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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juin 2009



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090630j

MODIFICATION

51L166B255

E.U.R.L. ECLAIR TRANSPORT

au capital de 1.500 euros porté à 1.800 euros

39, rue Pierre-Taittinger, 51100

Reims R.C.S. Reims 5092955119

Par une A.G.E. du 24/0612009, les associés ont réalisé une augmentation de capital de 300 euros, par apports en chèque, entraînant la publication suivante :

Ancienne mention, capital social : 1.500 euros.

Nouvelle mention, capital social : 1.800 euros.

Pour avis.

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Journal « l’Union » - 090630i

Les flâneries musicales : Le programme : Demain

19 h 30 > Parvis de la médiathèque Croix-Rouge
Scène française jazz
ldiomatik

Alexis Thérain, guitares
Geoffroy Tamisier, trompette
Nicolas Mahieux, contrebasse
Jean Luc Landsweerdt, batterie,

Falling in the apple

C’est au sein de l’Orchestre National de Jazz dirigé par Claude Barthélemy que les quatre membres d’Idiomatik se sont rencontrés.

Sous l’impulsion du guitariste Alexis Therain le répertoire s’est construit, énigmatique, proposant des formes ouvertes qui s’élaborent dans l’interaction et l’improvisation.

Entrée libre

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Journal « l’Union » - 090630h

Le bibliobus se met au vert

Du 7 juillet au 1er août, les Rémois pourront trouver un bibliobus dans les parcs publics.

« Autour de tables de jardin, à l’ombre du parasol, venez consulter des bandes dessinées, des nouvelles, des magazines, des livres de cuisine, de bricolage, et une sélection de livres sur l’écologie… » annonce Juliette Chatelin, à la médiathèque Croix-Rouge.

« Les bibliothécaires proposeront des lectures pour petits et grands et des jeux autour des livres pour enfants. ».

De 14 à 17 heures, les mardis et vendredis au parc Léo-Lagrange, les mercredis et samedis au parc de Champagne.

Annulation en cas de mauvais temps.

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Journal « l’Union » - 090630g

Randonnée pédestre

Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge propose aux participants de choisir, dimanche 5 juillet, entre deux parcours pour une randonnée journée, départ à 7 h 30 : au choix, « Les Vieilles-Forges » (12 km) ou, Rocroi » (12 km).

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03:50.) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).

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Journal « l’Union » - 090630f

Croix-Rouge : Les dates à retenir en juillet

La passerelle Pays-de-France sera démolie à partir du lundi 20 juillet.
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Point-info

L’inauguration du Point-Info Croix-Rouge au 65, place Eisenhower, se déroulera mercredi 1er juillet à 16 h 30.

Cinéma gratuit

Vendredi 10 juillet à 22 h 30, sur la place Eisenhower, une séance gratuite de cinéma en plein-air sera offerte par les « Passeurs d’images », avec le film « Soyez sympa, rembobinez ! », une comédie.

Passerelle

Les premiers travaux de démolition de la passerelle du centre commercial Pays-de-France seront lancés lundi matin 20 juillet. Des problèmes de circulation et de stationnement sont à prévoir pendant quelques jours.

Jardins Pays-de-France

Après Croix-du-Sud, c’est au tour des parcelles de l’association des jardins familiaux de Pays-de-France d’être notés en vue du concours des plus belles parcelles 2009. Le jury s’élancera dimanche 26 juillet à partir de 10 heures.

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Journal « l’Union » - 090630e

Théâtre : La Compagnie sans nom : 3e séance

La « Compagnie sans nom » s’est formée en septembre 2008 à la suite de la disparition du cours de théâtre dispensé par Christine Bruneau. Quelques membres de ce cours avaient décidé de créer une troupe pour continuer cette grande aventure. Et aujourd’hui, la troupe se compose de sept comédiens. Sans réelle ambition au départ, cette troupe s’est très rapidement créé un objectif : « Jouer une pièce originale et décalée pour faire rire son public et prendre du plaisir à jouer », explique Grégory Sacré à l’origine de cette petite troupe qui a donc écrit l’intégralité de la pièce en prenant soin d’y intégrer les idées de chacun.

Salle comble les deux premières fois

« Après une année de dur et agréable labeur, notre pièce est terminée et nous sommes prêts à jouer « Stuck Inzetivi » devant un public. »

Après une première représentation au Crous, une seconde prestation a fait salle comble à l’espace Verrerie.

Au vu des réactions du public, une troisième séance est donc prévue au Crous (campus Croix-Rouge) le jeudi 2 juillet à 20 h 30.

Entrée gratuite sur réservation par mail centre-culturel@crous-reims.fr

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Journal « l’Union » - 090630d

Opération spéciale à la médiathèque : La course aux livres

Les Rémois ont pris d’assaut le stand de la médiathèque Croix-Rouge.
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La grande braderie sur les livres organisée par la bibliothèque municipale de Reims a été victime de son succès dimanche matin. Plusieurs centaines de Rémois ont véritablement pris d’assaut le petit stand dressé pour l’occasion face à la médiathèque Croix-Rouge.

Les Rémois ont en effet participé en masse à une opération exceptionnelle de « désherbage » : il s’agissait de la vente à prix modique, 1 ou 2 euros selon la catégorie, des documents que la bibliothèque retire chaque année de ses rayonnages pour faire place aux nouveautés et parce qu’ils sont moins demandés par le public.

Il fallait être en avance pour ressortir de ce tohu-bohu avec le livre ou le CD recherché. A 11 heures les employés de la médiathèque devaient déjà ouvrir les stocks de réserve, alors chacun luttait des coudes pour être au premier rang.

Francis cherche des livres pour sa femme. Il se plaint de la mauvaise organisation et laisse sa femme partir en éclaireur au milieu de la foule. Lui « récupère et stocke » ce qu’elle peut récupérer. Il a vu l’annonce de l’événement dans les pages de l’union, et observe que la vente connaît « la rançon de la gloire ».

Christine travaille au service santé des écoles de Croix-Rouge. Elle est heureuse du succès de l’événement car c’est un « signe positif qui montre que les gens cherchent à se cultiver ».

Absence du public populaire

Elle regrette que les stands n’aient pas été étalés, et mieux organisés, en particulier une installation des livres par lettres alphabétiques et par thèmes. Mais elle n’en fait pas tout un plat : « Les employés de la bibliothèque font preuve d’un grand calme et de gentillesse ». En fait ce qu’elle regrette le plus c’est l’absence du « public populaire de Croix-Rouge » et le fait que les gens présents semblent avoir déjà un bagage culturel. Christine cherchait des livres sur l’architecture pour son fils, ainsi que des ouvrages sur la peinture. Mais ces derniers sont partis comme des petits pains …

Henri est un jeune étudiant de pharmacie, habitué de la bibliothèque. Il a joué des coudes et repart avec des BD de science-fiction fantaisiste, mais est déçu de n’avoir pas trouvé la BD « Le Fléau de Dieu », qui mêle éléments archaïques et futuristes, même s’il avait « une chance sur dix de le trouver ».

Cette sorte de braderie a donc été un grand succès. On espère que ce ne sera pas un coup d’essai… .

Anthony RENAUT

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Journal « l’Union » - 090630c

Les travailleurs sociaux formés : Mieux identifier les discriminations

« La mission est devenue un repère pour les entreprises. »
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Faire face à une éventuelle « discrimination diffuse » des employeurs potentiels des jeunes qu’ils accompagnent, c’est un défi que vont relever les salariés de l’association « 2 mains ».

LORSQU’ON travaille dans une association d’insertion et qu’on aide un public de jeunes marnais à décrocher un emploi, on est confrontéà certaines pratiques discriminatoires, conscientes ou non, de la part des employeurs.

C’est pourquoi l’association « 2 mains » qui développe pour la Marne des « contrats d’autonomie » pour le retour à l’emploi de jeunes de ZUS (zones urbaines sensibles) a contacté les services de la Ville pour une formation qui a été dispensée par Noémie Michelin, chargée de projet. Virginie Coez, adjointe à la lutte contre les discriminations, a tenu à faire le point sur cette action : « Nous avons souhaité mettre en avant une formation de sensibilisation à ce problème parmi tous les acteurs du champ économique de l’emploi ».

Comment les repérer

A la mairie et à l’agglomération, 150 agents sur les 400 ont été formés.

Les salariés de « 2 mains » ont reçu des informations sur le dispositif législatif et des conseils sur la façon de repérer les comportements discriminatoires : Comment les combattre, comment accompagner à la fois les jeunes et les entreprises dans ce domaine ?

Le projet a été critiqué à ses débuts : « On nous a dit que c’était un gadget, une coquille vide » assure Virginie Coez. Force est de constater qu’à présent, la mission est devenue un repère « On vient nous demander des sources de conseil, de diagnostic ». Des entreprises privées contactent la Ville : « On peut se faire épingler par la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) dans nos recrutements. Comment faire pour concevoir des fiches de poste plus claires ? » « Nous nous sommes rendu compte que nous avions, nous aussi, certains stéréotypes » avouent Christophe, Cindy et Sabrina, les accompagnateurs sociaux de « 2 mains » qui comptent bien réinvestir leurs acquis : « Nous pensons être capables à présent d’identifier la discrimination. On nous a donné des outils pour cela ».

Trop lymphatique…

Contacté, Jean-Louis Rumerio, directeur de « 2 mains », se souvient d’une remarque d’un commerçant qui refusait de prendre un vendeur de couleur : « Les noirs sont trop lymphatiques … » L’association est très vigilante à ce sujet.

Un secteur « mauvais élève » reste celui de la petite enfance : Pas -ou fort peu- d’Atsem masculin en maternelle, de puériculteur en crèche… Une discrimination fondée sur le sexe. Mais… y-a-t-il beaucoup de candidats ? Une maman, interrogée, avoue qu’elle hésiterait à confier sa fillette à un homme. Par le passé, aucune nourrice masculine : mais à l’époque, elles allaitaient…

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Journal « l’Union » - 090630b

« Histoires de p’tites bêtes » à la médiathèque

 

 

La compagnie du Chat Bada propose, samedi 4 juillet à 9 h 30 et à 16 heures, son spectacle musical : « Histoires de p’tites bêtes » (30 minutes), à la médiathèque Croix-Rouge. Accompagnées d’un piano, d’une guitare et d’objets sonores, deux musiciennes chantent et racontent des histoires de p’tites bêtes.

Leurs comptines traditionnelles sur des rythmes jazzy, sont destinées aux enfants à partir de 6 mois, qu’elles transportent dans des univers aux couleurs variées.

Ils doivent être accompagnés par un adulte.

Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.

Entrée libre mais inscription préalable au 03.26.35.68.51.

 

 

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Journal « l’Union » - 090630a

Grande échelle

Dimanche après-midi, la grande échelle des pompiers a été déployée derrière le groupe Eisenhower.

Appelés pour une odeur de brûlé dans les étages, les sauveteurs ont effectué une reconnaissance qui n’a rien donné.

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090526h - VRI juin 2009

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 257 de juin 2009

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TRAMWAY : Lorsque la ligne paraît

Pour symbolique qu’elle soit, la première soudure de rails organisée mi-mai sur la plateforme dans le quartier Croix Rouge donne plus que jamais corps et visibilité au tramway.

Bonne nouvelle : les déviations de réseaux, dont les nombreuses tranchées entraînaient des perturbations importantes, sont arrivées à leur terme fin mai, soit un an après leur mise en route. « Nous avons réussi à tenir les délais », s’est félicité Christian Messelyn, président du concessionnaire MARS, qui observe que « les incidents de chantier ont été considérablement moins nombreux qu’à Orléans. » Les travaux de terrassement et de génie civil nécessaires à la réalisation de la plateforme sont engagés sur plus de la moitié du tracé. Après Bezannes, les tout premiers rails rémois ont fait leur apparition devant la gare, au rond-point des Belges, cours Langlet mais aussi, par anticipation, au croisement de la rue des Elus et du cours Langlet, pour permettre aux bus des lignes déviées B, C, D, N de garder cet itinéraire pendant les deux prochaines années.

3000 soudures

Dans une optique de gain de temps, deux engins fonctionnant en tandem sous le nom d’Appitrack ont été mobilisés sur le chantier : le premier coule la dalle de béton dans l’alignement prédéfini, le second y insère avec une grande précision les systèmes de fixation des rails. Déjà expérimenté à Jérusalem et Alger, ce système automatisé divise par trois le temps de pose et réduit du même coup la gêne (bruit, blocage de la rue, impact sur l’activité des magasins…). L’Appitrack vient de battre son propre record à Reims en traitant en une seule journée 300 m de voie. Pour l’assemblage des rails (longs de 18 m), les entreprises du groupement constructeur ont recours à une technique particulière : la soudure aluminothermique. Celle-ci a été présentée le 15 mai avenue Eisenhower, en présence d’Adeline Hazan, de Christian Messelyn et de nombreux élus et habitants du quartier. L’opération, qui a duré une quarantaine de minutes, sera répétée environ 3 000 fois pour obtenir des voies parfaitement jointives. Pour la présidente de Reims Métropole, le lieu de la démonstration était aussi symbolique que l’événement : « Je suis bien consciente des désagréments causés par les travaux, mais cette étape montre que le projet prend corps. Le tramway n’est pas que l’affaire du centre-ville. Il est un moyen de relier les quartiers au centre-ville, de faire mieux l’unité de la ville et de l’agglomération. » A l’été 2010, plus de 90 % des aménagements du tramway seront terminés

C. R.

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LOGEMENT : Des mesures concrètes baisser les charges locatives

Ci-contre, des exemples de conteneurs à ordures ménagères enterrés, implantés dans la communauté urbaine d’Arras.
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La municipalité annonce un plan d’action cohérent pour diminuer les charges locatives qui pèsent lourdement sur le budget des ménages.

Trois axes majeurs d’intervention ont été privilégiés : la question du chauffage, la reprise en charge des espaces extérieurs de certains quartiers par la Ville et la mise en place d’un dispositif pilote de gestion spécifique des déchets en habitat collectif sur le quartier Croix du Sud.

« Aujourd’hui, beaucoup de nos concitoyens constatent l’augmentation de leurs charges locatives. Ils y consacrent en moyenne entre 25 et 30 % de leurs revenus. Ce problème se fait sentir encore plus lourdement en période de crise, à un moment où la question du pouvoir d’achat est au coeur des préoccupations. L’idée est de mettre en place des mesures concrètes visant à réduire ces charges locatives qui pèsent fortement sur le budget des ménages », informe Eric Quénard, Premier adjoint à la Maire, en charge de la politique de la ville et du logement.

Premier axe de travail pour la municipalité : la question du chauffage qui représente la part la plus importante des charges locatives.

Dans le cadre de la renégociation de l’attribution du contrat d’exploitation relatif au réseau de chauffage urbain pour les douze ans à venir, l’association syndicale de la ZUP Laon Neufchâtel présidée par Eric Quénard et chargée de gérer le chauffage urbain du quartier Orgeval, a obtenu une baisse du coût du chauffage de 10 à 15 % pour les locataires et les propriétaires de ce secteur. En outre, la Ville de Reims souhaite s’atteler à la baisse des charges sur le quartier Croix-Rouge. La production de chaleur émise par le réseau de chauffage de cette zone provient à 34 % environ de l’énergie fatale produite par l’incinération des ordures ménagères de l’agglomération. Si l’on atteint le seuil de 50 % d’énergie fatale et renouvelable, la TVA appliquée sur la fourniture de chaleur passera de 19,6 % à 5,5 %. L’économie réalisée sera répercutée sur la facture des ménages.

« Pour réussir ce pari, les collectivités réfléchissent à l’optimisation de la récupération d’énergie produite lors de l’incinération. Les abonnés et notamment les bailleurs doivent également mettre en place progressivement des solutions visant à économiser l’énergie (isolation thermique des bâtiments…). Enfin, une autre initiative consiste à mettre en place deux chaudières à bois dans les trois ans à venir. Lorsque ces opérations seront finalisées, entre 30 000 et 40 000 personnes devraient bénéficier de cette baisse du coût du chauffage, sans oublier le CHU et les établissements d’enseignement appartenant au quartier Croix-Rouge », explique l’élu.

La reprise en charge des espaces extérieurs par la Ville de Reims

« Nous allons signer une convention avec les bailleurs (Effort Rémois, Foyer Rémois et Reims Habitat) courant juin pour reprendre à notre compte l’entretien des espaces extérieurs dans certains quartiers. En échange, les organismes logeurs s’engagent à répercuter sur leurs locataires les sommes ainsi dégagées. En outre, nous avons intégré une dimension insertion dans cette démarche puisque nous nous engageons à employer des personnes éloignées de l’emploi dans nos équipes d’entretien », indique Eric Quénard. Cette démarche sera expérimentée pendant 18 mois sur trois quartiers rémois, dès septembre prochain : Verrerie, Europe et Pommery.

« 790 logements sont concernés par cette baisse des charges locatives s’agissant du quartier Pommery. Concrètement, cette initiative représente une diminution de l’ordre de 9 euros/mois par foyer », informe Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat. « Dans la convention signée avec la Ville, la municipalité s’engage à assurer une qualité d’entretien identique des espaces verts et des espaces extérieurs ». Et de conclure : « Reims Habitat réalise actuellement de nombreux travaux, notamment concernant l’isolation thermique des bâtiments afin de réduire la facture énergétique. Coût de l’investissement pour la période 2009/2011 : 25 millions d’euros. Nous visons une réduction des charges de chauffage de 20 à 30 % ».

Eric Quénard, premier adjoint à la Maire en charge de la politique de la ville et du logement

Reims possède un parc locatif social très important, qui représente 43 % des logements. L’augmentation des charges locatives liée aux coûts des produits énergétiques et à la dureté de l’hiver est difficilement supportée par nos concitoyens.

C’est pourquoi la municipalité engage des mesures concrètes pour endiguer le phénomène Un dispositif pilote de conteneurs enterrés sur le quartier Croix-du-Sud

Dans le cadre du renouvellement urbain, les projets actuels de la Ville de Reims ont généralement pour leitmotiv l’amélioration de l’habitat et de la qualité de vie dans les quartiers. Ces objectifs apportent une opportunité de mettre en oeuvre un nouveau dispositif de collecte mieux adapté à certaines problématiques de la collectivité, du bailleur social et de l’habitant.

« Nous allons mettre en place dès le mois de juin un dispositif de conteneurs d’ordures ménagères enterrés et de tri sélectif sur le quartier Croix-du-Sud. Ce secteur a été choisi car il enregistre des résultats qualitatifs et quantitatifs du tri inférieurs à la moyenne de l’agglomération. Au bout de 6 mois, le dispositif sera évalué et si les résultats sont concluants, d’autres bacs seront installés », indique Emmanuel Debaty, directeur des activités du déchet et du nettoiement à Reims Métropole. De son côté, le bailleur social Plurihabitat pourra retirer de cette initiative plusieurs bénéfices : amélioration de la sécurité dans les immeubles, réduction des coûts liés à la gestion des déchets (sortie des bacs, entretien des locaux…) et amélioration de l’image du quartier. « L’impact de cette mesure est surtout positif pour l’habitant qui observera une réduction de ses charges locatives estimée à 50 euros/logement/an », souligne Emmanuel Debaty. Une convention sera signée avant l’été entre le bailleur et Reims Métropole afin de définir le rôle technique et financier de chacun.

S. C.

LA PAROLE À…

Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de défense des locataires Les Polygones (quartier Croix-Rouge)

« Ces annonces vont dans le bon sens. Maintenant, nous en attendons les résultats. Les locataires sont écrasés par les charges et la situation est extrêmement compliquée pour nombre d’entre eux, notamment les retraités et les familles monoparentales. En outre, la mise en place incontournable de la TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères) est un coût supplémentaire pour les foyers. Les compensations annoncées sont nécessaires et légitimes. Nous regardons de près l’initiative de la municipalité pour baisser le coût du chauffage sur le secteur Croix-Rouge. D’autre part, l’expérimentation menée par la Ville sur les quartiers Verrerie, Europe et Pommery s’agissant de l’entretien des espaces verts, attire notre attention. Nous espérons que la mesure sera étendue par la suite à d’autres quartiers ».

 

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FLÂNERIES MUSICALES : On n’a pas tous les jours 20 ans

Du 18 juin au 22 juillet, les Flâneries Musicales de Reims, financées aux deux tiers par la Ville de Reims, vous proposent soixante concerts de musique classique et de jazz, organisés dans plus de quarante sites prestigieux ou intimes de notre ville.

Coup d’envoi de cette 20e édition : le 18 juin à la Cathédrale pour le jazz et le 19 juin à la Basilique Saint-Remi pour le classique.

Des lieux de concerts prestigieux ou insolites :

Cathédrale, Basilique Saint-Remi, cloître du musée Saint-Remi, Château des Grenouilles Vertes, Tennis-Club, parc des Crayères, médiathèque Croix-Rouge, Grand Théâtre, Cirque, Palais du Tau, Golf de Gueux…

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“Vos héros pour 1 euro” à la médiathèque Croix-Rouge

La Bibliothèque municipale de Reims organise une vente de 10000 documents environ provenant de toutes les bibliothèques et médiathèques de Reims. Dans le souci d’offrir aux usagers des collections actualisées, attractives et variées, les bibliothécaires du réseau des bibliothèques et médiathèques de Reims, acquièrent chaque année près de 30000 nouveaux documents tout en procédant, de manière régulière, à du “désherbage”.

Cette opération évite la saturation des espaces de conservation comme de présentation (plus d’un demi-million de documents sont disponibles dans le réseau).

Elle consiste à retirer des collections des ouvrages défraîchis, des éditions vieillies, des exemplaires en surnombre, des ouvrages ne correspondant plus aux attentes du public et ne justifiant pas une conservation à Carnegie. Cette braderie va réserver un sort plus heureux à ces documents qui, jusqu’alors, n’avaient d’autre avenir que la destruction. Le public pourra chiner des documents pour tous les âges et pour tous les goûts, à l’image des documents empruntables dans les bibliothèques. Chacun pourra ainsi s’offrir pour un euro ou deux, documentaires, bandes dessinées, romans, polars, ouvrages pour enfants, magazines et CD. Chacun pourra acheter jusqu’à dix documents dont 2 CD maximum.

Parallèlement, un don est proposé aux associations qui souhaitent disposer de livres à d’autres fins que la revente.

Cet événement festif s’inscrit dans la politique dynamique de la Ville autour du livre et de la lecture. Il permettra en outre de découvrir un quartier en pleine mutation. En cas de succès, l’opération sera reconduite chaque année. A cette occasion, la médiathèque Croix-Rouge ouvrira exceptionnellement ses portes ce dimanche 28 juin de 10 h à 18 h, parvis de la médiathèque Croix-Rouge.

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7eART : Six séances de cinéma gratuit en plein air

Cet été, le nombre de projections proposées dans le cadre de l’opération Passeurs d’images passe de quatre à six.

Au programme :

• 26 juin, place du 11 novembre (quartier du Chemin Vert) : programmation en cours.

• 7 juillet au Parc de Champagne, sur écran géant : Nauscicaa de la vallée du vent (Japon 2006), film d’animation de Hayao Miyazaki.

• 10 juillet, place Eisenhower (quartier Croix-Rouge) : Soyez sympas, rembobinez (USA 2008), une comédie hilarante de Michel Gondry qui conduit les héros tenant un vidéo-club à refaire avec les moyens du bord des films célèbres, car l’un d’entre eux possède un cerveau magnétique qui efface tous les films existants.

• 24 juillet, Esplanade des Argonautes (quartier des Châtillons) : programmation en cours.

• 20 août, derrière la maison de quartier Paul Claudel : programmation en cours.

• 28 août au Parc de Champagne : Whatever Lola Wants (Canada 2008). Lola travaille à la poste à New York et rêve de devenir danseuse orientale sur écran géant.

Séances à 22h30 en juin et juillet et à 22 h en août. Entrée gratuite.

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Du 20 au 27 juin, Châtillons s’envole !

C’est bientôt fête et 2009 étant l’année de l’astronomie, le thème s’imposait de luimême…

Regarder le ciel et regarder les autres, tout simplement, s’ouvrir à leur culture comme le rappelle Hamid Abdessamad, coordinateur de ce qui sera un véritable événement transversal. A retenir dès le samedi 20 juin la venue de groupes folkloriques, le lundi 22 juin, une intervention de Bibliothèque pour Tous à la résidence ARFO où se rendra le mercredi 24 juin l’association Ecoute Jeunes Murigny le temps d’une rencontre entre générations. Au programme de la journée du samedi 27 juin, manège, promenade à dos de poneys, jeu de l’oie proposé par le Point Info Jeunesse, initiations et démonstrations avec l’association Senzala de Capoeira, tyrolienne effectuée par l’Amicale des Sapeurs Pompiers de Reims, spectacle folklorique celtique et pour finir, feu d’artifice… La fête a mobilisé nombre de partenaires : l’antenne municipale du quartier, l’Amicale des locataires de Châtillons, la Médiathèque Croix-Rouge, le Reims Champagne Handball, le Roller Hockey de Reims, la société Transdev et l’Association des Travailleurs Maghrébins de France.

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LA VIE DES QUARTIERS : CROIX-ROUGE-HAUTS-DE-MURIGNY

Votre antenne municipale

C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.

Jours et heures d’ouverture : • le lundi de 14 h à 17h30 • du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30 • le samedi de 8h30 à 12 h.

Démolition programmée pour la passerelle

La démolition de la passerelle commerciale Pays de France a été inscrite dans le cadre du projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge. Cette intervention est indispensable dans le cadre du projet de tramway. Afin de limiter la gêne, les travaux sont prévus pour le mois d’août 2009, la Ville de Reims ayant à sa charge la démolition des structures surplombant l’espace public (chaussée et trottoirs), la démolition des structures restantes sera effectuée par le Foyer Rémois. Le coût global prévisionnel s’élève à 225000 euros TTC.

Randos, animations et vacances

Programme d’été bien rempli pour les marcheurs du dimanche ! Trois randonnées sont prévues : 14 juin à Vertus, 28 juin sur le plateau de Mondement et 5 juillet -au choix- au lac des Vieilles Forges ou à Rocroi. Covoiturage possible.

N’attendez pas le dernier moment pour inscrire vos enfants à l’accueil de loisirs pour les 3 à 12 ans du 6 juillet au 29 août ! Et pour ce mois de juin, Alexandra a préparé un programme complet d’animations parents-enfants.

Pour plus de renseignements, contactez le secrétariat de l’Espace Watteau au 0326360350.

Une journée festive pour tous les habitants de Croix-Rouge

Cette édition aura lieu samedi 13 juin à partir de 15 h, devant l’Espace Billard, 14 rue Pierre Taittinger. Au programme, stands de jeux et activités pour enfants, spectacle de marionnettes, défilé de majorettes, concours de pétanque réservé aux amateurs, animation musicale… Sans oublier des démonstrations d’arts martiaux et la présentation des ateliers danse (hip-hop, africaine, orientale). Un repas sera proposé pour 19 h (inscription obligatoire).

L’idée est appétissante et belle : chacun apporte un plat à partager…

Pour en savoir plus, tél. : 0326080878.

D’ores et déjà, un coup de chapeau aux organisateurs : ACRAP, RIRE, Amicale des locataires, CHRS "Primevères", AFEVE, AFRICAA, ensemble des associations du secteur, Conseil d’orientation des Espaces Billard et Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Permanences de l’antenne mobile

L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.

Votre marché

Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 5 h à 13 h.

