Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juillet 2010.
jeudi 1er juillet 2010
par Administrateur


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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Union100801a - Marne
Sortie des pompiers : Les poubelles flambent

Et dire que certains doivent trouver ça très drôle. Hier matin, peu avant 5 heures du matin, les pompiers, comme s’ils n’avaient que cela à faire, sont intervenus pour éteindre une poubelle en feu du côté de la rue Taittinger.

Bien sûr, ce feu n’a rien d’accidentel. Mais ça n’a malheureusement plus rien d’étonnant.

Par chance, aucun autre dommage n’est à déplorer à proximité de l’incendie.


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Union100731e- Marne
6 mois et 4 mois de prison ferme. Ils tabassent la maîtresse du père

Six mois de prison ferme pour l’un, quatre mois pour l’autre.

Ce sont les peines auxquelles ont été condamnés un homme de 18 ans et sa belle-sœur de 34 ans poursuivis pour vols et violences volontaires, jeudi, dans le cadre d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.

Ce sont en réalité les conséquences d’un conflit familial qui perdure depuis plusieurs mois entre les deux prévenus et la maîtresse du père du jeune homme. Au mois de juin dernier, ceux-ci l’avaient déjà giflé au motif, selon eux, qu’ils la détestent.

Une haine farouche

Une haine farouche qui les a conduits le 6 juillet, à Tinqueux, aux alentours de 2 heures du matin, à passer une fois de plus à l’acte, alors qu’ils se rendaient au domicile de la maîtresse où le père et amant venait d’être victime d’un malaise.

Profitant de la présence des sapeurs-pompiers, le fils et la belle-sœur avaient alors pénétré à l’intérieur puis attendu que les secours quittent les lieux pour jeter leur dévolu sur leur rivale.

Cette dernière avait en l’occurrence été frappée au visage (6 jours d’ITT) avant que ses agresseurs ne quittent les lieux en possession de son téléphone portable, mais aussi de quinze euros en espèces dérobés à son domicile, quelques bijoux sans grande valeur et le combiné de son téléphone fixe.

Convoqués mercredi à l’hôtel de police de Reims, les deux mis en cause ont été placés en garde à vue. La belle sœur a nié en bloc les faits qui lui étaient reprochés tandis que le jeune homme les a reconnus en partie.

Cela a manifestement suffi au tribunal, jeudi, pour les reconnaître coupables tous les deux et ordonner leur placement en détention à l’issue de l’audience. Le jeune homme à la maison d’arrêt de Reims et sa belle-sœur à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.


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Union100731d - Marne
Malaise dans la police municipale « On n’en peut plus ! »

Les agents de la police municipale semblent souffrir actuellement.
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« ÇA va éclater à la rentrée ! » Voilà ce qu’un syndicaliste de la police municipale nous a lancé, pour dénoncer un malaise avec le directeur de ce service, Nicolas Roche. « Ils n’en peuvent plus et nous préparons une démarche pour fin août avec tous les syndicats. »

Notre interlocuteur, même syndiqué, préfère rester anonyme, c’est dire à quel point il trouve la situation tendue. Il parle de suicides (mais sont-ils liés au travail ?), de harcèlement, « de contraventions qui sautent dans notre dos, à la demande du directeur. Il met la pression sur les agents, beaucoup se mettent en arrêt maladie et sont en dépression. »

« Il peut y avoir malaise »

Les agents ont rencontré la maire, Adeline Hazan, et son premier adjoint, Éric Quénard, responsable de la police municipale. Ils pensaient que Nicolas Roche serait muté, mais « il est toujours là ». Interrogé, Éric Quénard s’est d’abord lancé dans un long plaidoyer sur cette police, à la suite des propos de Jean-François Copé (voir ci-dessous), avant de revenir sur le possible malaise des policiers rémois.

« J’ai eu six mois d’échanges avec eux, lors de la mise en place des nouveaux horaires et de leur positionnement dans les quartiers. Aucun problème ne m’a été remonté. Nous avons même organisé une cérémonie officielle avec le procureur et la DSP, pour la remise de leur carte professionnelle. Ils ont un problème de positionnement dans l’administration : comme ils sont en tenue, ils ne sont jamais considérés comme agents municipaux, alors qu’ils le sont. »

Il argue d’une hausse de 10 % des effectifs depuis que la gauche est aux affaires, « sans oublier des moyens supplémentaires internes d’équipement ». Mais il reconnaît qu’il peut y avoir « malaise, interrogations », et se dit prêt à y répondre.

« Réaffirmer leur rôle »

Rappelons que la police municipale se compose d’une cinquantaine d’agents, avec également une trentaine d’agents de surveillance de la voie publique et du centre de vidéosurveillance.

Son activité a été revue l’année dernière, pour « être plus proche des habitants », c’est-à-dire aller dans les quartiers, surveiller les parcs publics et avoir des horaires élargis pour être présents plus longtemps dans la journée. Pour Éric Quénard, « il y a un vrai questionnement : quel est le statut de ces agents ? Ils ont besoin de reconnaissance ».

L’adjoint veut « réaffirmer le rôle de la police municipale ». C’est son credo depuis qu’il est arrivé aux manettes. N’empêche, son discours ne semble pas porter ses fruits, si l’on en croit notre syndicaliste. À moins que ce ne soit le directeur du service qui soit en cause ?

Guillaume FLATET

Nicolas Roche est en vacances actuellement et n’a pu nous répondre.


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Où sont les Unités territoriales de quartier ?

Une Unité territoriale de quartier devrait être créée à Wilson notamment. Mais pour l’instant, pas de nouvelle…
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« Je n’ai aucune confirmation de l’Uteq pour Croix-Rouge et Wilson. » L’info avait été donnée par Catherine Vautrin : l’État s’engageait à créer des Unités territoriales de quartier (Uteq) sur ces zones « sensibles ». C’était à la mi-juin. Depuis…

« La maire n’a reçu aucune notification. Et nous n’avons aucune garantie d’effectifs supplémentaires. Il semble qu’il s’agira de déshabiller Pierre pour habiller Paul », poursuit Eric Quénard. Pour lui, « la pression va glisser sur la police municipale. Mon rôle d’élu est de veiller à rester dans un cadre défini ».

Et selon lui, les policiers municipaux rémois n’ont pas de formation d’intervention. « Ils doivent, certes, travailler en collaboration, en cohérence. La police municipale est une police d’écoute, de contact, qui peut être utile à la police nationale. Nous faisons d’ailleurs un point hebdomadaire pour pouvoir échanger et voir où sont les éventuels points de crispation. »

Reims n’est pas Nice, « où l’effectif de la Municipale est pléthorique, avec des agents armés ».


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Contre les violences urbaines

L’Uteq rémoise compterait de huit à quinze agents, et serait mise en place d’ici à la fin de l’année, avec pour mission de lutter contre la délinquance et les violences urbaines, obtenir des renseignements et développer le lien de confiance police-population.

Les deux secteurs visés sont ceux où la violence quotidienne est la plus forte, comme le reconnaissent tous les élus, et notamment au niveau de la faculté.

Jean-François Copé a, lui, récemment estimé que la police municipale était la police de proximité réclamée par certains. « L’État, il ne peut pas tout faire. »


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Union100731c - Marne
Espace Billard : La tête dans les étoiles

 

La fréquentation du planétarium itinérant installé à l’espace Billard le temps d’une semaine « astronomie » a été forte. Il a surtout profité aux enfants des centres de loisirs du quartier.

Le lundi 26 juillet a été consacré à la création d’une carte du ciel.

Le mercredi 28 juillet, l’espace Billard a eu la bonne idée de proposer un temps contes sous le planétarium, puis vers 19 heures, fut organisée une soirée « La tête dans les étoiles », avec pique-nique sur l’hippodrome, autour d’ateliers observation et découverte des étoiles.

On a beaucoup entendu la même question : « Y a-t-il des extraterrestres dans l’espace ? », un problème qui captive même les plus petits !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


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Union100731b - Marne
Exposition : Zoom sur les films d’arts martiaux

« Le long de la rivière Xiajiang ».
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Des films d’arts martiaux, on ne retient souvent que quelques clichés et une légende nommée Bruce Lee. C’est pourtant bien plus que cela. C’est surtout l’histoire d’un genre cinématographique populaire avec ses propres codes, son esthétique et ses techniques de combats qui divergent suivant les studios et les pays de production.

Des films de kung-fu et de sabre chinois en passant par les films de samouraïs, de yakusas ou de ninjas japonais jusqu’à son influence dans la production internationale actuelle, la médiathèque Croix-Rouge invite ses visiteurs à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques, conçue par Christophe Champclaux pour l’Adav (Ateliers diffusion audiovisuelle).

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. L’exposition est ouverte jusqu’au 30 octobre. Entrée libre.

 


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Union100731a - Marne
Feu à Croix-Rouge : Un incendiaire écroué

Un Rémois de 21 ans a écopé, jeudi, d’une peine de 12 mois d’emprisonnement dont 6 assortis d’un sursis pour avoir été reconnu coupable d’un incendie déclenché volontairement dans un hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge.

Mercredi, vers 22 h 15, un témoin l’avait vu pénétrer dans les lieux situés au 3, de l’allée des Tourangeaux, avant de l’en voir ressortir quelques instants plus tard, laissant derrière lui un feu naissant.

Désigné aux policiers par le témoin, celui-ci avait été interpellé en état d’ivresse, puis placé en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police de la cité des sacres, avant d’être déféré jeudi devant le parquet et présenté dans la foulée devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate.

Tribunal qui a en outre ordonné son placement en détention à l’issue de l’audience.

L’incendiaire dort depuis dans une cellule de la maison d’arrêt de Reims.

F.B.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100728e
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7352 du 26 juillet au 01 août 2010.

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Reims installe des conteneurs enterrés pour la gestion des déchets

Propreté. Le plan propreté de la Ville de Reims, et plus largement la politique du tri sélectif appliquée dans l’agglomération, franchissent une étape majeure avec le déploiement de conteneurs semi-enterrés et enterrés pour la gestion des déchets.

La Ville de Reims, Reims Métropole, Le Foyer Rémois, Plurihabitat l’Effort Rémois et Reims habitat ont signé une convention cadre pour l’implantation et l’usage de mobiliers enterrés et semi-enterrés de 2010 à 2029. Au moins 400 conteneurs sont prévus actuellement sur les quatre années à venir dans l’agglomération de Reims. Ceci représente un budget d’investissement de prés de 2 M€ TTC pour Reims Métropole. Un budget quasi équivalent sera globalement engagé par les bailleurs pour les travaux de génie civil nécessaires aux installations. Les premières implantations sont prévues dés septembre prochain.

La convention formalise un partenariat très équilibré et durable pour la mise en place de ce nouveau dispositif de collecte.

Ainsi, elle répartit les charges financières liées à l’achat et à l’installation des conteneurs entre les collectivités et les bailleurs, organise également un partage entre ces derniers pour le suivi des équipements en termes de nettoyage des parties aériennes, des abords comme de leur maintenance, et enfin, elle envisage très précisément les modalités d’information des interlocuteurs concernés : usagers comme prestataires de service.

DES TESTS POSITIFS

Une expérimentation très concluante a été menée pendant six mois dans un secteur de 90 logements propriété de Plurihabitat l’Effort Rémois dans le quartier Croix-du-Sud à Croix-Rouge. L’amélioration du geste du tri est à la fois quantitative et qualitative. La performance de tri sélectif a été multipliée par cinq avec une moyenne de performance de collecte passée de moins de 7kg par habitant par an à 38kg/hab. /an. Le geste du tri s’est amélioré avec un taux de 10% d’erreurs de tri atteint.

GAINS COLLECTIFS

Tous les types d’interlocuteurs concernés par ce mode de collecte de déchets sont gagnants avec le nouveau scénario :
- la collectivité qui gère la collecte : amélioration de la performance du tri, et réduction du nombre d’interventions liées aux vandalismes. L’augmentation du nombre d’implantation va également permettre d’envisager une optimisation des tournées de collecte,
- les propriétaires des logements collectifs : réduction du risque d’incendie et donc sécurisation des immeubles, moins de contraintes pour la gestion quotidienne ou récurrente des réceptacles des déchets,
- les habitants : moins de charges induites par la gestion des bacs roulants (lavage et sorties des bacs, entretien du local, gestion des vide-ordures, une qualité de vie induite par la réduction des odeurs, du bruit, des dégâts, des abords de logement plus propres et avenants, un système plus pratique, moins de risques d’incendies, une accessibilité totale pour les personnes à mobilité réduite.


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CHANGEMENT DE NOM PATRONYMIQUE

PUBLICATION

Monsieur Harold LELEMBE MAPEYE, né le 10 mars 1982 à POINTE NOIRE (Congo), de nationalité française, domicilié 54 esplanade Eisenhower à REIMS (51100).

Dépose une requête devant Monsieur le Procureur de la République près le tribunal de grande instance de REIMS à l’effet de voir substituer à son nom patronymique celui de MAPEYE.

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Union100728d - Marne
Croix-du-Sud / Les parcs publics ne sont plus entretenus

Les détritus jonchent le gazon qui n’est pas tondu.
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Des palettes et des gravats peuvent provoquer des accidents.
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Les poubelles ne sont pas vidées.
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Depuis qu’il est membre du conseil de quartier Croix-Rouge, Jérôme Weiler prend son rôle très au sérieux et il pousse un « coup de gueule ». Comme tous les habitants présents à la réunion du conseil de quartier du 19 mai, il a entendu les responsables municipaux de la propreté expliquer comment ils entretenaient les espaces verts des quartiers.

Mais il constate qu’il n’en est rien. « Reims ville propre », mais pas à Croix-du-Sud ! « À ce jour, nous constatons que les parcs de la ville de Reims sur le quartier Croix-du-Sud ne sont pas entretenus depuis maintenant trois semaines ! »

Jérôme Weiler, preuves photographiques à l’appui, vient d’interpeller les responsables politiques municipaux : « Je trouve lamentable de voir ces parcs dans un tel état ! »

En qualité de vice-président de l’association Etoile Croix-du-Sud, il avance un autre argument de choc pour renforcer son indignation : « En cette période de l’année, les enfants des centres de loisirs du quartier dont le nôtre se rendent sur les trois parcs Saint-Bruno, Raoul-Dufy, Jacques-Simon et sur les espaces verts près des terrains de boules Léon-Blum pour des animations et ils évoluent parmi les détritus, l’absence de poubelles, sans tonte des pelouses, et avec l’aire de jeux Raoul-Dufy détériorée, etc. ! »

La direction des espaces verts de la Ville est consciente des problèmes, mais elle ne peut pas assurer le nettoyage des parcs en juillet : « Ces espaces verts sont habituellement nettoyés deux, voire trois fois par semaine pour le parc Saint-Bruno. Or, il se trouve que depuis début juillet, nous ne pouvons plus les entretenir avec la même fréquence.

D’autre part, les vacances scolaires sont là et les parcs sont hyperfréquentés et quelque peu malmenés ! Tout devrait rentrer dans l’ordre début août. »

En clair, c’est au moment où ils sont le plus fréquentés par les enfants que l’entretien des parcs publics est délaissé…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


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Union100728c - Marne
Séances au gymnase François-Legros : Apprendre l’haltérophilie

Cet été, le Reims haltérophilie musculation propose aux jeunes une série de séances
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Cet été, au gymnase François-Legros, il n’y aura pas de porte pour le Reims haltérophilie musculation. Du lundi au vendredi, le club propose, à tous les jeunes désireux d’apprendre les rudiments de l’haltérophilie, une série de séances.

« Nous sommes ouverts de 16 heures à 20 h 30. Les premiers, qu’on a déjà reçus, viennent essentiellement des quartiers d’à-côté. Tous sont les bienvenus. On a l’attention pour chacun. Pour l’instant on a six nouveaux gamins, on espère en avoir beaucoup plus.

Le but, c’est de les inviter à découvrir notre discipline. Les enseignements abordent deux points fondamentaux : l’arraché et l’épaulé-jeté. Pour les plus vieux d’entre eux, nous leur donnons la possibilité de faire du renforcement musculaire », explique Frédéric Chauvat, entraîneur.

A 16 ans, Gary a déjà participé aux premières séances : « Moi, je viens pour prendre de la puissance, évoluer, car en septembre je compte participer aux premières compétitions. Cela fait un an que je suis dans cette association sportive. Je m’y plais. Il y a de la bonne ambiance », souligne-t-il.

 


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Union100728b - Marne
Association « Les Boisseliers » Des moyens demandés pour assurer la sécurité

C’est à l’issue d’un regroupement de trois locataires en 1990 puis de la création d’un collectif de défense en 2000 qu’est née l’association « Les Boisseliers ». Président fondateur, Gérard Lacroix a « créé ce collectif face aux nombreux et importants vices cachés ou vices de forme dans la construction des 35 pavillons en ossature bois du lotissement « des Boisseliers » situé derrière le Ludoval ».

Après l’Opac, puis Reims Habitat, « notre dossier n’est pas encore clos, tout au moins sur deux points très importants, les façades et les troubles de jouissances ». Une réunion a eu lieu avec Eric Quénard, premier adjoint et président de Reims Habitat pour mettre un terme à la situation « d’abandon » et aux inquiétudes des résidents pour trouver des solutions et clôturer ce dossier. « Nous attendons sa réponse. »

L’association s’est aussi ouverte à l’ensemble des habitants du quartier Val-de-Murigny et de Reims. « Notre but est de venir en aide, conseiller, soutenir mais surtout défendre les intérêts des locataires et propriétaires mais aussi pour améliorer les conditions de vie ou tenter de maintenir un certain cadre de vie. » Cela concerne l’environnement, la sécurité routière, l’insécurité… Sur ce point, l’association est « montée au créneau pour dénoncer le sentiment d’insécurité grandissant qui régnait place René-Clair et sa périphérie ».

La demande était liée à l’urgence afin de faire cesser les agressions physiques, les incendies volontaires qui prenaient de l’ampleur. « De la poubelle, aux haies clôtures on est passé aux véhicules automobiles. » Il a été réclamé une présence policière adaptée sur le terrain pour interpeller les auteurs. Les Boisseliers, en collaboration avec « La Pépinière » et l’ensemble des commerçants et professionnels ont souhaité attirer l’attention des personnes en charge de la sécurité publique.

De même est attendue une réponse de Mme la maire, sur l’audit demandé par la Ville pour la présence de moyens de vidéo protection. « J’ai fait des propositions à Mme la maire, indique Gérard Lacroix, pour étudier des dispositifs de vidéo protection, dites « mobiles » car nous avons parfaitement connaissance que la délinquance se déplace ».

L’association « Les Boisseliers », adhérente au groupement des associations de locataires qui compte neuf associations, s’ouvre donc sur d’importants nouveaux objectifs. Le bureau a été reconduit dans sa majorité : président : Gérard Lacroix ; vice-président : Dominique Jaubert ; trésorier : Joël Cordier ; secrétaire : Sandrine Jaubert.

Renseignements au 06.81.07.26.89.


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Union100728a - Marne
Taekwondo / Trois questions à… Ibrahima Diouf

Ibrahima Diouf : « Nous allons poursuivre »
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Vous êtes entraîneur au Daehan taekwondo Reims. Quel bilan faites-vous de votre saison sportive ?

« Elle a été très axée sur la formation des jeunes. Ainsi nous avons eu Sofiane Assefar qui s’est vu remettre son diplôme d’entraîneur ; Jérôme Manthe, lui, finalise le sien. De mon côté, j’ai passé mon brevet d’Etat d’éducateur sportif du 2e degré (partie spécifique). Parallèlement, en section sport-insertion, un titre de champion de France nous a été décerné. Sont venus s’ajouter à cela : plusieurs podiums obtenus à l’occasion de l’open international du Luxembourg et une médaille d’or dans le cadre de la sélection élite de Lorraine-Champagne-Ardenne. Nos filles ont été également à l’honneur cette année. Chloé Fernandez, Kim Angelloz-Micoud et Emelie Planté ont brillamment décroché la qualification au championnat régional pour la coupe de France. Pour terminer, et sur la demande des parents, nous avons pu mettre en place un nouveau pôle appelé taekwondo-gym. »

Quelle a été la plus grande de vos satisfactions ?

« La progression du groupe. Elle a été illustrée par la ceinture noire, premier dan, qu’a eue Aglae Miguel. Elle est la première Champardennaise à avoir un diplôme d’experte mondial certifié par Kukkiwon (qui est le temple mondial du taekwondo). »

Comment voyez-vous l’avenir ?

« Nous allons continuer dans cette recherche d’excellence qui passe autant par les exploits en compétition que par la qualité de la formation des jeunes à l’encadrement. Poursuivre notre engagement vis-à-vis du sport-insertion et notre ouverture aux vétérans. »


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Union100727b- Marne
Exceptionnel : Un planétarium à Croix-Rouge

Idéal pour aborder toutes les notions de base de l’astronomie.
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Un planétarium itinérant, dôme gonflable de cinq mètres de diamètre interne, accueillera les habitants à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge (12-14, rue Pierre-Taitinger) jusqu’au 6 août.

Au programme, deux séances de planétarium ou un atelier « sondage du sol martien » le matin de 9 h 30 à 11 h 30 et deux séances de planétarium ou une séance et un atelier « carte du ciel » l’après-midi, de 14 h 30 à 16 h 30.

Pour les séances de planétarium, un projecteur affiche l’image du ciel tel que nous pouvons le voir à l’œil nu sous un ciel de campagne loin de la pollution lumineuse des villes. Il permet de montrer plus de 1 000 étoiles sous n’importe quelle latitude et à n’importe quel moment de l’année.

La « carte du ciel » s’adresse aux enfants à partir de 7 ans. C’est la construction d’une carte du ciel mobile individuelle valable partout en France quels que soient l’heure et le lieu d’observation.

Le « sondage du sol martien » accessible à partir de 10 ans, pose la question : « Comment peut-on connaître le sol de la planète Mars sans y avoir mis les pieds ? » Les participants devront cartographier une partie de la surface de Mars. Une activité qui aidera à comprendre le fonctionnement des radars des sondes spatiales qui permettent la cartographie des surfaces planétaires.

Les séances, qui durent de 30 minutes à une heure, sont animées par un spécialiste en astronomie expérimenté, capable de s’adapter à des publics diversifiés.

Entrée libre.

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Union100727a - Marne
Après « L’été s’affiche » : Tous à l’eau !

Les enfants pourront retrouver les plaisirs de l’eau, mais ce sera payant !
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La première édition de « L’été s’affiche à Croix-Rouge » a pris fin le 22 juillet. La question est alors posée : que vont devenir tous les jeunes du quartier au mois d’août ?

