Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - novembre 2011.
lundi 31 octobre 2011
par Administrateur

 


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010, août 2010, septembre 2010, octobre 2010, novembre 2010, décembre 2010, janvier 2011, février 2011, mars 2011, avril 2011, mai 2011, juin 2011, juillet 2011. août 2011. septembre 2011.

 

***********************************

Union111130g
Maison de quartier Jean-Jaurès. Trois habitantes de La Maladrerie touchées par le virus du théâtre

Vendredi 2 décembre, les comédiennes joueront « Le Cadeau »
- Agrandir la photo

« Dans le cadre du développement culturel, nous avons mis en place un projet théâtral à l’attention du public du quartier de La Maladrerie. Nous voulons montrer que le théâtre n’est pas réservé à un public spécifique », explique Anthony Hugot, chargé du développement de la vie locale à la maison de quartier Jean-Jaurès. Trois habitantes ont accepté. Cette initiative les valorise, les met en confiance. Pour les mettre en scène, l’espace Le Flambeau a fait appel à Suzanne Cloutier. Chorégraphe et comédienne, elle a monté une pièce, « Le Cadeau », d’après « Les Grosses rêveuses » de Paul Fournel et « Voisin » de François Cervantès.

Trois drôles de dames

Katy Lécuyer, Azina Lalaouna, Louise Denime : trois « drôles de dames » se sont investies, donnant leurs idées, créant leurs décors et leurs costumes, choisissant leurs musiques. Sur la scène, elles plaisantent, manifestement à l’aise : « C’est un excellent exercice pour avoir plus d’aisance et d’assurance ».

L’une d’elles reconnaît avoir surmonté sa timidité. Trois personnalités différentes, que la pièce a soudées. « On a eu pas mal de crises de fous-rires », avouent-elles. La représentation a été programmée pour le Téléthon. Le Flambeau en a profité pour inviter l’atelier d’écriture et de théâtralisation de l’Espace Billard dans « De l’or à Croix-Rouge », un projet coordonné par Catherine Pierrejean.

Vendredi 2 décembre : 18 h 30 « De l’or à Croix-Rouge ». 19 h 30 « Le Cadeau ». Le Flambeau, 13, rue de Bétheny. Tél. 03.26.07.28.21.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 111130f
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7422 du 28 novembre au 04 décembre 2011.

----------

DISSOLUTION DE SOCIETE - CLOTURE DE LIQUIDATION

MEDICAL SUPPLIES

Société à responsabilité limitée
au capital de 10.000 €uros
Siège social : 18 place Georges Braque 51100 REIMS (Marne)
440 587 632 R.C.S. Reims

Les associés ont décidé aux termes d’une délibération en date du 21 octobre 2011 la dissolution anti¬cipée de la société à compter du 31 décembre 2010 suivie de sa mise en liquidation amiable en application des dispositions statutaires.

A été nommé comme liquidateur : Monsieur Salem RIGANE, demeurant à REIMS (Marne), 18 place Georges Braque, à qui ont étés conférés les pouvoirs les plus étendus pour terminer les opérations sociales en cours, réaliser l’actif et apurer le passif.

Le siège de la liquidation est fixé au siège social à REIMS (Marne), 18 place Georges Braque.

C’est à cette adresse que la corres¬pondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Le dépôt des actes et pièces relatifs à la liquidation sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS.

99815 Pour avis : Le liquidateur.


----------

DISSOLUTION DE SOCIETE - CLOTURE DE LIQUIDATION

SCM

22 bis Espl. P. Cézanne
Société civile de moyens en liquidation
au capital de 7.500 €uros
Siège social : 22 bis esp. P. Cézanne - 51100 REIMS R.C.S. Reims 340 635 887

L’assemblée extraordinaire réunie le 01/11/2011 a décidé la dissolution de la société suite au départ d’un associé et sa mise en liquidation. Elle a nommé comme liquidateur Monsieur Patrick REY, 22 bis esp. P. Cézanne ¬51100 REIMS, siège de la liquidation, adresse où la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Le dépôt des actes et pièces relatifs à la liquidation sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS en annexe au R.C.S.

100686


----------

DISSOLUTION DE SOCIETE - CLOTURE DE LIQUIDATION

SCM

22 bis Esp. P. Cézanne
Société en liquidation
au capital de 7.500 €uros
Siège : 22 bis Esp. Cézanne - 51100 REIMS
R.C.S. Reims 340 635 887

L’assemblée générale réunie le 17/11/2011 a approuvé les comptes définitifs de liquidation, décharge Monsieur REY de son mandat de liquidateur, donne à ce dernier quitus de sa gestion et constate la clôture de la liquidation à compter du 31/12/2009.

Les comptes de liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au R.C.S.

100708 Pour avis : Le liquidateur.

***********************************

Union111130e
Un appart’éco pour maîtriser sa conso

Grâce aux wattmètres, les visiteurs visualisent en temps réel leur consommation d’énergie. Or, le constat est flagrant : une lampe halogène consomme dix fois plus d’énergie qu’une ampoule basse consommation.
- Agrandir la photo
François NASCIMBENI
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Plurial Effort rémois fait la chasse au gaspillage énergétique et inaugure le premier appart’éco rémois. Visite du logement, ouvert depuis peu aux habitants.

C’EST un appartement comme les autres. Comme tous ceux construits par le bailleur social Plurial Effort rémois dans le quartier Croix-du-Sud. L’appart’éco, sis 1, allée Edgar-Degas mesure 50 m2. Il comprend un salon, une cuisine, une chambre, des WC et une salle de bain. À cela, rien d’étonnant.

C’est un logement standard, meublé, que personne n’habite pourtant ; une habitation pédagogique, destinée aux seules visites. Inauguré la semaine dernière, il ouvre sa porte tous les mardis, de 10 heures à midi, pour des visites prises de conscience avec ou sans rendez-vous. Un agent de l’Effort rémois ou un membre de l’association de service civique Unis-Cité reçoit les habitants et même les écoliers. Il sensibilise les gens aux bonnes pratiques énergétiques, s’appuie sur des exemples concrets et se sert d’outils pour illustrer le gaspillage énergétique et budgétaire des ménages.

Démonstrations éloquentes

À l’exemple de wattmètres, branchés sur divers appareils électriques et ménagers, comme le téléviseur ou l’ordinateur. Ils indiquent en temps réel la consommation électrique et le coût engendré. Or, la démonstration est éloquente : alors qu’une ampoule basse consommation coûte 22 € en fonctionnement à l’année, cette dépense passe à 62 € pour une lampe à incandescence et à 215 € pour une lampe halogène. « Un coût multiplié par dix d’un extrême à l’autre. Bien que la lampe halogène soit agréable mieux vaut donc l’utiliser ponctuellement », démontre Alain Niboyet, le directeur développement produit nouveaux et HQE (*) au sein du groupe Plurial. Et d’expliquer, dans le même temps, qu’un appareil en veille consomme lui aussi, qu’il vaut mieux les éteindre ou s’équiper de multiprises coupe veille pour réduire ses dépenses.

Accroître le pouvoir d’achat des ménages

Autre exemple significatif, relatif au gaspillage de l’eau : la fuite d’une chasse d’eau par exemple. « 2 jours = 1 000 litres d’eau », indique un écrit, sur le mur des toilettes de l’appartement. Le nombre prodigieux de bouteilles d’eau entassées dans la baignoire montre, parallèlement, combien prendre une douche est bien plus économique.

Robinets d’eau à débit variable, jeux pour les enfants autour du tri sélectif, robinets thermostatiques sur les radiateurs pour régler la température dans les pièces ou affiches et renseignements sur l’étiquetage énergétique des appareils électrique : l’appart’éco est truffé de conseils, d’astuces et prouve combien changer ses habitudes au quotidien allège la facture et préserve aussi l’environnement. Et s’il est sorti de terre dans le quartier Croix-du-Sud, un quartier où 40 % des salaires des habitants sont inférieurs à 700 €/mois ce n’est pas un hasard. Éric Quénard, premier adjoint au maire en charge du logement et de l’urbanisme, d’expliciter : « Il s’agit d’aider les familles à réduire leur consommation énergétique et à travers cela d’accroître leur pouvoir d’achat ». La lutte contre la précarité sous toutes ses formes est engagée.

Lélia BALAIRE

HQE : Haute qualité environnementale

***********************************

Union111130d
Des correspondants finlandais et anglais accueillis Le collège Georges-Braque à l’heure européenne

Les collégiens ont été accueillis avec leurs professeurs à l’hôtel de ville.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

Au cours de la semaine du 21 au 25 novembre, les collégiens de Georges-Braque (19 élèves) ont accueilli leurs correspondants professeurs et élèves finlandais de la cité scolaire de Viiala, ville de Akaa (dix élèves) et anglais de la cité scolaire de Faringdon (douze élèves) dans le cadre du projet européen Coménius (« Quand l’école s’ouvre à l’Europe »), sur le thème de la biodiversité en France, en Finlande et en Grande-Bretagne.

Ce projet, soutenu par l’Agence européenne et éducation et Formation, est porté par l’ensemble du Réseau de réussite scolaire Georges-Braque, avec les écoles élémentaires Blanche-Cavarrot et Galilée.

Le programme Comenius permet les échanges et la coopération entre les établissements scolaires en Europe, de la maternelle au lycée.

Son objectif est de favoriser le développement personnel et les compétences, notamment linguistiques, tout en développant les notions de citoyenneté européenne et de multiculturalisme.

Des échanges dès l’école élémentaire

Le planning de la semaine rémoise a été riche : chorale, activités sportives, exposition sur les manuscrits, projet biodiversité (herbier-feuilles-relevés de température), découverte du tramway, visite de la cathédrale de Reims et des tours, balade à Reims, réception à l’hôtel de ville, séjour à La Rosière, découverte de Verzenay, visite du phare, des faux de Verzy, des caves Pommery. À Paris : l’Île de la Cité, le Quartier latin, le Panthéon, les Champs-Elysées, le Trocadéro et la Tour Eiffel (panorama du 2e étage).

L’ensemble des élèves a été accueilli à l’hôtel de ville par l’adjointe Virginie Coez, en présence du représentant du rectorat, Fabrice Wateau, de la Direction académique des relations européennes et internationales, de Danièle Deshaies et Geneviève Casasnovas, professeurs à Georges-Braque, d’Anna Kasdeglis et Sarri Karna, professeurs finlandais, de Liz Sanders et Suzy Dickenson, professeurs anglais, d’Olivier Leloux, principal de Georges-Braque, et de Gérard Taillefert, responsable du Réseau de réussite scolaire Georges-Braque.

Olivier Leloux, qui a insisté sur les notions de travail et de fraternité, a précisé que les collégiens rémois se rendront en Finlande en mars prochain et en Angleterre au printemps 2013.

Cette action commence dès l’école élémentaire : les écoliers de Blanche-Cavarrot ont une correspondance avec l’Angleterre et ceux de Galilée ont correspondu une année scolaire avec les Finlandais, ils continuent cette année, et certains d’entre eux, en 6e à Georges-Braque, ont retrouvé de vieilles connaissances.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union111130c
Les étudiants envahissent le conseil d’administration du Crous

Hier matin, plusieurs dizaines d’étudiants se sont rassemblés en parallèle du conseil d’administration du Crous, à la cité Saint-Nicaise. Une occasion de faire entendre leurs inquiétudes quant aux versements des bourses de décembre.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Hier matin, plusieurs dizaines d’étudiants se sont invités dans les locaux de l’organisme qui délivrent les bourses. Ils craignent de ne rien toucher le mois prochain.

AU mois de novembre, les retards de paiement de l’administration auprès de quelque 7 000 étudiants de la cité des Sacres avaient mis le feu aux poudres. Les bourses du mois de novembre avaient en effet été versées avec une vingtaine de jours de retard. L’histoire se répétera-t-elle pour ce mois de décembre, un mois charnière pour tout le monde ? Les étudiants, en tout cas les boursiers, ont peur. Peur de ne rien toucher pour ce dernier mois de l’année. La faute à un budget mal calculé « et qui ne peut pas supporter sans apport financier un passage de 9 mois et demi à 10 mois de bourse », annonçait en trombe le ministre de l’Enseignement supérieur, Laurent Wauquiez, il y a quelques semaines. Et c’est bien pour exprimer leurs craintes qu’ils étaient plusieurs dizaines hier à faire le siège du conseil d’administration du Crous à la cité U Saint-Nicaise, le centre régional des œuvres universitaires et scolaires, organisme en charge du versement des bourses.

« On est tous raides »

En plein conseil d’administration, les étudiants ont tambouriné sur le pas de la porte, fait du bruit. Ils veulent des réponses pour leur avenir proche. Quoi de plus légitime lorsque l’on connaît les conditions de vie des étudiants, leur extrême dépendance aux bourses. Car la plupart n’ont aucune possibilité de revenu de substitution y compris par l’intermédiaire de leurs familles.

« Il faut que l’État s’engage à tenir ses promesses. Qu’on entende un ministre promettre un rallongement de la durée de versement des bourses, c’est une chose. Mais le faire dans les conditions de rigueur qui touchent toute la population aujourd’hui, il est évident que les étudiants ne seront pas épargnés. Comment va-t-on faire sans aide. Pensons aussi aux étudiants étrangers qui dépendent du fonds national d’aides d’urgences et qui comptaient rentrer chez eux pour les fêtes. Ils ne le pourront pas puisque l’Etat se sert de ce fonds pour renflouer les fonds destinés aux bourses plus classiques », explique Benjamin François de l’Unef.

AG et blocus en prévision

En temps normal, les bourses sont versées dans les trois premiers jours du mois. Pour le mois de novembre, il a fallu attendre le 22. « On est tous raides, qu’on ne puisse pas faire de cadeaux à nos proches, ce n’est pas très grave, ils connaissent notre situation. En revanche, qu’on ne puisse pas remplir nos frigos, c’est tout à fait différent », explique Céline, 19 ans.

Cette manifestation durant le conseil d’administration du Crous marque une première action. Et il y en aura d’autres dans les prochaines semaines. À commencer par le jeudi 8 décembre prochain. Une assemblée générale se tiendra dans un des amphis de Croix-Rouge pour faire le point sur la situation. Et constater si oui ou non les bourses du mois de décembre ont été versées en temps et en heure. Et à lire le communiqué de presse de l’Unef hier, le mois de janvier risque de rimer avec blocus à l’université.

Thomas DUPRAT

-----

« Il manque 110 millions au niveau national »

« Il manque en effet près de 110 millions au niveau national pour assurer un versement des bourses à l’ensemble des étudiants […] Le budget 2012 qui sera soumis au vote de ce conseil d’administration est quasiment identique à celui de cette année, ce qui laisse entrevoir les mêmes difficultés pour les étudiants […] A l’heure où les difficultés d’accès aux diplômes sont grandissantes, où de plus en plus d’étudiants sont contraints de se salarier pour financer leurs études, la politique de rigueur du gouvernement ne peut reposer sur les étudiants. »

D’après le syndicat étudiant Unef, les boursiers avaient de bonnes raisons de manifester hier. Ce qui n’a pas empêché le vote du budget 2012 par le conseil d’administration du Crous champardennais hier. Mais avait-il un autre choix ?

-----

« Les bourses de décembre seront bien versées »

Devant l’inquiétude des étudiants et la pression des syndicats, le Crous a tenu à rassurer hier en promettant « que les bourses de décembre seraient bien versées aux étudiants, certainement aux alentours du 12 décembre. Le budget du Cnous (l’organe qui centralise les Crous) a été voté, les crédits sont débloqués. Quant aux étudiants étrangers, le fonds national d’aides d’urgences sera également pourvu en temps et en heure, il n’y aura pas de soucis à ce niveau-là non plus. Le ministre Laurent Wauquiez a été clair il y a quelques jours. En revanche, nous avons bien conscience que les retards de novembre ont occasionné des difficultés à beaucoup de monde. »

***********************************

Union111130b
Danse sur glace / Première pour le Rap

Le Rap (Reims Acrap patinage) se souviendra longtemps de son déplacement à Cholet. En ce week-end de novembre, les protégés de Ludivine Lemaire ont, en effet, décroché la première place du classement des clubs. Loin devant leurs rivaux.

Pour réussir ce tour de force, les Rémois ont décroché neuf podiums. Deux fois, ils sont montés sur la marche la plus haute (Evangéline Braconnier, Juliette Wary). Deux fois, ils ont signé un remarquable doublé (Benjamins 2 et Novices 2).

Ces résultats sont plus qu’encourageants à l’aube d’une saison qui s’achèvera en apothéose sur la glace de Bocquaine du 6 au 8 avril avec l’organisation des championnats de France solos toutes catégories.

TOURNOI DE FRANCE 1re DIVISION (Cholet)

Benjamins 2 : 1. Evangéline Braconnier ; 2. Jeanne Georges. Minimes 1 : 2. Clémentine Rocher ; 3. Myrtile Navarro. Novices 1 : 2. Jeanne Reppel. Novices 2 : 1. Juliette Wary ; 2. Renan Manceaux. Novices 3 : 3. Anaïs Milard. Espoirs 1 : 2. Camille Renault. Par équipes : 1. Rap Reims 102 points ; 2. Le Havre 64.

INTER RÉGIONAL (Evry)

7e Cristal, niveau 1 : 2. Rose Dongois ; 3. Baptiste Ferrand ; niveau 2 : 2. Alizée Henry. Préparatoire Plus : 2. Ludivine Doulet. Argent Plus : 2. Coralie Dehu. Par équipes : 1. Franconville 93 points ; 2. Orléans 72 ; 3. Rap Reims 66.

***********************************

Union111130a
Plusieurs blessés : Des accidents en ville comme à la campagne

Lundi vers 21 heures, un motard de 21 ans a percuté une voiture qui lui a coupé la route boulevard Saint-Marceaux. Il souffrait de douleurs au bas-ventre et d’une suspicion de fracture à la main.

Une heure plus tard, le conducteur d’un fourgon Peugeot Boxer s’est retrouvé sur le toit après avoir percuté un terre-plein central rue de Courcelles. Il est légèrement blessé.

Hier matin à 7 h 45, les gendarmes ont été informés de la présence d’une voiture accidentée sur le bas-côté de l’A34, après le pont de l’échangeur d’Isles-sur-Suippe, en direction de Reims. Le conducteur n’était plus sur place. Pris en charge par une connaissance, il avait fini dans le fossé après avoir raté la sortie.

A 8 h 10, une automobiliste a percuté un camion alors qu’elle le dépassait au niveau de la sortie Reims/Colbert sur l’A26. Seuls des dégâts matériels ont été déplorés.

Vers 8 h 45, un cyclomotoriste de 59 ans a été légèrement blessé lors d’une collision avec une voiture route de Bétheny à Reims.

A 15 h 15, les pompiers ont pris en charge un passant percuté par un bus rue de Neufchâtel tandis qu’à 16 heures, un accrochage matériel opposant une voiture au tramway s’est produit à Croix-Rouge.

Vers 19 h 45, nouvel accident, sur l’A4 cette fois-ci, aux confins de l’Aisne et de la Marne où une voiture a dévalé le talus au niveau d’Aougny, dans le sens Paris/Metz. Il y a deux blessés.

***********************************

Union111129e
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xht…">

Document sans nom

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Objet et lieu d’exécution : Requalification du site HSBC- avenue Robert Schuman à REIMS (51100)  
                                          Réf. : DG-020311

 

Lot n°

Libellé du lot

Entreprises

 

Offres retenues
€ H.T.

1

GROS ŒUVRE

SNM

1 084 309,80

marché base + option 1 + option 2 partielle (R+2)

2

STRUCTURE METALLIQUE

ERTCM

493 289,25

marché base + options 2
et 3

3

BARDAGE/PANNEAUX DE FACADE

LE BATIMENT ASSOCIE

1 500 900,00

marché de base + option 6

4

MENUISERIE ALUMINIUM

FRANCE 2000

851 544,00

marché de base

5

SERRURERIE

PIGUET

238 043,74

marché de base + option 2

6

ETANCHEITE/ZINGUERIE

DAVULIAN ETANCHEITE

411 135,58

marché de base + option 2

7

PLATRERIE

PPDS MENUISERIE

594 481,63

marché de base + option poteaux + option 2

8

FAUX PLAFONDS

ISO MARNE

384 808,65

marché de base + option 2

9

MENUISERIE BOIS

CARI

546 024,66

marché de base + options 2 et 3

10

CLOISONS MODULAIRES

HOYEZ

278 651,77

marché de base + option 2

11

COURANTS FORTS/FAIBLES

BLANCHARD ELECTRICITE

1 249 864.06

marché de base + options 2,3 et 4

12

CHAUFFAGE/VENTILATION/DESENFUMAGE

IDEX ENERGIE CENTRE EST

1 802 839,00

marché de base + option 2

13

PLOMBERIE

STE NVELLE SERIP

260 125,01

marché de base + options 2 et 4

14

SOLS SCELLES

AYDIN MUSA

175 411,86

marché de base + option 2

15

SOLS SOUPLES

DSL

347 525,00

solution de base + option 2 + variante 4, ramené à 293 000.00€ - variante 4 (2 114.70€) + variante 5 (56 639.70)

16

PEINTURE

LAGARDE ET MEREGNANI

313 669,80

marché de base + option 2

17

ASCENSEUR

OTIS

99 700,00

marché de base

18

FACADE VEGETALISEE

GREENWALL

259 000,00

marché de base + option 5 partielle : façade sud complète

19

VRD/ESPACES VERTS

SCREG EST

724 631,90

marché de base + option 1 et option 2 (selon résultats des essais à la plaque)

Montant du marché : 11 615 955,71 € HT

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés :
Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82       

Date d’envoi du présent avis à la publication le lundi 21 novembre 2011 au JOUE et aux JAL L’UNION (éditions MARNE, AISNE, ARDENNES), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (10), L’EST REPUBLICAIN (55), le JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52), le MATOT BRAINE et le MONITEUR.

***********************************

Union111129d
Noël va scintiller à Croix-Rouge

Cette année encore saint Nicolas promènera les enfants dans sa calèche pour Noël.
- Agrandir la photo

Pour Noël, la magie s’emparera du quartier Croix-Rouge qui s’animera avec l’aide de la ville de Reims, des espaces Billard et Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge et des associations de commerçants de Croix-du-Sud, Pays-de-France et Hippodrome !

Samedi 3 décembre

De 10 à 19 heures : sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome : chalets et animations, maquillage d’enfants, concours de dessin, fanfare Les boules de feu, vente de spécialités et de produits de l’artisanat, présence de saint Nicolas dans sa calèche, marché solidaire et associatif à l’espace Billard de la Maison de quartier…

Samedi 10 décembre

De 15 à 18 heures : déambulation dans le quartier Croix-du-Sud, déambulation en fanfare, retraite au flambeau, Père Noël et distribution de friandises, photos souvenirs, animations à l’espace Watteau de la Maison de quartier : maquillages, jeux, crêpes,..

Mercredi 14 décembre

Après-midi récréative pour les enfants avec le Père Noël et goûter dans les centres d’accueil de loisirs du quartier.

Du 10 au 24 décembre

Animations chez les commerçants : guirlandes, affiches et jeux à gratter.

