Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - septembre 2009
mardi 1er septembre 2009
par Administrateur


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 091003f

REIMS / Concurrence déloyale : La justice suspend l’activité des Taxibus de Transdev

Les Taxibus de la société de transport Transdev : une concurrence déloyale pour les Taxis de Reims.
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Les Taxis de Reims jugeaient déloyale la mise en place de Taxibus depuis la gare TGV de Reims Bezannes par la société Transdev.

La justice leur a donné raison.

Acompter du lundi 5 octobre prochain, « TransdevReims n’assu-rera plus le service Taxibus mis en place en avril dernier, et permettant de rejoindre la gare Bezannes TGV".

Dans un communiqué envoyé hier après-midi, la société Transdev, qui gère les bus à Reims, annonce la fin (provisoire ?) de son service à la carte mis en place il y a quelques mois.

Jugeant l’exploitation de la ligne K pas rentable jusqu’à la gare de Bezannes, l’entreprise avait décidé à l’époque de la suspendre sine die et de la remplacer par des navettes appelées Taxibus, des voitures, qui ne pouvaient être réservées qu’à l’avance. Le tout moyennant une somme de trois euros. Une formule qui n’a pas été appréciée par les Taxis de Reims qui ont alors intenté une action en justice pour concurrence déloyale. « Ils faisaient la prestation d’un taxi sans en avoir toutes les contraintes », explique une responsable des Taxis de Reims. « Exercer et avoir l’appellation Taxi requiert des examens, des autorisations. Ce n’était pas le cas. »

Des arguments reçus par la justice. Le tribunal de Commerce de Reims a en effet décidé que Transdev Reims devait cesser toutes activités de Taxibus au sein de l’agglomération rémoise. L’entreprise a interjeté appel.

« Dans l’attente de ce deuxième jugement, des navettes supplémentaires de la ligne K seront mises en place dès le lundi 5 octobre afin de compléter la desserte actuelle de la gare Bezannes TGV par la ligne K », explique un responsable de Transdev. « Dans un premier temps nous devrions prolonger une ligne sur deux depuis Croix-du-Sud vers la gare. Nous verrons ensuite comment adapter au mieux notre service à la demande sachant que l’appel devrait être examiné le 14 octobre. En fonction du résultat on s’adaptera. »

G.A.T.

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Journal « l’Union » - 091003e

Animations à l’Etoile Croix-du-Sud : A noter dans vos agendas

Les dames ne sont pas les dernières à taper le carton.
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L’association Étoile Croix-du-Sud organise deux manifestations :

- un loto vendredi 9 octobre

    • ouverture des portes à 18 h 30,
    • 2 euros le carton),

- et un concours de belote dimanche 11 octobre

    • ouverture des portes à 13 h 30,
    • 16 euros par équipe).

Renseignements et inscriptions au secrétariat, 5, avenue Léon Blum (tél. 03.26.06.56.66.).

 

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Journal « l’Union » - 091003d

De nombreuses offres d’emploi à la médiathèque Croix-Rouge : L’aviation en vedette

Samedi 10 octobre de 14 à 17 heures, la médiathèque Croix-Rouge accueillera l’école internationale Tunon pour présenter les formations liées à l’aviation proposées pour les personnels navigants et les personnels au sol.

Un stand d’information sera installé en secteur Emploi-Formation. Un chef d’escale, une hôtesse de l’air et un chef de sécurité répondront aux questions des visiteurs et leur remettront de la documentation. Du matériel de vol (masque à oxygène, etc…) sera exposé ainsi que des costumes du personnel. Entrée libre.

Samedi 17 octobre de 14 à 17 heures, le Centre d’information et de recrutement des Forces armées (Cirfa) fera découvrir les métiers de l’aviation militaire à la médiathèque Croix-Rouge. Un film documentaire sur les métiers de l’aviation militaire sera diffusé en salle d’exposition.

Un stand d’information sera ouvert dans le secteur Emploi-Formation de la médiathèque avec de la documentation et de nombreuses offres d’emploi.

Les visiteurs pourront également s’informer auprès de professionnels, dont un pilote et un mécanicien qui témoigneront et expliqueront leur métier. Entrée libre.

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Journal « l’Union » - 091003c

Un mois d’attente : L’ascenseur ne monte plus, les charges vont descendre

A partir du 5e étage, l’ambiance était plutôt colère dans l’immeuble.
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Ayant dépassé les délais convenus pour réparer un ascenseur, l’entreprise devra payer des pénalités. Qui abaisseront les charges des locataires.

SI vous deviez rendre visite cette semaine à Stéphane B., au 46 groupe Eisenhower à Croix-Rouge, vous aviez cinq étages à grimper à pied. Et si vous deviez aller chez Betty, vous pouviez en ajouter quatre de plus ! (Heureusement, on ne peut pas aller plus haut, leur immeuble ne fait que neuf étages.) Car l’immeuble en question, comme on l’aura deviné, était privé d’ascenseur ; et cela durait depuis déjà pratiquement un mois ! « Depuis le 4 septembre précisément, stipule Stéphane ; et on n’a constaté une première intervention que le 9. On nous a mis un petit papier qui annonçait que la réparation serait faite pour le 21 ; et puis le 21, la date a été changée sur le papier et devenait le 25 ! Aujourd’hui (avant-hier, NDLR), on est le 1er octobre, et ça n’est toujours pas réparé ! » Inutile de dire par conséquent que du côté de Stéphane et de ses amis des étages supérieurs, obligés d’enchaîner les grimpettes dans les escaliers, ça râlait sec ces jours-ci ! (Voir par ailleurs.)

Calculs compliqués

Alors, une bonne nouvelle leur mettra peut-être un peu de baume au cœur. C’est que cette panne de longue durée entraînera une diminution (ponctuelle) de leurs charges. C’est effectivement ce qu’affirme l’organisme logeur, en l’occurrence Reims habitat : « Nous avons changé de prestataire pour la maintenance des ascenseurs depuis l’été 2008 (maintenant c’est Otis), et une nouvelle disposition de notre contrat prévoit qu’en cas de dépassement des délais pour les réparations, l’entreprise nous versera des pénalités, et celles-ci seront rétrocédées aux locataires, sous forme de réduction de leurs charges ! » Cette réduction sera effectuée le mois suivant l’application de la pénalité, par conséquent, dans le cas présent, en novembre. Quel en sera le montant ? Hier, le logeur n’était pas en mesure de répondre de façon précise, car il y a quelques calculs un peu compliqués à faire (évaluer le montant de la pénalité et la répartition entre les locataires concernés, a priori tous ceux de l’immeuble en dehors du rez-de-chaussée), mais ce qui est sûr, c’est que cette réduction sera bien appliquée !

Cela dit, ce qui intéressera sans doute Stéphane et ses amis, avant même la perspective d’économiser quelques euros, c’est de savoir quand leur ascenseur sera réparé. Or, alors que l’on nous avait annoncé initialement le 5 octobre, c’est finalement dès hier que l’appareil a été remis en marche ! Miracle de l’intervention de la presse ?

Antoine PARDESSUS

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Un mois, ça commence à faire longuet !

« Ma femme qui souffre de la colonne vertébrale ne pouvait plus monter et descendre sans arrêt les escaliers, elle est allée s’installer chez ses parents ! Et maintenant, comme tout ça perturbe les enfants, qui ont papa ici, maman ailleurs, elle fait en plus de la dépression ! » Stéphane ne cachait pas son mécontentement devant la panne d’ascenseur qui se prolongeait dans son immeuble depuis bientôt un mois (mais qui a pris fin dès hier, voir ci-dessus). Pour ce qui le concerne lui-même, réparateur informatique de son état, il commençait à trouver plus que pénible de devoir monter ou descendre à bras sur cinq étages des tours d’ordinateur qui pèsent parfois jusqu’à 15 kilos !

Betty, dans son 9e étage, en avait pour sa part plus qu’assez de se faire « jusqu’à six montées et descentes par jour, avec les enfants ou avec les sacs de courses » ! Quant à Cendrine, un étage plus bas seulement, elle s’inquiétait de savoir que son mari, « qui rentre du boulot à minuit, est obligé de monter les escaliers alors qu’il est déjà bien fatigué ». Bref, tous avaient hâte de voir le bout du tunnel ou plutôt le retour de l’ascenseur. « Et surtout on veut des explications ! On nous dit qu’il faut changer une pièce ; mais ils sont en train de la fabriquer ou quoi ? » Peut-être pas de la fabriquer (encore qu’avec la mode du flux tendu, on ne sait jamais), mais au moins de la commander. Mais elle a fini par arriver.

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Journal « l’Union » - 091003bc

Travaux du tram : Que de bouchons !

Depuis une semaine la circulation est devenue encore plus difficile dans trois secteurs de la ville
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Que de bouchons cette semaine ! Alors que les automobilistes commençaient à s’habituer aux multiples déviations et ralentissements liés aux travaux du tram, les embouteillages sont revenus en force depuis lundi dernier.

L’avenue Charles-de-Gaulle qui conduit à Croix-Rouge via Courlancy est de plus en plus pénible à parcourir. La place de la République (celle où il y avait l’œuf) est devenue un point noir à contourner.

Quant au secteur de Laon, ceux qui en viennent ne savent plus par où passer pour avoir une chance d’avancer.

Pour Mars, le retour en force des bouchons s’explique aisément : « Les travaux se sont intensifiés dans certains secteurs avec des changements de circulation. Ce à quoi il faut ajouter la rentrée universitaire et le retour des vacanciers de septembre ».

Il y aurait toutefois de l’espoir : « Comme après chaque nouvelle phase de travaux entraînant des modifications, de nouvelles habitudes de déplacement devraient se créer, favorisant une amélioration ». Le tout c’est d’y croire.

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Journal « l’Union » - 091003b

Chutes et collisions : Accidents en série

Le pilote d’un scooter a perdu le contrôle de son engin mercredi un peu après 16h30 dans la rue du Lieutenant-Ovington à Lagery. Au vu de son état, les urgences médicales ont dû intervenir pour lui porter secours. La victime est un Rémois de 44 ans.

Ce même après-midi, à 14 heures, une collision impliquant deux voitures s’est produite sur l’avenue d’Epernay à Reims. Seuls des dégâts matériels ont été déplorés.

Jeudi à 14 h 30, un piéton a été renversé par une voiture rue de Neufchâtel. Il est blessé légèrement.

Hier à 7 heures du matin, une moto Suzuki est entrée en collision avec une voiture Suzuki avenue Nationale à la Neuvillette. Le motard âgé de 32 ans a été légèrement blessé.

Une heure plus tard, une voiture a accroché un cycliste rue Joliot-Curie.

Nouvel accident à 11 heures, rue Dumont-d’Urville, où un cyclomotoriste s’est blessé au coude en tombant par terre

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Journal « l’Union » - 091001d

TENNIS / Comité de la Marne. 600 raquettes offertes

Hélène Nguyen et Jean-Pierre Vasseur, l’art de croiser la raquette…
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« Viens taper la balle avec nous ». C’est écrit dessus. Le comité de la Marne s’apprête à distribuer 600 raquettes aux jeunes de 5 à 10 ans qui ont pris leur première licence cette saison.

L’idée de cette opération de promotion est née en 2005 lors d’une Université d’été entre dirigeants à l’Alpe-d’Huez : « C’est un collègue et ami, Bernard Massines, qui m’a fait part de cette initiative prise dans son comité, celui des Pyrénées- Orientales », explique Jean-Pierre Vasseur.

1.000 en 2010 ?

400 raquettes en 2007, 500 en 2008 et 600 en 2009 : cette distribution, sans aucun critère sélectif, connaît un succès grandissant : « Si nous le pouvons, nous irons jusqu’à 1.000 en 2010. On peut espérer que tout le monde soit servi », confie le patron du comité 51.

Trois tailles (5-6, 7-8 et 9-10 ans) sont disponibles et le financement (3.720 euros) est assuré par le comité départemental, le conseil général de la Marne et le CNDS (aides d’état aux sports) : « Le but est de fournir le matériel pour démarrer et ce mode de financement nous permet d’être indépendant de l’équipementier ».

Le « retour » en terme de fidélisation des licenciés reste à étudier : « Il y a un turn over chez les jeunes. Mais si, sur les 600 raquettes offertes, la fidélisation était de 40 %, ce ne serait pas mal. Sachant qu’à nos yeux, il est d’abord essentiel de donner le goût de faire du sport même s’il s’agit d’une autre discipline. Et pour ceux qui pensent que cette opération nuit aux distributeurs classiques, je répondrai que les jeunes, une fois qu’ils sont passionnés, changent très vite de raquette… »

J.-P.P.

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Journal « l’Union » - 091001c

Lancé hier dans le quartier : L’Hebdo Croix-Rouge en marche

Distribué gratuitement pendant quatre semaines, l’Hebdo Croix-Rouge sera vendu ensuite 0,10 euro.
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Valérie découvre l’Hebdo Croix-Rouge chez son marchand de journaux.
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Le premier numéro de l’Hebdo Croix-Rouge sorti hier dans le quartier a été accueilli avec satisfaction par les habitants.

UN hebdomadaire spécialement dédié à leur quartier… Si certains habitants de Croix-Rouge avaient entendu parler du projet, via des associations ou les maisons de quartier, ils ont pu le découvrir concrètement hier matin dans leurs boîtes aux lettres ou chez leurs marchands de journaux.

Et le premier accueil a été chaleureux devant ce journal lancé par l’union et entièrement consacré à la vie du secteur. Pour l’occasion, des affichettes spéciales avaient été mises chez les différents diffuseurs pour annoncer la nouvelle. « C’est vraiment une très très bonne initiative, on va enfin savoir dans le détail ce qui se passe dans le quartier », explique Valérie, qui travaille dans le secteur de Croix-du-Sud.

« Quarante ans que j’habite rue Pierre-Taittinger, j’ai toujours dit qu’ici, il y avait vraiment un problème de communication. Aujourd’hui, grâce à l’Hebdo Croix-Rouge nous serons informés sur la vie du quartier », précise Édith du secteur Université. « C’est vraiment bien, cela prouve qu’il y a des choses bien à Croix-Rouge », affirme Didier, un autre habitant.

Un parfait complément de l’union

Unanimes ou presque, les habitants du quartier ont maintenant toute la semaine pour découvrir leur nouvel hebdo, en attendant le numéro 2 qui sera disponible mercredi prochain. Misant résolument sur l’actualité positive dans le quartier, le journal devrait rapidement devenir indispensable aux habitants de Croix-Rouge et être un parfait complément de l’union qui au quotidien continuera de parler des grandes manifestations de la vie du quartier.

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Journal « l’Union » - 091001b

Bon vent

Fabrice Lopez, président du collectif des locataires de Croix-Rouge et responsable d’une formation … politique baptisée « Démocratie rémoise », va quitter la ville.

L’ennemi juré d’Eric Quénard part à Paris.

Après avoir tanné l’Effort rémois pout obtenir un local, au moment où il vient de l’obtenir, il quitte la cité rémoise.

Nul doute que cette salle pourra être attribuée rapidement à l’association Polygones qui, elle, attend d’en avoir un depuis sept ans.

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Journal « l’Union » - 091001a

1.500 euros par an pour 17 hectares : Hippodrome : un bail très controversé

Pour les 17 hectares de l’hippodrome, le bail, signé en mars 2008, prévoit un loyer annuel de 1.500 euros.
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La Ville va dénoncer le bail de l’hippodrome signé, juste avant l’élection municipale, par l’ancien maire. Elle dénonce un contrat « illégal » et des méthodes « limites ».

CELA s’est fait discrètement, à la veille de l’élection municipale de 2008. Le 3 mars précisément, l’ancien maire Jean-Louis Schneiter signait un nouveau contrat avec la Société des courses de Reims pour l’utilisation des 17 hectares de l’hippodrome de Reims. Sur le papier rien à redire, si ce n’est que cela a été fait dans la précipitation et que le document signé contient un certain nombre de données qui ont du mal à passer dans la nouvelle équipe.

« Ce contrat est parfaitement illégal et déontologiquement limite », souligne Serge Pugeault, adjoint en charge notamment du développement économique et des grands projets. « Il n’y a eu aucune délibération en conseil municipal concernant cette décision comme cela aurait dû se faire. De plus, comme le domaine public est en cause, ce bail entre dans le cadre de la loi Sapin qui prévoit une mise en concurrence avec un cahier des charges, un appel d’offres et ensuite seulement l’attribution à telle ou telle société. Rien de tout cela n’a été respecté. »

Autres points d’achoppement, la durée de ce bail, jusqu’au 31 décembre 2017, et surtout le loyer demandé à la Société des courses de Reims : 1.500 euros par an « soit moins qu’une chambre du Crous en cité universitaire », dénonce Michel Guillaudeau, élu communiste. « Et cerise sur le gâteau, le montant n’est pas révisable. » Il est certain que nombreux sont ceux qui aimeraient bénéficier de tels prix, qui plus est lorsque cela concerne 17 hectares… Tout en sachant qu’avant la Société des courses ne payait aucun loyer.

« Grotesque, ridicule et mensonger »

Selon les estimations des Domaines obtenues par la Ville, le loyer devrait être d’au moins 15.000 euros par an, soit dix fois plus.

« Tout le monde se souvient de l’acharnement de M. Beaupuy (dans la majorité début 2008) contre la gratuité d’accès au parc de Champagne », stigmatise Michel Guillaudeau. « Dans cette logique, on pouvait penser que le coût de la location a été soigneusement étudié en fonction des prix pratiqués pour la location de terrains de notre agglomération. Ce n’est pas le cas. Inflexible pour les visiteurs du parc de Champagne, M. Beaupuy a accordé un prix d’ami à la Société des courses. »

« Grotesque, ridicule et mensonger », rétorque Jean-Marie Beaupuy. « Jean-Louis Schneiter a fait en sorte à l’époque que l’hippodrome puisse continuer à fonctionner. Il n’y a pas eu de cadeau d’ami. La vraie question, c’est de savoir ce qu’a fait la nouvelle municipalité sur ce dossier depuis dix-huit mois… »

Dénonçant le bail signé, la Ville a rencontré le président de la Société des courses de Reims il y a deux mois pour lui signifier qu’elle allait lancer un appel à concurrence sur ce dossier d’ici la fin de l’année. Quelle que soit l’issue de la procédure, nul doute que sur un point au moins, celui du loyer annuel, les choses seront très différentes.

G.A.-T.

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1« Il était important d’agir vite »


Mis en cause dans la procédure, l’ancien maire Jean-Louis Schneiter se défend de tout favoritisme ou de tout copinage. « Au départ, on devait transférer l’hippodrome vers Bezannes. Compte tenu que cela ne s’est pas fait, il a fallu reconduire rapidement le bail de la Société des courses de Reims sur le site actuel. L’idée était de donner les moyens à la Société des courses de pouvoir continuer son travail, charge ensuite à ceux qui seraient en place de travailler sur l’avenir du site. Rien d’autre. »

Sur la durée du bail, Jean-Louis Schneiter explique qu’il a simplement prolongé le bail dans les conditions du précédent et que de toute façon, si nouvel hippodrome il y a, la Ville a le pouvoir de résilier le bail avant 2017.

Sur le montant du loyer annuel, particulièrement bas, l’ancien maire se défend en expliquant « qu’il y a plein de travaux à faire qui seront à la charge de la Société des courses. On en a tenu compte dans ce loyer ».

« Si on n’avait pas prolongé le bail rapidement, il n’y aurait plus eu de courses à Reims. Que ne nous aurait-on pas alors reproché ! Il était important d’agir vite pour une structure et des manifestations auxquelles les Rémois sont attachés. »

Validé par le service juridique de la Ville

Président de la Société des courses, Gilles Jéziorski s’étonne de la montée en puissance de cette affaire. « Nous avons rendez-vous le 20 octobre avec la mairie pour en parler. Je trouve étonnant que tout cela sorte ainsi en conseil municipal. » Sur la légalité du bail signé avec l’ancienne municipalité, le président Jéziorski est très clair. « Je rappelle que ce bail a été rédigé par le service juridique de la Ville. Il ne posait de problème à personne jusqu’à présent. La question est de savoir concrètement si nous sommes sur un domaine public ou privé. Nous avons demandé à un cabinet parisien indépendant d’étudier le bail. Pour lui, nous sommes dans un domaine privé car il faut notamment payer pour entrer et l’organisation des courses hippiques ne relève pas d’un service public. »

S’il faut revenir sur le bail, Gilles Jéziorski est prêt à jouer le jeu. Sur le loyer de 1.500 euros, il rappelle qu’avant il « ne payait rien ». « On m’a imposé 1.500 euros. Si le loyer paraît faible, je n’allais pas demander plus… Mais si on me dit 15.000 euros, cela ne pose pas de problème. On s’adaptera », poursuit le président tout en rappelant que, dans le nouveau bail signé, une clause non négligeable a disparu : « On touchait de la part de la Ville une indemnité d’entretien des lieux de 100.000 euros. Elle a disparu et là, étonnamment, personne n’en parle. Dans l’histoire, ce n’est pas la Société des courses qui est la plus gagnante… »

G. A.-T.

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Journal « l’Union » - « L’HEBDO CROIX-ROUGE » - 090930h

Expos et ateliers à la Médiathèque

Exposition

Jusqu’au samedi 31 octobre, des planches de la série de bande dessinée Les voyages de Lefranc, l’aviation (scénario de Jacques Martin ; dessin de Regric), parue aux éditions Casterman.

Cette série raconte l’histoire de l’aviation depuis les origines jusqu’à 1918. Cette exposition est complétée par des planches de l’album Le vol des anges de Cédric Fernandez et Wallace (éditions Zéphyr).

L’histoire de cet album se déroule en partie durant le meeting aérien de Reims en 1909.

Mercredis 7 et 14 octobre de 14h à 17h (6 à 8 ans).

Atelier jeunesse, 1er étage

Ateliers d’aéronautique animés par l’association des Petits Débrouillards, dans le cadre de l’opération Décollage immédiat.

Comment un avion fait-il pour décoller et rester dans le ciel ?

Essaye de comprendre ce curieux phénomène et construis toi-même ton avion !

Inscription pour deux séances consécutives : en secteur jeunesse ou au 03- 26-35- 68-51.

Rencontres

Dans le cadre de la manifestation « Décollage immédiat » : Samedi 10 octobre de 10h à 17h. La médiathèque accueillera l’Ecole internationale Tunon.

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Journal « l’Union » - 090930g

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Christiane Monflier, présidente de l’association de promotion de Pays-de-France, est très en colère.
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Grosse colère

Elle a découvert, sur la plaquette de présentation des activités 2009-2010 de la maison de quartier Croix-Rouge, distribuée dans toutes les boîtes aux lettres, que son association n’y figure pas : « On cite, et c’est bien normal, le Collectif Croix-Rouge accueil et l’association MJC Croix-Rouge, mais pas l’APPF ! Nous sommes exclus de la vie associative de ce quartier ! Pourtant nous travaillons beaucoup en liaison avec l’espace Pays-de-France ! On est pourtant bien contents de nous trouver en cas de besoin, par exemple pour la fête du secteur. » Christiane Monflier, présidente de l’APPF, ne décolère pas ! Basket loisir

Reims Basket Féminin

Le Reims Basket Féminin annonce l’ouverture d’un créneau « loisirs » le vendredi de 19 h 30 à 21 heures au gymnase Léo-Borgniet à Croix-du-Sud. Inscriptions sur place.

Etoile Croix-du-Sud : le site

Jean-Louis Rumério, administrateur, le regrette : « Plus de sous, plus de site ! », ce qui explique que l’association Étoile Croix-du-Sud a dû fermer son site Internet http://www.etoile¬croixdusud.com/

Zone franche : du nouveau

    • L’Eurl Alerte-Vigilance vient de se créer au 43, rue Pierre-Taittinger. Gérée par Jean Guemati, elle propose tous types de surveillances, de gardiennage et de sécurité.
    • Tout le quartier Croix-Rouge est pré-câblé Numéricâble. Un distributeur agréé vient d’ouvrir sa boutique au 63, esplanade-Eisenhower.
    • La Sarl DR Création a quitté le 43, rue Pierre-Taittinger pour s’installer au 4, avenue Eisenhower.
    • L’Eurl Logisat (installations et formations en informatique et multimédia) a quitté le 4, place Toulouse-Lautrec pour s’installer au 63, avenue du général-Eisenhower.
    • La Sarl Iso-Confort (6, rue de Rilly-la-Montagne) a quitté Croix-Rouge pour s’installer 17, boulevard Paul-Doumer.
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Journal « l’Union » - 090930f

L’HEBDO CROIX-ROUGE voit le jour

 

 

 

Croix-Rouge est devenu en quelques années l’un des plus grands quartiers de France.

Véritable ville dans la ville, son actualité est désormais trop importante pour figurer intégralement dans les pages de l’union. Ce reproche de trop les oublier, les habitants nous l’ont souvent fait. D’où la décision de créer L’HEBDO CROIX-ROUGE.

Le premier numéro de cet hebdomadaire - ci-dessus, la Une - qui se consacre uniquement à l’actualité du quartier sort aujourd’hui. Une actualité positive, il faut le préciser, où tous ceux qui font vivre le quartier trouveront la place de s’exprimer.

Durant quatre semaines, ce journal sera offert. Il deviendra ensuite payant - normal, il est écrit et fabriqué par des salariés - mais pas cher, à 0,1 euro, car de cette expérience unique, nous souhaitons faire une réussite citoyenne.

Guilhem BEAUQUIER

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090930e

Campus Croix-Rouge : Le local de l’Unef vandalisé

Installé sur le campus Croix-Rouge, le local de l’association étudiante Unef a été vandalisé au cours du week-end.

Les auteurs ont fracturé la serrure de la porte d’entrée avant de retourner du mobilier et de jeter des documents à terre.

Un petit fond de caisse de 10 euros a disparu lors de la fouille. La piste politique est à privilégier car des tags à la peinture hostiles à l’Unef ont été barbouillés sur les murs du local.

Coïncidence ? Parmi les inscriptions figure l’injure « corrompus » taguée ce même week-end sur la maison de deux responsables de l’université, l’une à Tinqueux, l’autre à Ville-en-Selve, près de Louvois.

S’agit-il des mêmes auteurs ? Une enquête est en cours à la police et à la gendarmerie.

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Journal « l’Union » - 090930d

Perte de contrôle : Une voiture percute violemment un poteau sur le pont de Gaulle

Le portique des panneaux indicateurs a été arraché par la voiture venue le percuter.
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Grosse frayeur pour les quatre occupants de la voiture qui a causé d’importants dégâts lundi soir sur le pont de Gaulle, toujours fermé hier en direction du centre-ville (notre précédente édition).

Heureusement sans gravité, l’accident s’est produit vers 23 h 30. Au volant d’une Renault Clio, une jeune Rémoise de 18 ans descendait l’avenue de Gaulle pour rejoindre le centre-ville lorsqu’elle a perdu le contrôle de son auto au niveau du carrefour avec la chaussée Bocquaine. La voiture est partie sur la droite de la chaussée où elle a violemment percuté le portique des panneaux indicateurs avant de tournoyer et de rebondir contre la rambarde du pont pour finalement s’immobiliser en pleine voie.

Des quatre occupants du véhicule, seul un passager légèrement blessé a été transporté au CHU par les pompiers. Souffrant de quelques égratignures et de douleurs cervicales, il a pu rentrer chez lui.

La voiture de la jeune fille est hors d’usage. « D’après ce qu’elle nous a dit, elle a bondi sur une bosse au milieu du carrefour », indiquent ses parents. « C’est pour cette raison qu’elle a eu l’accident. »

Le portique a été arraché à sa base sous la violence de l’impact. Il tient encore debout mais n’a plus d’accroche au sol côté parking du stade Delaune, d’où la fermeture du pont dans le sens Croix-Rouge/centre-ville en attendant les travaux de consolidation qui devaient être engagés hier soir avec rétablissement normal de la circulation ce matin. Une déviation a été mise en place à partir du rond-point Franchet-d’Espérey.

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Journal « l’Union » - 090930c

Hockey-sur-glace : Les tout-petits s’initient aux frissons du patinage

Deux patinoires accueillent les enfants : Barot et Bocquaine.
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L’école de glace du Reims Champagne hockey ouvre ses portes aux 4 ans. À l’instar des plus anciens (c’est-à-dire des enfants nés entre 2003-2004), ils vont s’initier tout au long de l’année sportive aux joies et frissons du hockey. « Leur rentrée s’est faite le 2 septembre. Grâce à nos partenaires, on a eu une recrudescence d’inscriptions. Les gamins qui veulent s’adonner à cette pratique ont droit à trois essais gratuits. Ils seront entraînés par l’entraîneur principal, Vladmir Kovin, ancien champion olympique. Ce dernier est aidé soit par les juniors élite ou les joueurs de la première division. Ce qui fait qu’il y a beaucoup d’encadrants pour le nombre d’enfants. De plus, il y a possibilité de louer le matériel », déclare Emmanuel Clergue, dirigeant sportif.

Cette année, le club a procédé à une révision de ses horaires qui étaient peu commodes. Les jeunes hockeyeurs sont accueillis à la patinoire Barot, le mercredi, de 15 h 15 à 16 h 15 et à la patinoire Bocquaine, le vendredi, de 18 h 15 à 19 h 15. « A la différence des autres catégories, l’école de glace est un apprentissage en douceur du hockey, du maniement de la crosse, du patinage. Il y a deux ou trois rassemblements par an qui permettent de disputer les petits matches amicaux notamment à Noël et en fin d’année sportive où là d’autres clubs sont invités », tient à indiquer Emmanuel Clergue.

 

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Journal « l’Union » - 090930b

Volley Ufolep : Une saison bien lancée

Le championnat débute le lundi 5 octobre.
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Après la période consacrée aux vacances et au repos bien mérité de (presque) tous les sportifs, l’Ufolep de la Marne a récemment convié les représentants de ses 44 équipes de volley-ball à la réunion de rentrée précédant la reprise des activités.

L’occasion comme à l’habitude d’échanger sur la pratique, de décider ensemble du déroulement de la saison.

