Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juillet 2013.
lundi 1er juillet 2013
par Administrateur


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

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Union130731b- Marne
Association de promotion de Pays-de-France : « En faire un lieu où il fait bon vivre »

L’association de promotion de Pays-de-France (APPF) est dirigée de main de maître par la Picarde Christiane Monflier.
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Installée dans son local au 5, allée des Picards depuis janvier 2009, l’association de promotion de Pays-de-France (APPF) est dirigée de main de maître par la Picarde Christiane Monflier, entourée d’un réseau de plus de 130 adhérents, de 84 familles, et de bénévoles, dont Ghislaine François, vice-présidente, Yves Monflier, trésorier, et Christine Lair, secrétaire.

La présidente précise la philosophie de son association : « Notre action s’adresse à l’ensemble de la population. Nous proposons aux habitants de nombreuses animations, dans un esprit d’entraide, de solidarité et de convivialité. » Présence constructive au conseil de quartier, collaboration avec la maison de quartier (fêtes du quartier, carnaval, l’été s’affiche à Croix-Rouge), participation aux opérations Crêpes de la solidarité et Bonbons de Marceau, activités pour la section temps libre, atelier couture tous les jeudis, après-midi galette des Rois, repas de fin d’année pour les aînés, fête des voisins, journées festives et sorties familiales hors du quartier, soirée Beaujolais nouveau, renforcement des relations parents-enfants dans le centre de loisirs et entre les générations, comme pour les journées pêche, etc.

« Nous sommes impliqués dans toutes les actions d’amélioration de notre secteur Pays-de-France et nous invitons tous les habitants à s’associer à la Ville de Reims et au Foyer rémois, afin d’en faire un lieu où il fait bon vivre, dans le respect de chacun. »

La Ville de Reims aide l’APPF au titre de « relations avec les quartiers », par une subvention de 5 000 euros qui s’ajoute à la subvention de fonctionnement du Foyer rémois, organisme logeur de Pays-de-France, à hauteur de 4 025 euros.

On peut contacter l’APPF au siège, 5, allée des Picards, ou par téléphone au 03.26.36.65.71 ou au 06.31.61.16.10.

Que des bénévoles au centre de loisirs

En ce qui concerne le centre d’accueil de loisirs de proximité de l’APPF, d’une capacité de 30 enfants de 6 à 12 ans et qui fonctionne dans l’école élémentaire des Provençaux, au coeur du secteur Pays-de-France, il faut signaler son cas exceptionnel, probablement unique dans la ville : de la directrice Sophie Leblanc, qui prépare le BAFD, aux accompagnantes validées BAFA, toute l’équipe d’animation est constituée de bénévoles, jeunes et mères de famille, dont certaines ont une activité professionnelle.

C’est pourquoi l’association d’éducation populaire des Francas de la Marne soutient et accompagne cet accueil de loisirs si exceptionnel pour l’aider à respecter le cadre législatif.

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Union130731a- Marne
Travaux de meulage des rails entre comédie et St John Perse : Le tram devrait enfin se taire

Curieux spectacle que celui de ce camion se baladant sur les rails afin de leur donner une seconde jeunesse.
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À l’œil nu rien ne distingue le rail traité (à droite) de celui encore usé (à gauche), mais à l’oreille, la différence est frappante.
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Initialement prévu au mois d’octobre, les travaux de meulage des rails censés réduire les bruit générés à chaque passe du tramway ont été avancés tant les nuisances sonores étaient importantes.

ILS n’en pouvaient plus du tram et de la pollution sonore qu’il génère aux endroits où les rails sont particulièrement usés. « On ne peut pas s’y habituer, ça agit sur les nerfs. On veut qu’ils trouvent d’où provient ce crissement pour résoudre le problème » réclamaient excédés les riverains de l’avenue Charles de Gaulle, le mois dernier (voir l’union du 5 juin). Il faut dire qu’avec plus de 100 décibels en moyenne à chaque passage, difficile d’ignorer ce tintamarre qui s’invite dans tous les appartements de l’avenue et même au-delà. Il est dû à une usure ondulatoire qui fait que la roue du tram ne touche le rail que par intermittence.

Mini-ponceuses à l’action…

Bonne nouvelle pour les riverains, ce vacarme devrait faire partie de l’histoire ancienne et ils vont à nouveau pouvoir s’entendre parler, enfin ôter leurs boules quies, et ne plus être réveillé à 5 h 30 du matin tous les jours lors du passage de la première rame. Le silence réclamé à cor et à cri depuis des mois devrait faire son retour dans les prochains jours… enfin si les travaux sont efficaces. En effet une machine, munie de 6 mini-ponceuses, est actuellement à l’oeuvre la nuit sur les lignes (entre comédie et St John Perse) pour gommer les imperfections responsables des nuisances. Un traitement qui devrait rendre les rails comme neufs et faire disparaître ce phénomène sonore.

Toutefois certains sont dubitatifs quant à l’utilité de ce meulage : « Ils sont déjà passés cette nuit, ça ne change rien ! Pour les trams qui roulent doucement il y a une amélioration, mais comme la majorité des chauffeurs accélère comme des boeufs pour freiner à seulement 10 mètres de la station, ça bouffe le matériel », observe José Molla un riverain. « Vous vous rendez compte que j’ai été obligé d’acheter un casque pour écouter ma télé tellement je n’entends rien quand les trams passent et ce même avec les fenêtres fermées. C’est insupportable ». D’autres sont plus radicaux encore : « J’en ai ras le bol, ils nous prennent pour des c… à la Citura, ils ne font rien. S’il faut mettre des barres en ferraille sur la voie ou s’allonger dessus pour stopper le tram et son vacarme, je suis prête à la faire ! » assure une autre habitante.

… et le silence fait son apparition

Qu’ils se rassurent, nul besoin d’en arriver à de telles extrémités, le traitement semble efficace. La machine a commencé son travail ce lundi et devrait l’achever vendredi, elle n’est pas encore passée sur les endroits les plus bruyants à l’heure où nous écrivons ses lignes. Mais la formule à l’air de plutôt bien fonctionner car sur les portions déjà meulées le tram n’émet plus de son strident. Alléluia ! Des riverains ont déjà noté un changement : « je ne l’entends quasiment plus, c’est sans commune mesure avec le barouf qu’il faisait la semaine dernière ».

Cependant une question se pose : à force de meuler les rails ne risque-t-il pas de ne plus rien rester au final ? Curieusement non, car plus on meule moins le rail se déforme et moins il a besoin d’être meulé assure-t-on…

Bref espérons que cette usure ondulatoire ne soit plus qu’un mauvais souvenir et surtout qu’elle ne réapparaisse pas trop vite sans quoi ce sont les riverains qui risquent fort de dérailler.

Jean-Godefroy VAROQUAUX

Un traitement efficace

Du côté de Citura on explique que cette fameuse usure ondulatoire à l’origine du bruit infernal est parfaitement normale après seulement deux années de fonctionnement et on reste confiant quant à la technique de meulage. « Le rail s’use plus à certains endroits qu’à d’autres, lorsqu’il y a une accélération par exemple, mais les travaux de meulage devraient faire disparaître cette usure et supprimer le bruit. Ils font un premier passage avec l’engin puis effectuent des mesures et font d’autres passages si nécessaire. Le rail sera presque comme neuf » explique Fabrice Daviaud directeur Technique chez MARS. Si la totalité des rails n’a pas encore été traitée, il est facile de repérer où la machine est déjà passée, l’herbe à proximité du rail est… carbonisée.

Lorsqu’on évoque la vitesse comme cause possible de ces nuisances sur le secteur la réponse est claire : « Notre objectif est que le tram aille le plus vite possible pour satisfaire nos clients mais pas au détriment des riverains bien sûr. C’est pour cette raison que nous avions déjà baissé la vitesse sur ce secteur, il roule à 25 km/h au lieu de 50 ».

D’autres opérations de ce type devraient avoir lieu en septembre prochain, afin que la totalité des lignes et donc des endroits posant problèmes soient traités.

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Union130731b- Marne
Association Multi-Échanges Services à Croix-Rouge : L’entraide comme leitmotiv

Adhérents et bénévoles, ils sont fidèles au poste.
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Cela fait 25 ans que l’association Multi-Échanges Services, plus connue sous le sigle MutES, fonctionne dans le quartier Croix-Rouge sur la base des « petits services qui changent la vie ».

Elle assure une permanence publique un lundi sur deux, de 14 à 16 heures, à l’espace billard de la Maison de quartier Croix- Rouge.

La présidente, Martine Massart, est assistée par un conseil d’administration de bénévoles, parmi lesquels Janie Landru, Colette Santini, Sylvie Guégain, Geneviève Pezzotta, Marie-Thérèse Philippe, Philippe Godebwski et les deux membres d’honneur que sont Michel Méther et le fondateur, Charles Santini.

Comment cela fonctionne ?

C’est un réseau d’échanges de services gratuits entre les habitants du quartier sur la base du temps passé, un échange réciproque de services et de savoir-faire proposés par des personnes, des familles ou des étudiants. Le principe est que tout le monde, sans exception, est capable d’aider autrui dans un domaine donné.

Cela peut être une heure de repassage contre une heure de soutien scolaire, ou encore une heure de travaux ménagers contre une heure à préparer un bon repas, toutes les combinaisons sont possibles.

Les échanges sont possibles dans des domaines aussi variés que la couture, la cuisine, les visites, le transport de personnes, les travaux ménagers, le jardinage ou le bricolage, l’écoute, la garde occasionnelle d’enfants ou d’animaux, le repassage…

MutES : espace Billard de la Maison de quartier, 12-14 rue Pierre-Taittinger, renseignements au 03.26.08.08.78.

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Union130731a- Marne
Châlons-en-Champagne : Le chanteur Barcella rend hommage au F’estival

Quelque 50 personnes sont venues jouer avec les mots en compagnie de Barcella.
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« Un îlot dans le monde » Au lendemain de son concert, l’artiste Barcella s’est révélé proche du public lors de sa master class. Il a détaillé les rouages de la création d’une chanson.

LA soirée de lundi, pour le premier concert de la semaine de Barcella, s’est terminée tard. Tard et sous une pluie battante zébrée d’éclairs, le chanteur est d’ailleurs descendu dans la foule au mépris des éléments. Des circonstances qui expliquent sans doute l’arrivée de l’artiste hier matin, à 11 heures, heure prévue du début de sa master class, les yeux fatigués, un croissant et un café à la main. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de réchauffer l’ambiance de la scène où les chaises avaient remplacé les instruments. Devant le succès de la formule, il a même fallu rajouter de quoi s’asseoir. Barcella dresse alors le tableau de la séance à venir. « On est ici pour que chacun participe, pose ses questions et aussi pour voir comment écrire une chanson. » Très vite, la master class avec le chanteur le plus populaire jusqu’alors du F’estival (plus de 2 000 personnes lundi soir) tourne à l’intime. La cinquantaine de personnes présentes peut lui poser toutes les questions voulues. Tout y passe. Ses débuts dans la chanson, sa période slam, le changement lié à la signature dans une major, son rapport avec les mots. Calmement, il va expliquer sa sensibilité. Sa manière de fonctionner. Avec sincérité, rappelant que « tout a commencé en 2003 à la fac Croix- Rouge à Reims » mais que « l’acte fondateur », il le doit « à Patrick Legouix, qui [m]’a invité sur une scène de la fête de la musique la même année. De 50 spectateurs, on a fini à 700 et la générosité du public a fait de moi ce que je suis devenu, alors que je n’étais pas forcément destiné à devenir chanteur ».

Volonté de proximité

On pouvait également y apprendre la manière de travailler, « avec les autres, lors de rencontres », ou « avec le carnet à gros mots » où Barcella note tous ces mots désuets dont il ne connaît pas forcément le sens mais dont il apprécie la sonorité.

Vient ensuite la phase de création. À partir de quelques accords et d’une mélodie simple, le public, en accord avec le chanteur, a composé. Ecrit complètement une chanson entraînante en moins d’une heure avant d’être récompensé par un aperçu du prochain album qui sera enregistré à partir de lundi.

Le déroulement de cette master class correspond parfaitement à l’idée que Patrick Legouix peut s’en faire. Avant le début de celle-ci, il expliquait que « au fil des sept premières éditions des résidences de création, un public de plus en plus nombreux et venant de plus en plus loin, parfois même posant ses congés précisément pour cela », s’est constitué.

Dans l’esprit du F’estival, tout se fait en toute liberté, avec un accès complètement ouvert. Une vision des choses appréciée du public. Christophe, participant à la master class avouait « avoir quitté Epernay pour Châlons grâce au F’estival parce qu’on y apprend des choses, qu’on y devient soi-même un acteur et que c’est signe de vie dans une ville ». Des paroles à peu près similaires à celles tenues, en aparté, quelques minutes plus tard par Barcella. « Champardennais de coeur, ça fait toujours plaisir de venir au contact des gens. La présence du public, tant sous la pluie que pour composer cette petite chanson montre la dynamique du F’Estival » et d’ajouter tout en concluant : « Cette année, j’en ai fait beaucoup, partout en France, en Suisse ou ailleurs, mais celui-là, gratuit, avec autant d’artistes, sur un mois complet, c’est un véritable îlot dans le monde et réussir à le faire pour la 22e fois, ça ne peut que se saluer et s’encourager ».

Vianney PANNET

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120730a - RMmag mai 2013

Le quartier Croix-Rouge dans « REIMS METROPOLE magazine » de juillet 2013

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Prévention de la délinquance : des outils bien en place


Grâce au travail de « prévention situationnelle » effectué en amont de la construction, certains dispositifs prévus à l’intérieur du parking en silo dans le secteur Croix du Sud ont été supprimés tandis que l’éclairage et la signalisation ont été renforcés et des caméras ajoutées
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La politique de sécurité et de prévention de la délinquance de l’agglomération, élargie aux nouvelles communes, s’appuie depuis un an sur un partenariat renforcé entre les autorités compétentes et les acteurs de terrain.

Le Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CISPD) est l’instance où s’organisent la réflexion et l’action en matière de sécurité et de prévention à l’échelle de l’agglomération.

Présidé par Adeline Hazan, il fait travailler ensemble les services de la Ville de Reims et de Reims Métropole, de l’Etat, de la Police Nationale, de la Gendarmerie (depuis l’élargissement de l’agglomération), de l’institution judiciaire, du Conseil Général, de l’Education nationale et des bailleurs sociaux, en impliquant les associations et de nombreux partenaires : services sociaux, Citura, Conseils de quartiers, etc.

Nouvelle stratégie

Mis en place en 2003, le CISPD a été relancé en février 2012 sur des bases d’un partenariat renforcé permettant une meilleure articulation des interventions. Parallèlement, la présidente de Reims Métropole, le préfet, le procureur de la République, la directrice académique des services de l’Education nationale et le président du Conseil général ont signé la nouvelle Stratégie Territoriale de Sécurité et de Prévention de la Délinquance qui fixe les priorités et les modalités d’action communes. Cette convention formalise la chaîne d’acteurs nécessaire à la prise en compte des difficultés constatées.

Un point annuel

Si les différents groupes de travail thématiques et territoriaux assurent au quotidien l’animation des projets sous le contrôle d’un Comité de pilotage, d’un Comité de suivi technique et avec le soutien du coordonnateur (nouveau poste créé à Reims Métropole en 2012), tous les acteurs du CISPD se retrouvent une fois par an en séance plénière pour faire le point sur l’avancement des actions menées, mesurer les résultats et échanger sur de nouvelles propositions. Premier du genre depuis la relance il y a un an, ce temps fort de la vie du CISPD s’est tenu le 15 mai dernier et a donné l’occasion aux partenaires de vérifier l’efficience du nouveau dispositif.

Illustrations concrètes

La séance plénière du 15 mai a permis de montrer les avancées du dispositif dans des domaines d’action très concrets.

Cinq exemples parmi d’autres peuvent illustrer la nouvelle dynamique engagée depuis un an dans le cadre de la Stratégie Territoriale de Sécurité et de Prévention de la Délinquance.

Catherine Villeroux, responsable de la plateforme locale d’appui et de suivi des élèves décrocheurs de l’Education nationale, a expliqué comment les acteurs s’associent pour repérer et remettre en piste les jeunes de plus de 16 ans sans diplôme en apportant des solutions adaptées à leur profil.

Dans certains cas bien identifiés par la justice, les mesures alternatives à l’incarcération peuvent éviter à des personnes responsables d’infractions de s’enfoncer dans une posture d’exclusion, en marge de la société. Reims et Reims Métropole se mobilisent pour développer l’accueil de ces Travaux d’Intérêt Général (TIG). 5 nouvelles créations de poste sont à l’étude.

Représenté par Patrick Warga, le GIE « Tranquillité des bailleurs » est opérationnel depuis mars 2012. Il assure une veille sur le patrimoine des bailleurs sociaux, en relais avec un prestataire de sécurité, la société Progard. Dans le cadre de tournées de terrain ou sur sollicitation des habitants, le groupe intervient en cas de troubles de voisinage, de dégradations, d’occupation indue des parties communes, etc.

Au titre de la prévention et de l’aide aux victimes, une expérimentation est menée avec le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de la Marne. Elle consiste, comme l’a indiqué Karine Bonne, à fournir à des femmes victimes de violences au sein du couple un téléphone portable d’alerte géolocalisé qui leur permet d’accéder par un circuit plus rapide aux services d’ordre et de déclencher une intervention prioritaire des secours.

La prévention « situationnelle », telle qu’elle a été présentée par Roger Camps, chef d’Etat-Major de la Sûreté urbaine de Reims, est appliquée dans le cadre du CISPD aux opérations d’aménagement, notamment ceux de la rénovation urbaine. L’objectif est d’étudier bien en amont, sur plan comme sur site, les futurs équipements, aménagements d’espaces publics, etc. de manière à pouvoir corriger les projets susceptibles de favoriser les comportements à risques. Six programmes ont été ainsi retravaillés en 2012.

Délinquance en baisse

Les premiers résultats de cette dynamique de relance collective et l’investissement des partenaires sont encourageants : la délinquance générale est en baisse en 2012 de 6,5 % (données Direction de la Sûreté Publique) et de nombreux temps de travail se tiennent chaque semaine entre les acteurs impliqués dans la Stratégie Territoriale.

À SAVOIR

Les trois grands axes du CISPD (travaillés au sein de 16 groupes de travail thématique) :
- Prévention sociale et éducative
- Action judiciaire, aide aux victimes et accès au droit
- Prévention situationnelle et tranquillité publique Les Groupes de Veille Territoriale s’attachent à concentrer les moyens des acteurs sur les problèmes de chacun des territoires qu’ils suivent. Au nombre de 5, ils sont activés dans les quartiers Croix Rouge, Orgeval, Saint-Charles, Epinettes et Wilson pour améliorer la réactivité des acteurs face aux difficultés constatées, proposer des actions et les évaluer. 15 réunions ont été organisées cette année.

DES chiffres

176 500 € de crédits annuels accordés par Reims Métropole depuis 2012 (contre 76 500 € en 2011 et précédemment )

29 Dossiers instruits dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS) et du CISPD qui visent l’amélioration de la vie quotidienne des habitants dans les quartiers en difficultés.


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Mod’Emploi pour les créateurs


La manifestation Mod’Emploi organisée à l’automne 2012 dans le quartier Croix Rouge avait mobilisé 40 partenaires et attiré 441 participants autour de 23 actions, dont des réunions d’information sur la création d’entreprise qui apparaît comme l’une des pistes possibles d’accès à l’emploi. Dans le prolongement de ces rencontres, un Forum de la création d’entreprise était proposé le 23 mai à la Maison de Quartier La Nacelle pour permettre aux personnes intéressées d’approfondir leur projet et de trouver les conseils appropriés sur les démarches administratives, le financement, la recherche de locaux, etc. auprès d’un ensemble de professionnels : Direction du développement économique de Reims Métropole, AFPA, Champagne-Ardenne Active, ADIE, Reims Initiative, CCI, Chambre de Métiers, BGE, Pôle Emploi, Reims Habitat, Foyer Rémois. 40 visiteurs, dont 30 porteurs de projet, ont été reçus et accompagnés.


