Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge - 2008 - mars-avril.
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.
Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :
Jean-Louis Rumério, président d’APPUIS.
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l’union : Jean-Louis Rumério, vous êtes le président d’APPUIS : Association Pour Promouvoir l’Union, l’Insertion et la Solidarité. Comment vous est venue l’idée de cette association ?
Dans des quartiers dits « sensibles », nous avons constaté que le chômage, pour beaucoup, semble être une fatalité.
Pour certains, c’est dû à la non-maîtrise de la langue française.
Pour un public jeune, c’est le fait d’être sorti prématurément du système scolaire sans qualification.
Pour les adultes, chômeurs de longue durée, il faut redéfinir un projet professionnel leur permettant un retour à l’emploi.
Enfin, pour les plus âgés, qui connaissent une longue période de chômage, il est nécessaire de les remotiver, voire de leur donner des formations porteuses d’emploi.
Comment intervenez-vous ?
Au travers d’actions avec la ville de Reims, la Région, l’Etat, l’ANPE, nous accompagnons les demandeurs d’emploi dans leur démarche d’insertion professionnelle en leur fournissant des techniques de recherche (simulation d’entretien, aide aux CV, mobilité géographique…).
Nous proposons des formations linguistiques aux personnes issues de l’immigration. Dans le cadre de la Région, nous travaillons avec les personnes sans qualification pour faire émerger des projets professionnels personnalisés.
Associez-vous des partenaires à vos projets ?
L’insertion professionnelle ne peut, dans la plupart des cas, se passer d’un accompagnement social. Lorsqu’un conseiller rencontre une personne qui a des difficultés d’ordre social, il fait appel à un éducateur spécialisé de l’association « 2 mains » pour une prise en charge commune.
Nous venons de signer une convention partenariale avec des agences d’intérim de Reims et d’Epernay. Nous envoyons certaines personnes en stage pour vérifier leur « employabilité » et voir si l’entreprise est faite pour elles. C’est un véritable réseau de partenariat que nous sommes en train de tisser.
Appuis 4 rue Georges Bernanos 03.26.04.65.83 e-mail appuis@wanadoo.fr
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims- habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel. gouv.fr/MarchesPublics)
1. Identification de l’organîsme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE- ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant artî¬cles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.
3. Objet des marchés : marché de travaux et d’entretien des ascenseurs de REIMS HABITAT.
4. Nombre et consistance des lots : les travaux sont répartis en 4 lots dits géographiques désignés ci-dessous : lot, désignation
Lot 1 : succursale centre-est.
Lot 2 : succursale nord.
Lot 3 : succursale Croix-Rouge.
Lot 4 : succursale Murigny.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Durée du marché : à compter du 1’ juillet 2008 jusqu’au 30 juîn 2013.
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
8. Critères d’attributîon de l’offre :
1. Prix des prestations 60 %.
2. Moyens humains mis en oeuvre pour la réalisation du marché 20 %.
3. Moyens techniques mis en oeuvre pour la réalisatîon du marché 20 %.
9. Délai de valîdité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
10. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remîses à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
Les offres peuvent également être transmises par voie élec¬tronique en toute confidentialité et de manière sécurîsée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.
12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction deS programmes techniques et spéci¬fiques de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.38, fax 03.26.48.43.40.
13. Date lîmite de remise des offres : le 6 juin 2008, à 17 heures.
14. Date d’envoi de l’avis à la publication : le 24 avril 2008.
Du mercredi 7 mai au jeudi 15 mai, à l’occasion du Festival « Croix-Rouge s’affiche 2008 », nous publierons chaque matin le programme de la journée.
A l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau, Vincent Girardin propose une sortie dimanche 4 mai, dans les Ardennes, la promenade de Cornay (12 km). Départ 8 heures, retour vers 16 heures. Prévoir son pique-nique. Détails au secrétariat (03.26.36.03.50.), ou auprès de Vincent au 06.12.99.83.09.
Vendredi 9 mai à 14 heures, la vice présidente du club philatéliste de Reims organise une rencontre avec les habitants à l’Etoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum. En vue, la création d’un club philatélie à Croix-Rouge.
L’association Émergence (coopération et solidarité avec le Bénin) propose le festival Solijahfary 2008 qui se déroulera du 10 au 17 mai et dont les recettes serviront à financer l’aménagement de la bibliothèque scolaire de Hon au Bénin. Programme auprès de Jean-Philippe Zinzindohoué, 4 allée des Picards (03.26.85.46.71.).
Concours de pétanque en doublettes dimanche 11 mai (inscriptions à 13 h 30, début à 14 h 15, sur le boulodrome de l’avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud).
Renseignements et inscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66.) ou auprès du responsable : 06.11.68.16.48.
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Une exposition ludique et sensorielle jusqu’au 28 juin, autour du livre.
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En mai, la médiathèque Croix-Rouge propose un ensemble de manifestations destinées aux tout-petits.
« Au clair de la lune, trois petits bouquins » est une exposition ludique et sensorielle jusqu’au 28 juin, autour du livre, permettant aux tout-petits jusqu’à 3 ans de manipuler, observer et explorer et aux adultes de raconter des histoires en situation, dans deux salles, « J’ai sommeil » et « Je veux un câlin ».
Pour les 3 mois - 3 ans et leurs parents, un moment de lecture tendresse, suivi d’une projection de très courts métrages. Mercredi 7 mai, samedi 17 mai, mercredi 21 mai et mercredi 28 mai à 9 h 30.
Une très belle histoire d’amitié avec Petit Bleu et Petit jaune, qui est aussi une initiation artistique, par Florence Arnould. Samedi 10 mai à 10 h 30.
Bénédicte Guettier a publié pas moins de 200 albums. Elle les présente le vendredi 16 mai, de 16 h 15 à 17 h 45, à la librairie Privat-Guerlin.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Debar (03.26.35.68.40.), entrée libre mais inscription préalable obligatoire.
L’association « Point rencontre », présidée par Salah Byar et l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France », présidée par Marceau Nicolas, invitent les parents d’élèves du collège Joliot-Curie à une réunion, lundi 5 mai à 20 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, « pour discuter de l’avenir et de la réussite de nos enfants ».
Constance et Thiphaine fiers de leur ceinture noire.
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Bonheur à l’association sportive Croix-Rouge : Constance Leroy, du haut de ses 15 printemps, pratique le judo depuis 10 ans.
Elle a obtenu ses katas (examens techniques) puis les points qui lui manquaient.
Tiphaine Logeard, âgé lui de 17 ans, n’avait que la présentation de ses katas à effectuer puisqu’il avait déjà les 100 points demandés pour l’obtention de la ceinture noire.
Il les a obtenus avec les félicitations du jury.
Beaucoup d’émotion hier soir à l’occasion du 63e anniversaire de la libération des camps.
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Des dizaines d’hommes et de femmes portants des torches réunis dans la pénombre tandis que le chant des partisans résonne au-dessus de la nombreuse assistance…
Il y a eu beaucoup d’émotion hier soir autour du monument aux martyrs de la résistance à l’occasion du 63e anniversaire de la libération des camps de concentration.
La cérémonie a débuté vers 21 heures par un long cortège venu du monument aux morts, avec à sa tête des membres des associations des anciens déportés et résistants portant tous une torche.
Rassemblés ensuite sur l’esplanade, personnalités, militaires et anciens combattants ont écouté la lecture de poèmes par des élèves du collège François Legros, ainsi que les chants du chœur Arts Vocalis.
Dans un court discours Raymond Gourlin, ancien déporté au camp de Neuengamme, a souhaité rendre hommage à tous « ses camarades ».
Il a aussi dénoncé « l’incivilité grandissante de certains » qui ne respectent pas les lieux et la mémoire de ceux qui sont morts pour la France.
G. A.-T.
Une belle 2ème place pour le Rap.
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Pour leur dernière compétition de la saison, à Reims, les patineurs artistiques du Reims Acrap patinage ont terminé en beauté, puisque leur club s’est classé 2e de la manche et 2e au classement final.
Deux membres de la section de patinage artistique sont sélectionnés pour les championnats de France 2e division qui vont se dérouler à Rouen : Gianni Daffini dans la catégorie minimes et Jonathan Jacquet dans la catégorie novices.
Une joyeuse sortie cycliste en bord de Seine.
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Dans le cadre des actions Éducation et séjours collectifs de jeunes porté par la Maison de quartier Croix-Rouge, un séjour a été organisé, du 14 au 18 avril, pour onze jeunes de 12 à 14 ans, au gîte de loisirs de Méry-sur-Seine dans l’Aube, avec David Gameiro.
Un hébergement à proximité d’un centre équestre et de la Seine, c’était l’idéal pour les balades en vélo et la pratique du canoë et la pêche.
L’équipe pédagogique a proposé des activités de pleine nature mais également du tir à l’arc et de l’équitation.
Danielle Bonfils (au centre) est entourée d’un conseil d’administration étoffé. |
L’association de défense des locataires du secteur At’Hom intervient sur les secteurs 1-3-5 allée Jacques-Simon, 1-3 allée Yves-Gandon, parking Adrien-Sénéchal. Elle a élu son bureau à l’issue de sa dernière assemblée générale :
Présidente : Danielle Bonfils. 1 allée Yves-Gandon.
Vice- présidentes : Yvette Brehaut, 3 allée Jacques-Simon et Charline Van Conpernol, 1 allée Yves-Gandon.
Secrétaire : Marie-Noëlle Dimanche, 1 allée Yves-Gandon.
Secrétaire adjoint : Jean-Pierre Rasselet, 3 allée Jacques-Simon.
Trésorière : Josette Achain, 1 allée Yves-Gandon.
Trésorier adjoint : Alain Deboste, 1 allée Yves-Gandon.
Administrateurs :
- Bernard Champaloux, 1 allée Yves-Gandon,
- Rose-Marie De Feyter, 1 allée Jacques-Simon,
- José Fonseca, 1 allée Yves-Gandon,
- Jean-Pierre Malissart, 3 allée Jacques-Simon,
- Astrid Saadi-Birkenstock, 1 allée Yves-Gandon,
- et Hélène Vilcocq, 1 allée Yves-Gandon.
Siège Social : 1 allée Yves Gandon. Tél. 03.26.86.10.03.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Hier, l’adjointe au maire chargée des sports Christine Michel a visité la piscine du Château d’eau.
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Les premières plaques d’acier inoxydable recouvrent déjà les côtés de la future piscine du Château d’eau.
Conjuguant leurs efforts, la ville de Reims et la Rems (régie des équipements sportifs municipaux) ont décidé de la rénovation complète et de l’extension de cet équipement municipal qui accueille chaque année quelque 90.000 personnes !
La surface des vestiaires va être doublée et il a été décidé d’aménager des vestiaires collectifs pour notamment les écoles, les centres aérés… qui fréquentent assidûment la piscine.
Côté bassins, tout le carrelage du petit bassin et de la pataugeoire est en cours de remplacement.
Le grand bassin fait l’objet d’une réfection complète.
Il s’agit de créer un bassin en acier inoxydable - le 5e en France ! - une solution choisie, selon le directeur de la REMS, M. Simon, pour ses avantages écologique, économique, de sécurité et hygiénique notamment.
L’adjointe au maire chargée des sports Christine Michel a, hier, visité l’ouvrage qui est « un projet qui colle tout à fait avec notre volonté d’ouvrir au plus grand nombre et dans les meilleures conditions de confort les équipements sportifs. »
L’entrée de la future piscine - qui doit rouvrir ses portes en septembre prochain - se fera désormais dans la rue des Landais.
P.B.
« Je suis tellement inquiet que j’envisage sérieusement de déménager », confie ce pharmacien biologiste en compagnie de sa dynamique équipe féminine.
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« Je suis tellement inquiet que j’envisage sérieusement de déménager », confie ce pharmacien biologiste en compagnie de sa dynamique équipe féminine.
Les professions libérales vont-elles perdre en activité pendant les travaux du tramway ? Certains craignent que oui au point de vouloir déménager. D’autres restent sereins.
LES Rémois changeront-ils de dentiste parce que le leur est situé dans les bouchons de la ligne de tramway en construction ? Les professions libérales sont-elles aussi inquiètes que les commerçants par rapport aux années de travaux qui se profilent ? Plus ou moins.
« À l’extrême, moi je dirais que je m’en fous », lâche un dentiste de la rue Thiers. « Possible que les gens passent moins devant un commerce à cause de l’encombrement dans la rue mais ils ne vont pas changer de dentiste ».
Beaucoup moins confiant ce pharmacien biologiste de l’avenue de Laon. « Par rapport à un dentiste, j’ai une clientèle plus volatile. Surtout les jeunes. S’ils ne trouvent pas de place pour se garer, j’ai bien peur qu’ils aillent ailleurs. On risque même de perdre nos personnes âgées si l’accès est trop périlleux. Je suis donc sérieusement inquiet ». Au point d’avoir envisagé de déménager. « C’est encore à l’ordre du jour. Peut-être du côté de Clairmarais, quartier qui monte ». Sauf que l’après-travaux et le tram pourraient amener de nouveaux clients : « J’en doute car aujourd’hui j’ai un arrêt de bus devant chez moi et demain il y aura seulement une station à Saint-Thomas et une autre à République. »
Une notaire de l’avenue de Laon s’inquiète également : « Mon parking sera vite plein si on ne peut plus se garer dehors ». Normalement on ne change pas de notaire à cause d’une place de stationnement : « Ceux qui viennent sont fidèles mais il faut aussi pouvoir attirer de nouveaux clients ». Il faut se projeter après les travaux : « Oui, ce sera pas mal… Mais j’envisage toutefois de déménager ».
Les juristes se suivent mais ne se ressemblent pas. Tranchées, bruit, poussière et grosses pelleteuses ne font pas du tout peur à cette avocate de la rue de Vesle.
« En vérité, je ne m’intéresse pas du tout à ce tramway. On ne choisit pas un avocat par le bouche à oreille et pas en fonction des transports en commun ».
Fatiha Bensabbah, médecin, ne craint pas non plus de perdre ses patients rue Taittinger. « J’espère seulement pouvoir toujours accéder à mon cabinet ! Mes patients eux viendront toujours. Ceux qui font l’effort de venir de loin ne se laisseront pas arrêter par des travaux. Et puis le tram une fois terminé, ce sera un plus ».
C’est aussi l’avis de Daniel Rémy, architecte installé avenue du Général-Einsenhower : « Après ce sera merveilleux ». Mais pendant ce sera l’enfer : « Nous serons terriblement gênés. Je le sais pour l’avoir déjà vécu ailleurs. Cette première expérience m’a prouvé que mon activité ne devrait pas souffrir des travaux. Même les commerçants seront surpris de voir qu’ils ne perdront pas tant que cela ».
Catherine Frey
Il est prévu d’indemniser ceux qui exercent une profession libérale au même titre que les commerçants. Il suffira d’avoir subi un préjudice direct lié à l’accessibilité au cabinet pour avoir le droit de demander réparation.
Si un engin de chantier ruine les oreilles de tous les patients d’un ORL pendant toute une semaine et les fait rebrousser chemin de peur de doubler leur otite rien qu’en montant l’escalier du praticien, ce dernier pourra demander réparation à la commission qui s’occupera des indemnisations.
Reste à savoir dans quelle mesure et selon quel critère. La baisse de marge qui servira d’indicateur pour les vendeurs de chaussures risque de ne pas être adaptée à un podologue ou à un psychanalyste. « C’est la commission indépendante qui décidera des modalités. Nous avons proposé que le représentant régional de l’Unapl (Union nationale des professions libérales) y siège », souligne-t-on à la mission tramway de Reims Métropole. « Il sera le mieux placé pour défendre les intérêts de ses pairs ».
« L’occasion de partager un moment convivial et d’assister au spectacle unique des courses ».
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Depuis plusieurs mois, à chaque réunion, l’hippodrome de Reims organise des animations autour d’un thème précis. Ce samedi 26 avril, il propose au public de venir déjeuner sur l’herbe tout à côté des pistes. « Nous attendons un public familial », indique Emilie Rousseau, chargée de communication à l’hippodrome. « L’occasion de partager un moment convivial et d’assister au spectacle unique des courses ». Sur fond des huit courses PMU du jour (qui se déroulent à partir de 13 h 30), seront également proposés un marché bio avec des producteurs de la région, une exposition de peintures et de croquis des sœurs Edith et Sonja Hennino, sans oublier les balades à dos de poney et autres structures gonflables pour les enfants.
Jusqu’à la fin de saison, fin juin, les actions se succéderont. « Le lundi 12 mai, lundi de Pentecôte, les réunions ont lieu à partir de 13 h 30. A cette occasion, nous organisons une journée en soutien à l’association « Roseau ». Toutes les entrées lui seront reversées. La marraine, Valérie Begue, sera présente et se livrera aux jeux des dédicaces ».
« Le samedi 31 mai, ce sera spectacle brésilien. Les réunions ont lieu en nocturne et la soirée sera le moment de découvrir des danseuses brésiliennes, la capoeira, les produits du pays… Le mercredi 18 juin à l’occasion du Grand national du trot, Geneviève de Fontenay sera présente avec la représentante de la France au titre de miss Univers ».
L’apothéose sera le samedi 28 juin pour la dernière réunion de la saison. « Les courses ont lieu en nocturne. Le thème retenu sera le même que l’année dernière, à savoir le western. Ça a tellement bien marché en 2007 que l’on a voulu le refaire. Au programme, dès 17 heures, de la musique et de la danse country, du rodéo mécanique, des démonstrations de quarter horse, des baptêmes de sulky, des balades en calèche… sans oublier à partir de 19 heures un bœuf à la broche et en fin de soirée un feu d’artifice. L’année dernière, nous avions accueilli 3.000 personnes ».
C.T.
Samedi 26 avril, déjeuner sur l’herbe.
Ouverture des portes à 11 heures.
Espace pique-nique à partir de 12 heures.
Entrée : 5 euros, gratuit pour les moins de 18 ans.
Renseignements au 03.26.08.65.29.
L’atelier MAO en pleine effervescence.
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Les élèves des ateliers MAO (Musique assistée par ordinateur), scratch, batterie et guitare de l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge ont entamé la dernière ligne droite avant leur représentation pour l’édition 2008 du festival Croix-Rouge s’affiche qui débutera cette année mercredi 7 mai.
En effet, les deux semaines de vacances scolaires ont été pour eux l’occasion de peaufiner les derniers détails, grâce aux mini-stages organisés par l’association. Ils ont, en prime, eu la chance de recevoir deux de leurs idoles : Sat de la célèbre Fonky Family et Nessbeal, venus tout spécialement pour leur apporter des conseils quant à l’aspect scénique de leur prestation.
Les deux stars ont également montré leur savoir-faire en offrant aux jeunes du quartier un mini-concert au sein du Château d’eau.
Les vacances se sont terminées par une répétition générale qui a donné aux jeunes et à leurs animateurs Karim, Thierry, Bertrand et Salim « un aperçu très prometteur de ce que sera la scène musique samedi 10 mai de 19 à 21 heures, place d’Erlon » souligne Abdelali Errafii, le responsable de l’espace Ethnic’s et programmateur officiel du festival.
L’espace Watteau à Croix-Rouge a accueilli 60 vacanciers de 3 à 13 ans, encadrés par sept animateurs sur le thème du printemps. |
En raison des travaux liés l’eau potable et au tramway, la circulation est bien perturbée. Ces travaux devraient se terminer fin avril. |
Peu de parents lundi soir à la salle François-Mauriac. Les représentants du personnel ont été déçus.
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Peu de parents d’élèves ont répondu, lundi soir, à l’appel des représentants du personnel du collège Joliot-Curie.
Il y avait de la déception dans l’air. « On aurait bien sûr souhaité avoir plus de mobilisation », indiquent Yannick Lefebvre, pour le SNES-FSU et Dominique Royer, lpour le Snuipp-FSU. « Mais il y avait beaucoup de collègues et nous avons pu faire un état des lieux de la situation. »
Une situation qui n’est pas s’améliorée. « C’est au même point qu’il y a deux mois avec des dégradations supplémentaires, marquées par un fort absentéisme des 3e avant les vacances ».
Certes il y a des avancées. « Le rectorat nous a proposé quatre postes d’assistante pédagogique, en réalité deux postes à temps plein. C’est déjà ça mais ce n’est pas suffisant », notent les deux représentants du personnel. « Il nous a également promis un volant d’heures supplémentaires. Une solution qui n’est pas la meilleure. »
« On ne veut pas baisser les bras », ajoute Dominique Royer, « mais on s’essouffle. Nous sommes actuellement à trois journées de grève. À chaque fois, c’est une journée de salaire en moins. Un salaire que les collègues ne veulent plus perdre. »
« Pour sortir de cette situation, il faudrait pouvoir travailller avec les familles, les associations extérieures. Cela veut dire travailler autrement, avoir du temps à consacrer à des projets.. donc des moyens. » Cela viendra peut-être des parents eux-mêmes. « Lors de la discussion, les parents présents ont promis d’organiser une nouvelle réunion. Si ce sont eux qui se mobilisent, cela aura peut-être plus de poids. Une réunion a laquelle nous serions invités. »
Affaire à suivre.
C.T.
Chaque participant a disputé au moins six ou sept rencontres.
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Un tournoi, concocté par l’Olympique rémois de tennis de table, vient de réunir une quinzaine de jeunes.
« C’est une rencontre qui implique les enfants du club ayant participé à un stage de trois jours et ceux du quartier Croix du sud », explique Cyril Mayeux, entraîneur. « Nous voulons rassembler les licenciés faisant de la compétition avec les autres découvrant l’activité. Chaque participant dispute au moins six ou sept rencontres. »
Des matches précédés par une démonstration de deux joueurs de niveau national. Avec clarté, ces derniers se sont évertués à montrer l’exigence de la pratique du tennis de table. Mustapha, 13 ans, était là pour les écouter : « Je suis vraiment content de venir ici : ça permet de ne pas traîner dans la rue ; et on joue avec les gens qui sont dans le club, ce qui facilite la progression. » Pour Berrabah, 12 ans : « assister à ce tournoi me fait rencontrer des gens. »
Comme Léa, 12 ans, déjà Olympienne : « L’idée est bonne : il faut que d’autres jeunes apprennent aussi notre discipline ; moi je m’amuse bien. Il n’y a pas que la compétition, on ne vient pas pour gagner. »
Un dernier moment de convivialité pour terminer les vacances.
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A la Marelle, 1 allée des Béarnais à Pays-de-France, Agnès Bégusseau, coordinatrice de la Maison de l’enfance et Nicolas Cauet, animateur, ont organisé une rencontre intergénérationnelle pour la fin des vacances de printemps.
Au programme, une séance de marionnettes, un goûter en l’honneur de Waiman, pour son anniversaire, et en soirée, un spectacle au Ludoval sur Don Quichotte et le développement durable.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Les travaux du renouvellement urbain Croix-Rouge du secteur Pays-de-France ont commencé dans le virage Bonaparte-Arago.
Le parc, condamné pour une grande partie, est éventré en vue de la construction de deux blocs de logements résidentiels R + 4 avec parking privé souterrain et de 4.300 m2 de cellules commerciales qui s’élèveront en rez-de-rue, entre le virage Arago-Bonaparte et La Poste.
Plus tard, les actuels commerces du centre commercial Pays-de-France y seront réimplantés.
Il sera temps alors d’envisager la démolition de la passerelle, de son parking souterrain et du stationnement aux Picards où le 1 disparaîtra.
Le président rémois d’Émergence parmi les écoliers de Hon.
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L’association Émergence prépare dès à présent le festival Solijahfary 2008 qui se déroulera à Reims du 10 au 17 mai et dont les recettes serviront à financer l’aménagement de la bibliothèque scolaire de Hon au Bénin.
Construite sur plus de 100 m2 grâce aux bénévoles et à l’équipe présidée par Jean-Philippe Zinzindohoué, il reste à l’équiper pour qu’elle soit fonctionnelle et enfin profiter aux 225 enfants et à une centaine d’adultes du village.
Renseignements et programme : Émergence, association de coopération et de solidarité avec le Bénin, 4 allée des Picards (03.26.85.46.71.).
Dernièrement s’est déroulée la 3e manche du challenge NPCA à Charleville. L’équipe artistique du Reims Acrap patinage s’est déplacée avec 25 de ses patineurs.
Catégorie 1 :
-6 ans, Ylona Prey 1e ,
-8 ans, Clémentine Rocher le et Lola Negroni 4e , en garçon : Samuel Cadart 2e .
Catégorie 2 :
-8 ans, Fanny Hardy 6e ,
-10 ans, Justine Desouza 8e , Manon Legendre 10e, en garçons, Tom Hardy 1er,
13 ans, Sarah Bencheman 2e, Noémie Nivart 4e, en garçons Mattieu Crabs 1er.
Catégorie 3 :
-10 ans, Juliette Wary 1e .
Catégorie 4 :
- 13 ans, Morgann Prey , Maxine Baule 4e.
-16 ans, Suzan Dugois 3e, Inès Martel-leur 5e.
Catégorie 5 :
-13 ans, Mélanie Gabreau 3e ,
-16 ans, Caroline Negroni 1e ,
+16 ans, Marie Blazquez 2e et Lucile Sarrazin 3e.
Catégorie 7 :
+16 ans, Cécile Husson 1e.
Greg et son « Toutithéâtre » ont diverti petits et grands.
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« C’est la fête du printemps et à cette occasion, la Maison de quartier Wilson a invité les enfants des centres de loisirs Wilson-Sainte-Anne, Maison-Blanche et Etoile Croix-du-Sud, à des animations et distractions » : Dominique Mansuy, directeur de la Maison de quartier Wilson, accueillait, en compagnie de toute son équipe, les enfants venus assister à un spectacle de cirque de rue, à des jeux, parcours de motricité, maquillage et dégustation de crêpes, présentés par les MQ, l’association Bibliothèque pour Tous et la Sève et le Rameau.
Une vraie petite fête à l’ancienne, avec les stands entourant la placette où Greg, de l’association Trac, intervenant à l’école du cirque Supercrampe, a installé son matériel.
Devant les enfants qui rient de bon cœur à ses facéties, Greg déballe des objets hétéroclites de sa malle, en sort des balles, avec lesquelles il jongle, un accordéon dont il joue.
C’est un spectacle plein de fraîcheur, et les jeunes spectateurs, conquis, applaudissent le numéro.
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel. gouv.f...)
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.
3. Objet des marchés : marché de travaux ; aménagement de 11 locaux pour dépôt des ordures ménagères (tri sélectif), immeubles sis 25 à 37 et 39 à 45, rue Pierre-Taittinger à Reims.
4. Nombre et consistance des lots concernés par cette consultation : 6 lots répartis comme suit :
Lot 1 : maçonnerie.
Lot 2 : serrurerie.
Lot 3 : électricité.
Lot 4 : plomberie.
Lot 5 : carrelage.
Lot 6 : peinture.
5. Options : trois options obligatoires/
Option 1 (du lot 1) : dallage béton extérieur.
Option 2 (du lot 2) : barrière.
Option 3 (du lot 6) : peinture locaux électriques.
6. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
7. Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 30 jours et les congés payés).
8. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAM¬PAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
9. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
10. Critères d’attribution : valeur technique 20 % ; prix 80 %.
11. Délai de validité des offres : 120 jours.
12. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises contre récépissé à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
Les offres peuvent également être transmises par voie élec¬tronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.
13. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de REIMS HABITAT CHAM¬PAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.
14. Date limite de remise des offres : 15 mai 2008, à 17 heures.
15. Date d’envoi de l’avis à la publication : 17 avril 2008.
Maël Gozcu fait partie des espoirs rémois. Christian LANTENOIS
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Le Cpar Reims accueillait la finale du challenge NPCA (Nord, Picardie, Champagne-Ardenne) à la Patinoire du Nautilud.
Très serrée aux points, cette compétition est finalement revenue au club hôte qui a triomphé avec 475 points devant le Rap (457) et Charleville (414), Wasquehal, Dunkerque, Valenciennes et Amiens, se retrouvant nettement derrière les trois podiums.
La Coupe des Sacres est une compétition permettant aux patineurs de tous niveaux de connaître les joies de la compétition sans contrainte de performance.
Plus de 100 participants avec une très forte délégation du Cpar (33) allant des moins de 6 ans aux plus de 40 ans. Quelques patineurs classés en 2e division et surclassés pouvaient prendre part à cette manifestation rémoise.
En dehors de ces deux épreuves, de jeunes talents se sont affrontés (hors concours) dans le cadre de la découverte de nouveaux espoirs de la discipline.
Chez les filles,
belle victoire d’Agathe Quiroga (Cpar) en moins de 8 ans, Fanny Hardy (Rap) terminant 3e.
Autres médailles d’or pour Elena Dimario (Cpar / – 10 an), Elsa Darbois (Cpar /-13 ans), Morgann Prey (Rap / –13 ans), Marion Etiennot (Cpar / – 13 ans), Solenn Etiennot (Cpar / – 13 ans), Appoline Collignon (Cpar / 16 ans), Caroline Negroni (Rap / – 16 ans), Caroline Jacques (Cpar / + 16 ans), Pauline Mulpas (Cpar / – 16 ans).
En garçons,
Tom Hardy (Rap / – 10 ans), Gianni Daffini (Rap / – 13 ans), Loris Pierret (Cpar / – 13 ans) et son frère Lorenzo (Cpar / – 16 ans) furent les plus en vue.
Moins de 6 ans : 5. Lilirose Plomion (Cpar) ; 6. El Hafid (Cpar).
Moins de 8 ans / Cl : 6. Rocher (Rap) ; 7. Negroni (Rap).
Moins de 8 ans / C2 : 1. Quiroga (Cpar) ; 3.Hardy (Rap) ; 5. Dubois (Rap).
Moins de 10 ans / C2 : 1. Dimarion (Cpar) ; 4. Gomez (Cpar) ; 5. Cimonnard (Cpar) ; 6. Dubois (Cpar).
Moins de 13 ans / Cl : 5. Dubois (Cpar) ; 4.Pruvost (Cpar) ; 7. Poulet (Cpar)
Moins de 13 ans / C2 : 2. Bencheman (Rap) ; 3. Ni¬vart (Rap).
Moins de 13 ans / C3 : 1. Darbois (Cpar)
Moins de 13 ans /C4 : 1. Prey (Rap) ; 3. Baule (Rap) ; 5. Cichosterski (Cpar) ; 6. Pannier (Cpar).
Moins de 13 ans / C5 : 1. M. Etiennot (Cpar) ; 2. Forget (Cpar) ; 4. Gabreau (Rap).
Moins de 13 ans / C6 : 1. S. Etiennot (Cpar) ; 2. Laroussi (Rap).
Moins de 16 ans / C4 : 1. Collignon (Cpar) ; Martelleur (Rap).
Moins de 16 ans / C5 : 1. Negroni (Rap)
Moins de 16 ans / C6 : 2. Manceaux (Rap)
+ 16 ans / C5 : 1.Jacques (Cpar) ; 2. Sarrazin (Rap) ; 3.Blasquez (Rap) ; 4. Troesler (Cpar).
+ 16 ans / C6 : 1. Mulpas (Cpar).
Moins de 10 ans / C2 : 1. Hardy (Rap).
Moins de 13 ans / C5 : 1. Daffini (Rap)
Moins de 13 ans / C6 : 1. Loris Pierret (Cpar) ; 2. Gozcu (Cpar) ;
Moins de 16 ans / C7 : 1. Lorenzo Pierret (Cpar)
1. Sixtine Marlois (Cpar) ;
2. Jennifer Loup (Rap) ;
3. Ophélie Cadet (Rap) ;
4. Pauline Hologne (Cpar) ;
5. Barbara Jaujou (Rap) ;
6. Sylvie Wypart (Cpar) ;
7. Elodie Johannes (Rap) ;
8. Laurence Wypart (Cpar) ;
9. Lhouina Maziz (Cpar) ;
10. Marine Harel (Cpar).
La première rencontre intervilles a réuni huit équipes marnaises.
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C’est le premier tournoi « intervilles » de foot en salle destiné aux 12/15 ans.
70 jeunes, 8 équipes engagées, dans une série de rencontres, vendredi dernier, au gymnase Raoul-Bourgoin.
Mis en place par les Maisons de Quartier Croix-Rouge et Maison-Blanche, le tournoi était coordonné par les animateurs et éducateurs sportifs de proximité Tarek Maamoun et Ali Aït Yahia.
Ce dernier, satisfait de noter la présence de Daniel Richard, de l’AS Murigny, chargé de la détection des futurs espoirs du club, souligne : « Nous avons toujours souhaité être complémentaires des clubs sportifs. Cet intérêt soudain nous conforte dans nos pratiques ».
Très active en bord de terrain, Rafika Nouar, du service départemental de prévention, veille au bon déroulement, assistée de deux correspondants de quartier.
Preuve, s’il en était besoin, de l’intérêt de cette rencontre originale, la remise des coupes a vu se déplacer, parmi de nombreuses personnalités des services sociaux et sportifs de la ville, l’adjointe aux sports Christine Michel :
« Une bonne initiative, qui permet de rassembler des jeunes des quartiers. Une bonne idée aussi d’élargir aux autres villes ».
En connaisseuse, elle a apprécié « les gestes techniques de quelques joueurs, avec des déplacements et des « roulettes » intéressantes »…
Après ce premier tournoi, les organisateurs visent une prochaine étape : un tournoi interrégions !
1er Croix-Rouge-3 ;
2e Charleville ;
3e Epernay ;
4e Châlons-en-Champagne ;
5e Croix-Rouge-1 ;
6e Wilson-Maison-Blanche ;
7e Croix-Rouge-2 ;
8e Fismes.
L’association de promotion de Pays-de-France organise sa journée familiale pêche, le dimanche 27 avril.
La participation demandée est de 10 euros pour les pêcheurs, gratuité pour les enfants et pour les non-pêcheurs : « Nous nous retrouverons au Moulin-Carré à Chatillon-sur-Marne, à partir de 7 heures du matin », précise la présidente, Christiane Monflier.
Inscriptions au local de l’APPF, au 1 allée des Picards, les mardis et vendredis de 14 à 18 heures (Tél. 03.26.36.65.71.).
Dans le bloc opératoire improvisé, les enfants aideront le chirurgien dans son intervention.
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Pour la troisième année consécutive, les étudiants en médecine de Reims organisent l’opération « hôpital des nounours ».
