Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2012.
dimanche 1er avril 2012
par Administrateur

 


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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Union120430c - Marne

Ils créent un grand massif chez les locataires

Ils créent un grand massif chez les locataires
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Terrassements et maçonnerie sont au programme.
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REIMS (Marne) Dans la continuité du chantier réalisé pendant les vacances de février dernier, un nouveau chantier jeunes a été réalisé, dans le cadre de l’opération « Scop’Ados », les mardi et mercredi 24 et 25 avril sur le site At’Hom des Hauts-de-Murigny, entre l’allée Jacques-Simon et l’allée Yves-Gandon.

Pour financer des projets

Six adolescents du quartier Croix-du-Sud ont réalisé un massif de fleurs en dur, encadrés par Thierry Julliot et trois ouvriers de l’entreprise d’espaces verts du même nom, avec David Gameiro de la Maison de quartier Croix-Rouge, Cédric Benadjaoud et Pauline Forst, éducateur spécialisé et assistante sociale du Service départemental de Prévention. Nicolas Quinquis, adjoint au responsable d’agence de l’Effort rémois, supervisait le bon déroulement des travaux.

L’objectif de ce chantier s’inscrit dans le projet de la Coopérative adolescents, gérée par la Maison de quartier Croix-Rouge. Coursa, Helas, Madiba, Moustapha, Nadir et Soulymane ont participé à cette opération malgré un temps plutôt maussade. Ils bénéficieront d’une subvention à usage collectif offerte par l’Effort rémois et le contrat urbain CUCS et destinée aux adolescents du quartier (et pas seulement les participants aux chantiers) pour financer des projets de voyages et de loisirs pour les années à venir.

Leur souhait immédiat : une journée de karting et un voyage cet été à la mer pour pratiquer le quad et le char à voile.

Comme à l’accoutumée, au terme du chantier, une collation a été organisée entre les jeunes, les locataires ainsi que l’Amicale des locataires du quartier At’Hom, afin d’échanger sur le sujet et de favoriser les échanges intergénérationnels sur le site.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union120430b - Marne

La détresse d’une locataire handicapée

Fella Fellahi réclame « des aménagements adaptés » dans son appartement situé au niveau de la place Fragonard.
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REIMS (Marne) Fella a perdu le pied droit. Lourdement handicapée, elle ne peut plus vivre dans son logement sans des aménagements. Pas d’avancée pour l’instant…

LA détresse est là. Pourtant, Fella Fellahi ne baisse pas les bras. Atteinte d’une infection rare, malade depuis des années, les médecins décident de l’opérer le 30 janvier dernier. L’intervention est de taille, son pied droit est mort. Elle est amputée. Depuis la plaie physique cicatrise correctement. Au niveau moral, l’ambiance est très différente. Voilà des mois qu’elle prévient les diverses instances pour réclamer des aménagements adaptés à son handicap. Des toilettes rehaussées par exemple, une salle d’eau qui prenne en compte son impossibilité à tenir debout sans soutien.

« Mon rêve, c’est de prendre une douche. De ne plus me laver dans le lavabo tous les matins partiellement. Je ne demande que des aménagements qui vont avec mon nouveau statut de personne handicapée ».

Les larmes aux yeux, Fella revient prendre place dans son canapé, laissant son déambulateur tout près d’elle. Sa vie est brisée, elle compte sur les responsables de l’Effort Rémois, son bailleur, pour tenter de trouver une solution le plus rapidement possible désormais. « Je ne réclame pas un nouveau logement. Ce n’est pas cela. Je veux simplement des aménagements que prévoit la loi pour les handicapés » commente sans haine, la quinquagénaire.

Les médecins poussent pourtant

Voyant que les lettres envoyées à son bailleur ne semblaient pas donner grand-chose, Fella s’est tournée vers ses médecins.

Ces derniers n’ont pas tardé à rédiger des lettres toutes aussi cinglantes les unes que les autres. À commencer par le chirurgien qui a procédé à son imputation. Le docteur Mensa préconise en effet « que le logement de sa patiente soit aménagé le plus rapidement possible compte tenu de son handicap ». Deux autres praticiens, notamment, le psychologue qui la suit dans cette épreuve, le docteur Chemla stipule « qu’il est très urgent de procéder à des aménagements compte tenu de l’état psychologique fragile de la patiente, depuis son amputation ».

Les avis sont donc unanimes. Reste à l’Effort Rémois de lui permettre de mieux vivre son handicap, d’aménager quelque peu sa salle de bains et ses toilettes. Sans oublier la cuisine. Car il ne faut pas perdre de vue que lorsqu’on se déplace obligatoirement soit en fauteuil roulant, soit à l’aide d’un déambulateur, tout devient plus compliqué, voire impossible.

Contacté vendredi, l’Effort Rémois étudie de près la situation de Mme Fellahi. Nous ne manquerons pas de vous informer des avancées de ce dossier.

Thomas DUPRAT

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Union120430a - Marne

Un an ferme pour l’un des gérants du « supermarché de la drogue »

De l’été 2011 à mars 2012, fumeurs de cannabis mais aussi cocaïnomanes et héroïnomanes ont défilé dans ce hall d’immeuble de l’allée des Béarnais.
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REIMS (Marne) Accusé d’avoir géré un « supermarché de la drogue » dans son hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge, un Rémois a écopé d’un an de prison ferme. Le point de vente distribuait cannabis, héroïne, cocaïne.

« ç A fume tout le temps ici. C’est infernal, mais je ne fais aucune remarque. C’est le meilleur moyen si on ne veut pas être embêté. » Tais-toi et passe ! Depuis l’été dernier, dans cette entrée d’immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims, au n°2 de l’allée des Béarnais, les locataires marchaient droit. Ne rien dire, ne rien voir pour ne pas contrarier un petit groupe d’individus qui squattait le hall transformé en point de vente de produits stupéfiants.

Cannabis, héroïne, cocaïne… Les clients avaient l’embarras du choix dans ce « supermarché de la drogue », selon une formule alors utilisée par le parquet de Reims, jusqu’à ce que la police ne fasse le ménage lors d’une opération menée à la fin du mois de mars (l’union du 31). Les perquisitions dans les communs et un appartement squatté du premier étage ont permis de saisir 200 grammes de résine de cannabis, ainsi que 20 grammes de cocaïne et 30 grammes d’héroïne conditionnés dans des « pochons » prêts à la revente.

Ils dopent aussi leurs muscles

Des quantités relativement peu importantes, somme toute, mais pour le parquet, « il s’agissait des stupéfiants destinés à être revendus dans la journée. » C’est une règle élémentaire du deal : ne jamais posséder un gros stock à ses côtés, afin de limiter les risques en cas d’interpellation.

L’enquête n’a d’ailleurs pas permis de mettre en lumière la filière d’approvisionnement. Allée des Béarnais, les trafiquants prenaient des précautions supplémentaires en se dissimulant le visage avec cagoules, capuches et autres masques de paintball. Ils étaient chez eux dans ce hall, à tel point qu’entre deux visites de clients (tous filtrés à l’entrée par un « agent d’accueil »), il arrivait qu’ils se relaxent en faisant des séances de musculation…

Menée durant de longues semaines, la surveillance du point de vente a permis de mettre en cause trois jeunes du quartier. L’un, mineur de 17 ans, a été écroué dans l’attente de son passage devant le tribunal pour enfants tandis que les deux autres, laissés libres sous contrôle judiciaire au grand dam du parquet, ont comparu la semaine dernière devant le tribunal correctionnel.

Des trois garçons, seul Antar Noui habite l’immeuble. « Je suis innocent. Les policiers m’ont vu dans le hall car j’habite ici, c’est tout ! », affirme cet intérimaire de 20 ans. Les surveillances apparaissent pourtant accablantes pour le jeune homme. Certes, la police n’a retrouvé que « quatre joints » à son domicile, mais il a eu du mal à convaincre que les 7 000 euros en liquide dissimulés sous le meuble du téléviseur provenaient des « économies » de ses petits boulots.

Déclaré coupable, Antar Noui a écopé de dix-huit mois de prison dont six mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve. Il reste libre en attendant de purger ses douze mois ferme ultérieurement. Son coprévenu a eu plus de chance. Ne cessant de répéter qu’il n’était pas l’un des dealers encagoulés, et que sa présence aux abords du hall s’expliquait par sa proche domiciliation dans le quartier, il a été relaxé.

Son avocat, Me Pascal Ammoura, a notamment usé d’un alibi incontestable pour fragiliser l’accusation.

Du 11 octobre au 20 décembre 2011, le garçon était dans l’impossibilté de participer au point de vente pourtant ouvert en continu durant cette période : il purgeait en prison l’une de ses huit condamnations.

F.C.

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Union120429a - Marne

MEMOIRE : Journée nationale de la Déportation / Il ne faudra jamais oublier

Une impressionnante haie de torches en feu autour du monument aux morts de la Résistance.
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L’harmonie municipale accompagnée cette année par la Veslardanne.
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Les portraits de Mme Berthe Aubert (notre photo) et de Georges Simon ont été présentés par des de Croix-Cordier.lycéens. Photos : Aurélien LAUDY
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REIMS (Marne) Très émouvante cérémonie au monument des martyrs de la Résistance où des jeunes portent le flambeau du souvenir pour que personne n’oublie jamais les morts en déportation.

SOIXANTE-SEPT ans, déjà que les Forces alliées arrivant en Allemagne découvraient de visu l’horreur des camps de concentration. Depuis, chaque année au mois d’avril, une cérémonie est organisée pour ne jamais oublier toutes les victimes de la Déportation. Hier soir, à l’initiative des Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation, d’associations de déportés (1) et de la ville, de nombreux Rémois ont participé à la veillée qui s’est tenue au pied du monument aux martyrs de la Résistance dans lequel est scellée une urne renfermant depuis 1955 les cendres recueillies dans les crématoires de Mauthausen, Flossenburg, Bergen Belsen et Neuengamme.

Passage de flambeau

C’est là, au sens propre, comme au sens figuré que les plus anciens ont d’abord transmis le flambeau du souvenir aux plus jeunes (sapeurs-pompiers et lycéens). Sur fond de roulement de tambours, de l’interprétation de « Nuit et brouillard » porté par les choristes de la Veslardanne, l’émotion était palpable.

En présence aussi des autorités civiles, militaires et religieuses et de porte-drapeaux, à la lumière des torches, chacun a pu voir les portraits de Mme Berthe Aubert et Georges Simon, morts en déportation, portés par quatre élèves du lycée Croix Cordier de Tinqueux. Une façon de rappeler aux mémoires oublieuses que cette commémoration nationale a aussi toute sa justification à Reims où de nombreux Rémois ont aussi connu les camps. « Chant des partisans », « Chant des marais » avec la chorale, « Liste de Schindler » par l’harmonie municipale, la musique a parlé au cœur de tous, tout comme la lecture d’un poème de Marianne Cohn : « Je trahirai demain » et un autre d’Aragon : « Chanson pour oublier Dachau » par élèves du collège François Legros.

Alain MOYAT

(1) Fédération des Déportés et internés résistants et politiques de l’arrondissement de Reims et Union nationale des associations de déportés internés et familles de disparus.

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L’hebdo du vendredi- N° 257 - 120427d
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 257 - Semaine du 27 avril au 03 mai 2012

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100 ans Foyer Rémois : Le Stade et les quartiers associés au centenaire

Clément Tainmont faisait partie des joueurs présents auprès des jeunes.
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Les jeunes participants ont été répartis en équipe pour s’affronter lors d’un tournoi.
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Entre deux matches, le joueur professionnel dispense ses conseils.
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Parce qu’il est un acteur social important dans les quartiers périphériques de Reims, le Foyer Rémois a choisi Orgeval et Pays de France pour célébrer son 100ème anniversaire. Un événement auquel le bailleur social a choisi d’intégrer le Stade de Reims afin de mener une action auprès des jeunes des quartiers. Ainsi, mardi et mercredi derniers, plusieurs joueurs Rouge et Blanc sont venus partager l’après-midi avec des jeunes de huit à douze ans, au cours de deux demi-journées sportives organisées au stade d’athlétisme Georges Hébert et au stade omnisports Géo André. « Le Foyer Rémois coordonne cette manifestation en s’appuyant sur ses partenaires sur place, notamment les maisons de quartier qui ont fait venir les enfants », résume Lætitia Barbara, chargée de développement social chez le bailleur. « Le Stade s’est rapproché de nous pour monter cette opération, qui rentre dans le cadre de la soixantaine d’actions sociales que nous menons chaque année. Certaines d’entre elles, comme celle-ci ou la Corrida d’Orgeval par exemple, sont estampillées « centenaire » pour marquer le coup. »

Sur le terrain, une quarantaine de jeunes se sont répartis en quatre équipes pour s’affronter lors d’un tournoi de football. Sur place, Clément Tainmont, l’un des joueurs du Stade de Reims, se réjouit de voir « que les enfants semblent heureux de participer. Moi je suis là pour représenter l’équipe, l’image du club, mais aussi pour répondre aux questions de tous ces jeunes, les conseiller et les soutenir. » Si le professionnel confie « se retrouver un peu chez certains, quand j’avais leur âge », Clément Tainmont a par ailleurs remarqué déjà quelques jeunes « avec une bonne technique pour leur âge. Ce sont des gamins qui jouent beaucoup au foot et qui aiment ça ».

Vu le succès rencontré lors de ces deux demi-journées spéciales, le Foyer Rémois assure qu’il va réfléchir à une reconduite de l’événement pour l’an prochain.

Aymeric Henniaux


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Théâtre - Festival Reims Monte en Scène : Les étudiants mettent le feu aux planches

Après Massacres, c’est aux Mouches de Sartre que se frotteront les étudiants de RMS ! (© © Clément Derrider )
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Né en 1987, Reims Monte en Scène, autrefois connu sous le nom de Printemps des Grandes Ecoles, est un festival de théâtre étudiant organisé pour la 25ème fois cette année par Reims Management School (RMS) en partenariat avec la Comédie de Reims. Pour l’occasion, six troupes de théâtre venues de toute la France se joindront à celle de RMS afin de présenter sept pièces, classiques ou contemporaines, au public rémois, les 3, 4 et 5 mai prochains. Parrainé par les plus grands, dont Robert Hossein, Lambert Wilson, Philippe Noiret, Pierre Arditi ou encore Brigitte Fossey, cet événement, considéré comme l’un des plus anciens festivals de théâtre étudiant, rassemble en effet chaque année les troupes des Grandes Ecoles françaises sur un principe semblable à celui des Césars : lors de chaque édition, un jury composé de professionnels du monde de la scène et du spectacle assiste aux répétitions ainsi qu’aux représentations pour décerner, à l’issue du festival, les quatre prix d’interprétation et de mise en scène, à savoir le prix meilleur(e) comédien(ne), prix de la meilleure mise en scène, prix de la meilleure scénographie et prix spécial « Coup de coeur Lycéens ». Cette année encore et durant trois jours, les jeunes comédiens fouleront les planches du Centre Culturel Saint-Exupéry, de la Comédie de Reims et du CROUS pour partager leur passion et tenter de séduire le jury 2012 présidé par Emmanuel Chaunu, invité d’honneur et parrain du Festival, caricaturiste de presse pour de nombreux titres nationaux et internationaux.

Successivement interprétées par l’Atelier Théâtre de l’Université de Reims, la Comedia de l’Essec, la Corde Verte ou encore la troupe du Celsa, les oeuvres de Sartre, Marivaux ou du Tchekhov Irlandais, Brian Friel, s’inviteront donc sur les scènes rémoises, pour le plus grand plaisir des amateurs de théâtre, qu’il soit classique ou contemporain, drôle ou tragique.

Claire Lagrange

Programme Jeudi 3 mai à 19h30 : Atelier théâtre de l’Université de Reims (BVE) : La Comédie animale, Andreas Marber. Jeudi 3 mai à 21h30 : Comedia de l’Essec : La Balade du Grand Macabre, Michel de Ghelderode - au Centre Culturel Saint Exupéry. Vendredi 4 mai à 19h30 : HEC : La Légende Antigone, Philippe Fenwick. 21h30 : Centrale Paris : Les Acteurs de Bonne foi, Marivaux - au Crous de l’Université de Reims Samedi 5 mai à 17h00 : à 17h, Corde Verte (Telecom Paris) : L’amour d’un brave type, Howard Barker - au Crous de l’Université de Reims. Samedi 5 mai à 19h30 : L’Entracte (CELSA) : Danser à Lughnasa, Brian Friel. 21h30 : Reims Management School : Les Mouches, Jean-Paul Sartre - à l’Atelier de la Comédie. Tarifs : 5 à 9€ la soirée, 13 à 24€ le pass 3 soirées (tarif unique pour la représentation de la Corde Verte). Infos et résa : festivalreimsmonteenscene@gmail.com ou au 06 75 98 51 67

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l’union120427c
A la résidence Lucien-Doyen : Un rayon de soleil

Jeunes et anciens réunis pour un moment sympathique.
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Les enfants de moyenne section de l’école maternelle Docteur-Billard ont présenté vendredi 20 avril un petit spectacle de danses folkloriques aux personnes âgées de la résidence Arfo Lucien-Doyen.

À l’issue de cette prestation d’une heure, qui a été fort appréciée, un goûter a été offert aux écoliers par les anciens.

Ambiance bon enfant, sourires et moments de tendresse ont fait le bonheur des plus petits et des plus grands !

« Résidants et enfants étaient ravis de cet après-midi inter générationnel », résume Sonya Kerroum, directrice de la résidence.

 

 

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l’union120427b
Des joueurs du Stade de Reims dans les quartiers

Une photo souvenir pour immortaliser cet après-midi inoubliable pour une cinquantaine d’enfants.
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REIMS (Marne) Des joueurs du Stade de Reims étaient au complexe sportif Géo-André, dans le quartier Croix-Rouge, pour une opération dans le cadre du centenaire du Foyer Rémois.

MERCREDI après-midi, des joueurs professionnels du Stade de Reims étaient au complexe sportif Géo-André, dans le quartier Croix-Rouge, pour une opération en partenariat avec le Foyer Rémois dans le cadre de l’anniversaire du centenaire du bailleur rémois.

« Pour fêter ses 100 ans, le Foyer Rémois s’associe au Stade de Reims pour mener une action dans deux grands quartiers de Reims concernés par le renouvellement urbain : Orgeval et Croix-Rouge. Le partenariat entre le Stade de Reims et le Foyer Rémois s’articule autour de la volonté d’échanger et de partager avec des jeunes », soulignait le Foyer Rémois. Ils étaient quatre « Rouge et Blanc » à avoir fait le déplacement : les défenseurs Anthony Weber et Aissa Mandi et les attaquants Gaëtan Courtet et l’actuel meilleur buteur du championnat de Ligue 2 Kamel Ghilas.

« Dès leur arrivée, ils ont mis l’ambiance. Kamel Ghilas est entré dans le vestiaire et il a mis le feu en motivant les gamins avec un cri de guerre de vestiaire propre au football. C’est vraiment un bon état d’esprit, ces joueurs sont là, échangent avec les jeunes, alors que les gars jouent la montée en ligue 1 et ils n’ont pas du tout la grosse tête », explique James, encadrant de l’Acrap, club de foot de Croix-Rouge.

C’est avec la casquette d’éducateurs que les pros ont rejoint le terrain synthétique de Géo-André avec la cinquantaine de jeunes footeux, des U11 et des U13 (âgés de 8 à 12 ans) de l’Acrap et de l’Espérance rémoise, afin dans un premier temps de disputer des petits matchs.

Des éducateurs inhabituels

Chaque Stadiste avait pris un groupe sous son aile et faisait office de coach particulier. « C’est vraiment bien de voir les petits écouter leurs idoles, ce sont des moments rares que les enfants apprécient vraiment », ajoutait une maman, immortalisant ces moments rares avec son appareil photo.

Sont venus ensuite les petits ateliers, toujours encadrés par les Rémois. À souligner, la bonne humeur et le sourire des pros qui ont joué le jeu à fond. Étaient au programme trois ateliers organisés par l’équipe professionnelle et encadrés par des éducateurs sportifs : parcours chronométré, mini-tournoi et jonglage de ballon, le tout toujours dans un échange permanent entre adultes et enfants émerveillés tendant l’oreille.

« J’ai bien aimé Kamel. En plus, c’est mon joueur préféré du Stade », racontait un jeune, « Courtet est trop marrant et trop fort », s’exclamait un autre.

« J’aurais aimé que Cédric Fauré soit là pour qu’il m’apprenne à faire des ciseaux acrobatiques », ajoutait un troisième gamin en faisant référence au but marqué par l’attaquant emblématique du Stade lors du derby face à Troyes.

Ce moment magique et inoubliable s’est terminé par un goûter et chaque participant est reparti avec un livret et un poster dédicacés. Pour finir, ces derniers seront invités à Delaune pour assister à la rencontre du 1er mai qui opposera le Stade de Reims à l’US Boulogne CO.

T.A.-F. Photos : C. LANTENOIS

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Des ateliers avec Ludosport

Grâce à Ludosport, 34 enfants de 6 à 11 ans ont pu rencontrer les pros du Stade.
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Les joueurs du Stade de Reims apportent également régulièrement leur concours à plusieurs ateliers « football » encadrés par Ludosport. « On va surtout les accompagner lors de chaque atelier.

L’essentiel, c’est qu’ils y prennent du plaisir », assure Alexi Peuget. Pour ce jeune professionnel du Stade de Reims, qui a commencé à l’âge de 6 ans dans le club Jura-Sud, rencontrer les enfants de Ludosport, c’est avant tout pour « leur inculquer l’envie de faire du foot et les faire profiter de nos conseils. Ces gamins, nous sommes contents de les voir heureux ». Cédric Collet, lui, a commencé le foot vers l’âge de 10 ans ! « C’était déjà assez tard. J’ai d’abord fait du judo, mais j’ai été attiré par l’aspect plus collectif du foot ». Floyd Ayité regarde les enfants qui se répartissent sur la pelouse : « Ça me rappelle mon enfance ! C’est marrant de se mettre à leur place. Gamin, j’habitais à Bordeaux. J’ai commencé à l’âge de 6 ans, au club de Cenon. Je n’avais pas eu comme eux, la chance de côtoyer des professionnels ».

Pluie et grêle

Responsable administratif de l’école de foot du Stade, Adelio Frazin connaît certains des 34 enfants, âgés de 6 à 11 ans, présents aux Thiolettes : ils sont à l’école du Stade. « Mais tous ici ne sont pas inscrits à un club. Notre but est de leur faire découvrir ce que c’est que de jouer en groupe, de se côtoyer ».

Il ne s’agit évidemment que d’une simple découverte, à l’aide de jeux de type scolaire, adaptés au foot, comme le « Lapin chasseur », « Puissance 4 », « Jeu du changement de camp », etc.

Joueurs et enfants ont à peine démarré qu’une violente averse, bientôt suivie de grêle, s’abat sur le stade ! Stoïques, enfants et adultes continuent mais finalement on décide d’arrêter. « C’était pas marrant de s’entraîner sous la grêle : on était tout mouillé », lance Killian, 6 ans. Les joueurs : « Nous, même sous une petite grêle, on continue l’entraînement ! » A l’abri au local, les enfants ont préparé des questions, souvent naïves, auxquelles les trois joueurs répondent avec patience et gentillesse.

Yannis : « Quel a été le plus beau but de la saison ?
- Sans doute le dernier, celui de Cédric Fauré ».

Gabin : « Prenez-vous beaucoup de buts ?
- On est dans la normale des équipes qui en prennent le moins ! »

La plupart des enfants voyaient pour la première fois les joueurs : un grand moment !

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l’union120427a
A Croix-Rouge : Voiture volée et incendiée

Les voleurs, coincés dans une impasse, ont mis le feu à la Ford.

Hier vers 2 heures du matin, des individus ont dérobé une Ford Fiesta garée au début de la rue Mathieu-Troussieux, près du château d’eau.

S’engageant dans la rue, en fait une impasse, ils se sont retrouvés bloqués quelques dizaines de mètres plus loin dans un petit espace vert, derrière la piscine de l’allée des Landais.

Leur trace se perd à cet endroit : les voleurs ont pris la fuite à pied après avoir incendié la Ford.

Les flammes ont également grillé un arbre.

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l’union120426h
Collège Georges-Braque / Pas de vacances avant le brevet

Le recteur d’académie Philippe-Pierre Cabourdin a observé le dispositif « école ouverte » du collège Georges-Braque.
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Hier, le recteur d’académie est venu visiter une classe qui, pendant les vacances scolaires, travaille en vue du passage du brevet.

MALGRÉ la quinzaine de jours de congés, il y a de la vie dans les couloirs et certaines salles de cours du collège Georges-Braque, dans le quartier Croix-Rouge. Et pour cause, pour l’ensemble des élèves de troisième, la date fatidique du passage du brevet des collèges approche à grands pas. et cela se prépare.

C’est d’ailleurs pour se préparer au mieux à la présentation de ce premier concours important dans la vie d’un élève que le dispositif « école ouverte », mis en place depuis 1991, existe. Cette mesure consiste à accueillir dans les établissements du secondaire, durant les périodes de vacances, des jeunes pour les faire travailler. Loin d’être une garderie, « l’école ouverte » est un « véritable plus pour les élèves », selon le recteur de l’académie de Reims, Philippe-Pierre Cabourdin, venu hier au chevet d’une dizaine d’élèves de troisième qui se perfectionnent en français.

Volontariat

Le dispositif « école ouverte » en vigueur au collège Georges-Braque n’est pas une mesure obligatoire.

Ce ne sont en effet pas les professeurs qui demandent aux élèves en difficulté de revenir au collège pour y travailler durant les vacances. Ce sont aux jeunes eux-mêmes de faire la démarche et de venir s’inscrire pour ces cours spécifiques. Mathématiques, langues, enseignements littéraires, de nombreux cours sont disponibles pour ceux qu’ils le souhaitent.

Plus spécifiquement, le collège accueille près de 60 % de ces élèves de troisième.

Il n’y a pas que de l’écrit puisque des oraux blancs sont également proposés à ceux qui le désirent, par leurs professeurs habituels ou bien par l’intermédiaire d’intervenants extérieurs.

Avec, pour les élèves comme pour les professeurs un objectif commun, celui de réussir le premier véritable examen de la scolarité et favoriser l’intégration du plus grand nombre dans le circuit scolaire.

Th. D.