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Pour une université plus forte


Reims Métropole a pris acte du projet de refondation de l’université et s’engage aux côtés de l’Etat et des collectivités territoriales pour soutenir le projet de Grand Campus à Reims.

« Le futur Grand Campus sera un lieu de travail et d’études mais aussi de vie collective, de loisirs et de tout ce qui fait le vivre ensemble. »

Présentée par Gilles Baillat, son président, la logique globale de transformation et d’évolution de l’Université de Reims Champagne-Ardenne a été bien comprise par l’Etat, la Région, le Département, la Caisse des Dépôts et Reims Métropole qui ont manifesté dans une convention signée le 7 juin dernier leur soutien à ce projet d’intérêt général. Le rassemblement des campus rémois sur le site Croix Rouge sera le symbole de cette refondation destinée à renforcer l’attractivité de l’URCA.

Philippe-Pierre Cabourdin, recteur de l’Académie de Reims a rappelé l’enjeu : « Comment faire de l’université l’un des 20 à 30 établissements français reconnus pour la qualité et le rayonnement de leur enseignement et de leur recherche ? Le projet de Grand Campus est un moyen d’atteindre cet objectif. »

Un modèle de développement durable

L’idée des concepteurs est de faire de ce Grand Campus un modèle sur le plan du développement durable et du développement numérique et de le rendre plus international, ouvert sur son environnement, sur son quartier et sur la ville. Adeline Hazan, présidente de Reims Métropole, a apprécié que ce projet rejoigne et appuie le Pôle urbain de l’innovation programmé dans Reims 2020. Gilles Baillat a par ailleurs insisté sur la dimension humaine du futur Grand Campus qui sera « un lieu de travail et d’études mais aussi de vie collective, de loisirs et de tout ce qui fait le vivre ensemble. » Pierre Dartout, préfet de la région Champagne-Ardenne, a conclu « qu’une université plus forte sera un facteur d’attractivité indispensable à Reims pour l’affirmation de sa vocation métropolitaine. »

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Union130729a- Marne
À Croix-Rouge, les espaces verts font place… aux immeubles : « On a été piégé lors de la vente »

Les copropriétaires des immeubles concernés par le projet n’ont pas l’intention de se laisser faire et appellent à la mobilisation.
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Lorsqu’ils ont acheté leur appartement en mai dernier,Tony et Émilie étaient à mille lieux d’imaginer que les espaces verts allaient disparaître. « Ça vire au cauchemar », explique le jeune couple
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Sur cette annonce, il est fait état d’une vue très arborée, sans mention d’un futur changement.
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A 62 ans, Marguerite Cordier a décidé d’acquérir en mai dernier un appartement vendu par Immoccop à un prix très alléchant. Situé allée des Tourangeaux dans le quartier Croix-rouge, l’endroit est plutôt calme et son balcon donne sur un parc verdoyant : « C’était mon premier achat, j’ai choisi d’acheter ce bien pour laisser quelque chose à ma fille », confiait-elle.

Elle pensait donc avoir fait une bonne affaire mais c’était sans compter sur un futur projet de construction de bâtiments qui va prochainement bouleverser le paysage. Marguerite va vite déchanter. 15 jours après avoir signé la vente, elle prend connaissance de ces travaux pour le moins monumentaux qui vont avoir lieu au pied de son immeuble. Des travaux qui vont engendrer la disparation de la quasi-totalité des espaces verts qui égayent la résidence et dont elle a la jouissance au profit de parkings mais surtout de nouveaux immeubles qui viendront encercler les habitations existantes. Une bonne nouvelle savamment dissimulée lors de la vente selon Marguerite : « On ne m’a pas du tout informé de ce projet colossal. J’avais acheté cet appartement uniquement pour la vue sur ces arbres, je trouve ça scandaleux qu’on m’ait dissimulé cette information ».

Appartements Enclavés

Même son de cloche pour Tony et Émilie Fossier, jeune couple qui vient également d’acquérir un appartement dans le même bloc : « On nous a simplement dit que quelques maisons allaient être construites le long de la route, mais pas que d’autres immeubles allaient venir nous entourer. Nous avons refait à neuf notre logement et là, ça vire au cauchemar alors que nous étions si bien ». Car le problème est bien là, l’ensemble des appartements existants va se retrouver enclavé par de nouvelles constructions. Au total, trois immeubles de trois étages et une douzaine de maisons individuelles devraient occuper les anciens espaces verts de la résidence.

Même si le permis de construire est encore en instance à la mairie, les copropriétaires craignent le pire et on l’impression d’avoir été piégé par l’organisme : « On appâte les gens avec des prix attractifs, nous sommes tombés dans un piège et ce n’est pas qu’une impression, d’autres acheteurs risquent également d’en être victimes. De plus, notre bien va forcément perdre de sa valeur et il sera difficile de le revendre à cause des clauses dans le contrat de vente », ajoute Steeve Ligneyras qui compte mettre en place une pétition contre la réalisation du projet.

Publicité mensongère ?

Il est vrai que sur le site web d’I-mmocoop les biens à vendre dans les immeubles situés allée des Tourangeaux et donc concernés par la suppression des espaces verts, indiquent clairement la mention « vue très arborée », un argument de vente plus que séduisant. Or cette vue très arborée va prochainement disparaître pour faire place à des immeubles et des parkings…

L’acheteur potentiel est donc légèrement induit en erreur par certaines annonces, la phrase « vue temporairement arborée » aurait été plus appropriée à la situation. « Nous espérons sincèrement que le projet n’aboutira pas car nous souhaitons que la verdure ainsi que notre cadre de vie soient préservés » insiste Nadine Dallet, un autre propriétaire. Ultime pied de nez à ces habitants en colère, ce projet de construction est encadré par l’Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine), dans son programme de rénovation urbaine, censé améliorer le cadre de vie et l’habitat des citoyens… un comble.

Jean-Godefroy VAROQUAUX

Plus de renseignements sur la pétition au 06.26.43.57.31.

Le permis de construire ou l’épée de Damoclès

La mairie a une part de responsabilité dans ce projet, va-t-elle laisser faire et délivrer le permis de construire ?

« Il s’agit d’un projet privé sur un terrain privé, si le projet est conforme au PLU (Plan local d’urbanisme), nous délivrerons le permis de construire. Nous avons une vision de technicien, on ne juge pas de l’opportunité et nous nous mettrions en faute si nous n’accordons pas le permis alors que le projet est conforme au PLU. Nous souhaitons cependant que le dossier évolue, nous sommes en attente des résultats de la future réunion et des discussions sont ouvertes avec le Foyer Rémois », explique Eric Quenard, adjoint à l’urbanisme.

Le projet devait être plus vaste selon le Foyer Rémois

Initié en 2011, ce projet conventionné Anru et porté par I-mmocoop a déjà subi quelques modifications selon le service de communication du Foyer Rémois : « Au départ, il était prévu de faire 46 logements dans un immeuble de cinq étages mais le projet était trop dense et avait trop d’impact sur l’environnement, nous avons donc revu notre copie pour ne proposer finalement que 23 logements dont 12 collectifs dans un immeuble qui ne fera plus que trois étages ».

Toutefois, il ne s’agit-là que la première phase des travaux car deux autres immeubles du même gabarit sont également prévus dans le projet. Par ailleurs, une réunion sera programmée durant la première quinzaine de septembre au cours de laquelle des propositions concrètes seront faites : « On essaie d’écouter les demandes des copropriétaires et d’en tenir compte », assure-t-on. Une étude de faisabilité concernant le stationnement et les espaces verts serait même en cours.

Bref, le Foyer Rémois semble concerné par les doléances des habitants. Quant à savoir si le projet évoluera encore et surtout dans le bon sens, ça, c’est une autre histoire…

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Union130728a- Marne
Renforcement scolaire

Du lundi 26 août au jeudi 29 août prochains, le dispositif « Réussite scolaire » se poursuivra dans l’académie de Reims, et plus particulièrement au lycée François-Arago. Ce dispositif est ouvert à tous les lycéens volontaires de la seconde à la terminale et de toutes les filières (générales, technologiques et professionnelles).

Ces élèves se verront offrir du soutien et du renforcement scolaire adaptés au niveau de chacun. Ce dispositif est un bon moyen de se « remettre en forme » scolairement avant la rentrée. Il est entièrement gratuit et ouvert à tous les lycéens qui le souhaitent.

Inscriptions et renseignements : lycée Arago : 03.26.06.40.25.

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Union130727b- Marne
Le rodéo se finit mal : Une fillette de 7 ans percutée par une moto

Les faits ne sont pas récents mais ils viennent tout juste d’arriver à leur dénouement après une longue enquête.

Le 14 juillet dernier, en début de soirée, une fillette de 7 ans joue avec son grand frère le long du mail piétonnier de la rue Pierre-Taittinger. Ils ne sont pas livrés à eux-mêmes puisque ces deux enfants jouent sous le regard de leur père.

Au loin, le père de famille entend les moteurs de plusieurs cyclos gronder.

Très vite, le bruit des moteurs se fait plus intense, les riverains assistent en direct à un véritable rodéo sauvage. Un de plus dans le quartier. Trois apprentis motards sont en train de faire la course au beau milieu de cette zone piétonnière. Sur les trois inconscients, un n’est pas muni de casque.

Hébétés, les deux enfants qui jouent paisiblement n’ont pas le temps de réaliser le danger qui se rapproche.

Le père ne pourra pas intervenir à temps, la fillette de 7 ans va être violemment percutée par le conducteur du cyclo qui roule sans casque. La jeune enfant va alors être projetée à plusieurs mètres. Mais, miraculeusement, la toute jeune fille ne va pas être blessée grièvement.

Les témoins de la scène parleront d’un véritable miracle aux policiers qui procéderont aux auditions. Deux jours d’ITT seulement par l’enfant.

Délit de fuite

Les méfaits du motard ne s’arrêtent pas là puisque, même après avoir percuté la petite fille, le pilote a repris sa route sans se soucier de l’état de santé de l’enfant.

Le père et le frère auront tout de même le temps de l’identifier. Facile puisque ce délinquant ne portait pas de casque.

Formellement identifié il y a quelques jours, le jeune homme de 19 ans va nier les faits tout au long de son audition.

Pourtant, lors d’un tapissage, le père et le grand frère de la victime le reconnaîtront formellement. Ses dénégations ne convaincront personne puisque ce jeune homme devra expliquer ses gestes et plus particulièrement son délit de fuite dans le courant du mois d’octobre.

Th. D

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Union130727a- Marne
TENNIS DORMANS : Dormans souffle ses 40 bougies

Amélie Zarev sera la tête d’affiche du tournoi de Dormans. Remi WAFFLART
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Épreuve incontournable du calendrier estival marnais, le tournoi du TC Dormans fête cette année ses 40 ans. De quoi faire la fête sur les courts de la rue du chemin du Gault, d’autant que cette année, les inscriptions ont grimpé à 105, contre 68 l’an passé.

Limitée à 3/6, cette épreuve aura comme favori, chez les messieurs, Jérémy Solivellas (3/6, TC Reims). Mais ce dernier aura fort à faire avec le juge-arbitre du tournoi et… tenant du titre Maël Mercier- Huat (4/6, Dormans), bien décidé à conserver son bien. À suivre également les autres 4/6 Sébastien Doffemont (Montmirail) et l’ancien dormaniste Baptiste Delvienne, aujourd’hui licencié au TC Castelnau.

Dans la catégorie plus de 35 ans, Pierre Schwartz (15, Bétheny) sera en difficulté avec un bataillon de quatre 15/1, emmené par le solide joueur du TC Reims Julien Bertaux.

Amélie Zarev ne vise que la victoire

Du côté des dames, Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) aura bien du mal à conserver son titre. En effet, la concurrence s’annonce très sévère avec les 4/6 Mathilde Faucheux (TC La Garde) et Mathilde Caron (Guignicourt) mais surtout Amélie Zarev (3/6, Cormontreuil), qui bénéficiera de la faveur des pronostics. Elle a récemment remporté le tournoi de Villeneuve Saint-Germain (Aisne), et devra assumer son statut de favorite.

Horaires.

– Aujourd’hui, 19 h 30 : demi-finales dames.

– Demain, 9 heures : demi-finales messieurs ; 14 heures : finales dames et messieurs ; 15 h 30 : finale messieurs +35 ans.

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Union130726a- Marne
INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT.
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : aménagement de locaux tertiaires et de logements, Quartier Croix-Rouge à 51100 Reims (opération Primevères).
4) Mode d’attribution du marché : séparé.

03 Gros-œuvre
04 Charpente-Couverture
05 Plâtrerie-Isolation faux plafond
06 Menuiserie intérieure bois et extérieure PVC
07 Contrôle d’accès et portes palières
08 Electricité éclairage
09 Plomberie, sanitaire VMC
10 Revêtement de sol souple carrelage faïence
11 Peinture

Les lots Lots n° 01 : désamiantage et Lot n° 02 : démolition sont en cours d’attribution.
5) Critères de jugement des offres : Critères, pondération :
1) valeur technique : 30% ;
2) performances en matière de protection de l’environnement : 10 % ;
3) prix des prestations, 60 %.
6) Délai d’exécution : le délai d’exécution des travaux est de troi mois, la phrase de préparation de 1 mois n’étant pas comprise dans ce délai, comme les intempéries et les congés payés. __ 7) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr __ 8) Renseignements complémentaires : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du maître d’oeuvre : GROUPEMENT PHILIPPE PIERRON, GENIUS INGENIERIE, 7, impasse Chalaide, 55000 Bar-le-Duc, tél. 03.29.76.29.26, fax : 03.29.75.03.61.
9) Date limite de réception des offres : le 9 septembre 2013 à 17 heures.
10) Date d’envoi à la publication : le 22 juillet 2013.
51AO2018441

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Union130725b- Marne
Reims Vital’Eté : Carte blanche à la radio

Le petit groupe s’est bien amusé.
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15 h 45 : dans le studio de « Radio Jeunes Reims », quatre ados participent à l’émission Fréquence Vitale réalisée, avec l’aide des permanents et bénévoles de la station, par les participants de Reims Vital’Eté.

Au micro, Olivier Bué, 14 ans, jeune bénévole de la station : il mène son petit groupe tambour battant, avec une pêche d’enfer, un bagout de camelot, et égrène les vannes.

Rires dans le studio, sourires de Greg, qui, derrière la vitre, s’occupe de la technique. Les jeunes viennent par groupes de 5, et, de 10 à 16 heures, préparent l’émission, choisissent des musiques…

« Nous sommes partenaires d’« Un été dans la ville » à Croix- Rouge. Ils parlent des activités qui y sont proposées et de tout ce qui se passe à Reims. Pour le reste, ils ont carte blanche. Leurs thèmes favoris : les jeux vidéo, les sports, la musique, l’actualité des peoples », précise James Jouffroy, le responsable d’antenne.

Présent à Festiv’Eté

« C’était bien. On a découvert la table de mixage, appris à réaliser des « hook » (un court extrait représentatif d’un titre musical) », confie Emma qui a lu l’horoscope à l’antenne. « J’ai surtout aimé le direct », ajoute Corentin qui a parlé des applis pour smartphone, tandis que Louis évoquait le Tour de France. L’an prochain, James Jouffroy envisage de faire évoluer le concept, en réduisant l’effectif à deux sessions de trois jeunes, l’une le matin, l’autre l’après-midi. Certains jeunes, sélectionnés, animeront émissions et interviews durant Festiv’Eté.

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Union130725a- Marne
Rue des Landais : Il incendie le local poubelles à 15 reprises

Gervais Mroczkowski, 45 ans, est amoureux des plantes… Il a besoin d’espace pour les dorloter. Il a également un chien. Autant de critères qui lui font dire que son appartement de la rue des Landais est bien trop petit pour lui. Mais le Foyer rémois ne l’entend pas ainsi. Il n’est pas prioritaire pour un changement d’appartement.

Mécontent de la réponse, le locataire irascible a décidé de se venger en mettant le feu au local poubelles de l’immeuble… à 15 reprises entre janvier et mai 2013. Par chance, les sapeurs-pompiers ont pu circonscrire l’ensemble des sinistres sans qu’il y ait propagation ou victimes.

Loin de comprendre la gravité de ses actes, c’est presque souriant que le prévenu s’est présenté mardi à la barre du tribunal correctionnel de Reims pour répondre de l’ensemble des incendies. Il n’a pas nié, si ce n’est un départ de feu au mois de mars. Souriant, il a expliqué qu’il voulait changer d’appartement. Il ne voulait pas que l’immeuble soit détruit… Il espérait simplement que l’incendie se propage au moins à son appartement, situé au 3e étage !

La police avait finalement mis la main sur lui après le départ d’un énième incendie — toujours en pleine nuit — le 19 mai 2013. Il avait été vu par d’autres locataires sur les lieux.

Au regard de la gravité des faits, et même en l’absence de casier judiciaire, le pyromane a été condamné mardi soir à un an de prison dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins. Il a échappé de peu au mandat de dépôt à la barre requis par le parquet.

C.G.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130723a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7507 du 15 au 21 juillet 2013.

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MODIFICATION DE STATUTS

S.M.T.P.
Société à responsabilité limitée au capital de 5.000 €uros
Siège social : 35 avenue du Général Eisenhower 51100 REIMS
R.C.S. Reims 528 938 244

Aux termes d’une délibération en date du 18 juin 2013, l’assemblée générale extraordinaire des associés de la société à responsabilité limitée S.M.T.P. a décidé de transférer le siège social du 35 avenue du Général Eisenhower - 51100 REIMS, au 2 rue Roger Raulet, à compter de jour, et de modifier en conséquence l’article 4 des statuts.

117050 Pour avis : La gérance.

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Union130722a- Marne
TENNIS OPEN DU MESNIL-SUR-OGER (51) : À Villeneuve le dernier mot

Coup d’essai et coup de maître au Mesnil pour Charly Villeneuve. Aurélien LAUDY
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Avec Charly Villeneuve et Julie Gervais, le monument du tennis champardennais a accouché d’un beau palmarès pour sa 59e édition.

L’Open du Mesnil-sur-Oger a vécu une 59e édition marquée par un soleil de plomb qui a eu de lourdes conséquences sur les finales. Ainsi, comme prévu, le tableau masculin a opposé au stade ultime les deux têtes de séries à – 30, Charly Villeneuve (Sarcelles) et Maxime Bonami (Tremblay).

Les finalistes, Villeneuve et Bonami, se connaissaient par coeur. Ils ont été partenaires en club

Déjà finaliste malheureux l’an passé, ce dernier n’a, cette fois, pas pu défendre pleinement ses chances. « En demie, j’ai eu une insolation. J’ai même cru ensuite devoir appeler les pompiers et ne pas disputer la finale. Mais ce n’est pas dans mes habitudes d’abandonner, surtout que la finale dames s’est conclue ainsi. Avec Charly, on se connaît bien puisque nous avons joué ensemble à Sarcelles pendant quatre ans. Pour gagner contre lui, il faut être au top physiquement », expliquait l’ancien joueur de Roye.