Yves Pringault, directeur des activités jeunesse à la maison de quartier Croix-Rouge, l’avait annoncé : la piscine du château d’eau prendra le relais ! Effectivement, Elle fonctionnera jusqu’au 29 août, tous les jours sauf le dimanche, selon les horaires suivants :
- lundi de 10 h 15 à 11 h 45 et de 14 heures à 17 h 45.
- Mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9 heures à 11 h 45 et de 14 heures à 17 h 45.

Tarif normal : 3,70 €. Tarif réduit, moins de 18 ans : 3,10 €. Sur présentation de la carte CCAS : 0,80 €. Sur présentation de la carte Vital ados : 1,60 €.

Par ailleurs, dès le 2 août, et jusqu’au 20, des animations sportives sont prévues au solarium de la piscine, de 14 à 18 heures, pour les 10-16 ans.

Piscine du château d’eau, 12, allée des Landais (Lignes de bus H, P, N et S). Éducateurs : 03.26.86.18.38.


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Union100726a - Marne
Pas de fumée sans feu

Au cours de ce week-end, pompiers et policiers étaient sur la brèche avec le déclenchement de plusieurs incendies à Reims.

Samedi à 6 heures, c’est un panneau publicitaire de 3,50 m par 2 qui a été endommagé route de Witry. L’incendie a été allumé au niveau du poteau en bois avant de s’étendre plus en hauteur.

Toujours samedi, c’est le secteur Croix-Rouge qui a été touché, plus précisément la rue Joliot-Curie. À 15 h 33, un feu a détruit près de 500 m2 de chaumes et vers 23 h 30, c’est un cabanon de jardin qui est parti en fumée.

Également à 23 h 30, une voiture, non déclarée volée, a brûlé rue du Maréchal-Gallieni.

Retour à Croix-Rouge, secteur Pays de France, où 50 m2 de broussailles sont partis en fumée, allée du vignoble, à l’arrière d’un local Taittinger. Une enquête est en cours pour déterminer la cause réelle de l’ensemble de ces sinistres.


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Union100725a - Marne
Bonne idée : Les bibliobus se mettent au vert

Le bibliobus sur le site de l’hippodrome
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Jusqu’au 31 juillet, la Bibliothèque de Reims se met au vert.

Au mois de juillet, vous pourrez trouver un bibliobus dans les parcs de Reims. Autour de tables de jardin, à l’ombre du parasol, venez consulter des bandes dessinées, des nouvelles, des magazines, des livres de cuisine, de bricolage, et une sélection de livres sur l’écologie.

Les bibliothécaires proposeront des lectures pour petits et grands et des jeux autour des livres pour enfants.

Jusqu’au 31 juillet, les mercredis et samedis de 14 à 17 heures dans le parc de Champagne.

Jusqu’au 29 juillet, les jeudis de 14 à 17 heures, dans le parc Mendès-France (quartier Murigny).

Annulation en cas de mauvais temps.

 

 

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100724c - VRI juillet-août 2010

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 269 de juillet-aout 2010

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Inauguration du "Bistroquet" à Croix-Rouge


Le quartier Croix-Rouge ne disposait d’aucun café.
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Le Bistroquet, situé rue Léon Blum en face d’une station de tramway, vient combler en partie ce manque. « Ce qui se passe aujourd’hui est très important dans la vie d’un quartier et aussi dans l’opération de renouvellement urbain déclarait Adeline Hazan le 7 juin dernier. Important car cela montre comment nous concevons la politique de rénovation urbaine. Une rénovation n’est pas complète si elle n’est pas accompagnée de ce volet humain, social, culturel. »

Initié par l’association “2 Mains”, soutenu par la Ville, l’Effort Rémois et l’Etat, ce café associatif qui a ouvert ses portes quelques jours avant la Coupe du Monde de foot, emploie cinq personnes bénéficiant d’un contrat d’accompagnement dans l’emploi.


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A Reims, l’été appartient à tout le monde


Cet été sera un été solidaire dans une ville animée par une multitude de rendez-vous culturels, sportifs et de loisirs.

• Un été placé sous le signe de la culture :

Depuis 2008, nous avons voulu dynamiser l’été rémois avec des manifestations culturelles gratuites au Cryptoportique. Cette année, cette initiative va prendre une dimension plus importante. En effet, près de 40 spectacles de musique, de théâtre, de danse ou d’arts visuels se produiront sur cette scène jusqu’à la fin du mois de septembre.

12 séances gratuites de cinéma en plein air seront organisées dans différentes places et quartiers de la Ville, faisant ainsi la part belle aussi au cinéma.

Avec les ateliers de la culture, la Ville de Reims vise à initier les jeunes Rémois à la pratique artistique. Ainsi 14 ateliers touchant à des pratiques aussi différentes que la photographie ou le théâtre de marionnettes seront proposés aux jeunes de notre ville.

• Un été de sport :

Le sport aura aussi une place très importante avec des rendez-vous d’envergure nationale et mondiale, comme l’accueil du Tour de France le 7 juillet ou le Meeting d’Athlétisme, qui réunit chaque année des champions de renommée internationale. De nombreuses animations sportives se dérouleront dans la ville à destination des familles ou des plus jeunes comme la Fête du Sport en famille les 4 et 5 septembre au Parc Léo LAGRANGE ou l’opération Ludosport, qui vise à initier gratuitement des enfants de 4 à 11 ans à la pratique de différents sports.

• Un été pour tous :

Cette année encore, nous avons souhaité que de nombreuses animations se déroulent dans les quartiers avec des initiatives comme “un été à la piscine” à Orgeval. Nous lançons également la 1ère édition d’”un été s’affiche à Croix-Rouge” où durant trois semaines jusqu’au 22 juillet seront proposés aux habitants, des animations sportives, des concerts ou d’arts du cirque à l’Hippodrome de Reims.

Ainsi, l’été se promet d’être, à Reims, animé, festif et solidaire. Tout un programme.


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QUARTIER CROIX-ROUGE HAUTS DE MURIGNY


Propreté et baisse des charges à l’ordre du jour

La séance du 19 mai 2010 du Conseil de quartier Croix-Rouge-Hauts de Murigny a permis à Larbi Aït-Yahia (Direction des déchets et de la propreté) de rappeler les grands objectifs du plan propreté, priorité municipale : état des lieux, augmentation des moyens, information de la population et développement de la verbalisation à l’encontre des comportements inciviques.

Chef du Service collecte des déchets et animation, Michel Zaegel est revenu sur la mise en place de conteneurs enterrés dans la zone test de Croix du Sud : le mobilier est demeuré en bon état après six mois d’utilisation, les objectifs qualitatifs et quantitatifs sont appréciables et les habitants jugent ces nouveaux contenants plus propres à 84% et plus sûrs à 78%.

Rappelons que ce dispositif expérimental et innovant qui favorise un meilleur tri sélectif se traduit aussi pour les habitants concernés par une baisse des charges “déchets” liée à la suppression du lavage des bacs roulants et à l’abandon des prestations de sortie des bacs et d’entretien du local. Le groupe de travail dénomination des rues a permis de se prononcer sur deux sujets : le mail piétonnier reliant le restaurant universitaire du CROUS pourrait se dénommer allée de la Rafale. Secteur Croix du Sud, le nom de Marie Laurencin a recueilli un avis positif du Conseil de quartier. Alain Boudroit a été désigné à l’unanimité pour le poste de coanimateur habitant tandis que le collectif d’animation a été renouvelé lui aussi pour une période d’un an avec : Alain Bisteur (coanimateur élu), Alain Boudroit (coanimateur habitant) Elisabeth Vasseur (élue de l’opposition), Bernadette Erard (association Les Polygones), Angélique Gallet et Martine Massart (habitantes).

L’été s’affiche à Croix-Rouge

Un mois de juillet animé avec la Maison de quartier et un collectif associatif soutenu par la Ville de Reims. Croix-Rouge s’afffirme pour tout public comme un nouvel espace de loisirs et une scène à deux pas de l’Hippodrome, l’un des “poumons verts” de Reims. Soirées chapiteau, musique rock, suivi de la Coupe du Monde, ateliers cirque, initiations sportives, spectacles destinés aux parents et aux enfants, graph tout public, trampoline, diabolo, bibliobus… Sans oublier d’autres merveilleux moments sur terrain sablé : beach rugby, beach minton, beach soccer avec tournoi interquartiers, parcours vit’athlé et marche nordique… Et encore : déguisements, maquillage cirque, peinture, sculpture, animations santé bien-être… Place au bien vivre ensemble ! (voir pages 64-65 du programme “Un été dans la ville” et sur www.reims.fr.

Votre Espace Tram Info

Pour répondre à vos questions, vous informer sur le projet, l’état d’avancement des travaux, les ambassadeurs du tramway vous accueillent : 65 Esplanade Eisenhower, du lundi au vendredi de 11 h à 19 h. Numéro Vert 0 800108726 du lundi au samedi de 7 h à 20 h.

Votre antenne municipale

C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.

Jours et heures d’ouverture :

• le lundi de 14 h à 17h30 _• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30 _• le samedi de 8h30 à 12 h.

Notez-le : les permanences de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie sont modifiées comme suit : le mardi de 14 h à 16 h et le jeudi de 9 h à 12 h (au lieu du vendredi).

Permanences de l’antenne mobile

L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h15 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.


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PLACE AUX LOISIRS AQUATIQUES


L’été, les piscines sont généralement très prisées. Cette année encore, la municipalité a tenu à ce que ses équipements de loisirs restent ouverts pendant l’été. Le Club Reims Natation 89 et la fédération nationale de natation proposent l’opération « Savoir nager », un dispositif qui permet à une centaine de jeunes de suivre des cours de natation pour une somme forfaitaire de 15 euros.

Ouverture des piscines municipales cet été du 5 juillet au 29 août Nautilud, ouverte tous les jours de la semaine, sauf le lundi matin.

Thiolettes, ouverte tous les jours de la semaine.

Château d’eau, ouverte tous les jours de la semaine, sauf le dimanche.

Talleyrand, ouverte en semaine, sauf le week-end.

Orgeval, ouverte tous les jours de la semaine, sauf le dimanche.

Louvois, ouverte uniquement le mardi et jeudi toute la journée et les lundi, mercredi et vendredi après-midi.

Tous les horaires et les tarifs sur www.reims.fr


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OPÉRATION « SAVOIR NAGER »


Du 5 au 3o juillet, cette opération permet aux enfants âgés de 7 à 12 ans, de suivre 19 leçons de natation pour 15 euros seulement. Cette opération, menée par RN 8g à la piscine Louvois, a déjà remporté une large adhésion l’an dernier. Les leçons de natation sont assurées par des moniteurs diplômés d’État.

« Savoir nager », piscine Louvois, du 5 au 3o juillet

COMMENT ET OÙ S’INSCRIRE

Il suffit de se rendre dès maintenant au club Reims Natation, 2e étage de la piscine du Nautilud, 41 chaussée Bocquaine à Reims. Horaires d’ouverture du secrétariat, du lundi au vendredi de 10h30 à 12h. Le lundi de 16h à 17h30 et le vendredi de 17h d 18h. Le premier jour de l’opération, une évaluation et une répartition par groupes sont effectuées. C’est à ce moment-là que les enfants connaîtront les horaires précis des leçons.

Attention le nombre de places est limité.


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PLACE AU VIVRE ENSEMBLE : 1RE ÉDITION D’ « UN ÉTÉ S’AFFICHE à CROIX-ROUGE »


Du 3o juin au 22 juillet, l’Hippodrome de Reims va se muer en un lieu de vie permanent où se croiseront les associations sportives, culturelles et artistiques.

« L’été s’affiche à Croix-Rouge », dispositif soutenu par la Ville de Reims et organisé par un collectif associatif de Croix-Rouge offrira, durant trois semaines, la possibilité à tous de s’initier à un sport de plein air (beach volley, football…). Plusieurs temps forts viendront émailler cet événement. Notamment des animations autour des Arts du Cirque et un grand concert gratuit le 25 juin, à 19h, sur le parking de l’Hippodrome.

L’été s’affiche à Croix-Rouge

Pour les 7-8 ans, de 9h à 11h, du lundi au vendredi, sports aquatiques et sports de plage.

Concert de Raï : le 25 juin, à 19h, sur le parking de l’Hippodrome de Reims. Concert gratuit offert par la Ville de Reims.

Du 3o juin au 2 juillet, parking de l’Hippodrome de Reims. Animations et initiations sous chapiteau autour des Arts du Cirque assurées par l’association Trac.

Le 3 juillet, Hippodrome, inauguration de « l’été s’affiche à Croix-Rouge », après-midi festif, soirée musicale.

Jusqu’au 22 juillet, accueil permanent du public et animations sportives et culturelles en libre accès.

Plus de renseignements sur : www.reims.fr


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Animations sportives au solarium de la piscine du Château d’Eau


Du 2 au 20 août, les après-midis de 14h à 18h, avec au programme sports de raquettes (badminton et tennis de table), beach-volley, boxe…

Animation sportive pour les 10-16 ans.


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OPÉRATION « UN PLANÉTARIUM DANS LES QUARTIERS » : LE PLANÉTARIUM ITINÉRANT


Un planétarium itinérant se présente sous la forme d’un dôme gonflable de cinq mètres de diamètre interne. Le dôme forme l’écran sur lequel un projecteur projette l’image du ciel étoilé tel que nous pouvons le voir à l’oeil nu sous un ciel de campagne, loin de la pollution lumineuse des villes. Ce projecteur permet de montrer les étoiles (plus de i 000) sous n’importe quelle latitude et à n’importe quel moment de l’année.

De nombreux effets y sont réalisables : positions des cinq planètes visibles à l’oeil nu, phase et position de la lune, hauteur du soleil suivant les saisons, les cercles célestes écliptique/zodiaque et équateur céleste, méridien et voie lactée.

La qualité du ciel représenté n’est pas aussi réaliste que celle d’un grand planétarium, mais est suffisante pour aborder toutes les notions de base de l’astronomie.

La capacité d’accueil est de 20 adultes ou 3o enfants pour des séances d’une durée variable de 3o minutes à une heure. L’animateur du planétarium est un spécialiste en astronomie, expérimenté. Il est en mesure de s’adapter à des publics diversifiés. Il assure le contenu scientifique de la séance et l’accueil du public.

Le temps d’installation de cet « igloo du ciel », d’une durée d’environ 3o minutes, suscite toujours l’étonnement et la curiosité du public.

Contenu des ateliers

- CARTE DU CIEL

Durée :1 heure - à partir de 7 ans -1 animateur pour 10 enfants Construction d’une carte du ciel mobile individuelle, valable partout en France, quels que soient l’heure et le lieu d’observation. Idéal pour apprendre à reconnaître facilement les principales constellations observées dans le planétarium itinérant.

- SONDAGE DU SOL MARTIEN

Durée : 1h30 - à partir de 10 ans -1 animateur pour 10 enfants

Comment peut-on connaître le sol de la planète Mars sans y avoir mis les pieds ? À travers cet atelier, les participants devront cartographier une partie de la surface de la planète Mars, sans pouvoir l’observer I Cette activité permettra de comprendre le fonctionnement des radars des sondes spatiales, qui permettent la cartographie des surfaces planétaires.

Organisation des animations

Les animations sont constituées de séances sous le dôme gonflable du planétarium itinérant et d’ateliers facultatifs avec la grille suivante

Matin (9h30 —11h3o)*

2 séances de planétarium OU atelier « sondage du sol martien »

Après-midi (14h30 —16h3o)*

2 séances de planétarium ou séance de planétarium +1 atelier « carte du ciel »

horaires indicatifs

Sites d’accueil 2010

• Espace Verrerie : du 5 au 16 juillet
• Espace Clairmarais : du 19 au 23 juillet et du 9 au 13 août
• Espace Billard : du 26 juillet au 6 août
• Lieu à déterminer : du 16 au 20 août

Les activités sont accessibles à des groupes d’autres Maisons de Quartier ne pouvant, pour des raisons techniques, accueillir le planétarium.


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AGENDA


Cinéma : 6, 20 juillet et 17 août : Passeurs d’images : Trois projections gratuites de films sur écran géant.

Le 6 juillet à 22 h 30 à l’hippodrome dans le cadre de "Croix-Rouge s’affiche en été " : OSS 117 Rio ne répond plus (2008).

Le 20 juillet à 22 h au parc de Champagne après le concert de clôture jazz des Flâneries : Slumdog millionnaire (2008).

Le 17 août à 21 h au parc de Champagne en lien avec RVA été : Lol (2008).

Jusqu’au 28 août : Macrophotographies de Xavier Coulmier

Insectes, fleurs, rosée, glace… Expositions organisées Dans le cadre du cycle "Grandeur Nature" proposé dans le réseau des bibliothèques municipales.

Médiathèques Jean Falala, Croix- Rouge et Laon-Zola.

Jusqu’au 15 octobre : Symphonie en Noir & Blanc

Des personnalités rémoises de la musique ont posé sous l’objectif d’Alain Hatat pour mettre en valeur les lieux dédiés aux Flâneries Musicales.

Cryptoportique, Fnac (jusqu’au 24 juillet), Médiathèques Croix- Rouge et Cormontreuil (jusqu’au 31 juillet), Maison du Département (jusqu’au 21 juillet).

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100724b - RMmag

Le quartier Croix-Rouge dans RMmag n° 116 de juillet 2010

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Enfin un « Bistroquet » à Croix Rouge !


La fonction sociale des cafés est essentielle.
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Or aucun espace de convivialité de ce genre n’existait dans le quartier Croix Rouge qui regroupe pourtant plus de 20000 habitants.

Inauguré le 7 juin dans le secteur Croix du Sud, le Bistroquet, premier café associatif de l’agglomération, répond à une demande de la population et affiche une double vocation : offrir les services d’un bar sans alcool avec restauration rapide, développer les liens entre habitants du quartier et du reste de la ville et entre les générations, à travers un programme d’animations.

Sont impliqués dans cette initiative citoyenne et solidaire : Plurihabitat L’Effort Rémois, propriétaire du local entièrement rénové qui propose 40 places assises, l’association 2 Mains qui a organisé le chantier de décoration avec 6 jeunes en contrat de remobilisation, gère le lieu et coordonne les animations, la Ville et Reims et l’Etat, partenaires dans le cadre du Contrat de Cohésion Urbaine et Sociale, Alpha Logement et le Fonds pour l’Innovation sociale des entreprises sociales de l’habitat.

Les plats servis sont préparés avec les produits issus du jardin d’insertion de l’association 2 Mains à Vitry-le-François. Parmi les animations prévues, l’exposition de photos d’un projet humanitaire au Maroc, la diffusion des matchs de la Coupe du Monde de foot, des concerts acoustiques, des concours et autres rencontres organisées avec les associations et les structures du quartier.

5 rue Léon Blum à Reims 03 26 35 81 32

Ouvert du mardi au vendredi (9 h – 15 h) et le samedi (9 h-19 h). Nocturnes le mercredi et le jeudi jusqu’à 21 h.


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Un été grandeur nature


Arbres et insectes, fleurs et rosée, macrophotographie et herbiers, c’est toute la nature qui a investi le réseau des médiathèques de Reims.

Depuis le 1er juin et jusqu’au 28 août, les médiathèques Jean Falala, Croix Rouge et Laon-Zola accueillent deux expositions : « Machromatisme – la nature en toute intimité » et « La vraie nature d’Emilie Vast ».

La première est consacrée au travail du photographe marnais Xavier Coulmier, la seconde à une artiste sparnacienne, ancienne élève de l’ESAD de Reims, qui imagine sur ordinateur des herbiers virtuels.

Ces expositions s’accompagnent d’une série d’ateliers, de conférences et de projections de films (L’Ours, Les ailes pourpres, Le Renard et l’Enfant, etc.)

Détail de la programmation sur : www.bm-reims.fr


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Union100724a - Marne
Avec le Secours populaire : « Pendant les vacances, j’ai changé de famille »

La joie des retrouvailles après une bonne quinzaine de jours de séparation.
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HABITUELLEMENT, Marine, 9 ans, habite à Reims, dans le quartier Croix-Rouge ; mais pour une grosse quinzaine de jours, elle a changé de décor, et même carrément de parents : elle est partie agrandir les rangs d’une famille de Bretagne, avec laquelle elle n’a aucun lien de filiation. Il s’agit d’une « famille de vacances », qui accepte bénévolement, à la demande du Secours populaire, d’accueillir temporairement un enfant supplémentaire issu d’un milieu quelque peu défavorisé.

Feu d’artifice

Là-bas, la jeune Rémoise a retrouvé des enfants d’âge comparable, avec lesquels elle semble avoir passé de bons moments : « Il y avait Florie, qui a 11 ans, et Armand, qui a huit ans et demi, comme moi, nous confiait-elle à la descente du car du retour, sur le parking Saint-Symphorien ; je suis allée au feu d’artifice, j’ai mangé des moules-frites, on est allés au lac, à la mer, et j’ai fait des châteaux de sable… » Autant de bons souvenirs qui faisaient qu’elle se déclarait prête à y retourner, même si elle n’était pas fâchée non plus de se jeter dans les bras de sa vraie maman et du beau-père… « C’est la première fois qu’on la fait partir comme ça avec le Secours populaire dans une autre famille, expliquent ces derniers ; on ne connaissait pas cette famille, mais on avait noué des contacts avant le voyage, et pendant le séjour, par courrier, par téléphone, par internet ; ça change de la colonie de vacances, et ça lui permet de voir autre chose… »

Casier judiciaire

Apparemment, tout s’est bien passé. Les incidents sont d’ailleurs rares dans ce genre de processus que le Secours populaire pratique depuis déjà une vingtaine d’années, tout comme son homologue catholique d’ailleurs. Il faut dire que l’on n’expédie pas les enfants au petit bonheur : « Il ne suffit pas d’être volontaire pour accueillir un enfant, explique Françoise Machet, une bénévole de l’organisation caritative laïque ; nous menons une enquête préalable, en demandant notamment un extrait de casier judiciaire. »

Le nombre de familles « d’expédition » semble se stabiliser dans la Marne ; « non seulement les familles, même modestes, ne lâchent pas leurs enfants si facilement, mais les affaires de pédophilie de ces derniers temps n’ont sûrement pas arrangé les choses », estime Mme Machet ; en revanche, il est de plus en plus difficile de trouver les familles « de destination » « à cause de la montée du chômage notamment, qui fait que les gens se concentrent d’abord sur leurs propres enfants avant de songer à en accueillir d’autres. » Pour autant, toutes les demandes pour cet été ont pu être satisfaites. Espérons pour Marine et ses petits camarades que ce sera encore le cas l’été prochain…

Antoine PARDESSUS

Renseignements sur l’accueil de vacances : Secours populaire au 03.26.79.12.00. Secours catholique au 03.26.47.20.04.