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Rendez-moi la bande passante

Cette visite a donné l’occasion au principal de présenter son établissement. Dès les premières minutes, Olivier Leloux a tenu à sensibiliser le recteur d’académie sur les soucis qu’il rencontrait au quotidien. Et c’est bien légitime. Le principal a précisé sa pensée en prenant l’exemple flagrant de l’accès à Internet au sein de son collège. « Les après-midi, il n’est pas rare que nous n’ayons plus qu’un seul méga de débit. Et bien évidemment, pour certaines activités cette faiblesse rend les choses particulièrement compliquées ». Le problème de cet établissement est qu’il se situe « en bout de réseau ». Et qu’à moins d’un changement d’abonnement et d’une augmentation significative de la facture d’abonnement Internet, la situation risque fort de perdurer.

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l’union120426g
Pour les familles : Direction Walygator samedi prochain

 

La prochaine sortie en familles organisée par l’équipe « Familles » de la Maison de quartier Croix-Rouge conduira parents et enfants au parc d’attractions Walygator à Maizières-les-Metz, près d’Amnéville (1 h 30 de Reims environ), le samedi 28 avril.

Le départ est prévu à 8 h 30 devant le collège Georges-Braque, et le retour est attendu vers 20 h 30.

Tarifs : 12 euros pour les adultes, 10 euros pour les enfants à partir de 3 ans.
Adhésion familiale obligatoire 12 euros.
Inscriptions auprès du secrétariat de l’espace Watteau (Renseignements auprès d’Alexandra, 3 allée Antoine-Watteau ¬03.26.36.03.50.) ou auprès de l’espace Pays-de-France
Renseignements auprès de Nassera, 15 avenue du Général-Bonaparte - 03.26.82.53.48.

 

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l’union120426f
Dimanche à Châtillon-sur-Mame : Journée pêche avec l’APPF

 

 

L’association de promotion de Pays-de-France organise sa journée familiale pêche annuelle qui se déroulera au Moulin carré à Châtillon-sur-Marne le dimanche 29 avril (restauration sur place, à emporter ou pique-nique tiré du sac).

Les amateurs y trouveront un étang spécial grosses truites et un étang spécial petites truites.

Les personnes intéressées peuvent joindre les responsables de I’APPF pour tout renseignement (horaires, tarifs, inscriptions,..) au 03.26.86.16.87. ou au 06.31.61.16.10.

 

 

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l’union120426e
Rencontre interquartiers à Orgeval/ Ça défoule !

Top départ sur le parcours d’endurance. Qui fera le plus grand nombre de tours sans tirer la langue ?
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De l’art de sauter le plus loin possible au saut en longueur, pour établir le plus beau score.
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Il ne fallait pas marcher droit sur le parcours mobilité. En revanche, courir en zigzags entre les plots, ça rapportait gros.
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Petit tour en l’air avant de s’étaler par terre… mais tout en douceur sur le tapis bleu, au saut à la perche.
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Les enfants donnent le meilleur d’eux-mêmes sur la piste de course de saut de haies.
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Quelques explications avant de s’adonner au lancer de vortex. De drôles de balles ovales - un peu comme au rugby mais bien plus petites et fusant dans le vent. Le but ? L’envoyer le plus loin possible.
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REIMS (Marne). 163 enfants des maisons de quartier se sont affrontés au saut en longueur, au sprint ou encore à la course de haies hier, toute la journée, au stade Georges-Hébert. Une journée sportive, forte en émotions.

ILS se sont mesurés, défoulés et ont découvert certaines disciplines sportives au stade Georges-Hébert, hier, de 10 à 16 heures.

163 enfants de sept maisons de quartiers de Reims ont bravé la pluie et le vent pour s’adonner au saut en longueur, au sprint, à la course de haies, au lancer de vortex, au saut à la perche, au saut en croix, au médecine-ball, ou encore pour faire de l’endurance et participer au parcours de motricité.

Divisés en seize équipes de douze et encadrés par les éducateurs sportifs du club d’athlétisme de l’Efsra, du pôle sport des maisons de quartiers et par les étudiants de l’université en Staps ; ils se sont tour à tour essayés à chacun des ateliers.

Cheveux ébouriffés par le vent mais rayonnants, les 6-14 ans en redemandaient. À l’exemple de Mohammed, 6 ans et demi, ravi de faire du saut à la perche. « J’en avais jamais fait. C’est trop bien. »

Ou de Bénédicte, 10 ans et demi, en train d’attendre son tour à la course de saut de haies. « J’avais déjà fait du saut d’obstacles à cheval, mais je préfère sauter les haies. J’aime bien la vitesse ! » Nasrasine, Younes et Elias, 11, 13 et 12 ans ont, eux, essayé de battre leur record au lancer de vortex. Avec chacun sa technique de lancer.

Croix-du-Sud remporte la compét

Tout compte fait, une journée de compétitions et de découvertes riche en émotions. « Le but était de faire sortir les enfants de leur environnement quotidien, de leurs quartiers, de leur permettre à tous de pratiquer du sport, de découvrir des disciplines sportives, et de les faire se rencontrer », explique David Bordus, éducateur sportif à l’Efsra et coordinateur de cette rencontre interquartiers. Mission réussie : certains enfants envisagent déjà de s’inscrire dans un club.

Quant aux résultats de la compétition ? Car les encadrants ont soigneusement consigné les scores pour établir un palmarès.

L’une des équipes, constituée des enfants de la maison de quartier de Croix-du-Sud, s’est classée première. Les enfants sont repartis avec des médailles et des places pour le meeting international d’Areva qui se tiendra le 6 juillet au Stade de France.

Cernay-Europe est arrivé deuxième et Watteau troisième.

Lélia BALAIRE

 

 

 

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l’union120426d
Braderie des bibliothèques Une grosse affluence

Certains visiteurs ont moissonné large !
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La braderie des bibliothèques municipales s’est déroulée, pour sa 4e édition, le dimanche 15 avril, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge, avancée d’un mois par rapport à celle de l’année dernière et sous un ciel plus clément.

« L’affluence du matin nous a surpris », raconte Jean-André Ithier, conservateur de la médiathèque. « L’après-midi a été plus calme. Si les BD et les albums jeunesse sont partis très rapidement, les ouvrages de sciences humaines ont été également bien demandés cette année. »

Une innovation a été appréciée cette année puisque, en fin d’après-midi, le livre a connu son happy hour : à partir de 16 heures, pour un document à 1 euro acheté, le deuxième était offert !

Le premier bilan de la braderie est positif : « Les quelque 6 000 documents (périodiques compris) proposés ont été vendus. 1 446 personnes ont fait le déplacement, l’ambiance était bonne et la satisfaction du public était évidente », poursuit M. Ithier.

Retombées intéressantes : « Une partie du public en a profité pour se rendre à la médiathèque : 456 prêts ont été enregistrés et les démonstrations de Wii et de jeux vidéos dans la salle d’exposition ont connu un beau succès ». Autant de bonnes idées à renouveler pour la 5e édition en 2013 !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120426c
Tribunal Correctionnel : Rififi à Croix-Rouge : Le contrôle de police tourne à l’émeute

Chaude ambiance, le 12 mars dernier, avenue Bonaparte à Reims, dans le quartier Croix-Rouge. Déjà, les deux jours précédents, une patrouille de police avait essuyé des jets de pierres.

C’est donc avec les précautions d’usage qu’un équipage intervient en début de soirée pour calmer une douzaine de jeunes qui consomment de l’alcool, musique à fond, au bas d’un immeuble.

Très vite, le contrôle dégénère. L’une des personnes s’écarte du groupe, insulte la patrouille, profère des menaces de mort et incite ses camarades à l’émeute avant de s’enfuir.

Un deuxième individu - qu’il n’a pas été possible d’identifier - ajoute à la confusion en tirant une balle de caoutchouc sur un agent qui est légèrement blessé à la cuisse.

Dans le même laps de temps, un jeune de 19 ans s’attrape avec le policier qui le contrôle. Une bousculade s’ensuit, le garçon tombe à terre avec le fonctionnaire. Il est maîtrisé, placé en garde à vue puis remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction, notamment, de quitter son domicile de 23 heures à 7 h 45.

Mouvement de foule

Poursuivi pour outrages, violences et rébellion, le prévenu conteste les infractions. Le « fils de p… ! » qui lui est reproché aurait été proféré par quelqu’un d’autre.

S’agissant des violences, il aurait fait tomber involontairement le policier, en se raccrochant à lui lors du mouvement de foule.

Reste la rébellion. Il reconnaît s’être débattu lors du contrôle, mais parce que le policier « lui poussait le visage contre le mur avec un bâton », plaide l’avocate.

Après en avoir délibéré, le tribunal relaxe le jeune homme pour l’outrage et les violences, mais ne passe pas l’éponge sur la rébellion : deux mois de prison avec sursis et 105 heures de travail d’intérêt général.

Interpellé quelques semaines après les faits, puis jugé en comparution immédiate (l’union du 1er avril), le camarade qui appelait à l’émeute fut condamné à trois mois de prison avec sursis.

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l’union120426b
Il agresse sa mère et ses deux petites sœurs

REIMS (Marne). Un différend entre une mère et son fils a dégénéré ce week-end à Reims, rue Pierre-Taittinger, sur fond de tensions récurrentes au sein du foyer.

Le père n’est plus là. Agé de 17 ans, le garçon semble vouloir se comporter comme l’homme de la maison en interdisant à sa mère et ses sœurs de 14 et 15 ans de sortir. Celles-ci ne sont pas d’accord.

Dimanche vers 15 heures, à la suite d’une dispute, l’ado fait ses valises et s’en va, mais il revient à 17 heures pour s’en prendre à sa mère qu’il pousse contre un mur. Les deux sœurs prennent sa défense : l’une reçoit un coup de poing, l’autre un coup de pied. L’arrivée de la police met fin à l’esclandre.

Placé en garde à vue, le jeune homme n’a reconnu qu’une gifle assenée sur une tête. Il a été présenté mardi soir au parquet, puis remis à sa mère avec laquelle la paix a été manifestement signée.

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l’union120426a
Une voiture en feu

REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus vers 1 h 30 ce jeudi, rue Matthieu Troussieux au quartier Croix-Rouge où un véhicule en stationnement le long d’une haie était en feu.

Le sinistre a été maîtrisé avec l’assistance d’un riverain qui a de son côté protégé la haie qui menaçait de s’embraser.

Une enquête est ouverte pour déterminer l’origine du sinistre.

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l’union120425b
Les incendiaires rôdent

Un incendiaire a-t-il pris ses quartiers place Dominique-Ingres, au n° 8 ?

Dimanche vers 17 h 15, un sac-poubelle y a été incendié, ainsi qu’une poubelle juste à côté, esplanade Paul-Cézanne (notre précédente édition).

Lundi à 22 h 15, les pompiers ont dû retourner au n°8, en raison d’un début d’incendie dans le local à vide-ordures.

Un habitant l’a finalement éteint avant leur arrivée.

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l’union120425a
Tennis (Avize)/ Seuret et Chardin titrés

Florent Seuret (Europe Club) a souffert en finale face à l’autre Rémois de l’URT, Julien Evrard.
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Le tournoi de la Côte des Blancs a enregistré les victoires des sociétaires de l’Europe Club et de Romilly.

TOUJOURS autant apprécié et limité à 2/6, le tournoi de la Côte des Blancs à Avize a enregistré, dimanche, des résultats conformes à la logique.

Ainsi, chez les messieurs, la tête de série n° 1 et principal favori, Florent Seuret (2/6, Reims Europe Club), a inscrit son nom au palmarès, non sans difficulté face à Julien Evrard (3/6, URT). Premier en action, l’« Européen » dominait la manche initiale (6-3) mais voyait son adversaire prendre le jeu à son compte dans la deuxième pour mener 5-2. Reste que Florent Seuret serrait le jeu, recollait à 5 partout et s’offrait deux balles de match au tie-break.

Evrard victime de crampes

Seulement, en multipliant les fautes directes, il offrait le gain de ce set au sociétaire de l’URT, pourtant victime de crampes. Entre deux protagonistes bien décidés à ne rien lâcher et à faire durer les échanges, la « belle » se prolongeait jusqu’au tie-break où, cette fois, Seuret forçait la décision en sa faveur.

« Je dois d’abord louer le fair-play de mon adversaire. J’ai bien débuté mais ensuite j’ai subi jusqu’à la fin du match et je n’ai jamais réussi à m’adapter à son service. J’aurais dû gagner en deux sets mais j’ai raté beaucoup d’occasions », indiquait le lauréat 2012. Quant à Julien Evrard, il n’était pas forcément déçu : « J’ai fait un bon tournoi. Je suis assez content de mon jeu. Je n’ai pas assez pris d’initiative et, à cause de cela, j’ai loupé le coche. »

Du côté des dames, en l’absence de la double tenante du titre, Fanny Jarles (3/6, Saint-Dizier), qui a déclaré forfait en raison d’une tendinite, la finale a été un remake de celle de 2009 entre Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) et Laure Chardin (3/6, Romilly). Avec un résultat inversé puisque l’Auboise, déjà vainqueur en 2007, a dominé la Mengeotte. « Mathilde n’a pas montré son meilleur tennis. Je suis bien rentrée dans le match en menant 5-1 pour gagner le premier set 6-3. Ensuite, en jouant juste et sans faire de faute, j’ai géré la deuxième manche pour conclure à 6-2 », expliquait la Romillonne.

MESSIEURS

Demi-finales : Evrard (3/6, URT) bat Cabrillon (2/6, Saint-Dizier) 6-3, 6-1 ; Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Pignon (3/6, Géo-André) 6-1, 3-2 abandon.

Finale : Seuret bat Evrard 6-3, 6-7, 7-6.

+ 35 ans, finale : Heleine (5/6, Rosières) bat Dermonsir (4/6, Romilly) 6-3, 6-0.

DAMES

Demi-finales : Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) bat Flora Calcagno (5/6, Montmirail) 6-0, 6-0 ; Laure Chardin (3/6, Romilly) bat Claire Duter (3/6, Sedan) 6-0, 6-4.

Finale : Chardin bat Jacquin 6-3, 6-2.

+ 35 ans, finale : Caroline Boyer (15/2, ASPTT Châlons) bat Julie Carré (15/1, Côte des Blancs) 6-2, 6-2.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 120424c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7443 du 23 au 29 avril 2012.

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AVIS DIVERS

APPARTEMENT : Appartement type IV d’environ 81 m2, 7 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 3° étage, porte C - Classe énergétique : "D" - 121.295 (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT).

Renseignement I-MMOCOOP, 03.26.97.67.37.

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l’union120424b
Aménagements près de la place Maurice-Utrillo : Les collégiens s’investissent dans la vie de leur quartier

La réhabilitation du garage G17 est au centre des travaux des collégiens cette année
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En 2005, Reims habitat lançait son partenariat avec le collège Georges-Braque en intervenant auprès des classes de 6e, puis de 5e et 3e, sur le thème général : « Sensibilisation au respect du patrimoine et du cadre de vie ».

Cette année scolaire, dans le cadre de ce projet, et avec le soutien de leur professeur d’arts plastiques, les élèves ont été invités à s’investir dans la vie de leur quartier.

Au cours de ces huit années scolaires, différentes classes, encadrées par leur professeur d’arts plastiques, ont été invitées à proposer des solutions d’aménagements fonctionnels dans le secteur des Hauts-de-Murigny, impliquant les élèves dans la vie de leur quartier.

Maquettes en expo

Ainsi, un square a été aménagé allée Yves-Gandon, l’installation d’un cube végétalisé, d’une forêt d’arbres miniatures et d’une pièce de puzzle géante améliorent l’esthétique de la place Utrillo.

Cette année, à l’occasion d’importants travaux prévus pour la terrasse du garage G17, située à proximité de la place Maurice-Utrillo, des classes de 3e ont proposé des aménagements à destination de tous les habitants du quartier.

Ce travail les a conduits à réaliser des maquettes qui serviront de supports pour la réalisation des travaux par Reims habitat. Une exposition est organisée dans le hall du siège de Reims habitat, 71 avenue d’Epernay : les maquettes réalisées par les élèves sont ainsi dévoilées jusqu’au 22 juin.

Les collégiens ont présenté leurs travaux à Patrick Baudet, directeur général de Reims habitat, ainsi qu’aux membres du personnel de l’organisme logeur, et en présence d’Olivier Leloux, principal du collège, de Sophie Hasslauer, professeur d’arts plastiques, et d’Alban Strozykowski, éducateur du Service départemental de prévention.

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l’union120424a
Collège Georges-Braque Rémois, Anglais et Finlandais ensemble à Viiala

En 2011 à Reims (notre photo), en 2012 en Finlande, prochaine étape en mars 2013 en Angleterre.
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Dans le cadre du projet européen Comenius, qui offre la possibilité aux participants d’entreprendre des projets européens qui enrichiront leurs activités pédagogiques quotidiennes, onze élèves du collège Georges-Braque ont passé une semaine à Viiala en Finlande. Ils y ont retrouvé leurs partenaires anglais du Farington community college (Royaume Uni) et finlandais de la cité scolaire Viilalan Lukio de Viiala (Finlande). Objectif : travailler en langue anglaise sur le thème « la biodiversité dans trois pays européens et comment la préserver », à travers diverses activités : présentation de leurs recherches sur les différents types d’hibernation, études pratiques dans la forêt, visite d’un centre écologique et du museum d’Histoire naturelle de Tampere, mais aussi immersion en classe, découverte du ski de fond et vie en famille…

A Farington en 2013

Sept professeurs de Georges-Braque participent au projet (Geneviève Casasnovas, Danièle Deshaies, Luisa Dos Santos, Catherine Guillemin, Sophie Hasslauer, Eric Morell et Gérard Taillefert). Ceux qui étaient présents à Viiala ont pu comparer leurs pratiques et la scolarité dans chaque pays.

« Les élèves sont revenus enchantés de ce séjour », confie le principal du collège Olivier Leloux, coordinateur du projet : « Prochaine étape en mars 2013 en Angleterre ».

Entre temps, des échanges sous forme de visio-conférences sont organisés par l’intermédiaire du logiciel Skype et l’on peut suivre le compte rendu du séjour en Finlande sur le site www.college-braque.fr/comenius/

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l’union120422c
Collisions en chaîne

Plusieurs collisions, toutes sans gravité, se sont produites ces dernières heures à Reims et dans ses environs. Vendredi vers 15 h 30, une passante a été percutée par un bus rue de Cernay, à l’angle de l’avenue Jean-Jaurès.

Hier vers 9 heures, un accrochage entre une voiture et un cyclo a fait un blessé léger avenue Nationale, au niveau de la rue Frédéric-Jacob. Bilan identique à 15 h 30 après une collision entre deux voitures rue Adrien-Sénéchal, puis entre trois véhicules à 15 h 45 sur la RD951 à hauteur de Champfleury.

Vers 18 h 30, trois piétons ont été percutés par une auto rue Cliquot-Blervache, au quartier Saint-André. Aucun d’eux n’a souhaité être transporté à l’hôpital.

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l’union120422b
Trois vols avec violence résolus

On fait parfois de mauvaises rencontres dans les parcs de Reims.

Jeudi soir, vers 19 heures, un garçon de 14 ans se voit demander l’heure par deux jeunes filles au parc Léo-Lagrange. Il sort son téléphone portable pour leur répondre. L’une des demoiselles brandit alors un couteau sous la menace duquel elle extorque l’appareil.

En fuite, les deux voleuses âgées seulement de 14 et 16 ans n’ont pas couru longtemps. Une patrouille les a rattrapées. Celle qui tenait le couteau avait confié le portable à sa complice, laquelle l’avait dissimulé dans ses chaussettes…

Remises en liberté après leur présentation au parquet, les deux adolescentes sont prochainement convoquées devant le juge des enfants aux fins d’une mise en examen.

Casquette et couteau

Un précédent vol commis dans un parc de Reims sous la menace d’un couteau vient d’être élucidé. Le 5 avril, alors qu’il se trouve au parc Saint-John-Perse à Croix-Rouge, un jeune de 20 ans se retrouve encerclé par trois individus. L’un d’eux armé d’un couteau lui réclame ses effets personnels en faisant des moulinets.

La lame éventre le sac à dos que le plaignant tient devant lui pour se défendre. Le trio, finalement, repart avec sa casquette et une paire de gants.

Confiée aux policiers de la sûreté départementale de Reims, l’enquête a permis d’identifier le principal agresseur, un adolescent de 15 ans placé en garde à vue jeudi. Le couteau susceptible d’avoir servi au vol a été retrouvé à son domicile, mais aussi, et surtout, la casquette de la victime. Malgré ces charges accablantes, l’adolescent a nié toute participation aux faits. Il a été présenté au parquet de Reims puis placé dans un foyer d’Épernay.

Cycliste frappé

Pas besoin de se promener dans un parc pour se faire agresser… Dimanche dernier, vers 3 heures du matin, un cycliste de 20 ans est projeté au sol par un passant croisé rue Jacquart, près du centre-ville. A peine s’est-il relevé qu’il reçoit un violent coup de poing au visage. Un deuxième individu rejoint le premier, intimant l’ordre à la victime de remettre son argent en échange de l’arrêt des violences.

Le cycliste s’exécute, mais il n’a pas grand-chose sur lui : seulement 7 € ! Les malfrats s’emparent quand même de la somme avant de s’enfuir à pied. Ils n’ont pas eu le loisir de se partager les 7 € car une patrouille leur met la main dessus.

Mini-butin, maxi-pépin : l’auteur des violences, déjà bien connu des services de police, a été écroué malgré ses 17 ans. Il sera jugé le 2 mai tandis que son complice, 24 ans, a été laissé libre sous contrôle judiciaire. Le coup de poing et la chute de vélo ont valu deux jours d’incapacité totale de travail à la victime.

F.C.

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l’union120422a
TENNIS : Avize fait le plein

 

 

Rendez-vous toujours attendu et apprécié, le tournoi du TC de la Côte des Blancs à Avize, limité à 2/6, a fait le plein (185 participants contre 176 l’an passé).

Chez les messieurs, le titre devrait se jouer entre Romain Cabrillon (2/6, Saint-Dizier) et Florent Seuret (Reims-Europe Club, photo). Attention aux solides gauchers à 3/6 Arnaud Pignon (Géo-André) et Julien Evrard (URT).

LE TRIPLÉ POUR JARLES ?

Chez les dames, tous les regards seront tournés vers la Bragarde Fanny Jarles (3/6) qui cherchera à réaliser un improbable triplé. Elle n’aura pas la partie facile avec les 3/6 Lori Meresse (Stade Toulousain), Claire Duter (Sedan), Laure Chardin (Romilly) et les 4/6 Clémence Krug (Reims Europe Club), Mathilde Faucheux (TC La Garde), Kassandre Davesne (Fontenay), Emma Lene (La Ciotat).

PROGRAMME. — Aujourd’hui, 8 h 30 : demi-finales messieurs ; 10 h 30 : demi-finales dames ; 14 heures : finales messieurs +35 ans et dames +3 5 ans ; 16 heures : finales dames et messieurs.

 

 

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l’union120421b
Croix Rouge : intrusion à l’école

Selon un parent d’élève, une intrusion colorée de violence (verbale) a eu lieu jeudi à l’école élémentaire des Provençaux, dans le quartier Croix-Rouge de Reims : un jeune homme se serait introduit en plein cours dans une salle de CE1 pour rechercher sa sœur et les choses auraient alors tourné quelque peu à l’aigre. Ce parent a appris l’incident le jour même après le goûter, par son enfant de 7 ans et demi, qui se trouvait dans la classe.

La directrice aurait déposé une main courante ; elle affirmait en tout état de cause hier que l’affaire était « en cours de traitement ».

A.P.

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l’union120421a
Journée spéciale à l’hippodrome : s’amuser pour aider Roseau

Chaque année, des enfants peuvent devenir jockey d’un jour
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L’hippodrome organise une journée de soutien à l’association Roseau, qui vient en aide aux enfants atteints de leucémie et de cancer, du CHU de Reims.

Toutes les entrées seront remises à l’Association (les invitations et inscriptions à la newsletter ne seront pas acceptées. L’entrée restera payante jusqu’à la fin de la réunion).

Il y aura toute une série d’animations surtout pour les enfants. Cinq d’entre eux participeront à une véritable course sur la piste, à bord de sulkys deux places, aux côtés de professionnels du trot. Il y aura un manège, des mascottes, un clown sculpteur de ballons, un atelier maquillage, des balades à poneys, un jeu gonflable, et de nombreux cadeaux pour les enfants à gagner.

L’hippodrome a comme partenaire les cinémas Gaumont-Reims, l’association La Palissade Rêve d’enfants, Champagne FM et l’union notamment. Il y aura aussi le Tiercé des Dames et un déjeuner-spectacle au restaurant panoramique (réservation au 03.26.49.06.05).

Entrée : 5 euros entièrement reversés à l’association Roseau. Gratuit pour les moins de 18 ans. Programme de pronostics offert.

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L’hebdo du vendredi- N° 256 - 120420a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 256 - Semaine du 20 au 26 avril 2012

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Championnat du monde de Bridge : Les as du Bridge ont rendez-vous à Reims

Pour Jacques Cohen, accueillir un événement de ce type est très important pour l’image internationale de la ville de Reims.
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Pour sa 6ème édition, le Championnat du Monde Universitaire de Bridge se déroulera à Reims du 9 au 15 juillet. Plus de 200 participants issus d’une vingtaine de pays y sont attendus.

Après la Turquie, la Chine, la Pologne et Taïwan, c’est au tour de la France, et plus précisément de la ville de Reims, d’accueillir en juillet prochain le 6ème Championnat du Monde Universitaire de Bridge. Un événement international qui a lieu tous les deux ans, et qui devrait accueillir entre 15 et 20 pays, soit plus de 200 participants et accompagnateurs. Au programme : une cérémonie d’ouverture le 9 juillet au sein de l’Hôtel de Ville, suivie par le début de la compétition qui aura lieu tous les jours entre 9h et 18h à la Halle Universitaire Croix Rouge située avenue François Mauriac. Et si la participation à la compétition sera ouverte uniquement aux étudiants de moins de 28 ans, les visiteurs pourront cependant y assister gratuitement. L’occasion de participer en parallèle à de nombreuses activités organisées pour l’occasion, comme une initiation gratuite au Bridge, un village des partenaires, ou d’autres tournois (des Chefs d’Entreprise, des Jeunes ou des clubs régionaux). L’événement prendra fin le 15 juillet avec la remise des récompenses, suivie par une cérémonie de clôture sur les lieux de la compétition.