Les membres bénévoles de la commission départementale ont donc eu du pain sur la planche pour organiser et dresser le calendrier du championnat. Quatre poules ont été constituées, permettant à chacun de pratiquer le volley-ball selon son niveau de jeu. Comme toujours, la saison débute le premier lundi d’octobre (le 5 donc !) avec un tour de coupe départementale dont le tirage au sort a été accueilli mardi par le magasin Saint-Remi Sports, partenaire de la compétition.

Tous les tirages et calendriers sont désormais disponibles sur le site Internet Ufolep 51, mais aussi toutes les coordonnées des clubs marnais : avis aux amateurs de pratique sportive accessible et conviviale !

Ufolep 51, tél. 03.26.84.32.26. Site : www.ufolep51.org Courriel : ufolep51@wanadoo.fr

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Journal « l’Union » - 090930a

HALTEROPHILIE : Et ça repart !

Les vacances sont bel et bien terminées pour Abyr Touti.
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Le prix des vendanges de Reims annonce la reprise des compétitions dans la Marne.

Cette revue d’effectif sera le prélude d’un mois d’octobre chargé avec la première journée du championnat de France des clubs de Nationale 1 B chez les hommes (10 octobre à Gennevilliers contre les locaux et Comines) suivie une semaine plus tard par la N1B féminine (à Blanc-Mesnil contre les Franciliennes et Quimper).

Pour bien finir le mois, le RHM organisera le 31 octobre la première finale de la zone nord-est, qualificative pour les France.

Samedi : au gymnase François-Legros à Reims, premières barres à 15 heures.

 

 

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Journal « l’Union » - 090929g

Séances de vaccinations

Le service communal d’hygiène et de santé organisera une séance de vaccination ce mardi 29 septembre de 17 h 30 à 19 heures, à la maison des préventions, 11, rue Eugène-Wiet.

Renseignements, tél. 03.26.35.60.50.

La séance suivante aura lieu le mercredi 7 octobre, de 9 h 30 à 10 h 30, à la maison de quartier Croix-Rouge, à l’espace Pays de France, 1, allée des Béarnais.

Renseignements, tél. 0326.82.53.48.

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Journal « l’Union » - 090929f

Festival de la glace : Les joies de la glisse

Petits et grands ont pu faire leurs premiers pas sur la glace.
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Initiations, démonstrations, jeux : dimanche, la patinoire offrait, à ses visiteurs, un éventail complet des joies de la glisse. « Nous organisons cette journée de découverte du patinage à travers les trois clubs affiliés à la Fédération des sports de glace », expliquait Marie Lech, présidente du comité départemental de la Marne.

En partenariat avec la Rems et la Ville, la manifestation se veut la vitrine des activités des clubs. Sur leurs stands, le Reims patinage de vitesse, le Reims Acrap patinage et le Club de patinage artistique de Reims renseignaient sur leurs activités, tandis que sur la glace les encadrants initiaient les débutants aux premiers pas. Frédéric et Véronique Lefèvre ont amené leur petite Diane, 18 mois, qui découvrait la glisse… assise dans un petit fauteuil luge par sécurité !

Des démonstrations ont entrecoupé les séances publiques, un tournoi et du karting sur glace ont clôturé la journée.

« Cela permet de faire parler de nos clubs, il y a des retombées » se félicitait Ghislain Gass, le président du RPV. Le hic : il a toujours droit au même nombre d’heures de patinoire : 7 heures. « Depuis plusieurs années, nous en demandons trois de plus ! » Il semble que cette demande laisse les autorités compétentes… de glace !

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Journal « l’Union » - 090929e

L’aviation en BD : EXPO à la médiathèque

Dans le cadre de l’opération Décollage immédiat : les bibliothèques et médiathèques de Reims proposent un voyage au cœur de l’aviation. une exposition est présentée à la médiathèque Croix-Rouge, jusqu’au 31 octobre.

On y découvre des planches de la série de bandes dessinées « Les voyages de Lefranc, l’aviation » (scénario de Jacques Martin ; dessin de Regric), parue aux éditions Casterman.

Cette série raconte l’histoire de l’aviation depuis les origines jusqu’à 1918.

L’expo est complétée par des planches de l’album « Le vol des anges » de Cédric Fernandez et Wallace, parue aux éditions Zéphyr. L’histoire de cet album se déroule en partie durant le meeting aérien de Reims en 1909.

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis Debar.

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Journal « l’Union » - 090929d

Croix-Rouge / Agenda : Ça bouge en octobre

Fête du quartier Pays-de-France

Elle aura lieu le samedi 3 octobre, sur l’esplanade des Béarnais, à partir de 14 h 30.

Les jeunes à l’Étoile Croix-du-Sud

Le centre d’accueil des jeunes reprendra ses activités mercredi 7 octobre (tous les mercredis et pendant les petites vacances scolaires de 9 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures). Inscriptions au secrétariat, 5, avenue Léon-Blum (09.60.18.69.30.).

Halte ferroviaire Franchet-d’Esperey

L’inauguration de la nouvelle halte ferroviaire Franchet-d’Esperey aura lieu lundi 5 octobre à 10 h 30. Un train spécial sera mis en place au départ de la gare de Reims.

Séances de vaccinations

Le Service communal d’Hygiène et de Santé organise des séances de vaccinations à Croix-Rouge. Les prochaines se dérouleront mercredi 7 octobre, de 9 h 30 à 10 h 30 à l’espace Pays-de-France, 1, allée des Béarnais (03.26.82.53.48.) et de 14 à 15 heures, à l’espace Billard, 14, rue Pierre-Taittinger (03.26.08.08.78).

Aviation militaire

Le Centre d’information et de recrutement des Forces armées (Cirfa) fera découvrir les métiers de l’aviation militaire samedi 17 octobre de 10 à 17 heures, à la médiathèque Croix-Rouge.

Échanges services

L’association Multi-Échanges-services (MutES) organise son assemblée générale samedi 17 octobre à 11 heures, à l’espace Billard de la Maison de quartier (12-14, rue Pierre-Taittinger).

Semaine bleue

La semaine bleue, c’est la semaine nationale des retraités et des personnes âgées avec pour thème cette année « la solidarité ». L’Acrap participe à cet évènement, le mercredi 21 octobre dans le club du temps libre de l’association.

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Journal « l’Union » - 090929c

Nocturne de l’hippodrome : Une ambiance de carnaval Espace La Neuvillette : Portes ouvertes samedi

Une samba entre deux départs de courses.
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Démonstration de capoeira par le groupe Arts et culture.
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« Tous les feux sont verts pour que la soirée soit parfaite ! Il fait beau. Nous avons dû rajouter une course tellement il y avait de partants », se félicitait Gilles Jiezorski, président de la société des courses.

Sa dernière soirée en nocturne, ce samedi, se voulait brésilienne : « C’est le pays du football, du soleil et des belles filles ! » Questionné sur l’avenir de l’hippodrome, Gilles Jiezorski est resté discret : « Nous sommes en train de discuter avec la Ville. Nous espérons que les choses vont aller dans le sens que l’on souhaite ». On n’en saura pas plus.

Comme à Rio

Dès l’ouverture, ambiance brésilienne : au bar, on servait la caipirinha. Dans les marmites cuisait la feijoada, à base de porc et haricots noirs.

« Un mélange brésilien et mexicain, les deux pays se sont mélangés culturellement et gastronomiquement », expliquait Estanislau Bianchini, qui, outre le fournisseur des produits locaux, est aussi le président du Centre international d’amitié franco-brésilienne, organisateur des animations de cette soirée.

Une urne recueillait les dons pour les enfants brésiliens les plus démunis. Sur la pelouse, le groupe Arts et culture capoeira senzala de Tinqueux, a effectué des démonstrations, tandis que les chevaux s’échauffaient sur la piste.

Dans le grand hall, deux ravissantes danseuses, Leo et Genesia, accompagnées de leur chorégraphe, Jefferson, ont plongé les parieurs dans l’ambiance du carnaval de Rio…

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Journal « l’Union » - 090929b

L’Avenue De-Gaulle en sens unique

En raison d’un accident survenu hier soir où un véhicule a percuté et sectionné un panneau directionnel aux abords du pont enjambant l’autoroute, la circulation avenue De-Gaulle a été fermée en amont dans le sens Croix-Rouge centre-ville.

Une déviation a été mise en place à partir du rond-point de la gare Franchet-d’Esperey. La perturbation devrait durer plusieurs heures.

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Journal « l’Union » - 090929a

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : Des Rapaces en souffrance

Les Rapaces ne se sont jamais imposés en terre castelviroise, et cette deuxième journée n’a pas fait exception à la règle.

Face à une équipe plus déterminée, les Rémois ont payé cher leur manque de réussite et de discipline. Ils bénéficiaient d’entrée de deux supériorités numériques et heurtaient à deux reprises les montants du portier francilien.

Dans la foulée, Viry contrait par Bouchère (7’44), puis était imité par Beaussart (2-0, 8’38). Le RHR allait alors prendre la mesure de l’adversaire et afficher un bien meilleur visage, recollant même à la marque grâce à Godefroy (16’08) et au junior Axel Capitaine (20’12). Toutefois, les locaux prenaient les devants grâce à Rodrigues (22’49).

Le jeu dans le second acte était beaucoup moins fluide et le corps arbitral faisait pleuvoir les pénalités de part et d’autre. Les équipes proposaient un style haché, brouillon, et dans ce registre les Rafales allaient tirer leur épingle du jeu. S’en suivaient alors trois nouvelles réalisations des locaux (Gautereau 28’30, Bouchère 34’15 et Enguerrand 40’45).

Les esprits s’échauffaient mais la marque n’évoluait pas pour autant.

Les protégés du président Bock devront se ressaisir avant la réception de Troyes dans quinze jours pour un derby qui promet des étincelles.

L’enjeu sera alors de ne pas tomber, à ce stade déjà, dans le bas du classement.

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Journal « l’Union » - 090928c

Le vrai coût des ordures ménagères

Emmanuel Debaty, directeur du service des déchets et de la propreté.
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Les habitants de l’agglomération ont commencé à recevoir leur taxe foncière comportant la nouvelle taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères. L’occasion, avec Emmanuel Debaty, directeur du service déchets et de la propreté, de faire un point, sans polémique.

l’union : Combien coûtent le traitement, l’élimination (1) et la valorisation des déchets sur l’agglomération ?

Emmanuel Debaty : « Une facture de 27,75 M€. Considérant qu’en 2008 la collectivité (215.326 habitants) avait collecté 100.300 tonnes de déchets tous confondus, en 2009, dans son budget, Reims métropole a estimé à 27,75 M€ le total de ses dépenses pour assurer la charge des ordures ménagères dans l’agglomération. 45 % du budget sont dépensés pour assurer la collecte des déchets, autant pour le traitement et 10 % pour les frais annexes, le personnel et les amortissements.

En face, en guise de recettes, Reims métropole a décidé de mettre en place une taxe d’enlèvement des ordures dont les recettes basées sur l’année 2008 devraient rapporter plus de 23 M€, auxquels s’ajoute une somme de 3,4M€ correspondant à la vente de matériaux et de diverses subventions pour la collecte sélective. Le reste : 1,35M€ sera pris dans le budget général de Reims métropole. »

La présidente de l’agglo, Adeline Hazan, a dit que le taux de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères n’augmenterait pas d’ici la fin du mandat. La charge augmentera pourtant d’ici 2013.

« Permettez-moi de ne pas parler politique. Par contre, je dois vous rappeler que les ménages rémois ne payaient plus le traitement de leurs déchets depuis janvier 2004. Depuis cette date jusqu’au 1er janvier 2010, c’est en effet les entreprises qui les payaient à travers la taxe professionnelle unique. Pour en revenir aux augmentations, nous avons estimé que de 2007 à 2013 le coût de ce service augmentera de 8 M€.

Il faut savoir que les filières augmentent et les contraintes environnementales s’accroissent avec l’assentiment de la population.

C’est normal mais ce n’est pas neutre. Il a fallu mettre aux normes l’usine d’incinération. Coût : 3,5M€. Il faut, d’ici janvier 2010, traiter les protoxydes d’azote (Nox) à l’origine des pluies acides, mais aussi, pour la petite histoire des gaz hilarants. Nous serons prêts. Il en coûtera 6 M€ alors qu’on sait que ce sont surtout les industriels et l’automobile qui dégagent ce type de gaz. Nous n’y contribuons qu’à concurrence de 1,5 %. Mais c’est comme cela, les collectivités ont plus de contraintes que le monde économique et on attend de nouvelles règles. L’avenir n’est pas rose. »

Les formules de révision de marché semblent coûter cher ?

« Nous avons beau faire marcher la concurrence en choisissant des entreprises concurrentes, en divisant le marché de la collecte en deux zones, les révisions de marché qui tiennent compte de plusieurs facteurs (prix du gasoil, personnel, services) augmentent et nous coûtent globalement 900 000 €/ an. »

Les usagers mécontents veulent faire la grève du tri ? Votre réaction.

« C’est mathématique. Pour une tonne mise dans un bac vert cela coûtera 70 € de plus et 170 € de plus pour la tonne de verre.

Des sommes qui augmenteront d’autant l’addition pour les contribuables. C’est dommage car l’agglomération rémoise trie bien : 60kg/h contre 43 kg/h en France. De même le taux de refus est ici de 13 % contre 25 % au niveau national. Le traitement des ordures revient actuellement à 103 € par an et par habitant. Il est de 113 € à Paris. »

Comment allez vous faire des économies ?

« Cela ne sera pas facile. Il n’y a pas de miracle. Nous allons travailler avec l’usine de valorisation énergétique pour arriver à fournir 50 % d’énergie issus des déchets à Croix-Rouge. La TVA passera alors de 19,6 % à 5,5 % et l’économie réalisée permettra de baisser les charges locatives d’un niveau significatif.

Vers une tarification variable ?

Nous allons surtout essayer de travailler en amont pour arriver le plus rapidement possible à une tarification de l’enlèvement des ordures ménagères qui ait une partie fixe et une partie variable.

L’administration travaille sur ce dossier en sachant qu’à Reims le challenge est difficile car nous sommes avec Paris la ville où il y a le plus de logements collectifs où les volumes de déchets sont forcément difficiles à identifier.

Mais d’ores et déjà, comme à Cormontreuil, des habitants nous ont appelés pour nous demander s’il était nécessaire de collecter les ordures ménagères trois fois par semaine… »

(1) Le terme élimination comporte les opérations de collecte, transport, tri, traitement et stockage avant récupération des matériaux réutilisables ou de l’énergie. La collectivité a obligation de collecter et traiter les déchets ménagers des particuliers mais pas les déchets assimilés (non ménagers) produits par les commerçants, artisans, services et professions libérales.

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17.446 tonnes collectées dans les quatre déchetteries

Les quatre déchetteries rémoises ont reçu 316.473 visites en 2008.
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En 2008, les quatre déchetteries rémoises réparties aux quatre coins de la ville de façon à ce que les usagers (particuliers) n’aient pas plus de 10 minutes maxi pour s’y rendre, sont toutes ouvertes aux mêmes heures : de 9 à 19 heures en semaine et de 9 à 12 heures le dimanche.

Elles ont reçu 316.473 visites pour un tonnage de déchets dépassent les 17.500 tonnes. Que trouve-t-on dans ces déchets ?

3.364 tonnes de déchets verts, 5.399 t de gravats, 3.789 t d’encombrants incinérables, 3.072 t d’encombrants, 745 t de déchets d’équipements électriques et électroniques, 602t de métaux, 102 t de pneus (soit 8.483 unités), 113 t de déchets ménagers spéciaux, piles et batteries dont 14t d’huile, 66 tonnes d’amiante (tôles etc.). Ce service coûte 1,5M€ à la collectivité.

Partenariat avec Emmaüs

Partant du principe que le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas, Reims métropole soucieuse de développer la valorisation des déchets par leur réemploi, a décidé de lier un partenariat avec Emmaüs.

Sans aller dans les bennes, les compagnons d’Emmaüs, en liaison avec le gardien, pourraient une ou deux fois par mois, le samedi, sur les déchetteries de Saint-Brice-Courcelles et de Croix-Rouge, récupérer auprès des usagers des objets dont ils veulent se débarrasser. La collectivité estime qu’environ 300 tonnes de déchets pourraient être ainsi récupérées.

En échange, Emmaüs qui effectue près de 70 % de ses prestations (vide-greniers et vidage de maison) sur l’agglomération serait autorisée à vider une partie de ses déchets dans les déchetteries (jusqu’à 300 tonnes), autant de tonnage qui ne se retrouveraient pas dans les poubelles des particuliers. La dépense pour Reims métropole : 150.000€.

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284 kg de déchets par an et habitant

Le coût de la collecte augmente (+3,8 %).
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La collecte est assurée dans 11.972 logements.
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Pour le ramassage des ordures ménagères résiduelles (non recyclables), 46.866 bacs verts (contre 44.058 en 2005) sont mis à la disposition des habitants.

À noter que 969 d’entre eux, brûlés, volés ou dégradés, ont dû être changés (827 en 2005). Huit containers enterrés ont été mis dans des quartiers, à Tinqueux (5) et à Reims (3).

La collecte est assurée dans 11.972 logements avec des fréquences différentes sur deux secteurs. Le premier englobe Bétheny, Saint-Brice-Courcelles et le Nord de Reims, le second Tinqueux, Bezannes, Cormontreuil et le sud de Reims.

La collecte des déchets des artisans et commerçants, qui n’est pas obligatoire, est aussi assurée par la Car avec des quotas maxima. Il a été collecté 61.179 tonnes en 2008 soit une production annuelle de 284 kg/h en porte à porte.

La collecte a coûté 6,17 M€ l’an dernier, soit 101 € la tonne, soit 28,70 €/habitant. Les tonnages d’ordures résiduelles ne cessent de baisser, ils sont passés de 67.967 tonnes en 2005 à 61.179 tonnes en 2008.

Une baisse qui s’explique par une utilisation plus importante des déchetteries, la mise en place de composteurs individuels, la participation à la collecte sélective mais aussi la baisse de l’activité économique des ménages.

En revanche, le coût de la collecte augmente (+3,8 %) en raison de la hausse importante des coûts des indices de révision des marchés en 2008 (jusqu’à 8 % en août par rapport à 2007) à cause du prix du pétrole.

Traitement des déchets

Les déchets recyclables et assimilés sont livrés et traités par une société privée au centre de tri Trivalfer de Reims métropole qui emploie 30 personnes. Elles trient les emballages et les conditionnent pour les filières de recyclage (flaconnage plastique, journaux/magazines, cartons, briques alimentaires, emballages en acier, en aluminium).

Sur 13.114 tonnes, 11.425 ont pu être recyclées en 2008. Les 1.689 tonnes refusées partent à l’usine de revalorisation énergétique. Le centre de tri a coûté 1,85 M€ en 2008 auxquels il convient de retrancher le produit des reventes de matières d’un montant de 730.498 €.

Valorisation énergétique

Sous contrôle de la Drire, les ordures ménagères résiduelles sont livrées sur l’unité de valorisation énergétique Remival de la Car et traitées par incinération.

La centrale fournit de la vapeur à la chaufferie urbaine du quartier Croix-Rouge (soit 38 % de ses besoins) et pour la fabrication d’électricité.

Cela coûte 7,46 M€ en exploitation à la collectivité, auxquels s’ajoutent le traitement des mâchefers : 386.606€.

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Journal « l’Union » - 090928b

Le point sur les travaux du tram : Automobilistes, attention !

A partir d’aujourd’hui basculement des travaux côté pair rue de Vesle entre la rue des Capucins et la rue Clovis. Photos Christian LANTENOIS.
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Du pont de Laon à la rue de Vesle, du cours Langlet au parking Foch, les équipes du tram s’activent. Attention aux nombreuses modifications à venir.

Pont de Laon

La pose des pavés sur le trottoir côté gauche (Sernam) débutera à partir du lundi 28 septembre.

Place de la République

A partir du lundi 28 septembre, basculement de la circulation en provenance de l’avenue de Laon vers la Porte Mars, sur un pont lourd installé au-dessus des rails au niveau des Hautes Promenades afin de réaliser le carrefour Laon-République.

Parking Foch

Réouverture du parking avec stationnement payant comme initialement, à partir du lundi 28 septembre dès 7 heures du matin.

Rue du Petit-Four

Mise en impasse et à double sens avec une entrée par la rue du Général-Sarrail à partir du lundi 5 octobre et jusqu’à la fin du mois.

Cours Langlet

A partir du lundi 5 octobre, réalisation des trottoirs côté gauche (numéros pairs) entre la rue des Elus et la rue Carnot. L’accès aux garages des riverains est maintenu avec une entrée et une sortie par la rue Carnot.

Place Myron T.Herrick

Réalisation des trottoirs devant le Grand-Théâtre à partir du lundi 5 octobre.

Rue de Vesle

A partir d’aujourd’hui, basculement des travaux du côté gauche (numéros impairs) vers le côté droit (numéros pairs) entre la rue des Capucins et la rue Clovis pour la réalisation de la seconde phase de la plate-forme de tramway.

Mardi 29 septembre, le carrefour Jeanne d’Arc-Clovis-Vesle sera fermé entre 7 et 8 heures afin de retirer le pont lourd installé le 10 juin dernier. La circulation s’effectuera à partir de cette date sur la partie du carrefour réalisée.

Rue Arago

Du lundi 5 octobre jusqu’à fin décembre, fermeture avec une mise en impasse au niveau de l’avenue du Général-Bonaparte.

Avenue du Maréchal-Juin

Basculement des travaux du côté droit vers le côté gauche à partir du lundi 5 octobre pour la réalisation des travaux de la plate-forme.

Pour toute information :
- espace tram info : 0.800.10.87.27
- Réseau de bus : 0.800.00.30.38

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Journal « l’Union » - 090928a

Nationale 1 féminine : « C’est notre faute »

Fabrice Lefrançois n’a pas caché sa déception et surtout sa frustration.
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La défaite contre Laveyron (59-68) samedi soir lui a laissé un goût amer. « C’est frustrant parce ce que l’on avait les solutions pour l’emporter. C’est notre faute », lançait le coach rémois. Fabrice Lefrançois et ses protégées ont désormais 15 jours pour méditer et corriger leurs carences avant de recevoir Rennes, le 10 octobre (*).

Fabrice, qu’est-ce qui vous déçoit le plus en analysant ce nouveau revers à domicile ?

« Dans un premier temps, on les a laissés revenir dans la partie, en 1’30 au début du 3e quart. On a perdu trois ballons, nous étions totalement absents en défense et on prend un 8-2. Après, c’est notre faute. On a joué en marchant. On a arrêté de mettre du rythme alors que, en première mi-temps, on avait marqué sur les phases de transition et sur jeu rapide. »

La défense de zone de Laveyron vous a-t-elle déstabilisés ?

« Ce n’est pas leur défense qui nous a posé problème, mais notre attaque. On connaissait les solutions. Il y avait des espaces mais sans aucun rythme, ça devenait difficile. La semaine dernière, Nice avait joué aussi en zone, mais ils ont vite arrêté parce que l’on savait l’attaquer. »

On imagine que vous avez hâte de pouvoir utiliser un peu plus votre banc…

« Oh que oui. Ça devrait apporter de la fraîcheur. Les extérieures pourront enfin souffler. On pourra compter sur l’adresse de Jenny (Fouasseau), la défense de Magali (Mendy) et la rotation d’Emilie (Remazeilles) à la mène. Jenny a repris l’entraînement vendredi, Magali devrait revenir le 5 octobre et Emilie voit le chirurgien jeudi. »

Recueilli par N.R.

(*) Initialement programmée le 3 octobre, la rencontre face au Centre fédéral a été décalée au mercredi 14 octobre.

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Journal « l’Union » - 090927a

Le livreur se fait incendier sa camionnette

Vendredi, vers 17 heures, un livreur de chez Cora qui effectuait une livraison de téléviseur avenue Bonaparte, a eu la désagréable surprise, quand il est redescendu, de découvrir son Peugeot Partner en train de brûler.

Les deux téléviseurs qui étaient encore dans le véhicule et n’avaient pas été encore livrés avaient. .. disparu !

La police a ouvert une enquête car l’origine criminelle de l’incendie ne semble faire aucun doute.

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Journal « l’Union » - 090926i

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

La nouvelle taxe sur les ordures ménagères suscite toujours beaucoup de réactions.
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Un clip pour le single de Bensad

Le chanteur rémois, Bensad Allaoui, vient de sortir son premier single « Mhamed, le sultan de mon orient » chez ACF Productions (l’union du 20 août).

Sa nouvelle démarche, en liaison avec la Maison de quartier Croix-Rouge, c’est d’accompagner ce titre avec un clip : « Le 30 octobre, nous avons convenu, avec Yves Pringault, directeur « Jeunesse », de faire venir un réalisateur de Rennes, l’association Cameydolm Comira, pour le clip qui illustrera ce single, chez Ethnic’s », annonce-t-il.

Ordures ménagères

Isabelle Mallinger, secrétaire de l’association des locataires des Hauts-de-Murigny, apporte des précisions à son intervention dans un précédent article : « Je m’étais limitée aux réclamations qui auraient pu intervenir suite à la réception de l’avis TEOM. Comme ce document n’est pas encore parvenu aux locataires des Hauts-de-Murigny, il n’y a pas de plainte pour l’instant, mais tout le monde demeure révolté contre cette taxe, non pas dans son application qui est inévitable mais dans son mode de calcul. Nous avons remis à Mme Hazan un nombre important de pétitions lors de la réunion en mairie qui a eu lieu au printemps dernier ».

Un local pour les locataires

Depuis le mois d’avril, le Collectif de défense des locataires de Croix-Rouge (CDL-CR) espérait se voir attribuer un local associatif par Reims habitat au 16, Cour Eisenhower. C’est chose faite : « Nous avons pris possession du local début septembre, celui-ci sera opérationnel début octobre », confirme le président Fabrice Lopez.

Après l’inauguration, le CDL-CR y assurera une permanence tous les mercredis de 16 à 18 heures.

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Journal « l’Union » - 090926h

Sensibilisation au collège Croix-Rouge : Comprendre la musique

Improvisation théâtrale et musicale avec Aurélie Cohen et Fabien Touchard.
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Comment sensibiliser des élèves du collège Croix-Rouge à différentes époques de musique classique ?

En les invitant à un voyage théâtral et musical, à travers des improvisations. Au piano, Fabien Touchard, qui propose des variations. Les collégiens sont invités à en trouver l’époque : baroque ? Romantique ? Ou moderne ? Sur des suggestions des enfants, qui s’en donnent à cœur joie, la jeune comédienne Aurélie Cohen a mimé la journée d’un compositeur, auquel il arrive une série d’avatars. Les péripéties font l’objet d’une improvisation musicale. Un cours de musique peu académique, auquel les enfants de 6e ont totalement adhéré, riant de bon cœur aux mimiques de l’artiste, qui a fait un tabac !

« C’était trop bien ! J’ai aimé la scène de la déprime… ça aide à comprendre la musique », approuve une des élèves. « Nous sommes partants toutes les fois qu’on peut faire venir « in situ » les acteurs d’activités artistiques. Dans le cas présent, c’est mille fois plus intéressant que d’écouter un disque », apprécie Philippe Lhuillier, le principal. Le but visé par l’équipe des Concerts de poche est aussi d’inciter les élèves à se rendre au concert gratuit qui aura lieu le jeudi 1er octobre à 20 heures au Conservatoire et qui réunira François Thirault, jeune violoncelliste et deux solistes : Jonathan Fournel au piano et Maureen Thiébault à la harpe.

Réservations au 01.60.71.69.35.

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Journal « l’Union » - 090926g

Association 2 Mains : L’irrésistible ascension

Une assistance attentive.

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Créée en juin 2006 au 4, place Dominique-Ingres, par deux travailleurs sociaux, l’association 2 Mains occupe maintenant une place importante à l’échelon départemental puisqu’elle est maintenant composée d’une vingtaine de personnes et dispose de trois antennes, à Épernay, à Châlons-en-Champagne et à Vitry-le-François.

Elle n’a jamais dévié de ses objectifs d’origine avec le Dispositif éducatif novateur d’insertion sociale (Denis) dont le but est « d’amener vers l’emploi des personnes de 16 à 30 ans en rupture sociale et professionnelle » et le Contrat d’autonomie, mission confiée par l’État, comme « réponse aux difficultés d’accès à la formation et à l’emploi des jeunes des zones urbaines sensibles ».

Cette association, dès sa création, correspondait parfaitement à un besoin impératif, ce qui explique sa rapide expansion.

Un bilan a été dressé dans les locaux de la Caisse d’Epargne Lorraine-Champagne-Ardenne à Reims (« un partenaire fidèle qui nous a toujours fait confiance et nous a soutenus tout au long de notre parcours », soulignait le directeur Jean-Louis Rumério).

Près de cent personnes avaient répondu présent dont deux sous-préfets (Jean-Jacques Caron pour Reims et Raymond Floc’h pour Vitry-le-François) et de nombreux élus et responsables de structures amies : conseil général de la Marne, Ville de Reims, mairies, Mission locale, Solidarité départementale, Pôle emploi, clubs et services de prévention, Alpha logement, Effort rémois, Foyer rémois, APPF, Jeunesse espoir Pays-de-France, Maison de quartier, Étoile Croix-du-Sud,…

Besoin d’être aimés

Michel Voisin, administrateur, a su résumer, dans un vibrant exposé, les cinquante pages du rapport d’activités, avec en particulier une phrase choc : « Aujourd’hui, notre société traverse une crise économique importante. Les plus touchés par cette conjoncture sont nos concitoyens qui vivent dans les quartiers dits sensibles. »

« Les gens de plus de 55 ans rejoignent la cohorte des jeunes de moins de 25 ans sans emploi, victimes de discriminations de par leurs origines, leurs religions mais aussi de par leur lieu de résidence. »

« Ces personnes souhaitent pourtant sortir de cette vie par le biais d’un emploi, et ont ainsi besoin d’être écoutées, d’être portées pour un moment, accompagnées, soutenues, elles ont tout simplement besoin d’être aimées ».

Pour le Denis, 177 personnes de 16 à 30 ans et plus, en rupture sociale et (ou) professionnelle ont été « accompagnées » par l’association en 2008 et la demande ne cesse de croître.