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Union100722b - Marne
Pour onze familles de Croix-Rouge : Premières vacances

Les enfants vont découvrir les joies de la plage en famille.
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Après avoir permis à des enfants de partir en mini-camps pendant cinq années l’été, l’Association de promotion de Pays-de-France, l’association MJC Croix-Rouge et les Francas de la Marne organisent cette année un séjour en direction des familles, du 24 au 30 juillet à Fort-Mahon entre la Baie de Somme et la Baie d’Authie, au beau milieu du massif dunaire du Marquenterre.

Onze familles qui résident à Croix Rouge et en majorité sur le secteur de Pays de France y participent. Elles ont toutes été repérées par l’APPF et partiront pour la première fois en famille. Elles seront hébergées au Centre d’accueil polyvalent de classes de découverte des PEP de la Somme.

24 enfants vont bénéficier de ce séjour, ils seront accompagnés de leur maman ou leurs deux parents. Au total, l’opération regroupe 43 personnes.

L’association MJC Croix-Rouge les aide sous forme de bourses.

L’équipe d’encadrement est constituée de 8 bénévoles des trois associations.


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Union100722a - Marne
Lac des Hauts-de-Murigny : Le renouveau

Réalisé en 1981, ce parc a une surface de 7,4 hectares.
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Qu’ils sont contents les nombreux visiteurs, et en particulier les mamans avec leurs enfants, depuis que le magnifique parc public Pierre-Mendès-France au Val-de-Murigny a bénéficié de travaux.

Après assèchement de l’un des deux plans d’eau, la remise en eau a été effectuée et le grand jet d’eau central a repris du service.

« Ce parc, qui est très propre et bien entretenu est une merveille de calme, de paix et de sérénité », confie cette jeune maman avec sa poussette et qui photographie les paysages et les canards.

 

 


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100721a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7351 du 19 au 25 juillet 2010.

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MODIFICATION DE STATUTS

DUVIVIER & ASSOCIES Société d’Avocats

Centre Espace Performance 35769 SAINT GREGOIRE

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PHARMA HYDRO DEVELOPMENT

Société par actions simplifiée au capital de 422.600 €uros.

Siège social : Avenue Robert Schuman51100 REIMS

R.C.S. Reims 488 123 266

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AVIS D’AUGMENTATION DE CAPITAL

Aux termes du procès verbal de l’assemblée générale extraordinaire du 9 juin 2010 et des décisions du président du 21 juin 2010. le capital a été augmenté de 1.500 € en numéraire. L’article 7 des statuts a été modifié comme suit :

ANCIENNE MENTION : 422.600 €.

NOUVELLE MENTION : 424.100 €.

R.C.S. REIMS.

87200

Pour avis.


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Union100720a - Marne
Tennis / National Cup : En route pour le Cap d’Agde

Organisé par le Cormontreuil TC, l’étape marnaise du National Tennis Cup a rassemblé une centaine de participants. Toujours autant appréciée, car se jouant par classement et ouverte des non-classés aux 2/6, cette compétition possède également la particularité d’être qualificative pour la phase finale qui aura lieu, comme chaque année, pendant les vacances de la Toussaint au Cap d’Agde. Avec comme but ultime pour les qualifiés de décrocher le titre convoité et élogieux de meilleur joueur de France de chaque classement.

Sur le plan sportif, il faut noter en particulier les succès de Charlotte Becret (15/3, Europe Club) et Marine Groulez (15, ASPTT Châlons) qui confirment ainsi leurs excellentes saisons estivales.

MESSIEURS :

- Non Classés : Durdux (Cormontreuil TC) bat Royer (CormontreuilTC) 6-2, 6-3. 40. — Camuzet (Cheminots Reims) bat Pâques (Cormontreuil TC) 6-0, 6-0.
- 30/4. — Lisma (ASPTT Reims) bat Mulot (Gazelec Reims) 6-0, 6-1.
- 30/3. — Samokhine (Warmeriville) bat Becar (Géo André) 6-3, 6-0.
- 30/2. — Jeanson (Taissy) bat Pugeault (Cormontreuil TC) 6-4, 1-6, 6-2.
- 30/1. — Gomez (Cormontreuil TC) bat Hérault (Parques Cormontreuil) 6-4, 6-1.
- 30. — Magron (Guignicourt) bat Poirrier (Cormontreuil TC) 6-1, 6-2.
- 15/4. — Gatti (Cormontreuil TC) bat Pigot (Warmeriville) 6-4, 6-4.
- 15/3. — Mathis (Reims Europe Club) bat Detruiseux (Cormontreuil TC) 6-2, 6-7, 6-4.
- 15/2. — Petit-Jean (Taissy) bat Farget (Géo-André) 3-6, 6-3, 7-5.
- 2/6. — Pignon (Géo-André) bat Bonnet (Reims Europe Club) 4-6, 6-4, 6-3.

DAMES :

- 30/4. — Laure Mourato (Warmeriville) bat Audrey Jacquinot (URT) 6-2, 6-7, 6-1.
- 30/2. — Cathy Corbellari (Montmirail) bat Elisabeth Chmura (Bezannes) 6-3, 6-4.
- 30. — Céline Geoffroy (Saint Memmie) bat Marie Lyne Fournel (Gazelec Reims) 6-1, 6-3. -
- 15/3. — Charlotte Becret (Reims Europe Club) bat Dominique Sandre (TC Reims) 6-0, 6-3.
- 15/2. — Manon Jacquin (St-Memmie) bat Stéphanie Abraham (Cheminots Reims) 6-3, 6-1.
- 15/1. — Delphine Grillon (St-Memmie) bat PaulineThiery (Witry les Reims) 6-1, 6-4.
- 15. — Marine Groulez (ASPTT Châlons) bat Florence Depaquit (Guignicourt) 6-4, 6-1.


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Union100719b - Marne
Solidarité : Les jeunes Européens en action à Reims

Ils expérimentent la solidarité pour le Secours populaire.
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- Voir toutes les photos.

 

 

Dans le cadre du programme européen « jeunesse en Action », la maison de quartier Croix-Rouge a accueilli, du 9 au 16 juillet, six jeunes Français, six jeunes Lituaniens, six jeunes Polonais et six jeunes Tchèques hébergés au centre international de séjour.

Parmi les nombreuses activités proposées à ce groupe, l’organisateur rémois, Slimane Hamdi, a inclus : « Œuvrer pour que l’Europe soit un espace de solidarités entre les peuples en faisant découvrir plusieurs formes de solidarités existantes en France, ici à Reims, en rencontrant et en échangeant avec ATD quart-monde et avec l’association Multi-Echanges services.

Par ailleurs, une collecte de dons s’est déroulée le 10 juillet devant le supermarché Match avec le Secours populaire (opération « les enfants oubliés des vacances »). »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 


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Union100719a - Marne
Tennis / Dormans : Trop vite expédié

Limitée à 3/6, la 27e édition du tournoi du CT Philippe à Dormans a livré hier un palmarès conforme à la logique.

Toutefois, chez les messieurs, ce cru 2010 a connu une finale quelque peu bizarre. Blessé à l’épaule et visiblement pas dans son assiette, la tête de série n° 1 et grandissime favori Stefan Bourlet (3/6, Guignicourt) n’a pas opposé de réelle résistance. Résultat, devant un public surpris, les jeux défilaient pour un retentissant 6-0, 6-0 en moins de 45 minutes en faveur du sociétaire du club voisin (TC Dormans) Mael Mercier Huat (5/6) !

« Une finale qui ne restera pas les annales du club », regrettait d’ailleurs, quelque peu désolé, le maître de cérémonie Philippe Gerin.

Beaucoup plus disputés, les tableaux +35 ans et « Trophée des Légendes » (+55 ans) sont revenus aux favoris, à savoir respectivement Sylvain Plistat (15/5, Coulonges) et Jacques Mourer (30/1, Mareuil-sur-Aÿ).

Idem du côté des dames où Lucie Varenne (La Macérienne), seule 5/6 engagée, a fait respecter la hiérarchie en dominant en finale la Martiniquaise Stéphie Eliazord (15, TC Petit-Manoir).

Outrageusement dominatrice dans le set initial (6-0), l’Ardennaise se relâchait à l’entame de la deuxième manche. De quoi être menée 4-1 en multipliant les fautes directes. Souvent en difficulté pour conclure les jeux, la Carolomacérienne inversait néanmoins la situation en empochant le tie-break.

DAMES.

- Quarts de finale : Marie Schosseler (15/1, Bar-le-Duc) bat Cécile Bourbet (30, Bucy-le-Long) 6-3, 6-3 ;Virginie Doublet (15/2, Bucy-le-Long) bat Angélique Selosse (15/5, Géo André) 7-5, 6-3.
- Demi-finales : Stéphie Eliazord (15, TC Petit-Manoir) bat Marie Schosseler 6-3, 6-4 ; Lucie Varenne (5/6, La Macérienne) bat Virginie Doublet 6-0, 6-4.
- Finale : Lucie Varenne bat Stéphie Eliazord 6-0, 7-6.

MESSIEURS.

- Quarts de finale : Bonnerave (15, Vitry) bat Pellis (15/1, Château-Thierry) 5-7, 6-4, 6-0 ; Fromentin (15/1, Europe Reims) bat Ruelle (5/6, Soissons) 6-1, 6-4.
- Demi-finales : Mercier Huat (5/6, Dormans) bat Bonnerave 6-2, 6-4 ; Bourlet (3/6, Guignicourt) bat Fromentin 6-4, 2-1 abandon.
- Finale : Mercier Huart bat Bourlet 6-0, 6-0.

- Finale +35 ans : Plistat (15/5, Coulonges) bat Eustache Rools (15/5, Château-Thierry) 6-1, 6-3.

- Finale du Trophée des légendes (+55 ans) : Mourer (30/2, Mareuil-sur-Aÿ) batTorres (30/1, Mareuilsur-Aÿ) 7-5, 6-3.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100718b
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7350 du 12 au 18 juillet 2010.

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CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

Avis est donné de la constitution de la SARL : "Sonorisation Audiovisuel Vente Evènementiel 51" sous le sigle "S.A.V.E 51", au capital de 40.000 €. SIEGE SOCIAL 8 avenue Benoit Frachon - 51100 REIMS.

OBJET : Sonorisation, audiovisuel, vente location, toutes prestation audiovisuel, location de tente de réception et de structures gonflables.

DUREE : 99 ans à compter de l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

La gérance : M. JULLIARD Laurent, 6 allée Edgar Degas - 51100 REIMS, M. JULLIARD Thierry, 7 boulevard du Nord - 51110 BOURGOGNE, nommés pour une durée indéterminée. 86615


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Union100718a - Marne
Reims / Trois en une nuit Les voitures brûlent

La nuit de vendredi à samedi n’a pas échappé à la litanie des voitures en feu.

Ainsi, allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge, les pompiers sont intervenus pour éteindre un véhicule en feu devant le numéro 3 de la voie. Il était un peu plus de 4 heures du matin. La voiture n’était pas signalée volée.

Une heure et demie plus tôt, une voiture avait pris feu sur le boulevard des Tondeurs à la hauteur de la commune de Saint-Brice-Courcelles.

Ces deux incendies, dont les raisons exactes restent à déterminer n’ont causé aucun blessé.

A Tinqueux, toujours dans la nuit de vendredi à samedi, un particulier s’est fait dérober sa Mégane Renault. Elle sera retrouvée totalement calcinée, plusieurs heures après, au niveau du chemin de la Folie, à quelques kilomètres du lieu du chapardage.


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Union100717e - Marne
L’été s’affiche à Croix-Rouge : Calme et détente pour tous

C’est que du bonheur dans le quartier : les ateliers artistiques et plastiques favorisent la créativité des enfants,…
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… les petits peuvent jouer dans un sable propre,…
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…et les seniors apprécient la tranquillité du lieu.
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Jusqu’au jeudi 22 juillet, sur l’hippodrome de Reims Champagne, le public peut accéder gratuitement à un site de loisirs, de détente et de manifestations artistiques. C’est l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge » montée par la maison de quartier Croix-Rouge et les associations du quartier, avec le soutien de l’État et de la Ville dans le cadre de la politique de la ville. Les objectifs sont clairement affichés : « Il s’agit de créer un lieu de détente sur l’hippodrome au cœur du quartier pour accueillir les familles, les jeunes et tout habitant désireux de passer un moment convivial et agréable ».

En effet, si les ateliers et les prestations cirque avec l’association Trac, le mur d’escalade et la tyrolienne avec les associations Vertical et Les Arts de la grimpe, la programmation de mini-concerts, certains ouverts aux groupes du quartier (rock, rap, raï, reggae), et l’espace sport avec terrain ensablé, ont bénéficié, comme il fallait s’y attendre, d’un afflux important de jeunes, les mamans avec leurs petits enfants ont vite découvert la magie d’un lieu sécurisé, l’espace famille/petite enfance, avec maquillage, cirque, jeux d’eau, peinture, jardin artificiel et parcours sensoriel. À deux pas, l’espace détente (transats, bacs à sable, buvette) et l’espace jeux (jeux traditionnels étrangers, jeux de société, jeux de plein air familiaux, baby-foot) montrent également leur utilité.

Objectif atteint

Les lecteurs et amateurs de livres sont accueillis au calme auprès du bibliobus de la médiathèque Croix-Rouge.

Au carré « Petite enfance », ouvert pendant toute l’opération, les petits jouent au sable et à l’eau en toute tranquillité : « Ici, pas de mini-motos, pas de quads, pas de molosses en liberté : c’est le calme et c’est propre ! », confirme une maman sur son transat, pas très loin d’un rassemblement de seniors et de retraités occupés à papoter sous leurs parasols.

Les ateliers artistiques et plastiques, avec les associations Résonances et Eutectic, ont fait le plein pour le plus grand plaisir des enfants créatifs.

Hélas, tout a une fin et ce havre de paix et de sérénité sera regretté.

Il ne faudra pas manquer le final, le jeudi 22 juillet : l’hippodrome a programmé des courses de trot en nocturne, avant sa grande fête, ponctuée d’un grand feu d’artifice pour clôturer en beauté « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100717d - Marne
Incivilités répétées place Jean-Fragonard : « Même les livreurs de pizzas refusent de venir »

Un véritable dépotoir laissé par des locataires peu scrupuleux au moment de leur déménagement.
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CATHERINE, Yolande, Marie-Annick, Daniel, Thierry. Cinq des 48 locataires du n° 1 de la place Jean-Fragonard. A eux seuls, ils comptabilisent pas moins de 104 années passées dans cet immeuble de 10 étages, égaré au fin fond de Croix-du-Sud. Alors, c’est dire s’ils le connaissent bien ce quartier. Et s’ils l’aiment… Mais c’est surtout à leur tranquillité que ces locataires de l’Effort rémois tiennent particulièrement. Une tranquillité qui va à vau-l’eau.

« Même les livreurs de pizzas hésitent à venir ici », confie Thierry, le plus récemment arrivé.

Le dernier événement en date remonte à pas plus tard que mardi dernier. Et c’est Yolande qui en a fait les frais. Ce jour-là, en ouvrant la porte de l’appartement qu’elle occupe au rez-de-chaussée, la locataire se heurte à un matelas. « Pour sortir de chez moi, il m’a fallu escalader non seulement le matelas mais également l’une des deux machines à laver qui me barrait la sortie », se souvient Yolande. Gazinière, lave-linge, matelas… autant d’objets abandonnés par des locataires sur le départ. « Il y avait même des couches culottes usagées », précise Yolande. Un véritable dépotoir ! « Ils n’ont même pas eu le courage d’amener leurs détritus à la déchetterie située à moins de 300 mètres », déplore Thierry.

La goutte d’eau qui a fait déborder un vase déjà bien plein.

Bloquer les loyers sur un compte

Une délégation de locataires s’est donc rendue dès jeudi à l’agence de l’Effort rémois. « En mai dernier déjà, on a découvert des tags sur les murs, des gamins avaient déversé de la craie partout sur le sol. Sans compter les boîtes à lettres détériorées. Hier, ça sentait encore la fumée dans les escaliers. On a eu peur de l’incendie… » Une liste non exhaustive. De quoi faire sortir les locataires de leurs gonds. « Quand on nous pose la question, on ne dit pas que l’on habite Croix-du-Sud mais les hauts de Murigny. » Un subterfuge qui assure selon Thierry, la certitude de voir arriver le colis qu’il a commandé.

De bonne foi, Marie-Annick assure que les problèmes ne viennent pas toujours de l’immeuble. « Il n’est pas rare de se plaindre du bruit, celui que font les jeunes en bas. » La police ? « Elle est démunie bien sûr. Les patrouilles passent, mais souvent trop tard », convient cette dame du rez-de-chaussée. Alors partir ? « Pas question ! Ce n’est pas à nous de fuir mais à l’Effort rémois de réagir. » L’idée d’une association de locataires commence à germer chez ces riverains excédés. « On y réfléchit sérieusement. » Autre solution envisagée : « On pense à bloquer les loyers sur un compte afin de faire réagir le bailleur », explique Daniel. Marie-Annick s’arme d’humour pour combattre la morosité ambiante. « Avec la réhabilitation prochaine du quartier et l’arrivée du tramway juste derrière, on nous parle de Croix-du-Sud comme d’un futur quartier résidentiel. Je pouffe… »

Eux, tout ce qu’ils réclament, c’est vivre en paix. « Avec des loyers oscillant entre 400 et 500 €, c’est la moindre des choses », conclut Thierry.

Corinne LANGE


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Mettre les gens face à leurs responsabilités

Yolande a pu accéder à nouveau à son logement jeudi en fin de matinée.
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« On parle ici, d’un véritable problème de citoyenneté que l’on rencontre partout et pas seulement dans les quartiers » Du côté de l’organisme logeur, on a pourtant bien conscience que « le phénomène s’accentue ». Patrick Sommet, directeur clientèle à L’Effort rémois : « Jeudi matin, plusieurs locataires se sont effectivement rendus à notre agence pour signaler la présence d’un véritable dépotoir dans le hall de l’immeuble. Dans l’heure qui a suivi, l’une de nos équipes est intervenue pour nettoyer. » Identifiés, les locataires responsables devront s’acquitter de la facture. « Il s’agit de personnes qui ont déménagé mardi et plutôt que de se rendre à la déchèterie voisine, ont préféré abandonner leurs ordures dans l’entrée. »

A titre d’essai

L’identification des auteurs de ces incivilités n’est pas toujours aussi facile. « Dès qu’un locataire nous informe de problèmes, ou que l’une de nos équipes surprend les gens en flagrant délit, on met en place des rencontres avec les personnes incriminées, ou leurs parents », assure Patrick Sommet. Le responsable fait notamment référence aux tags qui fleurissent régulièrement sur les murs et dans les cages d’escaliers. « Il s’agit de mettre les familles devant leurs responsabilités. » Les locataires de la place Fragonard qui dénoncent ces exactions exigent l’installation de caméras de surveillance. « Pourquoi pas ? », lâche Patrick Sommet, « mais cela a un coût. Derrière les caméras, il faut un vigile. Mais à titre d’essai, cela semble possible, ne serait-ce que pour identifier les auteurs de ces infractions. On a déjà testé ce système dans d’autres quartiers. Maintenant, c’est une réponse possible, mais est-ce véritablement une solution ? Est-ce que cela répondra à leurs attentes ? Pas sûr ! » Le directeur clientèle précise que d’autres moyens sont déjà mis en place : « Nos équipes sont parfois amenées à ouvrir des sacs poubelles abandonnés çà et là, pour découvrir leur propriétaire, par exemple ». Un véritable casse-tête auquel doivent faire face, depuis quelques années, les organismes logeurs de la région.

C.L.


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Union100717c - Marne
Un petit tour au parc Saint-John-Perse

Plus ancien et moins grand que le parc Léo-Lagrange, le parc Saint-John-Perse, à Reims, présente néanmoins une surface de 5,9 hectares, entre la rue de Bezannes et l’avenue du général Eisenhower. Son panneau d’entrée au bois vieilli par les ans a été posé en 1973, lors de la construction du quartier Croix-Rouge Université.

Avec des aménagements pour toutes les générations, depuis les petits qui bénéficient de jeux attractifs jusqu’aux papys qui jouent aux boules, il permet de se détendre en famille.

On peut choisir d’en faire le tour par l’allée circulaire inférieure sous les grands arbres ou de grimper sur le plan supérieur pour parcourir un espace en forme de clairière.

Les promeneurs disposent de bancs pour se reposer et regarder les enfants s’essayer au vélo-cross sur des pistes pas forcément imaginées par le paysagiste Jacques Simon sur son plan d’origine mais devenues réelles par les passages répétés des usagers…

Il y a un an, la Ville de Reims a aménagé un beau plateau avec un circuit destiné aux cyclistes et on peut y voir des familles y prendre du plaisir tout en apprenant le code de la route à leurs enfants.

Côté Eisenhower, le tramway longera le parc et ses voyageurs découvriront la belle languette de zone boisée, véritable poumon vert dans un quartier à la population dense.

Les habitants s’y retrouvent sans penser sans doute à celui dont le nom a été choisi pour ce lieu proche des facultés : Saint-John- Perse (pseudonyme d’Alexis Léger), poète, diplomate et prix Nobel de littérature en 1960.


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Union100717b- Marne
TENNIS / Dormans Pour qui la 27e ?

Forte d’effectifs stables mais conséquents (126), la 27e édition du tournoi du CT Philippe à Dormans s’annonce passionnante. D’ailleurs, comme l’indique le maître de cérémonie, Philippe Gérin, « les joueurs aiment venir sur les installations de la route de Chavenay ».

Chez les messieurs, le titre semble promis au seul engagé à la limite fixée (3/6) Stefan Bourlet (Guignicourt), d’autant que la concurrence pointe ensuite à 5/6 avec Maël Mercier Huat (Dormans), Brice Bonnerave (Vitry) et Yvan Ruelle (Soissons). Sans oublier le lauréat 2008 Christophe Arnould (15, La Macérienne), toujours prompt à briller sur le bioflex dormaniste.

En + 35 ans, bien malin qui pourra émettre le moindre pronostic entre les 15/5 Sylvain Plistat (Coulonges), Harry Eustache Rools (Chateau Thierry) et l’inusable Philippe Huet (Géo-André).

Quant au Trophée des Légendes réservé aux + 55 ans, la finale opposera deux sociétaires du TC Mareuil-sur-Aÿ Dominique Torres (30/1) et Jacques Mourer (30/2).

Enfin, Lucie Varenne (5/6, La Macérienne) sera la grande favorite du tableau féminin devant la Martiniquaise Stéphie Eliazord (15, TC Petit Manoir) et la Meusienne Marie Schosseler (15/1, Bar-le-Duc).