***********************************

Union111129c
À 16 ans, il multiplie les vols et les agressions

Depuis le mois de mars, le secteur de l’allée des Béarnais et de l’avenue Bonaparte était devenu le territoire de chasse de cet ado.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Un adolescent a été arrêté par la police après toute une série d’exactions dans le quartier Croix-Rouge : un vol, trois agressions et quatre tentatives de vol avec violence.

IL vient d’avoir 16 ans, se comporte comme une terreur et sa mise à l’écart dans un foyer de l’Aube ne peut être que bénéfique pour les habitants du quartier rémois de Croix-Rouge.

Mieux valait éviter son chemin. Arrêté la semaine dernière après une enquête de la sûreté départementale de Reims, le jeune homme se voit reprocher pas moins de trois agressions gratuites et quatre tentatives de vols avec violence, sans oublier un vol simple.

Coup de poing, coup de boule

La première plainte est celle d’un agent de propreté agressé le 16 mars 2011 allée des Béarnais. Ce jour-là, l’employé travaille dans un hall d’immeuble quand un ado l’insulte sans raison et s’empare d’un désodorisant industriel avec lequel il l’asperge copieusement.

Reconnu sur photo puis derrière une glace sans tain, le mineur nie les faits.

Le 20 mai, un homme de 53 ans invité à dîner rue des Savoyards croise dans le hall d’immeuble de son hôte un individu qui l’arrose de gaz lacrymogène.

Reconnu sur photo puis derrière la glace sans tain, le mineur nie les faits.

Le 11 juin, toujours rue des Savoyards, deux garçons de 17 ans sont abordés par deux jeunes qui leur demandent l’heure. Un portable sort d’une poche pour donner la réponse. L’un des individus tente de le voler. La victime résiste. Elle se prend un coup de tête, son copain un coup de poing au visage. Reconnu sur photo puis derrière la glace sans tain comme étant l’auteur du coup de boule, le mineur nie les faits. Son complice (comme dans les autres affaires qui vont suivre) n’a pu être identifié. Le 6 septembre, deux jeunes réclament le portable d’un collégien de 14 ans avenue Bonaparte. Refus. L’un des individus le met à terre et le frappe à coups de pied.

Attaque à scooter

Reconnu sur photo puis derrière la glace sans tain comme étant l’auteur des violences, le mineur nie les faits.

Le 7 octobre, deux scooters se croisent allée des Bourguignons. Le premier est piloté par un adulte de 43 ans, le second par un jeune qui l’a probablement volé mais semble maintenant s’intéresser à celui qu’il vient de croiser. Il fait demi-tour, rattrape le cyclomotoriste, donne un coup de pied dans le carénage pour le faire chuter mais l’homme parvient à se rétablir et se réfugie dans son immeuble.

Lycéens agressés

Peu de temps après, sa fille de 19 ans sort dans la rue pour voir si l’agresseur est toujours là. À trois reprises, il lui fonce dessus pour la percuter (elle l’évite à chaque fois).

Le 12 octobre, le garagiste de permanence intervient avenue Bonaparte pour enlever une voiture incendiée. Alors qu’il s’active derrière son camion, un individu dérobe dans la cabine le GPS, un portefeuille et deux téléphones portables.

Le même jour, deux élèves de 19 et 21 ans quittent le lycée Arago. Trois individus leur demandent l’heure. Celui qui sort son portable refuse de le donner. Il est gazé. Le copain qui s’interpose évite à plusieurs reprises un coup de cutter.

Identifié comme étant l’agresseur au cutter, le mineur, là aussi, nie les faits mais toutes ses dénégations n’ont convaincu personne. Garde à vue terminée, il a été présenté au juge des enfants qui l’a envoyé loin de Croix-Rouge, dans un établissement éducatif de Troyes. Le quartier devrait gagner en tranquillité.

***********************************

Union111129b
Le tramway lui écrase un pied

Dimanche vers 21 h 15, un Rémois de 20 ans a été grièvement blessé par une rame du tramway entre les stations « Saint-John-Perse » et « Campus Croix-Rouge ». D’après l’enquête de police, le jeune homme a escaladé le grillage de protection installé de part et d’autre de la ligne. Il est tombé et s’est affalé contre le grillage, le bas des jambes sur les voies. Une rame arrivait au même moment. Le chauffeur a actionné le freinage d’urgence mais le tramway — lourd de 35 tonnes à vide — n’a pu s’arrêter à temps. Les roues en métal ont écrasé le pied droit de la victime. Dégagé par les pompiers avec l’aide d’une équipe du Samu, le jeune homme a été évacué au centre hospitalier. Ses jours ne sont pas en danger mais il risque l’amputation. Une prise de sang a été effectuée pour vérifier s’il était ou non dans un état normal. Les policiers attendent de pouvoir l’interroger pour connaître les raisons qui l’ont amené à franchir la clôture de protection.

***********************************

Union111129a
Feux de voitures

Samedi vers 10 heures, une voiture a pris feu sur la RD386, à hauteur de Chaumuzy. L’origine du sinistre n’a pas été indiquée. Dimanche vers 21 heures, c’est probablement un incendie criminel qui a détruit une Smart place Pierre-de-Fermat à Reims, au quartier Orgeval. Même chose pour trois conteneurs à ordures dimanche matin à 2 h 40 au 41 groupe Eisenhower à Croix-Rouge.

Fabrice CURLIER

***********************************

Union111128c
Football (Coupe Toyota) / Au bout du suspense

Photo de famille souvenir de ce 2e tour.
- Agrandir la photo

Reims Acrap bat Dormans 1-0 après prolongation. L’Acrap aura eu besoin de la prolongation pour sortir Dormans. La partie débutait doucement. Les hommes de Kamel Medaouar se créaient quelques occasions sans conclure. Bencheman tirait au-dessus (14e). Ferat boxait un coup franc (24e) puis intervenait dans les pieds de Sahraoui (35e). Dormans réagissait. Heurtault dévissait son tir (36e) puis la tête de Moigneau passait de peu à côté (43e).

Au retour des vestiaires, les visiteurs étaient près de marquer mais le ballon était dégagé sur la ligne (46e). Bentouati frappait au-dessus (47e). Puis le portier dormaniste dégageait un coup franc (55e). Bencheman ne cadrait pas (64e). Puis, sur un centre d’A. El Alaouih, le ballon frôlait la ligne (75e).

Un coup franc de Sahraoui filait au-dessus (90e+3) puis Bensalah gâchait à son tour. On s’en allait donc vers une prolongation. Sahraoui ne cadrait pas (94e). L’Acrap amenait le danger sur un corner (95e). Enfin, Sahraoui délivrait les siens en trompant Ferat (1-0, 100e). Dormans avait ensuite un contre mais Hachemi s’imposait fermement du pied (104e). Nachate s’essayait mais son tir était hors cadre (112e). Vignaud, de la tête, ne parvenait à égaliser. L’Acrap poursuit l’aventure.

REIMS. – Reims Acrap bat Dormans 1-0 après prolongation. 30 spectateurs. Arbitre : M. Bourdeaux, assisté de MM. Courboillet et Deslandes. But : Sahraoui (100e). Avertissements : aux Rémois Nachate (55e), H. El Alaouih (81e), Sahraoui (104e) ; aux Dormanistes Cailliez (62e), Moigneau (84e). Cartons blancs : aux Rémois Bentouati (20e), Hammadi (42e), Bensalah (105e).

REIMS : Hacheni, Mehenni, Hammadi, Larouchi Dilmi, Haditri, Nachate, Sahraoui, H. El Alaouih, Bensalah, Benchenam, Bentouati. Entrés : Sezgin (29e), A. El Alaouih (45e), Madrouk (111e).

DORMANS : Ferat, Accariès, Maucourant, Moigneau, Vignaud, Kninkers, D’Oliveira, Bocahut, Heurtault, Schwentzel, Mathys. Entrés : Mignot (45e), Cailliez (48e), Miguel (59e).

COUPE PROMO CLUB (3e tour)

Bazancourt – Reims Amicale Jamin (B) 2-2, 4-2 tab
Cernay (B) – Reims Drink Eat 9-1
Hautvillers – Verneuil 5-0
Pontfaverger – Reims Sully René Clair 0-3 fft
Reims Maison Blanche – Reims Groupe Portugais 1-0
Thieblemont – Gaye 0-5
Tours-sur-Marne – Witry-lès-Reims (B) 0-4
Lusitanos – Sézanne Portugais 3-0 fft
Montmirail – Vit/Champ Man 6-0
Maurupt Montois – Châlons Marocains (B) 4-0
Saint-Memmie – Saint-Martin-sur-le-Pré (B) 1-2 ap
Saint-Gibrien – Vitry Po/Unis (B) 5-0
Dormans (B) – La Neuvillette (B) 3-1
Couvrot (B) – Fagnières (B) 3-0
Châlons Cheminots – Avize/Grauve (B) 1-5
Compertrix – Reims Mahoraise 2-1

COUPE TOYOTA (2e tour)

Asptt Châlons (B) – Cheminon 3-2
Chatelraould – Sermaize 3-0 fft
Epernay Bernon – Reims Orgeval 2-0
Espérance Rémoise – Saint-Martin d’Ablois 1-3 ap
Pargny-sur-Saulx – Mourmelon/Livry 1-2 ap
Sillery – Epernay Culturel 8-0
Reims Acrap – Dormans 1-0 ap
La Neuvillette – Reims Sainte-Anne (B) 3-2
Reims Christo – Dizy 1-3
Faux/Pogny – Côte des Blancs (B) 1-3
Vesle – Saint-Brice-Courcelles 3-4 ap
Reims Murigny Franco-Portugais (B) – Courtisols 3-1
Reims Chalet Tunisie – Bétheny 6-0
Connantre/Corroy – Bignicourt/Frignicourt 3-1
Fagnières – Vitry (B) 7-1
Suippes – Vitry Po/unis 1-2

COUPE DISTRICT SENIORS (2e tour)

Frignicourt – Vitry Haute-Borne 2-0
Bezannes – Bisseuil 1-0
Chavot – Ambonnay/Bouzy (B) 2-4 ap
Courtisols (B) – Magenta 5-2
Damery – Côte des Blancs © 3-3, 3-5 tab
Isles-sur-Suippe – Berru/Lavannes 2-5
Lachy – Esternay (B) 1-3
Bouvancourt – Beaumont-sur-Vesle 3-0
Venteuil – Reims Centre Ville 3-7
Marolles – Heiltz L’Eveque 1-3
Mairy-sur-Marne – Loisy-sur-Marne (B) 1-2
Poilly – Muizon (B) 2-0 ap
Sept Saulx – Reims Chalet Tunisie (B) 2-1
Reims Saint-Rémi – US Tardenoise 1-2
Saint-Remy Bouzemont – Somsois (B) 3-0 tab
Fleury-la-Rivière – Cumières 3-7

***********************************

Union111128b
Médiathèque Croix-Rouge / « Quatre histoires envalisées » par Zemanel

Ces histoires du Père Castor ont été écrites par Zemanel, un auteur bien connu dans le quartier Croix-Rouge.
- Agrandir la photo

 

Mercredi 30 novembre à 10 h 30, José Mendes alias Zemanel propose à la médiathèque Croix-Rouge « Quatre histoires envalisées », quatre petites histoires, « La sieste de Moussa », « Dans le ventre du moustique », « Le premier œuf de Pâques » et « Le petit hérisson partageur » qui tournent, dansent, tourbillonnent et chantent un rythme et un refrain que les plus petits s’approprient rapidement.

Auteur, metteur en scène, et plasticien, c’est dans la Marne, près de Reims, que Zemanel écrit ses pièces de théâtre et ses histoires publiées dans les classiques du Père Castor.

Le spectacle est visible dès 3 ans et dure environ 45 minutes.

Entrée libre sur inscription à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar (tél. 03.26.35.68.51.).
Tramway : ligne A, station Médiathèque.

 

***********************************

Union111128a
« L’été s’affiche à Croix-Rouge » : le bilan

L’animation tout public pour l’été 2011 proposée par la maison de quartier Croix-Rouge s’est déroulée du 7 au 27 juillet sur le site de l’hippodrome de Reims, sous la dénomination « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».

Les organisateurs et les animateurs proposent une réunion bilan demain mardi 29 novembre à 18 h 30 à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

Cette édition a provoqué une forte participation du public.

***********************************

Union111127a
Slam d’Europe

Le slam polonais de Weronika Lewandowska Photo : M. Morawicki
- Agrandir la photo

Cette nouvelle édition fera place à la création européenne avec une des artistes polonaises les plus douées de sa génération, ainsi qu’une création à sept voix de jeunes slameurs allemands et français. Le slam étant la liberté d’expression, une scène sera également ouverte en polonais, allemand, suédois et français.

Weronika Lewandowska est slammeuse, poète et actrice. Ses vers vont au-delà de la barrière du langage.

D’une subtile énergie, la sensibilité féminine et la sensualité remplissent ces textes durs et citadins. Elle décrit sa poésie comme une langue moderne, qui combine technologie, langages et nature.

Le projet varsovien Plan. kton dans lequel elle s’inscrit permet de découvrir de nouvelles façons de fusionner la musique et les mots, en utilisant le son, l’image et le rythme.

Autre moment important, sept jeunes artistes français et allemands ont été réunis sous la direction artistique de Tô (France) et Ken Yamamoto (Allemagne).

Dans le cadre d’une résidence mise en place par l’office franco-allemand pour la jeunesse et encadrée par une direction artistique francoallemande, quatre slammers français et quatre slammers allemands ont pu se rencontrer et créer ensemble une pièce originale et bilingue.

Rendez-vous mercredi 7 à 21 heures à l’Atelier de la Comédie, jeudi 8 à 19 heures à la médiathèque Croix-Rouge et le même jour à 21 heures à la Comédie.

***********************************

Union111126e
« Reims, ville amie des enfants » : Une belle leçon de partage

Une journée festive a été organisée au gymnase Roland-Bourgoin par la Caisse des écoles à l’occasion de la journée internationale des droits des enfants, sous l’appellation « Reims, ville amie des enfants ».

Lancée par Unicef France et l’Association des maires de France (AMF) en 2002, l’opération « Ville amie des enfants » réunissait rapidement 163 villes françaises. La ville de Reims, grâce à son action en faveur des enfants, a fait partie, dès 2003, des premières à obtenir le label de « Ville amie des enfants ».

Son but : servir la cause des enfants à travers un réseau de villes dynamiques engagées à promouvoir des actions pour améliorer leur vie quotidienne, à augmenter la participation et l’écoute des enfants et à développer un esprit de solidarité.

Une journée très active pour 250 écoliers

À Reims, le service périscolaire de la direction de l’Education a préparé une grande journée « Les migrations vues sous l’angle des déplacements par les enfants » pour sensibiliser les enfants aux raisons des déplacements des personnes à l’échelle locale et mondiale, les aider à comprendre « Pourquoi on part » et que se passe-t-il lorsque l’on arrive dans un nouveau lieu. Autre objectif : les faire appréhender « Le droit des enfants ».

250 enfants des écoles rémoises ont participé à cette manifestation en présence de Mary-Line Savoye, chef du service animation périscolaire et de Pascale Doré, responsable communication de la Caisse des et écoles et de l’Education.

Le matin, les enfants ont participé à des ateliers jeux et des ateliers scientifiques animés par les animateurs coordinateurs et les partenaires du service Animation périscolaire : artisans du monde, Unicef, Brigitte Rodriguez du pôle sciences…

Le midi, un déjeuner préparé par la cuisine centrale de la Caisse des écoles publiques, leur a été offert dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

L’après midi, un grand jeu a permis aux enfants de se mettre en situation « de devoir quitter un lieu et de se retrouver dans un ailleurs aux codes différents ». Chacun d’eux devait alors s’adapter à un nouveau contexte dans lesquels des droits fondamentaux pour les enfants existent ou non et facilitent ou non cette arrivée.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union111126d
Droit de réponse de la Ville de Reims

La municipalité socialiste a décidé de supprimer la gratuité de la médiathèque pour les étudiants. Elle va aussi rendre payants les ateliers pour les enfants pendant les vacances. Ses arguments ne font que le confirmer.

« Le Journal l’union a titré jeudi 24 novembre « Médiathèques de Reims : la Ville met fin à la gratuité », titre repris sur les affichettes apposées chez les marchands de journaux. En page 6 l’article de Catherine Frey est titré « Les Médiathèques ne seront bientôt plus gratuites ». A la lecture de ces titres racoleurs, beaucoup de Rémois ont pu, de bonne foi, penser que la Ville allait faire payer l’accès aux médiathèques et bibliothèques, à commencer par les jeunes étudiantes interrogées par Catherine Frey qui s’inquiètent de devoir payer pour venir préparer leur TD à la Médiathèque ! Ces titres et article ne font pas une présentation des faits conformes à la réalité…

En effet cette année, la Ville de Reims a engagé un travail de toilettage des tarifs appliqués dans les établissements culturels gérés en régie directe, notamment dans le réseau des bibliothèques, sur la base d’une mission confiée à un cabinet spécialisé, Farman & Partners, qui a mené une analyse des modes de fonctionnement de nos établissements, en les comparant avec les pratiques sur les autres territoires (17 villes françaises) et en apportant des préconisations.

Plusieurs raisons ont présidé au lancement de ce chantier :
- le constat que les tarifs n’avaient pas évolué depuis de nombreuses années (2003 pour les bibliothèques) et n’étaient plus en adéquation avec les services proposés.
- une remise à niveau pour s’adapter aux pratiques des autres collectivités au niveau national mais aussi au niveau régional.
- développer de nouvelles actions de médiation culturelle, élargir les horaires d’ouverture de nos établissements.

l’union écrit : « La Ville met fin à la gratuité » : c’est faux ! L’accès à l’ensemble des médiathèques et bibliothèques de la Ville de Reims reste libre et gratuit pour tous. Chaque personne peut y entrer, consulter la presse et les différents documents proposés, utiliser l’ensemble des services qui sont en libre accès, et ce de façon gratuite. Chacun, et notamment les lycéens et les étudiants, peut librement s’y installer pour y travailler, seul ou en groupe.

En revanche, pour emprunter des livres et des DVD, il faut avoir une carte d’adhésion. Cette carte est donnée dorénavant gratuitement à tous les jeunes de - de 18 ans, alors que jusque là n’étaient concernés que les moins de 16 ans… Elle est également donnée gratuitement aux demandeurs d’emploi et bénéficiaires du RSA, et à leurs enfants, aux titulaires de la carte familiale de solidarité, aux personnes inscrites à la mission locale, aux personnes handicapées…

Outre l’extension de la gratuité pour les jeunes de 16 à 18 ans, ce qui change par rapport au système précédent porte sur les points suivants :
- les tarifs pour les adultes rémois passent de 10 € à 12 € et de 25 € à 28 € pour les non-rémois. Ces tarifs, qui n’avaient pas été modifiés depuis 2003, connaissent donc une hausse limitée à… 2 € par an pour les Rémois !
- un demi-tarif, soit 6 € par an, est appliqué à tous les jeunes de 18 à 25 ans, alors que jusque là seuls les étudiants avaient un régime spécial puisqu’ils bénéficiaient de la gratuité… Le nouveau système permet de traiter de manière équivalente les jeunes travailleurs, dont les revenus sont souvent modestes lors de l’entrée dans la vie professionnelle, et les étudiants, qui ont, par ailleurs, accès gratuitement à la Bibliothèque universitaire.

A titre de comparaison :
- A Nantes, le plein tarif est de 12 € pour les résidents et de 6 € pour les étudiants
- Au Mans, le plein tarif est de 10 € pour les résidents et pour les étudiants
- A Bordeaux, le plein tarif est de 12 € pour les résidents et de 9 € pour les étudiants
- A Troyes, le plein tarif est de 15 € pour les résidents, de 35 € pour les hors commune, et de 10 € pour les étudiants
- A Châlons, le plein tarif est de 18 € pour les résidents, de 36 € pour les hors commune, et de 10 € pour les étudiants
- A Epernay, le plein tarif est de 21,10 € pour les résidents, de 25,10 € pour les hors commune, et de 10,55 € pour les étudiants.

l’union ne parle de rien d’autre que de ce coût de 6 € annuel pour les étudiants, 50 cts par mois ! Pour mémoire, en moyenne le coût d’acquisition d’un livre par une bibliothèque est de 10,90 €, 14,80 € pour un DVD, et 13,70 € pour un DVD. A Reims, chaque personne peut emprunter jusqu’à 15 titres à la fois, toutes catégories confondues, pour une durée de trois semaines…

l’union écrit : « La Ville veut faire payer les enfants » : c’est faux ! Il est vrai qu’est institué un tarif de 2 €/jour et enfant pour la participation aux Ateliers. Mais ne sont concernés que les ateliers organisés pendant les périodes de vacances pour des individuels, qui se déroulent sur plusieurs jours et font appel à un intervenant. Il a été en effet constaté une tendance de certains parents à considérer ces Ateliers comme une garderie bien pratique.

Demeurent totalement gratuits, tous les ateliers à destination des groupes scolaires rémois (primaires, collèges et lycées), à destination des groupes des Maisons de Quartier et des Centres de Loisirs rémois. Sont également gratuites les animations classiques dans les bibliothèques : l’heure des bébés, les clubs de lecture, les BB lecteurs, les goûters philo, les actions diverses autour de la lecture et de l’écriture…

Ainsi le paiement pour les enfants ne concernera qu’une part infime du total de ceux qui fréquentent les ateliers, et qui choisissent de le faire, hors temps scolaire, en dehors de tout dispositif organisé (centres de loisirs, maisons de quartier…). Ecrire que la Ville va « faire payer les enfants » ne correspond donc pas à la réalité. »


----------

La réponse de l’union à la mairie de Reims

Le droit de réponse ci-dessus, envoyé par la mairie de Reims, est la copie quasi conforme du texte publié hier sur son blog par Serge Pugeault. L’adjoint à la culture a beau glapir sur le web et sur twitter contre la « manipulation de l’information », il ne peut nier les faits : oui, la Ville va rendre payants les ateliers enfants pendant les vacances et oui, les étudiants vont désormais payer leur inscription à la médiathèque, ainsi que nous l’avons écrit dans notre édition de jeudi dernier. Pour eux, on peut donc bien parler de la fin de la gratuité (sans oublier que les tarifs pour les adultes rémois passent de 10 € à 12 € et de 25 € à 28 € pour les non Rémois).

Concernant les médiathèques et les étudiants, M. Pugeault affirme que l’article de l’union est mensonger car « l’ensemble des services de la médiathèque est en libre accès ». Il est vrai qu’un étudiant n’aura pas besoin de payer s’il consulte un ouvrage sur place et ne l’emprunte pas. M. Pugeault omet toutefois de dire qu’il devra être inscrit, et donc payer, pour bénéficier d’une connexion internet. L’élu ignore peut-être que les étudiants d’aujourd’hui travaillent beaucoup sur ordinateur… Ce point n’a d’ailleurs pas échappé à la Fédération rémoise des associations étudiantes InterCampus. Par le biais d’un communiqué envoyé à la presse, elle demande à la Ville de retirer son projet et de maintenir la gratuité des médiathèques pour les étudiants : « Le prix de l’inscription pour un étudiant (6 euros) est comparable au surcoût dû à l’augmentation du ticket RU* (+ 5 euros/an).

Prises seules, ces augmentations semblent faibles, mais leur cumul fait que la situation est de plus en plus tendue pour les étudiants ». Intercampus souligne également « l’incohérence de ces mesures avec les positions prises par le Parti socialiste au sujet de l’augmentation du coût de la vie étudiante ».