Un événement important pour la ville

Organisé conjointement par la Fédération Française de Bridge et la Fédération Française du Sport Universitaire, l’événement bénéficie du soutien de la ville de Reims. « Nous avons participé financièrement au projet, autour de 31 000 euros, ce qui représente 10% du budget total du Championnat », indique Jacques Cohen, adjoint au tourisme, au patrimoine, aux relations européennes et internationales. « Accueillir un événement de ce type est très important pour une ville comme la nôtre. C’est très profitable en termes d’image, notamment à l’international. Mais c’est également un investissement à long terme puisque parmi le public jeune qui viendra participer au Championnat, on comptera de futurs décideurs. C’est donc l’occasion de leur faire découvrir la région et ses nombreux attraits. » « Ce Championnat sera également l’occasion de faire découvrir le Bridge à un plus large public », note Patrick Bogacki, vice-président de Fédération Française de Bridge. « C’est une discipline conviviale qui, par son jeu en équipe, favorise les rencontres intergénérationnelles. Il permet de développer l’imagination, la mémoire, la psychologie et la ténacité. »

Considéré comme un « sport cérébral », le Bridge se joue avec un jeu de 52 cartes et à quatre joueurs répartis en deux équipes de deux. Ses règles complexes reposant sur un système d’enchères et de comptage de points laissent plus de place à la stratégie qu’au hasard. Il compte environ 70 millions de joueurs dans le monde, dont 2,5 millions en France.

Mathieu Carré

Plus de renseignements et programme des activités sur le www.wucbridge2012reims.org


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Social Open Art : photos, slam, théâtre et communication.

Les étudiants de troisième année de la licence Sciences Sanitaires et Sociales, en partenariat avec l’AFEV, proposent l’édition 2012 du Social Open Art.

Quatre ateliers seront déclinés sous le thème de la famille : projection de photographies, performance slam, forme théâtrale, communication.

Rendez-vous le mardi 17 avril à 18h à la salle culturelle du CROUS au campus Croix-Rouge, 57 rue Pierre Taittinger.

Des photos seront également exposées du mardi 17 au dimanche 22 avril à la médiathèque Croix-Rouge.

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l’union120419b
Deux voitures brûlées

Hier vers 2 heures, une Peugeot 307 a été incendiée rue de Rilly-la-Montagne à Reims. Le sinistre s’est propagé à une Renault.

Mardi matin, un feu de benne à ordures de 15 m3 s’est déclaré au centre de stockage de Beine-Nauroy.

Ce même jour à 11 h 30, des petits incendiaires de bacs à sable ont mis le feu dans l’un d’eux avec des détritus, rue d’Arlington à Reims tandis qu’hier matin à 8 heures, les pompiers de Warmeriville ont dû intervenir avenue du Val-des-Bois à cause d’un poêle… à bois qui s’était emballé.

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l’union120419a
Un ouvrier frappé

Lundi vers 15 h 30, un ouvrier de 23 ans travaillant sur le chantier de réhabilitation de l’allée des Picards, dans le quartier rémois de Croix-Rouge, a surpris des individus qui tentaient de voler des outils.

Le groupe s’est enfui… pour mieux revenir armé d’un marteau et s’en prendre à l’ouvrier qui a été frappé.

Légèrement blessé au nez et au dos, il a dû être transporté au CHU.

Les agresseurs sont en fuite.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 120418d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7442 du 16 au 22 avril 2012.

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TRIBUNAUX DE COMMERCE

Par jugement du 10/04/2012, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : ATLAS TRANSPORTS EXPRESS (SARL), 5, all. des Landais-51100 REIMS. Activité : Transports public de marchandises et location de véhicules industriels avec conducteur. Utilisant des véhicules n’éxédant pas 3,5 tonnes de PMA. R.C.S. REIMS : B 501 726 566, pour le Greffe 2007 B 836.

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Le Greffier : B. DELPY.


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TRIBUNAUX DE COMMERCE

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 12 avril 2012, il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

FORME : SARL.
DENOMINATION : SO.RE.BAT.
CAPITAL : 5.000 € (cinq mille €uros), divisé en 250 parts de 20 € chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : Travaux, ravalements extérieurs, maçonnerie générale, enduits décoratives et pose de carrelage, faïence et dalles de terrasses.
DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S. de REIMS (51).
SIEGE : 45 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS.
GERANCE : Monsieur TUTMAZ Firat, demeurant 45 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
DEBUT D’ACTIVITE :16 avril 2012.
104999 Pour avis : Le gérant.

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l’union120418c
Conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny

Bien peu de monde dans la salle, mais une réelle participation.
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En ouvrant la réunion du conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny mardi 10 avril, Alain Bisteur, co-animateur élu, annonçait : « C’est un véritable nouveau conseil avec 31 membres dont 20 habitants parmi lesquels 14 nouveaux ! »

Le public, en revanche, ne s’est pas renouvelé avec seulement 27 habitants dans la salle, pour un quartier de plus de 20 000 habitants (la « quatrième ville de la Marne » selon un élu) !

Après la présentation des membres de ce nouveau conseil, les référents des cinq commissions, balades urbaines, emploi, jeunesse, tranquillité et animation, ont présenté au public leurs rapports respectifs d’activités. Alain Boudroit, co-animateur habitants regrettait : « Les boîtes aux lettres installées pour l’expression citoyenne et les signalements (zones sales, incidents, etc.) restent désespérément vides ! »

Rues en mauvais état

Bruno Gasnier, directeur adjoint Voirie et Circulation à la mairie, a révélé qu’à Croix-Rouge, 59 % des rues sont en bon état, 12 % sont dans un état moyen et 29 % sont en mauvais état : « Nous allons nous occuper de ces dernières avec un plan d’intervention sur trois ans. L’arbitrage politique a chosi la rue Branly pour 2012/2013 et l’avenue Robert-Schuman pour 2013/2014 ». Le premier adjoint Eric Quénard a expliqué : « Nous voulons éviter, par une vraie coordination, d’ouvrir et de reboucher plusieurs fois de suite une même rue. Il faut en effet programmer intelligemment les différentes priorités d’assainissement, de réseaux secs existants, de l’accessibilité, des deux roues, de la vitesse puis du chiffrage avant de lancer les premiers travaux. »

Des bancs

Les habitants ont demandé la pose de bancs à certains endroits stratégiques : à Saint-John-Perse, pour les mamans, côté piste cyclable pour les jeunes, près de l’Acrap, pour les personnes âgées, entre Croix-du-Sud et le centre commercial de l’Hippodrome et sur un espace vert entre Franchet-d’Esperey et Kennedy. Eric Quénard a mis en garde : « Implanter un banc, ce n’est pas anodin. C’est bien pour les mamans et les personnes âgées, mais cela peut aussi être une source de nuisances, comme des regroupements en soirée ! »

Place au cinéma

La projection gratuite à Croix-Rouge par « La pellicule ensorcelée » se déroulera le 14 août sur un terrain public avenue Bonaparte, en face de l’église Saint-Bruno. « Nous choisissons des espaces publics peu connus et peu fréquentés par les habitants pour qu’ils puissent se les réapproprier », précisait Eric Quénard. La projection elle-même sera précédée d’un pique-nique autour du film (titre encore inconnu) et d’une série d’animations avec des associations du quartier. La Mutes et l’espace Billard de la Maison de quartier sont déjà volontaires. « Il y a une trentaine d’associations dans ce quartier, nous espérons de nouvelles bonnes volontés », précisait Alain Bisteur.

……

Les questions du public

Salhi Belgaccem, éducateur, habite depuis trente ans dans le quartier. Il a protesté : « Vous annoncez 30 associations à Croix-Rouge, mais nous ne les connaissons pas ! Comment pourraient-elles se faire connaître ? » Proposition de Maria Mroivili, conseillère de quartier : « Je suggère l’organisation d’une sorte de forum des associations du quartier, ce qui permettrait aux habitants de les découvrir. » Enthousiasmé, Eric Quénard saisit la balle au bond : « Très bonne proposition à retenir et à mettre sur pied ! »

Le conseiller de quartier Naceur Benadela a évoqué la liquidation judiciaire de l’association 2 Mains et a regretté : « C’est moi qui avais créé cette structure bien avant qu’elle ne s’appelle 2 Mains » ! Selon lui, on lui en aurait confisqué la direction.

Quant à Alain Boudroit, il s’inquiète : « Quel est l’avenir du Bistroquet, fermé maintenant depuis le mois de décembre et qui manque tant aux jeunes et aux moins jeunes ? » Le premier adjoint le rassure : « L’Effort rémois et la ville de Reims travaillent avec quatre ou cinq associations intéressées par une reprise, mais nous demandons des garanties, un projet éducatif et des éducateurs. A ce moment-là, la municipalité mettra des moyens pour aider la structure qui recréerait ce lieu. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120418b
Tennis / Le Centre fédéral en pleine évolution

Le Centre fédéral, dirigé par Anthony Petit, accueillera l’année prochaine de nouvelles joueuses.
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La direction technique nationale de la Fédération française de tennis a décidé de non seulement pérenniser la labellisation du Centre fédéral mais surtout de l’étendre. Cette volonté se traduira par deux choses. Premièrement, l’année prochaine, le nombre de jeunes filles envoyées par la Fédé va être augmenté ; et en plus, une démarche sera faite auprès du ministère pour que cette structure soit inscrite au Parcours d’excellence sportive. « Ce qui représentera pour nous une reconnaissance, notamment dans la filière d’accès au haut niveau. Mais si nous en sommes là, c’est parce que nous avons eu de bons résultats et entretenu de bonne collaboration avec la ligue de Champagne-Ardenne (représentée par son président), le conseiller technique régional et l’entraîneur fédéral « , soutient Anthony Petit, responsable du Centre fédéral et du Centre de formation Géo-André.

« S’agissant du Centre de formation du club, nous menons actuellement une réflexion sur son développement. Ainsi pendant le mois de mai sera organisée une journée de détection », ajoute-t-il.

Parallèlement, a eu lieu, ce week-end, un stage national des meilleures filles françaises (qui sont nées entre 1999-2000) au Creps de Reims. Objectif : déceler les potentiels qui feront leur intégration à la rentrée prochaine dans les Pôles.

 

 

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l’union120418a
Université / Les malheurs du MET

Raphaël Blanchard a déposé une main courante au commissariat pour injures et menaces.
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Pas facile d’être un syndicaliste étudiant de droite à Reims, en tout cas sur le campus Croix-Rouge. Raphaël Blanchard, en 1ère année de droit, en sait quelque chose. Venant d’être élu au Cevu (conseil des études et de la vie universitaire) sous l’étiquette de ce Mouvement des ETudiants (plutôt marqué à droite ou au centre), il se dit victime d’insultes, menaces, perturbations et autres provocations de la part de certains qui ne partagent pas ses convictions et qui entendent le faire savoir autrement que par les moyens démocratiques. Pour être un petit peu plus précis, notre homme croit pouvoir faire un lien entre la présence d’un groupuscule de provocateurs (une demi-douzaine) et l’apparition sur les murs d’autocollants du Front de gauche ou du NPA (nouveau parti anticapitaliste)… autant d’affichage sauvage officiellement interdit soit dit en passant.

Tract « dégradant »

Si l’on en croit toujours notre élu du MET, les agressions (verbales) sont allées croissant depuis le 3 avril, date à laquelle l’Urca a mis un local à sa disposition sur le campus. C’est ainsi que le vendredi 6 avril, « un petit groupe est resté une heure et demie devant la porte de notre local où nous organisions un repas, à bloquer la porte en nous traitant de fachos, nazis, jeunesse hitlérienne, à faire mine de saboter notre lampe etc. » A tel point que Raphaël Blanchard a laissé une main courante auprès de la police, pour injures et menaces.

Mardi 10 avril, un tract que notre jeune homme qualifie de « dégradant » a circulé dans les murs de la fac, ponctué du slogan qui en dit long sur le niveau de ses auteurs, « on va te le « MET » dans le c… » Tract qui n’a toutefois pas eu le loisir de prendre racine, l’administration veillant régulièrement à faire disparaître les affiches « sauvages »…

Informé de ces agissements en fin de semaine dernière, le doyen Olivier Dupéron a répondu au plaignant que si les bisbilles dépassaient le niveau de la cour de récré, « toute forme de violence serait inacceptable ! »

Antoine PARDESSUS

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l’union120417d
Basket UNSS : Le Lycée Sévigné qualifié pour les championnats de France

L’équipe du lycée Sévigné qui s’est hissée en finale nationale
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Après avoir précédemment acquis le titre départemental et académique, les basketteurs cadets du Lycée Sévigné ont poussé le bouchon plus loin en se qualifiant pour les championnats de France UNSS qui auront lieu du 29 mai au 1er juin à Bourges.

Pour en arriver là et gagner leur place parmi les seize qualifiés au dernier stade de l’épreuve hexagonal, les protégés de Thierry Jauvain, professeur d’EPS, Christophe Mehay, Professeur de ST2S mais ex-basketteur confirmé, et de Benjamin Poucet, assistant d’éducation et entraîneur et joueur à l’Etoile de Charleville, ont été sacrés champions inter-académique au gymnase Arago de Reims.

Après avoir battu leurs collègues du lycée de Jean-Bart de Dunkerque (54-44) et s’être inclinés devant ceux du lycée Marie-Curie de Nogent-sur-Oise (72-76), les jeunes Ardennais l’emportaient grâce à un meilleur panier-average. Car, entre-temps, les Dunkerquois avaient dominé les Nogentais (50-43). La performance des petits Carolos est d’autant plus marquante qu’il est rare voire exceptionnel qu’un lycée sans option basket se qualifie ainsi pour l’épreuve finale.

Bravo donc à cette bande de potes composée de Victor Stévenin (Etoile), Paul Mehay, Tom Rouchy, Habib Diallo et Simon Rodriguez (Etoile), Victor Hocquet, Maxime Lelong et Yanis (Flammes Carolos) et d’Andrew Husson (non licencié). Tous ont su faire valoir leurs qualités collectives, leu jeu rapide et une zone presse efficace.

P.R.

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l’union120417c
777 106 euros de subventions aux associations non conventionnées

Après avoir publié le montant des subventions municipales allouées aux associations conventionnées avec la Ville, voici la suite des subventions versées par la Ville aux associations non conventionnées pour un montant total de 777 106 €.

Subventions d’équipement

Confédération nationale du logement : 148€.

Congrès et assemblées générales

District athlétique club de Reims : 320€ ; association des coronariens de Champagne-Ardenne La Cordiale : 320€ ; Reims échec et mat : 300€ ; société d’horticulture : 810€ ; association rémoise des jardins familiaux : 320€ ; comité de jumelage Aix la Chapelle : 320€ ; comité de jumelage Reims Florence : 610€ ; association des retraités militaires et des veuves de militaires de la Marne : 320€ ; comité rémois de la fédération nationale des anciens combattants en Algérie Maroc et Tunisie : 320€ ; union nationale des combattants : 610€ ; Entente family Stade de Reims athlétisme : 610€ ; cercle de bridge Reims Champagne : 1.000€ ; université de Reims Champagne-Ardenne : 5.000€ ; syndicat national des enseignants du second degré : 15.6500€ ; Initiales : 2.000€ ; association des assistantes maternelles du Nord-Est : 2.500€ ; générations cuisines et cultures (pour le concours cuisine en joute) : 5.000€ ; les amis des moulins marnais : 500€ ; Amnesty international : 5.000€ pour le congrès national.

Projets touristiques

Paysages du champagne unesco : 15.000€ (participation à la candidature auprès de l’Unesco en vue d’une inscription sur la liste du patrimoine mondial).

Fonctionnement comités de jumelage

Comité Reims-Aix-la-Chapelle : 14.600€ ; comité Reims-Canterbury : 14.600€ ; comité Reims-Florence : 17.600€ ; comité Reims-Salzbourg : 14.600€ ; comité Reims-Arlington : 14.600€ ; comité Reims-Brazzaville : 8.450€ ; comité Reims-Kutna Hora : 9.250€.

Projets étudiants

Comité régional du sport universitaire : 600€ (pour la 8e nuit du fitness, nuit de la forme) ; Reims avenir électronique électrotechnique automatique : 1.500€ (pour la coupe de France robotique) ; association rémoise des étudiants africains : 1.300€ (week end Urca contre les violences urbaines et soirée multiculturelle) ; Reims monte en scène : 3.000€ (25 ème festival) ; corporation des étudiants en médecine de Reims : 800€ (hôpital des nounours) ; association de solidarité des étudiants de Champagne Ardenne : 4.500€ (aide aux étudiants nécessiteux) ; bureau des étudiants de l’Esad : 1.200€ (exposition typo mobile) ; association pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés : 3.000€ (semaine nationale de l’alternance dans l’enseignement supérieur) ; bureau des sports du campus euroaméricain de sciences po Paris : 1.500€ (collégiades 2012 multidisciplines) ; international so’coeur : 1.500€ (tournoi européen de football inter-universités) ; ensemble 2 générations Reims : 1.700€ (campagne de com auprès des étudiants) ; Corepus : 800€ (table ronde : gestion de la communication auprès des étudiants).

Clubs sportifs

Académie de billard le Tapis vert : 4.500€ ; Aéro model club rémois : 600€ ; Amicale Carteret : 7.000€ ; Amicale Jamin : 12.000€ ; amicale laïque Clairmarais : 660€ ; Archimède club : 6.250€ ; association aventure bike Reims : 1.000€ ; association cycliste Bazancourt Reims : 10.000€ ; association sportive anti rouille : 250€ ; association sportive Croix-Rouge judo : 3.000€ ; association sportive Val de Murigny : 1.500€ ; association sportive Wilson Maison Blanche : 4.000€ ; bacchus club rémois : 300€ ; base-ball club Reims champagne : 1.200€ ; bicycle rémois : 750€ ; cercle nautique rémois : 2.400€ ; cercle rémois de boxe française : 1.700€ ; Champagne aéro-modèle club : 350€ ; champagne bowling association : 10.000€ ; cinq basket-ball club : 300€ ; club alpin de Champagne : 700€ ; club des lutteurs rémois : 18.000€ ; club des modélistes de la Goutte d’or : 600€ ; club rémois de danse sportive : 1.350€ ; compagnie d’arc de Reims : 3.500€ ; cyclo club rémois : 700€ ; dojo rémois : 12.000€ ; europe club plongée : 2.200€ ; face à face : 2.000€ ; groupe cyclotouriste de Reims Bezannes : 300€ ; les hommes grenouilles de champagne : 5.400€. judo club Orgeval : 12.000€ ; pédale rémoise : 2.500€ ; Mei hua Zhuang : 300€ ; rallye club de champagne : 660€ ; Reims avenir sport : 800€ ; Reims champagne natation : 18.000€ ; Reims enduro model car : 2.100€ ; Reims Europe escrime : 6.000€ ; Reims handisport : 13.000€ ; Reims judo de Champagne : 3.000€ ; Reims métropole volley : 16.000€ ; Reims palmes apnée : 1.100€ ; Reims roller Champagne club : 5.600€ ; Reims roller skating : 2.500€ ; Reims yoseikan budo association : 800€ ; Reims vétérans football club : 400€ ; Ring athlétique rémois : 3.000€ ; ring régional de Champagne de boxe : 5.000€ ; Ruc by : 7.000€ ; spéléo club de la Marne : 500€ ; tennis club de Reims : 8.840€ ; tennis racing club de la Muire : 4.400€ ; union française des œuvres laïques et d’éducation physique Ufolep : 6.500€ ; vélo club rémois : 1.500€.

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l’union120417b
Portraits de familles

« Les familles de l’Afev » (association de la Fondation étudiante pour la ville), ce sera le thème de l’exposition proposée à la médiathèque Croix-Rouge du mardi 17 au samedi 21 avril.

Seize étudiants en licence Sciences sanitaires et sociales de l’Université de Reims vont aller à la rencontre de seize familles de l’Afev afin de faire un portrait de famille, avec le photographe Jean-Christophe Hanché.

Un autre groupe s’inspirera de ces photos pour produire un ou plusieurs textes de slam avec Slam Tribu. Un groupe théâtre produira une pièce. Enfin, le groupe communication s’appuiera sur les clichés pour faire la promotion de ’cet évènement.

Renseignements au 03.26.35.68.45. Entrée libre.

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l’union120417a
Vandalisme / Les voitures brûlent

Plusieurs voitures ont brûlé ces dernières 48 heures, comme ici allée des Bourguignons au quartier Croix-Rouge.
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Les incendiaires n’ont pas chômé ce week-end. Comme relaté dans notre précédente édition, sept voitures ont brûlé au quartier Croix-Rouge durant la nuit de samedi à dimanche : les trois premières allée des Bourguignons, les quatre autres rue du Docteur-Billard (dans les deux cas, la mise à feu d’un seul véhicule s’est propagée à ceux garés à côté).

Toujours dimanche, mais l’après-midi, la carcasse calcinée d’une Citroën AX a été retrouvée chemin des Courtes-Martin aux Epinettes. Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

Hier vers 3 heures du matin, une vieille voiture a flambé dans le jardin d’une maison inoccupée de la Grande-Rue à Trois-Puits (le propriétaire est décédé depuis un mois). L’incendie a également parcouru les herbes folles du jardin.

L’origine du sinistre reste à déterminer. Pour l’instant, les gendarmes ignorent si le feu a pris dans la végétation avant de se propager au véhicule, ou l’inverse.

Il n’y a pas que les voitures qui brûlent. Dimanche à 3 h 30, un feu de poubelle s’est déclaré rue Cellier à Reims. Vers 18 h 15, un vieux sommier a été incendié à l’extérieur d’un immeuble du boulevard Barthou. Quinze minutes plus tard, appelés pour de la fumée s’échappant d’un appartement de la rue Pierre-Taittinger, les pompiers ont découvert des aliments oubliés sur le feu.

Enfin, hier vers 13 heures, la poubelle d’un arrêt de bus s’est enflammée rue d’Estienne-d’Orves.

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l’union120416db
Le dessin de Raoul Dufy acheté par un internaute

L’ordre d’achat est arrivé en direct, pendant la séance. Le dessin était exposé à l’hôtel des ventes.
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CHALONS-EN-CHAMPAGNE (Marne) Cette pièce exceptionnelle est partie de Châlons de façon inattendue… L’hôtel des ventes s’adapte à son époque.

LE développement des nouveaux services rendus accessibles par internet ne ralentit pas. Hier après-midi, une grande vente aux enchères était organisée par Me Patricia Casini-Vitalis, commissaire-priseur à Châlons. Des bijoux, des sculptures, des sacs, des tableaux… Parmi ces objets, un dessin du peintre Raoul Dufy (1877-1953) figurait parmi les pièces susceptibles de créer la surprise (lire notre édition d’hier).

Vendu 1 200 euros

Ce qui a effectivement été le cas. Non par son prix d’achat, puisque le dessin a été adjugé à 1 200 euros (il était estimé 2 000 euros), mais du fait de l’offre elle-même. « L’ordre d’achat est arrivé sur l’ordinateur, pendant la vente » explique la commissaire-priseur. Car il est désormais possible de faire une offre ponctuelle à distance une fois les enchères commencées, via internet. La pratique devient de plus en plus courante. Contrairement à des sites bien connus depuis plusieurs années, l’avantage pour le client est d’être assuré de l’authenticité de la pièce mise en vente, et de son état. Le commissaire-priseur en répond. L’aspect négatif de cette tendance est la désertification chronique des salles de ventes. Un nouveau dispositif permettra à moyen terme de participer aux enchères en voyant la salle, comme si l’acheteur était sur place.

Les distances sont abolies, le contact avec les objets disparaît, l’échange avec le commissaire-priseur devient plus distant. La profession s’adapte plus par pragmatisme que par goût à cette nouvelle réalité.

Le dessin de Raoul Dufy, un lavis à l’encre de Chine sur papier représentant une tisseuse, a été acheté par un anonyme. « Il ne s’agit pas d’une galerie d’art » a précisé Patricia Casini-Vitalis. Par ailleurs, le diamant en forme de poire monté sur une bague et proposé à 8 500 euros n’a pas trouvé preneur.

S.L.

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l’union120416c
L’heure du bilan pour l’Usep 51

L’assemblée a eu lieu dans les locaux de « Sport Santé Nature ».
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L’assemblée générale Usep 51 (Union sportive de l’enseignement du premier degré) s’est déroulée dans les locaux du relais « Sport Santé Nature » de Bouzy. Mme Paillard, maire de Bouzy, était ravie d’avoir un représentant de l’Usep nationale à ses côtés.

Dans son rapport moral, le président Daniel Roux a félicité l’accueil et le lien créé avec la commune. Il a remercié Jean-Louis Droin, représentant l’Usep nationale, pour son soutien dans les moments difficiles…

« Marcher, c’est bon pour la santé, c’est bon pour la planète. » Plusieurs actions réalisées vont dans ce sens, plus de 5 000 scolaires bénéficient de rencontres sportives. « Nous avons adapté le prix des licences et nous invitons d’autres associations d’écoles à s’orienter vers ce projet », a souligné le président.

Christophe Viet a indiqué que le nombre de licenciés était en progression avec une stabilité du nombre des associations. Il a détaillé le contrat d’objectifs et remercié Didier Bech pour le développement de l’activité « rugby » dans le département avec plus de 100 classes participantes et annoncé une opération « Scola-tennis ». Les manifestations départementales rythment l’année scolaire et les projets 2012 sont nombreux.

Le rapport financier, présenté par Pierre Camus, trésorier, a informé que l’année 2010 se terminait avec un déficit dû à la baisse de la subvention du conseil général et des charges en augmentation. M. Camus et M. Roux ont reçu la médaille d’argent de l’Usep nationale.

Mme Paillard a remercié M. Viet, délégué 51, pour sa collaboration.

M. Maireaux, président de la Ligue 51, est satisfait de voir que la Ligue 51 et l’Usep 51 travaillent dans un climat de sérénité.

M. Drouin a affirmé que « rencontres et projets » étaient les bases de l’Usep et permettaient à l’enfant d’entrer dans l’activité sociale. Il a précisé que le département de la Marne avait été cité en exemple au cours des échanges.

Concernant le projet « santé », l’Usep nationale a obtenu le PNNS.

L’assemblée générale s’est terminée par le verre de l’amitié offert par la mairie de Bouzy.

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l’union120416b
Un guide des vaccinations

À l’occasion de la semaine européenne des vaccinations, la Ville vient de rééditer le guide des vaccinations qui recense l’essentiel sur les vaccinations et leur suivi par le service communal d’hygiène et de santé.

Considérant que plus de 15 000 cas de rougeole ont été recensés en France en 2011, une maladie qui touche dans la moitié des cas des 15 à 30 ans (et qui conduit un tiers des malades à l’hospitalisation avec certaines fois des complications neurologiques ou pulmonaires parfois mortelles), la vaccination contre la rougeole chez les adolescents et les jeunes adultes sera la priorité de cette semaine nationale.