AUJOURD’HUI. - 9 h 30 : demi-finales messieurs ; 16 heures : demi-finales dames.

DEMAIN. - 9 heures : finales + 35 ans et Trophée des Légendes (+ 55 ans) ; 15 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.


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Union100717a - Marne
Reims : nacelle et voiture en feu

Au cours de la nuit de jeudi à vendredi, vers 22 h 30, le feu s’est déclaré sur un chantier de rénovation de façade à Reims, à hauteur de l’immeuble 52 de l’esplanade Eisenhower ; une nacelle élévatrice a été brûlée superficiellement.

Le chantier n’est pas remis en cause pour autant.

Dans la série des feux urbains, une Alfa-Roméo volée le 23 juin dernier dans l’Aisne a fini dans les flammes jeudi matin, vers 7 h 30, à Reims, dans la rue du Docteur-Calmette (secteur de l’ancienne rue Havé).


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Union100716c - Marne
La rénovation urbaine / Plus belle la vie avec un balcon.

Les HLM n’ont plus rien à envier aux résidences.
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Claudine a l’un des plus beaux balcons du quartier.
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Ludivine apprécie d’avoir un endroit à elle où prendre l’air.
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REIMS (Marne). Les balcons qui poussent à vue d’œil sur les HLM de Croix-Rouge font la joie des locataires. Ils découvrent un petit luxe attendu trop longtemps.

ÇA change la vie, un balcon. « Du temps de Monsieur Chevalier, je disais toujours que j’aimerais bien avoir un balcon. Et voilà qu’on est dessus. » Claudine aura attendu vingt-deux ans et la rénovation urbaine pour avoir son balcon allée Edgar-Degas. Ça valait la peine d’attendre : « Le soir, par ces temps de canicule, le plaisir, c’est de s’asseoir là et de profiter du frais. Tranquille chez soi. » Ou bien de faire un Scrabble avec son mari sur la petite table qui peut aussi servir à déjeuner au soleil. Claudine a recouvert le sol de gazon artificiel, a mis des géraniums, une petite banquette pour se détendre et a créé un jardin aromatique où poussent thym et romarin. « J’ai même mis quelques fraises sur le côté mais pour l’instant elles n’ont rien donné. L’année prochaine peut-être. »

Tous ces balcons qui poussent aux fenêtres à Croix-du-Sud font des heureux. Parasols, linge qui sèche, tricycles qui n’encombrent plus, petits qui prennent l’air, palmier qui pousse… les habitants n’ont pas mis longtemps à s’approprier cette nouvelle partie de leur appartement. « Je n’ai jamais autant bronzé que cette année grâce à mon balcon », confie Ludivine. « C’est génial d’avoir un espace à nous dehors. D’autant mieux que dans le quartier on n’ose pas trop traîner dans les parcs avec les enfants à cause des gros chiens. » Djamila apprécie beaucoup de pouvoir mettre son linge dehors et de prendre le café nez au vent. Maria confirme : « Ça change la vie un balcon. On mange dessus quand il fait beau et l’après-midi, on peut s’y installer pour lire. »

« C’est normal qu’on participe un peu »

Grâce à ces balcons, cet été sera plus sympa que les autres pour nombre de Rémois. Sauf pour quelques grincheux qui retiennent surtout l’augmentation de loyer occasionnée par ce progrès.

« Nous, ça nous fait 9, 82 euros par mois », confie Claudine. Pour certains qui ont un balcon encore plus grand, c’est encore un peu plus cher. C’est dans les cages d’escalier que ça râle le plus : « Il y a des tas de gens qui ont déjà du mal à tout payer alors leur ajouter cela en plus, c’est pas très malin. Beaucoup vont devoir partir parce que ce sera trop cher pour eux. »

D’autres comprennent mieux cette augmentation : « Il n’y a pas que les balcons, ils nous ont aussi refait l’isolation, le chauffage et l’électricité. C’est normal qu’on participe un peu. » Pour Claudine, le prix s’oublie dès qu’elle s’installe le soir sur son balcon : « L’autre jour, on y est restés jusqu’à 2 heures du matin sans s’en rendre compte. Tellement il y fait bon. »

Catherine FREY


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Un coût de 2 millions d’euros

Dans ce quartier Degas-Rodin à Croix-du-Sud, l’Effort Rémois a prévu de monter 245 balcons sur les 14 immeubles. Dont des jardins d’hiver au 3 et au 11 Degas. Les jardins d’hiver sont un peu plus grands que les balcons et sont fermés par un vitrage coulissant. Le chantier est à peu près réalisé à moitié et devrait se terminer courant 2011.

Pour poser un balcon sur un immeuble qui n’en a jamais eu, il faut commencer par fixer une armature métallique sur la façade, y couler du béton et ensuite on pose le garde-corps en aluminium sur les trois faces. Même technique pour les jardins d’hiver mais avec pose du vitrage en plus.

La superficie de ces balcons oscille entre 3 et 20 m2, leur mise en place coûte à l’Effort Rémois environ 2 millions d’euros. Somme qu’il répercute en partie sur les loyers en fonction de la taille du balcon. L’augmentation moyenne pour le locataire est de 10 € par mois et, au maximum de 20 €.


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Union100716b - Marne
Au conseil municipal / Le temps des subventions

REIMS (Marne). Lors de la dernière réunion du conseil municipal, les élus ont voté de nombreuses subventions aux associations.

Subventions d’équipement.

Association Rémoise des Amis des Bêtes : 6.000 € ; Part’Ages 51 : 900 € ; CinéSourds : 1.500 € ; Aphasiquement Vôtre : 800 € ; AIDES - Délégation Marne : 500 € ; Les Jardins Familiaux de la Cerisaie : 5.000 €

Subventions de fonctionnement à caractère divers.

Société d’Etude des Sciences Naturelles de Reims : 300 € Congrès et assemblées générales. Centre Consulaire et Comptable de Gestion Agrée de Reims et d’Epernay : 1.000 € ; Mutuelle du Journal l’Union : 313 € ; Association des Anciens Elèves des Ecoles des Métiers des Industries Céréalières : 2.500 € ; Syndicat National des Architectes Agrées et des Maîtres d’Œuvre du Bâtiment : 2.500 € ; Mutualité Française Champagne Ardenne : 347 €

Subventions de fonctionnement à une association de relations européennes.

Mouvement Européen France : 2.500€

Subventions pour des projets européens.

Centre Régional d’Information Jeunesse de Champagne Ardenne 500 € ; Parlement Européen des Jeunes - France 1.000 €

Subventions pour un projet touristique.

Section véhicules d’Époque de l’Automobile Club de Champagne-Ardenne 1.000 €

Subventions pour les projets d’étudiants

Médias Saint-Jean Baptiste de la Salle : 2.500€ ; Promotion des Etudiants en Economie d’Entreprise 3.400 € ; Association pour l’Accueil des Etudiants Etrangers à Reims : 2.800 € ; Association des Etudiants en Pharmacie de Reims 500 € ; Comité des Internes de Reims Champagne : 1.000 € ; Stratégiq RH : 2.500€ ; Unis-Cité : 350 € ; Association des Etudiants en Master Comptable et Contrôle : 500 € ; Association des Jeunes Journalistes Européens : 3.650 € ; Calypso : 700 € ; Fresh’Info : 2.000 € ; Groupe de Réflexion et d’Action sur la Politique Européenne de Voisinage : 1.000 €

Subventions de fonctionnement des associations socio-éducatives

Union Rémoise des Délégués Départementaux de l’Education Nationales de Reims et sa Région : 405 € ; Pour la Promotion de Lire et Faire dans la Marne : 1.830

Subventions pour les animations dans le cadre de Reims Vital Ado Eté

Aéro Club de Champagne : 975 € ; Association de Badminton Champenois : 1.508 € ; Amicale Carteret 275 € ; Médias Saint-Jean Baptiste de la Salle : 1.100 € ; Reims Echec et Mat 560 € ; Cercle Nautique Rémois 765 € ; Ecoute Jeune Murigny : 1.300€ ; Groupe d’Activités Subaquatiques Marnais : 1.430€ ; Olympique Rémois Tennis de Table : 2.120 € ; Société de Tir de Reims : 6.364€ ; Reims Planeur : 1.600€ ; Entente Family Stade de Reims Athlétisme : 315 € ; Tennis Racing Club de la Muire : 1.350 € ; Cercle Rémois d’Arts Martiaux : 1.888 € ; Toutes Recherches Artistiques et de Créations : 1.170 € ; Régates Rémoise : 1.425 € ; Amicale Sportive des Sapeurs Pompiers de Reims : 2.888 € ; Centre de Loisirs Jeunes de la Sécurité Publique de Reims : 3.000 € ; Informatix : 524 € ; Association Sportive Capoeira Reims : 560 € ; Avant l’Hiver : 2.000 € ; Foyer Rural de Pogny : 3.760 € ; Reims Métropole Volley : 260 € ; Footzbeul : 540 € ; Kings : 740 € ; Ligue de Champagne Ardenne de Voile : 3.000€

Subventions de fonctionnement des clubs sportifs

Reims Olympique Canoë Kayak : 4.000€ ; Association Culturelle et Sportive Chalet Tunisie : 690 € ; Société de Tir de Reims : 9.600 € ; Union Rémoise de Tennis : 2.000 € ; Club de Pétanque Chalet Tunisie : 575 € ; Reims Yoseikan Budo Association : 800 € ; Reims Triathlon : 4.050 € ; Roosevelt Rugby Club 450 € ; Centre Equestre Reims Université Club : 1.540 € ; Reims Roller Champagne Club : 4.375 € ; Football Club Luciano : 350 € ; Sacre Rémois Futsal Association : 1.925 €

Subvention de fonctionnement des clubs sportifs de collèges et lycées

Association Sportive Jeanne d’Arc de Reims : 1.356 € ; Association Sportive de l’Ecole Saint-Joseph : 800 €

Projets et manifestations des associations sportives.

Association de Badminton Champenois : 4.430 € ; Ring Régional de Champagne de Boxe : 500 € ; Reims Handisport : 6.000 € ; Club de Pétanque Chalet Tunisie : 790 € ; Union du Secteur de Reims des Associations Laïques : 1.500 € ; Reims Enduro Model Car : 1.070 € ; Roller Hockey Reims : 2.800 € ; Reims Champagne Hockey : 3.860 €

Subventions de fonctionnement des associations à caractère culturel

Union Photographique Rémoise : 500 € ; Art Création Culture : 300 € ; Les Citrons Bleus 800 € ; Union Chorale de Reims : 350 € ; Jeunesses Musicales de France Champagne Ardenne : 7.000 €

Projet et manifestations des associations culturelles

Aradopa UNA : 1.500 € ; Association Culturelle Champagne Pologne : 1.000 € ; Les Amis Marnais de l’Appel des Cent : 427 € ; Ex Aequo : 1.000 € ; CinéSourds : 800 € ; Pseudonymo : 3.000 € ; Cultures du Cœur Champagne Ardenne : 8.000 € ; Rèmes en Si : 350 € ; Succursale 101 : 3.000 € ; Jardinet : 3.000 € ; Appartement 16 Art Gallery : 3.000 € ; Association de l’Espace Culturel Protestant : 800 € ; Station Service Cie : 2.000 € ; Collectif IO : 1.150 € ; Cinq et demi : 800 €

Subventions de fonctionnement des associations de solidarité

Société Saint-Vincent-de-Paul du Collège Saint-Joseph : 4.000 € ; Je vous écris ces quelques lignes : 800 € ; Les Œuvres Hospitalières Française de l’Ordre de Malte : 1.000 €

Subventions pour un projet d’une association de solidarité

Odyliade : 5.000 €

Subventions de fonctionnement des associations d’insertion et d’économie solidaire

Multi Echanges Services : 1.000€ ; Bâtiment Services : 7.000 €

Subventions de fonctionnement des associations à caractère familial

Couples et Familles Marne : 1.700 € ; Association de Sauvegarde et d’Action Educative et Sociale de la Marne : 2.000 € ; La Maison de l’Enfance : 2.900 € ; Paroles de Parents : 500 €

Subventions pour des projets à caractère familial

Paroles de Parents : 500 € ; Planète Parents : 380 €

Subvention de fonctionnement à un jardin familial

Les Jardins Familiaux de la Cerisaie : 2.000 €

Subventions de fonctionnement des associations à caractère sanitaire

Association Valentin Haüy pour les Aveugles : 700 € ; Association des Gestes pour se Comprendre 2.500 € ; Autisme Marne : 950 € ; Roseau : 2.750 € ; Ecole du Chat « Comité de Défense des Bêtes Libres » de Reims : 7.500 € ; Alliances Maladies Rares : 500 €

Subventions pour les projets des associations à caractère sanitaire

Association Marnaise des Diabétiques : 1.000 € ; Part’Ages 51 : 1.000 € ; AIDES - Délégation Marne : 2.000 € ; AFM Coordination Départementale Marne Ouest du Téléthon : 13.500 € ; Jaccede.com : 5.000 €

Subvention à caractère touristique

Centre International de Séjour et de Rencontre de Reims : 10.120 €

Subvention de fonctionnement d’une association à caractère économique

Centre d’Etudes et de Recherches Economiques et Sociales Champagne Ardenne : 3.137 €

Subvention pour le projet d’une association à caractère économique

Comité Régional pour les Olympiades des Métiers de Champagne Ardenne 20.000

Subvention de fonctionnement d’une association d’animation commerciale

Association des Commerçants de la Rue de Cernay : 15.000 €


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Union100716a - Marne
Tennis ( Aÿ) / La 10e pour Bécret et Henry

Limité aux 3e séries, le tournoi de l’ASL Aÿ a connu pour son 10e anniversaire un joli clin d’œil avec la victoire de Lucas Henry (15/2).

A 14 ans, le prodige agéen licencié à Bouzy a su saisir sa dernière chance de s’imposer sur ses terres. Car le futur sociétaire de Géo-André risque fort de grimper en 2e série…

En ayant progressé dans la gestion des matches, il a su mettre en place son jeu pour dominer, sur surface rapide, Maxime Callé (15/2, Géo-André), le fils de l’ancien Stadiste Philippe Callé. Résultat, une finale à sens unique (6-2, 6-3).

En + 35 ans, la logique a aussi été respectée avec le succès du local François Schopphoven (15/2, Aÿ) aux dépens de l’Aubois Olivier Tschenn (15/3, Villette sur Aube), 6-3, 6-3.

Pas de surprise non plus chez les féminines puisque la favorite Charlotte Becret (15/3, Reims Europe Club), lauréate la semaine passée à Witry-lès-Reims, a disposé d’Estelle Levasseur (15/5, ASPTT Epernay), 6-2, 6-3.

MESSIEURS

- Demi : Henry bat Choiselat 7-6, 6-4 ; Calté bat Tschenn 6-2, 6-4.
- Finale : Henry bat Calté 6-2, 6-3.

+ 35 ANS

- Demi : Schopphoven (15/2, Aÿ),bat Andrieu (15/3, Saint-Memmie) 1-6, 6-4, 6-1 ;Tschenn (15/3, Villette-sur-Aube) bat Adam (15/2, Reims Europe Club) par WO.
- Finale : Schopphoven batTschenn 6-3, 6-3.

DAMES

- Demi : Estelle Levasseur bat Stéphanie Doyen (15/3, Mardeuil) 3-6, 7-5, 6-1 ; Charlotte Becret (15/3, Reims Europe Club) bat Juliette Martinval 6-0, 6-3.
- Finale : Charlotte Becret bat Estelle Levasseur 6-2, 6-3.

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Union100715a - Marne
TENNIS / Dormans : Lepage et Betbeze expéditifs

Le 38e tournoi du TC Dormans a livré hier un palmarès conforme aux prévisions. En effet, chez les messieurs, la tête de série n°1 car seul 4/6 engagé Vincent Betbeze a logiquement disposé en finale du local Maxime Mansard (15/2, Dormans). Auteur d’un formidable parcours avec quatre « perfs » à la clé, le Dormaniste ne disposait pas des moyens nécessaires pour bousculer un Rémois à l’aise sur le mateflex de la salle couverte. « Il a été plus fort d’autant que j’étais un peu ’raide’ physiquement », admettait le finaliste.

Scénario quasi identique du côté des dames où la grande favorite Julie Lepage (15, Montmirail) n’a laissé aucune chance - 6-0, 6-2 - à sa camarade de club Alexandra Laluc (15/3) qui a également traversé presque tout le tableau.

MESSIEURS.

- Quarts de finale :Arnould (15, La Macérienne) bat Mercier Huat (5/6, Dormans), 6-1, 0-6, 6-2 ; Mansard (15/2, Dormans) bat Cailleux (5/6,TC Reims), 6-3, 5-Z 6-4 ; Noël (15/1, Montmirail) bat Thierus (15, Géo-André), 6-1, 6-4.

- Demi-finales : Mansard bat Arnould, 6-7, 6-3, 6-4 ; Betbeze (4/6,TC Reims) bat Noël, 6-4, 4-6, 6-4.

- Finale : Betbeze bat Mansard 6-1, 6-1.

DAMES.

- Quarts de finale : Stéphanie Abraham (15/2, Cheminots Reims) bat Anaïs Durand (15/3, Reims Europe Club), 6-0, 6-3 ; Alexandra Laluc (15/3, Montmirail) bat Sindi Emric (15/2, CT Philippe), 7-6 abandon.

- Demi-finale : Julie Lepage (15, Montmirail) bat Stéphanie Abraham, 6-4, 6-1 ; Alexandra Laluc bat Tethies Eliazord (15,TC Petit Manoir), 6-1, 6-4.

- Finale : Julie Lepage bat Alexandra Laluc 6-0, 6-2.

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Union100714f - Marne
Diapos, film, conte… : L’été à la médiathèque Croix-Rouge

La prochaine « Heure des bébés » aura lieu fin juillet.
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Diapositives : mercredi 21 juillet à 16 h 30, séance de diapositives : « La main verte » de Marie-José Germain. Jonathan va découvrir le jardinage… (Pour les enfants à partir de 4 ans).

Projection : samedi 24 juillet, de 14 h 30 à 15 h 30, « l’aventure des plantes », une série réalisée par Jean-Pierre Cuny d’après Jean-Marie Pelt, pour découvrir l’extrême variété et l’imagination présentes dans l’univers des plantes, dans leur éternelle lutte pour la survie. Ces films font appel à des techniques de tournage qui demandent des semaines, parfois des mois de patience pour livrer les secrets du monde qui nous entoure. Deux épisodes au programme : « Le plus faible des deux » et « Quand on est mort, c’est pour la vie ».

Heure des bébés : mercredi 31 juillet à 9 h 30, « l’heure des bébés », c’est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits (6 mois-3 ans) et leurs parents. Pendant trente minutes, les bibliothécaires les accueillent avec des histoires à lire ensemble en dehors des heures d’ouverture de la médiathèque.

Ronde des albums : mercredi 4 août à 11 heures, une ronde des albums sur le thème des fleurs, pour les enfants à partir de 4 ans.

Toutes les activités sont gratuites sur inscription préalable auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

 

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Union100714e - Marne
Photographies : Le « Machromatisme » en exposition

Le monde des fleurs, des insectes, de la rosée… passé à la loupe.
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Jusqu’au 28 août, la médiathèque Croix-Rouge expose les macrophotographies de Xavier Coulmier, un jeune photographe marnais de 33 ans qui surprend en explorant le monde des insectes, des fleurs, de la rosée, de la glace : pour lui, tout est prétexte à visiter ces mondes, bien que minuscules mais pourtant sans limite à l’imagination.

Il cherche avant tout à capter la nature sous un angle différent, plus ou moins décalé par rapport à la réalité. Pour cela, il opte pour une vision poétique, une mise en scène imaginaire ou un traitement graphique - voire abstrait - du sujet, même le plus banal qui s’offre à lui.

En écho aux photographies, le public peut découvrir des herbiers et des livres de botanique anciens richement illustrés, issus du fonds ancien de la bibliothèque municipale de Reims.

 


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Union100714d - Marne
La gale dans l’appartement, l’organisme logeur tarde à intervenir

Coulée brunâtre dans la chambre d’enfants.
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REIMS (Marne). Ayant quitté sa maison de Châlons pour se rapprocher d’un lieu de travail, cette famille déplore l’état de l’appartement qu’elle a trouvé à Reims.

« MA grande de 14 ans a dû aller à l’hôpital, elle a attrapé la gale : un dermato l’a confirmé, et moi je crois que je commence à être touché aussi… » Il en a assez ce père de famille, de l’état de salubrité, qu’il estime pour le moins douteux, de son nouvel appartement.

Esplanade Paul-Cézanne, dans le quartier Croix-Rouge, il l’occupe depuis février dernier, ayant quitté Châlons pour se rapprocher de son lieu d’activité professionnelle. Dans la chambre d’enfants une grosse tache brunâtre macule un coin de mur. « Quand nous sommes arrivés, il y avait juste une toute petite marque au plafond, affirme le locataire, maintenant c’est descendu tout le long de notre mur. »

« J’ai commencé à ressentir des démangeaisons depuis environ deux mois, témoigne la grande fille contaminée, je sentais des petites piqûres pendant la nuit mais je ne voyais rien ». « Ça fait trois mois qu’on a signalé le problème à l’organisme logeur, en l’occurrence Plurihabitat (Effort rémois), poursuivent les parents, et on ne voit toujours rien venir ! Nous avons décidé de recourir à la justice, nous allons demander un avocat. »

Rendez-vous à venir ?

Du côté du logeur, on affirme que « le chargé de clientèle a rencontré la locataire le 30 juin à la suite d’une demande de travaux » de la part de celle-ci. « Le logement ne présente aucun problème d’humidité, poursuit-on (les locataires, eux, signalent une défaillance du système d’aération, notamment dans la salle de bain, et un suintement anormal dans les toilettes, NDLR).

Les cloisons abîmées proviennent d’un dégât des eaux qui a eu lieu courant mars (chez le voisin du dessus, NDLR) et qui n’a jamais été déclaré auprès de l’agence. Le remplacement des cloisons a été enregistré après le rendez-vous avec la locataire, l’entreprise mandatée prendra rendez-vous sous peu avec elle. » Mais ce rendez-vous tarde à venir : pour l’heure, les occupants n’ont encore reçu aucun coup de fil.

« Seul un plombier est venu nous changer la robinetterie, indique madame, mais pour le remplacement des cloisons, toujours rien ! »

Et ces nouveaux Rémois regrettent bien leur pavillon de Châlons où ils logeaient auparavant. Dire qu’ils l’ont quitté pour faire des économies de transport par rapport au travail de monsieur ! Voilà qu’ils vont devoir engager des frais de justice…

A.P.