Objectif : sensibiliser les enfants aux blouses blanches.
CETTE année, les étudiants en médecine de Reims installeront « l’hôpital des nounours » à l’école Raoul-Dufy. En ce lieu, pendant deux jours, les lundi 28 et mardi 29 avril, ils interviendront sur les bobos des ours en peluche de 111 écoliers. Des enfants de 3 à 6 ans.
« L’objectif principal de ce projet est d’améliorer la relation entre le médecin et l’enfant », rappelle Alexandre Lourdelle, étudiant en 2e année de médecine, un des organisateurs de la manifestation. « L’idée est d’essayer de réduire leur peur, leur angoisse vis-à-vis de la « blouse blanche » », ajoute-t-il.
Pour les futurs professionnels de la santé, il s’agit aussi de se familiariser avec un public qu’ils n’ont pas forcément l’habitude de rencontrer. Une action qui s’intègre également au programme scolaire notamment dans la sensibilisation aux problèmes d’hygiène et de santé.
Le temps de deux journées, une salle de l’école sera transformée en hôpital. Pour l’occasion, une salle d’attente, un cabinet médical, un service de radiologie, un bloc opératoire, une pharmacie et un cabinet bucco-dentaire seront « reconstitués ».
« En amont », explique l’étudiant, « tout une préparation a été réalisée avec les écoliers et les enseignants. Ont par exemple été décidées les pathologies des nounours. Un carnet de santé a même été édité. Et le jour de la consultation, tout se passera comme dans un vrai hôpital ».
Il précise : « L’enfant et sa peluche rencontreront d’abord la secrétaire médicale qui les orientera en fonction de la pathologie du nounours dans le mini-hôpital recréé. Dans les salles, les étudiants en médecine, devenus « nounoursologues », seront là pour soigner les peluches mais aussi pour discuter avec les enfants, leur expliquer ce qu’ils vont faire, les réconforter… Les enfants suivent ainsi la consultation dans la totalité, de l’accueil à la pharmacie, sans être eux-mêmes patients ».
« Tout est fait comme de vrai », indique encore le jeune homme. « Une radio pour un bras cassé, une opération dans le bloc opératoire… En ce lieu, par exemple, l’enfant va aider le chirurgien : il apprendra à se laver correctement les mains et à s’habiller… A la pharmacie, les étudiants remettront les médicaments prescrits pour leur nounours en insistant sur la différence en les médicaments et les bonbons… ».
80 étudiants en médecine, dentaire, pharma et kiné, principalement des 2e années et des externes, s’investissent chaque année dans cette opération.
« C’est un projet important », ajoute Alexandre Lourdelle. « Dans notre cursus universitaire proprement dit, cela ne nous apporte rien dans le sens ou ça ne valide pas de modules. En revanche, je n’envisage pas de faire médecine sans ces incursions sur le terrain. Bien sûr, il y a un côté ludique avec les ours en peluche et les enfants mais nous le faisons tous très sérieusement ».
Des lettres en témoignent. « Les retours sont très positifs », assure l’étudiant. « Il n’est pas rare de recevoir des lettres d’infirmières qui ont reçu des enfants ayant participé à cette action. Les enfants leur en parlent. Et les infirmières nous écrivent qu’ils sont vraiment beaucoup plus sereins ».
Catherine Tellier
Regardez cet événement en vidéo sur http://www.maregion.tv/
Trampoline à René Tys.
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Carton plein au gymnase Galliéni.
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Rooler au gymnase François Legros. |
Les vacances se suivent et ne se ressemblent pas pour les activités Ludosports proposés au 4-11 ans. Avec la pluie, les gymnases ont été pris d’assaut lors de ces vacances. Images.
« ON a tourné avec une moyenne jour de 360 à 400 enfants. Presque du jamais vu » témoigne Laétitia Mareigner, chef de projet des activités Ludosports proposée gratuitement par la ville à chaque vacances scolaires.
Oui, en raison de ces vacances pluvieuses et la météo incertaine, beaucoup de parents n’ont pas manqué d’envoyer leurs enfants de 4 à 11 ans participer aux nombreuses activités proposées dans les gymnases aux quatre coins de la ville.
« On ne pouvait accueillir que 84 participants à la patinoire et 30 à 36 dans les autres sites. Vu l’affluence certains jours on a dû refuser du monde à la patinoire Barot, au gymnase Galliéni et au gymnase Courcelles ».
Au gymnase François Legros, c’est le jour et la nuit avec les vacances précédentes. On avait du mal à avoir 20 enfants, on en a eu jusqu’à 46.
Basket à Léo Borgniet, activités multiples de ballons à Galliéni, initiation à la glace matches dde hockey à Barot, les jeunes ont pu se défouler, parfaitement encadrés.
En effet pour assurer l’encadrement, il y avait chaque jour seize éducateurs territoriaux de la ville et une vingtaine de vaccataires.
Durant ces vacances sportives, les enfants qui sont pris en charge en début de semaine dans un gymnase sont constitués en groupe qui vont ensuite transportés en bus, pratiquer d’autres activités dans un autre quartier.
Certains ont été faire du trempoline à René Tys. D’autres ont pratiqué de l’accobranches.
Les plus petits sur les mini ateliers à Tinqueux, les plus grands au Parc de Champagne.
Le prochain rendez-vous Ludosports est fixé au mois de juillet, aussitôt le meeting d’athlétisme.
Alain Moyat
Les policiers ont ouvert plusieurs enquêtes à la suite de trois feux de voitures qui se sont déclarés ou ont été provoqués au cours de la nuit de samedi à dimanche.
…
Quelques minutes après minuit, un autre feu a été signalé dans le quartier Croix-Rouge cette fois, allée Edgar-Degas. Il s’agissait cette fois d’une Peugeot 307.
Le feu a pris dans l’habitacle de la voiture et les enquêteurs du commissariat ont découvert des restes de bouteille plastique ayant contenu un liquide inflammable.
…
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080420c
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du 07 AU 13 avril 2008 - N° 7232
Par jugement du 04/03/2008, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : ASSEFFAR Mohamed, Avenue du Général Bonaparte, C. C. des Pays de France - 51100 REIMS.
Activité : Alimentation générale, import export de tous produits alimentaires ou non alimentaires au détail, gros, demi gros, location de cassettes audiovisuelles et tout matériel hifi et audiovisuel, appareils électroménager, pâtisserie, viennoiserie, pain en dépôt, boucherie.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
64261
Ce dispositif de soutien individuel existe dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale.
C’est une idée ambitieuse à laquelle la Ville de Reims adhère pleinement. Sur les quartiers prioritaires*, bien des enfants présentent des signes de fragilité sans disposer d’un environnement favorable à leur épanouissement. Aussi, la démarche engagée vise-t-elle un aspect éducatif dans son ensemble, englobant la citoyenneté et même la prévention santé.
« Nous avons voulu construire une réponse adaptée sur le terrain » Il s’agit de construire une réponse adaptée au plus près des réalités du terrain. Le dispositif est piloté par le Centre Communal d’Action Sociale en liaison étroite avec la Direction de la Cohésion Sociale de la Ville, financeur des actions collectives.
La mise en place de l’équipe pluridisciplinaire s’est fondée sur la mise en réseau des acteurs existants : éducateurs, travailleurs sociaux et enseignants.
A cette équipe de proposer aux enfants identifiés des réponses sur mesure. Pour y parvenir, elle dispose de moyens et de nouveaux outils :
une charte de confidentialité favorise les échanges et la circulation de l’information entre partenaires.
le principe d’un contrat responsabilise les familles et les enfants.
récemment, une évaluation individuelle a également été mise en place
Concrètement, dans des domaines aussi variés que l’orthophonie, le soutien psychologique, les aides à l’activité sportive, culturelle ou périscolaire, des actions personnalisées peuvent ainsi être financées.
A ce jour 233 parcours individualisés et personnalisés ont été élaborés.
La Direction de la Cohésion Sociale explore pour sa part les offres collectives en s’appuyant notamment sur les Maisons de quartier.
* Deux coordonnateurs sont opérationnels, le premier intervient sur Croix-Rouge ; le second, sur Orgeval et Epinettes.
Voilà près de six mois que les secteurs sportifs des Maisons de quartier et la Direction des Sports de Reims ont lancé le Challenge Futsal (football en salle).
Quatre gymnases sont mis à disposition des participants chaque mercredi après-midi. Ce Challenge regroupe déjà douze équipes et doit durer un an. « La finalité de cette compétition est de faire tomber les barrières géographiques qui existent parfois entre les jeunes des quartiers. Grâce à ce Challenge, ils échangent et cela permet aussi aux personnels des Maisons de quartier et aux éducateurs de la Ville de soutenir un projet commun », explique Saïd Rezgi, l’une des chevilles ouvrière de l’opération.
Le Challenge Futsal aura son point d’orgue le 15 juin prochain, où toutes les équipes se réuniront pour un tournoi qui se déroulera sur une seule journée.
Pour plus de renseignements contactez la Maison de quartier Cernay au 0326073911.
Les habitués de la Médiathèque Croix-Rouge peuvent lire avant d’entrer des phrases prononcées par Muhammad Ali avant l’un de ses plus extraordinaires combats. Le boxeur mythique est en effet l’auteur de ce texte poétique à souhait :
« J’ai mâché des arbres
J’ai lutté avec un alligator
J’ai catché avec une baleine
Mis des menottes aux éclairs
Foutu la foudre en taule
La semaine dernière j’ai tué un roc
Massacré une pierre et
Expédié une brique à l’hosto
Je suis tellement mauvais
Que je rends la médecine malade. »
Ces mots apposés sous forme de multiples pièces métalliques polies, tubulaires et aux surfaces à pans coupés inclinés de façon variable produisent un effet de brillance.
L’oeuvre de Sylvain Grout et Yann Mazéas repose sur un partenariat quasi unique en France dans le cadre du 1 % artistique puisqu’il rassemble la Ville de Reims, l’Etat et le club d’entreprises Prisme qui soutient la création contemporaine.
A la Médiathèque, une borne informatique vous dit tout sur cette démarche et ses sources.
En avril à la Médiathèque Croix-Rouge, c’est sous le signe du développement durable que se déroule un ensemble d’actions sur le thème de l’eau :
une exposition “L’eau, de la source au robinet” proposée en partenariat avec la Direction de l’eau et de l’assainissement de Reims Métropole et l’Agence de l’Eau Seine Normandie
un atelier d’expérimentation consacré à “la magie de l’eau” avec l’association Les Petits Débrouillards de Champagne-Ardenne (16 avril)
du théâtre conté, “Le grand voyage de Balthazar” (18 avril)
un spectacle “Histoire courte d’une goutte d’eau” par la Compagnie Atipik (23 avril)
une projection de diapositives “Vive l’eau !” de Fabienne David (30 avril).
L’accès à ces manifestations se fait sur inscription auprès de la Médiathèque.
Rejoignez les marcheurs du dimanche !
En ce début de printemps, on prend l’air !
Vincent vous propose la boucle de l’Ardre (13 km) le 13 avril.
Alors pour se détendre en famille ou entre amis, rendez-vous à 8h15 devant l’Espace Watteau (covoiturage possible).
Pour en savoir plus, contactez le secrétariat au 0326360350.
C’est les vacances pour les tout-petits : le service multi-accueil sera fermé du lundi 14 au vendredi 18 avril.
Henri Lamiral (1913-2007) est une figure de Maison Blanche ! Employé aux PTT où il a achevé sa carrière en tant que contrôleur, il a créé une des toutes premières coopératives réservée au personnel du central. Résistant au coeur du réseau téléphonique et prisonnier de guerre, il a pris part à des sabotages et à des évasions. Durant les années 70, il a présidé les Anciens Combattants de la Marne.
Président de la Commune Libre de Maison Blanche, premier quartier rémois libéré avec l’hôpital, Henri Lamiral a pris une part active dans la reconstruction et l’animation du quartier. Fondateur de l’Etoile Gymnique, délégué départemental de l’Education nationale durant 50 ans, créateur de la Maison pour Tous, président-fondateur de la Maison des Jeunes et de la Culture Maison Blanche, une des toutes premières MJC de France, Henri Lamiral aura également été, 25 ans durant, président des Aides Ménagères.
De nombreuses médailles et distinctions ont jalonné le parcours de cet humaniste.
Mercredi, marché Croix du Sud, esplanade Paul Cézanne.
Samedi, marché Croix-Rouge, rue Pierre Taittinger (parking municipal).
Les marchés ont lieu de 6 h à 13 h du 1er octobre au 31 mars et de 5 h à 13 h du 1er avril au 30 septembre.
Les marchés tombant un jour férié sont maintenus, sauf à la Toussaint, à Noël et au Jour de l’An.
Ce sera le thème fort d’un projet global pour un quartier qui entend résonner hors de son périmètre.
Cette année, en concertation avec la Maison de quartier, José Mendez épaulé par un chorégraphe, David Moyen et un ingénieur du son, Antoine Reibre a mobilisé les partenaires associatifs, sélectionné 13 jeunes comédiens et danseurs amateurs lors d’un casting et 13 écoles qui, avec l’aide de plasticiens (Nicolas Baumann, Caroline Valette et Dominique Boisjeol), réaliseront des tableaux intégrables comme décor au spectacle itinérant de quartier en coeur de ville et jusqu’aux communes voisines…
Le festival proprement dit se déroulera du 7 au 11 mai avec un prolongement au C.R.O.U.S.
Concert sur le parking de l’hippodrome, regroupements sur les secteurs Croix du Sud, Pays de France et Université et scène dressée Place d’Erlon donnent l’idée d’une manifestation décidément vivante, se déployant partout et aussi toute l’année à la faveur d’un concert en février, de la Fête des voisins en mai et de l’exposition photo de décembre…
C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.
La direction de la Voirie a procédé à la réfection des trottoirs au droit du nouveau pôle logistique du CHU.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080420a
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du 07 AU 13 avril 2008 - N° 7232
La maison témoin de Breuil-sur-Vesle dispose de multiples dispositifs permettant d’économiser l’énergie thermique, notamment sur la façade sud des capteurs photovoltaïques, des capteurs solaires pour l’eau chaude (en haut à gauche du toit) et un puits canadien (au pied de la maison à droite).
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Energies. Le lycée professionnel rémois va contrôler à distance les performances de la maison modèle de développement durable construite à Breuil-sur-Vesle.
C’est dans une modeste commune de la Marne que s’est déroulé l’un des points d’orgue de la semaine du développement durable, à Breuil-sur-Vesle, où était dévoilée au grand public la « maison laboratoire » construite par le Bâtiment Associé, l’entreprise du président régional de la Fédération du Bâtiment, Pierre Possémé. Ces portes ouvertes avaient pour objectif de dévoiler le savoir-faire en matière de développement durable de ces concepteurs, avant que ce pavillon ne soit confié en location à une famille de 4 à 5 personnes en septembre.
Ossature bois, parois en béton de chanvre et chaux, puits canadien (un forage qui permet de rafraîchir l’air en été et de le réchauffer en hiver), capteurs photovoltaïques et capteurs solaires, pompe à chaleur air/ eau, isolation à la laine de bois… Le Bâtiment Associé n’a pas lésiné sur les coûts. L’objectif de la maison est en effet de servir une fois occupée d’outil de mesure du bénéfice énergétique apporté par ces matériaux naturels.
Un partenariat avec le lycée Arago a permis de faire participer plusieurs classes via l’implication de sept professeurs à divers stades du chantier. Dans le cadre de ce partenariat, le pavillon de Breuil-¬sur-Vesle a par ailleurs été placé sous surveillance pour une période d’au moins deux ans. Sous la direction de Sébastien Thouvenin, professeur en génie climatique*, des capteurs thermiques ont été placés au sein même des murs en béton chanvre de 30 centimètres d’épaisseur. Ils doivent en mesurer précisément les performances en terme d’isolation, qu’on estime environ dix à quinze fois supérieures à celles du béton ordinaire.
Ces éléments de contrôle et le logiciel qui permettra de les utiliser à distance une fois la maison occupée ont été financés par EDF — au titre notamment de sa participation au pôle IAR au sein de la commission bioénergie — pour une valeur de 10 000 €. C’est peu par rapport au coût de cette maison (environ 300000€), mais c’est une dépense fondamentale pour permettre de chiffrer l’intérêt d’un tel dispositif.
Avec ces capteurs, on estime en effet que la capacité de production d’électricité tournera autour de 3800W/ h. Grâce à ses performances en terme d’isolation la maison de Breuil-sur-Vesle est en effet appelée à être largement bénéficiaire en terme énergétique, d’autant qu’EDF rachète l’énergie produite par les capteurs photovoltaïques bien plus cher qu’elle ne facture l’électricité consommée. Tout l’intérêt de l’opération est donc de mesurer en combien de temps le surcoût de tels équipements pourra être amorti.
La passerelle Croix-du-Sud sera bientôt un souvenir.
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Les travaux de démolition de la passerelle piétonne de Croix-du-Sud (avenue Léon-Blum) vont commencer.
Engagés par la ville, ils dureront dix semaines.
L’appel public à la concurrence a été lancé.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Reims habitat a lancé un appel d’offres pour un marché de maîtrise d’œuvre : création et transformation d’ouvrages d’infrastructure dans Croix-Rouge.
Reims habitat va engager des travaux de ravalement des façades et de réfection des jardinières en béton au 32-46 esplanade Eisenhower et au 39-45 rue Pierre-Taittinger.
L’Effort rémois va lancer une opération de réhabilitation d’une première tranche de 451 logements, allée Edgar-Degas et place Auguste-Rodin.
La ville va remettre au Foyer rémois, à titre gratuit, une emprise d’environ 1.588 m² au 53-55, rue Taittinger. Par ailleurs, 17 ascenseurs du secteur Pays-de-France vont être rénovés.
Mohammed El Haddaoui tient permanence au 6, allée des Picards (03.26.36.84.06.)
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Comme tous les ans, l’association des Travailleurs maghrébins de France (Atmf) met à la disposition des habitants du quartier et autres une permanence sociale avec accueil physique et téléphonique, informations, médiation, service d’écrivain public et accompagnement administratif pour leur faciliter la tâche.
« Notre objectif est d’aider les personnes en difficulté pour favoriser leur accès au droit et à l’information. En informant les citoyens de leurs droits et de leurs obligations, nous cherchons à favoriser l’intégration de la population d’origine étrangère. De la sorte, nous espérons faire émerger la solidarité dans le quartier » précise le président Mohammed El Haddaoui.
Il a l’intention, dans un avenir proche, de créer avec d’autres structures « un collectif des associations pour redynamiser le travail associatif dans le quartier. »
Comme tous les ans, l’association de promotion de Pays-de-¬France organise sa journée familiale pêche, le dimanche 27 avril.
La participation est de 10 euros pour les pêcheurs. (Gratuit pour les enfants et pour les non-pêcheurs) : Nous nous retrouverons au Moulin-Carré à Châtillon-sur-Marne, à partir de 7 heures du matin », précise la présidente, Christiane Monnier.
Inscriptions au local de l’APPF, au 1 allée des Picards, les mardis et vendredis après-midi de 14à 18 heures (Tél. 03.26.36.65.71.).
Un feu de local de vide-ordures a été allumé à 2 heures du matin jeudi au 38 rue de Rilly-la-Montagne.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080417g
Article paru dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 17 avril 2008 il a été constitué la société à responsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : S.A.R.L.
DÉNOMINATION : MASTER HABITAT.
CAPITAL : 10.000 (dix mille) E, divisés en 500 parts de 20 chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : Bâtiment général.
DURÉÉ : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.
SIÉGE : 9 allée Yves Gandon -51100 REIMS.
GÉRANCE Monsieur YÉSILOZ Hasan, demeurant 2 A rue Gérard
Chardonnet - 51350 CORMONTREUIL.
DÉBUT D’ACTIVITÉ : Dès son immatriculation au R.C.S. de REIMS (Marne).
Pour avis : Le gérant.
65191
Nouveau venu dans le quartier des Hauts de Murigny, le Cyber Café Y-Média a ouvert ses portes le 10 avril dernier
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Inauguré il y a une semaine à peine, le nouveau Cyber Café Y-Média compte bien s’installer durablement dans le quartier des Hauts de Murigny à Reims, service de proximité oblige !
Chacun le sait, le XXIe siècle sera résolument tourné vers le multimédia.
Maîtriser l’outil informatique, apprendre à surfer efficacement sur le net et développer les échanges et la communication sont des étapes indispensables pour se familiariser au mieux avec ces nouvelles technologies.
Ceci, Chantal Domboué l’a bien compris et la récente ouverture de son établissement n’est pas un hasard :
« Depuis l’ouverture, les gens n’arrêtent pas de défiler dans le local. La majeure partie d’entre eux apprécient l’ouverture de ce nouveau service de proximité. Ainsi, ils n’ont plus besoin de se rendre au centre-ville pour aller consulter leurs e-mail, téléphoner ou faire leurs photocopies ».
Car loin de sa définition propre (un lieu public où l’on peut accéder à internet tout en buvant un verre), le Cyber Café de Chantal offre bien plus de services au public. Surfer sur la toile, utiliser les outils bureautiques mis à disposition (traitement de texte, impression…), suivre des cours d’informatique ou encore téléphoner à tarifs réduits vers l’international et l’Afrique en particulier, autant d’options désormais possibles pour les habitants du quartier des Hauts de Murigny.
Néanmoins pour Chantal, le chemin a été long avant de parvenir à ce résultat. Amorcé en juin dernier, une dizaine de mois a été nécessaire au projet avant que celui-ci ne parvienne à son terme.
« Chantal Domboué s’est complètement impliquée dans ce projet qui lui tenait à coeur et c’est avec un dossier complet qu’elle a pris contact avec nous »
explique Karine Gaulier, responsable du service Communication de Reims Habitat, qui ajoute :
« Nous lui avons proposé ce local, situé dans le périmètre de la zone franche urbaine, et qui était alors un appartement type 2. Son emplacement est stratégique : au milieu d’un quartier peuplé, l’hôpital et les facultés sont à proximité, tout comme la future gare du tramway ».
Pourvu de dix ordinateurs, de trois cabines téléphoniques et d’un équipement prévu pour les handicapés ainsi qu’un coin « snack », l’endroit a de quoi séduire au milieu d’un quartier qui ne cesse par ailleurs de se développer.
Reims Habitat s’inscrit au demeurant dans cette politique, comme le rappelle Sylvie Chéru, responsable des clients professionnels : « Notre première volonté est de mettre en valeur et développer tous ces commerces de proximité. La seule contrainte, c’est que l’activité proposée n’apporte pas de nuisances aux résidents ».
Le Cyber Café Y-Média semble donc être sur de bons rails. Idéalement placé, soutenu par la Ville et dirigé par une responsable passionnée, il ne lui reste qu’à prendre ses marques et fidéliser une clientèle qui semble d’ores et déjà réceptive.
Aymeric Henniaux
Cyber Café Y-Média – 12, place Maurice Utrillo à Reims
Tél. 03.26.06.56.26
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Préparé en grande partie par l’équipe municipale sortante, le budget primitif 2008 adopté lundi s’élève à 427 millions d’euros. Entre temps, il a subi quelques réajustements initiés par la nouvelle majorité.
…
Concernant les 231,89M€ de budget de fonctionnement, les recettes s’articulent pour 27,70% de la somme en dotations et compensations de l’Etat, des versements de Reims Métropole pour 43,20M€ ou encore de la fiscalité directe locale (103,09M€ soit 44,46%). Concernant cette dernière, les bases avaient été réévaluées de 1,6% par l’Etat (taxes foncières, foncier non bâti et taxe d’habitation (+ 1,64%)).
Dans le domaine des dépenses, sur une même base de 231,89M€, le plus gros poste est occupé par les frais de personnel à hauteur de 78,99 M€ soit une augmentation de 2,25 % par rapport à 2007, les subventions, participations et manifestations (62,05 M€, -1,26%), les dépenses de gestion courante et exceptionnelles (46,29 M€), les intérêts de dette et frais financiers se chiffrant quant à eux à 15,55 M€.
La section investissement du budget principal de la Ville s’équilibre en dépenses et recettes à hauteur de 195,02 M€ (+8,17% par rapport à 2007). Elle tient compte des subventions d’équipement (28,19 M€ dont 22 M€ pour la participation à la réalisation de la ligne de tramway), d’opérations nouvelles, majoritairement des acquisitions foncières (10,31 M€ sur un total de 14,43 M€ ), des investissements courants regroupant notamment le sport et la jeunesse, les domaines culturels, les aménagements urbains, le tourisme (22,35 M€, contre 31,47 M€ en 2007) et des coups partis, à savoir les travaux lancés par l’ancienne municipalité pour un total de 34,39 M€.
Il s’agit (liste non exhaustive)
de la reconstruction du Stade Auguste Delaune : 10,66 M€,
de la rue Buirette : 2,30 M€,
du nouveau gymnase Croix-Rouge : 3,04 M€,
de la mise en conformité de la Comédie : 1,23M €
ou encore du Centre International de Séjour : 0,94 M€.
O.M
J.C. Laval avec MVCR, ULCR, Polygones, At’Hom et Pays-de-France
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L’adjoint Jean-Claude Laval a profité de la présence de cinq présidents d’associations de défense des locataires de Croix-Rouge, réunis à l’occasion d’une assemblée générale, pour détailler les axes d’action définis par la nouvelle municipalité auprès des associations : réactivité, contrôle, assistance aux associations, aide technique et surtout attribution possible de subventions.
« Nous voulons créer de nouveaux rapports avec les organismes logeurs et vous soutenir, car vous êtes un contrepouvoir indispensable. Vous représentez les intérêts de tous les locataires et donc également ceux de l’organisme logeur et de son patrimoine. Enfin, vous créez du lien social ! »
Pour Jean-Claude Laval, « les bailleurs doivent respecter la loi et mieux, aller au devant de leurs locataires ! S’il le faut, la municipalité usera du rappel à la loi et exercera la puissance publique pour le leur rappeler ! »
Un travail dans une ambiance studieuse mais détendue.
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Une trentaine d’élèves de 3e font « L’école après l’école » pendant les vacances au collège François-Legros, qui leur a proposé une préparation aux épreuves du diplôme national du brevet dans le cadre de l’opération « École ouverte ».
Encadrés par cinq professeurs qui ont consacré une partie de leurs congés à les aider, ces jeunes apprennent ou revoient comment appréhender un sujet, s’organiser et gérer le temps pour, le jour de l’examen, être à la fois plus efficaces et un peu plus rassurés.
Le principal Philippe Labiausse est satisfait : « Gageons que grâce à cette opération, la réussite sera au rendez-vous en juin prochain. »
La jeune femme s’est engagée dans le volontariat depuis septembre 2006 : « J’avais envie de me rendre utile », insiste-t-elle.
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Khadija Bati est volontaire à l’Afev, association de la fondation étudiante pour la ville. Elle vient de réaliser un rallye citoyen destiné aux enfants du quartier Croix-Rouge.
« L’IDÉE est de faire découvrir ou redécouvrir Reims aux enfants de Croix-Rouge et leur mon- trer que leur ville ne se limite pas aux frontières de leur quartier. Par une manière un peu plus ludique, c’est aussi les impliquer dans leur vie de futur citoyen ».
Le scénario est écrit. Il est signé Khadija Bati, une étudiante en première année de préparation au Capes de sciences physiques.
Depuis deux ans, cette jeune femme de 25 ans s’est investie dans le volontariat auprès de l’Afev (Association de la fondation étudiante pour la ville).
C’est d’ailleurs au sein de cette association qu’elle vient de monter un joli projet baptisé « rallye citoyen » et qui verra sa réalisation la semaine prochaine.
Participeront à cette opération 46 enfants de Croix-Rouge de 10 à 13 ans. « Ce quartier a été choisi tout simplement parce que l’afev, qui existe depuis deux ans à Reims, y a son antenne », explique Khadija Bati. « Et que tous les étudiants bénévoles suivent des enfants de ce quartier ».
Son projet se décompose en deux temps. « Une première étape où les enfants et les étudiants participeront à des ateliers éducatifs. Des jeux seront organisés en rapport avec le parcours qu’ils devront faire ».
Ces ateliers se dérouleront lundi 21 avril et samedi 26 avril.
« La seconde étape concerne le rallye en lui-même. Il fera l’objet de deux parcours différents », indique l’étudiante qui précise que « ce n’est qu’à la fin des ateliers, que les enfants recevront une carte aux trésors leur donnant accès au rallye ».
Les parcours se dérouleront le mercredi 30 avril après-midi (pour le premier) et le mercredi 7 mai (pour le second). « L’objectif est de donner envie aux enfants de connaître leur ville à travers une activité à la fois pédagogique et ludique. Le premier rallye concernera le Reims historique de la période gallo-romaine
jusqu’aux sacres. Au cours de l’atelier, ils réaliseront des vitraux, des sceaux…
Le deuxième parcours les emmènera à l’époque actuelle avec notamment la visite de la salle du conseil municipal. L’atelier sera l’occasion de procéder à l’élection d’un maire. »
Chaque enfant sera accompagné d’un étudiant bénévole de l’afev. « 60 % des étudiants ne sont pas de Reims, cela sera aussi l’occasion pour eux de découvrir la ville ».
« Au final », poursuit la jeune femme, « les deux groupes se réuniront pour réaliser une frise chronologique. Une soirée sera également organisée avec les parents, les enfants, les étudiants et les partenaires, au cours de laquelle nous présenterons toutes nos réalisations. L’occasion d’un moment d’échange avec tout le monde ».
Khadija Bati a reçu une allocation de 500 euros grâce à l’opération « envie d’agir ». « Cela m’a bien aidée pour le financement", assure-t-elle. Je suis Rémoise depuis 7 ans mais je me suis aperçue que je ne connaissais pas très bien la ville. J’ai donc fait beaucoup de visites pour préparer les ateliers et le parcours. À tous points de vue, c’est vraiment une expérience très enrichissante ».
Une expérience qui connaîtra peut-être une deuxième vie.
« Je vais en faire une mallette pédagogique afin que d’autres structures puissent s’en servir » souhaite Khadija Bati.
Catherine Tellier
1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, service exploitation, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.
3. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprise individuelle.
4. Objet du marché : rénovation de 17 ascenseurs dans le quartier Pays de France à Reims, aux : 6-8-10-20 Bourguignons, 3 Limousins, 3-5-7 Curie, 13-17 Bonaparte, 3-5-6 Picards, 1-19 Savoyards, 1-2 Béarnais.
La sous-traitance est autorisée.
5. Nombre de lots : les prestations font l’objet d’un seul lot.
6. Calendrier prévisionnel des prestations : le marché se décompose en trois tranches :
Tranche ferme, année 2009 : 6-8-10-20 Bourguignons, 1-2 Béarnais, 5 Picards.
Tranche conditionnelle, année 2010 : 1-19 Savoyards, 3-6 Picards, 7 Curie.
Tranche conditionnelle, année 2011 : 3 Limousins, 3-5 Curie, 13-17 Bonaparte.
7. Délai d’exécution du marché :
Délai de préparation de chantier : 8 semaines à compter de la date de notification du marché.
La durée maximale de réalisation des travaux : 5 mois pour les 7 appareils de la tranche ferme de 2009, à compter de la date d’effet de l’ordre de service n° 1.
8. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A., 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24, fax 03.26.07.37.61.
Les dossiers seront disponibles à compter du lundi 21 avril 2008.
9. Date limite de remise des offres : le lundi 23 juin 2008 à 12 heures délai de rigueur.
Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe, à l’attention de : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, service exploitation, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
Indication à porter sur l’enveloppe :
Appel d’offres : rénovation de 17 ascenseurs quartier Pays de France à Reims.
« Ne pas ouvrir ».
10. Présentation.des offres : elle devra être conforme au modèle remis dans le dossier d’appel d’offres et compter tous les documents demandés au R.P.A.O.
11. Jugement des offres : les critères de sélection des offres se fonderont sur :
Le prix des prestations.
Les moyens humains.
Les délais d’exécution.
La valeur technique des prestations.
Les garanties professionnelles, financières et de qualité des candidats.
12. Renseignements : par courrier ou par fax (03.26.84.36.19) à LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, service exploitation, M. CACCHIOLI.
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur Fe site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du C.M.P.
3. Objet des marchés : marchés de services : marchés d’entretien et de menues réparations tout corps d’état en parties privatives.
4. Nombre et consistance des lots : les prestations sont réparties en 4 lots désignés ci-dessous.
Lot, désignation.
Lot 1 : succursale Nord.
Lot 2 : succursale Centre-Est.
Lot 3 : succursale Murigny.
Lot 4 : succursale Croix-Rouge Université.
- • Quantité : Seuils en euros : période init. mini 150 000.00 maxi 600 000.00 Ces montants seront identiques pour les périodes de reconduction
- • Informations complémentaires : Références et qualifications : Qualification PGN. Habilitations électriques. différents certificats de qualification professionnelle par rapport aux exigences du marché. Pour chaque certificat précité, le représentant du pouvoir adjudicateur accepte tout moyen de preuve équivalent
- • Classification CPV : 50800000
5. Modalité d’attribution des lots : par marché séparé.
6. Durée du marché : 1 an à compter du 1’’ juillet 2008 au 30 juin 2009 renouvelable 3 fois.
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du Code des marchés publics.
8. Critères d’attribution de l’offre :
55 % prix des prestations.
30 % moyens humains mis en œuvre pour la réalisation de la prestation.
15 % moyens techniques mis en œuvre pour la réalisation de la prestation.
9. Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
10. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr - rubrique marchés publics.
12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction localité proximité de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.17, fax 03.26.48.62.58.
13. Date limite de remise des offres : le 27 mai 2008 à 17 heures.
14. Date d’envoi de l’avis à la publication : le 11 avril 2008.
Détails : https://www.marco-web.fr/portail/dc...
« On n’est pas dans une logique de compétition. »
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En prélude au raid sportif organisé par l’Ufolep, la Maison de quartier Croix-Rouge s’apprête à réunir le vendredi 18 avril au gymnase Bourgoin les 12-15 ans autour d’un tournoi de foot en salle inter-villes.
« Cette manifestation sportive s’inscrira dans le cadre du Sport de proximité.
L’objectif principal est d’aller chercher les jeunes qui ne sont pas forcément dans des structures associatives et de les y emmener.