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PETITE ENFANCE : Des visites pour préparer l’entrée en maternelle

Une centaine d’enfants est concernée chaque année par le dispositif mis en place par la Ville de Reims.
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Voilà plusieurs années que la Ville de Reims organise avec des professionnels de la Petite enfance, les Maisons de quartier et certaines écoles rémoises, des ateliers de préparation en vue de l’entrée des enfants en école maternelle. Une centaine d’enfants est concernée chaque année par ce dispositif.

« La première rentrée est un moment sensible pour les enfants et leurs parents. Le but de ces ateliers est d’accompagner au mieux les enfants afin qui appréhendent l’école dans de bonnes conditions et d’établir un lien entre les parents et le système scolaire. » explique Laurence Delvincourt, adjointe à la Maire de Reims et déléguée à la Petite enfance.

Les enfants et leurs parents concernés par le dispositif se rendent en moyenne 3 fois dans l’école maternelle de leur quartier l’année précédant la rentrée effective des enfants. Ces visites sont encadrées par le personnel des Maisons de quartier en collaboration étroite avec les différentes écoles partenaires.

Devant le succès de cette démarche, la municipalité a décidé d’étendre le dispositif aux haltes garderies des maisons Trois Piliers et Trois Fontaines.

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EMPLOI : L’insertion par l’activité économique

L’activité principale d’AJR : une menuiserie industrielle conventionnée comme entreprise d’insertion qui fabrique des coffrets en bois pour les maisons de champagne.
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A Reims, de nombreuses structures oeuvrent à l’insertion des publics éloignés de l’emploi grâce à la production de biens et de services.

Tour d’horizon de ces structures d’insertion par l’activité économique (S.I.A.E.) qui appartiennent au champ particulier de l’économie sociale et solidaire.

« Les salariés employés dans les S.I.A.E. entrent dans le cadre d’un parcours d’insertion et bénéficient d’un agrément du Pôle Emploi (anciennement l’ANPE). En 2007, sur les 777 personnes employées dans toutes ces structures, 198 ont achevé leur parcours d’insertion, et parmi elles 137 ont trouvé un emploi durable ou une formation qualifiante », informe Dominique Ledemé, chargé de mission emploi auprès d’Adeline Hazan, Maire de Reims.

On compte à Reims quatre types de structures d’insertion. Les entreprises d’insertion comme Sita Rebond (Traitement tri sélectif), E.N.V.I.E. Reims (Electroménager d’occasion garanti), Bâtiment Service (Second OEuvre Bâtiment) ou encore Avenir Jeunes Reims ont une activité rentable de production de biens et de services.

L’activité des chantiers d’insertion ne se situe pas entièrement dans un secteur concurrentiel. Citons pour exemples Reims Espoir (entretien espaces verts et bâtiment), E.P.I.S. (collecte du pain et jardinage), les Restos du Coeur (Action de solidarité), ou encore Fripe Emmaüs (récupération et vente de vêtements) qui emploient des salariés sous contrat aidé pour une durée maximum de 24 mois.

Troisième modèle de structure : les associations intermédiaires comme l’A.R.E.J. (Association Rémoise pour l’Emploi des Jeunes) et Jobs’51 qui proposent des services aux entreprises, aux administrations et particuliers et dont les missions des salariés ne peuvent excéder 240 heures. Enfin, l’entreprise de travail temporaire d’insertion (E.T.T.I.), à l’image d’Emploi 51, met à disposition des entreprises des personnes de tous secteurs en insertion pour des missions d’intérim classique.

L’ensemble de ces structures sont reconnues par l’Etat (DDETFP) qui les conventionne et participe, tout comme la ville, à leur financement.

Coup de projecteur sur Avenir Jeunes Reims

« Nous sommes à la fois un centre de formation et une entreprise d’insertion », explique Bernard Pirouelle, directeur d’Avenir Jeunes Reims. « Notre mission consiste à amener des jeunes de 16 à 25 ans sortis du milieu scolaire depuis plus d’un an et sans diplôme, vers l’émergence et la confirmation d’un projet professionnel ». L’enseignement consiste en une remise à niveau en français, calcul, informatique…

Le parcours de formation intègre les domaines du comportement (ponctualité, présentation, sociabilité, estime de soi…) et de la technique (menuiserie, métallerie et mécanique). « Nous accueillons entre 55 et 60 jeunes par an, la durée moyenne de formation s’établit à 8 mois ». Virginie Perrier, 21 ans, a intégré AJR il y a 5 mois : « J’ai arrêté l’école en fin de 3e. Mon apprentissage actuel m’aide beaucoup, il m’a redonné confiance en moi et me permet de faire des projets pour l’avenir. Après cette remise à niveau, je souhaite reprendre une formation de secrétaire médicale ». Bernard Pirouelle insiste sur l’autre activité d’AJR : une menuiserie industrielle conventionnée comme entreprise d’insertion qui accueille une quinzaine d’adultes (chômeurs de longue durée et bénéficiaires de minimats sociaux) rémunérés au SMIC : « Nous fabriquons des caisses et des coffrets en bois pour des maisons de champagne aussi prestigieuses que Moët et Chandon, Piper Heidsieck, Taittinger… En 2008, 70 000 coffrets ont été produits. Outre cette activité principale, nous aménageons aussi des véhicules utilitaires et sommes sous-traitants pour une entreprise spécialisée dans le tri, la découpe et le conditionnement de chiffons industriels »

S. C.

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Le Parc de Champagne se donne des aires

Une brouette géante de jardinier dessinée à même le sol sur le site de l’ancien collège d’athlètes accueillera tout l’été et pendant une partie de l’automne quatre aires thématiques : "Jardin et société" évoquant le jardin d’une famille française ; "Le jardin médiéval" reconstituant un jardin d’autrefois ; "Jardin du monde" pour connaître les plantes et légumes que nous consommons et "Le jardin des curiosités", habité par des plantes et légumes surprenants (courge éponge, sorgho à balai…).

Autour de la brouette, dont la roue abrite une exposition photos, s’étalera une culture de citrouilles (qui se transformeront peut-être en carrosses, qui sait ?). Non loin de là, au sein d’une prairie fleurie, les airs de musique d’un jardin musical guideront vos pas vers une pergola de calebasses.

Des aires de jardin, du 4 juillet au 4 novembre au Parc de Champagne. Entrée gratuite.

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Journal « l’Union » - 090629g

Des collégiens en exposition

 

Un groupe d’élèves du collège Georges-Braque, de la 6e à la 3e, a inauguré une sélection de ses travaux en arts plastiques, dans un local situé face au collège, au 2, allée Gandon.

« Il s’agit d’un événement ponctuel : le choix des œuvres retenues était dicté par le plaisir, les coups de cœur, avec l’amère-pensée de poursuivre cette expérience », précise un des professeurs.

Reims habitat, avec François Toublan, Marie-Christine Chatel, Alban Strozykowski et Himad Ezzel, était présent auprès des professeurs de Georges-Braque (Sophie Hasslauer et Sophie Lowert) pour apprécier les créations des élèves comme un porte-clés et une clé géants, des sculptures en papier ….

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Journal « l’Union » - 090629f

Jardins familiaux de Croix-du-Sud : Les jeux sont faits

 

 

 

L’opération de notation, pour le concours des plus belles parcelles 2009, s’est déroulée à l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud, avec un jury composé de jardiniers extérieurs à l’association, d’associatifs et de personnalités.

Avec une note pour la partie potagère et une note pour la partie esthétique, un classement sera établi et une remise de prix conclura le concours.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090629e

Ouverture au point info Croix-Rouge

 

 

Le Point-Info « Renouvellement urbain Croix-Rouge » sera inauguré au 65, place Eisenhower, le mercredi 1 er juillet à 16 h 30. Il partagera les locaux de l’Espace Tram infos.

Il permettra d’obtenir de l’information sur le programme de renouvellement urbain et les chantiers en cours et à venir, la ligne de tramway et l’avancement des travaux, la charte d’insertion ANRU et les possibilités d’accès à l’emploi sur le quartier, plus généralement, la vie du quartier, les projets solidaires en cours, les manifestations à venir, les animations, les offres de loisirs, …

Le Point-Info « Renouvellement urbain Croix-Rouge » pourra encore accueillir des réunions ponctuelles de conseillers de quartier (commissions thématiques), d’amicales de locataires, de groupes d’habitants sur les sujets liés au renouvellement urbain du quartier ou à la vie du quartier.

 

 

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Journal « l’Union » - 090629d

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Comédie musicale

À Croix-Rouge, Bensad Allaoui persévère dans son idée de monter une comédie musicale.

La troupe qu’il a constituée répète aux Halles, à Paris : cc C’est la concrétisation de notre projet ! » annonce-t-il.

On attend de découvrir les premières réalisations sur une scène du quartier.

Cresval

Il y a maintenant huit ans, Philippe Chabaneix prenait la direction de l’institut Michel-Fandre (anciennement Irrsem et devenu Cresval), spécialisé pour la vision, l’audition et le langage.

L’heure de la retraite a sonné et il vient de quitter le beau navire de la rue Léon Mathieu.

Il laisse le souvenir d’un homme intègre, discret mais efficace.

Bonne retraite Monsieur Chabaneix !

Étoile

Le numéro de téléphone de l’association Étoile Croix-du-Sud est désormais le suivant : 09.60.18.69.30. Qu’on se le dise !

Mini-camps

Dès le 15 juin, les trois mini-camps organisés par l’association MJC Croix-Rouge en juillet à Blacy, dans la Marne, sous le nom de « Croque Nature », pour des enfants du quartier Croix-Rouge, âgés de 8 à 11 ans, ont affiché « complet », preuve de leur utilité et de leur nécessité.

Majorettes

Les habitants de La Rafale Université et les associations organisatrices se faisaient une joie de voir enfin les Mousquetaires de Reims, le groupe de majorettes de l’Acrap, défiler dans leur quartier lors de la fête du samedi 13 juin.

Hélas, on ne les a pas vues ! Trois jours avant la fête, elles se sont décommandées, préférant défiler dans une ville voisine !

L’animatrice de la compagnie n’a pas souhaité s’exprimer sur les raisons de ce choix.

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Journal « l’Union » - 090629c

Animations d’été à Croix-Rouge

Du lundi 6 juillet au vendredi 7 août, la section « Sport/Loisir » de la maison de quartier Croix-Rouge propose gratuitement, de 15 à 17 heures, des animations de proximité pour les jeunes de 11 à 17 ans, des secteurs Croix-du-Sud et Université.

À Croix-du-Sud : Sur le City-stade Léo-Borgniet, la « malle sportS » propose base-ball, ping-pong, ultimate, foot et bad. À deux pas de là, sur la place Auguste-Rodin, il sera proposé Playstation, ping-pong, baby-foot et bad.

Secteur Université : Sur l’esplanade Eisenhower, la « malle sports/loisirs » organisera rollers, mini ping-pong, ultimate et sports de raquettes.

Par ailleurs, chaque vendredi : un grand rallye sports sera proposé et tous les mercredis, une sortie bowling, pêche, VIT, piscine … (Participation d’un euro).

Renseignements et informations complémentaires auprès de Karim et David, à l’espace Ethnic’s (château d’eau). Tél. 0326.86.08.02.

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Journal « l’Union » - 090629b

Reims / Rennes / Jugés pour une série de sept hold-up : Les braqueurs d’un bureau de poste à Reims condamnés

Le 11 juillet 2005, ce bureau de poste de l’allée des Picards à Reims fut le premier des sept à être braqués par un gang de Parisiens. Ils avaient séquestré les employés pendant 1 h 30 et raflé 98 000 €.
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Quatre Parisiens jugés en Bretagne ont écopé de neuf à douze ans de prison pour sept hold-up dans des bureaux de poste. Le premier de la série eut lieu à Reims en 2005.

SITUÉ dans le quartier Croix-Rouge à Reims, le bureau de poste des Pays-de-France fut leur baptême du feu. En venant de Paris pour le braquer au petit matin du 11 juillet 2005, une équipe de malfaiteurs entamait une longue série de vols à main armée qui n’a pris fin que quinze mois plus tard en Bretagne, après un total de sept hold-up (dont quatre tentatives).

« Les bénéfices ça se divise, la réclusion ça s’additionne », écrivait Michel Audiard. Après avoir brassé plus de 260 000 € provenant des braquages réussis, les quatre membres de la bande ont été condamnés vendredi, par la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine, à des peines de 9 à 12 ans de réclusion.

De Reims à Rennes, lieu de leur dernier forfait, les malfaiteurs ont toujours agi de la même façon, s’attaquant chaque fois à des bureaux de poste.

Pour leurs débuts, ils ont choisi Reims car elle était bien située, pas trop loin de Paris par l’A4, Ils ont effectué des repérages. Ils ont finalement jeté leur dévolu sur l’agence des Pays-de-France, allée des Picards.

Cagoules et pistolets

Le 11 juillet 2005, les braqueurs arrivent avant l’ouverture à bord d’une voiture volée. Ils sont trois : David Djedje, 24 ans, Mourad Merghad, 25 ans, Kacem Benhadj, 26 ans.

Encagoulés, pistolets à la main, ils braquent les premiers employés venus prendre leur service. Au total, huit personnes sont séquestrées au fur et à mesure de leur arrivée. Le directeur est frappé. Les malfaiteurs restent 1 h 30 à l’intérieur de l’agence, le temps nécessaire à l’ouverture temporisée des coffres. Butin : 98 000 €.

Le 2 novembre, Saïd Lauret, 26 ans, rejoint ses copains pour braquer une poste à Rouen. Echec. Nouveau braquage infructueux le 21 décembre au Mans. Dès le 29 décembre, ils attaquent une agence postale à Caen : dix employés séquestrés, 52.593 € de butin.

C’est encore le jackpot à Clermont-Ferrand le 7 mars 2006 : 109 000 € qu’ils partent dépenser en Thaïlande. Ils remettent ça à Limoges, en juillet, mais l’alarme les met en fuite. Le 19 octobre 2006, le quatuor braque un septième bureau de poste à Rennes. Cinq personnes sont déjà séquestrées lorsqu’un témoin donne l’alerte. La police intervient. Saïd Lauret et Mourad Merghad parviennent à s’enfuir en prenant en otages, à bord de la voiture du caissier, le directeur de l’agence et une employée.

Prise d’otages à Rennes

Ils les relâchent à la sortie de la ville, après avoir grillé des feux sur trois kilomètres et manqué d’écraser un groupe de collégiens, tandis que David Djedje et Kacem Benhadj sont arrêtés sur place avec le butin (50.000 €). Leurs deux complices seront retrouvés en janvier 2007.

Chargé de l’enquête sur le braquage des Pays-de-France, le SRPJ de Reims a flairé la bonne piste en apprenant l’arrestation de la bande. Les investigations ont confirmé leurs soupçons. Interrogés en avril 2007, Kacem Benhadj et Mourad Merghad sont passés aux aveux. Seul David Djedje a nié, sans emporter la conviction des jurés bretons qui l’ont condamné à neuf ans de prison.

Benhadj et Saïd Lauret ont été condamnés à dix ans de réclusion, Merghad à douze ans. « Les bénéfices ça se divise,…. »

Fabrice CURLIER (avec Ouest-France)

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Deux autres braquages à Reims en 2005 et 2006


Les quatre accusés condamnés par la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine à Rennes sont tous issus de la cité Bédier à Paris, dans le XIIIe arrondissement, où ils ont grandi ensemble.

C’est Kacem Benhadj, 26 ans, qui a eu l’idée du premier vol à main armée, celui de Reims en juillet 2005 au bureau de poste des Pays-de-France. Ses camarades ont suivi.

Le nombre de personnes séquestrées par la bande en sept braquages dépasse la trentaine. Les malfaiteurs étaient violents. A Reims, le directeur de l’agence a été frappé, à Caen également. Les menaces étaient systématiques : « Arrête de crier sinon on te flingue ! », « Si tu n’ouvres pas le coffre, on te fume ! », « On connaît ton adresse. Si tu parles, on viendra chez toi ! »

A Rennes, lors de l’arrivée de la police, « Baissez vos armes ou on tue les otages ! » ont-ils hurlé.

Un gang fidèle à La Poste

Les braqueurs s’attaquaient chaque fois à des bureaux de poste car « on finissait par connaître le mode de fonctionnement, les délais d’ouverture des coffres », a expliqué l’un d’eux. « On choisissait toujours une grande agglomération, pour se fondre dans la ville après le hold-up. » Reims correspondait à ce critère. Le 10 janvier 2005, six mois avant l’attaque du bureau de poste des Pays-de-France, celui de l’avenue Jean-Jaurès avait été braqué par trois hommes encagoulés selon un procédé identique, avant l’ouverture au public, avec séquestration des employés.

Les malfaiteurs étaient repartis à bord d’une voiture volée conduite par un quatrième complice. L’enquête n’a cependant établi aucun lien entre cette affaire et le gang des Parisiens. Même chose pour le braquage commis le 20 mai 2006 au bureau de poste de l’esplanade Eisenhower à Croix-Rouge, où deux individus encagoulés avaient séquestré cinq employés.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090629a

Un rendez-vous familial autour du cheval : Ambiance western à l’hippodrome

Pas de fête western sans danse country !
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Balades au pas tranquille de solides chevaux ardennais.
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Gentils poneys, élégants trotters, solides chevaux ardennais, belles voitures américaines et taureaux mécaniques : à l’hippodrome aussi c’était la fête.

AVEC la complicité d’un soleil radieux, les Rémois étaient de sortie samedi, sollicités par des événements de tous ordres : l’Hippodrome a été un des pôles d’attraction avec sa « Fête western ». Un super rendez-vous familial autour du cheval.

Toutes les animations étaient prises d’assaut : balades à dos de poneys pour les petits, baptêmes en sulkys pour les grands, tour de piste en calèche ou en diligence pour les familles. Les files d’attente s’allongeaient sans cesse dans la bonne humeur : « On se sent déjà en vacances », disaient les plus patients…

Le thème choisi pour la 3e fête de l’hippodrome a trouvé son rythme avec l’excellent groupe de danse du Country club d’Epernay.

Côté sensations fortes, les taureaux mécaniques ne gardaient pas longtemps leurs cavaliers : difficile d’y rester juché plus d’une minute !

Exposition de voitures américaines des années cinquante, démonstration de fouets, lassos et revolvers, lancers de fléchettes, château gonflable ont attiré le public, avec une bonne répartition de l’espace et une ambiance détendue.

On a vu, au fil des heures, un nombre croissant de chapeaux de cow-boy passer du stand de vente aux têtes des promeneurs : un achat qui pouvait aller de 3 à 85 euros pour un authentique couvre-chef australien en cuir…

Et pas question d’échapper à la petite faim, attisée par l’odeur du gigantesque barbecue où ont rôti pendant des heures des Charolais de l’Aisne, cuits à point pour dîner avant d’attaquer les huit courses en nocturne suivies d’un feu d’artifice.

 

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Journal « l’Union » - 090628c

Sortir

Les jardins familiaux seront à l’honneur au Parc de Champagne. J.-C. Hanché
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Les jardins vous intéressent ?

Si oui, rendez-vous, à compter du 4 juillet et jusqu’au 4 novembre, au Parc de Champagne de Reims où une exposition de plein air « Des Aires au jardin »y sera présentée.

L’occasion de se pencher sur toutes les formes de jardins d’aujourd’hui et d’hier, d’ici et d’ailleurs. Plantations du monde, cultures biologiques, conseils pour autoproduire ses légumes par temps de crise et expo photos autour des jardins familiaux et des jardins d’insertion rémois… voilà de quoi retrouver le goût de la terre et stimuler les papilles.

Entrée libre.

 

 

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Journal « l’Union » - 090628b

Reims / Région / Nouveau concours Ecole Médias : Education et information vont de pair

L’ensemble des gagnants avec le recteur et des journalistes.
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Accompagnés de leurs parents et professeurs, les lauréats du concours Ecole Médias de Champagne-Ardenne ont été invités au Rectorat de Reims pour la proclamation des résultats.

Cette année encore, les équipes primées ont donné la mesure de leur curiosité d’esprit et de leurs aptitudes à transmettre les informations recueillies, par les moyens mis à leur disposition en presse écrite, en radio ou en télévision.

Certains établissements ont encouragé leurs équipes à développer deux aspects d’un même sujet, comme au collège La Fontaine de Charleville avec à la fois un texte sur « les élèves de l’option découverte professionnelle de l’IFTS » et une séquence filmée avec interview d’un professeur… Les deux supports ont été récompensés.

Le thème concernait la science, chère au recteur Alexandre Steyer qui n’a pas manqué de mettre l’accent sur la belle participation et le talent des établissements ardennais, fidèles de ce concours coordonné par Jean-Pierre Benoit, responsable académique du Clemi (Centre de liaison de l’enseignement et des métiers de l’information).

Le recteur a aussi souligné le choix et la forme agréable - parfois surprenante - des reportages. Mention spéciale au lycée Arago de Reims avec deux sujets, dont un sur la pollution et le développement durable : article rédigé en espagnol avant d’être traduit en français… et classé premier…

Le palmarès

- Presse écrite (21 élèves primés).

    • Collèges. 1er : Terres Rouges d’Epernay, 2e Les Aurains de Fumay, 3e La Fontaine de Charleville, 4e collège de Rilly-la-Montagne, 5e Georges-Braque de Reims.
    • Lycées. 1er Arago de Reims, 2e lycée professionnel de Revin, 3e Arago de Reims, 4e lycée professionnel de Revin.

- Télévision tous niveaux (5 élèves primés).

1er : lycée Bazin de Charleville, 2e collège La Fontaine de Charleville.

- Radio tous niveaux (12 élèves primés).

1er prix : collège de Fismes (pour « l’hydroélectricité »), 2e : collège Les Aurains de Fumay, 3e : collège de Fismes (pour « L’eau dans l’agriculture »). A noter que radio Graffiti’s de Fismes est partenaire du collège depuis dix ans…

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Journal « l’Union » - 090628a

Les incendies de la nuit

Vendredi vers 22 h 30, les pompiers ont été appelés pour un « feu d’appartement » avenue du Général-Eisenhower, au n045. Heureusement, il ne s’agissait que d’un feu de papiers allumé sur un balcon.

Hier matin vers 3 heures, un scooter probablement volé a été incendié avenue Clemenceau. Quinze minutes plus tard, une poubelle a flambé rue Roger-jardelle.

À peine le temps de l’éteindre et les pompiers ont dû faire mouvement avenue Kennedy pour une fumée suspecte s’échappant d’un immeuble.

Ils ont découvert des papiers enflammés sous un compteur électrique.

A 6 h 45, direction une boulangerie de l’avenue Bonaparte, celle à l’enseigne « Aux fruits de la moisson », où un petit feu de détritus se consumait à l’intérieur. Les pompiers ont procédé à la ventilation des lieux.

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Journal « l’Union » - 090627a

Le western, thème de la fête de l’hippodrome

La fête de l’hippodrome, placée sous le thème du western, aura lieu ce samedi à partir de 16 h 30 avec, pour les turfistes, huit courses au programme et pour tous les autres, de nombreuses animations.

- En voici le programme :

    • de 16 h 30 à 19 heures, balades en calèche, musique et danses country, rodéo mécanique, baptêmes de sulkys à partir de 17 heures (nombre de tickets limité), diligence Well’s fargo. Richard Roop exécutera un numéro de fouets, lassos et revolvers.

Exposition de voitures américaines, stands de jeux, balades à poneys, grand château gonflable, atelier maquillage.

    • À partir de 19 heures, barbecue géant. Grande tombola. À partir de 19 h 45, huit courses (montées et attelées).

Entrée 5 euros dont 2 euros de bon à parier offert (entrée gratuite pour les moins de 18 ans).

Prochain rendez-vous à l’hippodrome le samedi 4 juillet avec des courses en nocturne.

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Journal « l’Union » - 090626d

Donner la parole aux parents et aux jeunes

L’association Afrique Conseil, animée par des psychologues, organise des groupes de parole ouverts aux parents et aux jeunes.

La prochaine réunion se déroulera à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, rue du docteur-Billard), le mardi 30 juin, de 18 à 20 heures.

Renseignements au 06.61.50.03.30. (Entrée libre).

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Journal « l’Union » - 090626c

Au complexe René-Tys : Une belle fête pour écoliers sportifs

Les jeunes sportifs ont reçu des médailles.
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« Cette soirée s’inscrit dans une semaine où l’on fête les 70 ans de l’Ufolep » : Françoise Cloux, la présidente et les bénévoles de l’Usep/Usal ( Union sportive de l’enseignement primaire/Union sportive des activités laïques) étaient heureux d’accueillir les enfants des écoles rémoises, rassemblés au complexe René-Tys.

800 enfants à l’Usep

Chacun d’eux a reçu une médaille, chaque école un sifflet d’arbitre et un ballon de hand-ball. « Cette année, vous avez donné le meilleur de vous-même, c’est une occasion de vous mettre à l’honneur et de vous récompenser », a insisté la présidente.

Près de 800 enfants, encadrés par l’Usep, ont fait du sport en 2009, dont une cinquantaine étaient présents : ceux des écoles Desbureaux, Gallieni, Amundsen, Ravel-Franchet, Joliot-Curie, Galilée, Blanche-Cavarrot, Barthou et Zola.

En ouverture, des danses modernes, préparées durant le Service municipal d’accueil (SMA) par les filles de l’école Desbureaux, ont été très applaudies.

La soirée a permis également de récompenser les élèves qui avaient participé au « Défi Nature » organisé au parc de Champagne.

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Journal « l’Union » - 090626b

Cinéma gratuit

Pour la 9e année consécutive, la Ville de Reims a demandé à l’association « Passeurs d’ima-ges » de proposer des séances de cinéma en plein air gratuites et réparties sur toute la ville, présentées en version française.

La première séance aura lieu ce soir à 22 h 30, place du 11 Novembre (quartier du Chemin-Vert) avec ; la diffusion du film libanais de Nadine Labaki :
« Caramel ». Avec Nadine Labaki, Yasmine Elmasri et Sihame Haddad (1 h 35). À Beyrouth, cinq femmes se croisent régulièrement dans un institut de beauté, microcosme coloré où plusieurs générations se rencontrent, se parlent, se confient. Au salon, les hommes, le sexe et la maternité sont au cœur de leurs conversations intimes et libérées.

Les autres films

- Mardi 7 juillet à 22 h 30 au Parc de Champagne :
« Nausicaa de la vallée du vent », film d’animation japonais de Hayao Miyazaki, Tomoko Kida (1 h 56).

- Vendredi 10 juillet à 22 h 30 quartier Croix-Rouge, place Eisenhower :
« Soyez sympas, rembobinez », un film américain de Michel Gondry avec Jack Blak, Mos Def, Danny Glover (1 h 34).

- Vendredi 24juillet à 22 h 30 dans le quartier des Châtillons, place des Argonautes :
« Pirates des Caraïbes », un film américain de Gare Verbinsky avec Johnny Depp, Orlando Bloom et Keira Knighlley (2 h 48).

- Jeudi 20 août à 22 heures quartier Claudel, place Paul-Claudel :
« Les Simpson », un film d’animation américain de David Silverman (1 h 30).

- Vendredi 28 août à 22 heures au parc de Champagne :
« Whatever 101 a wants », un film canadien et français de Nabil Ayouch avec Laura Ramsey, Assaa Bouab et Carmen Lebbos.

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Journal « l’Union » - 090626a

Poubelles et voitures incendiées : Feux de la Saint-Jean, nouvelle version

À Bétheny, la voiture incendiée était probablement volée. A-t-elle servi à réaliser un « casse » avant ?

Une voiture incendiée à Saint-Brice, une autre à Bétheny. Et plusieurs poubelles à Reims. Une façon de renouer avec la Saint-Jean du temps jadis ?