Impressionnant dans sa gestuelle et sa rapidité d’exécution, Villeneuve a donc dominé les débats pour s’imposer logiquement 6-4, 6-1. De quoi satisfaire celui qui, depuis dix ans, se maintient à – 30 : « Le physique a fait la différence. Il a trop puisé dans ses réserves le matin. Dans une telle ambiance, on a envie de s’arracher, de faire plaisir au public. Je pense que nous avons signé ici pour quelques années », ajoutait le lauréat 2013.

Le retour de Julie Gervais Chez les dames, Marie Menacer (– 2/6, Reims Europe Club) a créé la sensation en sortant en demie la double tenante Andréa Ka (– 4/6, Val d’Europe). Histoire d’aborder une finale 100 % ardennaise contre Julie Gervais (– 2/6, ASPTT Charleville) gonflée à bloc. Seulement, victime d’un gros coup de chaud en milieu de set initial, la Carolo du REC a été contrainte d’abandonner à 1-1 dans la 2e manche.

Reste que pour son deuxième tournoi de l’année, la Postière carolo, qui passe son Brevet d’État, a impressionné alors qu’elle ne s’entraîne quasiment pas. « J’ai bien joué d’entrée. Ce fut accroché jusqu’à 4-1 mais, ensuite, elle ne s’est pas sentie bien. Les échanges sont alors devenus plus courts, plus hachés », concluait Julie Gervais.

DAMES

Demi-finales : Julie Gervais (-2/6, ASPTT Charleville) bat Claire Makhloufi (-2/6, Cormontreuil), 6-4, 6-0 ; Marie Menacer (-2/6, Reims Europe Club) bat Andréa Ka (-4/6, Val d’Europe), 6-4, 6-3. Finale : Julie Gervais bat Marie Menacer 6-1, 1-1 abandon.

MESSIEURS

Demi-finales : Villeneuve (-30, Sarcelles) bat Perrin (0, Belfort), 6-4, 6-1 ; Bonami (-30, Tremblay) bat Lalouette (1/6, Vitry), 6-4, 6-3. Finale : Villeneuve bat Bonami 6-4, 6-1.

+35 ANS

Finale : Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Dubois (1/6, Belfort), 6-3, 4-6, 7-5.

DOUBLES

Double dames : Lucie Grygielski (15) – Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) battent Marine Jumelet (5/6, Vitry) – Leslie Lancelot (15, TC Reims) 6-3, 6-4.
Double hommes : Delvienne (4/6) – Segard (15/1, Dormans) battent F.Baudinet (15/2, TC Reims) – S.Baudinet (15, ASPTT Châlons), 6-2, 6-2.

Double mixtes : Raphaël

Bellezza (15/1, URT) – Lucie Grygielski (15, Géo-André) battent Vincent Betbeze (2/6) – Cassandre Crépin (15/3, TC Reims), 6-2, 6-4.

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Union130720b- Marne
Trois hommes arrêtés à Reims pour avoir frappé leur ex : La violence conjugale, un fléau quotidien

En deux jours seulement, trois agressions conjugales. Photo d’archives
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Coups, injures, blessures…Trois hommes ont tapé sur leur ex cette semaine à Reims. L’un d’eux est parti en prison pour une durée de onze mois.

PAS une journée — ou presque — sans une arrestation pour des violences conjugales. Trois ex à la main lourde ont ainsi défilé cette semaine dans les geôles du commissariat. La série commence mardi soir, rue Maryse-Bastié. Alors qu’il revient chez son ancienne amie pour récupérer des affaires, le visiteur ne peut s’empêcher de la pousser violemment.

Bagarre sur l’avenue

La jeune femme ne se laisse pas faire. Et d’une, elle le mord au bras ; et de deux, elle lui donne un coup de balai sur la tête. L’ex répond par trois coups de pied. Bilan : deux jours d’incapacité totale de travail à chacun. Pour solder les comptes, le parquet a convoqué l’ancien couple pour une médiation pénale. Un désaccord sur la garde de l’enfant est à l‘origine d’une deuxième altercation survenue mercredi soir dans un hall d’immeuble du boulevard Dauphinot. Ne maîtrisant pas ses nerfs, l’homme saisit son ex par le cou, la gifle, la projette contre le mur.

« Mange tes morts ! »

Il repart, la victime rejoint sa mère et sa soeur à l’étage, mais toutes les trois redescendent pour monter en voiture et se rendre au commissariat. En route, qui donc croisent-elles avenue Jean-Jaurès ? L’ancien concubin accompagné d’un copain.

Tout le monde s’arrête, l’explication tourne au vinaigre, le copain s’en prend à l’ex, la soeur l’asperge de gaz lacrymogène, le copain l’attrape par les cheveux et lui tord un pouce. L’arrivée de la police met fin aux hostilités. Remis en liberté, les deux hommes sont convoqués le 7 octobre devant le tribunal correctionnel.

Troisième affaire esplanade Paul-Cézanne, mercredi vers minuit. Après avoir bien bu, un homme toque chez son ex. « Sale p… ! Grosse vache ! Mange tes morts ! », sont les mots d’accueil quand elle ouvre la porte. Il lui porte deux coups de poing à la poitrine, elle lui balance un coup de pied dans le torse.

L’individu s’en va, mais pour mieux revenir et attraper la victime par les cheveux. Il lui cogne la tête contre le mur. Elle tombe par terre. « Avec son pied, il a appuyé sur sa tête, comme s’il écrasait quelque chose au sol », témoigne une amie présente dans l’appartement. Bilan : perte de connaissance de plusieurs minutes, cinq jours d’incapacité totale de travail.

L’agresseur était complètement saoul. Déféré en comparution immédiate, Angelo Moracca, 30 ans, a pris deux ans d’emprisonnement, dont six mois ferme.

Les juges ont également révoqué un sursis de cinq mois, ce qui porte à onze mois son séjour derrière les barreaux.

Cette précédente peine d’avertissement avait été prononcée par le tribunal correctionnel d’Amiens en août 2011, suite à des violences conjugales. Sur la même victime.

F.C.

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Union130720a- Marne
TOURNOI DE DORMANS CT PHILIPPE : Pour qui la 30e ?

Limitée à 4/6, la 30e édition du tournoi du CT Philippe à Dormans a fait dans la stabilité avec 110 inscrits. De quoi proposer de passionnants tableaux. Ainsi, chez les messieurs (demain, 16 heures), la finale devrait opposer les 4/6 Thibault Deglave (Guignicourt) et Franck Grillot (Noisy-le-Grand) de retour après sa victoire en 2001 !

Du côté des dames (demain, 14 h 30), pas facile d’émettre un pronostic entre Léna Ladjmi (5/6, Villeneuve-Saint-Germain), Leslie Lancelot (15, TC Reims) et Caroline Deglave (15/1, Guignicourt).

Enfin, en +35 ans, le tableau sera marqué par le 2200e match de Philippe Huet (15/4, Géo-André) alors qu’Alain Bompy (30/2, Villeneuve) devrait s’imposer dans le Trophée des Légendes (+55 ans) et qu’Ingrid Paté (CT Philippe) a déjà remporté la Coupe dite des Ladies (+45 ans).

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Union130719b- Marne
Le contrôle des billets dégénère : Une agent de la Citura blessée

Le 8 juin dernier, une agent de la Citura a été blessée — elle souffre de contusions cervicales — après avoir été bousculée lors d’un contrôle des titres de transport dans un bus.

Abdellazize, 19 ans, n’était ce jour-là pas muni de son titre de transport. À la vue des contrôleurs, il a commencé à se réfugier au fond du bus. Repérant son manège, la jeune femme s’est approchée pour le contrôler et a essayé de le garder à disposition jusqu’à l’arrêt Kennedy pour le verbaliser. Il l’a bousculée pour atteindre la porte du bus et s’enfuir à l’arrêt Campus. L’agent a essayé de l’en empêcher.

C’est alors qu’elle aurait pris un coup au bras qui lui aurait porté sur les cervicales. À ce jour, elle est toujours en arrêt de travail. Hier matin, à la barre du tribunal correctionnel, où il comparaissait pour la deuxième fois, le Rémois a nié les coups, indiquant simplement avoir forcé le passage pour prendre la fuite. « J’ai mal agi, j’en suis conscient. Je n’ai pas réfléchi, mais je suis revenu m’excuser. C’était sans l’intention d’être violent. » Après s’être enfui, il était en fait revenu voir l’agent et avait été interpellé par la police. Pour ces violences, il a écopé de 15 jours de prison avec sursis, avec l’obligation d’effectuer un stage de citoyenneté. Le parquet avait requis 2 mois de prison avec sursis.

C.G.

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Union130719a- Marne
BASKET-BALL : Miyem, retour aux sources

Lors de l’Euro-2013, la Rémoise est montée en puissance pour aligner des statistiques honorables (5,9 points, 3,6 rebonds par match). Bellenger/is/FFBB
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Quinze jours après sa médaille d’argent à l’Euro, la Rémoise n’a pas oublié de passer voir sa famille. Avant de repartir vers de nouvelles aventures.

C’est une étape obligatoire. Sa case départ à elle, celle par laquelle, comme au Monopoly, il faut absolument passer pour continuer à (bien) jouer.

Comme lors des vacances de Noël ou chaque été, Endy Miyem a retrouvé Reims en début de semaine. Pas son quartier d’origine, Croix-Rouge, mais Val de Murigny, où ses parents sont installés depuis « une dizaine d’années ».

« Contrairement à l’an passé où je n’avais eu que dix jours de vacances pour cause de Jeux Olympiques, cette année, elles sont longues – la reprise à Bourges est prévue le 21 août –, explique l’ailière-forte. J’ai donc pu bien diviser mon temps pour profiter au maximum de mes amis et de ma famille. »

Un repos bien mérité

Le programme ? « Rien de particulier mais plus du tout de basket pendant un moment », répond celle qui a, après les championnats d’Europe (15-30 juin), pris l’avion direction la Réunion avec quelques autres Tricolores (Ndongue, Dumerc…) pour un match de gala. Et qui a enchaîné avec une autre rencontre amicale, la semaine dernière, pour l’association de Nicolas Batum, l’ailier international.

Maintenant, place donc au repos le plus complet après une très longue saison, marquée par un titre de championne de France avec Bourges, mais conclue par une défaite sur le fil contre l’Espagne (69-70) en finale de l’Euro.

« La déception est totalement digérée, assure la Rémoise. J’ai été tellement occupée depuis, que je n’ai pas pu y penser. La Réunion était vraiment l’endroit rêvé pour tout oublier, nous avons été très bien accueillies. On nous reconnaît de plus en plus ! »

Cette notoriété naissante, née de la médaille d’argent des « Braqueuses » l’année dernière aux Jeux Olympiques, Endy Miyem n’en est absolument « pas fatiguée ». La preuve, au printemps, elle s’est engagée pour une saison supplémentaire (plus une en option) dans le Berry, laissant encore de côté ses envies d’étranger.

« J’avais des contacts mais rien de concret et rien qui m’emballait vraiment. Et comme je ne me voyais pas aller autre part en France qu’à Bourges… Là-bas, je sais où je mets les pieds, je suis chez moi. »

Peut-être un peu moins qu’à Reims quand même.

THIBAUT GAGNEPAIN

Arrivée du Centre Fédéral en 2006, Endy Miyem va entamer sa huitième saison au Bourges Basket. Un club qui lui a permis d’être sacrée cinq fois championne de France.

À SAVOIR

▶ Nom : Miyem
▶ Prénom : Nwal-Endéné
▶ Date, lieu de naissance : 15 mai 1988, à Reims
▶ Poste : ailière forte
▶ Taille : 1,88 m
▶ Clubs : Reims Université club (1994-1999) ; Saint- Jacques Reims (1999-2001) ; Centre Fédéral Toulouse (2001-2002) ; Centre Fédéral (2002-2006) ; Bourges (depuis 2006)

▶ Palmarès :

Championne d’Europe (2009), vice-championne olympique (2012), vice-championne d’Europe (2013), médaillée de bronze aux championnats d’Europe 2011, quintuple championne de France (2008, 2009, 2011, 2012, 2013), triple vainqueur de la Coupe de France (2008, 2009, 2011). Chevalier de l’ordre national du Mérite (2013).

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Union130718a- Marne
Une incendiaire condamnée à un mois ferme : Elle met le feu dans une cave « pour voir ce que ça fait »

Les barres de la rue Pierre-Taittinger attirent les incendiaires. Le 27 juin, vers 22 h 30, un locataire du n° 41 domicilié au quatrième étage avait mis le feu à son appartement pour se suicider, avant de changer d’avis et de se réfugier sur son balcon d’où il fut évacué par la grande échelle des pompiers.

Bilan : l’appartement complètement détruit, des habitants paniqués dans les étages à cause de la fumée, vingtcinq pompiers mobilisés, l’auteur condamné en comparution immédiate à un an de prison ferme (il avait trois grammes d’alcool par litre de sang).

Dimanche soir, vers 19 heures, c’est dans le local à poubelles du n° 31 qu’un incendie a été allumé. La vidéosurveillance de l’immeuble n’a rien raté de la scène. On y voit une femme qui s’y prend à trois reprises pour mettre le feu à un tas de cartons, avant de remonter tranquillement dans l’ascenseur.

Coût des dégâts chiffré par Reims Habitat : 10 000 € ! Le feu a dégradé les gaines techniques, recouvert de suie les murs, le sol et le plafond.

Les images exploitées par les services de police ont rapidement permis d’identifier la personne. Interpellée mardi, Nadia Fortin, 51 ans, sans profession, n’habite pas sur place mais séjourne régulièrement chez un couple d’amis domicilié dans l’immeuble. Elle était chez eux ce week-end, ainsi que les jours suivants. La quinquagénaire a été incapable d’expliquer son geste. En garde à vue, elle a seulement dit avoir mis le feu « pour voir ce que ça fait ». Une consommation habituelle d’alcool mélangée à des médicaments a peut-être joué un rôle.

Direction Châlons

Son procès s’est déroulé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims. Alors que le parquet réclamait huit mois de prison intégralement assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve, les juges, malgré l’absence de récidive, sont allés au-delà des réquisitions : huit mois, mais avec une partie ferme de trente jours que la prévenue, maintenue en détention, est partie purger à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.

F.C.

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Union130717b- Marne
Frappé lors d’un vol, un habitant de Tinqueux avait sombré dans le coma. Un 3e suspect écroué après la sauvage agression de Croix-Rouge

Attirée avec son frère devant un immeuble de la rue Raoul-Dufy lors de la vente d’une moto, la victime avait failli être tuée d’un violent coup de bouteille de champagne porté à la tête. Bernard SIVADE
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Après deux Rémois de 17 et 18 ans, un troisième suspect a été écroué dans le cadre de l’enquête sur le vol d’une moto au cours duquel la victime frappée à la tête avait sombré dans le coma, le 5 juin à Croix-Rouge. Il dit avoir agi à la demande des deux autres.

L’AGRESSION fut d’une extrême violence. Elle a failli coûter la vie à un jeune homme de Tinqueux, tombé dans le coma après avoir été frappé à la tête d’un coup de bouteille lors d’un vol de moto. C’était le 5 juin, au quartier Croix- Rouge (l’union des 7 et 8 juin). Un mois après, alors que la victime sortie du coma - mais toujours en arrêt de travail - a pu rentrer chez elle, l’enquête vient de rebondir avec l’incarcération d’un mineur de 17 ans, ce qui porte à trois le nombre de personnes mises en examen dans ce dossier.

Boîte crânienne Enfoncée

L’affaire s’est nouée sur le site internet Leboncoin. Le 5 juin en début d’après-midi, contacté après avoir mis en vente sa moto de cross 125 cm3, le frère de la victime se rend avec elle à un rendez-vous fixé près de l’hippodrome de Croix-Rouge. Deux individus les attendent. Celui qui se présente comme l’acheteur manipule l’engin, discute le prix, puis tombe d’accord sur une somme de 1600 euros. Il invite les deux frères à les suivre dans le quartier pour le paiement de la transaction. Le groupe s’arrête devant un immeuble de la rue Raoul-Dufy. L’acquéreur fait monter le vendeur dans les étages, puis lui demande de patienter, le temps d’aller chercher l’argent. Au bout de plusieurs minutes, ne le voyant pas revenir, il regagne le bas de l‘immeuble où il avait laissé son frère de 25 ans avec l’autre personne.

Il le retrouve allongé au sol, la tête ensanglantée, tandis que les deux individus et la moto ont disparu. Le jeune homme emmène lui-même son frère au CHU où les médecins diagnostiquent un enfoncement de la boîte crânienne et deux oedèmes cérébraux engageant le pronostic vital. Une délicate intervention neurochirurgicale permet de le sauver.

Qui a fait quoi ?

Saisis de l’enquête, les policiers de Reims soupçonnent le jour même deux jeunes gens déjà connus de leurs services pour des vols avec violence. Le premier, Souleymane Touré, 18 ans, est désigné par le frère de la victime comme étant l’acquéreur.

Il aurait été vu dans le quartier avec une moto de cross semblable à celle qui a été volée. De plus, des effets lui appartenant, ainsi que ses empreintes, ont été retrouvés dans le van utilisé par les deux frères pour transporter la moto. Le second suspect, un adolescent de 17 ans, est lui aussi mis en cause par ses traces papillaires.

Venus se constituer prisonniers le lendemain matin à l’hôtel de police, les deux garçons ont reconnu leur présence rue Raoul-Dufy, mais en imputant l’agression à un troisième individu qui aurait surgi de nulle part, de sa propre initiative, pour frapper la victime avec une bouteille de champagne afin de voler la moto. Ce troisième homme n’est donc pas une vue de l’esprit, comme en témoigne l’arrestation du nouveau suspect, mais lui déclare avoir donné le coup de bouteille sur instruction des deux autres. Mis en examen pour « vol aggravé », les trois protagonistes sont chacun écroués dans une maison d’arrêt différente. Des retrouvailles sont à prévoir, mais dans le cabinet du juge, pour une confrontation qui permettra peut-être de clarifier le rôle des uns et des autres.

Fabrice CURLIER

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Union130717a- Marne
Arrêté dans un magasin de sports avec le butin d’un cambriolage. Le receleur de chèques cadeaux se voit offrir deux mois de prison

Installée avenue Bonaparte, au cœur du quartier Croix-Rouge, l’association « Jobs’51 » s’échine toute l’année à soutenir et accompagner des demandeurs d’emploi vers une insertion professionnelle. Parmi les personnes qu’elle aide à sortir de l’ornière, de nombreux jeunes du quartier. Pas de quoi dissuader les délinquants venus cambrioler le local de l’association entre jeudi soir 18 heures et vendredi matin 8 h 15.

Après dégradation d’un volet en PVC et de la fenêtre, ils ont dérobé pour 5200 € de chèques restaurant, 5400 € de chèques cadeaux (tous à 10 € l’unité) et un ordinateur portable estimé à 500 euros. Bricoleurs, ils ont également volé une caisse à outils.

Receleurs à l’insu de leur plein gré

Dès vendredi après-midi, quelques dizaines des 540 chèques cadeaux disparus lors du cambriolage refont surface aux caisses du magasin Intersports de Cormontreuil, où deux jeunes gens du quartier Wilson les utilisent pour payer des vêtements de marque.

L’achat est réglé, les clients s’en vont mais le magasin a des soupçons à l’examen des chèques. Le commissariat de Reims est alerté. Une patrouille rattrape les deux suspects sur le parking.

Aucun élément ne permet de les impliquer dans le cambriolage du local associatif. Poursuivis en tant que receleurs, ils expliquent avoir acheté 30 chèques cadeaux à « un petit Renoi »*, « un jeune Africain » venu les démarcher « sur le terrain de foot de la MJC » à Wilson.