Car au-delà de la dimension sportive, il s’agit d’utiliser le sport comme outil éducatif canalisant certains comportements déviants, de recréer du lien social », expliquent Tarek Maamoun et David Gameiro, organisateurs.
Il y aura en tout huit équipes dont deux de Croix-Rouge et une de Vitry-le- François.
« On n’est pas dans une logique de compétition, on veut mettre l’accent sur les notions de respect, des règles et de mixité sociale » , précisent Tarek Maamoun et David Gameiro.
Le premier match débutera à 10 h 30.
Trois copines qui préparent des œuvres d’art au local de Jeunesse et Espoir Pays de France.
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La section d’investissement du budget principal de la Ville s’équilibre en recettes et dépenses à la somme de 195,02 M € (+ 8,17 % par rapport à 2007). Elle tient compte des opérations lancées par l’ancienne municipalité, non terminées et celles qui démarrent comme le tramway. Hors emprunts revolving et refinancement (55 M €), les dépenses s’élèvent à 140,02M E.
Les principales dépenses sont constituées par 28,19 M € de subvention d’équipement, dont 22 pour la ligne de tram ; 71,18 M € pour des travaux et acquisitions de biens ; 22,35 M € pour le renouvellement des biens et le gros entretien du patrimoine. Les investissements en cours représentent la somme de 34,39 M €.
Ils concernent
la reconstruction du Stade Delaune (10,66 M €) ;
l’extension de la maison de quartier des Trois Piliers (2,60 M €) ;
la fin de l’aménagement de la rue Buirette (2,30 M €) ;
la reconstruction groupe scolaire Ravel (3 M €) ; le gymnase Croix-Rouge (3,04 M €) ;
la maison de quartier Wilson (1 M E) ;
et la mise en conformité de la Comédie (1,23 M €).
Une somme de 14,43 M € est dégagée pour les opérations nouvelles, dont 10,13 M € pour des acquisitions foncières (1,35 M € pour terminer de payer les places de parking de l’immeuble Carré royal (ex Printemps) et 4,5 M € pour acheter les locaux de Tissmétal).
A l’occasion du 63e anniversaire de la libération des camps de concentration et de la journée nationale de la déportation, une veillée solennelle aura lieu le samedi 26 avril, à 21 h 15, au monument des martyrs de la Résistance, place Colonel Bou¬chez à Reims.
Au programme notamment :
allumage de la vasque placée devant l’urne et contenant les cendres des déportés ;
allocution par un ancien déporté, M. Gourlin ;
chant des partisans par le chœur Arts Vocalis ;
lecture de deux poèmes par des élèves du collège François-Legros ;
lecture du message des déportés par la fille de M. Gourlin ;
lecture de poèmes par des élèves du collège François-Legros ;
« Chant des Marais » par le chœur Arts Vocalis.
Trois copines qui préparent des œuvres d’art au local de Jeunesse et Espoir Pays de France.
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Le surf, c’est top même sur internet. Benjamin SÉgura
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Il fait bon grandir à Croix-Rouge, pendant les vacances. Il y a des tas d’endroits pour jouer et à Pays de France une association gâte les ados. Seuls les plus grands manquent d’occupation.
LES gamins de Croix-Rouge passent peut-être de meilleures vacances que ceux du centre-ville. Pas ceux qui s’amusent à brûler des voitures mais les autres, bien plus nombreux, des jeunes que la délinquance ne tente pas du tout.
Dès qu’un rayon de soleil pointe, ils descendent tous des immeubles, envahissent les espaces verts et sortent les ballons. Depuis leur balcon, maman peut les voir. Les plus petits n’ont pas le droit de tourner le coin de l’immeuble, d’autres peuvent courir dans le dédale des blocs.
Les quelques incendiaires qui noircissent l’image de leur quartier nuisent à ces centaines de gosses qui marquent des buts, courent, rient ou qui « glandent » en groupe.
Ce sont les plus grands qui glandent. Steeve, Matthew, Thierry et Jérémy, moyenne d’âge 17 ans, causent au pied d’un immeuble. Sans but. « Il n’y a rien à faire d’autre. On ferait bien de la moto ou on n’aurait rien contre un séjour au ski, mais à condition qu’on nous l’offre. »
Deux pâtés de blocs plus loin, rue des Béarnais, des jeunes de 5 à 15 ans environ entrent et sortent d’un local qu’ils semblent s’être appropriés. C’est le repaire de l’association Jeunesse et Espoir Pays de France. À l’intérieur, les plus âgés surfent sur Internet, les jeunes ados s’éclatent sur les jeux en réseaux et les plus petits, installés dans une salle à part, dessinent des œuvres d’art. « On se plaît ici. »
Les lieux sont propres, avenants, les ordinateurs clignotent en libre accès. Au moindre débordement verbal, Abdulaziz Minouni, chômeur et bénévole, remet les idées en place des plus chahuteurs. Bonne ambiance.
« C’est grâce au Foyer Rémois qu’on a eu cette salle et la sous-préfecture nous a trouvé les fonds pour l’équiper. Moi, je donne un coup de main, mais c’est une initiative des jeunes du quartier et ça marche », explique Abdulaziz.
Souvent, les bailleurs renâclent à mettre à disposition un local pour les jeunes de peur qu’il soit dévié de sa destination ludique. Christophe Faber, directeur clientèle du Foyer Rémois s’est laissé convaincre : « Ils sont venus sonner à notre porte. Des jeunes structurés qui avaient un projet précis et bien ficelé. Plus d’un an après cette première rencontre, on se félicite de les avoir soutenus et à chaque fois qu’ils nous soumettront un projet, nous l’étudierons. Même si bien sûr on ne peut pas dire oui à tout ».
Quand les dessins sont finis, il est temps de retrouver le ballon et d’aller traîner un peu. Certains seraient tout de même bien partis à la mer ou à la montagne, mais finalement elles sont sympas ces vacances de printemps à Croix-Rouge.
C.F. et B.S.
Les plus grands ont davantage de mal à s’occuper. Benjamin SÉgura
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On ne fait pas que s’amuser dans les locaux de Jeunesse Espoir Pays de France. Vendredi, Karim Amry, président de l’association, a fait venir une responsable des ressources humaines d’EDF-GDF.
Une dizaine de jeunes l’attendaient dans l’espoir qu’il y aurait du concret au bout de la rencontre.
« Ce sont des jeunes qui ont envie de réussir, mais comme c’est souvent le cas dans les quartiers, ils ne savent pas comment s’orienter et manquent de confiance en eux. L’association est là pour les regonfler. »
Chacun a eu droit à un entretien individuel.
Certains viseront une formation, un autre passera des tests d’embauche et les lycéens ont reçu l’assurance de faire un BTS en alternance s’ils décrochent le bac.
Nawas, 11 ans
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Nawas, 11 ans
« Pendant les vacances, je sors, je vais dehors, je joue.
C’est cool, mieux que d’aller à l’école.
J’aimerais bien faire aussi de la moto ou du quad, mais je n’ai pas envie de quitter le quartier ».
Yanis, 6 ans
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Yanis, 6 ans
« J’aimerais aller à la montagne et faire du ski.
J’irais avec Allan, c’est mon meilleur copain.
Je préfère la montagne que la mer. J’ai aussi envie d’annuler l’école ».
Wesley, 12 ans 1/2
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Wesley, 12 ans 1/2
« Je ne fais presque rien pendant les vacances.
Du foot seulement.
Sinon, pendant l’année, je fais du karaté. Si on me donnait le choix, je demanderais un voyage en Angleterre ».
Kémil, 8 ans 1/2
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Kémil, 8 ans 1/2
« En plus du foot, je vais aller au cinéma à 21 heures voir un spectacle et on va fêter l’anniversaire de Waiman.
Sinon, j’aurais bien voulu aller à la plage avec tous les copains ».
Kamila, 11 ans
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Kamila, 11 ans
« Je ne m’ennuie pas du tout avec le centre de loisirs.
C’est à nous de dire ce qu’on a envie de faire.
On va au billard, au bowling, au cinéma, à Nigloland.
Pas de problème ».
Un homme d’une vingtaine d’années a été arrêté samedi, vers 20 h 50, par la police.
Installé au pied de son immeuble, allée des Bourguignons, le jeune homme était en train de fumer un joint tout en exhibant un cran d’arrêt la lame ouverte.
L’homme a été remis en liberté et il sera reconvoqué au commissariat.
La police a interpellé pas moins de cinq incendiaires de voiture la semaine dernière à Croix-Rouge.
Deux coups de filet qui prouve que la traque aux pyromanes, pathologiques ou amateurs, est de plus en plus payante. Mais pas encore au point de convaincre les délinquants du quartier à renoncer à un passe-temps qui pourri la vie de ceux qui habitent dans les mêmes blocs qu’eux et qui parfois se voient privés en un coup d’allumette d’un moyen de transport indispensable pour aller travailler.
Dans la nuit de vendredi à samedi vers 3 heures, trois nouvelles voitures ont flambé au 3 Rodin. Le feu allumé sur l’un des véhicules s’est propagé aux autres.
Au 2 Bourguignons, à peu près à la même heure, une quatrième voiture a échappé de peu au sinistre. Les pompiers ont éteint un feu de papiers allumé sous l’un des pneus. Il était moins une.
Les inscriptions scolaires pour l’année scolaire 2008-2009 se dérouleront jusqu’au samedi 14 juin dans les antennes municipales aux lieux et horaires suivants :
Antenne Châtillons, 11, avenue Christophe-Colomb, Tél. 03 26 06 25 96 ;
Antenne Croix-Rouge, 1, rue Joliot Curie Tél.03 26 08 13 52
Antenne Europe, 1 ter, place Jean Moulin Tél. 03.26.07.20.53 ;
Antenne La Neuvillette, Avenue Nationale Tél. 03 26 09 21 04 ;
Antenne Murigny, 2 A, place René Clair, tél. 03.26.85.44.44 ;
Antenne Orgeval (ouverte le lundi matin et fermée le samedi matin) au 7, place Pierre de Fermat, tél. 03 26 87 26 02 ;
Antenne Mobile, tél. 06.16.39.21.02.
Au Service Éducation : 4, rue Jovin, du lundi au jeudi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30, le vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures.
Présenter :
le livret de famille (en cas de séparation, jugement de divorce ou de séparation précisant la résidence de l’enfant et l’autorité parentale) ;
justificatif récent du domicile (quittance de loyer ou d’EDF) ;
certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé) ;
carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins) .
Pour tout renseignement : Tél. 03.26.77.76.31 ou 03.26.77.76.33.
Jeudi soir, un adolescent de 15 ans a gratuitement insulté des policiers qui patrouillaient esplanade Paul-Cézanne.
Il leur a lancé une invective faisant référence à une espèce de volatile mâle très répandue dans les basses-cours, accompagnant son propos d’un doigt pointé vers le haut.
Ramené au commissariat, l’insolent a fait l’objet d’une convocation devant le délégué du procureur.
Dans la seule nuit de dimanche à lundi, la bande a incendié six voitures au quartier Croix-Rouge : quatre ont brûlé sur ce parking de l’allée des Landais.
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LA police continue son grand nettoyage de printemps au quartier Croix-Rouge.
Après l’interpellation mardi soir de deux adolescents de 14 et 15 ans qui avaient brûlé deux voitures et quatre poubelles l’après-midi même dans le secteur Pays-de-France (l’union d’hier), les enquêteurs de la sûreté départementale de Reims ont arrêté trois autres mineurs du même quartier dont le palmarès est bien plus lourd encore : douze voitures incendiées en une semaine !
La série commence le 30 mars avec la mise à feu d’une Renault 5 esplanade Paul-Cézanne à 4 heures du matin puis d’une Polo à 6 h 10 place Jean-Fragonard.
Le 1er avril à 1 h 30, ils incendient une Peugeot allée Edgar-Degas. Le brasier se propage à trois autres voitures.
Le lendemain en plein jour, c’est une poubelle qu’ils enflamment dans un local à vide-ordures place Dominique-Ingres.
Le paroxysme est atteint dans la nuit de dimanche à lundi avec six voitures incendiées : deux allées des Landais à 2 h 50, quatre sur le parking faisant l’angle avec l’avenue Bonaparte à 3 h 15 (l’union de mardi).
A chaque fois, la mise à feu ne concernait qu’un véhicule mais les flammes se sont propagées aux autres.
Mardi soir, allée Degas, ils dégradent une Ford en sautant dessus avant d’aller incendier une poubelle place Auguste-Rodin. Leur dernier forfait.
Grâce aux investigations menées par la brigade des violences urbaines, les trois auteurs âgés de 14 et 15 ans - deux frères et un copain - ont été arrêtés mercredi. Ils ont tout reconnu. « Ce sont des mineurs déjà connus de chez nous, livrés à eux-mêmes » commente un policier.
« Ils n’ont aucune notion de la valeur des choses, n’ont absolument pas conscience de la gravité des faits. Ils incendient les voitures comme ils allumeraient un feu de Bengale. Dans leurs déclarations, ils appellent ça « faire un barbecue ». « Inutile de chercher un sens à leurs agissements, il n’y en a pas. Ils n’ont aucune explication. On ne peut même pas y voir une révolte contre les riches car toutes les voitures incendiées sont des modèles anciens appartenant à des modestes gens du quartier. »
Présentés hier soir au parquet, les trois garçons ne brûlaient que les autos non verrouillées, en enflammant du papier à l’intérieur.
Détail accablant : ils prenaient plaisir à filmer avec leurs téléphones portables les véhicules en train de brûler. « On leur a demandé pourquoi ils faisaient ça. Seule réponse : « On filmait car c’est marrant de voir cramer une voiture. »
Fabrice Curlier
Une journée Ufolep dans le cadre de « Soyez-Sport » |
« Notre but est double : d’abord sortir les jeunes et leur proposer diverses activités de pleine nature (VTT, escalade, canoë, marche, course d’orientation…). Ensuite les préparer à un raid éducatif qui aura lieu dans les Ardennes du 21 au 24 juillet » : Joël Jorge, agent de développement à l’Ufolep Champagne-Ardenne, est plus particulièrement chargé du dispositif « Soyez Sport » impulsé par le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité national olympique.
Il coordonne ce jeudi un grand raid d’une journée à Sillery, pour une trentaine de jeunes de diverses maisons de quartier rémoises, du Service départemental de prévention et du centre social Schmit de Châlons-en-Champagne. Encadrés par leurs animateurs, des éducateurs sportifs ou spécialisés du SDP, et des bénévoles (Efsra, club d’escalade…), les adolescents ont passé toute la journée en plein air.
Satisfaction partagée des responsables et participants : « Ils ont pu découvrir de nouvelles disciplines sur une seule et même journée » apprécie Mohammed Bouzouf, animateur à Maison-Blanche.
« C’est toujours bénéfique de les sortir du quartier, on les voit différemment » ajoute Tarek Maamoun, éducateur sportif à l’Espace La Nacelle de Croix-Rouge.
« On s’est bien amusés, une bonne ambiance, j’ai fait de l’escalade, les animateurs sont sympas » confie Mohammed, 12 ans, de Pays de France.
Jeudi vers 17 h 45, une femme de 23 ans est tombée du troisième étage de son appartement esplanade Paul-Cézanne.
Sérieusement blessée au bassin et aux jambes, la dame aurait chuté en faisant les carreaux. Elle se trouvait seule chez elle à ce moment-là.
Ses jours ne sont pas en danger.
La section pétanque de l’Étoile Croix-du-Sud organise un concours le samedi 12 avril sur le boulodrome Galilée, à l’angle Blum/Joliot-Curie.
Inscriptions au secrétariat de l’Étoile, 5 avenue Léon-Blum, 03.26.06.56.66.
Les jeunes de la section sportive haltérophilie du collège F.-Legros.
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Les jeunes de la section sportive haltérophilie du collège François-Legros sont allés décrocher une belle 6e place aux championnats de France UNSS, qui se sont déroulés à Clermont-l’Hérault (Hérault).
Un beau résultat mérité pour Ferdi, Temo, Johann, Kevin et Mohamed, encadrés par M. Vicaire, professeur d’EPS, et les responsables du Reims haltérophilie musculation (RHM), club partenaire du collège François-Legros pour cette section sportive.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
LA journée de mardi fut harassante pour les sapeurs-pompiers de Reims avec deux voitures et quatre poubelles incendiées entre 13 et 18 heures dans le seul quartier des Pays-de-France à Croix-Rouge (nos précédentes éditions).
Les auteurs sont désormais connus. Ce sont deux mineurs de 14 et 15 ans arrêtés le soir même des faits grâce au témoignage d’un autre jeune du quartier… dénoncé à son tour pour avoir participé à l’incendie du deuxième véhicule !
D’après leurs aveux recueillis par les enquêteurs de la brigade des violences urbaines, les adolescents ont mis le feu sans raison précise, « pour délirer » ont-ils dit.
Mardi, la première victime de leur « délire » est une Ford Fiesta, allée des Tourangeaux.
L’un des mineurs casse une vitre avec un silex, l’autre déverse à l’intérieur une bouteille remplie d’essence achetée juste avant dans une station-service. La flamme d’un briquet fait le reste.
Le duo s’enfuit. Une demi-heure plus tard, un papier enflammé est jeté dans une poubelle d’un local à vide-ordures de l’allée des Picards.
Premier feu de conteneur d’une série de quatre. Le même procédé est utilisé à 14 h 15 allée des Limousins, à 16 heures et 16 h 15 allée des Bourguignons dans deux blocs différents.
Entre chaque incendie, les auteurs se mettent à l’abri et attendent le départ des secours.
Vers 18 heures, retour allée des Bourguignons avec le dernier acte impliquant un complice de 19 ans, Anthony Bernard. « On a croisé Anthony dans le hall, a raconté l’un des mineurs. On lui a dit ce qu’on faisait depuis le début d’après-midi. Il a tout de suite rigolé et nous a montré un Berlingot avec du plastique sur une vitre. Il nous a dit qu’il suffisait de faire un trou dans le plastique pour mettre le feu dans la voiture mais on n’avait plus d’essence. »
Anthony leur signale alors que le propriétaire d’une trottinette à moteur cache une bouteille d’essence dans une gaine technique du troisième étage.
Les mineurs ne se le font pas dire deux fois. Ils prennent la bouteille, déchirent le plastique et mettent le feu au Berlingot.
Ils ont déjà disparu à l’arrivée de la police mais les nombreuses patrouilles déployées dans le quartier permettent de retrouver Anthony, lequel désigne les deux mineurs comme étant les incendiaires.
Les recherches des unités civiles et en tenue permettent leur arrestation le soir même. Et ce qui devait arriver arriva : en garde à vue, ils dénoncent à leur tour Anthony pour l’aide apportée à l’incendie du Berlingot.
De témoin, il est devenu prévenu. Condamné hier en comparution immédiate à six mois de prison avec sursis, il a minimisé sa responsabilité en présentant toutefois ses excuses à la propriétaire du Berlingot.
« Ils m’ont demandé de l’essence mais je pensais que c’était pour leur petite moto. Je ne savais pas que c’était pour cramer une voiture », a-t-il affirmé sans convaincre les juges. « Ils ne me l’ont dit qu’après. Je leur ai dit de ne pas faire ça, qu’ils iraient en prison. Ils m’ont répondu : « Oh ! C’est pas grave ! ».
Déjà connus de la police, les deux mineurs sont de toute façon trop jeunes pour partir en détention (pas avant 16 ans).
Mis en examen hier, l’un a été placé en foyer, l’autre remis à sa famille.
Fabrice Curlier
Un atelier de dessin animé par Dominique Cordonnier.
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Marylise Meunier, responsable du bibliobus urbain, accueille les habitants à l’arrêt Mazarin ce mardi.
Dominique Cordonnier anime l’atelier de croquis prévu durant cette semaine de vacances. Son rôle ? « J’encadre les lecteurs dans la pratique du dessin. Le dessin, c’est une grande école de liberté ! ». Persuadé que tout le monde peut prendre un carnet et dessiner, cet illustrateur de talent et ancien élève des Beaux-Arts de Reims, apporte son sens de l’humour et son aide technique aux débutants. « Les gens se bloquent face à une page blanche. Ils ont tort ! Une feuille, on peut la jeter, recommencer. Il faut prendre cela à la légère ! » assure-t-il.
Le temps froid étant peu propice au dessin à l’extérieur, les amateurs ont croqué ce qu’ils voyaient à travers les vitres du bus : le centre commercial, les immeubles, le parking.
Aurélien et Ombelline, deux enfants du quartier Val de Murigny se penchent sur leur carnet : « J’ai dessiné une voiture, mais je l’ai modifiée, en imaginant la voiture du futur, sans roues ! ».
Cette rencontre entre l’illustrateur et les enfants a été un beau moment d’échanges, à la grande satisfaction de Marylise Meunier : « On découvre nos petits lecteurs sous un autre jour et on voit comment ils perçoivent leur environnement ».
Les meilleurs travaux feront l’objet d’un recueil : « Ce sera le carnet de voyage du bibliobus ! ».
« Cette animation s’intègre dans le projet urbain « Bouts de Mondes » du réseau des bibliothèques municipales » explique Laurence De Angelis de la médiathèque Croix-Rouge.
Emmanuel Picardat (à droite) et Alain Chevallier, de l’Effort rémois et Plurial-Habitat.
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Les locaux de l’association Étoile Croix-du-Sud seront détruits en même temps que la passerelle Croix-du-Sud.
En réponse à la question d’un adhérent inquiet, Emmanuel Picardat, responsable de l’Effort rémois à Croix-Rouge, a apporté l’information suivante :
« dans le cadre des travaux de rénovation urbaine à Croix-du-Sud, nous avons prévu de déplacer l’association Étoile Croix-du-Sud de l’autre côté de l’avenue Léon-Blum.
Nous pouvons envisager des bâtiments jusqu’à 300 m2. C’est un projet pour les années 2011-2012. »
Une troupe dynamique, pour un spectacle percutant.Il fallait un spectacle original, à l’occasion du festival « Croix-Rouge s’affiche ».
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À la suite d’un casting mené en décembre, ouvert aux garçons et aux filles de l’agglomération rémoise, âgés de 13 à 20 ans, treize jeunes ont été sélectionnés pour créer le spectacle « Horizons ? », une forme courte, concise, visuelle et musicale autour de la thématique de la planète.
De janvier à avril, ces jeunes ont été entourés par des professionnels : José Mendes, directeur artistique ; David Moyen, chorégraphe ; Antoine Reibre, ingénieur du son ; Élodie Lecroq, costumière ; et Nicolas Baumann, plasticien.
Leur spectacle sera présenté au festival « Croix-Rouge s’affiche » en mai, pendant les regroupements sur le quartier Croix-Rouge, et en centre-ville de Reims.
Les travaux réalisés par les autres partenaires de l’action, notamment ceux des écoles et des associations, seront transportés avec lui.
Une tournée dans les quartiers et villes voisines, jusqu’à Mourmelon, est également prévue pour une résonance des talents et des actions du quartier hors de ses frontières.
Mardi, deux voitures ont été détruites par le feu au quartier Croix-Rouge : une Ford Fiesta à 12 h 45 allée des Tourangeaux, un Citroën Berlingot à 18 heures allée des Bourguignons (notre précédente édition).
Deux feux de poubelles ont d’ailleurs été allumés ce même après-midi allée des Bourguignons, plus deux autres allées des Picards et allée des Limousins, entre 13 h 15 et 16 h 15.
Hier matin, ce sont des globes de lampadaires qui ont été brisés allée des Landais, près de la piscine.
Toujours dans le même quartier mais un peu plus loin (secteur Croix-du-Sud), une poubelle a pris feu mardi à 21 h 45 place Auguste-Rodin.
Hier à 0 h 30, les pompiers sont intervenus au quartier des Châtillons pour éteindre un conteneur incendié à l’angle du boulevard Vasco-de-Gama et de la rue Albert-Camus.
Ce n’est pas la joie dans l’immeuble du 3 place Auguste-Rodin, du moins pour celles et ceux qui occupent les niveaux supérieurs.
Il y a dix étages que les locataires doivent monter et redescendre à pied depuis vendredi soir. « L’ascenseur est en panne et il n’est toujours pas réparé » fulminait hier après-midi un habitant du 10e, Ali Aït-Yahia. « J’ai un enfant de quatre ans. Pour sortir avec lui, ce n’est pas simple. Dans l’immeuble, il y a beaucoup de dames avec des poussettes. »
L’entreprise chargée de l’entretien a envoyé ses ouvriers « mais ils n’ont pas la pièce sous la main » indique M.Aït-Yahia. « Ce sont de vieux ascenseurs. Il faut commander les éléments. Là, ce serait le moteur. On nous a dit que la pièce arriverait dans un ou deux jours. »
Selon les locataires, l’ascenseur tombe en panne une fois par mois en moyenne. « Les ouvriers nous disent qu’ils ne font que du rafistolage, qu’ils mettent des rustines. Comme le bloc doit être démoli en 2011 (ndlr : dans le cadre du projet de renouvellement urbain), l’Effort rémois ne va pas réinvestir dans des ascenseurs neufs. Il faut s’en accommoder jusqu’à ce que nous soyons tous partis. »
Les mollets n’ont pas fini de souffrir.
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Un atelier d’expérimentation est à nouveau proposé par l’association Les Petits débrouillards Champagne-Ardenne sur « la magie de l’eau » , le mercredi 16 avril de 14 h 15 à 15 h 45, pour les 6 - 8 ans, et de 16 heures à 17 h 30 pour les 9 - 12 ans : l’eau peut nous jouer des tours… C’est elle qui crée les arcs en ciel et qui permet à certains insectes de marcher à sa surface. C’est également grâce à elle que les baleines peuvent communiquer à 800 kilomètres de distance l’une de l’autre. L’eau est-elle magique ou scientifique ?
Les enfants de 5 à 10 ans sont invités vendredi 18 avril, à 15 h 30 pour « Le grand voyage de Balthazar, le bonhomme de neige » . Chaque année, il fait un beau voyage. Pour papa, c’est le cycle de l’eau tout simplement. Mais pour les enfants, c’est une grande aventure magique !
La Compagnie Atipik propose mercredi 23 avril à 14 h 30 « Histoire courte d’une goutte », d’après un album de Béatrice Alemagna, auteur illustratrice pour la jeunesse, interprété par Elisabeth Algisi, marionnettiste et comédienne, et Marc Ebbers, musicien et compositeur. C’est l’histoire d’une goutte, une goutte d’eau potable, c’est une histoire courte.
« Vive l’eau ! » de Fabienne David, pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 30 avril à 16 h 30.
Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis-Debar.L’histoire d’une goutte d’eau.
Quand des policiers lui demandent de s’arrêter, le Rémois Jérémy Liverneaux a toujours le même réflexe : il fonce ! Devant lui pour leur échapper, au pire sur eux quand ils se mettent en travers de sa route.
Dimanche soir, il a fait les deux.
Son casier judiciaire est monumental : vingt condamnations pour vols, violences, outrages, rébellion, refus d’obtempérer, accident corporel commis lors d’une conduite sans permis…
Dimanche vers 21 h 30, Jérémy Liverneaux attire l’attention de la police alors qu’il circule à très vive allure avenue Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge.
Sa conduite est d’autant plus dangereuse que la chaussée est rendue glissante par les averses de pluie et de neige.
Une patrouille se charge de l’intercepter rue Pierre-Taittinger, devant le centre commercial de l’hippodrome. Les policiers descendent de leur voiture, lui font signe de s’arrêter.
Le chauffard donne un coup de volant vers un gardien de la paix qui doit sauter sur le côté pour ne pas être percuté.
Poursuivant sa route, le fuyard fonce en direction du campus universitaire où une deuxième patrouille se positionne en barrage, arme au poing.
Freinage énergique, marche arrière : Jérémy Liverneaux consent à stopper en voyant les policiers le mettre en joue.
Il oppose une dernière résistance en se débattant lors du « menottage ».
Quelques noms d’oiseaux volent à ce moment-là.
N’étant plus à une infraction près, il est manifestement ivre mais refuse de se soumettre au dépistage d’alcoolémie.
Seule bonne note : la voiture qu’il conduisait n’était pas volée, du moins presque : il l’avait « empruntée » à son beau-frère, sans lui demander l’autorisation.
Vu ses antécédents judiciaires, Jérémy Liverneaux n’a pas échappé à un jugement en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.
Les policiers le pourchassaient sirène hurlante, gyrophare allumé mais il affirme n’avoir rien vu ni entendu.
D’où sa surprise de voir quelqu’un au milieu de la rue pour l’intercepter, dit-il.
« Je ne savais pas que c’était un policier. J’ai cru que c’était des jeunes du quartier. »
Quant au coup de volant, il aurait été accidentel.
Le parquet qui n’aime pas qu’on se paye sa tête requiert trente mois de prison dont vingt mois ferme.
« On ne sait que me mettre en prison ! » s’énerve Jérémy Liverneaux dont la dernière sortie de maison d’arrêt datait seulement du 14 janvier.
Il est finalement condamné à dix-huit mois d’emprisonnement dont douze ferme avec placement en détention.
Les six mois avec sursis sont assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de travailler et de se soigner. Selon les experts, il souffre d’un « alcoolisme chronique » à l’origine de ses excès de violence et de son comportement asocial.
F.C.
Hier après-midi, un ou plusieurs incendiaires ont joué à cache-cache avec la police et les pompiers dans le même secteur du quartier Croix-Rouge.
Il y eut d’abord un feu de poubelle à 13 h 15 dans un immeuble de l’allée des Picards. Une heure plus tard, les pompiers sont revenus éteindre un feu de local à vide-ordures au n°7 de l’allée des Limousins.
A 16 heures, feu de détritus au 16 allée des Bourguignons. A peine le temps de l’éteindre qu’une poubelle était incendiée dans cette même allée, devant le n°2.
Deux feux de voitures ont également été signalés hier après-midi mais l’origine - accidentelle ou volontaire - restait à établir.
La première a brûlé à 12 h 45 allée des Tourangeaux, la seconde à 18 heures allée des Bourguignons.
Les inscriptions scolaires, pour l’année scolaire 2008¬2009, se dérouleront jusqu’au samedi 14 juin.
Elles auront lieu le lundi de 14 heures à 17 h 30 : du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; et le samedi de 8 h 30 à 12 heures :
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à l’antenne Croix-Rouge, 1 rue Joliot-Curie. Tél.
03.26.08.13.52.
…
le livret de famille (en cas de séparation, jugement de divorce ou de séparation précisant la résidence de l’enfant et l’autorité parentale) ;
un justificatif récent du domicile (quittance de loyer ou d’EDF) ;
un certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé) ;
le carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins).
Rens. 03.26.77.76.31 ou au 03.26.77.76.33.
Quatre des sept voitures ont brûlé sur le même parking.
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Hier matin entre 2 h 45 et 3 h 05, sept voitures ont été détruites par le feu dans un périmètre restreint (quartier Croix-Rouge et hippodrome).
Les deux premières ont flambé allée des Landais. Le feu allumé sur une Renault 5 s’est ensuite propagé à une Mazda. Quelques minutes plus tard, une Audi A3 a brûlé avenue d’Epernay (une Hyundai garée à côté a été légèrement endommagée).
Les pompiers n’avaient pas encore fini de l’éteindre qu’une Renault Clio s’embrasait sur le parking situé à l’angle de l’allée des Landais et de l’avenue Bonaparte.
L’incendie a détruit trois autres véhicules par propagation : une Renault 19, une Peugeot 305, une Volkswagen Polo. Tous ces incendies sont-ils liés ? L’hypothèse mérite d’être envisagée en raison de l’unité de temps et de lieu de la série.
Dans la série « les incendiaires rôdent », un bidon d’essence a été mis à feu hier vers 17 heures dans un parc de la rue Robert-Sayen au Val-de-Murigny.
Dimanche vers 16 heures, des papiers ont été incendiés dans un immeuble de la place Jean-Fragonard.
La section pétanque de l’association Étoile Croix-du-Sud, animée par Jean-Michel Gauthier, compte organiser quatre concours de pétanque au cours de la prochaine saison.
Le premier se déroulera samedi 12 avril sur le boulodrome Galilée, à l’angle Léon-Blum/Joliot-Curie.
Renseignements et inscriptions au secrétariat de l’Étoile Croix-du Sud, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.).
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Samedi 12 avril à 14 h 30, Bruno Blum, alias Doc Reggae, journaliste, musicien, écrivain, notamment l’auteur du livre « Punk : Sex Pistols, Clash et l’explosion punk », aux éditions Hors Collection, présentera la révolution punk et les musiciens du mouvement qu’il a rencontrés et interviewés au cours des années 70 - 80, alors qu’il travaillait pour la revue musicale Best.
Un atelier d’art postal sera animé, pour les jeunes de 6 à 12 ans, par Dominick Boisjeol, plasticienne sur le thème « Cartes postales, voyage en mots et en images ». Papiers, cartons, ciseaux, colle et bricoles, bouts d’images, de ficelles, petits riens, couleurs, mots voyageurs… : mélangez, assemblez, l’objet sera prêt à envoyer ! Deux séances, de 14 à 17 heures, samedi 12 avril et samedi 19 avril.
De bouche à oreille, des contes autour des proverbes, par Catherine Pierrejean et le conteur André Ze Jam Afane qui présentent un proverbe ou une expression populaire aux enfants à partir de 8 ans. Dans un premier temps, ils expliquent le sens de la phrase comme ils la comprennent puis ils les dirigent, peu à peu, vers le sens réel de cette expression. Ce temps de réflexion sera suivi d’un conte qui illustre le proverbe. Cette animation est proposée par la maison de quartier Croix-Rouge, mercredi 23 avril à 11 heures.
À la piscine Château d’eau, les travaux suivent exactement le planning prévu.
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La piscine devrait rouvrir ses portes en septembre.
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Entamés en juin 2007, les travaux de la piscine du Château d’eau à Croix-Rouge doivent se terminer en septembre 2008. Ces travaux de construction et de réhabilitation ont été décidés conjointement par la ville et par la régie des équipements municipaux et sportifs.
Côté ville, il est prévu l’extension des vestiaires, leur mise aux normes et la rénovation de la façade. « Le clos couvert est achevé », indique Jeanne Campeotto, chef du service réhabilitation du patrimoine. « L’extension est achevée et la construction est fermée. »
Les murs des vestiaires existants ont été démolis et tous les aménagements intérieurs ont débuté. De même, la rénovation de la façade est en cours. Coût total de l’opération coté ville : 1.950.000 euros TTC (dont 1.685.000 euros pour les travaux).