MERCREDI c’était la Saint-Jean-Baptiste. Coïncidence ? Cette nuit-là (entre mercredi et jeudi), les pompiers n’ont pas chômé ; les feux se sont succédé. Certains ont-ils voulu renouer à leur façon avec les fameux feux de la Saint-Jean du temps jadis ? À moins que ce ne fût pour fêter la fin des épreuves du bac ?

Deux heures et demie après environ, c’est le quartier Croix-Rouge, et plus précisément l’allée des Landais, qui les voyait débarquer, pour un feu de poubelle dans un local vide-ordures.

Vers 23 h 30, nouveau feu de poubelle, cette fois place de Marseille (guère éloignée du collège François-Legros, dans le quartier de l’hippodrome), suivi d’un autre un peu après minuit et demie dans la rue Auguste-Walbaum (secteur Trois-Fontaines).

Un quatrième et dernier feu de poubelle est survenu vers quatre heures et demie dans l’avenue du Général-Bonaparte (Croix-Rouge).

Toujours est-il que les pompiers ont donc eu une nuit chargée. D’autant qu’ils n’en avaient pas fini : vers cinq heures du matin, au lieu d’un repos bien mérité, c’est un nouveau coup de fil qui allait survenir, encore pour un feu : du tissu brûlant sur un palier d’immeuble au n° 1 de l’avenue Bonaparte. Fort heureusement, ce n’était pas bien méchant cette fois : un simple seau d’eau fut suffisant pour venir à bout des flammes.

Si l’on fait le bilan, tout ça fait quand même une Saint-Jean assez riche en feux. Espérons qu’on n’assiste pas là à l’émergence d’une nouvelle coutume…

Antoine PARDESSUS

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Journal « l’Union » - 090625g

Vos héros pour 1 euro

 

Chaque année, les bibliothèques retirent des documents de leurs rayonnages, pour faire de la place aux nouveautés et parce qu’ils sont moins demandés par le public.

Ils ne sont pas déposés à la bibliothèque Carnegie pour y être conservés parce qu’il existe déjà d’autres exemplaires dans ses collections. Ce sont des documents en bon état (ceux qui ne le sont pas sont détruits).

Dimanche 28 juin, de 10 à 18 heures, la médiathèque Croix-Rouge va organiser une vente de ces documents dits « désherbés », à des tarifs incroyables : pastille blanche, 1 euro ; pastille verte, 2 euros.

Rendez-vous sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge — 19, rue Jean-Louis-Debar, pour cette opération exceptionnelle !

Entrée libre et gratuite.

 

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L’hebdo du vendredi- n° 129 - 090625f

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 129 - Semaine du 26 juin au 02 juillet 2009

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Un planétarium dans les quartiers

Du 6 juillet au 23 août, une drôle de coupole astronomique pouvant accueillir une vingtaine de personnes, sillonnera les Maisons de Quartier de Reims.

Baptisée « un planétarium dans les quartiers », l’opération doit permettre au Planétarium de Reims d’aller à la rencontre de nouveaux publics, enfants (7-12 ans) ou adultes, en suscitant leur éveil et leur curiosité, dans le cadre de l’année2009, année mondiale de l’astronomie.

Juillet : Le Flambeau (du 6 au 8), Clairmarais (du 9 au 10), Epinettes (du 13 au17 sauf 14) Châtillons (du 20 au 24), Dr Billard (du 27 au 31).

Août : Dr Billard (du 3 au 7), Clairmarais (du 10 au 14), Le Flambeau (du 17 au21).

Renseignements : Planétarium municipal de Reims, 1, place Museux. Tél. : 0326 35 34 70 ou planetarium@mairie-reims.fr


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BRADERIE LITTÉRAIRE : Grande braderie à la médiathèque Croix-Rouge !

Près de 10 000 documents seront progressivement mis en vente au fil de la journée.
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Dimanche 28 juin, de 10h à 18h, la bibliothèque municipale de Reims met en vente près de 10 000 documents, livres, disques et magazines. À 1 ou 2 euros pièce, il n’y en aura pas pour tout le monde ! Après celle de Brest, Mulhouse ou Angers, c’est au tour de la bibliothèque municipale de Reims d’organiser pour la première fois une grande vente de documents.

Provenant de tous ses établissements rémois, ce sont près de 10 000 ouvrages, magazines et disques qui seront proposés au public sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.

En effet, dans le souci d’offrir aux usagers des collections actualisées, les bibliothécaires du réseau acquièrent chaque année près de 30 000 nouveaux documents tout en procédant à du « désherbage »… C’est-à-dire, retirer des collections des ouvrages défraîchis, des exemplaires en surnombre ou ne correspondant plus aux attentes du public et ne justifiant plus une conservation à la bibliothèque Carnegie. Ainsi, cette opération évite la saturation des espaces de stockage comme ceux de présentation. Il faut savoir que près d’un demi-million de documents est actuellement disponible sur l’ensemble du réseau.

Cette braderie va donc réserver un sort plus heureux à ces documents qui, jusqu’alors, n’avaient d’autre avenir que la destruction.

« Avec cette opération, nous souhaitons d’une part ne pas jeter des livres qui pourraient faire des heureux et d’autre part montrer que nos stocks vivent » explique Delphine Quéreux- Sbaï, directrice de la bibliothèque municipale. Le public pourra donc chiner des documents pour tous les âges et pour tous les goûts, à l’image de ce qui est proposé dans le réseau.

Chacun pourra ainsi s’offrir pour seulement 1 ou 2 euros, (dans la limite de 10 documents par personne), romans, bandes dessinées, magazines, livres pour enfants ou disques.

L’argent récolté n’est pas l’objectif premier, puisque près de 2 000 documents ont par exemple été offerts aux associations Culture et bibliothèque pour tous et Adiflor, les éventuels bénéfices récoltés dimanche serviront quoi qu’il en soit à enrichir la bibliothèque municipale de Reims de nouveaux documents. La boucle serait alors bouclée.

J.D


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La métallurgie montre ses métiers

À l’initiative de l’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie de la Marne et du Centre de Formation des Apprentis de l’Industrie de la Marne, la Médiathèque Croix-Rouge de Reims a accueilli la semaine dernière une exposition spéciale intitulée « Métiers de l’Industrie et ses formations ».

L’objectif visé était de rendre plus concret les métiers de la chaudronnerie, des systèmes automatisés, de la productique, de l’électrotechnique et de la maintenance industrielle à travers une présentation d’outils, de pièces fabriquées par les industriels marnais et par la présence de jeunes apprentis.

Une cinquantaine de visiteurs est ainsi venue découvrir avec parfois étonnement la haute technologie de ces secteurs d’activités et a également trouvé les informations sur une future orientation professionnelle ou sur une formation en alternance à intégrer dès la prochaine rentrée scolaire.


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MERCREDI 1ER JUILLET : Jazz : « Idiomatik »

Les artistes du groupe présenteront leurs instruments et feront vivre ceux-ci en jouant des extraits de leur répertoire. Ils expliqueront également leur travail, mélange entre interprétation et interaction.

A 19h30 – Entrée libre – Médiathèque Croix-Rouge

(en extérieur), 2, rue Jean-Louis Debar
(en cas de pluie rdv au Centre des Congrès)


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Débat sur le campus Croix-Rouge

L’Institut Rémois de Gestion (IRG) organise ce vendredi 26 juin dès 8h30 sur le Campus Croix-Rouge, une journée d’étude sur le thème des « pratiques managériales et ses nouveaux défis » regroupant des professionnels de tous horizons et la région Champagne-Ardenne, des étudiants de Masters et Licence du campus Croix-Rouge et les enseignants et enseignants-chercheurs.

Au travers de six ateliers, les étudiants présentent leurs travaux réalisés au cours de leur année universitaire sous un angle pratique.

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Journal « l’Union » - 090625e

Croix-du-Sud : Jardins familiaux : 10 de perdus, 31 de gagnés

Des parcelles bien équipées, dans un environnement de qualité : élus et membres de l’association unanimes pour vanter la travail réalisé.
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La cérémonie de remise des clés de 31 nouvelles parcelles à l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a mobilisé, samedi 20 juin, plus de 120 personnes, jardiniers de tout Reims et agglomération, élus et associatifs. Le passage de la ligne de tramway a provoqué la disparition de 10 parcelles. « Pour dix perdues, vous en récupérez 31, vous avez fait une bonne affaire ! » s’exclamait Adeline Hazan, maire de Reims. Ces nouvelles parcelles, d’une surface de 190 à 210 m2, sont implantées sur le territoire de la commune de Bezannes, en prolongement des jardins actuels et rejoignent les jardins de l’autre association de Croix-Rouge, celle des Pays-de-France.

Une très forte demande

Il n’est d’ailleurs pas exclu que des parcelles supplémentaires soient créées ultérieurement, en faveur, cette fois-ci, des jardins de Pays-de-France.

Le propriétaire de ces nouveaux jardins n’est plus l’Effort rémois mais Reims Métropole qui compte les mettre à disposition de l’ensemble des habitants de l’agglomération car la demande est très forte.

Reims Métropole a réalisé un très bel aménagement avec grillage de 2 mètres de haut, clôtures séparatives de 1 mètre avec portillons, bordures, voirie, cabanons flambant neufs, robinets avec compteur d’eau, bacs à compost et haie bocagère d’arbustes, pour un montant de 209.000 euros. Les officiels ont visité les lieux et ont été saisis par le dynamisme des nouveaux jardiniers : proposées le 29 avril, toutes les parcelles étaient attribuées dès le 3 mai et certaines sont déjà bien cultivées et productives !

Trois rocades

Les deux parcelles « pédagogiques » réservées aux jeunes de l’Étoile Croix-du-Sud et de Promotion de Pays-de-France sont maintenues. Les jardins de Croix-du-Sud sont maintenant composés de trois entités séparées par le tramway et la route vers Bezannes. La présidente Évelyne N’Kounkou, à la tête désormais de 92 parcelles, a désigné trois responsables pour maintenir l’unité associative. Trois rocades ont été baptisées : Camélias, Lilas et Hortensias, cette dernière entièrement conçue, dessinée et plantée par une jardinière, Patricia Lefèvre.

Le maire de Bezannes, Jean-Pierre Belfie, n’a pas manqué de vanter « le micro-climat de Bezannes ». Tout comme les valeurs collectives des jardins familiaux : « le lien social, la convivialité, la communication, l’échange et le partage ». Adeline Hazan a rappelé que « les jardins familiaux sont une institution purement rémoise » et elle a salué « le travail énorme déjà réalisé en deux mois par les nouveaux jardiniers ».

Manque d’élégance

La cérémonie de remise des clés de 31 nouvelles parcelles aux jardins familiaux de Croix-du-Sud a rassemblé 120 personnes. Parmi elles, très logiquement, l’ex adjoint aux jardins de la ville de Reims, Jean-Marie Beaupuy qui s’est personnellement battu plus de deux ans dans l’ancienne municipalité pour que les jardins supprimés par les travaux de voirie de la gare TGV de Bezannes et du tramway de Reims soient remplacés au mieux.

Or, dans l’intervention inaugurale de la maire de Reims, pas un regard, pas un mot pour rappeler les efforts de cet élu ! Cet « oubli » pour le moins inélégant a été remarqué par de nombreux jardiniers qui eux, n’ont pas la mémoire courte.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090625d

45 élèves accueillis à Reims :Joliot-Curie à l’heure allemande

Un groupe franco-allemand qui a créé des liens.
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Les élèves germanistes du collège Joliot-Curie, ont accueilli un groupe de 45 élèves et leurs professeurs venant du collège allemand Realschule.

À l’initiative des enseignants, des premiers contacts entre les élèves avaient déjà été noués depuis le début de 2009 avec un échange de messages électroniques.

« Ceci avait stimulé leur envie de maîtriser davantage la langue et de connaître véritablement leurs correspondants », précise Henrike Moench.

Aussi, l’arrivée des Allemands était-elle attendue avec impatience, et la rencontre fut un franc succès.

Merci les mails

Si la rencontre est due à une action concertée des professeurs, nombreux étaient les élèves qui ont cherché à se retrouver également de leur propre initiative. Avec beaucoup d’enthousiasme, ils ont été les guides de leurs nouveaux amis à la découverte de Reims.

« Après trois jours de partage dans la bonne humeur et d’enrichissement mutuel, tous ont vu repartir les élèves allemands avec regret, mais avec la satisfaction d’avoir obtenu de nombreuses adresses mails pour rester en contact et surtout la perspective d’ancrer cette aventure dans la continuité » commente le professeur d’allemand.

Situé en zone d’éducation prioritaire, le collège Joliot-Curie peut développer une réciprocité rendue possible dans la mesure où de très nombreuses familles allemandes se montrent disponibles pour l’accueil des élèves français.

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Journal « l’Union » - 090625c

Un petit plongeon : Les six piscines ouvertes cet été !

La régie des équipements municipaux sportifs de la Ville de Reims ouvre les six piscines rémoises cet été. Ainsi, le Nautilud, la piscine des Thiolettes, la piscine du Château d’eau, la piscine Talleyrand, la piscine Louvois et la piscine Orgeval ouvriront du 3 juillet au 30 août.

Cet été, les enfants, les familles et les groupes retrouveront avec plaisir la piscine du Château d’eau ouverte à nouveau au public en juillet et en août (en 2008 de très importants travaux de rénovation des vestiaires et des bassins avaient imposé la fermeture de l’établissement). Des animations seront mises en place sur le solarium.

Après le succès de l’été 2008, la piscine Orgeval sera à nouveau ouverte avec la mise en place également de nombreuses animations.

Les installations extérieures (solarium) du Nautilud et de la piscine des Thiolettes attireront quant à eux comme chaque année les accros du bronzage ! Les toboggans de ces établissements seront encore pris d’assaut par les plus jeunes !

La piscine Talleyrand et ses installations (sauna, hammam,…) permettront de proposer d’autres conditions de baignade. A noter, d’ailleurs que la piscine Talleyrand propose une nocturne le mercredi soir jusqu’à 21 heures !

Enfin, la piscine Louvois complétera l’offre au public et aux groupes.

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Journal « l’Union » - 090625b

Tennis club Géo-André : Les balles passent

Des jeunes heureux de leur palmarès.


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Les jeunes du tennis club Géo-André ont subi la nouvelle version des tests FFT, que l’on appelait autrefois les tests « des balles » de couleur.

Première balle : Léopold Berte, Baptiste Caillet, Armand Carlier, Adrien Fontaine, Lucas Muet, Hela Ouali, Martin Prat, Simon Pruvost, Tiphaine Schmitt, Ambre Tronchon, Charlotte Tronchon, Pierre Yves Vaunaize et Iloé Wallart.

Deuxième balle : Axelle Bieri, Andréa Caplat, Alexandre Kieffer, Mélinda Laventure, Ambroise Minot, Théo Richard, Juliette Tronchon et Laura Tronchon.

Troisième balle : Abdel Baghdadi, Malo Baudry, Christopher Drouot et Tristan Fleury.

Dans le même temps, les qualifications pour le Trophée BNP Paribas qui se déroulera au CREPS le dimanche 28 juin, ont désigné Marine Messenat, Abdel Baghdadi, Mathis Marc et Théo Richard pour représenter le club.

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Journal « l’Union » - 090625a

Marcelle inondée de SMS cochons

Marcelle en a marre des spams téléphoniques.
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Marcelle en a ras la carte Sim. Le téléphone portable de cette retraitée de Croix-Rouge est pollué par des SMS à caractère pornographique.

« SEXE en direct avec Coralie et ses copines au 0.899.19….. Elles sont super douées pour s’occuper de ta queue. Elles vont te faire jouir. »

En recevant ces SMS invitant à la débauche, Marcelle, une retraitée rémoise de 61 ans, en a laissé tomber son téléphone portable par terre. Non qu’elle soit particulièrement prude mais les termes carrément crus ont de quoi choquer des oreilles non habituées à pareil langage.

Bien sûr, elle ne met pas en cause l’efficacité de Coralie et de ses copines… Non, ce qui la gêne, c’est qu’elle n’a jamais demandé à recevoir pareille cochonnerie. Ni utilisé une quelconque messagerie coquine. Elle en a ras la carte Sim.

« Avec mes 800 € de retraite, j’ai autre chose à faire avec mon argent… A mon âge, il n’y a plus grand-chose qui me choque mais là, ça commence à bien faire. » Car ce n’est pas le premier SMS classé X qu’elle reçoit, depuis quelques mois les sollicitations graveleuses sont récurrentes sur le téléphone portable de cette habitante du quartier Croix-Rouge. Marcelle est victime de spams téléphoniques.

« J’ai répondu stop »

« J’ai pourtant répondu : stop, comme m’a indiqué mon opérateur téléphonique mais ça ne change rien, j’en reçois toujours. » Et elle n’est pas la seule… des petits malins ont fait profession de ces arnaques téléphoniques et feraient n’importe quoi pour qu’un malheureux qui n’a rien demandé compose leurs numéros surtaxés. Les messages les plus répandus invitent le destinataire à rappeler ou à renvoyer un SMS vers un numéro qui revient au minimum à 0,34 €/min pour un 0.892 et qui peut atteindre 1,35 € l’appel sur un 0.899. Les services de Coralie sont facturés au taux maximum.

L’Afom, l’association des opérateurs mobiles, a identifié trois grandes familles de SMS indésirables : les messages de type : « Salut, c’est moi… rappelle-moi au 089… » ou « Ça ne m’amuse pas de t’envoyer des SMS… », suivent les loteries, les jeux, la voyance et, à la marge, des annonces destinées à un public adulte. Justement ceux qui polluent le portable de Marcelle.

Un autre moyen d’inciter les utilisateurs à rappeler consiste à émettre un appel puis à raccrocher à la première sonnerie. Le numéro s’inscrit alors parmi les appels manqués, et la victime sera tentée de rappeler par courtoisie ou par curiosité. Une erreur à ne pas commettre.

« A la fin, cette histoire me fait rire mais ce n’est pas rigolo. J’ai des neveux et nièces, je ne veux pas qu’ils tombent sur des cochonneries pareilles. »

Alexandre ROGER

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Un seul numéro à composer : le 33.700

Nous avons contacté Bouygues Telecom, l’opérateur téléphonique de Marcelle, qui nous renvoie vers l’association française des opérateurs mobiles (l’Afom). Les opérateurs télécoms, associés au gouvernement, ont lancé un dispositif d’alerte permettant aux consommateurs de signaler ces SMS abusifs : le 33.700. « C’est le plus sûr moyen pour cette dame de faire cesser les désagréments », explique Eric De Branche de l’Afom.

Comment ça marche ?

Première étape : la personne qui soupçonne une arnaque transfère le message par SMS au 33.700 (l’envoi d’un SMS au 33.700 s’effectue au prix d’un SMS normal non surtaxé, compris dans le forfait pour ceux qui ont un forfait avec SMS illimités).

Deuxième étape : la plateforme du 33.700 adresse à cette personne un accusé de réception pour la remercier de son alerte.

Troisième étape : sur la base des signalements recueillis et dès lors que l’abus est établi, les opérateurs prévenus par la plateforme du 33.700 en tirent le plus rapidement possible les conséquences au niveau de leurs relations contractuelles avec l’éditeur. Ils peuvent prendre des mesures allant jusqu’à la fermeture des numéros surtaxés. Les cas les plus graves sont transmis aux services de police compétents. « Fin avril, la plateforme avait déjà recueilli 320.000 signalements qui ont entraîné 230 coupures de numéros et plusieurs dizaines de mises en demeure d’éditeurs indélicats », prévient Eric De Branche. Ce dispositif mis en place en novembre dernier complète celui déjà en place au travers des fonctions STOP et CONTACT. Depuis 2003, en effet, l’utilisateur de mobile qui reçoit un SMS indésirable peut répondre à son expéditeur « STOP » par SMS pour lui signifier qu’il ne veut plus recevoir de message de sa part. Ce qui ne fonctionne que si l’éditeur du spam est réglo. Ce qui ne semble pas être le cas du « mac » de Coralie et de ses copines.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090624f

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7295 du 22 au 28 juin 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS

Document sans nom

MODIFICATION DE STATUTS

ABN TRANS
EXPRESS

Société à responsabilité limitée
au capital de 7.622 €uros
Siège social :
31 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS
N° R.C.S. 413 670 126 00015

AVIS DE MODIFICATION

Aux termes d'une assemblée générale extraordinaire en date du 29/05/2009, les associés ont décidé de transférer à compter du 29/05/2008, le siège social qui était au 31 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS, à l'adresse suivante : 16 impasse de la Blanchisserie - 51100 REIMS.

L'article 4 des statuts a été, en conséquence, mis à jour.

Le dépôt légal sera effectué au Registre du Commerce et des Sociétés de la Marne.


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POURSUITE D’ACTIVITE

http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xht…"> Document sans nom

POURSUITE D'ACTIVITE


SELARL J.-P. CHINCHILLA
CABINET DE DROIT
DES AFFAIRES
Société d'Avocats
à la Cour d'Appel de Reims
31 avenue Jean Jaurès
51100 REIMS
S.D.S.
Société par actions simplifiée
au capital de 37.000 €uros
Siège social :
Avenue Robert Schuman
51100 REIMS
450 799 333 R.C.S. Reims

Aux termes d'une délibération en date du 16 avril 2009, l'assemblée générale extraordinaire des associés, statuant en application de l'article L. 225-248 du code de commerce, a décidé qu'il n'y avait pas lieu à dissolution de la société.

Pour avis : Le président.

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AVIS D’APPEL A LA CONCURRENCE

http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xht…"> Document sans nom

1. Maître d'ouvrage : SA d'HLM Le Foyer Remois, 8 rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims Cedex.

2. Mode de passation du marché : Dialogue compétitif selon la procédure prévue dans le décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

3. Forme juridique du candidat : Entreprise générale ou groupement d'entreprises.

4. Objet du marché : Rénovation urbaine du quartier Pays-de-France, ilôt B à Reims avec une exigence performantielle basée sur :

— les performances énergétiques ambitieuses,

— l'accompagnement social de nos clients durant les travaux.

5. Durée et prise d'effet du marché : Le marché prendra effet à la date de notification du marché, avec un ordre de service au 1er mars 2010 au plus tôt.

L'ensemble des prestations se terminera fin 2013 au plus tard.

6. Nature des prestations : Le marché a pour objet la prise en charge d'une opération de renouvellement urbain soit la réalisation de travaux de :

— Réhabilitation de 230 logements,

— Démolition de 108 logements et 1 parking souterrain,

— Construction de commerces et restructuration d'un parking souterrain,

— Résidentialisation des espaces extérieurs, réfection des voiries et création de parkings aériens.

7. Dossier de consultation et renseignements : Le dossier de consultation des entreprises (phase candidature) est disponible, à titre gratuit, auprès du maître d'ouvrage.

Ce dossier comprend :

— un règlement de consultation,

— un descriptif sommaire de l'opération avec les objectifs performantiels exigés.

Pour retirer le dossier ou pour tout renseignement administratif, les demandes devront être effectuées auprès de : Melle LHERMENIER, Assistante Juridique Marchés, Tél. : 03 26 84 36 26, Fax : 03 26 84 36 19.

Pour tout renseignement technique, s'adresser à : M. COURTOIS, Adjoint au Directeur de la Maintenance, Tél. : 03 26 84 36 02, Fax : 03 26 84 36 09.

8. Date limite de remise des offres : Le mardi 21 juillet 2009 à 12 heures.

Adresse où les candidatures doivent être transmises, sous enveloppe : Le Foyer Remois, Direction de la Maintenance, Cellule Marchés, 8 rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims Cedex.

9. Renseignements et justifications concernant les capacités juridiques, techniques, économiques et financières des candidats :

— La déclaration à souscrire par les sociétés.

— Les documents ou attestations figurant à l'article D8222-5 du Code du travail.

— Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l'assiette et du recouvrement des impôts et des cotisations de sécurité sociale, d'allocations familiales, de congés payés établie postérieurement au 31 décembre de l'année précédent la consultation, ou DC7.

— Une liste des références et des renseignements sur les moyens humains, techniques de l'entreprise et sur les pouvoirs de la personne habilitée à l'engager, ou DC5.

— L'attestation d'assurance.

— Copie des qualifications professionnelles ou autres preuves équivalentes.

10. Analyse des candidatures : La sélection des candidats admis à participer au dialogue se fera selon les critères suivants :


• Capacité technique :

— Moyens des candidats organisationnels (humains, techniques et matériels)

— Références pour des opérations similaires, de même nature.


• Capacité professionnelle :

— Qualifications

— Certifications


• Capacité financière.

Le nombre de candidats admis à participer au dialogue et à remettre une offre sera limité à 4.

11. Date d'envoi du présent avis : Le 18/06/2009.


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AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xht…"> Document sans nom

1. Maître d'ouvrage : SA d'HLM Le Foyer Remois, 8 rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims Cedex.

2. Mode de passation du marché : Dialogue compétitif selon la procédure prévue dans le décret n°  2005-1742 du 30 décembre 2005.

3. Forme juridique du candidat : Entreprise générale ou groupement d'entreprises.

4. Objet du marché : Rénovation urbaine du quartier Pays-de-France, ilôt A à Reims avec une exigence performantielle basée sur :

— les performances énergétiques ambitieuses,

— l'accompagnement social de nos clients durant les travaux.

5. Durée et prise d'effet du marché : Le marché prendra effet à la date de notification du marché, avec un ordre de service au 1er mars 2010 au plus tôt.

L'ensemble des prestations se terminera fin 2013 au plus tard.

6. Nature des prestations : Le marché a pour objet la prise en charge d'une opération de renouvellement urbain soit la réalisation de travaux de :

— Réhabilitation de 300 logements,

— Démolition de 50 logements et 3 parkings souterrains,

— Reconstruction d'1 parking souterrain et de commerces,

— Résidentialisation des espaces extérieurs, réfection des voiries et création de parkings aériens.

7. Dossier de consultation et renseignements : Le dossier de consultation des entreprises (phase candidature) est disponible, à titre gratuit, auprès du maître d'ouvrage.

Ce dossier comprend :

— un règlement de consultation,

— un descriptif sommaire de l'opération avec les objectifs performantiels exigés.

Pour retirer le dossier ou pour tout renseignement administratif, les demandes devront être effectuées auprès de : Melle LHERMENIER, Assistante Juridique Marchés, Tél. : 03 26 84 36 26, Fax : 03 26 84 36 19.

Pour tout renseignement technique, s'adresser à : M. COURTOIS, Adjoint au Directeur de la Maintenance, Tél. : 03 26 84 36 02, Fax : 03 26 84 36 09.

8. Date limite de remise des offres : Le mardi 21 juillet 2009 à 12 heures.

Adresse où les candidatures doivent être transmises, sous enveloppe : Le Foyer Remois, Direction de la Maintenance, Cellule Marchés, 8 rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims Cedex.

9. Renseignements et justifications concernant les capacités juridiques, techniques, économiques et financières des candidats :

— La déclaration à souscrire par les sociétés.

— Les documents ou attestations figurant à l'article D8222-5 du Code du travail.

— Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l'assiette et du recouvrement des impôts et des cotisations de sécurité sociale, d'allocations familiales, de congés payés établie postérieurement au 31 décembre de l'année précédent la consultation, ou DC7.

— Une liste des références et des renseignements sur les moyens humains, techniques de l'entreprise et sur les pouvoirs de la personne habilitée à l'engager, ou DC5.

— L'attestation d'assurance.

— Copie des qualifications professionnelles ou autres preuves équivalentes.

10. Analyse des candidatures : La sélection des candidats admis à participer au dialogue se fera selon les critères suivants :


• Capacité technique :

— Moyens des candidats organisationnels (humains, techniques et matériels)

— Références pour des opérations similaires, de même nature.