Quant au Contrat d’autonomie, rien qu’au 4e trimestre 2008 (démarrage de l’opération), 100 signatures ont été enregistrées avec l’Afec : 46 à Reims, 14 à Châlons-en-Champagne, 15 à Épernay et 25 à Vitry-le-François (jeunes de 16 à 25 ans).

On le voit, le pain ne manque pas sur la planche !

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Journal « l’Union » - 090926f

ROLLER HOCKEY / Elite : Les trois coups

Pour son retour à Rethel, Benjamin Bireloze va débuter face au club où il vient de passer deux saisons.
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Entamée fin août par un stage intense de trois jours, la préparation cède sa place ce soir à l’ouverture du championnat pour Rethel à domicile face à Villeneuve.

L’INTERSAISON ardennaise a surtout été marquée par les départs des frères Lefranc pour Amiens.

Même s’il est ardu de se passer des services du meilleur buteur en exercice (Jimi), ces deux joueurs sont remplacés poste pour poste par Martin Bradette - international canadien venu de Montpellier - dans la cage et le retour de Benjamin Bireloze qui a passé deux ans à Villeneuve.

Sinon, l’effectif, sous la conduite de Thiébault Koch, ne fluctue et peut miser sur l’éclosion des jeunes Jordan Lallement, Maxime Colas et Benoît Muller ou le second gardien, Josy Alexandre, monté de N3.

Les matches de préparation, notamment au tournoi de Tours, semblent peu significatifs, les différentes équipes étant encore en rodage et pas au complet.

Exercice plus ouvert

Les Rethélois ont signé deux succès, sur Villeneuve (5-1) et Caen, avant de déjouer contre Amiens (1-2) et Angers (0-3). Mais, l’essentiel reste la compétition et les joueurs de la cité Mazarin visent une place sur le podium pour décrocher un billet européen.

Cela passera par des résultats à domicile, tout en ramenant aussi des points de l’extérieur. Confiant dans le potentiel de ses troupes, le président Lefebvre livre ses premières impressions avant les trois coups : « A priori, le championnat semble encore plus ouvert cette année avec, comme favori, Anglet qui s’est sérieusement renforcé. Dans ce concert annoncé difficile, Rethel se battra avec ses armes pour continuer à figurer le plus haut possible après ses sept titres. J’espère que les nouveaux s’adapteront très vite aux systèmes mais je ne me fais pas de souci, notamment pour Bireloze qui connaît la maison. Nous continuerons à faire confiance aux jeunes qui jouent le coup à fond. L’équipe devra certainement trouver ses automatismes, notamment en première ligne. Physiquement, les joueurs sont prêts à relever le défi ».

Premiers éléments de réponse en soirée puisque le premier visiteur, Villeneuve, nourrit aussi de réelles ambitions, bien décidé à effacer une saison 2008-2009 ratée.

Le champion d’Europe des Confédérations s’appuie sur un noyau pratiquement inchangé avec des individualités comme les frères Clisson capable de faire basculer un match à eux seuls mais aussi le portier Hugo Rebuffet.

L’ERA connaît donc les dangers de l’adversaire réputé capable du meilleur comme du pire et l’entraîneur a gardé ses protégés sous pression avec, en particulier, différentes options en zone offensive.

Comme le concluait le président impatient de découvrir le vrai visage de son bloc, comme le public attendu fourni pour cette reprise, le plus important consiste à bien débuter. Si possible par les trois points de la victoire…

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Journal « l’Union » - 090926e

BASKET-BALL / Nationale 1 féminine : « J’assumerai mes responsabilités »

Confiance retrouvée pour Manon Sinico après une période de frustration.
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Après une intersaison difficile, Manon Sinico retrouve sa motivation. Le RBF a besoin d’elle.

ELLE a été coupée en plein élan. Après deux saisons prometteuses en LFB, en progression constante, Manon Sinico voyait l’avenir en rose, comme les nouvelles couleurs du Reims Basket Féminin avec qui elle avait décidé de prolonger l’aventure. Mais le rêve a viré au cauchemar quand le RBF a été rétrogradé en NF1 au début de l’été. Sans autre solution, elle devait rester à Reims et décidait de reprendre ses études d’infirmière. Déception et frustration ravalées, l’arrière rémoise retrouve petit à petit sa motivation. Ce soir, elle et ses coéquipières tenteront de confirmer contre Laveyron leur premier succès obtenu la semaine dernière à Nice.

Manon, les déboires financiers du club n’ont pas été sans conséquences sur votre situation personnelle cet été. Comment avez-vous vécu l’intersaison ?

« Ça n’a pas été facile. C’est arrivé et je n’ai pas pu rebondir ailleurs. Je suis donc restée à Reims. Evidemment, ce n’était pas mon premier choix, mais je suis professionnelle et j’assumerai. »

Comment vous motivez-vous ?

« C’est un peu compliqué. En fait, je sors tout juste la tête de l’eau. Il faut se dire que c’est comme ça, que l’on n’a pas le choix et qu’il faudra réaliser une grosse saison pour aspirer à de plus grandes ambitions la saison prochaine. »

« Frustrant de perdre contre Dunkerque »

Vous voilà dans le rôle d’un leader au sein de l’équipe…

« Il avait déjà commencé la saison dernière où je m’étais affirmée. L’équipe est très jeune et il y a encore beaucoup de choses à faire. Je fais partie des cadres et j’assumerai mes responsabilités. »

La victoire à Nice est-elle de nature à lancer la saison ?

« C’était dur et frustrant de perdre contre Dunkerque lors de notre premier match à la maison. La victoire à Nice est excellente pour le moral. C’est bien pour la suite. Je ne connais pas trop cette équipe de Laveyron mais, c’est certain, elle n’aura rien à perdre. A nous de confirmer pour continuer à travailler sereinement. »

Recueilli par N.R.

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Journal « l’Union » - 090926d

Festival de la glace : La patinoire dans tous ses états

Demain, la patinoire sera ouverte de 9 à 18 heures.
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Demain, dimanche 27 septembre de 9 à 18 heures, la Régie des équipements municipaux sportifs de la Ville organise, en collaboration avec les clubs de glace rémois, le Festival de la glace.

La patinoire sera ouverte au public exceptionnellement de 9 à 18 heures au tarif unique et exceptionnel de 2 € l’entrée (hors patins) !

La Pist’aux kids, un espace protégé par une barrière dans lequel sont placées des luges, des crosses de hockey, des cages de hockey,… pour accueillir les jeunes enfants et leurs parents, sera en place dès 9 h 30 jusqu’à 13 heures.

Le programme :

- de 9 heures à 13 h 30, inscriptions au tournoi.
- De 9 à 11 heures, initiation au patinage sur piste.
- 11 h 15-12 h 30, démonstration patinage (3 clubs).
- 12 h 30-13 h 30, initiation au patinage sur piste.
- 13 h 30-16 h 30, tournoi sur glace.
- 16 h 30-17 h 15, karting sur glace (à partir de 13 ans).

Ce sera aussi l’occasion de présenter au public le programme des animations de la saison 2009/2010 à la patinoire Bocquaine.

Pour les enfants, les gants sont obligatoires et les casques conseillés.

Patins à louer à partir de la pointure 23 et patinettes pour les enfants en bas âge.

Renseignements au 03.26.82.60.94.

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Journal « l’Union » - 090926c

« Lire et faire lire » : Une rentrée studieuse

Une journée de formation pour les nouveaux adhérents.
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Lire et faire lire : La section marnaise compte 160 adhérents. « Un chiffre en constante augmentation », note Claire Métreau, la présidente, ravie d’accueillir, pour la reprise des activités, de nouvelles bénévoles. « Notre but est de former nos nouveaux adhérents pour qu’ils soient le plus vite possible opérationnels auprès des organismes demandeurs. »

Les membres interviennent dans les écoles, centres aérés, bibliothèques, et même dans les crèches : « Cela fait 200 structures qui bénéficient de nos séances de lecture », précise Mme Métreau.

Que fait le bénévole ? Il lit à voix haute des textes aux enfants, afin de développer en eux le goût de la lecture. Un échange enrichissant pour les deux parties, car des liens affectifs ne manquent pas de se tisser au fil des séances.

Quelles sont les motivations des nouvelles lectrices ? « Le plaisir de la rencontre avec les enfants et la volonté de faire passer des choses. Cette démarche particulière m’intéresse. J’ai du temps et le bénévolat est important dans ma vie », confie Marie-Thérèse Nolleau.

Après une matinée consacrée à la présentation de l’association et à quelques conseils d’usage, l’après-midi a été animée par Claire Deborde, comédienne, qui a formé les nouvelles lectrices au choix et à la lecture des livres.

Infos : Ligue de l’Enseignement 23, rue A.-Daudet à Reims. Tel. 03.26.84.36.90 lireetfairelire@laligue51.org

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Journal « l’Union » - 090926b

Violences : Elle frappe son « ex » avec une lame de rasoir

N’appréciant pas une rupture amoureuse, une jeune femme s’est rendue chez son « ex », avenue Bonaparte, pour s’expliquer avec lui.

La rencontre a vite dégénéré et c’est la demoiselle qui a pris le dessus. Récupérant une lame de rasoir qui traînait sur une table, elle en a porté un coup à la main du garçon. Le nerf du pouce a été sectionné, ce qui a provoqué une incapacité totale de travail de 30 jours.

Arrêtée par la police, la jeune fille fera l’objet d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (procédure de plaider-coupable au cours de laquelle le procureur lui proposera une peine).

Malgré ses blessures, l’ex-concubin n’a pas souhaité déposer plainte.

Une autre agression impliquant un couple s’est déroulée lors d’une soirée d’anniversaire rue Jean-Jaurès à la Neuvillette. La jeune femme a été projetée sur une table, ce qui a cassé l’ambiance.

Les invités sont partis, la dame a voulu faire de même et a appelé quelqu’un pour qu’il vienne la chercher. Elle a reçu une nouvelle volée de coups dans la cour. Retrouvée inanimée au sol, la victime a subi cinq jours d’incapacité totale de travail. Son agresseur a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

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Journal « l’Union » - 090926a

Incendies : Ça brûle

Jeudi midi, une fumée suspecte a été signalée place Maurice-Utrillo. Après avoir effectué une reconnaissance, les pompiers ont découvert qu’elle provenait d’un barbecue sur un balcon. Le soir vers 19 h 30, un feu de broussailles a été éteint près du fort de Montbré.

Non loin de là, vers 5 heures hier matin, un court-circuit au niveau d’une chaudière a provoqué un début d’incendie dans une maison de Champfleury, route de Montbré. Le feu a causé des dégâts sur un placard.

A 14 h 40, les pompiers ont été appelés rue de la Magdeleine pour un « feu de maison ». La fumée provenait en fait d’une chaudière défaillante. Deux personnes légèrement incommodées ont été prises en charge.

A 17 heures, une voiture a pris feu avenue Bonaparte. Une heure plus tard, les pompiers sont retournés dans la même avenue pour un feu de poubelle.

Un feu de détritus s’est également déclaré en fin d’après-midi rue du 106e R.I.

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Journal « l’Union » - 090925b

roller hockey / Nationale 1 : Gare au piège

La deuxième journée mènera demain le Roller Hockey Reims chez les Rafales de Viry-Châtillon dans le cadre de la 2e journée.

Après une entame mitigée face au promu Pont-de-Metz, les hommes du président Bock doivent élever le niveau de leur jeu pour espérer revenir de l’Essonne avec les trois points de la victoire.

Et si les Rémois sont à la recherche de repères et de certitudes, ils peuvent néanmoins être sûrs que leurs hôtes ne leur faciliteront pas la tâche. A l’instar des joueurs de la Somme, les Franciliens pratiquent un jeu très physique, basé sur l’impact et le harcèlement du porteur du palet, des aspects qui ont considérablement gêné les Rapaces la semaine passée.

De plus, l’entraîneur Laurent Lexcellent sera contraint de se passer pour cette rencontre des services de l’attaquant Mathieu Marsault et de l’arrière Arnaud Maujean. Il devrait par conséquent renouveler la confiance qu’il a portée jusqu’ici à sa jeune garde (Fayault, Caron, Capitaine).

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Journal « l’Union » - 090925a

Incendie : Voiture brûlée

Hier vers 3 heures du matin, une Peugeot 205 a été détruite par le feu esplanade Ernest Hemingway. L’origine de l’incendie reste indéterminée.

Mercredi midi, les pompiers avaient été appelés pour une fumée suspecte place Maurice Utrillo.

Après avoir effectué une reconnaissance, ils ont constaté qu’elle provenait d’un barbecue sur un balcon …

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Journal « l’Union » - 090924b

Université / Enfin un doyen !

Jean-François Boulanger est détaché du secondaire.
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Après un an de vacance, le poste de doyen de la faculté de lettres de l’Urca (université de Reims Champagne-Ardenne) est à nouveau occupé.

Jean-François Boulanger, un historien spécialisé dans l’histoire contemporaine y a été élu le 17 septembre dernier.

Natif de Châlons et ayant fait ses études supérieures à Reims, M.Boulanger présente la particularité de ne pas être professeur d’université comme la plupart des doyens, mais simple « prag » (professeur agrégé) et donc enseignant du secondaire.

Il a exercé pendant 17 ans au lycée Arago du quartier Croix-Rouge de Reims avant d’être détaché auprès de l’université.

Il était en outre connu dans le milieu pour son militantisme syndical, sous l’étiquette CFDT.

A.P.

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Journal « l’Union » - 090924a

Les nerfs à vif : Violence et agressions

Dimanche soir, les pompiers ont eu fort à faire pour secourir une jeune femme malade et surexcitée place du 30-Août-1944.

Les policiers sont venus leur prêter main forte. La demoiselle a été transportée aux urgences psychiatriques.

Mardi vers 13 h 30, deux filles de 16 et 20 ans en sont venues aux mains lors d’une rixe rue Pierre-Taittinger. L’une d’elles a fini à l’hôpital. Des coups de bâton auraient été donnés de part et d’autre.

Ce même jour à 19 heures, une altercation a éclaté dans un immeuble de la rue Géruzez entre un voisin et une voisine. Le premier aurait reçu une gifle de la seconde, si bien qu’il l’a poussée dans les escaliers. La dame blessée au visage a été transportée au CHU.

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Journal « l’Union » - 090923c

Cochon fugueur

Lundi après-midi, la police et les pompiers ont capturé près du Creps un cochon vietnamien qui divaguait depuis la matinée dans le quartier Croix-Rouge (l’union d’hier).

L’animal a-t-il été abandonné par son maître ? Aucune personne ne l’a réclamé. Après avoir passé la nuit chez le vétérinaire de garde, le cochon a été récupéré par un habitant des environs de Reims qui le tient à disposition des éventuels propriétaires.

Il serait prêt à le garder, ce qui ferait un bon copain au mouton qu’il possède déjà.

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Journal « l’Union » - 090923b

Les étudiants rentrent au bercail

Depuis deux ans, les effectifs des lettres et des sciences humaines enregistrent une baisse.
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C’est la rentrée universitaire. Si les effectifs globaux augmentent, certaines filières attirent de moins en moins.

LES étudiants ont-ils boudé les campus après le long mouvement de grogne du printemps dernier ? La semaine dernière, Valérie Pécresse a indiqué que le nombre d’inscrits à l’université enregistrait une très légère baisse de 0,5 % (hors IUT) contre -0,8 % en 2008. « Il n’y a pas eu d’évitement des universités par les bacheliers », a souligné la ministre de l’Enseignement supérieur, ajoutant que toutes les conditions étaient réunies pour que cette rentrée se déroule de façon « sereine ».

À l’université de Reims Champagne-Ardenne, le constat se veut identique. Le président Richard Vistelle a dévoilé hier les premiers chiffres de la rentrée qui s’est officiellement déroulée lundi.

Aujourd’hui, un peu plus de 14 900 étudiants sont inscrits, soit une augmentation de 8,5 % par rapport à l’année dernière. D’ici la fin des inscriptions - en novembre, le président de l’Urca prévoit une hausse globale de 2,5 à 3 % des effectifs -, les chiffres officiels ne seront connus qu’en janvier.

Une évolution « remarquable », selon lui, dans une région où la population de la tranche d’âge des 15-29 ans a tendance à diminuer. L’année dernière, les effectifs de l’Urca avaient crû de 1 %.

Si le résultat global peut s’avérer satisfaisant, à y regarder de plus près, certaines filières sont nettement plus attractives que d’autres. Les sciences exactes et naturelles enregistrent une hausse de 5 % de leurs effectifs, la médecine idem, les Staps de 20 % et le droit de 8 %. « Ces chiffres sont réconfortants puisqu’ils confirment l’attractivité des diplômes et de la formation », note Olivier Dupéron, doyen de l’université de droit, qui avoue son « plaisir » à voir des amphithéâtres pleins, « ce qui n’était pas forcément le cas les années précédentes ».

A l’inverse, une forte baisse est observée en pharmacie (-34 %), liée, selon la présidence de l’université, à « une anticipation de la réforme du LMD santé ». Autre mauvaise nouvelle : les lettres et sciences humaines sont en « très légère baisse ». Le même phénomène avait été observé à la rentrée 2008. Mais, comme l’année dernière, aucun chiffre n’est avancé par Richard Vistelle. Sous prétexte que les inscriptions ne sont pas terminées…

Faute d’explication, peut-on imaginer que ces deux années de baisse consécutive dans ces deux filières sont une des conséquences des mouvements des étudiants et des enseignants-chercheurs - trois en quatre ans ? Le président de l’université soutient mordicus que non, reprenant mot pour mot l’antienne de la ministre de l’Enseignement supérieur : « La mobilisation du printemps n’a pas été suivie d’un évitement de l’université. Les étudiants continuent de croire en l’université ». Fermez le ban.

Du côté du rectorat, le discours se veut tout aussi rassurant. « Les chiffres prouvent que les lycéens ne boudent pas l’Urca qui demeure une filière d’excellence », a déclaré hier Alexandre Steyer, le recteur de l’académie, qui préfère mettre en avant l’augmentation de 12 % du budget de l’Urca par rapport à l’année dernière.

Quant à savoir si cette « légère » diminution des effectifs peut traduire une crainte de dévalorisation des diplômes de ces filières, la présidence de l’université reçoit, une fois n’est pas coutume, le soutien de l’Unef. « C’est du pur fantasme. L’année dernière, on s’est justement battu pour rattraper les cours et faire en sorte que les diplômes aient la même valeur », explique Julien Micelli, le président du principal syndicat étudiant.

Les universités françaises connaîtront-elles un nouveau mouvement cette année ? Les enseignants-chercheurs, comme certains étudiants, cultivent de l’amertume mais semblent hésiter à repartir (lire ci-contre). En fait, la réponse pourrait se trouver dans l’agenda politique. Avec une ministre candidate aux régionales en mars prochain, les facs devraient s’épargner une nouvelle réforme. Et donc une nouvelle grogne.

Mickaël PENVERNE


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« Une grosse amertume »

Yann Philippe condamne
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Maître de conférence en anglais à Reims, Yann Philippe est aussi membre du réseau Sauvons l’université, qui fut à la pointe de la contestation l’année dernière.

Quel jugement portez-vous sur le long mouvement des enseignants-chercheurs du printemps dernier ?

La mobilisation fut massive. Il était rare de rencontrer des personnes qui ne se sentaient pas concernées par ce qui se passait. Sur le site de Croix-Rouge, par exemple, le taux de grévistes était largement supérieur à 50 %, au moins les premières semaines du mouvement.

Comment expliquez-vous la durée exceptionnelle de cette contestation ?

Il y avait d’abord l’empilement des réformes que le corps enseignant a dû encaisser ces dernières années sans rien dire. Ensuite, il y avait deux questions précises avec lesquelles nous n’étions pas d’accord : celle de la masterisation et celle du statut des enseignants-chercheurs. Partout en France, dans tous les UFR, les enseignants ont voté des motions pour amender l’avant-projet de loi et faire entendre notre voix. Or, nous avons eu la nette impression de ne pas être écoutés. En fait, c’est ce silence qui a déclenché le mouvement. Mais quand nous sommes partis en grève, on ne se doutait pas que cela durerait cinq mois.

Cinq mois de luttes pour voir la réforme finalement adoptée : n’est-ce pas décourageant ?

C’est vrai, mais il reste un acquis : la repolitisation du monde des enseignants-chercheurs. On a senti une volonté de se parler et d’avoir une parole commune. D’habitude, les chercheurs sont plutôt concentrés sur leur production scientifique, mais là, ils se sont retrouvés sur l’analyse de la situation et autour des mêmes objectifs.

Ce mouvement peut-il repartir ?

Personne ne le sait, mais quelque chose de très fort est resté : l’impression que le gouvernement se fiche de la grève des enseignants. Qu’ils fassent cours ou pas, qu’ils transmettent leurs connaissances ou pas, visiblement, ce n’était pas très important. Ce conflit a laissé une grosse amertume. Alors, nous allons continuer sans doute à discuter et on verra si le mouvement doit repartir. Mais si c’est le cas, ce ne sera pas sur la même base. Nous devons mener une réflexion sur un nouveau mode d’action pour que le conflit ne tourne pas au bras de fer avec un gouvernement qui ne veut jamais céder.

Cette répétition des mouvements sociaux peut-elle dégrader l’image des universités et même dévaloriser les diplômes ?

Je ne sais pas. Mais il est certain que les enseignants ne peuvent pas se désintéresser de cette question qui renvoie aussi au traitement médiatique et politique de la contestation.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090923a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7308 du 21 au 27 septembre 2009.

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TRIBUNAUX DE COMMERCE

Par jugement en date du 08/09/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

A2D (SARL),
6 pl. Toulouse Lautrec - 51100 REIMS.
N° Registre du Commerce : (B 491 386 918).
Activité : Développement et commercialisation de logiciel.

Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins -51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

78473

Le greffier : Bernadette DELPY.


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TRIBUNAUX DE COMMERCE

Par jugement en date du 08/09/2009, le tribunal de commerce de REIMS a mis fin à la période d’observation et a prononcé la liquidation judiciaire au cours du redressement judiciaire de :

SARL AKAMBOU & DIAFOUKA Corporation,
7 rue Pierre Taittinger -51100 REIMS.
N° Registre du Com¬merce (B 448 401 380), 2003 B 194.
Activité : Mise à la disposition de matériel téléphonique et informatique.

Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET, en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

78485 Le greffier : Bernadette DELPY


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RECTIFICATIF A L’INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT www.reimshabitat.fr et du B.O.A.M.P http://djo.journal-officiel.gouv.fr...

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNEARDENNE, 71, avenue d’Epernay - B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : marché de conception-réalisation en application des articles 37 et 69 du code des marchés publics passé selon la procédure de l’appel d’offres restreint (article 69-I).

3) Objet des marchés : conception-réalisation pour la construction de 51 logements locatifs collectifs et 1.200 m2 de SHON de locaux commerciaux, quartier Croix-Rouge à Reims.

4) Délai d’exécution : le délai global de la conception réalisation est de 26 mois, y compris la période de préparation de 2 mois et non de 20 mois y compris la période de préparation.

5) Date limite de remise des candidatures : le 9 octobre 2009 à 17 heures.

6) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 16 septembre 2009.

78509

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Journal « l’Union » - 090922g

ROLLER HOCKEY / Nationale 1 : Le RHR au mental

Les débats ont été âpres et spectaculaires comme en témoigne cette action de Virgile Capitaine.
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Les Rapaces ont eu toutes les peines du monde à voir se dessiner leur premier succès de la saison samedi face aux valeureux Picards de Pont-de-Metz.

Le premier acte de la rencontre était à mettre au crédit des Greenfalcons, dont le jeu basé sur l’impact physique et le pressing semblait déranger les Rémois.

Ces derniers s’en remettaient à leur portier Haas, solide pour sa première rencontre avec l’équipe première, et dont les prouesses ont longtemps permis à ses coéquipiers de rester dans le coup.

Lexcellent décisif

Les Messipontins brisaient cependant l’égalité par Delsarte (21’10). Ce but devait servir de déclic puisque sur l’engagement, Lhoste ramenait les siens dans la rencontre (21’54) juste avant la pause.

A la reprise, il a fallu moins de deux minutes à Lexcellent pour trouver le fond du filet (26’22). Hoyer lui répondait sur la mise au jeu (26’58), imité dans la foulée par Caudron (27’13, 2-3). Mais Maujean nivelait la marque (28’42), puis Lhoste (31’41) et Godefroy en supériorité (34’05) donnaient deux longueurs d’avance aux Rapaces.

Le match semblait plié avant que Caudron ne relance la partie (38’02) et que les compteurs soient remis à zéro grâce à Poisson sur avantage numérique (39’34).

Le jeu se durcissait quelque peu et sur une situation de trois contre trois, Lexcellent, encore lui, offrait la victoire aux siens (43’12, 6-5).

Le pointage ne devait plus évoluer malgré la sortie du gardien picard.

Reims s’imposait dans la douleur, mais devra cependant monter en puissance pour espérer l’emporter à Viry samedi.

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Journal « l’Union » 090922f

RECTIFICATIF A L’INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

 


Avant - propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT www.reimshabitat.fr et du B.O.A.M.P http://djo.journal-officiel.gouv.fr...

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNEARDENNE, 71, avenue d’Epernay - B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : marché de conception-réalisation en application des articles 37 et 69 du code des marchés publics passé selon la procédure de l’appel d’offres restreint (article 69-I).

3) Objet des marchés : conception-réalisation pour la construction de 51 logements locatifs collectifs et 1.200 m2 de SHON de locaux commerciaux, quartier Croix-Rouge à Reims.

4) Délai d’exécution : le délai global de la conception réalisation est de 26 mois, y compris la période de préparation de 2 mois et non de 20 mois y compris la période de préparation.

5) Date limite de remise des candidatures : le 9 octobre 2009 à 17 heures.

6) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 16 septembre 2009.

51AO1684600

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Journal « l’Union » - 090922e

Alerte au « sanglier » à Croix-Rouge : Un cochon coursé par la police et les pompiers

Le « sanglier » - en fait un cochon vietnamien - coursé puis capturé près du Creps dans le quartier Croix-Rouge restait hier soir sans propriétaire connu.
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Hier matin, puis l’après-midi, la présence d’un « sanglier » a été signalée à Croix-Rouge. Capturé non sans mal, l’animal s’est révélé être un cochon vietnamien.

IL court, il court le cochon… Hier en fin de matinée, la présence d’un « sanglier » a été signalée dans le quartier Croix-Rouge, plus précisément dans une allée du secteur des Pays-de-France.

Alertés, les policiers municipaux ont repéré la bébête mais celle-ci, têtue comme une mule, n’a pas voulu se faire prendre. Deux équipages ont couru derrière sans pouvoir la rattraper. A bout de souffle, les policiers ont abandonné la poursuite alors que le « sanglier » semblait se diriger vers le Creps, route de Bezannes. Fin du premier épisode.

Naf-Naf le Nac

A 17 heures, deuxième acte ! L’animal a remontré le bout du museau entre le quartier Croix-Rouge et Bezannes. Les policiers ont repris la chasse, accompagnés cette fois-ci des sapeurs-pompiers. Acculé, le « sanglier » a finalement été capturé une demi-heure plus tard à proximité immédiate du Creps. Les sauveteurs ont alors eu la confirmation qu’il ne s’agissait pas d’un sanglier mais d’un cochon vietnamien, cochon domestique originaire du Vietnam et qui fait partie de la catégorie des nouveaux animaux de compagnie (Nac).

Appelé également cochon nain, le poids de cet animal peut atteindre les 130 kilos. Le spécimen capturé près du Creps est beaucoup moins lourd. D’où vient-il ? La question restait sans réponse hier soir.

Le porcin a été récupéré par la clinique vétérinaire de garde, avenue de Laon à Reims. Elle comptait le garder pour la nuit sans trop savoir quoi en faire par la suite. Avec un peu de chance, le propriétaire va peut-être se manifester.

Il y a quelques années, une course au sanglier - un vrai celui-là - avait eu lieu dans le centre-ville de Reims, du côté de l’avenue d’Epernay et de la rue du Colonel-Fabien. Capturé par des passants, il avait été remis en liberté dans la forêt. Poussé par la faim, l’animal avait semble-il suivi la voie ferrée depuis la Montagne de Reims avant de s’égarer en ville par un souterrain situé entre la rue Martin-Peller et l’avenue d’Epernay.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090922d

Culture pour tous : Les Concerts de poche rayonnent sur la région

Emmanuelle Magdalena : « Un partenariat pour toute l’action culturelle de terrain ». (archives)
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Antoine Hervé et Jean-François Zygel, deux grands pianistes improvisateurs.
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Programmer une série de neuf concerts de grande qualité entre septembre et décembre pour un prix très modique afin de diversifier les publics, c’est le défi des « Concerts de poche ».

DEPUIS quatre ans, « Les Concerts de poche » organisent, à Reims, des spectacles de musique classique de haut niveau dans des salles de proximité. Leur activité, pour cette rentrée, va s’élargir à toute la Champagne-Ardenne, grâce à une convention artistique avec la Région pour les concerts et toute l’action culturelle « de terrain ». « Nous allons programmer des artistes, soit dans des villages ruraux comme Auménancourt (25 septembre à l’église de Pontgivart), soit au contraire dans des lieux très urbanisés, comme Reims, Vitry-le-François, Charleville, Saint-Dizier », explique Emmanuelle Magdalena, directrice adjointe.

Des artistes renommés

En parallèle, « Les Concerts de poche » proposent des ateliers de sensibilisation interactifs aux diverses structures de la Ville.

Le jeudi 24 septembre, les artistes vont investir (ateliers privés) le collège Joliot-Curie à Croix-Rouge, l’école Docteur-Roux à Wilson, la Maison commune du Chemin-Vert et créer avec ces publics des contes musicaux, jouer à des devinettes musicales, faire des exercices d’improvisation.

« L’idée, c’est qu’il y ait un va-et-vient entre les quartiers et le centre-ville. Nous sommes utilisés comme une sorte d’outil qui met en synergie des personnes qui ne travaillent pas ensemble d’habitude. » Un autre projet est à l’étude : « Nous serions formateurs d’actions culturelles pour les structures et acteurs musicaux locaux ».

