baudet, directeur de Reims habitat avant la remise des prix. « Je ne sais pas comment vous faites pour obtenir de si beaux balcons ! »

C’est :

- Mme Raffin (14, Rilly-la-Montagne) qui a décroché le premier prix ;
- Mme Menuel (20, Rilly-la-Montagne) le 2e,
- Mme Ferre (43, Eisenhower) le 3e,
- M. et Mme Pétrinos (13, Eisenhower) le 4e ;
- et Mme Taffin (9, Taittinger) le 5e.

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images..

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Journal « l’Union » 090126e

La Lézardière


L’assemblée générale annuelle de l’association de défense des habitants du quartier « La Lézardière » se tiendra demain, à 18 h 30, dans les locaux de la Ligue de l’enseignement, rue Alphonse-Daudet (ancienne école maternelle)

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Journal « l’Union » 090126d

Un terrain de tennis sacrifié sur l’autel du tramway


Le court de tennis appartenait à l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap).
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La haie d’arbustes, plantée autour d’un court de tennis extérieur de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap), vient d’être arrachée le long du chemin d’accès au bâtiment. Alain Lommé, président de la section tennis, explique : « Avec les travaux pour le tramway, il est prévu la destruction de l’un de nos deux courts pour laisser place à la construction de la future station. Les travaux devraient débuter en avril ».

Un autre court ?

Au sein de la société Mars, la directrice de la communication et des relations extérieures le confirme : « Effectivement, un des deux courts saute, celui qui est le plus près de l’avenue Bonaparte ».

Selon elle, cette décision n’est pas nouvelle : « Cette option était inscrite dès le départ dans l’enquête publique qui s’est déroulée du 18 juin au 27 juillet 2007. La signature de la DUP (déclaration d’utilité publique) date quant à elle du 13 février 2008 ». Question importante : est-ce que la Ville reconstruira un autre court ailleurs, en remplacement ? Chez Mars, on botte en touche : « Cette question n’est pas de notre responsabilité, mais de celui de la Ville de Reims ».

« Nous n’avons reçu aucune promesse quant à la construction d’un autre court », indique M. Lommé. « Il y a eu des contacts, mais il faut que la Ville fasse une étude pour dessiner une nouvelle implantation.

Il faudra certainement attendre la fin des travaux du tramway pour en savoir un peu plus et, à cela, il faut ajouter le délai de réflexion et les différents accords. Donc, pour le moment, impossible d’en savoir plus. »

Le premier adjoint Éric Quénard a toutefois demandé des éléments de réponse, apparemment difficiles à obtenir : « Les services ne m’ont apporté à ce jour qu’une réponse incomplète, à savoir que l’un des deux terrains serait bien détruit. »

Mais rien sur une éventuelle reconstruction.

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Journal « l’Union » 090126c

Eisenhower : une expo pas comme les autres


Des réalisations artistiques parfois périlleuses…
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La médiathèque Croix-Rouge présente, jusqu’au 28 février, une exposition qui est une véritable rétrospective du projet « Autre peau - Autre ville », conduit sur le quartier Croix-Rouge Université depuis le printemps 2007.

C’est une exposition d’œuvres plastiques réalisées par les publics de Croix-Rouge, en lien avec le projet de démolition d’immeubles du secteur Eisenhower par Reims habitat. Elle a été conçue par Armelle Bary, plasticienne.

L’objectif était de sensibiliser et d’associer, par des actions artistiques, les habitants du quartier à la démolition des immeubles situés aux 25, 27, 29 et 31 sur l’esplanade Eisenhower. À voir également : un parcours photographique d’Alain Hatat.

Sachez enfin qu’au cours de l’exposition, Armelle Blary animera des ateliers.

Vernissage de l’exposition le vendredi 30 janvier à 18 heures. À cette occasion, le livre « Autre peau - Autre ville », mémoire de cet accompagnement artistique, sera remis à tous les acteurs du projet. A la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar), jusqu’au 28 février. Entrée libre.

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Journal « l’Union » 090126b

Rénovation urbaine : « LA » semaine des grands projets


L’actualité s’annonce chargée cette semaine à Reims. Outre la journée de mobilisation ce jeudi (avec une grève aux Tur), la Ville va lever une partie du voile sur plusieurs de ses grands projets, ou tout du moins la façon dont elle va travailler pour les réaliser.

Mercredi prochain, le 28 janvier, à 16 h 45 dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville, se déroulera ainsi le lancement de « Reims 2020, le grand projet urbain ».

La manifestation se tiendra notamment en présence des trois urbanistes associés à la démarche : Christian Devillers, Bruno Fortier et Philippe Panerai. Le lendemain à 18 h 30, toujours à l’hôtel de ville, ce sera au tour de la présentation du programme de rénovation urbaine 2008-2011.

Enfin !, diront certains, quand on sait que ce plan de rénovation urbaine a été signé le 20 novembre, soit il y a plus de deux mois…

Sont concernés par l’Anru : les quartiers Wilson, Croix-Rouge, Orgeval et les Épinettes.

Après cette présentation, des réunions de quartier sont prévues : le 6 février à Orgeval ; les 12, 18 et 19 février à Croix-Rouge ; le 5 mars aux Epinettes ; et le 12 mars à Wilson. Les habitants pourront alors venir s’exprimer sur le devenir de leur quartier, et surtout savoir ce qui va changer.

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Journal « l’Union » 090126a

Papiers brûlés, bloc enfumé


Hier vers 17 heures, une fumée s’est élevée dans la cage d’escalier d’un immeuble de l’allée Edgar-Degas dans le quartier Croix-du-Sud. Alertés, les pompiers en ont découvert l’origine dans le local à vide-ordures.

Il s’agissait d’un feu de papiers qui avait fini de se consumer à leur arrivée. L’immeuble concerné était le n° 5.

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Journal « l’Union » 090125a

Scooter accidenté

Hier, vers 8h 45, un cyclomotoriste a fait une chute rue François-Mauriac.

Légèrement blessé, il a été transporté au CHU par les sapeurs pompiers.

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Journal « l’Union » 090124f

Quasi impossible de se faire livrer une pizza quand on habite Croix-Rouge, Orgeval, Wilson ou Pont de Witry.

Les livreurs ne veulent pas y aller et personne ne peut leur en vouloir.
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ILS ne devraient pas accepter cela. Les Rémois qui ne peuvent pas se faire livrer une pizza parce qu’ils habitent un quartier dit sensible devraient tous se retrouver devant l’hôtel de ville pour manifester. Ils devraient exiger de pouvoir vivre comme les Rémois qui habitent, par exemple, boulevard du Général-Leclerc. Ça ferait du monde place de l’hôtel de ville.

« Orgeval, on ne livre pas, Val de Murigny non plus. On va jusqu’à Maison-Blanche mais jamais à Croix-Rouge. Au Pont de Witry, on livre seulement à gauche. Europe, on y va. Wilson, je ne sais pas trop. Ça dépend de la rue », confie Jessica à la Boîte à Pizza.

« On refuse Croix-Rouge sauf si c’est sur les grands axes et que les gens peuvent descendre chercher la pizza. Orgeval, on n’y va pas, ni à Wilson sauf sur le boulevard. On ne livre pas au Pont de Witry mais on va dans le quartier derrière, aux Épinettes », énumère Bertrand à la Pizza la Mama.

« Nous avons une liste de rues que nous refusons de desservir. Comme la rue Pierre de Coubertin, la rue Gallieni. On évite aussi Croix-Rouge. On ne va pas non plus à Sainte-Anne et aux Châtillons mais, là, c’est parce que c’est trop loin de notre siège », explique l’un des employés de Domino’s Pizza.

Virginie Munoz fait partie des Rémois à qui on a refusé une livraison. Depuis 5 ans, elle habite dans une résidence qui donne sur l’avenue de Laon. La dernière fois que son ami a commandé une pizza, on lui a répondu qu’il habitait trop près d’Orgeval. Le copain de Virginie a eu beau expliquer qu’il vivait dans un coin tranquille, il n’a pas eu sa pizza. Virginie en veut beaucoup au livreur de pizza. « Nous avons été plus qu’étonnés et très surpris de cette réponse. À partir de quand peut-on parler de discrimination ? ».

Pourquoi leur en vouloir à tous ces livreurs de Marguarita et de Quatre Fromages ? « On ne va plus dans ces quartiers car la plupart du temps, nos employés reviennent sans la pizza quand ce n’est pas pire ».

« On doit protéger notre personnel »

Caisson volé, scooter volé, pizza volée, insultes, coups de poing : « Dans le meilleur des cas, le livreur abandonne la pizza aux bandes de jeunes et rentre bredouille mais parfois on lui prend tout sous la menace », explique-t-on chez quasi toutes les enseignes.

« On n’a pas le droit de mettre notre personnel en danger. D’ailleurs si on lui demandait d’aller dans ces quartiers, il ne travaillerait pas longtemps pour nous ».

Les patrons ont conscience de perdre une bonne quantité de clientèle mais : « On n’a pas le choix. Ce n’est pas de la faute de tous ceux qui vivent dans ces quartiers mais comment faire ? ».

C’est la preuve que Reims compte de nombreuses zones de non droit à la nuit tombée. Des endroits où on ne peut même pas livrer une pizza sans prendre le risque de se faire voler, voire agresser. Il faut arrêter d’accepter cela.

Catherine Frey

Las de se faire voler ou même agresser, les livreurs ne desservent plus les quartiers sensibles. Est-ce acceptable ?

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« Pour livrer partout, il faut être super discret »


Pizza Minutes s’est spécialisé dans la livraison dans les quartiers. Une niche pas de tout repos.
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Il existe au moins une enseigne qui livre ses pizzas dans tous les quartiers. C’est Pizza Minutes. « Nous sommes connus pour aller partout. Nous en avons même fait une spécialité », explique Nicolas, fier de sa spécificité. La règle est d’être très très prudent et la clef de la réussite est d’être très très discret.

« Tout le problème vient du fait qu’un livreur de pizza est facilement identifiable. Son scooter et son caisson le trahissent. Quand il entre dans la cage d’escalier avec son sac à pizza, il a peu de chance de parvenir jusqu’à son client si une bande de jeunes se trouve au même endroit ». Il est très vite détroussé de sa chorizo champignons emmental par les sales gamins qui s’offrent un festin gratuit. « Quand ils ne prennent que la commande ça va encore mais parfois ils gardent aussi le sac. Un sac comme ça, c’est 80 euros ».

Parfois, pour peu que le livreur résiste un peu, les choses vont plus loin : « Il peut se faire casser la figure ». Gare aussi aux guets-apens. « Certains commandent avec un nom d’emprunt. Quand on arrive en bas du bloc, il y a bien une sonnette qui correspond mais il y a aussi un comité d’accueil pour récupérer la marchandise sans la payer ». C’est à force de s’être fait avoir que Nicolas et son équipe ont mis au point leurs stratégies. « Pour commencer, il faut oublier la mob et livrer en voiture banalisée. Ensuite, il faut faire en sorte de ne pas ressembler à un livreur de pizza ».

Ne pas négliger le travail de prévention : « C’est bien de savoir repérer les appels venant des cabines téléphoniques en répertoriant les numéros. On parvient aussi, par habitude, à repérer les commandes un peu louches. On a aussi d’autres petits trucs que je ne révélerai pas car on tient à conserver notre exclusivité dans les quartiers chauds ». C’est à Croix-Rouge, « plus particulièrement Einsenhower et Croix-du-Sud qu’on se méfie le plus ».

Ne pas en déduire que Reims est devenu un coupe-gorge permanent. « Ce sont toujours les mêmes qui s’amusent à ça ». Ils ne sont même pas nombreux. Juste assez pour salir l’image de tout leur quartier.

C.F.

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Avez-vous peur dans certains quartiers ?


Daniel Silva, 38 ans serveur.


« Je vais un peu partout, dans le centre-ville comme en périphérie pour aller faire mes courses, et jusqu’ici je n’ai jamais eu à redouter le moindre problème. Mais, de toute façon, on peut courir des risques aussi bien dans les « beaux quartiers » que dans les zones réputées à risques. »

Alexandra Arescaldino, 20 ans salariée.


« J’ai travaillé dans des quartiers comme les Châtillons, Croix-Rouge ou Wilson sans jamais avoir été embêtée. Il m’arrive d’avoir des craintes dans les bus de nuit où il n’y a pas toujours des agents de sécurité. Pour la violence, je pense que la justice devrait infliger des peines plus dissuasives. »

Virginie Bacon, 32 ans serveuse.


« Où j’habite, je sais qu’il y a eu plusieurs fois des problèmes, et même un meurtre ! Aux Châtillons je n’ai pas peur, mais il y a un quartier comme le Pont de Witry où il vaudrait mieux, paraît-il, passer en voiture plutôt qu’à pied. Il faudrait de plus en plus de patrouilles de police dans tous les quartiers. »

Micheline Thiébaut, 73 ans retraitée.


« En allant rendre visite à une amie qui habite Croix-Rouge, il m’est arrivé d’avoir été importunée par des jeunes, mais sans violence physique. S’il m’arrive de devoir aller dans un quartier dit « sensible », je n’y vais jamais seule. La violence à Reims n’est pas l’apanage d’un seul quartier ! »

Daniel Pagis, 69 ans retraité.


« J’évite d’aller à Croix-Rouge, à Croix-du-Sud ou aux Epinettes. Il m’est arrivé d’être agressé verbalement et, comme je n’avais pas l’air de me laisser faire ça s’est arrêté là. Quand j’étais jeune, j’habitais à Fléchambault où il y avait moins de violence que dans beaucoup de quartiers d’aujourd’hui. »

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Journal « l’Union » 090124e

Patinage artistique : le Rap brille à Amiens

Les espoirs du Rap à Amiens avec leur entraîneur Cécile Mareignier.
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A l’issue d’une compétition en patinage artistique à Amiens, deux jeunes patineuses du Reims Acrap patinage, Lili-Rose Plomion et Juliette Wary ont été remarquées en emportant les 2e et 3e places de leurs catégories respectives (moins de 6 et moins de 13 ans).


Challenge

C’était la première manche d’un challenge qui les emmènera à Charleville-Mézières et à Wasquahal avant de revenir à Reims pour la finale.

Le calendrier du Rap comporte un déplacement de la section Danse sur glace à Dijon le 31 janvier, avec Ludivine Lemaire et 13 patineurs et surtout le tournoi de France 1re division de danse sur glace, organisé par le club rémois les 14 et 15 février prochains.

171 patineurs

« Nous accueillerons 133 patineurs solos et 14 couples soit 171 patineurs venus de toute la France ! » précise la secrétaire Annie Manceaux.

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Journal « l’Union » 090124d

Courage, bientôt les premiers rails


La construction de la plate-forme a commencé depuis une semaine avenue de Laon. Elle est aussi l’occasion de refaire toute la voirie.
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La construction de la plate-forme a commencé avenue de Laon. Elle va débuter rue de Vesle.

Dès ce printemps, des rails seront posés à Croix-Rouge et cours Langlet. La ligne prend enfin forme. …

La recette pour bâtir la plate-forme n’a rien de sorcier : « On creuse à une profondeur d’un mètre, on déverse du remblai de force pour consolider le sol et on coule une première couche de béton. Une deuxième couche de béton est ensuite posée en même temps que les rails ». Les premiers devraient apparaître en ville ce printemps. Dès le courant mars à Bezannes, ensuite à Croix-Rouge puis Cours Langlet.

Catherine Frey

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Journal « l’Union » 090124c

Douche interdite !

Une locataire de Reims Habitat a fait appel à un expert de l’organisme logeur pour faire constater l’effritement de la peinture au-dessus de sa baignoire.

À sa grande surprise, elle devra faire les travaux elle-même car ce dernier lui explique que ces dégâts sont entièrement de sa faute.

La raison : « C’est parce que vous prenez trop de douches que la peinture se décolle » lui dit le technicien. Il est donc interdit d’être propre lorsque l’on est locataire de cet office HLM.

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Journal « l’Union » 090124b

Tape l’incruste

Fabrice Lopez, président d’une association de locataires à, : Croix-Rouge est-il un pique-assiette ?

En tout cas, c’est ce que se demandent certains locataires de la Rafale et adhérents : d’autres associations de locataires.