Vaccinations gratuites

Les parents dont les enfants jusqu’à 15 ans ne sont pas à jour de leur vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) recevront un courrier et des documents spécifiques.

Les Rémois pourront se faire vacciner gratuitement contre la diphtérie, le tétanos et la polio demain mardi 17 avril de 17 h 30 à 19 heures à la maison des préventions, 1, rue Eugène-Wiet et le jeudi 19 avril de 13 à 16 heures au SCHS, 33 bis, rue Laurent-Demarez.

Quiz

Des quiz permettant aux usagers de tester leurs connaissances des usages en matière de vaccinations seront organisés dans les antennes municipales. Ce lundi 16 avril (après-midi) à La Neuvillette ainsi que le mardi 24 avril (après-midi) à Val-de-Murigny.

Par ailleurs, les élèves sages-femmes de 4e année participeront le mercredi 18 avril de 14 à 16 heures à l’IRF, 45, rue Cognacq-Jay, à des travaux dirigés sous forme de jeu de questions/réponses. Tous ces rendez-vous sont coordonnés en lien avec l’agence régionale de santé, le département, le CHU, le centre marnais de promotion de la santé et l’école de sages-femmes.

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l’union120416a
Sept voitures brûlées à Croix-Rouge

Si les cambrioleurs étaient de sortie à Reims dans la nuit de vendredi à samedi (voir notre édition de dimanche), ce sont les brûleurs de voitures qui ont pris le relais la nuit suivante et notamment à Croix-Rouge où, au total, sept véhicules ont subi leur vandalisme, en deux endroits distincts.

Un premier départ de feu était en effet signalé dans l’allée des Bourguignons un peu avant 2 heures du matin dimanche ; sur place, les pompiers et les policiers ont trouvé une Mégane qui brûlait, et qui, par propagation, avait endommagé deux autres voitures.

Deux heures plus tard environ, c’est un autre coin de ce même quartier Croix-Rouge qui se distinguait de la même façon, la rue du Docteur-Billard, derrière le supermarché Match. Là, un feu s’était propagé à un total de quatre voitures.

On notera aussi que les pompiers sont intervenus pour un autre feu de voiture, peu après 1 heure du matin, route de Cernay.

A.P.

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l’union120415c
Durant toute la journée à Croix-Rouge : La bibliothèque brade

En 2011, l’opération « Vos héros pour 1 euro ! » avait reçu plus de 1 000 visiteurs venus de Reims et d’autres départements et plus de 7 000 documents y avaient été vendus.

Cette année, la braderie de la bibliothèque municipale aura lieu pour sa 4e édition aujourd’hui dimanche 15 avril de 10 à 18 heures, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.

Au total, l’opération « Vos héros pour 1 euro » proposera plus de 5 000 documents aux amateurs : CD, romans, polars, BD, magazines, ouvrages pour enfants, livres de cuisine, d’art, d’histoire… à un tarif plus qu’abordable : de 1 à 2 € par document.

En fin d’après-midi, le livre connaîtra même son happy hour : à partir de 16 heures, pour un document à 1 € acheté, le 2e sera offert !

À noter cependant, les achats sont limités à dix documents par personne, et la revente est interdite.

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l’union120415b
Un dessin de Raoul Dufy mis en vente aujourd’hui

La Tisseuse sera mise à prix 1 300 euros.
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Châlons-en-Champagne (Marne). Parmi les bijoux et tableaux proposés aux enchères, cette rareté : une tisseuse parfaitement authentifiée comme étant l’œuvre du célèbre peintre.

LA vente organisée aujourd’hui à Châlons-en-Champagne se distingue des autres à plus d’un titre. Tout d’abord, ce dessin. Il s’agit d’un lavis d’encre de Chine sur papier, de petite dimension (environ 20 cm par 28 cm), exécuté par Raoul Dufy.

Grand peintre multiforme, souvent classé un peu trop rapidement comme relevant du seul Fauvisme dont il s’était pourtant détaché, Raoul Dufy s’était passionné pour le tissu et la mode. En 1911, il avait rencontré l’un des plus grands couturiers du début du XXe siècle, Paul Poiret. C’est avec lui qu’il créera La Petite Usine. Raoul Dufy exécute alors des tissus imprimés et des étoffes qui deviendront célèbres. À la veille de la Première Guerre mondiale et après le conflit, le peintre avait également travaillé avec la maison Bianchini-Férier, comme dessinateur pour la production de tissus en soie.

« Il avait fait beaucoup de gouaches destinées à la haute couture. C’est une activité qu’il estimait noble », explique Patricia Casini-Vitalis, commissaire-priseur à Châlons, laquelle relie ce dessin - représentant une tisseuse - à cet aspect de sa vie. L’œuvre a pu être authentifiée, un certificat en fait foi.

Ami de Georges Braque, avec lequel il s’était rendu à L’Estaque, illustrateur d’Apollinaire, marqué par Matisse et Cézanne, Dufy développe ensuite un chemin très particulier. « Tout dessin de Raoul Dufy est en quelque sorte sa signature et ce qu’on est convenu d’appeler signature inimitable. […] Car rien ne tombe de plus haut ni ne forme des entrelacs plus rapides qu’un fil de miel si ce n’est l’arabesque dont notre peintre couvre sa feuille. D’un bout à l’autre elle tombe de lui vertigineusement », écrivait Jean Cocteau.

D’autres tableaux sont proposés au cours de cette vente. Le dessin de Raoul Dufy sera mis à prix 1 300 euros, alors qu’il est estimé à 2 000 euros. Il ne s’agit pas de la vente la plus onéreuse du jour, loin de là. Une bague comportant un diamant solitaire en forme de poire va être proposée à 8 500 euros…

Sébastien LAPORTE

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l’union120415a
Ça brûle à Croix-Rouge

Ce dimanche à 1 h 50, les sapeurs-pompiers de Reims ont été requis allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge, pour deux véhicules en stationnement qui étaient la proie des flammes. A leur arrivée, une troisième auto commençait à être mangée par le feu. Les sauveteurs ont utilisé une lance à mousse pour coiffer le sinistre en présence de la police.

Vers 4 heures, les sauveteurs se sont rendus cette fois rue du docteur Billard, où sur un parking quatre voitures garées étaient totalement embrasées et une cinquième touchée par les flammes. Les sapeurs-pompiers ont mis deux lances en manœuvre pour éviter au sinistre de se propager encore. Une enquête de police est ouverte pour déterminer l’origine de ces feux à répétition.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 120413d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7441 du 9 au 15 avril 2012.

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CAPELLA RESSOURCES ET DEVELOPPEMENT

Société à responsabilité limitée au capital de 4.400 €uros

Siège social :
20 rue Victor Tilmant
59000 LILLE (Nord)
514 878 669 R.C.S. Lille

Suivant un procès-verbal de décisions extraordinaires de l’associé unique du 21 décembre 2011, il résulte que le siège social a été transféré, à compter du 21/12/2011, de LILLE (Nord), 20 rue Victor Tilmant,

à REIMS (51100), 20 allée Yves Gandon.

En conséquence, l’article 4 des statuts a été modifié. La société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS.

Pour avis :
104839 Le représentant légal.


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AVIS D’APPEL A CONCURRENCE

1. POUVOIR ADJUDICATEUR : SA HLM LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.
2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Procédure adaptée ouverte.
3. OBJET DU MARCHE : Construction de 20 logements collectifs BBC - quartier Croix-Rouge G10 Rue Lavoisier 51100 REIMS. Présence d’une clause d’insertion : 6 % des heures travaillées.
4. DUREE DU MARCHE : Le marché aura une durée de 16 mois.
5. LOTS :
- Lot 01 : Terrassement - Gros oeuvre ; — Lot 02 : Cloisons - Isolation ;
- Lot 03 : Menuiseries extérieures PVC - Vitrerie - Fermeture ;
- Lot 04 : Menuiseries intérieures ;
- Lot 05 : Plomberie sanitaire ;
- Lot 06 : Ventilation mécanique contrôlée ;
- Lot 07 : Chauffage eau chaude ;
- Lot 08 : Electricité courants faibles courants forts ; — Lot 09 : Etanchéité végétalisation ;
- Lot 10 : Serrurerie ;
- Lot 11 : Portes de garage ;
- Lot 12 : Revêtements de sols ;
- Lot 13 : Revêtements de sols souples collés ; — Lot 14 : Peinture ; — Lot 15 : Ascenseur ;
- Lot 16 : Isolation thermique extérieure - bardage zinc ; — Lot 17 : VRD - espaces verts.
6. VARIANTES : Autorisées.
7. DOSSIER DE CONSULTATION : Le dossier de consultation est transmis à titre onéreux sur demande auprès de : ICA REPROGRAPHIE, 34 rue Alain Colas - 51450 BETHENY. Tél. : 03.26.07.37.24 - Fax : 03.26.07.37.61.
8. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES : Le 25 mai 2012 à 17 h 00.
9. CONDITIONS DE PARTICIPATION : SITUATION PROPRE DES OPERATEURS ECONOMIQUES, Y COMPRIS EXIGENCES RELATIVES A L’INSCRIPTION AU REGISTRE DU COMMERCE OU DE LA PROFESSION :
- Une lettre de candidature (ou modèle DC 1) ;
- La déclaration du candidat (ou modèle DC 2) et ses justificatifs ;
- Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l’assiette et du recouvrement des impôts et des cotisations de sécurité sociale, d’allocations familiales, de congés payés, établie postérieurement au 31 décembre de l’année précédant la présente consultation, ou DC 7 ;
- Une déclaration sur l’honneur justifiant que le candidat n’a pas d’interdictions de soumissionner ; — Les renseignements sur le respect de l’obligation d’emploi mentionnée à l’article L. 5212-1 à 4 du code du travail ;
- Les documents ou attestations figurant à l’article D 8222-5 du code du travail ; — Copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire. CAPACITE ECONOMIQUE ET FINANCIERE :
- Les attestations d’assurances ;
- Les chiffres d’affaires des 3 dernières années. CAPACITE TECHNIQUE :
- Une liste de références et des renseignements sur les moyens humains, matériels, techniques de l’entreprise, le chiffre d’affaires des 3 dernières années et les pouvoirs de la personne habilitée à l’engager, ou DC 2. Les candidats doivent nous transmettre des références en privilégiant les prestations similaires ;
- Copie des qualifications professionnelles et/ou certifications : attestations diagnostiqueurs en vigueur à la date de la remise des offres.
10. ANALYSE DES OFFRES : CRITERES DE JUGEMENT :
- Prix des prestations : 60 % ;
- Valeur technique : 40 % :
• Dont : insertion : 10 % ;
• Dont : moyens humains, matériels et techniques affectés au chantier :15 % ;
• Dont : mémoire technique : 15 %.
11. RENSEIGNEMENTS : Pour obtenir tout renseignement, les candidats doivent en faire la demande auprès de : SARL Patrick Durand & Associés - Architectes et Urbanistes, M. DURAND, 36 boulevard de la Bastille - 75012 PARIS. Tél. : 09.54.60.80.03 - Mail : dpa.archi@gmail.com
12. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS SUR LE JOUE, SUR CE SUPPORT ET SUR LE MONITEUR : Le 03/04/2012. 104782


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TRANSFERT DE SIÈGE

Aux termes d’une délibération en date du 21 février 2012, l’AGE de la SCM SOS MEDECINS MARNE, société civile de moyens au capital de 1.372,05 €, dont le siège social est sis 21 rue Pierre Taittinger à REIMS, immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le n° 429 788 227,

a décidé de transférer le siège social au 10 place Maurice Utrillo à REIMS,

à compter du 8 mars 2012 et de modifier en conséquences les statuts. Modification sera faite au greffe du tribunal de commerce de REIMS.

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L’hebdo du vendredi- N° 255 - 120413c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 255 - Semaine du 13 au 19 avril 2012

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1 an de tramway / Qu’en pensent les usagers ?

Satisfaits du nouveau service, perdus face aux changements de lignes, sceptiques sur l’indispensable nécessité du tramway, les avis des utilisateurs du réseau Citura sont multiples et surtout, très hétéroclites…

Si beaucoup de Rémois ont exprimé moult difficultés à s’adapter au nouveau maillage du réseau, ainsi qu’à la nouvelle dénomination des lignes de bus, certains avaient néanmoins anticipé la manœuvre, comme Marcel, fringuant septuagénaire, retraité de l’Éducation Nationale : « Comme je ne me déplace qu’en bus, je me suis dit qu’il fallait que je m’adapte le plus vite possible. C’est pour ça que, plusieurs semaines avant, j’ai téléchargé le nouveau plan Citura que j’ai étudié. De cette manière, dès le premier jour je savais quelles lignes prendre. » Même bilan positif pour Murielle, infirmière au CHU Robert Debré qui se réjouit surtout de l’arrivée du tramway : « Habitant dans le quartier Cernay, avant je devais prendre deux bus, le C et le N pour aller jusqu’à l’hôpital. Avec le tramway, c’est plus pratique et plus rapide. J’ai gagné pratiquement 15 min de transport, soit une demi-heure aller/retour, ce n’est pas négligeable ! » Pour Yvon, commercial basé à Reims mais se déplaçant sur tout l’Est de la France, « le vrai plus, c’est d’avoir fait arriver le tram jusqu’à la gare Champagne-Ardenne TGV. Avant pour rejoindre la gare, je devais prendre l’interminable ligne K. Désormais, quand je pars à Strasbourg, Metz ou Nancy par exemple, je peux rejoindre la gare rapidement avec le tram, quelle que soit la circulation ».

Face à ces réactions plus que positives, il fallait toutefois s’attendre à d’autres témoignages bien moins enchantés. Et dans cet esprit, c’est probablement Fanny, étudiante en deuxième année de Droit au campus Croix-Rouge, qui se montre la plus véhémente : « Franchement, je ne vois pas ce que le tram a changé, au contraire. L’an passé, je prenais la ligne H au théâtre jusqu’à la fac. C’était rapide, la ligne passait toutes les cinq minutes. Avec le tram, la fréquence est beaucoup plus espacée et puis il y a trop souvent des incidents sur la ligne et lorsque c’est le cas, le trafic s’arrête complètement. Et tout ça sans oublier l’augmentation du tarif du ticket et des abonnements, ras le bol ! » Plus mesuré, Yves regrette, lui, le tracé des anciennes lignes de bus : « Entre les arrêts déplacés, les autres retirés, les fréquences de passage plus longues, j’ai un peu l’impression que le réseau a perdu de son efficacité. D’une certaine manière, c’est un peu comme si les gens de Citura étaient un peu perdus et ne savaient pas trop comment faire pour améliorer le service. »

Bilan mitigé donc après cette première année d’exploitation du tram à Reims. Si, dans l’ensemble, les usagers se réjouissent en majorité de l’arrivée du tramway, c’est principalement le nouveau plan du réseau qui semble poser de vrais problèmes.

Aymeric Henniaux


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Conférence à l’Espace Billard : nos envies alimentaires en question

Dans le cadre des activités de l’association Quantum, Christiane Beerlandt, auteure belge du best-seller "La Clef vers l’Autolibération - Origines et solutions psychologiques de 1000 maladies", animera une conférence sur le thème « les origines psychologiques des maladies et les raisons de nos envies alimentaires ».

Rendez-vous le vendredi 13 avril à 20h à l’Espace Billard, maison de quartier Croix-Rouge, au 14, rue Pierre Taittinger à Reims.

Entrée payante : 12€.


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Nouveau Planétarium : Démarrage du chantier imminent

L’architecte Jean-Paul Bonnemaison a imaginé un planétarium rappelant « un objet céleste qui viendrait se poser pour faire le lien entre les terriens et le reste de l’univers ».
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Inauguré en mars 1980, le planétarium de Reims se prépare à déménager.

Actuellement localisé dans l’enceinte de l’Ancien Collège des Jésuites, il s’installera fin 2013 dans un batiment neuf sur le site du gymnase de l’ancienne école Franchet d’Esperey dont la démolition débutera dans une dizaine de jours.

Plus ancien planétarium de France, après celui du Palais de la Découverte créé à Paris en 1937, l’établissement rémois assure avec brio depuis 1980 sa mission de faire découvrir les mystères du ciel et de notre univers. 30 000 visiteurs s’y pressent ainsi chaque année. Mais après plus de trente années de service, il était temps pour le planétarium rémois de se moderniser. « Depuis plusieurs années se posait la question de son transfert », assure la maire de Reims, Adeline Hazan. « Quand l’arrivée de SciencesPo a été décidée en 2008, le déménagement des activités qui se déroulaient dans l’Ancien Collège des Jésuites a été acté. Au même moment, un emplacement à Franchet d’Esperey s’est libéré. Au vu de sa situation géographique, proche d’établissements scolaires et universitaires, de la ligne de tramway et de la gare SNCF Franchet d’Esperey, ce site nous a semblé idéal. Et puis, dans le cadre de notre politique culturelle, il était important de déménager cet équipement d’excellence dans un autre quartier que le centre-ville, à l’image de l’implantation de la friche artistique dans le quartier Orgeval ». Ce sera donc chose faite fin 2013, quand le nouveau planétarium sera achevé. D’une superficie de 600 m2, dont 400 m2 d’espaces publics comprenant notamment une salle d’expositions de plus de 150 m2, il abritera une coupole de 8 mètres de diamètre pouvant accueillir 50 personnes simultanément contre 40 actuellement, et sera doté d’un nouveau projecteur astronomique. Reims sera d’ailleurs la première ville française à posséder ce matériel dernière génération fabriqué par une société allemande. « C’est un appareil qui offre une image du ciel très proche de la réalité, comme en pleine nature », précise Philippe Simonet, directeur du planétarium. Vu de l’extérieur, ce bâtiment flambant neuf ne devrait pas passer inaperçu. « J’ai imaginé un objet céleste qui viendrait se poser pour faire le lien entre les terriens et le reste de l’univers », décrit l’architecte du projet, Jean-Paul Bonnemaison. En effet, le futur planétarium, bordé par un très large espace gazonné où il fera bon pique-niquer, sera construit sur un plan en ellipse « afin de rappeler le système solaire », avec à son sommet un dôme, tandis que ses murs extérieurs seront recouverts d’écailles en verre censées rappeler une comète. Coût de ce planétarium dernier cri ressemblant à un OVNI : 3,4 millions d’euros dont environ 400 000 euros pour le nouveau projecteur astronomique. Mais en attendant son déménagement, fin 2013, le planétarium poursuit ses activités dans l’Ancien Collège des Jésuites, et ce jusqu’au 6 janvier 2013.

Julien Debant

Planétarium de Reims, 1, place Museux. Renseignements : 03 26 35 34 70 ou planetarium@mairie-reims.fr Ouvert tous les jours pendant les vacances scolaires de 14h à 18h. Séances à 14h45, 15h30 et 16h45. Séances en période scolaire : les mercredis à 14h45 et 15h30. Les samedis et dimanches à 14h45, 15h30 et 16h45.

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l’union120413b
Aménagements rue de Bezannes

Depuis plusieurs années, la section« , Urbanisme » de l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion réclamait des aménagements routiers de sécurité dans le secteur de la rue de la Garenne. Il semble bien qu’elle ait été enfin entendue. »

En effet, à la suite des réclamations des riverains de la rue de Bezannes, dénonçant des vitesses excessives des véhicules et la dangerosité dans le tronçon compris entre les rues Charles-de-Seze et de la Garenne, la Ville de Reims va réaliser des travaux afin de sécuriser la rue.

Comme il a été proposé lors de la balade de quartier du 22 décembre 2011, un stationnement en chicane sera implanté du n° 12 bis au n° 16 de la rue », confirme le premier adjoint Eric Quénard : « Cette mesure est prise à titre expérimental. Les travaux vont débuter ; pendant la courte durée du chantier, des restrictions de circulation et stationnement pourront être mises en place en fonction de l’avancement des travaux.

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l’union120413a
1 An sur les rails : ils ne peuvent plus vivre sans lui

« Bien d’en avoir le soir »

Clément et Michael étudiants en deuxième année de droit : « C’est beaucoup mieux que le bus Surtout en gain de temps.

Il fallait parfois attendre le bus pendant 20 minutes.

On est mieux installé même si c’est souvent bondé.

On a aussi l’avantage d’en avoir tard le soir. En avoir même un peu plus tard serait encore mieux. »

« Bon pour l’image des quartiers »

Fulvie Nguidjo, travailleuse sociale dans le quartier : « Depuis L’arrivée du tram, le climat est plus sécurisant pour les personnes qui viennent travailler à Croix-Rouge.

Par ailleurs, je trouve que le tramway a fait du bien aux habitants des quartiers. Il les a mis en valeur. Avant on ne voyait Croix-Rouge qu’à travers les feux.

Le regard des personnes extérieures a changé et c’est une bonne chose »

« Plus régulier et plus confortable »

Alice, Reims Management School : « Avant, il fallait que je marche pour aller chercher un bus. Maintenant, j’ai le tram en bas de chez moi. Je gagne beaucoup de temps par rapport à l’année dernière »

Aussi enthousiaste, sa copine Camille, également scolarisée à RMS : « Avant le tram, Je faisais beaucoup de trajets à pied tellement Il était long d’attendre Le bus. Le tramway est plus régulier, plus confortable et il s’arrête sans qu’on en fasse la demande. Ainsi on n’est pas obligé de toujours regarder Le trajet de peur de rater l’arrêt ».

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l’union120412f
Samedis du sport : rendez-vous le 14 avril

Dans le cadre d’une action sport et santé, nouvelle journée « Samedis du sport », le samedi 14 avril, avec une dizaine d’activités différentes mises en place gratuitement, de 10 heures à midi, encadrées par des bénévoles de clubs et des éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives de la Ville. Pour le mois d’avril, huit activités sont proposées un peu partout en ville : aviron, tennis de table, handball, escrime, initiation roller, marche nordique, échecs et kinball/swin golf/badminton.

- Aviron.- De 10 heures à midi aux Régates rémoises, 2, rue Clovis-Chézel (savoir nager).
- Échec.- De 10 heures à midi, initiation et jeu libre tous publics à partir de 6 ans à Reims échec et mat, 32, rue Ledru-Rollin.
- Tennis de table.- De 10 heures à midi, avec l’Olympique Rémois à René-Tys. Tous publics à partir de 6 ans. (Port de baskets sorties du sac, semelles blanches obligatoires).
- Escrime.- De 10 heures à midi à René-Tys, 40, rue Léo-Lagrange avec le Cercle d’escrime rémois. Tous publics à partir de 6 ans. (Tenue de sport, port de baskets sorties du sac, semelles blanches obligatoires).
- Marche nordique.- De 10 h 30 à midi avec l’Efsra au parc de Champagne, 13, avenue du Général-Giraud. Tous publics à partir de 12 ans.
- Kind ball, swin golf et badminton.- De 10 heures à midi avec l’Usep au gymnase Léo-Borgniet, 4, - rue Raoul-Dufy. (Tenue de sport, port de baskets sorties du sac pour les activités d’intérieur). Tous publics à partir de 6 ans.
- Initiation roller.- De 10 heures à midi au gymnase François-Legros, boulevard Kennedy avec le RHR (prévoir son matériel : rollers, protections tête, coudes, genoux, poignets). Tous publics à partir de 6 ans.
- Handball.- De 10 heures à midi au gymnase Vasco-de-Gama avec le Reims Champagne Handball. Activités parents, enfants.

S’inscrire sur le site : www.reims.fr (sports/evenementssportifs), dans les antennes municipales et à l’hôtel de ville.

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l’union120412e
Sidaction

Des associations étudiantes des facultés de droit et de sciences-eco, au campus Croix-Rouge, organisent une journée d’animations pour le Sidaction, aujourd’hui jeudi.

La Corpo AES, la Corpo Droit et la Promo 3E proposeront aux étudiants un petit déjeuner le matin, accompagné de jeux et de quiz afin d’informer et de sensibiliser les étudiants aux dangers du sida.

À midi, ces associations organisent un barbecue sur le campus, avec la vente de goodies, petits objets à l’effigie du Sidaction.

Les fonds collectés lors de cette journée d’action permettront de soutenir la lutte contre le sida.

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l’union120412d
Tennis (Championnat Champagne) / La surprise Grandveau

Le pré-tour deuxième série a généré quelques surprises.

Chez les messieurs, François-Pierre Grandveau (4/6, TC Troyes) a créé la sensation en éliminant l’une des têtes de série, Théophile Castelhano (1/6, Reims Europe Club). De son côté, Charles Gilles (3/6, TC Reims) a réalisé un joli parcours ponctué d’une « perf » contre Romain Cadrillon (2/6, Saint-Dizier) qui lui permet d’intégrer le tableau final, les 15 et 16 juin. Ce duo sera accompagné par Arnaud Lalouette (1/6, Vitry) et Florent Seuret (2/6, Reims Europe Club).

Chez les dames, la logique a été respectée avec les qualifications des 3/6 Laure Chardin, Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) et Claire Duter (Sedan). Seule Audrey Sarrazyn (5/6, TC Reims) est l’invitée surprise, son adversaire Aurélie Marchal (3/6, Géo-André) ayant déclaré forfait.

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l’union120412c
Il tente d’étrangler sa femme

Un différend conjugal sur fond de séparation a dégénéré dimanche après-midi chez un couple domicilié allée des Provençaux à Reims.

Aux policiers venus la secourir, l’épouse a déclaré que son mari avait tenté de l’étrangler avant de la menacer de mort avec un couteau. L’homme avait légèrement bu (0,62 gramme d’alcool par litre de sang). Il a nié les violences. D’après ses dires, il n’aurait fait que bousculer sa femme en tentant de récupérer un livret de famille et des photos de mariage.

Laissé libre, l’époux est convoqué le 25 juin devant le tribunal correctionnel.

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l’union120412b
Vers un concours de cuisine grand format à RMS

Hugues Villemain : « Ça va marcher, il n’y a qu’à voir l’intérêt pour les concours de cuisine en France ! »
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Hugues Villemain
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Village de tentes, un millier de places en gradins, écran géant… Les étudiants de RMS veulent frapper un grand coup pour le premier concours culinaire national réservé aux étudiants.

VOUS savez ce qui va se passer à Reims, les 12 et 13 mai prochains ? Eh bien, si tout marche comme le prévoit une joyeuse bande d’étudiants de RMS, notre ville va tout simplement concurrencer les Top Chef, Masterchef et autres Dîner presque parfait qui font les belles heures culinaires du petit écran. Car ces deux jours-là, Reims accueillera le premier concours de cuisine national jamais réservé aux étudiants.