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Union100714c - Marne
TENNIS / De Reims à Saint-Memmie : Les jeunes pousses sur tous les fronts

Fort de 172 inscriptions (+ 6 par rapport à 2009), le tournoi du TC Géo-André a remporté un franc succès.

Ce millésime 2010 est apparu comme très classique puisque tous les favoris se sont imposés, à l’image des locaux Mikolaj Woynar (15/4) ou Maéva Spooner (15/1).

GARÇONS.

- 9-10 ans : Joubert (30/2,Taissy) bat Godart (30/4, La Macérienne) par WO.
- 11-12 ans Mouilleron (15/5, ASPTTTroyes) batTonnel (30, Reims Europe Club) 6-3, 6-2.
- 13/14 ans : Woynar (15/4, Géo-André) bat Chaudré (15/5, URT) 6-1, 6-0.
- 15-16 ans : Henry (15/2, Bouzy) bat Arfaoui (15/5, Saint-Martin-sur-le-Pré) 6-0, 6-1.

FILLES.

- 9-10 ans : Noé Wallart (30/3, Géo-André) bat Emma Cuny (30/4, ASPTT Châlons) 5-2, 5-1.
- 11-12 ans : Amélie Lamothe (30/3, Cheminots Reims) bat Auxane Pierlot (30/4, La Muire) 6-3, 6-0.
- 13/14 ans : Marie Geoffroy (30, Saint-Memmie) bat Hira Rakotomahanina (30, Bétheny) 6-2 ab.
- 15/16 ans : Maéva Spooner (15/1, Géo-André) bat Mathilde Caron (15/1, Guignicourt) 6-2, 6-3.


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Union100714b - Marne
Feux divers

Vers 19 h 30, lundi, des détritus se sont enflammés dans le sous-sol d’un bar désaffecté de la route de Witry. A 21 heures, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré rue Pierre-Taittinger.

Hier à 13 h 30, un lave-vaisselle a pris feu dans un appartement de l’allée des Tourangeaux. Il a été rapidement éteint. Un feu d’herbes s’est ensuite déclaré à 17 heures rue du Caporal-chef-Divry.


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Union100714a - Marne
Une moto volée et incendiée

Lundi vers 22 heures, une moto Triumph Dayton a été incendiée impasse de la Fosse-Dienne, au quartier Orgeval à Reims. Elle provenait d’un vol commis samedi à Cauroy-lès-Hermonville.

Hier, juste après minuit, une Fiat Uno a brûlé sur un parking de l’allée des Bourguignons. Elle n’était pas signalée volée.

Dimanche vers 20 heures, un autre feu de voiture — accidentel celui-là — s’est déclaré sur une Renault Laguna qui circulait sur le parking de l’hypermarché de Champfleury.


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Union100713d - Marne
TENNIS / Pour qui la 38e ? : Dormans.

Limité cette année à 4/6, le tournoi du TC Dormans a connu une légère hausse de la fréquentation avec 92 inscrits contre 88 l’an passé.

Il faut dire que cette épreuve est un rendez vous majeur des 2e séries dans la Marne. Résultat, pour cette (déjà) 38è édition, le maître de cérémonie André Wacquez a pu établir de beaux tableaux.

A commencer par celui des messieurs où, seul 4/6 engagé, Vincent Betbeze (TC Reims) fait figure de logique favori. Reste qu’il aura fort à faire avec le tenant du titre Mael Mercier Huat (5/6, Dormans) et le finaliste 2009 Laurent Cailleux (5/6, TC Reims). Sans oublier les ex 5/6 aujourd’hui 15 Christophe Arnould (La Macérienne) et Guillaume Thierus (Géo-André).

En + 35 ans, la décision devrait se faire à 15/1 entre Philippe Noël (Montmirail) et Jean-Christophe Cuinet (Château-Thierry). Sauf si Christophe Miosek (15/2, Bétheny) bouleverse la hiérarchie.

Enfin, le tableau féminin est nettement moins fourni puisque les prétendantes pointent à 15 avec Julie Lepage (Montmirail) et la Martiniquaise Tethis Eliazord (TC Petit Manoir). Derrière, les 15/2 Stéphanie Abraham (Cheminots Reims) et Sindi Emric (CT Philippe) vont devoir créer l’exploit pour arriver en finale.

AUJOURD’HUI. - 18 heures : demi-finales + 35 ans ; 19 heures : demi-finales messieurs ; 19 h 30 : demi-finales dames.

DEMAIN. - 14 h 30 : finales dames et + 35 ans ; 16 heures : finale messieurs.


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Union100713c - Marne
TENNIS / Aÿ fait le plein

Haut lieu de la convivialité tennistique dans la Marne, Aÿ a encore fait le plein avec 145 engagements pour cette 10e édition qui, nouveauté, est ouverte jusqu’à 15/2.

Chez les messieurs, avec six 15/2 et huit 15/3, l’indécision règne en maître sur les superbes installations agéennes. Toutefois, l’incontournable juge-arbitre Fabien Delcorde a été impressionné par les 15/2 Sébastien Choiselat (Marigny), Maxime Callé (Géo-André), Nicolas Lemaire (Rocroi), Lucas Henry (Bouzy) et le 15/3 Dimitri Andrieu (Saint-Memmie).

Du côté des dames, aucune 15/2 n’ayant répondu à l’invitation du président Bruno Noël, la finale devrait en toute logique opposer les 15/3 Stéphane Doyen (Mardeuil) et Charlotte Becret (Reims Europe Club), récente lauréate à Witry-les-Reims.

DEMAIN.- 8 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finales dames et + 35 ans ; 15 h 15 : finale messieurs.


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Union100713b - Marne
Comédie musicale / « Il manque encore une quarantaine de personnes »

Bensad Allaoui, ici avec Elvida Azemovic, danseuse orientale recrutée, a des idées, mais se retrouve bien seul.
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Voilà déjà longtemps que Bensad Allaoui, jeune créatif de Croix-Rouge, cherche à monter son spectacle, une comédie musicale intitulée « Le destin des enfants de l’espoir ». S’il n’a pas de problèmes d’écriture, de musique ni de mise en scène, ses besoins humains nécessaires « pour reformer une troupe rémoise » sont énormes, « la troupe initiale constituée pour le disque et le film ne pourra pas être présente entièrement pour la suite ». Il manque une quarantaine de personnes !

Cherche acteurs, danseurs…

Voici les rôles et les âges :

- Giuseppina, une actrice entre 40 et 60 ans, « une mamma excentrique » ;
- Antonio, un homme entre 30 et 40 ans, « le papa adoptif, du type parrain » ;
- Angéla, une dame de 30 à 40 ans, « une fasciste mussolinienne » ;
- Caroline, la belle-fille de Giuseppina, entre 25 et 35 ans ;
- Cinthia, entre 25 et 35 ans, une conspiratrice, femme de Mickaël, qui sera interprété par Emmanuel Gauthier ;
- Sébastian, un bourgeois napolitain, entre 50 et 60 ans. Il sera le père de Chiara, interprétée par Mélanie Goubet.
- Esteban le gitan, mari de Chiara, entre 30 et 35 ans. « Pour ce rôle, je sensibilise aussi les gens d’Europe de l’Est des différents quartiers, pouvant jouer dans leur langue. »

Par ailleurs, sont recherchés des danseurs et danseuses médiévaux, baroques, turcs, indiens, orientaux, classiques, irlandais, modern jazz, hip-hop et acrobates.

Recherchés aussi, M’Hamed, pour un rôle d’éducateur charismatique, brun, svelte, laconique et austère, entre 35 et 40 ans ; Jean-Philippe, vénal, hautain, « faux jeton », pathétique, entre 35 et 40 ans ; des animatrices conspiratrices, entre 30 et 40 ans ; une directrice de foyer, au rire de vieille sorcière, entre 50 et 60 ans ; une Maghrébine pour un rôle de maman naturelle timide, entre 18 et 25 ans ; le père, entre 25 et 30 ans, « avec un timbre grondant », un cuisinier, figurant pendant une scène de restaurant du premier acte, à partir de 50 ans, et encore dix figurants pour la scène consacrée à la Palestine.

… et décorateur

« Je recherche aussi un décorateur et des personnes pouvant coudre les costumes que j’ai dessinés. Toutes les personnes intéressées peuvent se rendre sur les sites suivants pour accéder aux chants et à la photo de la troupe du disque : www.myspace.com/ledestindese… et www.myspace.com/ ledestindesenfantsdelespo. »

Les personnes intéressées par cette aventure peuvent envoyer leur CV avec photo(s) et éventuellement démo à Salah Byar, président de l’association « Point rencontre », 7, rue Joliot-Curie (tél. 09.72.90.01.10.) ou contacter Bensad Allaoui au 06.46.84.51.42.


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Union100713a - Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS – 7, rue Marie Stuart 51100 REIMS

Objet du marché : Marché de travaux de réfection et d’étanchéité toitures REIMS / Réf. : MA - 050310

- 01 1 rue Paul Schleiss et 3-5 rue Duterque (2010/2011) SOPREMA 78 500,00 € HT
- 02 4, rue Kerguelen (2010) ISOTOP 30 964,75 € HT
- 03 118-120 bd Vasco de Gama (2010/2011) ISOTOP 63 228,76 € HT
- 04 43-43 bis rue Dumont d’Urville (2011) ISOTOP 63 228,76 € HT
- 05 L. Charpentier, P. de Coubertin - Résidence Coubertin (2010/2011) GAYET Agence WAGNER 153 185,25 € HT
- 06 12-14 av de Laon (2010) BUCZEK 89 589,87 € HT (En sus 626.00 € HT Option 1)
- 07 73 Pierre Brossolette, 25 A.Henriot (2010) BUCZEK 103 807,84 € HT
- 08 301A et 301 B av de Laon (Toiture 2010) BUCZEK 117 889,19 € H.T. (En sus 2 164,78 € HT Option 1 et 2 996,06 € HT Option 3)
- 09 1 C Curie – Gambetta –Kastler (2010/2011/2012) GAYET Agence WAGNER 184 324,99 € HT
- 10 53-55 Paul Doumer (2010) GAYET Agence WAGNER 40 859,58 € HT
- 11 6-8, rue d’Orbais (2010) SEC 43 753,40 € HT

Montant du marché : 975 119,23 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82

Date d’envoi à la publication des journaux L’UNION (Aisne, Marne et Ardennes) et L’EST ECLAIR, le 2 juillet 2010


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Union100712e - Marne
Au conseil municipal : Vers un déficit de 100 000 € pour l’association des maisons de quartier

L’attribution de diverses subventions à l’association des maisons de quartier a donné l’occasion à Franck Noël (MoDem) de dire à la maire toute son inquiétude, chiffres à l’appui, quant au devenir des maisons de quartier.

« On constate que l’association des maisons de quartier, qui gère une vingtaine de sites avec un budget de près de 11 millions d’euros (dont 70 % de dépenses de personnels), n’a pas vu augmenter la subvention de la Ville depuis trois ans. Si vous parlez de Reims 2020 au moyen de belles plaquettes, la préoccupation de ce type de structures, ce n’est pas 2020, ni 2011 mais 2010. C’est avec inquiétude que j’ai entendu à l’assemblée générale que l’on parle d’un déficit prévisionnel de l’ordre de 100 000 euros si rien n’est fait. Qu’en est-il du rapport d’audit qui allait sortir de façon immanente ? Pouvez-vous nous dire de quelle manière vous allez en discuter avec l’association ? Enfin, il y a une autre problématique inquiétante, ce sont les relations entre la Ville et la Caisse d’allocations familiales. En effet, pour la première fois, la Caf n’assistait pas à l’assemblée générale. Quand on sait l’importance du soutien de la Caf, évalué à 2,3 M€ par an, on ne peut que s’inquiéter de cette absence, et qu’elle ne préfigure pas un désengagement financier qui serait dramatique et irréparable pour les maisons de quartier. »

Pour Adeline Hazan, le financement de la Caisse d’allocations familiale était déjà auparavant un problème, mais contrairement aux propos de M. Noël, s’il y a un problème, ce n’est pas avec la Ville.

Deux réunions en juillet

Sur le rapport de KPMG qui a tardé, il arrive à terme, a assuré la maire. « J’étais à l’assemblée générale et j’ai réussi à rassurer l’association en disant qu’il n’était pas question de revenir en arrière mais qu’il fallait une remise à plat et apporter des améliorations. » Et d’annoncer la tenue de deux réunions sur la question de maisons de quartier : ce lundi 12 juillet avec la Caf et le lundi 19 juillet.

A.M.


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Union100712d - Marne
Reims / Incendies en série : Les « Bonapartistes » mettent encore le feu

Ça n’arrête plus…

Hier vers 4 heures du matin, une poubelle a encore été incendiée avenue Bonaparte, au quartier Croix-Rouge à Reims. Celle-ci se trouvait devant le n°13.

Ce feu de poubelle s’ajoute aux nombreux autres déplorés depuis le début de la série le mois dernier. Il y en a eu deux dans la seule nuit de jeudi à vendredi : plusieurs conteneurs ont brûlé d’un coup à 2 h 10 devant le n°13, puis un autre une heure plus tard face au n°17 (l’incendie s’est propagé à une Renault Clio). La nuit de mardi à mercredi fut plus calme avec un seul conteneur incendié vers 1 h 30, au n°1.

Cela dit, les poubelles rémoises ne brûlent pas que dans l’avenue Bonaparte. L’une d’elles a flambé rue Blavier, hier vers 2 heures, tandis qu’à 6 h 10, un conteneur de 250 litres a pris feu chaussée Bocquaine, devant une porte métallique du centre Saint-Exupéry (elle a été noircie). Une heure plus tard, un feu de voiture d’origine indéterminée s’est déclaré rue Pierre-Bérégovoy à Cormontreuil.

La veille au soir, des broussailles se sont enflammées rue du Canada, de même qu’hier à 11 heures au terrain de foot de Cormicy et à 13 heures… avenue Bonaparte !

Dans la série « Ça brûle », les pompiers de Warmeriville ont été appelés pour un feu de cuisine rue Jean-Noël-Barrière à Saint-Masmes, samedi à 19 h 15. Eteint avant leur arrivée, l’incendie se limitait au lave-vaisselle.


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Union100712c - Marne
Vol en récidive : Les deux voleurs font la paire… de lunettes

A eux deux, Mustapha Idami, dit Moustique, 38 ans, et Miloud Lacheb, 39 ans, dépassent les trente condamnations.

Le vol est leur spécialité. Le 2 juin, ces deux Rémois vont faire un tour chez un vendeur de lunettes du centre commercial de la rue Pierre-Taittinger.

Pendant que l’un occupe le commerçant, l’autre s’assoit près de la caisse et s’empare d’une somme de 260 €. A l’arrivée de la police, les auteurs sont en fuite, mais ils sont rapidement retrouvés. Mustapha Idami avait sur lui une paire de lunettes provenant d’un vol précédent.

Incarcérés depuis leur arrestation, les prévenus ont été chacun condamnés à deux mois de prison ferme. S’agissant de récidivistes, ils encouraient une peine plancher de deux ans que le tribunal correctionnel de Reims a écartée en raison de la modicité du butin.


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Union100712b - Marne
Ovnis : les extraterrestres colonisent la région

Le terrain sablé ne reste jamais inoccupé
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Que se passe-t-il donc dans le ciel des Ardennes et de la Marne, où un Aiglemontais et plusieurs Rémois affirment avoir vu des ovnis ? On va dire que c’est la loi des séries. Et laisser l’imagination des uns et la rigueur scientifique des autres conduire chacun à se faire sa propre idée.

En revanche, Jean-Michel Ligeron, l’ufologue ardennais, n’est pas à sa première observation. L’année dernière, presqu’à la même période, le soir du 14 juillet, le passionné avait été témoin d’un phénomène s’apparentant à un ovni et qui n’avait rien de commun avec les fusées d’un traditionnel feu d’artifice. À deux reprises, vers 23 heures, son attention avait été attirée par la présence d’une sphère blanche, très lumineuse et silencieuse. Sur l’instant, l’ufologue ardennais avait pensé à un satellite artificiel. Une thèse qui avait été rejetée par un spécialiste des ovnis, Jean-Luc Lemaire* dans la mesure où la station orbitale ISS était invisible, ce soir-là.

Samedi 4 juillet dernier, un témoin qui se trouvait dans son jardin au quartier Croix-Rouge à Reims dans la Marne, affirme avoir remarqué vers 22 h 45, « trois lumières rouges » disposées « en un parfait triangle, qui évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims ». Le lendemain, quatre Rémois téléphonaient à l’enquêteur privé Jean-Luc Lemaire confirmant la présence d’un phénomène insolite ce soir-là dans le ciel de la région. Jean-Luc Lemaire est le spécialiste des ovnis dans la région. Il est responsable du campus ufologique, un site qui offre une formation en ligne à qui veut devenir enquêteur privé sur les phénomènes aériens non-identifiés.

B.D


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100712a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7348 du 28 juin au 04 juillet 2010.

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MODIFICATION DE STATUTS

Ireseaux

SARL transformée en SAS au capital de 10.200 €uros porté à 5.100 €uros

Siège social : 11 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS

433 256 385 R.C.S. Reims

Par délibération

- En date du 31 mars 2010, l’AGE des associés a décidé de réduire le capital social de 10.200 € à 5.100 € par voie de rachat de 510 parts sociales
- En date du 2 juin 2010, la gérance a constaté que la réduction de capital ainsi décidée se trouvait définitivement réalisée à cette même date et le capital ainsi ramené à 5.100 € divisé en 510 parts de 10 €
- En date du 18 juin 2010, l’associé unique a décidé de modifier la rédaction de l’article afférent au siège social par suppression de l’accès par la Rue de Rilly la Montagne, et la transformation de la société en SAS à compter du même jour, sans création d’un être moral nouveau et a adopté le texte des statuts qui régiront désormais la société.

La dénomination de la société, son objet, son siège rédigé tel que décidé ci-dessus, sa durée et les dates d’ouverture et de clôture de son exercice social demeurent inchangées.

Le capital social reste fixé à la somme de 5.100 €.

Sous sa forme à responsabilité limitée, la société était gérée par Monsieur Jean-Marc BARDIN.

Sous sa nouvelle forme de SAS, la société est dirigée par Monsieur Jean-Marc BARDIN, président assumant également la direction générale.

85879

Pour avis : La gérance.


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Union100711b - Marne
L’été s’affiche à Croix-Rouge. Les vacances à l’hippodrome

Le terrain sablé ne reste jamais inoccupé
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Les installations des « Arts de la Grimpe » sont prises d’assaut
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La Maison de quartier et les associations de Croix-Rouge proposent « L’été s’affiche à Croix-Rouge », une animation estivale gratuite sur le quartier, jusqu’au jeudi 22 juillet, sur l’hippodrome de Reims Champagne (accès par l’avenue Robert-Schuman) avec la création d’un site de loisirs et de détente et des manifestations artistiques ouvertes à tous les publics du lundi au samedi de 14 à 19 heures ou 21 h 30 selon programme.

L’association Trac a déjà reçu sous son chapiteau plusieurs centaines d’enfants des accueils de loisirs et des écoles et leur a offert le spectacle « Mister Bonnes », de la compagnie Bloody Macadam.

La Maison de quartier, qui partage le planning avec les associations, propose des animations du lundi au vendredi.

Quelques moments forts

L’espace sport avec terrain ensablé remporte un franc succès. On y pratique selon les jours sandball, beach soccer, beach volley, beach rugby, beach minton, pratique libre, indiaca, ping-pong et pétanque. À deux pas delà, le mur d’escalade ne désemplit pas !

Même belle fréquentation dans l’espace famille/petite enfance, avec maquillage, cirque, jeux d’eau, peinture, jardin artificiel et parcours sensoriel.

Les amateurs de jeux ne savent pas où donner de la tête avec des jeux traditionnels étrangers, un échange européen, des jeux de société, du matériel de jeux de plein air familiaux et le trampoline. Ceux qui préfèrent la détente ombragée trouvent des transats près des bacs à sable et de la buvette.

Elfe légère, Élisabeth Causin vaporise un nuage de brume sur le visage des visiteurs ravis, pendant que Franck Simon (Point Cyb) mitraille à tours de bras : on dit qu’il va préparer un super blog sur la fête.

Le samedi est dédié aux associations de Croix-Rouge qui veulent offrir leurs prestations, occasion pour tous ceux qui ont quelque chose à montrer de s’approprier l’espace d’exposition (réalisations artistiques créées durant l’année ou sur place par les habitants ou associations, animation prévention, alimentation, santé) et l’espace scène pour la diffusion de mini-concerts et la valorisation des talents du quartier.

Sur l’agenda

À retenir, les prestations musicales (Open Mic Music, Wendee - Pop star 2007, Kreen, Mike Kenli, un sosie de Mickaël Jackson, Big Charley et des groupes du quartier : rock, rap, raï, reggae, la semaine de l’athlétisme avec l’ESFRA du 19 au 22 juillet, un atelier graph tout public les 20 et 21 juillet, et la clôture le 22 juillet : courses de trot en nocturne, fête de l’hippodrome et feu d’artifice avec « Reims, hippodrome de la Champagne ».

Renseignements auprès du responsable du projet, Yves Pringault, directeur de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge. Tél. 03.26.82.53.48 ou 06.75.00.89.12.


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Union100711a - Marne
MUSIQUES : Une vie 100 % hip-hop

Photo Rudy Estrate
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NOUVEAUTÉ. Twister est un jeune rappeur rémois qui, en septembre prochain, va sortir son troisième projet : « Collision ».

C’est en 1998 que Twister débute le rap dans son groupe « Marchands 2 Lyrics » aussi appelé « M2L ». À cette époque c’est sous le nom de Joker qu’il écrit ses premiers textes de rap. L’aventure M2L dure plus de cinq années, dans un premier temps avec son acolyte Doc Kesty puis avec Dark Dem lorsque Kesty décide d’abandonner la musique. Le groupe sortira en 2005 un premier album, « Blessures Assassines ».

Peu de temps après la sortie de ce disque, Twister choisit de tenter l’aventure solo ce qui aboutira rapidement à un second projet « Sur Mes Gardes », l’album rencontrera un réel succès d’estime auprès des autres acteurs du hip-hop champardennais.

Parallèlement à cela, il décide de s’essayer à la création musicale et petit à petit il chante sur ses propres productions qui à chaque nouvel essai deviennent plus convaincantes. C’est en partie pour cela que Twister a contacté des rappeurs locaux mais aussi de toute la France pour une compilation « Collision » qui devrait voir le jour au mois de septembre.