M. Pugeault justifie la fin de la gratuité en s’appuyant sur un double rapport commandé au cabinet Farman & Partners. Ce cabinet, après avoir analysé les bibliothèques et les musées de la ville, a préconisé de nouveaux tarifs : faire payer 5 euros l’entrée de chaque musée (3 euros le pass aujourd’hui) et faire payer 3 euros (gratuit actuellement) aux étudiants. Fallait-il dépenser autant d’argent public pour arriver à ces conclusions remarquables ? On comprend que l’opposition, qui évoque une dépense de 15 000 euros (l’élu municipal s’est refusé à nous communiquer le coût de ce double rapport), s’interroge. M. Pugeault justifie cette remise à niveau des tarifs « afin d’être en adéquation avec les pratiques des autres collectivités ». On peut toujours choisir ses points de comparaison : c’est vrai si on compare Reims à Nantes ou à Bordeaux, mais faux si on compare à Dijon où les musées de la Ville sont gratuits pour tous. Faux aussi si on compare à Lille où la médiathèque est gratuite pour les étudiants lillois.

Enfin, accuser l’union, tel que le fait M. Pugeault dans son blog (le passage a soigneusement été enlevé du droit de réponse officiel), d’être le « fidèle petit télégraphiste de l’opposition » municipale est ridicule. A moins d’avoir une conception restrictive de la démocratie, où est le problème si l’opposition alerte la presse lorsqu’elle estime qu’une mesure ne sert pas l’intérêt de la collectivité ?

Catherine FREY

***********************************

Union111126c
Par ici l’atelier guitare !

Mercredi 30 novembre de 14 à 16 heures, Charlie Christian propose à la médiathèque Croix-Rouge « En avant la zizique… Et par ici l’atelier guitare ! »

« Guitaristes, réveillez-vous et tirez du son de vos cordes », annonce-t-il. Dans son atelier d’initiation à la guitare, acoustique ou électrique, il dévoilera quelques petits trucs, astuces et accords basiques fort utiles pour épater l’entourage : « Les personnes ayant déjà une pratique de la guitare, voire les virtuoses qui voudraient partager avec nous leur enthousiasme seront aussi les bienvenus ». L’atelier, reconductible tous les deux mois, sera animé par des bibliothécaires, voire parfois un mystérieux invité. « Bien sûr, pensez à amener votre guitare ! »

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.). Tramway : ligne A, station Médiathèque.

***********************************

Union111126b
Conférences Passerelles

La prochaine conférence organisée à RMS dans le cadre du cycle Passerelles se déroulera le lundi 28 novembre à 18 h 30 à RMS, 59, rue Pierre-Taittinger.

Michel Aglietta, économiste, professeur à Nanterre, membre du centre français d’étude et de recherche en économie internationale, parlera sur le thème : « Finance : les jeux de l’argent ou le service de l’économie. »

***********************************

Union111126a
Trois voitures brûlées

Hier vers 0 h 45, un véhicule Qashqaï a pris feu place Toulouse-Lautrec. L’incendie s’est propagé à une AX et une Micra.

A 1 h 30, un cyclo probablement volé a été incendié rue Henri-Guillaumet.

***********************************

Union111125b
Des policiers caillassés, deux jeunes arrêtés

Mercredi vers 16 h 30, les policiers ont été appelés avenue Eisenhower à Croix-Rouge pour faire cesser un tapage occasionné par une dizaine de jeunes rassemblés devant un immeuble.

La patrouille ne fut pas la bienvenue, c’est le moins qu’on puisse dire, puisque les perturbateurs l’ont accueillie à jets de pierres avant de s’enfuir en direction de la rue Gilberte-et-Jean-Droit. Deux projectiles ont endommagé le véhicule au niveau d’une vitre et de l’aile.

Rejoints par des renforts, les policiers ont pu rattraper deux fuyards. Le premier est un adolescent de 16 ans qui s’est rebellé et a insulté les fonctionnaires.

Le second est un tout jeune majeur de 18 ans, Marvin Schmitt, formellement reconnu comme étant l’auteur de deux jets de pierres. Il n’a d’ailleurs pas contesté les faits. Dans ses poches, les agents ont découvert un poing américain et un morceau de résine de cannabis. Les deux garçons se sont retrouvés hier après-midi au palais de justice, le mineur dans le bureau du juge des enfants, le majeur devant le tribunal correctionnel. Jugé en comparution immédiate pour les jets de pierres avec dégradations, le port d’arme prohibé et la détention de stupéfiants, Marvin a été condamné à deux mois de prison avec sursis.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 237 - 111125a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 237 - Semaine du 24 au 30 novembre 2011

----------

CHRS Le Primevères : Des économies sur le dos des plus fragiles

Au sein du CHRS Les Primevères, les femmes victimes d’accidents de la vie trouvent une aide précieuse qui les aide à se reconstruire.
- Agrandir la photo

Avec une diminution de la dotation de l’État de 8,8%, le centre Les Primevères à Reims est obligé de se séparer de quatre salariés sur quinze, au détriment du service rendu aux usagers, le plus souvent des femmes seules, victimes de violence et en situation de grande précarité.

Alors qu’une campagne nationale de lutte contre les violences faites aux femmes vient d’être lancée par la ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, force est de constater qu’il existe un écart entre les discours et les faits. Dans une entretien au journal 20 minutes, la ministre déclare notamment : « Le plan de l’Etat prévoit une augmentation de 30% des crédits pour la lutte contre les violences faites aux femmes. Cela va permettre de donner davantage de moyens aux associations pour créer des places d’accueil. » Pourtant, sur le terrain, cette hausse des crédits est loin d’être palpable. En effet, à Reims, les travailleurs sociaux qui oeuvrent au sein du centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) Les Primevères dénoncent au contraire une diminution de la dotation de l’Etat. « Notre budget a diminué cette année de 8,8% et par conséquent, nous allons perdre quatre postes sur quinze », indiquent-ils. Accueillant jusqu’à 50 personnes dans ses 17 appartements situés à Croix-Rouge, le CHRS Les Primevères accueille depuis 1979 des femmes seules ou avec des enfants, justement en situation de violence et de précarité. « Il s’agit de femmes battues ou encore d’anciennes prostituées qui ont besoin d’aide pour se reconstruire et redémarrer dans la vie. Ainsi, après le départ de la directrice, ce sont trois postes de contractuels qui ne seront pas renouvelés au 31 décembre : un travailleur social, un agent d’accueil et un veilleur de nuit. Cette saignée dans l’effectif du CHRS va avoir des conséquences immédiates. Cette situation remet notamment en cause l’une de nos missions premières qui consiste à veiller 24h/24 sur ces personnes fragiles afin de les sécuriser. Désormais, c’est impossible. » Pour pallier à cette baisse des moyens financiers, les travailleurs du centre n’ont pour l’instant qu’une piste : « le déménagement du centre dans un bâtiment adéquat ». En effet, depuis 2004, Le CHRS est installé « provisoirement » sur le quartier Croix-Rouge, avec un site sécurisé mais étalé et loués à Reims Habitat et au Foyer Rémois pour 10 000 euros par mois. « Depuis plusieurs années on nous promet un CHRS idéal, plus adapté à nos missions où nous pourrions mieux organiser notre travail même avec un effectif réduit. » Stéphane Joly, vice-président du CCAS de Reims, l’établissement municipal qui assure la gestion du CHRS regrette évidemment cette situation : « Ces coupes sombres sont une réelle déception, la rigueur économique mise en place par l’Etat devrait porter sur d’autres choses que des lieux comme Les Primevères qui assure une mission de lien social primordiale. » Et sur le déménagement évoqué depuis longtemps ? « Des projets sont à l’étude », assure Stéphane Joly, tout en reconnaissant, « ne pas souhaiter faire de promesse qu’il ne pourrait peut-être pas tenir. » Les dés sont donc jetés. Le financeur du centre, l’Etat, a diminué sa dotation. Son gestionnaire, le CCAS de Reims, n’a guère les moyens d’offrir à court terme de nouveaux locaux. Adeline Hazan, maire de Reims et présidente du CCAS, doit venir très prochainement sur place afin de rencontrer les travailleurs sociaux. En attendant, en ce vendredi 25 novembre, Journée Internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes, quel triste constat !

Julien Debant


----------

Exposition - BD : Plongez dans l’univers de Sillage

Sillage Explorer présente plus de 200 dessins originaux imaginés par Philippe Buchet et Jean-David Morvan.
- Agrandir la photo

Le réseau des bibliothèques de Reims propose, jusqu’au 14 janvier 2012, un voyage dans les galaxies de Philippe Buchet et de Jean-David Morvan avec Sillage Explorer, une grande et très belle exposition autour de leur série culte du même nom.

Depuis quelques années maintenant, le réseau des bibliothèques de Reims a pris la très bonne habitude de proposer régulièrement de très belles expositions consacrées à de grands auteurs de bande dessinée. Ainsi, après Franck Pé, auteur de Zoo et de Broussaille, Jean Vanhamme, scénariste de XIII et de Thorgal, ou encore Jean Dufaux, à qui l’on doit notamment l’excellente série Murena, c’est donc au tour de Phillipe Buchet et de Jean-David Morvan d’être à l’honneur. Cette exposition présente donc une partie du travail des deux rémois, respectivement dessinateur et scénariste, en particulier la série qui les a rendu célèbre dans le monde du 9ème art, Sillage. En effet, depuis la sortie du premier tome en 1998, A feu et à cendres, le succès de cette série de science-fiction édité par Delcourt ne se dément pas. En presque quinze ans et quatorze albums parus, dont le dernier, Liquidation totale, est sorti cet automne, plus de 1,5 million d’albums ont été vendus. Il était donc logique que le réseau des bibliothèques de Reims rendent hommage à ces deux talents du cru.

Ainsi, sur quatre lieux différents, cette exposition invite le public à embarquer à bord du convoi Sillage pour un voyage au coeur des aventures de leur charmante héroïne Navïs, dernière représentante de l’espèce humaine dans la série. Au total, ce sont plus de 200 dessins originaux (couvertures, planches, illustrations, croquis, recherches…) qui sont à admirer sans modération. Et si Sillage reste le thème phare de cet événement BD, l’exposition propose également de découvrir d’autres créations moins connues des deux artistes. Par exemple, la partie accueillie à la médiathèque Croix-Rouge retrace leur attirance pour le Japon. En effet, Jean-David Morvan est en transit permanent entre Reims et Tokyo, tandis que Philippe Buchet y a vécu pendant plus de deux ans. A Croix-rouge, on peut donc découvrir quelques dessins issus de Magnitude 9, un art book créé par le scénariste suite à la catastrophe provoquée par un tsunami le 11 mars dernier, et dont les profits sont reversés à des associations japonaises, mais aussi des extraits du carnet de voyage de Philippe Buchet, intitulé Petite épopée nippone, un livre plus intimiste dans lequel le dessinateur dévoile toute l’étendue de son immense talent.

Julien Debant

Sillage Explorer, une exposition à voir jusqu’au 14 janvier 2012 dans les médiathèques Falala, Croix-Rouge et Zola, et au Planétarium de Reims. Entrée libre.

Les rendez-vous (entrée libre) programmés autour de l’exposition :

Vendredi 25 novembre, à 16h au Planétarium
Rencontre avec Philippe Buchet autour de son album Les Russes sur la Lune, premier tome de la série Jour J (Ed. Delcourt) dans laquelle l’Histoire prend une autre direction. Animé par Benjamin Poupard.

Vendredi 25 novembre, à 18h30 à la médiathèque Jean Falala.
Découvrez l’aventure Sillage lors d’un rendez-vous animé par Alexis Deville, en présence notamment de Jean-David Morvan, Philippe Buchet et Pierre Christin.

Samedi 3 décembre, à 14h à la médiathèque Croix-Rouge
Ateliers organisés par l’association Connaissances du Japon (calligraphie, origami, mahjong, dégustation de thé, etc) et vente de la Petite épopée niponne de Philippe Buchet et de Magnitude 9, l’ouvrage au profit des sinistrés japonais dirigé par Jean-David Morvan. Pour l’occasion, ce dernier sera accompagné de plusieurs auteurs (Ooshima Hiroyuki, Agnès Fouquart, etc.) qui dédicaceront ce livre.

***********************************

Union111124d
Conseil municipal jeunes : Journée d’élection dans les collèges

Les élèves élus devront définir les besoins correspondants
- Agrandir la photo

En partenariat avec la Ville de Reims et encadrés par vingt-quatre bénévoles d’Unis cité, les collèges François-Legros, Université, Maryse-Bastié, Trois-Fontaines et Colbert ont mis en place une élection uninominale à un tour, ayant pour but de constituer un conseil municipal des enfants et des jeunes. Le souhait des organisateurs était de trouver huit candidats par collège afin de constituer une assemblée de quarante collégiens, les candidats non élus deviendraient suppléants.

Le collège Colbert a répondu en nombre à l’appel puisque quatorze candidatures ont été déposées, suivi du collège Université avec dix candidats.

Dans une démarche citoyenne, ce suffrage identique à celui des adultes était destiné aux élèves de 5e et 4e, soit un public de 1 200 votants. Les professions de foi pour attirer les votants portaient sur l’installation de différents lieux sportifs et de loisirs, la possibilité de créer une boîte de nuit pour jeunes, mais aussi certaines portaient sur la sécurité dans la rue.

Conscients du rôle qu’ils peuvent apporter à la société, les élèves élus auront pour mission de définir les besoins correspondants à chaque quartier.

Vendredi à l’issue du vote, ont été élus pour le collège Colbert : Imed Nouri, Morgane Klein, Amélie Duval, Pauline Voukoulou, Pricillia Asso, Riane Mekhaldi, Jessica Natario Dos Santos et Noémie Blond

Sont élus suppléants et référents du club citoyen : Yasmina Lecomte, Charouk Ghodach, Habib Samah, Marine Nicolay, Chella Techibozo et Claire Mansuy.

***********************************

Union111124c
Croix-Rouge Hauts-de-Murigny : Des cahiers à tirage limité

Seuls les conseillers de quartier ont eu droit aux cahiers.
- Agrandir la photo

 

Appelé à présenter « le grand projet urbain Reims 2020 » en conseil de quartier, le 10 octobre dernier, l’adjoint Serge Pugeault avait annoncé la création d’un « Cahier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny » destiné aux habitants qui étaient invités à le remplir en participation citoyenne. Ces cahiers ont été réédités. En effet, la première version s’avérait incomplète. Elle a permis aux conseillers de quartier de l’amender et de faire des retours sur la forme du document. La nouvelle version améliorée était disponible le 10 novembre, pour le conseil de quartier et l’équipe municipale.

Toutefois, malgré l’annonce de Serge Pugeault, les Cahiers Croix-Rouge Hauts-de-Murigny n’ont pas été distribués à la centaine d’habitants présente au conseil du 10 novembre : « Ils sont réservés aux seuls conseillers de quartier » nous a-t-on répondu. Nous avons même rencontré des conseillers qui ne le possédaient pas ! Les Rémois qui voudraient quand même devenir « acteurs de leur ville » et participer à l’avenir de leur quartier sont donc invités à se rapprocher d’un conseiller de leurs connaissances. En fait, les 36 pages du cahier de Croix-Rouge Hauts-de-Murigny sont une suite de cartes, de statistiques, de graphiques, de courbes, un portrait sans la moindre photo de Croix-Rouge, qui n’apporte aucune révélation sur l’avenir du quartier à l’horizon 2020.

C’est un état des lieux d’aujourd’hui, certes utile, mais il manque quelques vues virtuelles du Croix-Rouge futur sur Croix-du-Sud, Pays-de-France et Eisenhower-Université, qui auraient pu éclairer concrètement le débat et, probablement, motiver les habitants. « Ces images existent » reconnaît Alain Bisteur, co-animateur du conseil de quartier, « mais elles n’ont pas été intégrées au cahier ».

C’est bien dommage !

 

***********************************

Union111124b
Médiathèques : la Ville veut faire payer les étudiants et les enfants

On en déduit que l’équipe d’Adeline Hazan a terriblement besoin d’argent pour aller chercher
- Agrandir la photo

La Ville supprime la gratuité des médiathèques pour les étudiants et rend payants les ateliers enfants. L’opposition de droite n’en revient pas.

QUI l’aurait cru. La Ville s’apprête à augmenter de 20 % le tarif de l’inscription dans les médiathèques. Elle va aussi supprimer la gratuité pour les étudiants. Enfin, elle veut rendre payants les ateliers pour les enfants pendant les vacances.

Ces mauvaises nouvelles doivent être soumises au vote lors du prochain conseil municipal. Elles ont fait l’objet de discussions tendues, voire houleuses, mardi en commission culture.

« Les débats ont été très chauds », raconte Pascal Labelle, conseiller municipal d’opposition UMP.

« On a eu beau arguer que l’accès à la culture devait être au maximum préservé pour tous, on s’est heurté à un mur. La municipalité de gauche considère que la gratuité est une aberration. Dixit. » Étonnant pour des gens qui ont soutenu avec passion la candidature de Martine Aubry à la primaire socialiste. Ça ne colle pas bien.

« Merci la gauche ! »

Il est question de faire payer une inscription demi-tarif aux étudiants à la place de la gratuité. Camille, Amandine, Anne-Laure et Marie viennent souvent préparer leurs travaux pratiques à la médiathèque Falala.

Elles estiment que la gratuité n’a rien d’une aberration : « Il est important que l’accès aux informations soit permis à tous. Surtout pour ceux qui n’ont pas les outils chez eux ». Que les étudiants les plus intéressés par les services de la médiathèque soient aussi les moins favorisés en équipement à la maison ne semble pas avoir effleuré les élus socialistes.

Quant aux ateliers pour enfants et ateliers du patrimoine, ils devraient désormais coûter 2 euros par jour et par enfant.

« Pour une fois que quelque chose était gratuit. J’ai les moyens donc je continuerai à venir avec mes petits. Ce sont les moins fortunés et les familles nombreuses qui ne viendront plus. Merci la gauche ! » lâche Sophie, maman de deux bambins habitués à leur heure de conte pendant les vacances. On en déduit que l’équipe d’Adeline Hazan a terriblement besoin d’argent pour aller chercher trois sous dans le porte-monnaie des étudiants et des mamans ?

« On leur a demandé s’ils avaient fait une projection de recettes pour savoir ce que cela allait rapporter. Ils ont répondu que non. Ce n’est pas une question d’argent mais une question politique, ont-ils répondu », relate Évelyne Bruschi, autre élue UMP qui a assisté à cette fameuse commission culture. Mme Bruschi est ressortie choquée de la réunion : « Je suis jeune en politique et j’imaginais qu’une fois les élections passées j’allais travailler en commission pour le bien de la collectivité. En définitive, les décisions sont déjà prises quand on nous les présente. L’adjoint à la culture, M. Pugeault, nous a cloué le bec sans ménagement ».

« Si la droite avait osé toucher à l’accès à la culture, on en aurait entendu… »

Catherine FREY

-----

Serge Pugeault : « Nous voulons davantage d’égalité »

Serge Pugeault, adjoint à la culture, défend ses nouveaux tarifs : « Il ne faut pas croire qu’on s’est levé un beau matin en se demandant ce qu’on allait faire pour enquiquiner les gens. Ces changements sont le résultat d’une étude commandée à un cabinet spécialisé dans les établissements de culture ». Fallait-il une étude pour décider d’augmenter les tarifs de 20 % et pour supprimer la gratuité des étudiants ? « 20 % d’augmentation, cela fait 2 euros de plus. On a découvert que Reims était la seule ville de France où du personnel municipal était mis à disposition d’un public qui ne payait rien. »

Ne pouvait-elle pas le rester ? « Il faut être conscient que ce sont les impôts qui supportent cette gratuité. De plus, pourquoi accorder la gratuité à des étudiants et faire payer des jeunes actifs qui ont du mal à joindre les deux bouts. Nous avons voulu être davantage égalitaires en faisant payer demi-tarif à tous les jeunes de 18 à 25 ans. » Ce sont les étudiants qui ont le plus besoin d’emprunter des ouvrages dans les médiathèques. « En marge du tarif, se pose le problème des étudiants, notamment de médecine, qui ont envahi la médiathèque le samedi après-midi parce que la bibliothèque universitaire est fermée ». Comment une municipalité socialiste peut-elle se plaindre d’avoir trop d’étudiants dans ses médiathèques ? « Nous avons des plaintes d’autres usagers. »

Serge Pugeault défend tout autant sa décision de rendre payants les ateliers pour enfants : « Peu de gens sont concernés. Ces ateliers servent surtout aux familles qui dédaignent les centres aérés et les maisons de quartier et qui s’en servent comme d’une garderie. Des habitants extérieurs à Reims qui ne paient pas les impôts des Rémois y déposent leurs enfants sans rien débourser. On a considéré que ce n’était pas normal ».

Une municipalité socialiste qui rend plus cher l’accès à la culture, ce n’est tout de même pas banal : « On ne fait que s’aligner sur toutes les autres villes de France. Pourquoi devrait-on être une exception ? »

C.F.

***********************************

Union111124a
L’histoire délirante de jeunes squatteurs en mal de sensation

La fine équipe des faux « ravisseurs » à la barre.
- Agrandir la photo

« La loi ne protège pas les imbéciles »… Ils auraient été séquestrés chez eux, forcés de souscrire des abonnements téléphoniques pour permettre à leurs ravisseurs de revendre les smart phones ainsi obtenus. Pendant 5 jours, en ce mois d’octobre 2009, deux frères jumeaux et une troisième personne rencontrée sur un quai de gare à Verdun auraient ainsi été livrés à la merci de 5 Rémois qui les auraient forcés à faire tout et n’importe quoi…

L’histoire livrée mardi à la barre du tribunal correctionnel de Reims a fait sourire le substitut du procureur, Jocelyn Poul. Il n’a pu croire la version des victimes.

Que s’est-il vraiment passé dans ce squat du quartier Croix-Rouge à Reims entre le 15 et le 21 octobre 2009 ? On n’en saura finalement rien…

A l’origine, les policiers sont saisis d’une plainte… Deux frères jumeaux vont indiquer avoir été séquestrés chez eux par 5 individus qui se seraient livrés à un trafic de stupéfiants. Ils auraient également été obligés de souscrire des abonnements téléphoniques afin de leur remettre les téléphones portables, téléphones qu’ils auraient revendus pour se faire de l’argent.

Une troisième personne va également porter plainte pour séquestration. Elle aurait rencontré deux individus à la gare de Verdun… qui, sous la contrainte, l’auraient forcé à les suivre à Reims, lui auraient dérobé 600 euros et sa carte bleue et l’auraient également obligé à souscrire des abonnements téléphoniques… Une histoire à ce point tirée par les cheveux qu’elle n’a pas convaincu.

Le dossier s’est dégonflé au fil de l’audience. La version la plus probable, c’est que tous ensemble, sur fond d’alcool et de drogue, ont passé 5 jours dans l’appartement, ont imaginé souscrire des abonnements pour revendre les portables et se faire de l’argent… Sauf que trois d’entre eux n’auraient jamais vu la couleur de cet argent. Alors s’il y a bien eu arnaque, il n’y a jamais eu séquestration…

« C’est de leur propre stupidité qu’ils ont souscrit les abonnements », a indiqué le substitut du procureur. « C’est un dossier qui ne tient pas la route. » Et de requalifier les faits en « abus de confiance » et « complicité d’abus de confiance ». Pour ces faits, il a requis de un an avec sursis à 6 mois ferme pour les deux principaux auteurs, des amendes pour deux d’entre eux et une relaxe pour le dernier.