Côté Rems, on s’occupera de tout ce qui touche au bassin et aux plages alentours. Il a été choisi de créer une piscine qui évacuera ses eaux « par débordement » et non « par le fond » comme c’est le cas actuellement. Pour ce faire, c’est une cuve en inox qui va être installée avec débordement intégré. Un système « meilleur pour l’hygiène » qui intégrera aussi un système d’éclairage, des buses de massage, ainsi qu’un système de nage à contre-courant. Les travaux de préparation du bassin sont actuellement en cours.
La livraison des plaques en inox est prévue dès le 15 avril. Désormais, la couleur du bassin sera dans les tons gris clair.
Coût total des travaux pour la Rems : 600.000 euros pour le bassin et les carrelages des plages alentours. Auxquels il convient d’ajouter 100.000 euros pour des casiers vestiaires neufs.
Patricia Buffet
Les locataires du secteur At’Hom qui compte 150 logements.
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Les locataires du secteur At’Hom (150 logements de l’Effort rémois, rues Jacques-Simon et Yves-Gandon) se sont réunis en assemblée générale vendredi 4 avril.
La présidente Danielle Bonfils et les membres du bureau ont accueilli les présidents de cinq autres associations de locataires de Croix-Rouge, solidaires, et deux élus, Jean-Claude Laval et Michel Guillaudeau.
Au bilan positif de la saison écoulée, des remboursements de facturations abusives chez des locataires, la pose d’une douche et de sanitaires pour une personne handicapée au 3 rue Simon, l’affichage des rues et numéros sous les porches, la pose prochaine d’un système de vidéosurveillance et des réfections au garage Sénéchal, la condamnation programmée des vide-ordures sur les palier…
Au chapitre des revendications, les gros dégâts subis après l’incendie du 27 avril au 1, allée Gandon (« électricité, débordements, pas d’ascenseur pendant un mois avec, un dédommagement de 4,20 euros ! »), la peinture des cages d’escalier vieille de 33 ans (un seul étage a été refait), le contrôle des charges toujours difficile, le réengazonnement des espaces verts prévu à l’automne 2007 et non réalisé.
A noter aussi l’attente de nombreux petits travaux d’entretien, l’aménagement promis mais non réalisé d’une barrière au 1, rue Simon (« les locataires du rez-de-chaussée sont ennuyés par des jeunes qui taguent leurs murs et envoient des projectiles dans les fenêtres et les volets »).
La communication semble toujours difficile avec le bailleur : « Il nous faut relancer l’agence toutes les semaines ! Les dirigeants font la sourde oreille et ne daignent même pas répondre à nos courriers ! » Enfin, à cause du refus d’attribuer un local, pas de permanences associatives possibles.
Renseignements : association At’Hom - 1 Allée Yves-Gandon - Tél. 03.26.86.10.03.
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Avec 17 sièges pour 33 personnes, la salle s’est révélée trop petite.
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L’assemblée générale du « collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDL.CR) s’est déroulée mercredi 2 avril à la succursale de Reims habitat, esplanade Eisenhower en présence de Michel Guillaudeau, élu de la nouvelle majorité.
Le président Fabrice Lopez, assisté de Nicole Bouillon, secrétaire, a présenté le collectif créé en 2007 et ses objectifs sur le secteur esplanade et cour Eisenhower.
Fort de 97 adhérents, ce groupement défend et informe les locataires par le biais de ses actions : pétition hippodrome, pétition projet d’urbanisme de l’Anru, interventions au conseil de quartier, propositions à Reims habitat, l’organisme logeur, et participation à ses consultations locatives.
Son but : « informer, communiquer, proposer et apporter des solutions les mieux adaptées aux préoccupations quotidiennes des habitants ».
Le combat actuel du collectif concerne la répartition des charges « par tranches et non pas par bâtiment, voire par entrées ». M. Lopez a annoncé une prochaine réunion publique « spéciale charges, en présence d’un expert, sur les décomptes de régularisation de charges et fluides et les charges et pénalités récupérables ou non ».
Autre combat : le projet de renouvellement urbain. « Pourquoi détruire le 26 et le 28 Eisenhower ? Construisez plutôt un espace vert avec terrain multisports pour les jeunes ! Et le parking aérien près de l’école, sera-t-il sauvé ? Certainement pas ! »
Les locataires regrettent encore les problèmes liés aux caves et aux garages, les dégradations (« au 15, tout est cassé ! »), le manque de civisme ambiant et l’inefficacité de la police et des agents de proximité.
Autre point soulevé : « On nous fait payer l’accès et l’entretien à Numéricâble même si on n’est pas abonné ! »
Renseignements : Fabrice Lopez - CdL.CR - 23 cour Eisenhower - (Tél. 03.51.00.27.69. ou 06.28.20.65.82.).
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José Mendes, directeur artistique, a choisi le thème de l’environnement.
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Depuis 15 ans maintenant, la maison de quartier Croix-Rouge met en place « Croix- Rouge s’affiche ».
Pour l’édition 2008, le temps fort réside dans le festival qui aura lieu en mai. « Croix-Rouge s’affiche » a pour objectif l’animation du quartier d’une manière participative avec les acteurs locaux et a donc sollicité les associations locales et les écoles.
Treize écoles participent, soit environ 600 enfants. Chaque classe réalisera un tableau à partir d’éléments de récupération. Trois plasticiens, Nicolas Baumann, Caroline Valette et Dominique Boisjeol, suivent l’évolution des travaux plastiques menés. Les tableaux seront exposés et constitueront un décor. Ils seront intégrés au spectacle créé pour l’occasion, en mai, au sein du quartier Croix-Rouge et en centre-ville de Reims. Puis ils se déplaceront en juin dans les autres quartiers et villes voisines.
De nombreuses associations de Croix-Rouge s’associent au projet global : l’ACRAP, l’APPF, l’Étoile Croix-du-Sud, Femmes d’ici et d’ailleurs, la MutES, le CRA, des associations de locataires, Africaa, la Lumière de l’obscurité, ainsi que les cinq espaces de la maison de quartier Croix-Rouge, et mettent sur pied leur propres actions. Des intervenants professionnels se déplacent, par exemple, durant les ateliers des associations et leur apportent soutien et conseils.
Les projets des associations sont variés : plats à déguster, danse et musique, jeux à essayer, photos à regarder… Les projets aboutis seront également dévoilés au festival « Croix-Rouge s’affiche » en mai et certains pourront se déplacer au centre-ville, dans les quartiers et les villes voisines.
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Jeudi, à l’issue d’une réunion du conseil d’administration de l’Institut Michel-Fandre (Centre de rééducation et d’éducation spécialisée), a été inaugurée la salle de réunion Michel Legros.
Le directeur de l’institut, Philippe Chabaneix, en a fait l’historique : « Avant de redonner le nom de Michel-Fandre à l’établissement, cette même salle de réunion portait son nom, elle a donc été débaptisée. Depuis, nous avons estimé qu’il était temps de lui redonner un nom : celui du président actuel s’est imposé tout naturellement. En effet, le professeur Michel Legros est présent depuis le début, c’est-à-dire depuis aujourd’hui 35 ans ! »
Les administrateurs avaient prévu à cette occasion une petite manifestation à laquelle était invitée Mme Fandre.
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Mercredi vers 22 heures, un différend familial a dégénéré dans un appartement du groupe Eisenhower.
Un homme de 40 ans y a frappé sa compagne et démoli du mobilier.
Loin de se calmer à l’arrivée de la police, il a tenté de frapper à coups de pied et coups de poing les agents. Maîtrisé, placé en garde à vue, il a tout contesté.
Le violent est toutefois convoqué le 3 juillet devant le tribunal, mais uniquement pour lia rébellion, son amie n’ayant pas voulu déposer plainte pour les dégradations et les coups reçus.
Les sapeurs-pompiers ont été appelés mercredi, vers 18 h 10, pour un feu de cave, place Auguste-Rodin, à Reims.
Le feu a été éteint à l’aide d’une lance.
Joliot-Curie (Reims), dans la bonne moyenne.
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Si les lycées privés obtiennent les meilleurs taux de réussite au bac, selon l’indicateur de performances publié hier par le ministère de l’Éducation nationale, d’autres paramètres permettent de rendre justice aux établissements publics.
C’EST l’un des marronniers de l’année scolaire. Le ministère de l’Éducation nationale a rendu publics hier les indicateurs de performances des lycées français. Un exercice vieux de quinze ans dont les règles ont peu à peu évolué.
En 1993 en effet, les statisticiens du ministère avaient commis l’imprudence de livrer à la pâture médiatique les résultats bruts des lycées. Avec des résultats prévisibles. En tête, les établissements privés des quartiers chics se taillaient la part du lion. En queue, les lycées publics des banlieues dites sensibles. De toute évidence, le tir méritait d’être corrigé.
D’année en année, l’enquête s’est donc affinée au point de comporter aujourd’hui une multitude de paramètres qui permettent de jeter, sur l’efficacité du système secondaire français, un regard plus juste. Évidemment, l’étude perd en lisibilité ce qu’elle gagne en précision. C’est pourquoi nous n’avons retenu ici que trois de ces principaux indicateurs, parmi les plus parlants et significatifs.
Outre les résultats bruts, est donc également considérée dans les tableaux ci-dessous la « valeur ajoutée » de chaque lycée. En d’autres termes, l’apport de chaque établissement compte tenu de sa population scolaire.
C’est toute la différence entre le taux brut et le taux de réussite attendu. Où l’on découvre qu’un lycée de banlieue peut être considéré, en dépit d’un résultat moyen, comme un bon établissement s’il est doté d’une valeur ajoutée élevée. Inversement, la performance d’un « bon » lycée peut être relativisée s’il n’atteint pas les objectifs de réussite qu’on était en droit d’attendre de lui.
D’où la pertinence du troisième paramètre, le taux d’accès seconde-bac. Cet indicateur éclaire sur le degré de sélectivité des lycées et donc leur capacité à amener leurs élèves de seconde vers la réussite au bac. Quels que soient les résultats bruts, des lycées peuvent en effet avoir plus de mérite à mener vers la réussite un public scolaire « captif » que d’autres n’en ont à faire décrocher leur examen à des candidats triés sur le volet.
Ainsi du lycée Notre-Dame de Charleville, par exemple, qui, avec 84 % de réussite au bac, ne mène que 38 % de ses élèves de seconde vers la réussite à l’examen alors que, dans la même ville, Sévigné réalise un score proche (83 %) tout en menant 75 % de ses « seconde » au bac. A vous de juger.
Gilles Grandpierre
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Pour apprécier la qualité d’un établissement, ce taux est incontournable mais insuffisant. D’autres indicateurs proposent des approches complémentaires. Ainsi du taux d’accès de seconde (ou de première pour les lycées professionnels) au bac. Ce taux permet d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée en seconde ou en première jusqu’au bac. La proportion de bacheliers parmi les sortants (non indiquée ici) est un autre de ces paramètres. Il donne une bonne idée de la capacité des lycées à conduire leurs élèves jusqu’au bac, y compris grâce aux redoublements.
Comparer les résultats des lycées sans tenir compte de l’âge des candidats ou de leur origine sociale n’a aucun sens. Ainsi, en 2007, le taux moyen de réussite au bac général et technologique était globalement de 87,4 %. Mais il n’était plus que de 72,4 % pour les candidats de 20 ans et plus, et grimpait à 92,7 % pour les lycéens âgés de 18 ans et moins. D’où l’intérêt de la « valeur ajoutée » qui permet de comparer le taux de réussite brut dans chaque lycée au « taux attendu », calculé en tenant compte de l’âge et de l’origine sociale des élèves. Ici, il est donc question de mesurer l’efficacité des équipes pédagogiques face à des publics scolaires difficiles. Plus la valeur ajoutée est élevée, plus l’établissement est performant. Et inversement…
Compte tenu des différents paramètres sollicités, les indicateurs ne constituent pas un classement ou un palmarès mais une évaluation des performances. Seul un regard croisé sur les trois indicateurs permet d’approcher la réalité des établissements.
Pour des données affinées, on consultera utilement le site : http://indicateurs.education.gouv.fr
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« Arago dispose d’une filière sportive. Si notre taux d’accès seconde-bac n’est que de 39 %, ce n’est pas à cause de la sélection mais parce qu’en fin de seconde, beaucoup d’élèves nous quittent pour intégrer des pôles sportifs d’excellence. Comme nous ne disposons que de deux filières générales (ES et S), ceux qui veulent se réorienter ensuite nous quittent également. La preuve de cette non sélection, c’est qu’Arago a quatre classes de seconde et huit de première dont les 2/3 des élèves n’y ont pas débuté leur secondaire. Méfions-nous donc des mauvaises interprétations. »
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Jusqu’au 7 avril, dans le cadre de la 6ème édition de la semaine du développement durable, les Français et donc les Rémois (particuliers, artisans, collectivités locales) sont appelés à « faire le bon choix » dans leur quotidien.
Dans le but de permettre de produire et de consommer dans le respect de la planète, près de 2.000 opérations spéciales sont prévues dans la France entière concernant l’énergie, l’eau, les transports, l’alimentation, les déchets et la consommation éthique et solidaire jusqu’au lundi 7 avril . En présentant le programme de cette 6ème édition, le ministre de l’Ecologie Jean-Louis Borloo l’a martelé : « le développement durable, c’est à la fois les mesures structurelles du Grenelle de l’environnement et la mobilisation de 62 millions de Français dans leur vie quotidienne, dans le respect des ressources rares de la planète ».
Un petit pas pour l’homme, mais un bond de géant pour l’humanité s’était exclamé son temps Neil Armstrong en foulant le sol lunaire en juillet 1969…Près de 40 ans plus tard, la formule s’applique toujours mais… à la planète bleue cette fois-ci. En effet, si chacun de nous veut que la terre reste terre, seule une éducation et le bon sens de tous à chaque instant peuvent améliorer nos conditions de vie sans hypothéquer le futur. Il est donc nécessaire de motiver et soutenir les changements de comportements en expliquant les bonnes pratiques quotidiennes à adopter en faveur du développement durable. Et de citer par exemple les fraises qui, vendues en mars, émettent 24 fois plus de CO2 qu’en juin, les 25 à 35 kg de céréales requis pour produire un kilo de viande, ou les 30.000 litres d’eau nécessaires à la fabrication d’un écran d’ordinateur… sans oublier les fondamentaux comme l’eau du robinet à ne pas gaspiller ou l’achat d’ampoules à faible consommation.
Production et la consommation durables, voilà le thème retenu cette année. En effet, nos modes de production et de consommation ont une portée directe sur le développement durable : lorsque nous achetons un produit, nous achetons aussi les conditions de travail de ceux qui produisent, les conditions de fabrication, d’évolution et de destruction du produit, et donc leur impact sur la planète et sur l’être humain. Aussi, laissez-vous prendre par la main et entraîner vers de nombreux sites de sensibilisation comme à la médiathèque Croix-Rouge avec son exposition « L’eau, de la source au robinet » ou encore au Lycée Roosevelt et sa vitrine consacrée au tri.
En savoir plus sur toutes les manifestations dans votre région ou dans votre ville sur :
www.semainedudeveloppementdurable.g...
O.M
La Rémoise Camille Renault en route vers Epinal. François NASCIMBENI
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Camille Renault, la jeune sociétaire du Rap (Reims Acrap Patinage) a été retenue pour le championnat de France solo, catégorie Bronze, qui se déroulera du 25 au 27 avril à Epinal.
Elle sera accompagnée dans les Vosges par son entraîneur Ludivine Lemaire et par son coach Morgane Huet.
Allée des Tourangeaux, une Fiat et une Renault ont été touchées par l’incendie d’une Fiesta.
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Par rapport à l’habitude, la nuit de lundi à mardi a été plutôt chargée en voitures brûlées à Reims.
Ainsi, vers une heure et demie du matin, il y en a eu trois qui se sont embrasées dans l’allée Edgard-Degas du quartier Croix-Rouge (une 309, une 405 et une ZX).
Plus tard un peu avant l’aube, sur les coups de cinq heures et quelques, une Ford Fiesta prenait feu à son tour dans le même quartier, mais cette fois du côté de l’allée des Tourangeaux ; le feu se propa- geait alors à une Fiat Punto et à une Renault 19 qui avaient le malheur d’être stationnées à côté.
Ce n’était pas fini : quelques minutes après l’alerte au feu des Tourangeaux, une Clio s’enflammait à son tour, dans la petite rue Félix-Médoc du quartier Wilson, non loin de l’école Saint-Louis.
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A.P.
Les travaux ont commencé.
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Karim Amry et Youssef Znati, animateurs de l’association « Espoir jeunes Pays-de-France » sont contents : « Les travaux d’aménagement de l’aire de jeux en libre accès Bonaparte ont commencé ! »
Ces jeunes ont élaboré ce dossier à la demande des enfants et ados du quartier qui considéraient que le terrain était trop dangereux et l’ont déposé au Foyer rémois en octobre 2007.
« Il se concrétise maintenant après plusieurs réunions en présence de M. Faber du Foyer rémois, avec l’aide de M. Quénard et la mairie » .
Il s’agit d’un réaménagement pour une période transitoire avant les travaux prévus pour le renouvellement urbain de Pays-de-France à l’horizon 2008-2012.
L’ancien conseil municipal avait adopté à l’unanimité le 26 février la décision de financer à 50 % avec le Foyer rémois le coût de cette opération.
Les familles ont pu s’informer.
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L’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge organise, pour tous les habitants du quartier, un lieu d’échange et de partage pour sortir de l’isolement.
Il est animé par Elham Kouch, animatrice familles et une bénévole, Madeleine Sadki, tous les jeudis de 14 à 16 heures à l’espace Pays-de-France, 6 allée des Picards où sont proposés des jeux, un atelier cuisine, des activités couture, des lectures, des débats et des échanges de savoirs.
Dans le cadre des loisirs de proximité, une sortie familiale a été organisée pour les familles à Paris : 50 personnes étaient du voyage.
Au programme, la visite du musée du Louvre et une croisière enchantée sur la Seine.
« Toutes ces familles sont revenues enchantées de leur journée et souhaitent repartir ! » commente Elkham Kouch.
Ce sera possible samedi 12 avril, toujours à Paris, au musée de l’Homme et au Jardin des plantes.
Renseignements à l’espace Pays-de-France, 6 allée des Picards (Tél. 03.26.06.04.10.).
Les familles ont pu s’informer.
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Une journée portes ouvertes était organisée au lycée des métiers administratifs et commerciaux Joliot-Curie samedi.
Elèves et professeurs ont accueilli le public et présenté l’établissement.
Des animations ciblaient l’aide à la Croix rouge française, un atelier conte et le commerce équitable.
Puzzles et petites phrases au stand de Lire et délires.
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Nourritures intellectuelles mais aussi… gourmandes !
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« Comme chaque année, nous créons des jeux : des puzzles à partir des illustrations des livres sélectionnés par notre association. Nous avons aussi des jeux de Memory, l’un des albums, abondamment orné de différents animaux s’y prêtant parfaitement », expliquent Thérèse Marjollet et Line Rigaud, bénévoles de Lire et délires, association qui organisait ce week-end le salon du livre de la jeunesse, manifestation commune entre Cormontreuil et Reims.
Abdelghani El Azzaoui est venu avec Mayssane, sa fille de 12 ans. « J’aime lire des livres de philosophie », avoue-t-il. Pourquoi : « ça fait réfléchir, avancer dans la découverte de soi et des autres ». Tous deux viennent pour la première fois au salon et le trouvent intéressant « dans la mesure où il y a beaucoup de propositions d’animation ».
Sur le stand « Les douceurs du Maghreb » de l’école Hippodrome, la classe de CM2 a travaillé avec Nadia Léger, assistée de Géraldine Tournayre qui offre des… pâtisseries au miel ! Le but visé est bien dans la lignée du Salon : « S’inspirant de l’album « Mon miel, ma douceur », les enfants ont créé un livre de recettes rédigé en arabe et en français, préparé des pâtisseries orientales aidés des mamans ».
Un travail original qui a fait découvrir aux enfants la culture marocaine et a contribué à créer des liens au sein de la classe. « Une très bonne idée qui participe à la convivialité du salon », approuve une visiteuse.
« Tout va bien ! », lance le président Jean Pérardelle, qui s’affairait samedi auprès des éditeurs, des auteurs, des associations et des écoles. La veille, une rencontre entre auteurs, bibliothécaires, enseignants et parents a permis aux premiers de présenter leurs ouvrages
Une fuite d’eau a été signalée aux pompiers, dimanche vers 15 h 30, par la résidence pour personnes âgées de la place Utrillo (secteur hôpital Robert-Debré) ; mais les soldats du feu n’ont pas eu à intervenir, l’arrivée d’eau ayant été coupée, et l’assèchement du local inondé ayant été effectué avant qu’ils n’arrivent.
Plusieurs feux de poubelles et un feu de voiture ont occupé les pompiers au cours de la nuit de samedi à dimanche :
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un peu après 4 heures, c’était une voiture, une R5, qui subissait le même sort sur l’esplanade Paul-Cézanne (Croix-Rouge),
Une heure plus tard encore, à l’aube, une Volkswagen Polo stationnée sur la place Fragonard (Croix-Rouge), venait à son tour allonger la liste.
La place Fragonard valait à nouveau aux pompiers une intervention pour feu de poubelle en milieu de journée du dimanche, mais cette fois, le plus gros du travail fut effectué par le système automatique d’extinction.
Le président d’honneur Michel Méther, au centre, présente la nouvelle équipe dirigeante.
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Le constat était implacable : l’Étoile Croix-du-Sud végétait, avec perte d’activités et de dynamisme.
Il paraissait impossible de poursuivre en l’état. Après la démission du président Pierre Agisson et de la vice-présidente Ginette Agisson, le conseil d’administration a chargé deux de ses membres, Jean-Michel Gauthier et Jean-Louis Rumério, de réunir une assemblée générale extraordinaire qui s’est tenu vendredi dans la salle Claude-Prével devant près de 60 personnes.
Le rapport financier, a fait apparaître un déficit du compte d’exploitation de 3.272 euros (emploi de personnel en contrat aidé, faute de bénévoles), et le rapport d’activités a été présenté sous forme d’une projection vidéo originale et complète.
Enfin, le public a bénéficié d’une présentation du journal de l’association (le premier numéro est sorti le 6 mars) distribué en 2.000 exemplaires par les boulistes de la section pétanque et d’une présentation du site Internet http://www.quartier-croix-rouge.info, animé par un administrateur Yvon Zebic, qui en a fait l’un des plus beaux sites associatifs rémois.
Pluri habitat, par la voix d’Alain Chevallier et l’Effort rémois, avec Emmanuel Picardat, ont assuré la nouvelle équipe de leur soutien : « Travaillez avec la nouvelle équipe ! Créez une multitude d’activités, car les attentes des habitants sont fortes. Davantage d’activités réelles, cela se traduira par davantage de subventions de l’Effort rémois. Vous avez 35 ans d’existence, repartons pour le double »
Un nouveau bureau a été élu dans la foulée.
Président d’honneur : Michel Méther.
Président : Jean-Michel Gauthier.
Vice-président : Ali Boukhedoumi.
Trésorier : Jean-Louis Rumério.
Vice-trésorier : Jérôme Weiler.
Secrétaire : Muriel Travert.
Pour Jean-Michel Gauthier, qui est aussi le patron des boulistes, une renaissance est possible : « Notre nouvelle équipe va devoir s’atteler à de nouvelles idées, amener de nouvelles personnes, travailler avec d’autres associations, bref innover ».
Pour cela il va falloir apporter des modifications partielles aux statuts de l’association. Une nouvelle assemblée générale extraordinaire est donc programmée le jeudi 5 juin à 18 h 30.
Jean-Louis Rumério a annoncé les nombreux projets de la nouvelle Étoile Croix-du¬-Sud :
une prochaine réouverture des locaux de l’ancienne Bibliothèque pour tous,
des permanences des « Femmes relais 51 » le vendredi de 9 à 12 heures,
la création d’une école de pétanque pour les jeunes du quartier,
d’un espace accueil jeunes avec les associations « 2 Mains » et « A venir jeunes Croix-du-Sud »,
d’un club vélo en lien avec l’association « 2 Mains »,
un partenariat avec l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud,
une entente avec l’association « Appuis » pour des rencontres de travail,
un espace pour les personnes du 1 âge,
la création d’une activité gymnastique adultes le jeudi de 9 heures à 10 h 30,
l’ouverture aux adultes du quartier (club cuisine, couture, travaux créatifs),
un projet de club philatélie,
le développement des lotos et concours (belote, pétanque),
l’organisation d’une bourse aux jouets et aux vêtements par la section pétanque,
l’ouverture de la salle associative en « espace plus large de rencontre avec les habitants : il y a de la place pour tous ! »
et enfin, dès maintenant, la préparation de la fête des 35 ans de l’association en juin 2009.
Renseignements : Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum (Tél. : 03.26.06.56.66.) [3]
De nombreuses photographies de notre Assemblée Générale sont disponibles dans notre galerie d’images
Les élèves ont présenté leurs œuvres.
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L’exposition « Poésie de sol » est un projet porté par Reims habitat avec les élèves de l’école élémentaire Gilberte-Droit (43, rue Jean et Gilberte-Droit) dirigée par Angélique Pielach) et les artistes Armelle Blary et Florence Kutten, désormais bien connues des enfants et adultes du quartier.
C’est le second événement rattaché au projet plastique « Autre peau - autre ville » lancé en 2007 pour sensibiliser les habitants, dans le cadre du renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge Université, et plus particulièrement de la démolition des immeubles du 25 au 31 cour Eisenhower, prévue en 2008.
Trois classes à projet artistique de l’école ont participé : les CE1 sur du modelage avec Florence Kutten, les deux classes de Armelle Blary. Ils ont présenté leurs réalisations plastiques devant une petite foule sous le préau : des parents, beaucoup d’enfants, des élus, des présidents et membres des associations du quartier pour admirer leurs œuvres et écouter les discours !
Ces trois classes ont assuré de bout en bout et avec une grande fierté cette présentation, avec leurs maîtresses et les artistes.
Les enfants ont travaillé sur la mémoire des lieux, leur maison idéale, leurs envies concernant l’environnement, leur quartier… Le résultat exposé a conquis les visiteurs : délicates phrases poétiques enfantines, constituant un parcours de souvenirs, vœux et évocations intimes du quartier, sculptures colorées évoquant la ville rêvée par les enfants…
L’assemblée générale du salon Orange se déroulera à Reims dimanche 6 avril, à l’hôtel l’Univers, à 9 h 45.
« Cette réunion annuelle est pour nous une fête de famille qui se prolonge par un repas où règne toujours la bonne humeur, occasion de faire connaissance avec les nouveaux adhérents ou d’approfondir les relations anciennes » précise le président Gérard Guilhabert.
Une lecture improvisée de poèmes prolonge agréablement cet instant privilégié et les plasticiens du salon présentent leurs dernières créations, démontrant la polyvalence de l’association.
Stéphanie Tadla (Les Francas de la Marne) organise un séjour de 12 jeunes de 12 à 14 ans, du 14 au 18 avril, avec David Gameiro, dans le cadre des actions « Éducation et séjours collectifs de jeunes » porté par la maison de quartier Croix-Rouge.
Une journée de sensibilisation est organisée avec le groupe d’ados mercredi 2 avril : « Nous nous rendons sur place, à Méry-sur-Seine, dans l’Aube, et le soir même, nous rencontrons les parents à 19 heures à la Maison de quartier Croix-Rouge, pour donner les indications sur le séjour, autour d’une petite collation amicale » précise Stéphanie Tadla.
L’assemblée générale de l’association « Collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDL.CR) se déroulera mercredi 2 avril à 19 heures à la succursale Croix-Rouge de Reims habitat, 46 avenue du Général-Eisenhower.
Lors de cette réunion seront annoncés les résultats du contrôle de charges effectué en mars, l’avancée des concertations sur le plan de rénovation urbaine (ANRU).
Trente classes de Reims et de l’arrondissement ont participé à cette journée « Rugby à l’école ».
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Garçon et fille à la lutte.
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Après l’engouement de la coupe du monde de rugby en 2007, le monde du ballon ovale continue son opération séduction auprès du grand public.
Hier, plusieurs centaines d’enfants se sont retrouvées au stade Georges-Hébert dans le cadre de l’opération Rugby à l’école organisé par la ville de Reims en partenariat avec l’Education nationale.
Les jeunes venaient de 19 classes de Reims (Desbureaux, Gilbert Droit, Sculpteurs Jacques, Trois-Fontaines, Charpentier 1, 2 et 3, Prieur, Danube, Provençaux 1 et 2, Carteret, Blanche-Cavarrot 1 et 2, Gallieni 1, 2, 3 et 4, Jean-Macé).
Des établissements du milieu rural étaient également conviés à cette fête : Rilly, Dontrien, Isles-sur-Suippes, Bétheny, Bétheniville, Passy-Grigny, Cauroy-les-Hermonville, Germaine. Pendant toute la journée, les jeunes se sont affrontés à l’occasion de mini-matches.
Chaque classe présentait trois équipes mixtes (débutant, débrouillés et confirmés) avec deux filles ou deux garçons minimum par équipe.
Après le succès de cette journée, les meilleures classes se retrouveront le 29 avril à Épernay pour des rencontres départementales, avec qui sait, ensuite une qualification pour un niveau national.
Le succès du rugby ne semble donc pas se démentir, même dans des régions où ce sport n’est pas le plus pratiqué.
On se souvient qu’après la coupe du monde de rugby l’été dernier, le nombre de licenciés avait explosé dans les clubs. Rien qu’à Reims, les effectifs étaient passés de 70 à 150 enfants chez les moins de 15 ans.
Le cycle de l’eau, thème de l’expo proposée par le photographe Pascal Stritt.
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Jusqu’au 26 avril, une exposition sur le thème de l’eau, de la source au robinet, dans le cadre de la semaine nationale du développement durable, s’appuie sur des photographies de Pascal Stritt, intitulées « eau » .
Des maquettes sur les cycles de l’eau et des panneaux pédagogiques sont présentés pour expliquer le cycle naturel et le cycle urbain de l’eau à Reims, depuis son captage à la source, jusqu’à son arrivée au robinet dans nos habitations.
Cette exposition est réalisée en partenariat avec la direction de l’eau et de l’assainissement de Reims Métropole et l’Agence de l’Eau Seine Normandie.
Par ailleurs, une conférence sera donnée jeudi 3 avril à 14 h 30, sur « Éco-l’eau à la maison » : comment gérer l’eau de manière raisonnée et responsable au quotidien ?
Elle sera animée par Nathalie Picard, responsable qualité et communication à la direction de l’eau et de l’assainissement de Reims Métropole.
Enfin un atelier d’expérimentation est proposé par l’association Les Petits débrouillards sur les cycles de l’eau, le mercredi 9 avril de 14 h 15 à 17 h 15, pour les 7-10 ans.
La majorité de l’eau se trouve dans les mers et les océans mais d’où vient l’eau de la pluie ?
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1.1. Identification du pouvoir adjudicateur : maître d’ouvrage : région Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex, tél. 03.26.70.89.17 ; fax : 03.26.70.88.98.
1.2. Adresse auprès de laquelle des informations complémentaires peuvent être obtenues : Cabinet d’architecture PACE GIOVANNI, 7, rue Kellermann, 51100 Reims ; courriel : pace-architec@wanadoo.fr - Tél. : 03.26.88.78.92 ; fax : 03.26.97.79.40.
1.3 Adresse auprès de laquelle le cahier des charges peut être obtenu : DIAZO 51, 2, rue Olivier-Métra, 51100 Reims, tél. 03.26.88.35.21 ; fax : 03.26.86.84.85 ou httpsx//marchespublics.cr-champagne-ardenne.fr
1.4 Adresse à laquelle les offres ou demande de participation doivent être envoyées : Région Champagne-Ardenne, direction des lycées et de l’apprentissage, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex - https://marchespublics.cr-champagne…
2.1 Objet du marché : restructuration des ateliers du lycée Arago à Reims.
2.2 Type de marché : travaux.
2.3 Lieu d’exécution : 51100 Reims.
2.4. Nomenclature C.P.V. : 45214220-B.
2.5. Couverture par l’accord sur les marchés publics : oui
2.6 Division en lots : possibilité sur de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
Lot n° A : phase I -Travaux préparatoires - Code C.P.V. : 45262311-4 ;
Lot n° 1 : aménagements extérieurs - V.R.D. - Code C.P.V. : 45112500-0 ;
Lot n° 2 : démolitions, gros-œuvre - Code C.P.V. : 45262311-4 ;
Lot n° 3 : charpente métallique - Code C.P.V. : 45261100-5 ;
Lot n° 4 : étanchéité - Code C.P.V. : 45261420-4 ;
Lot n° 5 : menuiseries ext., serrurerie - Code C.P.V. : 45421000-4 ;
Lot n° 6 : façades métalliques - Code C.P.V. : 45261400-8 ;
Lot n° 7 : menuiseries intérieures - Code C.P.V. : 45421000-4 ;
Lot n° 8 : revêtements de sols et murs - Code C.P.V. : 45432130-4 et 45432210-9 ;
Lot n° 9 : chauffage - ventilation - Code C.P.V. : 45331100-
Lot n° 10 : plomberie - Code C.P.V. : 45330000-9 ; - Lot n° 11 : électricité - Code C.P.V. : 45311200-2 ;
Lot n° 12 : ascenseurs - Code C.P.V. : 45313100-5 ;
2.7. Variantes - Options : les variantes sont autorisées et des options sont prévues et sont précisées dans le cahier des clauses techniques particulières.
2.8. Délai d’exécution : 48 mois.
Important : travaux en site occupé.
3.1. Modalités essentielles de financement et de paiement :
Financement par ressources propres inscrites au budget de la région ;
Paiement à 45 jours par virement administratif ;
3.2. Conditions de participation : les candidats produiront un dossier de candidature complet comportant les documents suivants dûment complétés.
3.2.1. Situation propre des opérateurs économiques :
Copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner.
A titre pratique, le candidat remettra le formulaire DC5 (mise à jour avril 2007) dûment complété, et le formulaire DC4 en cas de groupement momentané d’entreprises.