• Capacité professionnelle :

— Qualifications

— Certifications


• Capacité financière.

Le nombre de candidats admis à participer au dialogue et à remettre une offre sera limité à 4.

11. Date d'envoi du présent avis : Le 18/06/2009.

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Journal « l’Union » - 090624e

Pays-de-France : Ce qui attend les habitants

Quatre-vingts personnes très concernées par le devenir de leur quartier.
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Afin d’informer les habitants de Pays-de-France sur l’état d’avancement des travaux de rénovation urbaine sur le quartier, Éric Quénard a organisé une réunion, salle Mauriac, en compagnie de Christophe Villers, directeur général du Foyer rémois. Au programme, le point sur la démolition de la passerelle (méthode, calendrier, circulation) et sur les aménagements publics autour du nouveau centre commercial.

Alors qu’il n’y avait que douze personnes présentes au conseil de quartier quelques jours auparavant, il y en avait quatre-vingts à ce rendez-vous, preuve que le sujet intéressait fortement.

Les travaux sont énormes. « Plus de 150 M€ sont consacrés, tous financeurs confondus sur le quartier Croix-Rouge, dans une conjonction de travaux tramway et renouvellement urbain. »

La démolition de la passerelle

Ce sera une démolition en deux temps. D’abord la Ville de Reims détruira tout ce qui se trouve au-dessus de l’avenue Bonaparte, puis le Foyer rémois démolira les piles de soutien de part et d’autre. Une voie nouvelle sera ensuite créée pour désenclaver les îlots. Les dates : 20 juillet, début des travaux avec une seule voie de circulation. Du 3 au 7 août, abattage de la passerelle. Deux entreprises la « grignoteront » ensemble pour plus de rapidité. Plus de circulation et bus déviés pendant ces quelques jours. Fin août, réception du chantier.

Centre commercial

Éric Quénard et Christophe Villers ont ensuite présenté les aménagements du futur nouveau centre commercial qui se présentera comme un « linéaire » le long de l’avenue Bonaparte, dans la continuité de La Poste. Dans une première phase, la boulangerie, la boucherie, le tabac-presse, l’épicerie et le bazar descendront d’un étage et pourront commencer leurs propres aménagements internes en août.

Théoriquement, le nouveau centre commercial des Pays-de-France devrait être opérationnel et ouvrir au public fin septembre, début octobre. Dans l’immédiat, pas de relogement possible pour la supérette Diagonal pour des raisons de surface disponible.

Plus tard, le Foyer rémois envisage une deuxième tranche de trois cellules supplémentaires, avec des aménagements de voirie créant une place Pays-de-France publique, piétonne et paysagée, au cœur du quartier, proche de la station de tramway Arago. Une supérette pourrait alors éventuellement être envisagée.

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Échanges avec le public

Éric Quénard et Christophe Villers n’ont esquivé aucune question.
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Christophe Villers a annoncé la construction d’une nouvelle maison de quartier. Il a rassuré le directeur de l’espace Pays-de-France : « Le local de l’Aquarelle ne sera pas détruit avant 2011 ».

Sonia Royer, présidente d’association, s’est inquiétée : « Une place piétonne c’est bien beau, mais le stationnement des véhicules, déjà anarchique actuellement du côté de La Poste ne risque-t-il pas d’empirer ? » Christophe Villers a été clair : « Pays-de-France va passer, pour 2.000 logements, de 800 places aériennes gratuites actuellement à 1.600. La capacité de stationnement sera donc doublée ! »

L’association des commerçants de la Zone franche urbaine s’inquiète : « Assisterons-nous aux mêmes lenteurs et aux mêmes difficultés que celles rencontrées à Croix-du-Sud ? » Il y aura certes des problèmes, mais ils seront ponctuels. Ainsi, par exemple, « prévoir une phase critique pour les livraisons des commerces, impossible du 3 au 5 août : pas de pain en vue ! »

Enfin, le conseiller municipal, Salah Byar, a demandé : « Le Foyer rémois fera-t-il payer les locataires privés de garage pendant la durée des travaux ? » M. Villers : « Bien entendu, la location sera neutralisée ! »

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Journal « l’Union » - 090624d

Collège François-Legros : Une fin d’année active

Conduire un scooter, ça s’apprend !
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Au collège François-Legros, une soirée veillée « Écritures plurielles » a été organisée pour l’ensemble du Réseau de réussite scolaire, avec la participation de nombreuses associations partenaires et des établissements et écoles du réseau.

Les élèves de la classe de « 5e à projet » ont donné une représentation à Bezannes. Il s’agissait d’une pièce de Tony Amirati « Le Philosophe et l’Amuseur ».

Enfin, au cours de la journée « portes ouvertes », l’établissement a présenté les actions de l’année sous forme de spectacle vivant, de films, d’expositions et de démonstrations.

Au programme, pêle-mêle : mathémagie, théâtre en anglais, comédie musicale, film d’animation, découverte de la conduite d’un scooter, pâtisseries anglaises, expositions diverses… : une belle journée et une vraie réussite qui laisseront de bons souvenirs à Mme Régnier-Lelong, principale adjointe, avant son départ pour le lycée Gustave-Eiffel à la prochaine rentrée, et à M. Labiausse, principal, qui rejoindra le lycée Godart-Roger à Épernay.

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Journal « l’Union » - 090624c

Reims / Quartier Croix-Rouge : Le feu aux poubelles de l’immeuble : 4 mois de prison ferme

Pascal Divry ne se « souvient pas » de ce qu’il a fait le 25 avril dernier. Il se souvient juste qu’il a bu « entre 20 et 25 bières », une consommation qui semblait alors être une moyenne pour cet homme de 36 ans. Il a donc fallu que les policiers reconstituent sa journée grâce aux témoignages des habitants d’un immeuble du quartier Croix-Rouge. Car la fin de cette journée du 25 avril aurait pu virer au drame, si les occupants n’avaient pas été vigilants.

Ce soir-là, vers 21 heures, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour un feu dans le local vide-ordures de l’immeuble. En flammes à leur arrivée. Heureusement, un habitant avait vu Pascal Divry s’engouffrer dans la cave peu auparavant. Il a vite compris d’où venaient les fumées, un quart d’heure plus tard. Un autre habitant de l’immeuble a témoigné avoir vu Pascal Divry s’enfuir de l’immeuble. Enfin, la première femme du prévenu a reconnu que Pascal Divry est venu vers 19 heures à son domicile pour voir leurs enfants. Elle a refusé de le laisser entrer car il présentait les signes manifestes de l’ivresse.

Grâce à l’alerte rapide des voisins, le feu a été vite circonscrit par les sapeurs-pompiers. « J’me rappelle pas avoir mis le feu », a assuré hier, à la barre du tribunal, Pascal Divry, « j’me rappelle de rien. »

La substitut du procureur de la République a requis une peine de huit mois de prison ferme à l’encontre du prévenu « déjà condamné à douze reprises par la justice ». Elle s’étonne du fait qu’un « père de famille puisse mettre le feu au sous-sol de l’immeuble où vivent son ancienne femme et leurs enfants ».

Me Chauveaux, pour la défense, a mis en évidence « des discordances dans les témoignages » avant de se demander si son client « avait bien tout son discernement le jour des faits ». Le tribunal a condamné Pascal Divry à huit mois de prison dont quatre avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de travailler et de se soigner.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090624b

Donner la parole aux parents et aux jeunes

L’association Afrique conseil, animée par des psychologues formés à l’aspect interculturel, organise, dans le quartier Croix-Rouge, des groupes de parole ouverts aux parents et aux jeunes.

« Ces rencontres ont pour objet de soutenir les parents dans leur mission éducative, leur donner des repères sur les étapes du développement psychologique de leurs enfants, leur donner la parole afin qu’ils évoquent leurs difficultés, leurs réussites éducatives, aider les adolescents à se réconcilier avec eux-mêmes ou avec leurs parents », précise Rose Sita, l’une des animatrices.

La prochaine réunion se déroulera à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, rue du Docteur-Billard) le mardi 30 juin, de 18 à 20 heures.

Renseignements au 06.61.50.03.30. (Entrée libre).

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Journal « l’Union » - 090624a

Poubelles en feu

Dans la nuit de lundi à mardi à 3 h 45, ils ont été appelés pour un incendie dans un local à poubelles situé au 6, esplanade Paul-Cézanne.

Ils en sont venus à bout après quelques minutes

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Journal « l’Union » - 090623d

Challenge des maisons de quartier : Le futsal : un formidable outil de socialisation

Un jeu fluide et technique apprécié des jeunes.
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Favorisant la rencontre entre les jeunes de toute la ville, le challenge de futsal des maisons de quartier prend de plus en plus d’ampleur.

UNE centaine de jeunes Rémois se sont rencontrés récemment à René-Tys pour les phases finales du Challenge de futsal des maisons de quartier. Les dernières rencontres se sont déroulées sur le terrain d’honneur, mis à disposition par la Ville de Reims, représentée par Pascale Martin : « C’est une belle opération en direction des jeunes des quartiers. Ils sont ici chez eux, aujourd’hui », a souligné l’adjointe aux maisons de quartier. « Le partenariat entre les maisons de quartier et la Ville est de plus en plus important sur une opération qui prend beaucoup d’ampleur », se félicitait Jean-Noël Censier, coordonnateur du challenge. Benoît Guinet, directeur de l’association des maisons de quartier a rappelé les objectifs de ce projet transversal : « favoriser la mobilité des jeunes, les faire sortir de leurs lieux de vie habituels pour partager des moments sportifs dans d’autres quartiers ».

Un jeu apprécié

« Le futsal est plus fluide, plus technique, c’est du sport spectacle », expliquait Djelloul Benslimane, éducateur sportif de la Ville qui encadre les joueurs.

« Le principal, c’est que les enfants s’amusent. Des relations de complicité se créent », ajoutait son collègue, Régis Valet. Le sourire, Karim Nassour, joueur de l’équipe gagnante, l’avait : « C’était un match serré. Malgré la fatigue, la chaleur, on ne s’est pas laissé dépasser ! »

Les vainqueurs sont les suivants :

- moins de 14 ans : Croix-Rouge I bat Châtillons I (2 à 0 par tirs aux buts) ;
- plus de 14 ans : Val-de-Murigny bat Croix-Rouge I (5 à 0). Agrandir la photo

Les équipes gagnantes et les partenaires du Challenge 2009.

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Journal « l’Union » - 090623c

La rumeur avait couru à Croix-Rouge : Le chien n’a pas été défenestré

Patricia, la maîtresse de Béa : « Quand l’accident s’est produit, la chienne était seule dans l’appartement ».
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Un berger allemand jeté du haut d’un immeuble ? Un chien est bien mort, mais pas comme on l’a colporté du côté de l’allée des Picards.

QU’EST-IL donc arrivé au pauvre chien que la clinique vétérinaire de la Haubette à Tinqueux a vu arriver chez elle samedi après-midi, alors qu’il était déjà mort ?

A travers les barreaux d’un balcon

Pendant un moment semble-t-il, une rumeur a couru à ce sujet dans le quartier Croix-Rouge, et plus précisément du côté de l’allée des Picards. Ce chien, un berger allemand, aurait été méchamment jeté par son maître par la fenêtre de son appartement, située au dernier étage d’un immeuble !

Des enfants auraient vu la scène ! Qui plus est, la pauvre bête présentait les signes d’une pitoyable maltraitance et de sous-alimentation.

Bigre ! Voilà qui aurait effectivement eu de quoi mettre en émoi la population.

Mais finalement, la réalité se révèle moins cruelle : le chien est bien mort, cela est exact, mais pour commencer, même s’il présente un pelage noir et feu comme un berger allemand, ce n’en est pas un : il s’agit d’un croisement de fox-terrier. De plus, selon le vétérinaire qui l’a reçu, il ne présentait aucun signe de maltraitance ; enfin, il n’aurait nullement été défenestré.

« Quand ils sont repassés samedi soir, raconte le même vétérinaire, les agents de police m’ont dit que finalement, personne n’avait rien vu ! Je pense que vu son gabarit, ce chien a tout simplement pu passer à travers les barreaux d’un balcon… » Ou sauter au-dessus d’une rambarde.

Et si personne n’a vu quelqu’un balancer le malheureux chien du haut de son balcon, c’est tout simplement parce qu’au moment de l’accident, « ma chienne était seule dans l’appartement, affirme sa maîtresse Patricia, catastrophée du décès de sa Béa, et de la rumeur qui a couru ensuite ; nous nous étions absentés tout l’après-midi. Dire que je l’avais adoptée il y a deux mois et demi seulement, parce que son ancien maître la battait ! »

On ne dira jamais assez qu’il faut se méfier des rumeurs…

A.P.

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Journal « l’Union » - 090623b

Du 6 juillet au 23 août : Un planétarium dans les quartiers

Grâce à un dôme gonflable de cinq mètres et à un projecteur complexe, le Planétarium pourra « se déplacer » cet été de maison de quartier en maison de quartier.
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Aller à la rencontre du public dans les quartiers : c’est l’objectif du Planétarium modèle réduit qui va sillonner la ville cet été. Une première.

DU 6 juillet au 23 août, une drôle de coupole astronomique sillonnera les maisons de quartier de Reims. Baptisée « Un planétarium dans les quartiers », l’opération menée par la ville avec de nombreux partenaires doit permettre au Planétarium d’aller à la rencontre de nouveaux publics, enfants (7-12 ans) ou adultes, en suscitant leur éveil et leur curiosité, dans le cadre de l’année 2009, année mondiale de l’astronomie.

C’est grâce à un dôme gonflable de cinq mètres et à un projecteur complexe, que le Planétarium pourra « se déplacer » cet été de maison de quartier en maison de quartier (choisies selon leurs caractéristiques techniques).

Expos, ateliers, conférences…

Il devrait ainsi permettre à près de 1.000 personnes de découvrir durant l’été les mouvements réels ou apparents des astres, ou d’observer la voûte céleste et du ciel étoilé selon n’importe quel lieu, hémisphère ou moment du jour, lors de séances d’une demi-heure à une heure avec des médiateurs scientifiques.

Le tout destiné à des groupes constitués par chaque maison de quartier, de 20 adultes ou 30 enfants.

D’autres modules d’activités ont aussi été prévus selon les lieux d’accueil : une exposition réalisée par l’équipe du planétarium : « Système solaire » ainsi qu’une autre exposition, intitulée « Ciel, miroir des cultures », des ateliers d’astronomie (reconstitution de cartes du ciel mobiles, sondage du sol martien, jeux de plateau), et, ouvertes à tous les publics (pas simplement les groupes des maisons de quartier), des conférences de clôture dans chaque quartier, suivies de séances d’observation du ciel aux instruments, en fonction des conditions météorologiques.

2009, année de l’astronomie

Les Nations Unies et l’Unesco ont déclaré l’année 2009 année mondiale de l’astronomie, suivant la proposition de l’Union Astronomique Internationale. qui coordonne les manifestations correspondantes. Philippe Simonnet, directeur du Planétarium, assure la coordination pour la Champagne-Ardenne et Agnès Acker, astrophysicienne, celle de la région Grand Nord-Est. C’est donc dans ce cadre qu’a été organisée l’opération et qu’elle pourrait être prolongée à la rentrée dans les collèges et écoles de la Marne, voire être développée en milieu rural.

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Journal « l’Union » - 090623a

Constitution

51L1666185

Dénomination : BJEP. Forme : S.A.R.L. Capital : 12.000 euros.

Siège : 26, rue de Rilly-la-Montagne. 51100 Reims.

Objet : design et conseil en entreprise.

Durée : 99 ans.

Gérant : E. NOWAK. 26. rue de Rilly-la-Montagne. 51100 Reims.

R.C.S. Reims.

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Journal « l’Union » - 090622e

Subventions sportives : Les orientations municipales

Christine Michel (au centre) a élargi sa réponse à l’ensemble du sport à Reims.
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L’adjointe aux sports est claire sur la façon dont la Ville va distribuer les subventions sportives. Mais tout cela n’éclaire pas les clubs sur les sommes qu’ils auront demain.

AU cours de l’assemblée générale du Reims Acrap patinage, la présidente, Jeannine Catry, a posé une question : « Nous venons d’apprendre que le montant de notre subvention de fonctionnement Ville de Reims sera encore renouvelé cette année (28.000 euros depuis 2003…). Une nouvelle méthode de calcul était prévue, qu’en est-il ? »

L’adjointe au sport, Christine Michel, a fait une réponse complète, valable pour l’ensemble des clubs sportifs de la ville.

« Nous avons décidé de lancer les États généraux du sport en janvier après un audit indépendant. Nous avons maintenant une image précise du sport à Reims : clubs, activités, équipements, licenciés,… »

Lisibilité et équité

Pas question de reconduire systématiquement la méthode actuelle, l’ancien dispositif d’attribution n’étant pas « lisible » : « Pour le calcul des subventions, nous allons remettre tout à plat et décider en fonction de l’attente des différents clubs et de leurs propositions à la Ville. » La Ville attribue actuellement 4 millions d’euros aux clubs sportifs : cette somme restera constante. « Toutefois, nous avons découvert une trentaine de contrats d’objectifs dont les contenus sont identiques alors que les sports pratiqués sont différents ! Il faudra les revoir individuellement. »

Trois logiques

Pour Christine Michel, il manquait aussi de l’équité : « Quand on examine le nombre de licenciés, on constate des traitements différents et des subventions « surprenantes » ! » La ville établira des critères, les mêmes pour toutes les associations, avec trois logiques :

Première logique : les licenciés. « La qualité, le nombre, les jeunes, les adultes. Selon les disciplines, les coûts ne sont pas les mêmes. Le niveau d’évolution du club sera estimé sur la réalité d’une année financière. Le montant des locations de gymnases, salles, terrains, sera pris en compte, il n’est pas le même d’un club à l’autre. »

Deuxième logique : les performances. « Nous tiendrons compte bien entendu de la présence d’équipes fanion, de haut niveau et de leurs pratiques. La même attention sera apportée aux sportifs de haut niveau. »

Troisième logique : les projets. « Il appartiendra aux clubs de définir leurs projets. S’ils rejoignent ceux de la Ville, notamment dans les domaines extra ou péri scolaires, ce sera pris en compte. Toutes les catégories de population doivent pouvoir accéder au sport ! »

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Journal « l’Union » - 090622d

Travaux du tram à Croix-Rouge / Plan de circulation : le grand n’importe quoi

On attend sans doute un accident pour améliorer les choses !
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Croix-Rouge est confronté à des problèmes liés aux travaux, mauvaise signalisation, passages pour piétons inexistants. Les habitants haussent le ton.

LE mécontentement des riverains lié aux désagréments des travaux du tram fait souvent écho dans nos colonnes. Un secteur a pour le moment gardé le silence, mais le ras-le-bol aura eu raison de celui-ci. Effectivement les habitants et les commerçants du quartier Croix-Rouge n’en peuvent plus, tant les problèmes liés aux travaux s’accumulent.

« C’est un bordel monstre ! Les gens qui décident prouvent une nouvelle fois qu’il y a deux poids, deux mesures. D’un côté, il y a les coins plus chics de Reims où tout est mis en œuvre pour que des solutions alternatives soient proposées aux riverains, et de l’autre, il y a Croix-Rouge où rien n’est fait correctement. Exemple sur l’avenue Bonaparte, aucun aménagement n’a été mis en place pour les piétons. Cette zone est dangereuse. Ça dérange qui ? De simples ouvriers, de simples immigrés. Ils n’en ont rien à faire, c’est tout ! » explique Salim un « Rmiste » comme il dit lui-même et non pas un « cadre de bonne famille ».

« Les gens pètent les plombs »

Il est vrai que ce grand quartier est totalement étouffé par les travaux, pour y entrer, y circuler et pour en sortir. Aux heures de pointe c’est l’horreur, la circulation de ce secteur est tout aussi dense que le centre rémois voire parfois plus. Pourtant, pas de passerelle pour les piétons comme sur la rue de Vesle, pas de petit passage pour accéder aux commerces, ni d’accès pour qu’ils puissent être livrés et pire encore, les bus, les voitures et les piétons doivent faire bon ménage sur des routes faisant à peine quelques mètres de largeur.

« À cause de ces travaux mais surtout à cause de la mauvaise signalisation, j’ai eu un accident de voiture. Un jour, un gamin va se faire écraser et comme souvent, c’est après un drame que les responsables se bougent. Il faut qu’ils fassent quelque chose rapidement car les gens pètent les plombs », explique ce jeune automobiliste.

« Lors de la mise en place du nouveau plan de circulation d’octobre 2008, qui avait carrément oublié les quartiers sud de la ville, il nous avait été dit qu’il n’était pas nécessaire de revoir le plan de circulation de cette partie de Reims », rapporte un lecteur dans un courrier adressé à l’union.

« Nous avons l’impression de ne pas être écoutés », explique le membre d’une association. « Les habitants paient leurs impôts, et malgré tous ces désagréments, il n’y aura aucun rabais. Honnêtement, j’invite Mars et la mairie de Reims à venir se rendre compte eux-mêmes de tous les problèmes que nous rencontrons », ajoute-t-il.

Travaux du Tram, rénovations urbaines, les habitants de Croix-Rouge vont devoir se faire à l’idée de vivre au milieu des travaux car il y en a encore pour une paire d’années. Alors, la moindre des choses, ce serait qu’élus et autres responsables tendent un peu plus l’oreille, histoire de faciliter, pour certains, un quotidien déjà très difficile.

Thierry ACCAO FARIAS

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Journal « l’Union » - 090622c

BÉTHENY : Croix-Rouge se donne en spectacle

Un spectacle d’un dynamisme saisissant.
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« Éclats de quartier », le spectacle créé par José Mendès avec Franck Settier, pour le Festival Croix-Rouge s’affiche, sera joué à Bétheny demain, mardi 23 juin à la Comète.

C’est une présentation d’expression corporelle de haute volée en hip-hop, break, mais aussi reggae, charleston, danse rock acrobatique, jazz, danse du ventre, sur une trame slamée.

Le programme :
- initiation hip-hop à partir de 16 heures,
- échange d’expériences avec les ateliers danse de Bétheny,
- puis spectacle à 19 h 30,
- clôturé par un repas oriental.

 

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Journal « l’Union » - 090622b

Sur fond d’alcool : Ils volent la voiture de leur hôte

La soirée a été animée pour ce Rémois qui s’est arrêté prendre quelques verres dans un bar du quartier de l’avenue de Laon. C’était le 3 février 2007. Il y rencontre trois jeunes Rémois et ensemble ils consomment quelques verres. Puis le Rémois invite les trois jeunes à venir poursuivre la soirée à son domicile. Une bouteille de whisky plus tard, les esprits s’échauffent. Un des jeunes s’empare du portefeuille de leur hôte, puis le rend sur la sommation d’un autre. Deux jeunes demandent alors à leur hôte de les ramener à leurs domiciles respectifs, à Croix-Rouge et Orgeval. Le plus âgé des jeunes gens suit la Peugeot 206 avec sa Mercedes. Mais peu après le départ, à l’approche d’une pharmacie, les deux jeunes demandent à leur hôte de s’arrêter et le propriétaire de la voiture est roué de coups et abandonné là sans autre forme de procès. « J’étais là » a reconnu à la barre du tribunal correctionnel Yassine Bouras (21 ans), « mais j’étais à l’arrière. J’étais bourré, je commençais à vomir… Je ne me souviens pas de ce qui s’est passé ». Pour lui, c’est « le conducteur qui est descendu ».

La substitut du procureur de la République, Marie Truchet, a rappelé que le prévenu était en récidive légale au moment des faits. Elle a requis 6 mois de prison ferme, peine à laquelle l’autre jeune qui a participé au vol de la 206 a déjà été condamné. Me Nicolas, pour la défense, a estimé que la soirée avait été « une beuverie entre amis. C’est la victime qui avait invité les trois jeunes chez elle et il y a eu de l’alcool à outrance ! ». Le tribunal a condamné Yassine Bouras à six mois de prison ferme.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090622a

Son ADN retrouvé sur les lieux : Le cambrioleur- avoue qu’il était venu « faire-l’amour »

Nordine Nassour (24 ans) a déjà cinq condamnations à son casier judiciaire. C’est à l’occasion d’un prélèvement d’ADN que la police est remontée jusqu’à lui pour deux affaires anciennes.

La première remonte à la nuit du 16 au 17 décembre 20.5. Nuit au cours de laquelle le local de l’association de promotion « Pays-de-France » est cambriolé. Divers objets et de la nourriture sont emportés. Le local est mis à sac. Sur place, la police effectue différents prélèvements, qu’elle garde bien précieusement. À l’occasion d’un rapprochement, les Policiers ont découvert récemment qu’un prélèvement l’ADN correspondait à celui de Nordine Nassour.

À la barre du tribunal correctionnel de Reims,. le Jeune homme a nié avoir participé cambriolage. « Je ne sais pas comment vous dire ça… En fait, on est rentrés dans le local… pour faire l’amour. » Nordine Nassour reconnaît avoir vu le désordre dans l’appartement « qui était déjà ouvert ». Il précise : « on n’est pas restés très longtemps. Une heure environ ». Laissant éclater tout le romantisme dont il semble capable, il ajoute « on a fait ce qu’on avait à faire. Puis j’ai fumé deux cigarettes et on est partis. C’était l’histoire d’une soirée ». Le jeune homme ne se souvient d’ailleurs pas du prénom de la jeune fille rencontrée le jour même. « Peut-être Zined, enfin c’est ce qu’elle dit ». L’ADN de Nordine Nassour a été retrouvé sur le mégot de cigarette.

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P.B.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090621a

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7294 du 15 au 21 juin 2009.

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CONSTITUTION DE SOCIETE

FARMELIA

Société à responsabilité limitée au capital de 1.000 Euros

Siège social : 1 A avenue du Président Kennedy 51100 REIMS

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 29 mai 2009, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : FARMELIA.
SIEGE SOCIAL : 1 A avenue du Président Kennedy - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : Marchandising, vente, formation et marketing, agencement, matériels d’équipements (intérieurs et extérieurs), en pharmacie et tous commerces, achat et vente de tous biens immobiliers.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 1.000 €.
GERANCE : Monsieur Michel ASSIER, demeurant 1 A avenue du Président Kennedy - 51100 REIMS, assure la gérance pour une durée illimitée.
IMMATRICULATION DE LA SO¬CIETE Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

75989 Pour avis : La gérance.


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CONSTITUTION DE SOCIETE

AVIS DE CONSTITUTION

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION : Lab Diffusion.
FORME : Société à responsabilité limitée.
SIEGE SOCIAL : 19 rue Marie-Dominique Maingot - 51100 REIMS.
OBJET :
- Le développement et la distribution de tout produit, composition, principe actif, matière première ou conditionnement en relation avec l’industrie cosmétique, de l’hygiène et de la parfumerie :
- Toutes opérations industrielles, commerciales et financières, mobilières et immobilières pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet social et à tous objets similaires ou connexes ;
- La participation de la société, par tous moyens, à toutes entreprises ou sociétés créées ou à créer, pouvant se rattacher à l’objet social, notamment par voie de création de sociétés nouvelles, d’apport, commandite, souscription ou rachat de titres ou droits sociaux. fusion, alliance ou association en participation ou groupement d’intérêt économique ou de location gérance.
DUREE 99 ans.
CAPITAL : 100.000 €.
GERANCE : Thibaut FOUGERAS DE LAVERGNOLLE, demeurant 23 rue Gambetta - 92100 BOULOGNE BILLANCOURT.
IMMATRICULATION Au R.C.S. de REIMS.