L’affaire a été mise en délibéré au 3 janvier.

C.G.

***********************************

Union111123d
Le SOS des travailleurs sociaux

Monique* reçoit des conseils et de l’aide en permanence de la part des travailleurs sociaux, seule solution pour se sortir du gouffre financier et moral, et retrouver ses deux enfants placés.
- Agrandir la photo

Un déficit de 97 000 euros va contraindre le CCAS à supprimer 4 postes au centre Les Primevères. Une catastrophe, dénoncent les salariés.

C’EST un profond désarroi qui est palpable au Centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) les Primevères, dans le quartier Croix-Rouge. Voilà trente ans que ce service dédié surtout aux femmes seules ou avec des enfants, aide à sortir de la violence conjugale avec forcément des soucis financiers.

Au CHRS, accompagnés par des travailleurs sociaux, ces femmes, parfois ces couples, admis depuis début janvier, peuvent se reconstruire, retrouver des repères, des bases de vie, comme l’hygiène, qu’ils avaient perdus.

Après avoir rêvé d’un centre idéal en 2008 suite à un audit, les salariés sont tombés de haut depuis un mois : le poste de directeur a été supprimé, et trois postes de contractuels ne seront pas reconduits au 31 décembre. Notamment un gardien de nuit, ce qui remet en cause la possibilité de tenir une permanence 24 heures sur 24, mais aussi un agent d’accueil et un travailleur social. « Les problématiques sont de plus en plus lourdes pour ces familles. Elles sont souvent de Reims, mais aussi de Paris ou d’ailleurs en France, suivant les demandes regroupées par le Service intégré d’accueil et d’orientation », expliquent David, Carole, Véronique, Sandrine, Danièle, Laurence, Sophie, Chantal et Suzon, qui forment une équipe soudée, pleine d’énergie, mais qui se demandent si ces restrictions de postes n’annoncent pas la disparition pure et simple du centre.

« Nous avons une liste d’attente, il y a beaucoup de demandes de personnes qui viennent d’être expulsées, qui sont surendettées, ou qui doivent se reconstruire après des violences conjugales. Parfois, les enfants ont dû être placés. On reprend les choses à la base, pour pallier aux carences éducatives. »

Cela prend entre 9 et 12 mois pour relancer ces femmes dans la vie, leur redonner une vraie chance. Un travail de tous les jours, qui va de la simple écoute lors d’un café pris ensemble, à des activités communes pour réapprendre la vie sociale, savoir comment remplir des papiers, faire les courses… « Parfois, ils ne sont pas toujours prêts à faire les efforts nécessaires. C’est une vraie chance pour ces familles, mais elles doivent s’investir. Notre travail n’est pas toujours palpable, mais essentiel. »

24 heures sur 24

La motivation de ces salariés, soutenus par la CGT santé, est évidente. « Nous sommes tous là depuis dix à trente ans ! Il y a un réel attachement à ce métier et à la structure. Des liens se créent avec les personnes. On est là 24 heures sur 24. »

Mais plus en 2012 : avec 11 salariés seulement et un veilleur de nuit en moins, ce sera impossible. Pourront-ils continuer à aider une centaine de femmes et d’enfants par an ? « Ils vont payer pour que nous, on puisse continuer à être aidés, ce n’est pas juste ! Sans eux, je ne pourrai pas m’en sortir et récupérer mes deux enfants placés », lance Monique*, désespérée par cette situation. Et combien comme elles comptent sur le CHRS ? Le SOS est lancé !

G.F.

*Prénom d’emprunt.

-----

Une structure « oubliée » par la Ville ?

C’est l’Etat qui finance les Primevères, mais c’est le CCAS de Reims qui, depuis 1979, gère le CHRS. D’abord rue des Moissons, le centre a déménagé « provisoirement » à Croix-Rouge. Ce provisoire va devenir définitif, car personne, malgré quelques promesses, ne l’a pris en compte lors de l’Anru (rénovation urbaine). Comme personne n’avait pensé à négocier les loyers des 17 appartements (dont 7 sécurisés) auprès de l’organisme logeur !

Pourtant, la vente des locaux de la rue des Moissons aurait pu permettre un apport considérable, pour s’installer de façon plus efficace, toujours à Croix-Rouge, « car on est bien situé dans ce quartier. Mais là, nos bureaux sont au 4e étage, et ils n’ont mis que très récemment une caméra pour qu’on puisse voir qui voulait rentrer. Il faut en effet une vraie et entière sécurité pour ces femmes. Et nous devons courir entre trois autres bureaux situés dans un deuxième bâtiment ».

De plus, les appartements ne sont pas entretenus, et se dégradent rapidement. Pourtant, l’organisme logeur est certain de toucher des loyers payés par l’Etat, au total 840 000 euros depuis 2004 !

Un déficit qui se creuse

Les salariés ont rencontré Adeline Hazan, avec Stéphane Joly, président du CCAS. Si la maire a promis de venir les voir, rien de concret n’est sorti de la réunion. Pour la Ville, c’est la faute de l’Etat qui baisse sa dotation chaque année. « Mais ce sont les services de l’Etat qui tirent la sonnette d’alarme depuis 2009, sans être écoutés par le CCAS ! », répliquent les salariés. Pour eux, le déficit s’est creusé depuis quelques années. Il se monte aujourd’hui à 97 000 euros.

Pire : le budget 2012 part avec un déficit de 25 000 euros ! D’où les inquiétudes des travailleurs sociaux pour l’avenir de la structure, « surtout que sans directeur, il ne peut plus y avoir de projets qui permettent de toucher des aides ».

Les salariés dénoncent également le fait que « les fonds dégagés de la vente de l’immeuble rue des Moissons ont été utilisés en grande partie pour la création de l’épicerie sociale ».

La Ville laisserait-elle tomber le CHRS ? La question mérite d’être posée à deux jours d’une journée contre la violence faite aux femmes, un sujet qui tient à cœur la municipalité rémoise…

***********************************

Union111123c
Roller : Des écoles pour apprivoiser les petites roues

Ils sont adultes et aiment le roller. Chaque jeudi soir, ils se retrouvent, à François-Legros.
- Agrandir la photo

Outre ses quatre sections (roller hockey, vitesse, randonnée, slalom), le Reims roller Champagne club possède aussi deux écoles de roller destinées aux enfants et adultes.

Pour les premiers, les séances, encadrées par les patineurs confirmés, ont lieu le samedi, au gymnase Dr-Roux, de 14 h 30 à 18 heures.

« L’apprentissage consiste à découvrir les techniques de base qui permettront aux plus jeunes de pratiquer leur activité avec aisance dès la première année. Structurés en phases d’écoute et de jeu, les cours se veulent studieux mais ludiques », argue Gilbert Lagors, président du Reims roller Champagne club.

les adultes aussi

Pour les seconds, les entraînements se font le mercredi soir, à partir de 20 h 30, (toujours au gymnase Dr-Roux).

Ce groupe « a été créé après une demande des parents qui, en accompagnant leur progéniture, ne souhaitaient pas se faire dépasser lors des balades familiales. Ils voulaient en savoir davantage en se perfectionnant. Ce qui fut fait il y a quelques années. L’encadrement est assuré par des spécialistes du slalom. J’ajoute que nous avons un autre créneau le jeudi à 21 heures au gymnase François-Legros. Celui-là est réservé aux confirmés. » Les confirmés au sein desquels émergent des patineurs, dont une équipe entièrement féminine, qui participeront aux 24 heures du Mans roller.

***********************************

Union111123b
L’heure dés bébés à Croix-Rouge

Samedi 26 novembre à 9 h 30, « l’heure des bébés a proposera un moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents.

Les bibliothécaires les accueillent avec des histoires à lire ensemble. Pour les 6 mois/3 ans et leurs parents (durée : environ une demi-heure).

Inscription préalable obligatoire auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51. Entrée libre.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tramway : ligne A, station Médiathèque.

***********************************

Union111123a
Tennis / Deux visas pour les Hautes-Pyrénées

Une bonne chose de faite pour Constant
- Agrandir la photo

 

Dans la course aux billets pour les Petits As (*) de Tarbes (l’équivalent d’un championnat du monde des 12-14 ans), Constant de la Bassetière (Cormontreuil, 5/6) et Cindy Castille (Géo-André Reims, 2/6) ont pris un coup d’avance. S’évitant ainsi le stress d’un quitte ou double au tournoi du TC Reims (du 17 au 30 décembre).

L’importance d’être Constant

Le premier est allé chercher sa qualif à Plaisir (Yvelines) en battant quatre joueurs à 15. La seconde a obtenu son visa à Compiègne (Oise) en éliminant une 5/6 puis une 4/6 en finale.

Constant (n° 7 français en 13 ans) comme Cindy (n° 6) font partie du Centre d’entraînement de la Ligue mais bénéficient, l’un et l’autre, de séances particulières. Avec Sébastien Joly pour le Cormontreuillois, avec l’entraîneur fédéral et Servane Delobelle (dans son club) pour la Rémoise.

Clin d’œil, Servane Delobelle a été coachée de 11 à 18 ans par Emmanuel Castille, le papa de Cindy.

(*) L’édition 2012 aura lieu du 19 au 29 janvier.

 


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 111122c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7421 du 21 au 27 novembre 2011.

----------

Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’œuvre conception : Cabinet APO – M. François WUSTNER
11 rue de l’Ecu – 51100 REIMS
Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31

Maître d’œuvre réalisation : SOCREL – M. Geoffrey KELLER
7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Tél. 03.26.04.98.51 ou 06.89.87.87.17 - Fax 03.26.47.92.63

Objet : Construction de 22 logements en accession, stationnement, commerce, pôle médical et reconstruction d’un parking aérien – Avenue Bonaparte à REIMS (51)

Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 18 lots :

- LOT 01 - TERRASSEMENT/DEMOLITION
- LOT 02 - GROS OEUVRE
- LOT 03 - ETANCHEITE
- LOT 04 - MENUISERIES EXTERIEURES PVC
- LOT 05 - MENUISERIES ALU/METALLERIE
- LOT 06 - MENUISERIES INTERIEURES/PLATRERIE EN PLAQUES
- LOT 07 - ELECTRICITE COURANTS FAIBLES
- LOT 08 - PLOMBERIE SANITAIRE/CHAUFFAGE
- LOT 09 - CLIMATISATION
- LOT 10 - CARRELAGE/FAIENCE
- LOT 11 - PEINTURES/PEINTURES DES SOLS
- LOT 12 - REVETEMENTS SOLS STRATIFIES
- LOT 13 - RAVALEMENT ITE
- LOT 14 – BARDAGE VETURE
- LOT 15 – BARDAGE ZINC
- LOT 16 – ASCENSEURS
- LOT 17 – VRD
- LOT 18 – ESPACES VERTS

Présentation des offres :
Les offres pourront être présentées en Entreprise Individuelle, en Groupement d’Entreprises, ou en Entreprise Générale pour un ou plusieurs lots.

Délai d’exécution :
Tranche Ferme - aménagement extérieur, commerce, pôle médical : 13 mois
Tranche Conditionnelle - 22 logements en accession sociale : 18 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :
Vendredi 23 décembre 2011 à 12h, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims

Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 22 novembre 2011, auprès de :

- Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, sous la référence du marché : CN-111111

- Sur support papier, aux frais du candidat : DIAZO 51 – ZA Farman – 6 ter rue André Rieg - BP 441 - 51682 REIMS CEDEX 2 Tél. 03.26.88.35.21 - Fax 03.26.86.84.85

Renseignements techniques : Sce Construction G.KELLER 06.89.87.87.17 / Cabinet APO 03.26.47.69.01

Renseignements administratifs : Sce Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 17 novembre 2011 aux Journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (Haute Marne), le COURRIER PICARD (Somme), le Moniteur et le Matot Braine.

100586


----------

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 08/11/2011, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : FLORAKA (SARL), 10 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 440 881 936). Activité : Commerce gros et demi-gros de tous produits a des revendeurs ou des particuliers, ainsi que tous produits et prestations de services pour la communication.
Mandataire liquidateur : Maître François DELTOUR, 3 rue Noël 51100 REIMS. Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

100515 Le Greffier : B. DELPY.


----------

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 15/11/2011, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : BAYDAR Ahmet, 22 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS. Registre des Métiers : 390 521 425. Activité : Maçonnerie, peinture, construction.
Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET, (Maître Bruno RAULET) 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

100618 Le Greffier : B. DELPY.


----------

REPORT DE CESSATION DES PAIEMENTS

Par jugement en date du 08/11/2011, le tribunal de commerce de REIMS a ordonné le report de la date de cessation des paiements, a fixé au 05/04/2009 la date de cessation des paiements à l’encontre de : SOFEX (SARL), 26 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS. R.C.S. REIMS : B 494 525 395, pour le Greffe 2007 B 139.

100469 Le Greffier : B. DELPY.


----------

CLÔTURE POUR EXTINCTION DU PASSIF

Par jugement du 09/11/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : AMENAGEMENT DE COMBLES-FAUX PLAFONDS-DOUBLAGES-CLOISONS, 3 rue des Auvergnats - 51100 REIMS. Activité : Aménagement de combles faux plafonds doublages pose de cloisons tous travaux de menuiserie. R.C.S. REIMS : B 394 442 651, pour le Greffe 94 B 144.

100474 Le greffier : B. DELPY.


----------

CLÔTURE POUR EXTINCTION DU PASSIF

Par jugement du 09/11/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : MAINTENANCE INDUSTRIELLE CHAMPENOISE, 14 esplanade Paul Cézanne - 51100 REIMS. Activité : Maintenance industrielle et au batiment sous-traitance, import export. R.C.S. REIMS : B 417 577 657, pour le Greffe 98 B 61.

100502 Le Greffier : B. DELPY.

***********************************

Union111122b
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’œuvre conception : Cabinet APO – M. François WUSTNER
11 rue de l’Ecu – 51100 REIMS
Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31

Maître d’œuvre réalisation : SOCREL – M. Geoffrey KELLER
7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Tél. 03.26.04.98.51 ou 06.89.87.87.17 - Fax 03.26.47.92.63

Objet : Construction de 22 logements en accession, stationnement, commerce, pôle médical et reconstruction d’un parking aérien – Avenue Bonaparte à REIMS (51)

Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 18 lots :

- LOT 01 - TERRASSEMENT/DEMOLITION
- LOT 02 - GROS OEUVRE
- LOT 03 - ETANCHEITE
- LOT 04 - MENUISERIES EXTERIEURES PVC
- LOT 05 - MENUISERIES ALU/METALLERIE
- LOT 06 - MENUISERIES INTERIEURES/PLATRERIE EN PLAQUES
- LOT 07 - ELECTRICITE COURANTS FAIBLES
- LOT 08 - PLOMBERIE SANITAIRE/CHAUFFAGE
- LOT 09 - CLIMATISATION
- LOT 10 - CARRELAGE/FAIENCE
- LOT 11 - PEINTURES/PEINTURES DES SOLS
- LOT 12 - REVETEMENTS SOLS STRATIFIES
- LOT 13 - RAVALEMENT ITE
- LOT 14 – BARDAGE VETURE
- LOT 15 – BARDAGE ZINC
- LOT 16 – ASCENSEURS
- LOT 17 – VRD
- LOT 18 – ESPACES VERTS

Présentation des offres :
Les offres pourront être présentées en Entreprise Individuelle, en Groupement d’Entreprises, ou en Entreprise Générale pour un ou plusieurs lots.

Délai d’exécution :
Tranche Ferme - aménagement extérieur, commerce, pôle médical : 13 mois
Tranche Conditionnelle - 22 logements en accession sociale : 18 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :
Vendredi 23 décembre 2011 à 12h, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims

Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 22 novembre 2011, auprès de :

- Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, sous la référence du marché : CN-111111

- Sur support papier, aux frais du candidat : DIAZO 51 – ZA Farman – 6 ter rue André Rieg - BP 441 - 51682 REIMS CEDEX 2 Tél. 03.26.88.35.21 - Fax 03.26.86.84.85

Renseignements techniques : Sce Construction G.KELLER 06.89.87.87.17 / Cabinet APO 03.26.47.69.01

Renseignements administratifs : Sce Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 17 novembre 2011 aux Journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (Haute Marne), le COURRIER PICARD (Somme), le Moniteur et le Matot Braine.

***********************************

Union111122a
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage :
L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart - BP 324 - 51061 REIMS CEDEX

Maître d’œuvre conception et exécution :
GIE CHAMPAGNE ARDENNE AMENAGEMENT- 7, rue Marie Stuart 51100 REIMS Tél 03.26.04.99.25 / Fax 03.26.49.63.51

Objet :
Création d’une voirie – Ilôt Degas/Rodin – Quartier Croix du Sud à REIMS (51) Réf. : GIE CAA-071111

Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 4 lots :

- LOT 01 – TERRASSEMENT/VOIRIE/RESEAUX DE SURFACE
- LOT 02 – ASSAINISSEMENT/AEP
- LOT 03 – ECLAIRAGE PUBLIC
- LOT 04 – ESPACES VERTS

Délai d’exécution : 12 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :
Vendredi 16 décembre 2011 à 12h00, dépôt ou envoi à L’EFFORT REMOIS - Service Marchés - 7 rue Marie Stuart – BP 324 - 51061 REIMS CEDEX.

Le dossier de consultation pourra être obtenu, auprès de :

- Sur support électronique, en téléchargement gratuit :
www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, sous la référence du marché : GIE CAA-071111

- Sur support papier, aux frais du candidat :
TECHNIC REPRO – 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS
Tél. 03.26.04.81.21 - Fax 03.26.09.71.07

Contact renseignements techniques :
Mr S. JOUNIAUX - Chargé d’opérations - 03.26.04.99.25

Renseignements administratifs :
Service Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi à la publication : le mercredi 16 novembre 2011 au JAL L’Union Eco (éditions Marne, Aisne et Ardennes)

***********************************

Union111121b
Planning des bennes à encombrants

Les quatre déchetteries situées quartier Croix-Rouge (impasse de la Chaufferie), quartier Europe (rue de l’Escaut), Tinqueux (rue Marcel Dassault) et Saint-Brice-Courcelles (chemin du Temple), réservées aux particuliers sont ouvertes du lundi au samedi de 9 à 19 heures et les dimanches et jours fériés de 9 à 12 heures. En plus de ces déchetteries, les usagers peuvent se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues suivantes d’après ce planning :

Lundi 21 novembre :
- rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome)
- rue de Rilly-la-Montagne (sur stationnement niveau gymnase)
- parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards)
- avenue Bonaparte (parking face Arago)
- parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux)
- rue Galilée (face au n° 4 terrain vague - angle Arago)
- avenue Léon-Blum (sur le parking).

Lundi 28 novembre : rue des Bons Malades - rue Passe-Demoiselles - rue Martin-Peller (souterrain SNCF) - rue Georges-Picot/rue Jules-Siegfried (côté rue Jules Siegfried) - avenue du Général-de-Gaulle/rue Eugène-Guillaume/rue Passe Demoiselles - rue Gounot/allée Georges-Bizet (sur le parking) - rue Hector-Berlioz (le long de la voie sur le parking face au 15 Beethoven).

En raison de l’incendie de l’unité de valorisation énergétique Rémival et des conditions d’accès des sites de transfert des déchets, le retrait des bennes à encombrants disposées sur le domaine public, démarre à 16 heures (au lieu de 17 heures).

« Allô Propreté » : 03.26.77.71.11 - « Tri Info » : 03.26.02.90.90

***********************************

Union111121a
Feux en série

Dans la nuit de samedi à dimanche, les sapeurs-pompiers de Reims n’ont pas chômé.

Samedi à 21 h 25, ils sont allés au 11, avenue Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge pour un feu de local vide-ordures qu’ils ont rapidement maîtrisé.

Dimanche à 1 heures, ils étaient de retour dans la même avenue pour un conteneur à ordures en flammes.

A 1 h 10, ils étaient cette fois requis toujours dans le même quartier allée des Picards pour un nouveau feu de local vide-ordures.

A 3 h 10, cette fois ils sont intervenus dans le quartier de Cernay, rue Henri Barbusse pour trois feux de poubelles ! A 3 h 25, c’était dans le même secteur rue du Mont-Cornillet qu’un groupe de conteneurs à ordures était signalé en feu. Le sinistre a été éteint dans les meilleurs délais. A 6 h 30, les sauveteurs se sont rendus à hauteur de l’école primaire Trois-Fontaines dans le quartier du même nom pour un véhicule volé ayant percuté une clôture et qui commençait à prendre feu. Les occupants avaient disparu avant l’arrivée des secours et de la police.

***********************************

Union111119d
Opération « quartier mort » à Croix-du-Sud / Deux assos du quartier en danger !

Les représentants de la maison de quartier tenaient à exprimer leur indignation.
- Agrandir la photo
En mesure de protestation, ils sont restés une demi-heure sans broncher ni bouger dans le froid
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Hier, deux associations de Croix- du-Sud ont organisé une opération « quartier mort » afin de montrer leur mécontentement, suite à des cambriolages qui ont mis en péril leur fonctionnement.

HIER place Auguste-Rodin à Croix-du-Sud (l’un des trois secteurs du quartier Croix-Rouge), les responsables des associations 2 Mains et Étoile Croix-du-Sud ont décidé d’organiser, suite aux cambriolages dont elles ont été victimes la semaine dernière, une opération « quartier mort » afin d’afficher publiquement leur mécontentement quant à ces actes gratuits.

Sur place, les animateurs et éducateurs des associations concernées, ainsi que ceux de l’espace Wateau de la maison de quartier Croix-Rouge, le conseiller municipal délégué à la jeunesse Hassan Errettat, Cédric Mahé du Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs) et des bénévoles ont répondu à l’appel et ont investi symboliquement la place Auguste-Rodin durant une bonne demi-heure.

Des commerçants solidaires

C’est sous les yeux des nombreux passants qu’ils sont restés silencieusement sur cette place, plaque tournante de la vie du quartier, sans discours, sans cri, sans provocation ni haine, juste avec un visage pour certains attristé. « Un commerçant m’a expliqué le but de cette action symbolique. Je comprends la colère de ces gens qui donnent beaucoup du leur pour le bien des enfants, des jeunes et des moins jeunes, et qui voient leurs efforts brisés par les actes de personnages idiots qui n’ont aucune pitié pour la vie de leur quartier. Ce qui est dégueulasse, c’est aussi de savoir que des bénévoles qui s’investissent sans le moindre salaire juste par amour pour Croix-Rouge paient aussi les pots cassés », explique Claire, étudiante en faculté de médecine, de passage sur cette place commerciale.

Les commerçants de ce secteur de Croix-Rouge qui n’ont pas baissé leur rideau ont tout de même apporté un soutien moral à cette initiative. Les animateurs et travailleurs sociaux avaient également décidé d’inviter les habitants qui avaient subi des vols similaires à leur domicile. Dommage que peu d’entre eux aient fait le déplacement.

