par Administrateur
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Cet après-midi, la famille et les amis de Parfait Ngome, ce jeune Rémois tué dimanche dernier sur la RDN 944, ainsi que les associations de Croix-Rouge, organisent une marche silencieuse à la mémoire du jeune étudiant.
Elle débutera à 15 h 30 au 13, rue des Savoyards pour se terminer au gymnase Joliot-Curie, dans lequel les personnes iront se recueillir et accompagner la famille de Parfait dans ce moment très difficile.
Pour ceux qui voudront voir une dernière fois Parfait Ngome, son corps a enfin été rapatrié au funérarium de Reims.
Le rapatriement du défunt vers son village natal au Cameroun aura lieu jeudi 5 mars. C’est tout un quartier qui s’est mobilisé depuis son décès. « Je voudrais remercier ceux qui nous ont aidés, amis et associations, ainsi que la Ville de Reims qui nous a mis à disposition le gymnase » s’émeut le père de Parfait.
T.A.F.
Gilles Jierzorski : « La piste de dégagement : un élément essentiel de sécurité. »
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La société des courses se voit contrainte, pour conserver ses « réunions PMU », de mettre ses pistes aux normes. Elle en profite pour améliorer les structures d’accueil.
DES lecteurs se sont interrogés sur l’activité d’engins de chantier dans l’hippodrome : opération immobilière ? Il n’en est rien : l’hippodrome refait ses pistes. « L’hippodrome est en développement, comme toute la filière courses d’ailleurs. A Reims, c’est l’évolution du trot et des événements PMU », explique Gilles Jierzorski, président de la société des courses de Reims. Il faut savoir que l’activité de l’hippodrome, ce sont 18 manifestations par an. Les réunions régionales, les PMH (Pari mutuel hippodrome) et les journées PMU « où l’hippodrome rémois est la vitrine des courses de France ». Passant de 2 à 8 réunions PMU, la société s’est vue contrainte de développer les infrastructures, pour recevoir les médias, et surtout améliorer la qualité des pistes. « Nous avons aussi porté nos efforts sur l’accueil des spectateurs et des télévisions, de plus en plus nombreuses à suivre l’événement, dynamisé le restaurant panoramique, rénové une centaine de boxes et stalles ».
Depuis quelques années, la municipalité promet une délocalisation de l’hippodrome. « Cette incertitude freine notre développement. Aujourd’hui, nous avions des normes de sécurité et d’accueil du public minimalistes ».
C’est ce qui a poussé le conseil d’administration à voter certains travaux. D’abord la mise aux normes de la piste de trot qui doit comporter une piste de dégagement permettant à un concurrent qui galope de pouvoir quitter la course sans provoquer d’accident. La piste, d’une longueur de 1.156 m et d’une largeur de 3,50, sera recouverte de « pouzzolane » une roche de scories volcaniques. La piste suiveuse sera également goudronnée. Les travaux devront être terminés pour le dimanche 8 mars, date de l’ouverture. Le coût ? « Cher ! » sourit le président « de l’ordre de 200.000 euros ».
La seconde partie des travaux porte sur la remise aux normes du circuit électrique de la piste. Enfin, la fin de l’année verra la refonte totale des cuisines du restaurant et d’un espace « salon/restauration » dans les tribunes.
Cela veut-il dire que le projet de déplacement de l’hippodrome est enterré ? « Il est toujours d’actualité. Mais même si les discussions avec la municipalité sont très ouvertes, il y a un aspect de crise économique très forte. Depuis 7 ans on nous dit : on va délocaliser ! » La société des courses se trouve en face d’un dilemme : « Si dans trois ans on n’est plus là, ce sont des gros travaux pour pas grand-chose. Mais si on attend, nous n’avons plus de réunions PMU ! »
D’autant que pour Gilles Jierzorski, il serait dommage de cantonner l’hippodrome à simplement 18 réunions de courses. « Je préconise un lieu qui permette d’irradier autour du quartier. Le temps qu’on reparle du projet et qu’on le mette en route… on en a encore bien pour 6 ou 7 ans… ».
1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.
3. Objet du marché : marché à bons de commande pour des prestations de déménagement.
4. Durée et prise d’effet du marché : le marché prendra effet à la date de notification du marché, soit le 24 avril 2009 au plus tôt. Le marché est constitué de trois tranches fermes : 2009, 2010 et 2011 : estimation de 88 locaux environ à déménager par tranche. La tranche conditionnelle de 2012 ne s’applique que si au terme des trois tranches fermes, les prestations ne sont pas terminées. Cette tranche concernera les locaux restant à déménager.
5. Nature des prestations : le marché aura pour objet de confier au titulaire les prestations de déménagement de 264 locaux environ (estimation) situés dans les quartiers Croix-Rouge et Orgeval à Reims.
6. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est disponible, à titre gratuit, à la demande auprès de : Cellule marchés, Mademoiselle Elvina LHERMENIER, tél. 03.26.84.36.26. Fax : 03.26.84.36.19.
7. Date limite de remise des offres : le vendredi 10 avril 2009 à 12 heures.
Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
8. Renseignements et justifications concernant les capacités juridiques, techniques, économiques et financières des candidats :
La déclaration à souscrire par les sociétés.
Les documents ou attestations figurant à l’article D 8222-5 du code du travail.
Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l’assiette et du recouvrement des impôts et des cotisations de sécurité sociale, d’allocation familiales, de congés payés établie postérieurement au 31 décembre de l’année précédent la consultation, ou DC 7.
Une liste des références et des renseignements sur les moyens humains, techniques de l’entreprise et sur les pouvoirs de la personne habilitée à l’engager, ou DC 5.
Les attestations d’assurance.
Copie des qualifications professionnelles ou autres preuves équivalentes.
9. Jugement des offres : les offres seront jugées selon les critères suivants :
Critère n° 1 : qualifications, références, assurances : 40%.
Critère n° 2 : montant global de l’offre : 30 %.
Critère n° 3 : moyens humains, techniques et matériels mis en oeuvre : 30 %.
10. Renseignements :
par courrier ou par fax à :
LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, Mademoiselle Elvina LHERMENIER, tél. 03.26.84.36.26. Fax : 03.26.84.36.19.
E-mail : E.LHERMENIER@foyer-remois.fr
11. Date d’envoi du présent avis : le 23 février 2009.
02-08-51AO1638152
L’hebdo du vendredi- n° 113 - 090227a
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 113 - Semaine du 27 février au 5 mars 2009
ENSEIGNEMENT : Arago : lycée pilote de l’Académie
Entouré des représentants de l’Université, le recteur de l’académie de Reims s’est réjoui de la mise en place de cette semaine scientifique
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Stages, soutien scolaire et semaine scientifique, depuis août dernier, le lycée François Arago accueille toute une série de projets novateurs dans l’Académie.
Des mots même du recteur de l’Académie de Reims, Alexandre Steyer : « c’est au lycée Arago qu’on essaye tout ! ». Retenu dans le cadre du plan Espoir banlieues de la secrétaire d’Etat chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, le lycée organisait déjà du soutien scolaire depuis août dernier, l’établissement accueille désormais depuis cette semaine un stage d’anglais pour lycéens et banalise cette première semaine de vacances en Semaine Scientifique.
Vingt-sept élèves venus des lycées des quatre départements de Champagne-Ardenne ont été sélectionnés pour participer à ce projet, unique en son genre dans l’Académie. « Pour les conférences, nous avons fait appel à des enseignants-chercheurs de toutes les disciplines scientifiques qui ont tous répondu favorablement » se réjouit le recteur, qui précise « l’importance de cette semaine, permettant aux élèves de voir les professeurs d’université et les scientifiques sous un autre angle. A un moment où le manque de chercheurs se fait sentir, il est crucial de continuer à faire naître des vocations ».
Pendant ces cinq jours banalisés, les scientifiques en herbe ont assisté à près de vingt heures de conférences (sur le calcul scientifique, l’astronomie, le nucléaire, etc.) ponctuées de visites (laboratoire de recherche, planétarium, centrale nucléaire de Chooz). Scolarisés aux lycées Bazin et St Rémi de Charleville-Mézières, Adrien et Gauthier se réjouissent d’avoir opté pour des vacances intelligentes : « ça nous permet de prendre de la distance par rapport aux cours et de voir davantage les perspectives qu’offre chaque branche représentée ». Tous deux passionnés par les sciences, Gauthier espère découvrir au cours de cette semaine une profession qui l’emballerait vraiment tandis qu’Adrien souhaite obtenir des précisions sur les branches informatique et physique élémentaire vers lesquelles il souhaite s’orienter.
Plébiscitée autant par les professionnels que par les lycéens, nul doute que cette Semaine Scientifique devrait être de nouveau organisée l’année prochaine.
Aymeric Henniaux
Après le secrétaire général de la mairie à qui un manifestant a donné le nom d’un célèbre dictateur du Cambodge, c’est cette fois Fabrice Lopez de l’association CDL.CR qui qualifie le premier adjoint Éric Quénard du nom de l’ancien président de Russie aujourd’hui premier ministre.
Ça vole vraiment pas haut.
Des vacances studieuses au lycée François-Arago pour quelques élèves qui perfectionnent leur expression orale en anglais.
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Alors que la fin des cours a sonné depuis vendredi dernier, certains élèves du lycée François-Arago ont décidé de revenir dans leur établissement durant les vacances. En effet, et comme c’est le cas pour plusieurs autres lycées de la région, des stages linguistiques sont proposés aux élèves désirant perfectionner leur expression orale en anglais.
Pour Valentin qui a répondu avec enthousiasme à ces cours, c’est une expérience positive. « On est loin des cours traditionnels imposés par les parents durant les vacances scolaires et méprisés par le jeune qui considère cela comme une sanction. »
Valentin défend l’efficacité de ce stage : « Contrairement au système éducatif français qui met l’accent sur l’écrit, ici on privilégie l’expression orale, ce qui permet une tout autre approche de la langue. » Il insiste également sur les conditions relativement agréables de travail, loin du « caractère pesant et fastidieux des cours habituels ».
Pour ceux qui pourraient croire que la motivation des profs durant les vacances est moindre, il n’en est rien. Les élèves n’on t pas leurs professeurs habituels, mais des assistantes travaillant dans le primaire à Châlons-en-Champagne. Il s’agit de deux enseignantes d’origine anglaise et américaine. Et les deux professeurs Eleanor Thompson et Érin Curran de souligner le vif intérêt des élèves qui se montrent « agréables et motivés ».
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PARFAIT NGOME, ce jeune Rémois de 20 ans tué lors d’un accident de voiture dimanche soir sur la RD 944, habitait dans le quartier Croix-Rouge (voir nos précédentes éditions). Dans cette grande cité rémoise, le jeune homme avait énormément d’amis et fréquentait souvent les associations du quartier.
Deux d’entre elles, Point Rencontre et Association des Travailleurs marocains France (ATMF), ainsi que certains de ses copains, organiseront samedi une marche silencieuse et un moment de recueillement.
« Nous voulons réunir l’ensemble des potes de Parfait. C’était un gars bien, sérieux dans tout ce qu’il entreprenait. Nous allons lui rendre hommage et accompagner sa famille dans sa douleur. » explique un ami de Parfait.
Maison de quartier, clubs sportifs, amis d’école et copains du quartier, c’est plus de 300 personnes qui viendront lui rendre hommage et soutenir cette famille meurtrie.
« Vous savez, c’était un enfant discret, sérieux dans les études. Il me disait souvent « Maman il faut que je t’aide avec espoir et responsabilité » c’était un enfant très généreux. Ce n’est pas normal de partir à 19 ans » raconte la maman du jeune homme. Après avoir cherché plusieurs salles, c’est au gymnase du collège Joliot-Curie que se déroulera cette veillée.
Le lieu sera mis à disposition par la ville de Reims, grâce à l’aide de Salah Byar et de Natacha, une médiatrice. Le rendez-vous est fixé à 16 heures, ce samedi.
À noter aussi qu’une collecte est organisée pour aider la famille dans les frais de rapatriement du corps et pour les obsèques du jeune homme.
« Tout un quartier est en deuil. Repose en paix mon frère » conclut un autre de ses amis.
Thierry Accao Farias
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Le secteur Université du quartier Croix-Rouge va subir plusieurs transformations. Présentation des travaux de rénovation urbaine prévus d’ici à la fin 2013.
LA présentation du Croix-Rouge 2008-2012 après les travaux de rénovation urbaine s’est achevée la semaine dernière par le secteur Université (Rilly-la-Montagne, Taittinger et Eisenhower), essentiellement domaine de Reims habitat, mais avec une enclave Foyer rémois. 160 personnes sont venues écouter les patrons des organismes logeurs, Patrick Baudet et Christophe Villers, autour de l’adjoint Éric Quénard.
Ce secteur a déjà perdu la tour 53, implosée en novembre 2006, il n’y a plus beaucoup de destructions prévues : 65 logements dans l’immédiat, aux 25-27-29 et 31 Eisenhower (chantier en cours, jusqu’en juin) et 46 logements fin 2011 aux 49-51 Eisenhower. Face à ces 111 logements détruits, 175 nouveaux seront construits dont 50 dans le virage Eisenhower, 30 plus tard, un petit immeuble d’accession à la propriété, un hôtel d’entreprises et de nouvelles surfaces commerciales et de services le long des axes Eisenhower/Taittinger : « On va construire tout cela avec vous, en groupes de travail et de concertation », précise Patrick Baudet.
Les îlots 48/54 Eisenhower (95 logements) et 53/65 Eisenhower (180 logements) seront réhabilités et 372 autres seront résidentialisés. De son côté, le Foyer rémois annonce la construction à la place de la tour détruite de 60 logements et d’une résidence de 125 logements pour étudiants à livrer à la rentrée universitaire, près du Resto U, un mail piéton étant créé entre l’Université et le quartier.
Question stationnement, le parking G3 sera démoli et restructuré avec de nouvelles entrées sur trois étages, l’esplanade Eisenhower étant reconfigurée, retravaillée et peut-être végétalisée. Pour mettre fin à des rumeurs malveillantes lancées çà et là, Patrick Baudet est formel : « Nous devrions avoir tout terminé fin 2013. Aucune autre démolition n’est prévue sur le secteur ! »
Les inquiétudes des habitants
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Beaucoup de questions parmi les habitants concernaient la qualité de la rénovation : « Tous les ascenseurs seront rénovés et modernisés, tous les escaliers seront repeints avec réfection électrique, de gros travaux d’isolation thermique auront lieu sur certains immeubles et la collecte des ordures ménagères sera organisée au mieux », a rassuré Patrick Baudet.
Une locataire de la rue de Rilly s’inquiète : avec la construction de 125 logements pour étudiants, où va-t-on pouvoir se garer ? « Nous prévoirons une concertation spécifique et une place de parking pour chacun, comme à Pays-de-France », a précisé Christophe Villers.
Martine Massart s’inquiète pour les petits pavillons situés alentours. Seront-ils également traités pour l’étanchéité et l’isolation ? « Vous êtes hors périmètre ANRU* », a révélé Christophe Villers. « Mais on ne va pas se désintéresser de vous pour autant. Vous n’êtes pas exclus du dispositif de requalification et des interventions sont prévues en matière de performances thermiques, acoustiques et d’étanchéité ! »
Geneviève Kaczowka (Défense des locataires) a remis la question de l’eau sur le tapis : « Depuis des années à Croix-Rouge, on ne sait pas ce que l’on boit, on ne sait pas avec quoi on se lave ! Dans un grand chantier comme la rénovation urbaine pourquoi n’avez-vous pas pris ce problème en compte ? » La réponse d’Éric Quénard l’a laissée sans voix : « Impossible, l’ANRU ne prend pas en compte ce genre de travaux ! » En clair, une fois l’expertise demandée par la municipalité rendue, il faudra peut-être reprendre les pelleteuses et creuser à nouveau pour intervenir sur les canalisations…
Un habitant a demandé si la ville comptait mettre en place un système de vélos en libre-service. Pour le premier adjoint : « On le souhaite et on y réfléchit, mais le réseau actuel de pistes cyclables est dangereux. Nous allons d’abord étudier un schéma cohérent de pistes cyclables avant d’envisager un libre-service. »
Des habitants s’inquiètent de voir des travaux sur l’hippodrome : « Ce sont des travaux de mise aux normes de sécurité », a précisé Éric Quénard. « Le déplacement de l’hippodrome n’est absolument pas à l’ordre du jour et n’est pas dans les priorités municipales actuelles ! »
Fabrice Lopez (Collectif de locataires) a longuement pris la parole : « De quelle concertation parle-t-on ? Le touriste parisien qui descendra à la gare TGV de Bezannes, et prendra le tramway pour aller au centre-ville ne verra que des façades peintes et refaites. C’est bien, mais allons-nous enfin participer à la rénovation de notre quartier ? Une pétition de 80 % des locataires et une pétition des jeunes n’ont pas été prises en compte dans votre concertation illusoire ! » (applaudissements).
Dans sa réponse, Éric Quénard assure : « Cette concertation sera effective, mais il ne faut pas avoir une vision figée. Par exemple, on ne peut pas, comme vous le demandez, installer une aire libre de jeux et de sports pour les jeunes en plein cœur du quartier ! L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers ! »
* Agence nationale pour la rénovation urbaine.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Installés au bas de l’immeuble, les ventilateurs gênent tous les locataires à cause du bruit qu’ils font.
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Sylviane habite au deuxième mais la nuisance sonore s’élève jusqu’au 7e et dernier étage du bâtiment.
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Deux gros ventilateurs destinés au parking souterrain gâchent la quiétude de tout un immeuble place Toulouse-Lautrec. Les habitants ont signé une pétition à l’intention du bailleur.
SYLVIANE adore se coucher tôt le soir pour regarder la télé ou bouquiner sous la couette. Depuis quelque temps, cette locataire du 2, place Toulouse-Lautrec, situé à la lisière de Croix-du-Sud vers Murigny, n’a plus ce plaisir.
« Avant, j’étais tranquille dans ma chambre mais maintenant je dois subir le bruit infernal d’un ventilateur du parking situé en bas de mon immeuble. » Un bruit de moteur continu qui ne s’arrête pas avant 9 heures du soir. « Il tourne le soir mais aussi le matin à partir de 7 h 3O y compris le dimanche. Certains dans l’immeuble qui aiment faire un peu la grasse matinée le week-end ne le peuvent plus. » Sylviane habite au deuxième mais la nuisance sonore s’élève jusqu’au 7e et dernier étage du bâtiment.
« Certains attrapent mal à la tête à cause du bruit. Tout le monde pense aux beaux jours qui arrivent et aux fenêtres qu’on ne pourra pas ouvrir. »
En vingt-six ans de location, Sylviane n’avait jamais ressenti telle gêne et pourtant les ventilateurs existaient déjà. Etrange. « Soit ils ne les faisaient pas fonctionner avant, soit ils ont changé quelque chose. »
En l’absence d’explication, les locataires, après avoir discuté entre eux au hasard de leurs rencontres sur ce fléau commun, ont décidé d’agir : « Nous avons fait circuler une pétition que, à l’exception d’un seul, tous ceux du bloc ont signée. » La pétition signée accompagnée d’un courrier daté du 26 janvier a été adressée au directeur de Reims Habitat, propriétaire des lieux. Elle n’avait toujours pas reçu réponse la semaine dernière. « Ils sont lents à réagir. Une fois, nous avions eu un problème de bruit avec des installations EDF, ils étaient venus régler le problème tout de suite. Là, nous attendons toujours. »
Les jours passent et les deux ventilateurs, situés d’un côté et de l’autre du parking souterrain, continuent à les narguer et à martyriser leurs oreilles. « Techniquement, ils doivent avoir les moyens de faire cesser le bruit ou du moins de l’atténuer », estiment les signataires de la pétition. « C’est d’autant plus important pour nous qu’on habite un immeuble où les gens respectent le désir de calme des autres à partir d’une certaine heure. C’est quand même dommage de gâter cette ambiance rare à cause d’une turbine du bailleur. » D’autant plus rageant que le bruit semble se déclencher exprès aux heures où les habitants aspirent au repos : « C’est le soir, le matin mais aussi de 13 h 30 à 14 heures ». Celui qui aura raté sa grasse matinée du dimanche ne pourra pas se rattraper par une bonne sieste après déjeuner. Bref, ils en ont ras-le-bol et comptent sur Reims Habitat pour régler le problème avant le dégel.
C.F.
« On ne peut pas les stopper mais on peut réduire le bruit »
« Normalement, nous avons déjà fait le nécessaire pour régler le problème », fait savoir Reims Habitat par l’intermédiaire de sa porte-parole. Cette dernière nous explique la genèse de l’affaire : « Ces ventilateurs fonctionnent depuis des années mais nous avons récemment fait changer les moteurs. Pendant cette période, ils n’ont pas tourné du tout. »
D’où l’impression de nouveauté pour les habitants quand ils ont été mis en route : « La législation nous impose de garantir un air ambiant de bonne qualité dans le parking. C’est pourquoi il ne serait pas concevable de se passer de ces ventilateurs. » Soit. Ils sont utiles mais sont aussi devenus trop bruyants : « Il se trouve que ces moteurs comportent deux vitesses de fonctionnement, une vitesse rapide et une plus lente. Ils ont été remis en route sur grande vitesse d’où le bruit excessif. Nous avons donc fait le nécessaire dès la fin de semaine dernière pour les passer en vitesse lente. On espère que cela résoudra le problème de bruit. »
Il aurait été également bien de pouvoir les couper le dimanche matin : « Impossible. Ces ventilateurs sont programmés pour tourner aux heures où les voitures circulent le plus dans le parking, c’est-à-dire de 7 h 30 à 9 heures et de 19 à 21 heures. Bien sûr, cette règle n’est pas valable le week-end mais, malheureusement, on ne peut pas les paramétrer pour qu’ils ne tournent pas le dimanche. On ne peut pas non plus envoyer quelqu’un les paramétrer mécaniquement chaque fin et début de semaine. Ce serait trop lourd. »
Les locataires devront donc continuer à vivre avec le chant de leurs turbines en espérant que la petite vitesse épargnera leurs oreilles.
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Sélectionné parmi de nombreux clubs français, le Reims Acrap patinage a organisé la 3e journée du tournoi de France 1re division de danse sur glace. Permettre à 168 patineurs, solos et couples de 14 clubs venus de toute la France de s’élancer sur la glace rémoise, accueillir comme il se doit les juges et comptables officiels de la compétition, tel fut le rôle des dirigeants du club rémois ainsi que de l’équipe de bénévoles.
L’entraîneur, Ludivine Lemaire est fière de son équipe de 22 patineurs qui a obtenu d’excellents résultats.
En catégorie préparatoire, la toute jeune Clémentine Rocher s’impose à la 6e place et remporte le titre de championne de région.
En préparatoire 2, Clémence Mille termine 4e, Océane Goyard-Gully 5e, Victoire Plomion 9e et Chloé Neiva 17e. Les deux premières sont respectivement championne et vice-championne régionales.
En catégorie pré-bronze 2, Juliette Wary a décroché une probante 2e place et le titre de championne de région. Renan Manceaux s’empare de la 3e place et du titre de vice-championne. Leurs camarades, Camille Leblon, Christopher Guissant et Chloé Pillet, ne déméritent pas et s’attribuent les 6e, 16e et 18e places de cette catégorie.
En bronze 1, Margaux Abib-Gruet s’offre une 4e place en obtenant un total explosif de 42 points au combiné des deux danses. Elle est également championne de région. Quant à Anaïs Milard, vice-championne de région, elle se classe 9e de ce groupe de 16 patineurs.
En bronze 2, Camille Renault, par ses qualités de patineuse et de danseuse, a supplanté les autres concurrentes. Terminant 1re, elle a justifié les espoirs placés en elle. Elle est également championne de région.