C’est l’association Arretedemalbouffer qui en est à l’origine. Elle avait déjà eu l’occasion de faire parler d’elle à diverses reprises, en organisant par exemple un marché de bons produits artisanaux à Noël, ou plus récemment, un dîner à petit prix dans le cadre prestigieux du palais du Tau. Cette fois, avec son concours intitulé « Les Toqués », elle entend faire encore plus fort.

Bien plus fort, même ! On ne sera pas là dans la gentille animation à moindres frais sur un coin de table d’un restau U, non. Le président de l’assoc’, Hugues Villemain, cite, au contraire, des chiffres à vous faire tourner la tête avant même d’avoir bu une flûte de champagne : 1 000 m2 de structure de scène, 1 200 places en gradins, une vingtaine d’exposants dans un village de tentes, dont un bar à champagne, et un petit marché, un jury composé de chefs étoilés de la région ; il est aussi question d’écran géant, de présence des télés, bref, un budget de 150 000 euros !

Les Restos du cœur dans le coup

En outre, la chose doit aussi faire très fort en matière de visibilité, donc pas question de faire ça en catimini : le concours doit se dérouler à côté de la porte Mars, en plein centre de Reims !

Le plus beau, c’est que ce budget plus que conséquent est quasiment bouclé : il reste à trouver (seulement) 30 000 euros. Mais le président ne se fait pas trop de souci pour ça. Car pour lui et son équipe d’une quinzaine de toqués de la bonne bouffe pour pas cher (car on s’adresse à des étudiants, et donc à des budgets serrés), « c’est sûr que ça va marcher ! On fonctionne sur plusieurs vecteurs à la fois : la lutte contre la malbouffe, l’équilibre alimentaire des étudiants, et l’intérêt pour les concours de cuisine en France : il n’y a qu’à voir le succès des émissions de télé sur le sujet… » Sans oublier un côté humanitaire également puisque les Restos du cœur seront bénéficiaires de l’opération. Bref, nos cuisiniers amateurs se refusent à envisager de boire le bouillon avec leur événement…

Antoine PARDESSUS

Concours national de cuisine pour étudiants, Les Toqués, samedi 12 et dimanche 13 mai à Reims. Contact : arretedemalbouffer@gmail.com ou au 06.88.93.88.09.

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l’union120412a
Un planétarium futuriste pour 2013

L’architecte en a fait un corps céleste qui vient relier les Terriens rémois à l’espace.
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Le nouvel équipement va recevoir un projecteur astronomique dernière génération : « C’est un appareil qui offre une image du ciel très proche de la réalité », souligne Philippe Simonnet.
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De la forme d’une navette spatiale et équipé d’un projecteur dernier cri, le nouveau planétarium se posera station Franchet d’Espèrey.

TEL un objet céleste venu se poser à Reims pour faire le lien entre l’espace et les Terriens. C’est avec cette idée en tête que l’architecte Jean-Paul Bonnemaison a dessiné le nouveau planétarium de Reims. Il aura une forme elliptique avec un dôme à son sommet et aura l’air d’avoir atterri sur le sol rémois quelques heures plus tôt.

Pour accentuer cet aspect de navette spatiale, il sera relié à la terre par une passerelle. Le tout va atterrir à la place du gymnase de l’ancienne école Franchet d’Esperey dont la démolition est imminente. L’ouverture au public est prévue fin 2013. « Nous avons choisi ce site à l’entrée de Croix-Rouge car il offre l’avantage d’être situé à côté d’une station de tramway, d’une gare TER et de plusieurs établissements d’enseignement supérieur. Il permet en outre de rendre le nouveau bâtiment visible depuis la rue et le tramway. Enfin, ce choix a été guidé par ma volonté d’installer les équipements culturels dans les différents quartiers de Reims et pas seulement au centre-ville », a déclaré la maire Adeline Hazan lors de la présentation du projet, hier après-midi.

Un peu petit ?

Le planétarium n’avait de toute façon d’autre choix que de déménager car il occupe actuellement des locaux à l’ancien collège des Jésuites qui vont être rénovés et attribués au campus de Sciences Po. Installé là depuis 1980, il est le plus ancien planétarium de France après le palais de la découverte et aussi l’un des plus fréquentés avec 30 000 visiteurs par an.

Les amoureux d’astronomie devraient gagner au déménagement. Le nouvel équipement va recevoir un projecteur astronomique dernière génération que Reims sera la seule ville en France à posséder : « C’est un appareil qui offre une image du ciel très proche de la réalité. Un peu comme si l’on observait les étoiles à la campagne », souligne Philippe Simonnet, directeur du planétarium actuel. Le nouveau bijou fabriqué en Allemagne va permettre des projections variées et inédites. Il sera installé dans une coupole qui passe de 6 à 8 mètres de diamètre et de 40 à 50 places. Une augmentation de surface peu ambitieuse dans la mesure où le dôme du palais de la découverte à Paris fait 15 mètres de diamètre et celui de La Villette, 20. A Nantes, où le dôme est de 8 mètres, les responsables se plaignent d’être à l’étroit : « Comme celui de Reims, notre planétarium a déjà trente ans. Il mériterait d’être agrandi ».

N’avons-nous pas vu un peu petit ? « Nous avons fait ce choix car nous voulions conserver une convivialité avec le public, propre à Reims. Faire une salle de 80 personnes dans un plus grand dôme ne le permettrait pas. Il y a aussi des raisons budgétaires à cette décision », explique M. Simmonet. Le coût global de l’opération s’élève à 3,4 millions d’euros.

Catherine FREY

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l’union120411d
Tennis (Open du TC Reims)/ Zoric et De Sousa sacrés

Finale « tranquille » pour le Marseillais (6-3, 6-4), plus disputée pour la Messine (3-6, 6-4, 6-1).
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Bernard SIVADE
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(Marne). La Lorraine et le Méridional ont logiquement inscrit leur nom au palmarès de l’épreuve rémoise.

GRAND spectacle sur la terre battue de la rue Lagrive où la finale de la 2e édition de la nouvelle mouture de l’Open du TC Reims a opposé l’un des favoris, Gilles De Sousa (- 30, Marseille) à Samuel Bensoussan (- 4/6, Vanves). Un banlieusard parisien étonnant de ressources puisqu’il a éliminé en quart Maxime Bonani (- 30, Sarcelles) en trois heures et Joachin Sternbach (- 15, Saint-Maur) en demie en… 4 h 15 !

Pas le meilleur moyen d’aborder une finale face à un puissant adversaire possédant des coups droits fulgurants. Ainsi, le Provençal prenait un départ idéal (3-0). Toutefois, en variant son jeu et en distillant de superbes amorties, le Francilien recollait à 4-2 avant que De Sousa ne gère à merveille la fin de set pour boucler à 6-3.

Bensoussan usé par ses matches

Dans le deuxième manche, toujours aussi bon relanceur, Bensoussan faisait largement jeu égal (3-3). Seulement, dans le crucial septième jeu, le Marseillais dictait sa loi pour breaker et confirmer derrière, sur son service. Le sociétaire du Stade de Vanves résistait avec brio, sauvait trois balles de match, mais cédait à 6-4.

« Ce fut un bon match des deux côtés. Il était usé par tous ses matches et c’est sûrement pour cela qu’il était beaucoup en défense. C’est une victoire logique car c’est moi qui allait de l’avant, qui frappait », expliquait le lauréat 2012. Des propos aussitôt corroborés par le finaliste : « On a vu une belle partie. Il a été solide, plus fort que moi et a mérité sa victoire. En tout cas, j’ai pris beaucoup de plaisir. »

A noter le titre en + 35 ans du favori Hervé Szymanski (15/1, TC Reims) qui, malgré quelques énervements et deux cadres cassés, a inscrit son nom au palmarès.

Pas de surprise non plus du côté des dames où la tête de série n° 1 Natasa Zoric (n° 34, Moulins-lès-Metz) s’est imposée. Pourtant, au stade ultime, la jeune (16 ans) Laura Tanfin (- 4/6, Rivery) a fait étalage de son talent en empochant logiquement le set initial (6-3). Reste que la Serbe, tombeuse au tour précédent de la Rémoise Servane Delobelle (1/6, Géo-André), auteur d’un joli parcours, s’est empressée de hausser le ton et le niveau pour recoller (6-4). Avant de dérouler dans la « belle » face à la Picarde qui s’est totalement écroulée physiquement (6-1).

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l’union120411c
Le salon de coiffure n’est plus « shooté » au cannabis

Fini les odeurs de cannabis dans ce salon de coiffure de la place Auguste-Rodin : la cave voisine qui servait de « fumerie » a été fermée.
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REIMS (Marne). « Je tiens un salon de coiffure, pas une fumerie de haschich ! J’en respire pourtant tous les jours. C’est intenable ! J’ai beau me plaindre, personne ne fait rien. C’est inadmissible de me laisser travailler dans ces conditions. »

C’était l’hiver dernier (l’union du 22 décembre). Installée au centre commercial Croix-du-Sud, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, la coiffeuse de la place Auguste-Rodin n’en pouvait plus de subir les effluves de cannabis provenant d’une cave mitoyenne de son salon. « Le mur est poreux. Quand il y a le feu derrière, la fumée arrive chez moi. C’est pareil pour les odeurs de cannabis », expliquait la commerçante.

Cave fermée, murs isolés

La situation perdurait depuis plusieurs semaines. Résultat : une intoxication chronique à l’origine de maux divers (migraines, picotements des yeux, brûlures dans la gorge, irritations de la peau, sommeil perturbé…).

Dans ce coin de Croix-Rouge où l’actualité n’est pas toujours heureuse - il n’y a qu’à songer au tabac-presse voisin qui ferme chaque après-midi et le week-end pour cause de « vols » et d’« incivilités » (l’union du 24 mars) -, voila une nouvelle qui fait plaisir : le salon de coiffure n’est plus enfumé.

« L’Effort rémois a bougé après la parution de l’article. Depuis, ça ne sent plus et je suis enfin tranquille », confirme la coiffeuse. Celle-ci pensait que le local utilisé par certains jeunes pour consommer du cannabis à l’abri des regards était celui des poubelles. En fait, il s’agissait d’une cave dont les locataires n’avaient plus l’usage. L’Effort rémois en a condamné l’accès et a réalisé des travaux d’isolation pour rendre étanche les murs mitoyens au salon.

La coiffeuse respire à nouveau, ses clients aussi. Quant aux fumeurs, on ignore s’ils ont trouvé un autre endroit pour « tirer le bedo » entre eux, sans importuner le voisinage.

F.C.

 

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l’union120411b
Championnats de France de danse sur glace : Au bonheur du bronze

Deux médailles de bronze pour le Rap, Jeanne et Renan, le premier podium de leur jeune carrière.
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Deux médailles, c’est un bon bilan pour le Reims Acrap patinage, lors des championnats de France de danse su glace solos. Mais tout de même : le président Jean-Luc Ployé et l’entraîneur Ludivine Lemaire étaient un petit peu déçus, car le club rémois a raté deux autres podiums « à rien du tout ».

Deux quatrièmes places qui amènent quelques regrets, vite effacés toutefois face à la réussite de l’organisation de ces Nationaux, patinoire Bocquaine. Tout a bien fonctionné, et ce n’était pas évident d’accueillir 100 patineurs pendant trois jours.

Les bénévoles du club vont pouvoir souffler un peu, avant de reprendre le collier pour soutenir les patineurs vers leurs autres objectifs.

Si Camille Renault n’a pu concrétiser les espoirs placés en elle après les imposés (2e) en terminant 4e, Jeanne Reppel (novice 1) a décroché la médaille de bronze, gardant sa place acquise après les imposés, et Renan (novice 3) a fait un bond par rapport à son résultat de l’année dernière : il passe de la 8e à la 3e place. « Ça s’est bien passé, j’ai patiné sur Aerosmith, sans faire d’erreur ».

Il avait même la guitare pour parfaire son costume, et réussir à « bronzer ». Cela fait onze ans qu’il patine, un peu en artistique, surtout en danse sur glace. Son espoir ? Etre en couple la saison prochaine.

G.F.

 

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l’union120411a
Tennis (Pré-tour des championnats de Champagne)/ Sensation chez les garçons

Charles Gilles (3/6, TC Reims) a « perfé » à 2/6, ce qui lui permet d’intégrer le tableau final en juin. Chez les filles, la seule surprise est venue de sa camarade de club Audrey Sarrazin

Organisé au Centre de ligue pendant trois jours, le pré-tour deuxième série a généré quelques surprises.

Chez les messieurs, le Troyen François-Pierre Grandveau (4/6, TC Troyes) a créé la sensation en éliminant l’une des têtes de série, Théophile Castelhano (1/6, Reims Europe Club). De son côté, Charles Gilles (3/6, TC Reims) a réalisé un joli parcours ponctué par une « perf » à 2/6 contre Romain Cadrillon (Saint-Dizier) qui lui permet d’intégrer le tableau final les 15 et 16 juin au même endroit. Ce duo sera accompagné, comme prévu, par Arnaud Lalouette (1/6, Vitry) et par Florent Seuret (2/6, Reims Europe Club).

Chez les dames, la logique a été respectée avec les qualifications attendues des 3/6 Laure Chardin (Romilly), Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) et Claire Duter (Sedan). Seule Audrey Sarrazyn (5/6, TC Reims), auteur d’un excellent match au 4e tour contre Juliette Clément (4/6, ASPTT Troyes), est l’invitée surprise, son adversaire Aurélie Marchal (3/6, Géo-André) ayant déclaré forfait !

MASCULINS

3e tour : Wauthier (4/6, TC Reims) bat Woynar (15, Géo-André) 4-1 abandon ; Grandveau (4/6, TC Troyes) bat Algéri (15, Foyer barséquanais) 6-2, 6-1 ; De la Bassetiere (5/6, Cormontreuil) bat Landrieu (4/6, TC Reims) par wo ; Evrard (3/6, URT) bat Dermonsir (4/6, Romilly) 6-3, 7-6 ; Gilles (3/6, TC Reims) bat Puberl (5/6, TC Reims) 6-4, 6-3 ; Trajcevski (4/6, Foyer barséquanais) bat Cailleux (5/6, TC Reims) 6-1, 6-1 ; Masson (4/6, Saint-Memmie) bat Raulin (15, Rivière de Corps) 3-6, 6-2, 6-4 ; Al. Lalouette (5/6, Cormontreuil) bat Bourlet (4/6, Romilly) par wo ; Ledan (15, Cormontreuil) Pusset (4/6, TC Reims) par WO.

4e tour : Grandveau bat Wauthier 7-5, 6-2 ; Cabrillon (2/6, Saint)-Dizier) bat De la Bassetiere 6-4, 7-6 ; Gilles bat Evrard 7-6, 4-6, 6-3 ; Betbeze (2/6, TC Reims) bat Trajcevski 6-2, 6-0 ; Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Masson 4-6, 6-1, 6-1 ; Al. Lalouette bat Ledan 6-3, 6-1.

5e tour : Grandveau bat Castelhano (1/6, Reims Europe Club) 6-3, 2-6, 6-0 ; Gilles bat Cabrillon 6-2, 6-1 ; Sereut bat Betbeze 7-6, 6-3 ; Ar. Lalouette (1/6, Vitry) bat Al. Lalouette 6-1, 6-1.

FEMININES

3e tour : Charlotte Decret (15, URT) bat Lucie Varenne (5/6, Asptt Charleville) par wo ; Alice Grillon (15, Saint-Memmie) bat Paulyne Blaszczyk (5/6, Romilly) 6-2, 6-4 ; Audrey Sarrazyn (5/6, TC Reims) bat Flora Calcagno (5/6, Montmirail) 6-0, 6-3 ; Maeva Spooner (4/6, Géo-André) bat Manon Jacquin (6/6, Saint-Memmie) 6-1, 6-4 ; Delphine Grillon (5/6, Saint-Memmie) bat Clémence Krug (4/6, Reims Europe Club) 4-6, 6-2, 6-3.

4e tour : Amélie Zarev (4/6, Reims Europe Club) bat Charlotte Decret 6-3, 6-1 ; Alice Grillon bat Emmanuelle Fradin (4/6, Saint-Dizier) 1-6, 6-4, 6-1 ; Audrey Sarrazyn bat Juliette Clément (4/6, Asptt Troyes) 6-1, 6-4 ; Maeva Spooner bat Delphine Grillon 6-4, 6-2.

5e tour : Laure Thardin (3/6, Romilly) bat Amélie Zarev 7-6, 7-5 ; Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) bat Alice Grillon 6-1, 6-1 ; Audrey Sarrazyn bat Aurélie Marchal (3/6, Géo-André) par wo ; Claire Duter (3/6, Sedan) bat Maeva Spooner 6-1, 5-7, 6-4.

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l’union120410h
Collège François-Legros : Une journée riche en découvertes

Les élèves découvrent comment étouffer, modifier et créer les sons d’une voiture.
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Le collège François-Legros a ouvert ses portes au public jeudi dernier pour une journée d’actions très particulières baptisée « Le son (leçons) ».

Tous les enseignants et les personnels de l’établissement ont organisé leur journée de cours ou de travail à partir de ce thème dans toutes les matières, et de nombreuses animations exceptionnelles ont été proposées par des professionnels extérieurs jusqu’à 19 heures.

Jean-Raphaël Nicaise, principal adjoint, explique le choix du thème de la journée : « Une des caractéristiques de notre collège est la présence, parmi les élèves, de sourds et de malentendants bien intégrés. À partir de ce constat, nous avons choisi un thème transversal, le son, avec beaucoup d’activités dans toutes les matières enseignées ».

Sur l’organisation de la journée, le principal adjoint précise : « Nous voulions une porte ouverte un jour de classe, pour montrer un collège en fonctionnement et non pas des locaux vides de tout élève. »

Des ateliers pédagogiques ont été programmés. En sciences physiques, la théorie du son (déplacement, intensité, vitesse, fréquence) ; en mathématiques, la vitesse du son, calcul de vitesses et moyennes horaires ; au CDI et en lettres, la surdité et le handicap dans la littérature ; en technologie, le bruit dans le monde professionnel et les moyens de s’en protéger ; en langues vivantes, langue orale et images sonores ; en EPS, le bruit des pas (atelier danses) ; en SVT, « le monde du silence » (l’écosystème marin) ; en histoire-géographie, le son dans l’histoire, l’histoire du son ; en arts plastiques, le bruit en images et en musique, « musique ! »

Conférences et ateliers

Plusieurs conférences ont été proposées : automobile, le son dans l’habitacle, une problématique complexe (Entreprise Faurecia - Ardennes) ; Opéra de Reims ; la médecine ORL (étudiants internes du Chu de Reims) ; utiliser les ultrasons pour un contrôle non destructif (laboratoire Grespi - université de Reims) ; institut Michel-Fandre ; mon métier, ingénieur du son (la Cartonnerie) ; mon métier, « oreille » (sonar et sous-marinier). Plusieurs ateliers d’information et de découverte ont fonctionné : les métiers du son (Mme Gand, conseillère d’orientation psychologue) ; la langue des signes (parents d’élèves et associations) ; les métiers de la radio (France Bleu Champagne) ; si j’étais sourd… (« Entendre », audioprothésiste), le dépistage de la surdité (infirmières du collège) ; l’orthophonie, c’est quoi ? (orthophonistes de l’IMF) ; mon instrument : « ma voix ! » (avec Caroline Mora, cantatrice à l’Opéra de Reims) ; effets sonores et amplification (guitare avec Milonga).

Des spectacles

Enfin, le festif n’a pas été oublié : Slam (élèves Ulis de François-Legros) ; classe Cham (option musique du collège Saint-Remi) ; musiques de quartier ; institut Michel-Fandre ; projections de films sur le thème ; documentaire « C’est pas sorcier » sur la surdité ; break, le son et le corps (maison de quartier Croix-Rouge) ; ça percute ! (spectacle de présentation d’instruments) ; en direct aujourd’hui… (France Bleu Champagne) et à 18 heures, en happening de clôture, un spectacle au gymnase qui a réservé bien des surprises à l’assistance.

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l’union120410g
Médiathèque Croix-Rouge : Vos héros pour 1 euro

Cette braderie de documents attire chaque année une foule d’amateurs.
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La bibliothèque municipale de Reims organise une vente de ses documents (livres, CD, revues) « désherbés » sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge, le dimanche 15 avril de 10 à 18 heures.

Il s’agit des documents en bon état que la bibliothèque retire chaque année de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés ou parce qu’ils sont moins demandés par le public.

Tarifs des documents : pastille blanche : 1 €, pastille verte : 2 €. « Profitez de cet événement pour venir découvrir, acheter ou emprunter des documents », proposent les bibliothécaires : « Nos portes seront ouvertes exceptionnellement ce dimanche, avec des animations (contes, démonstrations de Wii) ».

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Bus 4 ou tramway A, stations Médiathèque.

 

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l’union120410f
Prochaines vacances de Pâques au Ludosports pour les 4-11 ans

La Ville de Reims accompagne les familles dans l’organisation des loisirs de leurs enfants âgés de 4 à 11 ans, durant les vacances de Pâques, en leur proposant du 23 au 27 avril et du 2 au 4 mai l’activité Ludosport.

Une seule contrainte pour assurer un accueil de qualité : la pré-inscription est obligatoire.

Joueurs du Stade de Reims et du CCRB


Les 10 centres Ludosport proposent sur toute la ville des activités adaptées à l’âge des enfants : 4 - 5 ans et 6 à 11 ans. De même, des créneaux sont ouverts le matin et/ou l’après-midi, parce que tous n’ont pas le même rythme de vie durant les vacances. D’ailleurs, les 4-5 ans disposent désormais de deux créneaux le matin : 9 h 30 à 10 h 45 et 10 h 45 à 12 heures.

L’encadrement est assuré par des éducateurs territoriaux des activités physiques sportives de la Ville. Cerise sur le gâteau, la participation de joueurs du Stade de Reims et du CCRB à quelques séances.

Ambiance FISE


Le parc Léo-Lagrange vibrera au rythme du Festival international des sports extrêmes, le FISE, les 28 et 29 avril. Des compétitions de BMX et de skateboard accueilleront les meilleurs riders européens. Les amateurs de tous âges pourront eux aussi concourir. L’accès sera gratuit et des animations proposées au public.

Dans le cadre de Ludosport, les 9-11 ans pourront participer du 23 au 27 avril à un stage de BMX sur le parking de la patinoire Bocquaine. Idéal pour s’initier ou se perfectionner avant le FISE !

Dans le quartier Croix-Rouge, le gymnase Legros proposera de l’initiation au roller et du roller hockey alors que la patinoire Barot invitera au patinage sur glace, initiation ou hockey.

Inscriptions avant le 13 avril.

Horaires pour les 4-5 ans : 9 h 30 à 10 h 45 -10 h 45 à 12 heures et/ou 14 heures à 15 h 30. Pour les 6-11 ans : 9 h 30 à 12 heures et/ou 14 heures à 16 h 30.

Renseignements à la direction des sports. Tél.03.26.79.19.90 au Stade Delaune.

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l’union120410e
« Soirée des poètes » Une 3e édition réussie

Une soirée conviviale devant un public conquis.
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La troisième édition de la « Soirée des poètes » organisée par l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge a connu un franc succès. La salle de spectacle du Crous était bondée, au grand plaisir de Catherine Pierrejean, coordonnatrice du projet, pour un spectacle qui a illustré trois semaines thématiques et événementielles du mois de mars.

« Le Printemps des poètes ». « La semaine de la Langue Française et de la Francophonie », relayée par Initiales, avec dix mots sélectionnés cette année sur le thème « Dis-moi dix mots qui te racontent ». Ils ont inspiré les poésies de la première partie de la soirée intitulée « Bavardages ».

Ensuite, place aux poésies théâtralisées, fruit d’un atelier d’écriture encadré par Catherine Pierrejean et mises en forme par Claire Deborde. Ont participé à cet atelier des habitants du quartier Croix-Rouge, des adhérents de la Maison de quartier et l’atelier des Thi’poètes du foyer Thibierge. Et enfin, dans le cadre de la semaine nationale d’éducation contre le racisme et les discriminations, la seconde partie, intitulée « Escales poétiques », a permis un voyage au gré des poésies dites par des habitants, et qui ont été interprétées dans treize langues, reflet de la diversité culturelle et de la richesse humaine qui caractérise le quartier Croix-Rouge.

Plusieurs associations se sont jointes aux habitants (Mutes, Cada, Afev, Acmr,…) ainsi que des professionnels de l’espace Billard.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120410d
Subventions : 10,9 M d’euros aux associations conventionnées

Lors de sa dernière réunion marquée par le vote du budget primitif, le conseil municipal a attribué 10,96 M€ de subventions aux associations qui ont signé une convention avec la Ville.

• Sport
Reims basket féminin : 270 000 €, association sportive municipale du personnel de la Ville de Reims : 39 000 €, Entente family stade de Reims athlétisme : 210 000 €, office des sports : 83 483 €, régates rémoises : 209 000 €, Reims champagne basket : 24 000 €, Reims champagne handball : 42 000 €, roller hockey Reims : 20 000 €, école de football Reims Sainte-Anne Châtillons : 124 000 €, Reims champagne hockey : 144 000 €.

• Culture
Centre dramatique national la Comédie de Reims : 166 000 € dont 160 000 € pour Festival scène d’Europe, 4 000 € pour des actions dans les médiathèques, 2 000 € pour des actions de développement culturel ; le Manège de Reims : 1,46 M€ ; Association Nova Villa : 180 000 € ; harmonie batterie fanfare de Reims : 98 000 € ; Centre culturel Saint-Exupéry : 422 000 € de budget de fonctionnement et 10 000 € pour le festival chemins numériques ; Culture et bibliothèque pour tous : 19 170 € dont 10 170 € de charges d’occupation des locaux d’Orgeval, 6 000 € de charges d’occupation des locaux de Cernay et 3 000 € de fonctionnement ; l’Œil du Tigre : 20 000 € ; le chœur Nicolas de Grigny : 20 000 €, Toutes recherches artistiques et de création : 65 000 € dont 30 000 € pour l’espace le Temps des cerises, 25 000 € pour Jonglissimo et nuits de la jongle, 5 000 € de fonctionnement et 5 000 € de charges d’occupation de locaux ; Icosaédre danse théâtre : 33 500 € dont 17 000 € pour des activités de création, 13 500 € pour les laboratoires chorégraphiques et 3 000 € pour le festival « hors les murs » ; Fonds régional d’art contemporain de Champagne-Ardenne : 41 000 € dont 28 000 € de fonctionnement, 10 000 € de soutien à la création et à la sensibilisation, 3 000 € pour le démontage et le rapatriement des œuvres ; Djaz 51 : 37 700 € dont 32 700 € de fonctionnement et 5 000 € de soutien à la scène locale ; Compagnie la Licorne : 10 000 € ; Cinésourds : 7 500 € pour le festival Clin d’œil. Pseudonymo : 30 000 € dont 10 000 € pour le fonctionnement du jardin parallèle, 5 000 € d’aide à la création et 15 000 € pour le festival « Orbis pictus » ; société des amis du vieux Reims : 140 000 €.

