par Administrateur
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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- 091202
Nous avons suivi la tournée d’un chauffeur de la ligne H, sans cesse sur le qui-vive pour la sécurité de ses passagers.
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L’identité nationale fait parler dans le quartier.
Pour preuve, les propos d’un jeune à ce sujet « OK, je veux bien apprendre la Marseillaise ou encore avoir un drapeau bleu blanc rouge chez moi mais d’un autre côté, que ceux qui veulent mettre en place cela viennent habiter ne serait-ce qu’une semaine dans notre quartier. Ils comprendront peut-être que la première chose qui fait que l’on ne se sente pas totalement Français vient avant tout des agissements du gouvernement. Quand ils nous considéreront comme des Français, peut-être que nous nous sentirons comme tel. »
Bonjour, je suis une lectrice de l’union et depuis quelques semaines de l’HEBDO CROIX-ROUGE. Je vous adresse ce petit courrier car j’ai assisté au dernier conseil de quartier que l’on pourrait renommer sans problème « cirque de quartier ». Chacun y va de son petit problème personnel comme cette dame demeurant dans un petit pavillon qui se plaignait de ses petits soucis. J’invite cette dame à venir habiter dans les immeubles de Bonaparte, là où je vis, et je pense qu’elle verra la chance qu’elle a d’habiter là où elle habite. De plus, celle-ci pleurnichait parce que des gamins jouent au foot dans la cour de l’école en face de sa maisonnette. Au lieu d’incriminer des gamins qui jouent au ballon, ce qui est nettement mieux que de faire du vandalisme, elle devrait plutôt se plaindre du fait que ces gamins n’ont pas de réelles activités dans le quartier.
Autre sujet m’ayant interpellée : la façon de se moquer de l’équipe municipale d’Adeline Hazan lorsqu’un habitant, ancien de la municipalité Schneiter, a pris la parole. Ils ont été honteux, notamment monsieur Joly que tout le monde a remarqué en train de rire bêtement. Je ne suis ni de droite ni de gauche, je revendique uniquement le fait d’habiter Croix-Rouge. Pour finir, cette municipalité qui a réponse à tout sans réellement le faire est venue dans le quartier pour vendre son Reims 2020, mais cela, nous nous en fichons, ce qui nous intéresse nous, c’est simplement Croix-Rouge 2010. Merci pour ce petit journal, qui chaque mercredi nous apporte une information très précise sur notre cité.
Christine, une simple habitante.
N’hésitez pas à nous faire parvenir vos textes.
Courrier électronique : croixrouge@journal-lunion.fr
Courrier postal : « Hebdo Croix-Rouge » l’union, 5 rue de Talleyrand 51100 Reims
Forum du site de journal l’union :http://www.lunion.presse.fr.
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Élus locaux, habitants, commerçants et partenaire, tous étaient présents pour, fêter l’Hebdo Croix-Rouge. A droite, l’un des gagnants des gros lots du jeu organisé par l’Hebdo Croix-Rouge et EDF.
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« Femmes d’Ici et d’Ailleurs » a préparé des gâteaux orientaux et assuré le service des invites.
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Ci-dessous, Jacques Tillier, Pdg de l’union, Philippe Germain d’EDF et Robert Ménard.
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Robert Ménard, le fondateur de Reporter sans frontières, a loué la création de ce journal unique en France.
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Il y avait foule mardi dernier à l’hippodrome pour fêter le lancement de L’HEBDO CROIX-ROUGE, un phénomène unique en France.
« Une belle leçon de presse. »
C’est ainsi que Jacques Tillier, PDG du journal l’union, a terminé son intervention mardi dernier, lors du lancement officiel de L’HEBDO CROIX-ROUGE, que les habitants du quartier peuvent trouver depuis dix semaines chez les diffuseurs de presse.
Philippe Germain, directeur d’EDF Reims, partenaire principal du projet, après avoir essayé à Lille, Grenoble et Lyon, a convaincu Jacques Tillier.
