par Administrateur
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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Chaque semaine, les boîtes aux lettres sont remplies de prospectus ou autres petits papiers publicitaires. Grandes surfaces, petites annonces ou encore l’indispensable QCR mais aussi d’autres beaucoup plus loufoques comme les réclames de magnétiseurs ou de médiums en tout genre.
La semaine dernière, un certain « Romain » a même déposé des photocopies de lettres expliquant qu’il ne lui restait que sept maisons disponibles pour des couples, une publicité ridicule servant selon ses propres termes « à attirer la clientèle ».
Romain est en fait une société de construction de maisons…
Comme son nom l’indique, cette rubrique est destinée aux lecteurs de L’HEBDO CROIX-ROUGE qui, par son intermédiaire, pourront faire parvenir, par e-mail, par courrier ou via le forum du site internet de l’union, leur vision ou prise de position sur l’actu du quartier, mais pas seulement.
Cette tribune pourra aussi accueillir toutes sortes de commentaires, du coup de gueule au coup de cœur, en passant par des poèmes ou toute autre forme d’expression écrite. Politique locale ou nationale, événement, problème divers que vous rencontrez spontanément ou quotidiennement, tous les thèmes peuvent y être abordés.
Pour faire simple, cette rubrique est la vôtre, alors n’hésitez pas un seul instant à la faire vivre.
Bien évidemment, nous ne pourrons pas tout passer. D’une part parce que si vous êtes nombreux à nous faire parvenir vos textes, il faudra évidemment faire un choix, puis pour une question d’éthique nous serons dans l’obligation de faire preuve d’attention concernant les sujets que vous aborderez.
N’hésitez pas à nous faire parvenir vos textes.
Courrier électronique : croixrouge@journal-lunion.fr
Courrier postal : « Hebdo Croix-Rouge » l’union, 5 rue de Talleyrand 51100 Reims
Forum du site de journal l’union :http://www.lunion.presse.fr.
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La maison de quartier est incontournable mais derrière cette association se cache l’inquiétude des salariés et des bénévoles quant à leur avenir
Plus grosse association du quartier, la maison de quartier Croix-Rouge compte cinq espaces étalés sur tous les secteurs : Billard et La Nacelle dans le secteur « Université », l’espace Pays-de-France qui devrait s’installer allée des Béarnais début 2010, Ethnic’s et Watteau situés à Croix-du-Sud. Pour la petite histoire, les maisons de quartier sont nées sous l’ère Schneiter puisque la fusion des MJC et des centres sociaux vient tout droit des pensées de Franck Noël.
Depuis, derrière des apparences plutôt pas mal, beaucoup de doutes persistent sur cette grosse machine associative. Non pas du côté des salariés qui se battent chaque jour pour que le public puisse bénéficier de vrais projets, de loisirs, d’information, de sorties et de tout ce que ce genre de structure est amené à apporter à la population. Le problème est plutôt d’ordre quantitatif en terme d’animateurs sur le terrain, de précarité mais aussi au sujet des moyens et au crédit sont bénéficient les professionnels de l’animation mais aussi et avant tout le fossé entre les animateurs de terrain et les cadres de l’association.
« Nous sommes en réelle régression. Nous n’évoluons pas au rythme qu’il faudrait en terme de moyens matériels. De plus, deux postes viennent de nous être retirés sans être remplacés et l’un des animateurs responsables a quitté le quartier pour un autre avec son matériel, matériel qui d’ailleurs avait été financé par des subventions pour le quartier Croix-Rouge et non pas pour Orgeval. »explique un animateur.
Certes les grosses manifestations existent, le festival Croix-Rouge s’Affiche, les fêtes de quartier ou encore le projet Croix-Rouge plage mais « ce qui compte c’est tous les jours de l’année pas une semaine ou une journée par-ci, par-là. Les animateurs font avec les moyens du bord » ex¬plique un jeune adhérent. La mairie, plus gros financeur des MQR, a été alertée à de nombreuses reprises. Cette équipe municipale n’a rien fait d’extraordinaire pour changer le bébé de Franck Noël pendant deux ans en dépit de ses nombreuses critiques lorsqu’elle était dans l’opposition.