• Subvention à caractère sanitaire
Union locale des centres de soins infirmiers de Reims et son agglomération : 31 000 €.

• Manifestations culturelles
Association Noval Villa : 185 000 € ; association pour le développement de la communication locale Radio Primitive : 21 500 € dont 5 000 € pour le fonctionnement et 16 500 pour la promotion des événements, le magazine des quartiers et la radio de quartiers ; Djaz 51 : 95 000 € dont 50 000 € pour le festival et rencontres de jazz, 35 000 € pour Place au jazz et 10 000 € pour des actions artistiques ; le Manège de Reims : 4 000 € pour des actions de développement culturel ; les Flâneries musicales de Reims : 1,2 M€.

• Logement social
Comité marnais d’amélioration du logement Pact : 33 000 € ; l’Escale Habitat jeunes (travailleuses stagiaires étudiantes) : 41 160 €.

• Subventions à caractère social
Comité d’action sociale du personnel municipal : 1,22 M€ ; Association des maisons de quartier : 3,78 M€.

• Animation commerciale
Confédération nationale de l’artisanat des métiers et des services : 14 000 € ; Les Vitrines de Reims : 230 000 €.

• Lutte contre les discriminations
Association pour l’enseignement et la formation des travailleurs immigrés : 67 200 € ; Ex æquo : 12 500 € dont 10 000 € de fonctionnement et 2 500 € pour la journée internationale contre l’homophobie. Ex æquo : 1 500 € pour le spectacle de la biennale 2012 ; centre d’information sur les droits des femmes de la Marne : 12 000 €.

• Organisations syndicales
Confédération française démocratique du travail : 9 792 € ; confédération française des travailleurs chrétiens : 6 050 € ; confédération générale des cadres-Union locale CFE-CGC : 9 415 € ; confédération générale du travail : 20 359 € ; Fédération syndicale unitaire : 3 488 € ; Union locale des syndicats ouvriers Force ouvrière : 15 810 € ; union locale Unsa de Reims : 5 488 €.

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l’union120410c
La poubelle brûle deux fois

Dimanche soir, vers 19 -heures, les pompiers ont été appelés rue de Louvois pour éteindre un feu de poubelle.

Reprise de feu ou récidive d’un esprit détraqué ? Sur les coups de minuit, les sauveteurs ont dû revenir à la même adresse en raison d’un second feu de poubelle.

Hier après-midi, des détritus ont brûlé vers 15 heures dans une maison désaffectée de la rue de Tunis tandis qu’à la même heure, une autre équipe intervenait allée Edgar-Degas, au n°6, en raison d’un feu de papiers dans les caves.

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l’union120410b
Un homme et sept chiens

Hier vers 15 heures, pompiers et policiers municipaux sont intervenus dans un appartement de l’allée des Bourguignons.

Les premiers ont pris en charge le locataire blessé à la suite d’une chute (c’est une personne âgée) tandis que les seconds ont dû récupérer les sept chiens qu’il avait chez lui.

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l’union120410a
Conférence à Quantum

L’association Quantum organise une conférence sur « Les origines psychologiques des maladies et les raisons de nos envies alimentaires », animée par Christiane Beerlandt, un Belge auteur de nombreux ouvrages dont le best-seller « La Clef vers l’Autolibération — Origines et solutions psychologiques de 1 000 maladies ».

Ce sera salle « espace Billard » au 14, rue Pierre-Taittinger, le vendredi 13 avril à 20 heures.

Entrée : 12 euros.

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l’union120410aa
Théâtre à RMS

Jeudi 12 avril â 19 heures dans le cadre de « Passerelles à RMS », 59, rue Pierre-Taittinger, théâtre avec la pièce « Madame Marguerite » de Roberto Athayde, mise en scène de Jean-Philippe Vidal avec Sophie Kutten.

Retirer les places trois jours avant par Téléphone au 03.26.77.46.41 ou auprès des stands situés dans le hall principal dans la mesure des places disponibles.

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l’union120408a
Glisse et combats / L’élite est à Reims aujourd’hui

Evangéline, Jeanne, Myrtile et leurs copines (avec Ludivine Lemaire à gauche) ont de nombreux supporters à Bocquaine.
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Camille Renault a de bonnes chances de décrocher une médaille cet après-midi.
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Photos Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne). Le Yoseikan Budo à René-Tys, la danse sur glace à Bocquaine : Reims reçoit deux championnats de France, avec de bonnes chances de médailles pour les clubs locaux.

LE Reims Acrap patinage n’avait jamais eu autant de sélectionnés pour les championnats de France de danse sur glace solos. Ça tombe bien, le club a obtenu, cette année, l’organisation de cet événement !

Depuis vendredi soir, huit petits Rémois affrontent une centaine d’autres danseurs-patineurs à Bocquaine. Après les danses imposées, les chances de médailles restaient intactes, avec notamment Camille et Jeanne sur le podium. Restent les plus belles épreuves aujourd’hui, les libres, et le public est attendu nombreux pour soutenir les patineurs du Rap, surtout que l’entrée de Bocquaine est gratuite.

Jeanne Reppel, en Novices 1, espère donc le podium, ce qui serait sa première médaille pour ses 3e championnats de France. « Je vais danser sur « Grease ». En imposées, c’était du rocker fox-trot et de la kilian. » Jeanne patine depuis 6 ans, elle en a 13. Ce qu’elle aime dans ce sport ? « La glisse, la danse et l’esthétique. »

Pour Evangéline Braconnier, 10 ans, ces championnats nationaux sont une découverte. Pour sa 3e année au club, elle est malheureusement tombée lors de la valse en imposées. « Ma préférée, c’est le tango, et là, ça s’est bien passé. J’ai beaucoup de plaisir à danser sur la glace. J’y suis venue parce que j’ai vu ma sœur en patinage artistique se casser plusieurs fois quelque chose. »

Pour Myrtile Navarro, 11 ans, en Minimes 1, le podium est encore possible. Vendredi soir, elle a terminé 5e des imposées. « J’espère aller chercher une médaille. Je danse en libres sur le French cancan. C’est ma 4e année au club. » Et ce sont, pour elle aussi, ses premiers championnats de France. Espérons que les 6 heures de travail par semaine vont payer aujourd’hui.

Ludivine Lemaire, l’entraîneur de tous ces espoirs rémois, qui espèrent toutes trouver le garçon avec qui elles pourront danser en couple - la finalité de cette discipline -, aurait une belle récompense avec plusieurs podiums ce soir. Ce serait aussi un beau cadeau pour tous les bénévoles qui ont bossé pour réussir l’organisation de ces championnats.

G.F.

Championnats de France de danse sur glace solos, à la patinoire Bocquaine, de 7 h 45 à 18 h 30, entrée gratuite.

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l’union120407a
TENNIS / Pré-Tour Huit tickets en jeu

Souvent annoncée mais pas toujours mise en application, la parité aura cette fois bien lieu. Pour le pré-Tour des Championnats de Champagne individuels 2e série qui ont lieu d’aujourd’hui à lundi au Centre de Ligue, quatre tickets qualificatifs seront distribués chez les messieurs et chez les dames.

Très ouvert

Ouvert jusqu’à 1/6, le tableau masculin aura comme favoris les … 1/6 Théophile Castelhano (Reims Europe Club) et Arnaud Lalouette (Vitry).

Pour les deux autres places qualificatives, tout se jouera entre les 2/6 Romain Cabrillon (Saint-Dizier), Vincent Betbeze (TC Reims), Florent Seuret (Reims Europe Club) et les 3/6 Julien Evrard (URT), Charles Gilles (TC Reims). A moins que Benjamin Landrieu (4/6, TC Reims), ex 0, ne crée la sensation.

Le tableau féminin, bloqué à 3/6, sera également très ouvert. Certes les quatre 3/6 Laure Chardin (Romilly), Claire Duter (Sedan), Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) et Aurélie Marchal (Géo-André) possèdent de sérieuses chances.

Mais la concurrence s’annonce forte avec cinq 4/6 très motivées : Amélie Zarev et Clémence Krug (Reims Europe Club), Emmanuelle Fradin (Saint-Dizier), Juliette Clément (ASPTT Troyes), Maéva Spooner (Géo-André). Sans oublier les neuf 5/6 emmenées par Sylvia Piotin (5/6, TC Reims), une ancienne 0 possédant le potentiel pour décrocher la timbale.

AUJOURD’HUI. - Début des rencontres à 15 heures. Demain, dès 9 heures. Lundi, à 9 heures, matches qualificatifs à 15 heures pour les messieurs et 16 h 30 pour les dames.

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L’hebdo du vendredi- N° 254 - 120406k
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 254 - Semaine du 06 au 12 avril 2012

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Dufy-Cavarrot : un carnaval très suivi

Le cortège du carnaval a défilé dans les rues de Croix du Sud et Hauts de Murigny.
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Il y avait foule lors du traditionnel carnaval annuel organisé par l’école maternelle Dufy-Cavarrot il y a quelques jours.

Sous une météo des plus radieuses, la directrice de l’établissement, Pascale Donnio, et ses collègues avaient organisé un défilé dans les rues des quartiers Croix du Sud et Hauts de Murigny.

Et quelle bonne surprise de voir arriver des dizaines de parents, mais aussi des grands-parents, des oncles et des tantes, quelquefois eux-mêmes déguisés, chacun désireux de prendre place dans le cortège aux côtés des enfants, près de 220 bambins au total.

Un cortège gonflé en outre par la présence des classes de l’école élémentaire voisine.

En fin d’après-midi, les enfants se sont retrouvés dans la cour pour un grand goûter préparé généreusement par les parents d’élèves.


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Danse sur glace : championnats de France ce week-end à Bocquaine

La patinoire Bocquaine accueille ce weekend les championnats de France solo de danse sur glace grâce au concours de l’association rémoise Reims Acrap Patinage.

Ainsi, vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 avril, les meilleurs patineurs français sont attendus dans dix catégories différentes allant des benjamins (9 ans) aux juniors(20 ans).

Programme : vendredi 6, danses imposées de 20h à 22h, samedi 7, danses imposées de 7h à 17h, puis entraînements officiels danses libres jusqu’à 23h, et dimanche 8, danses libre et d’interprétation de 7h45 à 18h20. Entrée libre pendant les trois jours.

Contact Reims Acrap Patinage : ployepresidrap@aol.fr


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Retour de « Vos héros pour un euro » le 15 avril

En 2011, l’opération « Vos héros pour 1 euro ! » avait reçu plus de 1 000 visiteurs venus de Reims et d’autres départements et plus de 7 000 documents y avaient été vendus.

Cette année, la braderie de la bibliothèque municipale aura lieu pour sa 4e édition le dimanche 15 avril de 10 h à 18 h, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.

Au total, l’opération « Vos héros pour 1 euro » proposera plus de 5 000 documents aux amateurs : CD, romans, polars, BD, magazines, ouvrages pour enfants, livres de cuisine, d’art, d’histoire… à un tarif plus qu’abordable : de 1 à 2 € par document. En fin d’après-midi, le livre connaîtra même son happy hour : à partir de 16 h, pour un document à 1 € acheté, le 2e sera offert !

A noter cependant que les achats sont limités à dix documents par personne et que leur revente est interdite.


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Exposition - Bibliothèque Robert de Sorbon : Comme une envie de fraise

Déclinée sous des formes parfois improbables, la fraise en surprendra plus d’un
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Chaque année, la Bibliothèque Universitaire ouvre son espace d’exposition et propose aux curieux, à travers plusieurs travaux d’artistes, de découvrir l’univers propre à l’art contemporain. « C’est aussi l’un des rôles de l’Université, et de sa bibliothèque, d’accompagner les étudiants dans la découverte de l’art contemporain. En effet, s’y confronter n’est pas toujours évident, dans la mesure où, bien souvent, on n’y retrouve pas les repères habituels de l’art classique, auxquels nous sommes plus habitués. Or, c’est en s’y confrontant régulièrement qu’on apprend à l’apprécier », souligne Gaëlenn Gouret, responsable de l’animation culturelle. Cette année, c’est l’artiste néerlandais d’origine et Ardennais d’adoption, Rob Hanssen, qui a été choisi pour présenter son travail. Proposée avec le soutien du Service Universitaire de l’Action Culturelle de l’URCA (SUAC), cette exposition, qui a déjà voyagé sur les différents campus rémois, fait une dernière escale à la Bibliothèque Robert de Sorbon jusqu’au 2 mai prochain. Voilà qui laisse le temps aux curieux comme aux amateurs du genre de découvrir l’univers de l’artiste, fortement orienté vers la fraise. « En réalité, ce n’est pas au fruit mais à la collerette plissée que s’intéresse Rob Hanssen, cet accessoire vestimentaire porté autour du cou aux 16e et 17e siècles, que l’on retrouve dans les portraits de l’époque. Il exploite ce motif, et le détourne, pour réinventer de nouvelles formes et de nouveaux objets : portraits, paysages, natures mortes… », précise Gaëlenn Gouret. Un motif qui l’a toujours fasciné sur les portraits anciens et dont le peintre ne s’est pas détourné depuis des années. Vue non pas en tant qu’accessoire de mode mais bel et bien en tant qu’objet autonome, la fraise se décline au fil des tableaux dans toutes les formes.

Claire Lagrange

« Le bon goût de la fraise », à voir jusqu’au 2 mai à la Bibliothèque Universitaire Robert de Sorbon, avenue François Mauriac (Campus Croix-Rouge). Entrée libre.

Liens :
www.robhanssen.net


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Conservatoire de Reims : 100 ans de musique, de danse et de théâtre

Le conservatoire de Reims est installé rue Gambetta depuis 1994.
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Yves weeger, directeur adjoint du CRR, devant la statue de Chopin qui trône au milieu du hall du premier étage du conservatoire.
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Le conservatoire de Reims fête cette année le centenaire de sa création. Retour sur l’histoire de ce vénérable établissement.

C’est le 12 juillet 1912 que le conseil municipal de Reims, alors dirigé par Jean-Baptiste Langlet, donne naissance à ce qu’on appelle communément de nos jours le conservatoire. A l’époque, on dit officiellement École de Musique, aujourd’hui, Conservatoire à Rayonnement Régional de Musique, de Danse et d’Art Dramatique. Et à l’image de ses dénominations changeantes, le conservatoire a aussi souvent changé d’adresse. D’abord installée rue des Élus, au sein de l’Hôtel de la Municipalité, où elle est inaugurée officiellement le 19 octobre 1913 par Raymond Poincaré, alors président de la République, l’École de Musique s’installe ensuite rue Libergier, avant d’être relogée dans l’école de la rue du Jard, puis finalement de retourner à la case départ. Nous sommes en 1927 et l’École de Musique prend alors le nom de Conservatoire Municipal de Musique de Reims. Huit années plus tard, l’établissement déménage à nouveau et s’installe rue Carnot, dans ce qui est alors l’immeuble de l’ancienne banque Chapuis, aujourd’hui occupé par un autre établissement bancaire, la Caisse d’Épargne. Il y restera près de 60 ans, jusqu’en 1994, date de son dernier déménagement rue Gambetta, dans un bâtiment enfin spécialement conçu à cet effet. « A cette époque, on a demandé à René Rainouard, directeur du conservatoire de 1982 à 2001, d’imaginer l’établissement idéal », raconte Yves Weeger, l’actuel directeur adjoint. « Pour avoir fréquenté de nombreux conservatoires, je peux vous assurer que c’est certainement l’un, si ce n’est le mieux conçu en France », assure même celui qui fait office de numéro un en entendant la nomination d’un nouveau directeur, suite au départ en début d’année de Vincent Dubois, parti prendre les rènes du conservatoire de Strasbourg. « D’ailleurs, ceux qui ont la charge de préparer la construction de ce type de batiment viennent très régulièrement le visiter ». Construit par les architectes Jean-Loup Roubert, Henri Dumont et Jacques Bléhaut, pour un coût de 130 millions de francs, le conservatoire actuel n’a évidemment rien d’un immeuble centenaire. Et c’est tant mieux pour les élèves et pour la musique. Derrière sa façade de 80 mètre de long, à la forme sinusoïdale évoquant les courbes d’un violon, une médiathèque riche de 20 000 documents, des dizaines de salles à l’acoustique parfaite toutes reliées à une régie numérique, dont un magnifique auditorium de 400 places, se répartissent sur quatre niveaux. Au total, ce vaisseau pourtant si discret concentre 12 000 m2 entièrement consacrés à la musique, la danse et le théâtre. 90 professeurs y enseignent plus de quarante disciplines à quelque 1500 élèves, de la musique classique au jazz, en passant par la danse contemporaine ou encore le chant chorale. Et chaque année, le conservatoire voit près de 50 000 auditeurs spectateurs passer ses portes, venus assister à l’un des 250 spectacles qui y sont programmés.

Julien Debant

Conservatoire à Rayonnement Régional de la Ville de Reims, 20, rue Gambetta à Reims. Tél. : 03 26 35 61 35 ou 03 26 35 61 50. Site internet : www.crr-reims.fr

Liens :
www.crr-reims.fr

Un conservatoire ouvert à tous

S’il y a bien une chose à laquelle tient Yves Weeger, c’est bien au caractère ouvert du conservatoire de Reims. Le directeur adjoint réfute ainsi totalement cette impression « qui voudrait que le conservatoire ne soit réservé qu’à une élite habitant le centre-ville ». « Sans faire de politique, je salue le travail qui a été réalisé hier comme celui qui est fait aujourd’hui afin faciliter l’apprentissage de la musique, de la danse et du théâtre à Reims. On peut se féliciter par exemple de proposer des tarifs parmi les plus bas de France, notamment grâce aux bourses délivrées par le conseil municipal, le ministère de la culture et le CROUS. » Le directeur adjoint fait aussi référence à la répartition des CHAM (classes à horaires aménagés), dont une des deux écoles primaires concernées se situe par exemple dans le quartier Europe, ou encore aux dispositifs d’accompagnement mis en place dans certains quartiers, comme à Orgeval et Croix-Rouge, où depuis 10 ans sont proposés des ateliers dans une démarche de démocratisation des accès aux enseignements musicaux. Toutes ces initiatives permettent aujourd’hui d’offrir à chaque enfant qui le souhaite la possibilité de bénéficier d’un enseignement musical de qualité.


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Alimentation : Une autre consommation est possible

Adhérer à l’AMAP, c’est consommer des produits qui sont toujours de saison.
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L’AMAP souhaite ouvrir un nouveau point de distribution dans le quartier Val de Murigny.
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Créée en 2009, l’AMAP de Champagne-Ardenne ne cesse de se développer. Ce mode de consommation novateur et solidaire répond à des enjeux économiques, écologiques mais aussi sociaux en offrant lors de ses distributions de véritables moments de convivialité.

Vous rêvez de manger sainement à un prix raisonnable, de consommer des produits locaux de saison et de qualité, de réduire votre dépense énergétique en limitant les déplacements et enfin de participer au soutien de petites exploitations agricoles de la région : l’AMAP est faite pour vous.

Une AMAP, Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne, est la mise en relation directe de producteurs locaux avec un groupe de consommateurs. A Reims, l’AMAP de Champagne-Ardenne rassemble aujourd’hui environ 400 adhérents autour de 12 producteurs (maraîchers, éleveurs, arboriculteur, boulanger, apiculteur et producteur laitier). Son fonctionnement est simple : au moment de leur adhésion les consommateurs choisissent avec l’agriculteur les légumes à cultiver, le prix de la souscription, et les modalités de distribution des produits. Ensuite, chacun achète à l’avance sa part de récolte qu’il viendra récupérer pendant la saison de production. Mais l’AMAP de Champagne-Ardenne va plus loin, comme l’explique sa présidente Véronique Ritaly : « A la différence d’autres AMAP, nos producteurs sont tous certifiés bio, ou en cours de certification. Nous cherchons à promouvoir la limitation des produits chimiques dans notre région où l’agriculture bio progresse lentement. De plus, nous avons à cœur de multiplier nos points de distributions dans la ville et ses alentours et de nous rendre accessibles à un maximum de personnes. » L’AMAP assure aujourd’hui des distributions au centre-ville, à Croix-Rouge, Saint-Brice-Courcelles, Ay, Witry-lès-Reims et elle projette une prochaine ouverture à l’espace Le Ludoval de la Maison de Quartier Val de Murigny, à condition de réunir les trente adhérents minimum nécessaires. L’association lance donc un appel aux habitants de Murigny éventuellement intéressés. Ce sujet faisait d’ailleurs la une des conversations mardi dernier à la distribution à la Ligue de l’Enseignement. Car les distributions sont de vrais instants de partage et offrent une convivialité digne d’un marché de campagne. Dans un joyeux brouhaha, toutes les générations se retrouvent au sein de cette petite communauté. Informés par une newsletter hebdomadaire de l’actualité de l’association, les adhérents sont intégrés à la vie de la structure qui partage les bonnes et mauvaises nouvelles de ses producteurs, la composition du prochain panier, des idées de recettes et des animations proposées dans les fermes. Il paraîtrait même que le boulanger organise des soirées pizzas…

Marie-Elise Poittevin

Renseignements / adhésion : www.amapca.com ou 03 26 08 22 93 ou 06 09 73 64 10. L’AMAP sera présente au Temps des Cerises le dimanche 1er avril.

Liens : www.amapca.com


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Humanitaire : Reims s’engage au Bénin et au Burkina-Faso

Près de 9 000 euros de microcrédits ont déjà été prêtés à aux habitants du village burkinabé.
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Sur place, les collégiens de Maryse Bastié étaient en contact direct avec la population.
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Les étudiants en médecine veulent avant tout inscrire leur projet sur le long terme.
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Comme chaque année, la Ville accompagne les associations rémoises qui s’engagent dans des actions humanitaires. C’est cette semaine que les trois lauréats de l’année 2011 ont présenté leur projet respectif.

De la micro-finance au Burkina Faso

Le projet de l’association Initiatives d’échanges pour le développement est à mettre à l’initiative de seize étudiants de Reims Management School, parmi lesquels Mélanie, inscrite en Sup de Co. « Dans le détail, il s’agit de créer et d’accompagner des structures de microcrédit, principalement dans le petit commerce, le maraichage et l’élevage de porcs », souligne l’étudiante, précisant qu’à l’heure actuelle, « 8 690 euros de microcrédits ont été prêtés et 2 934 euros déjà remboursés ». Un projet qui a été rendu possible grâce à l’appui de la chaire d’économie sociale et solidaire et le soutien d’un réseau d’associations rémoises, belges et burkinabés. « Aujourd’hui, l’objectif est double pour ce projet, poursuit Mélanie, d’un côté nous souhaitons sensibiliser les étudiants rémois de RMS au social-business et de l’autre, nous voulons surtout contribuer au développement global et durable du village africain que nous aidons. »

Un geste pour les lycéens burkinabés

Au collège Maryse Bastié, même les plus jeunes s’y mettent ! Encadré par cinq adultes, un groupe de quinze élèves, formé en novembre 2010, a mis en place un projet éducatif et culturel à long terme avec le lycée provincial de Kaya et le lycée professionnel de Kadiogo à Ouagadougou. « Une correspondance entre les élèves français et burkinabés a précédé un voyage humanitaire et solidaire en janvier dernier », rappelle Valérie Richard, principale adjointe du collège rémois et coordinatrice du projet. Un projet soutenu par la municipalité à hauteur de 3 000 euros et qui permet, aujourd’hui encore, à certains petits collégiens de Reims et de Kaya de poursuivre leur correspondance épistolaire.

Salle d’accouchement au Bénin

Dernier projet lauréat cette année, celui de Lucie, Marion, Mélanie et Corentin, quatre étudiants en médecine, soutenus par leur corporation et consistant en la construction d’une salle d’accouchement au Bénin et l’aménagement d’une pharmacie communautaire. « Nous sommes partis un mois sur place, dans le petit village de Hêvé. La subvention de 1 000 euros de la Ville nous a bien aidés car le projet en soi a coûté pratiquement 6 000 euros », précise Corentin, se réjouissant de voir qu’il y a quelques semaines, la maternité a fêté sa 16ème naissance. « Cet été, six autres étudiants vont repartir au village, cette fois pour achever les travaux de la pharmacie, afin que la chaine de soin soit complète au même endroit ».

Afin de reconduire cette opération l’an prochain, la municipalité a lancé son appel à projets humanitaires pour l’année 2012. Les associations rémoises, porteuses de projets à caractère humanitaire, qui le souhaitent peuvent désormais présenter leur candidature et ce, jusqu’au 15 mai, date de retour de dossier. Le jury délibèrera ensuite en juin avant de désigner un ou plusieurs projets lauréats qui seront à leur tour présentés au printemps 2013.

Aymeric Henniaux

Règlement de l’appel à projets disponible en mairie ou sur www.ville-reims.fr

Liens :
www.ville-reims.fr


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Conférence à RMS : « Bike to School »

Dans le cadre des Rencontres Passerelles, Anne Salün et Benjamin Stoll évoqueront, mardi 3 avril à 18h30, leur périple de six mois en tandem, un voyage insolite au cours duquel ils sont allés de Reims jusqu’à Pékin.

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l’union120406j
Collège François-Legros / Francine Christophe, ancienne déportée

Francine Christophe, fleurie par les représentants des élèves de 3e.
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Le collège François-Legros de Reims accueillait Francine Christophe, arrêtée en 1942 puis déportée en 1944 au tristement célèbre camp de concentration de Bergen-Belsen. Auteure de plusieurs ouvrages sur ces thèmes, ce n’était pas la première fois qu’elle venait à la rencontre des élèves. M. Nicaise, principal adjoint, rappelait que « l’établissement est engagé depuis longtemps dans un travail pédagogique important sur le devoir de mémoire, la connaissance des crimes de guerre et l’éducation à la fraternité ».