« Je loue son audace, voire son inconscience. C’est une expérience unique en France, et je suis fier d’avoir aidé à la réaliser, car c’est un projet qui me tient à cœur. »
L’HEBDO CROIX-ROUGE, (vendu 10 centimes), c’est tous les mercredis la vie d’un quartier, le plus important de Reims (plus de 20.000 habitants), écrit par un journaliste, issu de Croix-Rouge, « qui a été à l’école de la vraie vie », a souligné le PDG de l’union. « C’est l’exemple type d’une réussite. »
Devant les élus, des chefs d’entreprises et des responsables d’associations du quartier, Philippe Germain a insisté sur la « finalité éducative et citoyenne de ce projet ». Le mot de la fin pour l’invité vedette, Robert Ménard, fondateur de Reporter sans frontières : « Enfin des gens qui ne parlent pas, mais qui font ».
G.F. (Photos : Gérard Peron)
Robert Ménard venait pour la première fois à Reims, mais a grandi dans un quartier semblable à Croix-Rouge. Il parle de la presse avec passion. « Il ya un vrai problème. On est en train de mourir, je sens une résignation, une absence d’audace. » Un tel hebdo de quartier, pour lui, « c’est du lien à l’état pur, une façon de ne pas laisser un quartier à l’abandon. Les élus devraient s’y intéresser, comme le reste de la presse régionale ». Tout cela est bien loin de l’Afghanistan, mais tout ce qui touche à la presse l’interpelle. « Après le Qatar, sur lequel j’écris un livre, je vais me consacrer à l’Afrique et à ses déchets. Ce continent est une poubelle à ciel ouvert ». Voilà Robert Ménard reparti dans un nouveau combat, mais le responsable de « Médias » et de la maison d’édition Mordicus n’oubliera sans doute pas de prendre des nouvelles de L’HEBDO CROIX-ROUGE.
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La ligne H des Tur est très fréquentée. David, un chauffeur, explique les secrets de sa profession.
Il est à peine 6 heures du mat’ lorsque David L., l’un des chauffeurs des Tur, arrive au dépôt, là où tous les bus sont entreposés lorsqu’ils ne roulent pas. David a 34 ans, il conduit pour les Tur depuis mars 2008. Cet ancien responsable de plateforme a obtenu son permis dans le cadre d’une reconversion professionnelle.
« Lorsque j’arrive le matin, j’ai mon petit rituel. Je prends ma fiche, un petit café et je pars faire les vérifications de mon véhicule. Aujourd’hui, j’ai le 825. » explique David.
Après avoir contrôlé l’intégralité de son car, il démarre et jette un œil sur le trajet prédéfini pour rejoindre le terminus temporaire du H près de la fac de médecine. « Bon, eh bien, on va y aller, je rentre mon code identificateur surnom pupitre pour que mon bus soit identifié lors de ma tournée. Le PC peut ainsi voir à chaque instant où je suis, par satellite. » ajoute le chauffeur. Au terminus, David reçoit le signal synonyme de début de service, il est alors 6 h 58 lorsqu’il part de Croix-Rouge. « Allez ! J’ai des horaires à respecter donc lorsque je suis en avance, il faut que je régule mon allure. Par contre pour le retard je ne peux rien faire, il faut évidemment respecter les limitations. » précise-t-il. Une trentaine de minutes avec une quinzaine de personnes à bord, les rues étant encore quasi désertes à cette heure, le bus 825 arrive au terminus du centre-ville, rue Libergier. Depuis le début des travaux, les horaires ont été recalculés pour éviter les retards.
Après quelques instants, le bus 825 repart. « Il y a déjà plus de monde mais honnêtement là, ce n’est rien. Quand le H est plein, il y a des gens jusqu’à mon comptoir c’est même parfois impressionnant ! » conclut David.
Nous descendons alors en regardant le bus s’éloigner en direction du plus grand quartier rémois, Croix-Rouge.
TAF
La ligne H est uniquement desservie par des bus articulés pendant la journée et des plus petits pour les tournées de nuit.