« Il n’y a quasi plus de bénévoles, les activités se vident au fil des ans mais quand il va y avoir des tensions dans le quartier, les élus ou les responsables vont se tourner vers qui ? Eh bien vers les animateurs de terrain ! On a l’habitude, on ne nous écoute que lorsque le quartier est chaud Mairie et responsables ont en a peine trois ans saccagé le travail de ceux qui ont participé au fait que le quartier soit nettement plus calme qu’avant » ajoute un autre animateur.
La mairie a fait appel au cabinet KPMG pour réaliser un audit, le groupe de pilotage se réunira pour un premier bilan le 14 décembre, quelques semaines avant la signature d’une nouvelle convention entre la Mairie et l’association. Quel sera l’avenir de cette structure ?
TAF
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Pascale Martin, adjointe au maire en charge des maisons de quartier, apporte quelques précisions.
« Depuis le départ de Pascale Enfer, Benoît Guinet a pris l’intérim.
Ce que l’on peut dire, c’est qu’il n’y a pas de pilote dans l’avion.
Les cadres crient au complot de la ville parce qu’en tant que financeur, nous leur demandons certaines choses comme différencier trois secteurs bien précis : l’intérêt général du type halte-garderie, le centre de loisirs puis- le soutien aux jeunes, des actions contre la discrimination et les projets de territoire portés par les habitants. La maison de quartier fait de la résistance et j’ai dû taper du poing à plusieurs reprises.
Cette association n’en est pas une, c’est une délégation de services publics déguisée, il faut qu’elle arrête de se cacher derrière des statuts.
Ils sont terrorisés par la CAF mais les commandes de la mairie ne donnent rien.
Il y a aussi de grosses manipulations des cadres envers les animateurs.
Mon vœu le plus cher est que les animateurs se mobilisent pour se faire entendre quant aux difficultés qu’ils rencontrent et je demande d’urgence une réforme des statuts de l’association pour une réelle représentation de toutes les maisons de quartier de Reims au conseil d’administration ».
Du sable et des palmiers seront installés dans l’hippodrome pour « Croix-Rouge plage ».
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L’hippodrome sera cet été transformé en plage grâce à l’opération « Croix-Rouge plage », destinée aux personnes qui ne partent pas en vacances.
Après la patinoire place du Forum, des transats et du beach volley sur l’hippodrome.
C’est l’effervescence dans toutes les structures de Croix-Rouge : à l’initiative d’Yves Pringault, directeur Jeunesse à la Maison de quartier Croix-Rouge, l’hippodrome devrait devenir, cet été, « Croix-Rouge plage », du 26 juin au 23 juillet.
Avec le triple objectif de « favoriser le lien social et intergénérationnel, de rompre l’isolement des habitants pendant la période estivale et de mobiliser l’ensemble des acteurs du quartier dans une dynamique de projet », et compte-tenu qu’un nombre important d’habitants restent dans le quartier pendant l’été, la Maison de quartier a eu l’idée de créer une animation de proximité dont elle sera coordinatrice avec tous les acteurs du quartier.
Eric Quénard, premier adjoint, précise que cette action n’est pas destinée à remplacer le Festival Croix-Rouge s’affiche sur lequel la ville travaille déjà par ailleurs.
Les organisateurs souhaitent utiliser une partie du parking extérieur de l’hippodrome et surtout « l’environnement de l’entrée principale de l’hippodrome »pour mettre en œuvre « de nombreuses animations variées » : sport, culture, jeux, information et prévention.
« Pour donner une ambiance de village de vacances, un terrain en sable sera créé et accueillera des animations familiales de type plage et animations sportives ». Ainsi, des chalets et des transats seront positionnés, à proximité de la grande place engazonnée déjà existante. En fin d’après-midi, des animations musicales seront programmées auxquelles les habitants ayant un talent pourront se produire.