Pour la première fois, « Les Concerts de poche » travaillent avec le Conservatoire : Le 1er octobre, un jeune violoncelliste rémois, François Thirault, s’unira à deux jeunes solistes extraordinaires : Jonathan Fournel au piano et Maureen Thiébaut à la harpe.

Le 8 novembre, au Théâtre du Chemin-Vert, ce sera au tour de Jean-François Zygel, pianiste renommé, d’entreprendre avec Antoine Hervé, un concert d’improvisations.

Une musique classique, mais qui parle à cœur ouvert avec le public.

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Journal « l’Union » - 090922c

Cours à Reims, Witry-lès-Reims et Châlons : Danse orientale avec Houria

Sharki, fusion, flamenco arabe, danse indienne, tribal, jazz oriental …
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La danse orientale est une activité particulièrement en vogue actuellement.

A Reims, Houria, professeur diplômée, est une pionnière qui, après avoir mis en place plusieurs cours dans les maisons de quartier et autres structures de l’agglomération, a créé sa compagnie « les Orientales en couleurs ».

Ouverts aux enfants, ados et adultes, les cours viennent de reprendre à Reims, Witry-lès-Reims et Châlons.

Pour tout renseignement : tél. 06.67.73.98.36
ou www.houria.fr.
Mail : houria.reims@cegetel.net

 

 

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Journal « l’Union » - 090922b

TENNIS / Sarry : Solivellas et Koniushok ne se laissent pas faire

Jérémy Solivellas n’a pas tremblé en finale.
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Chez les messieurs, la logique a été respectée avec le succès de Jérémy Solivellas (5/6, Parques Cormontreuil). Dominateur en demie face à Guillaume Thiérus (5/6, Géo-André), le Cormontreuillois était opposé au dernier stade de la compétition au sociétaire du TC Reims Maxime Puberl (15), auteur d’une belle perf face à Cédric Mouton (5/6, ASPTT Châlons).

Régularité

Conscient qu’il lui « fallait cogner dans la balle pour s’en sortir face à un adversaire plus jeune et plus mobile », le Rémois exploitait au mieux son plan de bataille en empochant le set initial (6-3).

Seulement, il ne pouvait tenir la distance. Jérémy Solivellas, plus régulier, remportait les deux autres manches (6-2 puis 6-1).

Dans le tableau féminin, Cathy Weber (15/1, ASPTT Châlons) a créé la sensation en éliminant la tête de série n° 1 Lucie Grygielski (5/6, Sillery). Toutefois, la postière châlonnaise n’a pu rééditer pareille performance en finale contre Ketty Koniushok (15, Witry-lès-Reims) même si cette dernière a été bousculée lors d’un duel acharné.

 

 

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Journal « l’Union » - 090922a

Transdev aux p’tits soins pour les épouses de ses directeurs

Et en plus le client doit charger ses bagages dans le véhicule ! Photo Remi WAFFLART
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Transdev aime ses cadres. Après avoir supprimé la ligne de bus menant à la gare de Bezannes qui coûtait trop cher, elle a mis en place des taxis-bus conduits par les épouses de deux directeurs du groupe.

ON se souvient que courant avril 2008, Transdev, le nouvel opérateur des Transports urbains rémois après Kéolis, dans un souci de bonne gestion et soucieuse de l’argent des contribuables, sans jamais fournir le moindre chiffre, avait décidé d’arrêter la prolongation de la ligne K vers Bezannes, à son avis pas assez fréquentée. Seule la liaison Bétheny/Croix-du-Sud a été maintenue. Les arguments étaient convaincants : la plupart des voyageurs SNCF se rendent à la gare en voiture où s’y font déposer ou prennent le TER en gare de Reims où ils sont amenés en gare de Bezannes en l’espace de huit minutes. Sans vouloir concurrencer les taxis, insistait Transdev, un service de taxis-bus a été mis en place par une société sous-traitante.

Transdev Champagne sous-traitante

L’opération est-elle rentable ? Personne ne le sait. Par contre, l’histoire des nouveaux taxis-bus mérite d’être contée car elle ne manque pas de sel. Jugez plutôt.

Après avoir décidé d’abandonner le dernier tronçon de la ligne K des bus des Tur, Transdev, membre du groupement Mars qui assure les transports urbains rémois a eu la bonne idée de missionner… Transdev Champagne pour assurer la navette Reims-gare de Bezannes (aller-retour) à l’aide de plusieurs monospaces. Restait à trouver des chauffeurs. « Plutôt que de confier la mission à des salariés maison dont certains risquent bientôt un licenciement économique compte tenu de la perte de marchés publics Transdev a eu du cœur et a voulu se montrer généreux », dénonce le syndicat CGT. « Elle a purement et simplement embauché les deux épouses de directeur du groupe : celle de Transdev Champagne et celle du directeur de marketing de Transdev Reims qui gère les Tur. En intérim mais avec un contrat de 80 heures par mois en travaillant une semaine sur deux avec un véhicule en location pendant deux ans. »

Il va sans dire que les salariés n’ont pas, mais vraiment pas, apprécié autant de charité financée par les fonds publics alors que certains chauffeurs de Transdev Champagne ont été remisés « dans des entreprises où il n’y a pas d’instances représentatives du personnel (IRP) et où ils ont du mal à gagner 700 € par mois avec des contrats de 90 heures lissés sur dix mois. » « À l’heure où on nous demande de faire des sacrifices pour sauver l’entreprise, on comprend mal que le directeur soit plus préoccupé à rechercher un emploi à son épouse qu’à sauver notre situation précaire », peste un syndicaliste. « On voudrait bien que Reims métropole puisse aussi s’expliquer sur de tels choix de recrutement et de transport. »

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 090921d

Prix Goncourt des lycéens

La 22e édition du prix Goncourt des lycéens est lancée cette semaine.

Parmi les 2.000 élèves qui choisiront le lauréat 2009 figurent ceux d’une classe du lycée Arago de Reims.

Ils devront plancher sur quatorze livres qui leur seront remis officiellement aujourd’hui.

Ils auront alors un peu moins d’un mois et demi pour tout lire.

La proclamation des résultats est, en effet, prévue le 9 novembre prochain à Rennes

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Journal « l’Union » - 090921c

Nationale 1 féminine : Dieng, le bourreau

Fatou Dieng a donné le tournis à ses adversaires niçoises.
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« Les retours de déplacement sont moins longs quand on a gagné ». Les Rémoises ont eu la bonne idée de s’imposer en terre niçoise (82-72) et ainsi de s’épargner de pénibles kilomètres. Les Marnaises ont pourtant dû évoluer - presque - sans Zuzana Gujaraidze. L’intérieure rémoise n’a pas été épargnée par la patrouille. « Elle a été sanctionnée deux fois dans les deux premières minutes », explique Fabrice Lefrançois. « On l’a ménagée mais à chaque fois qu’elle est entrée sur le parquet, elle prenait une faute ».

Les nouvelles vont vite

Au final, Gujaraidze a joué 9’24 et inscrit 3 points. Heureusement, ses partenaires ont trouvé des solutions. Notamment Fatou Dieng. La petite meneuse a torturé ses adversaires, provoqué des fautes et signé un impeccable 16/16 sur la ligne de réparation.

Meilleure marqueuse de la journée (32 pts), meilleure évaluation (31), Fatou Dieng, bien épaulée par Lickha Sy (19 pts à 6/9 - 4 rebonds - 4 interceptions) a ouvert des espaces dans la défense azuréenne.

Pas sûr qu’elle trouve la même liberté lors des prochaines journées (à commencer samedi contre Laveyron). Les nouvelles vont vite dans les couloirs de N1.

Y.D.

INFIRMERIE. - Jenny Fouasseau devrait reprendre du service dans trois semaines et Magali Mendy dans quinze jours.

3e journée : Roche Vendée - Charnay et Mâcon ; Saint-Paul Rezé - Dunkerque ; Voiron - Nice ; Reims - Laveyron ; Hainaut - Centre fédéral ; Lyon - Rennes ; Tours - Charleville ; Pleyber Christ - Graffenstaden.

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Journal « l’Union » - 090921b

Cachez ce nom de quartier que je ne saurais voir

Chouette, un nouveau quartier… du moins en apparence, car les Hauts de Jean-Jaurès sont en fait une partie des Epinettes.
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Comment rénover l’image d’un quartier ? C’est simple, en changeant son nom pour le rendre faussement plus proche du centre. Simple et efficace.

« LES Hauts de Jean-Jaurès : 191 logements fraîchement rénovés dans un quartier en mouvement. » La pancarte qui trône à l’entrée Nord-Est de la ville annonce du beau, du neuf, pour très bientôt. Un nouveau quartier à Reims… voilà une bonne nouvelle. Une ville qui grandit est un signe de bonne santé. Et on se prend à rêver, à la lecture du panneau qui annonce les travaux à venir… De nouveaux équipements : hall d’entrée et une isolation renforcée. Pourtant, ce quartier ne figure pas sur les cartes… pour une bonne raison, il n’existe pas. La mairie confirme : « Il n’est pas question de rebaptiser le quartier ». Nous sommes aux Epinettes ou au Pont de Witry (c’est selon) et cela pour longtemps. Le maquillage des noms de quartiers, concept inventé par le Foyer Rémois, est passé par là, mais la géographie est têtue, les habitudes des habitants du quartier aussi.

Une passante nous le confirme. « Bonjour Madame, on se trouve dans quel quartier ici, s’il vous plaît ? » Regard incrédule de la maman avec poussette : « Ben aux Epinettes, vous sortez de quelle planète, Monsieur ? » Désolé, je ne suis pas d’ici ! Un petit mensonge pour ne pas passer pour un imbécile à cause du Foyer Rémois.

L’organisme logeur a profité du lancement de son programme de réhabilitation de l’ancien patrimoine de Vitry Habitat, pour lancer un concours auprès des habitants du quartier. Un peu poussés par leur bailleur, les locataires ont choisi « Les Hauts de Jean- Jaurès. »

Quel peut être le but d’un tel changement de nom ? « Peut-être éviter de s’attaquer aux vrais problèmes », lance Marie-Odile qui habite le quartier.

« Ou plutôt attirer ceux qui pour rien au monde n’habiteraient aux Epinettes, mais qui pourraient se dire, habiter les Hauts de Jean-Jaurès, pourquoi pas… on prend vraiment les gens pour des cons… »

Un concept adaptable partout…

En fait, l’idée n’était pas tout à fait neuve. On nous avait déjà fait le coup avec les Hauts-de-Murigny. Ce mini-quartier préfère regarder du côté de son voisin, le quartier Val-de-Murigny, plus résidentiel, plus chic, plutôt que de s’identifier à Croix-Rouge et à ses grandes tours. Alors qu’il faut traverser une zone commerciale et artisanale et une quatre voies pour aller vers Val-de-Murigny, une simple rue sépare les Hauts-de-Murigny et Croix-Rouge. D’ailleurs, la Ville, en pure logique, a associé les Hauts-de-Murigny à Croix-Rouge, pour créer ses conseils de quartier, et non à Murigny.

La bonne nouvelle est que le concept est adaptable à tous les quartiers qui ont une image dégradée, mais où il fait, le plus souvent, bon vivre, malgré tout.

Les Hauts de Clairmarais pour le quartier Géruzez. Une chance pour les habitants dont la vie a longtemps été pourrie par les incivilités. Pour Croix-Rouge, les Hauts de Bezannes. Pour Orgeval, les Hauts de Laon. Pour Wilson, les Hauts de Courlancy. Une idée déjà adoptée par le supermarché du quartier qui, bien qu’il se trouve au 58, boulevard Wilson, a associé Courlancy à son nom et ne supporte pas qu’on l’appelle supermarché Wilson. Rappelons qu’il se trouve juste en face de la maison de quartier… Wilson. Il faut croire que ça fait plus classe…

Alexandre ROGER

Malgré plusieurs tentatives, nous n’avons pas réussi à joindre le Foyer Rémois.

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Journal « l’Union » - 090921a

TENNIS / Reims Europe Club : Beuque et Heise en favoris

Stéphanie Cailleux a apporté son savoir-faire au groupe carolo.
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Pas de surprise hier après-midi aux Thiolettes où les deux favoris à - 15, Nicolas Beuque (Cormontreuil) et Priscilla Heise (ASPTT Reims), ont très logiquement inscrit leurs noms au palmarès de cette 7e édition de la nouvelle mouture de l’Open du Reims Europe Club.

Chez les messieurs, en l’absence de Jean-Charles Robert (- 4/6, Cormontreuil) blessé au mollet, la finale a opposé la tête de série n° 1 au tenant Sébastien Jolly (- 4/6).

Fatigué par sa demie à rallonge contre le puissant gaucher du TC Géo-André Arnaud Pignon (2/6), Jolly était bousculé dans le set initial par un Beuque sentant bien les coups (6-1). Dans la deuxième manche, l’ex-sociétaire du TC Reims se faisait peur en se déréglant. Au point de voir son adversaire revenir à 4 partout et mener 40-0 dans le neuvième jeu.

« Je manque de repères face à des joueurs de bon niveau. Et dès que cela devient accroché ou compliqué, je multiplie les mauvais choix », confiait Nicolas Beuque bien content néanmoins d’avoir renversé la situation en sa faveur (6-4). Surtout d’avoir évité une belle contre un Seb Jolly, vaillant et rusé en diable.

Du côté des dames, la Postière messine s’attendait à une finale compliquée contre la jeune (14 ans) et prometteuse Marine Partaud (0, TC Val Vert du Clain) déjà auteur cette saison de deux perfs à - 15…

Pour se préserver de toute mauvaise surprise, elle imposait d’entrée sa puissance pour empocher la première manche (6-3). Là encore, le gain de la deuxième sera effectué dans la douleur pour la Lorraine gênée pour conclure (6-4) face à une Poitevine pleine d’abnégation.

Enfin, en + 35 ans, la hiérarchie a été respectée avec les succès attendus de deux anciens Européens Jean-Marc Lotzer (15, Guignicourt) et Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims).

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Journal « l’Union » - 090920e

Nationale 1 féminine : Reims ouvre son compteur

Fatou Dieng a survolé les débats.
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Après sa défaite à domicile face à Dunkerque lors de la première journée (59-73), le Reims Basket Féminin avait à cœur d’aller chercher sa première victoire de la saison.

C’est chose faite au terme d’un match qu’elles ont contrôlé du début à la fin, même dans les périodes les plus creuses.

Dans le premier quart, les protégées de Fabrice Lefrançois annonçaient de suite leurs intentions en prenant les devants au score dès le premier tir à trois points réussi de Dieng (3-2).

Fatou Dieng décisive

Moins tranchantes au rebond que les Niçoises, les Rémoises conservaient leur avance avec un certain réalisme au tir (22-17), avant d’enchaîner dangereusement les fautes dans le deuxième quart et ainsi laisser de l’espoir aux Azuréennes (29-28, 15e).

C’est à ce moment que la meneuse Fatou Dieng décidait de marquer de son empreinte la rencontre, avec cinq points décisifs qui redonnaient neuf longueurs d’avance à son équipe à la pause (43-34).

Au retour des vestiaires, la réussite de Sy à deux points, combinée à la maladresse de l’équipe locale dans des moments clés, permettaient aux visiteuses d’entamer les dernières dix minutes avec toujours sept points d’avance (61-54).

Alors que le NCB revenait à une longueur après seulement deux minutes (60-61), la capitaine Gujaraidze rentrait ses premiers trois points d’une importance extrême, avant que Dieng et sa perfection aux lancers (16/16 !) ne garantisse une première victoire de la saison méritée.

NICE. — Reims BF bat Nice CB 82-72 (22-17, 21-17, 18-20, 21-18). Arbitres : MM. Huglo et Petitboulanger.

NICE : 27 paniers sur 75 tirs dont 2 sur 19 à trois pts ; 16 lancers francs sur 18. 31 fautes. 39 rebonds. 12 passes décisives. 15 balles perdues.

Donivar 4, Plestan 6, Cousin 16, Petiteau 10, Richard 11, Desert 15, Luhaka 4, Sy 6.

REIMS : 24 paniers sur 48 tirs dont 3 sur 11 à trois pts. 31 lancers francs sur 35. 19 fautes personnelles. 19 rebonds. 7 passes décisives. 22 balles perdues.

Bourdeau 4, Sy 19, Misset 5, Dieng 32, Herrscher 6, Sinico 13, Gujaraidze 3.

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Journal « l’Union » - 090920d

Où chiner ce dimanche ?

REIMS. 22e brocante d’automne sur le parking de l’hippodrome.

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Journal « l’Union » - 090920c

tennis / Europe Club : Jolly pour un doublé

Pour la 7e édition de sa nouvelle version, l’Open du Reims Europe Club présente des effectifs stables avec 212 inscrits. De quoi proposer sur la résine des Thiolettes des tableaux passionnants à suivre.

Ainsi, chez les messieurs, le titre devrait revenir à un Cormontreuillois puisque les trois vedettes du CTC - Nicolas Beuque (- 15) ainsi que les - 4/6 Jean-Charles Robert et Sébastien Jolly - possèdent autant de chances de s’imposer. Avec toutefois une petite prime pour le dernier nommé, tenant du titre et désireux de le conserver.

Castelhano à la maison

Ensuite, au rayon des outsiders se trouvent le local Théophile Castelhano (0), le prof au Creps de Reims, Stéphane Heyd (0, Mulhouse), les 1/6 Jordan Balles (Géo-André) et Adrien Meunier (ASPTT Dijon) ou encore Gabriel Andruejol (2/6, Cormontreuil) vainqueur dimanche dernier à Montmirail.

A la différence du tableau masculin, la présence régionale chez les filles est très fortement limitée. De fait, il serait vraiment étonnant que la finale n’oppose pas les - 15 Priscilla Heise (ASPTT Metz) et Yulya Lyndina (Orléans) car il existe ensuite un fossé avec les poursuivantes pointant à 0 avec Mélanie Maietti (Lunéville), Marine Partaud (TC Val Vert du Clain) une jeune Poitevine de 14 ans qui a néanmoins « perfé » deux fois cette saison à… - 15 et la Sedanaise Zoé Hamel.

Enfin, en + 35 ans, les 15 Jean-Marc Lotzer (Guignicourt) et Philippe Rivet (TC Reims) auront la faveur des pronostics. Idem pour Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims).

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Journal « l’Union » - 090920b

Foot Ufolep : On a rechaussé les crampons

Footballeurs seniors et vétérans sont venus de tout le département.
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Les sportifs de l’Ufolep, et notamment les footballeurs, ne se sont pas fait attendre pour réorganiser les compétitions : le 4 septembre, le comité départemental Ufolep a réuni ses clubs, et dès le 13 septembre, les équipes ont joué leur premier match.

Ce sont donc douze équipes seniors et 38 équipes en vétérans (trois séries) qui parient encore cette saison sur l’Ufolep pour s’affronter et surtout retrouver leurs partenaires et partager une matinée de bonne humeur où priment la convivialité et le fair-play.

Outre les championnats et coupes sur le département, les clubs peuvent élargir l’horizon des rencontres à la région, avec la coupe champardennaise vétérans, et à l’échelon national avec la coupe de France Ufolep pour les seniors.

Comme à l’accoutumée, les clubs ont pu débattre et échanger sur leur pratique, l’organisation des compétitions, les règlements, et valider ensemble le déroulement de la saison 2009/2010.

Ufolep 51. Tél. 03.26.84.32.26.
Site : www.ufolep51.org
Courriel : ufolep51@wanadoo.fr

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Journal « l’Union » - 090920a

Poubelle brûlée à Tinqueux…

Les pompiers sont intervenus hier, peu après six heures, pour éteindre un feu de poubelle, rue Kléber à Tinqueux

… et à Croix-Rouge

Intervention du même genre que la précédente, Vendredi soir peu après .21 h 30, dans l’allée des Bourguignons du quartier Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » - 090919e

Percussions et chants d’Afrique de l’Ouest : Suivez le rythme…

Acao : le plaisir de la musique rythmée pour toutes les générations.
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Vous aimez les rythmes africains ? Vous souhaiteriez vous mettre aux percussions ? Les cours d’Acao, dans la tradition de l’Afrique de l’Ouest (Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso…) sont pour vous !

Les cours, sur djembés, ont lieu à l’école Adriatique et sont intergénérationnels : « On voit des jeunes de 17 ans et des personnes de 70 ans se côtoyer. Les séances sont mixtes, mais, comme dans la plupart des activités, à dominante féminine », reconnaît Monique Dieuleveux, la présidente.

On y vient en famille : « Généralement, les parents qui nous amènent leurs enfants se décident finalement à intégrer les cours de débutants ».

Les percussions, comme tout instrument de musique, se travaillent pour l’harmonie du son et du groupe : « C’est assez ludique au départ, mais, petit à petit, cela devient un véritable travail musical d’ensemble, avec des rythmes et des contre rythmes, qui développe des qualités de concentration et d’écoute de l’autre », insiste Amdy Seck, le professeur.

Deux projets sont mis en place pour les enfants, avec les Maisons de quartier Châtillons et Verrerie, ainsi que - avec la médiathèque Croix-Rouge - des ateliers de sensibilisation.

Pour financer ses actions au Sénégal d’aide au développement, Acao organise, le 5 décembre, une soirée à la salle municipale des Phéniciens, aux Châtillons.

Acao, 24, rue Houzeau-Muiron. Tél.03.26.06.30.05. Site : www.acao-reims.org

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Journal « l’Union » - 090919d

Nationale 1 féminine : Le RBF en embuscade

Après avoir rivalisé avec les Dunkerquoises, Manon Sinico et les Rémoises s’attaquent aux Niçoises.
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Les Rémoises ont-elles les moyens de créer la surprise ce soir sur la Côte d’Azur ?

On aimerait le croire, mais leurs chances paraissent réduites face à des Niçoises motivées après leur défaite contre l’Union Hainaut la semaine dernière.

Fabrice Lefrançois ne veut pas jouer les victimes avant l’heure. « On n’y va pas pour en prendre le moins possible. On peut rivaliser », assure l’entraîneur rémois.

« Etre plus rigoureux »

Son groupe l’a prouvé lors de la 1re journée face à Dunkerque, malgré un revers à domicile (59-73).

Au contact des Nordistes tout au long de la rencontre, Manon Sinico et ses coéquipières n’ont décroché qu’à quelques reprises, sans conséquences, avant un éclat fatal dans l’ultime quart.

« Il faut se concentrer sur nous-mêmes, être plus rigoureux en évitant les erreurs dans les duels. Le rebond et les balles perdues sont nos priorités », déclare Fabrice Lefrançois qui redoute tout particulièrement le secteur intérieur niçois. « C’est très grand, autour d’1,90 m, avec Senghor-Sy, Luhaka et Constant ».

Le RBF présentera un effectif identique à celui aligné contre les Dunkerquoises, avec le même handicap : le manque de rotations.

N.R.

FOUASSEAU

Touchée à un genou, Jenny Fouasseau a reçu le feu vert du chirurgien pour entamer les séances de rééducation. La jeune ailière pourrait faire son retour à la compétition dans un mois.

20 HEURES, A NICE :

NICE : 4. Legras, 5. Doniva, 7. Cousin, 9. Petiteau-Silbande, 10. Richard, 11. Desert, 12. Constant, 13. Guerra, 14. Luhaka, 15. Senghor-Sy. Entraîneur : Olga Tarasenko.

REIMS : 4. Remazeilles, 5. Bourdeau, 6. Sy, 8. Misset, 9. Dieng, 10. Herrscher, 11. Sinico, 12. Gabaud, 14. Gujaraïdze, 15. Haïdara. Entraîneur : Fabrice Lefrançois.

Arbitres : MM. Huglo et Petitboulanger.

2e JOURNÉE :

Strasbourg IG - La Roche-Vendée ; Charnay-Mâcon - Rezé-Saint-Paul ; Dunkerque -Voiron ; Nice - REIMS ; Laveyron -Union Hainaut ; Centre fédéral - Lyon ; Rennes -Tours ; CHARLEVILLE-¬MEZIERES - Pleyber-Christ.

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Journal « l’Union » - 090919c

Mis en examen pour le braquage du Quick

Deux hommes ont été mis en examen et écroués dans le cadre du braquage du fast-food Quick qui s’était déroulé le 1er février 2009 dans le quartier Croix-Rouge.

Kamel Nouir est l’un d’eux. Ce soir-là, vers 22 h 30, deux hommes s’étaient présentés au Quick, armés. Le premier portait une cagoule, le deuxième un masque de Sarkozy.

Ils avaient séquestré le personnel encore présent à la fermeture et s’étaient fait conduire au coffre.

Quelques poignées de secondes plus tard, ils prenaient la fuite (l’union du 3 février).

À l’époque, le SRPJ, chargé de l’enquête, avait privilégié la piste locale. Sans que l’on connaisse les détails de l’enquête, Kamel Nouir (21 ans) a été arrêté en avril puis mis en examen et écroué. Il est incarcéré à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.

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Journal « l’Union » - 090919b

Un trafic de cannabis démantelé : Huit Rémois mis en examen

Huit Rémois ont été mis en examen pour trafic de drogue et trois d’entre eux écroués. Leur patrimoine acquis avec des fonds douteux est dans le collimateur de la justice.

UN trafic de résine de cannabis est tombé cette semaine à Reims lors d’un coup de filet opéré mardi matin par une soixantaine de gendarmes. Cinq personnes ont été arrêtées et six objectifs perquisitionnés dans différents quartiers de la ville : Croix-Rouge, Châtillons, la Verrerie, avenue de Laon ou encore rue de l’Equerre (secteur Barbâtre).

Présentés jeudi soir et hier au parquet, les cinq suspects ont été écroués pour deux d’entre eux, les trois autres laissés libres sous contrôle judiciaire. Seulement 700 grammes de cannabis ont été saisis, mais les enquêteurs s’y attendaient, s’agissant d’un business « à flux tendus » où la drogue est écoulée au plus vite pour éviter les grosses prises en cas d’arrestation.

Par contre, les gendarmes ont mis la main sur 13.000 € et deux armes de poing. Ils ont également saisi un 4x4 Mercedes ML acheté avec des fonds douteux et un camping-car faussement immatriculé volé en 2006 dans le Loiret.

Premières arrestations en mars

Le coup de filet de mardi est le résultat d’une enquête qui a démarré courant 2008 après l’arrestation de plusieurs consommateurs de résine de cannabis à Witry-lès-Reims. S’intéressant aux fournisseurs, les gendarmes ont identifié des Rémois déjà connus pour des faits de stupéfiants. Une information judiciaire fut ouverte, le dossier confié à la section de recherches de Reims en co-saisine avec le groupement d’intervention régional de Champagne-Ardenne (Gir).

Fin mars 2009, un premier coup de balai eut lieu avec l’arrestation de huit personnes. Trois d’entre elles furent mises en examen, une écrouée. Deux kilos de cannabis avaient été saisis. Les investigations complémentaires ont permis de cibler les dernières branches du réseau décapitées mardi. L’opération a mobilisé trois équipes cynophiles, la compagnie de gendarmerie de Reims et des personnels d’Epernay. Agés de 31 à 57 ans, les huit suspects mis en examen sont décrits pour certains comme des « vieux chevaux de retour ». Aucune estimation n’a pu être faite de la quantité de drogue écoulée depuis la mise en place du réseau il y a environ trois ans.

Patrimoine douteux

« La particularité de l’instruction en cours est qu’elle va travailler sur l’enrichissement personnel des individus », précise le chef d’escadron Michel Frottier, commandant la section de recherches de Reims. « La co-saisine avec le Gir permet de mener cette action qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’économie souterraine. Auparavant, les trafiquants partaient en prison mais leur bas de laine restait dehors, caché quelque part ou placé sur un compte, et ils le récupéraient à la sortie. Là, non ! Nous allons chercher les avoirs criminels. »

Si l’instruction du juge met en évidence l’acquisition de biens avec le produit de la drogue, ou si les mis en cause ne sont pas en mesure de justifier l’origine des fonds, le patrimoine concerné sera saisi. Concernant l’affaire de Reims, les enquêteurs ont dans le collimateur une maison, plusieurs appartements, un petit immeuble et quelques comptes bien garnis, ce qui fait un beau patrimoine pour des individus dont les activités professionnelles connues sont peu rémunératrices, voire inexistantes…

F.C.

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Journal « l’Union » - 090919a

Rentrée universitaire : Des étudiants plus nombreux…

Les grèves de l’année dernière n’ont pas (pas encore ?) effrayé les bacheliers. Les inscriptions dans les facs rémoises sont à la hausse.

ELLE avait donc raison. Si vous vous rappelez bien, nous avions interrogé la présidence de l’université rémoise après la fin des grèves et blocages du printemps dernier (notre édition du 18 juin) : « Ces mouvements pourraient-ils entraîner une baisse des inscriptions ? » Le vice-président Gellé nous avait alors répondu en substance : « Si jamais il doit y avoir un effet, il ne se fera pas sentir dès cette année, car les inscriptions avaient été engagées avant les perturbations ».

Fausse rumeur

A priori, son analyse était pertinente. En tout cas, toutes les facs que nous avons pu joindre en ces jours de rentrée font le même constat : les inscriptions, loin de chuter, sont à la hausse ! Ainsi, chez les juristes, le doyen Dupeiron de la fac de droit note avec satisfaction « une augmentation, à date constante, de 6 % de nos inscriptions. Ce n’est pas forcément une surprise, puisque cela correspond à un mouvement national qui va dans le même sens, mais c’est quand même un réconfort pour nous, surtout dans le contexte d’après crise (je parle de la grève que nous avons vécue l’année passée) : cela veut dire que notre offre est satisfaisante ».

Médecins à l’étroit

Cette offre n’a pas changé par rapport à l’an dernier : « Nous sommes à la deuxième année du nouveau contrat quadriennal entre l’Urca* et le ministère », poursuit le doyen. « Donc pas de changement à envisager avant deux ans. » Il conclut que sa boutique a, devant elle, « de belles perspectives de développement » ; et donc pour lui, la rumeur de fermeture, qui était venue dernièrement à nos oreilles, est parfaitement infondée !