« On ne savait pas que les chèques étaient volés », assurent-ils en choeur devant le tribunal correctionnel de Reims saisi de l’affaire en comparution immédiate. Moue sceptique des juges… D’une part, acheter des chèques cadeaux au coin d’un terrain de foot leur paraît éminemment suspect, d’autant que les deux garçons ont accepté de traiter avec un inconnu (ils déclarent ignorer qui il est).

D’autre part, ils racontent avoir payé les trente chèques 100 €, trois fois moins que leur valeur réelle. « Moi, je voulais lui faire un chèque mais il a exigé d’être payé en liquide. »

D’un chèque à l’autre, le président Dufourd revient sur ceux dérobés lors du cambriolage. « Ils sont clairement libellés au nom du CE de Jobs’51. Or, vous nous dites que le jeune Africain venu vous les proposer doit avoir 16 ans. Vous deviez quand même bien vous douter qu’il n’avait pas l’âge pour pouvoir travailler au sein de cette association. » Ben non…

De vaines plaidoiries pour obtenir la relaxe ont suivi.

Aller-retour à la maison d’arrêt

A l’heure du délibéré, les prévenus ont connu un sort différent. Le premier, trois petites mentions au casier, a été averti par une peine de trois mois d’emprisonnement assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de travailler ou de trouver une formation. Libre à l’audience (il n’a pas été écroué lors de sa présentation la veille au parquet), il a pu rejoindre ses copains dans la salle. Rien de tel avec le second qui comparaissait détenu. Agé de 19 ans, Islam Bakari a pris deux mois de prison ferme. Ses antécédents judiciaires expliquent cette différence de traitement. Sorti de maison d’arrêt le 18 juin après avoir purgé la dernière de ses cinq condamnations, il lui était d’autant plus conseillé de se tenir à carreau qu’il est actuellement suivi par un juge d’application des peines dans le cadre d’un sursis avec mise à l’épreuve récolté lors d’une affaire d’infractions à la législation sur les stupéfiants.

Le jugement rendu, les agents de l’administration pénitentiaire l’ont reconduit derrière les hauts murs du boulevard Robespierre. Les domiciles des deux jeunes gens ont été perquisitionnés pendant le temps des gardes à vue, mais aucun butin supplémentaire provenant du cambriolage n’a été retrouvé.

Les 510 autres chèques cadeaux et les 520 chèques restaurant de Jobs’51 se baladent toujours quelque part en ville.

F.C.

* Noir en verlan

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Union130716a- Marne
TENNIS : TOURNOI D’AY : Les favoris à l’arrivée

Guillaume Roger balayé : « Quand on ne rentre rien… » Bernard SIVADE
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Limitée à 15/1, la 13e édition du tournoi de l’ASL Ay a connu, dimanche, des résultats conformes à la logique. Ainsi, fort d’une dizaine de 15/1, le tableau masculin a généré une finale entre favoris : Thomas Delarme (Reims Europe Club) et Guillaume Roger (Cormontreuil).

Plié en moins d’une heure

Auteur d’une saison pleine, l’Européen a dominé la partie pour s’imposer, sous un soleil de plomb et en moins d’une heure, 6-0, 6-2.

Pas de surprise non plus en +35 ans où François Schopphoven (15/3, Ay) a battu au stade ultime José Sanchez (15/3, Romilly) 6-4, 6-4.

Enfin, la tenante du titre, Amélie Charpentier (15/1, Bétheny), a brillamment conservé son bien en venant à bout de la locale Catherine Decure (15/3, Ay).

En effet, à une manche partout, la Béthenyate a su faire la différence en prenant un meilleur départ. L’Agéenne, pongiste aussi à l’ASC Châlons, n’a pas pu renverser la vapeur.

DAMES. – Demi-finales : Amélie Charpentier (15/1, Bétheny) bat Anne-Laure Le Flohic (15/3, Bihorel), 4-6, 6-4, 6-2 ; Catherine Decure (15/3, Ay) bat Caroline Deglave (15/1, Guignicourt) 6-3, 6-3. Finale : Amélie Charpentier bat Catherine Decure 6-2, 1-6, 6-1.

MESSIEURS. – Demi-finales : Delarme (15/1, Reims Europe Club) bat Dagnee (15/2, Géo-André), 6-3, 4-6, 6-3 ; Roger (15/1, Cormontreuil) bat Japin (15/1, ASPTT Epernay), 7-6, 6-3. Finale : Delarme bat Roger 6-0, 6-2.

+35 ANS. – Demi-finales : Sanchez (15/3, Romilly) bat Loth (15/3, Ay), 1-6, 6-3, 4-1 abandon ; Schopphoven (15/3, Ay) bat Guillaume (15/4, Chouilly), 6-2, 6-2. Finale : Schopphoven bat Sanchez, 6-4, 6-4.

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Union130715f- Marne
Incendies et actes d’incivilités dans les immeubles : Allée Degas, « on ne veut pas mourir » à cause des squatteurs

En pleine nuit, les squatteurs ont mis le feu à une sonnette, ce qui a suffi pour provoquer un dégagement de fumée et l’évacuation de locataires. Christian LANTENOIS
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Le carrelage du hall fait également grise mine. En cause : non pas les vandales mais plutôt des infiltrations.
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Le renouvellement urbain a beau transformer le visage de Croix-Rouge, des poches d’insécurité continuent d’empoisonner le quotidien des habitants. Ainsi des locataires de l’allée Edgar-Degas, au n°8.

« On n’en peut plus. On a peur », souffle une sexagénaire, 31 ans de présence dans le quartier, dont neuf dans l’immeuble. « Il suffit de donner un coup de pied dans la porte du hall pour l’ouvrir. Alors, la nuit, il y a plein de jeunes qui rentrent pour squatter. Ils tapent dans les portes, ils crachent, ils urinent sur les paliers. »

Un festival d’incivilités auxquels s’ajoutent des actes de délinquance, comme en cette nuit de début juillet. « Il était minuit et demi. J’ai été réveillée par un voisin venu tambouriner à ma porte. Il y avait de la fumée dans la cage d’escalier. Je tremblais comme une feuille morte. » Il ne s’agissait « que » d’un feu de sonnette électrique, mais suffisant pour enfumer les communs. « Ça n’a pas été grave mais on ne sait jamais ce qui peut arriver une autre fois. Il y a des enfants, des vieilles personnes qui vivent ici. On ne veut pas mourir. »

Plusieurs locataires ont déjà lancé un SOS en fin d’hiver, après une série d’incendies et d’effractions dans les appartements (l’union du 20 mars). « Nous demandons la sécurisation des immeubles », rappelle Nadine, une habitante du 8. « L’Effort rémois nous a dit que de nouvelles portes allaient être posées, mais quand ? J’ai posé la question à l’annexe. J’ai demandé : « 2014 ? » On m’a répondu « Peut-être 2017 », comme si on se moquait de nous. Notre patience est à bout. On en a marre. »

F.C.

« Sécurisation en cours », répond l’Effort rémois

Contacté, le siège de l’Effort rémois fait savoir que « la remise en état des halls d’entrée Degas — Rodin est en cours », avec une échéance prévue en « janvier 2014 ». « Le changement des contrôles d’accès sur le secteur est également en cours afin d’améliorer la sécurité de nos clients. » « Les accès aux caves ont été sécurisés » eux aussi, les démarches sont engagées pour une « remise en état du 8 Degas suite aux dégradations », « la porte et le système de fermeture ont été vérifiés ».

Quant à la vidéosurveillance, mesure réclamée par plusieurs habitants, son « déploiement est à l’étude ».

Allée Edgar-Degas, nombreux sont les locataires à dénoncer un manque d’écoute de l’annexe à leur égard. Le siège n’est pas du même avis. « Suite à la visite de nos clients à l’agence, une société de gardiennage a été mandatée par l’Effort Rémois pour intervenir sur le quartier deux fois par jour. Des passages réguliers de nos équipes sont réalisés sur le site. Elles sont à la disposition de nos clients pour un rendezvous. »

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Union130715e- Marne
Maison de quartier Croix-Rouge : Une sortie au Tréport dimanche 4 août

Une belle occasion de passer une bonne journée en bord de mer. Photo d’archives
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Alexandra Babin, animatrice « référent Familles » à la Maison de quartier Croix-Rouge, organise une sortie en familles en train au bord de la mer, au Tréport, le dimanche 4 août.

Retour à 22 heures

Le rendez-vous est fixé à 6 h 45 devant l’Espace Billard (12/14, rue Pierre-Taittinger). Le retour est prévu vers 22 heures.

Prévoir les vêtements adaptés à la météo ainsi que les repas du midi et du soir.

Participation : adultes 10 euros, enfants de 4 à 11 ans, 1,5 euro, gratuit pour les enfants de moins de 4 ans.

Inscriptions jusqu’au 19 juillet aux espaces Billard (03.26.08.08.78.) ou Watteau (03.26.36.03.50.) de la Maison de quartier Croix-Rouge.

 

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Union130715d- Marne
Espace billard : « La fabrique des 1001 formes » : une oeuvre participative

La façade de l’Espace billard de la Maison de quartier Croix- Rouge se prépare à accueillir une nouvelle décoration. L’équipe d’animation et les artistes de la Fabrique, BMZgd, Laure Guelle et Florence Kutten, invitent tout cet été, les habitants à venir les rejoindre, « à l’ombre des arbres du quartier, pour partager un temps de création ».

« Pour imaginer et fabriquer les maquettes de ce projet, tout un matériel artistique sera à votre disposition. Nous serons à vos côtés pour échanger et avancer ensemble dans les différentes étapes de cette oeuvre participative », indiquent-ils.

Ces moments partagés, libres et ouverts à tous, sans obligation, se dérouleront selon le calendrier suivant : secteur Taittinger, les 1, 15 et 29 août, de 15 à 17 heures, secteur Eisenhower, les 2, 9, 16, 23 et 30 août, de 15 à 17 heures et secteur Rilly, les 8 et 22 août, de 15 à 17 heures.

« Vous pouvez également nous retrouver les jeudis et vendredis de juillet, de 15 à 17 heures, sur le site de l’Eté s’affiche à Croix- Rouge, au complexe sportif Géo- André, avenue François-Mauriac. »

En cas d’intempéries, un repli sera opéré vers l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur- Billard.

Renseignements : Espace billard, 12-14, rue Pierre-Taittinger Tél. 03.26.08.08.78.

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Union130715c- Marne
L’été s’affiche à Croix-Rouge : Un lancement réussi

Beau succès de l’école de conduite de quads.
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Déplacer l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge » sur le site du complexe sportif Géo- André, au lieu du traditionnel parking de l’hippodrome de Champagne-Ardenne, comportait un risque : le lieu est moins central pour le quartier Croix- Rouge, et il faut reconnaître que s’y rendre, par exemple depuis Croix-du-Sud, est moins incitatif. Le nombre de visites depuis l’ouverture montre qu’il n’en est rien : on va encore, cette année, vers des records d’entrées !

Visible immédiatement, on s’aperçoit que la fréquentation pour les animations permanentes est en augmentation massive. L’espace familles et petite enfance, les jeux d’éveil pour bébés, les jeux de motricité pour les enfants et les ateliers créatifs pour les 6/12 ans font le plein.

Soirée guinguette le 26 juillet

Quant à l’espace détente, il ne désemplit pas : des familles entières profitent d’un cadre champêtre agréable, ombragé et silencieux sous les arbres qui bordent l’avenue François-Mauriac. C’est un tel succès que les animateurs se demandent s’ils ne vont pas adopter définitivement ce nouveau site. Assis ou allongés sur des transats avec parasols, les familles papotent, discutent au calme, on voit des lecteurs solitaires, d’autres se barbouillent de crème solaire. Plus loin, des groupes de quatre sont occupés à « taper la belote ». Vendredi 26 juillet, une soirée guinguette réunira tous ces adultes sous le chapiteau de l’association Trac. Les enfants sont plutôt attirés par les activités particulières mises en place à leur intention. Ainsi, mardi 23, ils se confronteront au taureau mécanique ! Enfin, les structures gonflables les attendront : « surf » le mardi 16, « Ejector » le jeudi 18, « Scratch » le vendredi 19, « Gyrofolie », le lundi 22 et « WaterGame » le jeudi 25.

Rendez-vous au complexe sportif Géo-André, avenue François- Mauriac, de 15 à 20 heures. Accès gratuit. Bus 10, station Creps ou tramway station Kennedy.

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Union130715b- Marne
MARNE / Black-out sur les incendies du 14-Juillet : Silence, les voitures brûlent ! sur les incendies de la nuit.

Une scène hélas banale (ici rue Marcel-Forestier à Reims) mais qu’il est devenu coutume de passer sous silence le 14 juillet.
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Incendiée le long de la RD951, cette voiture volée aurait de toute façon fini son existencedans cet état, nuit du 14 juillet ou pas.
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Une scène hélas banale (ici rue Marcel-Forestier à Reims) mais qu’il est devenu coutume de passer sous silence le 14 juillet. Les bonnes méthodes de transparence mises en place par Claude Guéant se perpétuent.

À l’occasion du 14-Juillet, black-out

« DÉSOLÉ, mais nous avons reçu l’ordre de ne communiquer aucune information sur les événements de la nuit. » Claude Guéant n’est plus ministre de l’Intérieur, mais les bonnes méthodes de transparence qu’il a instituées à chaque 14 juillet et Nouvel An ont toujours cours avec son successeur.

Hier, obéissant à des consignes venues de très haut, pompiers, policiers et gendarmes avaient l’interdiction d’évoquer les incendies de la nuit. A défaut de les empêcher, les passer sous silence en les diluant dans un chiffre global, désincarné, sans précision de lieu ni possibilité de vérifier les données à la source, est effectivement le meilleur moyen de maîtriser l’image de notre fête nationale.

Ainsi, en ce qui concerne Reims, nos lecteurs n’étaient pas censés savoir qu’une première voiture a brûlé vers 1 heure près de la place Georges- Braque à Croix-Rouge, une deuxième aux alentours de 4 heures rue Marcel-Forestier à Murigny, une troisième à 4 h 30 rue de Verdun (secteur Sébastopol). « Nous avons été réveillés par des déflagrations, sans doute les pneus qui explosaient », témoigne un riverain. De marque Peugeot, l’auto était garée non loin d’une armoire électrique heureusement épargnée par les flammes.

Quelques autres voitures ont peut-être brûlé ici ou là mais elles n’existent pas, les victimes non plus.

À Fismes, on nous signale un feu de conteneur allée des Missions — « Il n’en reste plus rien, que les roulettes » — tandis qu’hier, entre Reims et Epernay, des milliers d’automobilistes ont pu remarquer les restes calcinés d’une voiture incendiée au cours de la nuit sur un parking de la RD951, quelques centaines de mètres avant la descente vers le hameau de Montchenot (commune de Villers-Allerand). Vu l’endroit, il s’agit manifestement d’un véhicule volé qui aurait de toute façon fini son existence dans cet état, nuit du 14 juillet ou pas.

F.C.

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Union130715a- Marne
Basket : Une semaine de stage avec le RCB

Trente-six enfants ont été encadrés par neuf membres de l’équipe.
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« Le ballon près de la poitrine ! Tu tends les mains ! » : des ballons volent dans tous les coins du gymnase Géo-André ce mercredi. Des basketteurs de toutes tailles se renvoient, deux par deux, la balle : c’est un exercice destiné à une bonne maîtrise des « passes ». « C’est un stage d’une semaine en direction des jeunes licenciés, âgés de 8 à 13 ans, de tous les clubs de Reims et des environs. On a aussi quelques non licenciés, venus pour s’essayer à ce sport » explique Franck Ostré, entraîneur du Reims Champagne Basket.

Une technique par jour

Ce stage est régulièrement proposé chaque année, aux vacances d’été et aux petites vacances (durant ces dernières, des joueurs du CCRB viennent également).

Entraîneurs, aides-entraîneurs en formation et joueurs du club, sont venus lui prêter main-forte.

Chaque jour de la semaine est consacré à une des bases : lundi les tirs, mardi les dribbles, mercredi les passes, jeudi la défense. Et le vendredi est réservé aux les petits tournois. « Il faut réussir à proposer des ateliers ludiques, pour qu’ils apprennent bien les bases, tout en s’amusant » assure Mwenet Okiemy, qui joue en pré-national. Parmi les joueurs, certains entraînent des équipes de jeunes du club. C’est le cas de Wassim Halhouli, qui encadre les poussins et les benjamins. Dans les gradins, une maman regarde son fils : Thibault Vincent, 11 ans, basketteur à la MJEP de Cormontreuil, vient pour la première fois et semble prendre du plaisir à jouer.

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l’union130714a- Marne
Cuisine grillée

Hier midi, plusieurs personnes ont vu de la fumée s’échappant d’un appartement de la rue des Savoyards.

Le locataire était absent. Il s’agissait d’aliments oubliés sur le feu.

A 13 h 45, une fumée noire signalée rue Mau¬rice-Prévoteau à la Neuvillette provenait d’un feu de détritus sous surveillance.

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130713a - VRI juillet-août 2013

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°302 de juillet-août 2013

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CROIX-ROUGE : Le nouvel équipement public dévoilé

Situé avenue Bonaparte, le futur équipement public est au coeur du quartier Croix-Rouge.
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L’équipement sera modulable disposant d’un hall d’exposition, d’une salle de concert et de studios d’enregistrement.
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Le bâtiment jouera avec la topographie des lieux. Il sera discret et indentifiable et surtout parfaitement accessible aux personnes à mobilité réduite.
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Le projet du nouvel équipement public, qui sera implanté au cœur du quartier Croix-Rouge d’ici fin 2015, a été dévoilé le 21 juin dernier.

« Ce futur lieu public sera un lieu de vivre ensemble. Il créera une nouvelle dynamique associative dans le quartier. » Eric Quénard, 1er adjoint en Charge de la Politique de la Ville

« Ce nouvel équipement place les habitants de Croix-Rouge au centre des opérations de renouvellement urbain. Il s’agira d’un lieu tourné vers les usages des habitants du quartier, mais aussi d’un équipement au rayonnement élargi au territoire. » Adeline Hazan, Maire de Reims, Présidente de Reims Métropole

La Maison du Projet inaugurée Le dévoilement du futur équipement a été également l’occasion d’inaugurer la Maison du Projet, située dans le nouveau centre Arago. Construit par le Foyer Rémois, ce nouvel équipement municipal est conçu comme un lieu de rencontres, d’échanges, un espace d’exposition et d’informations sur le futur équipement public. Il sera animé par deux emplois d’avenir. Ouvert du lundi au vendredi de 14 h à 17 h. 12, avenue Bonaparte, Reims.

Il s’agira d’un véritable lieu de vie offrant divers services aux habitants dont un espace multiaccueil pour les 0-6 ans, une salle de musiques actuelles et d’un incubateur associatif. « La Rénovation urbaine ne se limite pas au bâti, elle a, à Reims, la vocation de mettre l’humain au centre de l’urbain », a souligné Adeline Hazan, maire de Reims.

UN ÉQUIPEMENT CONÇU AVEC ET POUR LES HABITANTS DE CROIX-ROUGE

Afin de coller au mieux aux attentes des habitants, les contours du futur équipement ont été tracés en étroite concertation avec les associations et les acteurs professionnels du quartier. Ainsi, entre juillet et décembre 2009, plusieurs Ateliers urbains de proximité ont été organisés. Ces derniers ont souligné l’importance d’un équipement accompagnant et renforçant, notamment la vie associative.

UN ÉQUIPEMENT CULTUREL ET UN INCUBATEUR ASSOCIATIF

La structure de 1600m2, ouverte sur l’extérieur, disposera d’une salle de concert de 350 places (en configuration maximale), de studios d’enregistrement, d’un hall d’exposition et d’un espace de restauration. « Une vocation associative et culturelle qui constitue un pont avec l’ancien Château d’eau où il y avait une intense vie associative », souligne Eric Quénard, 1er adjoint en charge de la Politique de la Ville. L’équipement remplira également le rôle d’incubateur associatif en accueillant et accompagnant les porteurs de projets rémois. Sur place, ces derniers pourront obtenir des conseils en matière de recherche de subventions ou d’accompagnement juridique.