L’accès au site sera protégé et gardienne, mais libre pour tous les publics, des plus jeunes aux plus âgés, avec des animations gratuites, qui seront proposées par des bénévoles ou des professionnels rémunérés. Une fréquentation de 2.000 personnes est espérée.
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L’Association de la Fondation Étudiante pour la Ville (AFEV) a été créée en 1991.
Elle s’est, au fil des ans, étendue sur toute la France et même dans quelques grandes villes d’Europe.
Aujourd’hui, ce sont plus de 7.500 étudiants bénévoles qui s’investissent dans 280 villes en France dont évidement à Reims à Croix-Rouge… La Ville finance l’EFAV à hauteur de 20.000 € l’année, par l’intermédiaire du Contrat urbain de cohésion sociale (CUCS).
L’Association de la Fondation Étudiante pour la Ville de Reims organise pour fêter la fin d’année en présence de tous les « Aféviens » un petit moment festif à l’hôtel de ville.
Les étudiants bénévoles, les enfants accompagnés de leur famille, et l’ensemble des partenaires de l’association ont ainsi été conviés à partager un goûter le mercredi 16 décembre à la mairie.
TAF
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Vendredi dernier dans les locaux de la Nacelle, les jeunes ayant participé aux séjours d’été sont venus avec leur famille rencontrer les animateurs avec qui ils ont partagé ces vacances.
« Nous avons organisé cette petite rencontre festive pour revoir les jeunes avec qui nous sommes partis cet été en séjour. Ils étaient partis à Paris, à Brest, en Ardèche, au lac de Bairon, etc. » expliquent Sadhia, Magalie et Karim, animateurs lors de ces départs de vacances.
Les jeunes, pour la plupart accompagnés de leurs parents, ont pu revivre leur été grâce aux projections vidéo des meilleurs moments. À noter que chacun est reparti avec un cd vidéo de son séjour.
« C’était vraiment de bonnes vacances, on a trop rigolé avec nos animateurs ! »confirme l’un des jeunes.
Tous ont eu plaisir à se rappeler ces moments sympas autour d’un buffet froid et de pizzas. « Dommage qu’Il n’y ait plus de séjour »conclut un animateur.
TAF
Afin de faciliter vos déplacements et vos achats dans le cadre de l’ouverture des magasins les dimanches 13 et 20 décembre prochains, Transdev Reims déploie une offre renforcée de ses lignes de bus.
Le service proposé se traduit par la mise en place de bus articulés sur les lignes A, C et H, mais également par une desserte prolongée des lignes C et H. Ainsi la ligne C desservira l’ensemble des arrêts jusqu’au terminus Orgeval et la zone commerciale Nord.
La ligne H desservira l’ensemble des arrêts jusqu’au terminus Cormontreuil Louvois et la zone commerciale Cormontreuil.
La ligne T s’adapte également : entre 13 h 30 et 19 h 30, une fréquence de 25 minutes sera appliquée pour améliorer la desserte du centre-ville et la zone commerciale Cormontreuil.
La Ville de Reims et Reims Métropole mettent en garde la population.
Des personnes prétendument mandatées par la collectivité proposent actuellement leurs services aux particuliers pour l’entretien des arbres.
La Ville de Reims tient à préciser que ces personnes ne sont pas des agents municipaux et n’agissent pas pour le compte de la Ville. Par ailleurs, la Ville de Reims et Reims Métropole précisent seuls les agents municipaux et communautaires, porteurs d’une carte d’identité professionnelle, ont qualité pour intervenir auprès des administrés dans le cadre des fonctions qu’ils exécutent au titre et pour le compte de la Ville de Reims et de Reims Métropole.
Vendredi 18 décembre à l’antenne municipale Croix-Rouge, de 14 h 30 à 15 h 30, M. Salah Byar, conseiller municipal tiendra une permanence.