En argent 1, Aurore Vermeulen termine 4e. En argent 2e année, Solène Manceaux, submergée par le stress, termine 7e et obtient le titre de vice-championne de région. Sa camarade, Justine Delaunois, 9e à l’issue de la danse imposée, a époustouflé le jury dans sa danse d’interprétation. Elle remonte donc à la 6e place et prend le titre de championne de région.
En vermeil 1, Morgane Huet, blessée en début de saison, réalisait son premier tournoi : elle se classe 8e et prend également le titre de championne de région.
En Vermeil 2, Alexandra Henry, remporte la 4e place et le titre régional.
Tous ces résultats et podiums permettent au RAP d’être classé 3e des 14 clubs de la compétition : « Nous sommes désormais un club incontournable en France. Saint-Gervais, Lyon, Annecy et la région parisienne se sont classés loin derrière nous », apprécie l’entraîneur Ludivine Lemaire.
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Au lycée Arago à Reims, il y avait déjà les stages d’anglais durant les vacances et des cours de rattrapage dans le cadre du plan espoir banlieue. Depuis ces vacances de février, Alexandre Steyer, recteur d’Académie a « inventé » l’école des sciences. Objectif avoué : à une époque où on va manquer de chercheurs, vecteurs de l’innovation, il est indispensable de séduire les lycéens pour qu’ils s’orientent vers des carrières scientifiques et n’appréhendent plus de venir faire de la recherche à l’université.
C’est dans cette optique que, depuis lundi et durant toute la semaine, vingt-sept bons élèves des quatre départements de la région, recommandés par leurs professeurs et hébergés au Creps et au lycée suivent des cours complétés par des visites au lycée Arago. Au programme notamment des sujets qui concernent aussi bien les sciences fondamentales que les sciences appliquées : les nanotechnologies, l’atome avec une visite à la centrale de Chooz (Ardennes), le rayon laser avec l’Urca, le pendule de Foucault et le mouvement des planètes avec le planétarium de Reims, etc.
« Cela va permettre aux jeunes de voir les profs d’université sous un autre angle », a estimé le représentant de l’Éducation nationale. Pour les lycéens, « ça fait vraiment plaisir de voir des professeurs passionnés par leur sujet », se réjouit Matthieu Carré, du lycée Chagall. « On revoit des notions vues en cours mais en beaucoup plus approfondi » ; « Ça nous change des cours. Ici tout le monde est là pour apprendre », ajoutent Max Métral et Émilie Moussy du même établissement. Si elles avouent qu’elles ne savent pas encore ce qu’elles veulent faire, Gisèle Usanas et Thiffany Kolkes du lycée Libergier apprécient « le côté concret des cours ».
Ça va inciter la première à poursuivre dans son désir de s’orienter vers les sciences et techniques du vivant.
Afin de développer l’école des sciences, le recteur a annoncé que dans le cadre du Pôle de ressources en éducation culturelle créé avec la Drac, ce sont une quinzaine de professeurs référents qui vont, sous l’égide du Cnam devenir formateurs en culture scientifique.
« Mais ne pensez-vous pas que ces lycéens, comme tous les autres, vont suivre une classe prépa pour aller ensuite dans une grande école », a demandé un professeur regrettant le peu de considération fait aujourd’hui au doctorat.
« Pas du tout » a assuré Alexandre Steyer. « Désormais il y a des passerelles pour aller des grandes écoles à la faculté ». « Désormais les universités vont pouvoir aussi embaucher des chercheurs qu’ils veulent avec des salaires plus forts. »
Message reçu. Reste à trouver les enveloppes financières. Un sacré casse-tête à démêler peut-être cette semaine pour ces jeunes lycéens lors d’un exercice pratique !
Alain Moyat
La famille de Parfait Ngome est abasourdie par la somme qu’on lui demande pour rapatrier son corps de Châlons à Reims
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Le corps de Parfait Ngome, ce jeune Rémois de 20 ans tué lors d’un accident de voiture, dimanche soir, sur la RD944, se trouve actuellement dans un funérarium de Châlons. Sa famille souhaite faire rapatrier son fils à Reims, mais pour cela on lui demande de payer une facture avoisinant les 1.400 euros.
« NOUS voulons que le corps de Parfait soit rapatrié à Reims car pour le moment, il est à Châlons-en-Champagne. Nous voulons faire la mise en bière à Reims pour que notre famille et tous ses amis puissent venir se recueillir. C’est trop loin pour tout le monde. Sur 15 enfants qui étaient en route, seul mon fils est mort », explique avec tristesse Mme Ngome.
En effet, le corps de Parfait Ngome, étudiant rémois de 20 ans, tué dimanche soir lors d’une collision sur la RD 944 au niveau de Vaudemanges (nos précédentes éditions), est actuellement au funérarium Marbrerie Marnaise à Châlons-en-Champagne. Ses parents aimeraient le faire rapatrier à Reims, mais un problème se pose dont ils se seraient bien passés en cette période de deuil : la facture qu’adresse ce funérarium pour le rapatriement de leur enfant s’élève à 1.407,48 €.
« 1.400 € pour faire moins de 100 km. Sur la facture, le funérarium a essayé de faire le détail de tout ce qui donne au final cette somme faramineuse », précise Essambo Ngome, le père du jeune homme. « La somme que le funérarium réclame est intolérable. Ils viennent de perdre leur enfant et on leur parle d’argent, c’est honteux même horrible ! » affirme un ami très proche de l’étudiant.
Alors à quoi correspond cette facture de 1.400 € ? Celle-ci se décompose en deux parties. L’une concerne l’intervention du funérarium le jour de l’accident. Heure de brancardage du dimanche deux fois plus chère qu’un jour de semaine, housse biodégradable, véhicule de transport sans bière plus le kilométrage pour un total de 834,91 €.
La deuxième partie, concernant le rapatriement, comprend les heures de brancardage, un véhicule de cérémonie, le déplacement kilométrique et bien sûr les frais administratifs pour arriver à 572,57 €, un vrai business mortuaire.
La chose la plus surprenante vient d’un devis que la famille a demandé à ces professionnels du funéraire. En effet, les parents de Parfait veulent faire rapatrier par la suite la dépouille de leur fils jusqu’au Cameroun, pays natal de la famille. « De Châlons à Reims, on nous demande 1.400 € alors que pour rapatrier le corps au Cameroun, c’est 5.200 €. C’est incompréhensible ! » Cette somme viendra s’ajouter aux 1.407,48 € de la première facture.
Pour aider la famille, deux associations du quartier Croix-Rouge où demeure la famille Ngome, Point Rencontre et l’Association des Travailleurs Marocains en France, ont décidé de s’unir mais surtout d’agir.
« La famille n’a pas la possibilité de régler cette somme, alors pour cela nous avons imprimé des affiches pour faire marcher la solidarité des habitants du quartier par le biais d’une collecte. » raconte Salah Byar, membre de l’association Point Rencontre et conseiller municipal de la ville de Reims.
Les amis de Parfait cherchent également une salle ou un gymnase pour pouvoir se recueillir tous ensemble en la mémoire de leur copain.
Parfait Ngome était un jeune qui s’investissait beaucoup dans le sport mais aussi dans sa passion de toujours : le rap. Il était membre d’un groupe connu à l’échelle de Reims qui avait pour nom « Scorcrym ». Avec celui-ci, il avait notamment participé à plusieurs reprises au festival Croix-Rouge s’affiche, où il s’était, de nombreuses fois, produit sur scène.
Thierry Accao Farias
Nous n’avons pas réussi à joindre la société funéraire concernée.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090224h
Numéro 7278 du 23 février au 01 mars 2009.
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement en date du 17/02/2009, le tribunal de commerce de REIMS a converti le redressement judiciaire en liquidation judiciaire de l’entreprise :
M. LEBLANC Philippe, 19 Groupe Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Peintre en bâtiment et rénovation.
R.C.S. : REIMS F 341 131 433 (2008 F 00014).
Ledit jugement a désigné :
Juge commissaire : M. Robert BOULEY.
Liquidateur : SCP DARGENT-TIRMANT-RAULET, en la personne de Maître Bruno RAULET, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Ledit jugement a fixé provisoirement la date de cessation des paiements au 16/09/2008.
72976
Le greffier : Bernadette DELPY.
Deux pistes sont à l’étude pour faire baisser les charges locatives dans le parc social. La première serait le transfert de la gestion des espaces verts à des entreprises d’insertion. Les locataires ne paieraient plus ce service, mais la note reviendrait aux contribuables.
La seconde passerait par une meilleure isolation des logements, mais surtout par un recours plus grand aux énergies renouvelables pour chauffer les logements. Ce qui aurait pour effet de faire passer la TVA de 19,6 % à 5,5 %.
Et donc de réduire le montant des charges d’autant…
La tour Taittinger, l’une des premières grosses destructions. Pour les prochaines, l’adjoint Eric Quénard (en médaillon) l’affirme : « Il y aura un réel suivi des locataires. »
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Élus et organismes logeurs rencontrent depuis peu les locataires concernés par les démolitions prévues dans le cadre des rénovations urbaines. Les habitants sont sceptiques et inquiets quant à leur relogement.
« LES loyers vont-ils être augmentés ? » ou bien « Va-t-on nous reloger dans d’autres taudis ? » ou encore « Et si on ne veut pas partir, que vont-ils faire ? » Autant de questions que se posent les habitants de divers quartiers rémois, concernés par les relogements après démolition de leur logement, dans le cadre de l’action engagée par l’agence nationale de rénovation urbaine (ANRU).
En effet, les habitants sont sceptiques quant à la façon dont leur organisme va gérer la problématique du relogement. Certains habitants du quartier Wilson ont déjà vécu cette situation. « J’habite aujourd’hui à Croix-Rouge, avant j’habitais à Wilson près du Lidl. Un jour on nous a dit que notre bloc allait être démoli. On nous a proposé des logements dans le Wilson tout neuf mais avec un loyer plus cher de 300 euros. Du coup, vu que financièrement cela était impossible, j’ai dû accepter un logement à Croix-du-Sud » explique cet homme, père de deux enfants.
« Je suis seule avec plusieurs gosses et lorsqu’on nous a déplacés, l’office HLM ne nous a proposé que des quartiers comme Croix-Rouge ou Orgeval et jamais un beau quartier comme Murigny. Ce n’est pas normal mais on ne peut rien y faire. Aujourd’hui j’ai demandé à déménager mais on me répond que le logement que j’occupe correspond exactement à ma situation. En gros, pauvre, seule, avec des gosses veut dire habiter dans un logement dégueulasse », raconte Marie, mère au foyer.
Dans le secteur universitaire de Croix-Rouge, plusieurs immeubles vont être démolis, les habitants s’étonnent du manque de communication dont fait preuve Reims Habitat. « Ça commence mal, j’ai appris que mon immeuble allait disparaître, non par un courrier officiel, mais par un voisin qui a assisté à une réunion publique entre habitants élus et office HLM. Une chose est sûre, je ne bougerai pas d’ici pour aller dans un quartier du même genre. Je veux un pavillon et rien d’autre » affirme un locataire du 49 Eisenhower.
Elles consistent à expliquer aux habitants comment les organismes logeurs vont procéder aux relogements des personnes, qui résident dans ces immeubles qui vont disparaître. Elles ont aussi pour but de montrer aux locataires (par le biais d’un petit film et d’images de synthèse) le visage de leur futur quartier qui, d’après les termes des élus et des bailleurs, sera « résidentialisé ».
Alors que les travaux débutent et devraient prendre fin vers 2013, les locataires ont peur d’être déplacés comme des pions et que les propositions qui leur seront faites soient plus imposées que proposées.
« Nous serons à l’écoute des demandes et étudierons les souhaits des locataires, cas par cas » précisait Patrick Baudet, directeur de Reims Habitat aux locataires, lors d’une réunion publique. Cela n’est sans doute pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Thierry Accao Farias
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Un jeune homme a été tué et plusieurs de ses camarades blessés lors d’un terrible choc frontal survenu dimanche soir à 20 heures, sur la RD944, au niveau de Vaudemanges (notre précédente édition).
Saisis de l’enquête, les gendarmes de la compagnie de Châlons-en-Champagne ont refusé de communiquer la moindre information sur ce dramatique accident.
Nous savons cependant que la victime décédée est un Rémois de 20 ans, Parfait Ngomé. Étudiant en BTS à Charleville-Mézières, il habitait au quartier Croix-Rouge à Reims.
Avec plusieurs camarades, il s’était rendu à Châlons-en-Champagne dimanche après-midi pour participer à un tournoi de football entre amis, hors championnat. Le groupe revenait vers Reims à bord de cinq voitures lorsque le drame s’est produit en pleine ligne droite, de nuit, sous la pluie.
En l’absence de renseignements fournis par les gendarmes, les circonstances de la collision restent imprécises. Parfait Ngomé se trouvait à bord d’une voiture occupée en tout par cinq personnes. D’après ses amis, c’est un véhicule arrivant en sens inverse qui s’est déporté et a provoqué la collision. L’auto des Rémois a pivoté sur elle-même et s’est abîmée sur le bas-côté en limite du fossé, tandis que l’autre voiture s’immobilisait sur la chaussée. Elle était conduite par une femme dont nous ignorons l’identité. Elle aurait été blessée grièvement, mais sans perdre conscience, et a été évacuée vers le centre hospitalier de Châlons-en-Champagne.
Les camarades de l’étudiant rémois ont été blessés eux aussi. Si trois l’ont été légèrement, le quatrième, Aristide Mpoudi Mpoudi, 18 ans, était dans le coma dimanche soir, lors de son évacuation au CHU de Reims. Les secours ont mis plus d’une heure pour le désincarcérer. Hier après-midi, l’état de santé du jeune homme semblait évoluer favorablement selon les dernières nouvelles communiquées à sa famille. Lycéen à Reims, lui aussi habite Croix-Rouge où son ami Parfait Ngomé laissera le souvenir d’un jeune garçon sportif et aimant la musique. Il appartenait notamment à un groupe de rap.
F.C. et T.A.F.
Ce n’est qu’une hypothèse de travail, mais elle pourrait un jour devenir réalité. L’équipe de Mme Hazan réfléchit à la création d’un vaste campus universitaire à Croix-Rouge. Ce qui conduirait la fac des sciences, sinon l’IUT, à se relocaliser.
D’aucuns ont également imaginé de créer un nouveau campus ex nihilo, quand les militaires auront déserté la BA 112. Pourquoi pas. À deux nuances près. D’une part, il faut des sous d’État pour un projet d’une telle envergure, et donc, ce n’est pas gagné. D’autre part, voilà plus de vingt ans qu’on entend dire que les étudiants sont absents du centre-ville. Ce qui ne risquerait pas de les en rapprocher.
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À l’occasion de la semaine des maisons de quartier, l’année mondiale de l’astronomie s’invite dans les maisons de quartier de Reims du 20 au 24 avril prochains, avec plus de 25 structures : professionnels, bénévoles, salariés et adhérents. Cette sensibilisation à l’espace et aux sciences se déroulera en trois temps :
du 20 au 23 avril : sorties au planétarium, création de fusées à eau ou microfusées, expositions, spectacle… ouvert à tout public. La maison de quartier Croix-Rouge aménagera sa salle en navette spatiale et organisera une sortie à Oméga Sciences. Les maisons de quartier de Trois-Piliers et Val-de-Murigny proposeront une adaptation du Petit Prince. La maison de quartier Clairmarais créera une BD mangas autour du thème de l’astronomie…
Le 22 avril : les maisons de quartier Les Sources, Arènes du Sud et Châtillons organisent en collaboration avec le planétarium une sortie nocturne à l’observatoire de Beine-Nauroy.
Le 24 avril : tous les Rémois sont attendus au parc de Champagne de 13 h 30 à 18 heures, toutes les créations réalisées par les maisons de quartier seront exposées, de nombreuses animations seront exposées : projection de courts-métrages, initiation à l’astronomie, expériences diverses en partenariat avec le planétarium de Reims, les P’tits débrouillards, la maison de la nature, la maison de la science Hubert Curien, et l’association Accustica.
Une plaquette détaillée sera éditée début mars. Elle sera disponible dans les maisons de quartier, sur simple demande ou téléchargeable sur le site de l’association : www.maisondequartier-reims.fr Pour plus de renseignements ; contactez : association@maisondequartier-reims.fr ou au 03.26.35.32.50.
Durant cette semaine, des visites seront proposées à l’observatoire de Beine-Nauroy.
Lors d’un contrôle avenue du Général-Bonaparte, les policiers ont mis la main sur un jeune homme de 20 ans qui faisait l’objet de deux extraits de jugements : trois mois ferme pour drogue et port d’arme prohibé.
Pas très content à l’idée de partir en prison, il s’est rebellé mais force est restée à la loi.
Résultat des courses : le jeune homme, écroué pour purger ses précédentes affaires a fait ; l’objet d’une nouvelle procédure pour rébellion.
Dénomination sociale : ENERGIE CONSEIL
Forme sociale : E.U.R.L.
Siège social : 10, allée Edgar-Degas, 51100 Reims.
Capital social : 1 euro.
Objet social : Conseil commercial,.
Durée : 99 ans.
Gérant : GHANNOU Driss, 10, allée Edgar-Degas, 51100 Reims.
La société sera immatriculée au R.C.S de Reims.
Pour avis
L’association de promotion de Pays-de-France organise salle municipale Croix-Rouge, sa galette des rois dimanche 1er mars à 14 h 30, dans une ambiance danse portugaise.
L’association Croix-Rouge animation et promotion organise son assemblée générale vendredi 6 mars à 20 heures, 11 avenue du président-Kennedy, salle Acrap.
L’association de locataires des Polygones réunit la sienne jeudi 19 mars à 18 h 30 dans l’ancienne école de la rue Alphonse-Daudet.
L’association de locataires At’Hom fera de même vendredi 20 mars à 18 h 30 à la Maison de Quartier Watteau.
En partenariat avec Djaz51 , le collège François-Legros (2, rue François-Legros) organise une journée « slam » lundi 9 mars de 10 à 12 heures et de 13 h 45 à 16 h 45.
Les marcheurs de Croix-Rouge ont le choix : une randonnée journée, dimanche 8 mars, départ à 7 h 15 à l’espace Watteau : au choix, « Les dames de Meuse » (14 km) ou « La boucle des Sept-Roches » (11 km), une sortie nature bol d’air, vers Fère-en-Tardenois (Départ à 9 heures dimanche 15 mars, à l’espace Billard) ou une randonnée matinée, dimanche 29 mars, départ à 8 h 15 à l’espace Watteau : au choix, « Rilly-la-Montagne » (11 km) ou « Hautvillers » (13 km).
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Véritable entité du quartier Croix-Rouge, le festival « Croix-Rouge s’affiche » a lieu tous les ans depuis plus de quinze ans dans cet immense quartier, petite ville dans la ville, avec ses quelque 20.000 habitants.
Il était organisé à l’époque par un collectif d’associations, puis piloté par la maison de quartier Croix-Rouge lorsque les centres sociaux et les MJC ont fusionné. Au fil des années, il a pris une certaine ampleur et par la même occasion, est devenu un événement incontournable pour les habitants. Sorte de vitrine culturelle de toutes les activités que proposent les diverses associations du quartier, le festival est aussi un lieu de rencontres, d’échanges et d’informations.
La version 2009 se déroulera du 20 au 28 mai avec quelques changements par rapport aux précédentes éditions. « Ce qui ne serait vraiment pas cool, ce serait de ne plus voir les concerts d’ouverture. Depuis quatre ou cinq ans, les chanteurs qui viennent sont des stars internationales du Raï. Franchement, je sais que la personne qui ramenait ces chanteurs n’est plus là, j’espère que nous ne serons pas déçus par la programmation de cette année. », explique Mehdi, un jeune habitant du quartier.
Le concert d’ouverture aura bel et bien lieu cette année et sera même proposé sur deux jours. Avec le premier soir, un groupe de variété de la région en première partie et en tête d’affiche Hakim et Mouss, deux anciens du groupe Zebda, un genre de musique qui ressemble plus à du Ska qu’à du Raï.
La deuxième soirée proposera une première partie avec un groupe membre du réseau Pole Sud ou bien la prestation d’un groupe amateur local. La tête d’affiche de cette seconde soirée serait un groupe régional du nom de Casareccio, qui propose de la musique du monde.
D’autres concerts seront proposés notamment dans le centre-ville où un créneau sera réservé à de jeunes artistes du quartier dans un autre événement intitulé « Rémois et moi et toi » organisé par la Ville.
Pour 2009, le théâtre sera aussi de la partie. Une première initiative avait été introduite dans l’édition de l’an dernier en partenariat avec le Crous et le festival « Brut de scène ». Huit spectacles seront proposés tout au long de cette semaine festive.
Une création sous forme de spectacle sera organisée, orchestrée par José Mendes, avec des jeunes issus de plusieurs quartiers rémois. Une comédie musicale autour de la tolérance avec pour histoire de base « le vilain petit canard » sera présentée au public par l’école Provençaux. Les élèves ont travaillé toute l’année scolaire pour préparer ce spectacle.
Le coût total du festival est estimé à 102.000 euros. « La somme réelle dépendra des financeurs. L’an dernier, le festival avait été budgété à 10 5.000 euros, mais nous n’en avions eu que 95.000. Tout va dépendre du financement, si on a moins nous devrons faire des modifications », précise Yves Pringault, directeur du Festival.
Espérons que ces petits changements dans l’édition 2009 de Croix-Rouge s’Affiche plaisent au public, et qu’une nouvelle fois le reste de Reims puisse voir la richesse artistique que compte cette immense quartier.
Thierry Accao Farias
Le Collectif rémois Slam Tribu (Didier, Gipsy, Selecta Seb, Laurent Etienne.com, Barcella, M’sieur Dam et Mirko) a été choisi pour coordonner cette édition 2009 de la Nuit du slam.
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Les amoureux de la langue de Molière ont rendez-vous le 14 mars pour la Nuit du slam, organisée dans le cadre de la semaine de la langue française. Au programme : scènes ouvertes, tournois de poésie, créations originales…
ON ne présente plus le slam, cette poésie orale débarquée en France dans les années 90. L’idée : dire un texte de son cru devant un public ou un jury. La liberté d’expression et la mixité sociale et littéraire sont de rigueur.
En quelques années, la discipline a fait son nid à Reims et compte de plus en plus d’adeptes. Elle a colonisé les bars, les écoles, les bibliothèques… Mais le 14 mars, c’est toute la ville qui vivra au rythme des vers grâce à la Nuit du slam, deuxième du genre, organisée pour la première fois dans la cité des sacres.
….
En entrée…
Mercredi 4 mars : à 18 heures à la Cartonnerie, 84, rue du Dr-Lemoine, dans le cadre des Mercredis du kiosque, projection du film « Slam » de Marc Levin et rencontre avec Slam Tribu (dans le cadre de la résidence du Collectif Slam Tribu et en partenariat avec l’association La Pellicule ensorcelée).
Lundi 9 mars : de 18 à 20 heures, à la bibliothèque universitaire campus Croix-Rouge, atelier d’écriture slam en langues étrangères pour étudiants Erasmus par Danny Sherrard, Américain, champion du monde 2008.
Mercredi 11 mars : de 18 à 20 heures au centre culturel du Crous, campus Croix-Rouge, atelier d’interprétation slam en langues étrangères pour étudiants étrangers par Danny Sherrard.
…..
L’Association Afrique Conseil, animée par des psychologues formés à l’aspect interculturel, organise dans le quartier Croix-Rouge des groupes de parole ouverts aux parents et aux jeunes.