UN BÂTIMENT PARFAITEMENT INTÉGRÉ AU QUARTIER

Côté architectural, le bâtiment, dessiné par l’architecte Philippe Thomas, sera discret mais identifiable avec son bardage vertical et ses toitures végétales et résolument ouvert vers le quartier avec son parvis et son jardin extérieur aménagé. Les travaux commenceront au cours du premier trimestre 2014 et s’achèveront fin 2015

H. C.

Financements

Coût de l’opération 6,6 millions d’euros. Projet inscrit dans le programme de renouvellement urbain de Reims. Financements : Ville de Reims, ANRU (558 000 euros), FEDER (1 million d’euros), Conseil général de la Marne


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QUARTIER Croix-Rouge Hauts-de-Murigny

ANIMATIONS : Votre Eté à Croix-Rouge

Jusqu’au 26 juillet, Un Eté s’affiche à Croix-Rouge vous propose, tous les jours de 15 h à 19 h, de participer, gratuitement, à des animations sportives et culturelles organisées au parc Géo-André.

La piscine Château d’eau, sera, quant à elle, ouverte tous les jours jusqu’au 30 août.

La Maison de quartier Croix-Rouge vous propose elle aussi de multiples animations cet été. Renseignements sur le www.maisondequartier-reims.fr

Foire aux livres

Le 29 août, le Secours populaire vous accueillera dans son nouvel espace multisolidarité, 30 avenue du Général de Gaulle à Reims, de 10 h à 17 h, pour une grande foire aux livres

Braderie du Secours populaire

Tous les mercredis, de 14 h à 16 h, l’espace multisolidarité du Secours populaire, organise une braderie vêtements/jouets/livres/meubles. Fermé le 14 août.

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L’hebdo du vendredi- N° 313- 130712c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 313 - Semaine du 12 au 18 juillet 2013

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SPORT. MARNE. Récompenses. Des prix de la sportivité pour les collégiens marnais

Les lauréats et, au centre, René-Paul Savary, président du Conseil général de la Marne (©DR)
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Samedi 28 juin, la remise des récompenses aux collégiens du département ayant obtenu le Prix de la Sportivité s’est déroulée au Conseil général, à Châlons-en-Champagne.

Ce prix a été créé pour récompenser des élèves de 3e qui, « par leur valeur sportive et scolaire, par leur loyauté, leur esprit d’initiative, leur sens de l’équipe, leur rayonnement, auront témoigné du plus heureux équilibre entre les qualités, physiques, intellectuelles, morales et humaines ».

Dix-sept dossiers avaient été envoyés à un jury composé de membres de l’association des Médaillés de la Jeunesse et des Sports, de l’Inspection Académique et du Conseil général de la Marne.

Pour cette nouvelle édition, les jeunes primés ont été les suivants. Filles : 1re Océane Ledru (collège François-Legros à Reims), 2e Gwendoline Deudon (collège Louis-Grignon à Fagnières), 3e Edna Nazeyrollas (collège Nicolas-Ledoux à Dormans). Garçons : 1er Baris Baran (collège Joliot-Curie à Reims), 2e Loïck Behr (collège Paul-Eluard à Verzy), 3e Antonin Druet (collège Jean-Baptiste-Drouet à Sainte-Ménehould).

Les récompenses d’un montant total de 600 € (130 € pour le premier, 100€ pour le second, 70 € pour le troisième) ont été remises aux lauréats sous la forme de bons d’achat en équipement sportif. Ces prix sont financés à hauteur de 300 € par l’association des Médaillés de la Jeunesse et des Sports et de 300 € par le Conseil général.


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L’Urca : un pilier de l’emploi champardennais

L’Université Reims Champagne-Ardenne est le cinquième employeur de la région. (© l’Hebdo du Vendredi )
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Dans sa dernière étude, l’institut de statistiques s’est intéressé à l’inscription territoriale de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (Urca) dans la région.

L’objectif était de « mesurer l’emprise d’un établissement sur un territoire à travers les emplois qui lui sont liés », pour reprendre la définition même que donne l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques champenoise à l’inscription territoriale.

Au vu de son implantation sur les quatre départements du territoire via ses cinq campus (Reims, Châlons-en-Champagne, Troyes, Charleville-Mézières et Chaumont), il est évident que l’Université de Reims s’avère être un acteur important de l’économie régionale. Ainsi en 2010, l’Urca représentait 1,9% de l’emploi total en Champagne-Ardenne, soient 11 430 emplois (dont 10 480 localisés dans la région même). Cinquième employeur de la région après le centre hospitalier universitaire rémois (7 000 personnes), la Poste (4 900), la SNCF (4 300) et la Ville de Reims (2 900), c’est en réalité principalement à Reims que l’Urca concentre ses « effectifs » avec pas moins de 2 280 salariés qui y sont localisés. Et s’il y a les salariés, il y a logiquement les familles et avec elles (presque 7 000 personnes au total), toute une population qui consomme et de ce fait, induit de l’emploi autour de son lieu de résidence (écoles, commerces, activités, loisirs…).

De l’autre côté, l’autre « profil d’individus » permettant à l’Université d’accentuer son inscription territoriale est évidemment celui des étudiants. Au total, ils sont plus de 20 000 (21 820 en 2010) à vivre (et donc à consommer) en Champagne-Ardenne. Leur consommation concerne ainsi 2 150 emplois induits, soit une statistique d’un emploi pour dix étudiants. A titre de comparaison, le rapport est deux fois moins important par rapport à l’emploi induit par la consommation des salariés, directs ou indirects, de l’Urca (un emploi pour cinq personne). « Ce phénomène s’explique tout simplement par le fait, et c’est compréhensible, que les dépenses des étudiants sont nettement inférieures à celles d’un ménage ordinaire », précise-t-on à l’Insee. Par ailleurs, il y a les emplois induits par la consommation des étudiants, mais il y a aussi les emplois que ces derniers exercent. En Champagne-Ardenne, la part des étudiants dits salariés s’élevait à 24% en 2010. Sur 21 820, ils sont donc 5 180 étudiants à travailler en parallèle de leur cursus dans le supérieur, et, élément positif pour l’emploi local, 87% d’entre eux exercent leur activité dans la région.

Si le poids de l’Urca sur l’économie champardennaise est incontestable, reste que, comme toujours, les disparités géographiques, typiques de la Champagne-Ardenne, rendent inégale cette répartition de l’emploi ; deux tiers des 11 430 emplois liés à l’Urca (7 540) étant regroupés sur le territoire de Reims Métropole et 8 590, soit les trois quarts, se localisant dans la Marne.

Aymeric Henniaux

Liens : www.insee.fr

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l’union130712b- Marne
INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journaloffi ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions de l’ordonnance nº 2005-649 du 6 juin 2005 et des articles 28 et 29 du décret nº 2005-1742 du 30 décembre 2005.
3) Objet du marché : marché d’entretien et de travaux des ascenseurs de REIMS HABITAT (51).
Le marché susvisé concerne :
1. Une partie entretien : entretien total des 295 ascenseurs de REIMS HABITAT.
2. Une partie travaux : modernisation et mise en conformité de 274 ascenseurs dans le cadre de la loi S.A.E.
4) Mode d’attribution du marché : marché séparé.
- 1, succursale Centre Est : entretien portant sur 49 appareils et travaux portant sur 42 appareils.
- 2, succursale Nord : marché entretien : 79 appareils, travaux : 57 appareils.
- 3, succursale Croix-Rouge : entretien : 100 appareils, travaux : 96 appareils.
- 4, succursale Murigny : entretien : 67 appareils, travaux : 67 appareils.
- 5, succursale Nord site Walbaum : travaux : 12 appareils.
5) Critères de jugement des offres : critères, pondération :
1 - Valeur technique (voir les sous-critères dans le RC en fonction des lots) : 40 % ;
2 - Prix des prestations : 60 %.
6) Délai d’exécution : les délais d’exécution sont les suivants :
- Pour la partie entretien : le délai d’exécution de la prestation est de 60 mois. La prestation débutera le 1er octobre 2013, pour une période initiale de 12 mois, soit jusqu’au 30 septembre 2014.
Le marché peut être reconduit par période successive de 1 an pour une durée maximale de reconduction de 4 ans, sans que ce délai ne puisse excéder le 30 septembre 2018.
La reconduction est considérée comme acceptée si aucune décision écrite contraire n’est prise par le pouvoir adjudicateur au moins 3 mois avant la fi n de la durée de validité du marché.
- Pour la partie travaux des lots n° 1, 2, 3, 4 : le délai d’exécution pour la partie des travaux est de 56 mois, à compter de la date fi gurant sur l’ordre de service. La période de préparation de 3 mois n’est pas comprise dans ce délai.
- Pour la partie travaux du lot n° 5 : le délai d’exécution pour la partie des travaux est de 56 mois, à compter de la date fi gurant sur l’ordre de service. La période de préparation de 3 mois n’est pas comprise dans ce délai.
7) Les variantes sont interdites.
8) Options : pour la partie " Travaux " pour chacun des lots :
a) Lot nº 1 " Succursale Centre Est " : 2 options obligatoires :
- Option 1 : remplacements supplémentaires d’armoires de manoeuvre ;
- Option 2 : habillages des cabines.
b) Lot nº 2 : " Succursale Nord " : 2 options obligatoires :
- Option 1 : remplacements supplémentaires de treuils ;
- Option 2 : habillages des cabines.
c) Lot nº 3 : " Succursale Croix-Rouge " : 2 options obligatoires  :
- Option 1 : remplacements supplémentaires de treuils ;
- Option 2 : habillages des cabines.
d) Lot nº 4 : " Succursale Murigny " : 1 option obligatoire :
- Option nº 1 : remplacements supplémentaires de treuils.
e) Lot nº 5 : " Succursale Nord-Walbaum " : 1 option obligatoire :
- Option nº 1 : installation en duplex.
Les options sont obligatoires, elles devront être chiffrées dans la DPGF et le montant total reporté dans l’acte d’engagement correspondant sous peine de rejet de l’offre.
9) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
10) Renseignements complémentaires : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de M. POUSSE : tél : 03.26.48.43.38, fax : 03.26.48.43.40. ou AMO : Cabinet Gérard RABEC 37, rue Gustave-Eiffel, B.P. 40181, 95691 Goussainville cedex, tél : 01.30.11.10.21, fax : 01.30.18.09.72.
11) Date limite de réception des offres : le 19/08/2013 à 17 heures.
12) Date d’envoi à la publication : le 8/07/2013.

51AO2015738

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l’union130712a- Marne
Du whisky dans le moteur

En pleine nuit, vers 2 heures, les policiers ont intercepté un automobiliste qui roulait à tombeau ouvert rue du Docteur-Billard.

Non seulement il s’est rebellé, mais il a également refusé le dépistage d’alcoolémie alors qu’il se trouvait en état d’ivresse manifeste.

Après avoir cuvé ses libations, le chauffard âgé de 21 ans a reconnu avoir bu une demi-bouteille de whisky à lui tout seul avant de prendre le volant. Il a été remis en liberté avec une convocation à comparaître le 3 octobre devant le tribunal correctionnel.

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Union130711d- Marne
CHANGEMENT DE GERANT

Société : L’AS DES AFFAIRES.
Forme et capital : SARL au capital de 1.1500 €.
Siège : 16 avenue Bonaparte 51100 Reims
RCS : Reims 512.649.096
Suivant l’assemblée générale extraordinaire du 27 mai 2013, les associés ont pris note de la démission de son poste de gérant de M. Mostafa RAHIM, et nommé en remplacement Mme Nora RAHIM, demeurant 22, rue Camille Saint-Saens à Reims.
Les formalités seront effectuées au tribunal de commerce de Reims.

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Union130711c- Marne
Maternelle Dufy-Cavarrot : Première visite à l’école

Dans le cas où toute la famille part en vacances, l’aide de la Caf est accessible jusqu’à des ressources de 2 394 euros pour un couple avec deux enfants. Photo Hervé OUDIN
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« Tous les ans, l’équipe de l’école maternelle Dufy-Cavarrot à Croix-du-Sud invite les familles des nouveaux élèves inscrits, à venir la découvrir. Ces rencontres ont lieu sur plusieurs semaines », informe Pascale Donnio, la directrice. « Cette action est en prise directe avec le projet d’école et va dans le sens de la réforme de l’école (accueil des moins de 3 ans) ».

Cette année encore, les familles des nouveaux élèves ont été invitées à venir à la maternelle où les enfants ont participé à des ateliers de découverte de l’école. Elles ont été nombreuses à répondre à l’appel. Les séances se sont déroulées dans une joyeuse ambiance ; la salle de motricité a eu beaucoup de succès avec son équipement adapté aux petits. Chacun a pu faire connaissance avec les lieux et avec les personnes qui accueilleront les enfants à la rentrée : enseignantes de petite section et Atsem, avant une réunion d’information pour les parents dans le bâtiment Dufy.

 

 

 

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Union130711b- Marne
Coupe du monde de karaté et de kobudo. Trois Rémois en compétition au Japon cet été

Les trois champions qui vont faire le déplacement à Okinawa (de gauche à droite) : Patrice Doucet, Louis Dupont et Théodore Lê.
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Le club sportif « Karaté shorin et Kobudo d’Okinawa » de l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (ACRAP) peut s’enorgueillir de la présence de trois sportifs de très haut niveau, Patrice Doucet, Louis Dupont et Théodore Lê. Tous trois présentent en effet une carte de visite impressionnante (lire par ailleurs). Leur club reçoit les enfants le samedi après-midi de 13 h 30 à 18 heures en karaté, selon le niveau, et les adultes de 20 à 22 heures le mercredi (karaté) et le lundi (kobudo). Il est affilié à Oshu kaï France (World Oshukaï Fédération) en Okinawa karaté Soorin Ryan et en Okinawa Kobudo.

Sélectionnés parmi l’élite mondiale

C’est à ce niveau de reconnaissance internationale que ces trois sportifs ont été sélectionnés pour participer à la Coupe internationale d’Okinawa 2013 qui se tiendra en août prochain au Japon.

Ce genre d’invitation se mérite : la direction technique d’Oshukaï France a évalué « la constance, l’assiduité et la rigueur dans l’entraînement de ces athlètes » avant de les sélectionner parmi l’élite mondiale. Patrice Doucet est inscrit en catégorie Vétérans, pour les épreuves kata en karaté et en kobudo ; Louis Dupont est inscrit en catégorie Vétérans, pour les épreuves kata en karaté et Téodore Lê est inscrit en catégorie Sénior, pour les épreuves kata en karaté et en kobudo.

La participation à cette 4ème Coupe du monde implique, pour les compétiteurs, un grand investissement financier. Or « Notre club et l’association ACRAP fonctionnent sur le principe du bénévolat et le budget prévisionnel dépasse pour chacun 11.000 euros ! » Ils lancent donc un appel à sponsors en complément des subventions municipale, départementale et régionale.

Des palmarès impressionnants

Patrice Doucet

Ceinture Noire, 4ème dan (shihan) en karaté et 2ème dan (sho shikaku) en kobudo ; 2 sélections en Coupe du monde (Japon, Paris), 1er en Coupe de France de karaté en 1998, en 1999 et en 2013 ; 1er en Coupe de France de kobudo en 2013.

Louis Dupont

Instructeur fédéral diplômé en karaté ; professeur de karaté à la Maison de quartier des Châtillons, Ceinture noire 1er dan (yu shikaku) en karaté ; 3 sélections en Coupe du monde (Paris, Varsovie, Canada) ; 1er en Coupe de France de karaté Ufolep 96 (Reims) ; 3ème en Coupe du monde de karaté (Varsovie).

Théodore Lê

Professeur diplômé d’état en karaté et en kobudo à l’ACRAP ; Ceinture noire 5ème dan (jun renshi) en karaté et 4ème dan (shihan) en kobudo ; 5 fois vainqueur en Coupe de France de karaté shorin-ryu de 2000 à 2005 ; 2 fois vainqueur en Coupe d’Europe de kobudo en 2002 et en 2004 ; Médaille d’or en Coupe du monde de karaté en 2009 (Canada) ; Médaille d’or en Coupe du monde de kobudo en 2009 (Canada).

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Union130711a- Marne
Des aides pour partir : Coup de pouce pour les budgets vacances

Dans le cas où toute la famille part en vacances, l’aide de la Caf est accessible jusqu’à des ressources de 2 394 euros pour un couple avec deux enfants. Photo Hervé OUDIN
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Les budgets serrés peuvent bénéficier d’aides pour payer les vacances. De la part de la Caf et du CCAS notamment.

VOUS trouvez que ça coûte (trop) cher les vacances ? Certes, mais des aides existent. A la Caf (Caisse des allocations familiales) notamment. Ainsi qu’au CCAS (Centre communal d’action sociale, lire par ailleurs). « Cette aide au temps libre, comme nous l’appelons, est le principal poste budgétaire de nos dépenses d’action sociale sur fonds propres », indique même le responsable du département de l’action sociale M. Morel. Elle représentait une somme de 5,6 millions en 2012.

Pour qui ?

Tout le monde ne peut prétendre aux aides de la Caf : seuls les revenus les plus modestes sont concernés, selon des barèmes précis, tenant compte des ressources des familles et de leur taille. A priori, chaque bénéficiaire potentiel de ces aides est avisé par courrier en février.

Dans le doute, voici deux exemples de limites à ne pas dépasser si l’on veut un coup de pouce pour payer une colonie- camp à un enfant : pour un couple avec deux enfants, les ressources (salaires et prestations familiales incluses) ne doivent pas être supérieures à 1938 euros par mois. Pour un couple avec quatre enfants, la barre passe à 2 907 euros.

Combien ?

Toujours dans le cas de colonie- camp de vacances pour les enfants (bénéficiant d’un agrément reconnu par la Caf), l’aide se monte à 18,15 euros par jour par enfant, à concurrence de 21 jours, pour le quotient familial le plus bas ; dans le cas du quotient le plus élevé (donc les familles aux ressources proportionnellement les plus fortes), ce chiffre se limite à 11,60 euros.

Vacances en famille

Dans le cas où toute la famille part en vacances ensemble, en villages de vacances ou campings agréés (labellisés Vacaf), les choses sont différentes : l’aide se monte à 30, 50 ou 75 % du coût du séjour, selon les ressources, et au maximum à 600 euros. Et cette aide est accessible à des revenus plus élevés que dans le cas de l’aide individuelle aux vacances des enfants : peuvent y prétendre par exemple des couples avec deux enfants affichant jusqu’à 2 394 euros de ressources mensuelles, ou encore des couples avec quatre enfants jusqu’à 3 591 euros.

En tout dans la Marne, elles sont quelque 24 900 familles concernées (dont 45 % dans la seule ville de Reims).

Accès aux loisirs Diversifiés

Selon les mêmes conditions d’attribution que les aides aux familles, les enfants âgés de 6 à 20 ans peuvent bénéficier d’une aide « passeports loisirs » destinée au financement d’activités annuelles à caractère sportif, culturel ou ludique. Elle peut aussi permettre de financer l’inscription aux animations « Reims Vital Eté » ou des stages sportifs pendant les vacances scolaires.

Cas particuliers

Les dispositifs précédents s’adressent à des familles aux budgets limités mais qui ne sont pas hostiles à l’idée même de partir en vacances. La Caf dispose d’autres aides encore à destination plus particulière des familles qui, psychologiquement, ont du mal à partir : des aides au premier départ, des aides aux loisirs familiaux de proximité.