Du côté des médecins, les courbes aussi sont à la hausse, notamment celle du nombre de candidatures. La P1 (première année, qui existe sous sa forme actuelle pour la dernière fois, lire par ailleurs) accueille cette année 1.160 étudiants ; ils étaient un tout petit peu moins nombreux l’année précédente, 1.050. Et la bagarre sera une nouvelle fois rude entre eux, pour tenter de décrocher leur ticket pour l’année suivante : on ne connaît pas encore le nombre de ces « tickets » qui seront distribués cette année, nombre régi par le fameux numerus clausus, mais pour donner un ordre d’idées, l’an dernier, il n’y en avait que 195 (à comparer aux 75 seulement d’il y a dix ans quand même), auxquels venait s’ajouter une trentaine en dentaire, autant en sage-femme, et autant en kiné.

Ce grand nombre d’étudiants continue, par ailleurs, de poser le problème de la capacité d’accueil des locaux. « Pour les étudiants de première année, nous continuons à recourir aux amphis de Croix-rouge de 600 places dans lesquels nous doublons les cours. Dans l’immédiat, aucune autre solution n’est envisageable. En revanche, le conseil général s’est montré intéressé par un agrandissement des locaux de la faculté de médecine à l’intention des années supérieures », indique le doyen, le Dr Motte.

Même configuration ascendante à la fac d’économie-gestion-sciences sociales : +5 % d’inscrits à date constante, déclare la doyenne Martine Guillemin. Seul l’IUT se démarque : bien qu’il lance une nouvelle licence pro de management intégré qualité sécurité environnement, on nous annonce plutôt la stabilité des inscriptions, autour de 2.600. Plutôt surprenant dans la mesure où les formations « professionnalisantes » semblaient devoir attirer davantage dans un contexte de chômage à la hausse… Comme quoi, on ne peut jamais préjuger de rien.

Antoine PARDESSUS

*Université Reims Champagne-Ardenne.

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Journal « l’Union » - 090918g

roller HOCKEY / Nationale 1 : Méfiance de rigueur

Romain Karsenty et les Rémois accueillent
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C’est la rentrée pour le RHR. A l’occasion de la première journée, les Rapaces reçoivent, demain soir au gymnase François-Legros, les Greenfalcons de Pont-de-Metz. Une confrontation moins simple qu’il n’y paraît pour les Rémois, conscients de la valeur des promus.

Première de Fayault

« C’est une équipe très accrocheuse, qui ne lâche rien et se bat jusqu’au bout, prévient l’entraîneur, Laurent Lexcellent, méfiant. Il va être important de ne pas se rater chez nous pour ce premier match, on n’a pas le droit à l’erreur ».

Seul Mathieu Marsault est incertain (adducteurs).

Le jeune Florian Fayault effectuera sa première apparition sous ses nouvelles couleurs. Auteurs d’une bonne préparation, les joueurs de la cité des Sacres doivent maintenant confirmer et s’imposer comme une équipe dominante de leur poule.

Cela passe par une prestation solide face à des joueurs de la Somme décidés à montrer que leur présence à ce niveau n’est pas le fruit du hasard.

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Journal « l’Union » - 090918f

Montée porte avant dans les bus : « Zut, on va devoir payer ! »

Les équipes des Tur travaillent depuis un an sur la manière de passer à la montée porte avant le plus en douceur possible.
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Les Tur nous préparent une petite révolution pour le lundi 28 septembre. Les clients devront tous monter par la porte avant du véhicule.

« LA température du bus, c’est le chauffeur qui la met. » Avec son sourire communicatif et sa joie de vivre, ce chauffeur expérimenté (vingt ans de boîte) a un bus où il fait bon voyager. Il est pour la montée porte avant. « Je n’ai pas de problème avec ça parce que le contact avec les clients, moi, j’aime ça. »

« Je suis pour mais en ce moment c’est pas top. Il ne faut pas faire ça à une période où on se fait engueuler toute la journée à cause des retards causés par les travaux du tramway. Aller demander à un chauffeur de la ligne M qui accumule quasi systématiquement 30 minutes de retard, et qui n’a plus le temps de faire pipi au terminus, s’il est pour la montée porte avant pourrait passer pour de la provocation. Je leur souhaite du plaisir pour faire entrer par une seule porte 200 personnes qui attendent aux heures de pointe à l’arrêt du C à la fac de sciences. »

Cinq lignes pour commencer

Car faire monter tout le monde par une seule et unique porte provoquera du retard, au moins au début. Même Eric Omnes, directeur marketing et commercial des Tur, en convient : « C’est pour cela que nous avons mis en place des accompagnateurs pour guider les clients un peu désorientés et s’il faut adapter les temps de parcours, nous le feront. » Visiblement, Transdev, l’exploitant du réseau Tur, tient à cette montée porte avant. Il faut dire que cette mesure généralisée dans la plupart des grandes villes françaises (même à Paris) provoque une chute spectaculaire de la fraude lorsqu’elle est appliquée. Elle se situe actuellement aux alentours de 11 à 12 %, la direction des Tur lorgne vers les 5 %. La montée porte avant devrait l’aider à atteindre ses objectifs. La mesure aura une autre conséquence : faire évoluer le rôle du chauffeur en profondeur. Conducteur à qui les passagers devront dorénavant présenter leur titre de transport. « Il ne sera pas chargé de vérifier la validité du titre », tient à préciser Eric Omnes.

Quoi qu’il arrive, la petite révolution aura lieu le lundi 28 septembre. Seules cinq lignes seront concernées par cette première fournée. Les lignes E (IUT Moulin de la Housse), L (Val-de- Murigny), J (Saint-Brice-Courcelles), S (Cormontreuil), et P (Cormontreuil et Murigny). Toutes les autres y passeront par vagues successives jusqu’à l’été. Toutes sauf deux, les lignes A et H qui sont sur le tracé du futur tramway. On n’y bouleversera pas les petites habitudes des clients des Tur. Un traitement de faveur car on pourra monter par toutes les portes du futur tram. De là à se dire qu’il sera plus facile d’y frauder il n’y a qu’un pas… que nous ne franchirons pas.

Alexandre ROGER


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« Crainte pour la sécurité et les conditions de travail des chauffeurs »

Ils n’envisagent pas encore de faire grève, mais ils ne sont pas contents. Ils vont décider aujourd’hui de la suite à donner à leur colère et assisteront lundi à la réunion de Reims Métropole. Les chauffeurs des bus urbains et leurs représentants syndicaux ne sont pas tous d’accord pour que la direction, « pour limiter la fraude », demande dès la fin du mois aux usagers de monter dans les bus en empruntant la porte avant. « Ils ne sont pas contre, mais c’est prématuré », explique Jérôme Briot, élu CGT. Ils préféreraient que cela se fasse en septembre 2011. Pourquoi ? « Nous avons peur, d’une part, que cela dégrade les conditions de travail des chauffeurs et menace leur sécurité et d’autre part, nous estimons que ce n’est pas le moment car le réseau est déjà ralenti à cause des travaux du tram. »

Pour le syndicat, appuyé par l’expertise du CHSCT, il y a d’autres problèmes plus urgents à régler aux Tur, dont l’exercice a été déficitaire en 2008, « car ils ont dû gérer l’entreprise avec une enveloppe de 39 M€ contre 44 M€ en 2007. La montée porte avant ne devra se faire que quand les travaux seront achevés, les déviations supprimées, les formations (sécurité et tram) du personnel assurées et le nouveau réseau tram terminé. Il faut diminuer les coûts d’exploitation, mieux adapter les horaires avec les travaux, mieux positionner les arrêts ». De plus, Jérôme Briot s’étonne que les réunions du contrat local de sécurité, auxquelles les Tur siégeaient, n’aient plus lieu. Elles permettaient d’évoquer les difficultés du travail des chauffeurs en présence de la police (nationale et communale) et l’Éducation nationale.

« Tout baigne »

Pour Alain Lescouet, vice-président de Reims Métropole, violemment pris à partie il y a quelques semaines par la CGT, pas de commentaire particulier. « Tout baigne, semble-t-il. Selon M. Bourion (directeur de Transdev qui gère les Tur), ça avance pas mal aux Tur. Un protocole d’accord a été signé, il y a moins d’absentéisme et moins d’accidents. Les choses vont plutôt vers une amélioration. »

La CGT en appelle désormais à Adeline Hazan, à qui elle reproche « la surdité » face à tous ses problèmes. Elle lui demande une audience qu’elle lui refuse toujours depuis l’accrochage avec M. Lescouet. Enfin, sur l’équipe dirigeante, les élus CGT ont la dent dure : « Elle manque de professionnalisme et les chefs de service sont plus attentifs à leurs évolutions personnelles en terme de carrière et/ou au maintien actuel de leur poste, qu’au bien-être de l’entreprise. »

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 090918e

Ancien collège des Jésuites

En plus du « Déjeuner sur l’herbe » et ses trois lectures musicales (lire par ailleurs), plusieurs animations sont prévues.

Samedi et dimanche de 14 à 19 heures, dans la cour des pères, visites guidées toutes les 30 minutes de la bibliothèque qui a été utilisée pour le film « La Reine Margot ».

Visites commentées du cadran solaire toutes les 30 minutes. Dans les jardins, exposition Extra#3-Visitation.

Dans les galeries, exposition « Objectif tram ! ».

À la chapelle et salle Brûlart : « 1’de bonheur », installation multimédia vidéo.

Dans la cour des élèves, les ate¬liers de la culture s’exposent. Présentation de l’atelier Gravure 2007 réalisé avec des enfants déficients sensoriels de l’Institut Fandre avec l’artiste Bourven.

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Journal « l’Union » - 090918d

BTS NRC au lycée Joliot-Curie : Motivation : la clé de la réussite

Une sympathique réception a marqué le début du cycle BTS NRC.
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Le bac professionnel vente se prépare en Champagne-Ardenne dans deux établissements : l’un à Charleville et l’autre à Reims, au lycée Joliot-Curie, où existe également une formation au BTS NRC (négociation relation client) dont le cycle commence toujours par une série de conférences, série destinée à présenter l’ensemble des sujets qui seront traités durant l’année.

Du 3 au 9 septembre, les 35 élèves entrants, (titulaires du bac pro dans la proportion de 74 %, soit un chiffre en augmentation) ont ainsi pu rencontrer des professionnels qui les ont sensibilisés aux divers aspects de cette spécialité au travers de leur expérience : par exemple commercial en automobiles, en travaux publics, en banque, en produits industriels, en services audiovisuels, en entreprise cash and carry, en assurances… ou encore en presse régionale avec une responsable de développement du journal l’union…

La série s’est terminée par l’intervention des DCF (Dirigeants commerciaux de France), partenaire de la section BTS NRC : il a été insisté sur la nécessaire « Motivation, clé de la réussite ».

Pour marquer le début des cours et selon une tradition désormais bien établie, le proviseur Gilles Gladieu a organisé une réception pour les entrants et les élèves de seconde année, entourés de l’équipe pédagogique et des formateurs.

Tous ont reçu les encouragements de l’inspectrice Sylvette Rodrigues et d’Alain Marie, IPR en écogestion.

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Journal « l’Union » - 090918c

Sortie à Pierrefonds

 

Pour la première fois, Sylvie Brin (espace Billard) et Vincent Girardin (espace Watteau) ont programmé une sortie commune.

« Nous profiterons de la journée du patrimoine pour nous rendre au château féodal de Pierrefonds (photo), avec deux parcours de randonnée le matin dans les bois environnants et une visite du château l’après-midi. »

Le départ est prévu dimanche 20 septembre à 8 heures devant l’espace Billard. Retour vers 18 heures, au même endroit. Prévoir son pique-nique et des vêtements adaptés.

Tarif : 6 euros par personne + adhésion à la Maison de quartier.

Renseignements et inscriptions :
- à l’espace Billard, 12-14, rue Pierre-Taittinger
- ou à l’espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau.

 

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Journal « l’Union » - 090918b

La génération "No future"

Ils sont très jeunes, déambulent, accompagnés de leurs chiens, au hasard des occasions et rencontres, survivent dans le dénuement total et sont un casse-tête pour la collectivité. Rencontre avec Harry, 22 ans, « un nomade du vide ».

IL est revenu de Bretagne, son eldorado, pour se poser à Reims, son port d’attache. Harry, originaire du quartier Croix-Rouge, dort sous la tente dans une friche industrielle du centre de Reims. Ce matin, il est fatigué : « C’est à cause des chiots d’une amie. Je les garde pendant qu’elle fait les vendanges. » Les chiens ont pris place dans un caddie, le seul transport en commun qu’ils ont le droit d’emprunter. « Ici, c’est pas comme à Toulouse. Les bus nous sont interdits. »

Il est 10 heures. Harry (surnom dont l’ont affublé ses compagnons d’infortune à cause de ses lunettes cerclées) pousse la porte du foyer Maurice-Princet Ozanam, un accueil de jour pour les déglingués de la vie. Ce qui frappe à l’intérieur, c’est le nombre de chiens qui attendent leurs maîtres.

Cicatrices et morsures

Harry, vague look de punk, avec casquette de base-ball, jean et rangers, vient ici prendre une douche et un déjeuner : « Les gens pensent qu’on est des crasseux. Ils se trompent. Nos fringues ne sont pas lavées tous les jours mais on fait attention à nous. »

Ses bras sont couverts de cicatrices : « Des morsures », affirme Harry. Des piercings mal cicatrisés aussi. Et puis il y a sa jambe droite qui porte les spectaculaires stigmates d’une attaque de chien qui lui a valu une hospitalisation. Sa dent manquante ? : « Une baston qui a mal tourné. » Harry assure pourtant qu’il n’aime pas la bagarre : « Quand je suis bourré, je suis con, mais pas méchant », précise-t-il en souriant. Il a arrêté « les cachetons après deux 0D (overdoses) ». Pas l’alcool.

Ni routard, ni clochard, Harry, 22 ans, n’a aucune ressource. RMI et RSA sont réservés au plus de 25 ans. Alors il fait la manche : « Je peux pas avoir un garant pour me trouver un logement. Et si je trouve un boulot, comment je fais le premier mois ? Sans la manche, je ne peux pas m’en sortir. Il faut que je me nourrisse et que je nourrisse mes chiens. »

Arsène, son husky, le regarde amoureusement. « Lui, il n’a pas demandé à être dans la rue. Il a toujours été là pour me supporter. Alors je m’en occupe comme si c’était mon fils. » Sous-entendu, Harry, lui, a choisi la rue. Il avait 17 ans. « Mon père en avait marre de mes conneries. Je suis tombé dehors. » Harry venait de rater son BEP en mécanique poids lourd, plus assidu en garde à vue qu’au lycée. Il décide de vivre comme un sans domicile fixe avec son chien, se raccroche à un groupe où il rencontre celui qu’il appelle son frère : « Ça fait six ans qu’on partage tout. Je ne connais pas tout de sa vie. Mais on est inséparable. La rue, je m’y sens bien. Je fais ce que je veux quand je veux. »

Rêve de camionnette

Au fil de la discussion, le discours se nuance : « Attention, la rue, c’est pas facile. Et quitter la rue, c’est pas facile non plus. » Porte-parole improvisé des zonards de la ville, Harry avoue qu’il a déjà perdu beaucoup d’amis, que les filles qui ont choisi ce mode de vie « doivent avoir un sacré caractère ». Harry se reprend : « De toute façon, dans la société aussi y en a qui galèrent. Y en a de plus malheureux que nous. »

Depuis hier, Harry fait les vendanges à Verzenay. Son but est d’acheter une camionnette. « Je n’ai pas le permis mais ça me permettra de dormir et de bouger grâce à des copains. » Lui qui rêvait, enfant d’être vétérinaire, se voit bien, plus tard, travailler dans le social. « Parce que je sais de quoi je parle. » Il y croit encore. Comme il croit qu’il peut se sevrer.

Par le passé, il a aussi participé à des matchs de foot ou des sorties à la piscine organisés par le foyer d’accueil…

Mais en ce moment, il n’a pas d’énergie pour cela : « J’ai trop forcé sur l’alcool ces derniers temps. »

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Journal « l’Union » - 090918a

Pompiers en action

Mercredi vers 18 h 45, une poubelle a pris feu au sixième étage d’un immeuble de l’allée Edgar-Degas, au n°2.

Hier à 7 h 40, un cyclomotoriste a légèrement blessé un piéton en le percutant rue Gustave-Laurent. .

A 16 h 40, une odeur de gaz signalée à l’usine Valéo, rue du Colonel-Charbonneaux, provenait en fait d’une manipulation dans une entreprise voisine.

A 17 heures, les pompiers ont secouru un lycéen blessé lors d’une rixe à la bombe lacrymogène rue Libergier. Les agresseurs sont en fuite.

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Journal « l’Union » - 090917c

NATATION : Aménager pour mieux nager

Passe au bac d’abord ! En matière de natation, il n’y a pas ou plus de secret. Pour réussir, il faut fréquenter les bassins (bacs dans le jargon) et aligner les longueurs. Après, on peut éventuellement revendiquer quelque chose…

Arrivé au RN89 il y a dix ans, Philippe Piquet prêchait en ce sens depuis le départ. Sa conviction s’est renforcée avec le niveau atteint par les Français depuis cinq ou six saisons. Il implique un degré d’exigence supérieur dans les clubs.

L’entraîneur a donc vu d’un bon œil l’ouverture pour cette rentrée d’une classe à horaires aménagés. La convention associe le RN89 au lycée Arago qui bénéficie d’une expertise en la matière. Il accueille déjà sous cette forme les jeunes du Stade de Reims.

Le savoir-faire d’Arago

Ici, deux poloïstes (Nicolas Missy et Maxime Dethier) et trois nageuses (Pauline Oudin, Charlotte Verdy et Anaïs Lété, toutes scolarisées en seconde) sont concernés. « Pour rivaliser avec les grosses sections, on ne peut plus bricoler, avance Philippe Piquet. Il faut voir les nageurs à l’entraînement un peu plus chaque semaine. Ou avoir, au moins, des créneaux mieux adaptés. »

En l’occurrence, les athlètes sont libérés le midi. Leur emploi du temps a été rédigé pour une fin des cours à 11 heures. « Ce n’est pas une seconde au rabais, insiste Philippe Piquet. Les filles ont tous les cours mais répartis pour favoriser l’entraînement. »

Un enseignant référent

Du sur-mesure fabriqué par la direction et la communauté enseignante du lycée Arago, le seul polyvalent (enseignement général, technique et professionnel) de Reims.

L’établissement a délégué un enseignant référent. Loïc Janson, ancien cycliste de haut niveau et triathlète à peine moins coté, est chargé du suivi scolaire et sportif des athlètes.

Professeur de génie civil à Arago où il fut élève (comme Philippe Piquet), il a aussi été celui qui a convaincu son établissement d’ouvrir cette classe.

Volontairement, l’effectif est réduit. Pour le duo Janson-Piquet, il s’agit de tester la formule. Elle ne demande ensuite qu’à se développer en lycée et à se décliner au collège. Le dossier est lancé pour une ouverture en 6e/5e dès 2010.

Philippe LAUNAY

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L’hebdo du vendredi- n° 136 - 090917b

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 136 - Semaine du 18 au 24 septembre 2009
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ROLLER-HOCKEY : CHAMPIONNAT DE N1 : Les Rapaces en embuscade

Pour sa seconde saison en N1, l’équipe du RHR s’appuiera encore sur sa force collective pour briller

Après une belle première saison en N1, le Roller Hockey Club de Reims ambitionne cette année de rivaliser avec les meilleurs de la division.

Promu la saison dernière, le RHR s’apprête à entamer sa seconde année en championnat de Nationale 1 de roller-hockey, l’antichambre de l’Elite. La saison passée, l’équipe rémoise a croqué à pleines dents dans une division qu’elle découvrait. Après des débuts difficiles, la première victoire n’est intervenue que lors de la 4ème journée, le RHR a su apprivoiser ses adversaires pour finalement terminer à la porte des play-offs, soit le passage obligé pour l’accession à l’échelon supérieur. « Le club reste sur une bonne saison » se félicite François Bock, le président du club. « Entre la N1 et la N2, il y a un rythme différent mais on a su se mettre au niveau et on s’est battu jusqu’au bout ».

D’ailleurs, les autres équipes du club, allant des poussins aux seniors de la N3, représentant 200 licenciés, ont toutes plutôt bien figuré lors de la saison écoulée.

Certaines font même partie des meilleures au niveau national. Comme preuve de cet élan favorable, une équipe féminine est même engagée en N2. Avec cette relève qui pointe le bout du nez et au vu des résultats encourageants de la saison passée, les Rapaces se verraient bien maintenant grimper un étage supplémentaire. « Si notre premier objectif reste le maintien, il faut aussi savoir être ambitieux. Nous souhaitons atteindre une des deux premières places », avoue même François Bock.

Pour mener à bien cette mission, le club rémois pourra compter sur un groupe pratiquement inchangé et toujours entraîné par l’expérimenté Laurent Lexcellent. Le groupe n’a eu que deux départs à déplorer, celui du gardien William Richard, engagé par Rethel, et celui du défenseur Vincent Boucher, parti diriger le club d’Epernay (N2). Si, lors de la préparation, les Rémois se sont inclinés face à Amiens (8-4) et ont du se contenter d’un match nul à Paris XIII (8-8), la confiance demeure. « Nous essayons de créer du beau jeu, construit et intelligent, mais pour le moment, on y arrive que pendant 25 minutes », explique le coach. « On manque encore de matches dans les jambes mais notre ambition cette saison est de pratiquer un jeu comparable à ce qui se fait en Elite ».

Pour leur entrée en championnat, samedi 19 septembre, les Rapaces accueilleront les promus de Pont-de-Metz. « Face à une formation qui ne lâche rien », l’équipe première du RHR devra aborder cette rencontre avec humilité pour ne pas être domptée.

J.D

RHR – Pont-de-Metz, samedi 19 septembre à 19h, gymnase François Legros.

Entrée gratuite. Plus d’infos sur le RHR : www.rollerhockeyreims.com ou au 06 72 79 51 51.


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JUSQU’AU 31 OCTOBRE : « Les voyages de Lefranc, l’aviation »

Des planches de BD signés Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez etWallace tirées de l’album « Le vol des anges ».

Rens. : 03 26 35 68 40

Médiathèque Croix-Rouge


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Basket NF1 : le RBF en appel

Défaites d’entrée à domicile par leurs homologues de Dunkerque (59-73), les filles du Reims Basket Féminin tenteront de relever la tête à Nice.

Comme les Rémoises, les Niçoises ont également été battues lors de la première journée, subissant les foudres des joueuses du Hainaut (74-49).

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Journal « l’Union » - 090917a

Chantiers en cours : Le bâtiment va à tout va

Un quartier entier est en train de naître rue Charlier (Effort rémois).
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L’ilôt Folle-Peine : un chantier qui réunit les trois bailleurs sociaux rémois.
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Après une année 2008 chaotique, les grues se sont remises à tourner à plein régime sur nombre de chantiers. Pourtant, il reste quelques blocages.

QUAND le bâtiment va, tout va. Alors, ça va à Reims. L’année 2008 a été morose, notamment chez les promoteurs privés. Heureusement, l’État s’est engagé à racheter les logements prévus par les promoteurs privés… avec l’argent des organismes logeurs « sociaux ». Et comme Reims a cette « chance » de disposer de trois organismes de ce type, la situation s’est rapidement débloquée.

Effectivement, il suffit de faire le tour de Reims pour constater que les grues tournent partout. Même à l’îlot Folle-Peine, près du pont de Venise, les travaux sont enfin engagés, pour un chantier symbolique, dans la mesure où il va réunir les trois organismes en un seul lieu. Au total, ce sont des centaines de logements qui vont sortir de terre dans les deux ou trois ans à venir.

Les principaux sites sont par exemple la « Zac Jeanne-d’Arc », où chaque organisme a repris des programmes aux privés pour les sortir de la crise.

Pour l’Effort rémois, de gros chantiers sont en cours de construction à la place de l’ancien siège de « Piper-Heidsieck » (200 logements), au Hameau de l’est (220 logements pour 2012) ; à Remafer/Dauphinot (700), etc. L’Effort rémois a aussi près de 1.000 logements à réhabiliter à Croix-du-Sud.

Au Foyer rémois, même activité dense avec 900 logements en construction, du démarrage des travaux à la livraison. « J’ai aussi cinq grues à Wilson en ce moment », précise Christophe Villers, le président du Directoire. Qui ajoute un programme de 220 chambres pour étudiants à la Rafale, « Un chantier symbolique en vue de l’arrivée de Sciences-Po ».

Quelques problèmes

En revanche, ça bloque en face de la clinique des Bleuets pour un problème de dépollution qui a engendré une action en justice. Et donc des délais interminables.

Chez « Reims-Habitat », 475 logements sont en cours de construction, après des problèmes de fouilles archéologiques ou autres. Soit 200 à Clairmarais, 78 à la Zac Jeanne-d’Arc, 100 rue Lesage, etc. Au total, Reims-Habitat construit en moyenne 200 logements par an. Mais il a également un programme de 1.500 logements en rénovation lourde. Auxquels il faut ajouter une résidence pour étudiants de 270 chambres à « Paul-Fort » et 71 logements pour personnes âgées à Croix-Rouge.

Les promoteurs privés - y compris le groupe Bouygues - peuvent donc dire merci aux bailleurs sociaux, qui permettent de maintenir l’activité de la construction à Reims.

À cette activité de construction s’ajoute celle de l’aménagement. Autrement dit, plus de 2 mds € injectés dans l’économie locale dans les trois prochaines années.

J.-F. SCHERPEREEL

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Journal « l’Union » - 090916e

TENNIS / Jeunes : Comme prévu, ou presque

Fort d’une nette augmentation de la participation (136 contre .106 l’an passé), le tournoi jeunes du TRC Muire a connu des résultats presque toujours conformes à la logique.

FILLES

- 12 ans : Hira Rakotomahanina (30/1, Betheny) bat Hélène Boi¬leau (30/3, Witry les Reims) 6-1, 1-6, 7-5 ;
- 13/14 ans : Lisa-Marie Habert (30/1, Witry les Reims) bat Priscille D’Aymery (30/2, Cormontreuil) 6-2, 7-5 ;
- 15/16 ans : Marie-Claude Ganache (30, Taissy) bat Anne Ganache (30/1, Taissy) 6-4, 6-1.

GARCONS

- 10 ans : Villenet (30/4, Taissy) bat Marc (15/4, Géo-André) 5-3, 4-5, 5-3 ;
- 11 ans : Ramanitra (30/1, Dormans) bat Sanlis (30/1, Witry-lès-Reims) 6-1, 5-0 abandon ;
- 12 ans : Tonnel (30/3, Reims Europe Club) bat Collot (30/2, Taissy) 6-4, 3-6, 7-5 ;
- 13/14 ans : De La Bassetiere (15/5, Cormontreuil) bat Buyck (15/5, Nautique Epernay) 6-2, 6-2 ;
- 15/16 ans : Perez (15/3, Muizon) bat Poncelet (15/5, Vivaise) 6-1, 6-3 ;
- 17/18 ans : Khaitrine (15/2, TC Reims) bat Lacaille (30/2, TRC Muire) 6-1, 6-1.

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Journal « l’Union » - 090916d

Pays-de-France : Bientôt la fête de quartier

Le groupe Africaa a été pressenti.
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La préparation de la fête du secteur Pays-de-France avance à grands pas. Organisée par Yves Pringault, directeur « Jeunesse » de la Maison de quartier Croix-Rouge, avec les associations locales, elle se déroulera sur l’esplanade des Béarnais, samedi 3 octobre de 15 heures à 20 h 30.

Le premier programme a été établi avec, de 15 à 16 heures, un défilé de vélos fleuris, organisé par l’association de promotion de Pays-de-France.

À 16 heures et jusque 18 h 30, ouverture des stands et danses sur le podium. « Nous avons l’accord de principe d’un groupe de danse Country, de spécialistes du hip-hop, de la musique africaine et de la danse orientale ; ils se présenteront sur scène », précise l’organisateur. À 18 h 30, un apéritif réunira la population autour d’un karaoké, jusque 20 h 30.

Sont déjà programmés l’exposition et les gaufres du Collectif Croix-Rouge accueil (CRA), la buvette des Femmes d’ici et d’ailleurs (FD’IA), l’exposition (histoire du quartier), les malles sportives et le tournoi de baby-foot de la Maison de quartier, les jeux pour enfants et l’exposition de la Maison de l’enfance. Est également programmée la projection du film « Les veillées », réalisé en février par la Compagnie HDVZ.

Recherche photos de Croix-Rouge

L’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, la Maison de l’enfance, le Foyer rémois, l’APPF, l’association MJC Croix-Rouge et le CRA sont déjà parties prenantes ainsi que des bénévoles du quartier, mais il est encore possible de rejoindre l’équipe de bénévoles et de professionnels qui organise la fête.

Par ailleurs, Slimane Hamdi, pour son exposition sur l’histoire du quartier (avant, maintenant, demain, démolitions et reconstructions), recherche des photos et des cartes postales anciennes du quartier Croix-Rouge.

Une dernière réunion est programmée lundi 21 septembre à l’Aquarelle. Pour toute question ou information sur la fête de quartier, contacter Slimane Hamdi à l’espace Pays-de-France au 03.26.49.47.07. ou au 06.79.81.81.04.

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Journal « l’Union » - 090916c

Pratique de la capoeira : S’assouplir aux rythmes du Brésil

L’apprentissage des mouvements obéit à une rigueur, à une discipline.
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La capoeira est un art martial brésilien qui tire ses origines de la culture afro-brésilienne. C’est pendant l’esclavage au XVIe siècle et la colonisation du Brésil par les Portugais qu’il se développe. « Le capoeriste est à la fois athlète, équilibriste, lutteur et musicien.

Une séance est ponctuée de rigueur, de discipline nécessaire à l’apprentissage des différents mouvements. Et elle s’achève par une roda (ronde) ou les deux capoeristes du centre, portés par le son du bérimbau (instrument-maître), exécutent coups de pieds et mouvements acrobatiques », explique Romain Coyard, président de l’association sportive de capoeira de Reims.