« Ces rencontres ont pour objet de soutenir les parents dans leur mission éducative, leur donner des repères sur les étapes du développement psychologique de leurs enfants, leur donner la parole afin qu’ils évoquent leurs difficultés, leurs réussites éducatives, aider les adolescents à se réconcilier avec eux-mêmes ou avec leurs parents », précise Rose Sita, l’une des animatrices.
Les réunions se déroulent à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, rue du docteur-Billard), le dernier mardi du mois : 24 février, 31 mars, 28 avril, 26 mai et 30 juin, de 18 à 20 heures. Renseignements au 06.61.50.03.30. (Entrée libre).
Les habitants de l’avenue Eisenhower n’ont toujours pas la possibilité de faire le tri de leurs déchets.
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À Croix-Rouge, dans le secteur de La Rafale, Reims Habitat n’a toujours pas mis en place la collecte sélective. Rencontre avec les habitants de ce quartier qui n’hésitent pas à donner leur avis.
« CELA serait une bonne chose, mais je pense que ça va être difficile à mettre en place car il faudra que beaucoup revoient leur éducation. De nombreux locataires font preuve d’incivilités », explique une locataire de la cour Eisenhower.
Effectivement, le secteur universitaire du quartier Croix-Rouge, plus familièrement connu sous le nom de la Rafale, est le seul secteur de cet immense quartier rémois qui ne dispose pas de collecte sélective.
« Pour l’environnement ce serait très bien, en plus cela serait aussi positif pour l’éducation des enfants pour le respect de l’environnement. Mais je ne vois pas comment ils pourraient mettre la collecte sélective dans des tours de 13 étages. Ce qui existe est déjà très bien mais ce n’est pas très écologique », précise Gaëlle qui habite sur l’esplanade Eisenhower.
D’autres se disent que même si l’organisme logeur met en place une collecte, ils ne savent pas encore s’ils la respecteront.
« Lorsque l’on voit notre dernière quittance de loyer qui affiche plus de 15 euros de taxe d’enlèvement d’ordures ménagères, on verra bien, mais honnêtement beaucoup ne vont pas, excusez-moi du terme se faire « chier » avec le tri sachant qu’ils donnent déjà autant à l’Opac » raconte Jean-Claude, un autre habitant du quartier.
Actuellement, chaque pallier dispose d’un « vide ordure » dans lequel seuls les plus petits sacs-poubelle (environ 10 L) passent. Donc pour des sacs plus gros, il y a au sous-sol de chaque immeuble un local où une benne à ordures est entreposée sous une trappe. Le problème c’est que les locataires n’hésitent pas à cumuler les encombrants au pied de cette trappe : on y voit régulièrement de vieux canapés, frigos ou tout autre objet destiné normalement à être emmené à la décharge.
« C’est sûr que cela fait sale, mais Reims Habitat ne cherche pas à nous mettre des grosses bennes à encombrants. Ils n’en ont rien à faire. Ils laissent les gens dans leur merde. On serait dans le centre de Reims ! La chanson ne serait sans doute pas la même… », ajoute cet autre locataire. « J’habite un immeuble de la rue Pierre-Taittinger. Il y a un semblant de travaux qui a commencé mais honnêtement, est-ce que les gens vont se mettre au tri ? J’en sais rien du tout. J’ai de la famille qui habite allée des Picards à Pays de France (autre secteur du quartier Croix-Rouge). Dans leur immeuble, quasi-personne ne respecte le tri. Ici les gens feront la même chose », constate Franck, qui habite en face du centre commercial de l’Hippodrome.
Les avis divergent donc en ce qui concerne la mise en place de la collecte sélective. Certains sont pour, d’autres contre. Ce qui ressort beaucoup de ces témoignages c’est la difficulté des relations entre l’office logeur Reims Habitat et les locataires du quartier.
Que ce soit sur le problème du tri ou sur d’autres, les deux parties ont du mal à être entièrement d’accord. Dur, dur le relationnel…
Thierry Accao Farias
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Hervé Payen, responsable de la succursale « Croix-Rouge » de Reims Habitat apporte quelques précisions et explique qu’un test grandeur nature va être fait :
« Des travaux sont en cours rue Pierre-Taittinger. La mise en place de deux trappes, une verte et une jaune. Ce sera un test pour l’extension dans tout le secteur. Il faudra aussi que les locataires se fassent violence et qu’ils fassent aussi preuve de responsabilité. Mais la mise en place du tri peut inciter au civisme. Plusieurs solutions sont en études en partenariat bien sûr avec Reims Métropole »
Reims Métropole, semble d’accord avec le bailleur de ce sous-quartier de Croix-Rouge et raconte d’où vient le problème de la mise en place de la collecte sélective.
« L’origine des problèmes vient de la configuration des installations. Le vide-ordures est une vraie catastrophe pour la collecte sélective des déchets. Ce qu’il faut savoir aussi que le refus de tri coûte une fortune à la collectivité, sur ce secteur nous avons déjà tenté des choses. Nous allons relancer cela ! », précise Emmanuel Debaty, directeur déchets à Reims Métropole.
T.A.F.
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Les chiffres de la collecte sélective présente globalement de bons résultats l’échelle de l’agglomération rémoise.
En moyenne 53 kg de déchets recyclables sont déposés dans le bac de chaque habitant contre 40 kg au niveau national pour un habitat équivalent.
Par contre en ce qui concerne les foyers des logements collectifs, les résultats semblent être décevants dans certains quartiers rémois. Pour remédier à ce problème, Reims Métropole a signé lundi dernier, une convention de partenariat avec l’association Unis Cité. Huit volontaires de cette association vont s’employer durant une vingtaine de jours pour sensibiliser les habitants au geste et à l’importance du tri des déchets.
« Cette action est menée en collaboration avec Eco emballage. Ces huit volontaires vont aller à la rencontre des habitants dans des quartiers comme Croix du Sud et Châtillons la ou le geste du tri n’est pas totalement acquis », explique Emmanuel Debaty, directeur déchets à Reims Métropole.
Selon Reims Métropole à Croix-du-Sud, seul un emballage sur cinq peut être recyclé d’où des resultats mitigés dans le quartier : la collecte du bac jaune dans ce quartier à l’habitat collectif ne représente environ que 7 kg par an et par habitant. À l’échelle de la ville et de l’agglo depuis la fin du mois de janvier une nouvelle campagne a été mise en place. Ce sont 80.000 nouveaux guides de collectes qui seront distribués dans les boîtes aux lettres des habitants.
Ce nouveau guide rappelle toutes les principales consignes concernant le tri des déchets ménagers.
De plus ce guide est aimanté pour que les habitants puissent le coller sur leur frigo afin d’avoir toujours ce petit guide devant leurs yeux, pas bête à Reims Métropole.
T.A.F.
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« Oui, je trouve qu’à Reims c’est facile.
A Croix-Rouge, où je réside, nous avons les poubelles jaunes qui sont vidées le matin et qui sont régulièrement désinfectées au jet de vapeur deux fois par mois.
Mais, à Croix-Rouge, toutes les rues ne sont pas équipées. »
« Pas pour tout le monde, puisque, là où j’habite, groupe Eisenhower, nous ne sommes pas encore équipés.
On ne peut pas trier convenablement car nous n’avons qu’un vide-ordures en commun, et pas de ramassage : nos déchets tombent dans une benne collective.
Les seuls dispositifs à notre service sont des bennes publiques pour les encombrants. »
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Les réunions de présentation du Croix-Rouge 2008/2012 se suivent et ne se ressemblent pas. Ainsi, après le secteur Croix-du-Sud (l’union du 17 février), où l’ambiance était plutôt détendue, avec de nombreux applaudissements, la réunion consacrée mercredi 18 février au secteur Pays-de-France fut tendue, jusqu’à l’explosion finale au moment des questions diverses.
Christophe Villers, directeur général du Foyer rémois, a décrit les transformations qui attendent le secteur dans les années à venir, un renouvellement en profondeur : réhabilitations, démolitions, nouvelles constructions, nouveaux espaces verts et publics, recomposition des ilôts d’habitation, implantation systématique de commerces tout le long de la ligne de tramway pour animer le quartier, dans la continuité de l’université et de Croix-du-Sud.
158 logements détruits
Quelques chiffres : 530 logements seront fortement réhabilités avec isolation thermique poussée et réfection des installations sanitaires et de chauffage, 158 logements seront détruits (1 Picards, 7 Limousins, 12 Provençaux, 2 et 4, Bourguignons), 265 logements neufs seront construits, le Cref va disparaître mais sera réimplanté ailleurs avec une nouvelle Maison de quartier, la passerelle du centre commercial Pays-de-France sera détruite en deux phases et les parkings G8, G9A, G11 et G10 seront détruits.
Les loyers ? Exemples à l’appui, Jean-Denis Meige (Foyer rémois) a expliqué que 30% des relogés verront une baisse de quittance.
Pour les autres, il y aura augmentation pouvant aller, dans les cas extrêmes, jusqu’à 316 euros. Mais, dans le même temps le Foyer rémois assure que les charges chauffage baisseront jusqu’à 30% !
Le stationnement ? En même temps que les phases de démolition, « nous allons veiller à proposer à minima une place gratuite à chaque locataire au plus proche de sa cage d’escalier. »
La concertation va devenir intense : « vous allez nous voir, on va vous rencontrer cage d’escalier par cage d’escalier, attendez-vous à des rencontres avec tous les locataires avant septembre 2009 ! »
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Les questions diverses permettent en général l’expression profonde des habitants. Ce fut encore le cas ici avec de nombreuses interventions.
Beaucoup se plaignent des ascenseurs qui tombent en panne. Malgré l’affirmation de M. Villers « le Foyer rémois va intervenir sur les 60 ascenseurs du parc de Pays-de-France », M. Pelletier (14, Bourguignons) ironisait : « Pour les ascenseurs, vous auriez mieux fait d’investir dans des escaliers ! »
Sur la vie de tous les jours des habitants, après une série de cambriolages aux Bourguignons, une locataire demandait des portes sécurisées et une meilleure écoute.
Mme Marandon (association de locataires) en a « marre de payer des prestataires de services, comme le ménage, qui mériteraient de sacrées pénalités ». Quant à Sonia Royer, elle a décrit de façon émouvante les conditions de vie apocalyptiques des locataires du 17 Bonaparte, suppliant M. Villers de faire quelque chose d’urgence.
Les gros problèmes des personnes âgées ou handicapées, entre l’absence de rampes d’accès d’une part et l’insécurité des ascenseurs d’autre part, ont été plusieurs fois évoqués.
Enfin, Alain Polliart, fondateur de l’association de locataires de Pays-de-France a explosé avec un réquisitoire implacable fortement applaudi : « Je suis submergé par cette séquence de « cinéma ». Le Foyer rémois ne peut pas être en panne tout le temps ! Face à l’énorme attente des habitants, il faut arrêter le silence et le mensonge. Il y en a assez de la participation symbolique et manipulée ! Vous ne donnez pas assez d’informations sur l’eau froide, l’eau chaude, l’isolation, le chauffage, les radiateurs, les infiltrations, les charges et l’amélioration de l’existant ! Prenez garde que l’attente des habitants ne devienne pas une désespérance ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Vous ne savez pas quoi faire de vos enfants pendant les vacances ? Pas de problème. Pendant deux semaines, de nombreuses animations pédagogiques sont proposées.
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Du 3 au 28 mars la médiathèque Croix-Rouge propose des œuvres de Frédérique Bertrand.
L’exposition réunit des planches originales en peinture acrylique, crayon et collages des albums T, Les petits héritages, Les goûts d’Olga, Pierre et l’ours, Le vieil ogre, Le conte du prince en deux ainsi que des créations en volumes, réalisées par l’illustre Frédérique.
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En haltérophilie, l’équipe minime du collège François-Legros s’est imposée dans les Inter Acad disputés à Berck.
Cette large victoire devant l’établissement local qualifie les Rémois en troisième position pour la finale nationale à Toulon (30 mars).
L’association de promotion de Pays-de-France organise son repas dansant annuel pour les personnes âgées.
Il aura lieu samedi 28 février à 12 h 30, salle municipale Croix-Rouge, avenue François- Mauriac.
Par ailleurs, la traditionnelle galette des Rois sera tirée dans la même salle le lendemain dimanche 1er mars à 14 h 30, avec une ambiance « danse portugaise ».
Inscriptions auprès de la présidente Christiane Monflier (permanence mardi et vendredi de 14 à 17 heures au local associatif 5, allée, des Picards), ou par téléphone au 03.26.86.16.87. ou au 06.31.61.16.10.
1- Pouvoir adjudicateur :
1.1 Identification du pouvoir adjudicateur :
Région Champagne-Ardenne, service ingénierie, 5, rue Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex, http://www.cr-champagneardenne.fr - https://marchespublics.cr-champagne… tél. 03.26.70.31.74, fax 03.26.70.88.97.
1.2 Adresse auprès de laquelle des renseignements techniques peuvent être obtenus :
Cabinets d’architectes RTR, Frédéric METRICH, 25 ter, rue du Jard, 51081 Reims cedex, tél. 03.26.07.22.77, fax 03.26.77.97.06.
Mail : rtr.architectes@wanadoo.fr
1.3 Adresse auprès de laquelle le cahier des charges peut être obtenu :
Région Champagne-Ardenne, service ingénierie,
5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex,
tél : 03.26.70.31.74, fax : 03.26.70.88.97.
Le dossier est téléchargeable sur la plate-forme de dématérialisation, à l’adresse internet suivante : https://marchespublics.cr-champagne...
1.4 Adresse à laquelle les offres ou demande de participation doivent être envoyées :
Région Champagne-Ardenne,
à l’attention de Monsieur le Président, service ingénierie,
5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex,
https://marchespublics.cr-champagne…
2- Objet et caractéristiques du marché :
2.1 Objet du marché : lycée Joliot-Curie à Reims, réfection de l’étanchéité des internats et logement de fonction et remplacement des menuiseries de l’externat.
2.2. Type de marché : travaux.
2.3 Lieu d’exécution : 4, rue Joliot-Curie à Reims.
2.4. Nomenclature C.P.V. : 45214220-8.
2.5. Couverture par l’accord sur les marchés publics : oui.
2.6. Division en lots : une tranche et 2 lots.
- Lot 1 : étanchéité. C.P.V. : objet principal : 45261420-4.
- Lot 2 : menuiseries extérieures aluminium. C.P.V. : objet principal : 45421000.4.
Les candidats ont la possibilité de soumissionner pour un ou plusieurs lots.
2.7. Variantes, options : la proposition de variantes est autorisée. Le marché comporte des options définies dans le C.C.T.P.
2.8. Durée du marché : délai d’exécution : 6 mois.
3. Renseignements d’ordre juridique, économique, financier et technique :
3.1. Modalités essentielles de financement et de paiement : financement par ressources propres inscrites au budget de la région. Paiement à 45 jours par virement administratif.
3.2. Conditions de participation : les candidats produiront un dossier de candidature complet comportant les documents suivants dûment complétés :
3.2.1. Situation propre des opérateurs économiques :
- Copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire.
- Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner.
- À titre pratique, le candidat remettra le formulaire DC5 (version octobre 2008) dûment complété et le formulaire DC4 en cas de groupement momentané d’entreprises.
3.2.2. Capacités économique et financière :
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du marché réalisés au cours des 3 dernières années.
3.2.3. Capacité technique :
- Déclaration indiquant les effectifs moyens du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des 3 dernières années.
- Présentation d’une liste de travaux exécutés au cours des 5 dernières années.
- Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose.
- Certificats de qualification ou références équivalentes.
4. Procédure :
4.1. Type de procédure : procédure adaptée.
4.2. Critère d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères et de la pondération suivante :
- Valeur technique : 60 %.
- Prix : 40 %.
4.3. Avis de pré information au JOUE : non.
4.4. Date et heure limites de réception des offres : 13 mars 2009 à 16 heures.
4.5. Langue : tous les documents devront être rédigés en langue française.
4.6. Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
5. Renseignements complémentaires :
5.1. Prodécure de recours :
- 5.1.1. Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne.
- 5.1.2. Introduction des recours :
- Référé précontractuel avant la signature du marché.
- Recours pour excès de pouvoir dans un délai de 2 mois.
5.2. Date d’envoi du présent avis : 16 février 2009.
51AO1636282
L’hebdo du vendredi- n° 112 - 090219e
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 112 - Semaine du 20 au 26 février 2009
Veillées artistiques
La Cie Hendrick Van Der Zee achève son parcours au quartier Croix-Rouge où elle réside depuis le 5 février par deux représentations ce vendredi 20 février à 18h et 20h30.
Elle donnera au Gymnase Géo André deux représentations des « Veillées ». « Une Veillée, c’est aller à la rencontre des gens par tous les moyens, cirque, danse, théâtre, vidéo… la compagnie donne rendez-vous aux habitants pour une soirée, un film, un spectacle dont la ville et sa population sont le personnage principal. »
VENDREDI 20 FÉVRIER : Art dans la ville : « Les veillées »
La compagnie HVDZ réalise des interventions poétiques et documentaires inspirés du monde tel qu’il va, de la mémoire des gens et des lieux. Ainsi, « Les veillées » voient une équipe sillonner un quartier, pour intervenir artistiquement et apprendre des habitants.
Rendez-vous est donné pour un spectacle dont le quartier Croix-Rouge est le personnage principal !
A 18h et 20h30 – Entrée libre sur réservation Rens. auprès du Manège au 03 26 47 30 40 Gymnase Géo André, avenue François Mauriac
JUSQU’AU 28 FÉVRIER : « Autre peau/Autre ville »
Un projet artistique réalisé par Armelle Blary avec les habitants, autour de la démolition de 4 immeubles du quartier Croix-Rouge.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar
Il y a quelques jours, un homme connu pour avoir des problèmes psychiatriques s’est rendu dans les locaux de la circonscription de solidarité départementale, rue Jean-Louis-Debar, où il a proféré des injures raciales et sexuelles à l’encontre d’un médecin originaire d’Afrique Noire. Il a ensuite pris à partie le chef du bureau. Des menaces de mort ont volé, ainsi que la promesse d’incendier le local.
Interpellé par les policiers, l’homme, âgé de 35 ans, fut trouvé en possession d’un « joint » de cannabis. D’après ses déclarations, il était très énervé car il attend depuis 2006 l’obtention d’un dossier de fond social de logement. Jugé en comparution immédiate, il a été condamné à six mois de prison assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant une obligation de soins psychiatriques.
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Dans le cadre des travaux de déviation de réseaux liés à la mise en place de la plateforme du tramway, des habitants de l’agglomération de Reims constateront des perturbations de l’alimentation en eau potable :
A compter du 23 février et jusqu’au 6 mars, des baisses de pression d’eau potable.
Le mardi 24 février, de nuit, de 23 heures à 6 heures, une interruption de la distribution d’eau potable.
Reims Métropole a pris toutes les dispositions nécessaires pour que la gêne momentanée soit la plus réduite possible.
Un courrier d’information a été diffusé ces jours-ci aux habitants concernés.
Pour tout renseignement, un Numéro Vert est à la disposition du public, du lundi au vendredi, de 7 à 20 heures (0.800.10.872).
De plus, le site Internet : wwww.reims.fr peut être consulté.
Un conseil aux usagers : la remise en eau pouvant s’effectuer à tout moment, il est conseillé aux usagers de vérifier la fermeture de leurs robinets avant qu’ils ne s’absentent.
…
Quelques autres consommateurs se sont fait prendre. Lundi vers 18 h 45, à la vue des agents, un garçon de 20 ans a filé dans les étages d’un immeuble du groupe Eisenhower.
Il a été retrouvé au cinquième alors qu’il se débarrassait de « quelque chose » dans une armoire technique. Il s’agissait d’un joint et d’un morceau de résine (3,2 grammes).
Arrêté la veille pour des faits similaires, avec classement de la procédure sous condition, il s’est vu remettre cette fois-ci une convocation à l’audience correctionnelle du 5 mai.
…
L’association Eza-Reims (association des entreprises de la zone franche urbaine Reims) tient à la disposition des commerçants et artisans des zones urbaines Wilson, Croix-Rouge, Les Chatillons, Orgeval, Les Epinettes un dossier explicatif sur les aides directes qui peuvent être attribuées dans le cadre du dispositif Fisac-ZUS (Ville de Reims, maître d’œuvre).
Il peut s’agir de projets de modernisation de l’outil de travail, de rénovation de vitrines, d’équipements de sécurité, d’aménagement d’accessibilité … L’aide représente 40 % du coût Hl des investissements qui seront retenus avec un maximum de 20.000 euros HT. www.eza¬reims.fr.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090218h
Numéro 7277 du16 au 22 février 2009.
1. Identification de la collectivité qui passe le marché
VILLE DE REIMS
Place de l’Hôtel de Ville
51096 REIMS Cedex
Personnes responsables du marché : Madame la Maire ou M. AUGER, Directeur Général des Services Techniques.
2. Mode de passation
Marché à procédure adaptée, conformément à l’article 28 du Code des Marchés Publics.
3. Objet
Le présent marché a pour objet les travaux de remplacement des installations de génie climatique de l’école maternelle « Les Auvergnats » à Reims
La durée d’exécution des prestations est fixée à 3 mois, dont 1 mois de préparation de chantier, à compter de la notification de l’ordre de service prescrivant le commencement d’exécution.
Le marché de travaux sera conclu à prix global forfaitaire.
4. Obtention du DCE
Le DCE sera remis gratuitement à chaque candidat qui en fera la demande à la Ville de Reims - Direction Générale des Services Techniques – Service des affaires administratives - 51096 REIMS cedex – bureau 110 – tél : 03-26-77-73-47 – fax : 03-26-77-73-50.
Dispositions relatives à la dématérialisation :
Les candidats ont la possibilité de consulter et d’archiver sur leur ordinateur le dossier de consultation des entreprises (DCE) dans son intégralité.
Pour réaliser ces actions, candidats devront se connecter, via internet, à l’adresse suivante : http://www.marchespublics.reims.fr
Un « mode d’emploi utilisateurs, fournisseurs » est mis à la disposition des candidats sur le site dans la rubrique « aide ».
Lors du téléchargement des documents, le candidat doit notamment indiquer, son nom ou raison sociale, le nom de la personne physique téléchargeant les documents ainsi qu’une adresse électronique (courriel). Toutes ces indications lui permettront de bénéficier de toutes informations complémentaires diffusées au cours de cette procédure, en particulier les éventuelles précisions. La remise dématérialisée des candidatures et des offres n’est pas autorisée.
5. Date limite de réception des offres : le 24 mars 2009 à 17 h
Les offres sont à envoyer par la poste en recommandé ou à remettre contre récépissé à la Ville de Reims – DGST Service des Affaires Administratives - bureau 110 – 51096 REIMS Cedex
6. Conditions d’envoi des offres
Sous enveloppe cachetée portant la mention "NE PAS OUVRIR" Consultation « Ecole « les Auvergnats » remplacement des installations de génie climatique- VM5-F-09-03 ». Cette enveloppe devra contenir l’offre du prestataire ainsi que l’ensemble des justificatifs visés à l’article 3.2 du règlement de consultation
7. Critères de jugement des offres
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères pondérés suivants :
1) Prix : 60%
2) Valeur technique : 40 %
8. Renseignements complémentaires :
Service Génie Climatique et Economies d’Energie
M. Loic LEGROS
Tél : 03.26.77.73.38
Les candidats devront OBLIGATOIREMENT visiter le chantier. Ils devront prendre rendez-vous avec M. LEGROS au moins 7 jours avant la date de remise des offres.
9. Date d’envoi à la publication du présent avis : 10/02/2009
Le Directeur Général des Services Techniques
Jean-Pierre AUGER
GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement en date du 10/02/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’égard de :
EURL CYBER-DYC, 12 place Maurice Utrillo - 51100 REIMS.