On peut se renseigner à ce sujet en appelant le 0815 25 51 10 (service action sociale).

A.P.

Au centre communal d’action sociale aussi

Par le biais du CCAS aussi, on peut se faire aider pour payer ses vacances. Le CCAS, rappelons-le, c’est le centre communal d’action sociale. « Nous pouvons aider pour des séjours vacances, indique ainsi M.Es-Saïdi, un de ses agents, sous conditions de ressources. » Ces conditions sont fonction du « reste à vivre » des foyers, c’est-à-dire des ressources dont ils disposent, moins toutes les charges de logement, les éventuelles pensions alimentaires, et les apurements à effectuer en cas de surendettement. « Par exemple pour une personne seule, ce reste à vivre ne doit pas dépasser 400 euros par mois, pour un couple 600 euros, pour un couple avec deux enfants 900 euros, pour un couple avec quatre enfants 1 200 euros (on compte 150 euros par enfant) ».

Sous ce seuil de ressources, le foyer reçoit une carte de bénéficiaire du CCAS, et cette carte donne à son tour droit aux aides aux vacances. « Voilà comment fonctionnent ces aides aux séjours vacances, poursuit notre interlocuteur. Le séjour coûte tant (imaginons 500 euros). Nous déduisons de ce coût les bons Caf (Caisse d’allocations familiales, voir cidessus), disons 200 euros. Du montant restant, 300 euros, nous laissons au moins 10 % de participation à la charge de la famille, soit 30 euros, il reste donc 270 euros à financer. Nous, nous aidons dans la limite de 100 euros par personne. Donc si la famille n’a pas d’enfant, nous ne pourrons pas aller au-delà de 200 euros, il restera donc 70 euros à payer par la famille. En revanche, si c’est une famille avec trois enfants, la totalité des 270 euros seront couverts par notre aide. »

D’autres soutiens dans des quartiers ciblés

A toutes celles déjà citées pour les vacances des familles financièrement « justes » s’ajoutent des aides au départ des enfants en colonie de vacances, dans le cadre du Dred (Dispositif réussite éducation). Leur attribution est très souple (pas de conditions de ressources), en revanche, le public destinataire est très ciblé : ne peuvent en profiter que des enfants déjà identifiés dans le cadre du dispositif, et qui doivent du coup être ou bien scolarisés, ou bien domiciliés dans un des quartiers labellisés Cucs (Contrat urbain de cohésion sociale), soit à Reims : Croix-Rouge, Wilson, Orgeval, Châtillons, Epinettes. Ils sont une grosse centaine chaque année à en profiter.

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Union130710b- Marne
Les horaires et tarifs des piscines

Nautilud : ouvert de 10h à 18h45 du mardi au vendredi, de 9h à 18h45 le week-end et de 14h à 18h45 le lundi.

Orgeval :

ouvert de 15h à 17h45 sauf le weekend (fermée à partir du 3 août).

Thiolettes : ouvert de 9 h à 18h45 du dimanche au mercredi, de 8h à 21h30 le jeudi, de 9h à 18h45 le vendredi et de 11h à 18h45.

Talleyrand : ouvert de 8h à 13h45 le lundi, de 8h à 11h45 mardi et samedi, de 18h15 à 21h30 le mercredi, de 9h à 11h45 le jeudi, de 10h à 18h45 le vendredi (fermée le dimanche et à partir du 4 août).

Château d’eau : ouvert le lundi de 10h15 à 11h45 et de 14h à 17h45 ; le mardi de 9h30 à 11h45, de 14h à 17h45 et de 19h à 21h30 ; le mercredi, jeudi et vendredi de 9h30 à 11h45 et de 14h à 17h45 ; le samedi de 8h à 11h45.

Le tarif, pour toutes les piscines, est de 3,80 euros ou 14 euros par carnet de 5 entrées, et de 3,20 euros ou 12 euros par carnet de 5 entrées en tarif réduit (moins de 18 ans et étudiants).

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Union130710a- Marne
TENNIS : Géo-André rafle tout dans les Ardennes

Les Ardennais de Géo-André – Laëtitia Tordo (2/6) et Quentin Munier (2/6) – ont fait main basse sur les tournois organisés dans le 08 : elle à l’ASPTT Charleville et Sedan et lui à l’ASPTT Charleville.

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Union130709d- Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Affaire : Réhabilitation Hall d’Entrée et Paliers – Quartier Croix du Sud à REIMS (51) / Réf. : MA - 030313

Attributaires

N° LOT LIBELLE DU LOT ENTREPRISES MONTANT € HT

1 Plâtrerie / Menuiseries Intérieures / Chauffage (3 bâtiments R+4 et 3 bâtiments R+7)
COPIN (08) 104924,85 € HT

1 Plâtrerie / Menuiseries Intérieures / Chauffage (3 bâtiments R+10 et 3 bâtiments R+7)
AGNESINA (51) 149812,89 € HT

2 Electricité _ S4C (51) 121 025.40 € HT 3 Carrelage / Peinture _ DSL (51) 214 845.92 € HT

Montant total du marché : 590609,06 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 Date d’envoi du présent avis à la publication : le mercredi 3 juillet 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne et Ardennes) et le Matot Braine.

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Union130709c- Marne
5 500 livres offerts à de jeunes lecteurs

Un dessin (ici, l’arbre à souhaits) contre un livre à conserver précieusement
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L’Association « Lire et Faire Lire dans la Marne » a, de nouveau, exposé de nombreux dessins et œuvres collectives d’enfants à l’espace Billard.

Cette année, le thème était « Lire, c’est grandir » et, dans la Marne, 5 500 participants l’ont illustré après avoir entendu des lectures choisies par la lectrice bénévole de leur école.

En récompense, chacun de ces enfants a reçu un livre. « Sur les 484 écoles du département beaucoup n’ont pas encore de lecteurs ou lectrices bénévoles » regrette Claire Métréau, administratrice : « nous lançons donc un appel à bénévoles. »

S’adresser au siège de l’association (23, rue Alphonse-Daudet - BP 2187 - 51100 Reims. Tél. 03.26.84.36

 

 

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Union130709b- Marne
L’été s’affiche à Croix-Rouge

Voici le programme de la deuxième semaine de l’opération L’été s’affiche à Croix- Rouge.

Animations permanentes.

Pour la famille et la petite enfance, des jeux d’éveil pour bébés, des jeux de motricité, un conte pour enfants. Pour les 6-12 ans, des ateliers créatifs et des jeux de société. Pour les 12-15 ans, ping-pong, babyfoot, Tchoukball.

Pour tous, un atelier rédaction de journal (reportage photos et écriture d’articles), un espace détente et une buvette. Le bibliobus de la médiathèque Croix-Rouge propose des ateliers de lecture.

Activités particulières.

Lundi 15, tir à l’arc. Mardi 16, surf (structure gonflable). Mercredi 17, grand jeu intergénérationnel (concours pour tous les âges).

Jeudi 18, Ejector (structure gonflable). Vendredi 19, scratch (structure gonflable).

Samedi 20, atelier d’initiation et de découverte musicale (musique funk et soul avec Duo Alabi et jazz rock avec Moriss.

Rendez-vous au complexe sportif Géo-André, avenue François- Mauriac, de 15 à 20 heures.

Accès gratuit. Bus 10, station CREPS.

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Union130709a- Marne
Recherche animatrice

L’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap) recherche, pour sa section gymnastique d’entretien, une animatrice pouvant assurer ses cours le lundi de 18 h 30 à 19 h 30, pour la saison 2013-2014 (de septembre à juin).

Renseignements à l’Acrap au 03.26.06.39.54. ou sur place au 11, avenue du Président- Kennedy (entrée par l’impasse Schuman). Tramway, station Kennedy.

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Union130708e- Marne
Collège Georges Braque : Une fin d’année très active

Les 6e et de 4e ont été sensibilisés au respect de leur environnement et de leur cadre de vie. La Police nationale est intervenue avec le major Pous, chef du poste de police de Croix-Rouge.
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Tous les ans, les organismes logeurs Reims habitat et Effort rémois, associés à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge et au service départemental de prévention, interviennent auprès des élèves du collège Georges Braque.

Auprès des classes de 6e et de 4e, l’objectif est de sensibiliser les jeunes au respect de leur environnement et de leur cadre de vie. Avec les 4e, « nous sommes partis du collège pour effectuer un parcours avec différentes étapes thématiques sur le quartier Hauts-de-Murigny/Croix-du-Sud », explique Alban Strozykowski, chargé de développement social au sein de Reims habitat.

Un volet est consacré à l’intervention de la Police nationale. Le major Christian Pous, chef du poste de police de Croix-Rouge et référent avec l’éducation nationale pour le quartier Croix-Rouge, échange avec les élèves et répond à leurs questions.

À l’issue de son intervention, le principal Olivier Leloux a remis des prix aux auteurs des meilleurs questionnaires qui ont été retournés (trois élèves par classe ont été récompensés).

Par ailleurs, une demi-journée « Réseau de réussite scolaire Georges Braque » a été ouverte aux familles de l’établissement, pour présenter le travail accompli en classe tout au long de l’année.

Enfin, un moment de convivialité a été réservé autour d’une œuvre d’art éphémère réalisée par les élèves de 3e, sous la conduite de Sophie Hasslauer, leur professeur d’arts plastiques, sur la place Maurice-Utrillo, au pied de la résidence de personnes âgées de l’ARFO. Les élèves ont réalisé sur la partie arrière, entourée des entrées 9 à 17, et 14 à 22, une représentation de la célèbre Colombe de George Braque, artiste peintre que les élèves connaissent bien.

 

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Union130708d- Marne
Au parc Saint-John-Perse mardi 9 juillet : Une soirée dédiée au cinéma

Parmi les animations, la projection du film « Le bal des vampires ».
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L’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge propose une grande animation nocturne gratuite au parc Saint-John-Perse, le mardi 9 juillet.

Dès 20 heures, pique-nique convivial (tables et bancs seront mis à disposition du public). Jusqu’à 22 heures, « Explora-cinéma », des jeux pour apprendre le cinéma, son histoire et ses techniques : « Venez jouer, dessiner et emportez chez vous des illusions optiques. » À 21 heures, l’Harmonie municipale de Reims donnera un concert : des musiques de films (Titanic, et.), Thriller (Michael Jackson), Raider’s March de John Williams, etc.

À 22 heures, un ciné-quizz permettra au public de gagner des places aux cinémas Opéra ou Gaumont.

Enfin, à 22 h 30, projection du film Le bal des vampires de Roman Polanski, avec le collectif « La pellicule ensorcelée », dans le cadre de l’opération Place(s) au cinéma (pour la projection, n’oubliez pas vos plaids, châles et petits pulls). Le bal des vampires (ou The fearless vampire killers) est un long-métrage américain de 1967, avec Roman Polanski, Jack Mc Gowran, Sharon Tate, Alfie Bass : dans un sinistre château de Transylvanie, un vieux savant et son aide pourchassent une curieuse espèce de vampires (film diffusé en français).

Renseignements auprès de Raymond Guignard, directeur de l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger), tél. 03.26.08.08.78.

 

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Union130708c- Marne
Animations permanentes à Croix-Rouge

Pour la famille et la petite enfance, des jeux d’éveil pour bébés, des jeux de motricité, un conte pour enfants. Pour les 6-12 ans, des ateliers créatifs et des jeux de société. Pour les 12-15 ans, ping-pong, baby-foot, Tchoukball. Pour tous, un atelier rédaction de journal (reportage photos et écriture d’articles), un espace détente et une buvette. Le bibliobus de la médiathèque Croix-Rouge propose des ateliers de lecture.

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Union130708b- Marne
Activités particulières

Lundi 15, tir à l’arc. Mardi 16, surf (structure gonflable). Mercredi 17, grand jeu intergénérationnel (concours pour tous les âges). Jeudi 18, Ejector (structure gonflable). Vendredi 19, scratch (structure gonflable). Samedi 20, atelier d’initiation et de découverte musicale (musique funk et soul avec Duo Alabi et jazz rock avec Moriss.

Rendez-vous au complexe sportif Géo-André, avenue François-Mauriac, de 15 à 20 heures. Accès gratuit. Bus 10, station Creps.

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Union130708a- Marne
GÉO-ANDRÉ : Renversant Pilliet !

Mal parti, Benjamin Pilliet est venu à bout de Sébastien Jolly. Hervé OUDIN
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Trois heures quarante-cinq de match ! La finale masculine du vingt-quatrième open de Géo-André à tenu, hier, toutes ses promesses entre deux des favoris à 0, Sébastien Jolly (Cormontreuil) et Benjamin Pilliet (Coupvray Val d’Europe). Baigné par le soleil, cette rencontre voyait la figure emblématique du CTC et son ancien élève se rendre coup pour coup.

Jolly menait 5-3 dans le dernier set mais Pillier, rageur, ne lâchait strictement rien pour inverser la tendance en alignant quatre jeux d’affilée !

« J’ai le vent dans le dos, le service et je n’arrive pas à conclure. Je suis furieux », lâchait le tenant du titre.

De son côté, Benjamin Pilliet ne cachait pas sa joie d’avoir battu pour la toute première fois son ex-coach : « Ça a été un match super-serré, comme souvent contre lui, et, pour une fois, j’en sors vainqueur. J’ai osé prendre ma chance et ça a payé. »

Chez les dames, l’Australienne du Reims Europe Club, Chantelle Rigozzi, a logiquement disposé de Fanny Jarles (Saint-Dizier) 6-4, 6-1.

DAMES.

Demi-finales : Fanny Jarles (4/6, Saint-Dizier) bat Lisa-Marie Habert (5/6, Géo- André) (6-2,6-4) ; Chantelle Rigozzi (0, Reims Europe Club) bat Clémence Krug (3/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-1.

Finale : Rigozzi bat Jarles 6-4, 6-1.

MESSIEURS.

Demi-finales : Pilliet (0, Coupvray Val d’Europe) bat Leveque (0, Guignicourt) 3-6, 6-1, 6-2 ; Jolly (0, Cormontreuil) bat Pacanowski (4/6 Géo-André) 6-3, 7-5.

Finale : Pilliet bat Jolly 6-7,6-2,7-5.

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Union130707a- Marne
Honneur aux sportifs

Champions de France UNSS !
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L’académie compte plusieurs équipes UNSS championnes de France :

en course d’orientation, le collège la Source de RiIIy-Ia-Montagne (Marne) ;
en triathlon, le lycée Arago de Reims ;
en boxe assaut, le lycée Talon de Châlons-en-Champagne,
et en tir sportif le lycée Herriot de Sainte-Savine (Aube) et le collège Mouzon de Raucourt (Ardennes).

Ces équipes étaient elles aussi invitées au rectorat pour la cérémonie de félicitations d’hier.

 

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Union130706e- Marne
L’incendiaire relogé en prison

REIMS (51). Le relogement du locataire qui a mis le feu à son appartement de la rue Pierre-Taittinger le 27 juin ne s’impose plus pour Reims Habitat.

Récupéré par les policiers à sa sortie d’hôpital, l’homme a pris pension derrière les hauts murs de la maison d’arrêt pour une durée d’un an. Sans profession, Ali Guedjali habitait seul au quatrième étage d’une grande barre de la rue Pierre-Taittinger, au quartier Croix-Rouge.

Dans la soirée du 27 juin, vers 22 heures, il a incendié un tapis avec son briquet, pour se suicider a-t-il expliqué, avant de changer d’avis quand les flammes ont commencé à ravager l’appartement. Il a tenté de les éteindre, s’occasionnant des brûlures aux jambes et à un bras. Réfugié sur le balcon, à une douzaine de mètres du sol, l’homme fut évacué par la grande échelle des pompiers pendant qu’un mouvement de panique agitait l’immeuble (les fumées sont montées jusqu’au douzième et dernier étage).

Plus de quarante appels étaient parvenus en quelques minutes au centre opérationnel « 18 » qui dépêcha sur place sept véhicules et près de 25 pompiers.

Déjà condamné pour des faits de destruction par incendie du temps où il résidait dans le Nord, le locataire n’a pas échappé à la peine plancher lors de son jugement en comparution immédiate : quatre ans d’emprisonnement, dont douze mois ferme avec maintien en détention. Il était complètement saoul au moment d’actionner son briquet : 3,22 grammes d’alcool par litre de sang…

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Union130706d- Marne
« Lycée d’accès vers le haut niveau sportif » : Le recteur de l’académie en visite à Arago

Le recteur de l’académie rémoise a effectué le déplacement pour échanger avec les acteurs du dispositif.
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Florian Allignon a intégré le dispositif dès sa création il y a deux ans.
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Philippe-Pierre Cabourdin a signé jeudi le cahier des charges pour l’accès du lycée Arago à son nouveau statut.

L’EXPÉRIENCE avait commencée il y a maintenant deux ans au lycée Arago. Il s’agissait de favoriser la scolarisation des jeunes sportifs rémois proches du hat niveau au sein d’un parcours spécifique, impliquant notamment des horaires aménagés pour les élèves afin de permettre un entraînement à la fois intensif et régulier.

Le futur « lycée d’accès vers le haut niveau sportif » aura pour élèves les Marnais ne faisant pas partie des listes de haut niveau ou des pôles du Centre de ressources, d’expertise et de performances sportives (Creps), mais ayant un niveau régional ou inscrits dans les parcours d’excellence sportive.

Le recteur de l’académie de Reims, Philippe-Pierre Cabourdin, a effectué le déplacement en personne afin de pouvoir rencontrer les acteurs du dispositif et échanger avec eux. Il a ainsi participé à une table ronde réunissant entre autre les professeurs de la section ainsi que le proviseur du lycée M. Tschens.

Ce dernier a évoqué les difficultés rencontrées en début de parcours, qui n’ont cependant pas empêché le projet d’être un succès, assurant la réussite sportive comme scolaire, cette dernière restant la première des prioritésd’après le proviseur.

Un cahier des charges

Ce jeudi 4 juillet a donc vu la concrétisation de cette filière adaptée aux sportifs de haut niveau, avec la signature du cahier des charges lié au nouveau label de l’établissement. Cette signature n’est cependant pas le seul résultat de ces deux années, puisque les résultats sportifs ont également été au rendez-vous. Ainsi, Florian Allignon, 17 ans, a intégré le dispositif dès sa création il y a deux ans. Il a pu, grâce notamment aux horaires aménagés qui lui permirent de s’entraîner jusqu’à six fois aux cours des deux années passées, ramener un titre de vice-champion des interrégions nord en 3000m steeple chez les juniors il y a quelques semaines à Saint-Quentin.

Sylvain MIONNET

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Union130706c- Marne
La friteuse du kebab s’enflamme

Hier vers 18 heures, une friteuse a pris feu dans l’arrière-salle d’un kebab de l’avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Une importante fumée s’est dégagée mais le commerçant muni d’un extincteur a pu noyer l’incendie avant l’arrivée des pompiers.

Légèrement incommodé, il a été transporté au CHU. Les dégâts à l’intérieur du kebab restent à évaluer.

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Union130706b- Marne
Jardin familiaux

Demain à 9 h 30 que le jury chargé de la notation des jardins familiaux de Pays-de-France passera pour une appréciation individuelle en vue du concours de la plus belle parcelle.

Les jurés pourront apprécier la valeur des potagers, mais aussi les qualités florales des 68 jardiniers en compétition.

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Union130706a- Marne
TENNIS OPEN DE REIMS GÉO-ANDRÉ : Entre connaissances

Sébastien Jolly en piste pour un doublé ? Archives François NASCIMBENI
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Réputé pour être l’un des plus importants tournois régionaux, l’Open de Reims Géo-André n’a pas dérogé à la règle pour sa 24e édition avec 239 adultes et 137 jeunes inscrits. Des effectifs en légère hausse qui devraient accoucher, ce week-end, de tableaux finaux de très bonne qualité.