Lors de la remise des prix des décorations des balcons de Noël, à leur grand étonnement, ce monsieur a débarqué alors que personne ne l’avait convié.

Cela en a énervé plus d’un.

- Des photographies de cette manifestation sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » 090124a

Un plan pour l’adjoint

Il va falloir offrir un plan de Reims à Raymond Joannesse, l’adjoint aux jardins familiaux.

A la fin de leur assemblée générale, il a donné des conseils de prudence culturale aux jardiniers de Pays-de-France, en leur précisant : « Vous n’êtes pas loin des champs captants de Fléchambault ».

Certains en rient encore, car ces champs captants sont davantage situés entre Sainte-Anne et Cormontreuil qu’entre Pays-de-France et Bezannes

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Journal « l’Union » 090123d

Les ascenseurs condamnés à la vétusté jusqu’en 2010
 
La mise aux normes est obligatoire pour les HLM, comme pour les copropriétés.
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Une loi oblige les offices HLM à remettre en état les ascenseurs de leurs immeubles. A Reims, les organismes logeurs affirment que les travaux ont débuté. Mais locataires et techniciens démentent formellement.  
 

LA loi De Robien de juillet 2003 rend obligatoire la modernisation des ascenseurs d’ici le 31 décembre 2010. D’autres mises à niveau, moins urgentes, devront aussi être effectuées entre 2013 et 2018 comme le préconise la loi. Pourtant, dans la cité des sacres, et plus précisément dans le quartier Croix-Rouge, rien n’a réellement commencé. Associations et locataires font le point sur leurs installations.

Les associations de locataires
 

« Le mien est en panne depuis le 29 décembre, il devait être remis en route pour le 9 janvier. Reims Habitat et la société à qui le bailleur fait appel pour l’ascenseur se moquent des locataires en expliquant à chaque fois que les pannes sont dues à des actes de vandalisme.

C’est l’excuse la plus facile ! Sans parler des fois où ils veulent nous faire croire que l’arrêt est dû à l’application de cette loi », explique cette locataire de l’avenue du Général Eisenhower.

« À Croix-Rouge, dans le secteur de la Rafale, les travaux n’ont pas commencé. Ils devaient débuter le 1er janvier. Mais ce ne fut pas le cas, on ne sait pas trop pourquoi », affirme Fabrice Lopez, président du Collectif des locataires de Croix-Rouge.

« Je pense que ce sont des ascenseurs solides, je m’en sers depuis 37 ans. Mais il y a des techniciens qui passent et qui disent clairement à certains locataires que ces ascenseurs, qu’ils soient électriques ou mécaniques, ne sont plus aux normes. Mais dans le quartier, c’est vrai aussi que de nombreux individus maltraitent ces ascenseurs. Personne ne peut le nier », précise Micheline Sage, présidente de l’amicale des locataires d’Eisenhower-Taittinger, en pleine forme malgré ce qui se dit dans ce secteur du quartier Croix-Rouge.

Injoignables ces ascensoristes !
 

Les locataires rémois ont tellement de difficultés à joindre les sociétés chargées de l’entretien de leurs ascenseurs, qu’on se dit qu’il ne vaut mieux pas être bloqué dans l’un d’entre eux ! Pour preuve, trois de ces sociétés (importantes) n’ont pas été capables - excuse valable ou non - de nous donner des chiffres ou même une réponse pour savoir si oui ou non des travaux liés à la loi De Robien avaient débuté dans la cité des sacres.

Une chose est sûre : grâce à cette loi, des entreprises d’ascensoristes se sont créées. Exemple avec la société « A2A l’alternative ascenseur », la seule ayant répondu à nos questions.

« Cette loi a eu un réel impact, c’est elle qui nous a permis de mettre le pied à l’étrier et de créer des emplois. S’il n’y avait pas eu ce report, les travaux auraient été irréalisables », raconte un responsable de la société.

« Celui qui vous dira qu’il est dans les temps en ce qui concerne les travaux liés à la loi De Robien, vous pourrez lui dire que c’est un menteur. Je sais de quoi je parle : j’aurais été au courant je vous l’assure ! » raconte ce dépanneur, croisé dans un immeuble il y a de cela quelques jours.

Thierry Accao Faria

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Journal « l’Union » 090123c

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE
 

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage :
Reims habitat Champagne Ardenne
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP

3) Objet des marchés : marché de travaux : Aménagement de 11 locaux pour dépôt des ordures ménagères (tri sélectif) ; Immeubles sis 25 à 37 et 39 à 45 rue Pierre Taittinger à Reims.

4) Nombre et consistance des lots :

1 lot : Lot 4 : plomberie

5) Modalité d’attribution des lots : Marché séparé.

6) Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 1 mois, et les congés payés de 15 jours)

7) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du CMP (voir Règlement de consultation)

8) Critères d’attribution : Valeur technique 20 % Prix 80 %

9) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél. : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

10) Autres renseignements : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Tél. 03.26.48.62.30 Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction Construction de Reims habitat. Tél. 03.26.48.43.16, Fax 03.26.48.43.40

11) Remise des offres :

Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :

Monsieur le Directeur Général de Reims – Habitat Champagne Ardenne
71, Avenue d’Epernay
51100 REIMS

12) Date limite de remise des offres : Le 11 Février 2009 à 17h00.

13) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 20 Janvier 2009

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Journal « l’Union » 090123b

INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE
 

Avant - propos :

Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage : Reims habitat Champagne – Ardenne : 71, avenue d’Epernay - B.P. 2720 - 51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Appel d’Offres Ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du CMP

3) Objet des marchés :

Marchés de travaux : Réhabilitation et partielle de la RPA Doyen, 7 rue du Docteur Billard à Reims pour le compte de Reims Habitat.

4) Nombre et consistance des Lots :

Les travaux sont répartis en 3 lots désignés ci-dessous :

- Lot 5 : Menuiseries intérieures
- Lot 6 : Sols souples – sols collés
- Lot 7 : Peinture

Les autres lots sont attribués.

5) Options : 1 option obligatoire :

Lot n°5 : Option n°6 : Gaines VMC

6) Modalité d’attribution des lots : Par marchés séparés.

7) Délai d’exécution : 12 mois, la période de préparation de 1 mois étant comprise, ainsi que les intempéries et les congés payés.

8) Justifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du Code des Marchés Publics.

9) Critères d’attribution de l’offre :

- Prix des prestations 70 %
- Valeur technique 30%

10) Délai de validité des offres :

120 jours à compter de la date limite de remise des offres.

11) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

12) Remise des offres :

Les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à :

Monsieur le Directeur Général de Reims habitat Champagne Ardenne
71, Avenue d’Epernay
51100 REIMS

Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr – rubrique marchés publics.

13) Autres renseignements :

Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du Service Commande Publique de Reims habitat Champagne Ardenne : Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.40

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la Direction des Programmes Techniques et Spécifiques de Reims habitat champagne ardenne. – Tél. 03.26.48.43.14. ou auprès du maître d’œuvre : SARL FAUPIN – Tél : 03.26.88.27.94. Fax : 03.26.40.49.36.

14) Date limite de remise des offres : 17 février 2009 à 17H00

15) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 22 janvier 2009 à 17h00

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Journal « l’Union » 090123a

Feu de poubelle
 

Les pompiers sont intervenus hier peu après une heure dumatin, pour éteindre un feu de poubelle dans un local vide-ordures du 38 de las rue de Montagne, dans le quartier Croix-Rouge..

Une rue régulièrement invitée à la rubrique des faits divers.

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Journal « l’Union » 090122c

Le chant d’amour de Liliane Feige
 
« Ma vie est un arbre » écrit Liliane Feige.
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Document que nous a gentiment remis Liliane Feige.
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Poète très populaire dans le quartier Croix-Rouge qu’elle affectionne, Liliane Feige vient de publier un nouveau recueil poétique intitulé Au bois de mon cœur les arbres chantent, aux éditions Altaïr.

C’est un long texte en prose dans lequel elle exprime son amour immodéré de la nature, de la faune et de la flore.

Elle se souvient qu’elle est née « au seuil de la forêt » et dialogue avec les arbres, qui savent tant la consoler.

Elle aime se rendre dans les bois où elle « écoute dans le silence pour composer un poème naissant des arbres ».

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Journal « l’Union » 090122b

50 kg de cannabis écoulés : prison ferme aux dealers
 
 
Ils étaient 14, hier, à comparaître devant le tribunal correctionnel de Reims pour avoir participé, à un degré plus ou moins important, à un gros trafic défiants qui avait arrosé, en 2004 et 2005, Tinqueux et Reims, notamment le quartier Croix-Rouge.

L’affaire est partie de l’interpellation d’un consommateur de résine dé cannabis, qui a donné le nie de son fournisseur, qui a lui-même balancé le sien…

Les 14 jeunes, âgés de 22 à 33 ans, ont quasiment tous reconnu les faits.

Parmi les dealers les plus impliqués, Louis-Victor A. a reconnu avoir écoulé 50 kg de résine et d’herbe de cannabis.

Adnane L et Rachid S. ont reconnu avoir vendu chacun 35 et 25 kg.

Les autres sont intervenus pour des doses moindres : entre 1 et 7 kg.

Les avocats se sont succédé pour demander la bienveillance du tribunal et Plaider la réinsertion de leurs clients respectifs. Me Osmont, pour Louis-Victor A., a souligné le fait que son jeune client - mineur quand il a commencé le trafic — a « reconnu tous les faits sans les minimiser, dès tes premières heures de sa garde à vue. Il s’occupait de ce trafic le samedi après-midi et avait 30 à 40 contacts certains week-ends ! »

"Un trafic de gamins "
 

L’avocat s’interroge sur les motivations du jeune homme qui suit actuellement des études supérieures : « II a trouvé dans ce trafic une sorte de statut qui le valorisait ». D’autres avocats ont estimé que c’était « un trafic de gamins le avant de mettre en avant l’ancienneté des faits.

Le tribunal a prononcé des peines de prison ferme .à l’encontre de 10 des prévenus, des peines qui couvrent la détention provisoire qu’ils ont effectuée dans la plupart des cas.

P.B.

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Journal « l’Union » 090122a

Vœux à l’espace Watteau
 

Vincent Girardin, président, Patrick Schmid directeur, et toute l’équipe de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge présenteront leurs vœux aux usagers, avant la galette des rois, vendredi 23 janvier à 18 h 30 au 3, allée Antoine-Watteau.

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Journal « l’Union » 090121b

Rems : des vœux sur fond d’inquiétude

Quasiment tous les employés de la Rems étaient présents.
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La maire de Reims, accompagnée de Christine Michel, adjointe aux Sports, a adressé, lundi, ses vœux aux 180 employés de la Régie municipale des équipements sportifs en présence de son directeur Alain Simon, au complexe René-Tys. Etait présent également Pascal Vanscoor, responsable du centre équestre de Reims.

D’entrée, M. Simon a fait un récapitulatif des travaux et investissements réalisés en 2008 : réfection de la piscine, des matériels et des vestiaires du Château-d’Eau (1 million d’euros), salle de repos des personnels du Nautilud, filtres de la piscine Talleyrand, protection des sautoirs à Georges-Hébert, très peu d’investissements à René-Tys (15.000 euros), la même somme a été attribuée au stade des Thiolettes et à Marcel-Thil à La Neuvillette, développement de la capacité d’accueil des chevaux au centre équestre. Le coût total des investissements a été de 1.733.582 euros.

Christine Michel a pris la parole pour évoquer notamment les rumeurs qui circulent concernant l’avenir de la Rems, sources d’inquiétude pour son personnel et dont le statut est à la fois industriel et commercial : « Il n’y a pas de critères de ressources auprès des usagers, et la Rems fonctionne avec 70 % de ressources municipales. La forme juridique et la politique tarifaire sont complexes pour les clubs, et il y a une inégalité de traitement pour les usagers. Le statut des personnels sera respecté ».

Des médailles d’honneur du travail ont été remises à 9 employés de la Rems par la maire, il s’agit de : Lotfi Jmaatou, Carole Vanscoor (bronze), Carole Bridoux, Richard Foureur, Alain Mathieu, Pascal Vanscoor, Annick Locquart (argent), Jean-Pierre Aubert et Claude Canonne (or). Alice Oberlé, éducateur sportif-natation, entrée en 1970 à la Rems, a reçu une coupe de fleurs à l’occasion de son départ à la retraite.

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Journal « l’Union » 090121a

Vœux à l’espace Watteau
 
Vincent Girardin, président, Patrick Schmid directeur, et toute l’équipe de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge présenteront leurs vœux aux usagers, avant la galette des rois, vendredi 23 janvier à 18 h 30 au 3, allée Antoine-Watteau.
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Journal « l’Union » 090120c

Au fil de l’audience
 

Ivre au volant : 400 euros d’amende
 

Lundi, un homme de 30 ans a été condamné à 400 euros d’amende. Il avait, en février 2007, été arrêté alors qu’il conduisait une voiture sans être titulaire du permis et alors que la voiture n’était pas assurée. « Ce n’était pas ma voiture, », a expliqué le jeune homme, qui a ajouté qu’un « copain avait demandé de changer la butée d’embrayage. C’était facile, j’ai juste essayé la voiture dans le quartier Croix-Rouge ».

Me Marteau, pour la défense, a demandé au tribunal de faire une « application modérée de la loi pénale », car le prévenu « a juste voulu dépanner une voiture. Il a reconnu immédiatement les faits et les regrette ».

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Journal « l’Union » 090120b

2009 : année charnière pour les maisons de quartier
 
Jean-Pierre Ettel : « Nous progresserons ensemble. »
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Une volonté marquée de la Ville de donner aux maisons de quartier une identité affirmée et la redéfinition des contrats de projet ont été les points forts évoqués lors des vœux. 2008 a été, pour l’association des maisons de quartier, une « année riche en événements » a rappelé le président Jean-Pierre Ettel aux équipes des différentes structures auxquelles il a présenté ses vœux jeudi soir à la MQ des Châtillons.

2009 verra la redéfinition des contrats de projet et la réflexion sur la future convention avec la Ville. « C’est cette plus grande identité affirmée de chaque maison de quartier que nous appelons vers plus d’autonomie. » Cette autonomie et aussi les contraintes budgétaires ont conduit l’association à donner aux bénévoles et aux professionnels des responsabilités plus importantes dans la détermination des projets d’action et de suivi budgétaire.

Deux grands chantiers
 

2009 verra la fin des travaux d’extension de la Maison de quartier Trois Piliers et l’ouverture de la future Maison de quartier Wilson. « Un équipement lourd, qui va devoir être défini avec une grande finesse, dans un quartier lui-même en restructuration », a souligné Pascale Martin. Pour l’adjointe chargée des maisons de quartier, l’équipe du « Nouveau Reims » souhaite faire en sorte que les MQ soient un lien privilégié, « un relais le plus dynamique possible d’une politique municipale et culturelle d’activités qui puissent convenir à tout le monde ». Concernant l’autonomie accrue, cette solution va de pair avec un mot important : responsabilité.

Budgets serrés
 

Rappelant à ce propos qu’afin de réduire l’endettement « les budgets qui vont suivre seront quasiment à évolution zéro », l’adjointe a précisé que la subvention aux MQ serait identique à 2008, et a tenu à soulever deux points qui lui tiennent à cœur : le nécessaire réajustement des tarifs d’accueil de loisirs. Impossible aux centres de loisirs de baisser les leurs : « En termes de coûts directs, nous sommes au taquet, être en dessous du tarif de base, c’est faire des activités en moins, réduire les sorties », commente un des directeurs. Le second point : comment avec un financement d’entretien de 200.000 euros annuel, arriver à un niveau de présentation et de fonctionnement satisfaisant des 25 bâtiments des différentes maisons de quartier ? 2009 sera une année charnière pour ces structures réunies dans le challenge du « bien vivre ensemble »

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Journal « l’Union » 090120a

Urbanisme : les Rémois pourront dessiner leur ville
 
Pierre Tridon, le directeur de l’AUR, accueillant Serge Pugeault et Adeline Hazan.
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Que ce soit dans les quartiers, ou dans d’autres sujets comme l’urbanisme, l’équipe d’Adeline Hazan veut faire participer les Rémois. Jusqu’à présent les tentatives dans les quartiers se sont révélées un peu vaines, mais Mme Hazan ne désespère pas d’y arriver avec le temps. À l’agence d’urbanisme, son second adjoint et président, Serge Pugeault souhaite la même implication des « concitoyens » dans l’élaboration des projets qui changement la ville d’ici à 2020.