76021 Pour avis.

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Journal « l’Union » - 090620d

Reims / Etudiant poignardé : Une marche silencieuse

Les amis de Benoît Alexandre Foé, étudiant mort poignardé le 9 juin dernier, ont décidé de lui rendre hommage ce week-end.

Un premier rendez-vous est fixé aujourd’hui à 12 heures, place d’Erlon pour une marche silencieuse. Vêtus d’un tee-shirt blanc avec une image de Benoît-Alexandre, le tout barré d’un slogan « Stop à la violence », famille, anonymes et amis se rendront vers le boulevard Clemenceau pour se recueillir devant l’immeuble où habitait l’étudiant. Sur place, quelques artistes liront des poèmes.

Les amis et proches se retrouveront ensuite vers 17 heures chez la famille de Benoît Alexandre Foé, à Athis entre Epernay et Châlons pour une veillée.

Demain dimanche un match de foot organisé à Croix du Sud par une association Guinéenne, sera spécialement dédié à l’étudiant décédé.

Après ce week-end, une messe devrait avoir lieu en fin de semaine prochaine (jeudi 25 normalement) dans le quartier Europe.

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Journal « l’Union » - 090620c

Sacres du folklore : Les groupes investissent le parvis

Formé de jeunes de 7 à 18 ans, le groupe Loudogortche vient de Bulgarie.
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Gros succès pour le groupe Marsamo-Matenga, venu d’Afrique du Sud
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Les 28e Sacres du folklore ont débuté, hier après-midi, avec une présentation des groupes sur le parvis de la cathédrale.

LES choses changent mais les Sacres du folklore demeurent. C’est par cette petite phrase qu’ont été lancés, hier après-midi, les 28e Sacres du folklore nouvelle version. Exit la scène de l’hôtel de ville et bienvenue sur le parvis de la cathédrale. Terminé le couplage avec les Fêtes johanniques puisque c’est dorénavant autour de la fête de la musique que s’articulent les festivités des Sacres du folklore.

Et pour cette première, l’ambiance a été bonne avec les prestations de cinq groupes venus d’Afrique du Sud, de Slovaquie, de Bulgarie, de Bolivie et du Bénin. Chacun a présenté dans l’après-midi, pendant une heure, un premier aperçu de son travail avant le grand spectacle du soir. Si chaque groupe a réalisé une belle performance, une mention spéciale est attribuée aux Sud-Africains de Matsamo-Matenga qui ont suscité le plus d’applaudissements lors de la présentation de l’après-midi et du défilé qui a eu lieu dans la foulée vers la mairie.

Dans les quartiers aujourd’hui

Pendant tout le week-end, le spectacle se poursuit avec, aujourd’hui, la présence des groupes le matin sur les marchés Croix-Rouge et Boulingrin puis dans l’après-midi dans les quartiers (places Jean-Moulin, des Argonautes, esplanade Eisenhower) avant un nouveau grand spectacle le soir sur le parvis de la cathédrale.

Demain dimanche, nouvelle étape sur le marché Sainte-Anne, cette fois avant un concert sur le parvis de la cathédrale (16 heures), un apéritif-rencontre toujours sur le parvis, puis une grande soirée avec notamment un bal folk et la présence de Katia Guerreiro, la diva du Fado. Un événement rare à ne pas manquer.

Photos Christian LANTENOIS

 

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Journal « l’Union » - 090620b

Interventions des pompiers : Au feu

Le local vide-ordures de l’allée Yves-Gandon.
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Les pompiers sont intervenus hier vendredi vers 4 heures pour éteindre un feu dans un local vide-ordures, au numéro 3 de l’alléeYves-Gandon (secteur de l’hôpital).

Les dégâts sont restés matériels.

 

 

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Journal « l’Union » - 090620a

Avenue Bonaparte

Les pompiers sont intervenus jeudi vers 23 heures dans l’avenue duè Général Bonaparte pour éteindre un feu de voiture.

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L’hebdo du vendredi- n° 128 - 090619d

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 128 - Semaine du 19 juin au 25 juin 2009


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Festival

Des ballons de baudruche qui se dégonflent.
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Festival, comme bal, carnaval, cérémonial ou récital, ne se laisse pas impressionner par les règles de grammaire et fait son pluriel en « -als », n’en déplaise aux originaux asociaux qui les boudent. Ainsi y a-t-il des festivals, beaucoup de festivals. Trop de festivals ?

Parfois banals, ils se repaissent comme des chacals du vide intérieur qui prolifère sur le trop plein de notre hyperconsommation. Pour mettre en lumière un art injustement oublié, et célébrer le talent à sa juste valeur, soit !

Mais trop d’impôt tue l’impôt, et trop de festivals tue le festival. On finit par ne plus savoir où donner de la fête.

Ainsi a-t-on pu déplorer à Reims l’échec relatif du festival « Croix Rouge s’affiche », fin mai dernier. Lassitude du public (on ne peut pas non plus passer son temps à taper des mains dans les rues !) et chevauchement de plusieurs festivités (rien que pour la période : Orgeval en fête, La Corrida d’Orgeval, Brut de Scène, la Reims Académie, Et moi et toi !).

Est-ce bien raisonnable ? « Du pain et des jeux » pour abrutir le peuple, et surtout, qu’il oublie de penser à la crise, de construire des solutions, et d’exercer son esprit critique ! Quand on sait combien coûtent en subventions publiques de telles manifestations, et que par ailleurs tant de chefs d’œuvres architecturaux multiséculaires tombent en ruines…

Inutile de se lamenter qu’il n’y ait plus assez d’argent pour les préserver, alors même que nous avons le devoir fondamental de les transmettre aux générations futures, exactement au même titre qu’une planète respirable. Pourquoi ne pas réfléchir à ce que serait une « culture durable », sur le modèle du développement durable ?

Anne Paulerville


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Disques à gogo !

Après le succès rencontré par le marché aux livres de la place du Forum chaque second dimanche du mois, où libraires et bouquinistes livrent leurs trésors.

Avant la vente de près de 10 000 documents au prix d’un ou deux euros (livres, BD, romans, polars, magazines, CD) organisée le 28 juin de 10h à 18h sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge… où chacun pourra chiner à l’envie et dénicher des documents pour tous les âges et tous les goûts… Dans le cadre de la fête de la musique, un marché aux disques se tiendra place du Forum, dimanche 21 juin de 10h à 17h.


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Brevet Cyclo

Le Cyclo club rémois organise son 50ème Brevet Cyclo de la Montagne de Reims le dimanche 28 juin. 4 parcours cyclos ouverts à tous sont proposés : 151 km (départ de 6h à 8h, 12€), 115 km (7h à 8h, 10€), 88 km (8h à 9h, 7,50€) et 48 km (9h à 10h,3€).

Accueil, départ et inscriptions au Complexe sportif Géo André, avenue François Mauriac à Reims (Quartier Croix-Rouge), le samedi 27 juin de 15h à 20h ou le dimanche 28 juin à partir de 5h30.

Renseignements et bulletin d’engagement au 03 26 85 49 32 ou www.cycloclubremois.fr

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Journal « l’Union » - 090619c

TENNIS / 15-16 ans Sedan et Géo André éliminés

Le deuxième tour de la phase préliminaire des championnats de France par équipes 15/16 ans n’a, dimanche, guère souri aux régionaux.

En effet, en déplacement à Cavaillon, les filles du TC Sedan n’ont pas pu éviter une lourde défaite (3-0). Pourtant, Zoé Hamel (1/6) avait les moyens de battre la 3/6 locale mais la réussite n’a pas été au rendez-vous. Quant à sa sœur Hortense (15/3) la tâche était trop ardue à 5/6. De fait, le double a été disputé pour le plaisir et les sœurs Hamel n’ont pas réussi à déborder leurs homologues sudistes.

Les garçons du TC Géo André n’ont également pas pu décrocher leurs billets pour la phase qualificative.

Ainsi, à Issy-les-Moulineaux, les Rémois se sont inclinés 2-1. Si Pierre Laurent (15/1) n’a rien pu faire contre le 4/6 francilien, Corentin Ravou est à gratifier d’une belle « perf » à 15.

Malheureusement, dans le double décisif, la paire Corentin Ravou - Valérian Bouchaud (15) n’ont pas réussi à forcer la décision en leur faveur.

FILLES

CAVAILLON. – TC Cavaillon bat TC Sedan : 3-0

Alice Pacaut (3/6, Cavaillon) bat Zoé Hamel (1/6, Sedan) 2-6, 6-2, 6-3 ; Chloé Soto (5/6, Cavaillon) bat Hortense Hamel (15/3, Sedan) 6-1, 6-1.

Alice Pacaud - Chloé Soto battent Zoé Hamel - Hortense Hamel 6-4, 6-3.

GARCONS

ISSY-LES-MOULINEAUX.— TC Issy-Les-Moulineaux bat TC Géo André : 2-1

Etienne (4/6, Issy-Les-Moulineaux) bat Laurent (15/1, Géo André) 6-2, 6-3 ; Ravou (15/1, Géo André) bat Mauduit (15, Issy-Les-Moulineaux) 0-6, 7-5, 6-1.

Etienne-Mauduit battent Bouchaud (15) - Ravou 7-5, 6-2.

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Journal « l’Union » - 090619b

Le Reims Acrap patinage en assemblée générale : Le Rap renforce ses effectifs

La salle de l’Acrap était bien remplie. De gauche à droite, Michel Guillaudeau, Jeannine Catry, Christine Michel, François Bock et Jack Piton.
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L’assemblée générale du Reims Acrap patinage (le Rap) a montré la vivacité d’un club qui a su rebondir malgré le départ d’une trentaine de ses adhérents, compétiteurs de longue date, qui ont suivi leur entraîneur de patinage artistique vers le club rémois concurrent. En effet, « la pugnacité de notre équipe nous a fait passer de 106 adhérents en 2007-2008 à 140 cette saison ! » a annoncé la présidente Jeannine Catry.

Plus de 60 personnes dans la salle, voilà qui a agréablement surpris Christine Michel, adjointe aux sports, François Bock, représentant l’office des sports et Jack Piton, président de la ligue Champagne-Ardenne des sports de glace.

Avec 114 047 euros de recettes et 97 462 euros de dépenses, le club dégage cette saison un solde positif de 17 047 euros. Comme tous les ans, il a été remarqué que la subvention municipale de 28 000 euros est pratiquement reprise par 24 000 euros de frais de locations !

« Nous réitérons le souhait d’une revalorisation de notre subvention… » plaidait Jeannine Catry. L’encadrement du Rap est composé de Ludivine Lemaire (danse sur glace), Cécile Mareigner (patinage artistique), Romuald Azorin (préparateur physique) et 11 bénévoles toujours sur le pont.

146 licences ont été enregistrées à la FFSG.

Le Rap a enregistré cette saison des résultats remarquables. Ainsi, en danse sur glace 1re division, le club a terminé 3e sur 14 clubs engagés au tournoi de France de Reims, 1er au tournoi de France du Havre et 1er sur 18 clubs engagés au tournoi de France de Fontenay-sous-Bois !

En patinage artistique, les résultats de Lili-Rose Plomion, Juliette Wary et Vinciane Manceaux ont été appréciés.

« Malgré les départs en artistique la saison dernière, nous avons largement dépassé notre nombre d’adhérents » concluait la présidente : « Les évaluations nous ont permis de réaliser de nouveaux groupes de détection susceptibles d’entrer dans les groupes « avenir » ou « pré-compétition » la saison prochaine ».

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Journal « l’Union » - 090619a

Coup d’envoi aujourd’hui à 15 heures : Les 28e Sacres du folklore démarrent aujourd’hui

Le groupe Matsamo-Matenga, originaire d’Afrique du Sud, perpétue les chants, danses et musiques ancestrales swazis.
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Coup d’envoi aujourd’hui à 15 heures des 28e Sacres du folklore. Avec de nombreux rendez-vous sur le parvis de la cathédrale.

DÉSORMAIS sortis des Fêtes johanniques, les Sacres du folklore débutent aujourd’hui et se prolongeront dans un rythme joyeux, festif et coloré jusqu’au lundi 22 juin.

Pour la 28e édition, les responsables de la troupe folklorique rémoise organisatrice les Jolivettes présidée par Raymond Mignon, en liaison avec la Ville, ont choisi de concentrer l’essentiel des grands rendez-vous sur le parvis de la cathédrale. En raison de travaux, il n’y aura pas de spectacle cette année à la Comédie.

« Sept groupes seront présents » confirme Jean-Luc Riazuelo, directeur de l’événement :

    • Lo Gerbo Baudo (Confolens) qui arrivera demain,
    • le ballet folklorique de La Paz (Bolivie),
    • Matsamo-Matenga (Afrique du Sud),
    • l’ensemble folklorique Sarisan (Slovaquie),
    • l’ensemble Loudogortche (Bulgarie),
    • l’ensemble Towara (Benin)
    • et les Jolivettes (Reims).

En plus de ces formations la Portugaise Katia Guerreiro, spécialiste du fado, interprétera de nombreux chants mélancoliques tirés du répertoire traditionnel portugais.

Le programme

Aujourd’hui

    • à 15 heures, sur le parvis de la cathédrale, présentation des groupes.
    • À 16 heures, défilé des nations de la cathédrale à l’hôtel de ville.
    • À 20 heures, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale où 600 chaises seront installées.

Samedi 20 juin.

    • A 10 heures, rencontres festives sur le marché Croix-Rouge (Bénin) et sur le marché Boulingrin (Slovaquie).
    • À 15 heures « entrez dans la danse », initiation au folklore sur le parvis de la cathédrale (Bolivie, Afrique du Sud, Confolens et Slovaquie).
    • À 16 heures, rencontres festives place Jean-Moulin (Bénin) et place des Argonautes (Bulgarie).
    • À 17 heures, esplanade Eisenhower (Bolivie).
    • À 20 h 15, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale.

Dimanche 21 juin.

    • A 10 heures, rencontres festives au marché Sainte-Anne (Confolens). À 16 heures, sur le parvis de la cathédrale concert des musiques du monde.
    • À 18 heures, apéritif rencontre sur le parvis de la cathédrale. À 19 h 30, grande soirée sur le parvis avec concert de Katia Guerreiro (fado).
    • À 21 heures, grand spectacle. À 22 h 30, grand bal folk animé par le groupe Arrière pays.

Lundi 22 juin.

    • A 10 heures, rencontres festives sur le marché de la place Luton (Bulgarie).
    • À 17 heures, place de la Mairie de La Neuvillette (Bénin).

A.M.

Entrée libre

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Journal « l’Union » - 090618b

HALTEROPHILIE / Trophée national : Villette, vice-champion

Les minimes du Reims HM ont terminé leur saison en beauté. Après leur 4e place en Coupe de France et la deuxième place en championnat de France par équipe en UNSS avec le collège François-Legros, les deux engagés au Trophée national à Wingles (Pas-de-Calais) ont réalisé leurs meilleures performances.

En 62 kg, Timmy Villette, après quelques mois seulement de pratique, s’est positionné au troisième rang après l’arraché (52 kg). Très combatif à l’épaulé-jeté, il portait 68,70 et enfin 72 kg pour gagner une place.

Vice-champion de France en minime, Villette devrait en surprendre plus d’un la saison prochaine chez les cadets.

Le second Rémois, Chems Touti avait fort à faire en 56 kg, catégorie qui comprenait 24 finalistes. Après un bon arraché à 48 kg, il portait son record de l’épaulé-jeté à 61 kg et terminait au pied du podium.

Chems sera aussi cadet l’an prochain et formera avec Timmy l’ossature de l’équipe cadette.

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Journal « l’Union » - 090618a

Figure historique de Croix-Rouge, Micheline Sage nous a quittés

A 79 ans et fragilisée par des problèmes de santé, Micheline Sage s’en est allée.
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C’est avec beaucoup de tristesse que les habitants du secteur Université ont appris le décès de Micheline Sage. Figure historique de Croix-Rouge, elle était la fondatrice de l’un des tout premiers comités de défense des locataires du quartier, qu’elle avait baptisé « Comité de défense des locataires La Rafale-Université », devenu après la disparition du centre commercial, « Comité de défense des locataires du quartier Hippodrome ».

Réputée pour sa grande joie de vivre, son entrain et sa bonne humeur indéboulonnable, Micheline Sage n’avait pas, pour autant, la langue dans sa poche et elle ne mâchait pas ses mots. Quand il y avait un problème à régler avec l’organisme logeur Reims habitat, ses réparties faisaient mouche, mais à l’agressivité, elle préférait manier « la grosse colère » avec humour.

« Tout le personnel de Reims habitat a été sous le choc en apprenant la triste nouvelle », rapporte François Toublan. « Mme Sage a été l’une des voix importantes dans la défense des intérêts des locataires. Elle a largement contribué au bien-vivre résidentiel actuel. »

Locataire en étage de la rue Pierre-Taittinger, elle avait décidé en octobre 2008 d’aller se poser au calme dans la résidence voisine Lucien-Doyen de l’Arfo, où elle s’est très vite intégrée et où elle laisse le souvenir d’une personne dynamique et joyeuse : « Quand les pompiers sont venus la chercher pour la transporter au CHU à la suite de sa fracture du col du fémur, elle a éclaté de rire avec eux ! », raconte une résidente. Malheureusement, à 79 ans et fragilisée par des problèmes de santé, elle n’est pas revenue de cette intervention. Elle n’organisera plus le traditionnel concours des balcons décorés de Noël qu’elle avait imaginé et auquel elle tenait tant.

l’union présente à sa famille et à ses proches ses sincères condoléances.

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Journal « l’Union » - 090617e

Guitare : un vaste univers sonore

« Depuis que MM. Les Paul et Rickenbacker se sont penchés de près sur l’amplification de la guitare, le son de l’instrument a été sujet à nombre de traitements, dont l’histoire de la musique enregistrée peut témoigner. Filtré, démultiplié, réverbéré, sali, découpé, déformé ou mis en boucle : c’est une vaste palette qui s’offre au guitariste soucieux de tirer parti des possibilités offertes par l’électricité » explique Seb Adam.

Il animera un atelier samedi 20 juin à 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge. Objectif : proposer un aperçu de cet univers sonore, en présentant un éventail d’effets spécifiques à la guitare, leur genèse parfois accidentelle et surprenante, leur évolution dans le temps et leur place dans le paysage musical d’hier et d’aujourd’hui… Et bien sûr, une mise en application concrète et interactive, avec guitares, pédales, amplis et potards à l’appui…

Entrée libre.

Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

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Journal « l’Union » - 090617d

Intempéries : Un giratoire dangereux

Depuis les travaux du tramway, le rond-point des avenues Juin et Kœnig se transforme en piscine quand il pleut.
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Le beau temps est revenu mais les intempéries de lundi sont encore dans toutes les mémoires.

Pour les riverains des Hauts-de-Murigny, ce fut encore l’occasion de constater que par temps de pluie, l’eau ne s’écoule plus correctement au rond-point des avenues Maréchal-Juin et Maréchal-Kœnig.

En cause : les travaux du tramway qui provoquent l’obstruction des égouts du rond-point.

Quand il pleut (et pas besoin des précipitations exceptionnelles de lundi), l’eau inonde les environs, ce qui rend la circulation dangereuse.

 

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Journal « l’Union » - 090617c

Croix-Rouge : Personne n’oublie Marceau Nicolas

De grands moments d’émotion lors de cette journée particulière.

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La journée en hommage à Marceau Nicolas, dimanche 14 juin, au complexe sportif Géo-André, a commencé par le dévoilement d’une plaque « Terrain synthétique Marceau-Nicolas, éducateur sportif, militant associatif » offerte par la municipalité, sur le mur des vestiaires.

Alors que les organisateurs tablaient sur une cérémonie associative relativement discrète, tout le monde a été saisi par une déferlante d’élus. Qu’on en juge, pour l’opposition, Catherine Vautrin et Xavier Albertini. Pour la majorité, Éric Quénard et Christine Michel, adjoints, accompagnés des conseillers municipaux Gilbert Baraban, Alain Bisteur, Salah Byar, Michel Guillaudeau, Joëlle Macquart, Nathalie Malmberg et Saïda Soumaya-Berthelot !

« Militant et homme de valeurs »

Noyés dans cet océan municipal, les bénévoles des associations de locataires Polygones, Pays-de-France, Eisenhower et Jardins suspendus, de Croix-Rouge accueil, de l’Etoile Croix-du-Sud, de l’Acrap, de la MJC Croix-Rouge, des Francas, des Rencontres internationales de Reims, des membres du conseil de quartier, la poète de Croix-Rouge et des habitants amis de Marceau Nicolas se rapprochaient de la plaque murale.

Après une minute de recueillement, Alain Polliart (locataires de Pays-de-France) a rappelé les valeurs de Marceau : « la fraternité et le dévouement jusqu’au bout de ses propres limites », « une référence dans un quartier comme Croix-Rouge ». Éric Quénard à son tour a présenté les trois facettes de l’homme trop tôt disparu : « le passionné de sport », « le militant, homme engagé : sport, droit au logement, défense des locataires » et « l’homme de valeurs : solidarité, tolérance, fraternité et respect de l’autre ». Les filles de Marceau, Stéphanie et Véronique, ont lu des textes très émouvants de leur composition.

Challenge amical

La journée se prolongeait par un match amical de football en salle dans le gymnase, pour les benjamins, entre l’Amcir et l’Acrap, suivi d’un concours de penalties. Près de là, un tournoi de football seniors en plein air sur le terrain synthétique, officialisé par le district de la Marne, réunissait 16 équipes pour le « Challenge Marceau » (coupe offerte par la ville de Reims).

Le palmarès : 1, Saint-Ouen. 2, Hermonville. 3, Mayotte. 4, Wilson. 5, Malmequers. 6, Acrap. 7, Bezannes. 8, Crugny. 9, Morandat. 10, Sam. Ce fut, selon les organisateurs, Cyril Houppermans et Jamal Chafik (Acrap Football club), « une très belle journée sportive dans l’esprit qui a toujours animé Marceau Nicolas. »

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Journal « l’Union » - 090617b

Aux jardins Croix-du-Sud : Ça va bouger samedi

31 nouveaux jardins vont remplacer les anciens.
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Samedi 20 juin sera un grand jour pour les jardiniers de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud.

Le matin, à 9 heures, se déroulera la séance de notation en vue du concours de la plus belle parcelle. Rendez-vous à la rocade centrale Joliot-Curie.

L’après-midi, à 14 h 30, la maire de Reims viendra remettre à l’association les clés des 31 nouveaux jardins qui vont remplacer ceux qui ont été détruits, à cause des travaux de voirie liés au tram ou à l’accès à la gare TGV.

Rendez-vous rue Joliot-Curie, au débouché de l’ancienne route de Bezannes.

 

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Journal « l’Union » - 090617a

Vendredi et samedi à Croix-Rouge : Musique pour petites mains

Amdy Seck intervient auprès des enfants de 8 mois à 3 ans à la médiathèque Croix-Rouge.
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Avec son « Jardin musical pour petites oreilles », le percussionniste Amdy Seck de l’association rémoise Acao (Arts et Cultures de l’Afrique de l’Ouest) propose, en atelier pédagogique, des séances d’éveil musical avec instruments de musique mis à disposition des petites mains, de 8 mois à 3 ans (durée 45 min).

Au conservatoire de Dakar

Acao est née en 1997 de la volonté de promouvoir toutes les formes artistiques propres à l’Afrique de l’Ouest en particulier la musique, le chant, la danse et les contes.

Amdy Seck, né au Sénégal, a été formé au Conservatoire de Dakar (École des Arts) créé par Léopold Senghor dont il est sorti en 1978 avec le titre de maître d’éducation musicale.

Après des années d’enseignement dans les lycées de son pays d’origine, de recherche menée sur la musique traditionnelle, de la création et de la conduite de plusieurs groupes musicaux, il est arrivé en France en 1994 pour partager sa culture.

Entrée libre, vendredi 19 juin à 17 heures et samedi 20 juin à 10 heures, à la médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Debar.

Inscriptions au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 090616e

Conseils de quartier

Ce soir à 19 heures, conseil de quartier Maison-Blanche, Sainte-Anne/Wilson, salle municipale Rossinn.
A l’ordre du jour : priorités du conseil de quartier pour les mois à venir, les services publics de proximité, les principes de réorganisation du réseau de bus à l’heure du tramway. Calendrier des séances plénières 2009/2010.

Ce soir aussi à 19 heures, conseil de quartier Croix-Rouge/Pays de France à la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac. Information sur l’état d’avancement des travaux de rénovation urbaine.

Eric Quénard fera un point sur la démolition de la passerelle (méthode, calendrier, circulation) et sur les aménagements publics autour du nouveau centre commercial.

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Journal « l’Union » - 090616d

Grande fête populaire de La Rafale-Université : Une réussite totale

L’Acrap a séduit avec ses exhibitions de sports de combat.
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Deux semaines après la fête du secteur Eisenhower organisée par le collectif des locataires Croix-Rouge, le collectif de l’espace Billard de la maison de quartier et des associations de Croix-Rouge a offert au secteur Rafale-Université une grande fête populaire samedi 13 juin qui a remporté un succès considérable.

De très nombreuses associations et leurs bénévoles ont répondu présent à l’invitation d’Élisabeth Causin, directrice de l’espace Billard et coordinatrice de la fête, de même que le bibliobus des enfants, l’espace « Tri sélectif » et un véhicule des TUR à vocation pédagogique : les stands colorés occupaient toute la place Billard et proposaient jeux, animations, démonstrations et informations à un public venu en nombre, profitant d’un temps exceptionnellement ensoleillé.

Deux « locomotives » ont été remarquées : l’Acrap avec ses exhibitions de sports de combat : Vovinam Viet Vo Dao et karaté-kobudo, et son concours de pétanque ouvert à tous, et « Brico-Parade », la fanfare de Saint-Brice-Courcelles qui a fait le tour du quartier par Rilly, Taittinger, Polygones et Eisenhower, pour entraîner la population.

Une scène pour le chant, la musique, les percussions et la danse a attiré la foule avant un apéro convivial, prélude à un pique-nique pris en commun avec repas partagé.

Pas une seule fausse note n’est venue ternir cette fête particulièrement réussie, preuve que professionnels, institutionnels, maison de quartier et associations peuvent travailler heureusement ensemble pour le plus grand bonheur des habitants.

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Journal « l’Union » - 090616c

Rencontres en contes : Déjà le dixième anniversaire

Catherine Pierrejean maîtrise l’art de charmer les enfants avec ses contes.
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Cette année, les « Rencontres en contes » animées à la Maison de quartier Croix-Rouge par Catherine Pierrejean, en partenariat avec la Zone d’éducation prioritaire Croix-Rouge, fêtent leur dixième anniversaire et elles se dérouleront du lundi 22 au vendredi 26 juin, dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

Le principe des « Rencontres en contes » est basé sur l’échange de prestations d’expressions artistiques, fruit d’ateliers menés au sein des écoles et encadrés par des artistes ou des enseignants. Six écoles du quartier Croix-Rouge participent, avec dix-huit classes, du CP au CM2, soit environ 420 enfants participants.

Le calendrier

- Lundi 22 juin,

    • de 14 h 30 à 16 heures, CE1/CE2 école Rilly-la-Montagne, CE2 école Blanche-Cavarrot et CE1 école Provençaux.

- Mardi 23 juin,

    • de 9 h 30 à 11 heures, CM1 Blanche-Cavarrot, CM école Billard et CM école Galilée.
    • De 14 h 30 à 16 heures, CM2 école Blanche-Cavarrot, CM1 école Joliot-Curie et CM école Gilberte-Droit.