A commencer par celui des messieurs où la victoire devrait se jouer à 0 entre vieilles connaissances, à savoir le tenant du titre Sébastien Jolly (Cormontreuil) et les anciens du CTC Vincent Leveque (Gui-gnicourt) et Benjamin Pilliet (Val d’Europe).

Ces trois-là ayant été négatifs, on voit mal le trio de 2/6 formé de Charles Gilles (TC Reims), Nicolas Biraut (Reims Europe Club) et Julien Evrard (URT) bousculer la hiérarchie.

En +35 ans, le titre devrait, en toute logique, se disputer entre Alban Lalouette (4/6, Cormontreuil) et Laurent Cailleux (15, TC Reims) puisque la concurrence pointe ensuite… à 15/4 alors qu’en +45 ans, Philippe Genty (15/4, Bétheny) sera favori devant Philippe Liegeois (Villers Marmery).

Enfin, du côté des dames, l’Australienne du Reims Europe Club, Chantelle Rigozzi (0), bénéficiera de la faveur des pronostics face à Perrine Gosse (2/6, Soissons) et les 2/6 Maëva Spooner (Géo-André), Clémence Krug (Reims Europe Club) et Amélie Zarev (Cormontreuil).

Horaires.- Dimanche, 9 heures : demi-finales messieurs et dames ; 10h30 : demi-finales +35 et +45 ans ; 15 heures : toutes les finales.

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Union130704c- Marne
Sport, loisirs et culture Croix-Rouge va afficher sa joie de vivre en juillet

« L’été s’affiche à Croix-Rouge », ce sera un espace de découverte, de loisirs, de détente et d’ouverture culturelle en direction des habitants du quartier Croix-Rouge.
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Du 8 au 26 juillet, du lundi au samedi de 15 à 20 heures, toute la population du quartier sera accueillie et se verra proposer des animations gratuites : activités sportives, ateliers menés par des artistes, attractions ludiques, ateliers cirque, musique, espace détente, explique Slimane Hamdi, l’un des coordinateurs du projet.

L’attention du public est attirée sur le nouveau lieu de l’animation : cette année, « l’été s’affiche à Croix-Rouge » quitte l’hippodrome de Reims-Champagne pour se dérouler sur le complexe sportif Géo-André, avenue François-Mauriac (accès gratuit. Tramway, station Kennedy).

Pour cette quatrième édition, ce projet qui rencontre un succès grandissant d’année en année (6 874 entrées en 2012), fait partie intégrante de l’opération initiée par la ville de Reims « Un été dans la ville ».

En plus des équipes professionnelles des deux espaces de la Maison de quartier Croix-Rouge (Watteau/Pays de France et Billard/la Nacelle), les associations du quartier contribuent largement à l’animation par leur implication bénévole dans l’organisation quotidienne du site.

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Union130704b- Marne
Sortie en familles à Géo-André

Alexandra Babin, animatrice « référent Familles » aux espaces Pays-de- France et Watteau, organise une sortie en familles sur le site de « L’été s’affiche à Croix-Rouge », le mardi 9 juillet, au complexe sportif Géo- André, avenue François-Mauriac, avec un repas partagé avec toutes les familles.

Rendez-vous à 11 h 30 sur place. Activités libres l’après-midi.

Réservation auprès de l’animatrice familles à l’espace Pays-de-France ou à l’espace Watteau.

En guise de participation, chaque famille apportera un plat sucré ou salé qui sera consommé en commun.

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Union130704a- Marne
Hip-Hop et cultures urbaines à Croix-Rouge

Franck Simon, animateur du Point Cyb Croix-Rouge à l’espace La Nacelle, annonce un temps festif Hip-Hop / Cultures urbaines ouvert à tous, samedi 6 juillet, de 18 à 23 heures, avec l’association Puzz’’ll (issue du groupe Black Industrie).

Au programme, du graff, du slam, du rap, des projections vidéo et de la danse.

Rendez-vous à l’espace la Nacelle, 3 rue du Docteur- Billard. Entrée libre.

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Union130704c- Marne
Théâtre : Des collégiens de Georges-Braque comédiens

La pièce de théâtre des collégiens est un projet commun avec la compagnie « Un lys entre les épines ».
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Les jeunes artistes viennent tous d’une classe de 4e du collège Georges-Braque.

Ils répètent leur spectacle « Le travail c’est la santé », qu’ils vont jouer au Ludoval.

« Cela fait deux ans que je m’appuie, pour ce travail, sur l’aide de Mathieu Routier, de la Compagnie Un Lys entre les épines », explique Ludovic Mercier, enseignant de français. Le projet a reçu le soutien financier du Réseau de réussite scolaire. Ludovic Mercier mène un double objectif : faire découvrir le théâtre aux élèves, en les emmenant voir des pièces, comme le Misanthrope, et les faire participer, par le biais d’un atelier théâtre.

Classe théâtre

Un projet qui va peut-être évoluer en fonction du succès : « Nous envisageons de le transformer en classe théâtre. De la 6e à la 3e, les élèves s’engagent à étudier et jouer différents spectacles. Au-delà de la sensibilisation, ce sera un véritable apprentissage. »

Le spectacle est composé de courtes pièces. Regroupées sous un titre commun, « Le travail c’est la santé », elles remettent justement en cause cette phrase-là ! « On dénonce l’exploitation. C’est un spectacle qui bouge énormément. Les jeunes acteurs remettent euxmêmes en place les décors », précise Mathieu Routier qui encadre le projet et est accueilli depuis deux ans au Ludoval pour travailler ses spectacles. « C’est intéressant ! On apprend à parler devant plein de monde, à occuper la scène », confie Gwendoline, l’une des jeunes comédiennes.

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Union130704b- Marne
Au moins 420 élèves de plus à la rentrée : Le regain des inscriptions scolaires se confirme

A la prochaine rentrée, Reims devrait accueillir autour de 420 écoliers supplémentaires. Photo d’archives
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L’école Hippodrome : déjà saturée alors que les inscriptions ne sont pas closes. Photo Christian LANTENOIS
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Pour la deuxième année consécutive, les inscriptions dans les écoles (publiques) rémoises augmentent sensiblement.

SI l’on juge la vitalité d’une ville à la courbe de ses inscriptions scolaires, Reims est plutôt en forme. Ou plutôt retrouve la forme. Pour la deuxième année consécutive en effet, le nombre des demandes pour scolariser des enfants en primaire (dans le public) connaît une hausse sensible. « À la même époque de l’année en 2012, nous avions 14 153 inscriptions, détaille l’adjoint au maire concerné Jacques Meyer, nous en sommes aujourd’hui (3 juillet) à 14 575 : cela fait 422 enfants de plus, soit de l’ordre de 3 % d’augmentation, c’est quasiment le même pourcentage que l’an dernier. Ce qui veut dire qu’en deux ans, nous avons regagné 800 enfants ! »

Une preuve d’attractivité

Voilà qui confirme un regain après une phase de déclin assez longue au début du siècle, jusqu’à 2009. « Au cours de cette période, la ville avait perdu 1 700 élèves », rappelle l’adjoint (lire aussi par ailleurs). Alors qu’est-ce qui peut expliquer cette inversion de tendance ? L’attractivité de Reims, avance M. Meyer. Pour lui, pas d’autre explication possible. Attractivité qui se traduit par l’arrivée de nouvelles familles avec des enfants en bas âge. Pas question en effet d’expliquer l’accroissement des inscriptions scolaires par des demandes émanant de communes périphériques par exemple : « Entre les Rémois qui s’inscrivent à l’extérieur et les enfants de l’extérieur qui s’inscrivent chez nous, les chiffres s’équilibrent », assure l’élu.

Classes presque Saturées

Ces quelque 420 écoliers supplémentaires entre 2012 et 2013 représentent l’équivalent de 12 ou 13 classes selon les estimations de l’adjoint. Pour autant, à la rentrée prochaine, l’Éducation Nationale n’en ouvrira que cinq de plus par rapport à l‘année précédente (huit vraies ouvertures moins trois vraies fermetures, lire par ailleurs). Ce qui veut dire que de nombreuses classes seront bien chargées, pour ne pas dire saturées : « À l’école Hippodrome par exemple, indique ainsi la directrice adjointe du service municipal éducation Mme Bouleau, j’ai une capacité d’accueil de 100 en maternelle, et nous avons à ce jour 101 inscrits ; en élémentaire, nous avons 150 inscrits pour une capacité de… 150. » Ce qui veut dire que si d’autres inscriptions se faisaient jour à l’approche de la rentrée, il faudrait probablement envisager de nouvelles ouvertures.

On notera aussi que ces élèves supplémentaires se répartissent de façon équilibrée à travers toute la commune : l’adjoint ne constate pas une demande plus forte pour tel ou tel quartier, ni le délaissement de certains autres. Et il n’y a pas forcément de lien entre chantiers de rénovation urbaine et accroissement des effectifs scolaires : « Ainsi, a contrario, Danube, un secteur qui n’a pas vu de nouvelles constructions ni de rénovations, se montre très attractif depuis deux ou trois ans : toutes les écoles y sont remplies ! » Et l’adjoint n’a pas d’explication particulière à cette situation (un bon rapport qualité de vie/prix peut-être ?). Mais qu’importe, si c’est un signe de vitalité…

Antoine PARDESSUS

Ouvertures et fermetures

La carte scolaire 2013 de Reims fera apparaître huit nouvelles classes, réparties dans les écoles (publiques) suivantes : deux à Pommery (élémentaire) ; une à Europe-Adriatique (élémentaire), à Charles-Péguy (maternelle), à SNCF/Alfred- Gérard (élémentaire), à Zola (élémentaire), Ravel (maternelle), Mougne-Tixier (maternelle).

Disparaissent en revanche trois classes : une à Avranches (maternelle) une autre à Provençaux (maternelle), et une à Mazarin (élémentaire).

Dans le privé : au moins la stabilité

Si les écoles communales rémoises voient leurs effectifs augmenter, cela se fait-il au détriment de l’enseignement privé ? Non. Pour ce qui est des écoles privées sous contrat de l’enseignement catholique, la tendance pour la rentrée prochaine n’est pas à la baisse : « Les choses sont tellement fluctuantes que nous n’avons pour le moment que des grandes tendances, dit le directeur diocésain Olivier Fetet, mais dans le premier degré, nous constatons au moins la stabilité de nos effectifs, et nous aurons probablement en fin de compte une légère hausse. » Dans le privé : au moins la stabilité

La courbe remonte

À la rentrée 2001, on totalisait 15 710 écoliers du primaire dans le public à Reims (dont plus de 9 000 en élémentaire, les 6 500 autres en maternelle). Ce chiffre n’avait cessé de baisser, sans discontinuer, jusqu’en 2009, où l’on était tombé à moins de 14 000 (13 988).

En 2010, on avait enregistré une inversion de la courbe, ténue, mais réelle (+0,43 %), confirmée l’année suivante (+0,11 %), accentuée en 2012 (2,97 %). La rentrée 2013 devrait poursuivre cette remontée.

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Union130704a- Marne
Assemblée générale de la CCI : A propos du futur grand campus

Lors de la dernière assemblée générale de la CCI de Reims, le président de l’université, Gilles Baillat, est venu présenter le projet de grand campus Croix- Rouge.

Dans le compte-rendu qu’elle en a fait (lundi 1er juillet) notre journaliste a fait état d’un « dialogue de sourds » entre les membres de la CCI et le président de l’université, ce dernier n’ayant pas clairement répondu à certaines questions. Le président de la CCI, Jean-Paul Pageau, nous fait savoir que, selon lui, l’AG de la CCI s’est déroulée dans un climat positif et riche en échanges. Et il assure, au nom de la CCI, « son entier soutien à la démarche engagée par le président Gilles Baillat en faveur du projet de grand campus ». Dont acte, notre journaliste n’a pas dit le contraire.

Par ailleurs, le président de l’université Gilles Baillat, dans une demande de « droit de réponse », estime lui aussi que « cette réunion au demeurant très cordiale » était « très éloignée du dialogue de sourds que nous avons décrit, et que « les nombreuses questions posées traduisent tout particulièrement l’intérêt et l’enthousiasme des participants et de la CCI pour ce projet qui apparaît comme essentiel pour le développement régional ».

Le président Baillat ajoute qu’il « a rappelé que le but de l’université est de faire du campus unique un campus moderne, attractif et parfaitement adapté aux besoins des étudiant(e)s (notamment sur les inquiétudes relatives aux terrains de sports) tout en reconnaissant que les surfaces occupées seront plus restreintes qu’aujourd’hui ».

Il précise qu’il n’a pas souhaité se prononcer sur l’avenir de RMS parce que le destin de cette institution appartient au futur ensemble RMS-RBS. Enfin, sur la question des logements étudiants, le président Baillat affirme avoir « précisé que deux nouvelles résidences viendront s’ajouter aux structures déjà existantes sur Croix-Rouge… »

Une fois ces précisions apportées, notre journaliste maintient qu’à certaines questions essentielles posées par des membres de la CCI, le président de l’Urca n’avait pas apporté de réponse claire, ces questions tournant essentiellement autour du montant de l’investissement (350 millions d’euros) rapporté à un projet bien loin de ce que peut être un « campus à l’américaine ».

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 130703d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7505 du 01 au 07 juillet 2013.

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MODIFICATION DE STATUTS

Aux termes d’une délibération de la Société à responsabilité limitée PRO CLEAN POWER, au capital de 2.000 €, siège social : 43 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS, R.C.S. REIMS 510 274 ,830 00023, en date du 15 juin 2013, l’AGE a décidé de l’augmentation du capital social pour passer de à 40.000 € et de modifier l’article 7 des statuts. Mention sera faite au R.C.S. de REIMS.

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MODIFICATION DE STATUTS

SOMAER
SARL au capital de 220.000 €uros
Siège social : 17 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS
R.C.S. Reims 448 919 985
Suivant pv AGE du 12/01/13, la SARL SOMAER, durée 99 ans accepte le transfert du siège social du 17 rue Pierre Taittinger à REIMS 51100, au 17 rue Guy Moquet - 75017 PARIS.
Radiation du R.C.S. de REIMS et Immatriculation au R.C.S. de PARIS.

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CONSTITUTION DE SOCIETE - AVIS DE CONSTITUTION

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :
DENOMINATION : PRO POSES.
FORME : Société à responsabilité limitée.
SIEGE SOCIAL : 60 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.
OBJET : La pose de tous types de menuiseries, extérieure, intérieure et vérandas.
DUREE : 99 ans. CAPITAL : 1.000 €.
GERANCE : Monsieur Thierry DEFRANCE, demeurant 60 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS. IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

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Union130702c- Marne
Croix-Rouge Le public découvre son futur centre « structurant »

L’architecte Jean-Philippe Thomas (à droite) a présenté son projet.
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Dans le cadre du programme de rénovation urbaine « La ville change avec vous », le futur équipement public de Croix-Rouge de 1 600 m2 a été présenté au public.

« Le quartier manquait depuis longtemps d’un élément structurant », expliquait la maire de Reims, Adeline Hazan. « La vocation de ce lieu innovant pour l’ensemble des Rémois est de rassembler une scène culturelle, une salle de concert (100 places assises ou 300 personnes debout), avec quatre studios d’enregistrement et de répétition, principalement de musiques actuelles, dix salles et espaces de travail pour des rencontres et des activités socio-culturelles, un vaste hall d’accueil et d’exposition, un incubateur d’associations, un espace multi-accueil pour les 0-6 ans, un espace convivial - petite restauration, et deux patios. Cet équipement de proximité dans lequel ont été investis 6,63 M€, sera ouvert, par son rayonnement, à l’ensemble de la ville de Reims. Les travaux commenceront au premier trimestre 2014 pour une livraison fin 2015. »

Un bâtiment unique à Reims

Le premier adjoint Eric Quénard précisait : « La volonté de la Ville de mettre de l’humain au service de l’habitat. Ce sera un équipement de centralité, pas seulement pour Croix-Rouge : il devrait attirer ici des habitants de tout Reims. » Quant à l’architecte, Jean-Philippe Thomas, il a insisté sur « la complexité de ce projet innovant, lié à son aménagement environnemental. Tout le parvis sera refondu et un terrain de 2 500 m2 sera mis à la disposition des habitants en remplacement de l’ancien parking. La présence d’un incubateur d’associations, qui travaillera en liaison avec la Maison de la vie associative de Reims, obligera le public associatif à l’échange, à la rencontre, l’objectif étant de faire émerger, de lancer et d’accompagner les projets des habitants, pour toute la ville. Les quatre studios d’enregistrement et de répétitions, liés à l’espace spectacles, établiront un lien avec le passé, en souvenir des activités d’Ethnic’s au château d’eau. Enfin, la toiture sera la cinquième façade du bâtiment ». L’architecte en a assuré la présentation devant un parterre d’invités, habitants, responsables associatifs et élus, en précisant que le site est actuellement occupé par les modules créés avec les habitants en atelier de préfiguration conduits lors des deux semaines précédentes par le collectif ETC.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union130702b- Marne
Il reconnaît une grosse douzaine de feux : L’incendiaire des Landais voulait changer de logement

L’immeuble où avait eu lieu la série de feux de détritus. L’homme interpellé en a reconnu 14. Photo A.P.
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L’homme interpellé par la police a reconnu 14 feux volontaires. Sa motivation : attirer l’attention pour obtenir un logement plus grand !

APPAREMMENT, la police ne s’est pas trompée : l’homme interpellé cette fin de semaine du côté de l’allée des Landais, dans les environs de l’hippodrome, est bien l’incendiaire qui sévissait depuis plusieurs mois dans l’immeuble numéro 3 (nos éditions précédentes).

Il s’agit d’un quadragénaire sans profession. Il avait été surpris quasiment en pleine action, le briquet encore chaud, dimanche vers cinq heures du matin, par le plus pur des hasards, par deux habitants qui rentraient à ce moment-là : constatant qu’un nouveau feu avait été allumé, ils ont mis la main sur cet homme qui les croisait d’un pas un peu trop pressé semblet- il pour être tout à fait honnête.

Ils l’ont ensuite remis à la police.

« Je voulais un logement plus grand »

Lors de sa garde à vue, l’homme a reconnu, non seulement avoir mis le feu le dimanche en question, mais encore un total de 14 faits similaires depuis le 18 janvier dernier. Son explication, en substance : « Je voulais attirer l’attention de mon organisme logeur pour obtenir un logement plus grand ! » De quoi laisser quelque peu pantois… À défaut de l’attention de son logeur, il a au moins attiré celle de la police dans un premier temps, de la justice dans un second : à l’issue d’une comparution immédiate, il a été remis en liberté mais placé sous contrôle judiciaire.

On peut supposer que les autres locataires de l’immeuble vont désormais pouvoir dormir un peu plus tranquilles.

A.P.

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Union130702a- Marne
Patinage Le Rap dans le top 10 français

Le Reims avenir patinage vient de tenir son assemblée générale, au cours de laquelle le président Jean-Luc Ployé a exhorté les uns et les autres à poursuivre le chemin conduisant vers l’excellence. Et ce, après une année sportive marquée par une distinction, celle de la meilleure organisation sportive de la ville de Reims. Ce prix obtenu lors des « Sacres du sport » s’ajoute aux magnifiques places engrangées pendant les compétitions nationales et interrégionales. Le club se situe actuellement dans le top 10 français. « Pour la saison 2012-2013, nous avons maintenu notre nombre d’adhérents (184), et j’ai constaté que nous avons réussi à faire progresser les compétiteurs et non-compétiteurs ainsi que le groupe handicap dont je tiens à souligner la persévérance », insiste M. Ployé. Et pour faciliter le travail de l’entraîneur principal, Ludivine Lemaire, le Rap vient de faire appel aux services d’un autre technicien. Il s’agit de Stanislas Etzol. Fort d’une expérience de patineur de haut niveau et d’une expertise technique, ce dernier commencera son travail à partir du 19 août 2013.