« Nous, élus, et les techniciens de l’urbanisme, nous sommes des spécialistes. Mais les citoyens ne sont pas au même niveau d’information. Il ne faut pas que les élus soient trop en avance, et si on impose, ça ne marchera pas », estime M. Pugeault. Aussi, pour tenter de remettre tout le monde à niveau, des ateliers seront donc organisés sous l’égide de l’agence d’urbanisme.

Ces rendez-vous « réguliers » s’inscriront dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler le projet de « Reims 2020 ». Autrement dit, la refonte de la Ville, avec par exemple le regroupement de tous les services municipaux dans un lieu unique en 2012. Ou la réorganisation d’un nouveau centre-ville élargi entre le pont de Laon et la cathédrale, etc. M. Pugeault a déjà annoncé qu’une sorte de collège d’experts sera réuni pour réfléchir à ce que peut être ce Reims 2020. Un collège qui aura sans doute à expliquer le « sens des mots ». Ainsi, de plus en plus, les urbanistes parlent de « redensifier » les villes, ne serait-ce que pour limiter les déplacements et offrir un maximum de services dans un minimum d’espace. De même, faudra-t-il faire comprendre aux usagers que la voiture n’aura plus la même place dans la ville. « Or, à Reims, certains seraient prêts à se garer jusque dans les boutiques »… plaisante le président de l’AUR.

Il y a donc un travail pédagogique et une recherche prospective à mettre en place. Deux missions confiées à l’agence d’urbanisme, également chargée de préparer un atlas actualisé en permanence, destiné encore une fois aux Rémois.

« Il faut mobiliser l’ensemble des énergies pour imaginer notre avenir commun - avec le Pays rémois - dans une région en difficulté. Reims a un rôle de locomotive essentiel », a conclu M. Pugeault.

J.-F. Scherpereel

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Journal « l’Union » 090119c

Grandes résistantes contemporaines

L’exposition de Pierre-Yves Ginet, photojournaliste à l’agence Rapho et réalisée à la demande du conseil régional de Bourgogne, est actuellement en place et exploitée au collège François-Legros, sous l’impulsion de Philippe Labiausse, principal et de Elhila Hahat, documentaliste, jusqu’au 26 janvier au centre de documentation et d’information.

C’est pour les élèves l’occasion de rendre un hommage appuyé à ces femmes d’ici et d’ailleurs, de Geneviève de Gaulle à Aung San Suu Kyi, de Mère Teresa à Anna Politkovskaia, des femmes engagées, souvent au péril de leur vie, contre l’injustice, la misère, le totalitarisme ou les intégrismes.

Alors qu’en ce début de XXle siècle, le principe d’égalité entre les sexes ne concerne qu’une infime partie de la population, ces portraits de femmes emblématiques rappellent que nombre d’entre elles, seules ou aux côtés des’ hommes, œuvrent pour le respect des droits humains fondamentaux en rêvant d’offrir un avenir meilleur aux générations futures

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Journal « l’Union » 090119b

Un livre sur les jardins

Didier Klodawski, président de la fédération des Jardins familiaux de Reims et agglomération, confirme son intention de réaliser un livre sur les jardins familiaux. Le titre serait « Verts-Tiges ». « Oui, nous sommes capables d’écrire nous-mêmes le livre sur nos jardins familiaux : texte et photos.

J’ai contacté Éric Poindron (Éditions du Coq à l’âne) : c’est un projet qui prend forme ». (Contact : didier@jardinsfamiliaux.org)

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090119a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7273 du 19 au 25 janvier 2009.
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CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes d’un acte sous seings privés en date du 10/01/2009 é REIMS, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes FORME Société à responsabilité limitée.

DENOMINATION : S.A.R.L. A.C.K. BATI.

SIÈGE SOCIAL : Le siège social est fixé au 10 esplanade Paul Cézanne REIMS (Marne).

OBJET : Les travaux du bâtiment sous toutes ses formes notamment : assainissement, maçonnerie, plâtrerie, ravalement de façades, cloisons et finitions, peintures intérieures et extérieures, électricité, démolition, rénovation, charpente, chauffage, couverture. électricité générale, plomberie, carrelage, menuiserie, agencement, décoration, travaux artistiques sur tout support le conseil en création, réalisation, organisation, mise en œuvre, le suivi de chantier, l’organisation de tous travaux se rapportant de près ou de loin au bâtiment en général, la vente ainsi que le dépôt vente de matériaux neufs ou d’occasion se rapportant à cette activité en France et a l’étranger.

DURÉE : Cinquante années à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés

CAPITAL : Sept mille cinq cents Euros (7.500,00

GERANCE : Mlle Nassera AYAR, demeurant REIMS (Marne), 10 esplanade Paul Cézanne.

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REMS.

Pour avis.

71873

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CONSTITUTION DE SOCIETE

DENOMINATION : 0.M.A.K.

FORME : SARL.

SIÈGE SOCIAL :18 rue de Rilly le Montagne - 51100 REIMS.

OBJET : Tous travaux maçonnerie générale

CAPITAL : 9.000 € (neuf mille Euros).

GÉRANCE : M. KUZU Ahmet, demeurant au 18 rue de Rilly la Montagne -51100 REIMS

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

71803

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L’hebdo du vendredi- n° 107 - 080118a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 107 - Semaine du 16 au 22 djanvier 2009

 

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PATRIMOINE : Un livre sur les jardins familiaux chasse l’autre !

 

Les éditions de l’Effervescence devaient sortir un ouvrage illustré dédié aux jardins familiaux, mais hélas…

Faute d’autorisation et après plusieurs mois de polémiques avec le président des dits jardins, le projet a été abandonné…

Mais pas pour tout le monde.

Si les jardins familiaux de l’agglomération de Reims vont avoir leur heure de gloire grâce à un ouvrage intitulé « Vert-tiges de Reims », projet mené sous la houlette de Didier Klodawski, le président de la fédération des jardins familiaux…

Ce livre n’est pas celui que l’on attendait initialement.

En effet, un hommage aux amoureux du jardinage et d’un certain art de vivre, initié par les trois auteurs Catherine Coutant, François Schmidt et Pascal Foucher des Editions de l’Effervescence, au titre éloquent : l’« En Vert de Reims », devait voir le jour, mais faute d’accord et d’autorisation avec le président de l’association, le recueil est resté lettre morte. « Nous prenons acte de la sortie de ce futur livre, projet que nous avons découvert dans les colonnes du quotidien régional. Nous ne sommes ni amers, ni rancuniers, même si nous avons passé beaucoup de temps, investi de l’énergie et de l’argent dans notre concept. Néanmoins, la méthode est contestable, il eût été plus correct d’être plus honnête avec nous. Quant à l’idée de savoir si notre idée a été copiée ou non, nous ne le saurons jamais » explique Catherine Coutant, Un sentiment partagé par l’illustrateur François Schmidt, qui suggère de son côté qu’il y avait de la place pour deux ouvrages sur la place rémoise.

Loin d’être abattus, les trois compères fourmillent d’idées, certaines ayant déjà abouti pour cette nouvelle année. Pour preuve, un livre sur l’histoire des 50 ans du diplôme national d’œnologie est achevé, tout comme un autre ouvrage « poétique » illustré de dessins et gravures intitulé « Gloriettes et cabanes perdues » qui sortira au printemps. Un atlas du patrimoine gastronomique régional, réalisé avec le soutien du Conseil régional, fruit d’un travail de deux ans est quant à lui prévu pour l’automne.

L’été 2009 réserve aussi peut être son lot de surprises avec une exposition dans le Parc de Champagne de clichés et textes consacrés aux jardins familiaux…

Passion quand tu nous tiens !

O.M.

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Exposition « Histoires d’imprimeurs »

 

La bibliothèque Universitaire Robert de Sorbon, Campus Croix-Rouge à Reims accueille jusqu’au 30 janvier, une exposition consacrée aux imprimeurs en Champagne-Ardenne (du 15ème au19ème siècle).

L’occasion également de venir admirer des ouvrages d’époque aujourd’hui conservés dans les réserves de la bibliothèque Carnegie et la bibliothèque universitaire de Reims.

Entrée libre. Tout public.

Renseignements au 03 26 91 39 21.

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Journal « l’Union » 090117e

Croix-Rouge : déjà deux brocantes programmées
 

 

Les amateurs de bonnes affaires vont se frotter les mains en apprenant l’organisation de deux brocantes au mois de mai.

L’association Croix-Rouge animation et promotion a programmé sa brocante traditionnelle le dimanche 24 mai, sur le parking de l’hippodrome.

Et le président du Collectif des locataires de Croix-Rouge, Fabrice Lopez, a fixé la sienne au samedi 30 mai, sur l’esplanade et la cour Eisenhower.

La brocante de l’Acrap est doublée d’une exposition d’artistes du quartier.

 

 

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Journal « l’Union » 090117d

Repas du 3e âge à l’Acrap
 

L’Acrap propose, dimanche 18 janvier à 12 h 30, un repas du troisième âge, réservé principalement aux personnes âgées du quartier Croix-Rouge, de 65 ans et plus (avec conjoint même moins âgé).

Réservations 13 euros + carte Acrap, auprès de Mme Canu ou au secrétariat, 11, avenue du président-Kennedy.

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Journal « l’Union » 090117c

Les travaux du tram reprennent de plus belle
 
Une multitubulaire va être enterrée le long de la ligne. Elle permettra d’abriter tous les câbles nécessaires à l’alimentation du tramway.
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Après deux semaines de répit en rab à cause de la vague de froid, les travaux du tram vont reprendre ce lundi.

Les déviations de réseaux se poursuivent. Plus de la moitié ont déjà été réalisées, la fin annoncée en mai prochain devrait être respectée.

Déviations
 

C’est à Croix-Rouge que le gros des déviations se concentre : une partie de l’avenue Bonaparte est coupée. Sur la place Donatini, la circulation est maintenue à double sens mais des panneaux de déviation sont mis en place pour la contourner. L’avenue Léon-Blum est mise à sens unique en direction de la rue Joliot-Curie. L’accès à la place Utrillo en venant de la rue du Maréchal-Juin et de l’avenue du Général-Koenig se fait par le rond-point de l’avenue d’Épernay.

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Bus modifiés
 

Ligne P : le bus emprunte les avenues Kennedy, Schuman et d’Epernay. L’arrêt Arago est supprimé. Il est conseillé de descendre à l’arrêt Mauriac pour prendre la H et rejoindre Arago.

Ligne S : le bus passe par les rues Arago, Joliot-Curie, A.-Sénéchal et Maréchal-Juin. L’arrêt Arago est reporté avant le carrefour av. Bonaparte/rue Arago, et l’arrêt Fragonard de la ligne K est également desservi.

Ligne H : pas de changement du lundi au samedi. Le dimanche, elle emprunte les avenues du Général-Bonaparte, François-Arago pour reprendre les rues Joliot-Curie et A.-Sénéchal.

C.F.

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Journal « l’Union » 090117b

Vol avec violence : Il tabasse un jeune passant pour le dépouiller
 

Il y a « Rencontres du troisième type » sur grand écran, il y a eu « Rencontres des trois mauvais types » cette semaine au quartier Croix-Rouge à Reims.

Le témoin involontaire de cette mauvaise histoire est un jeune homme de 20 ans. Lundi vers 13 h 30, il croise un groupe d’une dizaine d’individus rue Pierre-Taittinger. L’un d’eux est de très grande taille. Il est manifestement ivre. Il réclame des cigarettes.

Le garçon refuse. Il se prend une gifle puis des coups de pied aux jambes qui l’envoient par terre. L’agresseur lui fouille les poches avec la complicité de deux acolytes aux visages partiellement masqués par des capuches ou des écharpes. Quelques coups de poing sont également distribués.

Le jeune homme se fait dépouiller de sa montre, de son lecteur MP3, d’un briquet à essence et de sa menue monnaie. « Je t’éclaterais la tronche si tu déposes plainte ! » menace le grand gaillard avant de s’enfuir avec le reste de la bande.

Légèrement blessée malgré les coups reçus, la victime ne se démonte pas et prévient le commissariat. Des policiers recueillent son récit. La description de l’agresseur au physique de basketteur leur fait penser à un jeune du quartier, Mallé Kanté, 29 ans et 1m90, qu’ils connaissent très bien en raison d’un passé judiciaire lourdement chargé d’affaires similaires : tantôt un jeune homme dépossédé de son scooter devant une MJC, tantôt un collégien agressé dans le bus pour lui arracher sa chaîne de cou quand ce n’est pas un locataire repoussé chez lui à coups de tête pour fouiller son appartement.

Comme par hasard, les policiers repèrent Mallé Kanté dix minutes plus tard dans les parages, sur le parking du supermarché Match. Il est complètement ivre. Dans ses poches : un peu de monnaie mais surtout le briquet de la victime. En revanche, aucune trace du lecteur MP3, de la montre et des autres agresseurs. Confronté au plaignant, il est formellement reconnu. Avec son casier judiciaire, Mallé Kanté n’a pas échappé à un procès en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims. Jugé jeudi, il a nié les faits. « J’l’ai pas touché, ce gamin ! Le briquet, on me l’a donné juste avant que la police n’arrive. »

Qui est ce « on » ? Il n’a pas su le dire, ou plutôt n’a pas voulu le dire. Tombant sous le coup de la loi sur les peines plancher, Mallé Kanté a pris deux ans de prison dont un ferme avec placement en détention. Les douze mois avec sursis sont assortis d’une mise à l’épreuve comprenant l’obligation de travailler et de suivre des soins alcoologiques. Son problème, c’est l’alcool. La plupart des faits pour lesquels il est régulièrement condamné sont commis sous l’emprise de la boisson. Lundi, il n’avait plus rien à boire quand les policiers l’ont retrouvé en état d’ivresse sur le parking du supermarché. D’après ses déclarations, il se rendait au magasin pour se réapprovisionner en alcool.

F.C.

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Journal « l’Union » 090117a

Deux incendiaires pris la main dans la poubelle
 

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Trois autres feux de poubelles d’origine douteuse ont été signalés : hier vers 15 heures place Auguste-Rodain, vers 2 heures du matin boulevard Wilson et enfin rue de Rilly-la-Montagne jeudi vers 22 h 30, au n° 36, là où ça brûle souvent dans les caves. Quant aux habitants du 6 place Georges-Braque, ils respirent un peu mieux : l’incendiaire qui a sévi dans leur immeuble à deux reprises deux soirs de suite, dimanche et lundi (l’union de mercredi), se fait discret depuis.

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Journal « l’Union » 090116e

Repas du 3e âge à l’Acrap
 
L’Acrap organise ce dimanche 18 janvier à 12h 30, un repas du troisième âge, réservé aux personnes âgées du quartier Croix-Rouge, de 65 ans et plus.
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Journal « l’Union » 090116d

Rénovation urbaine à Croix-Rouge : les locataires se sentent oubliés
 
Les locataires s’opposent à la création d’une voie séparant la cour de l’esplanade Eisenhower.
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Président du Collectif des locataires de Croix-Rouge, Fabrice Lopez continue son combat : « Nous resterons vigilants en 2009 en maintenant notre opposition à la création d’une voie séparant la cour de l’esplanade Eisenhower, maintenue dans les plans de rénovation urbaine Anru de juillet 2008 malgré le désaccord exprimé par une pétition de 80 % des locataires en 2007, plans signés en catimini le 20 novembre dernier ».