Adeline Hazan, maire de Reims rendra visite aux enfants des bénéficiaires des Restos à l’occasion de l’après-midi récréatif avec spectacle et goûter organisé par les Restos du Cœur le 22 décembre à 15 h 30 à la salle Mauriac.
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Dans le cadre du festival Reims Scène d’Europe organisé par le Manège de Reims, la Nacelle a accueilli un artiste ou plutôt un performeur issu de l’art visuel, Yan Duyvendak. Aux premiers instants de son spectacle, ce serait mentir que de dire que l’on ne prend pas cet artiste pour un timbré. Mais au fil de sa prestation, ce préjugé s’estompe, Yan réussit à emmener son jeune public là où il voulait, c’est-à-dire vers une certaine réflexion quant à la façon dont sont traités les candidats de la télé-réalité. Dans un premier temps, il se balade dans les rues du quartier, suivi par des jeunes filles, se mettant dans le rôle d’un personnage de « Counter Strike », un jeu vidéo en reproduisant parfaitement la gestuelle avec une pincée d’ironie.
Ensuite à l’intérieur des locaux, il présente une seconde performance beaucoup plus impressionnante.
« J’ai bien aimé, mais comment il fait pour parler en même temps que la vidés et pour danser pareil que les ’Mages ? »se demande Kemil, un enfant du public. Effectivement, Yan a doublé les dialogues, les chansons, les chorégraphies d’un montage vidéo tiré de séquences de l’émission « Pop Star », de publicités et d’une émission de télé-réalité espagnole, le tout diffusé sur grand écran de façon vraiment bluffante. « J’ai mis trois mois pour réaliser cela. J’ai dû d’abord faire le montage d’images d’émissions et ensuite j’ai appris les paroles et les chorégraphies » explique l’artiste.
Son spectacle est plutôt dur à expliquer, mais une chose est sûre : que l’on aime ou pas cela fait réfléchir. Puis un mot vient à l’esprit « bravo » comme disait cette jeune fille à l’artiste. Et pour le petit Kemil, Yan a la réponse.
« J’ai appris les paroles et j’ai un casque pour garder le rythme ».
TAF
Yan Duyvendak dans la peau d’un personnage de jeu vidéo.
Parfaitement synchro avec la vidéo.
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Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Tackoucht, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Thiphaine Himmesoëte, éducateur de prévention.
Permanence le mercredi de 14 heures à 16 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
À chaque saison, les jeunes de l’école de tennis passent la nouvelle version des tests FFT (anciennes « balles » de couleur).
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À Croix-Rouge il n’y a pas que des adeptes de football ou de basket-ball, pour preuve la réussite du Tennis club de Géo- André qui, chaque année, compte de très nombreux adhérents, tous fans de balle jaune.
Le TCGA était l’une des sections sportives de l’Acrap jusqu’au jour où ses animateurs ont décidé de prendre leur autonomie en créant leur propre association, présidée par le fondateur Jean-Claude Prévec, aujourd’hui président d’honneur.
Le club a pris ses marques sur le complexe sportif Géo-André, où il dispose maintenant de 6 courts extérieurs, 2 courts couverts et 1 club house.
Les entraîneurs gèrent les activités du club, classé label d’argent 2008 par le comité Marne de tennis : « quel que soit votre âge, le TCGA a mis en place une pédagogie et un tennis adapté à chaque étape d’apprentissage, permettant d’évoluer au mieux vers le tennis dont chacun rêve. » Tous les ans, le challenge adultes et le challenge Jeunes du TCGA (9/16 ans) rassemblent chacun plus d’une centaine d’inscrits. En juillet 2009, l’Open de Géo-André a dignement fêté sa 20e édition avec plus de 300 inscrits.
Pour fonctionner, le club reçoit une subvention à caractère sportif de la ville de Reims, sur la base d’un contrat d’objectifs (33.000 euros en 2009).