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Union130702d- Marne
Pour un été bien occupé : Tous à vos sports !

L’aqualatino, sorte de zumba dans l’eau, sera sûrement une des activités phares de l’été.
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L’été s’annonce sportif, entre la natation, apprentissage ou ludique, et l’équitation. Sans oublier à venir Reims Vital été, qui sera présenté cette semaine.

UN été dans la ville va permettre aux Rémois de s’occuper tant au niveau culturel, loisirs que sportif. Dans ce dernier domaine, les jeunes vont retrouver les opérations habituelles comme Reims vital’été, Ludosport, les activités nautiques, équestres…

Pour les petits à partir de 6 ans, il sera possible d’apprendre à nager « en accéléré », grâce à quatre à cinq cours de natation en une semaine. Les enfants travailleront l’équilibre, la respiration et la propulsion.

Cet apprentissage sera possible dans plusieurs piscines : celle du Nautilud du mardi au vendredi à 9 heures (24 et 40 euros) ; des Thiolettes, du lundi au vendredi à 9 heures ou 10 heures ; mêmes jours à Orgeval de 12 heures à 12h45 ; Talleyrand de 9 h 30 à 10h15 ; Château d’eau de 8 h 45 à 9 h 30 (30 et 50 euros). Les inscriptions sont prises dans chaque piscine.

Mais il n’y a pas que pour les petits que les piscines seront ouvertes. Plusieurs activités vont permettre aux ados et adultes de se défouler cet été dans l’eau.

Comme tous les étés, une nouvelle activité est proposée par la Ville : c’est l’aquataining au Nautilud. Il s’agit d’enchaînements d’exercices passant du petit bain au grand bain permettant d’effectuer un travail « cardio- abdos-fessiers » et s’adressant à des nageurs confirmés.

Des soirées Spéciales

Il y aura bien sûr l’aquabike : le Nautilud propose de nombreuses séances à 9 heures et à 12 h 15 (sauf le lundi) et à 19 heures pour plus de 100 créneaux proposés.

L’aqualatino, ce sont des exercices, une chorégraphie sur des musiques latines, le tout dans un esprit de fête, un peu comme la zumba, mais dans l’eau. Des soirées spéciales seront organisées au Nautilud et à la piscine du Château d’eau (les dates et horaires exacts en téléphonant dans ces piscines).

Les habitués des activités nautiques retrouveront aussi le watersculpt, une activité en plein essor à la piscine des Thiolettes et à la piscine du Château d’eau mais aussi le Baby Club (le samedi matin à la piscine des Thiolettes), l’Aquagym, les Futures Mamans (le samedi matin à la piscine des Thiolettes), la natation pour adultes et l’aquapalmes (tarifs 6 à 20 euros la séance suivant l’activité).

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Union130702c- Marne
La police a-t-elle mis la main sur le pyromane ? : Une interpellation après la série d’incendies des Landais

L’immeuble 3 de l’allée des Landais. Si la police a bien pincé l’incendiaire, ses habitants vont pouvoir dormir plus tranquilles.
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Un mystérieux incendiaire sévissait depuis des mois dans l’immeuble 3 de l’allée des Landais. Il a peutêtre été pincé.

EST-CE la fin de série pour l’incendiaire de l’allée des Landais ? Peut-être. Toujours est-il que la police indiquait hier avoir procédé à une interpellation à la suite de ses surveillances dans ce secteur proche de l’hippodrome, sans donner davantage de détails sur la personne concernée. Selon un habitant de l’immeuble 3, celui qui souffrait le plus des agissements du maniaque des allumettes ou du briquet (voir notre édition d’hier), l’interpellation aurait eu lieu samedi vers 5 heures du matin (la police, elle, la situe dimanche, à la même heure) ; l’intéressé serait un homme demeurant dans l’immeuble en question, et vivant seul avec son chien, cette dernière précision étant confirmée par la police. Celle-ci ajoute que la personne interpellée a été placée en garde à vue.

« Ma mère n’en peut plus ! »

S’il s’agit bien de l’incendiaire, les habitants vont pouvoir pousser un ouf de soulagement : « Le sentiment d’insécurité devient de plus en plus grand, témoigne ainsi Guillaume, l’un de ceux-ci ; ma mère n’en peut plus de savoir qu’il y a le feu régulièrement ! » D’autant que cette dame n’est pas passée très loin des flammes : son appartement a récemment été noirci par les fumées d’un feu appartenant à l’inquiétante série.

Selon Guillaume toujours, cette série avait débuté il y a environ trois mois, « et pendant cette période, j’ai compté 15 feux ! Nous avons régulièrement guetté pour essayer de voir qui pouvait faire ça, mais on n’a jamais réussi. » Ce qui était clair en revanche, c’est que ces feux survenaient majoritairement au rez-de-chaussée, dans un local jouant le rôle d’une sorte de sas entre le hall et le local à poubelles. Que s’est-il donc passé il y a trois mois qui ait pu déclencher cette pyromanie ?

Réponse de notre interlocuteur, en substance : depuis trois mois, le sas qui dessert le local à poubelles est transformé en mare, du fait de la présence d’eau d’origine douteuse.

Il y aurait celle des pompiers, utilisée pour éteindre les feux, mais pas seulement. Du coup, les habitants ne voulant pas se tremper les pieds, au lieu d’aller jusqu’au local à ordures, déposent leurs sacs poubelles juste à l’entrée du sas. Et c’est cet amoncellement de détritus qui aurait soit irrité, soit tenté l’incendiaire.

On peut comprendre qu’il n’ait pas apprécié l’apparition de ce dépotoir « sauvage », mais ce n’était tout de même pas une raison pour mettre la vie de tout un immeuble en danger…

Antoine PARDESSUS

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Union130702b- Marne
Détritus en feu

Il n’y a pas que dans l’allée des Landais que les ordures brûlent la nuit à Reims (lire par ailleurs) : dans la rue des Savoyards, il est arrivé la même chose dimanche vers 22 h 30. Les détritus se trouvaient dans l’escalier d’un immeuble de sept étages. Ce feu est resté sans conséquence : à l’arrivée des pompiers, il était déjà éteint.

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Union130702a- Marne
TENNIS : TOURNOI DE LA VAURE : Boulard à domicile

Limitée à 3/6, la 24e édition du tournoi du TC La Vaure a été remportée par Victorien Boulard (5/6, La Vaure). En finale, la figure locale a perfé sur Jules Latour (4/6, Cormontreuil).

Très fatigués de leurs demies matinales, les finalistes ont été au bout de leurs forces mais le Connantrat a mieux résisté (6-7, 6-3, 6-1). Déjà bien pauvre, le tableau féminin a été marqué par le succès d’Angéline Berthelémy (30, Bergères-les-Vertus) qui, battue en quart, a été repêchée pour ensuite sortir sa camarade de club Marina Lefevre (30) puis en finale la jeune rémoise Alexane Habert (15/5, Géo-André), plus forte techniquement mais trop irrégulière.

MESSIEURS

Demi-finales : Boulard (5/6, La Vaure) bat Mouton (15/1, ASPTT Chalons) 6-4, 5-7, 6-2 ; Latour (4/6, Cormontreuil) bat Goussin (3/6, ASPTT Troyes) 7-6, 6-4.
Finale : Boulard bat Latour 6-7, 6-3, 6-1.

+35 ANS

Finale : Poncelet (15/4, TC Plancéen) bat Delozanne (15/3, La Vaure) 7-6, 6-3.

DAMES

Demi-finale : Angéline Berthelemy (30, Bergères-les- Vertus) bat Marina Lafevre (30, Bergères les Vertus) 3-6, 6-3, 6-4.
Finale : Angéline Berthelemy bat Alexane Habert (15/5, Géo-André) 6-2, 1-6, 6-1.

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Union130701e- Marne
Croix-du-Sud La « Colombe » veille sur la place Maurice-Utrillo

La « Colombe » vue dans son intégralité.
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Mardi dernier, Reims habitat et le collège Georges-Braque ont inauguré, place Maurice-Utrillo, la célèbre « Colombe », œuvre de Georges-Braque, dessinée par des élèves du collège.

CETTE année, Reims habitat a accompagné pour la huitième année de partenariat un nouveau projet artistique initié par Sophie Hasslauer, professeur d’arts plastiques au collège Georges-Braque. Un projet qui a permis aux élèves de 3e de réaliser, sur la place, une œuvre inspirée par la célèbre « Colombe » de Georges-Braque. L’originalité de leur composition réside dans leur travail sur la perspective. En effet, l’œuvre sera différente selon l’endroit où le spectateur se place et ne sera entièrement visible que d’un seul point de vue. Cette œuvre, éphémère, disparaîtra d’elle-même au fil du temps, sous l’action conjuguée du soleil, de la pluie et du vent. Sensibiliser les élèves Cette réalisation est le fruit d’une volonté commune de Reims habitat, Plurial l’Effort rémois et Alpha logement, du collège Georges-Braque et des locataires, de sensibiliser les élèves de l’établissement au respect de leur environnement. Le partenariat s’articule autour de deux formes d’action : des interventions auprès des élèves du collège par des professionnels travaillant dans la vie sociale du quartier et la réalisation de projets artistiques par les élèves. Ainsi, chaque année, des représentants des bailleurs sociaux ainsi que du service départemental de prévention et de la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Watteau) organisent des interventions auprès des élèves de 6e et de 4e du collège, originaires des Hauts-de-Murigny ou des secteurs voisins. L’objectif est de les sensibiliser à l’impact des dégradations sur leur cadre de vie. Ces interventions se déroulent à la fois en classe, mais également dans le quartier. A travers des exemples concrets, les élèves prennent conscience du coût réel des dégradations et de l’impact négatif qu’elles ont sur l’image de leur quartier et sur la qualité de vie des habitants.

Des projets artistiques pour valoriser les élèves

Au-delà de cette démarche de sensibilisation, le partenariat fait participer les élèves à la vie du quartier et les valorise en les encourageant à concevoir des aménagements du quartier avec l’aide de leur professeur d’Arts plastiques. Par exemple, en 2005-2006, à la demande de Reims habitat, les élèves ont aménagé un square du quartier. L’année suivante, un passage traversant a été remis en peinture de manière artistique. En 2011-2012, les élèves de 3ème ont conçu l’aménagement esthétique et fonctionnel de la future dalle rénovée du garage G17, place Maurice-Utrillo. Le travail des élèves est toujours mis en valeur lors d’une présentation au public (parents, locataires, associations de locataires) qui valorise leur action.

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Union130701d- Marne
Rénovation urbaine Inauguration à Pays-de-France

La Maison du projet a été inaugurée dans le secteur Pays-de-France.
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Dans le cadre du programme de rénovation urbaine « La ville change avec vous », la Maison du Projet a été inaugurée dans le secteur Pays-de-France, au 12 avenue du Général-Bonaparte, au cœur du centre commercial Arago. Il s’agit, selon les propos d’Éric Quénard, premier adjoint, d’un « nouvel espace de préfiguration du futur équipement public à Pays-de-France et d’information sur l’actualité de la rénovation urbaine à Croix-Rouge ».

En clair, pour la maire Adeline Hazan, « c’est un gigantesque point de rencontres, d’exposition et d’information ouvert à tous les Rémois » situé dans un espace déjà bien vivant, avec de nombreux commerces.

En face, le bâtiment à usage de supérette n’attend plus qu’une enseigne pour ouvrir. Deux jeunes ont été recrutés en emplois d’avenir pour animer cette nouvelle structure dans laquelle les élus et l’architecte Jean-Philippe Thomas, mettent beaucoup d’espoir.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union130701c- Marne
Le projet de grand campus universitaire chahuté

Le futur camus universitaire de Reims.
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Gilles Baillat n’a pas vraiment répondu aux questions.
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REIMS (51). Plus facile à vendre à des politiques qu’à des hommes d’affaires le projet de grand campus de Croix-Rouge. Invité de l’assemblée générale de la CCI, le président de l’université Gilles Baillat a été un peu bousculé à l’issue de son laïus de présentation. Retour sur ce dialogue de sourds. « Vous présentez un projet au budget conséquent de 350 millions d’euros alors qu’il ne s’agit pas d’un campus à l’américaine. Tout cela semble très resserré », lance l’un des membres de la CCI.

Pharaonique

Comme Gilles Baillat répond sans vraiment répondre, un autre chef d’entreprise revient aussitôt à la charge : « votre projet pharaonique est-il adapté ? Les jeunes sont autant attirés par l’offre de recherche que par l’environnement dans lequel ils étudient. Vous supprimez les grands terrains de sport dont ils profitent au moulin de la Housse. De plus, vous savez que RMS cherche un devenir qu’il aura du mal à trouver dans cet espace resserré. On est loin du grand campus à l’américaine prévu en face du Creps. Vous présentez un énorme projet mais confiné dans un lieu qui reste Croix-Rouge ». Là encore Gilles Baillat semble ne pas avoir entendu la et se contente de souhaiter qu’RMS reste au plus près de l’Urca. Dernière question sur le logement étudiant : « est-il prévu sur le campus ? ». Il semble que non : « nous ne souhaitons pas que la prestation du logement étudiant soit reportée sur le nouveau campus ». D’autant moins qu’une résidence étudiante vient d’être rénovée près du moulin de la Housse. « Une ineptie de plus », conclut un troisième homme d’affaires. À voix basse.

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Union130701b- Marne
Sécurité au travail Les lauréats du concours récompensés

« Les jeunes sont deux fois et demi plus accidentés que la moyenne des salariés. 14 % des accidents graves et mortels surviennent au cours des trois premiers mois suivant l’embauche ». Ces deux statistiques énoncées par Maurice Osuna, vice-président du conseil d’administration de la CARSAT Nord-est, suffisent à montrer l’importance de la sensibilisation et de la prévention des risques professionnels auprès des jeunes apprentis, lycéens ou étudiants. C’est dans ce but que Stéphane Collinet et Jean-Pierre Di Napoli, tous deux enseignants au lycée Arago, conçoivent un concours « ESetST » (Enseignement de la santé et de la sécurité au travail). « On essaie chaque année de se rapprocher des thèmes nationaux les plus mis en avant : chutes de hauteur, amiante, TMS (Troubles musculo-squelettique) ». Toutes les questions et études de cas, élaborées avec des experts des Carsat et de l’OPPBTP (office public de prévention du bâtiment et des travaux publics) sont mises en ligne sur le site de l’Académie de Reims. 750 jeunes, de douze établissements, ont participé. Douze ont été sélectionnés. La remise des récompenses a eu lieu au lycée Arago. « Nous menons des efforts pour développer une éducation à la prévention pour faire évoluer positivement la culture de la maîtrise du risque et poursuivons une démarche de formation et de recyclage des enseignants et formateurs », a pour sa part expliqué Jean-Luc Lorrain, IEN, au nom de l’Académie de Reims. Sur les douze candidats, deux seulement étaient présents pour recevoir leurs prix. Il s’agit de Robin Plançon, en section serrurerie aux Compagnons du Devoir de Muizon et de Quentin Hoquet, en CAP ébéniste au LP Yser. Les autres lauréats marnais sont en grand prix toutes catégories, Jonathan Boquet CFA 51. Niveau CAP : 2e Romain Boulnois, Greta Arago. 6e Anaïs Doucet, CFA 51. Niveau BAC-BP : 2e Anaïs Demelin CFA 51. 3e Franck Mathieu Greta Arago. 4e Mathieu Decne LP Yser.

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Union130701a- Marne
Il frappe deux fois ce week-end dans les caves de l’immeuble. L’incendiaire des Landais ne se contrôle plus

A force d’y mettre le feu, l’incendiaire n’a plus grand-chose à brûler dans le local à poubelles du n°3, allée des Landais.
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Deux incendies en seulement 24 heures… L’insaisissable pyromane qui sévit depuis trois mois dans les caves de l’allée des Landais semble être saisi d’une frénésie pulsionnelle qui s’aggrave de jour en jour. D’habitude, il opère au n°3, mais à force de mettre le feu aux sacs-poubelle déposés dans le local par les habitants (il n’y a plus rien d’autre à brûler dedans), peut-être a-t-il voulu changer d’air en s’introduisant dans le bloc voisin, au n°5, où une poubelle s’est enflammé samedi à 5 heures du matin. Le conteneur a été détruit, les murs sont noircis.

Chassez le naturel, il revient au galop. Hier à 5 heures, le pyromane est revenu au n°3 pour incendier les derniers sacs inlassablement déposés par les locataires. Depuis le 11 mars, au moins quatorze feux de conteneurs et détritus ont enfumé les communs de l’immeuble, mais on en est déjà à trois depuis mercredi.

Un autre incendiaire sévit-il à la Neuvillette ? Une benne a d’abord flambé samedi à 1 heure du matin, rue Victor- Hugo. Hier vers 3 h 45, une poubelle a subi le même sort allée André-Messager, puis deux autres à 5 h 30 rue Gaston- Ernst, plus une troisième à la même heure place de la Liberté. Quatre autres feux de détritus ont été signalés ce week-end : le premier samedi à 1 h 20 dans un terrain vague de la rue des Macécliers, le deuxième à 1 h 45 avenue d’Epernay à 1 h 45 (au n°64) ; le troisième à 3 h 05 rue Paul-Verlaine ; le dernier hier à 6 h 30 au 10, esplanade Paul-Cézanne.

Samedi à 23 h 30, appelés rue de Rilly-la-Montagne pour de la fumée s’échappant d‘un balcon, les pompiers ont trouvé le locataire qui ne faisait que dégraisser sa plaque de cuisson.

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Union130630b- Marne
Le locataire de l’appartement voulait mourir par le feu

 

REIMS (51). Jeudi soir, vers 22 h 30, un violent feu d’appartement s’est déclaré au quatrième étage d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger à Reims, au quartier Croix-Rouge (l’union de vendredi).

Réfugié sur son balcon, à une douzaine de mètres du sol, le locataire a dû être évacué par la grande échelle des pompiers. L’enquête a révélé qu’il avait lui-même allumé l’incendie pour se suicider. Il avait le mis le feu à un tapis, avec son briquet, mais l’instinct de survie a repris le dessus quand les flammes ont commencé à ravager l’appartement. Il a tenté de les éteindre, s’occasionnant des brûlures aux deux jambes et à un bras. Il a également respiré pas mal de fumée. Les policiers l’ont interrogé sur son lit d’hôpital, où il se remet de ses blessures (elles ne présentent aucun caractère de gravité). L’acte de désespoir de cet homme d’une trentaine d’années, célibataire, n’est guère passé inaperçu dans son immeuble, une grande barre de douze étages. La fumée était montée jusqu’aux derniers niveaux, occasionnant une certaine panique. Plus de quarante appels sont parvenus en quelques minutes au centre opérationnel des pompiers qui a dépêché sur place deux fourgons, deux grandes échelles, deux ambulances et un véhicule de commandement, soit une vingtaine d’hommes.

 

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Union130630a- Marne
Jardins Croix-du-Sud

Ce matin à 9 heures, le jury chargé de la notation des jardins familiaux de Croix-du-Sud passera pour une appréciation individuelle en vue du concours de la plus belle parcelle.

La maire de Reims se joindra aux scrutateurs. Ils pourront apprécier la valeur des potagers, mais aussi les qualités florales des 92 jardiniers en compétition. Deux notes seront attribuées : le floral et le potager.