- Jeudi 25 juin,

    • de 9 h 30 à 11 heures, CP école Provençaux et CP école Joliot-Curie. Projection d’un film d’animation monté par Franck Simon de l’espace La Nacelle.
    • De 14 h 30 à 16 heures, CP école Galilée et CP école Provençaux. Groupe invité : institut Michel-Fandre. Projection d’un film d’animation monté par Franck Simon de l’espace La Nacelle.
    • De 17 heures à 17 h 30, « Temps Conte », une prestation du groupe « Au fil des mots », destiné aux enfants du Service municipal d’accueil (écoles primaires Hippodrome, Provençaux, Gilberte-Droit et Billard).

- Vendredi 26 juin,

    • de 9 h 30 à 11 heures, CP/CM1 école Gilberte-Droit, CE1 école Provençaux et CM école Joliot-Curie.
    • De 14 h 30 à 16 heures, CP école Provençaux et CE1/CE2 école Rilly-la-Montagne. Projection d’un film d’animation monté par Franck Simon de l’espace La Nacelle.

Renseignements : Catherine Pierrejean, coordinatrice. Tél : 03.26.08.08.78. ou 06.22.62.13.46.

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Journal « l’Union » - 090616b

Marcheurs, en avant

La prochaine randonnée organisée par Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, aura lieu dimanche 21 juin à 8 h 15. Destination le plateau de Mondement (Sézanne), sortie à la journée, 12 km.

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).

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Journal « l’Union » - 090616a

Auto, moto, bobos

Samedi…

Vers 22 heures, c’est le pilote d’un scooter qui est tombé par terre allée des Bourguignons à Reims.

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Journal « l’Union » - 090615a

Du 19 au 22 juin : Les sacres du folklore sur le parvis de la cathédrale

Le ballet folklorique de La Paz (Bolivie) sera présent.
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Dissociés des Fêtes johanniques, les 28es Sacres du folklore se dérouleront du vendredi 19 au lundi 22 juin principalement sur le parvis de la cathédrale.

EXCLUES des Fêtes johanniques, les troupes des Sacres du folklore vont rentrer finalement dans la ronde de la fête de la musique cette année.

Organisés par les Jolivettes de Reims du vendredi 19 juin au lundi 22 juin, les 28es sacres du folklore retrouveront aussi le parvis de la cathédrale en accueillant sept formations du monde entier.

Fête de la musique oblige, une grande place sera donnée cette année aux orchestres des groupes qui iront aussi à la rencontre des habitants dans les quartiers.

Les participants

Sept groupes seront présents à Reims.

Lo Gerbo Baudo (Confolens) : créé il y a cinquante ans, Lo Gerbo Baudo est un ensemble de chants, de musiques et de danses qui fait vivre le folklore de Charente Limousine.

Katia Guerreiro (Portugal) : une sensibilité proche d’Amalia Rodrigues. Katia Guerreiro impose une musicalité stupéfiante, une voix virile, volontaire, un chant mat et ardent.

Le ballet folklorique de La Paz (Bolivie) : avec de superbes costumes et de superbes chorégraphies, toute l’histoire de la Bolivie mâtinée d’influences espagnoles et de traditions indiennes avec cette formation bolivienne.

Matsamo-Matenga (Afrique du Sud) : ce groupe d’une trentaine de personnes perpétue les chants, danses et musiques ancestrales swazis.

Ensemble folklorique Sarisan (Slovaquie) : composée de 35 jeunes, cette formation fait revivre le folklore de la Slovaquie.

Ensemble Loudogortche (Bulgarie) : un ensemble qui vient de la ville de Razgradj, ville jumelée avec Châlons-en-Champagne au nord-est de la Bulgarie. Avec des jeunes de 7 à 18 ans, la formation explore son pays avec un répertoire de 58 danses.

Ensemble Towara (Benin) : née de la fusion de Towakpon et d’Agora, cette formation explore les traditions ancestrales du Bénin.

Les rendez-vous

Vendredi 19 juin.- Sur le parvis de la cathédrale, à 15 heures, présentation des groupes, à 16 heures, défilé des nations de la cathédrale à l’hôtel de ville. À 20 heures, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale.

Samedi 20 juin.- A 10 heures, rencontres festives sur le marché Croix-Rouge (Bénin) et sur le marché Boulingrin (Slovaquie). À 15 heures, entrez dans la danse, initiation au folklore sur le parvis de la cathédrale (Bolivie, Afrique du Sud, Confolens et Slovaquie). À 16 heures, rencontres festives place Jean-Moulin (Bénin) et place des Argonautes (Bulgarie). À 17 heures, esplanade Eisenhower (Bolivie).

À 20 h 15, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale.

Dimanche 21 juin.- A 10 heures, rencontres festives au marché Sainte-Anne (Confolens). À 16 heures, sur le parvis de la cathédrale concert des musiques du monde. A 18 heures, apéritif rencontre sur le parvis de la cathédrale.

À 19 h 30, grande soirée sur le parvis avec concert de Katia Guerreiro (la diva du fado). À 21 heures, grand spectacle. À 22 h 30, grand bal folk animé par le groupe Arrière pays.

Lundi 22 juin.- A 10 heures, rencontres festives sur le marché de la place Luton (Bulgarie). À 17 heures, place de la Mairie de La Neuvillette (Bénin).

Site internet : www.sacresdufolklore.fr

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090614b

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7293 du 08 au 14 juin 2009.

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Le 1er rail soudé : La soudure symbolique du premier rail a eu lieu le 15 mai dernier.

La soudure symbolique du premier rail s’est déroulée à proximité de l’esplanade de la Faculté de Droit et Lettres, dans le quartier Croix Rouge, en présence d’Adeline Hazan, Présidente de Reims Métropole, Maire de Reims et de Christian Messelyn, Président de MARS.

Les rails positionnés et stabilisés en cours d’assemblage sont séparés par un intervalle de 25 mm et soudés par aluminothermie. Un moule de sable et résine est placé à cheval sur les 2 rails qui sont alors chauffés à 600-800 °C par l’envoi d’un gaz chauffé et enflammé. La fusion proprement dite est brève et la soudure se refroidit très vite à l’air libre. Cette technique de soudure de rails se fait en 40 minutes environ, ce qui permet de faire environ 8 soudures en une journée. Il faudra réaliser au total quelque 2500 soudures sur les 40 km de rails (2200 tonnes d’acier provenant des aciéries de Lorraine).

70 000 habitants desservis

Traversant Reims du Nord au Sud sur 11,2 km, la ligne 1 du tramway sera la nouvelle colonne vertébrale des transports collectifs de l’agglomération.

Conçues dans une logique de complémentarité, les correspondances avec les lignes de bus permettront d’optimiser le maillage du territoire jusqu’à la nouvelle gare TGV de Bezannes.

La ligne 1 comptera 23 stations, avec 2 services offerts du CHU à Neufchâtel et de la gare TGV à Bezannes à la gare centrale. La fréquence sera de 6 minutes maximum, pour un service assuré par 18 rames de 5h30 à 0h30.

70 000 habitants seront ainsi desservis, soit près d’un tiers de la population de l’agglomération.

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CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

AVIS DE CONSTITUTION

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :

DENOMINATION : SCCS.
FORME : Société à responsabilité limitée.
SIÈGE SOCIAL : 51 Esplanade Eisenhower (9 C) - 51100 REIMS. OBJET : Location de courte durée de véhicules automobiles légers sans chauffeur de moins de 3,5 tonnes. DURÉE : 99 années.
CAPITAL : 5.000 €.
GERANCE : Mlle SORRIAUX Carine, demeurant au 51 Esplanade Eisenhower (9 C) - 51100 REIMS, et Mlle COUPE Sandrine, 1 B rue Hourelle - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

75721 Pour avis.

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Journal « l’Union » - 090614a

Des cyclos trop tentants

Deux autres Rémois fort bien connus des services de police ont été pincés en flagrant délit de vol de cyclo.

Initialement, ils s’étaient rendus rue Jeanne-Jugan, dans la nuit de mercredi, pour voler un vélo. Ils n’en ont pas trouvé. Ils se sont donc rabattus sur un cyclomoteur trouvé dans les caves.

Ils le poussaient pour revenir dans leur quartier de Croix-Rouge, avenue Bonaparte, lorsqu’ils ont été surpris par une patrouille de police.

Les voleurs sont deux frères. L’aîné, âgé de 17 ans, a été écroué dans l’attente de son jugement à délai rapproché tandis que le cadet de 15 ans a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

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Journal « l’Union » - 090613e

Pays-de-France : Le point sur les travaux

À l’ordre du jour, la déconstruction de la passerelle.
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Dans le cadre du programme de rénovation urbaine 2008 -2011 « Nouveau Reims » et afin d’informer les habitants sur l’état d’avancement des travaux de rénovation urbaine sur le secteur Pays-de-France, le premier adjoint Éric Quénard fera un point sur la démolition de la passerelle (méthode, calendrier et circulation), et sur les aménagements publics autour du nouveau centre commercial, le mardi 16 juin à 19 heures dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090613d

Reims / Tentative de meurtre à Croix-Rouge : Poignardée et jetée du 7e étage l’étudiante miraculée témoigne

La jeune femme était toujours consciente lorsque son ex-ami l’a lâchée dans le vide, du 7e étage, après l’avoir poignardée 39 fois. Son évacuation dans cette ambulance des pompiers, où elle a été endormie, est le dernier souvenir qu’elle garde de cette terrible soirée.
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La jeune femme criblée de coups de couteau et rattrapée in extremis dans le vide, le 13 mai à Reims, est hors de danger. Pour la première fois, elle témoigne.

C’EST une jolie jeune fille aux longs cheveux bruns. Une miraculée qui sourit de nouveau à la vie après avoir été arrachée in extremis aux griffes de la mort. « J’ai vraiment pensé que c’était la fin. Pour moi, il était impossible que je m’en sorte. »

Agée de 20 ans, Sélima est cette étudiante poignardée de 39 coups de couteau puis lâchée dans le vide par son ex-petit ami, le 13 mai dernier, du septième étage d’un immeuble de l’allée des Bourguignons dans le quartier Croix-Rouge à Reims (nos éditions des 14, 15 et 16 mai).

Elle fut rattrapée à l’ultime instant par la police et les pompiers. Elle a survécu à ses blessures infligées au torse, aux bras, à la tête. Elle est sortie de l’hôpital le 29 mai après une semaine en réanimation.

« Physiquement, ça peut aller », confie Sélima. « Les blessures sont surtout psychologiques. Il faut se reconstruire. » Comme n’importe quelle jeune fille soucieuse de son apparence, elle a souffert en découvrant dans le miroir « un visage tout gonflé » par les coups de couteau.

C’était dans les premiers jours. Depuis, son visage a repris une apparence - presque - normale. Seules les personnes averties peuvent distinguer quelques estafilades à peine visibles. « Il y a quand même du fond de teint » dit-elle timidement.

Aux souffrances corporelles et au préjudice moral, s’ajoute un gâchis scolaire.

« J’étais en première année de droit. Mon année universitaire est fichue. Je devais passer mes examens la semaine dernière mais je n’ai pas pu. »

« J’étais persuadée de mourir »

De l’agression, de ces minutes interminables pendant lesquelles sa vie s’est retrouvée en suspens au-dessus du vide, Sélima n’a rien oublié.

« Je n’ai jamais perdu connaissance. Je suis restée consciente du début à la fin. Mon dernier souvenir, c’est dans l’ambulance des pompiers où ils m’ont endormie. Je me suis réveillée deux ou trois jours plus tard en réanimation. »

Sélima avait pour petit ami Junior Codevelle, 21 ans. Elle avait décidé de rompre. Elle passait chez lui récupérer des affaires lorsque le drame a éclaté. Elle a reçu les 39 coups de couteau puis s’est retrouvée sur le rebord de la fenêtre, « le dos au vide ». « Il me tenait dans les bras. J’essayais de rentrer à l’intérieur. Je n’ai réussi qu’une fois. Il était trop fort. A un moment, je n’ai plus eu la force de me défendre. Je ne bougeais plus mais j’étais toujours consciente. Dans ma tête, ce n’était plus qu’une question de temps. Soit j’allais mourir dans ses bras en me vidant de mon sang, soit j’allais être jetée dans le vide. J’ai été lâchée. J’ai basculé en arrière. J’ai cru que c’était la fin mais tout aussitôt, je me suis retrouvée dans la nacelle des pompiers. Je ne savais pas qu’elle était là derrière moi. Je ne l’avais pas vue. C’est pour cette raison que j’étais persuadée de mourir. »

Lui aussi rattrapé in extremis, Junior Codevelle avait voulu entraîner Sélima dans la mort. Il a échoué. « Je ne remercierai jamais assez ceux qui m’ont sauvée : les policiers, les pompiers, les médecins. Je leur suis éternellement reconnaissante » confie la jeune femme.

« J’aimerais écrire une lettre à toutes ces personnes grâce auxquelles je suis encore en vie. »

Fabrice CURLIER


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Un déchaînement de violence inattendu

L’agresseur de Sélima, Junior Codevelle, 21 ans, a été mis en examen et écroué le 15 mai pour « tentative d’homicide volontaire ». « C’était mon petit copain, pas mon concubin » précise la jeune femme. « Je ne vivais pas sous son toit, même s’il m’arrivait de séjouner chez lui, allée des Bourguignons. J’habite toujours chez mes parents à Epernay. »

Sélima avait décidé de rompre. Le drame s’est produit alors qu’elle venait récupérer des affaires. « Je ne m’attendais pas à une telle réaction de sa part. » Le soir même des faits, le bruit a couru selon lequel Junior Codevelle aurait agressé l’étudiante après l’avoir surprise avec un autre homme place d’Erlon.

« Ce n’est pas vrai ! J’étais avec un ami d’enfance, c’est exact, mais il n’y avait rien entre nous. On a croisé Junior qui le connaissait aussi. Nous avons discuté tous les trois puis chacun est reparti de son côté. Tout s’est bien passé. »

A ce moment-là, dit-elle, aucun signe dans l’attitude de Junior Codevelle n’avait permis de prévoir la suite des événements. « Ce qui est arrivé n’a rien à voir avec cette rencontre. Je tiens à le dire car cette rumeur m’a fait passer pour quelqu’un que je ne suis pas. »

F.C.

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Journal « l’Union » - 090613c

Fête du 1 er Mai

Nous évoquions lors de notre dernier papier sur le bilan de Croix-Rouge s’affiche, l’organisation par les maisons de quartiers de la fête du 1er Mai sur le secteur Croix-du-Sud. Pour rendre à César, ce qui est à César, il convient de préciser que cette fête a été organisée par les associations Etoiles Croix-du-Sud, 2 Mains, Trac et Femmes d’ici et d’ailleurs.

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Journal « l’Union » - 090613b

Métiers

La Mission locale, l’UIMM (Union de l’Industrie et des métiers de la métallurgie), le CFAIM et la médiathèque Croix-Rouge proposent aux demandeurs d’emploi de découvrir les différents métiers du secteur de l’industrie et de la métallurgie avec des professionnels : chaudronnerie, usinage, électrotechnique, maintenance, systèmes automatisés … autant de secteurs ouverts à l’apprentissage : « avec l’Industrie, des métiers à découvrir, des offres de formation pour réussir ». Entrée libre mercredi 17 juin de 10 à 18 heures, médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar, espace emploi-formation.

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Journal « l’Union » - 090613a

Loto

Le Reims Acrap patinage organise son loto demain, dimanche 14 juin, à partir de 14 heures, à la salle des fêtes Croix-Cordier à Tinqueux.

Renseignements et inscriptions : 03.26.06.39.54

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Journal « l’Union » - 090612f

Championnat de Champagne jeune : Verdict dimanche

Organisés comme d’habitude au Creps de Reims, les championnats régionaux des jeunes (de 9 à 18 ans) livreront donc leur palmarès 2009 dimanche.

Cette grand-messe des espoirs champardennais, qualificative pour les France, permettra de voir à l’œuvre quelques éléments prometteurs tels que Gaétan Lemoine (Reims Europe Club) passé 2/6 à l’intermédiaire ou Claire-Hélène Génin (3/6, Géo-André) en 15/16 ans.

A noter que les finales de la catégorie reine des 17/18 ans entre, logiquement Thibault Visy (0, Cormontreuil) et Alexandre Blossier (3/6, Vitry) ainsi que Charline Braidy (- 2/6, La Macé) et Zoé Hamel (0, Sedan) vaudront le déplacement.

HORAIRES

Dimanche :

- 12 heures : finale 13/14 ans garçons ;
- 13 h 30 : finales 9 ans garçons et filles, 12 ans filles, 15/16 et 17/18 ans garçons ;
- 15 heures : finales 11 ans garçons et filles, 12 ans garçons, 13/14 et 17/18 ans filles ;
- 16 h 30 : finales 10 ans garçons et filles, 15/16 ans filles ;
- 18 heures : remise des prix.

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Journal « l’Union » - 090612e

Croix-Rouge / Hauts-de-Murigny : Un conseil de quartier instructif mais sans public

Les habitants : il y avait deux fois plus d’officiels qu’eux !
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L’exposé sur le tramway à Croix-Rouge a été très complet.
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Seuls 12 habitants avaient fait le déplacement pour le conseil de quartier Croix-Rouge/ Hauts-de-Murigny. Il y avait pourtant beaucoup à apprendre.

LE conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny s’est déroulé mardi dans la salle François-Mauriac. Les 21 membres officiels à la tribune n’avaient en face d’eux que 12 habitants ! L’ordre du jour a été respecté à la lettre, sous la conduite d’Alain Bisteur et avec des précisions d’Éric Quénard.

Un ordre du jour intéressant avec, en particulier, des commentaires sur le Festival « Croix-Rouge s’affiche » et un remarquable exposé de M. Manca sur le tramway dans le quartier. Dommage que le public n’ait pas répondu à l’invitation, il y avait beaucoup à apprendre !

« Il faut revoir le Festival »

Alain Bisteur en a convenu : « Il faut revoir le Festival ». Mais les élus ont défendu leur bébé. Pour Éric Quénard : « Des choses ont bien marché, d’autres moins bien. Il faudra du temps pour changer le Festival. L’idéal, c’était de trouver un équilibre entre les orientations professionnelles et le tissu associatif qui aurait dû être très présent. J’ai senti de ce côté un manque, un regret, de ne pas avoir été dans la démarche. Toutefois, soyons prudents, il faut se garder d’avis péremptoires. »

Alain Bisteur a confirmé : « Ne blâmons pas ! » Tous deux ont convenu : « Pourquoi ne pas se réunir ensemble, se mettre autour d’une table et échanger sur le Festival ? De toute façon, un bilan collectif sera établi sur les orientations futures. »

M. Manca a livré des informations très complètes quant au futur tramway. La ligne A d’Orgeval au CHU fera 11,2 km et comportera 23 stations dont 7 à Croix-Rouge, séparées de 200 à 250 mètres. La ligne B réunira les deux gares en renfort par Léon-Blum.

Le tramway en détail

Sur tout le long des aménagements, on trouvera une piste cyclable et de larges trottoirs, une zone engazonnée et beaucoup de nouveaux arbres pour former un aspect végétal.

Sur les 18 rames prévues, 15 seront en circulation et 3 en maintenance. Une rame, c’est l’équivalent de trois bus. La circulation aura lieu de 5 heures du matin à 1 heure du matin. Il faudra compter des passages toutes les cinq à six minutes en heures de pointe et de dix à douze minutes en heures creuses. Toutes les stations auront un accès handicapés sécurisé et des places leur seront réservées dans les rames avec fixations.

Question tarif, il n’y aura pas de différenciation entre le bus et le tram, mais un tarif unique. Le prix n’est pas encore fixé, mais de toute façon, « les tarifs seront attractifs pour être incitateurs ». Grande nouveauté : « La billettique actuelle à composter, c’est terminé. On n’achètera plus, comme aujourd’hui, un « trajet », un « déplacement » d’un point à un autre, mais on achètera du temps de déplacement : à l’heure, à la journée, à la semaine, au mois,… et ce, indifféremment bus et tramway, de façon très souple. » Par ailleurs, un parking relais sera aménagé à proximité du terminus CHU pour capter les automobilistes venant d’Épernay (150 à 200 places, extensible si besoin). Il est probable que le stationnement sera payant pour le véhicule, mais en contrepartie, chaque passager recevra un titre de transport aller et retour valable sur tout le réseau pour la journée.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090612d

Pétanque Acrap

Une confusion a pu avoir lieu en ce qui concerne les activités de la section pétanque de l’Acrap pendant le week-end prochain.

Samedi 13 juin, dans le cadre de la fête du quartier Université, la section organise un concours réservé aux non licenciés, entre 14 et 16 heures, sur le parking de l’hippodrome.

Le lendemain, dimanche 14 juin, elle organise un autre concours, officiel celui-là, au même endroit, mais ouvert aux licenciés.

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Journal « l’Union » - 090612c

Coaching : Le contrat d’autonomie : coup de pouce pour l’emploi

Trouver le chemin d’un emploi durable : objectif réussi pour ces trois jeunes gens !
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Rapprocher les jeunes et le monde du travail, les aider dans leurs démarches d’accès à l’emploi, c’est l’objectif du Contrat d’autonomie qui s’insère dans le plan gouvernemental « Espoir Banlieues ».

LA Marne fait partie des 35 départements expérimentaux du Contrat d’autonomie : un dispositif sur mesure pour l’emploi des jeunes de 16 à 25 ans. Repérés et prospectés par des organismes sociaux, notamment la Mission Locale, ils sont dirigés vers un « opérateur ». « Notre rôle ? C’est une sorte de coaching », explique Jean-Louis Rumério, directeur de « 2 mains ».

En échange d’une bourse optionnelle de 300 € mensuels, le jeune s’engage à suivre les objectifs fixés au contrat : « Il doit rechercher un employeur, travailler son image, son comportement, apprendre à réaliser un CV. » Le dispositif leur permet d’être suivis durant six mois : « période durant laquelle on va essayer de lever l’ensemble des freins qu’ils peuvent rencontrer par rapport à leur insertion professionnelle ou sociale », précise Olivier Brossé, référent Afec et pilote du projet. L’objectif est de déboucher sur un CDD (d’au moins six mois), un CDI, une formation qualifiante ou une création d’entreprise. « Nous avons un objectif de 200 contrats sur Reims avant la fin de l’année. Nous en avons déjà réalisé 133. »

Le pied à l’étrier

Ce mercredi, à l’espace Schweitzer, plusieurs contrats d’autonomie et trois contrats de travail étaient signés en présence de nombreux responsables et élus.

« Je suis moi-même issu d’un quartier « difficile ». C’est pour cela que je favorise la réinsertion des jeunes. Ce que je veux, c’est leur motivation à travailler », assure Philippe Bruneau, directeur technique des Ets Sionneau qui interviennent sur des chantiers du quartier Croix-Rouge « un pôle d’activités où nous manquons de main d’œuvre ». « Chaque semaine je fournis un compte-rendu de mes démarches à « 2 mains ». Ils me conseillent, me fixent des objectifs », confie Abdesselam Karaoui, qui vient de signer un contrat de professionnalisation avec la Société Agnesina. « Ce que je trouve intéressant, c’est le suivi pour les aider à s’intégrer », déclare Jean-Michel Rouillon, directeur administratif . « Il reste du chemin à parcourir, mais tous les ingrédients sont ici réunis pour que ce dispositif soit couronné de succès », estime Eric Quénard, premier adjoint à la maire. Un optimisme partagé par le sous-préfet Jean-Louis Caron : « Il faut continuer à aller de l’avant : ce contrat, c’est avant tout le pied à l’étrier ! »

Contact « 2 mains » : tél. 03.10.16.10.40

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Journal « l’Union » - 090612b

Etudiant poignardé à mort à Murigny : Le suspect écroué

Ibrahima Niane est arrivé au palais de justice de Reims vers 9 heures pour être présenté au juge d’instruction.
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Sans surprise, le juge des libertés et de la détention a ordonné, hier, le placement en détention provisoire du meurtrier présumé de l’étudiant rémois.

« Je n’ai jamais voulu ça ! » A peine audible, la voix est pourtant ferme. Au juge des libertés et de la détention (JLD) qui doit statuer sur son sort, Ibrahima Niane, le meurtrier présumé de Benoît-Alexandre Foé mardi dans le quartier des Hauts-de-Murigny à Reims, a réaffirmé hier matin que son geste n’avait rien de prémédité. Cet étudiant en droit, dont la mère est magistrate, sait que sa remise, ou non, en liberté dépend de ce juge.

Placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Reims depuis les faits, le Guinéen âgé de 22 ans devait donc être présenté dans un premier temps au juge d’instruction avant de comparaître devant le juge des libertés et de la détention.

Attendu vers 8 h 30, le fourgon de police qui le transporte, se présente finalement vers 9 h 15 à l’entrée du palais de justice. Simplement habillé d’un Jean’s et d’une chemisette, l’étudiant est resté près de deux heures dans le bureau du juge d’instruction. Mis en examen pour homicide volontaire, Ibrahima Niane a sans aucun doute été interrogé sur ses relations avec la victime. Il a également dû s’expliquer sur le nombre de coups de couteau assénés à Benoît-Alexandre Foé dans l’un des immeubles du 10 de la place Maurice-Utrillo.

Durant son audition, plusieurs membres de la famille du jeune homme dont l’une de ses sœurs, les traits tirés et le visage grave patientent dans le couloir pour obtenir des nouvelles.

Une manifestation sportive pour sensibiliser

Vers 11 h 30, le mis en examen, menotté et encadré de deux policiers pénètre dans le bureau du juge des libertés et de la détention, accompagné de son avocat. Au cours de cette audition, publique depuis 2007, le substitut du procureur a requis le placement en détention provisoire « face à la gravité des faits ».

De son côté, l’avocat du Guinéen a insisté sur le « comportement exemplaire de mon client, dont le casier judiciaire ne comporte aucune condamnation et qui a bien l’intention de se justifier sur ses actes ». Le pénaliste a, sans aucune surprise, plaidé pour sa remise en liberté assurant « qu’il remettrait bien entendu son passeport guinéen à la justice afin d’apporter toutes les garanties possibles de sa présentation devant la justice ».

Le juge des libertés et de la détention a finalement ordonné le placement en détention provisoire.

Vers 12 h 15, après quelques minutes passées en compagnie de sa sœur, le jeune homme a donc pris la direction de la maison d’arrêt de Reims.

Madeleine Simoncello, procureur de la république a précisé hier après-midi « que les investigations se poursuivaient toujours, notamment sur la personnalité du mis en examen, notamment par l’intermédiaire de deux expertises, l’une médico-psychologique et la seconde, psychiatrique, obligatoires dans un dossier criminel ».

La famille de Benoît-Alexandre Foé s’est déclarée « soulagée et satisfaite de la décision du juge ». Une mère, une fiancée, des frères et sœurs, des amis s’apprêtent à rendre un dernier hommage à la victime. « Une marche silencieuse doit être organisée, ainsi qu’une messe à Reims et une veillée à Athis où il vivait », confirmait Zeinab, l’amie du jeune homme.

Les amis de Benoît-Alexandre ont affirmé leur intention de mettre sur pied une manifestation sportive, « pour sensibiliser le public au problème de la violence et surtout pour essayer que plus jamais ce genre de drame n’arrive ».

Le corps de Benoît-Alexandre Foé a été rendu hier à sa famille. Le jeune homme devrait rejoindre dans les prochains jours sa terre natale, le Cameroun pour y être inhumé.

Corinne LANGE

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Journal « l’Union » - 090612a

Feu de Poubelle

Les pompiers sont intervenus hier jeudi peu après 13 heures dans l’avenue du Général-Bonaparte pour éteindre un feu de conteneur à ordures.