UN DISQUE COLLECTIF

« Ce disque je l’ai fait avant tout dans l’objectif de rassembler les gens et de créer une osmose entre les différents styles musicaux de ces artistes. C’est un disque collectif ! » explique Twister.

L’album est crédité au nom de Twister sous-titré par celui de John Karcher (le pseudonyme dont il se sert pour signer ses musiques) et la totalité des productions est de lui. Sous la casquette de rappeur il n’apparaît que sur huit titres laissant ainsi une place distincte à ses invités.

La réalisation de ce troisième projet aura duré plus de deux années entre les allers-retours Reims / Juvisy dans l’Essonne, au « Black Stud » de son ami Mech où il enregistre les morceaux, sa profession et son tout nouveau rôle de papa.

Pour faire le buzz et alimenter l’attente des personnes pour la sortie de ce nouvel opus, Twister a élaboré un concept bien sympa sur le site « Facebook » dont le principe est de laisser un titre sous forme de vidéo dans un exercice de style que les adeptes de rap appellent free-style. Pour cela, il les enregistre chez Dj Ohn du Maz Crew et poste ensuite ces freestyles sur son mur à la première heure, semaine après semaine. Pour découvrir ou redécouvrir cet artiste, rendez-vous mercredi !

T.A.-F.

www.facebook.com/twister.officiel et www.myspace.com/twister51100


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Union100710b - Marne
Relogement après démolition, épisode 3 : Les Forest ont signé

Signer la réservation de leur futur appartement a été un grand moment.
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ÇA y est. Les Forest, dont l’immeuble avenue Eisenhower va être démoli, savent définitivement où ils seront relogés. Dans notre précédent épisode, Sabrina et Thierry avaient reçu une proposition pour un appartement neuf dans le quartier Pommery. Le loyer de moins de 600 euros était dans leurs cordes, l’offre correspondait en tout point à leurs souhaits. Quasi trop beau pour être vrai. Depuis, les Forest attendaient la réponse définitive de Reims Habitat et le contrat de réservation. Les deux viennent d’arriver. « On a signé ! On a réservé l’appartement, maintenant on a hâte d’y être. »

Rêve sur plan

Pour l’instant, ils ont juste une feuille format A4 avec le plan de leur futur logement. Plan qu’ils connaissent par cœur à force de le regarder avec plaisir. Christopher, le plus jeune de la famille, a déjà choisi sa chambre : « Ce sera celle au milieu des deux autres ». Bastien, son frère, n’y perdra pas puisqu’il a repéré sur le plan que sa future chambre aura un balcon. Et, neuf oblige, il sera le premier de toute l’histoire à y poser sa console vidéo. Bref, c’est le bonheur chez les Forest.

Dans la cage d’escalier, dans l’immeuble voisin qui doit aussi être démoli, ils entendent d’autres locataires se plaindre de ne pas trouver un relogement à leur goût. Eux n’ont plus ce souci. Ils ont un but tout trouvé pour leurs vacances qui approchent : « On va aller se promener du côté de Pommery voir comment ça se construit. Notre futur immeuble n’est pas encore sorti de terre mais Reims Habitat nous a dit qu’il allait ressembler à ceux de l’Effort Rémois déjà montés ». Les Forest n’ont pas encore de date d’emménagement : « On nous a dit : premier semestre 2011 mais sans plus de précisions ». À cette date, seront-ils parmi les derniers à vivre encore au 51 Eisenhower ? Possible. « On verra bien. »

C.F.


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Union100710a - Marne
Chaude nuit pour les poubelles

La chaleur ne tempère pas les ardeurs des incendiaires, bien au contraire. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les pompiers ont couru aux quatre coins de l’agglomération pour éteindre une multitude de feux de poubelles.

Comme souvent, l’avenue Bonaparte n’est pas en reste avec plusieurs conteneurs incendiés à 2 h 10, devant le n°13. Les vandales ont récidivé à 3 h 30, au n°17, en brûlant une poubelle qui s’est propagé à une Renault Clio.

Dix minutes plus tard, une autre série d’incendies s’est déclarée dans le secteur Cernay/Pommery, avec des feux de poubelles rue des Moissons, rue Perseval et rue Gustave-Laurent. Un conteneur a également brûlé à 4 h 30 rue de Londres, puis des papiers une ’mitre plus tard allée des Landais, au n°3.

Mercredi à 1 h 30, une poubelle avait déjà brûlé avenue Bonaparte, au n°1, tandis qu’à 5 h 45, des détritus étaient enflammés dans une maison désaffectée allée des Cigognes.


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Union100709a - Marne
« Jeunesse en action » : Un échange de jeunes Européens

La maison de quartier Croix-Rouge organise de ce vendredi 9 au 16 juillet un échange de jeunes dans le cadre du programme européen « Jeunesse en action ».

Les structures européennes qui participent sont les associations NGO « Krantas » de la Lituanie, l’association Eucoerowies de la Pologne et l’association MAS Krajina srdce de la république tchèque.

Autour du thème « Les nouvelles solidarités et l’investissement des jeunes », six jeunes de chaque pays séjourneront à Reims, au Centre international de séjour.

À Reims, Slimane Hamdi, organisateur à la maison de quartier, décrit les principes généraux : « Permettre aux jeunes européens de vivre ensemble, de partager une expérience et de se connaître, dans l’optique de lutter contre les préjugés et de s’ouvrir vers d’autres cultures européennes ; œuvrer pour que l’Europe soit un espace de solidarités entre les peuples ; promouvoir la cohésion sociale au niveau local (ici dans le quartier Croix-Rouge) et lui donner une dimension européenne ».

La participation des jeunes de quatre pays européens à une telle action de solidarité en direction d’un public défavorisé devrait stimuler l’adhésion à un espace multiculturel : l’Europe.

Les objectifs opérationnels

« Concrètement, nous mettrons en place des animations en direction d’enfants du quartier Croix-Rouge à Reims qui participeront à l’opération en cours « L’été s’affiche à Croix-Rouge » en proposant des animations assurées par les jeunes Européens en faveur des enfants des centres de loisirs de la maison de quartier Croix-Rouge. »

« Nous ferons découvrir plusieurs formes de solidarités existantes en France, en rencontrant et en échangeant avec ATD quart-monde. Une collecte de dons est prévue ce 10 juillet devant le supermarché Match avec le Secours populaire (opération « les enfants oubliés des vacances »). »

Les organisateurs feront enfin découvrir d’autres cultures européennes, en l’occurrence polonaise, tchèque et lituanienne aux habitants du quartier Croix-Rouge avec la présentation de jeux de plein-air typiques de chaque pays pour les enfants.


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Union100708c - Marne
Concours de boules

L’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours de boules samedi 10 juillet, sur les terrains de Croix-du-Sud.

Début du jet à 14 h 15.

Indemnités à chaque tour.

Tél. 03.26.06.56.66.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100708b
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7349 du 05 au 11 juillet 2010.

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AVIS DE CONSULTATION

1. MAITRE D’OUVRAGE : S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.

2. MODE DE PASSATION : Avis de consultation est faite en entreprises individuelles et en groupements d’entreprises.

3. OBJET DES MARCHES : Construction de 49 logements, Saint Bruno, Avenue Bonaparte, REIMS CROIX ROUGE.

4. NATURE ET NOMBRE DES LOTS : Opération en 1 lot : Entreprise générale ou en groupement d’entreprises.

5. DELAI D’EXECUTION : 20 mois TCE.

6. DOSSIER DE CONSULTATION :
a) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : ICA Reprographie, 34 rue Alain Colas - 51450 BETHENY. Tél. : 03.26.07.37.24 - Fax : 03.26.07.37.61.
b) Les dossiers seront disponibles à compter du lundi 5 juillet 2010.

7. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES :
a) Le 2 septembre 2010 à 12 h 00, délai de rigueur.
b) Adresse où elles doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de : Monsieur MERCIER, S.A. d’HLM - LE FOYER REMOIS, Direction de la maîtrise d’ouvrage, Service Construction, 8 rue Lanson, B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX.
c) Indications à porter sur l’enveloppe extérieure cachetée :
- Consultation : "Offre pour la construction 49 logements, Saint Bruno, Avenue Bonaparte, REIMS CROIX ROUGE ;
- Numéro du lot ;
- Mention "ne pas ouvrir".

8. JURIDIQUE DE L’ATTRIBUTION DU MARCHE : Entreprises individuelles ou groupements d’entreprises.

9. PRESENTATION DES OFFRES : La présentation devra être conforme aux dispositions consignées dans le règlement de consultation, en respectant les modèles joints et accompagnes des documents demandes.

10. DUREE DE VALIDITE DES OFFRES : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.

11. RENSEIGNEMENTS :
- Administratifs : SA d’HLM - LE FOYER REMOIS : M. MERCIER, 8 rue Lanson, B.P. 01 - 51051 REIMS CEDEX. Tel. : 03.26.84.46.59 - Fax : 03.26.84.46.07 ;
- Techniques : Maîtrise d’œuvre : J. BLEHAUT et Associés, 10 rue Courmeaux, B.P. 11 - 51054 REIMS CEDEX. Tel. : 03.26.89.32.32 - Fax : 03.26.89.32.33.

DATE D’ENVOI DE L’AVIS A LA PUBLIATION : Le 1er juillet 2010.
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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100708a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7347 du 21 au 27 juin 2010.


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Des quartiers en pleine réhabilitation

Le quartier Pays de France est à la fois concerné par le projet du tramway et de l’ANRU.
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Urbanisme. Grâce aux dispositifs tels que l’ANRU et le Plan de relance, les villes comme Reims ou Epernay peuvent bénéficier d’aides de l’État pour réhabiliter les quartiers populaires construits dans les années soixante-dix et dont l’agencement présente des signes de vieillissement.

Le projet ANRU de Reims est le cinquième plus gros de France », annonce Eric Quénard, premier adjoint au maire de Reims, en charge de la cohésion sociale, du logement et de la vie des quartiers. Il concerne quatre secteurs de la ville : Wilson, Croix Rouge, Orgeval et Châtiions. Signé avec l’État par l’ancienne municipalité en 2004 pour un montant de 180 M€, le contrat ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) a été rediscuté en avril 2008 par l’équipe municipale d’Adeline Hazan et s’élève aujourd’hui à 480 M€. « Parmi les caractéristiques du dossier ANRU, deux des quatre quartiers sont concernés par le tramway.

Cela nous a permis de faire coïncider ces deux projets d’ampleur. Par exemple, 15 des 45 millions d’euros décernés par l’État pour le projet du tramway l’ont été via la dynamique Espoir Banlieues ».

L’ANRU rémois concerne en premier lieu le logement, qui représente 70 % de son budget total, une somme portée par les bailleurs sociaux (Effort rémois, Foyer rémois et Reims Habitat). 1 500 logements seront démolis au total, 1 500 autres seront reconstruits et environ 3 000 seront réhabilités. Pour Éric Quénard, si le projet vise directement environ 40 000 habitants, il va bien au-delà des secteurs concernés : « Ce n’est pas un dossier exclusivement réservé à quatre quartiers mais un véritable projet de transformation de la ville. Il comprend tout un travail pour montrer aux habitants comment se transforment leurs quartiers et aussi pour attirer de nouveaux habitants dans plusieurs types de logements locatifs ». D’autant que le projet comprend également un volet d’accession sociale à la propriété et qu’il est prévu que 50 % des habitants des immeubles démolis soient relogés hors ZUS afin de permettre aux familles de pouvoir suivre un parcours résidentiel dans la ville.

14 000 M2 DE CELLULES DISPONIBLES

La vie économique des quartiers prend toute son importance dans le cadre de l’ANRU puisque 14 000m2 de cellules commerciales ou professionnelles y sont intégrées. « 7000 m2 seront réutilisées par les commerces déjà installés dans ces quartiers. Pour les zones concernées par le tram nous avons choisi de construire ces cellules le long de la voie, en rez-de-chaussée ».

Quant aux 7 000 m2 restants, leur destination sera connue après mure réflexion. « Nous faisons actuellement réaliser une étude pour nous guider sur les différents types d’activités à privilégier - commerces services, professions libérales… - et le coût de celles-ci ». Résultats de l’étude en septembre.

BENJAMIN BUSSON

5 % des heures pour l’insertion

Le volet « insertion » de l’ANRU rémois prévoit l’intégration des personnes sans emploi vivant en ZUS dans les travaux. « Au moins 5 des heures travaillées doivent leur être réservées », insiste Éric Quénard, qui précise que le contrat est rempli pour le moment « Nous en étions delà à 5,5 en décembre dernier ».


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CONSTITUTION DE SOCIETE

Le 14/06/2010,
Constitution de la SARL ERT,
Au capital de 3.000 €.
SIÈGE SOCIAL : 14 place G Braque -51100 REIMS.
OBJET : Transport de marchandises.
DUREE : 99 ans à compter de l’immatriculation au R.C.S. de REIMS.
GERANT : Aurelio RODRIGUEZ, demeurant 14 place G Braque - 51100 REIMS, nommé pour une durée indéterminée.
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TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS : CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF

Par jugement du 15/06/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : VIRTUA VISION (SRLKOP), 25 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.

Activité : Conseil et création en communication multimédia.

R.C.S. REIMS 96 B 509 - B 409 423 316.

Le greffier : Bernadette DELPY.
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Union100707d - Marne
Sports-etudes : Lycée Arago : La tête et les jambes

Au lycée Arago, il est désormais possible d’être en sports-études quelle que soit la filière.
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Le lycée François Arago fait le bonheur des sportifs et des clubs. Après la filière générale, celle du secteur professionnel bénéficie aussi d’horaires aménagés.

CONCILIER le sport et les études est loin d’être une formalité. Les heures de cours, les entraînements, la compétition, parfois les stages, les examens… il est bien difficile pour un sportif de haut niveau (et ses parents), voire un simple compétiteur, d’établir un emploi du temps qui laisse également une place prépondérante à la récupération et au sommeil. Les concessions sont nombreuses.

Depuis 1986, le lycée François Arago de Reims est à l’écoute de cette population grandissante qui ne souhaite plus assouvir sa passion sans bagages. Par peur des lendemains qui déchantent… Comme le soulignait dernièrement le quintuple vainqueur du Tour de France Bernard Hinault à la championne du monde juniors de VTT Pauline Ferrand-Prévot : « J’encourage Pauline à poursuivre ses études. Le cyclisme est une chose, mais tout peut s’arrêter en trente secondes… » .

Conventions avec les clubs rémois

En proposant des horaires aménagés adaptés à leur discipline, l’établissement scolaire rémois fait donc le bonheur des sportifs et des clubs. Depuis 1986, en collaboration avec le CREPS de Reims, le lycée scolarise les jeunes sportifs de haut niveau, sélectionnés par leur fédération ou leur club dans de nombreuses disciplines. Les premiers à avoir essuyé les plâtres furent les hockeyeurs du Reims Champagne (Anthony Mortas, Thibaud Koch et William Richard), puis les footballeurs du Stade de Reims et les escrimeurs. L’athlète est ainsi placé dans de meilleures conditions.

Si le lycée Arago, dirigé depuis 2008 par Mme Elisabeth Becker, a ouvert ses portes aux sportifs soucieux de suivre une filière générale, celle du secteur professionnel leur est désormais accessible.

« Depuis la rentrée 2009-2010, notre établissement est ouvert aux licenciés des clubs rémois. Au fil des mois, nous avons signé des conventions avec l’AC Bazancourt-Reims (décembre 2009), l’Efsra, le RN 89, les Régates rémoises, le CRECF (Centre de formation cycliste), l’Association gymnique rémoise, la Compagnie d’arc… C’est un franc succès. Désormais, se côtoient les sportifs de haut niveau et les pratiquants de sports loisirs sur proposition des clubs avec qui nous travaillons en étroite collaboration. Les échanges entre les professeurs et les dirigeants sont fréquents. A la moindre « baisse de régime » nous alertons les responsables de clubs et bien évidemment les parents. Nous voulons une réussite scolaire et sportive », explique la proviseure.

A la rentrée de septembre, la filière professionnelle technicien du bâtiment étude et économie sera donc aussi proposée aux jeunes sportifs, qui, avant de poser leurs valises, visitent l’établissement. « Il y a un certain engouement. L’élève pourra s’appuyer sur les profs du lycée et les assistants pédagogiques qui pourront être sollicités à tout moment, quelle que soit la matière, y compris durant les vacances sous forme de sessions. Pour l’heure, il n’y a pas de quotas, nous étudions tous les dossiers. Nous allons ouvrir un peu plus nos portes à quelques clubs de l’agglomération. Nous avons d’ailleurs retenu les dossiers d’un handballeur de Saint-Brice et d’un pongiste de Taissy », ajoute Loïc Janson (*), l’une des chevilles ouvrières de l’équipe des professeurs coordonnateurs.

Les multiples possibilités d’aménager les emplois du temps (enseignement le matin et le soir, entraînement l’après-midi) permettent donc aux sportifs du lycée Arago de s’épanouir pleinement.

Et cette idylle n’est pas prête de s’arrêter.

Pascal BUYSE

(*) Ancien cycliste et aujourd’hui triathlète licencié à Beauvais, Loïc Janson est professeur de génie civil construction économie au lycée Arago.


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Professeurs coordonnateurs

Leur mission est :

- De recruter les élèves en lien avec les clubs sportifs, les contacts se déroulent dès la classe de quatrième.
- De faire le lien entre les différents intervenants du lycée, pour contribuer à la réussite scolaire des élèves sportifs.

- D’élaborer les emplois du temps suivant les souhaits des clubs.
- D’amener et de motiver les élèves du lycée « non-sportifs » à prendre une licence dans les clubs en convention.

Ils recherchent aussi des partenaires privés ou publics afin d’obtenir des moyens, comme :

- L’accès gratuit aux transports urbains de la ville de Reims (Tram, bus) pour que les élèves puissent se rendre sur leurs lieux d’entraînement.
- De faciliter l’accessibilité aux clubs sportifs des équipements municipaux proches du lycée.
- Trouver des moyens pour acheter des vêtements sportifs adaptés à chaque discipline avec le logo du lycée et des différents partenaires.
- De trouver des lieux de stages pour les périodes de formations en entreprise, avec les mêmes horaires aménagés qu’au lycée pour la filière « technicien du bâtiment étude et économie ».


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« Un vrai travail d’équipe »

 

 

 

Dorian GUENARD

16 ans, rameur (Régates Rémoises)


Dorian GUENARD
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« Je suis en seconde générale à Saint-Jean-Baptiste de la Salle et à la rentrée je vais intégrer le lycée Arago en première S.

Cinq entraînements par semaine, je pense que je vais pouvoir aisément ajouter deux séances supplémentaires grâce aux horaires aménagés. Mon ambition est d’intégrer l’équipe de France juniors sans pour autant négliger les études. Et forcément, ça passe par beaucoup de travail et des résultats lors des compétitions.

Mon emploi du temps au lycée Arago va donc me donner la possibilité d’aller m’entraîner à partir de 16 h.

Il est indiscutable que ce sera un plus pour moi. Toutes les conditions sont réunies ».

 

 

 

 

 

Anaïs LETE

16 ans, nageuse (Reims Natation 89)


Anaïs LETE
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« En seconde générale, j’ai choisi de repartir en seconde professionnelle à la rentrée.

Tant sur le plan sportif que sur celui des études, être à Arago est un plus.

Avec vingt heures d’entraînement par semaine, il est facile pour moi, et pour le club, de mieux répartir mes séances de travail.

Concernant les études, le travail scolaire est bien meilleur, d’autant que nous ne sommes pas beaucoup en classe et que les professeurs sont par ailleurs très à l’écoute. Ils sont compréhensifs. Ils savent par exemple que lorsque nous avons disputé une grosse compétition le week-end, la journée du lundi est souvent difficile pour nous.

Il y a un vrai travail d’équipe ».

 

 


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Union100707c - Marne
17e édition des « Rencontres en contes » : Acteurs en herbe

La salle de spectacle du Crous commence à être connue dans le quartier Croix-Rouge.
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Du 21 au 25 juin, une semaine de rencontres et d’échanges a été proposée aux différentes écoles du quartier Croix-Rouge par la maison de quartier Croix-Rouge (espace Billard) en partenariat avec les Réseaux de réussite scolaire et le Crous.

« Il s’agissait de rencontres d’enfants et d’enseignants qui ont créé et mis en forme des histoires, ont pratiqué des ateliers de théâtre ou ont réalisé des courts métrages où se mêlent fiction et réalité », précise Catherine Pierrejean, organisatrice de ces rencontres : « les enseignants étaient parfois aidés de professionnels ».

Les classes ont été tour à tour actrices et spectatrices et ont pu, grâce au partenariat avec le Crous, bénéficier d’une salle de spectacle et des compétences d’un technicien.

Cette année, une classe du village de Saint-Thierry a participé aux rencontres dans le cadre d’un partenariat avec « l’Ageasse théâtre », un échange de prestations symphatique, salué d’applaudissements. Enfin, pour la première fois, les élèves de deux classes de l’école élémentaire Blanche-Cavarrot se produisaient lors d’une soirée, devant leurs parents : avec 95 spectateurs, la salle était pleine, occasion pour un grand nombre d’entre eux de découvrir l’existence d’une salle de spectacle à proximité de chez eux.

Au total, 7 écoles, 17 classes et 350 enfants ont participé à ces 17e « Rencontres en contes » : un beau succès.


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Union100707b - Marne
Volée, incendiée

Hier en fin de nuit, une R25 a été incendiée rue de la Prieuse à Bezannes. Elle venait d’être volée allée des Gascons à Reims. Le feu s’est propagé à six mètres de haie et de grillage.

Vers 4 heures, un scooter probablement volé a brûlé allée des Picards.

A 11 h 30, un incendie d’origine électrique celui-là -s’est déclaré sur une voiture à l’angle de la rue des Romains et de la rue de Courcelles.


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Union100707a - Marne
Ça chauffe

Un feu de thuyas de 15 m2 s’est déclaré mardi matin rue Gérard-de-Nerval, ainsi que des feux d’herbe mardi soir rue de Rilly-la-Montagne et route de la Neuvillette à Bétheny.

Toujours mardi, à 18 h 30, un panneau de bus a été incendié avenue du Roussillon à Cormontreuil, puis une poubelle à 20 h 15 rue Alfred-de-Vigny.


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Union100706b - Marne
REIMS : Feu d’appartement : Un téléviseur serait l’origine de l’incendie

Dimanche vers 22 h 30, un feu d’appartement s’est déclaré au sixième et avant-dernier étage de l’immeuble situé au n°17 de l’avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge à Reims (notre précédente édition).

L’enquête de police a confirmé l’origine accidentelle du sinistre. Un téléviseur situé dans l’une des chambres serait en effet la cause de l’incendie.

L’appartement est inhabitable en l’état.