3.2.2 Capacité économique et financière :
Déclaration concernant le chiffre d’affaire global et le chiffre d’affaires concernant les travaux, objet du marché réalisés au cours des trois dernières années.
3.2.3 Capacité technique :
Déclaration indiquant les effectifs moyens du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacun des 3 dernières années,
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des 5 dernières années.
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose.
Certificats de qualification ou références équivalentes.
4.1. Type de procédure : appel d’offres ouvert européen.
4.2. Critères d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères et de la pondération suivante :
Prix (60 %) ;
Valeur technique (40 %).
4.4. Date limite de réception des offres : 13 mai 2008, à 16 heures.
4.5. Langue : tous les documents devront être rédigés en langue française.
4.6. Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
5.1. Procédure de recours :
5.1.1. Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée 51000 Châlons-en-Champagne.
5.1.2. Introduction des recours :
- Référé précontractuel avant la signature du marché.
- Recours pour excès de pouvoir dans un délai de 2 mois 5.2.
Date d’envoi du présent avis : 20 mars 2008.
Mardi matin, les policiers ont été intrigués par une Renault Clio qui semblait sortir du parking de la place Dominique Ingres, mais qui calait systématiquement.
Les fonctionnaires se sont approchés et ont trouvé au volant Abdelkader K. (43 ans), qui sentait l’alcool. L’automobiliste a été contrôlé et le test d’alcoolémie a révélé un taux de près de 2 g d’alcool dans le sang.
L’homme était au volant malgré une suspension de son permis de conduire et, cerise sur le gâteau, au moment de son arrestation, il a décliné une fausse identité pour échapper aux recherches.
Malheureusement pour lui, il a été reconnu par les policiers qui l’ont arrêté car il avait été récemment interpellé pour des faits similaires.
Il avait d’ailleurs été condamné en janvier dernier par le tribunal correctionnel de Reims pour des faits de conduite en état alcoolique et son casier judiciaire porte mention de trois condamnations similaires.
A l’audience, Abdelkader K. a indiqué qu’il avait « bu 6 ou 7 ti’ punch ». Il a confirmé qu’il était « bien au volant de la voiture » mais « je ne l’ai pas conduite. J’avais juste mis le moteur en route car il faisait froid et j’étais avec une copine ».
Le substitut du procureur a rappelé que les fonctionnaires de police « ont été attirés par cette voiture parce qu’elle n’arrêtait pas de caler. Elle sortait d’un parking et n’était pas à l’arrêt ! Ces faits sont graves et ce conducteur est en récidive légale ».
Il a requis 8 mois de prison ferme, l’annulation du permis de conduire de l’automobiliste avec interdiction de le repasser avant un délai de 3 ans et a demandé au tribunal de prononcer la confiscation de la Clio.
Pour la défense, Me Cordier-Dumetz a souligné le fait que son client « a un travail et un enfant à charge. La prison risquerait de détruire ce petit équilibre familial ».
Le tribunal a condamné Abdelkader K. à deux mois de prison ferme et a prononcé l’annulation de son permis de conduire avec interdiction d’en solliciter un nouveau avant un délai de 18 mois.
Il a ordonné le maintien en détention du conducteur.
P. B.
Vacances : trois temps forts dans les quartiers
Durant les vacances d’avril, trois bonnes raisons d’occuper ses loisirs pour les jeunes de 11 à 17 ans.
Les maisons de quartier Wilson (Espaces Claudel et Sainte-Anne) et Maison-Blanche ont prévu trois grands « temps forts ».
Dans le cadre d’Urban Junior Tour, deux équipes de jeunes filles de l’atelier de Hip-Hop de Coumba participeront au spectacle donné le mercredi 16 avril après-midi à la Cartonnerie. Deux slameurs et l’atelier de DJ Bara seront également présents.
Tournoi de Futsal : « Nous avons voulu dépasser l’échelle des tournois inter-quartiers » explique Mi Aït Yahia, animateur jeunes. Avec la maison de quartier Croix-Rouge, un tournoi inter-villes est mis en place le vendredi 18 avril, qui verra se disputer les équipes de Reims, Chalons, Epernay, Fismes, Sedan et Vitry-le-François.
Afin de préparer les jeunes qui participeront à un raid sportif mis en place par l’UFOLEP Marne-Ardennes du 21 au 24 juillet, deux journées sont organisées le 10 et le 17 avril. Au programme : sensibilisation au parcours santé, course d’orientation, VTT, canoë.
Bien entendu, durant le reste des vacances, des activités traditionnelles de sport et de loisirs sont prévues (bowling, escalade…) ainsi qu’une grande sortie dans un parc d’attraction en Lorraine, le lundi 14 avril, pour laquelle il reste encore quelques places.
Renseignements et inscriptions auprès des animateurs jeunes de la maison de quartier Maison-Blanche au 03.26.08.17.86.
Salon du livre et de la jeunesse : silence, on tourne
Une classe de l’école Zola a réalisé un film d’animation
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Hérisson et ourson : une histoire sur la tolérance et l’amitié
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Scénaristes, dessinateurs, décorateurs, photographes…
Les 22 élèves de CP de l’école Zola sont tout cela à la fois. Dans la classe transformée en mini-studio de tournage, les enfants, très fiers de leur performance, montrent leur « film d’animation ».
Dans le cadre du 9’ « Salon du Livre de Jeunesse » samedi 29 mars, à Cormontreuil, les écoliers lisent des albums illustrés par des artistes, dont certains, comme Natali For¬tier, viendront à la rencontre de leurs jeunes lecteurs.
« Les enfants travaillent sur le thème de la solidarité et de la lutte contre les discriminations, ce qui a motivé le choix de l’ouvrage » explique Fré¬d’éric Molle leur instituteur.
Le thème : un petit ver de terre essaie de passer une frontière gardée par deux douaniers. Tout le livre « Les Doigts Niais » (et donc le film) repose sur le jeu de mots, les gardiens de l’ordre étant représentés par des empreintes digitales, coiffées de képis. « Ils ont écrit le story-board, réalisé les séquences, pris des milliers de photos, choisi les musiques, enregistré les textes. Ils ont tout géré, de A à Z » souligne F. Molle.
Une belle réalisation transdisciplinaire, qui a fait l’objet d’un DVD, et qui sera projeté au Salon samedi.
Dédicaces et rencontres des auteurs et illustrateurs. A noter parmi les auteurs régionaux annoncés Benlebegue, Émilie Vast, Hervé Gourdet, Olivier Rime, Nunzia Privitera, Pascal Alexandre, Zemane…
Lectures théâtralisées, jeux de lecture : bibliothèques de Reims Saint-Brice et Cormontreuil
Spectacles de théâtre et marionnettes : Hérisson et Ourson par la Cie Action Théâtre Enfance à 14 h 30 et 16 h. Une promenade singulière en quelques petits contes de sagesses, tendres, émouvants et cocasses qui parlent de tolérance et d’amitié. En suivant Hérisson et son ami Ourson, les enfants s’aventurent sur les chemins de la vie, de ses bonheurs, etc.
Les mots plein les poches, Prune et Rigoberto, Cyrano à 14 h, 15 h et 16h par la Cie Les Latitudes. Salle Polyvalente 14 Bd d’Alsace Lorraine, Cormontreuil, samedi 29. Ouverture au grand public de 9 h à 19 h. Web : http://lire-et-delires.fr
Jeux et animations par les associations et établissements scolaires (Atelier 501 TTC, Atelier d’écriture « Jouons la carte de la fraternité », bibliothèque de Reims, calligraphie, collège Coubertin, Trois-Fontaines, École de l’hippodrome…). Exposition des travaux des 59 classes participantes.
…
Mercredi juste après minuit, une autre poubelle a brûlé dans le local à vide-ordures d’un immeuble de la rue des Savoyards, au n°15.
Un locataire l’a éteint par ses propres moyens.
Mardi vers 22 h 15, une Ford Ka a été détruite par le feu place Jean-Fragonard.
L’incendie est suspect.
Un témoin a vu deux individus s’enfuir.
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Trois adolescents de 15 et 16 ans ont voulu s’approprier un scooter sur l’esplanade Eisenhower, lundi vers 20 h 30.
Le trio s’est fait pincer par la police.
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La bibliothèque scolaire du village de Hon et l’association des parents d’élèves.
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La construction de la bibliothèque scolaire du village de Hon au Bénin, a été menée à bien, au cours de sa dernière mission, par l’association Emergence.
« Cette structure, présidée par Jean-Philippe Zinzindohoué, est une association d’échanges culturels et de solidarité internationale entre la région Champagne-Ardenne et le Bénin, créée à Reims en 1997. Elle intervient à Zogbodomey depuis 10 ans en initiant des actions d’équipement, de rénovation et de construction d’écoles », rappelle Faneth Richard, chargée de mission.
C’est dans ce cadre qu’a été décidée la construction d’une bibliothèque de village à Hon en été 2007, une bibliothèque financée à 60 % grâce aux fonds propres apportés par le public du festival annuel Soli¬jahfary et par des sponsors privés, à 30 % par la région Champagne-Ardenne et à 10 % par l’association des parents d’élèves de Hon.
Maintenant que la construction proprement dite est terminée, reste à la faire fonctionner. Dans ce projet pilote de développement socio-éducatif, en milieu rural, il s’agit donc, pour 2008, de rendre fonctionnel le bâtiment (100 m2) qui permettra aux 225 enfants scolarisés et à une centaine de jeunes adultes de se documenter et de s’instruire, de créer avec le comité de gestion du village, avec l’association des parents d’élèves et avec les instituteurs, un jardin potager scolaire sur un domaine d’un hectare, qui permettra à tous ces enfants et aux futurs scolarisés, d’avoir au moins un bon repas équilibré, quotidiennement.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080326e
ATTRIBUTION D’APPORTS
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE » du 24 AU 30 MARS 2008 - N° 7230
ACTE : De Maître Alexis KUTTENE, Notaire associé à REIMS, reçu le 14 mars 2008, enregistré à la Recette des Impôts de REIMS NORD le 18 mars 2008
Bordereau 303, case n° 1, contenant : cession de fonds de commerce.
CÉDANT : La SCP DARGENT MORANGE TIRMANT à REIMS, 4 rue des Moulins. en la personne de Maître Jean-François DARGENT. mandataire judiciaire de la procédure de liquidation judiciaire de la SARL ’LA PETITE CHAUMIÈRE au capital de 60.000 €, ayant son siège social à REIMS (Marne), 184 avenue d’Epernay, identifiée sous le n° SIREN 478 853 419, R.C.S. REIMS.
CESSIONNAIRE : La SARL "MACCY", au capital de 20.000 €, ayant son siège social à WARMERIVILLE (Marne). 12 allée Jean Noisiez, ident¬ifiée sous le ri- SIREN 502 516 800. R.C.S. REIMS.
FONDS : Un fonds de commerce de restauration traditionnelle. connu sous le nom de "LE CHARDONNAY", sis et exploité à REIMS (Marne), 184 ave¬nue d’Epernay, pour lequel la SARL ’LA PETITE CHAUMIÈRE" est identifiée au SIREN n’ 478 853 419, imma¬triculée au R.C.S. de REIMS et au SIRET n° 478 853 419 00016.
PRIX : 150.000,00 €, s’appliquant aux éléments incorporels pour 133.056.00 €, et au matériel, mobilier et outillage pour 16.944,00 €.
JOUISSANCE : 14 mars 2008.
OPPOSITIONS : En l’Étude de Maître Jean-François DARGENT, mandataire judiciaire. à REIMS. 34 rue des Moulins, dans les 10 jours suivant la dernière en date de la présente insertion et de la publicité au B.O.D.A.C.C.
Pour insertion
Maître Alexis KUTTENE.
Notaire.
63867
L’assemblée générale du « Collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDL.CR) se déroulera mercredi 2 avril à 19 heures à la succursale Croix-Rouge de Reims habitat, 46 avenue du Général-Eisenhower.
A l’Institut Michel-Fandre, 51 rue Léon-Mathieu, jeudi 3 avril à partir de 18 h 45, sera inaugurée la salle qui portera le nom du président Michel Legros.
L’assemblée générale de l’association de défense des locataires du secteur At’Hom se déroulera vendredi 4 avril à 18 h 30 à l’espace Watteau. Renseignements : 03.26.86.10.03.
L’espace Watteau propose deux sorties.
Dimanche 13 avril, la boucle de l’Ardre (13 km). Départ à 8 heures, retour vers 13 heures.
Dimanche 27 avril, l’Aisne, Saint-Gobain, Saint-Nicolas-aux-Bois (14 km). Départ à8 heures, retour vers 16 h 30.
Renseignements et inscriptions à l’Espace Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).
Sylvie Brin, guide nature à l’espace Billard, anime une sortie pédestre « bol d’air » pour personnes seules ou en famille, pour découvrir les paysages de notre région et rechercher des fossiles, dimanche 27 avril : Départ à 9 heures de l’espace Billard, 12 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).
Préparation de la fête à l’Appf
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L’association de promotion de Pays-de-France a fêté Pâques avec les enfants de 9 à 12 ans.
Quelques juniors se sont joints à la fête ainsi que quelques bénévoles et l’animatrice Evelyne Verrier, dont le contrat aidé n’a pas été reconduit après quinze ans de bons et loyaux services à la Maison de quartier Croix-Rouge.
L’assemblée générale de l’association« Collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDLCR) se déroulera mercredi 2 avril à 19 heures à la succursale Croix-Rouge de Reims habitat, 46 avenue du Général-Eisenhower.
Lors de cette réunion seront annoncés les résultats du contrôle de charges effectué en mars, l’avancée des concertations sur le plan de rénovation urbaine (ANRU) et les diverses actions menées par l’association » précise le président Fabrice Lopez.
Le carrefour Franchet d’Esperey où se trouve RMS va prendre un bon coup de vert.
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On ne fait pas de tram sans abattre des arbres. En tout, ils sont 1.216 à être condamnés.
Le premier tombera lundi. Ils seront remplacés par 1.682 jeunes pousses.
On ne fait pas de tram sans abattre des arbres. En tout, ils sont 1.216 à être condamnés.
Le premier tombera lundi. Ils seront remplacés par 1.682 jeunes pousses.
Le carrefour Franchet d’Esperey où se trouve RMS va prendre un bon coup de vert.
……..
Avenue du Général Eisenhower, le tram cheminera sur gazon entre le terre-plein central planté et le parc Saint-John-Perse.
De l’université à l’hippodrome on trouvera des poiriers à fleurs.
À partir d’Arago et jusqu’à Léon-Blum seront plantés des érables avec du lierre au sol pour séparer la voirie du cheminement piéton.
Le carrefour Joliot-Curie sera fleuri. Enfin deux rangées de chênes conduiront à Bezannes.
C.F.
Société à responsabilité limitée
au capital de 7.000 euros
Siège social : 76, rue de la Pompe 75016 Paris
494 007 487 R.C.S. Paris
Suivant procès-verbal en date du 25 mars 2008, l’assemblée générale extracr¬dinaire a décidé de transférer le siège social à compter du 25 mars 2008, à l’adresse suivante : 5, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
En conséquence, l’article 1 des statuts a été modifié.
Le(s) représentant(s) légal(aux).
À peine élue, Adeline Hazan est sollicitée de toute part. Les associations essayent en effet de se faire entendre et de profiter de ce changement pour faire avancer, chacune de leur côté leurs revendications.
Rendez-vous, lettres ouvertes… les demandes affluent.
Dernière en date, celle du collectif de défense des locataires Croix-Rouge qui souhaite être reçue par la maire et son 1er adjoint en charge du logement « pour une meilleure compréhension du projet des habitants pour leur cadre de vie ».
Le 1er adjoint Éric Quénard, élu de Croix-Rouge, sera sans doute content d’avoir cette explication de texte…
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1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant arti¬cle 28 du C.M.P.
3) Objet des marchés : pose de grilles anti effraction sur locaux commerciaux : 1, 11, 23, 31, rue Taittinger et 8, 10, rue de Rilly-la-Montagne à Reims.
4) Nombre et consistance des lots : sans objet.
5) Délai d’exécution : 6 semaines (et 3 semaines de prépara¬tion non compris dans le délai d’exécution).
7) Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P. (voir règlement de consultation).
8) Critères d’attribution : valeur technique ; prix.
9) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
10) Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.
11) Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
12) Date limite de remise des offres : 15 avril 2008 à 17 heures.
13) Date d’envoi de l’avis à la publication : 18 mars 2008.
L’association Étoile Croix du Sud vient de diffuser dans le quartier un nouveau dépliant intitulé « journal d’Étoile Croix du Sud ».
Il y présente encore les projets de l’association : création d’une école de boule pour les jeunes, d’un club de remise en forme pour les femmes (activité gymnastique), d’activités pour les anciens (club des anciens) et de lotos.
Le document souhaite également s’intéresser aux commerçants du quartier en général (le commerce du mois) et de sa vie en général et présentera les associations : l’association 2 Mains, la mosquée, l’association des Femmes Relais 51,…
Enfin, ce « journal », diffusé à 1500 exemplaires qui se veut le complément du site Internet de l’association etoilecroixdusud@hotmail.fr [4], sera présenté au public lors de l’assemblée générale du vendredi 28 mars.
Auprès de leur professeur d’anglais Lydie Marc, Amina, Elsa et Mélanie présentent leur projet en faveur de la Croix-Rouge française.
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Samedi 29 mars sera journée « portes ouvertes » au lycée Joliot Curie : de 10 à 16 heures, le public pourra rencontrer professeurs et élèves qui présenteront un certain nombre de démarches autour de projets réalisés ou en cours dans l’établissement.
Parmi ceux-ci, il en est un qui mobilise les élèves de terminale BEP Métiers du secrétariat.
Il s’agit d’une opération à caractère professionnel multidisciplinaire, coordonnée par trois professeurs : Sébastien Rollet, communication/organisation, Lydie Marc, anglais et Aurélien Albaud, EPS.
L’objectif est de collecter des dons pour la Croix-Rouge française sur un stand dressé dans l’espace lycéen lors de la journée portes ouvertes, avec le concours de Mme Tefit, de la CRF.
Les élèves vendront des autocollants, des affiches, des T-shirts portant un logo spécialement créé pour l’occasion, collecteront des dons en espè ces et des produits alimentaires telles que pâtes, conserves, farine, huile, riz, aliments pour bébés, etc… Leur action ne s’arrêtera cependant pas là car ils organisent également une manifestation sportive proposée à tous les élèves de l’établissement : elle aura lieu le 5 mai, de 9 à 12 heures au complexe sportif Géo-André.
Les participants payeront 2 euros pour s’adonner au basket, au football, à la danse hip hop. Le public est là encore convié à venir encourager les sportifs tout en soutenant une bonne cause, celle de la Croix-Rouge.
De nombreuses personnes pensent qu’il faut avoir du piston pour décrocher un logement social.
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Ceux qui recherchent un logement social sont persuadés qu’il existe des passe-droits.
Une suspicion confirmée par plusieurs associations de locataires.
Or, les trois bailleurs démentent tout favoritisme.
Ceux qui recherchent un logement social sont persuadés qu’il existe des passe-droits. Une suspicion confirmée par plusieurs associations de locataires. Or, les trois bailleurs démentent tout favoritisme.
Ceux qui recherchent un logement social sont persuadés qu’il existe des passe-droits. Une suspicion confirmée par plusieurs associations de locataires. Or, les trois bailleurs démentent tout favoritisme.
ON en apprend des choses sur les forums internet. Y compris le mode d’emploi pour décrocher un logement social. Exemple de paroles d’internautes : Fflo répond à Leila qui espère se voir attribuer un HLM mais qui se prépare à une longue attente : « Alors là… faut pas croire hein. Là où je vis, j’ai vu des gens logés en 3 semaines chrono ! ». « Tu peux me dire où ? Car vu que je suis enceinte et que j’aimerais un T4 ça m’intéresse ».
« À Reims par exemple. À condition de bosser à 2 en CDI, ça ne devrait poser aucun problème ». « Mais alors les organismes dont tu parles sont dégueulasses ! Il y a tellement de gens qui ont réellement besoin d’un HLM ! Pfff ça me dégoûte ce que tu dis ».
Autre exemple sur un site différent. B-Lolo vient au secours de Sylvarrasselle qui cherche un logement social à Reims. Elle se désespère : « Ici, pour avoir un logement faut travailler (vi, z’ont pas tout compris !). Deux des organismes m’ont dit qu’ils faisaient passer les nouveaux arrivants pour déménagement professionnel en priorité… ça risque d’être chaud ». B-Lolo tient la solution : « N’hésite pas à mentir : du genre tu veux vivre en couple et ta priorité est d’avoir un enfant le plus tôt possible, et même si t’es célibataire : tu seras prioritaire ! Si on te pose des questions, trouve un ami qui te rédige une lettre d’envie de vie de couple et d’enfant. Je le sais, je suis fonctionnaire et célibataire et ils ne m’ont jamais trouvé de solution J’aurais dû dire à l’époque que je voulais un enfant rapidement, mais j’ai pas voulu mentir. Mais quand tu vois que les gens aisés avec des relations sont prioritaires, faut pas hésiter à mentir. »
Skipp s’immisce dans la discussion : « Pop !!! C’est bon les gars !!! J’ai trouvé une photo d’échographie qui fera l’affaire… »
Faut-il ruser pour obtenir un logement social à Reims ? « En tout cas il faut faire pression car sinon c’est peanuts. Sauf à avoir de l’argent et des relations », confirment plusieurs responsables et membres d’association de défense des locataires. « Il faut absolument être pistonné. Le plus dur, c’est avec Reims Habitat. Les bailleurs fonctionnent au donnant-donnant.
On insiste pour une famille et en échange on est tout doux sur certains dossiers », affirme l’un des responsables. « J’ai eu l’exemple d’un jeune qui n’obtenait rien parce que son père avait été condamné. Il a fini par squatter un logement vacant (car il y en a), a fait son changement d’adresse, est allé à EDF en donnant le nom de l’ancien propriétaire pour qu’on lui ouvre le courant et a vécu là tranquillement. Jusqu’au jour où le Foyer Rémois a débarqué et a essayé de l’expulser. Il a fallu se battre pour le sortir de ce pétrin ». « C’est comme ça à Reims ».
Retour sur internet où Sylvarraselle relativise : « Là où j’habite, c’est pareil, le piston ou la bonne place. Ma voisine a réussi à avoir son appart en 3 mois parce qu’elle travaillait dans une banque bien en vue. Sa mère est assistante de vie et ça fait un an qu’elle attend. Ils lui avaient même perdu son dossier ! ».
Sylvarraselle va se résoudre à suivre les conseils de B-Lolo. « Et moi qui n’aime pas mentir ! Mais comme on m’a dit que pour avoir un logement rapidement, faut leur montrer qu’on est là et les harceler. Je sens que je vais vraiment devoir le faire. »
Catherine Frey
Étonnement chez Reims Habitat. « Je ne comprends pas ces propos. L’attribution d’un logement chez nous suit un dispositif qui assure toute transparence », assure Marie-Claire Gaspard, responsable du service gestion locative. « Une commission souveraine composée d’élus, de représentants des locataires et de la Caf se réunit une fois par semaine et c’est elle seule qui attribue les logements. »
Au Foyer rémois, Jean-Denis Mege, directeur du développement et des affaires sociales, veut ôter de la tête de quiconque toute suspicion de favoritisme : « Il y a le bouche à oreille et la vérité. Voici la vérité : il n’y a pas de passe-droit mais il y a des droits et des priorités ». La première revient aux urgences sociales « qui représentent 15 % de nos attributions. On ne peut y déroger, les demandes arrivent des services sociaux ou des pouvoirs publics ». Deuxième priorité : le 1 % logement « c’est-à-dire les demandes de salariés dont les patrons cotisent chez nous, ce qui représente 30 % ». Troisième priorité : « Nos clients déjà en place qui bénéficient d’échanges d’appartement. Ils sont chez nous, nous les connaissons, c’est la moindre des choses de s’occuper d’eux en premier. C’est 20 % des attributions ».
Il reste 35 % pour les demandes extérieures : « Pour celles-ci, nous poursuivons plusieurs objectifs dont celui de trouver un logement à chacun mais aussi de maintenir un équilibre social dans les quartiers. Nous devons veiller dans les secteurs sensibles à ne pas mettre en péril un équilibre relatif et dans nos logements du centre-ville, nous tentons de faire en sorte qu’ils soient accessibles à des personnes à faibles revenus ».
Même discours à l’Effort rémois. Le bailleur signale en outre qu’il travaille « régulièrement avec le bureau d’aide au logement social ».
Pour les organisateurs, le sport est un moyen de faire passer des messages de prévention
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Ali Boukhedoumi, Joseph Cakpo et Valery Bourgeois seront les chevilles ouvrières d’un tournoi de basket, prévu le 30 mars au gymnase Roland-Bourgoin à partir de 12 heures.
« Cette manifestation sportive s’inscrit dans le cadre du village Sidaction 2008, organisé à l’échelle nationale. Nous voulons par le truchement de l’activité physique et sportive sensibiliser la jeunesse sur ce fléau qui fait tant de ravages », soulignent-ils. « Le sport est un moyen pour rassembler le maximum de jeunes gens et filles pour faire passer des messages de prévention et de solidarité. Ils ne seront pas là que pour des performances. Nous voulons aussi développer la mixité entre filles et garçons au sein d’une pratique sportive. »
Comme l’année dernière, les matches obéiront à une formule championnat : avec des poules de cinq contre cinq et deux remplaçants par équipes. La durée des rencontres, elle, sera modelée en fonction des formations inscrites.
L’entrée sera gratuite et pour troisième édition, on attend plus d’une centaine de personnes.
Hier vers 3 heures du matin, une Peugeot 405 a été incendiée avenue Léon-Blum.
Il pourrait s’agir d’une voiture volée mais la carcasse est impossible à identifier en l’état. Le véhicule n’avait plus ses plaques minéralogiques.
Hier vers 16 heures, un ou plusieurs inconnus ont mis le feu à des prospectus dans les boîtes aux lettres d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger, au n° 27.
Le feu s’est consumé avant l’arrivée des pompiers.
Deux poubelles ont brûlé dimanche soir, la première 20 h 15, allée des Provençaux, la seconde à 23 h 30 rue d’Aix-la-Chapelle.
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Chansons et danses du Moyen Age et de la Renaissance : un concert sera donné à la médiathèque Croix-Rouge par les étudiants en musicologie de l’Université de Reims, sous la direction de Thierry Grandemange, avec au programme des œuvres de Johannes Ciconia, Guillaume Costeley, Clément Janequin, Claude Gervaise, le samedi 29 mars à
14 h 30.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).
Les Points information jeunesse de Croix-Rouge des espaces la Nacelle’ et Ethnic’s et l’espace Cref de la médiathèque organisent le mercredi 26 mars de 10 heures à 16h 30 à la médiathèque une journée de découverte des métiers (consultation sur CDrom), avec atelier lettres de motivation et CV, consultation de nombreuses offres de jobs et atelier découverte et consultation d’une sélection de sites Internet pour l’emploi et la formation.
L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a établi le calendrier des prochaines manifestations.
Samedi 29 mars : fête des Pâques des enfants de l’association.
Samedi 31 mai et dimanche 1er juin : journées portes ouvertes avec visite des jardins et vente de fleurs et de plantes.
Dimanche 29 juin : notation des jardins dans le cadre du concours des plus belles parcelles.
Samedi 5 juillet : barbecue associatif.
Toutes informations sur le site de l’association : http://jardinscroixdusud.site.voila.fr ou auprès de l’animateur Jérôme Weiler (03.26.06.71.96.).
L’association Étoile Croix-du-sud réunira son assemblée générale vendredi 28 mars à 18 h 30, dans le local associatif, 5 avenue Léon-Blum.
« Au programme, précise Jean-Louis Rumério, administrateur, il y aura la projection d’un document montrant les activités 2006/2007, la présentation des projets et l’élection des membres d’un conseil d’administration qui s’annonce fortement renouvelé ».
L’équipe des marcheurs du dimanche propose une sortie de 11 km le 30 mars au départ de l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau) à 8 h 15.
Retour prévu vers 12 h 30.
Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de l’accompagnateur, Vincent Girardin au 06.12.99.83.09.
L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a établi le calendrier des prochaines manifestations.
Samedi 29 mars : fête des Pâques des enfants de l’association.
Samedi 31 mai et dimanche 1er juin : journées portes ouvertes avec visite des jardins et vente de fleurs et de plantes.
Dimanche 29 juin : notation des jardins dans le cadre du concours des plus belles parcelles.
Samedi 5 juillet : barbecue.
Toutes informations sur le site de l’association : http://jardinscroixdusud.site.voila.fr ou auprès de l’animateur Jérôme Weiler (03.26.06.71.96.).
Comment occuper ses enfants lors des prochaines vacances de Pâques ? Petit état des lieux du programme proposé dans la ville afin de réserver une activité tant qu’il est encore temps.
…..
Mercredi 9 avril de 14 h 15 à 17 h 15 (séance de 3 heures) sur « Les cycles de l’eau » : atelier d’expérimentation par l’association Les Petits débrouillards Champagne-Ardenne. Pour les enfants de 7 à 10 ans.
Mercredi 16 avril de 14 h 15 à 15 h 45 (6 à 8 ans) et de 16 heures à 17 h 30 (9 à 12 ans). « La magie de l’eau » : atelier d’expérimentation
Samedis 12 et 19 avril, de 14 à 17 heures. « Cartes postales, voyage en mots et en images » : atelier d’art postal animé par la plasticienne Dominick Boisjeol. Pour les 6-12 ans. Tél. : 03.26.35.68.40.
……
Certains aménagements seraient en attente depuis 2006.
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Dans le secteur des Polygones, depuis le 1er janvier, des appartements ont été vendus dans des immeubles des 2, 4, 6, 8 et 10 rue Georges-Bernanos et au 2 rue Bergson. Depuis, un syndic gère tous les espaces communs et, curieusement, les locataires du secteur constatent des dysfonctionnements.
L’association de défense des locataires regrette le silence et la non prise en compte de ses réclamations auprès de l’Effort rémois.
Ainsi, les locataires citent les descentes d’escalier et la sortie du garage non nettoyées, les rampes lumineuses défectueuses qui ne sont plus remplacées, le manque de détecteurs de passage dans la descente des escaliers menant au garage, les pannes de plus en plus fréquentes d’ouverture des portes de garage, le marquage au sol qui traîne en longueur (exercice 2007), le marquage au sol des emplacements de parking rue Alphonse-Daudet commencé il y a 4 ans et jamais terminé, les aménagements promis le 12 juin et toujours pas effectués, les travaux 2007 commencés en décembre et qui ne sont pas terminés, l’installation des bancs sur le site promise depuis 2006.
« Nous en avons assez d’attendre la réparation de dégradations, d’infiltrations qui ne sont pas suivies ! »
Chargé de clientèle à l’Effort rémois, Patrick Sommet n’a pas souhaité commenter ces propos : « Une réponse sera faite directement à la présidente » s’est-il contenté de préciser.
Adeline Hazan, hier à l’hôtel de ville, sereine à la veille du conseil municipal qui officialisera sa nomination en tant que maire de Reims.
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……
Lors de votre campagne, vous avez insisté sur les grandes attentes dans les quartiers rémois. Comment concrètement comptez-vous y répondre ?
Il y a en effet une très forte demande. Lors du second tour, les votes ont d’ailleurs été plus nombreux que d’habitude dans les quartiers.
Cette grande attente est très lourde à porter mais je n’ai pas l’intention de décevoir les habitants. La première mesure que je vais prendre, c’est de retourner physiquement très rapidement sur place pour faire le point, voir ce va et ne va pas.
Je vais aussi réorganiser les conseils de quartier. Il faut une meilleure concertation, davantage de discussion, que les gens soient impliqués dans les changements, la rénovation. Quand on voit l’exemple de Wilson où les gens n’ont pas pu revenir dans leur quartier une fois la reconstruction faite…
La ville accorde chaque année des garanties d’emprunt à ces organismes. Cela ne doit pas se faire sans contrepartie. C’est ce que je reprochais à l’ancienne municipalité : signer comme cela. Moi je veux qu’il y ait davantage de mixité sociale, que nous puissions faire jouer le droit de préemption sur des commerces, demander que les logements soient mieux entretenus…
Quels sont vos axes prioritaires pour l’emploi ?
L’emploi, c’est la conséquence de tout le reste. Si la ville est plus moderne, plus vivante, plus gaie, les entreprises auront envie de venir et de s’installer. Il faudra aussi travailler mieux avec la CCI, Reims développement et l’agence d’urbanisme.
J’entends aussi développer très vite un axe entreprise-université qui n’a pas été assez pris en compte dans le passé.
La vidéo surveillance vient de se mettre en place. Comptez-vous l’étendre ?
Il faudra faire un bilan au bout de 18 mois pour voir si cela a vraiment été efficace. En fonction, nous verrons ce que nous ferons. Mais le secteur de la sécurité ne s’arrête pas à la vidéosurveillance. Je suis convaincue que dans ce domaine on ne peut qu’établir une politique équilibrée qui repose de la même façon sur la prévention et la répression.
Quelles mesures allez-vous prendre dans ce domaine ?
Je vais rétablir et développer les correspondants de quartiers. Je suis également favorable au retour des gardiens d’immeubles.
Je vais me rapprocher du conseil général pour qu’il y ait plus d’éducateurs spécialisés. Ce n’est pas normal qu’à Croix-Rouge ils soient deux ou trois ! Il faudra aussi développer l’action de la maison de Justice et du droit et pourquoi pas en créer d’autres si nécessaires.
Allez-vous renforcer la police municipale ?
Mon premier objectif est de voir comment faire pour qu’elle soit plus présente dans les quartiers. Les gens se plaignent en effet de ne pas assez la voir. Nous allons d’abord travailler à cela.
Voirie — propreté
Crottes de chiens, détritus… la ville de Reims est sale. Qu’allez vous faire dans ce domaine ?
C’est un constat. La ville n’est pas propre. Les gens n’en peuvent plus. Il va falloir mettre un maximum de moyens et aller jusqu’à la sanction si nécessaire.
En matière de voirie, beaucoup de choses ont été faites en centre-ville mais pas dans les quartiers. Ma priorité va être de rééquilibrer les efforts vers ces quartiers où l’on a des endroits en très mauvais état.