Depuis 2008, le TCGA a choisi de ne pas se renforcer par des joueurs étrangers : la politique du club vise à utiliser l’argent disponible pour le Centre de formation au CREPS de Reims qui doit accueillir des joueurs et joueuses de très bon niveau en catégorie jeunes. « On a préféré réinvestir cet argent dans le développement interne et dans la formation. Dans les années qui viennent, on espère afficher des classements plus élevés mais avec des joueurs formés au club »confirme Anthony Petit, responsable du centre. Un centre où l’on a mis en place, avec la Ligue régionale de tennis, un projet de filière d’accès vers le haut niveau, dans une structure clairement définie par la direction régionale du ministère de la Jeunesse et des Sports mais aussi par le Creps de Reims, où les jeunes ont un planning de scolarité et d’entraînement hebdomadaire extrêmement précis et surveillé.
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L’association de promotion de Pays-de-France a procédé, vendredi dernier, à la remise des prix du concours 2009 des balcons fleuris de Pays-de-France.
La présidente, Christiane Monflier et la trésorière, Gilberte Durant ont dévoilé le palmarès les seize locataires classés ont reçu un chèque, pour un montant total de 295 euros.
Le palmarès
1.Serge Gilbert (5, Limousins), René Avelange (7, Tourangeaux) et C. Mary (1, Landais),
4. Katia Richy (5, Bonaparte),
5. José Hernandes (1, Tourangeaux) et Lucienne Deville (4, Gascons),
7. Edmond Dor¬geot (18, Tourangeaux),
8. P. Galasso (4, Gascons),
9. Daniel Plagne (5, Limousins),
10. Christophe Le¬feuvre (16, Bourguignons) et Evelyne Trousset (1, Tourangeaux),
12. Mireille Jourdain (8, Bourgui¬gnons) et Marie-Line Maamar (1, Savoyards),
14. Chantal Mazouzi (1, Tourangeaux),
15. Annie Thill (5, Tourangeaux) et A. Girsch (2, Gascons).
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch au 1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
1, Allée des Béarnais.
MJC Croix-Rouge
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
CCAS ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 heures à 16 h 30. Antenne Croix-Rouge, 5, rue Joliot-Curie. Tél : 03.26.40.31.79
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
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Les 05 et 06 décembre dernier, les élèves du lycée Arago participant au dispositif « les cordées de la réussite », lancé il y a peu de temps par le Premier ministre à Reims, se sont rendus à Bruxelles accompagnés de leurs tuteurs étudiants de Reims Management School.
C’est dans le cadre de l’esprit d’ouverture à la culture voulu dans le dispositif des cordées de la réussite que ce voyage fut organisé. Avec au programme, visite guidée du centre historique de Bruxelles, conférence au musée Horta (architecte d’Art nouveau du début du XXe siècle), visite de l’Atomium et un moment de détente et de bonne humeur en cette période de fêtes de fin d’année qui approche avec une ballade dans le Village de Noël de Bruxelles. Balade avec, comme il se devait, une dégustation de gaufres bruxelloises et liégeoises.
Un voyage plaisant et plein de découverte pour les élèves méritant qui participent à ce dispositif d’accompagnement et d’encouragement des élèves issus des quartiers de Reims dont certains du lycée Arago.
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L’Association Familiale d’Aide à Domicile est présente à Croix-Rouge depuis 1971. Elle vient en aide aux malades ou aux femmes enceintes.
S’il y a une association un peu méconnue dans le quartier, c’est bien l’Association Familiale d’Aide à Domicile (AFAD). Pourtant, celle-ci n’est pas toute jeune puisqu’elle a été fondée en 1945 et elle est présente place Auguste-Rodin à Croix-du-Sud depuis 1971.
« Dans le temps, nous étions déjà sur Reims et Épernay mais à l’époque nous n’avions pas de local » explique Nathalie Beaujeois, directrice de l’A FA D.
Aujourd’hui l’association 1901 compte dans ses rangs une quinzaine de salariées, uniquement des femmes, toutes dévouées à la même et unique cause : venir en aide aux familles dans tout ce qui concerne les tâches ménagères mais aussi l’éducation des enfants.