Pédagogique et civique

Ces témoignages, de plus en plus rares, sont chaque année marqués d’une pierre blanche au calendrier du collège. Devant les 150 élèves de 3e particulièrement attentifs et respectueux, réunis dans le hall du bâtiment d’enseignement, Mme Christophe a livré un témoignage de deux heures, poignant de simplicité, de vérité et d’humanité. M. Constant, président d’honneur des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, qui l’accompagnait, soulignait « son don pour captiver l’auditoire, et faire en sorte que son témoignage soit un acte autant pédagogique que civique ».

Très applaudie et couverte de fleurs par les élèves, Mme Christophe livrait une dernière anecdote à ces jeunes pleins d’admiration et leur montrait son étoile jaune, qu’elle a précieusement conservée. Le hasard du calendrier faisait coïncider cette matinée avec les événements tragiques de Toulouse, ce qui donnait une force supplémentaire à cette rencontre préparée par les professeurs d’histoire-géographie du collège et par M. Hameury (professeur de Lettres particulièrement impliqué dans ces travaux).

M. Reyssier, chef d’établissement, saluait cette rencontre extraordinaire qui « était une étape de plus dans la construction de citoyens responsables et éclairés ». Onze élèves auront d’ailleurs particulièrement mis à profit ce rendez-vous avec l’Histoire, puisqu’ils ont participé au Concours national de la Résistance et de la Déportation, dont les épreuves écrites se sont tenues dans les établissements de France le vendredi 23 mars. Eux attendent leurs résultats, tandis que le collège François-Legros s’attelle déjà aux rencontres de l’année prochaine…

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l’union120406i
Locataires de l’Effort rémois / La force du bénévolat

Le local qui abrite les réunions sera bientôt trop petit si l’expansion de l’association continue à ce rythme.
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Secteur At’Hom.

L’assemblée générale de l’association de défense des locataires de l’Effort rémois du secteur At’Hom (Hauts de Murigny) s’est déroulée au 1, allée Yves-Gandon dans le local associatif.

Toute la maison At’Hom était présente ainsi que Gérard Lacroix, président de l’association de locataires les Boisseliers et les représentantes de l’association de locataires des Polygones.

Chaufferie bois et bacs à ordures

Le rapport comptable de Josette Achain fait apparaître des finances modestes : 1 341 euros de recettes et 1 089 euros de dépenses. L’Effort rémois offre le loyer, le chauffage, l’eau et les charges du local associatif : « C’est très important ! » souligne la présidente. Pour sa part, la ville subventionne l’association à hauteur de 750 euros.

Le premier adjoint Eric Quénard a rappelé que « la ville souhaite vous accompagner ». Il a souligné la qualité du bénévolat en faveur du cadre de vie et de l’environnement dans ce secteur, créant « un rapport de force avec le bailleur l’Effort rémois », avant de développer un exposé sur la chaufferie bois « dont la construction avance à grands pas », sur les bacs à ordures enterrés, révélant que « si la ville en a programmé 400, les bailleurs Effort rémois, Foyer rémois et Reims habitat en ajouteront 200 supplémentaires sur leurs propres deniers ».

Enfin, il a présenté la chaîne de sécurité : « depuis le 1er mars, le Groupement d’intérêt économique appelé dispositif Tranquillité publique est effectivement mis en place ». Pour en bénéficier, ces derniers doivent demander à leurs agences le numéro de téléphone qu’ils doivent composer en cas de trouble constaté.

Le bureau a été renouvelé sans problème : Danielle Bonfils, présidente ; Yvette Bréhaut et Charline Van Compernol, vice-présidentes ; Marie-Noëlle Dimanche et Moncef Belaïch, trésoriers ; Josette Achain et Rose-Marie De Feyter, trésorières. L’adhésion à l’association est de 10 euros l’année.

Pour tout renseignement, s’adresser à la présidente, Danielle Bonfils au 03.26.86.10.03.

Des problèmes relevés

« En raison de la rénovation urbaine de Croix-Rouge, nous n’avons bénéficié d’aucun des gros travaux engagés en 2011. Suite à nos nombreuses réclamations, l’agence nous a expliqué qu’il n’y avait plus de sous pour nous », regrette la présidente. Les administrateurs le reconnaissent : « A cette agence, MM. Picardat et Quinquis sont très gentils. Ils disent toujours oui, mais ensuite il ne se passe rien ! »

Ainsi, au secteur At’Hom, on regrette : « Aucune de nos demandes n’a abouti, nouvelles plantations, espaces verts, élagage des arbres, remise en état du parking aérien suite aux incendies d’il y a deux ans, nettoyage des peintures à cause des infiltrations dans le parking souterrain : rien n’a été fait. »

Même destin pour les éclairages supplémentaires aux sorties d’escalier du parking souterrain et sur le parking aérien : « Promis depuis longtemps mais toujours renvoyés aux calendes grecques. »

Certes, de petits aménagements ont été effectués dans les parties communes, changement des interrupteurs, réparation des grooms et des serrures, à cause de la vétusté et du vandalisme, « mais ces travaux sont facturés aux locataires ! »

En revanche, « alors que nous réclamons depuis près de deux ans le changement des portes de nos appartements non sécurisées et vétustes, ce qui nous est refusé pour des raisons financières, à notre grande surprise et sans la moindre information préalable, de nouvelles caves ont été construites en parpaings avec portes métalliques. Pourtant, les locataires, dans leur grande majorité, précisent qu’ils ne sont pas intéressés par ces caves. »

Contrôles des comptes

Les membres du bureau ont procédé au contrôle des charges 2009 et ont obtenu un remboursement de 984 euros. « Pour le chauffage, alors que la chaufferie de Croix-Rouge met en route et arrête le chauffage collectif le même jour pour l’ensemble du quartier, aucune explication logique n’est donnée par l’Effort rémois qui facture 274 jours de chauffage, alors que Reims habitat et le Foyer rémois en comptabilisent 233 ! »

Quant au contrôle des charges 2010, avec bien des difficultés « car il manquait des factures », il aboutit à une demande de remboursement de 5 500 euros ! « Nous n’avons à ce jour aucune réponse. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120406h
A l’hôpital des nounours / On soigne les doudous malades

Une opération menée par les « nounoursologues »… de la corpo des étudiants en médecine.
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REIMS (Marne). Babar, l’éléphant, à mal à sa trompe. Kiki, le singe, est tombé par la fenêtre… Ils sont examinés dans un « hôpital des nounours », installé à l’école Joliot-Curie. Toute une armée d’étudiants, en médecine, pharmacie, odontologie, radiologie et pharmacie est prête à recevoir les enfants qui viennent consulter pour leur peluche ! « Comment devient-on « nounoursologue ? » demande-t-on à Lucile Mergem, chef du projet. « Avec de très longues études ! » sourit cette étudiante en 3e année, en charge de la solidarité locale de la Corporation des Etudiants en Médecine de Reims (CEMR).

Chaque enfant passe à tour de rôle par toutes les étapes d’une hospitalisation : « C’est vraiment bien ! Je pense que le jour où les enfants devront aller dans un vrai hôpital, ils auront moins peur »… « C’est vraiment un beau projet. Moi, ça m’éclate ! » confie Geoffrey, étudiant manipulateur en radiologie.

Hilares, les étudiants « déguisent » les petits en chirurgiens, avec masque, blouse et charlotte, pour entrer dans le bloc opératoire… où on n’ira pas jusqu’à ouvrir le ventre du doudou ! Au stand de kinésithérapie, tout un matériel permet de montrer à l’enfant en quoi consiste la rééducation. Plus loin le pharmacien administre un médicament… Au final, chaque écolier repart avec un mignon petit « nounours chirurgien ».

Corinne Suissi, la directrice de l’école, apprécie l’action : « Cela dédramatise l’idée d’hospitalisation. Les enfants sont obligés de surmonter leur timidité pour répondre à chacune des étapes ». Quant aux étudiants, qui s’amusent au moins autant que les petits, ils peuvent ainsi aborder la relation qu’ils auront avec de jeunes patients, dans leur activité future. 127 écoliers défileront sur deux jours, reçus par une soixantaine d’étudiants.

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l’union120406g
Études post-bac / Les dernières pistes pour trouver une école

Les étudiants viennent chercher au SIOU toutes les informations dont ils ont besoin sur la poursuite de leurs études.
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Sandrine Mélin, conseillère d’orientation psychologue, et Agnès Poumerol, documentaliste
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REIMS (Marne). Les inscriptions d’admission post-bac sont terminées. Mais il existe encore quelques pistes à exploiter pour les retardataires. Le point avec deux spécialistes de l’orientation.

ÇA y est, c’est terminé. Depuis le 20 mars les inscriptions post-bac sont clauses. Plus possible de saisir de vœux, et donc de choix de poursuite d’études, sur le portail d’admission en ligne. Les étudiants ne peuvent plus que modifier leur ordre, jusqu’au 31 mai.

Quelles solutions alors pour tous les oublieux, les lycéens qui ne se sont pas inscrits parce qu’ils pensaient rater le bac, ou tous ceux qui apprendront au mois de juin que leurs choix n’ont pas été validés ?

Trois types de recours

Tout n’est pas perdu… « Il n’est jamais trop tard pour se renseigner auprès des services d’orientation. On essaie toujours de trouver des solutions en fonction du projet des étudiants », expliquent Sandrine Mélin, conseillère d’orientation psychologue au Service d’information et d’orientation universitaire (Siou) sur le campus de Croix-Rouge, et Agnès Poumerol, documentaliste.

À partir du 22 juin, et jusqu’au 15 septembre, une procédure complémentaire d’admission permettra aux retardataires et déçus de s’inscrire dans les établissements où il reste des places vacantes. « Il y en a souvent dans le secteur industriel », observent les deux professionnelles. « Mais aussi dans le tertiaire, dans des communes un peu éloignées de Reims. Justement parce qu’elles n’ont pas été choisies en priorité. »

Bon à savoir aussi : les inscriptions à l’université peuvent s’effectuer via cette procédure d’admission mais aussi en se rendant directement sur place jusqu’à la mi-septembre.

Les SIOU et CIO de bon conseil

Enfin, troisième et dernier recours envisageable : certains établissements, tel l’École supérieure d’art et de design (Esad), possèdent leur propre calendrier et leurs propres procédures d’admissions, les écoles privées aussi. l’union reviendra d’ailleurs sur quelques-unes de ces formations dès demain.

Reste que pour connaître l’ensemble des filières encore accessibles, les étudiants n’ont plus qu’à se rapprocher des conseillers d’orientations des Siou du campus de Croix Rouge (*) plutôt orienté sur la formation tertiaire, ou du campus du Moulin De la Housse (**), axé sur la poursuite d’études en sciences, santé et sport. Les lycéens, quant à eux, peuvent se rendre dans l’un des Centres d’information et d’orientation (CIO) situés, 36, rue Boulard et 68 bis, rue de Louvois.

Et si, en définitive, l’étudiant est vraiment passé à côté de ce qu’il envisageait de faire, l’université offre différentes filières permettant d’avoir une première approche des études qui étaient envisagées. Telle la licence « Sciences sanitaires et sociales » pour celles et ceux qui ne se seraient pas inscrits à temps aux concours de l’Institut régional du travail social (IRST). Restera, cette fois-ci, à ne pas laisser passer la date d’inscription aux épreuves…

Lélia BALAIRE

(*) Siou du campus de Croix-Rouge : rue de Rilly-la-Montagne, 2e étage du bâtiment du restaurant universitaire. Tél. 03.26.91.87.55.

(**) Siou du campus du Moulin de la Housse : rue des Crayères, bâtiment 14 (la bibliothèque universitaire). Tél. 03.26.91.85.39.

……

Tour d’horizon des études supérieures à Reims

Dans le public

L’Université de Reims Champagne-Ardenne avec : des filières lettres et sciences humaines, sciences économiques et sociales, de gestion, en droit et sciences politiques, sport, odontologie, pharmacie ou encore médecine… Soit plus de 50 filières et 153 diplômes différents et près de 22 000 étudiants.

L’IUFM  : l’Institut universitaire de formation des maîtres propose soixante masters.

L’ESI  : École supérieure d’ingénieur en emballage et conditionnement.

Le Cnam : Conservatoire national des arts et métiers compte un peu plus de 200 étudiants.

L’ESAD  : École supérieure d’art et de design avec un peu moins de 200 étudiants.

Dans le privé

L’IRTS  : l’Institut régional du travail social avec 450 étudiants. Reims management school : RMS, grande école de commerce et management, compte plus de 4 000 étudiants.

Supinfo : pour les métiers de l’informatique et du numérique dispense un enseignement à 90 étudiants.

Groupe Cesi  : l’Institut européen de management social offre une formation en informatique et forme les cadres et techniciens supérieurs. Il compte une cinquantaine de personnes.

Maestris santé  : dispense des diplômes dans les domaines du management, de la communication ou alors la gestion des entreprises.

Tunon : offre une formation à une cinquantaine de personnes dans le tourisme et l’hôtellerie.

Sans oublier les BTS que proposent douze lycées et les formations des neuf Centres de formation d’apprentis (CFA) rémois.

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l’union120406f
Tous au Pâquodrôme dimanche / Courses hippiques et chocolat…

Entrée gratuite jusqu’à 18 ans.
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REIMS (Marne). Comme vont le faire une vingtaine d’autres hippodromes tout au long du week-end pascal, l’hippodrome de Reims va placer sa réunion du dimanche 8 avril sous le signe de Pâques en participant à l’opération « Tous au Pâquodrome » organisée sous l’égide de la Fédération nationale des courses françaises à partir de 13 h 30.

En plus des sept courses PMH (pari mutuel hippodrome) organisées à partir de 13 h 30 avec la première course à 14 heures dotée du grand prix de la chocolaterie Dallet (avec un trophée en chocolat pour le vainqueur) les enfants seront eux aussi à la fête.

Au programme : distribution de chocolats, rencontre avec le lapin de Pâques, atelier de création avec possibilité de décorer un œuf de Pâques. Avec comme toujours le tiercé des dames avec trois bouteilles de champagne à gagner et la possibilité de monter dans la voiture suiveuse pour suivre la course au plus près.

Entrée : 5, gratuite pour les moins de 18 ans. Programme de pronostic offert.

 

 

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l’union120406e
Danse sur glace (France solos) / Dans les pas de Péchalat-Bourzat

Les dirigeants du Reims Acrap patinage ont préparé avec soin ces finales.
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Reims, ville des sacres… des danseurs, porte bien son nom. Ce week-end, les titres de champions de France solos, sauf celui des poussins (1), seront attribués sur la glace de la Chaussée Bocquaine. L’occasion de déceler les futurs Nathalie Péchalat ou Fabian Bourzat, récents médaillés de bronze mondiaux.

Dans chacune des dix catégories présentées, les dix meilleurs patineurs de la saison viseront le podium. C’est à l’issue de cinq étapes (deux villes par étape (2), les trois meilleurs résultats étant retenus) qu’ont été désignés les dix finalistes. Au programme de ces jeunes gens et jeunes filles, deux danses imposées et une danse d’interprétation.

Les réjouissances débutent ce soir après le tirage au sort effectué dans les salons de la mairie. Les minimes 1re année et les Novices 3e année s’élanceront pour les danses imposées à partir de 20 heures.

Y.D.

(1) Les poussins disputeront leur championnat de France les 28 et 29 avril à Epinal. (2) Les cinq étapes : Clermont-Ferrand ou Cholet ; Morzine ou Viry-Châtillon ; Dijon ou Limoges ; Fontenay ou Toulouse ; Le Havre ou Lyon

Les chances marnaises

Ils seront douze du département (8 Rémois, 4 Châlonnais) à tenter de se hisser sur les podiums nationaux. Parmi eux, les Châlonnaises Léna Bailly (1re du classement minime 1 avant les France) et Marion Lecomte (2e des Novices 1) possèdent de réelles chances de se parer d’or. Pour le club organisateur, le Rap, Camille Renault (4’ en Espoirs 1) ou encore Juliette Wary (5e en Novices 2) peuvent prétendre à une médaille. Pour tous les autres, ce sera un peu plus compliqué.

Benjamins 1ère année : Alan Dasilva Moutinho (Rap, qualifié en 6° position) ; 2° année : Evangéline Bracconnier (Rap, 6e)

Minimes 1ère année : Léna Bailly (Châlons, 11, Myrtile Navarro (6e) et Clémentine Rocher (Rap, 101 ; 2° année : Chloé Aubriet (Châlons)

Novices 1ère année : Marion Lecomte (21 et Océane Guyard-Gully (ChâIons, 61, Jeanne Reppel (Rap, ; 2e année : Juliette Wary (5e) et Renan Manceaux (Rap)

Espoirs 1ère année : Camille Renault (Rap, 4e)

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l’union120406d
Etoile Croix-du-Sud : loto et belote

L’association Étoile Croix-du-Sud, implantée au 5, avenue Léon Blum, organise en avril une soirée loto et un concours de belote.

La soirée loto se déroulera le vendredi 13 avril. Ouverture des portes à 19 heures, début des jeux à 20 heures. (tarifs : 1 carton, 2 euros, 3 cartons, 5 euros et 10 cartons, 15 euros). Nombreux lots en jeu.

Le concours de belote du dimanche se déroulera le 15 avril dans la même salle. Inscriptions à 13h 30, début du jeu à 14 heures. Tarif : 8 euros par joueur. Lots pour tous.

Pour les deux manifestations, buvette et restauration sur place (places limitées). Renseignements et réservation au secrétariat de l’association, ouvert du lundi au jeudi de 9 à 12 heures et de 14 à 16 heures. Tel 03.26.06.56.66.

Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum Tramway ligne B, station Léon-Blum

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l’union120406c
Tennis (Champagne-Ardenne) / Duter en apesanteur

Passionnée de football, la Sedanaise ambitionne de se hisser à 2/6 à la fin de la saison.
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ARDENNES. En pleine progression, la meilleure joueuse ardennaise visera la qualification pour la phase finale régionale à Reims.

LES championnats de Champagne-Ardenne, qui débutent demain par le pré-tour des 2e série, offrent une fenêtre sur Roland-Garros pour le gagnant.

Ni Kévin Dubois (15, Givet), ni Lucie Varenne (5/6, ASPTT Charleville-Mézières), encore moins Claire Duter (3/6, Sedan), les trois seuls Ardennais engagés à Reims lors du week-end pascal, ne peuvent vraiment l’ignorer.

Quatre fois finaliste face à Claire Makhloufi (-2/6, Géo-André Reims) dans les compétitions de jeunes, la Sedanaise a déjà eu la chance de fouler l’ocre parisien lors des championnats de France après avoir été sacrée championne régionale 3e série à tout juste 13 ans.

Lauréate à Longwy et Sedan

« Même si j’avais perdu au premier tour, le souvenir reste inoubliable. J’avais déjà été spectatrice des Internationaux de France, mais je me suis laissée impressionnée par le fait de jouer sur le court n° 5. »

Montée en 2e série l’année dernière, Claire Duter (15 ans) arrive sur l’épreuve régionale après un début de saison accompli.

Lauréate à Longwy et Sedan fin 2011 après une demi-finale lors de la National Cup au Cap d’Agde, elle reste sur une bonne prestation à Vitry-le-François, après une finale il y a trois semaines à Fère-Champenoise. « J’ai participé à seulement cinq tournois, mais ils se sont plutôt révélés de bonne qualité. Jouer peu n’est pas un choix, mais mes parents ne peuvent pas toujours faire le taxi pour me conduire dans la Marne, la Moselle ou la Meurthe-et-Moselle. »

Intégrée dès la préadolescence dans le programme de formation du Comité des Ardennes puis de la Ligue de Champagne-Ardenne, l’élève du Lycée Mabillon s’est révélée très tôt avec une troisième place aux Bottes de Nevers ou une participation aux championnats du monde 11-12 ans à Bressuire.

Meilleure joueuse du département, elle s’entraîne désormais quatre fois par semaine au sein d’un groupe masculin dirigé par Julien Négrier. « Etre la n° 1 ardennaise constitue une fierté. Je suis heureuse de représenter mon département à l’extérieur, même s’il n’y a pas la même densité que dans la région parisienne. D’une manière générale, le tennis féminin manque de publicité. A part Marion Bartoli, les Françaises peinent à se distinguer. »

Claire préfère ainsi s’identifier à Roger Federer dont elle loue autant le jeu que le caractère. « Personnellement, j’ai un style très atypique avec un goût pour la volée et un revers chopé. » Un état d’esprit offensif qu’elle mettra encore en application, lundi à Reims.

Cédric GOURE

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l’union120406b
Tennis (Revin) / Munier sur un boulevard

Confirmation attendue de Quentin Munier.
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Parallèlement au pré-tour des championnats de Champagne-Ardenne 2e série programmé entre demain et lundi à Reims, le tournoi de Revin trouvera son épilogue dimanche après-midi après avoir réuni 190 participants.

« Les championnats régionaux nous font un peu d’ombre, reconnaît le juge-arbitre Anthony Ladouce. Mais avec deux courts intérieurs, on arrive au maximum de nos possibilités. J’ai même refusé un négatif et deux 0 qui se sont présentés trop tardivement. »

La revanche de Piccoli ?

Après des tours de chauffe qui ont confirmé le retour gagnant de Frédéric Brau (15/5, Poix-Terron), champion départemental 4e série, et de Vincent Bastin (30/3, La Macérienne), qui ont respectivement glané trois et six succès, le tableau final devrait permettre à Quentin Munier (1/6, Géo-André Reims) de confirmer le titre obtenu l’année dernière.

Directement qualifié pour les demi-finales, le professeur de tennis semble en effet posséder une marge suffisante pour écarter une concurrence représentée par Maxence Dupuis (15, La Macérienne), Kévin Dubois (15, Givet) et Anthony Ladouce (15, Revin).

Récemment blessé à un pouce, ce dernier a toutefois repris la compétition le week-end dernier en s’adjugeant le titre honorifique de champion des Ardennes 2e série en dominant Kévin Dubois (15, Givet) à Vireux-Wallerand dans une finale décalée (6-4, 6-1).

Absente de la compétition féminine, Sylvie Croizier (15, ASPTT Charleville-Mézières) laisse vacant le trophée remporté en 2011.

Finaliste malheureuse à l’époque, Manon Piccoli (15/3, Revin) tente à nouveau sa chance sur ses terres avec un statut d’outsider, tout comme Zoé Martin (15/3, ASPTT Charleville-Mézières) ou Elodie Gaertner (15/3, ASPTT Charleville-Mézières).

Sauf surprise, la victoire devrait ainsi se disputer entre Lucie Varenne (5/6, ASPTT Charleville-Mézières) et Emelyne Barré (ASPTT Charleville-Mézières). Un duel presque fratricide en perspective entre partenaires de club.

C.G

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l’union120406a
Tennis / TC Reims : La banlieue débarque !

Haut lieu de la petite balle jaune dans la cité des Sacres, le Tennis Club de Reims s’est activé pour pérenniser son tournoi à visée haut de gamme. Pour sa deuxième édition, cette nouvelle mouture a connu une hausse de la participation, passant de 230 inscrits à 258. De quoi proposer de beaux tableaux, d’autant que le niveau des finales - programmées de façon originale demain - s’annonce élevé.

Chez les messieurs, trois - 30 vont fouler la terre battue de la rue Lagrive. Les Franciliens Maxime Bonami (Sarcelles) et Gary Lugassy (Blanc-Mesnil) et le Marseillais Gilles De Sousa devront composer avec une forte concurrence venue en force de la banlieue parisienne : Jonathan Sternbach (- 15, Saint-Maur) et les - 4/6 Sébastien Hourcourigaray (Asnières) ainsi que les sociétaires du Stade de Vanves, Jérémy Tweedt et Samuel Bensoussan.

Premier régional, pointant à 0, Gabriel Andruejol (Saint-Dizier) aura donc bien du mal à tirer son épingle du jeu.

En + 35 ans, le titre devrait revenir à la « terreur » locale Hervé Szymanski (15/1, TC Reims).

Perf pour Delobelle ?

Enfin, du côté des dames, la chasse à la numérotée est ouverte ! Tête de série n°1 et grandissime favorite, la Serbe de Moulins-les-Metz, Natasa Zoric (n° 34), sera la joueuse à battre. En premier lieu par la talentueuse néo-« Européenne » Aleksandra Grela (- 15) mais aussi par les - 4/6 Laura Tanfin (Rivery), Claire Carnez (Eaubonne) ou Tessa Drevé (Saint-Dizier).

Ancien grand espoir du tennis champardennais, Servane Delobelle (1/6, Géo-André) cherchera à se faire plaisir et, pourquoi pas, décrocher une « perf » sur l’ocre rémois.

AUJOURD’HUI. - 16 heures : finale + 35 ans dames ; demain, 9 heures : demi-finales dames ; 11 heures : demi-finales messieurs ; 15 heures : finale dames ; 17 heures : finale messieurs.

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l’union120405f
Danse sur glace / Les Dix ans du Rap, ça se fête !

Les jeunes Rémois voudront briller devant leur public, ils visent le plus haut sur leur glace.
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REIMS (Marne). La danse sur glace est un spectacle magnifique, même en solo. Le Rap offre aux Rémois trois jours de championnat de France ce week-end.

LE Reims Acrap patinage ne pouvait imaginer meilleure façon de fêter son 10e anniversaire qu’en organisant les championnats de France de danse sur glace solos, à partir de demain vendredi jusqu’à dimanche.

« Il y aura une centaine de patineurs, venus de 29 clubs, répartis dans dix catégories. C’est la première fois que nous organisons ce championnat », explique le président du Rap, Jean-Luc Ployé.

Pour mieux faire connaître son sport et faire profiter tous les amateurs du spectacle, le club rémois a décidé de laisser l’entrée gratuite. Car du spectacle, il y en aura, avec ces patineurs-danseurs souvent en « costume de scène », qui se préparent ainsi en solo avant de trouver le ou la partenaire qui lui permettra de danser en couple.

Huit Rémois sur la glace

« La finalité, c’est le couple. Mais beaucoup de choses rentrent en compte pour pouvoir danser ensemble : le physique, le niveau de patinage, etc. », explique Ludivine Lemaire, l’entraîneur qui a permis au club de monter en puissance, et d’être aujourd’hui le 3e club à présenter le plus de sélectionnés.

Il y aura en effet huit Rémois sur la glace ce week-end, un record pour le Rap. Avec des ambitions ? « Oui, on espère des podiums ! Pour les autres plus jeunes, ce sera une découverte ». Alan Moutinho (9 ans), Evangéline Braconnier (10 ans), Myrlile Navarro (11 ans) et Clémentine Rocher (11 ans) disputeront leur premier championnat de France, devant leur public, famille et amis, en plus !