Activité : Vente de minutes de connexion Internet et de taxiphone. E-commerce, exploitation licence I. R.C.S. REIMS B 499 893 170 (2007 B 00555).
Ledit jugement a nommé Mandataire judiciaire : Maître DELTOUR François, mandataire judiciaire, 3, rue Noël - 51100 REIMS.
Les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du mandataire judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
72830 Le greffier : Bernadette DELPY.
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement en date du 10/02/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
SARL IDEAL VÉRANDA, 53 Esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité Etude, conception. réalisation, commercialisation, négoce de composants servant le bâtiment. R.C.S. : REIMS B 503 933 426 (2008 B 00336).
Ledit jugement a désigné :
Juge commissaire : M. Maurice BENOIST.
Liquidateur : Maître DELTOUR François. mandataire judiciaire, 3 rue Noël - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé , dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
72814 Le greffier : Bernadette DELPY
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Samedi 21 février à 14h 30, le Centre national de création musicale Césaré propose une conférence-concert de Christian Sebille à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar (entrée libre).
À partir de pièces musicales pour voix, instruments et dispositif de diffusion et de transformation sonore, et dans la droite ligne de Luc Ferrari (groupe de recherche musical de l’INA), le compositeur rémois Christian Sebille capte des sons dans des villes du monde et à partir du matériel recueilli, il compose des pièces électroacoustiques ou mixtes (avec électronique et instruments).
« Je vous propose de partager les processus que je mets en place pour écouter le monde, débusquer des matières sonores, des rythmes, des mélodies … puis, à partir de modèles, je vous présenterai comment je réinvente un univers sonore et musical » explique-t-il.
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Sélectionné pour organiser le troisième volet du Tournoi de France, le Reims Acrap Patinage s’est affirmé sur ses terres. Mieux encore, les filles de Ludivine Lemaire ont décroché la troisième place à l’issue du week-end.
Septièmes puis cinquièmes en décembre à Épinal, les Rémoises sont en progression constante. De quoi ravir l’entraîneur du Rap. « Je suis fière d’eux. Tout le monde s’est entraîné à fond pour défendre les couleurs du club et les résultats sont excellents. » À tel point que même les grosses écuries telles que Saint-Gervais, Lyon ou encore la région parisienne se retrouvent loin derrière au classement, Belfort (1er) et Besançon (2e) tenant leur rang.
En solos, si Solène Manceaux (stress) n’a pu confirmer sa victoire dans les Vosges, Camille Renault (Bronze 2) et Mélanie Carrié (Pré-Bronze 1) ont justifié les espoirs placés en elles en s’adjugeant la plus haute marche du podium de leurs catégories respectives.
Autres performances, celles de Juliette Wary et de Renan Manceaux. Les Rémoises se sont installées aux 2e et 3e rangs des Pré-Bronze 2. Des résultats plus que motivants pour Ludivine Lemaire et les siens qui comptent bien ne pas s’arrêter en si bonne voie. « Désormais, nous avons deux objectifs importants. Le premier sera de tout faire pour organiser des championnats de France la saison prochaine. Le second sera d’obtenir le label « École Fédérale » qui nous permettrait d’obtenir des créneaux horaires d’entraînements plus adéquats. Mais pour le moment, nous savourons notre week-end. »
Alan de Silvestri
Classement par points : 1. Belfort, 154 ; 2. Besançon, 119 ; 3. Reims, 93 ; 4. Dijon, 70 ; 5. Epinal, 56 ; 6. Villard de Lans, 44 ; Lyon, 34 ; Saint-Gervais, 33 ; 9. Evry, 16 ; 10. Cergy, 8 ; 11. Annecy, 7 ; 12. Rennes, 5 ; Meudon, 1.
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« Après ses stages en cuisine de collectivité au collège François-Legros puis en boulangerie au Fournil Sainte-Anne, son certificat de formation général en poche, cet ancien élève de notre atelier cuisine a obtenu son CAP de charcutier-traiteur en deux ans au CFA de Châlons-en-Champagne. À 19 ans, il prépare maintenant un CAP de boulanger-pâtissier ! » apprécie Yolande Dupuis, son ancien professeur.
« Son maître d’apprentissage est un boulanger de Ludes où il se rend tous les jours à scooter dès 4 heures du matin ! On peut le féliciter pour son courage et sa motivation ! »
Maxime Bertrand a de l’ambition et son projet d’avenir est réfléchi : « J’aimerais bien plus tard tenir ma propre boulangerie-pâtisse- rie ! ». Souhaitons-lui bonne chance !
Maxime Bertrand, un bel exemple de ténacité pour les collégiens.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Les Français ne sont guère polyglottes. Aussi, en janvier dernier, le ministre de l’Éducation, Xavier Darcos a-t-il « suggéré » aux lycéens de suivre des stages d’anglais pendant les vacances de février et de Pâques. Six des douze lycées publics rémois ont répondu à cette sollicitation, mais les volontaires sont peu nombreux.
Au lycée Libergier, par exemple, 42 élèves se sont inscrits. La filière commerciale justifie peut-être cet engouement. À l’inverse, à Murigny, « aucun élève n’a souhaité le faire ».
Les six lycées impliqués sont donc Libergier, Chagall, Jean-Jaurès, Roosevelt et Eiffel. La centaine de lycéens sera accueillie par des enseignants volontaires, ou par des assistants de langue maternelle anglaise.
Deux lycées serviront de décor à ces stages informels : Chagall, qui dispose d’un bon laboratoire de langues, et Arago, spécialisé dans les stages de vacances.
Le principe de ces stages, explique le recteur Alexandre Steyer, « c’est d’enseigner autrement, dans un autre contexte, pour permettre aux élèves de parler », l’oral étant souvent le parent pauvre de la pratique de la langue étrangère.
Compte tenu de l’absence de ramassage scolaire pendant les vacances, les élèves dont les parents résident en milieu rural bénéficieront d’un dispositif particulier : un professeur les appellera par téléphone à une heure dite et conversera avec eux pendant une dizaine de minutes.
À côté de ces stages d’anglais, deux autres propositions auront cours pendant ces vacances au lycée Arago.
D’une part, les élèves de Croix-Rouge pourront bénéficier d’un soutien scolaire dans le cadre de l’opération « Espoir banlieue ». D’autre part, les forts en maths et en physique pourront participer à un « stage exceptionnel » de haut niveau, animé par des enseignants universitaires.
« Notre but est d’aider les élèves en difficulté et d’éviter que les bons élèves stagnent. Il est aussi d’inciter les élèves à se tourner vers le scientifique », espère M.Steyer. Lequel encourage les parents de collégiens à s’intéresser de près à l’évaluation pour valider le « niveau A2 », une norme européenne, en anglais par les professeurs, indispensable pour décrocher le brevet.
J.F.Scherpereel
Renseignements : tél.03.26.05.68.37.
Vendredi 20 février à 18 heures et 20 h 30, la compagnie de Guy Alloucherie, Hendrick van der Zee, qui a élu résidence pendant deux semaines dans le quartier Croix-Rouge où elle a réalisé de nombreuses interventions, dans la rue ou les lieux publics, et noué le dialogue avec les habitants, présentera le fruit de ces rencontres lors d’un spectacle donné deux fois dans la soirée.
Au gymnase Géo-André, rue François-Mauriac,
Entrée libre sur réservation au 03.26.36.03.50, au 03.26.08.08.78, ou au Manège : 03.26.47.30.40.
Extraits disponibles sur le site : http://hvdz.org/blog/
Des activités sont proposées pour les petits pendant les vacances :
Mercredi 25 février à 16 h 30, projection en diapos des illustrations de Lucie Butel : « Drôle de petite maison que cette cruche abandonnée…. ! », pour enfants de 4 à 8 ans.
Samedi 28 février à 9 h 30, l’heure des bébés proposera un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans accompagnés d’un adulte.
Ces activités sont gratuites, mais l’inscription préalable est vivement conseillée. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-¬Louis-Debar, Tél. 03.26.35.68.46 ou 03.26.35.68.47.
Médiathèque Croix-Rouge
Pays-de-France : à 18 h 30,salle François-Mauriac, réunion publique a sujet de la rénovation urbaine à Pays de France.
Les habitants attendaient une telle réunion depuis mars 2007 !
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Voir toutes les photos.
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La première des trois grandes réunions d’information publique sur le projet « Nouveau Reims : la ville change avec vous. Programme de rénovation urbaine 2008-2011 » était consacrée au secteur Croix-du-Sud. 160 habitants étaient venus entendre Alain Nicole pour l’Effort rémois, Adeline Hazan et Éric Quénard leur présenter le projet « Croix-Rouge Croix-du-Sud, la démarche de relogement et le dispositif de concertation locale ».
Ce qui est important de noter c’est l’assurance faite aux habitants d’une intense concertation à tous les niveaux, « jusque dans les cages d’escalier », assurait Eric Quénard. Autre précision importante, de M. Nicole : « En matière de loyers, l’Effort rémois a pris le parti de veiller à ce qu’aucune augmentation ne dépasse 30 euros par mois. Dans le même temps, nous prévoyons dans les logements neufs, une économie d’énergie de 28 % ».
Dans cette ambiance positive et plutôt favorable, trois associatifs ont posé des questions intéressantes. Geneviève Kaczowka (Polygones) : « Pouvez-vous nous rassurer sur la qualité de l’eau qui sera distribuée aux habitants ? » Réponse d’Éric Quénard : « La collectivité a ordonné une nouvelle expertise sur ce sujet ». Quand on connaît les délais habituels en matière d’expertise, la réponse n’est pas pour demain !
Naceur Bénadéla (Croix-du-Sud) : « Il n’y a pas que l’extérieur à montrer aux touristes. Je me préoccupe de l’état intérieur de nombreux logements ! » Réponse d’Alain Nicole : « Sur 1 680 logements, je n’en ai que 25 vacants. Croyez-vous qu’il en serait de même si les logements étaient aussi dégradés que vous le prétendez ? »
Modeste M’Fenjou (Mieux vivre à Croix-Rouge) est revenu sur les minorités qui manquent d’information et sont inquiètes : « Il faut les aider ». Il a souligné également : « Il y a trop d’habitants au chômage. Une clause d’insertion de 5 % ne suffit pas ! J’en souhaite davantage sur ces gros chantiers ».
Tous les renseignements et détails sont accessibles à l’annexe de la mairie, rue Joliot-Curie, au local « espace Tram info » au 65, avenue du Général-Eisenhower, à l’agence Effort rémois, avenue Léon-Blum ou encore auprès des médiateurs de quartiers (03.26.77.84.81.) du lundi au vendredi. Pour les mesures d’embauche de 5 % d’habitants sur les chantiers de Croix-Rouge (Charte locale d’insertion), on peut s’adresser aux associations Job’s 51 (03.26.06.18.26.), Emploi 51 (03.26.61.49.80. ou 2 Mains (03.10.16.10.40.).
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Un document administratif à remplir, un courrier à rédiger, comprendre un document, des conseils, une aide ? Il faut désormais penser à l’espace Watteau où Agnès Tisseron, écrivain public bénévole, assure une permanence tous les jeudis de 13 h 30 à 16 heures.
Dans un quartier où les besoins sont importants, elle reçoit les demandeurs en tête à tête dans la plus grande discrétion et les informations qu’elle traite sont couvertes par le secret professionnel.
Pour plus de renseignements, contacter le secrétariat au 03.26.36.03.50.
Les membres du comité technique paritaire départemental se sont réunis hier, en fin d’après-midi, dans les locaux du Conseil général. En a découlé la liste définitive des fermetures et ouvertures de classes, pour la rentrée scolaire 2009/2010.
Bonne nouvelle : le nombre de fermetures est inférieur à celui qui avait été imaginé. 28 classes fermeront donc, au lieu de 37.
Le nombre des ouvertures de classes est quant à lui supérieur à celui qui avait été annoncé. Elles seront 28 au lieu de 21.
Fermetures
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REIMS SUD.- Ecole élémentaire Sculpteurs-Jacques, Reims.
Ouvertures
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REIMS SUD.- … ; école maternelle Auvergnat/Provençaux, Reims.
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Les locataires du secteur Eisenhower venaient s’informer sur le programme des futures démolitions d’immeubles.
Agrandir la photo
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Reims Habitat a invité ses locataires du secteur Eisenhower, pour leur présenter les modalités des prochaines opérations de démolition d’immeubles.
Après un rappel de l’objectif de cette réunion, « donner une information claire et précise aux riverains du chantier sur ce qui va se passer durant les prochaines semaines et les quelques mois à venir », Guy Arlot, directeur de la construction de Reims Habitat a présenté le principe de la déconstruction.
Puis le cabinet d’architecte Thierry Silvert et l’entreprise Cardem, en charge de la démolition, ont projeté un document expliquant les différentes phases de la déconstruction.
Enfin, Aurélie Labbé, chargée de mission « rénovation urbaine » pour Reims Habitat, a évoqué la charte d’insertion de l’Anru et donné les différents contacts utiles aux personnes intéressées.
Après une partie réservée aux questions-réponses, le livre « Autre peau/Autre ville » a été distribué à tous les participants.
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Plusieurs élus ont accompagné la maire de Reims, le jeudi 12 février, pour la cérémonie de réception du gymnase Roland-Bourgoin après d’importants travaux de rénovation.
L’ancien gymnase Joliot-Curie, baptisé « Roland-Bourgoin » en mars 2007 par Jean-Louis Schneiter, avait en effet beaucoup souffert d’une utilisation intensive par les écoliers, les collégiens, les lycéens et les clubs.
Les travaux réalisés à partir de septembre 2008 ont consisté à améliorer l’accès des personnes handicapées, le confort des usagers (toile de verre, peinture, carrelage et faïence, éclairage des locaux avec détection de présence, bardages de bois intérieurs,…) l’isolation thermique du bâtiment et l’aspect esthétique extérieur (ravalement, laque anti-graffiti).
Les installations de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire (vestiaires, salle de sport) ont été également remplacées, le tout pour un coût de 470.442 euros.
Pour fêter cette remise à neuf, deux équipes de jeunes se sont affrontées au cours d’une partie endiablée de futsal.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
À la fin de la rencontre avec les habitants de Croix-du-Sud, pour la présentation du Reims 2008-2012 et au moment des questions diverses, une personne a pris le micro : « Ma question s’adresse à madame la maire et au directeur de l’Effort rémois. »
Sur-le-champ, le premier adjoint Éric Quénard se chargeait de la réponse, ce qui provoquait la colère cinq personnes en fond de salle et leur départ immédiat : « On voulait interpeller la maire : c’est même pas la peine d’essayer, elle est assise et elle ne cause pas I »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
…
Vers 20 h 45, au quartier Croix-Rouge à Reims, une poubelle a été incendiée allée Edgar-Degas, au n° 9.
…
A 14 heures, les pompiers ont été informé d’un feu de local à vide-ordures, allée des Provençaux, mais il n’y avait plus rien à éteindre à leur arrivée.
…
…
Des papiers ont été incendiés vendredi à 22 heures dans les caves du 15 allée Beethoven à Wilson, puis hier vers 16 heures dans une boîte aux lettres de la place Auguste-Rodin à Croix-Rouge.
Les pompiers ont été appelés pour une odeur de gaz allée Edgar-Degas, hier vers 7 h 30.
Elle provenait d’un compteur endommagé.
Les services de GDF ont pris l’intervention en compte.
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Urban Junior Tour 2009 évolue : il est désormais élargi à la région, avec plus de partenaires et un souci de qualité esthétique, afin de valoriser les pratiques amateurs dédiées aux cultures urbaines. UN événement pour les jeunes, préparé par des jeunes : Urban Junior Tour 2009, festival des cultures urbaines, prend un essor qui s’élargit cette année à la région et gagne en qualité. Pour leur communication, les coordonnateurs, Jean-Marie Dogué pour le Ludoval, et Boris Claudel du réseau Pôle Sud Musique, ont fait appel à un groupe du service civil volontaire Unis-Cité qui rassemble des jeunes pour un « service civique » en les accompagnant dans leur projet d’avenir.
Trois d’entre eux, assisté d’une stagiaire BTS tourisme, ont présenté les grandes lignes de l’édition 2009 qui aura lieu du 27 au 30 avril.
Le but d’Urban Junior Tour est de mettre en avant les musiques et danses axées autour du hip-hop : slam, rap, graff, break dance… et de faire connaître les groupes amateurs au grand public.
« Cette année, pour un niveau plus élevé des prestations, une sélection des groupes sera effectuée par un jury de professionnels dans chaque discipline », précisent les organisateurs. Autre nouveauté : traditionnellement, un grand concert clôture le festival à la Cartonnerie. Cette année, l’ouverture et la fermeture du festival y auront lieu, avec le lundi 27 avril une « scène slam » et le jeudi 30 avril, les prestations de plusieurs groupes reconnus dont « Kerjo Style », formation rémoise de rap jazzy instrumental, qui bénéficiera d’une formation en résidence.
Autre nouveauté : un show chorégraphique au Manège le 29 avril. Le graff sera à l’honneur, avec des artistes en résidence à la Maison de quartier des Châtillons.
« C’est un festival en perpétuelle évolution. Nous sommes dans l’optique de valoriser les pratiques amateurs, en leur donnant la possibilité d’aller vers un amateurisme éclairé, voire semi-professionnel », assure Boris Claudel. « Et tout cela, on sait le faire dans nos Maisons de quartier ! » ajoute Jean-Marie Dogué.
L’équipe Unis-Cité va démarcher des sponsors. Réservez-leur un bon accueil ou contactez Alexandre au 06.83.95.89.18. Blog : urbanjuniortour@skyrock. E-mail : urban.junior.tour09@gmail.com
Les Veillées de Croix Rouge : le cirque se donne à la rue
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À l’invitation du Manège et depuis le 5 février déjà, la compagnie Hendrick Van Der Zee s’installe à Croix-Rouge.
Ainsi les habitants du quartier, « QCR » pour les intimes et les divers supports (murs, tables de classe,…) qui ont l’honneur de recevoir les marques de fierté de leurs jeunes habitants sous forme de tags polychromes et autres gravures amoureusement sculptées peuvent-ils observer, jusqu’au 20 février encore, les artistes de la Compagnie créée par Guy Alloucherie déployer la grâce de leurs mouvements sur ces lieux qui semblent s’abandonner au désespoir pour les réenchanter.
Tel est le sens de ces « Veillées » dont le sens est doublement et judicieusement détourné : alors que le terme évoque plutôt la réunion d’un groupe clos autour d’un foyer chaleureux mais fermé, ces Veillées-là se déploient au contraire dans les rues, les places, les espaces publics.
D’autre part, on imagine la veillée comme la lutte tardive d’une communauté contre le règne de la nuit, le prolongement de la soirée autour d’une lueur qui recentre les regards, alors que les Veillées d’Hendrick Van Der Zee s’ébattent en pleine journée.
Et cette contradiction, comme tout paradoxe qui se respecte, est faite pour être dépassée. Les danseurs de la compagnie agissent comme autant de halos destinés à rouvrir les yeux des passants sur un cadre quotidien si morne qu’ils ne le voient plus, à en redécouvrir les beautés. Qu’elles soient l’œuvre des architectes créateurs de perspectives, ou plus simplement nées de la poésie aléatoire du quotidien, de la rencontre insolite de couleurs ou de silhouettes.
En allant sur le blog spécialement créé pour rendre compte, au jour le jour, de ces manifestations, www.hvdz.org/blog/ , chacun peut se rendre compte de la beauté de ces chorégraphies surgissant à l’improviste, et toujours issues de l’observation et du dialogue avec les habitants. Durant deux semaines, la Compagnie vit donc véritablement sur place, et au fil des rencontres avec la population, des paroles, des témoignages, des images recueillis nourriront le spectacle du 20 février, construit avec les habitants, et dont le quartier Croix-Rouge sera le personnage principal.
Car Guy Alloucherie, venu du Nord de la France, issu du milieu ouvrier, qui eut pourtant l’opportunité de diriger un prestigieux théâtre d’Etat subventionné, préféra demeurer fidèle à ses racines, et donner la parole et l’image aux mille et un détails du quotidien le plus prosaïque, le plus oublié des affaires qui mènent le monde.
Depuis le 5 jusqu’au 20 février, chaque jour partout dans le Quartier Croix Rouge de Reims. Spectacle vendredi 20 février à 18h et 20h30 au gymnase Géo André, rue François Mauriac. Entrée libre sur réservation. Espace Watteau : 03.26.36.03.50. Espace Billard : 03.26.08.08.78 ou au Manège : 03.26.47.30.40. En partenariat avec le Manège, 2 bd du Général Leclerc. Extraits disponibles sur le blog : www.hvdz.org/blog/
Anne Mignot
À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature bol d’air, « .La campagne en hiver »
Départ à 9 heures dimanche 15 février, au 14, rue Pierre-Taittinger.
Tél. 0326.08.08.78.
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Grâce et talent seront au rendez-vous ce week-end à la patinoire Bocquaine. Après Épinal, c’est au tour du Reims Acrap Patinage d’accueillir les quelque 168 patineurs et patineuses à l’occasion du deuxième volet du tournoi de France de danse sur glace.
De Rouen à Belfort en passant par Châlons, Dijon ou encore Besançon, ils seront une vingtaine de clubs à venir se présenter dès ce soir à l’Acrap pour leurs accréditations.
Classée cinquième du premier acte vosgien en décembre, la troupe de Ludivine Lemaire pourra compter sur son public et ses talents pour essayer de voir encore plus haut.
Parmi eux, Solène Manceaux. Première en argent 2e année à Épinal, la Rémoise aura de nouveau une belle carte à jouer. « Ce serait bien qu’elle confirme ses prestations d’Épinal » confiait la coach rémoise. « Mais toutes ont des atouts importants et auront leurs chances dans leur programme » .
Il est vrai que de Clémentine Grochet (7 ans) à Morgane Huet et Justine Delaunois (toutes deux 16 ans), le club de Jeanine Catry sera représenté dans bon nombre de catégories en solo. « Tout le monde a bien travaillé. Les programmes que nous avons choisis ont tous des thèmes différents et originaux » , pouvait se réjouir Ludivine Lemaire. « Il est juste dommage que nous ne puissions pas concourir également en couple car notre danseuse est blessée » . Si Solène Manceaux se mettra au défi « West Side Story », Eva Lemaire, elle, évoluera sur la musique sombre de « Requiem for a Dream » tandis que le programme de Camille Renault tournera autour de la « Tequila ». De quoi mettre l’eau à la bouche.
Alan de Silvestri
À l’espace Billard, Sylvie Brin propose une sortie nature bol d’air, « La campagne en hiver ».
Départ à 9 heures dimanche 15 février, au 14, rue P.-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
À l’espace Watteau, Vincent Girardin propose pour sa part, une « sortie surprise » d’une matinée.
Départ à 8 h 15 dimanche 22 février au 3, allée A. Watteau. Tél. 03.26.36.03.50.
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À l’occasion du salon Sabine, salon du bâtiment innovant du Nord-Est qui se déroule depuis mercredi et jusqu’à ce soir au parc des expositions de Reims, placé sous le signe du développement durable et de l’innovation dans le bâtiment, le lycée des Métiers François-Arago (photo) présente sur 450 m2 son centre de recherche et développement.
Une maquette interactive des recherches utilisées pour réaliser la maison en béton de chanvre construite à Breuil-sur-Vesle a été réalisée par des élèves de Terminale (collaborateur d’architecte).
À 15 heures, conférence sur le développement durable dans la construction.
L’hebdo du vendredi- n° 111 - 090212f
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 111 - Semaine du 13 au 19 février 2009
HABITAT : Croix-Rouge, un quartier en devenir
Au total, sur Croix-Rouge, ce sont 1676 logements qui vont être réhabilités d’ici 2011.