Dans la cité des sacres, son enseignement se fait le lundi de 20 h 30 à 22 h 30 à la Maison des associations, le jeudi de 20 à 22 heures au gymnase du collège Université et le samedi de 13 h 30 à 16 heures à Géo-André. Et depuis 2005, à l’école primaire Carteret, tous les mardis de 18 h 30 à 20 heures, des cours spécifiques sont prodigués aux tout-petits.

L’accent est mis sur l’éveil corporel et musical. Pour nombre d’entre eux, c’est une possibilité de s’ouvrir à une autre culture et aux autres.

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Journal « l’Union » - 090916b

Reims Basket Féminin

Les entraînements des jeunes du Reims Basket Féminin ont repris au gymnase Léo-Borgniet (Croix-du-Sud), Saint-Michel, La Neuvillette et au complexe René-Tys. Tous renseignements au 03.26.88.75.65.

École de basket : une attention particulière est apportée à l’école de basket, le mercredi de 14 à 16 heures à Léo-Borgniet et le samedi de 14 à 16 heures, à La Neuvillette. Cadettes France : au gymnase Saint-Michel mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 17 à 19 heures et à René-Tys, lundi de 18 h 30 à 20 h 30.

- À Léo-Borgniet :

    • lundi, de 18 heures à 19 h 30, minimes 2 et cadettes 2 ; de 19 h 30 à 21 heures, seniors 2.
    • Mardi, de 18 heures à 19 h 30, benjamines ; de 19 h 30 à 21 heures, minimes France.
    • Mercredi, de 14 à 16 heures, école de basket ; de 16 à 18 heures, poussines ; de 19 h 30 à 21 h 30, seniors 2.
    • Jeudi, de 18 heures à 19 h 30, benjamines et minimes 2 ; de 19 h 30 à 21 heures, minimes France et cadettes 2 +.
    • Vendredi, de 18 heures à 19 h 30, minimes France.
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Journal « l’Union » - 090916a

Sur son ex : Menaces au couteau

Dimanche matin à 3 heures, un homme alcoolisé est venu chez son ex-concubine rue André-Faivre pour la menacer d’un couteau.

Auparavant, il avait menacé de mort au téléphone des proches de la victime.

Présenté au parquet, l’agresseur a été remis en liberté avec une convocation le 1er octobre au tribunal.

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Journal « l’Union » - 090915c

AVIS DE MODIFICATION

S.A.R.L. DR CRÉATION
au capital de 6.000 euros
Siège social : 43, rue P-Taittinger
51100 Reims
R.C.S. Reims 493 920 763

Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 9 septembre 2009, les associés ont décidé de transférer à compter du 9 septembre 2009, le siège social qui était à 43, rue Pierre Taittinger Reims à l’adresse suivante : 4, avenue Eisenhower, Reims.

L’article 4 des statuts a été, en conséquence, mis à jour.

Le dépôt légal sera effectué au R.C.S. de Reims.

Pour avis et mention,
Mlle S. HUBERT,
gérante

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090915b

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7307 du 14 au 20 septembre 2009.

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AVIS DE CONSTITUTION

Par acte SSP du 07/09/2009, il a été constitué une EURL ayant les caractéristiques suivantes :

DÉNOMINATION : ALERTE VIGILANCE SECURITE.

OBJET SOCIAL : La surveillance humaine ou surveillance par des systèmes électroniques de sécurité ou gardiennage de biens meubles ou immeubles ainsi que la sécurité des personnes se trouvant dans ces immeubles.

SIEGE SOCIAL : 43 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.

Capital : 10.000 €. DUREE 99 ans.

GERANCE : M. Jean GUEMATI, demeurant 30 rue Jean Racine - 34420 PORTIRAGNES.

IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

78242

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Journal « l’Union » - 090915a

Cours d’arbitrage

Les cours en vue de la formation d’arbitres stagiaires et de dirigeants auxiliaires en arbitrage ont repris.

La session du début de saison 2009/2010 conduira les candidats à l’examen de décembre, de façon à ce qu’ils puissent être opérationnels dès janvier 2010.

Pour Reims et sa région, rendez-vous au centre social Watteau, 3, allée Antoine-Watteau, les jeudis de 19 h 30 à 20 h 30.

Renseignements auprès d’Aurélien Briest au 06.10.57.64.03.

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Journal « l’Union » - 090914c

PHOTO DU JOUR : Thierry et Nadia

Notre confrère Thierry Accao Farias, 32 ans, journaliste à la rédaction locale de l’union à Reims, et Nadia Bellamammer, 24 ans, se sont mariés samedi à la mairie de Reims en présence de leurs familles et amis.

Tous nos vœux de bonheur aux jeunes mariés et à Jade leur petite fille.
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Journal « l’Union » - 090914b

L’aviation en vedette à Croix-Rouge

Mercredi 16 septembre de 10 à 18 heures, le Centre d’information et de recrutement des Forces armées (Cirfa) fera découvrir les métiers de l’aviation militaire à la médiathèque Croix-Rouge.

Sur le parvis de la médiathèque, sera installée une cabine Mirage III.

Un film documentaire sur les métiers de l’aviation militaire sera diffusé en salle d’exposition.

Un stand d’information sera ouvert dans le secteur Emploi-Formation de la médiathèque avec de la documentation et de nombreuses offres d’emploi.

Les visiteurs pourront également s’informer auprès de professionnels, dont un pilote et un mécanicien qui témoigneront et expliqueront leur métier.

Mercredi 23 septembre, de 10 à 18 heures, la médiathèque accueillera le Centre régional de Navigation aérienne (CRNA) pour faire découvrir les métiers et les concours de l’aviation civile. Un film retraçant la vie du centre, suivi de trois interviews portant sur les métiers, sera diffusé en continu en salle d’exposition.

Des panneaux explicatifs mobiles sur le recrutement seront installés près d’un stand d’information où des professionnels répondront aux questions des visiteurs et leur fourniront toute documentation sur les concours, formations et métiers.

Pour tous, entrée libre.

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Journal « l’Union » - 090914a

Défenestration

Samedi matin à 4 h 30, une femme a tenté de se suicider en sautant du deuxième étage, allée des Bourguignons. Blessée sans perte de connaissance, elle a été prise en charge par le Samu.

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Journal « l’Union » - 090912b

Les expositions

« 1 minute de bonheur », installations de Myona Rimoldi-Guichaoua : jusqu’au 11 octobre à la chapelle de l’Ancien collège des jésuites et salle Brûlart, 1, place Museux de 14 à 18 heures tous les jours, et la Rotonde, campus Moulin de la Housse, chemin des Rouliers, de 8 à 20 heures du lundi au vendredi.

« Conatus : La rose est sans pourquoi » de Boris Achour : Fonds régional d’Art Contemporain, 1, place Museux. À voir jusqu’au 1er novembre tous les jours (sauf lundi) de 14 à 18 heures.

Œuvres de Michèle Garinois : galerie Sceneo, 14-16, rue Gutenberg. À voir jusque fin septembre du lundi au vendredi de 8 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

« Les anges de la Cathédrale » : à l’office de tourisme, 2, rue Guillaume-de-Machault. Visible tous les jours de 9 à 19 heures, dimanche et jours fériés de 10 à 18 heures jusqu’au 27 septembre.

« Le dernier voyage de Saint-Exupéry » dessins originaux de Louis Joos et « L’avion, comment ça marche ? » : à la médiathèque Jean-Falala, 2, rue des Fuseliers, jusqu’au 31 octobre.

« L’aviation en BD » : à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar, jusqu’au 31 octobre.

« Les petits aviateurs » : à la bibliothèque Holden, place Brouette, jusqu’au 31 octobre.

« Il y a cent ans, la Grande semaine d’aviation de la Champagne » : à la bibliothèque Carnegie, 2, place Carnegie, jusqu’au 28 novembre.

« État(s) couleurs » : à l’atelier Aqua Forte, 115, route de Cernay. Visible les 12 et 13 septembre de 11 à 19 heures.

Véhicules publicitaires et du tour de France : musée de l’automobile, 84, avenue Georges Clemenceau. Visible jusqu’en décembre tous les jours, sauf mardi, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

« Des aires de jardin » : au parc de Champagne, 10, avenue du Général-Giraud. Visible jusqu’au 30 septembre : mercredi, samedi et dimanche de 10 à 20 heures, lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12 à 20 heures. Du 1er au 24 octobre : mercredi, samedi et dimanche de 10 heures à 18 h 30 ; lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12 à 18 h 30. Du 25 octobre au 4 novembre, tous les jours de 12 à 17 heures. Entrée libre.

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Journal « l’Union » - 090912a

Au feu … à Reims

Les pompiers sont intervenus jeudi soir un peu après 20 h 30 sur l’esplanade Paul-Cézanne, dans le quartier Croix du sud, pour éteindre un feu de poubelle.

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Journal « l’Union » - 090911f

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier : Ça va bouger…

L’Acrap innove avec une section aérodanse.
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La lecture du magazine municipal VRI est instructive.

On y apprend ainsi que le premier adjoint, Éric Quénard, et sa collègue Pascale Martin ont tenu, début juillet, dans la salle Mauriac un « premier atelier urbain de proximité du quartier Croix-Rouge, concernant le futur équipement public Maison de quartier Pays-de-France ».

Local associatif

Une fois encore, comme ce fut le cas pour la réunion secrète de bilan du Festival du même Éric Quénard, en mairie, la presse n’a été ni informée ni invitée à cette réunion importante.

Ce qui semble désormais, pour la mairie, la meilleure façon d’exercer une communication active avec les habitants et surtout d’éviter d’éventuels commentaires déplaisants.

« Je suis toujours dans l’attente de mon local associatif (c’est l’Arlésienne) », regrette Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de locataires des Polygones (logements de l’Effort rémois).

L’association « cogite un petit événement » pour la rentrée « il y aura des grincements de dents et peut-être bien un déplacement des adhérents au siège… »

Aérodanse

L’association Croix-Rouge animation et promotion annonce, cette saison, l’ouverture d’une nouvelle section : l’aérodanse.

« Il s’agit d’une activité sportive basée sur le fitness », précise le président Jean-Pierre Génesseau : « Mais il y aura davantage de chorégraphie ». Basée sur l’utilisation d’un step à hauteur variable et de mouvements simples.

Cette activité est ouverte aux pratiquants de fitness ou, au contraire, aux novices en step. « Idéal pour les hommes comme pour les femmes, ce cours est la réponse que vous cherchiez », dit l’animatrice.

« Chorégraphié et très facile à suivre dès la première séance, même pour les débutants, l’aérodanse, plus ciblée sur la chorégraphie dansée, va vous remettre en forme en un temps record ! »

Cette section, ouverte aux ados et aux adultes, et animée par Isabelle Bechet, titulaire d’un brevet d’État en fitness, fonctionnera le vendredi de 18 heures à 19 h 30.

Le fitness step classique continuera le jeudi de 20 heures à 21 h 30.

Les pré-inscriptions sans engagement formel sont ouvertes au secrétariat de l’Acrap, 11 avenue du président Kennedy (03.26.06.39.54.).

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Journal « l’Union » - 090911e

Poésie : Liliane Feige s’invite à la brocante

Liliane Feige : une touche de poésie dans le quartier.
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Fidèlement, la poétesse de Croix-Rouge, Liliane Feige, tient un stand à l’exposition d’artistes, organisée par l’Acrap, à l’occasion de sa brocante.

Elle invite les habitants à être présents dimanche 20 septembre toute la journée sur le parking de l’hippodrome :

« Les poètes sont des mages pour guérir les tourments dont souffrent les habitants. Je reviens les bras chargés de poèmes. Venez me voir à l’Acrap. J’emprunterai l’avenue Bonaparte, au long de mon quartier, en grande amitié, semant mes poèmes dans mon parcours bohème… »

Comment lui résister ?

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090911d

« Les Primevères » toujours à l’œuvre : 30 ans de solidarité féminine

De nombreuses familles, sorties de la galère grâce aux « Primevères », avaient ténu à être présentes lors de cet événement, au parc de Champagne.
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Destiné aux femmes en grande difficulté sociale, le centre « Les Primevères » vient de fêter ses 30 ans par un bel après-midi familial, au parc de Champagne.

POUR célébrer ses 30 ans d’existence, le CHRS « Les Primevères », - centre d’hébergement et de réinsertion sociale dédié aux femmes - a organisé une journée de fête au parc de Champagne, sous le soleil complice… L’événement s’est déroulé le 9 septembre avec les familles concernées, les élus et les représentants des structures partenaires. La directrice, Fanny Basille, avait préparé un texte qu’elle n’a pas lu, laissant parler son cœur pour expliquer la mission du CHRS : « Elle se résume en deux mots : accueil et accompagnement, car c’est d’abord un toit, un lieu de vie sécurisé… Ensuite viennent les conseils et l’aide pour entreprendre les démarches nécessaires en liaison avec les autres services sociaux ».

Porte-parole des 800 femmes qui sont passées dans le centre depuis sa création, Louisa Dahmarie a repris quelques expressions qui reviennent souvent dans la bouche des bénéficiaires : « Nous avons trouvé un soutien, de l’attention… Une bouffée d’oxygène… Le retour à une vie normale qu’on aborde avec confiance en soi… »

Adeline Hazan, la maire de Reims, a, quant à elle, souligné combien ces simples mots étaient l’exact et émouvant reflet du travail qui est fait par les équipes du centre, géré par le centre communal d’action sociale de Reims et financé par l’État.

En 1979, quelques primevères poussaient dans la cour du petit immeuble situé au 38, rue des Moissons, d’où le nom. C’est là qu’avait été créé un centre d’hébergement féminin avec trente places pour une vie communautaire.

En 2000, une formule nouvelle est adoptée avec, à partir de 2004, des appartements dispersés dans le quartier Croix-Rouge. Un projet est par ailleurs en cours pour améliorer encore l’accueil des femmes et de leurs enfants avec, cette fois, dans le même immeuble un espace collectif et des appartements individuels.

Infos pratiques

Actuellement, le siège du CHRS « Les Primevères » est au 24, cour Eisenhower. Arrêt de bus Léon-Mathieu, ligne H.

Tél. 03.26.79.14.00.

Sauf cas d’urgence, les demandes sont étudiées en commission d’admission. Le centre offre 53 places, plus une chambre pour l’accueil en urgence (service téléphonique 115).

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Danielle : « J’ai reconstruit ma vie »

Danielle avec deux de ses enfants, Julien et Stéphanie, maman de Clara.
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En septembre 1995, Danielle doit faire face à de sérieux problèmes familiaux.

Elle quitte alors Épernay pour Reims dans l’espoir de trouver un lieu d’accueil pour elle et ses cinq enfants de 4 à 14 ans :

« Aux Primevères, j’ai eu la possibilité de reconstruire ma vie. J’y suis restée jusqu’en mai 1997 et je garde de mon séjour les meilleurs souvenirs. Bien sûr, il y a eu des crises de larmes mais aussi de fous rires… J’ai pu retrouver un équilibre moral et physique.

Depuis douze ans, j’ai un logement, mes enfants réussissent bien leur vie. Je travaille de nuit en maison de retraite et ce soir, je serai à mon poste… Mais cet après-midi, c’est la fête… Je retrouve avec plaisir d’anciens travailleurs sociaux qui m’ont aidée. Les filles qui étaient là en même temps que moi ne sont pas très nombreuses aujourd’hui, mais j’en rencontre parfois.

Certaines veulent surtout tourner la page… »

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Journal « l’Union » 090911c

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 


Avant - propos :

Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par Reims habitat.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat ( HYPERLINK "http://www.reims-habitat.fr/"www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay. B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : Procédure adaptée selon l’article 28 du Code des Marchés Publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats.

3) Objet des marchés : Réaménagement de la succursale Murigny avec déplacement de l’accès public et changement d’affectation d’un local existant au 8 Place Toulouse Lautrec.

4 ) Lots :

- Lot 1 : VRD
- Lot 2 : Bungalows
- Lot 3 : Désamiantage
- Lot 4 : Démolition- Maçonnerie
- Lot 5 : Serrurerie
- Lot 6 : Menuiseries extérieures et intérieures
- Lot 7 : Electricité
- Lot 8 : Plomberie-Chauffage
- Lot 9 : Peinture-Revêtements de sol

5) Délais d’ éxécution : Le délai d’exécution de l’ensemble des travaux est de 6 mois.

6) Date d’envoi à la publication : Le 08 septembre 2009

7) Date limite de remise des offres : Le 8 octobre 2009 à 17 heures.

51/AO/1682509

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Journal « l’Union » 090911b

MODIFICATIONS

 

S.A.R.L. ISO CONFORT

Société à responsabilité limitée au capital de 3.000 euros

Siège social : 6, rue de Rilly-la-Montagne 51100 Reims

RCS 489 794 370

Changement de siège social


Aux termes de la délibération de l’assemblée générale extraordinaire du 4 septembre 2009, il a été décidé de transférer le siège social du 6, rue de Rilly-la-Montagne, 51100 Reims, au 17, bd Paul-Doumer, 51100 Reims à compter du 1er septembre 2009.

Le dépôt légal sera effectué au greffe du tribunal de commerce de Reims.

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Journal « l’Union » - 090911a

Incendie criminel de lundi / Début d’aveux de la part du suspect

Yassin Djelassi est soupçonné d’avoir volontairement mis le feu.
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Il concède qu’il a mis le feu, mais involontairement. Les enquêteurs, eux, ont des raisons de penser que le geste est volontaire.

L’affaire de l’énorme incendie de lundi, route de Witry à Reims, a bien évolué hier. Jusqu’alors, les policiers avaient entre les mains un suspect, ils ont à présent toutes les raisons de penser que l’intéressé, Yassin Djelassi, un homme de 34 ans, domicilié dans le quartier Croix-rouge de Reims, est nettement plus que ça. Un juge d’instruction devra creuser la chose.

« Pendant la garde à vue, nous sommes passés par deux phases successives, commente le procureur Madeleine Simoncello. Dans la première, le suspect niait tout ; dans la deuxième, il a reconnu qu’il pourrait bien être à l’origine du feu, mais de façon involontaire. Son explication est la suivante : il cherchait un endroit à l’écart pour fumer discrètement un joint, et puis, entendant quelqu’un venir, il a abandonné le joint en question, qui était encore allumé et qui aurait donc provoqué le feu. »

Ça ne colle pas

Une explication tout à fait plausible, l’intéressé ayant déjà eu des démêlés avec la justice pour une affaire de stupéfiants : il avait ainsi fait l’objet d’une comparution immédiate pour cette raison pas plus tard qu’au début du mois d’août dernier. Mais cette explication ne satisfait pourtant pas les enquêteurs : « D’une part, ça ne colle pas avec les déclarations des témoins, poursuit la procureur, d’autre part, ça ne coïncide pas avec la configuration des lieux. » Du coup, une ouverture d’information a été demandée, pour incendie volontaire.

Il se pourrait bien, en effet, que le geste du suspect ait eu une motivation très précise, en lien avec un vol d’ordinateur portable commis le midi même du jour de l’incendie, et pas n’importe quel ordinateur : celui du directeur de l’entreprise d’insertion Envie, au sein de laquelle le suspect venait précisément de reprendre son activité de salarié après une période d’interruption. Le directeur avait alors réuni son personnel pour lui faire savoir qu’il espérait qu’il ne s’agissait que d’une mauvaise plaisanterie, et que l’ordinateur retournerait rapidement à sa place…

Passible des assises

Mais bien que la coïncidence soit assez troublante, rien ne permet pour l’heure de faire le rapprochement entre le vol et l’incendie. Ce n’est pas tout. Non seulement Yassin Djelassi pourrait répondre d’incendie volontaire, ce qui est déjà passible d’une peine maximum de 10 ans de prison, mais une charge supplémentaire pèse désormais contre lui : l’incendie a fait un blessé, un employé de l’une des différentes entreprises sinistrées (elles sont cinq en tout) qui avait cherché à récupérer sa mobylette avant qu’elle ne flambe, et sur qui était tombé un morceau de toit. Bilan pour cet infortuné : quatre jours d’incapacité ; mais surtout bilan pour le pyromane supposé : un incendie qui devient un crime et donc passible de la cour d’assises, avec 15 ans d’emprisonnement potentiels à la clef. On comprend, dans ces conditions, que l’intéressé cherche à minimiser sa responsabilité… Le Parquet, qui souligne la rapidité avec laquelle la police a mené l’enquête - même pas 72 heures, ce qui est plutôt rare dans les affaires d’incendie - a demandé le placement en détention du suspect. Le juge des libertés et de la détention lui a donné satisfaction ; l’homme a été placé, hier soir, sous mandat de dépôt.

Antoine PARDESSUS

- Des photographies de cet événement vu de la tour Gandon sont disponibles dans notre galerie d’images

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L’hebdo du vendredi- n° 135 - 090910c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 135 - Semaine du 11 au 17 septembre 2009
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« Les voyages de Lefranc, l’aviation »

Des planches de BD signés Jacques Martin et Regric complétées par celles de Fernandez et Wallace tirées de l’album « Le vol des anges ».

Rens. : 03 26 35 68 40

Médiathèque Croix-Rouge

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090910b

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7306 du 07 au 13 septembre 2009.

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INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reimshabitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)

1. Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : marché de conception-réalisation en application des articles 37 et 69 du code des marchés publics passé selon la procédure de l’appel d’offres restreint (article 69-I).

3. Objet des marchés : conception-réalisation pour la construction de 51 logements locatifs collectifs et 1200 m2 de S.H.O.N. de locaux commerciaux, quartier Croix-Rouge à Reims.

Ce projet devra bénéficier de la double certification Qualitel et HetE (habitat et environnement) profil A. L’objectif en terme de performance thermique, sera l’obtention d’un label énergie THPE sur la base de la RT 2005.

4. Délai d’exécution : 20 mois à compter de la date de notification du marché.

5. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.

6. Remise des candidatures : les candidatures doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.

Les candidatures peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.

7. Date limite de remise des candidatures : le 9 octobre 2009 à 17 heures.

8. Date d’envoi de l’avis à la publication : 3 septembre 2009.

78198

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Journal « l’Union » - 090910a

ORDURES MENAGERES : Les locataires pas tous logés à la même enseigne

A Croix-Rouge, les organismes logeurs n’ont pas tous répercuté la taxe au même moment.
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Si pour les propriétaires, la douloureuse vient d’arriver avec la taxe foncière, les locataires d’organismes HLM, très nombreux à Reims, ont déjà depuis plusieurs mois l’occasion de maudire la nouvelle taxe sur les ordures ménagères. Mais, selon l’organisme logeur dont ils dépendent, tous n’ont pas droit au même traitement. Illustration dans le quartier Croix-Rouge.

Dans le secteur des Polygones, « depuis l’instauration de la TEOM, nous avons reçu à l’association de nombreuses protestations, confie Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de locataires. Nous sommes confrontés au dur problème des charges qui sont toujours en augmentation pour des prestations qui diminuent en qualité et en quantité. »

Concernant la TEOM, les Polygones ont remis une pétition de 135 signatures, sur 190 logements, à Mme Hazan, qui a reçu toutes les associations du quartier pour donner des précisions sur cette nouvelle taxe « inévitable » : « Elle a reconnu que cette taxe était injuste puisque calculée sur la surface habitable et non au nombre de personnes par foyer. »

L’Effort rémois n’a pas appliqué la TEOM sur les loyers depuis le 1er janvier 2009, contrairement à Reims Habitat et au Foyer rémois. Les locataires ont donc dû régler, en même temps que le loyer de mai, cinq mois de TEOM (depuis janvier). Depuis juin, ils règlent chaque mois cette taxe « qui n’apparaît pas sur les appels de loyers ».

En revanche, les personnes en situation délicate peuvent demander un échelonnement en se rendant au siège.

À Croix-du-Sud, pour Danielle Bonfils, présidente de l’association des locataires At Hom (secteurs Gandon et Simon), « nous avions fait une pétition pour dénoncer cette nouvelle taxe, comme d’autres associations. Ici, les locataires mécontents continuent plus que jamais à ne pas trier leurs déchets, d’autant qu’ils savent que de toute façon, ils vont payer. Nous les encourageons au contraire à procéder de plus en plus au tri, mais ils s’en moquent comme de l’an 40 ! »

« L’Effort rémois n’a commencé à nous prélever la taxe sur les ordures ménagères qu’à partir de mai et jusqu’à fin octobre. D’après mes calculs (je vis seule dans un F4), je pense payer 200 euros ; c’est beaucoup pour une retraitée et cela va arriver en fin d’année pour les fêtes de Noël ! Nous sommes pris en otages de tous les côtés, la seule chose que nous devons faire c’est payer, que ce soit cette taxe-ci ou bientôt la taxe carbone ou les augmentations à droite et à gauche : il faut casquer ! »

À Pays-de-France, Roselyne Marandon élargit le champ de la contestation et entend alerter les pouvoirs publics au plus haut niveau : « J’ai toujours la pétition concernant la TEOM. J’attends le courrier promis par la mairie.

Certaines associations de Reims voulaient se baser sur ce fameux courrier pour que nous agissions ensemble auprès du gouvernement pour faire changer le calcul qui est injuste. »

« Aux Hauts-de-Murigny, précise Isabelle Mallinger, présidente de l’association des locataires, une somme est prélevée chaque mois depuis le début de l’année, en provision. Reims Habitat réglera la facture générale fin 2009 et, lors de la régularisation de charges en mars 2010, pour l’année 2009, Reims Habitat répercutera l’éventuelle différence entre le total des provisions et le montant dû. » Ce système fonctionne bien et « nous ne sommes saisis, à ce jour, d’aucune réclamation de locataires ».

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Journal « l’Union » - 090908b

Remise de prix aux jardins familiaux Croix-du-Sud : C’était le grand jour

Les jardiniers primés posent pour la postérité.
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Après la séance de notation par un jury indépendant le 20 juin dernier, c’était le grand jour, samedi 5 septembre, de la proclamation des résultats du concours des plus belles parcelles des jardins familiaux de Croix-du-Sud.

La présidente Évelyne Nkounkou, son bureau et les bénévoles accueillaient à cette occasion les élus, MM. Guillaudeau, Joannesse et Quénard, les représentants de plusieurs autres associations de jardins familiaux et de la Fédération des jardins de Reims et agglo, l’Effort rémois (MM. Chevallier et Picardat), M. Méther pour l’Étoile Croix-du-Sud et M. et Mme Monflier, de l’association de promotion de Pays-de-France, qui bénéficie d’une parcelle pédagogique.

Le palmarès a été dévoilé

Devant un public venu en nombre, le palmarès a été dévoilé.

Cette année, le bureau a décidé d’organiser deux concours : un pour les 62 parcelles « anciennes » et un pour les 31 parcelles nouvellement attribuées au mois de mai par Reims Métropole.

Les coupes de l’association ont été remises sous les applaudissements et, pour 25 des qualifiés, une enveloppe avec une gratification en espèces offerte par l’Effort rémois, pour un montant total de 350 euros.

Les adjoints Éric Quénard et Raymond Joannesse ont félicité tout particulièrement les nouveaux jardiniers dont les parcelles ont très vite rejoint en qualité le niveau des « anciens ». Après le verre de l’amitié, les adhérents étaient conviés au traditionnel méchoui associatif qui, le beau temps aidant, s’est prolongé dans l’après-midi.

Le palmarès complet des 88 jardiniers classés sera affiché à l’entrée des jardins.

Anciens jardins :

1. William Garnier, 2. Jean Dugue, 3. Evelyne Nkounkou, 4. Christiane Maquin, 5. Michèle Dhez-Henry, 6. Béatrice Jablonski, 7. Jacques Bidaut, 8. Jean-Pierre Malissart, 9. Messaoud Madadi, 10. Catherine Graffin, 11. Jacqueline Guiot, 12. Pascal Petit, 13. Mathilde Bidaud, 14. Joëlle Loiseau, 15. Georgy Weiler.

Nouveaux jardins :

1. Ibrahim Isbilir, 2. Laurent Monflier, 3. Jérôme Weiler 4. Ahmed Benlakehal, 5. Serge Gilbert, 6. Ali Djilali, 7. Mostafa Djemaa, 8, Daniel Plagne, 9. Sylvie Lecomte, 10. Sabrina Mole.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

- Le palmarès complet est disponible sur notre site

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Journal « l’Union » - 090908a

« 2 Mains » en réunion

L’association« 2 mains » (dispositif d’accompagnement personnalisé, dispositif éducatif novateur d’insertion sociale et mobilisation citoyenne pour l’insertion et l’emploi), réunira son assemblée générale lundi 14 septembre à 18 heures, dans les locaux de la Caisse d’épargne, 12-14, rue Carnot.

Renseignements : « 2 mains »,4, place Dominique-Ingres, téI. 03.10.16.10AO.

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Journal « l’Union » 090907f

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 


Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reimshabitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)

1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : marché de conception-réalisation en application des articles 37 et 69 du code des marchés publics passé selon la procédure de l’appel d’offres restreint (article 69-I).

3. Objet des marchés : conception-réalisation pour la construction de 51 logements locatifs collectifs et 1200 m2 de S.H.O.N. de locaux commerciaux, quartier Croix-Rouge à Reims.

Ce projet devra bénéficier de la double certification Qualitel et HetE (habitat et environnement) profil A. L’objectif en terme de performance thermique, sera l’obtention d’un label énergie THPE sur la base de la RT 2005.

4. Délai d’exécution : 20 mois à compter de la date de notification du marché.

5. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.

6. Remise des candidatures : les candidatures doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.

Les candidatures peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.

7. Date limite de remise des candidatures : le 9 octobre 2009 à 17 heures.

8. Date d’envoi de l’avis à la publication : 3 septembre 2009.

02/51/AO/1681788

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Journal « l’Union » - 090907e

Croix-Rouge : L’Acrap va à nouveau bourdonner

Les inscriptions sont ouvertes au 11, avenue du président Kennedy.
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Les 820 adhérents de l’association Croix-Rouge animation et promotion ont commencé à réintégrer les salles d’activités. C’est une véritable ruche au cœur du quartier Croix-Rouge, avec un accueil tous âges, depuis les poussins en football et les 3 ans en danse rythmique, jusqu’aux seniors du temps libre.