Le Collectif dénonce le manque de concertation avec les habitants sur cet avenant : « Éric Quénard, adjoint au logement et président du conseil d’administration de Reims Habitat, n’a pas tenu ses engagements en la matière. Nous serons informés - et non consultés - lors d’une réunion organisée par la mairie de Reims dans la salle municipale François-Mauriac. Mais sur les grandes lignes de l’avenant Anru, la population n’aura, hélas, plus grand-chose à dire ! » Trois réunions programmées

« Lorsque nous sommes arrivés aux responsabilités, répond Eric Quénard, l’avenant 1 avait déjà fait l’objet de discussions avec les bailleurs, la Ville et l’Agence nationale pour la rénovation urbaine, et c’est vrai, je le reconnais bien volontiers, sans concertation avec les habitants. En dépit de ce cadre contraint, nous avons néanmoins réussi à obtenir des avancées significatives sans remettre en cause, ni l’équilibre du projet, ni sa réalisation dans les temps. À titre d’exemple, nous avons obtenu l’inscription de crédits qui n’existaient pas à l’origine sur l’information et la consultation des habitants. »

Le premier adjoint l’a confirmé aux membres du conseil de quartier : « Trois réunions d’information des habitants de Croix-Rouge seront programmées au premier trimestre 2009 et, naturellement, le conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny sera saisi de ce dossier ».

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Journal « l’Union » 090116b

Tribunal correctionnel : L’agresseur d’une policière condamné
 
L’agresseur d’une policière légèrement blessée par un jet de pavé vient d’être retrouvé par les enquêteurs de la sûreté départementale de Reims.

Il se trouve que le même personnage avait également à son actif des dégradations et l’agression d’un riverain « coupable » d’avoir témoigné.

Les faits remontent au 28 décembre. Ce soir-là, des policiers sont requis allée des Tourangeaux où plusieurs jeunes font le bazar dans le hall d’entrée du n° 16. Les murs sont tagués, une porte toute neuve et des vitres brisées.

Trois perturbateurs sont repérés mais ils prennent la fuite. L’un d’eux s’empare d’un gros pavé de 12 centimètres sur 12 qu’il lance sur une policière touchée à la cheville (un jour d’incapacité totale de travail).

« Je buvais tous les jours »

Le lendemain, les trois jeunes croisent un riverain qui avait témoigné auprès des fonctionnaires de police. Il est roué de coups (quatre jours d’ITT). Identifié par les enquêteurs, le trio a été interpellé lundi matin.

Il se compose de deux mineurs et de Kévin Vaucher, 19 ans, auteur du jet de pavé. Il a reconnu l’intégralité des faits en expliquant avoir agi sous l’emprise de l’alcool. « Je buvais tous les jours », a-t-il expliqué lors de son procès en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.

Concernant les dégradations dans le hall d’immeuble, l’unique motivation était l’ennui, selon les aveux des trois jeunes gens.

Kévin Vaucher a été condamné à huit mois de prison assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant une obligation de soins, de travailler et d’indemniser les victimes. Ses deux comparses ont été présentés devant le juge des enfants.

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Journal « l’Union » 090116a

Deux rebelles arrêtés
 

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Lundi, à 3 heures du matin, Rémy Raulin, 26 ans, s’est fâché avec sa concubine place Jean-Fragonard. Il était ivre. Alors que celle-ci appelait le commissariat, il a insulté par-derrière les stationnaires de police-secours. Les injures ont suivi à l’arrivée de la patrouille, accompagnées d’une rébellion.

À sa demande, Rémy Raulin a souhaité un délai pour préparer sa défense. Le procès a été renvoyé au 10 février. Le tribunal l’a maintenu en détention jusqu’à cette date en raison d’un casier judiciaire déjà chargé d’affaires identiques.

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Journal « l’Union » 090115f

Difficile de poster son courrier quand on habite à La Rafale
 
Micheline Sage, présidente de l’association des locataires de La Rafale.
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Le bureau de poste du centre commercial de l’Hippodrome à Croix-Rouge.
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Les habitants de La Rafale, sous-quartier de Croix-Rouge, sont privés de boîte aux lettres et obligés de se plier aux heures d’ouverture de leur bureau de poste pour pouvoir y apporter leur courrier. 

C’EST l’histoire d’une boîte aux lettres qui, durant des années, a satisfait des milliers d’habitants du secteur universitaire du quartier Croix-Rouge, plus connu sous le nom de La Rafale.

Située sur la place Eisenhower, juste devant le bureau de poste de l’époque au pied de la grande tour, cette fameuse boîte a disparu au moment du transfert de ce bureau sur le nouveau site commercial baptisé : centre commercial de l’Hippodrome.

Évidemment, tout le monde pensait que, lors du transfert, la boîte jaune retrouverait jeunesse en ce nouveau lieu et continuerait d’avaler les multiples courriers des habitants du quartier.

Incompréhension chez les habitants
 

Eh bien non : du jour au lendemain, la population a été contrainte d’attendre l’ouverture du bureau de poste pour pouvoir envoyer ses lettres, car il n’y a plus de boîte devant le nouveau bureau.

L’autre solution, hors horaire d’ouverture, pour pouvoir poster son courrier, est de se déplacer quelques arrêts de bus plus loin au début de l’avenue Eisenhower ou encore d’aller dans l’autre Poste qui se trouve dans le secteur Pays-de-France (autre sous-quartier de Croix-Rouge). « C’est une décision vraiment ridicule ! C’est comme si le supermarché mettait ses chariots à l’autre bout du quartier. Je ne comprends vraiment pas pourquoi il n’y a plus de boîte aux lettres devant la Poste », déclare Alexandra B. qui habite le quartier depuis plus de quatre ans. « On ne sait pas pourquoi la boîte n’est plus là, et lorsqu’on demande des renseignements aux personnes qui travaillent dans la Poste, on n’a pas de réponse. En plus, ils sont d’une amabilité là-dedans ! On n’ose même pas insister », indique Philippe S. qui habite rue Pierre Taittinger, en face des commerces.

À plusieurs reprises, la présidente de l’association des locataires de la Rafale a contacté la Poste et la mairie, afin de trouver une solution au petit problème de tout un quartier.

« J’ai téléphoné à la mairie qui me dit qu’elle ne peut rien faire, car cela ne la regarde pas et qu’il faut rentrer en contact avec La Poste. J’ai appelé comme il me l’a été conseillé et, du côté de la Poste, on me dit de téléphoner à la mairie car le sol lui appartient. Elles se renvoient la balle, et en attendant, rien ne se passe », raconte Micheline Sage, présidente de l’association des locataires.

« Faut-il s’adresser au pape ? »
 

« C’est quand même incroyable : pour poster leurs enveloppes, les gens doivent entrer dans la Poste et les jeter dans des petits paniers ! Faut-il s’adresser au pape pour cette boîte aux lettres ? », ajoute-t-elle. Les habitants espéraient que le père Noël leur apporterait une jolie boîte jaune pour les fêtes de fin d’année, mais ce ne fut pas le cas.

« Une petite boîte pour Noël, cela aurait été sympa ! De toute façon, La Poste, entre nous, vous pensez qu’elle en a quelque chose à faire des habitants de Croix-Rouge ? », se demande Sofiane, qui habite le quartier depuis sa naissance.

Thierry Accao Farias

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La Poste promet une nouvelle boîte aux lettres  
 

Contactée par téléphone pour savoir pourquoi la boîte aux lettres de la Rafale n’avait pas été transférée en même temps que le bureau de poste sur le nouveau centre commercial, la direction de La Poste n’a pas mis longtemps à répondre.

En effet, moins de 24 heures après, elle nous apprend qu’une demande vient d’être faite pour que les habitants de la Rafale disposent à nouveau d’une boîte à proximité de leur bureau de poste.

« Nous avons effectivement constaté qu’il n’y avait pas de boîte aux lettres devant le bureau situé dans le centre commercial de l’Hippodrome. Nous allons remédier à cela : une demande vient d’être faite pour que les clients de ce secteur disposent d’une nouvelle boîte aux lettres. En terme de temps, nous ne pouvons pas être précis, car le délai pour ce genre de demande est assez long, mais une boîte sera bien implantée », assure la direction de La Poste.

Tout est bien qui finit bien pour les milliers d’habitants de ce grand quartier rémois : le père Noël de La Poste sera un peu en retard, mais la boîte aux lettres arrivera bien prochainement, juste devant le bureau de poste.

T.A.F.

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Journal « l’Union » 090115e

Une pétition pour une supérette à Pays-de-France
 
Une supérette est indispensable dans le quartier.
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La question du maintien d’une supérette à Pays-de-France est toujours d’actualité.

L’association de locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » a lancé une pétition en ce sens à la demande et en accord avec M. Assefar, gérant de la supérette du centre commercial Pays-de-France.

« Je fais également l’intermédiaire avec le Foyer rémois pour trouver une solution », précise Roseline Marandon, présidente du comité.

« Il y aurait peut-être une solution, mais qui reste à voir, il faudra attendre la deuxième tranche des travaux. »

De son côté, José Domice, ancien conseiller municipal et candidat au conseil de quartier, apporte son soutien au maintien de la supérette.

« Les habitants de Pays-de-France ont droit à un commerce de proximité ! »

 

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Journal « l’Union » 090115d

Confédération du logement l’après Marceau Nicolas
 
Les nouveaux administrateurs de la CGL 51.
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Après le décès du président fondateur Marceau Nicolas, la confédération générale du logement-Marne s’est réunie le vendredi 9 janvier pour élire un nouveau bureau.

Sa présidente est désormais Roseline Marandon (association « Et Croix-Rouge ? ») ; son vice-président : Jacques Lagel (association Alphonse-Naudin) ; sa secrétaire : Jeannette Pétrel (association « les Jardins suspendus ») ; sa vice-secrétaire : Marie-Josèphe Lataix (association Alphonse-Naudin) ; son trésorier Jean-Pierre Bauwens (association « Et Croix-Rouge ? ») ; ses administrateurs : Annie Boulanger (association Alphonse-Naudin), Saïd Bouyafran et Salah Byar (association « Et Croix-Rouge ? »).

 

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Journal « l’Union » 090115c

Patinage artistique : le Rap en compétition
 
Cécile Mareigner présente ses deux jeunes compétitrices.
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Pour la première fois de la saison, la section artistique du Reims Acrap patinage s’est déplacée pour la « Coupe des Bords de Marne », le dimanche 11 janvier, à Neuilly-sur-Marne (94).

Lili-Rose Plomion, jeune patineuse de 6 ans, termine 7e des « Jeunes Talents » et Juliette Wary prend la 20e place en catégorie « Minimes ».

« C’est un bon point de départ pour la saison », déclare Cécile Mareigner, leur entraîneur : « Elles ont réalisé de beaux programmes malgré le niveau très élevé de cette compétition de la région parisienne. Cette épreuve permet de faire le point et d’améliorer les programmes pour la suite de la saison. »

Les jeunes patineuses seront les 17 et 18 janvier à Amiens pour la 1re manche du Challenge NPCA.

 

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Journal « l’Union » 090115b

Balcons décorés
 
La remise des prix du concours des plus beaux balcons décorés de Noël, secteur Eisenhower-Taittinger, se déroulera à la résidence Arfo Lucien-Doyen, 7, rue du Docteur-Billard, ce jeudi 15 janvier à 18 h 30, en présence de Micheline Sage, de l’amicale des locataires, de Sandrine Pigeon, de la résidence, et de représentants de Reims Habitat.
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Journal « l’Union » 090115a

Veillée à Croix-Rouge
 
La « veillée » qui sera présentée à l’issue de la résidence artistique de la Cie HVDZ, au gymnase Géo-André, aura lieu le vendredi 20 février à 18 h et 20 h 30.
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Journal « l’Union » 090114e

Veillée à Croix-Rouge
 
Une erreur de date s’est glissée dans l’article sur « Les habitants de Croix-Rouge au cœur d’un spectacle » paru dans notre édition du mardi 13 janvier.

La « veillée » qui sera présentée à l’issue de la résidence artistique de la Cie HVDZ, au gymnase Géo-André, aura lieu le vendredi 20 février à 18 heures et à 20 h 30 et non le 20 septembre.

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Journal « l’Union » 090114d

Indiscrétions : Dégoûtés
 
Les responsables des éditions de l’Effervescence avaient renoncé l’année dernière à faire un livre sur les jardins familiaux de Reims, le conseil d’administration de ces jardins ayant refusé le principe, estimant que le projet ne valorisait pas leurs lieux.

Or, cette année, les jardins familiaux vont sortir leur propre livre. De là à penser que l’interdiction n’était liée qu’à une simple histoire de concurrence, il y a qu’un pas que franchit, un peu dégoûtée, l’équipe des éditions de l’Effervescence.

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Journal « l’Union » 090114c

Lauriers et couronnes aux jardiniers de Pays de France
 
Les lauréats du concours des jardins et potagers ont été récompensés.
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Profiter de l’assemblée générale pour y adjoindre des moments agréables, c’est le choix de Michel Herbeteau, qui préside aux destinées de l’association des jardins familiaux de Pays de France. Le bilan - satisfaisant - de l’année 2008 a été approuvé à l’unanimité, six nouveaux jardiniers ont été accueillis. Quelques travaux sont envisagés pour 2009, comme la taille des troènes côté Bezannes. Les adhérents qui donneront un coup de main seront récompensés par un barbecue à l’issue de l’opération ! Contrairement aux jardiniers de Croix du Sud, l’association n’est pas concernée par les travaux du tramway. Un diaporama particulièrement intéressant a été projeté par Eric Lavoisy, directeur des espaces verts de la Ville, sur la démarche environnementale : développer la présence du végétal, favoriser la biodiversité.

Identité rémoise
 

Une démarche approuvée par l’adjoint en charge du développement durable, Raymond Joannesse, rappelant aux jardiniers : « Vous n’êtes pas loin des champs captants de Fléchambault : faites attention à ce que vous mettez dans la terre ». Pour Michel Guillaudeau, conseiller municipal : « Avoir un jardin, dans la situation économique qui s’annonce, ça peut permettre de mettre des épinards dans le beurre ». Rappelant le projet de réflexion urbanistique « Reims à l’horizon 2020 », le premier adjoint Eric Quénard a tenu à assurer que « les jardins, dans cette identité rémoise, y auront toute leur place ».

Les élus ont remis leurs prix aux quatorze lauréats du concours des jardins et potagers 2008.

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Journal « l’Union » 090114b

Ça va bouger dans les quartiers
 
Le menu des démolitions et réhabilitations à Croix-Rouge sera dévoilé à l’occasion de trois réunions publiques avec les habitants. La première devrait se tenir jeudi 12 mars.
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La rénovation urbaine ne sera bientôt plus une légende. 480 millions vont être dépensés dans quatre quartiers de Reims. Démolition, rénovation, nouveaux équipements… une révolution se profile.

Tout sera fini en 2013
 

480 millions d’euros seront dépensés en tout pour rénover les quartiers Croix-Rouge, Orgeval, Wilson et Épinettes. C’est la somme décidée en concertation avec l’Anru (Agence nationale de rénovation urbaine) en décembre dernier. La première convention de l’Anru, qui date de 2004, portait sur 180 millions et ne concernait que Wilson.

Il est aujourd’hui question de démolir 1.652 logements, d’en réhabiliter 3.017 et d’en construire 2.420. Un tiers des logements sociaux de la ville sont concernés. Pour certains programmes, les bailleurs ont commencé les opérations de relogement ; les travaux doivent débuter cette année et, selon la convention, tout doit être terminé pour 2013.

Croix-Rouge
 

Retour des commerces à Pays de France, démolitions à Croix-du-Sud, réhabilitations un peu partout, disparition de plusieurs parkings souterrains au profit de l’aérien, nouveaux terrains de jeux… le programme détaillé de la révolution sera dévoilé à l’occasion de trois réunions publiques courant février/mars. Concernant le relogement, chaque HLM détruit devra être remplacé par un HLM construit. Ainsi, les familles devraient pouvoir être relogées sans payer beaucoup plus.

Du boulot pour les jeunes
 

La réhabilitation va ouvrir un tas de chantiers. Dans la convention, l’État demande que la Ville fasse en sorte que 5 % des heures de travail soient réservées à des personnes sans emploi des quartiers dits sensibles. Pour l’instant, la Ville est en retard avec seulement l’emploi de 2,7 % des heures : « J’ai découvert ce déficit en arrivant, nous allons y remédier et faire en sorte que cette réhabilitation soit l’occasion pour de nombreux jeunes d’avoir une expérience professionnelle et, pourquoi pas, d’entamer une carrière dans la foulée ».

Baisse des charges
 

Adeline Hazan a promis une baisse des charges, Éric Quénard est en train de mettre les outils en place pour la réaliser. La reprise des espaces verts par la Ville est actuellement expérimentée sur des surfaces à Pommery, aux Châtillons et à Europe.