« C’est vrai que ces véhicules sont impressionnants mais ce sont ceux qui se conduisent le mieux » Ces bus peuvent transporter 35 personnes debout et 140 assises. « Aux heures de début et de fin de cours, les bus sont remplis par les étudiants de RMS et des différentes universités de Croix-Rouge »
Les vitesses sont automatiques, donc pas de pédale ni de levier de vitesse : pour les enclencher il suffit d’appuyer sur des boutons situés sur le tableau de bord. La tournée de David équivaut à cinq tours et demi, chaque tour durant à peu près une demi-heure. « Mon métier est fatigant mentalement puisque l’on doit balayer du regard sans arrêt afin de rester prudent pour nos passagers »
TAF
Le mercredi 16 décembre, ce sera la fête de quartier pour les enfants de Pays-de-France (« Les bonbons de Morceau »), de 14 h 30 à 17 heures sur l’esplanade, près du CREF et allée des Picards.
Les associations locales de Pays-de-France organiseront cet après-midi festif avec animation, chocolat chaud, gaufres et distribution de confiseries pour les enfants. La ville a été invitée à participer (chalets, sapin de Noël, animation clown et un Père Noël avec 3 lutins).
Le lundi 21 décembre, Noël des enfants à l’Acrap : un après-midi récréatif à partir de 14h 30 pour ses adhérents de 12 ans maximum et pour les enfants ayant participé au concours de dessins (sur le thème du partage.
3 catégories : enfants nés en 2003, 2004 et 2005, enfants nés en 2002, 2001 et 2000, enfants nés en 1999, 1998 et 1997).
Les dessins devront être déposés au secrétariat de l’Acrap avant vendredi 18 décembre.
Le mercredi 23 décembre, Noël des anciens à l’Acrap : après-midi récréatif de 14 h 30 à 17 h 30.
Cette animation est entièrement gratuite pour les participants mais seules les 80 premières réponses seront acceptées, en raison de l’espace disponible à l’Acrap. Date limite de réponse vendredi 18 décembre matin.
Le vendredi 18 décembre, à 18 heures, ce sera la fête de Noël du Reims Acrap patinage (RAP) à la patinoire Jacques-Barot, avec passage du père Noël en patins vers 19 h 15.
Le dimanche 13 décembre, l’association de promotion de Pays-de-France se rend avec les enfants du centre de loisirs et leurs parents, en sortie de Noël, à Disneyland (choix des enfants) avec un goûter.
Ces jeunes du quartier pratiquent le Parkour depuis qu’ils ont vu le film Yamakasi.
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Ils habitent tous dans le secteur « Université » du quartier et partagent la même passion : le Parkour, véritable sport extrême urbain.
Le Parkour est une pratique sportive consistant à transformer des éléments du décor du milieu urbain en obstacles à franchir par des sauts et des escalades.
Le but est de se déplacer d’un point à un autre de la manière la plus efficace possible. Cette discipline a été créée en France à Sarcelles, à Lisses et à Évry par David Belle, Sébastien Faucon, ainsi que les membres fondateurs des Yamakasi, certains expliquant que le Parkour a beaucoup été inspiré par la méthode naturelle d’éducation physique de Georges Hébert.
Elle s’est répandue ensuite à travers le monde par la filmographie qui lui a été consacrée, des reportages télévisuels et des vidéos amateurs sur internet. À Croix-Rouge, les Traceurs (pratiquants de Parkour) ont quasi tous le même discours sur ce qui les a motivés pour pratiquer ce sport.
« Eh bien, c’est très simple, pour la plupart d’entre nous c’est après avoir vu le film « Yamakasi »que l’on s’y est mis. Puis bien sûr via internet et toutes les vidéos de Parkour que l’on y trouve »expliquent les « Yûjô », nom du groupe des jeunes du quartier pratiquant le Parkour.