820 adhérents 20 sections

15 sections fonctionnent déjà : football poussins, débutants, benjamins et adultes, yoga, temps libre, fitness step, viet vo dao, majorettes, couture, badminton, roller, danse rythmique sportive et modern’jazz, tennis, pétanque et karaté kobudo d’Okinawa adultes.

Cinq autres activités vont suivre : karaté kobudo enfants le 12 septembre, travaux manuels et danse classique, moderne et folklorique le 16 septembre, natation le 19 septembre et enfin gymnastique d’entretien le 21 septembre.

Pour tout renseignement ou inscription, s’adresser au secrétariat 11, avenue du Président Kennedy, du lundi au jeudi de 9 à 12 heures et de 13 h 15 à 17 heures ou vendredi de 9 à 12 heures (03.26.06.39.54.).

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Journal « l’Union » - 090907d

GYMNASE FRANCOIS-LEGROS : C’est la rentrée sur les tatamis

ASCR, un grand club rémois dans le monde du judo et du ju-jitsu.
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Dès cette semaine, le gymnase François-Legros va retrouver ses judokas et ju-jitsukas.Les cours sont assurés par Flavie Vidal et Mickaël Jourdan, tous deux ceinture noire 2e Dan.

Entraînements judo :

- pour les 5-6 ans, le mercredi de 17à 18 heures ;
- pour les 7-9 ans, le mercredi de 18 heures à 19 h 15 ;
- pour les 10-13 ans, les mardi et vendredi de 18 heures à 19 h 15 ;
- pour les ados et les adultes, 19 h 15 à 21 heures.

Entraînements du ju-jitsu self défense :

- mercredi de 19 h 15 à 21 heures.

Informations au 03.26.08.10.64, au 06.21.69.79.70 ou sur place au gymnase François-Legros, 1, avenue du Président Kennedy.

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Journal « l’Union » - 090907c

Français et langue des signes : « Des signes et des mots »

Une complicité entre le comédien et l’interprète en langue des signes.
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Nordine Hassani et Corinne Fenoy proposent un spectacle de con¬tes bilingue : « Des signes et des mots », le samedi 12 septembre à 15 heures à la médiathèque Croix-Rouge.

Nordine Hassani est comédien, conteur et metteur en scène. Né au Maroc, il aime reproduire la « Halga », le cercle d’histoires, de récits de vie : « Faire naître chez le public, l’envie d’écouter, de répondre, créer un vrai dialogue, telle est ma démarche artistique ».

Corinne Fenoy, interprète en langues des signes, ne fait pas que traduire en direct les contes de Nordine Hassani : elle les vit de l’intérieur et offre une vision particulière des histoires.

Il n’y a pas sur la scène, une interprète et un conteur, mais bien une conteuse avec ses signes et un conteur avec ses mots.

À partir de 7 ans. Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.

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Journal « l’Union » - 090907b

Les multiples facettes du sport Ufolep

Si les congés estivaux s’achèvent, le temps des réjouissances n’est pas pour autant révolu… Il est temps pour les sportifs et sportives de retrouver leurs loisirs favoris.

Comme à son habitude en cette période de rentrée, le comité départemental Ufolep, fédération sportive multisports, propose aux associations un large éventail d’activités sportives - disciplines traditionnelles, sports émergents, loisir ou compétition - mais aussi des formations autour de la pratique et de l’encadrement de ces activités… Chacun y trouvera les moyens de pratiquer ou d’encadrer un ou plusieurs sports, quels que soient son niveau, ses objectifs, ses contraintes.

Football, VIT, volley-ball, cyclisme, badminton, athlétisme, tir à l’arc, basket-ball entre autres alimentent des calendriers d’ores et déjà fournis et des week-ends animés par les quelque 150 associations et près de 5.000 licenciés du département de la Marne.

Par ailleurs, le comité départemental Ufolep apporte, au-delà des diverses activités physiques et sportives présentées, un soutien dans la construction des projets associatifs et un ensemble de ressour¬ces et d’information utiles à la vie des associations.

Comité départemental Ufolep, 19-23, rue Alphonse-Daudet, 51100 Reims. Tél. 03.26.84.32.26

www.ufolep51.org

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Journal « l’Union » - 090907a

Brocante

La 25e brocante d’automne de l’association Croix-Rouge animation et promotion accueillera le public dimanche 20 septembre sur le parking de l’hippodrome de Reims, de 9 à 18 heures.

Comme d’habitude, une exposition d’oeuvres d’artistes locaux se tiendra dans la salle polyvalente voisine à partir de 10 heures.

Renseignements à l’Acrap, au 03.26.06.39.54.

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Journal « l’Union » - 090905a

Croix-Rouge : Marre d’être emmer… dans leur appart’ !

Les agresseurs ont mis le feu à des papiers devant la porte palière.
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Ces trois colocataires du secteur Pays-de-France dans le quartier Croix-Rouge commencent à en avoir assez : ils affirment être régulièrement victimes de désagréments ou brimades de la part de certains voisins depuis deux à trois semaines.

Les derniers faits en date remontent au week-end dernier : « Samedi dans l’après-midi, raconte l’un d’eux, J.P., 36 ans, on a toqué, je croyais que c’était un des deux autres qui avait oublié sa clef, donc je ne me suis pas méfié, j’ai ouvert, et là j’ai été bousculé par trois individus ; ils sont entrés et sont allés dans la cuisine se servir dans le réfrigérateur ! Ils ont pris les poissons. »

Il n’y a pas eu de blessure, mais les choses n’en sont pas restées là : au cours de la nuit qui a suivi, des graffitis peu esthétiques ont été crayonnés sur la porte palière, et des papiers brûlés devant celle-ci. Les occupants de l’appartement n’ont pas voulu les balayer, les conservant sur leur seuil à titre de preuves.

La police est venue constater les faits le dimanche ; elle a même dû revenir une seconde fois dans la soirée. Car nos trois malheureux ont eu droit également à un caillassage de leurs volets à ce moment-là. Ils trouvent que ça commence à faire beaucoup, et aimeraient se sentir un peu mieux protégés.

Malheureusement pour eux, il semble, selon la police, que les torts soient largement partagés entre eux-mêmes et leur voisinage.

Et il est bien connu que l’on récolte ce que l’on sème…

A.P.

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Journal « l’Union » - 090904b

Tour des écoles : La rentrée version mairie

Adeline Hazan et les élus se sont tenus à une distance respectueuse des enfants.
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A chacun son style. Adeline Hazan a fait le tour de trois écoles… qui ont bénéficié de travaux cet été. Elle a aussi distribué des stylos.

« BONJOUR, je suis le maire ». Pourtant très attachée à la féminisation de sa fonction, Adeline Hazan a semblé aussi intimidée par les élèves que les enfants ne l’ont été devant ces adultes venus leur souhaiter une « bonne rentrée ». Une rentrée version Adeline.

La première surprise de cette rentrée d’Adeline, ce fut sa ponctualité. Un agent municipal s’est même étonné en fin de matinée : « Ben et le quart d’heure rémois ? ».

La seconde surprise, c’est qu’au lieu de s’intéresser aux enfants qui s’installaient dans leur classe de l’école Adriatique, la délégation a plongé dans les entrailles de l’établissement pour aller admirer la… nouvelle chaudière.

De retour à la surface, la tournée des classes a pu commencer. « T’as vu, c’est Adeline », a risqué un père de famille espérant épater les autres parents plus préoccupés par le sort de leur progéniture que par la visite des élus. Pourtant, l’adepte du « Reims 2020 » a fait son tour des maternelles avec l’adjoint à l’enseignement supérieur, preuve que l’équipe Hazan voit loin dans tous les domaines. « Alors, ça se passe bien ? » s’est enquise Mme Hazan auprès des enfants bien sages. « Avez-vous des questions ? » a glissé une institutrice aux petits. « Non ».

Dans l’une des classes suivantes, Adeline Hazan et Jacques Meyer ont offert un sac de fournitures (stylos billes, feutres, ciseaux, règle, etc.). Un « kit de rentrée » qu’une enseignante a pris pour un « kit antigrippe ».

Si la plupart des enfants ont pris le cadeau sans dire « merci », ce sac aura au moins servi à une petite fille de l’école Roux. Avec ses grands yeux tristes, elle a observé la distribution sans bouger : la petite fille était arrivée à l’école sans même un stylo. Alors que la rentrée a été plutôt sereine, la délégation s’est arrêtée un moment chez les tout-petits de l’école Roux. A part quelques rares enfants, tous les autres pleuraient, quand ils ne hurlaient pas « Man-man ». Mme Hazan a préféré continuer à discuter avec les professionnels de l’Éducation… Il faut dire que dans une autre école, un petit garçon s’était précipité vers l’adjoint Jean-Claude Laval en l’appelant « Papa ».

En fin de parcours, dans le « restaurant » de « Joliot-Curie », la directrice a expliqué à Mme Hazan que « quand les locaux sont propres, les enfants respectent et dégradent peu ». Il était temps de rentrer.

J.-F. SCHERPEREEL


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Entre périscolaire et pouvoir d’achat

Pour soutenir le pouvoir d’achat, la ville a distribué des fournitures…
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A l’issue de la visite de trois écoles, Adeline Hazan et l’Inspectrice d’Académie, Anne-Marie Filho ont fait le point.

Bien que quelques parents se soient présentés à l’entrée d’une école avec leurs gamins à la main, mais sans les avoir inscrits au préalable, aucun incident n’est ressorti. Le point sera fait dans les jours prochains, une fois la situation « stabilisée » pour les 14 150 enfants qui sont rentrés hier à Reims.

En revanche, Mme Hazan a insisté sur le fait que cette année la ville de Reims a « joué » sur le pouvoir d’achat des familles et sur le « périscolaire ».

Côté pouvoir d’achat, le sac de fournitures a été distribué à 8 600 bambins, soit un montant de 58 000 €. Une initiative sympathique, mais qui n’a vraiment été utile qu’à quelques élèves démunis. Autre mesure « pouvoir d’achat », la création d’une grille de 9 tarifs de cantine, contre 5 auparavant. Ce qui vaudra à 2 400 enfants de payer plus cher leur repas et à 3 188 de payer moins cher.

S’agissant du périscolaire, Adeline Hazan a justifié son action par l’adaptation du service public aux nouveaux modes de vie.

Ce qui passe par un élargissement des plages horaires d’accueil et de garde des enfants. Cela passe aussi par la création de « pôles d’apprentissage » : sciences, arts visuels, et bientôt, « arts du goût » et « multimédia ».

Enfin, la Ville « sort de la précarité » les personnels féminins d’encadrement des enfants. Soit 122 agents qui seront titularisés d’ici à fin 2011.

Cette année, une étude sera menée sur l’accueil des enfants de moins de trois ans dès la rentrée 2010.

J.-F.S.

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L’hebdo du vendredi- n° 134 - 090904a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 134 - Semaine du 04 au 10 septembre 2009
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Rendez-vous Reims 2020 : « Les jardins collectifs dans la ville »

Jardins familiaux, jardins d’insertion, jardins partagés, les jardins collectifs connaissent aujourd’hui un regain de popularité. Dans l’agglomération rémoise, ils sont issus d’une longue tradition.

Quels rôles ces espaces assurent-ils dans la ville ?
Comment structurent-ils l’espace urbain et son paysage ?
Comment les intégrer dans la métropole de demain ?

Comme d’habitude, les Rémois sont invités à venir discuter de toutes ces questions en compagnie des intervenants conviés à cette occasion :

Raymond Joannesse (adjoint à la maire en charge du développement durable), Laurence Baudelet (coordinantrice de l’association Graine de Jardins), Jean-Christophe Nani (paysagiste), Jean-Bernard Oudot (président de l’association EPIS) et Philippe Dieudonné (directeur général de l’association nationale Jardinot) et tous les Rémois.

Ce rendez-vous est programmé le jeudi 10 septembre à 18 h 30, à la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville.

Plus d’infos sur www.reims2020.fr

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Journal « l’Union » - 090903h

Reims Acrap Patinage : Les patins reprennent du service

Six patineuses qualifiées pour les championnats de France !
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Cinquième club au rang national en danse sur glace la saison dernière, le Reims Acrap Patinage entame sa nouvelle saison autour d’une équipe d’entraînement qui a fait ses preuves. Le club accueille les anciens et les nouveaux patineurs à la patinoire Jacques-Barot (complexe Géo-André, avenue François-Mauriac).

Le club est ouvert aux enfants débutants dès 3 ans (cours le mercredi de 14 à 15 heures et le samedi de 15 h 30 à 16 h 30. Deux essais gratuits), aux patineurs confirmés en danse sur glace et patinage artistique (du mardi au dimanche) et aux adultes (cours le vendredi de 19 à 20 heures et le dimanche de 10 h 30 à 11 h 30).

Toutes informations sur le site www.reims-acrap-patinage.com

 

 

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Journal « l’Union » - 090903g

Étoile Croix-du-Sud : Le centre rouvre en octobre

L’accueil collectif pour mineurs de l’association Étoile Croix-du-Sud a ouvert ses portes tout l’été.
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L’accueil collectif pour mineurs de l’association Étoile Croix-du-Sud a ouvert ses portes tout l’été.

Les enfants, âgés de 6 à 12 ans, ont fait de multiples activités manuelles et sportives, mais également des sorties nature en forêt de Germaine.

Différents thèmes (« la plage », « l’astronomie » ou encore « les jeux olympiques ») sont venus régulièrement offrir une animation exceptionnelle.

Le centre reprendra ses activités mercredi 7 octobre. Les animateurs accueilleront les enfants tous les mercredis et pendant les petites vacances scolaires de 9 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures.

De nombreuses activités seront proposées. Les dossiers d’inscriptions sont à retirer à l’association au 5, avenue Léon-Blum (secrétariat au 09.60.18.69.30.). Le tarif est de 4 euros par mois pour les mercredis et 10 euros par semaine pour les petites vacances scolaires (bons Caf acceptés).

« Venez nombreux ! » dit Sébastien Jacques, animateur.

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Journal « l’Union » - 090903f

Inscriptions dans les écoles de natation : Ça va être le rush

Chaque année, c’est le rush pour la rentrée et les inscriptions aux activités de la piscine.
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Plus de 5.000 personnes sont attendues la semaine prochaine pour les inscriptions dans les écoles de natation. Attention à ne pas manquer les dates car après il sera trop tard, les différentes activités affichant très rapidement complet.

Les inscriptions dans les écoles de natation des six piscines auront lieu les 8 et 9 septembre au complexe René-Tys de 7 à 19 heures.

Pour les activités adultes (aquagym, aquaforme, aquatonic, aquapalmes, natation, prépa concours et aquaphobie), les inscriptions se feront le mardi 8 septembre.

Pour les activités enfants (baby club, aquakid et activités 4/5 ans natation, water-polo, prépa bac, spécial nageur), rendez-vous le mercredi 9 septembre.

Les inscriptions pour toutes les activités ayant encore des places disponibles se feront aussi le mercredi 9 septembre.

Des nouveautés

L’aquaphobie à la piscine du Château d’eau : des séances dans le calme pour dépasser sa peur de l’eau et petit à petit aller vers l’apprentissage de la natation, après un travail tant psychologique que physique.

Prépa concours au Nautilud : des séances pour préparer des épreuves de natation obligatoires lors d’un passage de concours ou d’examen (IUFM, Gendarmerie, Marine, CREPS…) Un éducateur diplôme d’état prépare les nageurs. L’aquaforme et l’aquatonic au Nautilud : des activités dérivées de l’aquagym mais beaucoup plus spécifiques.

Cette année, plus de 4.500 personnes se sont inscrites dans les écoles de natation des 6 piscines de Reims. Pour la saison 2009-2010, plus de 5.000 places seront proposées.

Un seul formulaire

La procédure mise en place depuis plusieurs années est reconduite pour septembre.

Le jour de l’inscription, il n’y aura qu’un formulaire remis le jour même à remplir sur place, aucune pièce à présenter.

Le début des cours aura lieu le lundi 28 septembre.

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Journal « l’Union » - 090903e

Belles parcelles

La remise des prix du concours 2009 des plus belles parcelles de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud se déroulera samedi 5 septembre à 10 heures, rue Joliot-Curie, sur la rocade des Camélias.

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Journal « l’Union » - 090903d

Pays-de-France à la pêche

L’association de promotion de Pays-de-France propose une journée familiale pêche à la truite le dimanche 6 septembre au Moulin carré à Chatillon-sur-Marne.

Inscriptions au 06.31.61.16.10. ou au 03.26.86.16.87.

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Journal « l’Union » - 090903c

Judo : la reprise

La reprise des cours de l’association sportive Croix-Rouge section judo sera effective Mardi 8 septembre au gymnase François-Legros.

Contact et horaires au 06.21.69.79.70.

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Journal « l’Union » - 090903b

Acrap : la brocante

La 25e brocante d’automne de l’association Croix-Rouge animation et promotion accueillera le public dimanche 20 septembre sur le parking de l’hippodrome de Reims, de 9 à 18 heures.

Comme d’habitude , une exposition d’œuvres d’artistes locaux se tiendra dans la salle polyvalente voisine à partir de 10 heures.

Renseignements à l’Acrap, au 03.26.06.3934.

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Journal « l’Union » - 090903a

Calendrier Ufolep

Le comité départemental Ufolep prépare la nouvelle saison. Aussi, les associations souhaitant pratiquer une ou plusieurs activités sportives sont invitées à participer aux réunions d’information où leur seront communiqués les différents calendriers :

- Football : seniors vendredi 4 septembre à 18 h 30 ; vétérans vendredi 4 septembre à 19 h 30.
- Rugby : lundi 7 septembre à 19 heures.
- Volley-ball : mercredi 9 septembre à 19 heures.
- Basket-ball : lundi 14 septembre à 19 heures.
- Tir à l’arc : mercredi 16 septembre à 19 heures.
- Badminton : lundi 21- septembre à 19 heures.
- Cyclosport : jeudi 24 septembre à 18 h 30.
- Cyclo VTT : mercredi 30 septembre à 19 heures. Ufolep, 23, rue Alphonse-Daudet. Tél. 03.26.8432.26.

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Journal « l’Union » - 090902c

Médiathèque Croix-Rouge : Le programme de septembre

Pas le temps de s’ennuyer à la médiathèque.
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L’HEURE DU CONTE : mercredi 9 septembre à 11 heures, le thème de cette ronde des albums sera « les métiers ». Pour les enfants entre 4 et 6 ans sur réservation.

PASSION AVIATION : avec l’air du conte, partez pour un tour d’horizon en avion, en textes et en images pour fêter le centenaire du premier grand meeting aérien du XXe siècle : lecture de textes sur le thème de l’aviation, et images des pionniers à nos jours. Mercredi 16 septembre à 15 heures.

LES JEUDIS DE L’INFORMATIQUE : « Utilisation d’Internet », jeudi 17 septembre de 14 à 16 heures. Inscription obligatoire au 03.26.35.68.48 ou 03.26.35.68.50.

DÉTECTIVES : avec « Graine de détectives » (diapositives), de Christophe Alves, illustrations de Stéphane Rodophe, les enfants de 4 à 6 ans sont face à un vol mystérieux, un crime ou une disparition et jouent les détectives, mercredi 23 septembre à 16 h 30.

L’HEURE DES BÉBÉS : moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. La séance d’une demi-heure est suivie de « Petits courts pour petits bouts », samedi 26 septembre à 9 h 30.

BD AVIATION : deux auteurs de BD spécialisés dans l’aviation, Régric et Régis Hautière, viendront dédicacer leurs œuvres samedi 26 septembre, de 14 à 17 heures. Les albums seront mis en vente par l’association Bédéscaphe.

Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre sur réservation en secteur jeunesse.

Médiathèque Croix-Rouge : Le programme de septembre

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Journal « l’Union » - 090902b

Jour J pour 10 000 Rémois : C’est la rentrée dans les lycées

Le lycée Clemenceau fait partie des trois plus gros établissements de Reims. Il accueille 1160 élèves pour cette rentrée.
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C’est aujourd’hui la rentrée dans les lycées de Reims. Après le privé la semaine dernière, tour d’horizon des établissements publics où sont accueillis près de 10 000 élèves.

Arago

Proviseur : Elisabeth Becker.
Nombres d’élèves : 600.
Enseignants : 100. Spécificités : lycée polyvalent, des métiers du bâtiment et des travaux publics (développement durable).
Nouveautés : réhabilitation de tous les ateliers.
Objectifs : lutter contre le décrochage des élèves.
Rentrée : hier soir pour les internes et ce mercredi 2, échelonnée par niveau.

Chagall

Proviseur : Marie Bourreau.
Nombre d’élèves : 1.002.
Enseignants : 90.
Spécificités : lycée général, filière arts appliqués de la 2nde au BTS « design d’espace » ; mise à niveau post-bac en art (Mana). Sections européenne et internationale en anglais, et option lourde théâtre.
Nouveautés : restructuration complète du gymnase en octobre. Objectifs : accompagner l’élève au mieux de ses possibilités.
Rentrée : pour les secondes le mercredi 2, et pour les autres classes une rentrée échelonnée le jeudi 3.

Clemenceau

Proviseur : Maurice d’Angelo.
Nombre d’élèves : 1.160.
Enseignants : 130 dont une dizaine de nouveaux.
Spécificités : un gros dispositif d’accueil pour les classes préparatoires scientifique et économique (400 étudiants), et des options artistiques (cinéma, musique, histoire des arts), LV3 japonais.
Nouveautés : un nouveau proviseur adjoint, Firmin Mackpayen, qui remplace Valérie Mauduit. Ouverture d’un réseau wifi pour le secteur des classes prépas.
Objectifs : renforcer l’accueil et le soutien aux secondes et diversifier le recrutement des classes prépas.
Rentrée : le mercredi 2 à 9 heures pour les secondes et à 10 heures pour les 1res et Terminales. Les classes prépas reprendront les cours le mercredi 2 pour les autres le jeudi 3, à 8 heures.

Colbert

Proviseur : Michel Pillet.
Nombre d’élèves : 440 dont 140 étudiants.
Enseignants : 50.
Spécificités : lycée général et technologique, développement de projets artistiques et culturels (partenariat avec le Frac), et projet européen « Comenius » (développement durable et art contemporain).
Nouveautés : restructuration de la cantine depuis juillet jusqu’à Noël. Les élèves mangeront dans la cantine du collège Trois-Fontaines.
Objectifs : développer les filières littéraires et culturelles pour encourager les élèves à la poursuite d’études, suivi de l’élève à tous les niveaux.
Rentrée : à 9 heures pour les secondes, 10 heures pour premières, terminales et 1res années de BTS et 14 heures pour les 2es années de BTS, le mercredi 2.

Europe

Proviseur : Antoine Rivelli.
Nombre d’élèves : 750.
Enseignants : 85 dont 16 nouveaux.
Spécificités : lycée des métiers du soin à la personne, pour l’esthétique et la coiffure. Bacs pros coiffure, esthétique, couture et vêtements. BTS esthétique.
Objectifs : recentrer l’enseignement sur le projet individuel de l’élève.
Rentrée : tous les internes rentrent le mercredi 2, les 1res années de Bac pro et BTS le mercredi 2 et pour le reste le jeudi 3. Les cours reprennent le jeudi 3, à 13 h 30.

Gustave-Eiffel

Proviseur : Dominique Cosson.
Nombre d’élèves : 650.
Enseignants : 87 dont 5 nouveaux.
Spécificités : lycée des métiers de l’hôtellerie- restauration, de l’industrie (automobile, carrosserie) et CAP horticulture.
Nouveautés : unité de formation par apprentissage en chocolaterie.
Nouvelle adjointe : Valérie Regnier-Lelong qui remplace Philippe Cellerosi.
Objectifs : lutter contre l’absentéisme et développer un plan écologie (label éco-lycée).
Rentrée : les 1res années le mercredi 2, et les autres classes le jeudi 3.

Jean-Jaurès

Proviseur : Dominique Montagne.
Nombre d’élèves : 1.030.
Enseignants : 90 dont une dizaine de nouveaux.
Spécificités : lycée général avec des classes préparatoires littéraires. Options langues : russe en LV1, chinois et portugais en LV3. Bac allemand (Abitur).
Objectifs : développer un état d’esprit d’ouverture sur le monde.
Rentrée : les secondes et les prépas le mercredi 2 et les premières et terminales le jeudi 3. Tenue des cours le jeudi 3 à 10 heures.

Joliot-Curie

Proviseur : Gilles Gladieu.

Nombres d’élèves : 700.
Enseignants : 63. Spécificités : filière commerciale du CAP au BTS. Sections tertiaire et administrative. Diplôme service-accueil-conseil dans la vente.
Nouveautés : l’adjointe Elisabeth Teigné-Comiti remplace Michel Charlet. Objectifs : réussir la rénovation des bacs pro et continuer le partenariat avec les pompiers et la police pour le bac pro sécurité-prévention.
Rentrée : le mercredi 2 pour tous, sauf pour les 2es années de CAP et les terminales Bac pro 2 ans qui rentrent le jeudi 3.

Libergier

Proviseur : Liliane Garin.
Nombre d’élèves : 1.500 dont 500 étudiants.
Enseignants : 170.
Spécificités : lycée général et formations en tertiaire, sanitaire et sociale et biotechnologie avec 3 BTS à référentiel européen et BTS du notariat.
Nouveautés : rénovation du gymnase en projet.
Objectifs : rénover le travail d’équipe et la pratique enseignante.
Rentrée : le mardi 1, après-midi, pour les internes, le mercredi 2 au matin pour les secondes, l’après-midi pour les premières et terminales et rentrée échelonnée pour les BTS le même jour.

Roosevelt

Proviseur : Sylve Gautier.
Nombre d’élèves : 1.880 dont 830 étudiants.
Enseignants : 215 dont 20 nouveaux.
Spécificités : lycée général avec une série STG-STI, 12 classes de BTS, 14 classes préparatoires (scientifique, technologique et commerciale).
Nouveautés : ouverture d’une classe prépa aux élèves de STG (section Economie Commerce et Technologie).
Objectifs : permettre à l’élève d’avoir un parcours lisible et l’accompagner dans son travail scolaire.
Rentrée : Hier soir pour les internes, ce mercredi 2 pour les nouveaux de secondes, 1res années de BTS et prépas et le jeudi 3 pour les autres.

Val-de-Murigny

Proviseur : Hervé Martineau.
Nombre d’élèves : 715.
Enseignants : 94 dont 9 nouveaux.
Spécificités : lycée polyvalent de la seconde à la licence pro « sécurité et prévention des risques professionnels », avec 5 pôles (science, électronique, microtechnique, automatisme, industrie graphique).
Nouveautés : Bac pro électronique domestique, automatisme des maisons et bac pro artisanat et métier d’art : communication graphique.
Objectifs : préparer l’élève à une vie sociale, citoyenne et professionnelle ; ouverture sur le monde.
Rentrée : le mercredi 2 pour toutes les secondes, rentrée échelonnée pour les autres le jeudi 3. Echelonnée aussi pour les internes selon les classes, le 2 et le 3. Tenue des cours le jeudi 3, à 14 heures, pour tous.

Yser

Proviseur : Yves Maloigne.
Nombres d’élèves : 580.
Enseignants : 67 dont 9 nouveaux.
Spécificités : lycée professionnel, métiers du bois, de la vente et du commerce, de l’architecture, de la topographie et de la finition.
Nouveautés : Claire Roglet remplace l’adjoint Firmin Mackpayen.
Objectifs : améliorer l’image du lycée avec une démarche de qualité.
Rentrée : le mercredi 2 pour les secondes à 13 h 30, et pour les anciens élèves à 15 h 30. Reprise des cours le jeudi matin.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090902a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7305 du 31 août au 06 septembre 2009.

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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Région Champagne Ardenne.

Correspondant : M. le président du Conseil Régional Champagne Ardenne, 5 rue de Jéricho, 51037 Chalons-en-Champagne Cedex.

Mandataire agissant au nom et pour le compte de la Région : SEM AGENCIA – 95 Bld du Général Leclerc – BP 2740 – 51060 REIMS CEDEX

Objet du marché : mission de coordination sécurité et protection de la santé (SPS) dans le cadre des travaux de restructuration du lycée Arago de Reims.

Caractéristiques principales : Cette consultation ne concerne que la phase réalisation.

Durée des travaux : 40 mois.

Montant estimé des travaux : 9 800 K€HT.

Travaux divisés en 13 lots

Date prévisionnelle de début de la prestation : 21 septembre 2009

Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.

Unité monétaire utilisée, l’euro.

Critères d’attribution :

Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.

- temps prévisionnel d’intervention : 60 % ;
- prix des prestations : 40 %.

Type de procédure : procédure adaptée.

Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.

Adresse auprès de laquelle des renseignements complémentaires peuvent être obtenus : SEM AGENCIA.

Correspondant : amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95 Bld du Général Leclerc - B.P. 2740, 51060 Reims Cedex, tél. : 03-26-97-85-85, télécopieur : 03-26-97-72-32.

Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : SEM AGENCIA.

Correspondant : amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95 Bld du Général Leclerc - B.P. 2740, 51060 Reims Cedex, tél. : 03-26-97-85-85, télécopieur : 03-26-97-72-32.

Date limite de réception des offres : 14 septembre 2009, à 12 heures.

DATE D’ENVOI DU PRÉSENT AVIS : 27 AOUT 2009

78052

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Journal « l’Union » - 090901c

Franchet d’Esperey : La nouvelle gare est ouverte

Des hôtesses sont sur place pour orienter les voyageurs.
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C’est hier que la gare TER Franchet d’Esperey a ouvert ses portes au public. Tous les matins et après-midi de la semaine, des hôtesses SNCF seront sur place pour familiariser les voyageurs à leur nouvelle gare, elles orienteront les passagers et distribueront les plaquettes d’horaires.

« Petit à petit »

« Nous avons ouvert ce matin mais il n’y a pas eu énormément de monde, nous n’avons accueilli que trois jeunes filles aujourd’hui. Il faut dire que la rentrée des étudiants n’est qu’au mois d’octobre. Ça va venir petit à petit », explique Marine, l’une des hôtesses SNCF.

Treize arrêts seront effectués par jour entre 7 heures et 19 h 30 dans les sens de circulation : Epernay - gare de Bezannes - gare de Reims - Sedan et dans le sens : Sedan - gare de Reims - gare de Bezannes - Epernay.