« Nous intervenons dans les foyers à des moments particuliers pour aider les personnes en longue maladie, chez les femmes enceintes pour les soulager au niveau du ménage, de la préparation des repas ou encore pour faire leurs courses. Soit à la demande des familles elles-mêmes, soit à la demande des services sociaux. » ajoute-t-elle.
Les personnes faisant appel à l’AFAD n’ont pas de profil type et viennent de tout horizon social. Chaque année, les travailleuses de l’AFAD interviennent chez plus de 150 familles et ceci à Reims, à Épernay et sur un rayon de 15 à 20 Km autour de ces deux villes. « Les demandeurs nous contactent directement puis nous prenons absolument tout en charge, de la réalisation à la gestion du dossier d’inscription pour les institutions comme la CAF, la Sécurité sociale ou encore pour les mutuelles et les autres types de caisse d’allocation » précise Nathalie Beaujeois.
L’Association Familiale d’Aide à Domicile détient bien évidemment tous les agréments nécessaires aux missions qu’elle exerce, l’une des plus récentes est celle qui lui permet d’être tiers dans les rencontres entre les enfants placés dans des foyers et leurs parents.
« Les salariées de l’AFAD D ne changent pas, c’est sûrement parce qu’elles se sentent bien chez nous » conclut la directrice de l’association.
Voilà donc une association peu connue du grand public mais pourtant bel et bien indispensable pour les familles, les enfants et les personnes âgées.
TAF
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Mercredi 16 décembre à 11 heures, lecture du livre Noël « Baobab » de Clotilde Bernos et Sophie Mon-désir (Flammarion-Père Castor).
Petit lion est bien difficile : il veut un vrai Noël ! Son ami le lièvre se met en quatre pour lui faire plaisir. Mais pourra-t-il le faire ? Pour les enfants de 4 à 8 ans.
A 15 heures, Julie raconte : « Koumen et le vieux sage de la montagne », de Christian Epanya. La sécheresse a détruit toutes les récoltes. Koumen, la petite fille infirme est accusée d’être à l’origine de ce malheur… Pour tous à partir de 6 ans.
Samedi 19 décembre, à 10 h 30 et à 15 heures, ateliers musicaux animés par Amdy Seck, musicien professionnel et animateur culturel de l’association ACAO : animations rythmiques et musicales à partir d’une variété d’instruments à percussions africains tels que djembés, doums, sabars, tamas, balafons, krings,… Pour les enfants de 5 à 8 ans (durée : 45 min).
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Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Madame Takoucht, conseillère emploi-formation
Permanence mercredi de 16 heures à 18 heures
Espace Ethnic’s, Château d’eau, avenue d’Epernay
Association 2 Mains
Permanences d’éducateurs, 4, place Dominique-Ingres. Tél. 03.10.16.10.40 ou Sébastien Jacques, coordinateur des permanences : tél. 06.31.18.63.26 ou jacques.sebastien.2mains@hotmail.fr
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Née à Reims, impasse Saint-Thomas le 27 janvier 1863, morte à Verzenay le 16 juin 1955.
Blanche Cavarrot débuta en 1881 comme institutrice à l’école maternelle de la rue Courmeaux.
Elle fonda en 1900 l’Union des jeunes filles et en 1901 l’Œuvre Trousseau.
Elle fut directrice d’école et Chevalier de la Légion d’honneur en 1936.
Elle repose au cimetière du Nord dans la sépulture de son amie Marie-Clémence Fouriaux.
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Pour sa saison 2009-2010, l’Acrap s’est dotée d’une toute nouvelle activité dans une carte déjà bien garnie. En effet, l’équitation est ajoutée afin de donner la possibilité aux passionnés de sport équestre de pratiquer leur activité favorite.
« Ces créneaux d’équitation ont été lancés bien après la rentrée des classes. Nous démarrons timidement mais comme cadeau de Noël cela pourrait être très original » explique la coordinatrice de l’activité.