L’organisme et la ville de Reims ont été informés pour reloger la famille, sortie indemne de chez elle.

Les fumées ont légèrement intoxiqué trois autres personnes domiciliées au même étage.


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Union100706a - Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.

Objet du marché : démolition de 44 logements, 3, place Auguste-Rodin, quartier Croix-du-Sud, 51100 Reims,

Référence du marché : MA-040310.

Lots, corps d’État, entreprises, montant euros H.T.

Lot unique, dépose de matériaux amiantés, déconstruction, démolition, VRD et espaces verts, LESUEUR TP (76), 321.637,45 euros H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33/Mme GALLOIS 03.26.04.99.05/ M. MEUNIER 03.26.04.99.82.

Date d’envoi à la publication : le 30 juin 2010 au journal l’UNION (Marne, Aisne, Ardennes).


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Union100705c - Marne
REIMS / Incendie avenue Bonaparte : Trois personnes légèrement intoxiquées à Croix-Rouge

Pas de victime, mais un appartement entièrement ravagé par les flammes.
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Un incendie s’est déclaré hier soir à Croix-Rouge. Pas de victime mais de gros dégâts.

« J’ai entendu la gamine hurler dans les escaliers. Elle disait qu’il y avait le feu chez elle ».

Une petite fille de 6 ou 7 ans, apeurée, les pieds nus et le visage en larmes qui cherche du réconfort auprès de cette locataire qui réside le même immeuble qu’elle. L’alerte est donnée vers 22 h 30. Il y a le feu au 17 de l’avenue Bonaparte, une tour de sept étages située dans le quartier Croix-Rouge à Reims.

Un incendie d’une rare violence qui a démarré dans l’une des pièces de l’appartement occupé par la petite fille et sa famille, au 6’ étage de l’immeuble. « Il y avait des flammes qui sortaient des fenêtres et qui ont rapidement atteint le dernier étage », témoigne un retraité.

« Il est difficile de savoir comment et où le feu a pris », explique l’officier sapeur-pompier, responsable des opérations de sauvetage. Le chef de groupe confirme que la famille a pu quitter les lieux, par leurs propres moyens, avant l’arrivée des secours. « Trois autres personnes, habitant le même étage ont été légèrement intoxiquées par les fumées ».

Un gros travail de déblaiement

La grande échelle est rapidement déployée afin de pénétrer dans les lieux. Une vingtaine de soldats du feu viendra à bout du sinistre assez rapidement, avec d’importants moyens mis en œuvre. Présents sur place, les agents de Erdf ont procédé à une coupure d’électricité afin de permettre aux pompiers de circonscrire le sinistre. « On ne craint pas vraiment une reprise du feu », assure le chef des opérations, « en revanche, nous allons avoir un gros travail de déblaiement ». Les dégâts sont extrêmement importants, et hier vers 23 h 30, il semblait peu probable que les locataires de l’appartement puissent réintégrer le logement. Un relogement était plus qu’envisagé à l’heure où nous écrivions ces lignes.

Policiers et CRS se trouvaient également sur place et près d’une centaine de personnes assistait à ce triste spectacle. « Heureusement, il n’y a pas de mort ! Avec des enfants à l’intérieur d’un logement, on pouvait craindre le pire », soulignait une mère de famille, évacuée de l’immeuble en feu.

L’enquête de police qui a débuté hier soir, devrait permettre d’en savoir un peu plus sur les circonstances exactes de cet incendie.

Corinne LANGE


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Union100705b - Marne
Tribunal Correctionnel : Le sauvetage tourne à l’agression : Suicidaire, elle agresse le policier venu la sauver

Océane M. a toujours affirmé que le coup était accidentel. Dessin CÉGIRA
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Une jeune femme avait blessé d’un coup de couteau, le policier qui l’avait empêché de chuter du 8e étage.

« LE policier n’était pas là pour vous interpeller mais pour vous, porter secours. » Le président du tribunal tente de comprendre.

Face à lui, Océane M. campe sur ses positions : « Le coup de couteau est parti accidentellement. Je ne l’ai pas fait exprès ». À la barre, une jeune mère de famille de 20 ans, est poursuivie pour avoir agressé un fonctionnaire de police le 19 juin dernier alors qu’il intervenait, avec deux autres collègues pour mettre fin à une rixe familiale.

Vers 4 heures du matin, les policiers sont appelés place Ingres, dans le quartier Croix-du-Sud. « Vous étiez assise sur le bord de la fenêtre, en équilibre instable. Les témoins ont alerté les secours car ils craignaient une chute », explique le président.

Océane M. et son concubin occupent un appartement situé au 8e étage. Une dispute éclate au sein du couple. « Vous aviez pas mal bu », précise le juge. « Du whisky et de la bière », confirme-t-elle.

Le gant déchiré

À leur arrivée, les policiers pensent immédiatement à une tentative de suicide. Ce que nie la jeune femme. « Vous sembliez prête à vous jeter dans le vide pourtant ». ivre, la jeune maman affiche ce jour-là un état d’excitation extrême et l’intervention des policiers semble loin de l’apaiser. L’un d’eux expliquera « qu’elle avait la pointe d’un couteau au niveau de sa gorge ».

Océane M. finit par s’éloigner mais lorsque le gardien de la paix essaie à nouveau d’approcher, elle tente de rejoindre à nouveau la fenêtre. La « suicidaire » se débat et porte un coup de couteau qui atteint le policier à la main. « Le gant de la victime a été déchiré, il est clair que le coup était volontaire », affirme l’avocate de la partie civile. Pour la juriste, « il est choquant de voir agresser un policier venu porter secours ». Les deux autres collègues, présents lors de l’intervention sont affirmatifs également : « Elle voulait faire mal, c’était évident ».

« On s’était embrouillé avec mon copain. J’avais pas mal bu et je ne savais plus ce que je faisais », se défend la prévenue, qui n’était pas représentée par un avocat. Elle assure au président, « qu’une telle dispute ne s’est pas reproduite depuis ». Le substitut du tribunal évoque « un témoignage emprunt de suspicion ». Elle a requis deux mois de prison avec sursis à l’encontre de cette très jeune femme, assortie d’une obligation de soins et de travail. Le tribunal a suivi ses réquisitions et a condamné la Rémoise à deux mois de prison avec sursis.

C.L.


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Union100705a - Marne
Tennis (Géo-André Reims) / Entorses à la logique

L’élève Munier a battu le professeur Heyd, qui a craqué physiquement.
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Baigné de soleil, le 21e Open a délivré, hier, un verdict pas vraiment conforme aux prévisions.

CHEZ les messieurs, le dernier carré de Géo-André était certes composé des quatre têtes de série. Seulement, si Stéphane Heyd (0, Mulhouse) se débarrassait logiquement de Gabriel Andruejol (0, Europe Club), le Carolo Quentin Munier (1/6, La Macé) créait une petite surprise en sortant nettement le lauréat 2008, Sébastien Mouilleron (0, ASPTT Troyes).

De quoi proposer une finale inattendue qui, dès les premiers échanges tournait en faveur du Mulhousien, prof au CREPS de Reims au point d’emporter le set initial (6-4). Le tournant de la rencontre intervenait dans la 2e manche à 4 partout, 0-40. « Je sauve trois balles de break. Je mène ensuite 5-4 puis remporte son jeu de service pour l’emmener au troisième set », analysait Quentin Munier.

Comme un malaise

Forcément atteint psychologiquement, Stéphane Heyd l’était aussi physiquement. « À 30-40 dans le 3e jeu du 3e set, j’ai été victime de crampes. J’étais tétanisé au niveau des quadriceps et je suis tombé. Et comme j’ai pris un mélange avec plus de sel que d’eau j’ai fait une sorte de malaise ! » confiait l’Alsacien. Résultat, l’Ardennais s’appuyait sur un tennis solide pour s’imposer 6-3 à la « belle ».

« C’était compliqué pour moi car il était mon formateur pour le BE. J’avais vraiment hâte de le jouer. On a fait un bon match mais c’est dommage qu’il ait eu des crampes car cela rend ma victoire un peu amère. Je suis toutefois content du résultat. » lâchait le sociétaire de La Macé alors que son adversaire la jouait fair-play : « Il a fait une bonne partie et mérite sa victoire d’autant qu’il a dû aller la chercher car je ne l’ai pas donnée. Pour ma part, je regrette de n’avoir pas pu concrétiser lors de la 2e manche. »

En plus de 35 ans : la hiérarchie a aussi été bousculée puisqu’Olivier Bernier (15/4, Nautique Epernay) a dominé en finale le grand favori Philippe Genty (15/1, Bétheny) sur le score de 6-4, 6-1. En revanche, Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery) a été impérial en plus de 45 ans face à Alain About (15/4, TC Reims) comme l’indique le score : 6-1, 6-0.

Enfin, le tableau féminin a également été défavorable à la principale prétendante car Claire-Hélène Génin (3/6, Géo André) a chuté en demi face à l’Axonaise Camille Kleiber (5/6, Guignicourt). La tenante du titre Audrey Sarrazyn (5/6, Géo-André) se hissait logiquement au dernier stade de la compétition pour y maîtriser la situation : « J’ai fait une bonne finale où je me suis bien amusée. J’ai été néanmoins en difficulté dans la 2e manche et je suis réellement satisfaite d’avoir gagné en deux sets. »

DAMES

Quarts : Audrey Sarrazyn (5/6, Géo André) bat Catherine Heyd (15/2, Sillery) 5-7, 6-2, 6-1 ; Maéva Spooner (15/1, Géo André) bat Audrey Rousseaux (5/6, Europe Club) par wo ; Camille Kleiber (5/6, Guignicourt) bat Lucie Grygielski (5/6, Sillery) 6-2, 7-5.

Demi : Audrey Sarrazyn bat Maeva Spooner 6-3, 6-3 ; Camille Kleiber bat Claire-Hélène Génin (3/6, Géo André) 6-2, 6-3.

Finale : Sarrazyn bat Kleiber 6-2, 6-4.

MESSIEURS

Quarts : Heyd (0, Mulhouse) bat Blossier (2/6, Vitry) 6-0, 6-2 ; Andruejol (0, Europe Club) bat Pacanowski (2/6, Géo André) 6-3, 7-6 ; Munier (1/6, La Macé) bat Betbeze (4/6,TC Reims) 3-6, 6-3, 6-2 ; Mouilleron (0, ASPTT Troyes) bat Pignon (2/6, Géo André) 6-1, 6-3.

Demi : Heyd bat Andruejol 6-2, 6-3 ; Munier bat Mouilleron 6-3, 6-0.

Finale : Munier bat Heyd 4-6, 6-4, 6-3.

+ de 35 ans

Demi-finales : Bernier (15/4, Nautique Epernay) bat Rakotomahanina (15/3, Bétheny) 6-0, 6-2 ; Genty (15/1, Bétheny) bat De La Bassetière (15/5, Cormontreuil) 4-6, 6-2, 6-3.

Finale : Bernier bat Genty 6-4, 6-1.

+ de 45 ans

Demi-finales  : About (15/4,TC Reims) bat Huet (15/5, Géo André) 6-3, 2-6, 6-3 ; Liégeois (15/3, Villers-Marmery) bat Desautez (15/4, URT) 6-3, 6-4.

Finale : Liégeois bat About 6-1, 6-0.


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Union100704c - Marne
Un ovni au-dessus de Croix-Rouge

Dans ce coin de ciel du quartier Croix-Rouge, le 27 avril, en pleine journée, Régis a vu un amas de cinq boules chromées qui se sont ensuite alignées avant de disparaître en montant dans les nuages.
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DEUX mois déjà qu’il a fait son observation, mais Régis n’arrive pas à la chasser de son esprit. Trop bizarre, trop étrange. Aussi s’est-il décidé à témoigner pour partager son incompréhension.

Domicilié allée Edgar-Degas au quartier Croix-Rouge, ce Rémois de 43 ans a vu un curieux phénomène, le 27 avril, alors qu’il venait de sortir de chez lui. « C’était le matin, vers 10 h 15. Il faisait beau. Machinalement, j’ai levé les yeux, et là, dans le ciel, j’ai vu un truc que je ne connaissais pas. Il y avait cinq boules assemblées l’une à l’autre : une au-dessus, deux au milieu, deux en bas. Ça m’a fait penser à des boules de pétanque car elles en avaient la teinte. Elles étaient très chromées. Ça ne bougeait pas, et il n’y avait aucun bruit. Ça ne me semblait pas bien haut, en direction du lycée Arago. C’était gros, plus que la pleine Lune. »

A ce stade de l’observation, l’explication qui vient à l’esprit est celle d’un ballon gonflable. De nombreux modèles existent - destinés aux enfants, utilisés lors d’animations festives ou publicitaires - et sont régulièrement à l’origine de confusions. Sauf qu’ils ne sont pas connus pour se comporter comme vont le faire les mystérieuses boules de Croix-Rouge.

Photos ratées

« Je regardais depuis environ une minute. Ça ne bougeait toujours pas, quand tout d’un coup, les boules se sont alignées. Celle du dessus est restée sur place. Les deux du dessous se sont écartées, chacune d’un côté, et sont allées s’accoler avec les deux boules du milieu. Il y a eu un petit mouvement d’ajustement, et les quatre boules sont allées se mettre presque au niveau de celle du dessus. C’était une transformation harmonieuse, sans à-coups. Tout était bien coordonné entre chaque élément. On aurait dit une machine qui se dépliait dans le ciel. Ça a mis cinq ou six secondes, toujours sans aucun bruit. »

Sidéré, le témoin a couru chercher un appareil photo. Il est ressorti et a pris sept clichés hélas ratés sous le coup de l’émotion et de la précipitation (le bougé, trop important, ne laisse voir qu’une forme floue). « Quand je suis ressorti avec mon appareil photo, l’objet commençait à monter. Il y avait quelque chose d’étrange sur les boules. On aurait dit qu’elles étaient parcourues par une sorte de courant électrique. Ça faisait des ondulations qui se déplaçaient très vite, comme des éclairs d’orage, très chromés eux aussi. »

A la recherche d’un autre témoin, Régis est allé chez un voisin. De sa fenêtre, il a pris quatre autres photos, elles aussi inexploitables. Les deux hommes ont vu l’objet monter lentement. « Les boules étaient toujours alignées mais elles n’étaient plus à l’horizontale. Elles s’inclinaient tantôt sur la gauche, tantôt sur la droite. Finalement, elles ont disparu derrière un nuage, en direction de Bezannes. » Fin de l’observation.

Deux mois après, Régis est catégorique. « Je ne sais pas ce que j’ai vu, mais je suis sûr que ce n’était ni un ballon, ni un hélicoptère, un avion ou un satellite. »

Fabrice CURLIER

Le témoin a révélé son observation à Jean-Luc Lemaire, spécialiste ardennais de l’étude des ovnis, qui recherche d’éventuels témoignages (le contacter au 03.24.59.08.42 ; anonymat respecté sur simple demande).


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Déjà à Croix-Rouge, il y a un an

Le phénomène insolite observé le 27 avril allée Edgar-Degas est le deuxième cas signalé à Croix-Rouge en moins d’un an. Le 4 juillet 2009, vers 22 h 45, un habitant du quartier qui se trouvait dans le jardin de sa maison, près de la fac, a vu « trois lumières rouges » disposées « en un parfait triangle », non clignotantes, qui « évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims ». Le phénomène a ensuite changé de direction puis « est monté plus vite » pour disparaître. Durée de l’observation : cinq minutes.

D’autres témoins se sont fait connaître après la parution de l’article relatant l’observation. Ainsi, ce même soir à Cormicy, plusieurs personnes assistèrent au curieux manège de trois lumières. Elles ont d’abord vu arriver un premier point lumineux qui s’est fixé. Un deuxième point l’a rejoint et s’est fixé à son tour, puis un troisième pour former un triangle. Ils ont ensuite bougé de concert jusqu’à leur disparition dans le lointain.

Contactée, la BA 112 avait fait savoir qu’il n’y avait pas eu d’exercice aérien ce soir-là dans la région de Reims.

Ces observations furent communiquées au chercheur privé Jean-Luc Lemaire. Un an après, il dit n’avoir trouvé aucune explication convaincante.


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Union100704b - Marne
Croix-Rouge : La victoire de Bertrand Renaudin quartet sur deux ennemis

Le quartet a témoigné de sa passion pour les voyages.
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Avant de rencontrer vendredi soir le public, Bertrand Renaudin, âgé de 55 ans, est tenaillé par le stress malgré quarante-cinq ans de carrière à tenir les baguettes. Dans la petite loge de la médiathèque Croix-Rouge, le batteur ne laisse rien paraître de son appréhension mais confie : « C’est une responsabilité d’aller jusqu’au cœur des gens. Il y a la peur de ne pas être à la hauteur de l’attente. »

Pourtant, il manifeste beaucoup d’aisance sur scène. La voix est grave, ensorceleuse. Son rire est tonitruant. Il affronte deux ennemis farouches, la concurrence des matches de foot et puis le soleil ardent dont l’éclat pique comme une guêpe. Le premier adversaire est responsable, peut-être, de la présence d’une vingtaine de personnes résistant à l’appel du ballon rond lors de sa conférence donnée avec simplicité. Installé derrière son instrument, il joue en solo, chantonne, plaisante, multiplie les formules. « L’improvisation, c’est n’importe quoi mais pas n’importe comment ».

Il raconte son périple musical, son renvoi d’un conservatoire, car il ne tenait pas bien ses baguettes, sa révolte lorsqu’il les a jetées au jury et puis sa venue de jeune provincial, originaire de Nantes à Paris.

La révolte et les voyages

Il y rencontre Claude Nougaro, l’organiste Eddy Louiss. Les engagements se succèdent dans les cabarets. Il s’intéresse aux folklores, notamment breton, et découvre Léo Ferré qui le fascine, par son œuvre et puis sa philosophie de la vie, son aisance à détacher l’important de l’accessoire. En quartet, lors du concert donné devant une centaine de personnes, il témoigne de son attraction vers l’Afrique. Plusieurs compositions sont puisées dans son disque « Château rouge » célébrant le XVIIIe arrondissement de Paris ouvert aux cultures.

Un vibraphone, un sax et une contrebasse tissent des horizons lointains. La batterie maintient le cap. L’option est contemporaine, sans tuer la mélodie. Les applaudissements crépitent. Le quartet réussit même à inviter un vent aimable. C’est bien connu, les musiciens de jazz sont des magiciens.

Thierry de LESTANG PARADE

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100704a - Marne
TENNIS / Championnats de France 11-12 ans

Cindy Castille (à gauche) et Emmanuelle Salas : la victoire de deux « copines » sur la célèbre terre battue de Roland-Garros.
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Son sacre national en double (11-12 ans) à Roland-Garros, cadeau d’anniversaire pour ses 12 ans fêtés lundi dernier, a déjà trouvé un prolongement au Tournoi adultes de Soissons, ce week-end.

Dans la cité du Vase, Cindy Castille (5/6) a perfé à 3/6 en demi face à la Senlisienne Anna-Laure Calif et a bataillé ferme devant une 2/6 (Ophélie Mouflet, L’Isle-Adam) dans le 1er set (6-7 ; 5/7) avant de lâcher prise (0-6).

« Des copines »

La Rémoise de Géo-André s’affiche comme l’une des leaders de sa génération, comme avant elle Marie Menacer (victorieuse des Petits As en double) ou Nathalie Mohn (finaliste des France en 15-16 ans devant Chloé Babet en 2007).

L’association avec la championne de France, Emmanuelle Salas, elle l’a prouvé, est également porteuse d’espoir, après un test réussi au Passage Espoirs d’Agen : « Elles sont copines depuis pas mal de temps. A Roland-Garros, elles se sont tout le temps entraînées ensemble », souligne son père Emmanuel, entraîneur fédéral.

Ces liens assez forts ont certainement pesé en finale contre un binôme de 3/6 composé devant la finaliste malheureuse Théo Gravouil et d’une demi-finaliste Elisa Elhadj : « Leur jeu est assez complémentaire et leur style est à peu près le même : elles prennent assez tôt la balle et sont issues de filières semblables ».

Sur le circuit ITF

De complicité, il est forcément question également entre Cindy et un père qui lui apporte son « vécu » de formateur. Notamment auprès de Servane Delobelle qui fut numérotée.

« Je fais attention à la diététique, aux étirements pour éviter les blessures ».

Cette attention parentale s’ajoute à un entraînement « bi-quotidien » : « Une séance de tennis, une autre de physique. Cindy vient de prendre plus de 10 cm. Elle est également bien suivie médicalement au Creps ».

Avec le Centre de Géo-André, labellisé par Ligue et bientôt par la DTN, Cindy Castille bénéficie d’un environnement maîtrisé qui s’inscrit dans la durée.

Comme son double avec la Dauphinoise Emmanuelle Salas : « On devrait les voir en ITF 13-14 ans à l’étranger ».

Jean-Pierre PRAULT


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Union100703c - Marne
Suppression de poste à l’école primaire Hippodrome : « Reste avec nous, Jérôme ! »

Enfants et parents ont manifesté hier leur soutien à l’assistant d’éducation. Qui, finalement, ne partira pas !
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« RESTE avec nous, Jérôme. Jérôme, ne nous quitte pas. Un pour tous, tous pour Jérôme ! »

Les banderoles déployées hier devant l’école primaire Hippodrome dans le quartier Croix-Rouge témoignent de la popularité du Jérôme en question : un assistant d’éducation qui devait faire les frais de l’actuelle politique de rigueur budgétaire publique. Ce qui chagrine les parents. « Il aide les enfants en informatique, confie l’un d’eux, il les soigne quand ils se blessent, il fait de l’aide aux devoirs, remplace les maîtres en cas d’absence, accompagne les sorties, participe à l’organisation des kermesses et des autres animations… »

Et il en allait ainsi depuis plusieurs années. Alors quand les parents ont appris mardi lors d’un conseil de classe le projet de supprimer le poste, ils ont décidé de protester. Les enfants ont été invités à réaliser des banderoles, et à les déployer hier aux heures de rentrée et à celle de la sortie. Cela suffira-t-il à faire fléchir l’inspection d’académie ? En fait, cette démonstration publique pour garder Jérôme n’était même pas nécessaire : « La suppression de ces postes n’a pas lieu d’être dès qu’ils touchent au handicap, nous a en effet expliqué l’inspectrice d’académie ; or c’est bien le cas ici, puisque l’école accueille des enfants sourds ou malentendants dans le cadre d’un partenariat avec l’institut Michel-Fandre. » Jérôme est ainsi assuré de conserver au moins un demi-poste à Hippodrome !

A.P.