Ces ados âgés de 14 à 18 ans sont tous originaires du secteur université de Croix-Rouge et s’entraînent tous chaque jour de la semaine dans le quartier mais aussi dans tout Reims. « On traîne dans la ville, là où l’environnement nous permet de pratiquer, l’entraînement c’est tous les jours. Il y a même des fois où on a fait des nuits blanches » précisent Brad et Sébastien, membres de « Yûjô ».
A voir, le Parkour est plutôt impressionnant, on se rend alors compte de l’agilité des Traceurs mais surtout des risques qu’ils prennent.
« Tout ce que l’on fait est calculé mais on n’est jamais à l’abri d’une blessure. Dans notre équipe, Brad est tombé d’un étage, moi je me suis fait une triple entorse… Il y a des risques mais comme dans tous les sports. Avant tout, le Parkour c’est des déplacements avec des gestes utiles » conclut Sébastien.
Alors si un jour vous croisez ces ados, arrêtez-vous un instant, cela vaut le détour !
TAF
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Le samedi 5 décembre, l’Espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge organise son traditionnel marché de Noël de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.
Le même jour, les commerçants du centre commercial de l’Hippodrome organiseront la fête de la Saint-Nicolas, une journée de festivités, de cadeaux et d’animations pour les enfants (balade en calèche, tombola géante, concours de dessin, maquillage des enfants et distribution de friandises).
Le mercredi 16 décembre, ce sera la fête de Noël pour les familles adhérentes de l’espace Billard. Au programme : un repas préparé par les familles et un spectacle l’après-midi. Le même jour, le repas de Noël de l’Association Multi¬Échanges services (MutES) se déroulera à 19 heures à l’espace Billard.
Le 23 décembre, Noël spécial petite enfance de l’espace Billard : multi - accueil et accueil de loisirs.
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Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Tackoucht, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Thiphaine Himmesoëte, éducateur de prévention.
Permanence le mercredi de 14 heures à 16 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
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(1919-1945)
Résistante.
Née dans la Nièvre le 11 août 1919, morte au camp de Liegnitz le 22 avril 1945.
Armande Gandon entra dans la résistance à Reims en janvier 1941. Elle participa à la distribution de tracts et journaux clandestins.
Elle fut arrêtée par la gestapo le 5 mars 1942 à Troyes et déportée le 3 mars 1943.
Elle fut libérée par les Soviétiques en 1945 mais mourut suite aux mauvais traitements subis lors de sa déportation.
Elle repose près de sa mère au cimetière du Sud.
Karim, Abdelaziz et Youssef (absent sur la photo) s’impliquent énormément dans l’association.
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Il y a trois ans, des jeunes du quartier ont décidé de créer leur propre association afin de donner un coup de main à ceux qui en ont besoin.
C’est l’une des plus jeunes associations de Croix-Rouge puisqu’elle a vu le jour en 2006. « Jeunesse et Espoir Pays-de-France » a été créée il y a maintenant un peu plus de trois ans par des jeunes résidant à Pays-de-France.
« Suite à la fermeture dé l’association Arc-en-ciel, nous nous sommes rendu compte que ce quartier était totalement démuni, e structure pour les jeunes » se souvient Karim Amry, président de l’association située 1, allée des Béarnais.
Il est vrai qu’à cette époque, il n’y avait pas de réel centre pour adolescents dans ce secteur de Croix-Rouge, d’où l’urgence pour ces jeunes de mettre en place leur propre association. « Cela fait maintenant deux ans que je suis bénévole. le veux que mon gamin voie que son père est utile. Et puis vous savez, tous les enfants du quartier sont un peu comme mes propres enfants lorsqu’ils sont dans notre structure » ajoute Aziz, membre de l’association et habitant du quartier.
Et ces bénévoles font tout sauf chômer. Pour preuve depuis que leur osso a vu le jour, ils sont à l’initiative de beaucoup de choses, par exemple le city stade qui a été créé sur l’un des anciens terrains de tennis suite à leur demande. L’activité principale de ces jeunes est tournée vers l’insertion. Ils organisent des journées de recrutement pendant lesquelles des chefs d’entreprise viennent afin de rencontrer des jeunes à la recherche d’un emploi ou même d’une formation.