Dès que la Ville aura trouvé le système le moins ruineux pour son budget et un accord avec les bailleurs, elle étendra le dispositif et les charges baisseront immédiatement.

La rénovation va être aussi l’occasion de s’attaquer au coût du chauffage : « Pour l’instant, nous chauffons les HLM avec 38 % d’énergie renouvelable. Si nous parvenons à 60 %, notre TVA passera de 19,6 à 5,5 % d’où de belles baisses de charges en perspective ». Isolation intensifiée, utilisation renforcée de l’usine d’incinération des déchets et création d’une usine bois feront partie des moyens employés pour y parvenir.

Catherine Frey

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LES GRANDES DATES CROIX-ROUGE A NOTER SUR LES AGENDAS

- Jeudi 29 janvier à 18 h 30, salle des fêtes de l’Hôtel de ville de Reims : Adeline Hazan dévoilera les grands axes du projet « Nouveau Reims : la ville change avec vous » et le « dispositif de concertation locale » .

Ce lancement se tiendra en présence des trois urbanistes associés à la démarche : Christian Devillers, Bruno Fortier, Philippe Panerai.

- Jeudi 12 février à 18 h 30, salle municipale Croix-Rouge - Avenue François-Mauriac :

Réunion d’information publique sur le projet "Nouveau Reims : la ville change avec vous. Programme de Rénovation Urbaine 2008-2011".

A cette occasion, sera présenté le projet "Croix-Rouge Croix-du-Sud", la démarche de relogement et le dispositif de concertation locale, avec Adeline Hazan, Maire de Reims, Présidente de Reims Métropole.

- Mercredi 18 février à 18 h 30, salle municipale Croix-Rouge - Avenue François-Mauriac :

Réunion d’information publique sur le projet "Nouveau Reims : la ville change avec vous. Programme de Rénovation Urbaine 2008-2011".

A cette occasion, sera présenté le projet "Croix-Rouge Pays-de-France", la démarche de relogement et le dispositif de concertation locale, avec Éric Quénard, premier adjoint.

- Jeudi 19 février à 18 h 30, salle municipale Croix-Rouge - Avenue François-Mauriac :

Réunion d’information publique sur le projet "Nouveau Reims : la ville change avec vous. Programme de Rénovation Urbaine 2008-2011".

A cette occasion, sera présenté le projet "Croix-Rouge Université", la démarche de relogement et le dispositif de concertation locale, avec Éric Quénard, premier adjoint.

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Journal « l’Union » 090114a

Quatre incendies dans le même immeuble en 24 heures
 
Quatre incendies en 24 heures dans ce même local à vide-ordures : ça commence à faire beaucoup
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LA colère gronde place Georges-Braque au quartier Croix-du-Sud. Avec quatre incendies en seulement 24 heures dans le même immeuble, il y a de quoi, d’autant que le dernier feu, en faisant sauter l’électricité, a plongé la tour dans l’obscurité toute la nuit.

Hier soir, alors que le téléphone et Internet n’étaient toujours pas rétablis, plusieurs locataires du n° 6, lieu des exactions, se sont rassemblés au bas de l’immeuble pour exprimer leur ras-le-bol. Le premier incendie s’est déclaré dimanche vers 21 h 30 dans le local à vide-ordures. Il a été noyé par le système d’extinction automatique. Si les pompiers n’ont rien eu à faire à ce moment-là, ils ont dû revenir 90 minutes plus tard à la suite d’un feu de conteneur au même endroit.

Lundi soir, rebelote. Alertés à 21 h 45 pour un incendie dans le local à vide-ordures, les pompiers l’ont éteint avant de repartir… et de revenir à 23 h 30 pour le même motif. Une conduite d’eau a éclaté sous l’effet de la chaleur. Elle s’est déversée sur une installation électrique, provoquant une coupure de courant généralisée dans les immeubles des 2, 4 et 6 place Georges-Braque. Le 18 aurait également été touché. L’électricité a été rétablie à 5 heures du matin mais à 20 heures hier soir, il n’y avait toujours pas de téléphone (ni Internet), au grand dam des locataires furibards d’être renvoyés sur France Télécom par l’Effort rémois. L’incendiaire aussi les énerve. Habite-t-il dans l’un des sept étages de la tour ? Certains en sont persuadés car le conteneur incendié lundi à 23 h 30 a pris feu après la chute d’un objet enflammé dans le conduit des ordures. « Des gens ont entendu le truc tomber et juste après, il y a eu l’incendie », raconte un locataire. « On en a marre. On bouffe trop de fumée, ça nous irrite la gorge. Ce soir (NDLR : hier), on a peur qu’il y ait encore le feu. Nous allons faire une surveillance et si on l’attrape, on appelle tout de suite la police. »

F.C.

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Ça brûle aussi au quartier Saint-Remi 
 

Quatre incendies ont été signalés aux sapeurs-pompiers dans la nuit de lundi à mardi. Deux d’entre eux sont des feux de détritus allumés dans le même immeuble de la place Georges-Braque (lire par ailleurs). A 20 h 30, un feu de local à vide-ordures s’est également déclaré au 38 rue de Rilly-de-la-Montagne, autre immeuble de Croix-Rouge fréquemment visité par les pompiers.

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Journal « l’Union » 090113c

Turbulences à l’assemblée des jardins familiaux Croix du Sud
 
L’association a eu du mal à élire un nouveau conseil.
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Il a fallu ce samedi toute la diplomatie de la présidente intérimaire pour que les adhérents des jardins familiaux Croix du Sud puissent procéder, suite à quelques divergences de vues, à l’élection du nouveau conseil d’administration.

Un bureau provisoire avait été constitué le 1er août, présidé par Evelyne Nkounkou. Cette dernière a rendu hommage à l’ancien président, Georgy Weiler, qui s’est dépensé sans compter : « C’était notre Mac Gyver ! » a-t-elle souligné en lui remettant, au nom de l’association, un cadeau… forcément de bricolage !

Avec l’accueil de huit nouveaux jardiniers, ce sont 59 parcelles qui sont cultivées avec soin.

Les travaux du tramway suscitent quelques inquiétudes : « En dehors des turbulences associatives, les jardins sont aussi dans la turbulence au niveau des travaux » a précisé Michel Guillaudeau, conseiller municipal, ajoutant avec humour : « Vous allez être les seuls jardins familiaux accessibles par le tramway, mais je ne sais pas si les brouettes y seront autorisées ». Préserver les surfaces

Eric Quénard, premier adjoint, a tenu à rassurer les adhérents : « Nous, ville de Reims, devons nous assurer que les jardins ne perdent pas de surface. Il faut que l’association soit associée aux réunions sur les travaux qui seront engagés ». Les adhérents ont élu le nouveau conseil d’administration, qui se réunira ultérieurement pour composer son bureau.

Compte tenu des difficultés de consensus, Raymond Joannesse, adjoint au développement durable, a proposé d’assister, en tant que témoin neutre, à l’élection du bureau. Constatant que ses adhérents boudent un peu les animations traditionnelles, l’association envisage de proposer un petit voyage.

Une sortie à la « fête de la patate » est en projet, un thème qui devrait plaire aux jardiniers !

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Journal « l’Union » 090113b

Les habitants de Croix-Rouge au cœur d’un spectacle
 
« La veillée » : une création originale de la Cie HVDZ.
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Guy Alloucherie et sa Cie théâtrale HVDZ (Hendrick Van Der Zee), composée de comédiens, danseurs et acrobates, seront en résidence de création artistique en collaboration avec le Manège, du 5 au 20 février. « Une résidence placée sous le signe du partage et de la rencontre » comme le précisait Marie-Elisabeth Causin, directrice de la Maison de Quartier Croix-Rouge, partenaire du projet « Veillée ». Les veillées ? Des actes artistiques inventés par Guy Alloucherie et ses partenaires « pour aller vers la population, là où elle vit ». « L’idée, c’est de créer un spectacle, à partir du quartier Croix-Rouge, de ce que les gens voudront bien nous en raconter : son passé, ce qui s’y vit aujourd’hui, de façon individuelle ou plus collective », explique Guy Alloucherie, metteur en scène et comédien. Ce jeudi soir, à l’Espace Billard, il rencontrait les responsables d’associations afin de leur expliquer sa démarche.

Une action de quinze jours en trois temps : la dizaine de « veilleurs » sillonnera le quartier, se produisant dans divers lieux insolites. « Le but n’est pas de viser quelque chose de spectaculaire, mais plutôt de surgir dans le quotidien, comme danser devant un supermarché ». Ils iront ensuite à la rencontre des habitants, pour accumuler notes, photos, vidéos : « Nous ferons du porte à porte pour donner la parole à un maximum de gens, qui raconteront leur vécu ». Le film réalisé sera restitué sur deux écrans géants lors d’une « veillée » contemporaine (sans feu de bois !), véritable compte rendu artistique, au gymnase Géo-André le vendredi 20 septembre (à 18 heures et à 20 h 30). A la question « Pourquoi choisir des quartiers populaires ? », le comédien répond : « Parce que je suis pour le théâtre populaire, le brassage des publics ». Une idée originale, tant sur le plan artistique qu’humain, établissant un rapport proche avec les habitants.

Blog de la veillée visible sur www.hvdz.org/blog

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Journal « l’Union » 090113a

Diversité sur fond d’unité avec le collectif des migrants
 
Présentation des vœux au Collectif interculturel d’associations de migrants (Ciam).
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Situé au 80 boulevard Lundy à Reims, le Ciam (Collectif interculturel d’associations de migrants) est dirigé par Mohamed Cherif et il est composé de 17 associations dont les représentants étaient présents le vendredi 9 janvier pour recevoir les vœux présentés par la présidente Marie-Jeanne Kalongi.

A cette occasion, elle a rappelé les principales actions du Ciam pour le « Vivre ensemble » et la cohésion sociale : permanence d’accueil pour accompagnement, médiation administrative, aide aux démarches, solution à l’accès aux droits avec l’édition de bulletins d’information, l’organisation de séminaires et rencontres thématiques, manifestations interculturelles et de lutte contre les discriminations, actions de formation sur l’interculturalité et la parentalité en direction des acteurs sociaux : « Le vivre ensemble doit être perçu comme intégration de valeurs et de savoirs partagés, d’échanges réciproques et non une superposition ou juxtaposition de cultures ».

Solidarité accrue

Virginie Coez, adjointe chargée de la lutte contre les discriminations, a souligné le travail remarquable fait par le Ciam et exprimé ses craintes à l’aube d’une année qui s’annonce très difficile.

La députée Catherine Vautrin a voulu apporter « un bémol d’espoir si tous, quel que soit le mandat exercé, retroussent leurs manches ».

On notait aussi la présence de Claire Rogé, directrice régionale de l’ACSE (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances) et de Béatrice Paillard, déléguée régionale aux droits des femmes et à l’égalité, qui a rappelé le numéro de téléphone national unique pour les victimes ou témoins de violences conjugales : le 3919. Appel gratuit, ouvert du lundi au samedi de 8 à 22 heures et les jours fériés de 10 à 20 heures.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090112e

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7272 du 12 au 18 janvier 2009.
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CONSTITUTION DE SOCIETE

 

I-NNOVIA

société à responsabilité limitée au capital de 5.000 Euros
25 rue Pierre Taittinger 51100 Reims

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 5 janvier 2009, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.

DENOMINATION SOCIALE : I-NNOVIA

SIEGE SOCIAL : 25 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.

OBJET SOCIAL : Le conseil en systèmes de sécurité, conseil en optimisation de process, optimisation et sécurisation de process, organisation, stratégie technologique et d’innovation, r&d, management.

DURÉE DE LA SOCIÉTÉ : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la 000/81X 00 Registre du Commerce et des Sociétés.

CAPITAL SOCIAL 5.000 E.

GÉRANCE : Monsieur Grégoire

VITRY. demeurant 23 rue de Courcy 51450 BETHENY, a été nommé gérant.

IMMATRICULATION DE LA SOCIETE Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

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MODIFICATION DE STATUTS

 
 

SELARL J.-P. CHINCHILLA
CABINET DE DROIT DES AFFAIRES
Société d’Avocats à la Cour d’Appel de Reims
31 avenue Jean Jaurès

SODIA

Société par actions simplifiée
au capital de 150.000 Euros
Siège social
Avenue Robert Schuman
51100 REIMS
095 550 463 R.C.S. Reims

Aux termes d’une délibération en date du 17 décembre 2008, l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires :

- 1. A décidé à compter du 1. janvier 2009, de modifier le mode de gestion de la société par adoption de la formule à directoire et conseil de surveillance et a adopté les nouveaux statuts de la société :

- 2. A nommé en qualité de membres du conseil de surveillance pour une durée de trois ans. :

  • 1. Monsieur Georges PLACET, demeurant 8 rue de Reims - 51500 LUDES
  • 2. Madame Judicaëlle PLACET, demeurant 23 rue des Templiers – 51100 REIMS
  • 3. Monsieur Georges LHEUREUX, demeurant Manoir de Montflambert 51160 MUTIGNY

Aux termes d’une délibération en date du même jour, le conseil de surveillance a nommé :

- 4. Monsieur Georges PLACET aux fonctions de président dudit conseil pour la durée de son mandat de membre du conseil de surveillance —89591901671 PLACET, demeurant 29 rue des Fuseliers et de président du directoire pour un durée de trois ans.

71761
Pour avis :
Le président du directoire.

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REDRESSEMENT JUDICIAIRE
 
 

Par jugement en date du 09/12/2008, le tribunal de commerce de TROYES a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’encontre de :

LES PEINTRES DE CHAMPAGNE,

8 place Dominique Ingres, RDC, porte B
51100 REIMS.

Administrateur judiciaire : Maître CONTANT Philippe, 7 rue Pithou. B.P. 174 - 10003 TROYES CEDEX. avec mission d’assistance.

Mandataire judiciaire : Maitre BARAULT, 2 place Casimir Perier, B.P. 4095 - 10018 TROYES CEDEX, a ouvert une période d’observation pour une durée de 6 mois. R.C.S. :489 298 828.

71624

_ Le greffier : Bernadette DELPY.

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Journal « l’Union » 090112d

L’association Etoile-Croix-du-Sud relève la tête
 
Les adhérents ont retroussé leurs manches pour combler le déficit.
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- Voir toutes les photos.

« J’espère que nous allons atteindre le bout du tunnel ! » a lancé, lors de l’assemblée générale, le président Jean-Michel Gauthier. Avec la découverte en mars 2008 d’un « trou » dans les finances, estimé au départ à 14.000 euros, mais finalement plus proche des 25.000, l’association Etoile-Croix du Sud a bien failli disparaître. C’était sans compter sur le dynamisme de ses bénévoles : Ils ont retroussé leurs manches pour renflouer les caisses, qu’une gestion peu rigoureuse avait mises à mal. « Trop d’embauches de salariés par rapport aux activités réellement réalisées, des actions entreprises sans assez de participants », a souligné Alain Chevallier, d’Alpha-Logement, l’un des financeurs. L’association a un agrément de la CAF. Les papiers n’ayant pas été remplis, elle n’avait pas perçu les subventions prévues. Une véritable dérive de gestion dont la responsabilité en revient collectivement à l’ancien conseil d’administration. L’association aurait pu être dissoute. La Ville et Alpha-Logement, les deux principaux financeurs, au vu du projet proposé et sur la base de conditions strictes de fonctionnement, ont décidé de la maintenir.

« Nous avons fait la promesse -et elle sera tenue- de faire en sorte que la situation financière soit stabilisée en 2009. Nous allons réussir notre pari et pouvoir fêter dignement les 35 ans de l’association en juin », se félicite Jean-Louis Rumério, le nouveau trésorier.

Répondant à certaines questions des adhérents, les responsables ont tenu à clarifier un point : « On était dans une logique de mauvaise gestion, pas dans celle d’un enrichissement personnel ».

Le premier adjoint Eric Quénard a réaffirmé le soutien de la Ville : « Il est important qu’on puisse consolider ce réseau et qu’il poursuive son activité dans le quartier ».

En juin, l’association fêtera ses 35 ans d’existence, avec trois jours de fête : grand défilé, bal champêtre, spectacle de danse le samedi soir, barbecue, son et lumière le dimanche.