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Le Programme de Rénovation Urbaine chiffré à un demi milliard d’euros (470 M€) concerne quatre quartiers rémois : Orgeval, Wilson, Les Epinettes et Croix-Rouge… 2 ans pour redonner vie à des quartiers souvent montrés du doigt !
Le quartier Croix-Rouge, une ville dans la ville avec ses 21 000 habitants, présente de réels atouts notamment avec sa médiathèque, ses équipements sportifs, son centre hospitalier mais également ses campus et les étudiants qui les fréquentent. Le programme de rénovation urbaine concerne les secteurs Croix du Sud, Pays de France et Université. Demain, traversé par le tramway, ce quartier ne sera plus qu’à quelques minutes du centre-ville.
Le programme va permettre de remodeler l’espace urbain pour que les îlots d’habitat soient mieux desservis avec un quartier « aéré », davantage ouvert sur la future ligne de tramway. De nouvelles voieries seront aménagées et garantiront une meilleure circulation au sein même du quartier. Objectif : désenclaver le quartier en réorganisant l’espace urbain et en l’ouvrant sur la ligne de Tramway et les cinq futures stations (Saint John Perse, Campus, Arago, Château d’eau et Léon Blum).
La réhabilitation est privilégiée, avec une rénovation du parc de logements existant et une remise aux normes environnementales (isolation par l’extérieur). Certaines démolitions sont néanmoins nécessaires pour permettre la création de nouveaux cheminements. Au total, sur Croix-Rouge, ce sont 1 676 logements qui seront réhabilités (28% du patrimoine social), 449 logements démolis (7% du patrimoine social), 570 logements construits et 902 logements « résidentialisés » (amélioration de leur environnement).
Si l’amélioration de l’habitat et du cadre de vie sont des objectifs majeurs,l’emploi ne doit pas être oublié. Ainsi la charte d’insertion, qui permet d’obtenir des entreprises impliquées dans les chantiers qu’elles embauchent les habitants du quartier, sera activée et la municipalité s’appuiera également sur le Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce (FISAC).
La transformation ne sera véritablement possible que si les habitants de Croix-Rouge, principaux acteurs de leur cadre de vie, participent à la concertation qui leur sera proposée.
Différentes rencontres seront organisées afin de recueillir les attentes des habitants des secteurs Croix du Sud, Pays de France et Université, concernés par ce programme.
O. M
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810 logements réhabilités
75 logements démolis
79 logements construits
- Création de surfaces commerciales et de services
- Réimplantation de l’Association Etoile Croix du Sud
Concert au profit des Restos
Des étudiants de l’IUT de Reims (2ème année GEA) organisent un concert au profit des Restos du Cœur le mercredi 18 février à 20h au Centre culturel du Crous sur le Campus Croix-Rouge.
Au programme Ska- Jazz, Rock, hip-hop, Métal avec Les Reskapés, CB le groupe ou encore MC2.
Infoline au 06 74 74 88 06. Prévente : 5€ à l’IUT – Bât D – 2ème étage, 7€ sur place.
Concerts : « CB le groupe + Les Reskapés + MC2 »
Une soirée mêlant ska, rap, hip hop et rock au profit des Restos du Coeur !
A 20h – Tarif : 7€ sur place et 5€ en prévente (IUT - Bât D) Infoline : 06 74 74 88 06
Centre culturel du Crous, campus Croix-Rouge
Art dans la ville : « Les veillées »
VENDREDI 20 FÉVRIER
La compagnie HVDZ réalise des interventions poétiques et documentaires inspirés du monde tel qu’il va, de la mémoire des gens et des lieux.
Ainsi, « Les veillées » voient une équipe sillonner un quartier, pour intervenir artistiquement et apprendre des habitants.
Rendez-vous est donné pour un spectacle dont le quartier Croix-Rouge est le personnage principal !
A 18h et 20h30 – Entrée libre sur réservation
Rens. auprès du Manège de Reims au 03 26 47 30 40
Gymnase Géo André, avenue François Mauriac
« Autre peau/Autre ville »
JUSQU’AU 28 FÉVRIER
Un projet artistique réalisé par Armelle Blary avec les habitants, autour de la démolition de 4 immeubles du quartier Croix-Rouge.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar
L’ordre de service de démarrage des travaux est signé.
Une première réunion de chantier a eu lieu en décembre, pour définir le calendrier des travaux de déconstruction, le mode opératoire et déterminer les périmètres de sécurité, la circulation et les aires de stockage.
Une réunion publique d’information destinée aux habitants riverains est organisée ce jeudi 12 février à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger à 18 heures.
À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature bol d’air, « La campagne en hiver ».
Départ à 9 heures dimanche 15 février, au 14, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
A l’espace Watteau, Vincent Girardin, accompagnateur, propose pour sa part, une « sortie surprise » d’une matinée.
Départ à 8 h 15 dimanche 22 février au 3, allée Antoine-Watteau.
Tél : 03.26.36.03.50
Les pompiers ont été sollicités hier mercredi un peu avant 18 heures pour un feu de boîtes aux lettres dans la rue Pierre-Taittinger.
Trois boîtes étaient touchées, mais le feu a été promptement éteint par un locataire, avant l’arrivée des pompiers
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Cette formation de 18 mois est très qualifiante et offre de bons débouchés à la sortie car les stagiaires ont pu faire leurs preuves sur le terrain en mettant des projets en œuvre de A à Z, y compris la recherche des financements, dans des structures de type varié autour de la mise en valeur et d’animations tournées vers le patrimoine champardennais et destinées à tous les publics ou d’actions éducatives avec les enfants et les enseignantes.
Des expériences qui ont déjà débouché sur 9 promesses d’emplois : par exemple Alice va travailler en CDI pour le centre social de Bétheny, et Gwenaëlle en CDD pour le contrat de ville de Sainte-Menehould.
Cette formation permet d’accompagner les politiques éducatives des communes, des quartiers et apporte des compétences pour concevoir et organiser, animer des projets.
« Nous manquons particulièrement de directeurs de centre de loisirs » précise Marc Béteille qui invite les personnes intéressées à prendre contact avec le Creps pour connaître les modalités de la prochaine session qui aura lieu du 14 septembre 2009 au 14 mars 2011. Son coût sera de 6 648 euros mais différents dispositifs permettent une prise en charge financière. La formation est soutenue par de nombreux partenaires, en particulier le Conseil régional, Jeunesse et Sports et les Missions locales. Date limite d’inscription : 30 avril 2009.
Réunion d’information les jeudis 12 février, 12 mars, 16 avril à 17 heures au Creps, route de Bezannes, Reims. www.creps-reims.jeunesse-spo… marc.beteille@jeunesse-sports.gouv.fr
voir adjudicateur : CONSEIL RÉGION CHAMPAGNEARDENNE, 5, rue de Jéricho, à l’attention de Monsieur le Président du Conseil régional Champagne Ardenne, F-51037 Châlons-en-Champagne cedex. Tél. 03.26.66.70.43. E-mail : ldubois@cr-champagne-ardenne.fr ; fax : 03.26.70.59.01. Adresse internet du profil acheteur : http://marchespublics.cr-champagnea…
Adresse auprès de laquelle des informations complémentaires peuvent être obtenues : SEM GENCIA (mandataire de la Région Champagne-Ardenne), 95, boulevard du Général-Leclerc, B.P. 2740, à l’attention d’Amandine FESTUOT, 51060 Reims cedex. Tél. 03.26.97.85.85. E-mail : amandine.festuot@agencia-rm.fr ; fax : 03.26.97.72.32.
Adresse auprès de laquelle le cahier des charges et les documents complémentaires (y compris des documents relatifs à un dialogue compétitif et un système d’acquisition dynamique) peuvent être obtenus : SEM AGENCIA (mandataire de la Région Champagne-Ardenne), 95, boulevard du Général-Leclerc, B.P. 2740, à l’attention d’Amandine FESTUOT, 51060 Reims cedex. Tél. 03.26.97.85.85. E-mail : amandine.festuot@agencia-rm.fr ; fax : 03.26.97.72.32.
Adresse à laquelle les offres ou demandes de participation doivent être envoyées : SEM AGENCIA (mandataire de la Région Champagne-Ardenne), 95, boulevard du Général-Leclerc, B.P. 2740, à l’attention d’Amandine FESTUOT, 51060 Reims cedex.
Type de pouvoir adjudicateur et activités(s) principale(s) : collectivité territoriale. Le pouvoir adjudicateur agit pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs : non.
Objet du marché : extension et restructuration du lycée Arago à Reims.
Type de marché : travaux - exécution.
Lieu principal d’exécution : lycée Arago, 51100 Reims.
L’avis implique un marché public.
Classification CPV (vocabulaire commun pour les marchés publics) : 45454000.
Marché couvert par l’accord sur les marchés publics (AMP) : oui.
Division en lots : oui.
Il convient de soumettre des offres pour : un ou plusieurs lots.
Information sur les lots :
lot no 1 : aménagements extérieurs - VRD ;
lot no 2 : démolitions - gros oeuvre ;
lot no 3 : charpente métallique ;
lot no 12 : ascenseurs.
Des variantes seront prises en considération : oui.
Options :
les lots no 1 " aménagement extérieurs - VRD " et no 12 " ascenseurs " ne comportent pas d’option.
Le lot no 2 " démolition - gros oeuvre " comporte une option : béton sablé.
Le lot no 3 " charpente métallique " comporte une option : préau.
Durée du marché ou délai d’exécution : 40 mois à compter de la date d’attribution du contrat.
Renseignements d’ordre juridique, économique, financier et technique :
Conditions relatives au contrat :
Cautionnement et garanties exigées : modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent :
financement par ressources propres inscrites au budget de la Région ;
paiement à 40 jours par virement.
Conditions de participation : Situation propre des opérateurs économiques, y compris exigences relatives à l’inscription au registre du commerce ou de la profession : renseignements et formalités nécessaires pour évaluer si ces exigences sont remplies :
copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire ;
déclaration sur l’honneur pour justifier que le candidat n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics.
Capacité économique et financière : renseignements et formalités nécessaires pour évaluer si ces exigences sont remplies :
une déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du marché réalisés au cours des trois dernières années.
une déclaration indiquant les effectifs moyens du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années.
une déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement dont le candidat dispose.
Capacité technique : renseignements et formalités nécessaires pour évaluer si ces exigences sont remplies : des certificats de qualification ou références équivalents.
Type de procédure : ouverte.
Critères d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous :
1. Valeur technique. Pondération : 60 %.
2. Prix. Pondération : 40 %.
Documents payants : non.
Date limite de réception des offres : 2 avril 2009 à 12 heures.
Langue(s) pouvant être utilisée(s) dans l’offre ou la demande de participation : français.
Délai minimum pendant lequel le soumissionnaire est tenu de maintenir son offre : 120 jours (à compter de la date limite de réception des offres).
Renseignements complémentaires : instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif, 25, rue du Lycée, F-51000 Châlons-en-Champagne.
Introduction des recours :
précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours :
référé pré-contractuel avant la signature du marché (article L551-1 du code de justice administrative) ;
recours pour excès de pouvoir contre les actes détachables du contrat : deux mois à compter de leur notification et/ou de leur publication (article R 421-1 du code de justice administrative).
Date d’envoi du présent avis : 9 février 2009.
51AO1634410
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Vous êtes entraîneur au Champagne futsal. Parlez-nous du tournoi que vous organisez le 15 février au complexe René-Tys.
C’est une compétition régionale, dont le but est de promouvoir le futsal sur Reims. On est, dans cette pratique, un peu en retard par rapport aux autres pays d’Europe. Ici, on manque de gymnases : il faut que les choses changent à cet égard. En terre rémoise, on compte une dizaine de clubs, ce qui fait environ un total de 150 pratiquants. A la différence du football classique, le futsal est un jeu qui est plus rapide, plus technique avec moins de contacts. Et surtout il se pratique à l’intérieur, et donc on est à l’abri de certaines intempéries.
Combien d’équipes seront-elles présentes ?
Seize en tout. Toutes sont originaires de Reims et de certaines villes de la région Champagne-Ardenne (dont Sedan et Saint-Dizier). Les matches se dérouleront de 8 à 21 heures. Nous prévoyons quatre poules de quatre : les deux premiers sont qualifiés pour les quarts de finale, et les 3e et 4e joueront la phase consolante. Toutes les formations seront récompensées.
D’autres animations viendront-elles agrémenter cette journée ?
Oui, nous aurons un concours de jonglage, des intermèdes musicaux ainsi qu’une tombola ; et la troupe New Feeling fera un spectacle de danse brésilienne. On espère au minimum 300 spectateurs pour applaudir les 160 joueurs qui feront le déplacement.
Pour la défense, Me Cahen a plaidé la relaxe : « Fautes de gestion, oui, délit pénal non ! »
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Une mère directrice d’un office HLM. Un fils dirigeant de plusieurs entreprises. Des contrats passés plus ou moins directement entre ces entreprises et l’office de logements.
Ces premiers ingrédients pouvaient déjà prêter le flanc à la suspicion. Si on ajoute à cela un rapport émanant d’un organisme de contrôle interministériel faisant état d’anomalies dans la gestion de l’office, plus les doléances d’un commissaire aux comptes se disant victime d’obstruction, et pourquoi pas ?
Un zeste d’exploitation politicienne, on peut comprendre que la justice ait été saisie du dossier.
Ce dossier, c’est celui de l’ex Opac (office public d’aménagement et de construction de Reims, devenu Reims habitat), du temps où sa directrice s’appelait Elisabeth Chery, notamment dans les années 2002-2003. Ce dossier en est arrivé au stade de la cour d’appel, où l’après-midi d’hier lui a été consacré.
Ce n’était pas de trop étant donné la mulitiplicité des chefs d’accusation ainsi que des protagonistes.
Ce que l’on reproche à la directrice d’alors pour synthétiser, c’est donc d’avoir géré sa boutique de façon quelque peu douteuse, en favorisant une certaine entreprise pour attribuer un marché informatique, ou en faisant faire des travaux pour son compte personnel sur le dos de l’office. Pour ces infractions et quelques autres, Mme Chery avait été condamnée en première instance (en mars 2005 et en juin 2008).
Elle a fait appel. Le dossier était donc rouvert hier. L’occasion de s’apercevoir qu’il était sans doute un peu plus complexe que ce qu’en laissaient penser les apparences.
Pour la partie civile, Me Carnoye défendant les intérêts de l’Opac, les infractions étaient bel et bien constituées.
Par exemple celui de « détournement d’un dépôt public » (les travaux effectués aux frais de l’office), « vous avez estimé que ces travaux incombaient au propriétaire, l’Opac, mais vous les avez fait faire sans lui demander son avis ! »
Pour la défense en revanche, par la bouche de l’avocat parisien Me Cahen, « il y a sans doute eu des fautes de gestion, oui, mais de délit pénal, non ! ».
Ainsi le délit de « favoritisme » en faveur d’une entreprise d’informatique : « C’est vrai qu’il n’y a pas eu de mise en concurrence réelle, parce que c’était tout simplement impensable techniquement et économiquement, mais vous ne trouverez là aucune intention de se procurer un avantage injustifié. » Quant à la supposée obstruction au travail du commissaire aux comptes, l’avocat l’expliquait, non pas par le souci de dissimuler des manœuvres louches, mais largement par un choc de tempéraments des personnes aggravé par un malheureux concours de circonstances : la commissaire (c’était une femme) venait de perdre son mari à la suite d’une maladie quand elle a reçu, de la part de l’Opac rémois, une carte accompagnant un courrier, lui souhaitant « bonne réception et joyeux Noël ! » En définitive, il réclamait purement et simplement la relaxe pour sa cliente. Alors ? L’ancienne directrice a-t-elle réellement commis des délits ? Ou simplement été un peu légère dans sa façon de gérer ? La cour tranchera d’ici le 16 avril.
Antoine Pardessus
Depuis jeudi 5 février jusqu’au 20 février chaque soir, la Compagnie Hendrick Van Der Zee s’installe à Croix-Rouge et investit l’espace public, à l’improviste, de ses performances : danse, théâtre, cirque,…
Les rencontres avec la population viendront nourrir le spectacle qui sera donné au gymnase Géo-André, avenue François-Mauriac, le 20 février, à 18 h 30 et à 20 h 30.
Renseignements au Manège : 03.26.47.30.40.
Extraits disponibles sur le site : http: //www.hvdz.org/blog/
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Les pompiers sont intervenus hier mardi peu après une heure du matin pour éteindre une fourgonnette C25 Citroën qui brûlait sur un parking du groupe Eisenhower, à hauteur de l’immeuble 14.
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La rue de Rilly-la-Montagne, non loin de la fac de lettres dans le quartier Croix-Rouge, est une habituée des feux nocturnes pour le moins suspects
Elle s’est une nouvelle fois rappelée au souvenir des pompiers lundi soir vers 21 heures, dans un local vide-ordures de l’immeuble 38.
Les dégâts sont restés limités aux ordures elles-mêmes et à un conteneur.
UNE jeune détenue de 20 ans, incarcérée à la prison de Châlons-en-Champagne, a été retrouvée morte samedi matin dans sa cellule.
Cette jeune fille avait été condamnée l’an dernier à 15 ans de réclusion par la cour d’assises des mineurs, pour un assassinat commis le 13 septembre 2005 à Reims.
Les faits avaient eu lieu au pied d’un immeuble du groupe Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge, vers deux heures du matin ; la victime, Cédric Houppe mans, 35 ans, était handicapé.
Selon les éléments de l’enquête, cet homme, qui était sorti promener son chien, avait été poignardé par la jeune fille, alors âgée de 17 ans, et que nous avions appelée dans nos colonnes Karen (prénom d’emprunt) après avoir été roué de coups par cette dernière et une amie de celle-ci.
La violence aurait été déclenchée par la proposition, faite par l’homme aux deux jeunes filles, de venir boire un verre chez lui.
Dans l’histoire, l’alcool avait certainement joué un rôle : tout le monde semblait avoir pas mal bu, le maître du chien comme les deux demoiselles.
Selon une source proche de la famille, c’est donc cette même « Karen » qui a été retrouvée morte dans son lit, à la prison de Châlons.
L’administration pénitentiaire se contente de confirmer qu’un décès a bien eu lieu au cours de la nuit en question parmi les détenus de cette prison, sans communiquer l’identité du défunt.
Comme c’est la règle dans ces cas-là, une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du décès, avec autopsie. Le résultat de celle-ci n’était pas connu hier.
Parmi les hypothèses les plus plausibles figure le suicide, la victime ne semblant pas porter de marques de violences.
Le geste fatal aurait pu être exécuté à l’aide de produits de substitution pour toxicomanes, que la détenue aurait accumulés petit à petit - selon des proches, elle en recevait quotidiennement une petite dose dans le cadre de son traitement - pour finir par ingurgiter d’un seul coup une dose mortelle. On ne peut cependant pas écarter l’hypothèse d’un simple malaise.
A.P.
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Le premier rendez-vous du Forum de la vie étudiante, instance visant à rassembler les étudiants rémois de tous horizons, a eu lieu le 4 février. Les projets pleuvent. Il était temps.
….
Au-delà de ce forum, Dominique Bunel a d’autres projets dans ses cartons : les groupes de travail pour instaurer le Label Reims Campus dans le cadre du « Nouveau Reims » sont en route, tout comme l’idée de créer une Maison de la jeunesse ; la décision de réunifier les campus sur un site unique (Croix-Rouge-Bezannes ?) sera prise courant 2009 ; il souhaite créer des temps de présence étudiante réguliers et élargir les horaires avec les médiathèques de la ville ; faire des appels à projets d’associations étudiantes (28.000 euros de subventions budgétés pour 2009) sur des thématiques pas encore couvertes dans les domaines de la santé, du social, du sport et de la culture.
…
Prochain rendez-vous du Forum : mercredi 1er avril en mairie. Au programme : les problèmes d’insécurité sur le campus Croix-Rouge, le développement d’un temps fort culturel commun à tous les étudiants pour début mai, d’une rencontre sportive du type compétition ludique entre RMS et l’université, l’établissement pour la rentrée 2009 d’une Charte de prévention des associations étudiantes organisatrices de soirées et la mise en place d’ambassadeurs de la vie nocturne.
Bref, ça a l’air beau sur le papier. Reste à savoir si tout pourra être réalisé. Réponse à la prochaine rentrée.
Marion Dardard
CONSEILS DE QUARTIER : Maintenant dans le vif du sujet
21 octobre 2008, salle Goulin : conférence de présentation des nouveaux conseils de quartier destinée aux habitants.
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En attendant les séances constitutives des Conseils des quartiers Chemin Vert/Europe et Centre, qui achèveront la première phase d’installation des nouveaux Conseils de quartier à Reims, c’était au tour des quartiers Porte de Paris/Courlancy/ Bois d’Amour et Croix-Rouge/Hauts de Murigny d’installer leurs conseils
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La prochaine étape des Conseils de quartier Porte de Paris/Courlancy/Bois d’Amour et Croix-Rouge/Hauts de Murigny sera la désignation d’un co-animateur issu du collège des habitants et de statuer sur les détails du règlement intérieur. « Si la charte de la démocratie locale fixe un cadre général, il incombe désormais aux conseillers de quartier de fixer leurs règlements intérieurs pour chaque conseil » ajoute Ali Aissaoui.
Danièle conseillère de quartier Croix- Rouge/Hauts de Murigny avouait son impatience : « Maintenant que les personnes sont en place, j’ai hâte de commencer à travailler. » _ H. C.
Toutes les réunions des Conseils de quartier sont publiques. Pour connaître les horaires et les lieux de réunion des Conseils de quartier consultez www.reims.fr ou appelez le Pôle Démocratie locale au 03 26777679.
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Mohammed, collège des habitants, Croix-Rouge/Hauts de Murigny
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Pour moi, les Conseils de quartier doivent être une force de propositions pour animer les quartiers, proposer l’organisation d’évènements.
Les jeunes ne sont pas très nombreux ce soir et c’est bien dommage, c’est pour cela aussi que je suis là, pour faire remonter les préoccupations des jeunes du quartier.
Danièle, collège des habitants, Croix-Rouge/Hauts de Murigny
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Je suis présidente d’une association de défense des locataires à Croix-Rouge, alors prendre part aux Conseils de quartier était une démarche presque naturelle. Pour moi, les problématiques liées au logement sont au centre des préoccupations des habitants.
Les Conseils de quartier peuvent être des endroits de dialogue entre les locataires et les bailleurs sociaux.
BUDGET 2009 Affirmer les fondations du Nouveau Reims
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Réuni en séance le lundi 26 janvier, le conseil municipal de Reims a adopté le budget de la Ville pour l’exercice 2009. Un budget qui imprime les ambitions poursuivies par Adeline Hazan et son équipe. A commencer par l’engagement de garantir la santé financière de la collectivité sur le long terme.
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• Investissements : 5,5M€ dont 2,36 M€ pour la construction des gymnases des quartiers Clairmarais et Croix-Rouge ; 0,48 M€ pour le gros entretien des autres gymnases ; 1,26 M€ consacré à la construction de vestiaires au stade Louis Blériot.
NOUVEAU REIMS : la Ville change avec vous
Le Programme de Rénovation Urbaine : un enjeu majeur pour l’avenir de Reims et le bien-être de sa population
Inédit par son ampleur, le programme de rénovation urbaine, présenté le 29 janvier par Adeline Hazan traduit plus que jamais l’ambition voulue par la municipalité : faire de Reims une ville dynamique et solidaire, rendue accessible à tous et où chacun peut trouver sa place. Dans cette transformation de la ville, rien ne se fera sans les habitants. Agir ensemble est une nécessité : la concertation locale et la participation des habitants à la rénovation urbaine seront au coeur de la démarche du programme.