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L’hebdo du vendredi- n° 126 - 090611d

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 127 - Semaine du 12 au 18 juin 2009

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Journée de la nutrition

La maison de la nutrition – cœur – obésité - diabète, la Maison de quartier Croix-Rouge, des associations et écoles maternelles du quartier organisent vendredi 12 juin de 14h à 18h sur l’hippodrome de Reims, une journée d’animations et d’information santé et nutrition. Entrée gratuite.

Renseignements au 03 26 36 03 50
ou www.maisondequartier-reims.fr
ou www.espace-watteau.fr

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Journal « l’Union » - 090611c

Croix-Rouge en juin : Quelques dates à retenir

Les travaux pour le tramway avancent bon train.
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Les habitants en fête.

Samedi 13 juin, la grande fête du secteur Taittinger-Eisenhower aura lieu sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome, à partir de 15 heures. Le lendemain, dimanche 14, de 9 h 30 à 16 heures, aura lieu le « Challenge Marceau » à Géo-André (Futsal au gymnase et tournoi de foot sur le terrain synthétique), une manifestation en hommage à Marceau Nicolas, éducateur sportif et ancien président de l’association des locataires de Croix-Rouge Pays-de-France.

Galas de danse.

Le Théâtre du Chemin-Vert étant fermé pour des raisons de sécurité, les deux galas des sections danse de l’association Croix-Rouge animation et promotion se dérouleront en la salle des fêtes de Tinqueux : vendredi 12 à 20 h 30, pour la danse classique et modern’jazz - folklore avec Virginie Delauzin et samedi 13 à 20 h 30, pour la danse rythmique et sportive avec Céline Herter.

Pétanque.

La section pétanque de l’Acrap propose un concours réservé aux non licenciés et aux suspendus de la fédération, sur le parking de l’hippodrome, dimanche 14 juin. Inscriptions à 13 h 30.

Marche.

La randonnée des marcheurs de Watteau est fixée au dimanche 21 juin. Rendez-vous à 8 h 15 au 3, allée Antoine-Watteau. Destination : une sortie à la journée avec repas tiré du sac, au Plateau de Mondement (Sézanne).

A l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature Bol d’air d’une journée, avec pique-nique. Départ 14, rue Pierre-Taittinger, dimanche 28 juin à 9 heures.

Judo.

Le gala de l’association sportive Croix-Rouge (judo) se déroulera samedi 27 juin à 14 heures au gymnase François-Legros.

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Journal « l’Union » - 090611b

Étudiant poignardé / Sa fiancée accuse : « Le geste était prémédité »

Pour Zeinab, la petite amie de la victime, le geste du meurtrier présumé a été préparé.
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Zeinab : « Ben était mon fiancé, mon meilleur ami et mon confident. On partageait tout ».
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Madeleine Simoncello, procureur de la République : « L’autopsie a effectivement permis de déterminer le nombre exact de coups de couteau reçus par la victime ».
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Dans un entretien à l’union, la petite amie de la victime écarte la thèse d’une rivalité amoureuse. Elle évoque néanmoins un contentieux entre Benoît-Alexandre Foé et son meurtrier présumé.

« BEN, c’est quelqu’un qui ne se laisse pas faire mais qui ne cherche pas non plus la bagarre ». Moins de 24 heures après le meurtre de Benoît-Alexandre Foé dans le quartier rémois des Hauts-de-Murigny, Zeinab, sa fiancée ne peut se résoudre à parler de lui au passé. Cette jolie jeune femme de 22 ans, sait pourtant qu’elle ne reverra plus jamais le garçon, rencontré il y a un an au hasard d’une soirée étudiante.

Mardi matin, le geste fou d’un autre étudiant a brisé définitivement leurs rêves d’un avenir commun. Digne, l’étudiante en droit évoque le drame et les dernières heures de celui qu’elle prénomme amoureusement « Ben ».

« Comme d’habitude, on se trouvait ensemble ce matin-là », confie Zeinab. Studieux, le couple révise ensemble en vue de leurs examens. Elle, en droit ; lui, en biologie. Au campus Croix-Rouge comme sur celui de la fac de médecine, on a l’habitude de les croiser ensemble. « Mardi, j’avais un partiel à 9 heures, Ben m’a accompagné à la fac vers 8 h 45. On devait se retrouver vers midi pour réviser ensemble à la bibliothèque ». Ben ne sera pas au rendez-vous…

Alertée par un SMS

« Ibrahima (le meurtrier présumé) et Ben devaient se voir ce mardi matin. Le rendez-vous avait été fixé la veille », assure la jeune femme. Le couple formé par Zeinab et Ben le connaissait bien. « Il était de ma promo mais on n’était pas plus ami que ça ».

La nouvelle du drame, c’est par un SMS envoyé par un voisin que Zeinab l’apprend. « Il disait : Viens vite, il est arrivé quelque chose à Ben ». L’étudiante quitte alors précipitamment la salle d’examen. « Je suis arrivée sur les lieux du drame moins d’un quart d’heure plus tard ». La police l’empêche alors d’approcher la victime. « La dernière image que j’ai de Ben, c’est allongé sur une civière et branché de partout ».

Jamais, elle ne reverra le jeune homme vivant. « Les policiers ont rapidement voulu m’entendre sur ce qui a pu se passer », explique-t-elle.

Un stylo planté dans le crâne

La thèse de la rivalité amoureuse évoquée dans un premier temps ne convainc pas Zeinab. « Je n’y crois absolument pas ! », affirme-t-elle catégorique.

Elle cherche pourtant une explication à la mort violente de son petit ami. « Un événement a influencé leur relation pourtant », se souvient l’étudiante. « Il y a trois ans, Ben s’était un peu moqué d’Ibrahima parce que sa copine l’avait plaqué. La dispute avait dégénéré et Ibrahima lui avait planté un stylo dans le crâne. Rien de grave. Les deux hommes s’étaient expliqués depuis et pour Ben l’affaire était close. Ce n’était pas quelqu’un de rancunier ».

De son côté, l’agresseur de Ben se serait vanté de son geste. « La semaine dernière, il avait chahuté un autre étudiant et Ben voulait simplement lui faire remarquer que son attitude était loin d’être la bonne », croit savoir Zeinab. Au vu des événements dramatiques de mardi, une vérité s’impose naturellement dans son esprit. « Il avait prémédité son geste, c’est certain et aujourd’hui, il dit que c’est lui qui a été agressé. Je ne crois pas à cette version ».

Zeinab a depuis, mené sa propre enquête. « Je connais tout le monde dans l’immeuble. Il semblerait qu’il ne se soit pas écoulé plus de 10 minutes entre la dispute et les cris de son meurtrier (présumé) ». Une autre interrogation : « Pourquoi alerter la police avant les secours ? »

Autant de questions auxquelles devra répondre le meurtrier de Benoît-Alexandre Foé, dans le bureau du juge d’instruction.

Corinne LANGE

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« Ben était un garçon sensible et passionné de musique »

« Sous ses airs de dur, Ben était un homme doux, qui avait comme unique ambition de réussir sa vie privée et sa vie professionnelle… » Depuis le drame, Zeinab refuse de décrocher son téléphone. « J’écoute mon répondeur et je rappelle seulement si c’est indispensable », confie la fiancée de Benoît-Alexandre Foé.

Commenter la mort tragique du jeune homme constitue un effort quasi surhumain qu’elle ne réserve qu’à ses proches. C’est plus volontiers que cette jolie jeune femme de 22 ans, originaire de Djibouti, évoque la personnalité de la victime. « C’était un passionné de rap. Il écrivait des textes magnifiques qu’il mettait en musique », assure Zeinab. Une passion que Benoît-Alexandre Foé partageait, semble-t-il avec son meurtrier présumé. « Ben m’a écrit de très nombreux poèmes ». Elle se souvient d’ailleurs de post-it laissés ça et là dans son appartement dans lesquels « Ben » lui confiait ses sentiments.

Marche silencieuse

À l’issue de l’année universitaire, Benoît-Alexandre et Zeinab devaient rejoindre la capitale pour poursuivre leurs études. « Il était inscrit dans une école afin de devenir ingénieur dans l’industrie pharmaceutique, sans pour autant abandonner l’écriture et la musique », confiait la jeune femme.

Pour rendre un dernier hommage à l’homme qu’elle aimait, Zeinab et les amis du couple souhaitent organiser une marche silencieuse. « Ben était connu et apprécié des étudiants fréquentant les deux campus universitaires. Sa mort est une véritable injustice… »

Toujours au bord des larmes, elle explique « en vouloir énormément à l’assassin de Ben. Pour une bêtise, il a ôté la vie à une personne et briser la vie d’une famille… »

C.L.

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Bien plus que trois coups de couteau

Ibrahima Niane, un Guinéen de 22 ans, meurtrier présumé de Benoît-Alexandre Foé se trouvait toujours en garde à vue hier soir dans les locaux du commissariat de Reims.

« Sa garde à vue a effectivement été prolongée », confirmait hier soir, Madeleine Simoncello, le procureur de la République.

Cet étudiant en licence de droit à Reims, qui sera présenté ce matin au juge d’instruction en charge du dossier, devra notamment s’expliquer sur les circonstances exactes qui l’auraient conduit à poignarder mortellement Benoît-Alexandre Foé. Des faits qui se sont déroulés mardi matin vers 9 heures dans l’un des immeubles du quartier des Hauts de Murigny (voir l’union de mercredi).

Ce que révèle l’autopsie

L’autopsie pratiquée sur la victime au cours de la journée d’hier a commencé à livrer quelques vérités. « L’autopsie a effectivement permis de déterminer le nombre exact de coups de couteau reçus par la victime », a précisé Mme Simoncello. « On peut aujourd’hui affirmer que les coups de couteaux assénés par le meurtrier présumé ont été beaucoup plus nombreux que ceux annoncés initialement ».

Quelques heures à peine après les faits, on évoquait trois coups de couteau. « C’est bien plus ! », ne cachait pas la représentante du parquet rémois.

En ce qui concerne la possibilité d’un acte prémédité, évoqué par Zeinab la fiancée de la victime (voir ci-contre), la procureure reste plus circonspecte : « Pour l’instant en tout cas, j’écarte l’hypothèse de la préméditation, simplement parce que c’est la victime elle-même qui s’est rendue chez son meurtrier présumé et non le contraire ».

Ce dernier devra également s’expliquer à ce sujet.

C.L.

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Journal « l’Union » - 090611a

Challenge Futsal des maisons de quartier : Grande finale mercredi prochain

Les organisateurs se sont réunis pour l’ultime mise au point.
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« Le challenge de futsal, c’est un projet qui vit grâce à tous les animateurs jeunes de chaque maison de quartier » insiste Ali Aït Yahia, l’un des responsables du projet, coordonné par Jean-Noël Censier, directeur de la maison Jean-Jaurès. Durant toute l’année, des rencontres comptant pour la sélection se sont déroulées dans les quatre gymnases mis à disposition par la Ville de Reims, qui soutient le projet dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale. A ce titre, elle proposera les installations du complexe René-Tys le mercredi 17 juin, de 14 à 17 heures pour la grande finale qui opposera dix-huit équipes (10 équipes de moins de 14 ans et 8 de plus de 14 ans) soit environ 120 jeunes. Le but de ce challenge est de permettre aux jeunes de différents quartiers de se retrouver dans un esprit fraternel et sportif.

Les 9 matchs se dérouleront sur le terrain d’honneur, tandis que des animations sportives ou artistiques, effectuées par les adhérents des ateliers des maisons de quartier, permettront aux joueurs de pouvoir se distraire en attendant leur tour, dans la salle Jean-Armand.

Une prestation culturelle sera proposée aux spectateurs avant la remise des trophées et médailles aux équipes vainqueurs.

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Journal « l’Union » - 090610e

Un étudiant rémois tué de plusieurs coups de couteau

La victime est décédée peu de temps après son admission à l’hôpital.
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Arrivé en France en 20022, Benoït-Alexandre Foé a passé son bac à Châlons avant de venir faire ses études à la fac de Reims.
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Un étudiant est mort poignardé, un autre est en garde à vu après une rixe hier dans un hall d’immeuble à Reims. Une rivalité amoureuse serait la cause du drame.

BENOÎT-ALEXANDRE FOÉ avait 21 ans. Il étudiait en deuxième année à la faculté des sciences. Il est mort hier matin, tué de plusieurs coups de couteau lors d’une rixe dans un hall d’immeuble du quartier des Hauts-de-Murigny à Reims.

Les motifs de l’altercation qui l’ont opposé à un autre étudiant d’origine africaine restaient à préciser en fin de journée mais d’après la teneur des premières auditions du meurtrier présumé, arrêté sur place, « l’enquête s’oriente vers la piste de la rivalité amoureuse » a indiqué Madeleine Simoncello, procureur de la République de Reims.

Le drame s’est produit place Maurice-Utrillo, au n° 10, dans un immeuble de neuf étages sans problème particulier. De nombreux étudiants y sont logés par le Crous. C’est le cas du meurtrier présumé, un Guinéen de 22 ans. Benoît-Alexandre Foé est venu le voir vers 9 heures. Le jeune homme domicilié au deuxième étage serait descendu le rejoindre dans le hall. Le ton est monté. Aucun témoin n’a assisté aux coups de couteau.

Seul un locataire est passé dans le hall quelques minutes avant l’instant fatidique, alors que l’altercation venait d’éclater.

Le meurtrier se constitue prisonnier

« J’avais un colis à chercher à la Poste » raconte Joël Friquet. « Quand je suis parti, il y avait deux Noirs qui s’engueulaient dans le hall. Il y en a un qui était contre le mur, l’autre lui faisait face. Ils ne se battaient pas. Ils ne se tenaient pas l’un à l’autre. Ils parlaient en français mais je n’ai pas saisi ce qu’ils disaient. J’ai seulement entendu celui qui était contre le mur dire « Ça ne sert à rien de se disputer ». Je n’ai vu aucune arme. J’ai songé à leur demander d’aller se disputer dehors mais j’ai laissé tomber. Je suis sorti. Quand je suis revenu une heure plus tard, je ne pouvais plus rentrer chez moi. Il y avait des policiers dans le hall. Ils interdisaient aux gens d’entrer et de sortir. »

Benoît-Alexandre Foé avait reçu trois coups de couteau dans l’abdomen, peut-être plus. Retrouvé allongé dans le hall, il était encore vivant à l’arrivée des secours.

Une équipe du Samu l’a évacué vers l’hôpital tout proche où il est malheureusement décédé de ses blessures en fin de matinée.

L’agresseur n’a pas cherché à fuir. Dès qu’il a vu l’étudiant s’effondrer, il a laissé tomber le couteau et s’est mis à courir dans les étages en hurlant qu’il fallait appeler la police. Un ami résidant sur place l’a rejoint. L’épouse de M.Friquet a assisté à l’arrestation.

« J’étais à la fenêtre. J’ai vu deux jeunes sortir. Ils sont allés sur le banc en face. Ils se rouspétaient. Ils sont revenus dans le hall. Ils sont ressortis. Il y en a un qui pleurnichait, l’autre se tenait la tête entre les mains. La police est arrivée. Elle a menotté celui qui pleurait. Je l’ai entendu dire : « C’est moi qui vous ai appelé. Le couteau n’est pas à moi. C’est lui qui voulait me tuer. »

En l’absence de témoin, ces paroles sont évidemment à prendre avec précaution. Seule l’enquête en cours devrait permettre d’établir l’enchaînement précis des faits qui ont abouti à la mort d’un jeune homme de 21 ans.

De retour de Paris la veille où il avait décroché un emploi pour l’été, Benoît-Alexandre Foé devait passer des examens hier après-midi à la fac de Reims.

Fabrice CURLIER

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Une vie brisée à 21 ans

« Jovial », « sociable », « travailleur »… Ce sont les premiers mots qui viennent à l’esprit de ses proches pour décrire Benoît-Alexandre Foé, mort hier matin à 21 ans sous les coups de couteau d’un autre étudiant place Maurice-Utrillo.

Originaire de Yaoundé (Cameroun), le jeune homme vivait en France depuis 2002, date à laquelle il avait rejoint avec ses autres frères et sœurs sa maman domiciliée à Athis, entre Epernay et Châlons-en-Champagne.

« Mon fils était alors en classe de seconde. Il a passé son bac au lycée Oehmichen à Châlons », précise sa mère, Renée-Justine Binet, aide-soignante à la résidence des Trois-Roses à Epernay. Le bac en poche, il a pris une chambre à Reims, avenue Clemenceau. « Il a d’abord été en pharmacie mais ça n’a pas marché. Il s’est ensuite inscrit à la faculté des sciences. Il terminait sa deuxième année. »

Accablée de chagrin, la famille réunie hier après-midi dans l’appartement d’une tante à Reims cherche à comprendre pourquoi on lui a volé la vie de Benoît-Alexandre.

Elle n’a aucune réponse pour l’instant. Renée-Justine Binet est très proche de ses enfants : deux fils et deux filles dont une qu’elle a adoptée. « Je les appelle tous les jours pour savoir comment s’est passée la journée. Un suivi quotidien. Benoît ne m’a jamais parlé d’un problème. » Le dernier contact avec son fils datait de la veille. « Je l’ai eu au téléphone à 18 heures. Il était dans le bus à Reims. Il revenait de Paris où il avait passé un entretien d’embauche pour travailler cet été et les week-ends de la prochaine année scolaire dans un laboratoire de biologie. Il m’a annoncé qu’il était pris. Il était très content. »

Un examen l’attendait ce mardi après-midi à la faculté des sciences. « Je rentre chez moi. Je vais étudier car je compose demain » sont les dernières paroles qu’il a prononcées à sa mère.

F.C. (avec Christian CHARDON)

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Journal « l’Union » - 090610d

Sortie familiale avec l’APPF

 

 

 

L’association de promotion de Pays-de-France organise une sortie familiale le dimanche 14 juin en direction de Nigloland. 18 € par personne, gratuité pour les enfants de moins de 1 mètre de taille.

Inscriptions au local de l’APPF, 5, allée des Picards, mardi et vendredi de 14 à 17 heures (Tél. 03.26.36.59.19. ou 06.31.61.16.10.)

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090610c

Théâtre

La Troupe « Les Feux Faut Les » jouera une pièce de Jean Tardieu « La comédie du langage » ce mercredi 10 juin au Centre culturel du Crous sur le Campus Croix-Rouge à 20 h 30. Entrée gratuite. Buvette sur place.

Plus d’infos sur le site Internet lesfeuxfautles.e-monsite.com Pitch de la pièce : Ils ont une goutte d’intelligence, un soupçon de passion et une grosse dose d’incongruité. Imaginés par Tardieu, ces personnages nous plongent dans leur univers singulier et parfois si proche de la réalité : adultère, rencontre amoureuse, scènes de ménage …

De quoi oublier qu’ils ne parlent pas la même langue que nous. Au premier abord, ils ressemblent à des extra-terrestres arrivés tout droit d’une planète improbable. Mais qui peut affirmer n’avoir jamais parlé pour ne rien dire !

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Journal « l’Union » - 090610b

Tennis au club Géo-André : Un accueil soigné pour les athlètes de haut niveau

« Le déroulement de la saison prochaine sera très déterminant pour nous » annonce Anthony Petit, responsable du centre de formation.
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Au centre de formation du Tennis club Géo-André, l’on ne veut pas attendre la fin de saison pour se pencher sur l’accueil des futurs athlètes de haut niveau.

Depuis quelques mois, plusieurs démarches ont été effectuées pour faciliter leur prochaine rentrée.

« L’objectif cette année était de préparer le terrain administratif, juridique, sportif […] de manière à mieux les accueillir. Cela s’est traduit par un accord qu’on a passé avec la ligue de Champagne-Ardenne de tennis. Nous allons travailler en collaboration sur la formation de quatre éléments espoirs : Claire Makkloufi (96), Aurélie Marchal, Cindy Castille (98) et Enzo Wallart (97). On a mis en place avec le Creps et la direction régionale un dispositif particulier au niveau scolaire pour répondre aux exigences de la filière d’accès au haut niveau. Ce sont donc les profs qui vont venir en journée dispenser des cours aux filles au sein du Creps. Ce qui va nous permettre plus de facilités en termes de déplacement sur les compétitions nationales et internationales ainsi que sur les volumes d’entraînement », explique Anthony Petit, responsable du centre de formation.

« Nous avons également entamé des discussions avec la Fédération française de tennis dans le but de passer un accord officiel. Mais ce qui va être déterminant, c’est le déroulement de l’année prochaine. Il nous faudra faire nos preuves. »

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Journal « l’Union » - 090610a

TENNIS / Interclubs : Désillusion cormontreuilloise

Le Cormontreuillois Jean-Charles Robert a battu Baptiste Faynot, mais…
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Trois descentes, deux maintiens et une montée. Le bilan des clubs marnais est très médiocre.

LA mauvaise nouvelle est surtout venue dimanche de Nantes où, en N3, le Cormontreuil TC a connu une cruelle désillusion. Avec un effectif pourtant bâti pour la montée avec cinq négatifs, les Cormontreuillois ont, de nouveau, été victimes des doubles, un exercice qui leur avait coûté la relégation l’an passé…

En effet, comme on pouvait s’y attendre, le CTC menait 3-2 à l’issue des simples avant de perdre les deux doubles. Résultat, sur terre battue, un score final de 5-3 pour les locaux où évolue l’ex- « européen » Baptiste Faynot, aujourd’hui classé -4/6. « C’est rageant car on pouvait espérer sortir à 4-1 et plier le match puisqu’un nul nous suffisait. Moi, je perds 7-5, 7-6 dans un match tendu et stressant face à un adversaire qui m’a un peu « entortillé » en s’appliquant à me faire mal jouer. Ensuite, en double, on joue, à classement égal, une équipe solide et on perd. Malheureusement c’est le même scénario que l’an passé », pestait Sébastien Jolly.

Le TC Géo-André impérial

En N4, le TC Reims est resté sur le même mode à savoir une lourde défaite à chaque rencontre. La cinquième journée n’a pas dérogé à la règle avec un 8-0 à Roissy-en-Brie. Un petit tour et puis s’en va… reprendre ses habitudes en Pré-Nationale pour le célèbre club rémois.

En revanche, le Reims Europe Club a incontestablement été la bonne note de ces Interclubs. Déjà assurés de monter, les partenaires de Matthieu Roy, qui a récemment conservé son titre de champion de Champagne, ont mis un point d’honneur à finir premiers de leur poule en battant Ris Orangis (4-3). Au grand désespoir des Essonniens qui ont vu la montée s’envoler et qui sont partis furieux au terme d’une rencontre très accrochée et houleuse.

De son côté, le TC Géo-André a été impérial face à l’AS Mantaise (6-1). Conscients qu’une victoire leur assurait un maintien aisé, les Rémois se sont employés pour signer un splendide 5-0 à l’issue des simples, grâce notamment à une belle « perf » à -2/6 de Jordan Balles (1/6).

Saison noire

Chez les dames, les deux clubs de N2 ont connu une saison noire. Quasiment condamné à la relégation avant le début de la compétition, Géo-André n’a pas pu réaliser de miracle. La défaite à Niort (6-2) en témoigne et les coéquipières de Mylie Gillet évolueront l’an prochain à l’étage inférieur qui, de fait, correspond plus au poids actuel de l’équipe.

Mais elles ne seront pas seules à ce niveau puisque le Reims Europe Club va les accompagner… Avec trois négatives, dont la chef de file Nathalie Mohn (-30), le REC possédait réellement la stature pour se maintenir. Seulement la blessure de Marie Menacer (-4/6) et les indisponibilités à répétition ont eu raison des espoirs du coach Pheng Xayphengsy qui a assisté, impuissant, à la sévère défaite de ses protégées contre la réserve du Stade Toulousain (7-1).

MESSIEURS

N3

NANTES. - SNUC Nantes bat Cormontreuil TC 5-3.

Sakharov (-15) bat Beuque (-15, Cormontreuil) 6-3, 2-6, 6-2 ; Robert (_ 4/6, Cormontreuil) bat Faynot (-4/6) 6-0, 6-1 ; Rigaudeau (-4/6) bat Jolly (-4/6, Cormontreuil) 7-5, 7-6 ; Leveque (-2/6, Cormontreuil) bat Mouveau (-2/6) 6-3, 6-2 ; Pilliet (-2/6, Cormontreuil) bat Volciair (2/6) 6-2, 5-7, 6-2. Sakharov - Rigaudeau battent Beuque - Robert 7-6, 6-4 ; Faynot _ Mouveau battent Jolly - Pilliet 6-2, 6-4.

N4

ROISSY-EN-BRIE. - Roissy-en-Brie AST batTC Reims 8-0.

Le Panse (-4/6) batWauthier (4/6) 6-3, 6-3 ; Paulin (1/6) bat Aubry (5/6) 1- 2 abandon ; Bonaventure (2/6) bat Bertaux (5/6) 6-3, 6-3 ; Dorsemaine (2/6) bat Cailleux (5/6) 6-2, 6-0 ; Gautheret (2/6) bat Pusset (5/6) 6-4, 6-4.

Le Panse - Athuil (1/6) battent Wauthier - Bertaux 3-0 abandon ; Bonaventure - Steiner (1/6) battent Cailleux - Pusset 6-1, 6-1.

REIMS. - Reims Europe Club bat US Ris Orangis 4-3.

Roy (-4/6, Europe Club) bat Sietting (-2/6) 4-6, 7-6, 6-4 ; Garcia (1/6) bat Seuret (0, Europe Club) 1-6,6-2,6-4 ; Castelhano (0, Europe Club) bat Dizzazo (1/6) 7-5, 6-7, 6-2 ; Le Gall (1/6) 6-3, 7-6 ; Gajanovic (3/6, Europe Club) bat Rubbi (5/6) 6-0, 6-0.

Roy - Seuret battent Sietting - Dizzazo 7-5, 4-6, 6-2 ; Garcia - Le Gall battent Castelhano - Bonnet 4-6,6-4,6-4.

REIMS. -TC Géo-André bat AS Mantaise 6-1.

Balles (1/6, Géo-André) batTison (-2/6) 6-2, 7-6 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Ferreira (1/6) 6-3, 6-4 ; Pignon (216, Géo-André) bat Pommier (3/6) 6-2, 6-4 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat Cruzel (4/6) 6-3, 6-2 ; Defosse (4/6, Géo-André) bat Michaux (5/6) 3-6, 7-5, 6-2.

Tison -Ferreira battent Balles - Pacanowski 7-6, 7-5 ; Pignon - Leroy battent Pommier - Cruzel 6-4, 6-3.

DAMES

N2

NIORT. - Niort ET batTC Géo-André 6-2.

Mylie Gillet (0, Géo-André) bat Maïa Kambic (-4/6,) 6-1, 6-3 ; Hannah Gondran (-2/6) bat Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André) 6-0, 6-0 ; Audrey Moronval (0) bat Sophie Bousquet (5/6, Géo-André) 7-5, 6-0 ; Anne-Sophie Rose (15, Géo-André) bat Mélody Blais (4/6) 6-3, 6-1 ; Stéphanie Piton (15) bat Audrey Sarrazyn (15, Géo-André) 6-3, 7-6.

Maïa Kambic - Mélody Blais battent Mylie Gillet - Anne-Sophie Rose 6-4, 7-5 ; Audrey Moronval- Stéphanie Piton battent Audrey Sarrazyn - Delphine Bavencoff (15/2, Géo-André) 6-0, 6-1.

TOULOUSE. - StadeToulousain (B) bat Reims Europe Club 7-1.