Rembourser les inscriptions au loto

Passée la demi-heure, tout ce petit monde est retourné à ses occupations car ces cambriolages, en plus des dommages matériels, ont engendré un surplus de travail. En effet, le matériel informatique contenait de nombreux documents, courriers et informations qu’il va falloir retravailler entièrement. D’autre part, l’Étoile Croix-du-Sud va devoir rembourser les nombreuses inscriptions des personnes qui devaient participer au loto que l’association s’apprêtait à organiser.

Ces cambriolages risquent de causer des torts aussi aux habitants puisque l’association « 2 Mains » est en péril et que l’Étoile Croix-du-Sud sera peut-être en incapacité d’accueillir les enfants du centre de loisirs durant les prochaines vacances scolaires.

« Cette fermeture n’est pas encore décidée, car la ville va peut-être nous verser une subvention exceptionnelle pour pouvoir ouvrir le centre de loisirs. La suite c’est la réalité économique qui décidera », conclut Jean-Michel Gauthier, président des deux associations.

Article TAF
Photos Hervé OUDIN

***********************************

Union111119c
Aujourd’hui au Creps : Championnat régional de boccia

La boccia s’apparente à la pétanque.
- Agrandir la photo

 

 

Le comité départemental Handisport Marne, en collaboration avec le club Aventure Boccia, organise le championnat régional Champagne-Ardenne de boccia aujourd’hui, de 9 h 30 à 16 heures, au Creps, route de Bezannes.

Au programme : de 9 heures à 10 h 30, appel et classifications. Vers 16 heures, remise des récompenses.

Les résultats compteront pour une sélection aux interrégionaux de boccia qui se tiendront à Nancy à la fin du mois de janvier 2012, pour permettre une participation aux championnats de France qui se dérouleront à Brest, du 23 au 25 mai.

Afin de permettre au plus grand nombre de participer à ce championnat, les organisateurs apporteront du matériel supplémentaire (balles et rampes).

Ce sport, qui ressemble à la pétanque, peut être pratiqué par les personnes valides ou handicapées en handisport. Les établissements accueillant un public handicapé sont conviés à l’événement, ainsi que toute personne en situation de handicap souhaitant découvrir ou redécouvrir la boccia.

Pour plus de détails (déroulement de la journée, inscriptions…), contacter le comité départemental Handisport Marne, 10, rue de Rilly-la-Montagne, au 03.52.45.72.50. cd51@handisport.org

 

 

***********************************

Union111119b
Reims : un forum sur les climats et migrations

Changements climatiques et migrations humaines. Deux gros dossiers que la Ville de Reims et l’agglo ont liés dans le cadre d’un colloque qu’elles organisent ce samedi 19 novembre dans les murs de l’école supérieure de commerce RMS, en partenariat avec le collectif interculturel d’associations de migrants et la direction du tourisme et des relations internationales. Le but : sensibiliser le grand public aux changements climatiques et à leurs conséquences potentiellement dramatiques.

Des tables rondes seront animées par Philippe Comby, agrégé de philosophie. Le public est attendu à partir de 10 heures.

Programme : de 11 heures à 12 h 30, table ronde sur les changements climatiques, avec projection du documentaire « Le dessous des cartes » ; de 13 h 45 à 14 h 15, pièce de théâtre écolo-rigolo « 1, 2, 3, solaire » par le Théâtre à pattes ; de 14 h 30 à 16 h 30, table ronde sur « Les impacts sur les hommes des changements climatiques », avec projection du documentaire « les Réfugiés climatiques » ; de 16 h 30 à 17 heures, synthèse des tables rondes. Parmi les stands présents figureront ceux des Amis de la Terre et de Médecins Sans Frontières.

***********************************

Union111119a
Reims : le feu de voiture se propage

Une voiture a une fois de plus été brûlée à Reims. En l’occurrence rue Raoul-Duffy, dans le quartier Croix-Rouge, jeudi, peu après 23 heures, où les sapeurs-pompiers ont été dépêchés pour mettre fin à l’incendie d’une Renault Mégane.

Malgré leur intervention, deux véhicules qui se trouvaient stationnés à proximité ont également été dégradés par les flammes.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 236 - 111118c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 236 - Semaine du 17 au 23 novembre 2011

----------

Les grands travaux à l’arrêt

La finalisation de l’autoroute A34 (Reims - Ardennes) ou encore le grand campus unique de l’Université de Reims-Champagne-Ardenne dans le quartier Croix-Rouge à Reims font partie de ces projets conséquents pour lesquels la Région a déjà attribué des budgets participatifs.

Pour ces projets, les financements concernent évidemment plusieurs parties : Etat, Région, département, ville, institutions diverses…

Pour le moment, tous ces grands chantiers sont en pause, la faute à l’Etat qui n’a « manifestement pas les moyens de payer, explique Jean-Paul Bachy, ces projets sont donc ralentis ou reportés alors que les parts de budget de la Région sont affectés. Mais la Région ne paiera pas en avance pour l’Etat. On a déjà été fait « cocu » plusieurs fois. »


----------

culture :Festival Pacemaker : Lumière sur la scène noise

Le festival Pacemaker accueille 14 artistes venus de France, comme le groupe Kourgane (en photo) mais aussi d’Allemagne et d’Angleterre.
- Agrandir la photo

Vitrine de la scène noise rock européenne, avec 14 formations dont certaines font partie des plus belles sensations noise du moment, le festival Pacemaker se déroulera du jeudi 24 au samedi 26 novembre à Reims. Né à l’initiative des associations Flesh, Deux Épis et Caktus, ce rendez-vous promet trois jours intenses et festifs de concerts, de rencontres, de découvertes et de curiosités.

Parmi les artistes qui se produiront sur les scènes du Bar l’Excalibur et du Centre culturel du Crous, mais aussi sous le temps d’une paus déjeuner sous la verrière du Campus Croix Rouge (vendredi 25 novembre de 12h à 14h), il y aura notamment le bruit qui fait danser de Don Vito, le rock planant de Jessica93, le hardcore abrupt et rêche de Kourgane ou encore les bidouilles de mélodies lo-fi de Gregaldur. Biensûr, les talents locaux seront de la fête avec les Rémois de Walker Texas Ranger, les Châlonnais de Terebenthine et les Sparnaciens de Isaac. D’ailleurs, ces derniers profiteront du festival pour présenter Herpès Maker, un premier album de musique noise frénétique alliant mélodies dissonantes et rythmiques décousues.

J.D

Tarifs : Pass 3 jours uniquement en prévente : 10/12€ (18€ avec le 1er album de Isaac. Sur place, par soirée : 5/7€. Renseignements : pacemaker.festival@gmail.com http://pacemakerfest.wordpress.com

Demandez le programme :

Jeudi 24 novembre
Silent Front (noise hardcore - Londres UK) TV Buddahs (garage rock - Tel _ _ Aviv/Berlin) Nitkowski (noise rock - Londres UK)
A 20h au Bar l’Excalibur, 2, rue de la Grue à Reims

Vendredi 25 novembre
Gregaldur (bidouillage bruitiste et mélodique) + surprise
De 12h à 14h sous la verrière, campus Croix Rouge

Kourgane (noise hardcore - Pau FR) Don Vito (chaos disco - Leipzig ALL.) Jessica 93 (space no wave - 93 FR) Shield Your Eyes (fingered noise blues - Londres UK) Walker Texas Ranger (grindnoise - Reims FR)
A 19h au Centre culturel du CROUS, campus Croix Rouge, rue Rilly la Montagne à Reims

Samedi 26 novembre
Api Uiz (zouk supersonique / Bordeaux) Pord (noise hardcore / Lozère) Isaac (noise rock / Epernay) Gregaldur (teletubbies schizophrène / Cherbourg) Poutre (noise rock / Arles) Térébenthine (noise rock / Chalons)
A 18h au Centre culturel du CROUS, campus Croix Rouge, rue Rilly la Montagne à Reims


----------

Forum des métiers de la banque

Le Comité des banques de Champagne-Ardenne organise le 2ème Forum des métiers de la banque, ce mercredi 16 novembre, dans les locaux du Campus Croix Rouge à Reims, de 9h30 à 16h00.

Ce forum d’informations poursuit entre autres objectifs de favoriser l’orientation et l’insertion professionnelle des jeunes. Les étudiants, lycéens, enseignants, responsables de Centres d’information et d’orientation pourront découvrir la diversité des métiers de la banque aujourd’hui et de demain, les besoins de recrutement dans la Région Champagne-Ardenne, le choix des formations les plus adaptées et les profils de jeunes diplômés recherchés par les entreprises bancaires…


----------

environnement : Changements climatiques : Une expo, un forum, des réfugiés

Un petit autorail, le Löre, relie Langeness, dans les Halligen, au continent. (© Hélène David - Collectif Argos)
- Agrandir la photo
Réfugiés climatiques, le livre du Collectif Argos.
- Agrandir la photo
Après les Landuntern, les paysages changent radicalement. (© Hélène David - Collectif Argos)
- Agrandir la photo
Les Halligen ne sont pas des îles, mais des siècles de sédimentation. (© Hélène David - Collectif Argos)
- Agrandir la photo
Des millions de pierres, agencées une à une, servent à construire une digue pour enserrer le Hallig dans une muraille d’un mètre de haut. (© Hélène David - Collectif Argos)
- Agrandir la photo

Ce samedi, le forum « Changements climatiques et migrations humaines » se tient à Reims Management School, dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale.

Depuis un mois et jusqu’au 16 décembre, une exposition du Collectif Argos sur la question est visible à Reims.

Hélène David est photographe. Son travail est visible dans l’exposition du Collectif Argos sur les Réfugiés climatiques, présentée à Reims, en particulier les photos des Halligen, en Allemagne, et du village de Shishmaref, en Alaska. Les îles Halligen ne sont pas tout à fait des îles, ou alors « artificielles » (il n’y a pas de traduction fidèle en français), situées en mer du Nord, entre Allemagne et Danemark. « Il s’agit de sites qui ont résulté des sédiments charriés par les marées », explique Hélène David. Des bancs de tourbe, de sable et de glaise formés au fil des siècles. Un raz-de-marée, « la grande noyade », au XIVe siècle, en a détruit l’essentiel et il ne reste plus que dix « îles » aujourd’hui sur l’archipel, où vivent un peu plus de 300 personnes. « Les populations qui vivent là-bas entretiennent ces îles pour protéger le littoral continental, avec des digues, fabriquées à l’allemande, pierre par pierre, poursuit la photographe. Un phénomène particulier, les Landuntern, survient aux équinoxes. Il fait monter les eaux de plus de sept mètres. Les maisons sont alors isolées les unes des autres sur place. Depuis des siècles, les habitants vivent avec ça. Ils ont un rapport incroyable à ces phénomènes. » Le problème aujourd’hui, c’est évidemment le réchauffement global et la montée des eaux. « Les Halligen sont vraiment en sursis et c’est dommageable pour ses habitants, mais aussi pour le littoral allemand parce qu’il est protégé par ces îlots. »

Autre exemple, celui de Shishmaref, en Alaska, au nord du détroit de Béring. Ici, le problème, c’est la fonte des glaciers. Hélène David : « Shishmaref est un village d’Inuits, (inuits-Inupiaks), construit sur une île. La banquise fond, et les habitants savent qu’ils devront partir. Shishmaref a plaidé son cas auprès du Congrès américain pour pouvoir installer le village juste en face de l’île, sur les terres vierges de Tin Creek, sur le continent, afin d’éviter de déménager dans la ville voisine de Nome, où ils perdraient leur identité. Tin Creek est sur le même territoire de chasse et de pêche que Shishmaref, c’est leur terre ancestrale. »

Enfin Tuvalu, l’île du Pacifique. « Là, le président a médiatisé ce qui se passe sur cet archipel. Dans quelques années, il sera totalement submergé. Les habitants de Tuvalu ont besoin de convaincre une ou plusieurs nations qui accepterait de les accueillir. Ce qui pose aussi la question du statut du réfugié climatique, qui n’existe pas encore… »

Tony Verbicaor

Forum « Changements climatiques et migrations humaines », samedi 19 novembre toute la journée à Reims Management School. Exposition « Les réfugiés climatiques », samedi 19 novembre à Reims Management School, puis à l’Hôtel de Ville de Reims du 22 novembre au 16 décembre.

Liens :

www.collectifargos.com www.refugiesclimatiques.com

Le projet Réfugiés climatiques du Collectif Argos

Le Collectif Argos, des journalistes et des photographes, s’est lancé dans le projet Réfugiés climatiques en 2004. Le projet a été conclu quatre ans plus tard. Neuf destinations, visitées deux fois, pour aller à la rencontre de populations déjà concernées par les incidences des changements climatiques. Shishmaref, en Alaska, les Halligen, en Allemagne, le Népal, la Chine, les Maldives, le Bangladesh, le Tchad, Tuvalu et la Nouvelle-Orléans.

En plus de l’exposition, Réfugiés climatiques c’est aussi un livre du Collectif Argos (préfaces de Hubert Reeves et Jean Jouzel).

***********************************

Union111118b
Opération « quartier mort » ce matin à Croix-du-Sud

Ce matin, la place Auguste-Rodin ne sera pas aussi vivante que d’habitude.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). A la suite des cambriolages dont ont été victimes, la semaine dernière, les associations 2 Mains et Étoile Croix-du-Sud (notre édition du lundi 14 novembre), les responsables de celles-ci ont décidé d’organiser une opération « quartier mort » pour montrer leur indignation.

« Vendredi matin (ce matin, NDLR), à 10 heures, les salariés des deux associations vont se réunir sur la place Auguste-Rodin durant une petite demi-heure. Cela dans le silence complet, sans cri, sans heurt, sans haine, histoire d’afficher publiquement notre ras-le-bol », explique Jean-Louis Rumerio, directeur de l’association 2 Mains.

Bandeau noir

En plus de ces acteurs associatifs, les commerçants afficheront sur leur vitrine un bandeau noir pour apporter leur soutien et les habitants qui ont été victimes de cambriolages sont invités à participer à cette opération en rejoignant la place Auguste-Rodin.

« L’Etoile Croix-du-sud, qui a été cambriolée ce week-end s’est fait voler des ordinateurs, la recette des inscriptions et les lots du loto qu’elle allait organiser prochainement, mais aussi celle d’un groupe de mamans africaines qui avaient organisé une journée dans le café associatif « Le Bistroquet » durant laquelle elles avaient servi des spécialités culinaires africaines. Cette recette devait leur servir à financer une sortie en Belgique. Elles ont organisé cela afin d’améliorer leur quotidien et malgré tout, on leur pique leur fric », conclut le directeur.

Mais pas question pour ces professionnels et bénévoles du milieu associatif de Croix-du-Sud de baisser les bras. Une fois cette action terminée, ils retourneront tous sur le terrain avec la même conviction : aider les personnes dans le besoin !

T.A.F.

***********************************

Union111118a
Commerces et entreprises : Quoi de neuf à Croix-Rouge ?

Un nouveau dépositaire de l’union
- Agrandir la photo

 

 

- « Le Napoléon », tabac, presse, journaux, Française des jeux et PMU, dépositaire de l’union, a transféré son activité du 5, allée Edgar-Degas à Croix-du-Sud vers le centre commercial de Pays-de-France, 24, avenue du général-Bonaparte. Ouvert 7 jours sur 7. Tél. 03.26.85.15.56.

- La Sarl FCP a été créée au 5, allée Yves-Gandon, aux Hauts-de-Murigny, par Levent Arslan. Il propose tous travaux du bâtiment, et en particulier maçonnerie, façades, cloisons, peintures, électricité, plomberie et menuiserie. Tél. 09.52.20.39.71.

- Zouheir Bouakline vient de créer l’EURL Reims Trans Logistique (Sigle RTL) au 17, rue Alphonse-Daudet (secteur des Polygones). Son objet : le transport de marchandises.

 

 

***********************************

Union111117c
Des lycéens repensent les locaux

Restos du cœur / « La pauvreté touche M. et Mme Toutlemonde »

REIMS (Marne). Les plus démunis sont toujours plus nombreux aux Restos du cœur. La pauvreté gagne du terrain et touche toutes les classes sociales

Les Restos du cœur : 21, rue des Poissonniers. Tél. 03.26.40.11.90.

Des lycéens repensent les locaux

Le siège des Restos du cœur, sis au 21 rue des Poissonniers, s’est dernièrement refait une beauté. Le chantier, qui avait débuté au mois de juillet, vient juste de s’achever. Les bénévoles des Restos du cœur ont donc inauguré leurs nouveaux locaux jeudi dernier.

Quatre élèves du lycée Arago, en section architecture, s’étaient chargés de repenser les lieux, de dessiner des plans et de redonner de la vie et de la couleur à l’accueil et aux bureaux. Rose, blanc, jaune et même vert, le site est non seulement aux couleurs des Restos mais il respire la joie de vivre. Le mobilier ? De la récup et des armoires et bureaux offerts par Ikea. Les travaux à proprement parler ont été réalisés par deux entreprises locales.

Et ce n’est pas fini, puisque l’association s’apprête à restaurer la salle de convivialité et la bibliothèque du centre de distribution. « Nous avons déjà tout retiré. Nous allons maintenant lessiver et repeindre les murs en jaune », détaille Jean-Pierre L’Hermite, le responsable du centre.

***********************************

Union111117b
Voleuses et violentes

Samedi vers 18 h 30, deux Rémoises de 17 et 18 ans ont eu la surprise de voir courir derrière elles la passante qu’elles venaient de dépouiller de son sac à main et d’un téléphone portable (l’union de lundi).

Les voleuses ne sont pas inconnues des services de police. L’une d’elles a d’ailleurs déjà sévi au sein d’une bande de jeunes filles récemment interpellées à la suite de plusieurs vols et agressions commises sur des passantes isolées, notamment rue Simon, dans le tramway à Croix-Rouge ou près du lycée Marc-Chagall.

Portable et sac à main

Présentée au parquet, la mineure a été remise en liberté surveillée avec une convocation devant le juge des enfants tandis que la majeure ira s’expliquer le 9 mars à la barre du tribunal correctionnel.

Les faits de samedi dernier se sont produits place Maurice-Utrillo. Agée de 18 ans, la victime a été agressée alors qu’elle sonnait à l’interphone d’un immeuble.

L’une des voleuses l’a giflée et frappée d’un coup de pied pour lui prendre le portable, l’autre s’est emparée du sac à main en lui tirant les cheveux. Cela n’a pas empêché la victime de se lancer à leurs trousses.

Deux femmes lui sont venues en aide et ont réussi à retenir les voleuses dans un hall d’immeuble jusqu’à l’arrivée de la police, malgré un coup de poing au visage reçu par l’une des dames.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 111117a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7420 du 14 au 20 novembre 2011.

----------

VENTE CESSION ATTRIBUTION D’APPORTS

Suivant acte reçu par Maître Tanguy DELEGRANGE, le 27 octobre 2011, enregistré à CHARLEVILLE MÉZIÈRES (08) le 4 novembre 2011, bordereau 1183, case 1.

La société dénommée L’ARTISANE, société à responsabilité limitée, dont le siège social est à REIMS (51100), 6 allée Yves Gandon.

A cédé à Monsieur Romain PIERLOT, demeurant à CHAMPFLEURY (51500), 4 Grande Rue.

Le fonds de commerce et artisanal de boulangerie épicerie, exploité à REIMS (51100), 6 allée Yves Gandon.

Moyennant le prix de cent quatre vingt mille €uros (180.000,00 €).

Entrée en jouissance a été fixée au 1er novembre 2011.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les 10 jours de la dernière en date des publications légales en l’Etude de Maître Franck LESCOUT, Notaire à REIMS (51), où domicile a été élu à cet effet.

Pour insertion :
Me Tanguy DELEGRANGE.

100274

***********************************

Union111116a
Un conseil de quartier animé : Croix-Rouge veut du concret

Une salle bien pleine qui a explosé en fin de conseil.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

Il y a bien longtemps que l’on n’avait pas vu autant de monde pour un conseil de quartier… Les questions se sont succédé jusqu’à ce que la salle s’embrase sur le thème de l’insécurité.

La ville se construit et se gère avec vous. Venez échanger, partager et débattre sur votre quartier et Reims avec la maire et l’équipe municipale », annonçait la mairie.

Plus de 100 habitants, 18 adjoints et conseillers municipaux et 18 conseillers de quartier ont répondu à cet appel. La salle Mauriac était bien remplie jeudi 10 novembre. La majorité des associations et structures du quartier était représentée, certaines pour la première fois.

Thierry Wippler, adjoint à la démocratie locale, ouvrait la séance et invitait Alain Bisteur et Alain Boudroit, co-animateurs du conseil de quartier, à lire leurs rapports d’activités sur les années écoulées.

Adeline Hazan félicitait « les deux Alain » pour ce bilan très satisfaisant et « l’énergie considérable avec laquelle ils font vivre ce conseil de quartier ». Elle ajoutait « la démocratie locale est un effort de tous les jours, ça ne se décrète pas ».

Pour la maire de Reims, 2011 est une année qui a vu l’ensemble de la ville redynamisé grâce au tramway. « Croix-Rouge a déjà beaucoup changé malgré les nuisances produites : avec de nouvelles rues, le centre commercial Arago, la résidence Joséphine et les résidences de Reims Habitat, un plateau multisports, une résidence étudiante universitaire,… »

115M€ pour la rénovation urbaine à Croix-Rouge

Plus de 500 M€ sont consacrés à la rénovation urbaine à Reims, dont 175 M€ sur Croix-Rouge. « Il faut un changement de conception. Il n’y a plus le centre-ville et les quartiers. Grâce au tramway, nous ouvrons les quartiers pour que les habitants du centre aient envie d’y venir et nous ne voulons plus qu’il y ait des lieux où l’on vit et des lieux où l’on travaille ».

Le moment était venu pour que les conseillers de quartier posent leurs questions aux élus présents. Le groupe de travail Emploi s’est réuni deux fois avec de nombreux partenaires. C’est une « première » pour les conseils de quartier. Il a découvert un vivier de PME-PMI dynamique, mais malheureusement incapable de créer des centaines d’emplois. Des actions de sensibilisation sont prévues au printemps prochain.

Soumaya Berthelot souhaite « une implication plus importante des jeunes. Allons à leur rencontre, soyons à leur écoute, réservons-leur une place au sein du conseil » ! Elle a annoncé une prochaine réunion qui leur sera ouverte. Christiane Monflier a demandé des décorations pour Noël. Adeline Hazan : « il y aura des illuminations. Il serait inconcevable qu’il n’y en ait qu’au centre-ville ». Autre question très applaudie de Christiane Monflier : « Tous les logements de Pays-de-France seront-ils rénovés, ou bien seulement ceux qui sont visibles depuis les vitres du tramway ? » Eric Quénard : « Le quartier n’a jamais connu une transformation aussi importante depuis sa création il y a quarante ans. Il n’est pas question qu’il y ait deux catégories de locataires, les rénovés et les autres. Les trois organismes logeurs dépassent déjà chacun les obligations imposées par la convention avec l’ANRU ».

-----

Pays-de-France a froid !