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Union100703b - Marne
tennis : Tous derrière « Geo »…

La Sillerotine Lucie Grygielski outsider sur le quick rémois.
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L’incontournable Open rémois entraîne derrière lui quatre autres tournois pour un week-end encore chargé.

TC GÉO-ANDRÉ

Pour sa 21e mouture, le TC Géo-André a fait le plein avec 172 jeunes (+ 6 par rapport à 2009) et 205 adultes (+38).

D’où de jolis tableaux, qui, en l’absence de négatifs chez les hommes, risque fort de se régler à 0 entre le « prof » du Creps, Stéphane Heyd (Mulhouse), Gabriel Andruejol (Reims Europe Club) ou le lauréat 2008, Sébastien Mouilleron (ASPTT Troyes).

Derrière ce trio, Quentin Munier (1/6, La Macé) et les 2/6 locaux Arnaud Pignon et Vincent Pacanowski chercheront à bousculer la hiérarchie.

En + 35 ans, Philippe Genty (15/1, Betheny) est grandissime favori alors qu’en + 45, la finale devrait opposer Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery) à Alain About (15/4, TC Reims).

Chez les dames, la tête de série n°1 et favorite, Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André), devra se méfier d’un quatuor de 5/6 - Audrey Rousseaux (Reims Europe Club), Lucie Grygielski (Sillery), Camille Kleiber (Guignicourt) et surtout la tenante, Audrey Sarrazyn (Géo-André) - particulièrement avide de « perf(s) ».

Demain,

10 h 30 : demi-finales messieurs et dames ;

15 heures : finales dames, messieurs, messieurs +35 et 45 ans.

 


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Union100703a - Marne
Les feuilles mortes brûlent à la pelle

Hier, à 15 h 45, les pompiers ont été appelés pour un incendie au lycée Joliot-Curie.

Rien de grave ! Il s’agissait de feuilles mortes qui brûlaient dans une gaine de ventilation.


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Union100702b - Marne
Flâneries / Conférence et concert : Croix-Rouge à l’heure du jazz

Hélène Le Roy.
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Le quatuor de Bertrand Renaudin se produira ce soir à 19 h 30.
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Sans nul doute, cette conférence proposée par Bertrand Renaudin sera menée tambour battant ce vendredi 2 juillet à 18 heures à la médiathèque Croix-Rouge. Batteur renommé, il va aborder des domaines techniques, comme les secrets de l’improvisation, l’amélioration du son, la rencontre avec le public…

Ensuite, à 19 h 30, après l’énoncé de la théorie, place à la pratique, le musicien se produit en quatuor. Cyril Prévost est au sax, Thierry Bonneaux, au vibraphone, Yves Torchinsky, à la basse, et donc Bertrand Renaudin, à la batterie, un compère qui aime les aventures différentes.

Apprécié par Claude Nougaro, cet accompagnateur de l’organiste Eddy Louiss, est aussi applaudi par le pianiste Martial Solal. À propos de son disque « Château Rouge », celui-ci indique joliment que « c’est une station à retenir ». Elle devrait accueillir sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge beaucoup de voyageurs.

• Entrée libre •

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L’hebdo du vendredi- n° 175 - 100702a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 175 - Semaine du 02 au 08 juillet 2010

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RENOVATION URBAINE : Au tour du quartier Pays de France

La première tranche du programme a été inaugurée en début de semaine en présence de nombreux élus et habitants du quartier.
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Vue d’ensemble du secteur Pays de France avec en bleu l’ensemble des nouvelles constructions.
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L’inauguration cette semaine de deux bâtiments avenue Bonaparte, marque le lancement concret du programme de l’ANRU à Pays de France. D’ici à 2013, ce secteur de Croix-Rouge sera profondément transformé.

Après les quartiers Orgeval ou Wilson, c’est maintenant celui de Pays de France, situé à Croix- Rouge, qui entame sa mue dans le cadre de l’ANRU (Agence Nationale pour le Renouvellement Urbain). Ainsi, d’ici à 2013, le programme, piloté par le Foyer Rémois, prévoit au total la construction de 265 logements neufs, la réhabilitation de 530 appartements (façades, isolation, etc…) tandis 158 autres seront démolis.

Ce vaste chantier a débuté l’été dernier avec la démolition symbol ique de la passerelle qui abritait les commerces. Depuis, l’organisme logeur a livré une première tranche rassemblant six locaux commerciaux et 33 logements neufs répartis dans deux bâtiments, le long de l’avenue du Général Bonaparte, à proximité directe de la future ligne de tramway. Ils ont été inaugurés cette semaine par le président du directoire du Foyer Rémois, Christophe Villers et la maire de Reims, Adeline Hazan pour qui cette opération doit permettre « de revitaliser et de désenclaver le quartier tout en améliorant la qualité de vie des habitants ».

En effet, au-delà de la question du logement, le programme prévoit également de nombreux aménagements publics comprenant des places de parkings, des espaces piétons, une piste cyclable, de nouvelles voies de dessertes, mais aussi un nouveau parvis devant le nouveau centre commercial Arago.

D’ailleurs, en 2011, de nouveaux commerces et services viendront encore renforcer l’attractivité du secteur. Certains s’installeront dans de nouvelles constructions dans le prolongement de celles nouvellement existantes, jusqu’à la Poste, tandis que d’autres prendront place de l’autre côté de l’avenue. Enfin, la Ville de Reims entend renforcer le pôle animation du secteur en installant un nouvel équipement public en face du lycée Arago. Si on ne connaît pas encore la vocation exacte de ce futur bâtiment, la municipalité souhaite qu’il soit à la fois un équipement de proximité tout en étant attractif pour l’ensemble des Rémois.

Julien Debant

400 conteneurs installés d’ici 2014 !

La Ville de Reims, Reims Métropole, le Foyer Rémois, Plurihabitat l’Effort Rémois et Reims Habitat ont signé lundi une convention pour l’implantation et l’usage de conteneurs enterrés et semi-enterrés. Cet accord prévoit notamment l’installation dans l’agglomération de Reims de 400 conteneurs sur les quatre prochaines années, pour un investissement global de 4 M€, répartis entre tous les signataires.

Expérimenté avec succès pendant six mois dans un secteur du quartier Croix du Sud, ce système de collecte des déchets a, selon les élus, permis d’améliorer significativement le geste de tri. De plus, les risques d’incendies et d’actes de vandalisme sont considérablement réduits. Enfin, cerise sur le gâteau, la mise en place de ces conteneurs en lieu et place des bacs roulants devraient diminuer les charges des locataires de près de 50€/an.


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SOLIDARITE : Emmaüs : une adresse trop discrète !

L’affluence chez Emmaüs de la ZAC La Neuvillette est encore timide.
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Désireux d’étendre la solidarité sur Reims et son agglomération, la communauté Emmaüs a ouvert depuis six mois de nouveaux locaux dans la ZAC La Neuvillette… mais elle manque de visibilité.

Répondre aux besoins des plus défavorisés sur Reims et son agglomération et instaurer un nouveau levier de proximité, depuis six mois, les « fils » de l’Abbé Pierre, déjà présents à Berry-Au-Bac (02), ont ouvert une nouvelle adresse dans la ZAC La Neuvillette. 900 m2 dédiés à la vente de meubles, vaisselle, vêtements, électroménager, livres, vélos ou jouets et 300 m2 réservés pour les dépôts, Emmaüs entend ainsi peser de tout son poids pour lutter contre la misère sur Reims.

Si un certain public est au rendez-vous (600 personnes / semaine), la visibilité du nouvel entrepôt, pourtant proche de Cora La Neuvillette, fait encore défaut comme l’avoue Gérard Racinne, l ’ u n des responsables : « malgré le fait que chacun contribue à la publicité de nos locaux, des gens ne nous connaissent pas sur Reims. Nous sommes encore trop absents auprès du tissu associatif, des travailleurs sociaux ou des maisons de quartier. Or notre rôle est de toucher un plus large public et d’agrandir notre réseau et le maillage de la chaîne de solidarité ».

Pas connu ? En effet, le nouveau lieu rémois pâtit de l’ancienneté et de la fidélité au centre ouvert depuis 1982 à Berry-Au-Bac. Là-bas, la communauté accueille près de 30 compagnons, qui par l’activité sociale utile aux autres (redonner notamment une seconde vie aux meubles qui sont ensuite revendus) et un accompagnement vers l’insertion, reprennent confiance et retrouvent une certaine dignité. En décembre 2011, avec une quarantaine de lits, une future résidence sociale ouvrira ses portes sur le site axonnais.

« Néanmoins, nous continuons notre mission de collecte et de vente sur le site Berry-Au-Bac » rassure son président Jean-Marie Lardy, bénévole pendant 10 ans, « cet été, des sacs de fripes et vêtements neufs seront d’ailleurs proposés à 8€, tout comme des vélos à bas prix et en parfait état ».

Aller toujours plus loin

Renforcer la proximité et la volonté d’entreprendre : Emmaüs joint l’acte à la parole en étant également présent un samedi par mois dans les déchetteries de Croix-Rouge et de Saint-Brice-Courcelles pour récupérer des objets. Une manière de toucher un autre public, de recruter des bénévoles (ils sont 15 actuellement, alors qu’il en faudrait 8 fois plus), mais aussi d’améliorer la collecte d’après Karine Lacroix, membre de l’association : « nous devons encore renforcer nos liens avec Reims Metropole. Le must serait qu’un compagnon d’Emmaüs gère en permanence la collecte sur place, comme cela se passe dans certaines villes ».

Dimension solidaire

Parce que pour les compagnons Emmaüs : « il faut voir, pour comprendre ce qu’est la solidarité », un appel est lancé aux artistes, graffeurs et autres… pour venir décorer gracieusement les 180 m2 de façades intérieures du local de La Neuvillette… Une manière également pour Emmaüs de forger l’identité de son nouveau lieu d’accueil.

O.M-L

Emmaüs : 7, rue Jean d’Arvor (en face de la Boîte à piles), ZAC La Neuvillette.

Horaires d’ouverture : Pour la vente : les mercredi, jeudi et vendredi de 14h à 18h et le samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Pour le dépôt : du mardi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 17h.

Si vous souhaitez vous investir en qualité de bénévole, contactez le 03 23 79 95 88.


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AGENDA

Jazz : « Bertrand Renaudin »

Un rendez-vous artistique mêlant concert (Bertrand Renaudin quartet) et conférence.

A 18h – Entrée libre – Médiathèque Croix-Rouge

A 19h30 – Entrée libre – Parvis de la médiathèque Croix- Rouge (Centre des congrès en cas de pluie)

JUSQU’AU 15 OCTOBRE : « Symphonie en noir et blanc »

Les Flâneries musicales comme vous ne les avez jamais vues : une série de clichés sensibles et touchants, des instantanés associant architecture et portrait pour un cheminement en toute simplicité dans un Reims version noir et blanc comme l’affectionne particulièrement son auteur Alain Hatat.

Cryptoportique, place du Forum
Entrée libre

A voir aussi à la Maison du département, à la Fnac et dans les médiathèques Croix-Rouge et Cormontreuil


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Union100630b - Marne
TC Philippe : doublés ratés

Le tournoi jeunes du CT Philippe à Dormans a vécu une excellente édition. La logique a été respectée même si les tentatives de doublé de Baptiste Breton (30/2, Reims Europe Club) et Nikolaj Woynar (15/4, Géo-André) ont à chaque fois échoué.

ADULTES.

- Le tournoi adultes limité à 3/6 débutera le 3 juillet avec au programme des tableaux messieurs et dames ainsi que des +40 ans dames, +55 et +65 messieurs. Les inscriptions sont toujours possibles auprès de Philippe Gérin (03.26.52.72.69 ou 06.07.27.09.71).

FILLES

- 10 ans : Mélanie Gourmand (40, CT Philippe) bat Lou-Anne Carrasco (Non Classée, CT Philippe) 5-1, 5-0.
- 13/14 ans : Apolline Saint (30/5, Brie des Etangs) bat Mathilde Drouillet (30/5, CT Philippe) 6-1, 6-3.

GARÇONS

- 10 ans : Breton (30/2, Reims Europe Club) bat Lopes (30/3, Reims Europe Club) 3-5, 5-2, 5-1.
- 11/12 ans : Chaumont (30/1, Muizon) bat Breton (30/2, Reims Europe Club) 6-0, 7-6. - — 13/14 ans : Chardin (30, Reims Europe Club) bat Paté (30/3, CT Philippe) 6-0, 3-6, 7-5. - 15/16 ans :Woynar (15/4, Géo-André) bat Arfaoui (15/5, Saint-Martin-sur-le-Pré) 6-0, 6-1
- 17/18 ans : Renard (15/4, Géo-André) batWoynar (15/4, Géo-André) 5-7, 6-3, 3-1 abandon.


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Union100630a - Marne
Tennis (Muizon) / Dupuis et Spooner en favoris

Marie Pithois est tombée sur plus forte qu’elle en finale.
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Pas de surprises, dimanche, sur la résine du Champ-Jeudi, à Muizon, où les favoris ont confirmé leur statut à l’occasion de cette 25e édition.

Et de deux !

Ainsi, chez les dames où la limite avait été fixée à 15/1, la tête de série n°1 Maéva Spooner (15/1, Géo-André) a manifestement franchi un palier.

A 13 ans, la jeune Rémoise peut désormais s’imposer avec autorité chez les adul- tes, comme en témoigne sa victoire en finale contre Marie Pithois (15/3, Reims Europe Club) où elle a su inverser la tendance dans le deuxième set (6-3, 7-5).

Dans le tableau masculin, il était difficile de rêver plus belle finale entre les deux prétendants à 4/6, à savoir Adrien Dupuis (La Macérienne) et Jules Latour (Guignicourt). Seulement, l’Ardennais, tenant du titre et soucieux de le conserver, a nettement dominé la finale (6-2, 6-2) face à un adversaire émoussé physiquement par sa demi-finale matinale.

DAMES

Quarts de finale : Marie Pithois (15/3, Reims Europe Club) bat Diane Lang (30/1, Vandoeuvre) 6-0, 6-0 ; Camille Neff (15/3, Géo-André) bat Mélissa Noizet (30, Cormontreuil) 6-1, 6-2.

Demi-finales : Marie Pithois bat Stéphanie Abraham (15/2, Cheminots Reims) 6-0, 6-0 ; Maéva Spooner (15/1, Géo-André) bat Camille Neff 6-2, 6-1.

Finale : Maéva Spooner bat Marie Pithois 6-3, 7-5.

MESSIEURS

Quarts de finale : Vicaire (5/6, ASPTT Châlons) bat Deglave (15, Guignicourt) 6-3, 6-3 ; Charai (5/6, Guignicourt) bat Durant (5/6, Betheny) 7-6, 6-3.

Demi-finales : Dupuis (4/6, La Macérienne) bat Vicaire 6-4, 6-2 ; Latour (4/6, Guignicourt) bat Charai 7-5, 6-4.

Finale : Dupuis bat Latour 6-2, 6-2.


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Union100629a - Marne
Rénovation urbaine lancée à Pays-de-France et Orgeval : Mieux isoler pour mieux s’ouvrir

Roseline Marandon achète son pain dans le quartier, elle aimerait aussi faire ses courses dans un « discount »
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Photo Remi WAFFLART
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D’ici fin 2013, Orgeval et Pays-de-France auront bien changé. Avec des factures de chauffage qui vont baisser.

L’ANRU, c’est reparti ! Après Wilson, ce sont les quartiers Orgeval et Croix-Rouge, plus exactement Pays-de-France qui vont en bénéficier. L’opération de rénovation urbaine a été lancée en grandes pompes hier par la Ville et le Foyer rémois.

La maire Adeline Hazan, qui veut « revitaliser le quartier, le désenclaver, l’ouvrir sur la ville », a fait le tour des commerçants qui ont ouvert avenue Bonaparte, depuis quelques mois, entre le lycée Arago et la fameuse passerelle détruite en mai 2009. « Il y avait une demande, surtout que certaines personnes âgées n’osaient plus aller sur la passerelle », nous explique la boulangère, qui a ouvert en décembre.

Elle est juste en dessous des nouveaux appartements « basse consommation », qui sont à la fois le symbole de la rénovation du quartier, mais aussi son antithèse : l’opération de l’Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine) à Pays-de-France et Orgeval concernera surtout de la réhabilitation, sur 1.039 logements d’ici fin 2013.

Au prix de 40.000 euros par logement, avec 50.000 heures de travail de réinsertion, « pour des jeunes ou moins jeunes qui auront ainsi, au bout de trois ans, une formation qualifiante », explique Eric Quénard. « Avec les Epinettes, nous sommes le 5e plus gros dossier de France pour l’Anru. »

Un « vrai » chauffage

Allez, un dernier chiffre : le Foyer rémois aura investi 200 millions d’euros pour rénover les quartiers rémois. « Cette réhabilitation n’est pas facile car elle se fait en site occupé. Il faut donc être très près des habitants », explique Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois. Qui ajoutera que l’organisme veut « réhabiliter autrement, avec comme enjeu la réduction des charges de chauffage. Nous pourrions diviser celles-ci par deux ». Voilà une promesse qui aura été retenue ! « Voilà deux ans que nous travaillons avec les architectes et le Foyer rémois, nous voulons tout savoir sur la technique », explique Roseline Marandon, présidente de l’amicale des locataires.

Si elle a refusé des parkings privés avec badges « qui auraient augmenté les charges », elle rappelle qu’elle se bat « depuis des années pour le chauffage, car les gens ont froid ! C’est une grosse attente des habitants, c’est pour cela qu’on espère beaucoup de la réhabilitation et de la nouvelle chaudière au bois ». Pour une facture en baisse, mais aussi un chauffage correct qui n’oblige pas les locataires à s’acheter des radiateurs d’appoint ! « J’étais plus pour tout raser, moi. Notre quartier est un peu délaissé, par endroits, on se croirait à Sarajevo ! »

Ce que l’Anru ne fera jamais, c’est « changer la mentalité des gens. La mixité sociale, c’est bien, mais ici, c’est un peu chacun pour soi ». Belles façades, meilleure isolation, nouveaux commerces : les habitants voudraient bien aussi d’un Pôle emploi et d’un supermarché discount. Voilà qui va au-delà de l’Anru.

G.F.


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Tri : 400 conteneurs en 4 ans

Allée Edgar-Degas, il y a trois conteneurs pour les ordures ménagères, deux pour le tri et un pour le verre.
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La Ville de Reims et les trois organismes logeurs ont signé une convention hier, pour l’installation sur quatre ans de 400 conteneurs semi-enterrés ou enterrés. Le système est expérimenté depuis six mois dans le quartier Croix-du-Sud. Selon les chiffres de Reims Métropole, la performance du tri a été multipliée par cinq, avec 38 kg par an et par habitant de collectés. Le tout avec un taux d’erreur de 10 %.

A partir de septembre, les conteneurs vont être enterrés rue Théodore-Jéricho, rue Chanoine-Lallement, rue Estienne-d’Orves, rue Gerurez, dans les Hauts de Jean-Jaurès, avenue Bonaparte, avenue Taittinger, rue Charles-Roche, rue du 106e Régiment d’infanterie et allée Beethoven.

L’agglo va investir pour cela 2 millions d’euros, la même somme étant engagée par Reims Habitat, l’Effort rémois et le Foyer rémois. Comme pour le chauffage, cette nouvelle façon de collecter les ordures devrait amener une réduction des charges.

Sans oublier une meilleure propreté, une lutte plus simple contre le vandalisme (difficile de mettre le feu à ces poubelles…), et une amélioration de la qualité de vie.


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Union100628b - Marne
REIMS : Au quartier Croix-Rouge : Des légions d’asticots sur le palier

Par pelletées entières à raison de trois à quatre par jour, ce père
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REIMS (Marne). Depuis jeudi, des centaines d’asticots provenant d’un vide-ordures ont élu domicile au premier étage d’un immeuble de l’allée des Limousins. Obligé de s’en débarrasser par pelles entières, un locataire déplore l’inertie du bailleur.

UNE pelle plus une pelle, plus une autre, font rapidement un seau. C’est en de telles quantités que Jean-Denis Barruffol ramasse, depuis jeudi, des asticots sur le pas de la porte de son appartement du 1 de l’allée des Limousins, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. Par pelletées entières à raison de trois à quatre par jour, ce père de famille de 29 ans qui, depuis un an et demi, occupe au premier étage de l’immeuble ce logement avec sa femme et leurs deux enfants de 3 et 6 ans, tente ainsi de mettre un terme à la prolifération exponentielle de ces vers gris peu ragoûtants, envahissant par centaines le palier et plusieurs de ses appartements.

A l’origine : un vide-ordures collectif obstrué, dans lequel s’accumulent les poubelles normalement destinées à rejoindre le local situé en dessous de son domicile. « Il est bouché depuis trois semaines, déplore en effet le locataire. Le gardien sort les poubelles qui sont pleines, mais cela ne règle pas le problème. »

Et le problème, lui, perdure tandis que les asticots se multiplient à grande vitesse : « Ils rentrent à l’intérieur par-dessous les portes, poursuit Jean-Denis Barruffol. Il y en a sur les murs. Et le matin, quand on ouvre, il y en a plein devant la porte. Sans parler des odeurs. »

« Un petit loupé »

D’ailleurs, les quantités sont telles qu’ils débordent du vide-ordures : « Jeudi soir, j’ai essayé de colmater le sas avec un sac-poubelle, mais il y en avait trop, poursuit-il. Ça n’a pas tenu. » Autant dire que la situation est loin de prêter à sourire. Surtout qu’au goût des habitants du premier étage où ont élu domicile ces légions de vers, le bailleur ne semble pas en prendre la pleine mesure : « Comme deux autres personnes, j’ai appelé l’agence du Foyer rémois, mais personne n’intervient », affirme en effet le Rémois qui s’est également rendu, vendredi, auprès de son agence. Mais force lui est de constater que les vers, eux, se trouvaient toujours là, dimanche.

Du côté du bailleur, le cadre d’astreinte du Foyer rémois concédait hier la possibilité qu’il y ait pu avoir « un petit loupé » dans la gestion de l’incident. « Nous essayons de trouver des solutions en fonction des équipes présentes, a-t-il indiqué. Mais j’ai demandé aujourd’hui (hier, NDLR) à une entreprise d’intervenir pour déboucher le vide-ordures. Et si le problème ne peut pas être réglé dans l’immédiat, il le sera dès lundi. »

Une bonne nouvelle pour les locataires.

En attendant, Jean-Denis Barruffol dont la colère ne flanche pas, s’est armé de Javel et d’autres produits à base de vinaigre pour venir à bout des asticots : « On en a balancé partout, raconte-t-il. On a bien réussi à virer les blattes et les cafards des appartements, alors… ». Les vers sont prévenus.

Franck BRENNER