- D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images..

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Journal « l’Union » 090112c

Le feu d’appartement provoqué par un enfant
 
Un enfant qui jouait avec un briquet est à l’origine du feu d’appartement qui a fait onze blessés jeudi matin à Croix-du-Sud.
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Vendredi, un violent incendie a détruit un appartement dans une tour de la place Dominique-Ingres dans le quartier Croix-du-Sud (l’union de samedi).

Le sinistre a fait onze blessés légers : les occupants de l’appartement (un couple et ses trois enfants), trois autres locataires (dont une maman et son nourrisson) ainsi que trois policiers venus les secourir avant l’arrivée des pompiers.

L’enquête a confirmé l’origine involontaire de l’incendie. Il a été allumé accidentellement par l’un des enfants de la famille âgé de quatre ans.

Alors qu’il se trouvait dans sa chambre avec un briquet, le bambin, par jeu, a enflammé des papiers sous un bureau. Le feu s’est communiqué au mobilier puis s’est propagé à toute la pièce, trop rapidement pour permettre aux parents de l’éteindre par eux-mêmes.

Les onze personnes ont pu quitter l’hôpital dès vendredi. Dix ont été incommodées par les fumées (elles ont été oxygénées) tandis que la onzième victime - l’un des policiers - s’est déplacée une vertèbre en évacuant sur son dos, du quatrième étage, une locataire qui avait des difficultés à marcher. Le fonctionnaire, qui souffre également d’une déchirure, s’est vu délivrer un arrêt de travail de quatre jours susceptible d’être reconduit.

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Journal « l’Union » 090112a

Alcool au volant, dégâts au tournant
 

Boire ou conduire, ils furent nombreux ce week-end à ne pas choisir : quatorze arrestations à Reims ou dans son arrondissement.

Conduit au commissariat, le nez rouge y a retrouvé un « collègue » arrêté deux heures plus tôt avec trois grammes dans le sang (il avait grillé un feu rouge avenue Eisenhower).

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090111a - VRI janvier 2009

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 252 de janvier 2009
 
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L’ACRAP a son quartier à cœur
 

Créée en 1970 par un groupe de locataires, l’Association Croix Rouge pour l’Animation et la Promotion (ACRAP) regroupe de nos jours près d’un millier d’adhérents. Président jusqu’à la prochaine assemblée générale de mars 2009, Jean-Pierre Genesseau (notre photo) livre avec lucidité son regard sur l’année écoulée, non sans formuler un voeu. « L’idée était de pérenniser le travail entrepris du vivant du président Jean-Jacques Lapique. Nos objectifs ne pouvaient et ne pourront être atteints que grâce à l’engagement des bénévoles. Ils ne seront jamais assez nombreux pour faire vivre nos activités et je leur renouvelle un appel. La poursuite de nos activités sportives, culturelles, sociales n’est pas aisée dans le contexte actuel. Les charges pèsent lourd et il faut maintenir des cotisations abordables. Nous n’en sommes que plus sensibles à ceux qui offrent de leur temps -éducateurs, animateurs, parents, enfants- et au soutien de nos partenaires dont la Ville de Reims. Alors, je souhaite à l’ACRAP une bonne année 2009 et une bonne santé. Sur le quartier, l’ACRAP, plus qu’une association, représente en effet pour les habitants un réel soutien moral. »

Contact : ACRAP-RAP

11 avenue du président Kennedy - 51100 Reims.
Tél/fax : 0326063954.
Et en ligne : acrap@wanadoo.fr - http://acrap.9online.fr - http://reims-acrap-patinage-com

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 Des bénévoles pour Pays de France
 

L’Association Jeunesse et Espoir recherche des bénévoles en mesure de l’aider dans ses actions de soutien scolaire et d’insertion professionnelle.

Contact : 1 allée des Béarnais, tél. : 0326854722. Et : jeunesse.espoir@gmail.com

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Les rendez-vous de l’Espace Watteau
 

Marcheurs du dimanche, Vincent vous propose une randonnée le 23 février autour de la Garenne d’Ecueil.

Le point de départ est à l’Espace Watteau. Covoiturage possible.

Qui n’a pas eu besoin d’avoir recours à un écrivain public ? Un document administratif à remplir, un courrier à rédiger, un document à assimiler, une aide… Madame Tisseron est là dans ce but. Elle assure une permanence tous les jeudis de 13h30 à 16 h. Ce service est gratuit et la discrétion assurée.

Pour plus de renseignements : Maison de quartier Croix Rouge-Espace Watteau, tél. : 0326360350. watteau@maisondequartier-reims.fr

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Une bourse aux livres
 

Ce sont des livres accessibles à tous.

Samedi 7 février, de 14 h à 18 h à l’Espace Billard, vous aurez le choix.

Les livres seront proposés pour une somme modique : de 0,20 à 2 euros.

Pour plus de renseignements : Maison de quartier Croix Rouge-Espace Billard, tél. : 0326080878. billard@maisondequartier-reims.fr

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Votre antenne municipale
 

C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020 Jours et heures d’ouverture : • le lundi de 14 h à 17h30 • du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30 • le samedi de 8h30 à 12 h.

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Permanence de l’antenne mobile
 

L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud.

Contact : 0516392102

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Permanence des Conciliateurs de Justice
 

Tous les mercredis de 14 h à 17 h au Pôle Multiservices Croix-Rouge - 1, rue Joliot Curie - Tél. 0326081352.

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Votre marché 

Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h.

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11 janvier : Matinée contemporaine n° 2
 

Avec le studio national de création musicale Césaré. Au programme : Silences, pièces musicales de Valérie Joly.

Médiathèque Croix- Rouge à 11 h.

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Une maison citoyenne
 

La Journée de la laïcité ayant lieu le 9 décembre 2008, c’était une date toute indiquée pour inaugurer "la Maison de la Laïcité et de la Solidarité" au 23 rue Alphonse Daudet, à Reims, dans les locaux de la Ligue de l’enseignement de la Marne. « Une maison, c’est un lieu ouvert de concertation, d’écoute, d’échanges et de rencontre. Il s’agit de replacer l’individu citoyen, quel qu’il soit, au coeur de la société » ont rappelé Claude Maireaux et Francis Leroy, respectivement président de la Ligue de l’enseignement et président du Cercle Condorcet. Avec leurs partenaires dont les associations complémentaires de l’Ecole Publique et les mouvements d’éducation populaire laïques, ils entendent faire de la Maison un pivot du "vivre ensemble" et aider chacun à devenir l’auteur de sa propre vie et un acteur dans la société. La paix, le respect de soi-même, des autres et de la planète, l’importance vitale des diversités culturelles, humaines et ethniques, la richesse des points de vue entrent dans les valeurs animant ce projet.

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JARDINS FAMILIAUX : Un passionné récompensé
 

De nombreux membres de la Société des jardins familiaux étaient récompensés le 6 décembre dernier à la salle municipale Croix-Rouge. Objectif : mettre à l’honneur le savoir-faire de ces passionnés du jardinage et de la nature. Parmi eux, François Esposito, 73 ans, qui a obtenu le 1er prix mixte des jardins et potagers : « Je cultive un jardin de 350 m2 mis à disposition par la Ville de Reims qui comprend toutes sortes de variétés de fleurs, d’arbres fruitiers comme des poiriers, pêchers, pommiers, framboisiers… Je fais aussi pousser des légumes (carottes, salades, haricots) et me nourris presque exclusivement de mon potager ». François partage ce loisir avec son épouse qui s’occupe plus spécialement des fleurs. Ensemble, ils sèment, bouturent et greffent avec passion : « Un massif de fleurs agrémenté de plantes vivaces, oeillets d’inde, rosiers… possède une place privilégiée à l’entrée de la parcelle ». La période hivernale constitue chaque année une trêve dans la culture : « Il faut attendre les premiers rayons de soleil en mars pour qu’on commence les semis. Avec le réveil du printemps, on revit nous aussi »

S. C.

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FINANCES LOCALES : Conjuguer responsabilité et ambition
 

C’est le 18 décembre dernier que le conseil municipal a procédé au débat d’orientations budgétaires 2009.

L’occasion pour Adeline Hazan et son équipe d’affirmer les grandes orientations du budget primitif de la Ville pour l’exercice 2009, dont le vote interviendra le 26 janvier prochain.

A commencer par l’engagement de ne pas augmenter les taux de la fiscalité communale.

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- Vers une nouvelle dynamique sportive :

• en investissement, 2,36 M€ pour la construction des gymnases des quartiers Clairmarais et Croix-Rouge ; 0,48 M€ pour le gros entretien des autres gymnases ;

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ATELIERS D’ÉCRITURE : Preuve que l’art nous concerne tous
 

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Voilà quatre ans que ce projet, financé par le Contrat urbain de cohésion sociale (financements Etat/Région/Ville de Reims) et développé conjointement par Catherine Brion, formatrice à la Maison de quartier Orgeval, et Samuel Gallet, auteur associé à la Comédie de Reims, permet à une vingtaine de personnes des quartiers Croix-Rouge, Epinettes et Orgeval, de reprendre contact avec l’écriture et de dépasser certaines barrières.

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Journal « l’Union » 090110b

Incendie accidentel : 11 blessés dans une tour
 

Une fois encore, un violent feu d’appartement s’est déclaré hier à Reims, heureusement moins dramatique que le précédent qui a fait un mort dans le quartier Maison-Blanche dans la nuit de mercredi à jeudi (l’union de vendredi).

Le feu a pris juste avant 11 heures au troisième étage de l’immeuble situé au n°12 de la place Dominique-Ingres, dans le quartier Croix-du-Sud.

Sortis à temps avec l’aide des policiers (lire par ailleurs), le couple et ses trois enfants en bas âge ont été légèrement intoxiqués.

« Leur état n’inspire pas d’inquiétude » confirme le commandant Didier Fouquet, chef des opérations de secours. « Ils ont été dirigés sur le centre hospitalier avec trois autres locataires de l’immeuble eux aussi incommodés par les fumées. Leur transport a été décidé par les équipes du Samu venues examiner toutes les personnes au contact de l’incendie. »

D’après les premières constatations, le feu est probablement d’origine accidentelle. Il s’est déclaré dans l’une des chambres de l’appartement. Habiba Djemoui habite juste en dessous, au deuxième, mais elle n’était pas chez elle au moment de l’alerte.

« Je suis sortie à onze heures moins vingt pour acheter le pain. Il n’y avait rien d’anormal. En revenant à 11 h 10, j’ai senti une odeur de brûlé en me rapprochant de l’immeuble. Il y avait des pompiers partout, de la fumée. Je me suis rendu compte que ça brûlait au-dessus de chez moi. On voyait les flammes sortir de la chambre. »

Le sinistre a enfumé toute la cage d’escalier jusqu’au dixième et dernier étage. Pris au piège, plusieurs locataires ont dû se résoudre à attendre chez eux l’arrivée des secours. C’est le cas de Madina Oudjedi, domiciliée au 4e. Elle a eu la frayeur de sa vie.

« Je me trouvais dans une chambre avec mes deux enfants et une amie quand on a senti une drôle d’odeur. Je suis allée voir dans le salon. Il y avait de la fumée. Elle montait de plus en plus vers le plafond. On a voulu sortir mais on ne pouvait pas. On ne voyait plus rien rien dans l’escalier. Nous avons eu très peur. J’ai mis les enfants dans la dernière chambre. Mon salon était noir de fumée, puis la cuisine. J’ai cru que nous allions étouffer. »

Précédés par trois policiers qui ont pris d’énormes risques pour évacuer des habitants, les pompiers ont mis tous les sinistrés en sécurité dans leurs différents véhicules, à l’abri du froid, pendant qu’une autre équipe procédait à l’extinction.

« L’incendie était très violent mais nous avons pu l’éteindre au moyen d’une lance que nous avons acheminée par l’escalier » indique le commandant Fouquet. « L’appartement a entièrement brûlé. Tout est carbonisé à l’intérieur. »

L’Effort rémois et les services de la mairie ont été contactés pour procéder au relogement de la famille sinistrée. Elle a perdu toutes ses affaires et probablement ses trois animaux de compagnie.

La rapidité avec laquelle le feu s’est propagé ne lui a pas laissé le temps de prendre son chien, son chat et un furet. Ils ont disparu dans le brasier.

Fabrice Curlier

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Trois policiers blessés en portant secours aux locataires 
 

Trois policiers du commissariat de Reims figurent parmi les onze personnes transportées au centre hospitalier après le feu d’appartement survenu hier matin place Dominique-Ingres.

L’équipage circulait par hasard dans le quartier lorsque son attention a été attirée par une épaisse fumée s’élevant dans le ciel. Les pompiers n’étaient pas encore là lorsque la patrouille est arrivée devant l’immeuble. Des gens hurlaient à l’intérieur. Aussitôt, le chef de bord suivi de ses deux collègues - une gardienne de la paix et une adjointe de sécurité - se sont précipités dans la tour.

Au troisième étage, ils ont croisé les occupants de l’appartement en feu. Le couple venait de sortir avec ses trois enfants nés en 2001, 2004 et 2007. La policière a aidé le couple à descendre en prenant l’enfant de quatre ans dans ses bras. Le bambin était terrorisé par l’incendie. Il s’est tellement débattu sous l’emprise de la panique qu’il a blessé la fonctionnaire au dos mais celle-ci ne l’a pas lâché et a pu le ramener à l’air libre.

La famille en sécurité, le chef de patrouille et l’adjointe de sécurité sont montés au quatrième étage envahi par les fumées. Ils y ont découvert une maman avec son bébé d’un an dans les bras. L’adjointe de sécurité l’a aidée à rejoindre la sortie pendant que son chef de patrouille portait secours à une autre locataire qui avait des difficultés à se déplacer. Il l’a évacuée de l’immeuble en la portant sur son dos, malgré l’épaisse fumée puis une vive douleur provoquée par un déplacement de vertèbre. « Il y avait tellement de fumée qu’il a cru qu’il allait y rester » confie un officier de police. Le fonctionnaire a fait l’objet d’un arrêt de travail. Si elles n’ont pas été blessées physiquement, les deux policières ont dû être placées, elles aussi, sous oxygène.

F.C.

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Journal « l’Union » 090110a

La Ville au secours des commerces de proximité
 

Coûteux, le dispositif de préemption permet à la Ville d’accompagner au mieux la mutation des magasins. De quoi se protéger contre des installations d’agences bancaires et maintenir l’activité commerciale.

À chaque fois que cela lui apparaîtra nécessaire, la Ville activera ce droit sur les fonds artisanaux et commerciaux, ainsi que sur les baux commerciaux.

Ce dispositif s’exerce dans le centre historique de Reims, mais aussi avenues de Laon et Jean-Jaurès, rue du Colonel-Fabien, rue de Cernay, rue Chezel, place Fermat, place Jugan et dans les centres commerciaux Pays de France, René-Clair et Turenne.

Marie Blanchardon

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Journal « l’Union » 090108c

Trois questions à… Hichem Boussoufi
 
« Nous vivons un véritable tourment financier. »
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Vous êtes le président du FC Atlas. Depuis quand l’association existe-t-elle ?

« Le club a été créé en 2002. Atlas signifie : main ouverte à tout le monde. Depuis sa création, l’association se bat contre la violence, le racisme, les incivilités ou encore l’insertion des jeunes. Elle travaille également dans des quartiers populaires de Reims et essaie de donner une image positive de la population rémoise via des tournois, des voyages, des formations. »

Quel est l’état de vos finances ?

« Notre subvention annuelle a considérablement baissé. Elle était de 1.700 euros en 2007 contre 300 euros en 2008, à la différence de certaines associations qui n’ont subi aucun changement. C’est un véritable tourment financier que nous vivons. En même temps, nos actions sont très appréciées par les élus, le district, les maisons de quartier… Nous avons essayé à maintes reprises de joindre la municipalité, afin de résoudre cette épineuse question. Sans succès. »

Comment voyez-vous l’avenir ?