Les habitants de Pays-de-France ont été nombreux à se plaindre de l’absence de chauffage et d’eau chaude depuis plus d’un mois : « Nous avons froid ! Un mois de chauffage électrique à nos frais, cela suffit : nous allons demander des dommages et intérêts au Foyer rémois ! »

Le conseiller municipal Salah Byar est intervenu et confirme la réponse d’Eric Quénard : « La Ville et la Soccram sont responsables de la fourniture de chaleur entre la chaufferie et les sous-stations installées dans le quartier. C’est le réseau dit primaire et il est bien entretenu. En revanche, des sous-stations aux logements, il s’agit du réseau dit secondaire, et il est placé sous la responsabilité des organismes logeurs qui mandatent des sous-traitants pour les entretenir. C’est là que le bât blesse ! Certes, les travaux engagés sur Pays-de-France n’arrangent rien, mais la chaleur, c’est un droit que vous payez chaque mois. C’est une question prioritaire ! »

Adeline Hazan : « C’est inadmissible ! Dix ans après les interventions en justice d’Alain Polliart et de Serge Pugeault pour un chauffage correct, on en est au même point ! Je suis indignée ! Si vous refusez de payer le chauffage, nous vous soutiendrons. »

-----

« Des Kalachnikov en plein jour… »

Vincent Girardin : « Pourrait-on aborder en conseil de quartier les agressions, les cambriolages, les incivilités, l’insécurité, les voitures qui brûlent ? »
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

Tout a commencé par une question du conseiller de quartier Vincent Girardin, sous les ovations du public : « Pourrait-on enfin aborder en conseil de quartier les agressions, les cambriolages, les incivilités, l’insécurité, les voitures qui brûlent ? »

La salle s’est alors embrasée. Toutes les questions du public étaient sur ce thème. Citons en vrac : au 33-Taittinger, « les escaliers sont des urinoirs pour les jeunes du quartier. Il y a de la suie qui tombe de partout ! » « Le nettoyage qui est fait, c’est n’importe quoi ! » « Rien qu’hier soir (NDLR : mercredi 9 novembre), il y a eu huit départs de feux à Croix-Rouge ! » Au Soleil couchant, « nous demandons une coordination entre police nationale, police municipale et pompiers. Si un jour un méchant sort le fusil, ça va faire mal ! » Sur Eisenhower : « On a vu des jeunes démonter et remonter des Kalachnikov en plein jour, personne n’est intervenu. Ils terrorisent la population ! »

Une centaine de caméras supplémentaires

Adeline Hazan de répondre : « On ne peut pas compenser tous les manques de l’Etat. Le Conseil intercommunal de prévention est réactivé et fonctionne maintenant en groupes de travail par thèmes et par quartiers. Par ailleurs, on peut espérer que la population saura se montrer vigilante et signalera toutes les améliorations à apporter. Quant aux caméras de vidéosurveillance que certains demandent, ce n’est pas la panacée. Nous allons redispatcher celles qui existent, mais pas les multiplier. Par ailleurs, sur le tracé du tramway, on a installé une centaine de caméras supplémentaires. Franchement, on essaie de faire le maximum, nous menons un travail de fourmi en matière de prévention et de sanctions, mais on n’inventera jamais la ville sans incivilités ! » Eric Quénard : « Pas d’angélisme ! L’Etat est garant de la sécurité de ses citoyens. 400 policiers nationaux et 40 policiers municipaux ont chacun leurs missions spécifiques et différentes, mais les bailleurs ont aussi une responsabilité. C’est pourquoi un groupement chargé de la tranquillité collective des quartiers, financé par eux-mêmes, va voir le jour. En cas d’appel, une équipe se déplacera sur place en réponse immédiate. Si besoin, elle contactera la police nationale qui, par convention, interviendra aussitôt ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union111115c
Comité régional de l’Ufolep : L’animation sportive comme formation professionnelle

Les animateurs de loisir sportif ont reçu leur diplôme.
- Agrandir la photo

Le comité régional Ufolep de Champagne-Ardenne, fédération multisports regroupant 12 000 adhérents et près de 400 associations dans la région, développe de nombreux projets en lien avec les associations et acteurs locaux, autour d’une identité forte : le développement du sport pour tous, l’éducation par le sport, la promotion de l’association comme facteur de cohésion sociale et le développement de l’engagement citoyen.

Dans ce cadre, et pour contribuer au déploiement de son projet, le comité régional s’est engagé, en tant que fédération habilitée à la mise en place d’une formation professionnelle nouvelle, intitulée Certificat de qualification professionnelle Animateur de loisir sportif.

Ce diplôme multisports permet l’encadrement dans le respect de la réglementation en vigueur sur la base de trois grandes familles d’activités : activités gymniques d’entretien et d’expression, activités de randonnée de proximité et d’orientation, jeux sportifs et jeux d’opposition.

Il répond notamment à une évolution de contexte qui se caractérise par des besoins nouveaux liés à la pratique sportive (diversité des pratiques), et à des modifications dans les fonctions d’encadrement (professionnalisation, pluri-compétences, saisonnalités…).

Le CQP Animateur de loisir sportif a par conséquent vocation à être accessible aux bénévoles des associations, aux jeunes professionnels s’insérant dans le métier ou aux professionnels aguerris recherchant des compétences complémentaires. Le comité régional Ufolep de Champagne-Ardenne a ainsi proposé en 2011 une première session de cette formation. Composée de 15 stagiaires, aux statuts et motivations variés, elle s’est déroulée à Reims et a alterné les temps de formation théoriques et les temps de pratique sur le terrain.

Afin de clôturer cette première session de formation, une remise des diplômes a été organisée. Cela a permis de faire le point sur la situation de chacun et d’envisager les perspectives professionnelles et associatives.

Considérant la réussite de cette première expérience, le comité régional Ufolep envisage la reconduction, à compter de février 2012, de cette formation professionnelle, qui semble répondre à un besoin dans l’animation sportive.

Renseignements : tél. 03.26.84.37.57. www.ufolep51.org

***********************************

Union111115b
Feux divers

Dimanche vers 23 h 15, une Renault Laguna a été incendiée rue des Savoyards. A la même heure, non loin de là, des journaux ont brûlé dans un immeuble de la place Georges-Braque.

Hier midi, un feu de détritus s’est déclaré dans le garage d’un bâtiment abritant des bureaux, rue Boulard. Cinq personnes ont été évacuées.

Trois autres feux de détritus ont été signalés l’après-midi, le premier à 14 heures rue Jean-XXIII, le deuxième à 15 heures rue Hector-Berlioz, le dernier à 20 heures devant la porte d’un local à vide-ordures de l’allée des Picards.

Toujours hier, vers 15 h 45, l’essieu d’un camion a surchauffé dans la traversée de Fismes, sur la RN31 devant la gare SNCF. Les pompiers locaux l’ont éteint avec le concours d’une équipe de Reims.

Vers 20 h 35, une voiture probablement volée a été incendiée à la sablière de Châlons-sur-Vesle.

***********************************

Union111115a
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT(www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT Champagne-Ardenne 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions des articles 33 3ºal. et 57 à 59 du code des marchés publics.
Cette consultation sera passée en application de l’article 77 du code des marchés publics relatif aux marchés à bons de commande.
3) Objet des marchés : marché d’entretien et de menues réparations des couvertures et terrasses d’habitation.
4) Nombre et consistance des lots :
Le marché est composé de 2 lots.
- Lot n° 1 : succursale Murigny.
- Lot n° 2 : succursale Croix-Rouge - Université.
5) Délai d’exécution :
Le marché prendra effet à compter du 1er février 2012 pour une durée de 1 an. _ Le marché pourra être renouvelé au maximum 3 fois un an. Le terme définitif étant le 31 janvier 2016.
6) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
Le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT Champagne Ardenne, tél : 03.26.48.62.30 ; Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat. fr
7) Demande de renseignements complémentaires :
Des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.62.30 ; Fax : 03.26.48.43.27.
Des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction location proximité de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.43.18 ; Fax : 03.26.48.62.58.
8) Date limite de remise des offres : le 19 décembre 2011 à 17 heures.
9) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 7 novembre 2011.

51AO1871687

***********************************

Union111114d
Une association dévalisée par des cambrioleurs

Les cambrioleurs ont emporté un gros butin en laissant derrière eux quelques dégâts et un important désarroi.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). L’association d’entraide Etoile Croix-du-Sud a été dévalisée par des cambrioleurs ce week-end. Ses responsables ne savent pas s’ils vont pouvoir continuer leurs activités.

« ON croyait finir l’année en beauté mais tout est remis en cause. Je ne sais même pas si on va pouvoir continuer nos activités. »

Gros coup de blues à Etoile Croix-du-Sud, l’association culturelle et socio-éducative de l’avenue Léon-Blum à Reims. Dans la nuit de jeudi à vendredi, ses locaux ont été dévalisés par des cambrioleurs qui ont laissé un important préjudice derrière eux.

Razzia avant le loto

« Ils ont fracturé le rideau métallique de la porte d’entrée », indique le président de l’association, Jean-Michel Gauthier, « puis ils ont réussi à forcer la porte blindée de mon bureau. Ils ont pris des ordinateurs, une photocopieuse, 1 500 € dans la caisse et tous les lots qui devaient servir à notre loto de vendredi soir. Il y avait notamment un téléviseur écran plat, des aspirateurs, six cartons de champagne. Ils ont même embarqué notre frigo. Pour s’enfuir, ils ont utilisé l’issue de secours qui donne à l’arrière du bâtiment. »

Le préjudice reste à finaliser, mais il s’annonce d’ores et déjà élevé. « Rien que les lots, il y en avait pour 2 000 €. Il faut ajouter les 1 500 € de la caiss e, le prix du matériel qui a été volé, la réparation des dégâts plus les 1 800 € de gardiennage que nous avons été obligés de mettre en place durant tout le week-end pour sécuriser les lieux. »

Les enfants pénalisés

Le loto du 11 novembre a dû être annulé, ainsi qu’un concours de belote pour les plus anciens prévu hier après-midi. « C’est malheureux car les bénéfices du loto devaient servir à financer une sortie pour les enfants durant les vacances de Noël, et à reconduire une action auprès des petits malades de l’hôpital américain.

Comme l’an dernier, des enfants de notre association devaient s’y rendre pour leur apporter des cadeaux. Financièrement, ça va être dur de s’en sortir. On verra avec l’assurance mais aussi avec la ville de Reims et l’organisme logeur qui nous versent habituellement des subventions. Ce serait dommage de tout arrêter à cause de quelques imbéciles qui ne pensent qu’à eux. »

Pas facile d’être un associatif dans le quartier. Jean-Michel Gauthier préside également l’association « 2 mains », une structure d’aide au travail et à la réinsertion implantée place Dominique-Ingres. « Elle a été cambriolée la semaine précédente. Ils ont pris les ordinateurs, un peu de liquide mais en plus, là-bas, ils ont tout retourné et tout cassé. »

F.C.

***********************************

Union111114c
Ne pas rater le forum bancaire de l’Onisep !

 

REIMS (Marne). L’Onisep organise un forum des métiers de la banque mercredi à la fac Croix-Rouge. 200 postes à la clé.

LES banques régionales (sauf faillites dues aux dettes européennes !) ont prévu de recruter au moins 200 personnes en 2012. Pour ne pas rater le coche, un rendez-vous s’impose, mercredi prochain, sur le campus Croix-Rouge. L’Onisep organise un forum des métiers de la banque. Une journée complète, de 9 h 30 à 16 heures, pour découvrir les jobs bancaires et surtout pour nouer contact avec les responsables de ressources humaines des différentes enseignes financières.

La matinée sera consacrée à une série de tables rondes autour des métiers des forces de vente, du management et autres fonctions transversales. A partir de midi, les futurs apprentis traders verront d’encore plus près les fonctions qui les attendent en autour de différents stands professionnels. Conseiller d’accueil, conseiller de clientèle, gestionnaire de patrimoine, responsable d’agence, juriste, contrôleur de gestion… il y en aura pour toutes les vocations. Sachant que la banque recrute principalement des profils bac + 2 et bac + 3.

En plus des étudiants venus prospecter, des lycéens de toute l’académie sont attendus sur le forum. Certains repartiront peut-être avec de nouveaux projets d’avenir.

C.F.

 

Pour en savoir plus sur les filières bancaires, aller sur le site monorientationenligne.fr

***********************************

Union111114b
REIMS / Tel est pris qui croyait prendre : Elle rattrape ses deux voleuses à l’arraché

Deux voleuses ont trouvé à qui parler, samedi soir à Reims. Agées de 17 ans, elles ont arraché le sac à main et le téléphone portable d’une passante… qui s’est lancée à leurs trousses !

Cette réaction n’était pas prévue au programme. Ne parvenant pas à la distancer, les voleuses ont tenté de se réfugier dans un hall d’immeuble de la place Maurice-Utrillo.

Mal leur en a pris car deux témoins - des femmes également - ont aidé la victime à les retenir dans le hall, le temps que la police arrive. Ce ne fut pas du tout repos car l’une des personnes a été légèrement blessée d’un coup de poing au visage.

Finalement, seule l’intervention de la brigade anticriminalité a permis de « libérer » les malfaisantes.

Placées en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour « violences » et « vol avec violence », elles seront présentées aujourd’hui au parquet de Reims.

***********************************

Union111114a
Voitures brûlées

Hier vers 8 h 30, la lueur d’un incendie a percé le brouillard qui recouvrait la place Dominique-Ingres.

Elle provenait de deux véhicules en feu (l’un touché par propagation). Une troisième voiture a subi des dommages moins importants.

La veille vers 22 heures, un feu de poubelle s’est déclaré allée Jean-Sébastien-Bach.

Une autre a brûlé hier à 10 h 30 rue de Rilly-la-Montagne.

***********************************

Union111114aa
Reims : poubelles et voiture en feu

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus à deux reprises cette nuit dans le quartier Croix-Rouge.

A 23 h 10, un feu de poubelles leur a été signalé place Georges Braque puis dix minutes plus tard, c’est une voiture totalement embrasée sur un parking de l’allée des Tourangeaux qui a exigé leur présence.

***********************************

Union111113a
REIMS / Détention de drogue : De l’héroïne dans la chaussette

Vendredi après-midi, vers 16 h 30, les policiers ont contrôlé un passant de 39 ans dont le comportement leur a paru suspect allée Edgar-Degas.

La fouille a permis de découvrir une très petite quantité d’héroïne (0,2 gramme) dissimulé dans l’une de ses chaussettes. Il a prétendu l’avoir trouvée par terre et la gardait au chaud dans l’attente d’une éventuelle revente ou consommation.

En revanche, il n’a pas contesté être le propriétaire d’un morceau de résine de cannabis découvert dans ses poches.

La drogue a été saisie, l’homme remis en liberté avec une ordonnance pénale (amende à payer).

***********************************

Union111112b
Le point sur le chauffage urbain

La chaufferie Croix-Rouge sera mise en service courant 2012.
- Agrandir la photo

 

Inquiets de voir leurs loyers exploser, les riverains du quartier Murigny ont sollicité le premier adjoint Éric Quénard quant à leurs futurs prélèvements. Ce dernier s’est montré rassurant en précisant les efforts qu’avaient déjà consentis la Ville et l’agglomération pour ne pas voir exploser les charges locatives.

« La chaufferie Croix-Rouge, qui alimente une bonne partie des immeubles de la zone de Murigny, est alimentée par quatre énergies différentes : le charbon, le fioul, le gaz, ainsi que par l’usine d’incinération. Cet apport multiple permet d’aller chercher la denrée la moins chère au fur et à mesure de l’évolution des cours. Lors de l’hiver dernier, un dysfonctionnement avait eu lieu au sein du système d’alimentation. Aussi, la Ville et l’agglo avaient versé 400 000 euros aux différents locataires ainsi qu’aux organismes logeurs. » Avant de continuer en misant sur la future chaufferie à bois.

« Cette chaufferie à bois, ce sont quinze emplois non délocalisables. Par ailleurs, cette unité produira avec 50 % d’énergies renouvelables. En parallèle, la TVA sur ces matières passera à 5,5 % (c’est une matière première) et non plus à 19,6 % comme elle l’est aujourd’hui. Que les habitants se rassurent aussi sur les émissions de fumée, puisque nous allons plus loin que les normes européennes en nous alignant sur des règles scandinaves. Nos émissions dans l’atmosphère seront donc scrupuleusement contrôlées. »

Th.D.

 

***********************************

Union111112a
Deux mineurs jouent les incendiaires

A jouer avec le feu, on finit toujours par se brûler. C’est la leçon que retiendront, peut-être, deux mineurs âgés de 14 et 15 ans qui ont incendié partiellement un véhicule Ford Fiesta au cours de la nuit de jeudi à vendredi, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. Car bien mal leur en a pris : ils n’ont en effet pas tardé à être interpellés par les policiers alors qu’aux alentours de 2 heures du matin, ils quittaient en courant le lieu de leur forfait, rue de Rilly-la-Montagne.

A l’issue de plusieurs heures de garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police, tous deux ont été déférés hier, en fin d’après-midi, au parquet de Reims, dans le cadre d’une présentation immédiate.

En attendant leur jugement devant le tribunal des enfants, le 7 décembre prochain, le juge des enfants a finalement ordonné leur placement au sein d’un foyer dans le cadre d’un contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet. L’un dans la Marne, l’autre dans les Ardennes.

F.B.

***********************************

Union111111a
Roller hockey / Elite « Rester à l’affût »

Cyril Basset croit aux chances rémoises face à Villeneuve.
- Agrandir la photo

Les Rapaces vont tenter d’enchaîner. Après avoir ramené d’Amiens leurs trois premiers points, les joueurs de Johny Guinaudeau reçoivent un autre poids lourd du championnat, Villeneuve-la-Garenne. Et, si le combat semble à nouveau déséquilibré, les Rémois savent qu’à domicile ils ont une carte à jouer. Mais, pour cela, il faudra rester « à l’affût » comme le souligne le jeune arrière Cyril Basset.

Cyril, comment se passe la découverte de l’Elite ?
« Bien. Il y a une grosse différence de niveau avec la N1, dans le rythme, la technique ou le patinage. On s’y adapte petit à petit, c’est vraiment intéressant. Le niveau est homogène, ce qui garantit des matches disputés chaque week-end. »

Cette victoire à Amiens modifie-t-elle les choses pour Reims ?
« Disons que ça nous conforte dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie. Ça fait aussi du bien moralement. Mais ça ne reste qu’un match parmi d’autres. Et Amiens n’était pas au top non plus. Il faut qu’on prouve dans la durée que nous pouvons reproduire ce genre de performance. »

Comment abordez-vous le match de demain ?
« J’ai un peu peur que nous soyons moins concentrés après notre première victoire. Mais, si nous restons à l’affût, appliqués comme la semaine passée, nous pouvons vraiment les gêner, surtout chez nous. En tout cas, je m’attends à un match serré et intéressant. »

DEMAIN, 20 HEURES, GYMNASE FRANÇOIS LEGROS REIMS  : Garcia-Prieto, Ayika, French, Beaudouin-Page, Bretéché, Basset, Duplant, Delabre, Lhoste, Rhodes, Naud, Tran, Rogé, V. et A. Capitaine.
7e JOURNÉE. — Demain, 20 heures : Paris XIII —Angers ; REIMS - Villeneuve ; Rethel — Amiens ; 20 h 30 : Nice — Caen ; Anglet - Grenoble.

***********************************

111110e- VRI novembre 2011

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°283 de novembre 2011

……….

Marché Croix du Sud : changement de lieu et de jour

Le marché Croix du Sud qui se tenait avenue Bonaparte est déplacé sur le parking de l’avenue Léon Blum les mardis matin depuis le 18 octobre 2011. Ainsi, tous les mardis de 5 h à 13 h, le stationnement sera neutralisé sur une partie du parking, des 2 côtés de l’allée à proximité de l’entrée de l’école. Merci de veiller à garer votre véhicule sur les places où le stationnement reste autorisé.


……….

Antenne mobile

La permanence de l’antenne mobile municipale (le mardi de 9 h à 11h30) place Sainte-Claire sera annulée et remplacée par une permanence au marché Croix-du-Sud le mardi 15 novembre de 9 h à 11h30. L’antenne mobile assurera une permanence, le lundi, de 9 h à 11h30 place St-Thomas.

De ce fait, la permanence à l’intersection des rues du Ruisselet et des Capucins sera reportée au mercredi de 9 h à 11h30.


……….

Noël au cœur des quartiers

Partageons tous ensemble, dans de nombreux quartiers rémois, un programme d’animations riche et varié organisé par la Ville de Reims, les associations de commerçants et les Maisons de quartier.

• Quartier Croix-Rouge

Centre Commercial de l’Hippodrome, samedi 3 décembre de 10 h à 19 h : concours de dessins, stand de maquillage, vente de spécialités et de produits de l’artisanat, fanfare “Les boules de feu”, présence de St Nicolas dans sa calèche.

Secteur Croix-du-Sud, samedi 10 décembre : animation musicale et distribution de friandises dans le quartier, mercredi 14 décembre : après-midi récréative avec le Père Noël et goûter dans les Maisons d’accueil de loisirs du quartier.

….


……….

Colloque, jeunes spectateurs, slam, concours d’affiches

« En dehors des sept scènes du festival, le focus Suède projet a généré de nombreux croisements et entraîné l’adhésion de nombreux partenaires. Simon Häggblom et Karin Lind les deux plasticiens du groupe SIMKA ont participé à la semaine folle de L’ESAD et travaillé avec les étudiants sur les installations qui jalonnent la déambulation du 1er décembre. Avec la Compagnie Unga Klara ils ont aussi participé aux résidences d’artistes de la Friche artistique de la Ville de Reims précise Anne Goalard. « Le public sera au coeur du festival. Le groupe Kompost (Berlin) va s’installer pendant la durée du festival. Ils s’occuperont du public. Quant aux Young Performing Arts Lovers qui forment un réseau de jeunes spectateurs européens, ils ont un très gros projet cette année. Ils seront aux manettes. Le grand débat ("Penser le spectacle vivant avec le spectateur européen", Manège le 3 décembre) sera initié par eux. Ils seront présents quatre jours pour changer le monde à partir du spectacle vivant. Stéphanie Aubin leur a confié les clés du Manège. » L’association Slam Tribu participera au festival avec Reims Slam d’Europe les 7 et 8 décembre à l’Atelier de la Comédie et à la Médiathèque Croix-Rouge. Cette année, la création s’affiche également dans le festival avec Dixplay, 3e concours de création d’affiches qui a invité pour la circonstance Ekta, jeune graphiste et illustrateur suédois.

A. C.


……….

BD : Voyage Intergalactique

 

Le convoi Sillage fait une halte à Reims avant de reprendre son chemin. Embarquez à bord des biblionefs pour un voyage à travers les quatorze aventures de Nävis, agent galactique et dernière représentante de l’espèce humaine. Profitez-en pour explorer la constellation Wolverine, pour aborder les côtes du Japon ou encore découvrir que les Russes sont les premiers à avoir posé le pied sur la lune ! Philippe Buchet au crayon et Jean-David Morvan au texte nous donnent à voir des mondes que seul l’imaginaire perçoit.

> 15 novembre au 14 janvier, Sillage Explorer. Un voyage dans les galaxies de Buchet et Morvan, expositions d’originaux de bandes dessinées.

Médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge, Laon-Zola et Planétarium. www.bm-reims.fr

 


……….

15 novembre au 14 janvier : Sillage Explorer

Voyage dans les galaxies bd de Buchet et Morvan. Médiathèque Jean Falala, Croix-Rouge, Laon- Zola et Planétarium (place Museux).