Les cours sont dispensés par deux professionnels diplômés des Brevets d’État nécessaires à l’encadrement de l’équitation et à l’apprentissage de ce sport hippique.
La première est directement salariée de l’Acrap et la seconde est tout simplement la propriétaire de la ferme équestre de Courmas située à 12 km de Reims, là où se déroule l’activité. Les jeunes et moins jeunes apprendront donc dans un premier temps à s’occuper des chevaux avant de partir pour des leçons par groupe de six à sept personnes, sachant qu’il y a deux groupes par cours et que des places sont encore disponibles.
« Il y a bien sûr un temps consacré à la préparation des chevaux comme le brossage et le nettoyage des sabots puis la partie avant de monter où il faut mettre la couverture et la selle ainsi que tous les éléments pour le confort des bêtes et des cavaliers. Suite à cela, les adhérents partent avec les entraîneurs pour les cours d’équitation proprement dits. » ajoute la responsable.
Les tarifs restent très abordables donnant ainsi la possibilité à ceux qui n’ont pas forcément les moyens de fréquenter d’autres clubs de pratiquer un sport qui n’est pas réservé qu’aux riches ou à l’élite.
Encore une nouvelle activité pour l’Acrap qui ne cesse de diversifier sa palette de loisirs qui compte tout de même plus d’une vingtaine d’activités.
TAF
Renseignements au secrétariat de l’A.C.R.A.P. (03.26.06.39.54) ou au 06.13.41.51.40.
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Croix-Rouge compte dans ses rues de nombreuses infrastructures dédiées aux sports. Pour la natation, il y a bien sûr la piscine du Château d’eau et pour le sport sur glace, la patinoire Jacques-Barot. Plusieurs boulodromes sont à disposition pour les adeptes de pétanque.
Le stade omnisport Géo-André compte : 1 gymnase de 3 salles, 3 terrains de football dont 1 synthétique, 8 courts de tennis dont 2 couverts.
Pour les sports de grimpe on trouve le mur d’escalade du Château d’eau.
Six gymnases sont dispersés dans le quartier dans lesquels peuvent être pratiqués le basket-ball, le handball, etc.
Il y a aussi un court de tennis en plein air, avenue Kennedy et deux city stade multisports (basket, hand et foot) à Croix-du-Sud et Pays-de-France.
Un terrain de foot rue Raoul-Dufy, une moitié de terrain de basket au parc Saint-John-Perse et un autre le long de la rue Joliot-Curie.
Pour le sport hippique, le quartier dispose d’un hippodrome.
Le plus grand complexe est le Creps avec 1 salle d’athlétisme couverte et 9 pôles espoirs : tennis, escrime, athlétisme, aviron, basket, bowling, handball, judo et tennis de table.
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Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 51571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau - Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures, mercredi et jeudi de 10 à 18 heures, samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Effort rémois : agence de Croix-du-Sud, 9 place Jean Fragonard. Tél : 03.26.06.04.42.
Foyer rémois : agence de Pays-de-France,1 avenue Bonaparte. Tél : 03.26.05.84.84.
Reims Habitat Champagne-Ardenne : Croix-Rouge, 46, bis groupe Eisenhower. Tél : 03.26.08.16.07.
Le point info « Renouvellement Urbain Croix-Rouge », situé au 65 avenue du Général Eisenhower, partage les locaux de l’Espace Tram Infos. Il permet d’obtenir des informations sur :
le programme de renouvellement urbain et les chantiers en cours ou à venir
la ligne de tramway et l’avancement des travaux. la charte d’insertion ANRU
Sur les possibilités d’accès à l’emploi sur le quartier mais aussi les opérations de relogement des habitants concernés
Et plus généralement, sur la vie du quartier, les projets en cours, manifestations à venir, animations, offre de loisirs, etc…
David Moyen alias Vidda Nedax est celui qui a démocratisé la (danse hip-hop dans la région.