Embellir les quartiers, les rénover, les animer, le programme de rénovation urbaine se décline sur quatre quartiers : Croix- Rouge, Wilson, les Epinettes et Orgeval. C’est l’un des cinq plus gros dossiers de rénovation des quartiers en France. Une nouvelle ambition pour Reims qui repose sur trois enjeux fondateurs, le développement et le renouvellement de l’offre de logements sur la ville, la revitalisation économique des quartiers par la création d’entreprises et d’emplois, une meilleure mixité sociale rendue possible par une offre diversifiée de l’habitat et de nouveaux lieux de vie.
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Avec 20 000 habitants, 11 % de la population rémoise habite dans ce quartier construit dans les années 1960. Avec 9000 logements dont 70 % de type HLM, le quartier représente 23 % du parc locatif social de Reims. Croix-Rouge est aussi fréquenté par 18 000 étudiants (facultés de Lettres, Droit, Sciences Economiques, Médecine, Pharmacie, Dentaire, l’Ecole Supérieure de Commerce de la CCI). Croix- Rouge comprend trois secteurs : Eisenhower/Université, Pays de France et Croix-du-Sud. Avec sa médiathèque, sa piscine municipale, le Centre Hospitalier universitaire et ses facultés, le Projet s’appuie sur toutes ces forces pour améliorer l’implantation de commerces, de services et de loisirs.
Se substitueront aux 65 logements démolis, 275 logements neufs construits par le Foyer Rémois, la Foncière Logement et Reims Habitat de part et d’autre de la rue Pierre Taittinger. 275 autres seront réhabilités et résidentialisés. La résidentialisation consiste à donner un caractère privé aux immeubles en améliorant un hall d’entrée ou en aménageant un jardin en pied d’immeuble.
Sur le secteur Pays de France, la passerelle devrait être démolie pour l’été 2009. Les commerces seront transférés vers Arago au pied d’immeubles neufs de 4 étages construits par le Foyer Rémois. A Croix-du- Sud, la passerelle avait déjà été démolie au cours de l’été 2007.
Les commerces non encore déplacés seront transférés dans le cadre d’une opération en cours d’étude qui comprendra notamment une Maison de la Santé. 450 logements seront réhabilités. 80 logements neufs construits par l’Effort Rémois se substitueront aux 75 démolitions prévues dans ce secteur situé à proximité de la Médiathèque et traversé par le tramway.
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Le nouveau programme de rénovation urbaine mobilise les Rémois dans la réflexion pour ce projet collectif. Cette transformation majeure de l’espace urbain se fera en tenant compte des attentes des habitants et en les associant au projet. Des réunions publiques, animées par Adeline Hazan, maire de Reims et Eric Quénard, 1er adjoint chargé du logement et de la politique de la ville se tiendront dans les quartiers pour organiser le débat avec les habitants.
• Orgeval : vendredi 6 février, salle polyvalente du Lycée Colbert, 56 rue du Docteur Albert Schweitzer. 18h30 - 20h
• Croix-Rouge (Croix-du-Sud) : jeudi 12 février, salle Mauriac, 4 avenue François Mauriac. 18h30 - 20h
• Croix-Rouge (Pays-de-France) : mercredi 18 février, salle Mauriac, 4 avenue François Mauriac. 18h30 - 20h
• Croix-Rouge (Université) : jeudi 19 février, salle Mauriac, 4 avenue François Mauriac. 18h30 - 20h
• Les Epinettes : jeudi 5 mars, Maison de quartier des Epinettes, 5 rue du Général Corbineau. 18h30 - 20h
• Wilson : jeudi 12 mars, salle Rossini, 4 rue G. Rossini. 18h30 - 20h
Tournoi de futsal
Le Complexe René Tys accueille ce dimanche 15 février de 8h à 21h, un grand tournoi régional de futsal.
Cet évènement parrainé par le district marne football est le premier rassemblement de futsal de cette importance dans le département où 16 équipes représentant les 5 départements de la région vont s’affronter.
Buvette, restauration rapide, concours de jonglage, démonstrations de capoiera, spectacle de danse brésilienne, mix de DJ, tombola seront également au programme.
Entrée gratuite. Renseignements au 06.50.32.84.68.
LA VIE DES QUARTIERS : QUARTIER CROIX-ROUGE- HAUTS DE MURIGNY
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C’est dans le cadre de sa saison artistique que le Manège de Reims investit des quartiers rémois avec des projets hors les murs. Le premier rendez-vous va se dérouler à Croix-Rouge du jeudi 5 au vendredi 20 février, avec la Compagnie HVDZ, équipe constituée d’une quinzaine d’artistes ayant La Nacelle pour lieu d’attache.
Pour Guy Alloucherie, qui dirige HVDZ, Les Veillées sont une immersion, le moyen d’inventer des formes d’art où les gens se sentent concernés et portent un nouveau regard sur leur environnement. Danse, théâtre, vidéo, cirque et paroles de personnes rencontrées mettent en jeu les habitants et les salariés de la compagnie. Ce qui revient à proposer du spectacle vivant au contact et à l’appui des acteurs vrais du quartier. Au final, les représentations prévues le 20 février à 18 h et 20 h 30 au Gymnase Géo André vont brasser des gens qu’autrement rien ne réunirait. « Sinon, à quoi bon » dit Guy Alloucherie.
Entrée libre sur réservation auprès du Manège, tél. : 0326473040.
Depuis la mi-janvier et pour une durée de deux mois (sauf intempéries) des travaux de génie-civil concernant la future plate-forme tramway modifient la circulation place Jean Donatini et avenue Léon Blum. La rue Donatini est fermée à la circulation. Sur la place Donatini, la circulation est maintenue à double sens.
L’avenue Léon Blum est mise à sens unique en direction de la rue Joliot Curie. L’accès à la place Maurice Utrillo venant de la rue du Maréchal Juin ou de l’avenue du Général Koenig s’effectue par le rond-point de l’avenue d’Epernay.
Les arrêts de bus sont modifiés, renseignements N° Vert 0800003038 et www.tur.fr
• Adapté du roman de Guillaume Guéraud, « Je mourrai pas gibier » repose sur un fait divers. Comment, au cours d’un mariage, un adolescent sans histoire en vient-il à tuer plusieurs personnes ? Un démontage précis du mécanisme de la violence. Spectacle de la compagnie Filages, pour adultes et adolescents à partir de 13 ans. Mercredi 4 février, 15 h en Salle heure du conte (1er étage).
• Conçu par la plasticienne Armelle Blary et porté par l’organisme logeur Reims Habitat, le projet Autre peau/Autre ville s’est déroulé sur les deux années 2007-2008. L’objectif, au moyen d’interventions artistiques, était de sensibiliser et d’associer les habitants à la démolition des immeubles situés sur l’esplanade Eisenhower. Faisant l’objet d’un livre, l’exposition présentée jusqu’au 28 février réunit les installations, tableaux, gravures ainsi que des photographies d’Alain Hatat qui a suivi ateliers et événements. Le projet a été financé par la Ville de Reims, l’A.C.S.E, le Conseil Régional, le Conseil Général et Reims Habitat dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale.
• Le Club de lecture est tourné vers le monde des littératures de l’imaginaire telles que la science-fiction, le fantastique, la fantasy. Lors de chaque atelier, adultes et adolescents sont conviés à découvrir une sélection de romans. Prochain rendez-vous : samedi 14 février de 14 h à 16 h, renseignements et inscriptions au premier étage.
Ce sont des livres accessibles à tous.
Samedi 7 février 2009, de 14 h à 18 h à l’Espace Billard, vous aurez le choix. Les livres seront proposés pour une somme modique : de 0,20 à 2 euros.
Pour plus de renseignements : Maison de quartier Croix Rouge-Espace Billard, tél. : 0326080878. billard@maisondequartier-reims.fr
Vincent vous propose une randonnée le 23 février autour de la Garenne d’Ecueil. Le point de départ est à l’Espace Watteau. Covoiturage possible. Pour plus de renseignements : Maison de quartier Croix Rouge-Espace Watteau, tél. : 0326360350.
watteau@maisondequartier-reims.fr
C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge :
1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020
Jours et heures d’ouverture :
• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.
Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h
INSCRIPTIONS SCOLAIRES DANS LES ANTENNES MUNICIPALES
Pour l’année scolaire 2009-2010, elles se dérouleront du 17 mars au 13 juin 2009 dans les antennes municipales de la Ville de Reims : Châtillons, Croix-Rouge, Europe, La Neuvillette, Murigny et Orgeval et auprès de l’antenne mobile, tél. : 0616392102.
Horaires :
Lundi matin de 8 h 30 à 12 h seulement pour l’antenne Orgeval.
Lundi de 14 h à 17 h 30.
Mardi à vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 14 h à 17h30.
Samedi matin de 8h30 à 12 h, sauf l’antenne Orgeval.
Vous pourrez aussi vous présenter à partir du 14 avril et jusqu’au 12 juin 2009 au service Education de la Ville de Reims, 4 rue Jovin, du lundi au jeudi de 8h30 à 12 h et de 13h30 à 17h30 et le vendredi de 8h30 à 12 h et de 13h30 à 17 h.
• carnet de santé de l’enfant (pour contrôle des vaccins)
• livret de famille
• justificatif récent de domicile (quittance de loyer et d’E.D.F)
• éventuellement, extrait de jugement de divorce ou de séparation précisant le lieu de résidence de l’enfant et l’autorité parentale
• certificat de radiation si l’enfant est déjà scolarisé.
Pour tout autre renseignement, appelez le 0326777633 ou 34 ou 31.
Qui sont les animatrices "référent familles" dans les Maisons de quartier ?
Le référent familles anime différents espaces proposés aux parents et à leurs enfants : les lieux d’accueil et d’activité à destination de la famille ainsi que les lieux d’écoute, d’échange et d’information.
• L’animation de la salle d’attente de la consultation de jeunes enfants s’effectue en lien avec le service de Protection Maternelle et Infantile.
• Lieu d’accueil parents-enfants : c’est l’occasion de se retrouver entre familles du quartier et de vivre une activité avec son enfant (activités manuelles, cuisine, visite d’expositions, spectacles, sorties piscine, parcs…).
• La préparation à l’école maternelle permet aux enfants et aux parents de s’apprêter en douceur à l’entrée à l’école.
• Les sorties familiales sont l’occasion de partager des journées de découverte ludiques et/ou culturelles.
Dans chaque Maison, des journées ou semaines thématiques sensibilisent les parents aux diverses questions que pose l’éducation d’un enfant (alimentation, sommeil, autorité, droits et devoirs, être parents d’ados…).
Où trouver les animatrices "référent familles" : Maisons de quartier Cernay Europe, Châtillons, Croix Rouge (Billard, Pays de France et Watteau), Epinettes, Jean-Jaurès, Orgeval, Wilson, Maison Blanche.
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Sylvie Brin, animatrice à l’espace Billard, n’en revient toujours pas !
A la suite de l’appel lancé dans nos colonnes, les livres ont afflué, parfois par bibliothèques entières, pour alimenter sa bourse : il a fallu trente bénévoles pour monter tous les ouvrages reçus jusqu’au premier étage, les trier et les classer.
Le succès dépasse ses espoirs les plus optimistes puisque ce sont plus de 10.000 ouvrages qui sont présentés au choix du public : romans, épouvante, petite enfance, policiers, classiques, jeunesse, nature, animaux, dictionnaires, guerre, manuels scolaires, histoire, monde, géographie, cuisine, bricolage, environnement, loisirs créatifs,… : « A part les BD, il y a pratiquement tous les genres ! Certains sont neufs dans leur jaquette d’origine, d’autres sont très vieux et donc plutôt rares », précise-t-elle.
Les habitants se régalent : à des prix variant de 0,20 à 2 euros, c’est par sacs entiers qu’ils trouvent leur bonheur.
L’argent recueilli servira à financer une sortie familles, fin mai.
Quant aux livres qui n’auront pas trouvé preneurs, ils partiront dans des bibliothèques de villages au Burkina Faso et à Madagascar grâce à deux associations rémoises partenaires.
Bourse aux livres, espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures jusqu’au vendredi 13 février inclus. Renseignements au 03.26.08.08.78.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Comme chaque année, bénévoles, professionnels, usagers, partenaire) associatifs et institutionnels se sont retrouvés à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge à l’invitation de son président, Vincent Girardin, pour partager la galette des rois.
Ce moment particulier de rencontre et de convivialité a permis à chacun d’entendre le discours plein d’humour et de bon sens du président, qui affiche malgré la conjoncture un véritable optimisme.
Au passage, un hommage était destiné à Marie-France Millerioux (relations publiques du Manège), grâce à qui de nombreux projets culturels la portée de tous ont vu le jour dans le quartier.
Outre des questions locales, le projet urbain de Reims 2020 sera présenté dans chaque quartier.
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Après les séances d’installations, les premières réunions des conseils de quartiers vont commencer cette semaine. Voici les principaux thèmes qui seront évoqués sachant qu’à chaque fois s’ajoute un temps pour les questions diverses et le débat avec le public.
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Croix-Rouge - Hauts de Murigny (mercredi 11 mars, 19 heures, salle François Mauriac) : information sur le projet urbain Reims 2020 et sur le renouvellement urbain
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L’association Etoile Croix-du-Sud organise une brocante au sein de ses locaux vendredi 13 février de 8 à 17 heures, au 5 avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud.
Renseignements au secrétariat ou par téléphone au 03.26.06.56.66
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Le tournoi de France 1re division de danse sur glace est organisé par le Reims Acrap patinage samedi et dimanche 14 et 15 février à la patinoire Bocquaine.
« Nous allons accueillir 132 solos et 18 couples soit 168 patineurs venus de toute la France ! » précise la secrétaire Annie Manceaux.
Âgés de 8 à 22 ans, ils viendront des clubs d’Annecy, Belfort, Besançon, Béthune, Cergy-Pontoise, Châlons-en-Champagne, Dijon, Épinal, Évry, Lyon, Meudon, Rennes, Saint-Gervais, Villard-de-Lans et Reims (18 patineurs du Reims Acrap Patinage).
La première épreuve (danses imposées) se déroulera samedi de 8 heures à 18 h 30.
La deuxième épreuve (danses libres) commencera samedi de 18 h 30 à 22 h 15 et continuera dimanche de 7 à 18 heures.
Patinoire Bocquaine. Entrée libre, sans réservation.
Le collectif des locataires de Croix-Rouge prépare la manifestation qu’il souhaite mettre en œuvre dans le secteur Eisenhower le dimanche 31 mai de 9 à 18 heures : une brocante associée à des stands et des démonstrations des activités d’associations.
Le président, Fabrice Lopez, organise, à cette fin, une réunion préparatoire le mercredi 11 février à 18 h 30, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14, rue Pierre-Taittinger.
Renseignements au 03.51.00.27.69.
L’hebdo du vendredi- n° 110 - 090206f
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 110 - Semaine du 06 au 12 février 2009
EXPOSITION : « Autre peau /Autre ville » : suite et fin d’une histoire
Alain Hatat parcourt le quartier pour des portraits en noir et blanc.
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Soutenu par l’organisme Reims Habitat depuis 2 ans, le projet artistique lié à la démolition d’immeubles finit sa course à la médiathèque Croix-Rouge. Rétrospective jusqu’au 28 février.
C’est une longue page qui se referme sur 2 années d’un travail riche et diversifié, tant sur le plan artistique que relationnel. Écoles, associations, organismes, foyers… tous les habitants du quartier ont pris part au projet de l’artiste Armelle Blary, autour de la démolition sensiblement traumatisante (et maintenant imminente) de 4 immeubles du quartier Croix-Rouge. Les différentes œuvres ont donc été réunies à la médiathèque, proposant une rétrospective globale de tout le travail accompli : meubles récupérés, chambre réaménagée, bandes de peinture personnalisées, parterre de mots pour fleurir le quartier… Chacun a pu trouver sa place au sein du projet, décliné en de multiples ateliers. « Il y a un fossé qui se creuse entre les impératifs nationaux et la vie locale des habitants », note Armelle Blary au sujet de la destruction des tours. « Le rôle de l’artiste peut éventuellement consister à construire un pont entre ces deux univers. La meilleure des recettes ? Une communication permanente et une écoute sincère ».
Ce pont, Alain Hatat, photographe, a également contribué à l’élaborer.
Suivant pas à pas le déroulement du projet, fixant les moments clef (des petites mains acharnées aux vernissages enchantés), il a lui aussi joué le jeu du dialogue : « c’est une opportunité formidable de participer à un tel projet : pouvoir rencontrer autant de personnes, issues de milieux si diversifiés, partager leur travail et leurs émotions… je n’ai même pas réfléchi. D’ailleurs, personne ne réfléchit jamais avant de travailler avec Armelle ». L’album souvenir défile donc au-dessus des œuvres, inscrivant une nouvelle page à l’histoire du quartier. Une page tout en images, pour se remémorer.
Pauline Godart
URBANISME : Rénovation Urbaine 2008-2011 : plus qu’un simple projet municipal
Entourée des représentants des bailleurs sociaux, de l’Etat et des collectivités locales, la Maire a présenté le programme de rénovation des trois ans à venir.
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Au lendemain de la présentation du projet Reims 2020, la municipalité a dévoilé jeudi 29 janvier les grandes lignes du programme de rénovation urbaine pour le Nouveau Reims 2008-2011, destiné à redynamiser quatre quartiers clés de la ville.
Bouclé à 98% par la précédente équipe municipale, cet ambitieux programme prévoit, dans le cadre de la convention signée avec l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine, le déblocage de 468 M € destinés principalement au logement et à la revitalisation économique des quartiers Epinettes, Croix-Rouge, Wilson et Orgeval. Le Département, la Région, les bailleurs, Reims Métropole et les collectivités locales soutiendront aussi le projet.
13 462 logements sont concernés par le projet. A Wilson, 200 logements restent à démolir tandis qu’on attend la réhabilitation de 716 autres. La réhabilitation touchera 1 676 logements à Croix-Rouge, 50% du parc social d’Orgeval et 190 habitations aux Epinettes. En parallèle, on construira respectivement 570 et 212 logements à Croix-Rouge et aux Epinettes. « Tant pour le neuf que pour la rénovation, nous ferons preuve d’une haute qualité environnementale dans le renouvellement urbain » souligne Patrick Baudet, directeur de Reims Habitat et représentant des bailleurs sociaux. Il s’agira en effet de répondre aux besoins actuels en matière de logement tout en améliorant la qualité de vie des habitants. L’accent sera principalement mis sur les locataires qui représentent aujourd’hui 70% des ménages de l’agglomération, dont 40% vivent en logements sociaux. « Nous nous efforcerons de proposer une grande diversité dans l’offre de logement, dans le but notamment de faciliter l’accession sociale à la propriété » conclut Adeline Hazan, maire de Reims, sur ce chapitre.
Les quatre quartiers impliqués dans le programme de rénovation sont également des bassins d’activité économique et leur développement est donc crucial. Il passe par une mobilisation des financements du Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce pour aider les commerces existants ou faciliter les projets de création d’entreprises.
En outre, la Charte nationale d’Insertion, permettant aux jeunes, grâce à une clause d’embauche, de trouver un emploi dans le BTP s’appliquera aux quatre quartiers. Grâce à son inscription en Zone Franche Urbaine (ZFU) en 1997, Croix-Rouge a pu développer ses activités et faciliter la création d’emplois sur son secteur. La CCI de Reims appuiera bientôt les efforts du quartier en ouvrant un guichet unique pour l’accompagnement dans la création d’entreprise. La ZFU sera, elle, étendue au quartier Wilson.
Tous ces changements s’accompagneront d’une consultation régulière des habitants. Réunions publiques (voir encadré), conseils de quartier et ateliers urbains de proximité, des outils qui renforceront l’implication des riverains dans le projet et la mixité sociale dans leurs quartiers. Un pari sur l’avenir qui, s’il s’avère payant, placera la Cité des sacres au coeur des métropoles les plus dynamiques du Grand Est.
Aymeric Henniaux
Renseignements : www.ville-reims.fr rubrique Urbanisme & Logement
Quartier Orgeval :
vendredi 6 février à 18h30 au lycée Colbert, 56 rue du Docteur Schweitzer.
Quartier Croix-Rouge :
jeudi 12 février à 18h30 concernant le secteur Croix du Sud.
mercredi 18 février à 18h30 concernant le secteur Pays de France.
jeudi 19 février à 18h30 concernant le secteur Université.
Lieu : salle Mauriac, 4 avenue François Mauriac.
Quartier Les Epinettes :
jeudi 5 mars à 18h30 à la Maison de quartier, 5 rue du général Corbineau.
Quartier Wilson :
jeudi 12 mars à 18h30 dans la salle Rossini, 4 rue Gioacchino Rossini..
Conférence – Médecins sans Frontières
Une Conférence-Débat est organisée, lundi 9 février de 17 à 19 h par l’Institut Régional Universitaire de Sciences Sociales Appliquées et Médecins Sans Frontières, à la Fac Sciences éco, Campus Croix, Rouge, Amphi bâtiment Recherche.
Le thème : « Humanitaires et développeurs face à la crise alimentaire : Retour sur la crise nigérienne de 2005 ».
Elle sera animée par Xavier Crombé, membre de Médecins Sans Frontières depuis 2000.
SAMEDI 7 FÉVRIER : Concerts : « Reggae Night Fever
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L’association Patagaya présente « Les Reskapés », « Melting Pot » et « Krisis ».
A découvrir sur www.myspace.com/lemeltinpot et www.myspace.com/lesreskapes
A 20h – Tarif : 10€
Centre culturel du Crous, campus Croix-Rouge
Depuis juin 2008, l’institut Michel-Fandre, établissement spécialisé chargé d’accueillir et d’accompagner enfants et adolescents malvoyants et non-voyants, fait fort pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Louis Braille, le 4 janvier 1809.
Avec le soutien de quelques sponsors et la complicité active de la médiathèque Jean-Falala, Daniel Repoux, instructeur de braille à l’institut, a mis en place un spectacle qui sera offert le jeudi 12 février en matinée aux scolaires et en soirée à tout public.
À l’auditorium de la médiathèque Jean-Falala, Philippe Lejour et Céline Liger liront des contes puisés dans la culture des peuples du monde entier. Ces textes, recueillis, adaptés et traduits en français par Ré et Philippe Soupault, ont été publiés dans le « Recueil d’histoires merveilleuses des cinq continents » aux éditions Seghers. Au cours de cette soirée, sera présentée une édition en braille, accompagnée d’un CD audio du recueil de contes « L’étoile et le nénuphar » de Ré et Philippe Soupault.
Cette manifestation est l’aboutissement d’un travail de 6 mois.
La séance de 14 heures se jouera à guichets fermés avec les écoliers et les collégiens des établissements partenaires de l’institut Michel-Fandre. Pour la séance tout public en soirée, l’entrée sera libre dans la limite des places disponibles.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090206d
Numéro 7275 du 02 au 08 février 2009.
Les représentants de l’État, des collectivités locales et des bailleurs sociaux ont présenté le programme 2008-2011.
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Reims entre dans une phase de renouvellement urbain avec un programme de rénovation urbaine 2008-2011 et un projet Reims 2020 destinés à donner à la ville et à son agglomération le visage du XXIe siècle.