……….

QUARTIER CROIX-ROUGE HAUTS DE MURIGNY

Découvrez les activités de la Maison de quartier La Maison de quartier Croix-Rouge propose de nombreuses activités pour tous les âges. Accueil de loisirs pour 3 à 5 ans ou les 6-12 ans, activités musicales, ateliers de peinture ou encore de cuisine… De nombreuses activités près de chez vous.

Pour plus de renseignements contactez le 0326080878.


……….

Venez échanger, débattre, partager sur votre quartier et Reims aujourd’hui et demain

Croix-Rouge/Hauts de Murigny

Jeudi 10 novembre, 19 h, salle municipale François Mauriac


……….

COHÉSION SOCIALE : Les projets CUCS reconduits jusqu’en 2014

 

En 2011, 121 projets, financés par la Ville et l’Etat, ont permis de renforcer la cohésion sociale et d’accompagner les opérations de Renouvellement urbain dans les quartiers Epinettes, Orgeval, Croix-Rouge et Wilson.

 


……….

BUDGET 2012 : Objectifs : stabiliser la dette et renforcer l’attractivité de la Ville

 

9,6 millions d’euros seront consacrés par la Ville aux opérations de renouvellement urbain dans les quartiers Croix-Rouge, Orgeval, Wilson et Epinettes.

 


……….

Rénovation urbaine : Les nouveaux atouts des Epinettes et d’Orgeval

Marie-France, 1ère locataire à Gallieni
- Agrandir la photo

 

« Nous avons été les premiers à nous installer dans les nouveaux pavillons de l’îlot Gallieni. Auparavant nous vivions dans le quartier Croix Rouge. Reims Habitat nous a proposé ce relogement à Orgeval parce que notre immeuble du 49 Eisenhower allait être démoli. Nous sommes passés d’un appartement à une maison Type 5, avec un garage, une terrasse et un jardin où nous avons fait un petit potager. Plusieurs de nos voisins sont des familles qui viennent du même immeuble que nous. Au bout du compte, je préfère être ici, on est bien, c’est plus reposant. Pour ma fille qui avait presque une heure de transport pour aller au lycée Gustave Eiffel, c’est beaucoup plus simple maintenant. »

 

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 235 - 111110d
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 235 - Semaine du 10 au 16 novembre 2011

----------

Conseil de quartier - Charles Arnould/Clairmarais : Une première rencontre en douceur

Dans l’assistance, le nouveau directeur de Transdev Reims, Pascal Lemaître (au premier plan)
- Agrandir la photo
Présence de la maire oblige, la salle municipale de St Thierry était comble.
- Agrandir la photo
Tandis que les conseillers de quartier prennent des notes, les élus répondent aux questions des habitants.
- Agrandir la photo

Vendredi dernier, Adeline Hazan débutait sa tournée annuelle des conseils de quartier. L’occasion pour les habitants de Charles Arnould/Clairmarais d’interpeller directement l’élue sur les sujets qui fâchent.

A la salle de St Thierry, la maire n’était pas venue seule mais avait pris soin d’amener avec elle pas moins d’une dizaine de ses adjoints. Un moyen pour les riverains de s’adresser directement à l’élu concerné pour les sujets précis qu’ils souhaitent aborder. Mais tandis que l’on attendait une déferlante de reproches sur l’équipe municipale, force est de constater que les débats sont finalement restés plus que timorés.

Pas d’interpellations directes, point de grosses réprimandes sur la politique de la Ville, les questions des habitants se sont finalement concentrées autour des thématiques récurrentes dans le conseil de ce quartier. A commencer évidemment par l’insistante plainte contre le manque de stationnement à Clairmarais, principalement autour de la rue de Courcelles. Après moult palabres dans le public, un habitant choisit d’interpeller la maire quant au stationnement bientôt payant place des Romains. Directement concerné, c’est le premier adjoint, Eric Quénard, qui préfère jouer franc jeu : « Je n’ai jamais dit que le parking serait gratuit. Nous souhaitons surtout de la fluidité, mais le vrai problème, ce sont ces voitures ventouses qui restent plusieurs jours à la même place. J’entends bien les plaintes qui nous remontent, mais vous devez comprendre que l’on ne peut pas tout faire tout de suite. Nous devons hiérarchiser les priorités. »

Une réponse qui a pour effet de calmer les légères véhémences des riverains présents, sans enrayer pour autant celles concernant l’autre gros sujet de la soirée : l’état des rues, et spécifiquement le problème des déjections canines. « On ne peut plus mettre un pied devant l’autre, rue du Mont d’Arène » avance une retraitée, domiciliée dans la rue. En réponse, Adeline Hazan elle-même rappellera que la Ville « consacre chaque année près d’un million d’euros à la propreté des rues, et a même instauré, depuis le début de la mandature, un volet sanction pour les propriétaires canins négligeants ». « Là aussi il faut comprendre que la Ville ne peut pas intervenir tout le temps, il en va surtout de la responsabilisation de chacun. »

S’ensuivra enfin une critique de la politique culturelle actuelle à Reims, « pas assez décentralisée », aux yeux d’une habitante. Sur ce point, l’adjoint Serge Pugeault, chargé de la Culture, précise « que pour ouvrir de nouveaux lieux, il faut de l’argent, et aujourd’hui un euro payé pour un nouvel équipement, c’est un euro prélevé chez les contribuables. Il faut déjà se concentrer sur les opérations menées par les Maisons de quartiers, pour lesquelles nous consacrons pas moins de 3,5 millions tous les ans ».

De redondants sujets et un débat qui n’avance guère, cette première rencontre entre la maire et ses administrés n’a pas été des plus productives. Espérons que les prochaines séances, notamment ce jeudi 10 à Croix-Rouge, lundi 14 au Chemin Vert-Clémenceau-Europe et jeudi 17 aux Châtillons aborderont davantage de thématiques de fond…

Aymeric Henniaux


----------

Roller Hockey Elite : les Rapaces veulent surprendre

Forts de leur victoire acquise le week-end dernier, la première de la saison, en déplacement face à Amiens, les Rapaces ont enfin retrouvé le sourire. Cependant, l’équipe rémoise pointe toujours à la dernière place du classement.

Ce samedi 12 novembre, le Roller Hockey Reims aura une belle occasion de doubler son capital succès lors de la venue de Villeneuve-la-Garenne, une équipe de seconde partie de tableau.

Reims - Villeneuve-la-Garenne, samedi 12 novembre à 20h au gymnase François Legros.

Entrée libre

***********************************

Union111110c
Nuit de cristal / Tout le monde a laissé les juifs se faire massacrer

Hier soir, trois élèves de François-Legros ont participé à la commémoration en lisant des poèmes d’enfants déportés.
- Agrandir la photo

 

 

Les nazis l’ont appelée « Nuit de cristal » à cause de toute la vaisselle qui a été cassée cette nuit-là. Ainsi, ils faisaient cyniquement référence aux vitrines et à la vaisselle cassées de tous les juifs qu’ils ont réussi à violer, frapper, insulter, humilier et tuer en une seule nuit. C’était la nuit du 9 au 10 novembre 1938, dans tout le reich allemand. Les monstres étaient fiers d’avoir pu saccager une centaine de synagogues rien qu’en une nuit. Fiers aussi d’avoir mis à sac et pillé des milliers de magasins en si peu de temps. Tellement satisfaits d’avoir terrorisé les juifs qu’ils étaient déjà décidés à les exterminer jusqu’au dernier. Cette opération planifiée, savamment orchestrée et déclenchée au premier prétexte, en l’occurrence l’assassinat d’un conseiller d’ambassade, montre que la Shoah qui a suivi était déjà en préparation.

A cette époque, les nazis n’avaient pas encore construit les chambres à gaz. Ils misaient encore sur une émigration massive des juifs. Seulement, même après cette sombre nuit, les autres pays n’ont pas ouvert leurs frontières. Ni la France, ni les autres. L’Angleterre a même décidé de limiter fortement l’entrée en Palestine où pourtant les juifs étaient censés construire leur foyer national. Tous, sans exception, les ont laissés aux mains meurtrières des nazis.

Hier en fin d’après-midi, au square des victimes de la Gestapo rue Jeanne-d’Arc, a eu lieu la traditionnelle commémoration de cette sombre nuit. Pour l’occasion, trois élèves du collège François-Legros ont lu des poèmes d’enfants déportés dont deux sont morts gazés à Auschwitz.

Une commémoration pour oser croire que si la même chose se reproduisait demain, la réaction des pays dits civilisés serait immédiate, unanime et sans appel à l’égard des bourreaux. Où que cela se passe dans le monde et quel que soit le profil de ces éventuels nouveaux nazis. Mieux vaut y croire.

Catherine FREY

 

 

***********************************

Union111110b
À l’espace Billard : Loto des randonneurs d’Escapades

À l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge, le groupe Escapades se lance dans la saison 2011-2012, avec déjà sa première manifestation, la deuxième édition du Loto des randonneurs, demain vendredi 11 novembre à 15 heures.

« Nous espérons qu’elle rencontrera le même succès que la précédente, en réunissant les habitants du quartier dans la convivialité et surtout la bonne humeur », précise Sylvie Brin, animatrice du groupe.

L’entrée est gratuite. Un carton, 3 euros ; trois cartons, 8 euros.

Pochettes surprises. Nombreux lots. Boissons, café, sandwiches, gâteaux et crêpes maison.

Espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tramway A ou B, bus ligne 13 : arrêts Campus ou Kennedy.

***********************************

Union111110a
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT(www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT Champagne-Ardenne 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions des articles 33 3ºal. et 57 à 59 du code des marchés publics.
Cette consultation sera passée en application de l’article 77 du code des marchés publics relatif aux marchés à bons de commande.
3) Objet des marchés : marché d’entretien et de menues réparations des couvertures et terrasses d’habitation.
4) Nombre et consistance des lots :
Le marché est composé de 2 lots.
- Lot n° 1 : succursale Murigny.
- Lot n° 2 : succursale Croix-Rouge - Université.
5) Délai d’exécution :
Le marché prendra effet à compter du 1er février 2012 pour une durée de 1 an. _ Le marché pourra être renouvelé au maximum 3 fois un an. Le terme définitif étant le 31 janvier 2016.
6) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
Le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT Champagne Ardenne, tél : 03.26.48.62.30 ; Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat. fr
7) Demande de renseignements complémentaires :
Des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.62.30 ; Fax : 03.26.48.43.27.
Des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction location proximité de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.43.18 ; Fax : 03.26.48.62.58.
8) Date limite de remise des offres : le 19 décembre 2011 à 17 heures.
9) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 7 novembre 2011.

51AO1871687

***********************************

Union111109b
Le conseil municipal des jeunes en fin de campagne

La tension monte entre les candidats. Chacun peaufine son programme.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Le premier conseil municipal des jeunes de l’histoire de Reims sera investi le 15 décembre. Pour l’instant, les candidats mènent campagne.

JOURNÉE électorale demain au collège Maryse-Bastié. Tous les élèves de 5e et 4e vont élire leurs représentants au conseil municipal des jeunes. La tension monte entre les candidats. Chacun peaufine son programme. Le staff de campagne composé des animatrices Dorothée Boudot, Agathe Lesueur et du CPE Sébastien Fergeau, met la dernière touche à l’organisation. Les affiches et les urnes sont prêtes pour un enjeu de taille. Les jeunes élus se réuniront à l’hôtel de ville trois fois par an en assemblée plénière. Pour l’occasion, ils iront s’asseoir sur les sièges des élus moins jeunes et présenteront leurs propositions. Ils y retrouveront les autres conseillers des collèges et écoles primaires sélectionnés* pour participer au CMJ. En tout, ils seront 40 à siéger.

Les collégiens auront préparé, en amont, leurs projets lors de commissions par thème. Ceux qui n’auraient pas été élus pourront donner un coup de main aux conseillers en participant, après ou avant les cours, à des clubs citoyens dans leur collège respectif. Ou bien à des ateliers dans les écoles.

Le calendrier des politiciens en herbe va se précipiter. Les premières réunions en commissions sont fixées au 23 novembre et au 6 décembre. Jeudi 15 décembre aura lieu l’installation officielle du conseil en présence d’Adeline Hazan. Les travaux se poursuivront en janvier. Ni fausses promesses, ni coups tordus, ni rigueur budgétaire, le conseil municipal des jeunes entend bien marquer sa différence avec celui de ses aînés.

C.F.

*Les collèges sélectionnés : Colbert, François-Legros, Maryse-Bastié, Trois-Fontaines, Université.

*Les écoles : Blanche-Cavarrot, Galliéni, Jard, Maison-Blanche et Turenne.

***********************************

Union111109a
Haltérophilie : Une section remise en forme créée au RHM

L’intérêt des cours dispensés est de pouvoir travailler sa souplesse, sa coordination…
- Agrandir la photo

 

Le Reims haltérophilie musculation innove en créant une section remise en forme. Destinée essentiellement au public féminin, cette dernière va permettre au club de gagner en adhérentes.

« Nous proposons à cet égard trois types de cours : le premier est axé sur le renforcement musculaire ; le deuxième sur le cardio-vasculaire (aérobie) ; et le troisième, c’est un peu le mixte des deux premiers. Ces trois leçons serviront à travailler sa souplesse, sa coordination, à gagner en force », explique Romain Dijoux, entraîneur.

Le RHM espère attirer les femmes des quartiers Croix-Rouge et Maison Blanche qui sont sans activité physique.

« En général, les femmes apprécient ces séances qui se déroulent avec de la musique, et de manière ludique. Et pour certaines, c’est l’occasion de se retrouver entre copines », argue Romain Dijoux.

Signalons qu’au niveau du nombre d’élèves, aucune limite n’est fixée.

 

***********************************

Union111107f
Bennes à encombrants

En plus des déchetteries, les usagers peuvent se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues suivantes d’après ce planning :

- lundi 7 novembre : rue de Tinqueux/rue Edouard-Redont - rue François-Dor/rue de Pargny rue Léon-Mathieu/avenue d’Epernay (en pointe) - avenue François Mauriac/rue François-Dor - rue de Salzbourg (en bout du rond-point) - rue Alexandre-Dumas/rue Bernanos.

***********************************

Union111107e
Reims : altercation au fast-food

Samedi vers 14 h 30, une altercation a dégénéré au fast-food de l’avenue Bonaparte à Reims. Pour une raison qui reste à déterminer, deux femmes se sont disputées avant que l’une d’elles ne soit giflée et poussée par l’ami de son adversaire, a-t-elle expliqué aux services de police.

Se plaignant de douleurs à la nuque, la victime âgée de 43 ans a été conduite au CHU par les pompiers.

***********************************

Union111107d
Reims : un Orni incendié

Samedi vers 23 h 30, les pompiers ont été appelés pour un incendie au quartier Wilson à Reims, rue Hector-Berlioz.

Le feu ravageait un véhicule, ou plus précisément un objet roulant non identifié car il n’a même pas été possible d’en déterminer la marque. Le propriétaire reste lui aussi inconnu car aucune des deux plaques n’a été retrouvée.

Plus tôt dans la soirée, vers 17 h 30, un feu de détritus s’est déclaré dans un local désaffecté de la rue Ledru-Rollin tandis qu’à 21 h 45, les pompiers ont éteint un feu de local à vide-ordures avenue Bonaparte, au n°11.

***********************************

Union111107c
Reims : précision à Croix-du-Sud

Dans notre édition rémoise du 28 octobre, nous faisions état de l’insécurité dans le quartier Croix-du-Sud, plus précisément place Georges Braque.

Nous avions recueilli de nombreux témoignages pour étayer ce sujet. En particulier, celui d’un habitant qui nous avait guidés à travers le quartier.

Pour préserver son anonymat, nous avions choisi d’employer le prénom « Nasser » pour le préserver de toutes représailles. Toute homonymie est donc involontaire de notre part.

***********************************

Union111107b
Etoile Croix-du-Sud

Voici les dates des prochains concours organisés par l’association Étoile Croix-du-Sud, au 5, avenue Léon-Blum.

Loto : la soirée loto se déroulera le vendredi 11 novembre au siège, dans la grande salle (réservation jusqu’au 10 novembre à 16 heures). Ouverture des portes à 19 h 30, début des jeux à 20 h 30 (tarifs cartons : 1 carton, 2 euros ; 3 cartons, 5 euros ; 10 cartons, 15 euros). Restauration et buvette sur place (nombre de places limité).

Belote : quant aux concours de belote, ils sont programmés les dimanches 13 novembre et 11 décembre. Inscriptions à 13 h 30, début des jeux à 14 heures (16 euros par équipe) Lots pour tous. Restauration et buvette sur place.

Horaires, tarifs, inscriptions et renseignements par téléphone au secrétariat de l’association au 03.26.06.56.66.

***********************************

Union111107a
RMS : La vision du sociologue Alain Touraine

Le sociologue Alain Touraine, pour mieux analyser la crise actuelle.
- Agrandir la photo

Penseur majeur des mouvements sociaux depuis plus de 50 ans, Alain Touraine, sociologue mondialement écouté, a accepté de façon tout à fait exceptionnelle l’invitation de Gérard Lemarié, philosophe : il ouvrira le colloque sur « la Société » qui se déroulera les 8 et 9 novembre dans le grand amphithéâtre de Reims Management School.

La vision actuelle de Alain Touraine, pour résister au « déferlement financier » est claire : soit on accepte la disparition totale du social, soit on résiste avec des forces non sociales comme l’individu et l’écologie.

« Le moment est venu de renverser notre manière de sentir et de penser. Quand s’écroule l’espace social, quand grandit devant nous l’image d’une catastrophe, il faut faire appel au sujet, c’est la seule solution » explique Gérard Lemarié.

Programme du colloque

- Mardi 8 novembre
A 20 h 30, Alain Touraine, « L’idée de société doit-elle disparaître ? ».
- Mercredi 9 novembre
A 10 h 30, Olivier Gergaud, « L’argent fait-il réellement notre bonheur ? »
A 11 heures, R. Beaujolin-Bellet : « L’entreprise, une affaire de société ? »
A 14 h 30, R.E. Dagorn : « Guerre et paix dans le village planétaire. »
A 15 h 30, Gérard Lemarié : « Y-aura-t-il du travail pour tout le monde ? »
A 16 h 30, E. Riot : « Stratégie et société »
A 20 h 30, Michel Maffesoli : « Société et communautés ».

Pour les deux rencontres du soir, réservations sur internet www.passerelles.net ou téléphone au 03.26.77.46.41.

***********************************

Union111106b
Reims : les voitures brûlent

Trois voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de vendredi à samedi. La première est une Renault Laguna partie en fumée vers 23 h 15 rue du Docteur-Billard, la deuxième une jaguar de société incendiée à 2 heures sur le parvis de l’église Saint-Bruno, avenue Bonaparte.

Les pompiers sont ensuite intervenus place des Mouettes, à 5 h 15, pour éteindre la carcasse enflammée d’un Renault Scénic immatriculé dans le Val-d’Oise (95).

Vendredi à 19 h 45, un « feu de voiture » fut également rapporté sur la RN31 à Muizon mais il s’agissait en fait d’un moteur en surchauffe.

A la même heure, un feu de matelas s’est déclaré dans une cave de la rue Gosset à Reims, au n°90.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, c’est un cyclomoteur qui a brûlé rue de Rilly-la-Montagne. Vendredi matin, une odeur de brûlé s’est répandue autour de la bibliothèque Carnégie, à deux pas du chevet de la cathédrale. Après une reconnaissance complète, aucune intervention n’a été nécessaire.

***********************************

Union111106a
Reims : ils frappent des femmes

Triste journée que celle du 1er novembre. Au cours de cette seule journée, deux Rémoises ont subi des brimades et des coups de la part de leur compagnon ou de leur ex.

A 18 h 15, place Utrillo, une femme a eu la tête projetée contre un mur par son ex-compagnon. Elle a également pris « une très forte claque ». Présenté devant le tribunal en procédure de comparution immé-diate, l’homme a été condamné à un an de prison dont huit mois assortis d’un sursis.

Une heure plus tard, rue Chanzy, une violente dispute a éclaté entre deux concubins. La femme a reçu deux coups de poing au visage quand son agresseur ne reconnaissait « qu’une gifle et un coup de pied » lors de sa garde à vue.

Jugé également en comparution immédiate, et déjà condamné pour de tels faits, Rudy Gour a écopé de 15 mois de prison dont 9 avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve de deux années.

***********************************

Union111104d
Quartier Croix-Rouge : D’importants travaux sur Pays-de-France

Les pignons de l’ancienne passerelle seront détruits à leur tour.
- Agrandir la photo

 

Des travaux sont prévus sur l’emprise de l’avenue Bonaparte - Côté Béarnais.

Le démarrage des travaux est programmé à partir de novembre 2011 jusque juin 2013.

Dans le cadre du programme de rénovation urbaine, le Foyer rémois va procéder à d’importants travaux sur Pays-de-France : démolition des pignons de l’ancienne passerelle, réhabilitation d’immeubles et création de logements et de cellules commerciales le long de l’avenue Bonaparte.

Ces travaux nécessiteront la mise en place de déviations piétonne (à partir de novembre 2011) et automobile (à partir de janvier 2012) sur l’avenue Bonaparte entre la rue François-Arago et l’allée des Provençaux, côté Béarnais.

Les accès aux logements seront maintenus par le Foyer rémois.

 

***********************************

Union111104c
Conseil de quartier avec Adeline Hazan jeudi prochain : Nouvel appel à candidatures

Comme ici en 2010, la présence des élus pourrait provoquer la présence de nombreux habitants.
- Agrandir la photo

Jeudi prochain 10 novembre, le conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny, se réunira salle municipale Croix-Rouge, 4 avenue François-Mauriac, en séance plénière en présence de la maire de Reims et de l’équipe municipale, à 19 heures.

A cette occasion, Adeline Hazan soulignera l’importance du renouvellement en cours du collège des habitants et du collège des associations : « Toucher de nouvelles personnes, diffuser l’idée que chacun peut et doit agir pour l’intérêt général et le bien vivre ensemble, ce nouvel appel à candidature est essentiel pour la démocratie locale », selon l’élue.

A noter que le nombre de représentants de moins de 25 ans est augmenté.

Un livre et un cahier

Comment candidater ? Le plus simple est de déposer sa demande avant le vendredi 9 décembre à l’antenne municipale Croix-Rouge (1, rue Joliot-Curie) ou dans les boîtes aux lettres « Conseil de quartier » réparties à l’espace Billard, à l’espace Watteau ou encore au Bistroquet.

Le livre intitulé « Reims 2020 - Le choix des proximités », et le « cahier Reims 2020 du quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny » seront diffusés lors de cette séance plénière. Les conseils de quartier sont destinés à permettre aux élus de la ville de Reims de recueillir un avis éclairé sur des projets portés par la ville de la part d’habitants initiés régulièrement sur les compétences de la collectivité, ses services, et également de recueillir des propositions de projets.

Ordre du jour : après le rapport moral et le rapport d’activité sur les trois années écoulées de fonctionnement du conseil de quartier, Adeline Hazan interviendra pour dresser un bilan et les perspectives spécifiques au quartier. Puis diverses questions seront posées par le conseil de quartier aux élu(e)s et enfin, un échange s’établira entre le conseil de quartier et les élu(e)s et ensuite avec le public présent.