A proximité des quartiers de Courlancy, Croix-Rouge et Wilson, cette gare facilitera l’arrivée des étudiants dans les différentes facultés ainsi que jusqu’à la Reims management school.

Elle sera aussi utile pour les locataires de la résidence du Crous située à quelques mètres. Elle permettra également de relier directement, avec ou sans correspondance, les principales agglomérations champardennaises et sera une offre complémentaire à celle du TGV.

Hier, des ouvriers étaient encore sur place pour les derniers petits réglages des ascenseurs mais ils confirment que cette nouvelle gare rémoise est bel et bien ouverte aux usagers.

Le coût de la gare Franchet d’Esperey est estimé à 3 millions d’euros.

T.A.F.

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090901b - VRI septembre 2009

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 259 de septembre 2009

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D’une passerelle démolie au nouveau centre commercial, Pays de France revit


Le 3 août dernier démarrait l’opération d’abattage de la passerelle Pays de France.

Une étape majeure dans le renouvellement urbain du quartier puisque cette démolition fait écho à l’ouverture du nouveau centre commercial Arago dès cette rentrée.

Cinq commerces sont concernés par le transfert depuis la passerelle (boucherie, boulangerie, tabac/presse, bazar, épicerie).

Le nouveau visage du quartier Croix- Rouge Pays de France se dessine peu à peu : un futur espace public central sera aménagé autour du nouveau centre commercial et de la future station tramway.


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Premier atelier urbain de proximité quartier Croix-Rouge


Le 2 juillet à 18 h, salle Mauriac, s’est tenu le 1er atelier urbain de proximité du quartier Croix-Rouge concernant le futur équipement public "Maison de quartier Pays-de-France".

Une quarantaine de personnes représentaient les forces vives du quartier autour d’Eric Quénard, 1er Adjoint à la Maire et Pascale Martin, Adjointe à la Maire en charge des Maisons de quartier.

Il s’agissait de présenter la localisation du futur équipement, d’annoncer le calendrier des travaux et naturellement, d’engager le débat avec les acteurs locaux sur la façon dont ils souhaitent investir ce lieu.

Les fiches “expression des besoins” remises aux participants vont permettre de recenser les attentes, compilation qui va faire l’objet d’un second atelier.


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CHARGES LOCATIVES : La baisse est en marche


Depuis cet été, la Ville de Reims met en place des mesures concrètes qui vont bénéficier au pouvoir d’achat des ménages rémois.

Reims Métropole et Plurihabitat testent sur de l’habitat collectif (93 foyers) des conteneurs enterrés au 9, 10 et 11 allée Edgar Degas.

L’impact de cette mesure pour l’habitant consiste en une réduction de ses charges locatives estimée à 50 euros/logement/an.

« Pour être efficaces, nous avons choisi d’agir sur les trois principales composantes des charges locatives : le chauffage, les espaces extérieurs et les déchets ménagers », déclare Eric Quénard, premier adjoint à la Maire en charge de la politique de la ville et du logement.

Depuis le 1er juillet dernier, les locataires des quartiers Laon-Neufchâtel-Orgeval bénéficient d’une diminution de l’ordre de 10 % des charges locatives liées au chauffage urbain. « Nous avons en effet réussi à travers l’association syndicale de la ZUPLaon- Neufchâtel-Orgeval à renégocier le contrat de fourniture de chauffage qui concerne ce secteur ».

En outre, la Ville de Reims réfléchit à la baisse des charges sur le quartier Croix- Rouge grâce à l’optimisation du réseau de chauffage urbain sur le quartier. « Pour gagner ce pari, il convient de penser à l’amélioration de la valorisation énergétique de l’incinération des ordures ménagères mais aussi à la substitution partielle du charbon et du fioul lourd par le bois énergie. A cet effet, la Ville de Reims projette d’installer, dans les trois ans à venir, deux chaudières à bois », informe l’élu. Cette opération se solderait par l’application, sur la fourniture de chaleur, d’un taux de TVA à 5,5 % au lieu de 19,6 %, ce qui se traduirait par une baisse de la facture de chauffage des usagers de l’ordre de 10 %.

Autre axe majeur d’intervention : la reprise en charge des espaces extérieurs de certains quartiers par la Ville. Grâce à une convention signée avec les organismes logeurs, la Ville de Reims reprend à son compte l’entretien des espaces extérieurs des quartiers Verrerie, Europe et Pommery. En contrepartie, les bailleurs s’engagent à répercuter sur leurs locataires les sommes ainsi dégagées.

L’initiative, expérimentée pendant 18 mois dès le 1er septembre 2009 représente une économie comprise entre 55 € et 200 € par an en fonction du type de logement et du quartier concerné. « Ce dispositif concerne 2500 logements. Nous évaluerons dans un an cette expérimentation, puis nous envisagerons ou non une généralisation à l’ensemble de la ville », insiste Eric Quénard.

Expérimentation de collecte des ordures ménagères en conteneurs enterrés

Dans le cadre du renouvellement urbain, l’amélioration de l’habitat et de la qualité de vie dans les quartiers constitue une priorité pour la municipalité. Dans cette optique, Reims Métropole a choisi de tester sur 93 foyers de l’allée Edgar Degas (quartier Croix-du-Sud) un nouveau dispositif de conteneurs d’ordures ménagères et de tri sélectif enterrés, opérationnel depuis juillet dernier. Ce secteur a été choisi car il enregistre des résultats qualitatifs et quantitatifs du tri inférieurs à la moyenne de l’agglomération. Une évaluation de cette mesure sera faite au bout de 6 mois et étendue si les résultats apparaissent positifs.

Le bailleur social Plurihabitat pourra retirer de cette initiative plusieurs bénéfices : amélioration de la sécurité dans les immeubles, réduction des coûts liés à la gestion des déchets (sortie des bacs, entretien des locaux…). Cette action concrète entraînera pour l’habitant une réduction substantielle de ses charges locatives estimée à 50 euros/logement/an.

S. C.


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Pour le plus grand bonheur des Rémois


Pour le mois de juillet dernier, les 6 six piscines municipales rémoises enregistrent 46 770 entrées contre 34 000 en 2007.
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Durant le mois de juillet, à la piscine Louvois, 36 enfants âgés de 6 à 12 ans ont bénéficié de l’opération “Savoir nager” pilotée par le Reims Natation 89. Au terme de ce stage intensif de 19 leçons, les enfants ont acquis leur attestation de nageur émérite.
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« Depuis 2008, la municipalité a tenu à ce que les six piscines municipales soient ouvertes au public durant l’été. C’est nécessaire étant donné que beaucoup de Rémois, notamment d’enfants, n’ont pas la possibilité de partir en vacances », insiste Christine Michel, adjointe à la maire en charge du Sport.

Une mesure qui s’est traduite par une hausse très nette de la fréquentation des piscines durant les deux derniers étés. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Pour le mois de juillet dernier, les 6 piscines municipales rémoises enregistrent 46 770 entrées contre 34000 en 2007.

L’ouverture systématique des piscines n’explique pas tout. La Ville de Reims a pratiqué des tarifs très attractifs (1,60 euro l’entrée) pour faciliter l’accès aux piscines Croix-Rouge et Orgeval.

Les organismes logeurs, de leur côté, ont largement contribué à diffuser l’information auprès de leurs locataires. L’Effort rémois a offert 2 500 tickets à ses locataires de Croix-Rouge et Orgeval.

Les piscines sont devenues de véritables lieux de vie où les associations et les maisons de quartier ont organisé des activités de plein air et des animations sportives.

L’opération nationale de la Fédération française de natation “Savoir Nager”, pilotée localement par le club Reims Natation 89, a permis à 36 enfants de bénéficier de 19 leçons de natation pour un forfait de 15 euros. « Cette opération dans les piscines a été l’objet d’une véritable mobilisation de tous les acteurs des quartiers, c’est donc une réussite à plus d’un titre », se félicite Christine Michel.


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AVIATION : Les bibliothèques de Reims prennent leur envol


Médiathèque Croix-Rouge :

• 16 septembre de 10 h à 18 h et 17 octobre de 10 h à 17 h, accueil du Centre d’Information et de Recrutement des Forces armées pour découvrir les métiers de l’aviation militaire.

• 23 septembre de 10 h à 18 h, accueil du Centre Régional de Navigation Aérienne pour découvrir les métiers et les concours de l’aviation civile.

• 1er septembre au 31 octobre, exposition de planches de la série de bandes dessinées intitulée Les voyages de Lefranc, l’aviation (Ed. Casterman).

• 26 septembre, rencontre suivie d’une séance de dédicaces avec des auteurs de bandes dessinées parmi lesquels Regric, dont les planches seront exposées, et Régis Hautière, scénariste de plusieurs séries en rapport avec l’aviation parues aux éditions Paquet.


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31 nouveaux jardins familiaux ZAC de Bezannes


Le passage de la ligne de tramway a nécessité la suppression de 10 parcelles gérées par l’association des Jardins Familiaux Croix du Sud.

Pour répondre à une demande forte sur ce secteur, Reims Métropole a plus que compensé cette contrainte en aménageant 31 parcelles nouvelles*, implantées à proximité d’autres parcelles des Jardins Familiaux Croix du Sud et rejoignant celles de l’association Pays-de-France.

Une étude de faisabilité est menée en vue de créer des parcelles supplémentaires dans la continuité de ce secteur de la ZAC Bezannes.

* Les travaux d’aménagement de ces nouvelles parcelles d’un coût total de 209000 € ont été intégralement financés par Reims Métropole. La conception d’ensemble revient au Service Aménagement de la Direction des Espaces Verts de la Ville de Reims. D’autres directions ont également été associées sous le pilotage de la Direction Déplacements et Etudes des Espaces Publics.


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Prochaine séance de votre Conseil de quartier


Votre Conseil de quartier Croix-Rouge- Hauts de Murigny se tiendra mardi 27 octobre à 19h, Salle François Mauriac.


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Permanences de l’antenne mobile


L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.


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“Vos héros pour un euro” : bravo !


L’idée était belle et le temps magnifique !

Le public était au rendez-vous. Il faut dire que l’opération “Vos héros pour un euro” constituait une formidable incitation à la lecture : romans, documentaires, magazines, bandes dessinées, livres pour enfants… Le tout récent et en bon état, et, n’ayant pas vocation à rejoindre les fonds de conservation de la bibliothèque Carnégie, sauvé in extremis de la destruction !

Du coup, le succès était visible dimanche 28 juin et la bibliothèque municipale enregistrait 1500 visiteurs, quelques 7000 documents vendus, le solde revenant aux associations qui avaient déjà pris un millier de livres chacune en amont de cette vente, pour répondre au souhait de Madame la Maire.

La journée a aussi permis au public d’échanger avec le personnel présent et ainsi, de mieux connaître le circuit documentaire, de redécouvrir la Médiathèque Croix-Rouge exceptionnellement ouverte, où 13 nouvelles inscriptions et 731 prêts ont pu être effectués.


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Votre marché


Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 5h à 13h.


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Nicolas Marceau : éducateur sportif et militant associatif


En inaugurant le terrain de foot stabilisé en synthétique au sein du stade Géo André, la municipalité a souhaité rendre hommage à une personnalité rémoise particulièrement active au sein du milieu associatif : Monsieur Nicolas Marceau.

Né en juin 1944 et décédé en août 2008, Nicolas Marceau a oeuvré toute sa vie en faveur de diverses associations, sportives en relation avec le football et sociales pour la défense des locataires.


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Deux coussins berlinois : davantage de sécurité


Avant cette rentrée scolaire, rue de Rilly la Montagne, deux coussins berlinois seront installés par la Direction de la Voirie aux abords de l’école, un dans chaque sens de circulation.

Expérimenté à Berlin -d’où son nom-, ce procédé permet de ralentir la vitesse des automobilistes sans gêner les autres usagers à la différence des ralentisseurs classiques. Cyclistes et bus ainsi ne sont pas incommodés par l’obstacle.


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Votre antenne municipale


C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020. Jours et heures d’ouverture :

• le lundi de 14h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12h et de 14h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12h.


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Des gestes pour se comprendre


L’Association Des Gestes Pour se Comprendre (DGPC), située au 57, esplanade Eisenhower à Reims, (tél. : 0326089648 direction@dgpc.fr), dispense des cours de Langue des Signes Française (LSF) pour tous les publics entendants, sourds et malentendants. Elle a créé un service d’accueil et d’accompagnement des personnes sourdes et malentendantes, oralistes et s’exprimant en LSF : deux coordinatrices sociales les aident dans leurs démarches téléphoniques, à l’établissement des dossiers auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées et assure, sur rendez-vous, une aide à la communication auprès des administrations, médecins, avocats, etc.

Ce bureau se situe à la Maison de la Vie Associative (MVA), 122 bis, rue du Barbâtre à Reims, bureau 203 (tél. : 0326089648 et mail : infos.social@dgpc.fr).

Ces Coordinatrices assurent des permanences dont celle de Reims, le vendredi aprèsmidi à cette même adresse.


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POUR SE RENCONTRER ET DÉBATTRE DE L’AVENIR DE NOTRE TERRITOIRE : Le grand projet urbain REIMS 2020 : LES JARDINS COLLECTIFS DANS LA VILLE


18h 3o : Salle des fêtes de l’Hôtel de Ville : Jardins familiaux, jardins d’insertion, jardins partagés…

Les jardins collectifs connaissent aujourd’hui un regain de popularité.

Dans l’agglomération rémoise, ils sont issus d’une longue tradition.

Quels rôles ces espaces assurent-ils dans la ville, notamment sur le plan social ?

Comment structurent-ils l’espace urbain et son paysage ?

Comment intégrer de nouveaux espaces dans la métropole de demain ?

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090901a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7304 du 24 au 30 août 2009.

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Reims réduit les charges pour soutenir le pouvoir d’achat

La Ville a joué sur la reprise de la gestion d’espaces verts, les déchets et le chauffage pour réduire les charges en HLM.

Logement. A compter de septembre, les habitants de plusieurs quartiers HLM de Reims verront leurs charges locatives baisser. La mairie joue sur trois leviers pour y parvenir : reprise de la gestion d’espaces verts, déchets et chauffage. Une première.

« Exemple unique en France ! »

C’est en ces termes que, juste avant les vacances, Adeline Hazan a présenté avec Éric Quénard, son premier adjoint, le dispositif global mis en place par la Ville de Reims pour diminuer le montant des charges locatives des résidents dans plusieurs quartiers tests rémois, en lien avec les bailleurs sociaux. Plusieurs milliers de foyers vont bénéficier de cette mesure qui fait suite à un engagement électoral de la liste conduite par Adeline Hazan lors des dernières municipales, qui répond aux attentes de la population dans un contexte de crise économique, et qui vient compléter les efforts réalisés sur la métropole rémoise dans le cadre de la rénovation urbaine.

« Effectivement, nous avons privilégié des quartiers comme Pommery (Reims-Habitat, 790 logements concernés), Europe (Foyer Rémois, 1 470 logements) et Verrerie (Effort Rémois — Plurihabitat, 245 logements) qui ne sont pas concernés par ce programme de rénovation urbaine. Après un an de travail sur ce dossier, notre plan répond à un objectif : la baisse des charges locatives, et donc l’augmentation du pouvoir d’achat pour les ménages », a indiqué la première magistrate rémoise.

Adeline Hazan a ensuite détaillé ce plan et signé avec les représentants des trois organismes HLM une convention qui comporte des mesures très concrètes. Le coût de cette expérimentation (évaluée au bout de douze mois et susceptible d’être étendue ensuite à d’autres quartiers) sera assumé par la collectivité. Il doit avoisiner les 240 000 €/an. « Sans augmentation des impôts locaux », comme l’a rappelé Adeline Hazan devant des responsables d’association de locataires pour qui « ce n’est pas un cadeau. Cela va dans le sens de la justice sociale ». On estime il est vrai que les ménages à faible revenu consacrent 25 % à 30 % de leur budget au loyer et aux charges locatives.

TROIS MESURES CONCRÈTES

Première mesure, donc : la reprise en charge des espaces extérieurs par la Ville. Elle porte sur plusieurs hectares, précisément 5 520 m’ sur Verrerie, 65 000 m2 sur Europe et 37 850 m’ sur Pommery. « Les trois organismes logeurs mettent ces espaces extérieurs à notre disposition pour une durée de 18 mois et à titre gracieux. Nous en assurons l’entretien, en continuité avec celui des espaces publics contigus. Selon les simulations réalisées, cette mesure permettra de réduire le montant des charges de façon significative », affirme Éric Quénard. Cela doit représenter 9 € en moyenne par logement pour Reims-Habitat, de 2 à 7 € selon les logements pour le Foyer Rémois et 10 € en moyenne par logement pour l’Effort Rémois. On notera qu’en accord avec les prestataires chargés de réaliser ces entretiens d’espaces verts, un dispositif d’insertion professionnelle sera mis en place afin « que les habitants en attente d’emploi puissent saisir cette chance supplémentaire dans leur quartier », a insisté Adeline Hazan.

La deuxième mesure porte sur une baisse des charges de chauffage et les habitants de Neufchâtel/ Orgeval ont été les premiers à en bénéficier (depuis le 1" juillet). On est parvenu à diminuer le coût de la chaleur distribuée (chauffage et eau chaude sanitaire) de l’ordre de « 20 % grâce à la renégociation du contrat d’exploitation de la chaufferie centrale par l’association syndicale en charge du réseau de chauffage urbain. Cette chaufferie fonctionne sur le principe de la cogénération, produisant simultanément à la chaleur, de l’électricité revendue à EDF ». Sur Croix-Rouge, il a été décidé de tout mettre en œuvre pour dépasser le seuil de 50 % d’énergie renouvelable pour que la TVA passe à 5,5 % contre 19, 6 % pour l’ensemble des factures émises, « ce qui équivaudrait à une baisse d’environ 10 % des charges locatives ». Parallèlement, on vise une réduction de la consommation d’énergie par l’amélioration de l’isolation des immeubles et l’on envisage en outre l’installation d’une chaufferie complémentaire, à bois. Ainsi, à horizon 2011-2012, de 30 000 à 40 000 personnes, y compris les établissements publics du quartier, bénéficieraient d’une baisse conséquente de la facture de chauffage. Enfin, la mise en place de conteneurs enterrés pour la collecte sélective des ordures ménagères, expérimentation initiée sur Croix-du-¬Sud en partenariat avec l’Effort Rémois, vise une économie de 50 € par an et par logement tout en améliorant l’esthétique dans le quartier et les conditions de sécurité. Au bout de six mois, le dispositif sera évalué et pourrait être étendu.

TITOUAN PENNEC

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Journal « l’Union » - 090830a

Les guêpes et les frelons débarquent ! : Piqûres de rappel

Dès qu’il fait beau, les reines ne font plus que pondre.
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Depuis le 1 er janvier, les pompiers n’interviennent plus chez les particuliers (sauf en cas d’extrême urgence dans les lieux publics). « Faut contacter une entreprise que l’on trouve dans l’annuaire ».
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Jean-Pierre Ottavy est exterminateur de guêpes. En ce moment, il effectue une bonne dizaine d’interventions par jour.
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Frelons et guêpes sévissent. Dans la Marne, il faut contacter une entreprise privée. Les coûts s’échelonnent de 90 à 500 €.

GUÊPES, frelons, fourmis ailées, puces et autres insectes non-identifiés profitent de la canicule pour proliférer ! Depuis le 1er juin, les guêpes empoisonnent les Rémois dans leur vie quotidienne.

Il faudra attendre l’hiver pour les voir partir.

Selon Lise Husson, responsable de la société ADN 51, « les conditions climatiques sont favorables, les chaleurs ont été progressives cette année. Les guêpes sont apparues plus tôt. Elles apparaissent volumineuses et très agressives ». Les frelons ne sont pas en reste, leur vol a débuté le 15 juillet avec un mois d’avance. C’est la pleine période d’activité !

Ne plus faire le 18

Pour Pascal Parent, responsable de champagne Hygiène 5D, une entreprise de désinsectisation de la région, l’année 2009 est particulière : « Pour une fois, les saisons ont été respectées avec un vrai climat. L’hiver a été rigoureux, nous avons eu beaucoup de pluies et maintenant la canicule ! Ce qui provoque un envahissement d’insectes car dès qu’il fait beau les reines ne font plus que pondre ! »

Que faire en cas d’une invasion de bêtes dans son jardin, dans son plafond, ou dans un mur ? Depuis la loi du 1er janvier 2009 ; les pompiers n’interviennent plus chez les particuliers (sauf en cas d’extrême urgence sur les lieux publics).

Il faut contacter une entreprise que l’on trouve dans l’annuaire.

Les spécialistes s’accordent à dire qu’il vaut mieux ne pas toucher le nid. Si l’essaim fait beaucoup de bruit et qu’il a une forme de « grappe », il y a de fortes chances pour qu’il s’agisse d’abeilles.

Les apiculteurs se déplacent habituellement à titre gracieux.

Mais uniquement si les insectes se trouvent dans un endroit accessible par exemple dans un arbre ou sur un poteau (la période de vol des abeilles est terminée). Il est possible de le faire soi-même !

240 à 500 euros

On trouve le matériel nécessaire dans les grandes enseignes de bricolage : combinaisons, gants et insecticides !

Mais attention, les produits dans le commerce sont moins puissants que ceux utilisés par les entreprises spécialisées.

Il y a danger : les professionnels eux-mêmes se font piquer à travers leur combinaison intégrale !

Il arrive souvent que des particuliers malchanceux doivent s’acquitter d’une double facture en faisant appel ensuite à un spécialiste.

Les tarifs sont variables.

Si l’essaim ou le nid se trouve en hauteur à plus de 3 mètres, la législation du travail en hauteur s’applique et l’utilisation d’une nacelle est obligatoire. Ce qui augmente le prix de l’intervention : entre 240 et 500 €.

Le volume d’insecticide utilisé gonfle la facture selon M. Parent : « Il faut enfumer les guêpes et pulvériser 5 à 7 litres d’insecticide pour détruire un nid moyen (NDLR : les entreprises n’utilisent pas les mêmes produits et les mêmes doses). Dès qu’elles sentent le danger, elles prennent la fuite et il faut en tuer un maximum ! » selon Pascal Parent.

Il vaut mieux être réactif et ne pas laisser les insectes proliférer !

Jean-Christophe LE BLÉVEC


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Guêpes et locataires ne font pas bon ménage !

En matière de petites bêtes, être locataire rime bien souvent avec galère ! En théorie, le propriétaire doit régler l’intervention pour enlever un essaim de guêpes !

Mais attention, la note risque d’être salée car de nombreux critères entrent en jeu : si les insectes ont élu domicile sur une façade d’immeuble ou dans les parties communes, la copropriété doit payer. Il existe des cas où la négligence du locataire peut être prouvée : il devra participer aux frais. En effet, les insectes aiment fabriquer leur nid dans des endroits sombres et poussiéreux. Le nettoyage est recommandé ! Ensuite, tout dépend de l’emplacement où les insectes ont élu domicile : les choses se compliquent pour les parties privatives. C’est au locataire de se renseigner auprès des agences qui n’ont pas toujours un avis précis et pertinent sur la question ! « Tout se négocie » déclarent les agences… Dans ces situations, il vaut mieux se concerter entre voisins : le problème de l’un est souvent celui de l’autre !

J.-C.L.B


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Une intervention en direct !

Exterminator ! Jean-Pierre Ottavy est exterminateur de guêpes depuis un an pour l’entreprise ADN 51.

En ce moment, il effectue une bonne dizaine d’interventions par jour.

Il est 15 heures, depuis une petite semaine, des guêpes ont élu domicile allée Gandon à Reims, deux appartements sont concernés : « Elles ont creusé un couloir entre les deux fenêtres. Elles mangent du placo, du plâtre et le polystyrène pour agrandir leur logis. »

Jean-Paul amorce son pulvérisateur et asperge d’insecticide depuis une fenêtre puis du balcon à l’étage du dessus.

L’entrée du nid ne fait que quelques centimètres : « Mon pulvérisateur a quatre bars de pression. J’utilise un demi-verre d’insecticide et j’ajoute du talc qui se colle aux guêpes. Ainsi, elles se contaminent entre elles. » Les bêtes qui n’étaient pas dans le nid au moment de l’intervention seront intoxiquées à leur retour.

« Par sécurité, les deux familles de l’allée Gandon devront rester avec les fenêtres fermées tout le reste de la journée. »

Les guêpes sont énervées et tournent rageusement autour de l’habitation dont elles viennent d’être chassées !


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Conseils pratiques : Que faire en cas de piqûre ?

« Si c’est une abeille, il faut retirer le dard au plus vite avec un objet qui ne coupe pas, avec les doigts de préférence. Il vaut mieux nettoyer la plaie avec un antiseptique. Il existe de nombreuses crèmes pour les démangeaisons », selon Caroline de la pharmacie Talleyrand.

En cas d’allergie, de rougeur et de gonflement, il faut s’adresser aux urgences médicales.

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Journal « l’Union » - 090829a

La rentrée d’Adeline Hazan, maire et présidente de Reims Métropole : Opération ville propre dès 2010

« Nous allons établir un plan propreté financé qui sera mis en œuvre en 2010 avec l’expérimentation de plus de bacs enterrés et une optimisation des moyens. »
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Plus enthousiaste comme maire de Reims et présidente d’agglo que comme militante socialiste, Adeline Hazan fait sa rentrée. Rencontre.

Comment s’est passé l’été ?

Adeline Hazan : Après une année à poser des fondations, je remarque que contrairement à ce qu’en pensent les grincheux, les Rémois acceptent bien les changements quand ils respectent l’identité et l’histoire de la ville. Je pense aux Fêtes johanniques dissociées des Sacres du folklore, du concert du 13 juillet qui était risqué. Il n’y a pas eu non plus de front de défense des RITV. Les animations, place du Forum, font l’unanimité. Les travaux du tram avancent bien et depuis que les gens voient les rails posés, ils supportent mieux les inconvénients, même si certains commerçants estiment qu’ils ne sont pas assez indemnisés. C’est la dernière ligne droite et en octobre 2010 débutera la période d’essai du tram. Nous avons fini de réorganiser les services pour qu’ils puissent travailler dans de meilleures conditions.

Oui, mais vous avez dû céder sur leurs revendications en doublant l’enveloppe qui est passée de 500.000 € à 1M€ ?

On a récupéré le mécontentement de plusieurs années et le personnel attendait beaucoup d’une équipe de gauche. On a finalement anticipé sur ce qui était prévu.

Désendettement

La dette par Rémois ne cesse d’augmenter. Rien ne change ?

La précédente municipalité a augmenté de 25 % les impôts en 7 ans. La situation financière était inquiétante. Notre objectif est que la capacité de désendettement de la Ville reste à neuf années jusqu’à la fin du mandat. Cela me fait inévitablement penser à la réforme des collectivités locales qui annonce la suppression de la TVA, la principale recette des communes et pas grand-chose pour compenser. L’État veut nuire à l’autonomie financière des communes, c’est inacceptable.

Pas de symptôme grippal à l’horizon ?

Je me suis reposé durant mes vacances et pris plaisir à lire : « L’ombre du vent » de Carlos Ruiz Zafon et « Ce que le jour doit à la nuit » de Yasmina Kahdra en plus des journaux nationaux et de la revue de presse locale que j’avais tous les matins. Pour la grippe H1-N1 nous avons un plan de continuité de l’activité des services et commandé 100.000 masques. Je ferai une conférence de presse lundi sur la question.

440 emplois menacés au CHU, 146 à Owens-Illinois (ex VMC). Que comptez-vous faire ? J’ai rendez-vous le 8 septembre avec la ministre Roselyne Bachelot pour qu’elle débloque de l’argent pour l’hôpital qui est dans une situation financière problématique. C’est impensable de sacrifier cet établissement de santé régional. Pour les VMC, nous travaillons toujours pour trouver un repreneur.

Information puis sanction

Les nouveaux barèmes des tarifs de cantine font tousser la classe moyenne qui paie déjà beaucoup d’impôts ?

C’est un choix politique que nous assumons. Il faut noter que, par ailleurs, nous faisons beaucoup d’effort en accueillant les enfants dès 7 h 30, en étalant mieux les horaires de sorties le soir, en musclant le service municipal d’accueil et en offrant un kit de rentrée.

L’enquête de VRI montre le ras-le-bol des Rémois qui trouvent leur ville sale ?

C’est vrai, ça suffit. J’ai demandé une étude au service compétent pour septembre-octobre. Nous allons établir un plan propreté financé qui sera mis en œuvre en 2010 avec l’expérimentation de plus de bacs enterrés et une optimisation des moyens. Nous informerons et ensuite, comme pour les terrasses, nous sanctionnerons si les usagers ne respectent pas les consignes. Je n’ai pas d’état d’âme sur cela.

Votre équipe a toujours le mot concertation à la bouche et vous sortez d’un chapeau un projet tout ficelé sur le site Renault avec galerie commerciale et cinémas ?

C’est vrai, mais sur un tel projet qui dépend d’investisseurs privés, en parler, c’est la meilleure façon de faire capoter sa réalisation. Je peux vous dire que sur les projets Anru (NDLR : reconstruction dans les quartiers) on consulte énormément les habitants. Sur le projet Reims 2020, septembre sera le mois des propositions et le début de la phase de concertation avec des week-ends balades dans les quartiers et un colloque en novembre.

Tournée des quartiers

On ne voit finalement pas grand-chose sortir des conseils de quartiers ?

C’est vrai, l’installation et l’adoption d’un règlement intérieur ont pris du temps. Ils ont déjà permis aux gens de se connaître et de travailler ensemble même en dehors des réunions. Porte de Paris et à la Croix Rouge, certains ont déjà fait des balades de quartier.

Du 2 octobre au 12 décembre, je ferai une tournée de ces quartiers pour dialoguer avec les habitants. On réfléchit aussi à un conseil municipal jeunes pour 2010.

Où sera finalement le parking du Boulingrin ?

Il y a eu une incompréhension avec les membres de l’Amic’halles. Il sera à quelques mètres près sur le site de l’actuel marché du Boulingrin.

Alain MOYAT