« Morose et incertain. C’est tout le travail fourni depuis des années qui se voit remis en question.
Nos bénévoles font preuve de tant d’enthousiasme et d’investissement ! Il ne faut pas les décevoir. »

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Journal « l’Union » 090108b

Remise des prix des balcons décorés de Noël
 
Pour le concours des plus beaux balcons décorés de Noël, secteur Eisenhower-Taittinger, le jury est passé et le classement établi. La remise des prix se déroulera à la résidence Arfo Lucien-Doyen, 7, rue du Docteur-Billard, jeudi 15 janvier à 18 h 30 en présence de Micheline Sage, présidente de l’amicale des locataires Université-Hippodrome, de Sandrine Pigeon, directrice de la résidence et des représentants de Reims habitat.
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Journal « l’Union » 090108a

Formations au secourisme
 
Le comité régional Ufolep Champagne-Ardenne organise des sessions de formation prévention et secours civiques premier niveau (ex-AFPS), en partenariat avec l’Union nationale des associations de secouristes et sauveteurs, dans les quatre départements de la région.

Cette formation, accessible à tous, est basée sur l’apprentissage des gestes de premiers secours et intègre les principes d’utilisation d’un défibrillateur.

D’une durée de 12 heures de formation, ce diplôme permet d’acquérir des connaissances indispensables à la conduite des pratiques associatives et sportives.

Pour les associations du département de la Marne, il est proposé d’organiser cette formation sur trois soirées consécutives : lundi 26, mardi 27 et mercredi 28 janvier de 18 à 22 heures (encas prévu), au siège de l’UFOLEP 51, 23, rue Alphonse-Daudet à Reims.

Coût de la formation : non licenciés : 65 €, licenciés UFOLEP : 40 E. Le comité régional prend en charge une partie du coût de cette formation pour les licenciés UFOLEP.

Les inscriptions sont prises jusqu’au 16 janvier.

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Journal « l’Union » 090107c

L’Espace Ethnic’s privé de son animateur légendaire
 
Abdelali Errafii, en compagnie de Cheba Zahouania, la diva du raï, au festival 2008.
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C’est décidé, Abdelali Errafii, le légendaire animateur de l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge, celui qui en a fait le temple et l’espace incontournable de la musique, change d’orchestre. Il a souhaité se trouver en disponibilité pendant un an à compter de la fin de l’année 2008 et il intègre l’association 2 Mains.

Abdel, comme l’appellent ses copains, avait le chic pour rencontrer les plus grands noms de la musique raï dans leur fief de Barbès et les convaincre de venir se produire à Croix-Rouge, pour le Festival. Ainsi, Cheb Bilal, Reda Raliani, Cheb Abbes, Cheb Redouane et Cheba Zahouania sont venus chanter au Festival Croix-Rouge de 2005 à 2008.

Chez Ethnic’s, il a milité activement pour la création d’un studio d’enregistrement avec caisson insonorisé, il a initié un rapprochement inattendu avec les musiciens du Conservatoire de région, il a mis en place des master classes avec des chanteurs, rappeurs, scratcheurs et batteurs renommés, tels que Tyrone Downie, Grödash, Ol’Kainry, Dj’Troubl, Paco Sery, Richacha Balengola et bien d’autres.

Les ateliers qu’il a montés à l’espace Ethnic’s et ouverts aux jeunes de 12 à 25 ans - guitare, basse, batterie, impro reggae, clavier, scratch, rap, Mao - vont-ils survivre ?

Selon Marie-Elisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge, « Abdelali Errafii n’est pas directement remplacé. Nous avons, avec Yves Pringault, responsable des actions jeunesse, réfléchi à une réorganisation des animations à destination des jeunes, à la suite du départ de trois animateurs d’Ethnic’s en l’espace de six mois, dont deux demandes de mise en disponibilité. David Gameiro est missionné sur Ethnic’s pour développer un projet jeunesse sur le secteur Croix-du-Sud en cohérence avec les animations sport de proximité et animations 12/15 ans. Enfin, une partie des ateliers musique est maintenue, de même que le point info jeunesse et l’accueil informel. »

Au sein de l’association 2 Mains, Abdelali Errafii va maintenant intégrer le dispositif d’accompagnement personnalisé et le dispositif éducatif novateur d’insertion sociale (Denis) animés par Jean-Louis Rumerio, en faveur des jeunes de 16 à 30 ans en rupture sociale et professionnelle. Ce sera une autre musique !

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Journal « l’Union » 090107b

Voitures volées, voitures incendiées
 

Il n’y a pas que les voitures qui brûlent. Lundi vers 21 heures, une poubelle a été incendiée au premier étage d’un immeuble du groupe Eisenhower, au n°49.

Dix minutes plus tard, une friteuse a pris feu dans une cuisine, au cinquième étage d’un appartement de l’allée des Picards. Les locataires l’ont éteinte avant l’arrivée des pompiers avec des serpillières mouillées.

A 22 h 15, un feu de poubelle s’est déclaré dans un local à vélos du 11 avenue Bonaparte.

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Journal « l’Union » 090107a

Enquête logements HLM : les locataires à l’amende
 
Cette enquête est obligatoire pour les locataires des HLM. 
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Les locataires des logements HLM viennent de recevoir un courrier, sous forme d’enquête obligatoire, de leur organisme logeur. Le délai pour y répondre est de 1 mois. Au-delà, l’amende de 7,62 euros tombera !

LES locataires des logements HLM de Reims viennent de recevoir, comme tous les autres de France, un courrier sous forme d’enquête dans leur boîte aux lettres, provenant de leur organisme logeur. Objet : l’occupation sociale.

Ce courrier explique que le gouvernement réclame aux offices logeurs, tous les trois ans, les éléments statistiques concernant l’occupation sociale de leur parc d’habitation HLM (la loi oblige les locataires à répondre à cette enquête).

« C’est la réglementation souhaitée par l’État depuis la loi du 4 mars 1996 (article L442-5 du code de la construction et de l’habitation). Les locataires sont obligés de répondre à ce courrier en retournant à leur office logeur tous les renseignements demandés », explique la direction de Reims Habitat Champagne-Ardenne.

7,62 euros de pénalité par mois de retard

Le délai pour répondre à cette enquête obligatoire est d’un mois. Passé ce délai, si les offices HLM n’ont toujours pas reçu le questionnaire ainsi que les documents réclamés, le locataire devra s’acquitter d’une pénalité de 7,62 euros par mois de retard. « C’est une pénalité que l’on ajoute sur les quittances de loyer. Si un locataire se voit pénalisé et que, par la suite, il nous transmet les documents, il ne sera pas remboursé », ajoute Reims Habitat.

Mais à quoi servent ces 7,62 euros de pénalité ?

La fiche de renseignements

« Ce type d’enquête génère un réel surcoût. Par exemple, durant les deux mois et demi de l’enquête, nous avons été dans l’obligation de recruter six personnes. Cette pénalité n’est ni un impôt ni autre chose du genre, c’est vraiment le coût des frais de dossiers », explique le responsable des services de gérance qui pilote cette enquête pour l’Effort rémois.

L’enquête est donc envoyée aux habitants par voie postale ; le courrier contient une lettre d’explication et un feuillet appelé « fiche de renseignements locataires ». C’est un questionnaire dans lequel les locataires doivent indiquer leur état civil, le nombre d’occupants du logement (adultes et enfants) ainsi que tout ce qui concerne leurs revenus et leur situation professionnelle.

Documents à joindre

Plusieurs documents doivent être joints avec la fiche de renseignements locataires :

- L’avis d’imposition ou de non-imposition de l’année 2007.

- Tout document concernant les changements de situation familiale (mariage, Pacs, naissance, séparation et décès).

- Tout document relatif à un changement de situation professionnelle et les renseignements concernant un nouvel occupant du logement.

Donc, pour éviter de récolter l’amende de son office logeur (7,62 euros par mois de retard) mieux vaut répondre dans les délais.

Thierry Accao Farias

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Journal « l’Union » 090106b

Ils ne sortent jamais sans leur couteau

 

Trois couteaux à cran d’arrêt ont été saisis ce week-end à Reims lors d’autant d’arrestations pour des motifs divers.

Samedi, vers 17 h 45, les policiers ont eu leur attention attirée par un jeune homme qui poussait un scooter allée Edgar-Degas. Il n’y avait pas de clef sur le contact et les fils étaient apparents.

Interrogé, le suspect a déclaré avoir acheté l’engin à un inconnu mais se doutant qu’il était peut-être volé… il se rendait au commissariat central au moment où la patrouille l’a contrôlé !

C’est bizarre mais les agents ne l’ont pas cru. Il faut dire que le garçon âgé de 23 ans est déjà connu de leurs services. Lors de la fouille, il a été trouvé porteur d’un couteau à cran d’arrêt.

Il est convoqué le 12 mars devant le tribunal pour répondre du recel du cyclo et du port d’arme prohibé.

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Journal « l’Union » 090106a

Des sous pour les associations

 

Lors de sa dernière réunion, le conseil municipal de Reims a attribué de nombreuses subventions aux associations. En voici le détail :

Domaine socio-éducatif

Collège François-Legros : 4.600. Collège Georges-Braque : 6.150€. Collège Joliot-Curie : 6.800€.

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Journal « l’Union » 090105d

Le Manège s’installe à Croix-Rouge

 

Invités par le Manège de Reims, Guy Alloucherie et son équipe, onze artistes, comédiens, danseurs, acrobates et vidéastes, vont s’installer dans le quartier Croix-Rouge, du 5 au. 20 février, pour aller à la rencontre des habitants, dans la rue, aux sorties des supermarchés, dans les cages d’escalier, dans les écoles.

Ils souhaitent rencontrer de nombreuses personnes, membres d’associations, acteurs et relais de quartier ou simples habitants, prêts à s’investir dans leur projet.

Une réunion est prévue à cet effet ce 9 janvier. Cette démarche associera la mémoire du quartier, l’histoire de ses habitants, au travail artistique sur le corps, la musique, le cirque et le théâtre.

À la fin de ce séjour, tous les habitants seront invités à découvrir leurs « Veillées », le spectacle-performance qui naîtra de ces échanges.

Réunion le vendredi 9 janvier à 18 heures à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

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Journal « l’Union » 090105c

Jardins familiaux

 

L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud réunit son assemblée générale samedi 10 janvier à9 h 30, dans la salle de l’Etoile Croix-du-Sud, 5, avenue Léon-Blum.

Quant à l’association des jardins familiaux de Pays-de-France, elle tiendra sa propre assemblée générale dimanche 11 janvier à 10 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

Renseignements : Evelyne Nkounkou (Croix-du-¬Sud) au 03.26.36.04.82. ou Michel Herbreteau (Pays-de-France) au 0326.86.09.49.

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Journal « l’Union » 090105b

Repas du 3e âge

 

L’Acrap propose, dimanche 18 janvier à 12 h 30, un repas réservé aux personnes âgées du quartier Croix-Rouge, de 65 ans et plus (avec conjoint même moins âgé) ; Inscriptions avant le 10 janvier (réservation 13 miros + carte Acrap, auprès de Mme Canu ou au secrétariat, 11, avenue du président-Kennedy).

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Journal « l’Union » 090105a

Sorties nature à Reims et aux alentours

 

Halte au point d’eau en Montagne de Reims.

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A la Maison de quartier Croix-Rouge, pas de doute, on aime la marche ! Pour preuve, les deux sorties organisées ce mois-ci.

À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature « bol d’air », sur le thème « Reims, ville historique ».

Départ à 9 heures, dimanche 11 janvier, au 14, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.

À l’espace Watteau, Vincent Girardin, accompagnateur, propose une sortie « direction la Montagne de Reims » de 14 km environ.

Départ à 8 h 15, dimanche 18 janvier, au 3, allée Antoine-Watteau. Tél. 03.26.36.03.50.

 

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Journal « l’Union » 090104f

Le local de l’Unicef cambriolé

 

Trop confiants, les bénévoles rémois de l’Unicef ? Ils avaient récolté quelques centaines d’euros en vendant - au profit de l’enfance défavorisée dans le monde - leurs produits, cartes de vœux, jouets et autres écharpes, pendant plusieurs jours à l’approche des fêtes dans un centre commercial de l’agglo de Reims. Cet argent, ils l’avaient tout simplement laissé dans leur local de la place Georges-Braque, dans le quartier Croix-du-Sud, en attendant d’avoir le temps de le déposer à la banque.

Il faut dire que jusqu’à présent, ce local avait été épargné par les voleurs. Malheureusement les choses changent, et un ou plusieurs individus peu scrupuleux sont passés par là dans l’intervalle, entre la fin d’après-midi du samedi 27 décembre et le début d’après-midi du lundi 29. C’est à ce moment-là que le vol a été constaté.

« Ils avaient tout retourné, s’indigne la présidente départementale de l’organisation humanitaire Marie-Annick Roger, et ils ont pris la recette, ainsi que notre ordinateur ! Quant à notre stock de produits, nous n’avons pas encore fait l’inventaire, mais il semble qu’ils n’y aient pas trop touché. Il faut dire que tous ces objets sont assez repérables, du fait qu’ils sont tous marqués Unicef… »

Mme Roger profite de ce lamentable cambriolage pour lancer un appel : « Nous aimerions un nouveau local dans la ville, si possible dans le centre, et avec une vitrine, pour un loyer raisonnable ; et puis si quelqu’un avait un ordinateur dont il ne sait plus quoi faire… »

A.P.

Contact : 03.26.05.80.10 ou unicef.reims@unicef.fr

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Journal « l’Union » 090104e

Croix-Rouge Hauts-de-Murigny : le conseil de quartier bientôt constitué

 

La séance constitutive du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny se déroulera jeudi 8 janvier à 19 heures, au collège François-Legros, 2, rue François-Legros (séance publique).

Tirage au sort

Les conseillers, qui ont été recrutés soit par tirage au sort, soit par un appel à candidature des volontaires, ont pour objectif de mettre en route le conseil.

Ordre du jour : présentation des différents conseillers, tirage au sort entre les candidats volontaires s’ils sont trop nombreux, appel à candidature pour assurer la co-animation des conseils (1 habitant) et pour siéger au sein du collectif d’animations (6 membres) - pour une désignation lors d’une séance ultérieure -, définition des modalités d’élaboration du règlement interne, questions diverses et expressions. A l’issue de cette séance constitutive, les conseillers détermineront eux-mêmes leurs prochaines dates de réunions.

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Journal « l’Union » 090104d

Bourguignons : ça flambe encore

 

Cette fois c’est un Picasso Citroën qui a brûlé.

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Décidément, l’allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge, est abonnée aux feux de voitures ces jours-ci, ou plutôt ces nuits-ci : il y en a encore eu un vers 22 h 30 vendredi, pratiquement au même endroit où une Renault avait flambé le jour de l’an peu après cinq heures du matin.

Cette fois, c’est un Picasso Citroën, qui s’est retrouvé complètement calciné malgré l’intervention des pompiers.

Et deux autres voitures stationnées à côté auraient elles aussi été plus ou moins endommagées par l’incendie.

Selon un habitant du quartier, ce serait même le troisième feu de voiture en une semaine quasiment au même endroit ! Difficile de croire à une simple coïncidence…

A.P.

 

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Journal « l’Union » 090104c

Drôle d’odeur…

 

Les pompiers ont été appelé vendredi soir vers 18h30 place Georges Braque (Croix-du-Sud) où régnait une odeur suspecte de papier brûlé ; mais sur place ils n’ont rien trouvé de particulier.

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Journal « l’Union » 090104b

Eteint tout seul

 

Vendredi soir, un peu avant 19 heures, un feu dans un local vide-ordures de l’allée des Limousins (Croix-Rouge) était signalé aux pompiers.

Le feu, qui avait pris à partir de détritus, a fini par s’éteindre tout seul, faute de combustible.

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Journal « l’Union » 090104a

Rue Joliot-Curie

 

Un accident de circulation mettant en cause deux voitures a fait un blessé léger hier samedi, vers 14h30, dans la rue Joliot-Curie à Reims.

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Journal « l’Union » 090103f

Sinistre nocturne : Le feu dans la cuisine : évacuation d’urgence de trois étages

 

Il n’y a pas eu de blessé ; en revanche, l’électroménager dans la cuisine a subi des dégâts.

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« Sortez vite, il y a le feu ! » La nuit de jeudi à vendredi a été quelque peu perturbée pour certains habitants de la grande tour du 1, allée Watteau, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, priés de quitter leur lit en catastrophe un peu avant une heure du matin.