« Nous faisons dans l’insertion mais aussi dans la recherche de stages. Nos jeunes peuvent venir aussi pour taper des CV ou des lettres de motivation. Ils ont également à disposition des livres qu’ils peuvent emprunter. » précise Karim.
Jeunesse et Espoir est actuellement à la recherche de bénévoles prêts à donner de leur temps pour aider les jeunes du quartier.
TAF
Contact : 03.26.85.47.22
Le collège Joliot-Curie a été refait dans le cadre des rénovations urbaines.Un nouveau visage mais pas un nouveau nom.
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Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch au 1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
1, Allée des Béarnais.
MJC Croix-Rouge
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
CCAS ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 heures à 16 h 30. Antenne Croix-Rouge, 5, rue Joliot-Curie. Tél : 03.26.40.31.79
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
« Si ça, ce n’est pas être touchés par les travaux, qu’est-ce donc alors ? » explique un commerçant.
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Les commerçants de la place Edgar-Degas se demandent toujours s’ils vont être indemnisés pour la gêne occasionnée par les travaux du Tram.
Accéder aux commerces de la place Edgar-Degas à Croix-du-Sud est un véritable casse-tête rémois. Effectivement, l’accès principal pour y arriver se faisait auparavant par l’avenue Léon-Blum qui est aujourd’hui totalement envahie par les travaux du futur tramway.
« Il n’y pas besoin de parler, il n’y a qu’à regarder ce que l’on subit, cela se voit sans aucun problème. Moi je me fous des indemnités, ce que je veux c’est pouvoir travailler normalement. »explique une commerçante qui ne veut pas être identifiée pour ne pas « alimenter une quelconque polémique ».
Tous n’ont pas cet état d’esprit, c’est le cas de Madame Choquez propriétaire du tabac presse. « le vais faire un dossier de demande d’indemnisation car cela me paraît légitime. Nous avons une réunion à ce sujet le 11 décembre, je compte m’y rendre pour en savoir plus. Depuis le début des travaux, j’ai une perte de 30 % sur mon chiffre d’affaire. Ce n’est pas rien tout de même ! »explique-t-elle.
Les habitants qui tiennent à leur petit commerce de proximité ont eux aussi leur avis sur ce sujet.
« C’est le bazar pour tout le monde. Lorsque l’on a appris ce que touchaient certains, nous avons halluciné. C’est d’autant plus honteux que la commission qui verse ces indemnités, aurait dit que nos commerces n’étaient pas sur le trajet du tram mais au-dessus. C’est vraiment des charlots ! » affirme Claude un habitant de Croix-du -Sud.
Logiquement, les commerçants de cette petite place devraient être transférés dans des locaux tout neufs, mais pas avant 2012, ce qui embarrasse certains.
« Honnêtement il y en a ras le bol. C’est bien de faire un tramway mais il faut respecter la vie du quartier et donc celle des commerçants. Nous avons plus de problèmes avec les travaux qu’avec la réputation du quartier… Nous étions heureux de bosser ici, du moins jusqu’à l’arrivée de ces satanés travaux » ajoute une commerçante.
Une réunion aura donc lieu le 11 décembre à la salle municipale François-Mauriac, les commerçants de Croix-du-Sud y retrouveront sûrement ceux de Pays-de-France qui ne sont pas non plus épargnés.
TAF
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Marque de fabrique de l’association Ethnic’s depuis près de 20 ans, la MAO (musique assistée par ordinateur) a permis et permet toujours à de nombreux jeunes de créer leur propre musique (essentiellement du rap). Importée des Etats-Unis à la fin des années quatre-vingt, cette nouvelle façon de faire de la musique est arrivée au château d’eau par le biais des Biens Cool, groupe de rap emblématique du quartier à cette époque.
Dès lors les jeunes ont tout de suite adopté ce courant musical et d’année en année, les animateurs se sont succédés afin d’enseigner les techniques du sample, l’initiation au logiciel Cubase et même l’apprentissage du synthétiseur, tout ce qui fait la MAO.