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La classe de 4e à projet du collège François-Legros rassemble des élèves auxquels on propose une alternance légère (3 périodes de stage de 15 jours dans l’année).
L’équipe enseignante construit chaque année avec les élèves un projet artistique pour développer leur créativité.
Depuis deux ans, il s’agit d’une thématique autour du cirque qui leur permet d’aller voir trois spectacles au Manège, d’effectuer une journée d’initiation aux activités circassiennes en début d’année et surtout de préparer « leur » spectacle.
C’est ce spectacle qui a été présenté aux CP et CE1 de l’école Ravel-Franchet.
Au programme : de la couleur, celles des tee-shirts réalisés par les élèves en arts plastiques et du rythme avec roulades, acrobaties, pyramides humaines, jonglages.
L’après-midi s’est poursuivie par un travail d’atelier encadré par les collégiens.
Un goûter est venu clore cet après-midi.
Les avis de régularisation des charges 2007 viennent d’être expédiés par les services de Reims habitat et ils provoquent une surprise agréable pour beaucoup de..locataires.
« Les témoignages heureux de locataires d’Eisenhower ne cessent de se manifester, les remboursements ayant doublé pour la plupart d’entre eux » témoigne Fabrice Lopez, président du Collectif des locataires Croix-Rouge, qui se demande : « Est-ce dû à la prévision d’un contrôle sérieux des charges effectué par notre association ? »
François Toublan, directeur adjoint de Reims habitat, rejette cette « gesticulation existentielle » et rétorque :
« Il n’en est rien ! Les services de Reims habitat ont toujours travaillé dans la plus totale transparence, nos comptes de charges sont chaque année contrôlés,
y compris par les associations et amicales de locataires qui font leur travail de vérification sérieusement et dans la discrétion. C’est grâce à un suivi rigoureux de nos prestataires ainsi qu’à un hiver 2007 doux et à un ensemble de paramètres favorables que nous pouvons procéder à un décompte de charges équilibré ou positif pour un grand nombre de résidants. »
L’objectif : « Récolter le maximum de dons pour le Niger ».
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L’association « La lumière de l’obscurité » continue discrètement ses actions pour aider un orphelinat au Niger.
« Nous avons pris rendez-vous avec Saïdou Diallo, chirurgien à l’hôpital Robert-Debré, rentré d’un voyage au Niger en début d’année. Il s’est rendu pour nous à l’orphelinat que nous allons parrainer, à Niamey. Il accueille 120 enfants (71 garçons et 49 filles), dont une centaine de moins de 14 ans. Leurs besoins prioritaires sont des vêtements ainsi que du matériel informatique. Au sein de l’orphelinat, se trouve une école qui accueille aussi des enfants de la ville. »
Plusieurs actions sont en cours : « Nous avons participé à la journée mondiale de lutte contre le Sida au centre ville, nous avons fait une intervention dans le cadre de la journée de l’engagement au lycée Clemenceau où nous avons présenté notre association à une classe de 2"" ES et le proviseur nous a autorisées à faire une collecte de fournitures scolaires, vêtements et jouets au CDI. »
Enfin, vendredi 28 mars, l’association organise une soirée « Horizon d’ailleurs » dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, à partir de 19 heures.
« Au cours de cette soirée (entrée 8 euros), nous présenterons un spectacle avec les jeunes de Croix-Rouge (danse, chant), une vente de gâteaux orientaux et de thé et un repas africain, pour récolter le maximum de dons. »
La deuxième manche du Challenge NPCA s’est déroulée à Amiens.
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Les jeunes patineurs du Reims Acrap patinage, entraînés par Sabrina Deconinck en section artistique, ont ramené quelques beaux résultats dont seize podiums.
Quatre de ces patineurs participeront au Tournoi de France 2e Division.
Mardi un peu avant une heure du matin, les policiers tombent sur deux jeunes gens en train de réparer un scooter en pleine rue, dans l’allée des Landais (Pays de France). Le contrôle de l’engin fait apparaître des choses un peu louches : les numéros de cadre et de série ont manifestement été maquillés.
Celui qui leur avait vendu l’engin reconnaîtra qu’il ne s’était pas trop posé de question quant à sa provenance.
Bilan des courses : vendeur et acheteur viendront s’expliquer devant la justice le 19 juin prochain sur ce qui ressemble bigrement à un recel de vol.
Quant à l’autre « réparateur » supris par les policiers et qui n’était pas l’acheteur du cyclo, il a été mis hors de cause.
Sur le campus Croix-Rouge,de 10 à 16 heures, « Jeu de rôle contre le racisme » : atelier animé par Homozygote.
A la Comédie de Reims, grande salle, de 16 à 18 heures, « Festival 2008 de la Licra contre le racisme et les discriminations » : manifestation ouverte à tous…
Sur le ’Campus Croix-Rouge,salle E 23 du bâtiment recherche, de 17 heures à 19 h 30, « L’utilisation de la force noire dans l’armée française durant la Première Guerre mondiale. Une histoire oubliée ? ». Projection-débat à l’initiative de la section de Reims du PCF.
A la médiathèque Falala (auditorium) de 18 h 30 à 20 h 30, « Dem walla dee, partir ou mourir » de Rodrigo Saez : ciné-débat à l’initiative de Ras l’front Reims.
Au CRDP, 17 boulevard de la Paix, à partir de 19 heures, « Suspicion, discrimination, répression » : Création du Théâtre à Pattes.
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Ce mercredi 19 mars, dans le cadre du Festival Croix-Rouge s’affiche 2008, la maison de quartier Croix-Rouge organise un concert de hip-hop avec le chanteur Kohndo dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, de19 h 30 à 22 h 30.
Cette animation est mise en place par l’espace Ethnic’s.
Entrée libre.
Claude Stoltz et Caroline Barré, de l’Union des locataires de Croix-Rouge.
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Il ne faudra pas les décevoir. Dans les quartiers, on attend beaucoup de la nouvelle maire. Claude Stoltz et Caroline Barré de l’Union des locataires de Croix-Rouge (ULCR) veulent pour commencer qu’Adeline Hazan regarde les habitants comme elle regarde ceux du centre-ville. « Ce n’est pas parce qu’on habite un logement social qu’on est amoindri intellectuellement ».
À Eisenhower, quartier qui devrait être qualifié d’universitaire si les facultés ne ressemblaient pas à des « mobil homes en ruine », beaucoup aiment leur coin. « Nous avons un parc, un centre commercial et les enfants peuvent aller de la maternelle au master sans changer de rue. Il ne manque pas grand-chose pour qu’on y vive bien. »
Au lieu de cela, « ils ont tout laissé se dégrader jusqu’à en faire un quartier où l’on habite parce qu’on n’a pas le choix ». Pour y rester il faut s’habituer à la saleté, aux incivilités, au bruit, aux feux. Il faut s’habituer à vivre avec l’étiquette d’habitant d’un quartier qui craint.
« Pour que tout change il faudra que la maire oblige les bailleurs à entretenir correctement leur patrimoine. » Les deux porte-parole ont des exemples : « Dans une récente rénovation, ils ont refait la façade de devant mais pas celle de derrière. Dans une cage d’escalier salie par des graffitis, ils avaient décidé de repeindre les demi-étages sales et voulaient laisser les autres en l’état. Il faut toujours se battre ».
Non que les bailleurs ne fassent rien mais « pas souvent » comme il faudrait. « Ils viennent d’aménager un appartement au 1er étage pour une personne handicapée.
Parfait sauf que son emménagement est reporté de jour en jour pour cause de panne chronique de l’ascenseur. » En attendant la dame est obligée de rester dans un immeuble voué à la démolition où elle est maintenant la seule locataire.
La maire devra « surveiller » les bailleurs et surtout « nous écouter ». « Rénover n’est pas qu’une question de démolitions et d’argent ». La rénovation urbaine n’est pas à jeter mais « elle a été faite dans notre dos. Beaucoup sont attachés à leur appartement.
Dans ces blocs pourris de dehors, on trouve de vrais petits palaces ». Pour certains c’est toute leur vie : « Je connais une dame qui a voulu se suicider en découvrant brutalement que son immeuble allait être démoli. Si son mari n’était pas arrivé… ».
Catherine Frey
30 % des enseignants de l’académie étaient en grève hier, selon le SNES-FSU.
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« Nous aurons moins de personnels pour assurer les mêmes missions ! » Voilà ce que déplore Françoise Eliot, secrétaire académique du SNASUB¬FSU, le syndicat de l’administration scolaire et universitaire.
Une centaine de grévistes était présente hier à 14 heures devant le rectorat de Reims. Ils contestent la suppression de 262 postes dans l’académie, dont 223 postes d’enseignants et 39 postes de personnels non enseignants.
Les établissements les plus touchés à Reims seront les lycées Libergier et Roosevelt, avec respectivement sept et six postes supprimés. « Nous ne contestons pas la baisse démographique dans le département », se défend Patrick Sarrazin, secrétaire académique du SNES-FSU, principal syndicat-enseignants. « Mais cela ne justifie pas autant de suppressions. Les enseignants vont se retrouver avec des classes surchargées et n’aurons plus de temps pour se concerter 1 000 postes en moins sur les cinq dernières années, c’est beaucoup trop ! »
Les syndicats défendent aussi les postes de non-enseignants comme les personnels de laboratoire, le personnel administratif et les secrétaires de l’inspection académique. Autant de « petites mains » qui assurent le fonctionnement quotidien des établissements et de l’académie.
Romain Brunei
Les enseignants du lycée Joliot-Curie menaient une autre action hier matin.
Malgré leur grève, ils n’ont pas obtenu le poste de conseiller principal d’éducation (CPE) supplémentaire qu’ils réclamaient au rectorat.
JUDO / Championnats de zone Des visas pour les France
Les championnats de zone ont permis aux fers de lance champardennais de décrocher leur visa pour les championnats de France.
Le pôle espoir de Reims a contribué à ces belles performances avec les qualifications,
en cadettes, de Natacha Thomas (7e en – 57 kg, Witry-les-Reims), Claire Nicolas (7e en – 57 kg, Rimogne), Domitille Augrain (2e en – 70 kg, USC Nouvion), Prescillia Drouet (7e en – 70 kg, Rimogne) ;
en cadets, Alexis François-Fontès (3e en – 81 kg, Ormes Champagne). D’autres judokas n’appartenant pas à la structure fédérale, ont tiré leur épingle du jeu : Elodie Strazzeri (1re en – 70 kg, Nouzonville), , Mathieu Guillerme (5e en – 90 kg, Loivre).
En juniors, Enguerran Vinciati (3e en – 81 kg, Montmirail, pôle espoir) s’est qualifié pour les France tout comme Ornella Perreira (5e en – 57 kg, Croix Rouge), Mélissande Debaere (2e en – 70 kg, Fismes) et Giorgi Lakoba (2e en – 73 kg, Dojo rémois).
Constance Leroy (7e en – 48 kg, Croix-Rouge) et Mathias Boucher (5e en – 66 kg), remplaçants, devront patienter.
L’association des maisons de quartier de Reims organise, du lundi 14 au vendredi 18 avril, le festival des cultures urbaines intitulé « l’Urban Junior Tour ».
Lundi 14 : le festival débutera à 14 heures, au centre culturel Saint-Exupéry, avec une démonstration de Graff.
Mardi 15 : l’après-midi sera consacré à un master class de breakdance qui aura lieu à la Maison de quartier Maison-Blanche.
En fin de journée, une conférence autour du rap à la Médiathèque Jean-Falala.
Mercredi 16 : ce sera le temps fort de la semaine avec dès 14heures, à la Cartonnerie, un show chorégraphique de danse hip-hop. L’après-midi sera agrémenté de démonstrations de slam, de danses et de djing.
Jeudi 17 : Après-midi de « rencontre-discussion » autour d’initiatives de jeunes portant sur les cultures urbaines, à la Maison de quartier Châtillons. L’association « Patagaya » proposera une performance graff dans le cadre de son projet « Reims-toil’esprit ». En soirée par un café-débat sur le thème des cultures urbaines en région.
Vendredi 18 : concert de rap à la Cartonnerie qui verra se produire le groupe local HK Projuice et le groupe Africain Tumi and the volume.
Renseignements au 03.26.36.21.05.
Plusieurs rendez-vous ce mardi 18 mars dans le cadre de la’ semaine nationale d’éducation contre le racisme :
Au Foyer Noël, 9 rue Noël, de 11 h 45 à 13 h 15, « Découvre ce que je mange, découvre qui je suis » : repas à thème (Asie). Menu : 6,20 ou 7,70 euros.
Sur le campus Croix-Rouge, amphi. culturel n810 (face au Crous), de 18 h 30 à 20 heures, « Étudiants étrangers : comment éviter l’expulsion ? » : conférence-débat à l’initiative du réseau Université sans frontières, avec Maître Miravete, avocat au Barreau de Reims et M. Koebel, maître de conférences à l’URCA
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés.
3. Objet des marchés : marché de travaux : ravalement des façades, réfection des jardinières béton 32-46 esplanade Eisenhower, 39-45 rue Pierre-Taittinger.
4. Nombre et consistance des lots : 3 lots répartis comme suit :
Lot 1 : Échafaudage.
Lot 2 : Maçonnerie.
Lot 3 : Serrurerie.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Délai d’exécution : 6 mois (non compris la période de préparation de 30 jours).
7. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax : 03.26.48.43.40 ou être consultable et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
9. Critères d’attribution :
Mémoire technique : 20 %
Prix : 80 %.
10. Délai de validité des offres : 120 jours.
11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur Le Directeur Général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 511100 Reims. Les offres peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site : www.reims-habitat.fr rubrique marchés publics.
12. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16, fax. 03.26.48.43.40.
13. Date limite de remise des offres : jeudi 10 avril 2008 à 17 heures.
14. Date d’envoi de l’avis à la publication : mercredi 12 mars 2008.
Surexcité, un homme a cassé la porte d’un immeuble de l’allée des Landais, samedi vers 22 heures.
Interpellé puis conduit au commissariat, il a dû être transféré aux urgences psychiatriques du CHU.
Cette année la semaine nationale d’éducation contre le racisme se déroulera du 17 au 23 mars. Au programme : conférences, débats, projections, théâtre, repas, concerts et expositions. Cette semaine d’événements est coordonnée par l’Association rémoise contre les racismes . www.multimania.com/arca
Au foyer Princet-Ozanam, 77 boulevard Robespierre, de 13 h 30 à 15 h 30, « Un regard sur la précarité » : l’équipe Spolu d’Unis-Cité propose une exposition photos sur les préjugés autour de la précarité.
A la Maison de la vie associative, 122 bis rue du Barbâtre (salle 101), de 20 à 22 heures, « Quel quotidien pour les personnes en grande précarité ? » : projection et présentation par le personnel des actions menées par le foyer Princet-Ozanam pour accompagner et améliorer le quotidien des personnes accueillies. La soirée se poursuivra par un débat.
« Les mains » : l’équipe Soledad d’Unis-Cité présente une exposition photo sur le thème des différentes formes de discrimination, à la médiathèque Jean-Falala.
« Messages » : expo-témoignage autour des préjugés sur les personnes en grande précarité, réalisée par les personnes accueillies au foyer Princet Ozanam, 77 boulevard Robespierre (du mardi au vendredi de 13 h 30 à 15 h 30).
« Honduras et Nicaragua : immersion » : à l’association marnaise d’Aide à la Jeunesse, foyer Noël, 9 rue Noël.
« Exposition de Boualem M. Aouail » : peintures mettant en avant la diversité, à la Bibliothèque pour tous Orgeval, 7 rue Charles-Roche.
Hier peu après 14h30, un véhicule a terminé sa course dans un poteau de la rue Robert-Schuman, près de l’hippodrome de Reims ; cet accident a fait un blessé léger.
Alerte au feu vendredi soir vers 21 heures dans l’avenue François-Mauriac du quartier Croix-Rouge, mais petite alerte seulement : quand les pompiers sont arrivés à l’adresse indiquée (à hauteur du numéro 1), le feu était déjà éteint.
La discrimination à l’embauche, l’une des multiples formes de racisme. Dominique Gutekunst
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La semaine nationale d’éducation contre le racisme coordonnée par l’association rémoise contre les racismes aura lieu du 17 au 22 mars. Au programme : conférences, débats, projections…
13 h 30-15 h 30 : « Un regard sur la précarité », exposition photo sur les préjugés autour de la précarité., au foyer Princet-Ozanam, 77 bd Robespierre.
20 heures : « Quel quotidien pour les personnes en grande précarité ? », projection et présentation par le personnel des actions menées par le foyer Princet-Ozanam puis débat à la Maison de la Vie Associative, 122 bis rue du Barbâtre, salle 101.
11 h 45 : repas à thème (Asie). Menu : 6,20 ou 7,70 € au foyer Noël, 9 rue Noël.
18 h 30 : « Étudiants étrangers : comment éviter l’ex pulsion ? », conférence débat à l’initiative du Réseau Université Sans Frontières, avec Me Miravete, avocat, et M. Koebel, maître de conférences à l’Urca. Campus Croix-Rouge, amphi face au Crous.
10 à 16 heures : jeu de rôle contre le racisme animé par Homozygote au cœur de l’exposition d’affiches de Ras l’front Reims. Campus Croix-Rouge, verrière des nouveaux amphis.
16 à 18 heures : festival 2008 de la Licra contre le racisme et les discriminations, manifestation artistique ouverte à tous à la Comédie de Reims.
17 heures : « L’utilisation de la force noire dans l’armée française durant la Première Guerre mondiale, une histoire oubliée ? », projection-débat à l’initiative du PCF sur le campus Croix-Rouge.
18 h 30 : « Dem walla dee, partir ou mourir » de Rodrigo Saez, ciné-débat à l’initiative de Ras l’front Reims à la médiathèque Jean-Falala.
19 heures : « Suspicion, discrimination, répression ». Création du Théâtre à Pattes au CRDP, 17 Bd de la Paix.
11 h 45 : Repas à thème : créole, au Foyer Noël.
18 h 30 : « Charleville-Auschwitz » de Pierre Coulon, projection-débat proposée par la Licra et les Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation à la médiathèque Jean-Falala.
À partir de 20 heures : « Bamako » d’Abderrahmane Sissako. Ciné-débat proposé par Attac sur le procès de la banque mondiale et du FMI par les Africains, à la maison de la vie associative.
Vendredi 21
10 à 12 heures et 14 à 18 heures : « Fresque contre le racisme » par les artistes de l’Armée Du Salut, 10 rue Goïot.
18 h 30 : « Les déficiences sensorielles » (table ronde) à la maison de la vie associative.
19 à 20 heures : « Oiseaux du grand large » et « Le grand gentil loup ». Apéro-théâtre-rencontre au Cri du peuple, 67 avenue Jean-Jaurès.
À partir de 20 heures : « Immigration économique et discriminations légales du XIXe siècle à aujourd’hui ». Conférence-débat animée par Ras l’front Reims au « Cri du peuple », 67 avenue Jean-Jaurès.
20 heures : « Concert contre le racisme » co-organisé par Homozygote et Somesthezic au centre culturel du Crous (Campus Croix-Rouge).
Le 26 février dernier, les personnels enseignants du collège Joliot-Curie avaient massivement fait grève afin de demander des moyens supplémentaires et de dénoncer « un profond malaise » (l’union des 23, 26 et 27 février).
Depuis, des discussions ont été ouvertes avec le Rectorat et l’Inspection d’académie. « On nous a fait des propositions, » constate un représentant des enseignants en grève « et cette semaine, nous avons examiné ces propositions. On nous propose ainsi de transformer le poste de professeur référent en mathématique en poste de conseiller principal d’éducation. » Mais les enseignants « ne veulent pas, finalement, se satisfaire de cette proposition. Nous réclamons un poste de CPE supplémentaire et plus de moyens pédagogiques. » Et de souligner que « depuis le dernier mouvement de grève, la situation dans l’établissement continue à se dégrader lentement. »
Les enseignants annoncent donc qu’ils seront en grève mardi 18 mars prochain. « Nous organiserons une marche, avec un départ à 9 h 30 du collège vers le rectorat ».
Les enseignants de Joliot-Curie participeront aussi au rassemblement prévu mardi à 14 heures, devant le rectorat, dans le cadre du mouvement de grève national lancé par les syndicats suivants : SNES-Fsu, SNEP-Fsu, SNASUB-Fsu, SNFOLC, Sud-Éducation, UNSEN-Cgt. Ces syndicats d’enseignants du second degré font « le constat qu’aucune réponse n’a été apportée à leur exigence de discussions sur la revalorisation du métier d’enseignant » et « le ministre de l’Éducation nationale n’a pris aucune distance vis-à-vis du rapport Pochard, porteur de dangers pour les statuts et les missions des enseignants. »
Pour les organisations syndicales, « le budget 2008 met en péril l’organisation des enseignements dégradant les conditions de travail des personnels et des élèves et porte atteinte à la qualité du service public d’enseignement. » Et « ce constat s’inscrit dans un contexte très général d’attaque contre les salaires, les retraites et les statuts de tous les fonctionnaires ».
P.B.
Dénomination sociale : SPIRIT DESIGN.
Forme sociale : E.U.R.L.
Siège social : 31, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
Capital social : 500 euros.
Objet social : promouvoir, organiser et développer des manifestations sportives, musicales et culturelles.
Durée : 99 ans.
Gérant : M. Medhy SOZZI, 74, rue d’Estienne-d’Orves, 51100 Reims.
La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.
Pour avis.
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Ludivine Lemaire, entraîneur de danse sur glace du Reims Acrap patinage, a présenté à Épinal, samedi dernier, de nouvelles compétitrices qui ont obtenu de beaux résultats et leur visa pour intégrer dès la saison prochaine l’équipe de tournoi France 1’ division.
Le groupe s’est fortement agrandi. Il est en effet passé de 2 patineuses 1èredivision niveau national à 15 aujourd’hui, et dès la saison 2008/2009, il en aura 21. Prochain rendez-vous les 12 et 13 avril à Morzine pour les championnats en couples.
Le RAP (Reims Acrap patinage) a pris la 5e place de l’épreuve nationale d’Epinal remportée par Belfort.
Les plus jeunes ont découvert la compétition avec plus ou moins de bonheur :
Chloé Neiva et Océane Littière 7es (dans la catégorie 7e Cristal), Philippine Bouny 6e (Préliminaire niveau 3), Océane Persinet, Océane Goyard-Gully et Victoire Plomion 7e, 8e et 9e (Préliminaire Plus niveau 1), Chloé Pillet 2e (Préliminaire Plus niveau 2), Coralie Dehu 5e (Préparatoire niveau 1).
Dans les catégories plus confirmées, Margaux Abib-Gruet a remporté son groupe en Pré-Bronze niveau 1, Anaïs Millard a fini 4e. En Pré-Bronze niveau 2, Marine Ravaux a fini 4e, en Argent niveau 1, Solène Manceau a terminé 4e. Enfin, le couple Nina Toukouk-Renan Manceau, seul en lice, a pu enrichir son expérience.
Les élèves ont élaboré un « calendrier de la sécurité ».
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Faire participer des élèves de 3e, option Découverte Professionnelle, à la conception d’un calendrier portant sur le thème de la sécurité au sein de l’entreprise.
Ce projet a réuni la société Actaris (fabrication de compteurs) et le collège Georges-Braque, dans le cadre de l’opération « Bravo l’Industrie », patronnée par l’UIMM de la Marne.
« Nous sommes partis sur l’élaboration d’un calendrier 2009, avec des photos et conseils sur les gestes et postures à adopter dans le travail » expliquent Louisa Dos Santos et Jean-Luc Sagot, les deux enseignants qui accompagnaient les élèves, venus lundi dernier présenter leur maquette.
« Nous avons pris des photos lors d’une visite dans l’entreprise, montrant les bonnes et mauvaises postures des ouvriers lors des opérations de manutention » ajoute Louisa Simao.
La jeune fille vient de montrer la page « Février » (consigne du mois : comment soulever un objet lourd) aux responsables de l’entreprise.
Un sujet intéressant pour ces collégiens qui ont dû maîtriser la synthèse pour les « messages flashs » illustrant les photos, interpréter des statistiques d’accidents, tenir compte de la charte graphique de la société, travailler les arts plastiques pour illustrer la couverture.
Les élèves sont fiers : « Notre calendrier sera distribué à chaque salarié, ce sera pour nous un très bon souvenir » et satisfaction de la directrice des ressources humaines, soulignant « une utilité très importante en terme de communication au sein de l’établissement, sur la problématique de la sécurité ».
Les élèves ont élaboré un « calendrier de la sécurité ».
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Tyrone Downie, qui fut le clavier et l’arrangeur musical de nombreux albums des légendaires Wailers et qui vit désormais en France, sera présent le jeudi 20 mars à 18 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge.
Il répondra aux questions du public sur le groupe qui a révolutionné, avec son leader Bob Marley, l’histoire des musiques populaires, sur ses participations à des albums mythiques sur ses productions actuelles ainsi que sur sa vie de musicien international.
Entrée libre : médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar (03.26.35.68.40.).
Les Maracasse-Pieds passent de l’autre côté de la barrière. Leur but : « venir en aide aux jeunes talents marnais de la chanson française », explique la porte-parole Marine Bailleul.
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Le jeune groupe rémois Les Maracasse-Pieds organise un concert avec scène découverte pour promouvoir la chanson française. Avis aux chanteurs amateurs.
LEUR truc à eux, c’est la « chanson pas pareille avec bric-à-brac instrumental ». Eux, ce sont les Maracasse-Pieds, un groupe de jeunes Rémois tous issus du conservatoire créé l’été dernier autour de l’envie de faire de la chanson française avec humour. Et ça marche plutôt bien pour Marine, Amélie, Lucie, Alexandra et Julien. Lauréats du tremplin Jeunes Talents 2007, ce qui leur a valu de se produire à la Cartonnerie, ils sont cette année présélectionnés pour le tremplin Le Mans Cité Chanson. Et les concerts se suivent : « Après le 7 mars au Crous pour la Journée de la femme sur invitation de l’association Homozygote, nous serons le 22 mars à l’Excalibur », annonce Marine Bailleul, porte-parole du groupe. La jeune femme est très occupée car le groupe a une autre actualité : mettre sur pied une scène découverte sur Reims. « On a envie de faire vivre la chanson. Quand on fait des prestations, les gens sont très contents, donc on se dit qu’il y a une demande », explique Marine. A la fin de l’année dernière, une association a vu le jour pour porter ce projet : la Marac-assoc’. Avec Amélie, Marine en est la cheville ouvrière. Toutes deux ont monté un dossier pour bénéficier du dispositif Envie d’agir lancé par Jeunesse et Sports. Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour le 23 mai prochain à la Cartonnerie.
La soirée, dédiée à la chanson française, s’articulera en trois parties : une scène découverte avec cinq jeunes artistes locaux, un concert des Maracasse-Pieds qui lanceront ce soir-là leur premier album, et en tête d’affiche le chanteur Gérard Genty, qui donne aussi dans la chanson française humoristique.
C’est l’occasion rêvée de se faire connaître pour les jeunes talents locaux. Il suffit d’être âgé de moins de 30 ans, d’être auteur-compositeur-interprète dans un style chanson francophone et de résider dans la Marne. Le dossier, à retourner avant le 22 mars, devra comporter une maquette de deux à cinq titres, une biographie, un accord parental pour les mineurs, et les nom, prénom, téléphone et adresse mail de la personne à contacter. Un jury se chargera de la sélection. En son sein, uniquement des professionnels séduits par le projet : Rodolphe Rouchaussé, programmateur de la Cartonnerie, Christian Lassalle, directeur de l’association de promotion de la chanson française Reims Oreilles, François Eberlé, professeur de chanson au Conservatoire et Boris Claudel, coordinateur du réseau Pôle Sud. Il ne reste plus qu’à les convaincre ! Les lauréats auront ainsi accès au rêve de tout artiste : la scène.
Isabelle Hodey
L’adresse à laquelle envoyer les dossiers est la suivante : La Marac-assoc’25 rue Gambetta 51100 Reims.
Retrouvez les Maracasse-Pieds sur Internet www.myspace.com/ lesmaracassepieds
Jean-Louis Schneiter est favorable à un projet de Prisme dans les Halles du Boulingrin.
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Il était joyeux, Jean-Louis Schneiter, en se présentant samedi dernier à la médiathèque Croix-Rouge pour une inauguration :
« Je sors d’une réunion avec la Mission tramway, je ne vous raconte pas l’ambiance ! »
Profitant de cette bonne humeur, Didier Janot, président du club d’entreprises mécènes Prisme s’est aventuré à solliciter une signature pour un projet de mécénat de trompe-l’œil à l’intérieur des halles du Boulingrin :
« Écoutez » répondit le maire, « j’ai actuellement sur mon bureau un stère de documents à signer avant mon départ ! Ajoutez le vôtre, mais faites vite ! »
Didier Janot insista : « je ne résiste pas à l’envie de vous présenter bien d’autres projets de mécénat : restauration et déplacement de !’œuvre du Moulin de la Housse, reconstitution virtuelle du Labyrinthe de la cathédrale, aménagement de la fontaine intérieure de la bibliothèque Car¬négie, gare TGV, déplacement du Luchrone… »
« Résistez ! Ma vie est courte, je vous présenterai mon successeur ! » Plaisanta Jean-Louis Schneiter.
Union080313c - Locales - Reims
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Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil général de la Marne.
Correspondant : M. le Président du Conseil général de la Marne, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. D3.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29.
Objet du marché : travaux sur les sous-stations de chauffage urbain et les régulations des réseaux de chauffage aux collèges François-Legros et Georges-Braque à Reims.
Type de marché de travaux : exécution.
Refus des variantes.
Prestations divisées en lots : non.
Langue pouvant être utilisée dans l’offre ou la candidature : français.
Critère d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous (par ordre de priorité décroissant) : valeur technique, prix.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres : 10 avril 2008 à 12 heures. Délai minimum de validité des offres : 150 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Numéro de référence attribué au marché par le pouvoir adjudicateur/l’entité adjudicatrice : chauffage collège.
Renseignements complémentaires : aucune transmission électronique des offres n’est autorisée.
Le délai d’exécution des travaux est de 4 mois.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : Conseil général de la Marne.
Correspondant : Service des marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.49.68.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Conseil général de la Marne, S.E.T.B.
Correspondant : Florence NOIROT, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.51.73.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Conseil général de la Marne.
Correspondant : Service des marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29.
Adresse Internet : http://www.achatpublic.com
Date d’envoi de l’avis : 10 mars 2008.
« On ne vote pas parce qu’on n’y croit plus ».
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« Boulevard des Belges, l’annonce que le tramway allait bien se faire expliquerait peut-être la forte abstention », estime Christian.
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Rachel et Valérie : « Ceux qui ne vont pas voter, ce sont les mêmes qui se plaignent tout le temps ».
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Seulement la moitié des électeurs sont allés aux urnes dimanche dernier. Pourquoi les autres n’y vont-ils pas ?
Nous avons posé la question autour des trois bureaux rémois qui détiennent le plus fort taux d’abstention : Newton, Franchet-d’Esperey et Boulevard des Belges.
Pas plus de 36,73 % de votants à l’école Franchet-d’Esperey. Très faible participation dans ce quartier situé à la lisière d’un Wilson pourtant fraîchement rénové. Régine, 72 ans, née à Reims, tient l’explication : « On ne vote pas parce qu’on en a ras-le-bol. Ras-le-bol des ascenseurs en panne, ras-le-bol de cette ville triste où ça ne s’arrangera pas, quel que soit le maire. La vérité, c’est que ça sert à rien de voter ».
À une époque Régine se rendait aux urnes. « Il y a eu une époque où je bouquinais, je m’intéressais et j’ai tellement été dégoûtée que j’ai arrêté ». Dégoûtée par quoi ? « Par ce qu’ils disent et qu’ils ne font jamais. Par les privilèges toujours aux mêmes. Je connais les passe-droits quand on veut un logement. Je connais tout. Il ne faut pas croire que ça n’existe plus, c’est intact ».
On ne la reprendra plus sortir sa carte d’électeur : « Pas de risque. Reims est trop près de Paris, elle ne pourra jamais devenir la métropole qu’ils racontent tous. Du pipeau ! » Dans la tour où elle vit, les habitants qui font la queue au seul ascenseur qui fonctionne écoutent Régine en silence.
Pas un ne la contredira.
Même pas 40 % de participation à l’école Jean-Macé boulevard des Belges. Le quartier n’a pourtant rien de défavorisé. On y vit plutôt bien comparé à d’autres.
Alors pourquoi ? « Possible que le tramway soit à l’origine de cette abstention », avance Christian, électeur fidèle. « D’ailleurs il y a pas mal de maisons en vente sur le boulevard où le tram va passer. Comme si les gens en avaient peur ».
L’annonce, à trois jours du premier tour, que le tramway se ferait définitivement a pu démobiliser les anti-tram du secteur. « Je ne vois que cela comme explication. Moi, j’ai fait le contraire, j’ai acheté une maison, je compte sur le tram pour lui faire prendre de la valeur et ensuite je file à la mer ».
Autre habitant, autre ton. Un non votant du quartier qui préfère rester anonyme lâche du bout des lèvres pourquoi il n’a pas mis son bulletin dans l’urne : « Parce que c’est tous des rigolos. Tous du blablabla, tous la même salade, trop de blagues. Ils parlent, ils parlent et quand ils ont la place ils font ce qui les arrange ».
Alors pour ce qui est de voter, « tintin ! »
Près de 70 % d’abstention. C’est à Croix-du-Sud, au bureau électoral de la rue Newton, qu’on a le moins voté à Reims.
Pourquoi ?
« Parce que les gens ne se sentent pas concernés. Ils voient les maires passer et jamais rien ne change pour eux », analyse Mourad qui lui est tout de même allé voter.
« Les candidats ont l’habitude de les voir arpenter le quartier pendant la campagne et ensuite on ne les voit plus jusqu’à la prochaine élection. Si un jour un maire fait différemment, peut-être que les gens changeront mais, ça, personne n’y croit ».
Rachel et Valérie sont plus sévères avec les abstentionnistes du quartier : « Ceux qui ne vont pas voter, ce sont les mêmes qui refont le monde tous les jours à la sortie de l’école et qui se plaignent tout le temps. Ils ne réalisent même pas qu’en ne votant pas, ils prouvent aux élus que ce n’est pas nécessaire de s’occuper d’eux puisque de toute façon, aucun ne leur rapportera de voix. En gros, ils n’ont rien compris ».