Effectivement, il y avait bien le feu : dans un appartement du 14e étage. Ce sinistre nocturne n’a finalement pas fait de victime.

Il s’était déclaré dans la cuisine, de façon apparemment tout à fait accidentelle, peut-être provoqué par un problème électrique sur le lave-vaisselle. Deux personnes, une jeune fille de 20 ans et son compagnon, se trouvaient alors à l’intérieur de l’appart’. « D’après ce que m’a dit ma fille, racontait hier le père venu procéder au nettoyage des lieux, c’est la fumée qui l’a réveillée, tellement ça lui piquait la gorge ! »

Bienheureuse fumée pourrait-on dire, car c’est ce qui a permis aux deux occupants de quitter les lieux avant qu’il ne soit trop tard, et d’alerter les voisins. « Ils sont allés faire le tour des appartements de l’étage et des deux étages du dessus pour demander aux gens de sortir » poursuit le père (l’immeuble compte en tout 16 étages).

Tous ceux qui ont entendu l’appel (une occupante du 15e a été « oubliée », sans doute en raison des boules Quies qu’elle portait, heureusement sans conséquence pour elle) se sont donc retrouvés au bas de l’immeuble tandis que les pompiers intervenaient. « Ça n’a pas duré très longtemps, témoigne une de ces évacuées, et on n’a pas trop souffert du froid à cause du stress… »

Une fois le feu éteint, ces évacués ont pu retourner chez eux, tandis que la demoiselle dans l’appartement de laquelle tout avait débuté cherchait refuge dans sa famille pour le reste de la nuit.

Certes, certaines pièces comme le séjour ont été épargnées, cependant « tel quel, l’appartement n’est plus habitable, estimait hier le père : non seulement le lave-vaisselle est détruit, mais la gazinière, le lave-linge, le micro-ondes aussi ont été endommagés… » Pas vraiment la façon la plus agréable de démarrer l’année !

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » 090103e

Sapeur-pompier ? Audrey volontaire

 

La candidature d’Audrey sera-t-elle retenue ?

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Les pompiers ? Il y a ceux qui les caillassent ou les agressent lors de leurs interventions. Et ceux qui les respectent. Comme Audrey, bientôt 16 ans, du quartier Croix-Rouge. Mieux que ça, même, puisqu’elle est décidée à rejoindre les rangs des soldats du feu.

« Sauver quelqu’un en danger »

Comment est née cette vocation ? « Il y a quelques mois, une voisine est tombée dans le coma. Les pompiers sont intervenus pour la secourir, mais ils ne pouvaient pas entrer dans l’appartement fermé à clef. Je les ai aidés à trouver cette clef. Cette expérience m’a motivée. Je me suis rendu compte que je pouvais aider à sauver quelqu’un en danger. Et puis, j’en avais assez de voir certains s’amuser à agresser les pompiers lors de leurs interventions, alors que ce sont des gens courageux qui risquent parfois leur vie pour les autres… »

Audrey a donc entrepris les démarches nécessaires pour devenir sapeur-pompier volontaire. « Je suis déjà trop âgée pour être jeune sapeur-pompier, affirme la jeune fille qui semble bien renseignée. En revanche, je compte bien devenir volontaire. Mais je ne pourrai pas partir en intervention avant l’âge de 18 ans. » Fin 2008, elle est allée chercher son dossier de candidature à la caserne Marchandeau.

Corde, pompes, tractions…

« Elle devra le remplir puis le déposer à la caserne du pont de Witry, explique l’adjudant-chef Barenton. Ensuite, elle recevra une convocation pour subir des épreuves de sélection. »

Des épreuves physiques uniquement : grimpe de corde, pompes, tractions, course en fractionné. Et il faut savoir que ce n’est pas gagné d’avance, tant il y a de candidats ! En 2008, ils étaient quatre-vingt pour seulement dix places. Audrey peut commencer à gonfler ses biceps et à travailler son souffle !

« Si cette jeune fille est retenue après la sélection, elle suivra une formation pendant un an, poursuit le sous-officier, généralement pendant le week-end. »

Ce n’est qu’après celle-ci, puis après avoir eu 18 ans, qu’elle sera opérationnelle.

On ne peut que lui souhaiter de réussir.

Antoine Pardessus

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Journal « l’Union » 090103d

Le gymnase Arago prend forme

 

Les travaux avancent à bon train.

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Baptisé par Jean-Louis Schneiter le 22 septembre, du nom de Jean-Jacques Lapique, ancien président de l’Acrap, le gymnase de la rue François-Arago à Pays-de-France, est en construction dans l’esprit « Haute qualité environnementale ».

Il comportera une grande salle de 44 m sur 22 dans laquelle trôneront des tribunes pouvant accueillir 250 personnes.

D’un coût de 4,1 M€ dont 1,5 M€ pris en charge par le conseil régional - car il accueillera pendant dix ans, à titre gracieux, les élèves des lycées François-Arago et Joliot-Curie -, il sera géré par la Ville de Reims qui pourra le mettre à disposition des écoles et des associations sportives.

Sa livraison, attendue avec beaucoup d’intérêt, est prévue en mai 2009.

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Journal « l’Union » 090103c

Le père Noël… comme sur des roulettes !

 

Le père Noël parmi les jeunes du RHR.

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Le père Noël a réservé une belle surprise aux plus jeunes patineurs du Roller Hockey Reims.

Il est venu rejoindre l’entraînement de l’école de roller des petits Rapaces et a distribué à tous des confiseries. Après avoir passé un petit moment avec tous, il est reparti très discrètement…

Parents et enfants se sont retrouvés ensuite autour d’un goûter avant de profiter de quelques instants de pratique du roller.

L’occasion pour les enfants de servir de profs aux parents !

Retrouvez le RHR sur www.rollerhockeyreims.com

 

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Journal « l’Union » 090103b

Culture, travaux, base aérienne… ce qui vous attend en 2009

 

« Les chantiers vont vraiment débuter dans les quartiers Orgeval, Croix-Rouge et aux Épinettes », indique le premier adjoint Éric Quénard.

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Difficile de prédire l’avenir, surtout dans une période aussi trouble. Pourtant, dans certains domaines particuliers, on peut déjà prévoir quelques grands rendez-vous.

L’année des travaux dans les quartiers

Pour le premier adjoint au maire, Éric Quénard, l’année 2009 sera « marquée par la phase 2 de la rénovation urbaine dans les quartiers. Aujourd’hui, la rénovation a surtout été concentrée sur le quartier Wilson, mais elle va désormais concerner également Croix-Rouge, les Épinettes et Orgeval ».

Au premier trimestre 2009, six réunions publiques vont être proposées aux habitants des différents quartiers afin « d’engager avec eux la consultation sur l’amélioration de leur cadre de vie. Ils auront leur mot à dire pour les équipements de proximité, les aires de jeux des enfants, les maisons de quartiers… »

Cette seconde tranche, d’un montant global de 480 M€ est financée par la Ville, Reims Métropole, l’Anru et les bailleurs sociaux.

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Journal « l’Union » 090103a

La vague de froid n’altère pas les habitudes des Rémois

 

Comment les Rémois vivent-ils cette vague de froid ? Petit tour des rues et places de la ville, hier matin, à l’heure où les piétons et les voitures circulaient au ralenti.

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Et il n’y a pas que les piétons qui avaient du mal à circuler hier matin. À proximité du campus Croix-Rouge, au lotissement de la Lézardière, Lisiane a eu toutes les peines du monde à circuler en voiture. « Quand je suis sortie de chez moi à 10 h 30, j’ai roulé à 30 à l’heure car la chaussée était très mal dégagée », regrette-t-elle. Enfin, une bonne demi-heure plus tard, elle était arrivée à bon port dans le centre-ville. Ouf !

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M.B.

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Journal « l’Union » 090102c

L’Étoile en réunion à Croix-du-Sud

 

Jeudi 8 janvier à 18 h 30, l’association Étoile Croix-du-Sud tiendra son assemblée générale salle Claude-Prével au 5, avenue Léon-Blum.

Au programme :

- présentation du rapport moral, présentation du rapport financier 2008,

- renouvellement d’un tiers du conseil d’administration,

- élections des membres du CA

- et questions diverses posées par les adhérents.

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Journal « l’Union » 090102b

Feux de poubelles

 

De la poubelle d’Aldi il ne restait pas grand-chose. Les auteurs de l’incendie auraient été interpellés.

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Les pompiers ont été appelés mercredi 31 décembre, peu après trois heures du matin pour un feu de poubelle dans la zone commerciale de Murigny, rue Roger-Caillois. La poubelle en question était celle du magasin épicerie hard discount Aldi, tout proche. Les responsables du magasin n’ont constaté les dégâts que le matin en arrivant au travail. Dans l’intervalle la police avait déjà agi : elle avait interpellé deux mineurs qui pourraient bien être les auteurs de ce feu nocturne.

La série continue

D’autres feux de poubelles se sont déclarés au cours de la nuit précédant la St-Sylvestre : place Toulouse-Lautrec (secteur des hôpitaux) un peu après une heure du matin, et place Maurice-Utrillo, soit juste à côté, une heure plus tard environ.

 

 

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Journal « l’Union » 090102a

Voitures incendiées : un recours pour les victimes

 

Le député ardennais Jean-Luc Warsmann est à l’origine de cette loi, qui permet sous conditions l’indemnisation des victimes.

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Pour beaucoup, Nouvel An rime avec feux de voitures, même si le phénomène n’a pas vraiment touché la cité des sacres. En revanche, tout au long de l’année, ces actes imbéciles frappent souvent les plus modestes…

LA psychose des feux de voitures la nuit de la Saint-Sylvestre est une réalité. Encore cette année, plus de 1.100 véhicules ont brûlé en France (plus 30 % par rapport à 2007). A Reims, le phénomène est sporadique, mais régulier. Hormis les escroqueries à l’assurance, les incendies volontaires de voitures touchent souvent les plus modestes. Depuis octobre, les victimes disposent d’un recours pour racheter une voiture.

Exemple : « Des incendiaires ont encore sévi à Reims dans la nuit de lundi à mardi, avec un total de six véhicules et d’une quinzaine de poubelles brûlées. Vers 19 heures, un Renault Espace a pris feu sur un parking de la place Jean-Fragonard. Deux voitures stationnées de chaque côté ont été détruites par la propagation des flammes. Vers 20 heures, une Ford Sierra a été incendiée avenue Bonaparte.

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Les propriétaires de voitures incendiées, qui ne sont pas assurés pour ce sinistre, ont dorénavant droit à un remboursement de leur véhicule grâce à la loi du député ardennais Jean-Luc Warsmann.

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Thierry Accao Farias

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090101b - RCA Numéro 67 - hiver 2009

Le quartier Croix-Rouge dans RCA Numéro 67 - hiver 2009
 
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QUAND L’ART FAIT SON ENTRÉE AU LYCÉE…
 

Sensibiliser à l’art, ressentir une œuvre, partager des Émotions… Voilà tout ce que peut générer la présence d’un artiste en milieu scolaire. Pour preuve, la résidence de l’artiste Ismaël Kachtlhl del Moral au lycée Joliot-Curie.

Durant 6 mois, j’ai voulu sensibiliser les élèves à la représentation de soi, développer une réflexion sur le portrait et l’autoportrait », souligne le plasticien. Une rencontre qui a débouché sur une œuvre « Portrait d’un lycée » 21 socles posés dans le patio de l’établissement où sont gravés des textes et poésies écrits par les élèves et qui constituent autant de portraits émouvants d’une génération.

Une réussite a tous égards qui s’inscrit dans la nouvelle politique culturelle en direction des lycées.

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INVESTISSEMENTS : Restructurations importantes
 

Soucieuse d’adapter les lycées aux évolutions des enseignements et d’améliorer les conditions d’accueil et de travail, le Conseil régional accentue son effort de rénovation.

Après l’extension et la restructuration de son bâtiment externat qui ont permis de redistribuer les espaces de maniere plus fonctionnelle. Le lycée professionnel Joliot-Curie de Reims e fait l’objet, en 200B, de travaux techniques : remplacement des menuiseries extérieures et étanchéité des terrasses.

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090101b - RCA Numéro 67 - hiver 2009

Le quartier Croix-Rouge dans RCA Numéro 67 - hiver 2009
 
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QUAND L’ART FAIT SON ENTRÉE AU LYCÉE…
 

Sensibiliser à l’art, ressentir une œuvre, partager des Émotions… Voilà tout ce que peut générer la présence d’un artiste en milieu scolaire. Pour preuve, la résidence de l’artiste Ismaël Kachtlhl del Moral au lycée Joliot-Curie.

Durant 6 mois, j’ai voulu sensibiliser les élèves à la représentation de soi, développer une réflexion sur le portrait et l’autoportrait », souligne le plasticien. Une rencontre qui a débouché sur une œuvre « Portrait d’un lycée » 21 socles posés dans le patio de l’établissement où sont gravés des textes et poésies écrits par les élèves et qui constituent autant de portraits émouvants d’une génération.

Une réussite a tous égards qui s’inscrit dans la nouvelle politique culturelle en direction des lycées.

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INVESTISSEMENTS : Restructurations importantes
 

Soucieuse d’adapter les lycées aux évolutions des enseignements et d’améliorer les conditions d’accueil et de travail, le Conseil régional accentue son effort de rénovation.

Après l’extension et la restructuration de son bâtiment externat qui ont permis de redistribuer les espaces de maniere plus fonctionnelle. Le lycée professionnel Joliot-Curie de Reims e fait l’objet, en 200B, de travaux techniques : remplacement des menuiseries extérieures et étanchéité des terrasses.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090101a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »
Numéro 7270 du 29 décembre 2008 au 04 janvier 2009.
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À Bétheny, l’écolo se met sur la paille
 
Destinées à la location, ces maisons offriront un peu moins de 100 m2 de surface habitable

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Grande première dans la région : un bailleur social va faire construire dix maisons en bois isolées avec de la paille.

Non, ce ne sont pas les maisons des trois petits cochons, qui s’envolent au premier souffle du grand méchant loup. C’est du sérieux et du solide. L’Effort Rémois, qui est à l’origine de ce projet écolo, a d’ailleurs confié à un architecte allemand la construction de ces dix logements.

Assurément un gage de qualité, tant il est vrai que nos voisins d’outre-Rhin ont une bonne longueur d’avance sur nous en matière d’habitat respectueux de l’environnement.

C’est à Bétheny, dans le lotissement de la Couturelle, que sera édifié ce petit ensemble immobilier. Là aussi, point de hasard dans le choix du point de chute, cette commune faisant figure tout à la fois de précurseur, de laboratoire et de modèle dans le créneau de l’urbanisme vert. L’Effort Rémois va donc y réaliser une grande première pour un organisme HLM en Champagne-Ardenne : bâtir des maisons à vocation sociale en panneaux de bois préfabriqués remplis avec de la paille. La paille est en effet un excellent isolant thermique dès lors que son épaisseur est suffisante. À Bétheny, 85 m3 de paille par maison permettront de couvrir murs et plafonds sur une épaisseur de 35 cm. Ce matériau présente de multiples qualités : il est naturel, non traité chimiquement, assez bon marché et offre une bonne régulation de l’humidité, sous réserve d’observer certaines précautions au moment de sa mise en œuvre.

UN MATÉRIAU LOCAL EN OBSERVATION

Autre avantage non négligeable de la paille elle abonde dans la région, ce qui constituerait un gisement précieux en cas de généralisation.

Ce qui pourrait aussi assurer de nouveaux débouchés aux agriculteurs de la région. On n’en est pas encore là, et les dix maisons de Bétheny suffiront au bonheur des amateurs d’un habitat plus sain, d’autant que ces bâtisses seront également très économes en énergie. Elles ne seront chauffées ni au gaz, ni à l’électricité, mais au bois, plus précisément grâce à des poêles à granulés de bois. La construction de ces maisons devrait démarrer en 2009, pour une livraison l’année suivante. À noter que le lycée Arago à Reims (labellisé lycée des métiers du BTP), suivra de près le chantier et continuera d’observer le comportement des logements une fois occupés, en termes d’étanchéité et de consommation d’énergie notamment. But du jeu engranger du retour sur expérience et, le cas échéant, améliorer les procédés de construction en vue de leur industrialisation.

YVES HERNAUD

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