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David Moyen est celui qui a popularisé la danse hip-hop à Croix-Rouge mais aussi dans toute la région. C’est en 1995 que David découvre la danse hip-hop à la MJC Le Phare des Châtillons, quartier d’où il est originaire. Pendant deux années, il assimile les ficelles de cette nouvelle culture qui, du simple loisir, est devenue une vraie passion. « En 199Z j’ai créé mon tout premier groupe avec Gauthier, à cette époque le groupe s’appelait Z n’P »se souvient David alias Vidda Nedax pour les danseurs hip-hop. À force d’entraînement, David sort du lot. En 1998, il décide donc de partir pour la capitale afin de participer à un casting qui lui permettrait d’entrer dans une compagnie de danseurs professionnels. Bingo, il est très vite repéré puis sélectionné pour intégrer cette troupe de danseurs pros du nom de « Double Jazz » qui plus tard deviendra les « TKF » pour Tout Konte Fait.
« Avec TKF, nous avons remporté plusieurs championnats et battles de danse chorégraphiée comme le H20 d’Aulnay-sous-Bois. » précise t-il. Dès lors, tout s’enchaîne très vite pour lui et sa compagnie : il participe à l’émission de M6 le Hit Machine dans laquelle il danse régulièrement pour les invités. Puis danse aussi pour un magazine de tuning le DDX Tuning où l’on voit des chorégraphies de TKF sur les DVD fournis avec la revue et lors du Paris Tuning Show visité par des dizaines de milliers de spectateurs.
En 1999, il intègre l’équipe de France de danse hip-hop aux côtés de Ben-J que l’on a pu voir dans le film « Le défi » de Blanca Li ou encore de Salah, vainqueur de l’émission lncroyable Talent sur M6. Parallèlement à cela, David donne les premiers vrais cours de danse hip-hop à la MJC Croix-Rouge et devient en 2001 prof pour l’association Ethnic’s, avec plus de 100 jeunes par semaine.
ll parcourt alors la France et l’Europe pour des battles ou des shows comme le France Roller Tour.
C’est simple, David se fait un nom. Pour preuve cette petite anecdote que nous raconte un Dj Rémois : « le suis allé en Allemagne pour un battle de danse. J’ai ren¬contré des danseurs de toute l’Europe et lorsque je disais que je venais de Reims ils ne disaient pas la ville du Champagne mais la ville de David Moyen. »
Aujourd’hui, il est sollicité dans toute la ré¬gion et les zones frontalières pour la qua¬lité de ses cours de danse, Soissons, Éper¬nay par exemple mais aussi tous les lundis soir au Ludoval ou encore au Creps pour les jeunes sportifs.
Il a mis le pied de beaucoup de danseurs à l’étrier, pour cela Vidda Nedax a le titre indétrônable de premier bboy « made in » Reims.
TAF
1995 / David découvre la danse et crée « Z n’P ». 71 1998 / ll intègre la compagnie de danse « TKF ».
1999 / Première sélection en équipe de France de danse
2001 - 2005 / ll devient animateur à Croix-Rouge
2006 / ll intègre le collectif FTZ et devient membre du groupe de rap « Caos Locos »
2007 - 2009 / David est aujourd’hui prof de danse dans plusieurs structures.
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Préparation : 10 minutes Cuisson : 25 minutes
Ingrédients :
50 g de beurre
2 gros oignons
2 gousses d’ail écrasées
500 g de bœuf haché
1 cuillère à café de chili en poudre
2 cuillères à café de cumin en poudre
65 g de concentré de tomate
1 grosse boîte de haricots rouge égouttés
30 cl de bouillon de bœuf
sel, poivre, persil pour décorer
Préparation :
Dans une cocotte en fonte, faire fondre le beurre, et ensuite dorer doucement l’oignon et l’ail.
incorporer le bœuf haché et laisser cuire doucement 10 minutes.
Mélanger le chili, le cumin, le concentré de tomates, et incorporer le tout au bœuf.
Ajouter les haricots, le bouillon ;
saler et poivrer.
Couvrir, et laisser cuire 25 minutes au four (thermostat 6/180 °C).