Jeanne Reppel (13 ans), Renan Manceaux (14 ans), Juliette Wary (14 ans) et Camille Renault (16 ans), en revanche, pourront jouer sur leur expérience de ces grands rendez-vous. Et voudront faire mieux qu’en 2011, où le club rémois avait obtenu deux podiums (Juliette Wary et Solène Manceaux en bronze).

Sur huit sélectionnés, il n’y a que deux garçons, symptomatique d’une discipline très féminine, ce qui explique que les filles aient du mal à trouver chaussure à leur pied pour danser en couple. Elles pourront suivre l’exemple de Margaux Abib-Gruet, actuellement au pôle France de Lyon, là où se retrouvent les meilleurs couples. Elle a trouvé son partenaire depuis le début de saison et espère briller avec Grégory Brissaud (Besançon).

A partir de 3 ans

Les patineurs s’entraînent dur en attendant de trouver un partenaire, à raison de huit heures par semaine minimum, le midi et/ou le matin, suivant les créneaux libres à la patinoire Barot. « On peut commencer à patiner vers 3 ans, et arriver à un bon niveau national en 4 ou 5 ans, parfois plus vite pour ceux qui sont doués », poursuit Ludivine.

C’est donc le fruit de nombreuses années de travail que pourront apprécier les spectateurs tout au long du week-end, à la patinoire Bocquaine cette fois, qui a déjà vibré hier avec le hockey (lire page suivante). Place aux danseurs maintenant !

G.F.

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l’union120405e
Encombrants / Des bennes à profusion

L’installation des bennes se fait plus rare. Il faut en profiter.
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A Croix-Rouge, la déchetterie située impasse de la Chaufferie est ouverte aux particuliers du lundi au samedi de 9 à 19 heures et le dimanche et jours fériés de 9 à 12 heures. En plus de cette déchetterie, les habitants pourront se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes qui seront installée :

Mardi 10 avril : rue Léon-Mathieu / avenue d’Epernay (en pointe), avenue François-Mauriac / rue François-Dor, rue Alexandre-Dumas / rue Georges-Bernanos.

Lundi 16 avril : rue de Bezannes / rue du Lieutenant-Colonel Schock (parking face au cimetière), rue Gilberte et Jean-Droit (sur le parking face à la rue André-Schneiter), rue Lucien-Doyen / rue François-Legros (sur le parking).

Lundi 23 avril : rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome), rue de Rilly-la-Montagne (sur le stationnement au niveau du gymnase), sur le parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards), avenue du Général-Bonaparte (sur le parking face au lycée Arago), sur le parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux), rue Galilée (face au n°4, sur le terrain vague à l’angle Arago) et avenue Léon-Blum (sur le parking).

 

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l’union120405d
Au collège François-Legros / Aujourd’hui, le son sous toutes ses formes

De nombreuses animations exceptionnelles sont programmées.
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Le collège François-Legros ouvrira ses portes au public aujourd’hui de 13 h 30 à 19 heures, pour une journée d’actions particulière sur le thème du son.

Pour cette journée appelée « Le Son ! »(leçons), les cours des enseignants seront traités à partir de ce thème dans toutes les matières.

Par ailleurs, nombre d’animations tout à fait exceptionnelles sont programmées : venue de la classe Cham du collège Saint-Rémi pour un concert le matin, présence de musiciens, d’ingénieurs du son, de chercheurs, exposition sur le son sous toutes ses formes à destination des écoles primaires, etc.

Au programme, des ateliers pédagogiques, des ateliers d’information et de découverte, des conférences et des cours magistraux, des spectacles.

Ouvert au public à partir de 13 h 30, en accès libre ou en visite organisée (départ chaque heure).

Collège François-Legros, 2 rue François-Legros. Tél. 03.26.08.03.77.

 

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l’union120405c
Microcrédits au Burkina avec les étudiants de RMS

Les étudiants se sont rendus sur place pour faire un point avec les bénéficiaires des microcrédits.
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Mélanie Dubreuil, étudiante en Sup de Co, présidente de l’association « Initiatives d’échanges pour le développement » qui regroupe seize étudiants de RMS, a présenté son projet de création et d’accompagnement de structures de microcrédits dans le village de Koulgorin au Burkina Faso. « Notre action a été lancée il y a 3 ans ; les fonds nous permettent de continuer. » Avec un double objectif : sensibiliser les étudiant de RMS au microcrédit en organisant des conférences, des expos etc., et contribuer au développement global et durable du village burkinabé grâce à des microprêts - 9 000 euros en 3 ans.

« Pour ce qui est du maraîchage, nous avons prêté 2 000 euros à un groupe d’hommes, explique Mélanie. Grâce notamment à l’aide de la Ville - 1 500 euros sur un budget estimé à 4 410 euros -, nous avons pu doubler les parcelles, acheter des ânes et des charrettes. Concernant l’élevage de porcs, nous avons étendu les prêts à 100 nouvelles femmes cet été et avons démarché un vétérinaire. Enfin, on a prêté de l’argent à des femmes qui achètent des objets et les revendent pour en tirer profit. C’est une forme d’économie qui marche très bien. » L’argent a aussi permis aux étudiants de partir 25 jours au Burkina fin août 2011 et d’y organiser des tables rondes avec les bénéficiaires des microprêts. « Nous avons aussi dessiné les projets pour cette année : la construction d’un puits, le lancement du maraîchage pour les femmes et la relance des petits commerces. »

 

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l’union120405b
Le tireur du tramway court toujours

REIMS (Marne). Une semaine après les faits, le tireur qui a légèrement blessé à la tête un jeune passager du tramway de Reims, vendredi vers 17 heures à l’arrêt Franchet-d’Espérey, reste à identifier (l’union de samedi et dimanche).

La balle retrouvée dans la rame est de calibre 22 LR. Elle a éraflé la boîte crânienne de la victime, un collégien de 12 ans qui se trouvait debout dans le tramway, portes ouvertes, près du conducteur.

Les policiers travaillent sur deux pistes : celle d’un tir intentionnel en direction de la rame, ou d’un ricochet lors d’un jeu stupide. L’auteur aurait pu être posté dans les terrains de l’ancienne école Franchet-d’Espérey, ou dans la grande tour située derrière.

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l’union120405a
L’automobiliste fait le coup de poing

REIMS (Marne). Mardi vers 17 h 30, le conducteur d’une Renault 5 arrêté à un feu rouge de la rue François-Arago a fait marche arrière, heurtant légèrement le véhicule qui suivait. Coup de klaxon de l’automobiliste qui est ensuite descendu pour exprimer son mécontentement. Le conducteur de la R5 l’a alors frappé d’un coup de poing au visage avant de reprendre le volant et de s’enfuir.

Blessée, la victime âgée de 56 ans a dû être transportée au CHU par les sapeurs-pompiers. Une enquête est ouverte.

Ce même soir à 19 h 30, un homme de 51 ans a été retrouvé allongé au sol avenue de Paris, le nez en sang, l’arcade sourcilière éclatée. D’après ses déclarations, il venait d’être frappé par un individu avec lequel il est en froid.

Agression, toujours, avec ce passant de 24 ans blessé lundi à 18 h 50 rue Pasteur à Saint-Brice-Courcelles. Une Seat Ibiza lui avait roulé sur le pied (l’union d’hier).

Il s’avère que l’automobiliste l’aurait fait exprès en raison d’un contentieux l’opposant au plaignant, affirme celui-ci. La police ne devrait pas manquer de l’interroger quand elle l’aura retrouvé.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 120403c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7440 du 2 au 8 avril 2012.

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Extrait des minutes du Greffe du Tribunal de Commerce de Reims

Par jugement en date du 27/03/2012, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : O.M.A.K. (SARL), 18 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 509 823 522).

Activité : Tous travaux de maçonnerie générale gros oeuvre.

Mandataire liquidateur : SCP DARDENT TIRMANT RAULET (Maître Bruno RAULET), 34 rue des Moulins 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-deux mois suivant la parution au BODACC.

Le Greffier : B. DELPY.

104590

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l’union120403b
École Dufy-Cavarrot : Une pluie de confettis à la maternelle

 

 

Pas d’appréhension côté météo cette année pour Pascale Donnio et toute son équipe : c’est sous un soleil radieux que l’école a fêté le Carnaval et a défilé dans les rues des quartiers Croix-du-Sud et Hauts-de-Murigny.

Le cortège était impressionnant, gonflé par la présence des classes de l’école élémentaire et de très nombreux parents.

L’après-midi s’est terminé par un grand goûter dans la cour où les enfants se sont régalés de crêpes, gaufres, beignets et autres gâteaux généreusement apportés par les mamans.

 

 

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l’union120403a
Francas de Champagne-Ardenne

Les Francas de Lorraine Champagne-Ardenne organisent des sessions de formation aux fonctions d’animateur.

Du 28 avril au 5 mai en demi-pension à Reims et durant les vacances d’automne en Internat.

Renseignements et contact au 29, rue Pierre-Taittinger à Tél. 03.26.85.55.18.

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l’union120402b
Croix-Rouge / La poète, victime d’une effraction

Liliane Feige ne comprend pas une telle méchanceté.
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REIMS (Marne). « Je rêve qu’à Croix-Rouge on vive tous ensemble en harmonie, et on s’en est pris à moi ! » se lamente Liliane Feige, paisible habitante du 6, allée Edgar-Degas, qui passe sa vie à écrire de jolis textes à la gloire du quartier, des textes où elle déclare son amour immodéré pour Croix-du-Sud et une joie de vivre optimiste : tout lui semble beau, les espaces verts, les fleurs, les oiseaux, les constructions, les habitants et en particulier les jeunes qu’elle voit avec les yeux indulgents du poète. « Pourquoi moi ? Je ne demandais rien, je voulais un partage, tous ensemble. Pourquoi venir fracturer ma porte, moi qui ne rêve que de vous donner un peu de bonheur, de bienveillance, de partage de vivre ? Je suis plus que tout désolée, après un deuil terrifiant, on me rend la vie impossible ! En prenant quoi ? Les poètes, leurs richesses viennent seulement du cœur ! On devrait exiler les poètes ! Vais-je devoir partir ? »

Liliane Feige, membre assidue du conseil de quartier, se demande si elle va pouvoir se rendre aux prochaines réunions, préférant rester pour garder son logement. Ce serait dommage, car sa participation positive est appréciable, apportant un rare parfum d’optimisme aux débats.

 

 

 

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l’union120402a
Roller hockey (Elite) / Reims dominé par son voisin

Les Rapaces avaient ouvert le score par Naud (de dos). François Nascimbeni
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Rémois et Rethélois ont offert un beau spectable samedi soir au public du gymnase Legros. François NASCIMBENI
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Rethel bat Reims RHR 8-5. Le deuxième derby de la saison entre Reims et Rethel a revêtu des allures de choc samedi au gymnase Legros.

Rapaces et Diables se sont livrés un duel haletant dont les Ardennais sont logiquement sortis vainqueurs. Mais les joueurs de l’entraîneur Kirk French ont vendu chèrement leur peau. La partie débutait d’ailleurs pour le mieux pour les locaux grâce à l’ancien Rethélois Naud, qui se rappelait habilement au bon souvenir de ses anciens coéquipiers peu après l’entame (04’43).

Coup pour coup

Mais Muller puis Paul Fayault replaçaient rapidement les Ardennais en tête (06’48, 2-1). Les deux formations se créaient tour à tour des occasions mais la marque ne semblait plus devoir évoluer durant ce premier acte. C’était sans compter sur une ultime percée de Thomas qui doublait l’écart avant la pause (24’48). Bien que vaillants, les Rémois ne parvenaient pas à empêcher les voisins ardennais de prendre le large au retour des vestiaires grâce à des réalisations de Doran et Sotlar (29’10, 5-1).

Loin d’être abattus, les Marnais redoublaient d’efforts et finissaient par trouver la faille à deux reprises par Axel Capitaine puis Tran (38’07, 5-3).

Equilibrée, la suite de la partie voyait les deux camps se rendre coups pour coups. Basset pour son premier de la saison (42’38) répondait à Lacuisse et Doran (43’26, 7-4). Enfin, Rhodes (49’22) répondait à Muller ce qui portait le score à 8-5 au coup de sifflet final. De quoi contenter malgré tout l’entraîneur-joueur des Rapaces, satisfait de la prestation de ses protégés : « On a joué un gros match ce soir (samedi), peut-être le meilleur match de notre saison, se félicitait-il. Je suis content parce qu’on a montré une bonne image de notre équipe, on prouve qu’on mérite de jouer ces matches. On peut être fier de nous ».

Il reste aux Rémois à conclure cet exercice, samedi à Caen.

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l’union120401b
Un policier touché par une balle de gomme-cogne

REIMS (Marne). Quand les policiers décident d’effectuer un contrôle, ce n’est pas toujours sans risque.

Un fonctionnaire de l’hôtel de police de Reims en a fait l’amère expérience lorsque le 12 mars, lui et plusieurs de ses collègues en patrouille dans le quartier Croix-Rouge, ont pris l’initiative de vérifier l’identité d’un groupe de personnes s’abreuvant d’alcool sur la voie publique, en l’occurrence sur l’avenue Bonaparte.

Car rapidement, la prise de contact n’a pas manqué de dégénérer.

Soudain, l’un des individus s’est en effet écarté du groupe en incitant haut et fort ses camarades à ne pas se soumettre au contrôle, à grand renfort d’insultes et de menaces de mort à l’endroit des policiers. Mais l’incident ne s’est pas limité à des noms d’oiseaux. L’homme a ensuite tiré une balle de gomme-cogne (en caoutchouc) sur la cuisse d’un des représentants de l’ordre, avant de prendre la fuite dans les rues du quartier.

Trois mois assortis d’un sursis

L’enquête menée par la sureté départementale a finalement permis de l’identifier.

Âgé de 28 ans, il a reconnu les faits d’incitation à la rébellion ainsi que les insultes, mais a nié avoir tiré une balle de gomme-cogne et proféré des menaces de mort.

Déféré devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate, ses déclarations lui ont en tout cas permis d’être relaxé pour ces derniers faits.

Pour le reste, il a été reconnu coupable et condamné à trois mois d’emprisonnement intégralement assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve.

Le policier, lui, s’en est sorti avec un bel hématome à la cuisse.

F.B.

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Le tireur mystérieux du tram activement recherché

Vendredi à 16 h 50 : un jeune passager du tramway a été touché à la tête par un tir mystérieux. La police recherche des témoignages.
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Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne). Les policiers sont à la recherche du moindre témoignage pour tenter d’identifier au plus vite l’individu qui a tiré vendredi sur le tramway et blessé un jeune de 12 ans à la tête.

LA police lance un appel à témoins. Le moindre témoignage, même le plus anodin. Un détail, quelque chose ou quelqu’un qui aurait retenu l’attention sans qu’on y attache d’importance sur le moment, mais qui au vu des récents événements pourrait s’avérer beaucoup moins insignifiant qu’il n’y paraissait…

Un individu au comportement curieux, un mouvement aux fenêtres, dans la rue, un véhicule, une discussion, un bruit, bref tout ce qui pourrait être utile aux enquêteurs chargés de faire la lumière sur le tir mystérieux qui a touché vendredi, à 16 h 50, un jeune passager du tramway de 12 ans à la tête, à la station Franchet-d’Espérey, à Reims.

Un champ d’investigation large

A cette heure de la journée, beaucoup de monde se trouvait aux abords de la station située sur l’avenue du général de Gaulle, entre le Campus Croix-Rouge et la clinique de Courlancy.

Des passants, des automobilistes, probablement des gens à leur fenêtre mais aussi les passagers du tramway qui prenaient leur mal en patience à l’intérieur de la rame, depuis une panne survenue une vingtaine de minutes plus tôt à hauteur de la station Opéra.

A l’instar de la victime qui attendait en discutant avec un camarade que la circulation ne reprenne en direction du centre-ville, certains n’ont peut-être effectivement rien remarqué. Mais d’autres devaient bien porter leur regard quelque part, s’enquérir de la situation, s’impatienter, regarder par la vitre…

Au cours de cet interminable arrêt de vingt minutes, fumer une cigarette en attendant le départ en a peut-être même conduits d’autres à se retrouver sur le quai. Qui sait ? Quelqu’un a peut-être remarqué quelque chose. Vu ou entendu.

Quant au coup de feu, même tiré de loin, il est tout à fait possible qu’il ne soit pas passé inaperçu pour qui se trouvait au même moment dans l’environnement proche du tireur.

C’est pourquoi toute personne qui pourrait aider à l’enquête est invitée à prendre contact avec l’hôtel de police de Reims.

En attendant, l’enquête de flagrance se poursuit sans relâche afin d’identifier l’auteur du tir. Mais le champ d’investigation est large.

D’une part les terrains et les bâtiments de l’ancienne école Franchet-d’Espérey d’où un individu aurait très bien pu faire feu et, d’autre part, la grande tour d’une quinzaine d’étages située derrière. L’enquête de voisinage a débuté dès vendredi soir, mais ne semble pas encore avoir permis d’orienter les policiers sur la piste du tireur mystérieux.

Un individu que les autorités aimeraient interpeller au plus vite.

Franck BRENNER

Toute personne qui pourrait aider à l’enquête est invitée à prendre contact au 03.26.61.44.00 ou 03.26.61.44.16.

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Le hall de l’immeuble abritait un « supermarché de la drogue »

Surveillé depuis plusieurs mois par la police, ce hall d’immeuble de l’allée des Béarnais, au n° 2, était devenu un point de vente pour de nombreux fumeurs de cannabis et autres héroïnomanes.
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REIMS (Marne). Décrit comme un « supermarché de la drogue » par le parquet de Reims, un hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge a vu la police débarquer cette semaine. Trois jeunes accusés de deal ont été arrêtés.

C’EST un hall d’immeuble crasseux en ce début de matinée, jonché de mégots et de papiers gras. Aucune boîte à lettres éventrée, mais des traces noirâtres de combustion sur plusieurs d’entre elles. Il flotte une odeur désagréable, difficile à identifier, contrairement aux effluves d’urine remontant d’un escalier.

Offre diversifiée

Bienvenue allée des Béarnais, dans l’entrée du n° 2, un bloc de sept étages du quartier Croix-Rouge à Reims où des dealers officiaient depuis plusieurs mois. La police y a fait une descente mardi matin. Trois suspects - un mineur, deux majeurs - ont été appréhendés au terme d’une enquête initiée en fin d’année dernière par la sûreté départementale de Reims.

Les perquisitions menées dans les communs et un appartement squatté du premier étage ont permis de saisis 200 grammes de résine de cannabis, ainsi que 20 grammes de cocaïne et 30 grammes d’héroïne conditionnés dans des « pochons prêts à être revendus ».

Les quantités ne sont pas très importantes, mais « il s’agissait des stupéfiants destinés à être revendus dans la journée », a commenté le substitut Doriane Trombi lors du débat sur la détention des deux majeurs, jeudi devant le tribunal (lire par ailleurs). « Quand ils venaient dans cet immeuble, les toxicomanes savaient qu’ils allaient trouver un supermarché de la drogue. Qui veut du cannabis ? De l’héroïne ? De la cocaïne ? Il y avait tout ce qu’il fallait en magasin. »

Défilé de clients

L’enquête n’a pas été facile. Les policiers ont dû mener leur surveillance sans éveiller l’attention des dealers, à l’affût de la moindre présence étrangère dans leur cité. S’en sont-ils servis pour protéger leur trafic ? Un trou creusé au ras du sol permet d’observer l’allée des Béarnais depuis une cave de l’immeuble. Une chaise traîne à côté. Il suffit à un guetteur de monter dessus pour voir sans être vu, et donner l’alerte dès l’apparition d’une patrouille.

Les enquêteurs aussi avaient leur planque. De là, ils ont pu assister au défilé des clients qu’un « agent d’accueil » réceptionnait en tenant la porte du hall. Bien que les dealers opéraient en se dissimulant le visage avec capuches, cagoules et autres casques de paintball, la police a fait le lien - du moins le pense-t-elle - avec les trois suspects arrêtés mardi, et repérés de façon récurrente sur le point de vente.

Souvent, ils quittaient le n° 2 pour se rendre au n° 1, dans un local du rez-de-chaussée loué par une association consacrée aux jeunes. Les enquêteurs l’ont également perquisitionné. Ils y ont découvert une balance, de l’argent et un couteau noirci qui semble avoir servi à la découpe de cannabis.

Le procès des deux majeurs est prévu le 24 avril. En attendant, après l’opération de mardi matin menée par plusieurs dizaines de policiers qui ont profité de l’occasion pour fouiller d’autres immeubles sur réquisition du procureur, la pression ne se relâche pas.

« Depuis le début de la semaine, on voit beaucoup de flics dans le quartier. Ils n’arrêtent pas de tourner », constate un habitant. Objectif : perturber le business des dealers, en empêchant notamment l’ouverture d’une nouvelle succursale destinée à remplacer celle qui a baissé le rideau allée des Béarnais.

Fabrice CURLIER

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Un ado de 17 ans écroué, ses deux camarades de 20 et 25 ans libérés

Il n’y a pas que des dealers ou des squatters au n°2 de l’allée des Béarnais. Il y a aussi des locataires qui doivent s’en accommoder. Pour cohabiter le mieux possible, une règle d’or : se faire discret. « Je veux être tranquille. Ça ne me regarde pas ! », coupe un monsieur croisé dans le hall. « Ça fume tout le temps ici. C’est infernal ! », lâche un autre. « Moi, je passe tout droit chercher mon courrier, je dis pardon s’il y a quelqu’un devant la boîte aux lettres, puis je remonte. Je ne fais aucune remarque. C’est le meilleur moyen si on ne veut pas être embêté. »

Des trois jeunes gens interpellés mardi pour leur participation présumée au trafic, seul Antar Noui, 20 ans, demeure dans l’immeuble. Mis en cause par les surveillances et les dénonciations de certains toxicomanes, il proteste lors de son passage en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. « Je suis innocent. Les policiers m’ont vu car j’habite ici, c’est tout. » Chez lui, les enquêteurs n’ont retrouvé que « quatre joints » mais 7 000 € en petites coupures dissimulés sous le meuble du téléviseur. Il s’agirait de l’argent mis de côté au fil de ses différents petits boulots.

En attente du RSA, Djallal Sahraoui, 25 ans, demeure à quelques encablures de l’allée des Béarnais. Lui aussi conteste. « Je ne suis pas concerné par les faits. On m’a pris en photo à côté, près des clients, quand j’étais en train de traîner dans le quartier. » D’après l’enquête, le deal est attesté dans l’immeuble depuis le mois d’août 2011. Pour la période du 11 octobre au 20 décembre, Djallal peut se prévaloir d’un alibi incontestable : il était en prison pour purger l’une de ses huit condamnations.

Un deuxième alibi est fourni pour la période « du 25 janvier au 10 février » : « J’étais en voyage en Thaïlande avec des copains. » Sursaut du parquet : « Comment avez-vous payé le transport et les 17 nuitées ? » Pas de réponse dans l’immédiat, peut-être à l’audience du 24 avril, date à laquelle l’affaire a été renvoyée à la demande des avocats, scandalisés d’être saisis d’un tel dossier « une heure seulement avant l’audience », tonne Me Pascal Ammoura. « Comment voulez-vous préparer une défense digne de ce nom dans un délai aussi court ? » Il s’interroge également sur l’opportunité de juger cette affaire en comparution immédiate, au détriment d’une instruction, alors que subsistent plusieurs zones d’ombre (comme l’approvisionnement du point de vente).

Au grand dam du parquet, qui avait requis le placement des deux prévenus en détention provisoire, le tribunal les a remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec obligation de pointer une fois par jour au commissariat et de ne plus se rendre dans l’immeuble du 2 Béarnais (Antar, qui habite là-bas, a donc fait ses valises pour partir chez une tante).

Le troisième suspect est un mineur de 17 ans. Lui a été écroué dans l’attente de son procès.

F.C.

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Un ado de 12 ans blessé dans le tramway par un coup de feu

C’est à la station Franchet d’Esperey qu’une balle de 22 long riffle, a éraflé la tête d’un garçon de 12 ans. Christian Lantenois
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REIMS (Marne). Grosse frayeur dans le tramway de Reims, hier après-midi. Une balle tirée de l’extérieur a éraflé le cuir chevelu d’un passager de 12 ans. La localisation du tireur et ses motivations restent à identifier.

Il s’en est fallu de quelques millimètres pour qu’un drame ne se produise hier après-midi dans le tramway de Reims, à la station Franchet-d’Espérey de l’avenue de Gaulle, entre le campus Croix-Rouge et la clinique Courlancy.

Il était 16 h 50. Depuis une vingtaine de minutes, la rame n°107, comme toutes les autres du réseau, était à l’arrêt en raison d’une panne survenue au niveau de la station Opéra.

Les portes étaient ouvertes. A l’avant, un jeune passager de 12 ans attendait avec un camarade la reprise de la circulation vers le centre-ville. « Il était debout à l’intérieur de la rame, à côté du poste du conducteur, quand il a soudain ressenti une vive douleur au-dessus de la tête », relate un agent de l’exploitant Citura. « Aussitôt après, le jeune homme s’est rendu compte qu’il saignait. Il a toqué à la porte de la cabine pour prévenir le conducteur, ce qui nous a permis de déclencher les secours. »

Arrivés sur place, les pompiers ont constaté que le collégien avait eu le cuir chevelu éraflé par le tir d’un projectile. Blessé légèrement, mais fortement choqué, il a été conduit à l’hôpital américain tandis que les services de police gelaient les lieux de l’incident pour procéder aux constatations (prolongeant ainsi le blocage du réseau, après la réparation de la panne, jusqu’à 18 heures).

Peu diserts hier, les enquêteurs n’ont pas indiqué si le projectile avait été retrouvé, ni s’ils avaient identifié le calibre. On parlait cependant d’une « balle », pas d’un plomb. Interrogé, le camarade de la victime n’a pas entendu de détonation, mais cela peut s’expliquer en cas de tir lointain couvert par le bruit ambiant.

Le projectile est arrivé du côté droit de la rame. Soit le tireur était posté dans les terrains ou bâtiments de l’ancienne école Franchet-d’Espérey, soit dans la grande tour d’une quinzaine d’étages située derrière. L’enquête de voisinage a commencé dès hier soir.

En l’état actuel du dossier, l’hypothèse d’un jeu stupide consistant à tirer sur le tramway, comme d’autres sur des canards, semblait correspondre le plus aux impressions du terrain. Les jours à venir apporteront peut-être des éclaircissements sur cet incident sans précédent affectant le réseau du tram. Des jets de pierres, il y en avait déjà eu, mais des coups de feu, jamais.

Fabrice CURLIER