« La proximité des deux opérations n’est pas un hasard du calendrier », soulignait Adeline Hazan à l’heure de présenter à la fois son projet Reims 2020 (voir ci-dessous) et son programme de rénovation urbaine pour 2008- 2011. Ce dernier concerne quatre quartiers rémois : Wilson, Croix-Rouge, Orgeval et Les Epinettes. Un budget de 468 M€ lui sera consacré, financé par l’État (via l‘Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine, la Caisse des dépôts et consignations et la DDE de la Marne), les bailleurs sociaux (le Foyer rémois, l’Effort rémois, Reims habitat et Adoma) et les collectivités locales (la Ville, Reims Métropole, la Région et le Département). Jean-Jacques Caron, sous-préfet de Reims rappelait l’implication de l’État dans le projet, à hauteur de 100M€ : « un engagement à hauteur des enjeux et du partenariat ».
ZONE FRANCHE URBAINE
Outre la rénovation et la réhabilitation de logements - 13 462 seront concernés - le programme comprend aussi la revitalisation économique des quatre quartiers, passage obligé de leur attractivité. Inscrit en Zone Franche Urbaine depuis 1997, le quartier Croix-Rouge a, grâce à ce dispositif, accueilli des activités de commerces, des entreprises et des emplois de services. Aujourd’hui, la Chambre de commerce et d’industrie de Reims et d’Epernay accompagne cet effort en mettant en place un guichet unique pour la création d’entreprise. L’opération de rénovation urbaine prévoit d’étendre cette Zone Franche Urbaine au quartier Wilson. Les entreprises bénéficieront d’avantages sociaux et fiscaux pour s’y installer et de nouveaux locaux destinés à l’implantation de commerces seront construits par les bailleurs partenaires de l’opération. Autre volet de la revitalisation économique : le soutien au commerce se traduira par l’intervention de financements du FISAC (Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce). Ce fonds a été créé par l’État pour venir en aide aux commerces existants dans les quartiers et aux habitants des ZUS projetant de créer leur entreprise commerciale. Il participe au financement de 40 % de ces projets estimés à 25000 euros en moyenne. Enfin, l’emploi, levier essentiel de toute activité économique devrait lui aussi être encouragé, notamment par le biais de la Charte Nationale d’Insertion. Ce document prévoit d’intégrer les habitants des quartiers en recherche d’emploi dans les entreprises chargées de réaliser les travaux. « 5% minimum des heures travaillées doivent être réservées aux personnes des ZUS », précise Adeline Hazan, qui dit se montrer vigilante à ce que ces engagements soient remplis, avec l’aide et la mobilisation du Pôle emploi et des acteurs associatifs locaux.
DES BAILLEURS CONCERNÉS
Représentant des bailleurs partenaires de l’opération, Patrick Baudet a rappelé l’implication des bailleurs sociaux dans la rénovation urbaine et le calendrier à respecter. « Nous avons trois ans pour tout engager, jusqu’au 31décembre 2011, et cinq ans pour tout terminer, soit jusqu’au 31 décembre2013 ». Rénovation de logements anciens, résidentialisation d’espaces extérieurs, construction de nouveaux logements, aide à l’accession sociale à la propriété… tout sera réalisé selon les critères du Développement durable. « Mettre en oeuvre la haute qualité environnementale dans le renouvellement urbain est dans la droite ligne de notre responsabilité de bailleur aussi bien dans le neuf que dans la rénovation », a souligné Patrick Baudet.
Benjamin Busson
Reims 2020 : le grand projet urbain
Trois équipes d’urbanistes vont travailler sur le futur des territoires situés dans un rayon de 60 km autour de Reims.
« Il nous revient de préparer l’avenir de notre territoire.Nous devons prendre la mesure des menaces qui pèsent sur notre avenir et des chances que nous pouvons saisir ». Devant un parterre d’acteurs de l’économie locale, d’élus et de représentants de la vie civile rémoise, Adeline Hazan a présenté le lancement de son projet Reims 2020. Son ambition dépasse largement les frontières de l’agglomération et du Pays rémois, s’élargissant jusqu’aux limites définies par le G10, à une soixantaine de kilomètres autour de la cathédrale. « Il s’agit d’accéder au rang des métropoles européennes de premier plan. Il s’agit de rendre Reims plus attractive, plus rayonnante, pour lui permettre d’attirer plus d’emploi, d’accueillir plus d’habitants », a expliqué la maire. Lors de l’appel d’offres lancé par Reims Métropole, 43 cabinets se sont portés candidats à la réalisation de l’expertise, signe que le devenir du pays rémois intéresse les professionnels de l’aménagement du territoire. Trois équipes, dirigées par trois Grands prix de l’Urbanisme, ont été retenues. Elles devront travailler sur l’ensemble du territoire sans se limiter aux frontières administratives. Et surtout, elles effectueront leur travail selon une approche d’un genre nouveau puisqu’elles ne seront pas placées en concurrence. Les trois équipes établiront chacune un diagnostic qu’elles partageront entre elles avant de formuler des propositions.
PARTICIPATION DE LA POPULATION ET DES ACTEURS ÉCONOMIQUES
Architectes, sociologues, économistes, ingénieurs, urbanistes plancheront pendant une dizaine de mois sur les traits du Reims de 2020 En novembre 2009, les équipes présenteront leurs travaux et les différentes perspectives seront débattues lors d’un grand colloque. Entre temps, la maire prévoit d’associer la population et les acteurs de la vie économique à travers l’organisation « d’initiatives publiques, de rencontres, d’expositions et de débats ». Elles devront répondre à plusieurs questions structurantes : quelle échelle pour l’agglomération ? Quelles solidarités entre les territoires ? comment créer de nouveaux axes de développement ? Quelle prise en compte des enjeux climatiques ? Comment créer de l’intensité dans le territoire, susciter de la vie, de l’activité ? Quelle stratégie d’implantation pour les équipements publics ? Un vaste et ambitieux chantier en perspective dont seules les applications concrètes permettront de mesurer le succès.
Benjamin Busson
Reims prend de la hauteur pour 2020
Reims 2020 et le programme de rénovation urbaine 2008-2011 devraient offrir un nouveau visage à la métropole rémoise.
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« Accéder au rang des métropoles européennes de premier plan ». Telle est l’ambition de l’équipe de la maire de Reims Adeline Hazan. Pour ce faire, elle a présenté, la semaine dernière, deux projets d’envergure destinés à donner un coup de fouet à l’agglomération rémoise.
Le projet urbain Reims 2020 prévoit le travail de trois équipes d’urbanistes qui devraient rendre leurs copies en novembre prochain et présenter leurs propositions pour leur vision du pays rémois dans une décennie. Autre axe de développement : le programme de rénovation urbaine 2008-2011.
Il prévoit toute une série de transformations des quartiers Wilson, les Epinettes, Croix-Rouge et Orgeval en lien avec les services de l’Etat et les bailleurs sociaux. La revitalisation économique des quartiers figure au cœur du projet.
Maître d’ouvrage :
Société d’HLM PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Maître d’œuvre conception :
11, rue de l’Ecu
51100 REIMS
Tél. 03.26.47.69.01
Fax 03.26.88.67.31
Maître d’œuvre réalisation :
7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Tél. 03.26.04.98.51
Fax 03.26.47.92.63
Objet : Construction de 36 logements rue Joliot Curie à Reims (Marne). REF. CN-020209
Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Composition du marché : Le marché est composé de 15 lots :
LOT 01 – Gros Œuvre
LOT 02 – Charpente métallique
LOT 03 – Etanchéité
LOT 04 – Menuiserie PVC
LOT 05 – Serrurerie
LOT 06 – Cloisons / Plâtrerie / Menuiserie Intérieure
LOT 07 – Ascenseur
LOT 08 – Electricité
LOT 09 – Plomberie
LOT 10 – Carrelage
LOT 11 – Parquet / Sols souples
LOT 12 – Peinture
LOT 13 – Traitement de façade
LOT 14 – VRD
LOT 15 – Espaces vert
Délai d’exécution : 20 mois
Date limite de réception des candidatures et des offres :
Le Lundi 2 Mars 2009 à 16 h 00, par dépôt ou envoi des dossiers au service marchés, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.
Les dossiers sont disponibles, à partir Vendredi 6 Février 2009, aux frais du candidat chez :
ICA – 34, rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61
Pour tout renseignement contacter :
G. KELLER, au 03.26.04.98.51 ou B. LABOUROT au 03.26.04.98.23 (Informations techniques)
Ou
Service Marchés : Au 03.26.04.99.05, ou au 03.26.05.92.33 (administratif)
Date de publication au JAL : L’UNION, éditions Marne, Aisne, Ardennes, le Vendredi 6 Février 2009, et L’EST REPUBLICAIN Meuse, L’EST ECLAIR Aube.
Si la moyenne annuelle de collecte est de 53 kg par habitant à Reims, le chiffre descend à 7 kg par endroits.
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Si la moyenne annuelle de collecte est de 53 kg par habitant à Reims, le chiffre descend à 7 kg par endroits.
Si les chiffres du tri à l’échelle de l’agglomération rémoise sont bons (53 kg de déchets recyclables par habitant contre 40 kg au plan national), les résultats sont décevants en habitat collectif dans certains quartiers.
Le 16 février, Reims Métropole va lancer, avec l’association Uni-cités, une opération spécifique pour essayer de convaincre les derniers récalcitrants.
Huit volontaires iront dans les quartiers où le tri est insatisfaisant, comme à Croix-du-Sud, par exemple, où 1 emballage sur 5 peut être recyclé et où le poids de collecte par habitant n’est que de 7 kg.
Ces « ambassadeurs du tri » iront également à la rencontre des gardiens d’immeubles, des associations, et organiseront des « moments de convivialité » comme des petits déjeuners au pied des immeubles.
L’association Etoile Croix-du-Sud organise un concours de belote dimanche 8 février au 5, avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud. Nombreux lots à gagner.
Inscriptions à 13 h 30 à l’association ou sur réservation.
Frais : 16 euros par équipe. Début de partie à 14 heures. Renseignements au secrétariat ou au 03.26.06.56.66.
Le service communal d’hygiène et de santé organise régulièrement des séances de vaccinations. Les prochaines se dérouleront :
mercredi 4 février de 9 h 30 à 11 heures à la Maison de quartier Wilson, 53, bd du Président Wilson, Tél. 03.26.06.48.21.
mercredi 11 mars de 9 h 30 à 10 h 30 à la Maison de quartier Croix Rouge - Espace Pays—de-France, 1, allée des Béarnais, Tél. 03.26.82.53.48
mercredi 11 mars de 14 à 15 heures à la Maison de quartier Croix Rouge - Espace Billard 14, rue Pierre Taittinger, Tél. 03.26.08.08.78.
Pour tous renseignements complémentaires, contacter le service communal d’hygiène et de santé, 33 bis, rue Laurent-Déramez, ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures le vendredi).
Accueil : Tél.03.26.35.68.70. ou 03.26.35.68.71.
Vaccinations : Tél.03.26.35.68.78. ou 03.26.35.68.79.
Désinfection : Tél.03.26.35.68.80.
Dératisation : Tél.03.26.35.68.81.
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Les habitants vont enfin savoir : faute de concertation, il y aura au moins information. Certains locataires ne savent toujours pas si leur immeuble va sauter ou non.
La culture du secret, les rumeurs retransmises çà et là ont généré des inquiétudes et des angoisses. Enfin, trois réunions essentielles sur l’avenir du quartier Croix-Rouge vont se dérouler dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac à 18 h 30. Dans le cadre du projet municipal « Nouveau Reims : la ville change avec vous. Programme de Rénovation Urbaine 2008-2011 », ces trois réunions d’information publique, seront l’occasion de découvrir les propositions « Croix Rouge : la démarche de relogement et le dispositif de concertation locale ».
La réunion du jeudi 12 février sera consacrée au secteur Croix-du-Sud, celle du mercredi 18 février sera consacrée au secteur Pays-de-France et celle du jeudi 19 février traitera du secteur Université. À ne manquer sous aucun prétexte !
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Week-end chargé au Reims Acrap patinage : la section patinage artistique était à Charleville-Mézières pour la 2e manche du challenge NPCA (Lili-Rose Plomion 2e et Juliette Wary 5e), pendant que la section danse sur glace avec 13 de ses patineurs se rendait à Dijon pour une compétition interclubs de la Ligue de l’Est.
Les patineurs se sont bien défendus et ont représenté dignement les couleurs de leur club.
En catégorie 7e cristal, Maeva Grenier pour sa toute première compétition remporte la 4e place. Pour le Préliminaire Plus, ce sont Chloé Pillet et Chloé Neiva qui prennent la 1re et la 3e place. En Pré-Bronze 1, Renan Manceaux et Christopher Guissant terminent respectivement 11e et 15e du groupe.
En catégorie Pré-Bronze 2, la très belle performance de Marine Ravaux, sur ses deux danses imposées, lui vaut la 1re place. Ses camarades Norina Dakeur et Jessica Guissant ne déméritent pas et s’attribuent les 4e et 10e places. En catégorie Bronze 1, c’est un groupe de patineurs du tournoi de France qu’ont affronté Margaux Abib-Gruet et Coralie Dehu. Elles terminent respectivement 10e et 16e. Pour la catégorie Bronze 2, Vinciane Manceaux et Perrine Monboisse montent sur la 1re et la 2e marche du podium après de belles danses imposées. En catégorie Argent, ce sont des patineurs de niveau national et international que Solène Manceaux a affrontés. Elle confirme ses performances de début de saison en décrochant la 6e place.
Ces compétitions confirment la qualité des patineurs du Reims Acrap patinage et permettent de peaufiner les derniers détails avant le prochain Tournoi de France qui aura lieu à Reims les 14 et 15 février à la patinoire Bocquaine.
Dimanche soir, vers 22 h 20, des policiers ont remarqué une voiture dissimulée derrière un buisson route de Bezannes. Un homme de 24 ans se trouvait à l’intérieur.
Dès que la portière fut ouverte, les narines policières ont été assaillies par des volutes cannabiques. L’automobiliste était en train de fumer un joint. Il avait une réserve de 2,8 grammes dans ses poches.
Déjà connu de la justice, il est convoqué le 10 mars devant le tribunal correctionnel.
Deux affaires de travail clandestin ont été jugées hier. La première, plutôt classique, concernait un restaurant chinois tandis que la seconde sortait de l’ordinaire un réfugié irakien qui tenait un salon de coiffure dans un local à vélos…
PENDANT près de deux ans, l’adresse d’un coiffeur a circulé sous le manteau au quartier Croix-Rouge. Sa seule publicité, c’était le bouche-à-oreille. Il ne prenait pas cher — seulement cinq euros n’importe quelle coupe - mais il ne fallait pas être très exigeant sur la qualité du salon.
Irakien de 35 ans en situation irrégulière, Ahmed K. recevait les clients dans le local à vélos du 11, rue des Savoyards ! Il avait tout le matériel nécessaire (ou presque) : une tondeuse, des peignes, des brosses, des ciseaux… En revanche, aucun fauteuil de haut -standing avec inclinaison et toute la technologie qui va avec : il n’y avait que deux chaises en plastique, d’une jolie couleur bleue. Quant au miroir, il était plus ou moins cassé.
Il manquait aussi les revues pour patienter.
Un local à vélos n’est pas conçu pour être raccordé au réseau d’eau. Le coiffeur avait donc à sa disposition un stock d’eau minérale qu’il utilisait pour mouiller la chevelure de ses clients. Couper les cheveux dans le noir, c’est risqué. Le local n’étant éclairé que par une minuterie, Ahmed K. avait contourné la difficulté en bricolant un branchement sauvage sur l’installation ’électrique.
Lumière à volonté, 24 heures sur 24 !
Le salon de coiffure clandestin aurait ainsi fonctionné pendant deux ans, de 2001 à 2003. La cohabitation s’est passée tranquillement avec les usagers du local à vélos, lesquels, d’ailleurs, profitaient en même temps du gardiennage. Jusqu’au jour où la police eut vent de l’affaire.
Consciencieux jusqu’au bout, l’enquêteur chargé d’interroger le coiffeur eut cette question : « Avez-vous déclaré votre activité aux organismes sociaux ? »
Bien sûr que non, d’où le renvoi de Monsieur K. hier au tribunal pour l’exécution d’un travail dissimulé. Originaire de la région de Bassora, l’homme serait arrivé en France il y a très longtemps. Il serait toujours à Reims mais on ne sait pas où. Même son avocat venu le représenter hier l’ignore. « Je l’ai eu au téléphone par l’intermédiaire d’une association de travailleurs maghrébins. Il m’a dit qu’il était à Reims. »
Me Modeste Mfenjou demande au tribunal de ne pas l’accabler. « On n’a jamais entendu parler de lui. Il se fait tout petit dans son coin. C’est quelqu’un qui veut s’en sortir par le travail mais personne n’a voulu l’embaucher. Il faut bien qu’il vive. Il a donc fait le coiffeur dans un local à vélos du quartier Croix-Rouge. »
Qu’est-il devenu ? Comment fait-il pour vivre aujourd’hui ? Aurait-il, ouvert un nouveau salon dans une autre cave d’immeuble ?
Le parquet avait requis quatre mois de prison avec sursis et 600 € d’amende. Le coiffeur ne coupe pas à une condamnation mais elle n’est « que » d’un mois de prison avec sursis. Il n’aura pas à s’arracher les cheveux pour réunir les 600 € que l’accusation voulait lui réclamer.
F.C.
Au guidon d’une motocross de 80 cm3, un jeune homme de 17 ans effectuait un rodéo place Jean-Fragonard, sans casque, lorsqu’une patrouille de la brigade anti-criminalité lui a demandé de s’arrêter.
Il a refusé d’obtempérer commettant plusieurs infractions routières avant de tomber par terre en escaladant un trottoir. L’adolescent â fait l’objet d’une convocation à un stage de citoyenneté.
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AZIZA et Sébastien se posent des questions. Ce couple de trentenaires sans histoire, parents de deux enfants et bientôt trois, souhaite, depuis bientôt 5 ans, quitter son HLM de Croix-Rouge, sans succès.
« Nous avons fait une demande de mutation en 2004 auprès de notre organisme logeur : l’Effort rémois. » Depuis et bien… rien ou presque. Et ce n’est pas faute d’avoir insisté.
Courriers à répétition, lettre d’appui de la ville de Reims pour madame, lettre d’appui de la sous-préfecture pour monsieur et même dernièrement une belle lettre signée du 1er adjoint à la mairie, Eric Quénard. « Quand nous l’avons montrée à l’Effort rémois, on nous a répondu : « ça ou rien c’est la même chose ». » Le premier adjoint expliquait pourtant dans sa lettre qu’il intervenait directement auprès de la direction de l’organisme logeur pour plaider leur cas…
Même si Aziza et Sébastien ont des revenus modestes, ils font partie de la classe moyenne. Lui est professeur d’électrotechnique au lycée Croix-Cordier de Tinqueux, elle est adjointe d’administration au sein de l’Éducation nationale. Ils n’ont jamais eu d’incidents de paiement. Fonctionnaires et bons payeurs : un rêve de propriétaires. « On tient à dire que nous ne sommes pas dans une situation désespérée. On peut même faire appel au secteur privé si on y est contraints, mais on veut simplement savoir comment sont attribués les logements car ça fait 5 ans qu’on galère… Bien sûr, notre demande n’est pas la plus facile à honorer. Nous avons demandé un pavillon mais on veut bien abandonner l’idée d’une maison pour un appartement. On veut juste une chambre fermée pour le bébé. »
Aziza est enceinte de 7 mois. Elle porte le 3e enfant du couple. Si tout se passe bien, Gabriel et Raphaël, les deux garçons de la famille, auront une petite sœur au mois d’avril. En 2004, quand on leur a attribué un appartement avec deux chambres, leur logement actuel, ils n’avaient qu’un seul enfant, le deuxième était déjà en route. « Suite à l’arrivée de ce 2e enfant, on a fait notre demande de mutation pour obtenir une troisième chambre fermée. On attend toujours. »
« Ce qui nous a vraiment énervés, c’est de voir des gens qui ont fait des demandes après nous obtenir un logement. On ne veut pas faire de délation, mais ça fait mal au cœur de voir des personnes qui ont fait une demande, il y a deux ans seulement, passer devant nous. On a l’impression que les logements sont attribués à la tête du client et que la nôtre ne leur revient pas… On a l’amère sensation que la procédure d’attribution n’est pas très démocratique. »
Sébastien, plutôt têtu et loin de se résigner, continue à appeler régulièrement depuis 5 ans son organisme logeur. « La dernière fois, la dame qui s’occupe de mon dossier n’a eu que ce mot : « Je suis désolée ». Je trouve ça un peu court. On cherche maintenant un moyen légal pour arrêter de payer directement notre loyer à l’Effort rémois mais on ne veut pas en arriver là car on deviendrait de fait des mauvais payeurs. »
Hier Aziza et Sébastien ont reçu leur première proposition depuis cinq ans. Le lendemain de notre appel à l’organisme logeur…
Alexandre Roger
« Pas de passe-droit »
L’organisme logeur qui a en charge le dossier d’Aziza et Sébastien vient d’envoyer une proposition au couple pour une location en maison individuelle. Rien à voir évidemment avec notre article…
Plus globalement, l’organisme logeur explique que les délais dans ce genre de dossier varient au cas par cas. « Il n’y a, en tout cas, aucun passe-droit ou privilège. Pour une demande de mutation, la procédure est la même pour tous : le locataire exprime son souhait. Nous venons le rencontrer, recueillons sa demande et recherchons ensuite un bien qui correspond à ce qu’il recherche. Les délais sont variables ensuite selon le bien recherché. Si vous voulez un pavillon en centre-ville cela sera évidemment plus long qu’un appartement ailleurs ».
L’organisme logeur indique également tenir compte de la situation des familles, si par exemple une personne est enceinte, handicapée etc… En 2007, 2.957 personnes avaient été logées par l’Effort rémois que ce soit en première demande ou en mutation.
L’auteur présumé d’un jet de pierres sur des policiers vient d’être identifié après enquête. Les faits remontent au 20 janvier. Ce soir-là, vers 18 h 30, les policiers rattrapent le pilote d’une moto qui avait refusé d’obtempérer sur l’avenue Léon-Blum au quartier Croix-Rouge.
Le fuyard se débat. Il ameute un groupe de jeunes à proximité. Ces derniers se rapprochent et prennent à partie les fonctionnaires en leur lançant des pierres. Il n’y a aucun blessé, aucun dégât. Les agresseurs s’enfuient sans pouvoir « libérer » leur camarade. Le suspect identifié par les enquêteurs est un adolescent de 16 ans. Il a reconnu sa présence sur les lieux mais a contesté avoir jeté des pierres. Si c’était lui, a-t-il déclaré avec un brin de provocation, il n’aurait pas loupé sa cible…
Le jeune homme s’est vu remettre une convocation devant le juge des enfants.
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LE sujet est chaque année très sensible : quelles seront les écoles qui verront, à la prochaine rentrée, des classes fermer ou ouvrir ? Ce vendredi, un comité technique paritaire départemental (CTP) doit se réunir à Châlons-en-Champagne pour dresser une liste d’établissements qui pourraient être touchés par ces mesures. Rien de définitif, mais une première approche avant le conseil départemental de l’Éducation nationale (CDEN) qui se déroulera le 16 février.
Avant le rendez-vous de vendredi, les syndicats ont lancé leurs premières banderilles en faisant circuler sur internet une liste issue d’une réunion avec l’inspection académique le 30 janvier dernier. Un « premier round », selon le Sgen-CFDT qui précise qu’« il ne s’agit pas de décisions mais de propositions d’étude ».
Le syndicat enseignant SE-Unsa en a fait de même sur son site internet.
Selon les données syndicales, une trentaine de fermetures de classes et une dizaine d’ouvertures sont à l’étude sur le secteur rémois (les chiffres varient à un ou deux près, car il n’existe pas de liste officielle, mais simplement des données récupérées lors de la commission école du 30 janvier dernier).