***********************************

Union111104b
Tennis (Open de Vitry-le-François) / Veni, Védy, vici ?

La n° 20 française, finaliste du Master rémois en 2010, sera la tête de série n° 1 d’un tableau très dense. Verdict dimanche matin….
- Agrandir la photo

Jusqu’au dernier moment, Michel Lagneaux a pensé pouvoir ajouter une tête de série à l’Open de Vitry-le-François. Engagée au GDF Suez de Nantes, Séverine Beltrame (n° 13 française) a perdu au 2e tour, hier en milieu d’après-midi, malheureusement trop tard pour qu’elle puisse être intégrée dans le tableau final.

Retour sur le circuit ITF

Le plateau n’en reste pas moins attractif et plein d’incertitudes avec des têtes de série comme la championne de France 2e série et désormais n° 20 française, Aurélie Védy (n° 1), la Croate Ivana Lisjak (n° 2), top 100 en 2006 et vue aux 3es tours de Roland-Garros (2006) et de l’US Open (2005), la tenante du titre à Vitry, Yulia Fedossova (n°3), lauréate du Circuit national des Grands Tournois 2011 et n° 23 française, et l’Ukrainienne Elina Vitolina (n°4).

Cette dernière, seulement 17 ans, a remporté le Roland-Garros juniors en 2010. Sa performance sera donc suivie avec intérêt.

La suite du tableau est aussi dense avec quatre autres têtes de série : la jeune (21 ans) Russe Yuliya Kalabina (n° 5), assimilée n° 29, la Belge Valérie Verhamme (n° 6), assimilée n° 35, Violette Huck (n°7) et Stéphanie Vongsouthi (n° 8, - 30) qui s’est déjà imposée à Vitry (en 2008).

Après Reims (finale perdue devant Elena Bovina) et Bucy-le-Long en 2009, Vitry-le-François va découvrir le tennis tout en tonicité et en engagement d’Aurélie Védy qui, de son côté, a « hâte de goûter à l’ambiance » de cet Open : « Yulia Fedossova m’en a dit du bien ».

Pas de 8es pour Marie et Charline

« Je me sens en super forme physique ». Son sacre sur l’ocre de Roland-Garros a comme boosté la trentenaire qui, en 2012, compte bien se relancer sur le circuit ITF, en simple et en double où elle est une partenaire recherchée (*) : « D’ici là, je vais disputer deux 10.000 dollars : le premier en France (Equeurdreville), le second à l’étranger ».

Les deux régionales de l’étape, Marie Menacer (Europe Reims) et Charline Braidy (Géo-André Reims), ont connu des fortunes diverses. La première, sortie des qualifs, a dû abandonner (blessure à la cuisse) contre Océane Dodin (- 15) après seulement trois jeux.

La seconde a échoué (4-6, 5-7) aux portes du tableau final face à la vice-championne de Suisse juniors, Gaëlle Rey (- 4/6).

Reste, seule en lice, la Polonaise de l’Europe Reims, Alexandra Grela (-15).

Jean-Pierre PRAULT

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 234 - 111104a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 234 - Semaine du 4 au 9 novembre 2011

----------

Adeline Hazan dans les conseils de quartier

A partir du vendredi 4 novembre 2011, Adeline Hazan rencontre avec l’équipe municipale chacun des 12 conseils de quartier mis en place après son élection en 2008. A cette occasion, la maire de Reims répondra aux interrogations des habitants et soulignera l’importance du renouvellement en cours du collège des habitants et du collège des associations des conseils de quartier : « toucher de nouvelles personnes, diffuser l’idée que chacun peut et doit agir pour l’intérêt général et le bien vivre ensemble, ce nouvel appel à candidature est essentiel pour la démocratie locale », selon l’élue. La clôture des candidatures est prévue le 9 décembre 2011.

Prochains conseils de quartier

Vendredi 4 novembre à 19h : conseil de quartier Charles Arnould - Clairmarais, salle municipale St Thierry, 17 rue St Thierry.
Mercredi 9 novembre à 19h : conseil de quartier Murigny, Gymnase Richelieu, rue Richelieu.
Jeudi 10 novembre à 19h : conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts de Murigny, salle municipale Mauriac, 4 avenue François Mauriac.

***********************************

Union111103b
Résidence des facultés : Il ne reste plus qu’à inaugurer

La résidence est située à proximité immédiate de la fac de lettres.
- Agrandir la photo

 

Vue sur les coquilles de la fac de lettres. Station de tramway juste devant. Cuisinette et internet dans toutes les chambres.

La nouvelle résidence réalisée pour le Crous, la résidence des Facultés, c’est son nom, est opérationnelle depuis la rentrée.

Elle offre, à proximité immédiate du campus Croix-Rouge on l’aura compris, 212 chambres flambant neuves, pour des prix s’étalant entre 366 et 498 euros, selon la taille. Et les étudiants l’occupent déjà. Une note sur la porte de la cafétéria indique d’ailleurs qu’ils sont parfois un peu bruyants…

Il ne reste plus qu’à inaugurer ce bâtiment officiellement. Une première date avait été envisagée fin octobre, mais elle a dû être révisée pour cause d’agenda des personnalités invitées. On parle désormais de janvier.

A.P.

 

***********************************

Union111103a
Un chiffon imbibé d’essence laissé à l’attention d’une femme enceinte

Il est aux environs de 20 h 15, mardi soir, lorsqu’une femme enceinte de sept mois résidant dans le quartier Croix-Rouge à Reims, au 3, allée des Picards, met fin à un début d’incendie juste devant la porte de son appartement. Un chiffon imbibé d’essence avait été laissé là à son attention.

Le feu, lui, aura tout juste le temps de brûler sa porte et l’entrée de son appartement. En revanche, il produira suffisamment de fumée pour que l’un des voisins téléphone aux pompiers pour les aviser du départ de feu. « Le détecteur de fumée du couloir s’est déclenché, ce qui m’a alerté », explique-t-il. « J’ai alors vu de la fumée entrer par ma porte d’entrée et je suis sorti avec mes enfants en empruntant les escaliers. »

Arrivés sur place, les pompiers ont examiné les lieux pour éviter tout nouveau départ de feu. Et si personne n’a été évacué de l’immeuble, les hommes du feu ont tout de même transporté la femme enceinte au centre hospitalier de Reims pour qu’elle y suive des examens de contrôle.

Concernant l’identification de l’auteur du méfait, une enquête est en cours.

Lé. B.

***********************************

Union111102f
Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Martine Massart demande des locaux associatifs dans les immeubles neufs.
- Agrandir la photo

•Aquagym
Bérangère propose de l’aquagym le jeudi de I8 h 45 à I9 h 45 à la piscine du château d’eau. Il reste quelques places, se renseigner à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge, au 03.26.08.08.78.

• Loyers
Lors du Conseil de surveillance du Foyer rémois du vendredi 7 octobre, la Confédération générale du logement (CGL5I) a refusé l’augmentation des loyers indexée sur l’IRL pour le 1er janvier 20I2. « Elle a demandé le taux 0 », précise la présidente Roselyne Marandon qui ajoute : « On peut toujours rêver ! »

• Associations
Au cours de la dernière réunion du conseil de quartier, Martine Massait a plaidé pour que, dans tous les nouveaux immeubles qui vont être construits à Croix-Rouge, il y ait place pour des locaux associatifs.

• Étourneaux
Caroline Barre (Union des locataires de Croix-Rouge) proteste : « Les étourneaux sont de plus en plus nombreux dans le secteur Eisenhower. Nous sommes envahis, c’est un fléau, une horreur ! » et elle pose la question : « Mais que fait la mairie ? »

• Gaspillage
Un habitant du secteur Bonaparte fait remarquer : « La réalisation de l’espace Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge au 1, Picards a coûté 25 000 euros au Foyer rémois. Il a été détruit depuis ! »Quant à la réalisation du City Sports Bonaparte, elle a coûté 14 000 euros à la ville de Reims et I4 000 euros au Foyer rémois.11 a été détruit depuis. « Que de gaspillage ! » conclut-il.

•Adresse mail
À la suite d’un changement d’opérateur téléphonique, l’Acrap change d’adresse mail : contact@acrap.fr

***********************************

Union111102e
Au fil du conseil municipal

De nombreux sujets ont été abordés lors du dernier conseil municipal.
- Agrandir la photo
Yohann Diniz, Mahiedine Mekhissi et Teddy Tinmar parmi les sportifs que la ville aide régulièrement.
- Agrandir la photo

LORS de sa dernière réunion, le conseil municipal de Reims n’a pas seulement parlé du débat d’orientation budgétaire 2012, ni de la taxe d’aménagement et attribué des subventions (nos éditions précédentes). De nombreux autres dossiers ont été examinés dont voici l’essentiel.

Éducation

Subventions à l’université. Dans le cadre d’une convention liant la Ville à l’Université de Reims Champagne Ardenne, la Ville a déjà attribué une subvention d’équipement de 140 000 € et une subvention de fonctionnement de 450 700 €. Une somme de 39 400 € est cette fois attribuée à l’université pour la communication de l’Urca avec la mise en ligne d’interviews d’anciens étudiants (pour 9 400 €) et le développement du service culturel de l’Université (30 000 €).

Forum avenir étudiant. La Ville attribue une subvention de 20 000 € à l’Onisep Champagne-Ardenne pour l’organisation du forum avenir étudiant organisé les 1er, 2 et 3 décembre prochains au parc des expositions.

Sports

Reims ambition sport. Au titre de l’aide individuelle élite, la Ville a décidé d’attribuer une subvention individuelle de 6 000 € à plusieurs sportifs. Il s’agit de Vincent Michaux (Reims boxe française), Bénédicte Lepanse (Reims haltérophilie musculation), Yohann Diniz et Mahiedine Mekhissi (Entente family stade de Reims athlétisme). Une somme de 3 000 € est attribuée à plusieurs athlètes susceptibles d’être sélectionnés pour les jeux olympiques et para-olympiques de Londres en 2012. Il s’agit de Mickaël Binet (société de tir), Yohann Diniz, Benabbad Mekhissi, Cédric Houssaye et Teddy Tinmar (EFSRA), Pauline Ferrand Prevot (AC Bazancourt- Reims), Céline Gerny et Bernard Lamoureux (Reims handisport)

Reims à toutes jambes. 102 agents de la collectivité (ville et Reims métropole) ont participé au RATJ en vue de soutenir la cellule d’accueil spécialisée de l’enfance maltraitée du CHU de Reims. La Ville a décidé d’attribuer 1 € par kilomètre parcouru par agent. La Car versera une subvention de 632 €.

Culture

Ex-cellier Jacquart. Le conseil autorise la maire à déposer les autorisations d’urbanisme pour la réhabilitation de l’ex-cellier Jacquart en un nouveau lieu culturel. Le coût des travaux est estimé à 6,75 M€ et leur durée : 12 mois.

Opéra. Pour sa participation à Reims scènes d’Europe, l’Opéra se voit attribuer une subvention de 15 000 € qui s’ajoute aux 3,3 millions d’euros de subvention attribuée en 2010.

Adac. La Ville avait alloué une subvention de 7 500 € afin de permettre au Big band du conservatoire à rayonnement régional de participer au 6e festival de musique de Meknès-Volubilis (Maroc). Le bilan laissant apparaître un déficit de 1 034 € dû à la prise en charge de l’emballage, au transport et à l’assurance des instruments de musique, la Ville prend cette dépense à son compte.

Ecoles

Ecole élémentaire provençaux. La maire est autorisée à demander des subventions pour permettre l’accessibilité de l’école élémentaire Provençaux (sanitaires, menuiserie, ascenseur). Coût estimatif : 500 000 €.

Groupe scolaire Gallieni. La maire est autorisée à demander des subventions pour restructurer le groupe scolaire Galliéni, une opération estimée à 6 M€.

Groupe scolaire Clairmarais. Demande de subventions pour l’extension du groupe scolaire Clairmarais estimée à 3,56 M€.

Commerce

Redynamisme commercial. Afin de permettre d’examiner les dossiers des entreprises qui ont fait des investissements en 2011 pour rénover et redynamiser leurs activités dans les zones urbaines sensibles, la Ville a décidé de prolonger de 18 mois la convention Fisac Zus tranche 1. À la clef, l’attribution d’une subvention de 316 400 € pour l’ensemble de ces entreprises.

Halles et marchés de détail. En accord avec les commerçants non sédentaires, la Ville met en place une commission consultative pour le marché Boulingrin et tous les marchés de la ville.

Démolition. Un permis de construire va être demandé pour la destruction de la structure Ex-Babou, rue Charles-Guggiari. Coût estimatif : 50 000 €.

Santé

Vaccination. Une subvention de 2 903 € a été attribuée à la Ville par l’agence régionale de santé pour la réédition à 3 500 exemplaires d’un guide des vaccinations.

Alain MOYAT

***********************************

Union111102d
Entretien / Adeline Hazan se penche sur Croix-Rouge

La première magistrate revient sur les différents dossiers touchant ou ayant touché le quartier Croix-Rouge depuis son élection : …
- Agrandir la photo
… ici le tram.
- Agrandir la photo

Adeline Hazan revient sur les différents dossiers touchant ou ayant touché le quartier Croix-Rouge depuis son élection. Rénovations urbaines, maisons de quartier ou encore Reims 2020, la maire dresse le bilan.

SI, dans le quartier, les avis des habitants sont quelque peu mitigés concernant le mandat d’Adeline Hazan, force est de constater qu’elle est souvent présente à Croix-Rouge, quartier populaire rémois qui, comme les autres, a largement contribué à son élection lors des municipales de 2008.

C’est dans son bureau à la mairie de Reims qu’Adeline Hazan nous a reçus dans le cadre d’un entretien 100 % tourné vers le quartier Croix-Rouge. Rénovations urbaines, maisons de quartier, conseils de quartier, tram, etc. c’est avec elle et en présence de son premier adjoint Éric Quénard que nous sommes revenus sur les gros dossiers qui font ou qui ont fait l’actualité de ce secteur de Reims.

Les rénovations urbaines

Premier point, et pas des moindres, les rénovations urbaines pour lesquelles la Ville, les bailleurs sociaux et l’Etat auront versé près de 150 millions d’euros. « Ce que l’on peut dire sur les rénovations urbaines (ANRU) ? C’est que pour nous, elles étaient une réelle priorité, comme pour les autres quartiers de Reims, et qu’elles ne se déroulent pas dans les mêmes conditions que ce qui avait été fait dans le quartier Wilson. Dans ce quartier, les habitants n’avaient pas été consultés et il y avait des surcoûts de loyer. C’est pour cela que de nombreux ateliers de proximité avaient été organisés afin d’informer au mieux la population. D’autre part, nous avons voulu que les réhabilitations comme les nouvelles constructions répondent aux techniques actuelles avec les mêmes matériaux, qui permettront au passage une baisse des charges pour les locataires, et que ces travaux soient faits de la même manière que ceux que l’on peut voir ailleurs. Nous avons aussi cherché à désenclaver le quartier, l’aérer, mettre à disposition de nouveaux équipements et de nouveaux services. C’est la première fois que Croix-Rouge subit une telle transformation depuis sa création avec en prime le fait de mettre de l’humain dans l’urbain et de faire en sorte que ce grand quartier soit aussi beau que le reste de la ville. »

Les maisons de quartier

Bébé de Franck Noël sous le mandat de Jean-Louis Schneiter, la fusion entre les centres sociaux et les MJC, donnant naissance à l’actuelle association des maisons de quartier de Reims, est le deuxième sujet abordé avec Adeline Hazan.

« À l’époque, nous étions complètement contre ce projet lorsque nous étions dans l’opposition. C’était le fruit d’une réforme que nous ne voulions pas car cela ne nous semblait pas être une bonne idée. Aujourd’hui, il est impossible de revenir en arrière. D’une part, car cette association n’est pas une association municipale mais bien une association indépendante et d’autre part, car nous ne sommes pas les seuls à la subventionner. Nous avons demandé à un cabinet de faire un audit et nous avons mis différents groupes de travail en route avec la CAF, l’autre financeur, et bien sûr l’association. Un travail est également en cours quant à la convention.

Reims 2020 et élections municipales

C’est une façon de travailler plus efficace qui permet de se mettre d’accord sur les objectifs à atteindre. Cela peut paraître long mais c’est une démarche très arbitraire pour travailler au mieux, que ce soit sur la jeunesse, l’insertion ou les seniors. »

Si le quartier change de visage, c’est aussi le cas globalement de la cité des sacres. Ce projet de modernisation de la ville a été baptisé Reims 2020.

« Nous faisons en sorte que toutes les décisions concernant cet immense chantier soient bénéfiques pour tout le monde. C’est une façon de redessiner la ville, qu’elle soit un ensemble et non pas différentes plaques ou quartiers, pour que tous les habitants vivent rassemblés. Qu’il y ait dans chaque secteur de la ville des lieux pour la culture, pour les loisirs et des commerces sans bien sûr recréer des ghettos. Ce projet est aussi un outil pour requalifier les lieux publics comme créer un seul et unique pôle universitaire, un nouvel équipement culturel avenue Bonaparte pour les habitants du quartier mais également pour y faire venir ceux qui habitent l’extérieur. C’est une façon de créer une sorte de fluidité. Le tram est également pour nous un symbole de changement, une sorte de lien entre la ville et les quartiers. À noter que peu de problèmes de dégradation ont eu lieu, c’est aussi la preuve -sans être angélique - que lorsque l’on donne du beau et des choses de qualité, cela apaise les tensions. »Même si ces conseils de quartier partent d’une bonne attention, il est vrai qu’ils ont tout de même du mal à mobiliser les habitants.

« Cela ne se décrète pas mais se construit au fur et à mesure des séances. C’est un travail de fourmi. Il y a des villes où cela fonctionne bien, c’est certainement long à se construire, mais c’est en prouvant que ce qui s’y dit a de véritables répercussions que les gens penseront que les conseils de quartier sont d’une réelle utilité et qu’ils commenceront à faire venir des jeunes. Sur ce dossier, je reste vraiment très optimiste. »

Et pour conclure lorsque l’on demande à la maire de Reims si elle sera candidate à sa propre succession pour les prochaines élections municipales en 2014, la réponse est sans appel ! « Bien sûr que je serai candidate à ma succession… »

T.A.-F.
Photos Remi WAFFLART

***********************************

Union111102c
Bennes à encombrants à Croix-Rouge

 

En plus des déchèteries, les usagers de Croix-Rouge pourront se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues suivantes aux dates indiquées.

Lundi 7 novembre : rue Léon Mathieu/avenue d’Epernay (en pointe) ; avenue François-Mauriac/rue François Dor ; rue Alexandre-Dumas/rue Bernanos.

Lundi 14 novembre : rue de Bezannes/rue du Lieutenant-colonel Schock (parking face au cimetière) ; rue Gilberte et Jean-Droit (sur le parking face à la rue André-Schneiter) ; rue Lucien-Doyen/rue François-Legros (sur le parking).

Lundi 21 novembre : rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome) ; rue de Rilly-la-Montagne (sur stationnement niveau gymnase) ; parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards) ; avenue du Général-Bonaparte (parking face Arago) ; parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux) ; rue Galilée (face au n°4 terrain vague - angle Arago) ; avenue Léon-Blum (sur le parking).

Les bennes sont réservées aux particuliers.

 

***********************************

Union111102b
Feu de poubelles à Reims

Les sapeurs-pompiers sont intervenus lundi, peu avant 23 heures, pour mettre fin à un feu de poubelles qui avait été allumé rue Georges-Braque, à Reims.

L’origine volontaire ne semble faire aucun doute.

***********************************

Union111102a
LE NAPOLEON

Société en nom collectif au capital social de 10.000 euros
Siège social : Reims 151100) 5, allée Edgard-Degas
SIREN 534.152.798. R.C.S. Reims
Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 21 octobre 2011, les associés ont décidé de transférer le siège social à Reims (51100), avenue du Général-Bonaparte, centre commercial Pays de France, à compter du 21 octobre 2011, et de modifier corrélativement l’article 4 des statuts.

Pour avis, la gérance.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union111101a
Ludosport pour les vacances scolaires, les enfants se sont bien défoulés

Les 4-6 ans enchantés et heureux de pouvoir jouer au ballon, gymnase Léo-Borgniet.
- Agrandir la photo
Les enfants sont partagés entre appréhension et envie de sensations au moment de sauter dans le vide, lors du mini-stage escalade.
- Agrandir la photo
Julie Dumenil, entraîneur de roller hockey et animatrice à laVille,conseille les hockeyeurs en herbe
- Agrandir la photo
Un jeune sportif qui promet déjà.
- Agrandir la photo
Exercice de force et… de style sur le mur d’escalade de la salle e Les arts de la grimpe ».
- Agrandir la photo

 

 

Près de trois cents enfants rémois ont passé leurs vacances dans des centres d’activités et profité du dispositif Ludosport mis en place par la Ville.

ILS sont deux cent quatre-vingt-neuf très exactement, âgés de 4 à 11 ans, à s’être adonnés aux joies du sport une semaine durant.

Les petits Rémois restés dans la cité pendant les vacances scolaires ne se sont pas ennuyés la semaine dernière, s’ils prenaient part au dispositif Ludosport. Un programme multi-activités gratuit mis en place par la municipalité.

Des jeux et de la technique

De sorte que les enfants, dispatchés sur neuf sites différents, se sont dépensés cinq jours durant. Ils avaient rendez-vous tous les matins dans l’un des neuf gymnases et établissements sportifs pour pratiquer des sports collectifs ou participer à des mini-stages.

Issus des quartiers d’Orgeval, du centre-ville, de Neufchâtel, de Clairmarais, de Cernay, d’Europe, de Croix-Rouge ou les Châtillons, tous se sont défoulés balle au pied, raquette en main ou rollers et patins à glace aux pieds sous le regard et les conseils des éducateurs et animateurs.

Et à l’image de Lyès, 7 ans, hockeyeur en herbe rencontré au gymnase François-Legros, les enfants ont été enchantés. « Si j’ai des rollers à la maison je n’en avais jamais fait parce qu’il n’y a que de l’herbe devant chez moi. C’était bien ! En plus, je me suis fait des copains ici. » Charlotte aussi. La fillette de 10 ans raconte et montre avec fierté comment elle a appris « à faire la marche arrière » en rollers.

De l’amusement donc, mais aussi de la technique et de l’éducation civique au menu de cette semaine sportive. « Le sport c’est aussi du partage, le respect de l’autre et apprendre à se conformer aux règles » explique François Bannier, leur éducateur.

Initiation à l’escalade

Les plus téméraires, eux, se sont essayés à l’escalade avec un mini-stage dans la salle « Les Arts de la grimpe », boulevard Wilson. « C’est mortel », « C’est trop fort » a lâché une demi-douzaine de garçons, vendredi matin, au sortir d’une descente en harnais un peu comme à la tyrolienne. « Au début j’ai flippé en descendant, mais ça allait vite. Finalement c’était trop bien » témoignait Killian, à peine 7 ans.

Certains d’entre eux auront aussi été initiés à l’équitation, au tir à l’arc, au tir aux drapeaux, au judo, la course d’orientation…

A parier qu’avec cette semaine riche en activités, ces enfants reprendront le chemin de l’école, bien apaisés.

Lélia BALAIRE