Aujourd’hui l’association Ethnic’s a laissé place à « l’espace Ethnic’s » de la maison de quartier. C’est Salim Kobzili qui fait vivre l’atelier dans des créneaux d’une ou de deux heures.
TAF
Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Madame Takoucht, conseillère emploi-formation
Permanence mercredi de 16 heures à 18 heures
Espace Ethnic’s, Château d’eau, avenue d’Epernay
Association 2 Mains
Permanences d’éducateurs, 4, place Dominique-Ingres. Tél. 03.10.16.10.40 ou Sébastien Jacques, coordinateur des permanences : tél. 06.31.18.63.26 ou jacques.sebastien.2mains@hotmail.fr
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Samedi 5 décembre à 14 h 30, éditeur, journaliste et critique littéraire spécialiste de l’Afrique.
Etudiant, Bernard Magnier a eu comme professeur Maryse Condé qui lui a donné le goût pour les littératures issues du continent africain. Devenu journaliste et critique littéraire, les éditions Actes sud lui confient à la fin des années 90 la direction de la collection « Afriques », véritable fenêtre ouverte sur une littérature encore méconnue du grand public.
C’est dans cette démarche d’ouverture que s’inscrit la rencontre proposée par la médiathèque. Bernard Magnier nous invitera ainsi à découvrir le contexte éditorial et littéraire de l’Afrique contemporaine tout en nous faisant partager son propre travail d’éditeur. Ses albums seront vendus par la librairie Guerlin-Privat. Découvrez ses illustrations originales dans la salle d’exposition de la médiathèque Croix-Rouge jusqu’au 30 décembre.
Samedi 5 décembre à 9 h 30, Heure des bébés suivie de « petits courts pour petits bouts ». Moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. La séance dure approximativement une heure, elle est suivie d’une projection de courts métrages adaptés aux tout-petits. Inscriptions auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.
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Nous l’avions annoncé dans le premier numéro de l’Hebdo Croix-Rouge, Twister un jeune rappeur du quartier vient de mettre une compilation en téléchargement gratuit sur son site Internet (www.myspace.com/ twister51100).
Sous forme de fichiers MP3, elle comporte un peu plus de dix titres plus éclectiques les uns que les autres. On y retrouve évidemment Twister mais pas seulement puisque pour l’occasion il a convié d’autres artistes « Made in » cité des Sacres.
Certaines bandes-son ont été élaborées par ses propres soins et d’autres par Dj Ohn originaire lui aussi de Croix-Rouge, G.B.N ou encore Bary Scredy.
Côté rappeurs, il a invité son acolyte Dark Dem avec qui il forme Mar¬chands 2 Lyrics et le groupe rémois Maz Krew.
TAF
Partenaire essentiel de l’Hebdo Croix-Rouge, E.D.F., représenté par Philippe GERMAIN, a réitéré son engagement comme acteur de la vie locale.
Trio majeur autour de l’Hebdo avec (de gauche à droite) : Jacques TILLIER, P.D.G du journal l’union et l’Ardennais, Philippe GERMAIN, délégué régional E.D.F., Robert MENARD, fondateur de reporters sans frontières.
Jacques TILLIER, au cœur de " la vraie vie" avec l’Hebdo Croix-Rouge.
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Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 51571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau - Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures, mercredi et jeudi de 10 à 18 heures, samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Effort rémois : agence de Croix-du-Sud, 9 place Jean Fragonard. Tél : 03.26.06.04.42.
Foyer rémois : agence de Pays-de-France,1 avenue Bonaparte. Tél : 03.26.05.84.84.
Reims Habitat Champagne-Ardenne : Croix-Rouge, 46, bis groupe Eisenhower. Tél : 03.26.08.16.07.
La semaine dernière, Nicolas Marceau a reçu la médaille de la ville à titre posthume.