L’allée des Bourguignons a vu dans l’espace d’une nuit les sapeurs pompiers intervenir deux fois, à chaque fois pour un feu de local à vicie-ordures.
La première alerte a eu lieu à 22 h 45 au numéro 2, la seconde à 1 h 17 au numéro 4.
Ces deux sinistres ont été éteints au moyen d’une lance à débit variable.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080312d
AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »
1. IDENTIFICATION DE LA COLLECTIVITÉ QUI PASSE LE MARCHE : VILLE DE REIMS, Place de l’Hôtel de Ville - 51096 REIMS CEDEX.
PERSONNES RESPONSABLES DU MARCHE : Monsieur le Maire ou M. AUGER, Directeur Général des Services Techniques.
2. MODE DE PASSATION : Marché à procédure adaptée, conformément à l’article 28 du code des marchés publics.
3. OBJET : Travaux de démolition de la passerelle piétonne située Avenue Léon Blum Quartier Croix du Sud à REIMS.
La durée d’exécution des prestations est fixée à 10 semaines (préparation de chantier comprise) à compter de la notification de l’ordre de service prescrivant le commencement d’exécution des travaux.
4. OBTENTION DU D.C.E. : Le D.C.E. sera remis gratuitement à chaque candidat qui en fera la demande à la VILLE DE REIMS, Direction Générale des Services Techniques — Service des affaires Administratives - 51096 REIMS CEDEX, Bureau 110. Tél. : 03.26.77.73.47 - Fax : 03.26.77.73.50.
DISPOSITIONS RELATIVES A LA DÉMATÉRIALISATION : Les candidats ont la possibilité de consulter et d’archiver sur leur ordinateur le dossier de consultation des entreprises (D.C.E.) dans son intégralité.
Pour réaliser Ces actions, candidats devront se connecter, via Internet, à l’adresse suivante : http://www.marchespublics.reims.f r
Un "mode d’emploi utilisateurs, fournisseurs" est mis à la disposition des candidats sur le site dans la rubrique -aide"
Lors du téléchargement des documents, le candidat doit notamment indiquer son nom ou raison sociale, le nom de la personne physique téléchargeant les documents ainsi qu’une adresse électronique (courriel). Toutes ces indications lui permettront de bénéficier de toutes informations complémentaires diffusées au cours de cette procédure, en particulier les éventuelles précisions.
La remise dématérialisée des candidatures et des offres n’est pas autorisée.
5. DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES OFFRES : Le 7 avril 2008, à 17 h.
Les offres sont à envoyer par la poste en recommandé ou à remettre contre récépissé à la VILLE DE REIMS, D.G.S.T., Service des Affaires Administratives, Bureau 110 - 51096 REIMS CEDEX.
6. CONDITIONS D’ENVOI DES OFFRES : Sous enveloppe cachetée portant la mention "NE PAS OUVRIR" - Consultation "Démolition de la passerelle piétonne Croix du Sud- VM5-S-08-05".
Cette enveloppe devra contenir l’offre du prestataire ainsi que l’ensemble des justificatifs visés à l’article 3.2 du règlement de consultation.
7. CRITÈRES DE JUGEMENT DES OFFRES : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-après et détaillés à l’article 4.2 du règlement de consultation :
1) Prix (40 %).
2) Valeur technique (60 %).
8. RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES : Mme Chantal SAUVEGRAIN, Service Sécurité Accessibilité. Tél. : 03.26.77.73.59.
Une visite de chantier pourra être programmée avant la remise des offres. Les candidats devront prendre rendez vous auprès de M. THOMASSIAN (03.26.77.73.72), avant le 26 mars 2008.
9. DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION DU PRÉSENT AVIS : Le 12 mars 2008.
Le Directeur Général des Services Techniques
Jean-Pierre AUGER.
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L’association compte une cinquantaine d’adhérents.
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L’Union des locataires Croix-Rouge (défense des locataires du secteur Eisenhower-Université de Reims habitat), s’est réuni jeudi dernier à l’espace Billard.
L’association, qui compte près de cinquante adhérents, a accueilli le public, dans lequel les représentants des autres associations de locataires : Pays-de-France, At’Hom, Polygones et Mieux vivre à Croix-Rouge, et les élus Michel Guillaudeau et Eric Quénard.
La présidente Claude Stoltz a fait part des actions réalisées au cours de l’année écoulée.
« Nous avons recensé une quinzaine de personnes très âgées. Nous nous battons pour qu’elles obtiennent des logements adaptés. Par ailleurs, grâce à notre partenariat avec la résidence Arfo voisine, rue du docteur Billard, des activités communes entre résidants et personnes âgées du quartier sont désormais possibles. »
Le chauffage était éteint de 1 heure à 6 heures le matin. « Notre intervention a permis qu’il soit seulement baissé depuis janvier : Pourvu que ça dure ! »
« Notre première action de Noël a été un succès : photos, concours de dessins, confiseries, grâce à Reims habitat et aux commerçants du centre commercial de l’hippodrome ». L’association compte organiser prochainement une course à l’œuf et une brocante.
L’association avait invité deux assureurs professionnels pour donner des conseils aux locataires sur les procédures à suivre en cas d’accidents (pannes d’ascenseur, absence d’éclairage dans les escaliers, incendies, dégâts des eaux, états des lieux défaillants…)
L’élagage des arbres a été obtenu, pour chasser les étourneaux ; des barrières anti-mobylettes ont été installées sur l’esplanade Eisenhower, des lamelles métalliques ont été fixées sur les boîtes aux lettres des logements vides afin d’éviter l’accumulation de publicité et la tentation d’y mettre le feu.
Les locataires ont de gros problèmes d’ascenseurs. Après plusieurs mises en demeure (procureur de la République et bailleur), une remise de charges a été accordée, mais de nouveaux problèmes graves sont apparus après des incendies (47 Eisenhower et garage souterrain), avec des pannes de plus de deux mois ! Une locataire témoigne : « Ma maman a 70 ans. La porte de l’ascenseur du 47 Eisenhower étant bloquée au 10e étage, elle n’est pas sortie de chez elle depuis 3 mois ! »
L’association souhaite des réaménagements par la municipalité : jeux, toboggans, piste d’évolution pour petits, piste de roller pour les grands, bancs, poubelles, éclairage : « quelques avancées ont été constatées, mais il reste encore beaucoup à faire ».
Plusieurs courriers ont été adressés au Premier ministre François Fillon qui les a redirigés vers le préfet de la Marne, pour dénoncer la taxe d’habitation bien trop élevée pour le quartier : « des courriers restés sans réponse ».
Muriel Masini, conservateur, présente la borne informatique.
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La médiathèque Croix-Rouge vient d’inaugurer une borne d’information du public sur l’œuvre des artistes Sylvain Grout et Yann Mazéas (un texte poétique du boxeur mythique, Muhammad Ali, gravé sur le fronton de la médiathèque), en présence des partenaires financeurs du projet et de Didier Janot, président du club d’entreprises mécènes Prisme.
Cette borne informatique propose des vidéos d’interviews réalisées à Reims, des extraits de documentaires sur Muhammad Ali, des références de DVD et d’ouvrages.
L’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (ACRAP) tiendra son assemblée générale vendredi 14 mars, à partir de 20 heures, dans les locaux de l’association, 11, avenue du président-Kennedy.
Renseignements, tél. 03.26.06.39.54.
Paulette Moreau, 99 ans, peut compter sur le réconfort que lui apporte son chien Mickey.
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Depuis qu’elle s’est cassé le bras, rien ne va plus. Paulette Moreau, 99 ans, se retrouve seule chez elle pour se débrouiller. Assistée d’une voisine, elle met en cause une association d’aides ménagères.
Elle est un peu perdue, Paulette. Cette mamie de 99 ans se trouve bien démunie depuis ce 14 février, lorsqu’elle a chuté dans sa salle de bains, se cassant le bras droit. Bilan : une semaine d’hôpital.
Elle est maintenant de retour dans son appartement de l’allée Antoine-Watteau, aux murs recouverts de photos de fox terrier. Comme Mickey, son chien de 11 ans, qui lui tient compagnie. C’est pour lui qu’elle est sortie prématurément de l’hôpital, parce que la voisine ne pouvait plus le garder. Heureusement qu’elle l’a, Mickey. Il lui apporte un peu de réconfort car sinon elle est toute seule chez elle avec son bras dans le plâtre. Quasiment livrée à elle-même.
Personne pour l’aider à préparer son repas, pour faire sa toilette, ou ses courses : « Je n’ai qu’à me démerder toute seule et voilà. Il faut que je me débrouille pour faire à manger », soupire Paulette. Du coup, elle achète des plats cuisinés. Bref, elle fait comme elle peut.
Paulette devrait pourtant pouvoir bénéficier de l’allocation de garde à domicile : quelqu’un qui viendrait l’aider tous les jours, à raison de 30 heures par mois. A condition de remplir les papiers. Seulement voilà, le dossier n’a pas été fait en temps et en heure, et du coup, Paulette n’a personne sur qui compter au quotidien. L’Adhap est bien intervenue à sa sortie de l’hôpital, mais c’est terminé.
Quant à son aide-ménagère, elle ne vient que quatorze heures par semaine, le lundi et le vendredi pour assurer le ménage. Personne, à part Marie-Claude Saucournier, une dame du quartier qui multiplie les coups de fil à la limite du harcèlement. L’assistante sociale de l’hôpital, la caisse de retraite, et surtout les Aides ménagères rémoises. Ce sont ces dernières qu’elle tient pour seules responsables de la situation et elle ne décolère pas : « C’est inadmissible de laisser une centenaire toute seule ! Elles devaient venir à l’hôpital pour le dossier, personne n’est venu. Elles devaient venir le vendredi suivant sa sortie de l’hôpital, personne n’est venu. Elles devaient venir le lundi 3, personne n’est venu. Elles sont venues en catastrophe le mardi prendre des papiers ».
Depuis, Paulette a pu bénéficier d’une aide à la toilette, l’allocation de garde à domicile est arrivée, mais Mme Saucournier, ne veut rien lâcher : « Ca n’est pas fini, cela pourrait arriver à d’autres ».
Contactée par nos soins, la directrice des Aides ménagères rémoises s’est, elle aussi, fâchée d’être ainsi mise en cause, refusant de s’exprimer sur le cas personnel de Mme Moreau sans autorisation écrite de cette dernière. Ce que Mme Saucournier, tout comme Mme Moreau, refuse. Reste à espérer que les relations à venir entre Paulette et ses aide-ménagères ne pâtiront pas de cette malheureuse histoire, tant cette mamie a besoin d’une aide à domicile au quotidien le temps de se remettre de son accident.
I.H.
Charles Santini, ici avec Colette son épouse, a créé la MutES en 1998.
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La prochaine fête des « Crêpes-Solidarité » organisée par l’association Multi échanges services (MutES) se déroulera mercredi 12 mars de 14 heures à 16 h 30, devant l’Espace Billard et le supermarché Match, sur le secteur Taittinger-Eisenhower.
Elle prendra cette année une ampleur particulière : à l’occasion des 20 ans de l’association, la MutES invite en effet la popu lation autour de Jean-Luc Geoffroy, représentant le maire, de Charles Santini, président fondateur et de tous les adhérents et amis qui ont marqué la vie de la MutES depuis sa création en 1988.
Dans les centres de loisirs, des affiches réalisées par les enfants et annonçant la fête seront dupliquées et diffusées dans le quartier par l’intermédiaire des associations de locataires.
L’après-midi se déroulera comme à l’accoutumée : jeux, animations et dégustation de crêpes. « Pour marquer cet anniversaire, nous avons sollicité le service municipal des Espaces verts pour qu’il nous offre un arbre à planter devant l’espace Billard. Ce sera l’arbre de la Solidarité.
La plantation officielle se ferait vers 16 heures, un temps réservé à tous ceux qui ont fait vivre MutES jusqu’à aujourd’hui, ainsi qu’aux responsables et présidents des associations du quartier, autour d’un gâteau de crêpes de tous les pays, avec exposition de photos et d’articles de presse, et naturellement discours du président fondateur Charles Santini.
Les enfants chanteront un chant de fraternité choisi par Jean-Louis Rumerio (association 2 Mains) » annonce Martine Massart, la présidente.
Les patineurs du RAP ont réalisé de bons résultats.
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La section artistique du Reims Acrap patinage, entraînée par Sabrina Deconinck, a participé au trophée du Petit Port à Nantes, une compétition de 2e division de Tournoi de France.
Deux catégories de patineurs étaient représentées, les minimes et les novices. Pour Jonathan Jaquet et Camille Nicolats, la compétition était une reprise après deux mois et demi d’arrêt pour blessures.
En minimes filles moins de 13 ans, Justine Laroussi se place 25e. En minimes garçons moins de 13 ans, Gianni Daffini se place 7e. En En novices filles moins de 16 ans, Camille Nicolas termine 32e et en novices garçons moins de 16 ans, Jonathan Jaquet termine 10e.
Ces jeunes sportifs en sont ressortis motivés et fiers d’avoir représenté leur club et leur ville.
Par ailleurs, la section de danse sur glace du RAP, entraîné par Ludivine Lemaire, a organisé à Reims la 4e journée nationale des tournois de France 1ère Division en vue des championnats de France qui se dérouleront mi avril 2008 à Epinal.
Les titres de championnes de Champagne Ardenne ont été remis à Camille Renault (classée 2e en bronze), Juliette Wary (classée 2e en Préparatoire ), Morgann Prey (classée 2e en pré-bronze B), Margaux Abib-Gruet (classée 2e en pré-bronze A), Justine Delaunois, Nina Toukouk et Renan Manceaux.
Les titres de vice-championnes de Champagne Ardenne ont été décernés à Morgane Huet, Eva Lemaire, Anaïs Milard et Mélanie Carriè.
Entrée libre.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus place Auguste-Rodin jeudi à 5 h 25, pour un feu de poubelles qui a été rapidement maîtrisé.
Un feu de voiture a été signalé jeudi vers 18 h 15, allée des Gascons à Reims. Le feu a été éteint par les sapeurs-pompiers à l’aide d’une lance.
Ce week-end, les jeunes danseuses du RAP (Reims Acrap patinage), celles qui découvrent la compétition, se rendent à Epinal où elles auront l’objectif de démontrer à leurs entraîneurs (Ludivine Lemaire et les cadres en formation Justine Delaunois et Morgane Huet) l’étendue de leurs progrès.
Geneviève Kaczowka en a assez de voir ces poubelles à l’entrée du garage.
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Une épave aux pneus crevés parmi d’autres dans le garage.
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Geneviève Kaczowka ne décolère pas. La présidente de l’association de défense des locataires « Les Polygônes » n’en peut plus de voir les poubelles éventrées à l’entrée du garage collectif Taittinger, où stationnent les véhicules des occupants de la résidence.
Un désagrément qui vient s’ajouter au fait que les néons du garage ne sont plus remplacés depuis janvier.
Sans parler des épaves qui s’éternisent depuis des années au niveau inférieur, malgré ses nombreuses démarches.
L’endroit appartient à l’Effort rémois, en copropriété avec cinq propriétaires, et la situation est bloquée : « Le syndic refuse de communiquer avec les associations », déplore la présidente. Cette dernière a donc une nouvelle fois pris sa plume pour écrire au bailleur.
Directeur général, directeur clientèle, secteur : elle a frappé à toutes les portes : « On paie des charges tout de même ! Ce n’est pas parce qu’on n’est que locataires… ».
Elle n’a pour l’heure obtenu aucune réponse et rien ne change.
Contacté par nos soins, l’Effort rémois n’a pu apporter une réponse dans l’immédiat.
Bertrand Stogowski, pivot des ateliers musique de l’espace Ethnic’s.
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Après huit ans passés au sein de la Maison de quartier Croix-Rouge, après deux C.E.S. et trois C.A.E., Bertrand Stogowski arrive fin avril au terme de son dernier contrat a durée déterminée, ce qui provoque l’inquiétude des adhérents : « Quel avenir pour l’atelier batterie de la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Ethnic’s) ?
Malgré la précarité de son poste, Bertrand Stogowski a toujours su nous apporter son savoir, son expérience, son professionnalisme avec un sens de la pédagogie remarquable. Il n’a jamais abandonné la batterie malgré la complexité de son apprentissage. »
Le collectif rappelle que l’atelier batterie réunit chaque année une vingtaine d’adhérents mais aussi les enfants des écoles Maison-Blanche et Blanche-Cavarrot, les élèves du collège Joliot-Curie, ainsi que les jeunes Rémois bénéficiaires de la carte « Reims Vital‘ado » mise en place par la municipalité.
« Membre de l’équipe d’Ethnic’s, espace implanté au cœur du quartier Croix-Rouge, Bertrand est l’un des piliers du milieu socio-culturel dans la poudrière que peut devenir ce quartier, l’un des principaux acteurs des différents Festivals « Croix-Rouge s’affiche », mais fin avril tout cela devrait s’arrêter. Nous demandons aux responsables de l’association de sauver cet atelier : la musique sans batterie, c’est un peu une voiture sans moteur ou un vélo sans roue ! »
Nous avons sollicité des éléments de réponse sur l’avenir de Bertrand Stogowski et de l’atelier batterie auprès de la direction de l’association des Maisons de quartier de Reims, de la direction de la Maison de quartier Croix-Rouge et de l’adjoint chargé des Maisons de quartier, mais nous n’avons obtenu aucune réponse.
Marie-Elisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge et Pascale Enfer, directrice de l’association des maisons de quartier.
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Douze halte-garderies (multi-accueils) des maisons de quartier reçoivent les enfants âgés de 3 mois à 6 ans.
Les amplitudes d’ouverture viennent d’être élargies pour trois d’entre eux. Orgeval : deux demi-journées supplémentaires. Épinettes : trois demi-journées. Croix-Rouge Billard passe en journée complète, avec repas toute la semaine.
L’occasion de faire un point sur ces structures, avec Marie-Elisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge, et Pascale Enfer, directrice de l’association des maisons de quartier.
Comment fonctionnent ces multi-accueils ? En quoi diffèrent-ils des crèches ?
P. E. : Il s’agit d’un accueil « occasionnel », qui peut cependant être régulier, par exemple deux jours par semaine toutes les semaines.
Sur l’ensemble des lieux d’accueil, un enfant vient, en moyenne, 120 heures par an.
Cette formule permet aux parents de pouvoir disposer de quelques plages de temps libre. Certains peuvent avoir ponctuellement un vrai besoin de garde sur une durée limitée.
Nous ne nous substituons pas aux crèches. Dès l’instant où l’on apprend que la garde risque de se pérenniser, nous encourageons la famille à prendre tout de suite contact avec une crèche, pour qu’elle prenne le relais.
Vous allez élargir l’amplitude d’ouverture de trois de vos multi-accueils. Pourquoi ?
M-E. C. : Sur Croix-Rouge, c’est pour tenter de répondre à une demande croissante de jeunes couples ou de jeunes femmes seules, généralement en situation d’insertion.
Certains sont en recherche d’emploi ou en stages de formation. D’autres, intérimaires, travaillent avec des horaires variables.
Il faut être réactif en terme de mode de garde. C’est pour répondre à ces besoins particuliers qu’on a ouvert à Croix-Rouge sur la journée complète.
Le multi-accueil n’est-il qu’un simple dépannage ?
M-E. C. : Non. Il y a les enjeux liés à l’école. De plus en plus, les parents comprennent qu’une période de « socialisation avant l’école » facilite l’insertion de leur enfant.
Ponctuellement, des projets peuvent associer les parents lors de moments festifs, tout particulièrement dans les sorties qui nécessitent un encadrement d’adultes très renforcé.
Association des maisons de quartier, Tél. 03.26.35.32.50 www.maisondequartier-reims.fr
L’association Croix-Rouge animation et promotion organise son assemblée générale vendredi 14 mars à 20 heures dans la salle polyvalente Jean-Jacques-Lapique, 11 rue du président-Kennedy.
Renseignements au 03.26.06.39.54. ou sur le site http://acrap.9online.fr
Démarche « Éco-École » au lycée Joliot-Curie
L’équipe enseignante a visité le centre Trivalfer. |
Développer des actions environnementales concrètes dans un projet pédagogique et citoyen, c’est la démarche entreprise par des enseignants du lycée des métiers Joliot-Curie, qui devrait bientôt être labellisé « Éco-École ».
« LE tri coûte très cher : 120 euros la tonne. Si l’on trie, c’est par un souci d’environnement » : Michel Ziegel, responsable du service de collecte de Reims-Métropole, expose les principes du tri sélectif, de la collecte et du recyclage des déchets devant un groupe d’enseignants du lycée des métiers Joliot-Curie.
Cette visite du centre Trivalfer s’inscrit dans une démarche de développement durable de l’établissement, en vue d’être labellisé « Éco-École » par l’office français de la fondation pour l’éducation à l’environnement en Europe.
« L’action a démarré par l’installation de poubelles de tri sélectif dans différents lieux de l’établissement et de poubelles de tri papier dans les salles de classe », explique Marie-Françoise Millet, coordonnatrice du projet.
L’équipe a été formée par Juliette Cheriki-Nort, éducatrice à l’environnement : « Enseignants et élèves, associés dans la démarche, réalisent ensemble un diagnostic : type et quantité de déchets produits, méthodes de tri… ».
Une démarche de sensibilisation est en cours : visites de centres de traitements, exposition, film, campagne d’affichage qui démarrera lors de la journée portes ouvertes, le 29 mars.
Une charte graphique est à l’étude pour tous les documents de promotion de l’action. L’établissement montre l’exemple : les traditionnels « billets d’absence et de retard » sont désormais imprimés au verso de feuilles réutilisées.
« Nous allons revaloriser le papier, lui redonner vie, en réalisant des corbeilles… à papier ! », ajoute Sylvie Landragin, professeur d’arts plastiques.
Une démarche qui s’inscrit dans la tendance « déco-écolo-éthique », autrement dit le « slow design », en créant un objet dans un matériau brut (il ne sera pas repeint). « Un projet citoyen, un travail d’équipe, qui, à partir de petits gestes de la vie quotidienne, contribue à faire converger des disciplines différentes », résume Marie-Françoise Millet.
Les lycées ont présenté leurs sections au collège Saint-Remi.
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Les débouchés des métiers de l’esthétique.
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Environ 500 visiteurs ont franchi dès l’ouverture, samedi matin, les portes du collège Saint-Remi.
« Les jeunes ont compris qu’il fallait s’orienter vers les professions d’avenir » se félicite Benoît Bidot, animateur du bassin de formation de Reims, qui présentait une trentaine de filières : industrielles, agricoles, BTP, métiers de bouche, services…
Dès le hall d’accueil, les jeunes visiteurs pouvaient découvrir les professions de l’hôtellerie et assister à une démonstration de… crêpes flambées ! « Un beau métier, évolutif, et dans lequel il faut aimer faire plaisir » commente Christophe Labart, professeur de cuisine du lycée Gustave Eiffel.
Une réforme cette année : « Nous sommes à la croisée des chemins en ce moment. Si quelques formations restent dans le schéma classique (CAP-BEP-Bac Pro) un certain nombre vont basculer dans le cadre d’une expé rimentation du Bac Pro en trois ans » précise Benoît Bidot. Toutes les équipes se sont mobilisées pour présenter aux jeunes qui cherchent une orientation les débouchés de leurs établissements.
« Ce sont des moments extrêmement angoissants pour des jeunes que de choisir une orientation, les conséquences sont importantes » souligne Serge Aubry.
A noter que de nouvelles formations s’ouvrent au lycée Joliot-Curie : un CAP librairie papeterie presse dont il n’existe actuellement que quatre préparations en France.
Un Bac Pro sécurité prévention, « qui répond à une vraie demande, tant de la part des jeunes que de la police, des pompiers et des organismes de sécurité civile et privée » précise Franck Martin, enseignant de la section. Un tiers des jeunes sont venus avec leurs parents.
Camille Lamotte, élève au collège Brossolette, se renseigne auprès de professeurs du L.P. Europe, en vue de préparer un CAP de coiffure.
« Le forum est bien fléché, et permet de voir toutes les filières et de discuter avec les enseignants » apprécie sa maman.
Cette journée sera suivie prochainement de journées portes ouvertes dans les différents lieux de formation.
Félicitations à tous ceux qui ont collaboré à ces ateliers cuturels.
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« Un bonheur partagé qui laissera des traces » : les ateliers de création artistique organisés par la Ville de Reims en 2007 ont donné naissance à un ouvrage, qui a été remis aux différents acteurs du projet le mardi 4 février par l’adjoint Mario Rossi.
Il a salué tous ceux qui ont fait vivre cette aventure culturelle à des publics très divers.
Le livre, intitulé « Les ateliers de la culture 2007 » vient enrichir la collection éditée par la Ville et commencée en 2004 avec « Les ateliers du grand jeu » et « Le Grand jeu des lycéens », suivi en 2006 par « Les ateliers art déco ».
Ce quatrième volet - illustré, étape par étape, par des photographies de Guillaume Gellert - s’ouvre sur les ateliers gravure conduits par Marie-Christine Bourven, d’octobre 2006 à mars 2007 avec, en point d’orgue, une exposition présentée à la médiathèque Croix-Rouge en avril et mai 2007.
On pouvait alors voir deux surprenants cabinets de lecture aux parois gravées.
Pas moins de 107 participants y avaient collaboré (La maison de quartier Croix-Rouge, la 3e1 du collège George-Braque, les CM2 de Galilée et Provencaux, L’Institut Fandre, le Secours catholique et la Solidarité départementale, l’association Recto-Verso).
La seconde partie de l’ouvrage est consacrée à l’atelier « Chanson française » qui a mobilisé 13 personnes de la maison de quartier Orgeval.
Cette partie s’ouvre sur une préface de Bernard Weber, qui a guidé le groupe vers « les mots de tous les jours, tressés, mis en résonances ou en rimes », puis ensuite en musique par François Eberlé.
Pas moins de 100 chansons sont ainsi nées après avoir « apprivoisé le français ».
Restait à apprendre à en chanter une vingtaine, pour en faire un spectacle donné au Conservatoire en janvier dernier et enregistré.
La collection complète peut être consultée dans les bibliothèques de Reims.
Dossier n° 06/03182
Par jugement en date du 12 février 2008, le tribunal de grande instance de Reims a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif des opérations de la liquidation judiciaire de :
Association corporation de l’étudiant juriste et économiste prise en la personne de son président M. Malamine DIABIRA, 57 bis, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
A ordonné la publicité dudit jugement.
Pour extrait.
Fait à Reims, le 28 février 2008
Le greffier.
51L1547509
Justine Delaunois et Solène Manceaux (RAP)
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Quelques minutes avant que les premières notes retentissent, les visages des candidates aux championnats de France sont crispés. Ceux de leurs professeurs également qui se demandent si leurs protégées reproduiront sur la glace les mouvements tant de fois répétés à l’entraînement.
Pendant deux jours, la patinoire rémoise a vécu et revécu ce scénario. Pour Ludivine Lemaire, la technicienne du Rap (Reims Acrap patinage), le week-end a été bon avec quatre 2es places (Margaux Abib-Gruet, Morgann Prey, Camille Renault, Juliette Wary). Ses protégées ont confirmé leurs qualités et ont pris de sérieuses options sur le précieux billet pour les France.
Si Nina Toukouk et Renan Manceaux étaient assurés de leur participation au grand rendez-vous de Morzine (tous les couples sont qualifiés), ils ont démontré leurs progrès.
En solo, on attendait de Camille Renault, une jeune demoiselle de 11 ans ayant déjà six ans de patinage derrière elle, qu’elle confirme ses premières places du Havre et de Fontenay. Deuxième de la compétition en catégorie Bronze, elle a justifié les espoirs placés en elle.
A l’issue de cette compétition, les titres régionaux ont été remis à Camille Renault, Juliette Wary, Morgann Prey, Margaux AbibGruet, Justine Delaunois, Nina Toukouk et Renan Manceaux.
Argent A : Justine Delaunois 7e, Morgane Huet 8e
Argent B : Solène Manceaux 4e
Bronze : Camille Renault 2e, Eva Lemaire 10e, Roxane Bouvet 13e
Pré-Bronze A : Margaux Abib-Gruet 2e, Anaïs Milard 5e
Pré-Bronze B : Morgann Prey 2e
Préparatoire : Juliette Wary 2e, Mélanie Carrié 9e, Jeanne Reppel 10e, Jderadi Chahïnez 11e, Océane Persinet 12e, Victoire Plomion 13e, Chloé Pillet 14e, Océane Goyard 15e.
Pré-Bronze couples : Nina Toukouk et Renan Manceaux 4e
Bientôt ici une aire de jeux aménagée et en libre accès.
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La délibération pour la réhabilitation d’une aire de jeux délabrée à Croix-Rouge, secteur Bonaparte, a été adoptée au cours du conseil municipal du mardi 26 février.
Accord a été conclu pour le nettoyage de la dalle existante, le démoussage, et l’évacuation des déchets sur 364 m2 (1.000 euros), la fourniture et la pose d’un gazon synthétique y compris sablage (13.000 euros) et la fourniture et pose de mobiliers sportifs, cages de buts (14.000 euros).
La Ville a décidé de participer à sa réhabilitation avec le Foyer rémois, à hauteur de 50 % des dépenses, soit 14.000 euros.
L’association Espoir Jeunes Pays-de-France avait présenté un projet de City-Stade Bonaparte.
Malheureusement, il n’est pas possible de le construire car l’aire est condamnée à moyen terme avec les travaux prévus pour le renouvellement urbain de Pays-de-France.
Ce réaménagement pour une période transitoire a été voté à l’unanimité en conseil municipal : « Tout le monde pourra ainsi en revendiquer la réalisation ! » a commenté le maire.
Marché de travaux d’exécution
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Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)
Autre
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur :
Reims habitat Champagne-Ardenne
Patrick BAUDET
71 av d’Epernay BP 2720
51055 Reims Cedex
Le pouvoir adjudicateur n’agit pas, pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.
Principale(s) activité(s) du pouvoir adjudicateur :
Logement et développement collectif
Travaux d’aménagement dans le quartier des Hauts de Murigny . Aménagement d’un espace de précollecte des ordures ménagères place Maurice Utrillo et refonte du pied de la Tour 5 Gandon à Reims
Un marché public
Marché unique
La procédure d’achat du présent avis n’est PAS couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC
Le présent marché n’a pas un caractère périodique
Classification CPV :
Objet principal :
45262640
Variantes :
Avec variantes
Nature et étendue :
Travaux place Utrillo : - Création d’une aire de précollecte des ordures ménagères en béton lisse - Réfection de la chaussée existante - Changement des bordures et des potelets de jalonnement
Travaux tour 5 Gandon : - Réaménagement de la voie pompiers existante - Création d’une aire de précollecte des ordures ménagères en béton lisse - Aménagement des espaces verts au pied de la tour - Changement des bordures et des potelets de jalonnement. Marché ordinaire
Durée du marché :
3mois
Cautionnement et garanties exigés :
Retenue de garantie de 5,000%, qui peut etre remplacée par une garantie à première demande ou à une caution personnelle et solidaire
Modalités de financement :
Articles 86 à 111 du Code des marchés publics français. Caractéristiques des prix : Prix global forfaitaire Modalités de variation des prix : Actualisation Une avance de 5,00% sera accordée dans les conditions prévues au contrat. Modalité de règlement des comptes : selon les modalités du C.C.A.G.-Travaux Le délai global de paiement est de 45 jours. Modalités de financements : budget 2008
Forme juridique exigée :
Groupement solidaire. Il est interdit aux candidats de présenter plusieurs offres en agissant à la fois : - En qualité de candidats individuels et de membres d’un ou plusieurs groupements ; - En qualité de membres de plusieurs groupements
Autres conditions :
Le marché débutera à compter de la date fixée par l’ordre de service
Forme juridique :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ; Déclaration sur l’honneur pour justifier que le candidat n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du CMP ; Renseignements sur le respect de l’obligation d’emploi mentionnée à l’article L. 323-1 du code du travail ; Lettre de candidature ou Modèle DC4 En cas de groupement : le modèle DC4 En cas de "Groupement solidaire", chaque membre de ce groupement devra joindre les pièces justificatives. La déclaration du candidat (ou modèle DC5) en y joignant l’ensemble des justificatifs Le candidat pourra remettre avec son offre, les certificats mentionnés à l’article 46 du Code des Marchés Publics justifiant que le candidat a satisfait aux obligations sociales et fiscales, - Attestations URSSAF,(1) - Certificat n° 3666-1, 3666-2 et 3666-3 délivré par les Services Fiscaux(1) - Attestation Caisse de Congés Payés (1) (1) ou modèle DC7
Capacité économique et financière :
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du contrat, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ; Déclaration appropriée de banques ou preuve d’une assurance pour les risques professionnels
Capacité technique :
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ; Liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l’époque et le lieu d’exécution des travaux et précisent s’ils ont été effectués selon les règles de l’art et menés régulièrement à bonne fin ; Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de contrats de meme nature
Marché non réservé
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération
70% : Prix des prestations
30% : Valeur technique
Enchère électronique :
Aucune enchère électronique ne sera effectuée
Mode de passation :
Procédure adaptée
Date limite de réception des offres :
27/03/2008 à 17 H 00
Délai minimum de validité des offres :
120 jours
AUTRES RENSEIGNEMENTS
Référence du marché :
HAUTS MU
Renseignements complémentaires :
La transmission des plis par voie électronique n’est pas autorisée pour cette consultation. Conformément à la législation française, l’ouverture des offres n’est pas publique. Les offres peuvent etre transmises par lettre recommandée avec accusé de réception ou déposées contre récépissé
Conditions d’obtention du cahier des charges et des documents complémentaires :
Documents non payants
28/02/2008
Renseignement d’ordre administratif
MME DIKER
Reims habitat Champagne-Ardenne
71 av d’Epernay, à l’attention du Service Commande Publique BP 2720
51055 Reims Cédex
Tél : 0326486230
Fax : 0326484340
Renseignement d’ordre Technique
M BLAZEJCZYK
Reims habitat Champagne-Ardenne
71 av d’Epernay, Direction Programmes Techniques Spécifiques BP 2720
51055 Reims Cédex
Tél : 0326484314
Fax : 0326484340
Adresse à laquelle les documents peuvent être obtenus
Reims habitat Champagne-Ardenne
71 av d’Epernay, à l’attention du Service Commande Publique BP 2720
51055 Reims Cédex
URL : http://www.reims-habitat.fr
Adresse à laquelle les offres/candidatures/demandes peuvent être envoyées
Reims habitat Champagne-Ardenne
71 av d’Epernay, à l’attention du Service Commande Publique BP 2720
51055 Reims Cédex
Tribunal Administratif
25 rue Lycée
51000 Chalons En Champagne
Articles R 421-1 à R 421-7 du Code de justice administrative (2 mois à compter de la notification ou publication de la décision du pouvoir adjudicateur). Articles L 551-1 et R 551-1 du Code de justice administrative pour le référé précontractuel
L’assemblée générale de l’association Etoile Croix-du-¬Sud se déroulera vendredi 28 mars dans la salle Prével au 5, avenue Léon-Blum.