Du côté de l’inspection académique, on n’apprécie peu cette diffusion grand public. Selon Christian Adnot, inspecteur de l’éducation nationale, adjoint à l’inspection d’académie, la réunion de la commission école était « tout à fait informelle, un simple échange. Il ne s’agissait pas de prendre des décisions ».
Pour les syndicats, cette liste est évidemment modifiable mais elle a le mérite d’exister. « À l’issue du CTP de vendredi, on devrait avoir une vision beaucoup plus affinée, pertinente », indique Aline Geeraerts, secrétaire général SE-Unsa 51. « Le CDEN du 16 février sera encore plus précis. Ensuite, il n’y aura plus que quelques possibilités de modifier la liste, à la marge. »
Cette année, les discussions sur la rentrée 2009 sont compliquées par la réorganisation des Rased (réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté), pour lesquels les syndicats n’ont que très peu d’informations.
« D’après les derniers chiffres que nous venons de recevoir, il semblerait que les postes à rendre pour le département de la Marne seraient à hauteur de 43,5 pour le premier degré et 36 pour le second », souligne Aline Geeraerts.
Quoi qu’il en soit, les syndicats ne cachent pour leur inquiétude pour « une carte scolaire qui s’annonce assez raide », avec « des moyennes par classe qui seront plus élevées ».
G.A.-T.
Reims
Écoles maternelles : Fermetures de classes évoquées :
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Écoles maternelles : Ouvertures de classes évoquées : …
Écoles élémentaires : Fermetures de classes évoquées :
…
Sculpteurs-Jacques ;
Ravel-Franchet ;
Provençaux ;
Billard-et-Droit ;
…
Écoles élémentaires : Ouvertures de classes évoquées :
…
Source Sgen-CFDT
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Trois établissements d’enseignement supérieur rémois forment les futurs professionnels des travaux publics.
Pour leur permettre de compléter les connaissances théoriques par la pratique, ils viennent de signer une convention avec la société gestionnaire d’autoroutes Sanef.
Par cet accord, les apprentis techniciens et ingénieurs seront invités à découvrir la réalité de leur métier sur le chantier de l’A4 bis : le contournement sud de Reims qui entrera en service à l’été 2011.
La signature a réuni les représentants du lycée Arago ; de l’IUT - département génie civil ; et l’école d’ingénieurs des Arts et métiers (CNAM) ; autour de Dominique Demeilliers, le directeur de la construction de Sanef.
Concrètement, les étudiants auront accès au chantier, mais aussi aux plans et documents techniques du projet.
Pour mémoire, le futur contournement s’étirera sur 14 km, entre Thillois et Taissy, via Chamfleury, où un échangeur permettra de rejoindre la RN51 vers Épernay.
J.-F.S.
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Travailler ensemble, d’égal à égal, accompagner les porteurs de projets liés aux musiques actuelles, c’est le but de la charte de développement de Pôle Sud Musique qui vient d’être signée.
« AVEC cette charte, nous sommes à parts égales entre les institutions et les associations » : Boris Claudel, coordinateur du réseau Pôle Sud Musique accueillait, vendredi soir, élus, bénévoles et partenaires à l’Espace Apollinaire pour la signature de la nouvelle Charte de Développement.
Rappelons que Pôle Sud Musique a été voulu, à sa création, comme « le regroupement des structures culturelles de proximité des quartiers Sud de Reims, qui proposaient des activités liées au secteur des musiques actuelles amateurs ».
Le passage en Maisons de quartier, la reconnaissance du réseau en pôle de compétences, l’ouverture de La Cartonnerie, l’ont amené à intégrer en son sein les musiciens et les associations musicales.
« Nos projets 2009, avec l’équipe du « Nouveau Reims », c’est de répondre le plus vite possible aux attentes des musiciens locaux : organisation de concerts, accueil, formation des musiciens, salariés et associations » explique Boris Claudel.
« Notre partenariat privilégié avec Pôle Sud nous permet de régler certains problèmes », a souligné Etienne, d’Oxal’Art, l’une des associations représentées, avec Caktus, Patagaya et Carma.
« Toutes les Maisons de quartier impliquées dans la diffusion et la création culturelle, c’est un volet que nous avons soutenu et développé », a assuré Jean-Paul Hubert, président de la Fédération Régionale des MJC, l’un des signataires.
« Pôle Sud Musique apporte la diversité et la qualité culturelle dans les quartiers », a ajouté Jean-Pierre Ettel, président de l’association des Maisons de quartier, l’autre signataire.
« Il ne faut pas de lieu qui monopolise, il faut aussi des endroits pour l’accompagnement des artistes et associations, je souhaite que cette étape soit le renouveau d’une politique globale en ce sens », a ajouté Thierry Wippler, conseiller délégué aux cultures émergentes.
Début 2009, une autre charte va fixer les conditions d’organisation des concerts : sécurité, vente d’alcool, bruits et précautions diverses.
Armés d’un fusil, les deux braqueurs arrivés par cette entrée du Quick Croix-Rouge ont mis moins de trois minutes pour se faire remettre le contenu du coffre-fort.
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Encore un braquage à Reims, cette fois-ci au restaurant Quick de Croix-Rouge. Dimanche soir à la fermeture, deux hommes ont menacé d’un fusil les cinq employés pour se faire remettre le contenu du coffre-fort.
ÇA n’en finit plus ! Un énième vol à main armée a été commis dimanche soir à Reims, cette fois-ci au préjudice du restaurant Quick de Croix-Rouge, avenue Bonaparte. Au nombre de deux, les malfaiteurs ont sévi à la fermeture alors qu’il n’y avait plus aucun client dans l’établissement.
« Il était 22 h 30. Les deux individus sont arrivés par l’entrée de la terrasse et se sont dirigés directement vers le local administratif », raconte le directeur du Quick, Christophe Petit, absent au moment des faits. « Il y en a un qui était masqué, l’autre encagoulé. Ils avaient un fusil. Sur le chemin, ils ont croisé une équipière occupée à fermer les caisses. Ils lui ont demandé de les emmener au coffre-fort. Ils sont arrivés dans le local, où ils ont fait face à la manager. »
Deux autres équipiers se trouvaient à proximité. Ils sont partis en courant mais l’un des braqueurs les a rattrapés sur le parking. Ils ont été contraints de revenir dans le restaurant. Le cinquième et dernier salarié encore présent s’occupait de la fermeture des différentes portes. Il n’avait encore rien remarqué mais, au moment où il s’apprêtait à fermer l’entrée de la terrasse, voie d’accès des agresseurs, ces derniers sont allés le chercher à son tour.
Toute l’équipe s’est retrouvée cantonnée près du local administratif, où les malfaiteurs se sont fait ouvrir le coffre. « Ils ont pris une somme relativement mineure, aux alentours de 1.000 euros », estime le directeur, « puis ils sont repartis par le même chemin. Ça a duré deux minutes, deux minutes trente. Les policiers sont arrivés juste après. »
La première patrouille arrivée sur les lieux a loupé les fuyards de quelques dizaines de secondes seulement. Un homme a été vu en train de courir sur le parking, mais il n’a pu être rattrapé.
La direction de fuite est inconnue, de même que l’usage éventuel d’un véhicule. « Ils sont partis un peu vite, car il y avait quelques centaines d’euros qui traînaient dans la salle du restaurant », précise le directeur.
Une somme d’environ 450 euros perdue par les malfrats lors de leur fuite a en effet été récupérée par terre.
Si aucune des victimes n’a été frappée, l’une d’elles, choquée, est repartie en pleurs. Ce vol à main armée est le troisième subi par le Quick de Croix-Rouge. Les deux précédents remontent déjà à plusieurs années et s’étaient produits à quelques semaines d’intervalle.
Il y eut d’abord une employée attaquée à l’ouverture par un homme qui lui avait mis un couteau sous la gorge, puis une agression commise en milieu de matinée par deux hommes qui avaient gazé et mis en joue le personnel avec une arme à feu.
Le braquage de dimanche soir vient allonger la longue liste des vols à main armée - pratiquement une vingtaine - déplorés depuis la fin novembre dans les commerces de l’agglomération rémoise.
L’enquête sur cette nouvelle affaire a été confiée aux policiers du Service régional de police judiciaire (SRPJ).
Hier après-midi, une « réunion de coordination » a été organisée entre le SRPJ et la sécurité publique de Reims, saisie de la plupart des autres faits, « pour unir nos efforts », explique un participant à la réunion.
Objectif : mettre un terme à cette série noire dont l’origine - faute d’avoir pour l’instant identifié des auteurs - échappe à toute explication apparente.
Fabrice Curlier
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Dans le cadre de la semaine nationale de prévention du suicide, vingt-cinq bénévoles des associations Intercampus, Psyché (étudiants en psychologie) et du comité des internes de Reims-Champagne-Ardenne et du réseau national d’associations d’étudiants Fage vont mener des actions de sensibilisation sur ce thème, aujourd’hui mardi 3 février de 9 à 17 heures sur le campus Croix Rouge. Voici le programme de la journée.
En participant à l’événement « Un message pour la vie » les étudiants pourront écrire un petit texte, un poème ou une citation sur une borne mise à disposition pour témoigner leur soutien aux personnes en situation de souffrance psychique. Ces messages seront affichés sur grand écran toute la journée en boucle, et en musique, à la manière d’un fil rouge.
Une seconde borne interactive sera également mise en libre accès et sur laquelle les étudiants auront la possibilité de répondre à des tests. Un imprimé de ce texte pourra être retiré et interprété par et avec un psychologue, ou un interne en psychiatrie, ou les deux sous la forme d’un entretien personnalisé avec les étudiants.
Des internes en médecine, et notamment en psychiatrie, seront présents et des étudiants issus d’autres filières les accompagneront. De plus, deux psychologues mobilisés par le réseau national Fage pourront avoir des entretiens avec des étudiants(e) s suite au test.
Des conférences auront lieu pendant midi et en fin d’après-midi dans les nouveaux amphithéâtres, sur le risque du suicide, son dépistage, les difficultés rencontrées par l’entourage, les moyens de prévenir, ainsi que sur le thème des addictions. Avec la participation de mission égalité des chances, mission égalité femme-homme, du service de médecine préventive, du réseau Envie d’Agir, du service culturel du Crous de Reims et du bureau de la vie étudiante, des stands seront situés sous la verrière des nouveaux amphithéâtres.
Après une interruption de service de deux heures, les bus n’ont commencé à réapparaître qu’à partir de 8 h 30.
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Jugeant les conditions de circulation trop dangereuses en raison de la neige et de la glace, Transdev a dû interrompre totalement le service des bus pendant deux heures, hier matin.
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Certes, l’interruption des transports en commun urbains ne s’est pas éternisée : dès 8 h 30, les bus ressortaient et le service reprenait progressivement.
Un peu avant 10 heures, Transdev annonçait le rétablissement de toutes les lignes, à l’exception des S et M, qui ne pouvaient pas encore desservir le quartier de la Lézardière (entre Croix-Rouge et Tinqueux).
Mais pour Christophe, Béatrice, la fille de Paulette et tous ceux qui comptaient sur les bus pour débuter leur matinée, il était trop tard.
Qu’en sera-t-il ce matin ? Avec une nouvelle chute des températures prévue pendant la nuit, on n’excluait pas, hier, la réédition d’un scénario comparable.
Alors, nouvelles galères en vue ?
L’université de Reims-Champagne ouvre ses portes le samedi 7 février.
Rendez-vous notamment sur le campus Croix-Rouge partir de 10 heures pour des conférences sur les différentes études.
Reims management school (RMS) ouvre également ses portes ce 7 février. De nombreuses animations sont programmées de 10 à 18 heures sur le campus 1 de RMS, 59 rue Pierre-Taittinger.
L’association Etoile Croix-du-Sud organise un concours de belote dimanche 8 février au 5, avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud.
Inscriptions à 13 h 30 à l’association ou sur réservation
Frais : 16 € par équipe.
Début de partie à 14 heures.
Renseignements au 03.26.06.56.66.
L’écrivain et réalisateur français d’origine cubaine, Eduardo Manet, sera à Reims sera ce mercredi 4 février dans le cadre des Rencontres Passerelles (20 h 30, RMS, rue Pierre-Taittinger). Il évoquera son dernier livre « La maîtresse du Commandant Castro ».
Né au début des années 30 à Cuba, Eduardo Manet est devenu français en 1979. La passion de l’écriture l’emporte à l’âge de 15 ans. Puis le théâtre, le cinéma et … la politique. Il est longtemps le compagnon de route des révolutionnaires cubains, qu’il suit dans les situations les plus improbables, du lycée de La Havane jusqu’à New York, des théâtres militants aux chambres du Ritz.
En 1968 il découvre la France (sa langue, le théâtre, la musique) qui devient sa terre d’exil et de liberté.
Réservation par téléphone avant la conférence au numéro suivant : 03.26.77.46.41.
1. Maître d’ouvrage : SA D’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8, rue g Lanson, B.P. n° 1, 51051 Reims cedex.
2. Marché : marché à bons de commande pour les travaux "’ d’embellissement suite à états des lieux.
3. Mode de passation : appel d’offres ouvert. Sept lots.
Déclaré infructueux.
4. Résultats :
Lot I.1 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence Trois-Fontaines. Entreprise TEH pour un rabais de 6 %.
Lot I.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence Europe. Groupement MAZIER PÈRE ET FILS pour un rabais de 12,02 %.
Lot II.1 : travaux d’embèllissement pour les logements de l’agence Chemin-Vert. Groupement. M.J. RENOV pour un rabais de 12 %.
Lot II.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence Wilson. Entreprise BMJ pour un rabais de 11 %.
Lot II.3 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence Pays-de-France. Entreprise BMJ pour un rabais de 11 %.
Lot III.1 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence régionale Nord Entreprise MAZIER STÉPHANE pour un rabais de 12,05 %.
Lot III.2 : travaux d’embellissement pour les logements de l’agence régionale sud. Groupement RTS pour un rabais de 3%.
1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, BP 1, 51051 Reims cedex.
2. Marché : marché d’entretien et de maintenance des ascenseurs « 2009-40 appareils ».
3. Mode de passation : appel d’offres ouverts. Deux lots.
Déclaré fructueux.
4. Résultats :
lot 1 : AGENCES TROIS-FONTAINES et CHEMIN-VERT (17 appareils) : OTIS pour le montant de 11.734,20 €.
lot 2 : AGENCES WILSON et PAYS-DE-FRANCE (23 appareils) :
OTIS pour le montant de 16.866,90 € HT annuel.
L’association Etoile Croix-du-Sud organise un concours de belote dimanche 8 février au 5, avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud.
Inscriptions à 13 h 30 à l’association ou sur réservation
Frais : 16 € par équipe.
Début de partie à 14 heures.
Renseignements au 03.26.06.56.66.
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Comment faire apprécier la tragédie classique de Jean Racine à des lycéens du XXIe siècle ? Professeur de français au lycée Arago, Mathilde Lamy a eu l’idée de faire réaliser un « journal » par ses élèves de 2nde D.
Après avoir auditionné un journaliste professionnel - qui a notamment sensibilisé la classe à la structuration d’un journal et l’a aidée à s’organiser- les élèves ont abordé l’histoire de Phèdre, de Thésée et du Minotaure sous la forme du fait divers. Chacun des 25 élèves a abordé l’histoire sous un angle différent.
Il en est sorti un « quatre pages » intitulé « Le taureau enchaîné », en référence au demi-frère de Phèdre, mi-homme, mi-taureau. Les 25 articles ont été mis en page avec le soutien du service informatique du lycée. Ils apportent un éclairage vivant sur les amours impossibles, la trahison et le dépit amoureux.
Ce journal a fait l’objet d’une présentation officielle en interne. Il sera exposé au CDI pour l’ensemble des élèves. Enfin, le public pourra le découvrir à l’occasion de la journée portes ouvertes du 14 mars.
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L’exposition « Autre Peau/ Autre Ville » présente à la médiathèque Croix-Rouge les réalisations des ateliers menés en 2007 et 2008 par la plasticienne rémoise Armelle Blary dans le quartier Croix-Rouge, accompagnées de photographies d’Alain Hatat. Cette opération, menée en partenariat avec Reims Habitat, a mobilisé habitants, jeunes et adultes, les résidentes du Centre d’hébergement et de réinsertion sociale Les Primevères, les élèves des classes à projet artistique et culturel des écoles élémentaires Gilberte-Droit et Billard, les élèves de l’institut Michel-Fandre, l’Union départementale des associations familiales et le Centre d’accueil des demandeurs d’asile de la Marne.
L’objectif commun était d’accompagner, par une démarche artistique, le plan de relogement des locataires des immeubles du 25, 27, 29 et 31 avenue du Eisenhower destinés à être démolis, après la déconstruction de la tour 53 Taittinger.
Au cours de l’inauguration vendredi 30 janvier, Patrick Baudet, directeur général et Éric Quénard, président de Reims habitat, puis Raymond Joannesse, adjoint représentant la maire de Reims ont exposé combien cette expérience et cette aventure étaient uniques et originales et feront date à Reims et ailleurs. Le livre « Autre peau - autre ville - 2007/2008 », tiré à 1.100 exemplaires, a été distribué à tous les acteurs du projet : un livre émouvant illustré par les photographes Alain et Feng Hatat qui ont suivi l’opération de bout en bout.
Exposition « Autre Peau/Autre Ville » à la médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar - jusqu’au 28 février.
Entrée libre.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
« Nous souhaitons être reconnus à part entière dans le quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny. »
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La Lézardière, c’est 120 maisons situées derrière les Polygones à la périphérie du quartier Croix-Rouge.
Soucieux de « défendre les intérêts des propriétaires du lotissement, leur environnement et la valeur de leur patrimoine », les habitants se sont regroupés en association en 1992 et ils ont réuni leur assemblée générale mardi 27 janvier en présence d’un propriétaire sur deux.
L’association ne reçoit aucune subvention, mais le président s’est félicité du contact permanent et des bons rapports avec la Ville de Reims en ce qui concerne les problèmes d’entretien et d’aménagement du lotissement. Beaucoup ont été réglés, mais il reste des points noirs qui ont été évoqués : entretien, aménagements, ralentisseurs ou panneaux stop, petit square, taille, élagage, conteneur mal placé, éclairage public…
Ont été relevés de nombreux griefs contre les étudiants voisins de Reims management school (bruit, conduite automobile anarchique alors que tout le quartier est en zone 30, voitures ventouses) et contre les propriétaires de chiens (certaines allées sont impraticables !)
Le bureau a été réélu à l’unanimité :
président, Jacques Vivier (19, rue Gustave-Flaubert. Tél. 03.26.84.18.34.) ;
vice-président, Serge Vignereux ;
secrétaire, Nicole Staigre ;
trésorière, Michèle Capy ;
administrateurs, Jacques Blavet, Jean Dervieux, Géraldine Guitton, Jean-Pierre Leclabart et Alain Sauvage.
Véronique Marchet, suppléante du député Arnaud Robinet et Édouard Baron, son attaché parlementaire, étaient présents mais ne sont pas intervenus. En revanche, devant la mini-levée de boucliers perçue au cours des questions du public, le premier adjoint Éric Quénard a promis : « Pour être efficace, une réunion de gestion urbaine de proximité sera organisée avant le 15 février avec les services municipaux et des représentants de l’association. Au cours d’un circuit sur le terrain, nous examinerons ensemble tous les points problématiques pour proposer des solutions en commun ».
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Bonne nouvelle pour les jardiniers de l’association familiale de Croix-du-Sud. On se souvient que ce groupement a beaucoup souffert des travaux pour le tramway et la gare TGV : une large bande de terrain leur a été confisquée pour des travaux de voirie.
En son temps, Jean-Marie Beaupuy l’avait promis : « Du terrain vous sera rendu et vous retrouverez toutes vos parcelles ».
C’est désormais chose faite et l’adjoint Raymond Joannesse vient de l’annoncer officiellement : « Vingt-huit nouvelles parcelles vont être mises à disposition de l’association, vers le haut, côté vignoble. Dans le même temps, trois autres parcelles situées vers le bas, côté Bezannes, seront remises en état de culture ».
Au total, ce sont donc 33 jardiniers qui vont être contents de reprendre la bêche et le râteau !
Le service communal d’hygiène et de santé organise régulièrement des séances de vaccinations. Les prochaines se dérouleront :
mercredi 4 février de 9 h 30 à 11 heures à la Maison de quartier Wilson, 53, bd du Président Wilson, Tél. 03.26.06.48.21.
mercredi 11 mars de 9 h 30 à 10 h 30 à la Maison de quartier Croix Rouge - Espace Pays—de-France, 1, allée des Béarnais, Tél. 03.26.82.53.48
mercredi 11 mars de 14 à 15 heures à la Maison de quartier Croix Rouge - Espace Billard 14, rue Pierre Taittinger, Tél. 03.26.08.08.78.
Pour tous renseignements complémentaires, contacter le service communal d’hygiène et de santé, 33 bis, rue Laurent-Déramez, ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures le vendredi).
Accueil : Tél.03.26.35.68.70. ou 03.26.35.68.71.
Vaccinations : Tél.03.26.35.68.78. ou 03.26.35.68.79.
Désinfection : Tél.03.26.35.68.80.
Dératisation : Tél.03.26.35.68.81.
…
Plus tard, vers 23 heures, un d autre feu de local vide-ordures a mobilisé les sapeurs-pompiers, rue de Rilly-la-Montagne. Cette fois encore, le feu a été rapidement éteint.
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Lors de sa dernière réunion, le conseil municipal de Reims, présidé par la maire Adeline Hazan, n’a pas fait que voter le budget primitif. Il a évoqué de nombreuses autres questions.
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2.200 € à Reims association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion du patinage ;
…
Alain Moyat
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090201b
Numéro 7274 du 26 janvier au 1er février 2009.
REDRESSEMENT JUDICIAIRE
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE REIMS
REDRESSEMENT JUDICIAIRE
Par jugement en date du 20/01/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’égard de M. LEBLANC Philippe, 19 Groupe Eisenhower 51100 REIMS. Activité : Peinture en bâtiment et rénovation. R.C.S. REIMS F 341 131 433 (2008F 00014).
Ledit jugement a nommé :
Mandataire judiciaire : SCP DARGENT TIRMANT - RAULET, en la personne de Maître Bruno RAULET, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du mandataire judiciaire susnommé dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
72149 Le greffier : Bernadette DELPY.
CONSTITUTION DE SOCIETE
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 15 janvier 2009, il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : SARL. REIMS RENOVATION.
CAPITAL : 5.500 E. divisé en 550 parts de 10 E, chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : Bâtiment général, maçonnerie, béton armé et second œuvre.
DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.
SIEGE : 96 avenue d’Epernay - 51100 REIMS.
GERANCE : M. BAYARTAN Sores, demeurant 37 esp. Eisenhower -51100 REIMS.
DEBUT D’ACTIVITE : Dès que la société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS (Marne).
72133
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Depuis plusieurs mois, Sylvie Brin, animatrice à l’espace Billard, battait le rappel pour recueillir des livres en vue d’alimenter sa traditionnelle bourse aux livres qui se déroulera du samedi 7 au vendredi 13 février.
Le succès a été considérable : « Nous allons pouvoir proposer plus de 7.000 ouvrages, du livre pour enfants au livre pour adultes, du bricolage au manuel scolaire, des livres de tous les genres ! » s’exclame-t-elle.
Ces ouvrages seront mis en vente à des prix modiques, entre 0,20 et 2 euros pour financer une sortie familles fin mai. La bourse sera ouverte à l’espace Billard, 12-14, rue Pierre-Taittinger, de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures, sauf dimanche.
Plus de renseignements au 03.26.08.08.78.