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Cette semaine nous avons souhaité dresser le portrait de Nicolas Marceau, histoire de lui rendre hommage.
Né à Reims le 27 juin 1944, Marceau Nicolas, dès son plus jeune âge, se démarque des autres. Écolier à l’école Gerbault à Reims, il obtient très vite son certificat d’études (1958). Puis à l’âge de 14 ans, il devient déjà totalement indépendant. Aucune connaissance de la vie ni du monde du travail : Marceau part à l’aventure seul. Il trouve un petit « boulot » dans une pâtisserie. Par la suite, âgé de 18 ans, il change de travail et prend rapidement goût au monde du football.
C’est à cette période qu’il commence à être remarqué par les plus grands clubs rémois.
En 1979, il devient responsable d’un grand magasin de sport situé à Reims-La Neuvillette.
Il profite de ce sponsor « idéal » pour créer son propre club de foot, les « Franco-Portugais de Cabanon Sport ». Sa grande passion pour le football lui prend alors beaucoup de temps, il consacre de sa personne et met un peu de côté sa vie professionnelle, ce qui le conduit à la fermeture du magasin en 1989. Mais en 1999, à l’âge de 55 ans, Marceau reprend du service et crée à nouveau son club de football. Le groupe se nomme Union Sportive Clairmarais Reims. Il est alors président, entraîneur, dirigeant et devient en même temps président de l’association Étoile Croix-du-Sud.
Tout est parti d’ici… Prenant goût au monde associatif, cela devient son unique plaisir. Il donne alors tout son temps pour aider les jeunes et les moins jeunes les plus en difficulté. Jamais il ne baisse les bras et il ne cesse de prendre de l’importance dans le monde associatif, c’est pour cette raison qu’il devient en 2007 président de la CGL (Confédération générale du logement), ce qui lui permet d’aider encore plus concrètement les autres. Il ne met pas pour autant de côté sa première passion le football, il s’occupe alors de l’ACRAP.
À partir de novembre 2003, Marceau s’engage dans le mouvement de défense des locataires initié par l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de - France ». Il devient un des animateurs de la lutte engagée durant l’hiver 2003 -2004 sur le secteur HLM de Pays-de-France, qui donne lieu à une mobilisation intense et prolongée des locataires, subissant des coupures prolongées de chauffage et d’eau chaude dans leurs appartements.
Jusqu’à son dernier souffle, le 6 août 2008, Marceau a donné tout son temps pour aider autrui. Il n’a jamais rien demandé en retour mais, comme il disait « mon unique plaisir c’est avant tout le bonheur des autres… » et il l’a prouvé tout au long de sa vie.
1944 / Naissance de Nicolas Marceau
1979 / II devient responsable d’un grand magasin
1999 / À 55 ans, Nicolas Marceau crée Union Sportive Clairmarais Reims
1999 / Il devient président de l’Étoile Croix-du-Sud Cl 2007 / Il préside la CGL
2008 / Le 6 août 2008, Nicolas Marceau s’éteint à l’âge de 64 ans
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Ingrédients :
500 g de farine,
5 œufs,
25 g de beurre,
100 g de sucre,
1 sachet de sucre vanillé,
1 sachet de levure chimique,
70 cl de lait,
1 demi-verre de bière blonde légère,
sel,
Sucre glace,
Corps gras pour le moule
Préparation :
Tamiser la farine et creuser en fontaine.
Au centre, ajouter les jaunes d’œufs, le sucre, 1 pincée de sel, le sucre vanillé et la levure.
Par ailleurs, faire fondre le beurre à feu doux dans une petite casserole. Ajouter ce mélange à la pâte et remuer pendant quelques minutes. Pour finir, ajouter le lait tiède
et la bière et mélanger jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse et homogène.
Incorporer les blancs préalablement battus en neige. Laisser reposer pendant 1 heure en couvrant d’un torchon.
Graissez le gaufrier et faites-le chauffer.
Lorsqu’il est bien chaud, versez la pâte dessus et lais¬sez cuire la gaufre 3 minutes maximum.