Renseignements au 03.26.06.56.66 et sur le site : http://www.quartier-croix-rouge.info
L’association « Union des locataires de Croix-Rouge », anciennement Club 47, réunit son assemblée générale jeudi 6 mars à 18 h 30 dans la grande salle de l’espace Billard (Maison de quartier Croix-Rouge), 12 rue Pierre-Taittinger.
« Les locataires désireux de rejoindre l’association seront les bienvenus », annonce Claude Stoltz, présidente de l’ULCR.
Trois classes de l’école élémentaire Gilberte-Droit participent à une classe à Projet artistique : la classe de CE1 (modelage avec Florence Kut¬ten) et deux classes de CM (écrit avec Armelle Blary). Le vernissage de leur exposition est prévu vendredi 21 mars de 16 heures à 17 h 45.
Présentation du projet au lycée Joliot-Curie de Reims.
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La fondation Zellidja offre aux jeunes de 16 à 20 ans la possibilité de faire un voyage d’études en solitaire pendant un mois, en complète autonomie.
En 2007, 193 bourses ont été attribuées mais il a été remarqué que la Champagne-Ardenne était peu représentée. La délégation régionale s’est donc mobilisée pour faire connaître cette opportunité d’ouverture sur le monde aux élèves de neuf lycées de la Marne.
Au lycée Joliot-Curie de Reims, Laurent Dalimier, président du jury Ile de France, est venu expliquer comment il est possible de participer à cette expérience basée sur l’initiative et l’autonomie. Il était accompagné de Guillaume Cerezo, de Colombey-les-deux Eglises, qui a parlé de son séjour au Japon : « A 17 ans, j’ai appris à me débrouiller seul et à gérer au quotidien ». Les élèves rémoises — aucun garçon ne s’est manifesté — ont exprimé des idées intéressantes qui pourraient faire l’objet de projets à envoyer rapidement avec motivations, budget, itinéraire, etc…
Les candidats retenus signent un contrat avec la fondation Dzellidja. Les boursiers s’engagent à rapporter un journal de route, un rapport d’enquête et un carnet de comptes pour la gestion des 900 euros, montant de la somme allouée.
Voici quelques exemples d’enquêtes précédentes : « Le conte dans la province de Salta, en Argentine », « L’art culinaire indien », « Les lieux de tournage à Liverpool », « Musique et danse à la Réunion »…
Les candidatures sont à envoyer avant le 15 mars à la Fondation Zellidja, 5 bis Cité Popincourt 75011 Paris.
Pour en savoir plus : 01.40.21.75.32. www.zellidja.com
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 080303d
AVIS DE PRE INFORMATION DE MARCHES DE TRAVAUX
annonce parue dans « PETITES AFFICHES MATOT BRAINE »
1. IDENTIFICATION DE L’ORGANISME QUI PASSE LE MARCHE : MINISTERE DE LA SANTE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS, représenté par : la DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L’ÉQUIPEMENT DE LA MARNE.
2. NOM ET ADRESSE OFFICIELS DE L’ORGANISME ACHETEUR :*
REPRESENTANT DU POUVOIR ADJUDICATEUR : Monsieur le Directeur Départemental Délégué de l’ÉQUIPEMENT DE LA MARNE, en application de l’arrêté préfectoral du 7 janvier 2008.
ADRESSE : 40 bd Anatole France - 51022 CHALONS EN CHAMPAGNE CEDEX.
3. OBJET DU MARCHE : Construction d’un complexe sportif Dojo/escrime au C.R.E.P.S. de REIMS. Bâtiment d’enseignement (s.h.o.n. = 2.563 m2), d’un coût approximatif de 3 millions d’€uros H.T.
4. CARACTERISTIQUE PRINCIPALES : Les prestations seront divisées en 16 lots :
Lot 01 : Gros œuvre ;
Lot 02 : Charpente lamellé collé ;
Lot 03 : Couverture / Bardage ;
Lot 04 : Bardage bois ;
Lot 05 : Menuiserie extérieure / Serrurerie ;
Lot 06 : Menuiserie intérieure ;
Lot 07 : Doublages / Plafonds ;
Lot 08 : Electricité ;
Lot 09 : Chauffage/Ventilation ;
Lot 10 : Plomberie ;
Lot 11 : Carrelage / Faïence ;
Lot 12 : Parquet ;
Lot 13 : Peinture ;
Lot 14 : Equipement d’escrime ;
Lot 15 : Equipement de judo
Lot 16 : VRD.
5. DATES PRÉVISIONNELLES :
De lancement de la procédure : 03/03/2008 ;
De commencement des travaux : 01/07/2008 ;
D’achèvement des travaux : 30/09/2009.
6. MODALITES ESSENTIELLES DE FINANCEMENT : Travaux financés dans le cadre du contrat de plan État/Région 2000/2006.
7. ADRESSE AUPRES DE LAQUELLE DES INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES PEUVENT ETRE OBTENUS :
D.D.E., Unité Territoriale de REIMS, 28 bd Lundy - 51100 REIMS. Tél. : 03.26.05.66.67 - Fax : 03.26.47.52.41 -
E-mail : marie-france.orillard@equipementgouv.fr
8. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES : Cet avis de pré-information ne revêt ni un caractère obligatoire, au sens de l’article 39 du code des marchés publics, ni un moyen pour réduire le délai de réception des offres à compter du lancement ultérieur de l’avis d’appel public à la concurrence qui sera publié au B.O.A.M.P., sur le profil d’acheteur de la D.D.E. http://www.marches-publics.gouv.fr/ et en annonce restreinte dans le journal le MATOT BRAINE.
DATE D’ENVOI DE L’AVIS : 31/01/2008. 62483
 Natali Fortier écrit de nombreux livres pour enfants.
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Du 4 au 29 mars, expo des œuvres de Natali Fortier : acryliques rehaussées de pastel, esquisses, estampes, sculptures.
Cette exposition conçue par la Galerie L’art à la page est présentée dans le cadre du partenariat de la Bibliothèque de Reims avec le Salon du livre de Cormontreuil qui se déroulera les 28 et 29 mars.
Le pays des « n’ont qu’un œil » : un conte japonais. A partir de 5 ans, mercredi 5 mars à 15 heures.
Tom Pouce, d’après un conte des Frères Grimm, dessins de Benoît Dechelle, pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 12 mars à 16 h 30.
Rouge, jaune, noire et blanche jouent souvent ensemble et, malgré leur différence, c’est en restant ensemble qu’ils seront les plus forts, pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 19 mars à 11 heures.
Dans le cadre de la semaine contre le racisme, un moment contre toutes formes de discriminations, sélection d’extraits de fictions et de témoignages. A partir de 8 ans, mercredi 26 mars à 15 heures.
En partenariat avec les points Information Jeunesse de Croix-Rouge, découverte des métiers, démonstrations et recherches d’offres de formation et de jobs pour les jeunes, mercredi 26 mars de 10 heures à 16 h 30.
Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents, sur inscription en secteur jeunesse, samedi 29 mars à 9 h 30.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar
(03.26.35.68.40.).
Ginette Terrugia, trésorière adjointe (à gauche) et Fatima Dahmane, secrétaire, au bureau des Polygones.
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Après la dernière assemblée générale, voici la composition du bureau de l’association de défense des locataires des Polygones (Siège social : 8, rue Georges-Bernanos. Tél. 03.26.84.77.79. ou 06.81.41.06.72.)
Présidente, Geneviève Kaczowka.
Vice-président, Bernard Duchozal.
Vice-présidente, Nicole Duchozal.
Trésorière, Brigitte Chevalot.
Trésorière adjointe, Ginette Terrugia.
Secrétaire, Fatima Dahmane.
Secrétaire adjointe, Sandrine Chenu.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Les pompiers ont été appelés hier dimanche après-midi vers 17 h 30 pour un feu de cave allée des Gascons (Pays de France) ; le papier qui brûlait était déjà éteint à leur arrivée
La rue Pierre-Taittinger a été sécurisée
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A l’école Tunon de la rue de Talleyrand, une vitre et des morceaux de mur sont tombés pile sur le poste de travail (heureusement inoccupé) d’une secrataire !
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Habitant de Croix-Rouge, Abdel a eu la mauvaise surprise de constater que la lunette arrière de sa Clio avait explosé.
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Les fortes rafales de vent qui ont soufflé sur Reims hier et lors de la nuit précédente (de l’ordre de 70-80 km/h) ont laissé des traces ; pas de blessé fort heureusement, mais quelques dégâts sérieux.
Notamment du côté de la rue Pierre-Taittinger à Croix-Rouge, non loin de la fac de lettres. « J’ai vu les tôles s’envoler pendant la nuit », témoigne Marie-France, une riveraine, « évidemment on n’est pas sortis à ce moment-là parce que ça pouvait être dangereux ».
En effet, dans ce secteur, un chantier de démolition est fermé par une palissade métallique dont les éléments offraient une forte prise au vent…
Résultat le lendemain (hier samedi) matin, pendant que pompiers et policiers sécurisaient le site et empêchaient les passants de s’approcher de la palissade qui pouvait se transformer en guillotine volante, Marie-France ne pouvait que constater que l’une des tôles, soufflées, avait endommagé sa Clio.
Même mauvaise surprise pour Abdel, un autre habitant du secteur : la lunette arrière de sa Clio avait, elle, carrément explosé ! Vitre de toit et vitre latérale également en miettes, pour une Austin Mini stationnée elle aussi dans les parages…
Les rafales laissaient d’au tres traces ailleurs : piquet abattu du côté du cimetière de l’Est, câble EDF détaché à Croix-Rouge, palissade de chantier effondrée rue de Pouilly près de l’hôtel de ville, morceaux de toiture en zinc ou enseigne de magasin menaçants, et l’on ne comptait plus les poubelles vides renversées un peu partout…
Parmi les conséquences les plus marquantes de ces vigoureux coups de vent, on notera la perte de contrôle d’un poids lourd, vers 7 heures hier matin au niveau du rond-point de la Neuvillette, à la sortie de Reims en direction de Laon.
Roulant à vide, le camion et sa remorque ont fini sur le talus. Le chauffeur n’a pas été blessé, en revanche la circulation a été perturbée pendant plus de deux heures, le temps de dégager le véhicule de sa fâcheuse posture.
On retiendra aussi la chute d’un morceau de mur à travers deux verrières, dans l’école Tunon de la rue de Talleyrand : débris de pierre et de vitre se sont abattus pile sur le poste de travail d’une secrétaire ! Qui heureusement, ne travaillait pas hier ! Sans quoi, elle l’aurait sans doute senti passer…
Hier après-midi, le vent continuait à souffler sur la ville, mais semblait perdre quand même de sa force. Selon la météo, la vitesse des rafales devait descendre dans la soirée sous les 50 km/h.
La Fête de Pâques de l’Association des Jardins Familiaux de Croix-du-Sud aura lieu le samedi 19 mars.
Renseignements : 03.26.06.71.96.
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La tour 60 Eisenhower est parée d’échafaudages impressionnants et vertigineux : un beau spectacle.
Les travaux d’isolation extérieure, de réfection de l’étanchéité et des VMC ont commencé, pour une durée prévue de 12 mois.
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NOUS avons évoqué largement, dans notre édition d’hier, les inquiétudes des élèves, des parents et des enseignants, suite à des émanations suspectes de gaz carboniques, relevées en début de semaine, dans deux classes de l’établissement, demeurées fermées durant toutes les vacances d’hiver et qui, à leur réouverture, par les personnels d’entretien, dégageaient une odeur nauséabonde.
Après aération constante, non seulement des deux classes en question, mais également des deux étages où elles se trouvent situées, on pensait l’affaire résolue - elle l’est d’ailleurs pour les services de secours, puisqu’à aucun moment il n’y a eu de souci de santé pour quiconque -, mais à notre époque, où l’on met constamment en avant, avec juste raison, « le principe de précaution », le recteur de l’académie de Reims, chancelier des universités, Alexandre Steyer, a demandé au proviseur de Joliot-Curie, Gilles Gladieu, « de fermer temporairement l’établissement », dans une stricte application de celui-ci.
Le recteur indique, également, dans son communiqué, « qu’il se rapproche de la Région Champagne-Ardenne pour obtenir que des travaux soient effectués le plus rapidement ».
Des travaux qui consisteront, notamment, à nettoyer les terrasses et les faux plafonds, de la présence de champignons, dont la putréfaction serait à l’origine des émanations qui ont été enregistrées.
Dès hier, des entrepreneurs étaient ainsi déjà sur place, tandis que les analyses se poursuivaient sur les échantillons prélevés, tandis que, réagissant, séance tenante, à la demande de son recteur Gilles Gladieu libérait ses élèves, qui prévenus hier matin, n’ont pas eu cours l’après-midi.
Mais, que ces derniers ne se réjouissent pas trop : en effet, ils ne sont pas en vacances jusqu’à la fin des travaux qui vont être réalisés, car cela va durer un certain temps ; ils ne le sont que jusqu’à mardi matin 4 mars, car d’ici là, entre ce week-end et lundi, on saura enfin si les fameux « champignons » sont, effectivement, à l’origine de tous ces désagréments et de tout ce désordre…
G.G.-M.
Le feu a pris dans u) container, dans un local vide-ordures, jeudi soir, peu après 20 heures, 21 rue des Savoyards à Reims.
Une petite lance a suffi pour en venir à bout.
Des locaux remis à neuf, mais promis à la destruction.
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Les locaux de l’Étoile risquent d’être abattus lors des travaux de renouvellement urbain (Anru) en même temps que la passerelle et les commerces voisins. La question de l’avenir de cette structure est donc posée. « Pour l’Étoile, j’ai un vrai projet » assure Jean-Louis Rumério, administrateur, mais « il ne va pas être simple à mettre en place ».
M. Rumério ne brigue en aucune manière la présidence de l’Etoile, il est déjà président de l’association Appuis et directeur de l’association 2 Mains. Simplement, il voudrait sauver l’association en lui donnant de nouvelles orientations. Il a proposé au conseil d’administration une liste d’actions possibles pour sortir la structure de l’impasse : la trésorerie est saine, mais il reste moins de quarante adhérents !
Pour lui, il est urgent de réagir. « Si nous avons, par exemple, une centaine d’adhérents et de nombreuses activités pour tous les âges de la population, sur des tranches horaires de 9 à 23 heures, les locaux seront probablement reconstruits ailleurs. Dans le cas contraire, il ne faudra certainement pas y compter ! »
Jean-Louis Rumério souhaiterait que l’association se professionnalise, c’est-à-dire qu’elle recrute un directeur et une secrétaire salariés qui durent dans le temps quels que soient les administrateurs.
Enfin, il verrait bien, à long terme, non pas une fusion mais un rapprochement des associations voisines « 2 Mains » et Étoile Croix du sud dans un local collectif qu’il n’y aurait plus qu’à appeler « maison des associations de Croix-du-Sud » à défaut de « Maison de quartier ».
En attendant, cela bouge à l’Étoile, avec un calendrier chargé : permanence des Femmes relais à partir de ce 29 février, tous les vendredis de 9 à 12 heures, sortie du journal vers le 5 ou 6 mars, prochain conseil d’administration le 6 mars à 18 h 30, concours de belote le 8 mars organisé par Jean-Michel Gauthier et son équipe et enfin assemblée générale le 28 mars.
Tout en maintenant et en amplifiant les activités qui fonctionnent bien (pétanque, danse, …), Jean-Louis Rumerio cite, parmi les nouvelles actions proposées, la création d’un espace accueil jeunes avec les associations « 2 Mains » et « A venir jeunes Croix-du-Sud » , la création d’un club vélo en lien avec l’association « 2 Mains » dans le local foot, un partenariat avec l’association « Appuis » pour des rencontres de travail (avec l’ANPE le matin et réunion d’information professionnelle avec le Crédit Mutuel), un vrai club actif du troisième âge, le lancement d’un journal de l’Étoile Croix-du-Sud, l’ouverture aux adultes du quartier (cuisine, couture, travaux créatifs, …).
Tous ces propositions seront débattues lors de la prochaine assemblée générale fixée au vendredi 28 mars.
Un peu étonné l’adjoint Ahmed El MCherfi : « J’avais envoyé, le 14 novembre 2006, une invitation à un conseiller pour qu’il participe au Conseil de quartier Croix-Rouge/Maison Blanche du 6 décembre.
Comme il avait changé d’adresse, ce courrier m’est revenu, de Reims à Reims, le 6 février 2008, soit 1 an et 3 mois plus tard ! On ne peut pas dire que La Poste a beaucoup aidé la démocratie participative à Reims ! »
L’Effort rémois vient de lancer un marché de travaux de réfection de toitures et étanchéité de 15 immeubles de son patrimoine locatif.
Dans le lot, on note l’étanchéité du 8, rue Georges-Bernanos, aux Polygones, du 8, esplanade Paul-Cézanne et du 12, place Georges-Braque, à Croix-du-Sud.
La « fête des Pâques » de l’association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud aura lieu samedi 29 mars. Renseignements au 03.26.06.71.96.
On relève la constitution d’une nouvelle Eurl au 10, rue de Rilly-la-Montagne, avec Edipro, vente à l’industrie de vêtements professionnels et de protection (Gérant : Fabrice Savarin).
Par ailleurs, la Sarl S.M.E. s’est dotée d’un nouveau gérant, Rifat Karakulah, et a transféré son siège du 11, allée Edgar-Degas (Croix-du-Sud) au 19, allée des Savoyards (Pays-de-France).
L’assemblée générale de l’association « Collectif des locataires de Croix-Rouge » (CDL.CR) prévue initialement fin février aura lieu début avril, la date restant à définir.
Trois classes de l’école élémentaire Gilberte-Droit participent à une classe à Projet artistique : la classe de CE1 (modelage avec Florence Kutten) et deux classes de CM (écrit avec Armelle Blary).
Le vernissage de leur exposition est prévu vendredi 21 mars de 16 heures à 17 h 45.
Le lycée Joliot-Curie ne devrait pas tarder à retrouver une vie normale. Il n’y a jamais eu, de toute façon, le moindre danger pour les élèves, ni pour les enseignants.
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Le proviseur, Gilles Gladieu, montre une des portes coupe-feu du lycée.
Gérard Péron |
Les pompiers avaient demandé, par précaution, la neutralisation de deux couloirs de l’établissement, en raison d’émanations gazeuses. Les hypothèses les plus folles ont couru, alors qu’il n’y avait aucun danger.
DEPUIS la reprise des cours, au début de la semaine, une effervescence anormale règne dans les locaux du lycée professionnel Joliot-Curie. Les sapeurs-pompiers ayant demandé la neutralisation temporaire de deux étages de l’établissement, la rumeur d’un « risque chimique » n’a pas tardé à enfler, alimentée par les élèves et certains professeurs et relayée par leurs parents…
Or, il s’agit tout simplement d’un banal principe de précaution, suite à l’ouverture de deux classes, la 103 et la 204, mardi dernier au petit matin, après quinze jours de vacances d’hiver, d’où émanait une forte odeur de renfermé et de moisissure, prenant à la gorge et incommodant les femmes de ménage, les détecteurs indiquant, il est vrai, une forte concentration de gaz carbonique dans ces deux locaux.
Faute de trouver immédiatement d’où provenaient ces dégagements gazeux, les sauveteurs invitaient Gilles Gladieu, proviseur de l’établissement, à condamner momentanément l’accès à ces deux salles, mais également à toutes celles des deux couloirs correspondants, et à les soumettre à une aération permanente, jusqu’à ce qu’on connaisse le résultat des analyses.
Ne pouvant prévenir, par courrier, 700 familles, le proviseur diffusa l’information par des affichettes, au sein de l’établissement. Et les élèves furent invités à expliquer la situation à leurs parents ; notamment les raisons pour lesquelles, pendant quelque temps, il allait donc falloir jongler avec les salles de cours disponibles, une quinzaine étant indisponibles par cette mesure.
Mais, les jeunes, c’est bien connu, aiment fanfaronner. Ainsi, comme ils ne tenaient aucun compte des rubans d’interdiction d’accès, qu’avaient disposés les pompiers à chaque bout des couloirs en question, le proviseur pensa bien faire, pour les en dissuader, en placardant de grands panneaux : « Attention, risque chimique ! »
Que n’avait-il pas fait là ! En quarante huit heures, ce fut comme une traînée de poudre, à croire que la situation à Joliot-Curie, tenait de Tchernobyl et d’Hiroshima ; la folle rumeur prenant d’autant plus consistance que, mercredi matin, les pompiers revenaient dans l’établissement, à nouveau pour des odeurs suspectes, mais qui n’avaient absolument rien à voir avec l’affaire précédente, puisqu’il s’agissait, simplement, d’une surchauffe du moteur électrique dans un ascenseur (voir l’union d’hier).
En cette fin de semaine, tout devrait être rentré dans l’ordre, puisqu’il semble acquis que les mauvaises odeurs d’humidité, et les émanations relevées dans les salles 103 et 204, proviendraient tout bêtement de la décomposition de champignons sur les terrasses de l’établissement et dans les plafonds. Et qu’à aucun moment, en tout cas, il n’y a eu le moindre danger, ni pour les élèves, ni pour les enseignants, ni pour le personnel du lycée.
Voilà qui, en tout cas, aurait sûrement fait sourire le physicien Joliot Curie, qui a donné son nom à l’établissement, lui qui dirigea la construction de la première pile atomique française en 1948 !
G.G.-M.
Le club se classe 3e. La partie ne fait que commencer.
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Pour la première manche du Challenge NPCA à Dunkerque organisé dimanche 24 février, 17 patineurs en artistique du Reims Acrap patinage ont présenté leur programme. Pour certains, c’était leur toute première compétition extérieure. Grâce à de belles prestations, le RAP remporte 11 podiums.
En catégorie 2
En -8 ans, Fanny Hardy, surclassée, se classe 7e. En -10 ans, Justine Desouza finit 6e suivie de Manon Legendre 8e après deux beaux programmes.
Chez les garçons, Tom Hardy monte sur la première marche du podium pour son premier déplacement. En -13 ans, Sarah Bencheman accède à la deuxième marche du podium et Noémie Nivart prend la 3e place grâce à deux belles prestations.
En catégorie 3
En -10 ans, Juliette Wary a accompli un magnifique programme qui lui permet de monter sur la première marche du podium.
En catégorie 4
Chez les -13 ans, Maxime Baule après un programme sans faute monte sur la 2e marche, en -16 ans, Inès Martelleur termine 3e grâce à sa belle prestation et Suzan Dugois termine 5e.
En catégorie 5
En -13 ans, chez les filles, Mélanie Gabreau, surclassée, se place 4e. Chez les garçons, Gianni Daffini, surclassé également, prend la 1re place après un superbe programme. Il participera au tournoi de France minimes garçons 2e division ce week-end prochain à Nantes.
Chez les + 16 ans, Marie Blazquez termine 2e, suivie de Lucile Sarrazin 3e avec un programme très propre.
En catégorie 6
Chez les -13 ans, Justine Laroussi, surclassée, termine 4e. Elle participera au tournoi de France minimes filles 2e division à Nantes. En -16 ans, Vinciane Manceaux termine 3e.
En catégorie 7
Cécile Husson prend brillamment la 1re place.
« Pour cette première manche, le club se classe 3e. La partie ne fait que commencer, la prochaine manche se déroulera à Amiens les 8 et 9 mars : 30 patineurs artistiques seront présents ! » annonce Myriam Huet, secrétaire du Rap.
Pendant deux jours, la glace rémoise accueillera les candidats aux championnats de France.
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Ils seront 135 à espérer décrocher un podium ce week-end à Reims et se rapprocher ainsi d’une qualification pour les championnats de France, promise aux huit premiers de chaque catégorie. 135 venus de toute la France, d’Anglet à Belfort en passant par Le Havre, Epinal et bien sûr Reims.
Le RAP (Reims Acrap patinage), club organisateur, nourrit de légitimes espoirs de visas pour les France.
Camille Renault (minimes 1re année), a déjà remporté les compétitions du Havre et de Fontenay en solo Bronze B. Un nouveau succès à Reims la placerait en position idéale dans la course à la qualif.
La remarque vaut également pour Solène Manceaux (Novice 1re année), 1re au Havre puis 4e à Fontenay en Argent B, pour les benjamines Margaux Abib-Gruet, 2e en Pré-Bronze B en Normandie et dans la banlieue parisienne, Juliette Wary (2e et 1re) en Préparatoire ou encore Morgann Prey (3e et 2e en Pré-Bronze C).
L’objectif sera le même, mais peut-être moins facile à atteindre, pour Morgane Huet et Justine Delanois (Novices 2e année) en Argent A ou pour Eva Lemaire et Roxane Bouvet (minimes).
Le couple de benjamins 1re année, Nina Toukouk - Rena Manceaux, déjà assuré de son billet pour Morzine cherchera à améliorer ses 3es places du Havre et de Fontenay (Pré-Bronze) et à prendre date pour la saison prochaine.
* Le titre des solos sera attribué à Epinal, celui des couples à Morzine en avril.
Demain : de 9 heures à 20 h 15 ; dimanche : de 7 h 30 à 17 heures.
Les sapeurs-pompiers ont été appelés, hier matin, vers 8 heures, pour une odeur suspecte décelée dans l’enceinte du lycée Joliot-Curie.
Après inspection des lieux, il s’est révélé qu’il n’y avait pas de danger pour les élèves.
Il ne s’agissait que d’une surchauffe d’un transformateur, dans un ascenseur.
Aucun élève ne s’est présenté en cours hier matin, et pour cause…
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Hier, la grève a été massivement suivie au collège Joliot-Curie, puisque 100 % des enseignants ont cessé le travail. Ils dénoncent un « profond malaise ».
« JOLIOT-CURIE en colère », annonçaient hier les banderoles apposées sur les grilles du collège situé dans le quartier Croix-Rouge. Aucun élève ne s’est présenté hier matin en cours, les parents avaient été prévenus du préavis de grève la veille.
Et le mouvement a été très suivi : 100 % des enseignants ont cessé le travail, ainsi que les assistants pédagogiques et d’éducation et le conseiller d’éducation.
Les manifestants entendaient protester contre ce qu’ils considèrent comme une « détérioration grave » de leurs conditions de travail, alors que l’établissement est classé en « Réseau ambition réussite ».
Ils revendiquent un poste de conseiller principal d’éducation (CPE) supplémentaire, ainsi que des moyens pour travailler avec des groupes d’élèves plus restreints (l’union des 23 et du 26 février).
Ils dénoncent un problème de postes alloués et non pourvus, mais vont plus loin dans leur analyse de la situation. « Nous avons des élèves en difficultés scolaires », explique un représentant des grévistes, « et qui ont aussi des difficultés à intégrer les règles de vie scolaire. C’est lié au contexte économique et social du quartier. Nos élèves n’ont que l’école pour apprendre l’école. Il leur faut donc « plus d’école » pour qu’ils aient les mêmes chances que les autres enfants ».
Les enseignants se plaignent de « journées et de semaines très difficiles » car « nos élèves ont tendance à se démotiver. Ils peuvent entrer en conflit avec les enseignants. On craint toujours l’accident… ».
Un enseignant raconte : « Chaque jour, je me fâche 5 à 6 fois avec mes élèves, des vraies colères, des fausses, des petites et des grosses. Mais quand seulement 5 élèves sur 20 ou 25 ont fait leurs devoirs par exemple, il faut bien marquer le coup ».
Autre plainte d’une enseignante : « Nos élèves se résignent à ne pas faire d’études supérieures. Nous ressentons une vraie frustration car notre mission première d’éducation n’est pas celle que nous remplissons le mieux… ». Et de fustiger aussi la « marque Joliot-Curie », des « réflexions subies par les jeunes inscrits dans d’autres établissements du fait qu’ils viennent de Joliot-Curie. »
Et selon un professeur, « c’est aussi un problème pour les élèves qui suivent bien et qui ont de l’ambition, car nous ne pouvons pas faire notre maximum avec eux ».
Hier, les enseignants ont massivement « tiré la sonnette d’alarme ». Ils annoncent que si leurs revendications ne sont pas entendues, un nouveau préavis sera déposé vendredi ou lundi prochain pour une autre journée de grève.
Patricia Buffet
« Trop de parents hésitent à placer leurs enfants chez nous au motif que le quartier leur paraît moins prestigieux », estime le proviseur du lycée Arago à Reims.
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LES lycées de banlieues ne sont pas condamnés à l’échec scolaire. Pour lutter contre cette réputation tenace, la secrétaire d’État chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, a lancé le plan « Espoir Banlieues ». Y figure la labellisation de 30 lycées en « pôles d’excellence ».
Compte-tenu de sa démographie, l’académie de Reims pouvait en espérer un seul. Elle en a finalement deux : le lycée polyvalent François-Arago de Reims et le lycée professionnel Armand-Malaise de Charleville.
Contrairement à ce qu’on pouvait en attendre, cette labellisation n’est pas assortie de moyens supplémentaires. « Même si elle justifie qu’on leur en donne », précise prudemment le recteur d’académie, Alexandre Steyer, qui présentait le dispositif hier.
L’objectif est plutôt d’améliorer l’image des établissements, voire de la conforter.
C’est le cas du lycée François-Arago (742 élèves), au cœur du quartier Croix-Rouge de Reims. L’établissement s’est taillé une solide réputation dans les métiers du bâtiment et travaille notamment à l’élaboration d’un béton de chanvre en lien avec le pôle de compétitivité agro-ressources. Il accueille aussi les sportifs de haut niveau du Creps.
Résultat : Arago recrute 80 % de ses élèves à l’extérieur de la Marne. « Mais localement, trop de parents hésitent à placer leurs enfants chez nous au motif que le quartier leur paraît moins prestigieux. La labellisation n’est pas seulement une garantie de réussite, c’est aussi une reconnaissance », estime le proviseur Michel Gagneux.
Le nouveau label vise aussi à mieux afficher l’intégration du lycée au cœur d’un maillage pédagogique qui regroupe classes primaires, collège, fac et école de commerce. « Au point qu’il est envisageable d’ouvrir au sein même de l’établissement des licences professionnelles en lien avec l’université », explique le recteur.
Dans le quartier de la Ronde-Couture, le lycée professionnel Armand-Malaise tente de tirer son épingle du jeu en dépit d’un contexte économique difficile. Un tiers de ses 656 élèves sont issus du quartier.
L’établissement s’est spécialisé notamment dans les métiers de la maroquinerie. Photo d’archives
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L’établissement s’est spécialisé dans les métiers du bâtiment, de la sécurité et de la maroquinerie. « La labellisation est l’occasion de réfléchir à l’aménagement de filières complètes dans tous les métiers, du CAP au bac pro et pourquoi pas au BTS », explique le proviseur Jean-Michel Laurent.
L’embauche, chaque année, d’une douzaine de titulaires du CAP maroquinerie à « la Maroquinerie des Ardennes » de Bogny-sur-Meuse (filiale d’Hermès) n’est pas la moindre fierté de l’établissement. « Une autre marque célèbre de vêtements nous a également contactés », ajoute M. Laurent sans toutefois révéler laquelle.
La labellisation « pôle d’excellence » préfigure une démarche identique pour obtenir cette fois le label « lycée des métiers ». « D’ici la prochaine rentrée, tous ces projets devront être formalisés. Mais dans tous les cas, nous serons accompagnés », conclut le proviseur.
Autrement dit, si nécessaire, les moyens — pédagogiques notamment — devraient suivre. Rendez-vous en septembre.
Gilles Grandpierre
Etaient au programme le roller, le lancer des anneaux ou encore le tir à sarbacane.
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Ils ont entre 9 et 15 ans. Et ils viennent de participer les 21 et 22 février à un raid-rallye organisé par la Maison de quartier Croix Rouge dans deux endroits distincts : les gymnases Provençaux et Joliot-Curie.
« L’idée est de proposer chaque jour un sport. On est axé sur le loisir. Le sport est l’une des composantes de nos animations. Ce n’est pas la performance que nous recherchons, on veut offrir aux enfants un moment de convivialité, un vivre ensemble », expliquent Laurent Tonnellier et David Gameiro, animateurs.
Pour ces deux jours étaient au programme le roller, le lancer des anneaux ou encore le tir à sarbacane. « Pour les ateliers, on part sur la compétence des animateurs, également sur le matériel dont on dispose. Il y a aussi des envies des gamins.
Les parties durent vingt minutes pour pouvoir faire la rotation de tous.
Ce qui est difficile, c’est la mise en place de l’organisation », notent Laurent Tonnellier et David Gameiro.
Lundi vers 21 heures, un jeune homme de 19 ans, qui avait tenté de se dissimuler à leur vue, a été interpellé par des policiers des sections d’intervention, sur l’esplanade Taittinger.
Il avait des raisons de craindre un contrôle car il était porteur de deux couteaux de type « papillon ».
Il fera l’objet d’une composition pénale le 25 mars et a dû s’acquitter d’une amende de 200 €.
[1] Pourquoi les lecteurs de « l’Union » ne doivent-ils pas, une nouvelle fois, savoir que les renseignements les plus complets s’obtiennent sur notre site ?
[2] Et, comme il n’était effectivement pas nécessaire de le préciser, sur notre site.
[3] Nous ajouterons notre site http://www.quartier-croix-rouge.info et son contact électronique : quartiercroixrouge@quartier-croix-r….
[4] Les Amis de notre Association corrigerons d’eux-mêmes cette originale adresse de site et la remplacerons par http://www.quartier-croix-rouge.info
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