Nathalie Mohn (-30, Europe Club) bat Géraldine Krynen (-216) 6-2, 6- 4 ; Charlotte Soubrie (-2/6) bat Alice Hall (-2:6, Europe Club) 6-1, 7-6 ; Sabine N’Goran (-2/6) bat Mélanie Roy (416, Europe Club) 6-1, 6-1 ; Nicole Hesse Cazaux (4/6) bat Audrey Rousseaux (15/1, Europe Club) 6-1, 6-1 ; Pauline Pionnie (15) bat Déborah Rajaosafara (15/4, Europe Club) 6-4, 6-1.

Charlotte Soubrie - Sabine N’Goran battent Nathalie Mohn -Alice Hall 6-4, 2-2 abandon ; Géraldine Krynen - Nicole Hesse Cazaux battent Mélanie Roy - Audrey Rousseaux 6-0, 6-0.

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Journal « l’Union » - 090609i

Avec la MJC Croix-Rouge : Des séjours d’été pour enfants de 8 à 11 ans

Croque-Nature c’est construire une cabane, une table, un banc…
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L’association MJC Croix-Rouge organise, pour la 5e année consécutive, des mini-camps en juillet : « Nous espérons ainsi permettre à des enfants du quartier Croix-Rouge, âgés de 8 à 11 ans, de partir quelques jours » précise la présidente Béatrice Sicard.

« Croque-Nature », c’est le nom de ces séjours. Ils sont organisés en collaboration avec les Francas, le conseil régional Champagne-Ardenne, les Éclaireurs et Éclaireuses de France, le département de la Marne, le CCAS et les maisons de jeunes et de la culture.

Les séjours sont organisés sur 5 jours et se situent dans la Marne à Blacy, du lundi 13 au vendredi 17 juillet, du lundi 20 au vendredi 24 juillet et du lundi 27 au vendredi 31 juillet (Transport en train et séjours encadrés par des animateurs et des animatrices diplômés).

Les inscriptions seront prises les mercredis 17 et 24 juin et 1er juillet à l’espace Billard (14, rue Pierre-Taittinger) de 8 h 30 à 10 heures, à l’espace Aquarelle (1, allée des Béarnais) de 13 à 14 heures, ou à l’espace Watteau (3, allée Antoine-Watteau) de 17 heures à 18 h 30.

Tarifs selon le quotient familial. Bons CAF acceptés. Renseignements auprès de Béatrice Sicard (03.26.86.27.76. ou 06.30.38.29.88.).

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Journal « l’Union » - 090609h

Croix-Rouge : Journée « 1, 2, 3, santé… »

La Maison de la nutrition (Cœur, obésité, diabète) et la Maison de quartier Croix-Rouge organisent avec de nombreux partenaires de la santé, associations du quartier et les écoles maternelles Blanche-Cavarrot, Auvergnats et Hippodrome, une journée d’animation et d’information santé et nutrition.

Rendez-vous est donné aux habitants, petits et grands, vendredi 12 juin sur l’hippodrome de Reims de 14 à 18 heures.

Ateliers, animations

Cette manifestation est l’aboutissement d’une année de travail avec des classes des écoles citées et d’un partenariat bien rôdé avec l’opération « Et la santé, comment ça va ? » engagée depuis 2006.

Chacun pourra trouver réponse à ses questions et participer à différents ateliers, stands et animations. Un jeu fil rouge permettra à certains de recevoir un lot.

Un rendez-vous à ne pas manquer pour apprendre à mieux se bouger et à mieux manger au quotidien.

Entrée gratuite côté box chevaux, avenue du Président-Kennedy.

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Journal « l’Union » - 090609g

Croix-Rouge s’affiche : Retour sur un Festival boudé

Kerjo et the Mothafonk jouent depuis trente minutes, mais le public n’est pas là !
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L’édition 2009 du Festival « Croix-Rouge s’affiche » ne restera pas dans les mémoires. La désaffection du public a été remarquable à tous les niveaux. Que s’est-il donc passé ? POURQUOI le public a-t-il boudé le Festival Croix-Rouge cette année ?

Le premier adjoint Eric Quénard a annoncé une réunion rapide avec les responsables pour dresser un bilan : « L’Etat a apporté 25.000 euros auxquels la Ville a ajouté 30.000 euros : tout l’argent issu du CUCS (contrat urbain de cohésion sociale) devrait servir essentiellement à la promotion du tissu associatif ! » Or, les associations, on ne les a pas vues et elles l’ont fortement regretté !

Même constat du côté des organismes logeurs, invités à financer à hauteur de 6.000 euros : « On prend notre argent », regrette cette responsable de Reims habitat, « mais à aucun moment nous n’avons été consultés ni pour la conception, ni pour le programme ! »

À la décharge des organisateurs, il faut se souvenir que « le directeur Jeunesse de la Maison de quartier Croix-Rouge, Yves Pringault, avait proposé une organisation distincte pour le festival et pour les fêtes de secteurs, ceci dans le but de redonner aux associations et aux habitants toute leur place. Cette proposition avait été validée par les associations présentes », rappelle Marie-Élisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Résultat, « Il y a bien une fête par secteur géographique tel que cela a été décidé à l’automne dernier » : vendredi 1er mai, avec « Le muguet de Croix-du-Sud », dimanche 31 mai sur le secteur Eisenhower, samedi 13 juin sur le secteur Université et samedi 3 octobre à Pays-de-France. Mais, par contrecoup, le Festival n’a pas bénéficié du support essentiel des associations.

Trop de concurrence…

Quand on compare les concerts de mercredi et jeudi 20 et 21 mai avec les concerts d’ouverture des anciens Festivals Croix-Rouge s’affiche, où de « grosses pointures » (Cheb Bilal, Reda Raliani, Cheb Abbes, Cheb Redouane, Cheba Zahouania) déplaçaient, de 2005 à 2008, des foules considérables de 1.000 à 3.000 personnes venues de tout Reims mais aussi de la région et même de plus loin, on peut se demander quelles sont les raisons d’une telle désaffection du public.

Au-delà de l’absence de têtes d’affiche prestigieuses et d’un choix de musique excluant le raï, on relève un vrai problème de calendrier.

Le Festival Croix-Rouge 2009 s’est retrouvé en concurrence directe avec de nombreuses autres manifestations (Orgeval en fête, la Corrida d’Orgeval, le Festival Brut de scène, la Reims Académie et le Festival Rémois et Moi et Toi).

Difficile, dans ces conditions, de mobiliser les foules sur Croix-Rouge…

Enfin, il y a l’orientation du Festival qui, au dire de certains, « a perdu son âme » en devenant un Festival de théâtre Croix-Rouge : rien dans les quartiers mais six jours sur neuf ont été consacrés au théâtre, avec huit pièces différentes, toutes jouées au centre culturel du Crous, à l’intérieur de l’Université.

…et trop de théâtre

Or, d’une part, le théâtre, ce n’est pas la tasse de thé des habitants, d’autre part, ces derniers ne fréquentent jamais la Fac et beaucoup ne savent même pas où se trouve le centre culturel du Crous ! Croix-Rouge et l’Université ont toujours été deux mondes voisins qui ne se fréquentent pas.

En définitive, si pour le directeur artistique, auteur dramatique, metteur en scène, créateur et sculpteur José Mendès, le Festival a été un formidable piédestal personnel, il a été pour les habitants du quartier un non-événement regrettable. Heureusement qu’il y a les fêtes de secteurs, sans budget mais avec une vraie participation des associations et des habitants !

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Journal « l’Union » - 090609f

Dans les quartiers : Séances de ciné en plein air

Deux matinées de jeux et d’échanges parents-enfants-enseignants.
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Entre la fin juin et la fin août, la Ville propose six séances en plein air dans différents sites. Vous aimez le cinéma ? Venez découvrir les films dans un contexte différent avec une série de longs métrages proposés cet été en plein air dans les quartiers.

PASSEURS d’images… c’est le nom de l’opération reconduite cette année durant l’été afin de proposer des séances de cinéma gratuites dans les quartiers.

Entre la fin juin et la fin août, la Ville propose ainsi six séances de cinéma en plein air dans différents sites. Cette année la programmation s’annonce variée (avec une comédie, des films d’animation, d’aventure) et riche en émotions pour le plaisir de tous ! L’entrée est gratuite et bien entendu ces diffusions sont tributaires de la météo…

La programmation

- Vendredi 26 juin à 22 h 30, place du 11-Novembre - quartier du Chemin vert : Caramel (comédie dramatique - Liban). Dans un salon de beauté et de coiffure de Beyrouth travaillent ou se croisent cinq femmes, dont le film suit la vie quotidienne et les amours.
- Mardi 7 juillet à 22 h 30 parc de Champagne : Nausicaa de la Vallée du vent (animation). Second long-métrage de Hayao Miyazaki après Le Château de Cagliostro, Nausicaa de la Vallée du Vent est l’adaptation du manga éponyme écrit et dessiné par l’auteur lui-même.
- Vendredi 10 juillet à 22 h 30 place Eisenhower, quartier Croix-Rouge : Soyez sympa rembobinez (comédie réalisée par Michel Gondry Avec Jack Black, Mos Def, Danny Glover).
- Vendredi 24 juillet à 22 h 30 place des Argonautes, quartier châtillons : Pirates des Caraïbes jusqu’au bout du monde (aventure, avec Johnny Depp et Orlando Bloom).
- Jeudi 20 août à 22 heures derrière la maison de quartier Claudel : Les Simpsons (animation).
- Vendredi 28 août à 22 heures au parc de Champagne : Whatever Lola wants (comédie dramatique avec Laura Ramsey).

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Journal « l’Union » - 090609e

Sport et santé à la maternelle Blanche-Cavarrot : Bien manger, bien bouger

Un parcours d’agilité proposé par l’Usep et le Dac.
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Dans la cour de la maternelle Blanche-Cavarrot, des petits traversent un parcours d’agilité encadrés par Loïc Dideiro, animateur du Dac Reims athlétisme et par Françoise Cloux, présidente de l’Usep / Usal.

« Nous sommes partenaires du plan de nutrition. Nous venons, dans plusieurs écoles maternelles, parler des bonnes attitudes par rapport à l’alimentation, liée à l’activité physique » explique Françoise Cloux.

Le projet, sur deux ans, mené avec la maison de la nutrition et la protection maternelle et infantile, a démarré dès la rentrée en moyenne section.

« Les maîtresses ont travaillé sur la classification des aliments, élaborant avec les enfants des recettes de cuisine » ajoute Christine Guyard, la directrice.

Dans l’année, un « petit-déjeuner test » a été livré par la caisse des écoles aux enfants, en présence des parents, afin de les sensibiliser au petit-déjeuner équilibré. « Nous ne sommes pas des donneurs de leçons. Le point le plus important ici, c’est le lien école-famille » tient à préciser Christine Guyard.

Petit-déjeuner test

« Nous voulons que les enfants comprennent que tout est lié : bien manger, bien bouger ! » renchérit Françoise Cloux.

Sous le slogan « 1.2.3. santé ! », trois écoles maternelles du quartier Croix-Rouge, Hippodrome, Auvergnats et Blanche-Cavarrot, présenteront une restitution festive, autour d’ateliers sportifs, diététiques et ludiques, à laquelle parents et habitants du quartier sont conviés, le vendredi 12 juin à l’hippodrome de 13 h 30 à 17 heures.

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Journal « l’Union » - 090609d

Un hommage lui sera rendu dimanche par Pays-de-France : Marceau Nicolas pas oublié

Il s’agira de se souvenir d’un bénévole trop tôt disparu.
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DIMANCHE 14 juin se déroulera une journée d’hommage à Marceau Nicolas, éducateur sportif et ancien président de l’association des locataires de Pays-de-France, décédé le 6 août 2008 à l’âge de 64 ans.

« Cet hommage symbolisera son travail dévolu aux « petites gens » du quartier et à sa passion du foot » précise Jamal Chafik, de l’Acrap.

Une plaque deux tournois

- A 9 h 30, au complexe omnisports Géo-André, avenue François-Mauriac, dévoilement d’une plaque « Marceau-Nicolas » au nouveau vestiaire des stades, face à l’entrée du terrain synthétique. Inauguration en présence des élus.
- De 10 à 16 heures, deux grands tournois : futsal au gymnase Géo-André, organisé par Cyril Houppermans et Stéphanie Tadla, avec dix équipes de 12 -15 ans, et challenge seniors (12 équipes sur 3 terrains). Il s’agit d’un tournoi officialisé par le district de la Marne, avec l’Amicale des arbitres de Reims, l’Acrap, Bezannes, Crugny, Gueux, Hermonville, Reims Escale, les Amis de Marceau, une équipe de la région parisienne et, du sud de la France, le club de Bagnols : des équipes au profil « sportif et bon esprit » la devise de Marceau.

Echanges et souvenirs

Le complexe sportif sera ouvert dès 8 heures. La remise des coupes, dont la coupe « Challenge Marceau-Nicolas » pour les seniors, offerte par la ville de Reims, aura lieu à 16 heures.

Ses proches amis se réuniront ensuite à sa mémoire, à l’initiative des associations de Croix-Rouge organisatrices :
- Acrap (Jean-Pierre Genesseau, Jamel Chafik, Cyril Houppermans),
- associations de locataires :

    • « Et Croix-Rouge - Comité Pays-de-France » (Roseline Marandon, Jean-Pierre Bauwens et Alain Polliart, fondateur),
    • des Polygones (Geneviève Kaczowka)
    • et Union des locataires de Croix-Rouge (Claude Stoltz),

- Collectif Croix-Rouge accueil (Émile et Simone Longuet),
- Association de promotion de Pays-de-France (Christiane Monflier),
- MJC Croix-Rouge (Béatrice Sicard, Christian Énault),
- Francas (Stéphanie Tadla).

« Ce sera l’occasion pour ses amis de se retrouver, d’échanger et de se souvenir, dans l’optique de rester fidèles à sa mémoire » précise Alain Polliart.

Lisez l’article : Biographie de Marceau Nicolas, par Alain Polliart.

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Journal « l’Union » - 090609c

Espace de lecture pour les petits

Jusqu’au 15 juillet, un espace de lecture dédié aux tout-petits est installé pendant la manifestation« Grandes histoires pour petites oreilles. ».

Il a été conçu et réalisé par l’artiste plasticienne Clémentine Treu : « Un espace, une bulle, un lieu dédié à la lecture, l’écoute, le repos, le jeu, qui accueille les jeunes enfants de 3 mois à 3 ans, pour écouter ou entendre des histoires. »

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge -19, rue Jean-Louis Debar.

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Journal « l’Union » - 090609b

Feux divers : Incendies par-ci, par-là

Dimanche vers 21 heures, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré rue Paul-Vaillant-Couturier. Hier juste après minuit, une Audi A4 a pris feu rue Paul-Fort.

La voiture n’était pas signalée volée.

Vers 13 h 3D, des feuilles mortes incendiées le long d’un soupirail ont provoqué un dégagement de fumée boulevard de la Paix.

Une heure plus tard, un Il feu d’appartement JI signalé aux pompiers allée des Savoyards se limitait en fait à un feu de machine à laver. Il a été rapidement éteint.

En soirée, un incendie s’est déclaré dans un local à vide-ordures de l’allée des Bourguignons.

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Journal « l’Union » - 090609a

Les religions et la crise

 

Reims management school organise une conférence le jeudi 11 juin de 18 h 30 à 20 heures intitulée« Christianisme, Islam, Judaïsme : regards croisés sur le monde de l’après-crise ».

Seront présents pour débattre le rabbin Haïm Korsia (photo), aumônier militaire et ancien rabbin de Reims, l’abbé Alain de la Morandais et Malek Chebel, anthropologue des religions, spécialiste de l’islam.

La conférence, ouverte au public, aura lieu au grand amphi du campus 1, 59, rue Pierre-Taittinger.

 

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Journal « l’Union » - 090608e

Maternelle Blanche-Cavarrot : « Rassurer parents et bambins »

Deux matinées de jeux et d’échanges parents-enfants-enseignants.
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« Faire comprendre l’école aux parents, c’est aussi leur ouvrir nos portes ! » assure Christine Guyard, directrice de l’école maternelle Blanche-Cavarro. Pour que les parents confient sans appréhension leurs enfants à la rentrée, pour guider ces derniers dans leur réussite scolaire, pas de meilleur moyen en effet que de leur faire connaître tous les rouages de l’école.

En ZEP aussi on s’intéresse…

C’est pour cette raison que celle-ci a ouvert ses portes durant deux matinées, les 29 mai et 5 juin.

Les parents, accompagnés des futurs élèves, ont été invités à voir maîtresse et enfants travailler : « Je les ai invités dans ma classe, ils ont pu assister à toutes les activités proposées, et être rassurés sur ce qui attendra leurs bambins à la rentrée ».

La directrice tient à faire tomber une image erronée : « Ce n’est pas parce que nous sommes en ZEP (zone d’éducation prioritaire) que les parents ne s’intéressent pas à l’école et à ce que nous y faisons. Bien au contraire, ils adhèrent volontiers à nos projets ».

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Journal « l’Union » - 090608d

Samedi 13 juin : Une grande fête, secteur Université

Le collectif des Maisons de quartier et des associations de Croix-Rouge et les sections majorettes et pétanque de l’Acrap se sont réunis pour animer la fête du secteur Université, samedi 13 juin de 15 à 19 heures. Cette manifestation propose diverses actions qui permettent de valoriser les ateliers existants, ainsi que des animations et des stands de jeux.

« L’objectif est de fédérer les associations, bénévoles et habitants sur un temps de fête partagé » précise Marie-Élisabeth Causin, directrice de l’espace Billard et coordinatrice de la fête, et « de redonner toute leur place aux associations et aux habitants. »

Sur Taittinger/Eisenhower, voici la liste des associations partenaires :
- Maison de quartier Croix-Rouge (Espaces Nacelle et Billard),
- Union des locataires Croix-Rouge,
- Association Croix-Rouge animation et promotion,
- le Centre d’hébergement et de réinsertion sociale les Primevères,
- l’association Multi-Échanges services,
- les Transports urbains rémois,
- le tri sélectif,
- l’association de locataires des Polygones,
- le Collectif de défense des locataires Croix-Rouge,
- les Rencontres internationales de Reims,
- le Groupe d’action contre les mutilations sexuelles,
- l’Association de la fondation étudiante pour la ville
- et l’Union des associations familiales.

Cette opération est financée dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale, avec le soutien de Reims Habitat.

Le programme

Tout l’après-midi, stands et jeux pour petits et grands (parking du centre commercial Hippodrome).

-  À 15 heures, l’Acrap en action : défilé de majorettes (entre les Polygones et Rilly-la-Montagne, via les immeubles Eisenhower, Taittinger et retour devant Billard) et démonstrations de sports et arts martiaux (Karaté-kobudo et Viet vo dao, avec exhibition devant Billard entre 15 et 16 heures).

- À 16 heures, podium chant et danse.

- À 19 heures, apéritif et repas festif en commun.

La médiathèque Croix-Rouge s’associe à cette fête : des lectures et des jeux autour des livres seront proposés par les bibliothécaires dans le bibliobus pour enfants, devant la Maison de quartier Billard.

Renseignements : espace Billard au 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » - 090608c

Marne / Légion d’honneur : Recueillement à l’Arc de Triomphe

Une belle journée à Paris.
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Après une sympathique et amicale journée consacrée à une croisière sur la Seine et une visite du musée de la Légion d’honneur, une cinquantaine de Marnais de l’association des membres de la Légion d’honneur est allée à l’Arc de Triomphe déposer une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu.

Trois jeunes Rémoises lauréates du jeu-concours de la langue française 2009 avaient été conviées à partager ce moment solennel et émouvant.

Les membres de la Légion d’honneur étaient issus des sections de Reims, Châlons et Epernay.

 

 

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Journal « l’Union » - 090608b

A Croix-Rouge et Europe : Ça brûle !

Dans la série des feux divers, les pompiers ont été appelés hier dimanche vers 4 heures du matin pour un feu de cyclomoteur dans le quartier Croix-Rouge, place Dominique-Ingres.

Une vingtaine de minutes plus tard, ils intervenaient au collège Georges-Braque, guère éloigné de la place Ingres comme par hasard, pour éteindre un pneu enflammé. Il semble qu’aucune effraction n’ait été commise contre l’enceinte de l’établissement scolaire, le pneu aurait été balancé depuis la rue par-dessus la clôture. Vengeance d’un élève mécontent des appréciations sur son bulletin ?

Un peu plus tôt dans l’après-midi de samedi, vers 17 heures, un abri pour bus avait été endommagé par un feu dans l’avenue de l’Europe (dans le quartier du même nom), et encore plus tôt, peu après 14 h 30, c’est une poubelle qui brûlait place des Oiseaux, proche de l’avenue de l’Europe précédemment citée. De là à conclure qu’un (ou plusieurs) manieurs d’allumettes ou de briquet se baladaient par là cet après-midi-là…

A.P.

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Journal « l’Union » - 090608a

Repérés avec hache et bâtons

Quelles étaient les intentions de ces trois jeunes garçons, tous mineurs, repérés dans un jardin privatif de la rue Alphonse-Daudet (secteur du cimetière de l’ouest) au cours de la nuit de jeudi à vendredi, alors qu’ils étaient munis d’une hache et de bâtons ? Sans doute n’étaient-elles guère avouables, car à l’arrivée d’une patrouille de police, le trio a tenté de prendre la fuite.

Les agents ont toutefois réussi à mettre la main sur l’un d’eux, âgé de 14 ans et demi, qui a été interpellé pour vol de cyclomoteur, et déféré vendredi après-midi devant la justice des mineurs. Ses deux comparses auraient quant à eux été identifiés.

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Journal « l’Union » - 090607b

Plusieurs feux

Les pompiers ont eu plusieurs feux plus ou moins suspects à éteindre entre la soirée de vendredi et la matinée d’hier.

.. un autre vers 6 h 30 dans l’allée Edgar-Degas du quartier Croix-Rouge ; et là, il s’agissait encore une fois d’une Ford Fiesta.

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Journal « l’Union » - 090607a

Sortie de route

Le conducteur d’une Audi a fait une sortie de route hier vers 7 h 30 au rond-point François-Mauriac (Croix-rouge). Il n’a pas été blessé.

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Journal « l’Union » - 090606e

Résidences universitaires : Des cités U plus cools

Jean-Marc Lambert (en médaillon) : « Teilhard de Chardin débutera sa réhabilitation en juillet ; près des coquilles de Croix-Rouge, ce sera carrément du neuf que l’on construira dans les prochaines semaines. »
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Les logements étudiants à venir répondront à Reims à au moins deux priorités : souplesse dans les baux, haut niveau d’équipements.

SI les perturbations du campus Croix-Rouge risquent de faire une mauvaise publicité aux facs rémoises, la qualité annoncée des futurs logements étudiants devrait, elle, contribuer à rééquilibrer la balance.

Le nouveau directeur du Crous, cheville ouvrière en la matière, Jean-Marc Lambert, annonce ainsi des constructions ou des réhabilitations pour un avenir tout proche, avec deux priorités à respecter : d’une part une plus grande souplesse dans la gestion hôtelière : « Fini le temps des baux de dix ou douze mois ; du fait d’une plus gande mobilité géographique, avec la multiplication des stages, des voyages etc. les étudiants sont demandeurs de séjours plus courts » ; le Crous va aller dans ce sens, à charge pour lui de combler au mieux les périodes d’inoccupation. D’autre part, la qualité. A cet égard, la tendance générale, ne serait-ce que pour se mettre en conformité aux normes européennes, est à l’accroissement de la surface des chambres. « On passe des formats de chambres classiques de 9-10 m2, à des formats studios de 16, 18 et jusqu’à 22 m2, déclare le directeur. Quant aux sanitaires, il y aura systématiquement la triple fonction - WC, douche, lavabo - assurée dans chaque logement. »

Pour ce qui est de la connexion à internet, devenue incontournable, on offrira le filaire haut débit de préférence au sans-fil de moindre capacité.

Ces nouveaux dimensions et équipements se trouveront ainsi systématisés dans la résidence Teilhard-de-Chardin (près du Moulin de la Housse) version réhabilitée : les travaux débuteront le 1er juillet sur deux des trois bâtiments (on notera que le plan de relance anti-crise gouvernemental a donné un coup de pouce au dossier : au départ la première tranche ne devait concerner qu’un seul bâtiment). D’après ce que nous avions pu constater lors d’une récente visite sur place (notre édition du 20 mai), cette réhabilitation ne devrait pas apparaître comme superflue. Le gain de surface pour chaque logement aura pour contrepartie la diminution de leur nombre total : on passera de 350 chambres petites à 260 plus vastes.

220 chambres au pied des coquilles

Autre chantier qui devrait respecter les nouvelles normes : cette fois ce sera du neuf et non pas de l’ancien rénové, avec la construction d’un immeuble de 220 chambres au pied des coquilles de Croix-Rouge, en partenariat avec le Foyer rémois. « Ça débutera dans les prochaines semaines pour une livraison dans dix ou douze mois », indique M.Lambert.

Saint-Nicaise pour sa part, s’offrira certes une réhabilitation, avec la triple fonction sanitaire individuelle, mais sans gain de surface (on restera à 10m2) ; la bonne nouvelle toutefois concernant cette résidence, c’est que ses travaux se feront plus tôt que prévu : dans un an, au lieu de deux. Quand on ajoute que les loyers de ces logements resteront socialement abordables (de l’ordre de 200 euros) de quoi pourraient ensuite se plaindre les étudiants… en dehors des grèves bien sûr ?

Antoine PARDESSUS

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Journal « l’Union » - 090606d

Salons de musique

Césaré, centre national de création musicale présente les salons de la musique avec la chanteuse Valérie Joly le jeudi 11 juin à 14 heures à la médiathèque Croix-Rouge. 19. rue Jean-Louis Debar. Entrée libre.

Ces salons ne sont pas des concerts mais un moment de rencontre autour d’un thé, petits gâteaux, contes et chants.

En préfiguration des ateliers de chant qui seront mis en place à la rentrée, elle propose un voyage sonore et gustatif au travers de chants et de musiques du monde aux langues et aux accents mêlés

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Journal « l’Union » - 090606c

L’Ufolep fête ses 80 ans

Dans le cadre des 80 ans de l’Ufolep, ont lieu ce dimanche 7 juin à Reims, les phases finales de coupe départementale de football, volley-ball et basket-ball, plus un tournoi de badminton.

Au programme :

- Volley-ball au gymnase Géo-André de 9 à 17 heures.
- Football seniors et vétérans sur les terrains du stade Géo-André - Finales consolante de 10 heures à 12 h 30. Finales challenge de 14 h 30 à 16 h 30.
- Basket-ball : gymnase C du Creps : consolante 12 h 30 à 14 h 30. Challenge de 14 h 30 à 16 h 30.
- Badminton : gymnase Maryse-Bastié. Tournoi de 9 à 16 heures.

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Journal « l’Union » - 090606b

Christianisme, islam et judaïsme

Une conférence sur le thème : « christianisme, islam et judaïsme, regards croisés sur le monde de l’après-crise » aura lieu le jeudi 11 juin à 18 h 30 au grand amphi campus 1 de Reims management school, 59, rue Pierre-Taittinger avec la participation de Malek Chebel, anthropologue des religions, spécialiste de \’Islam ; l’abbé Alain de la Morandais et Haïm Korsia, aumônier militaire, ancien rabbin de Reims.

Conférence ouverte à tous.

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Journal « l’Union » - 090606a

Au feu : Une voiture incendiée sur une remorque

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A 22 heures, un feu de cave s’est déclaré rue Auguste-Rodin, au n° 3.

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Journal « l’Union » - 090605i

Croix-Rouge : C’est pas trop tôt

Cerise sur le gâteau :on peut y déposer son courrier sans même descendre de voiture !
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Elle a été réclamée à corps et à cri par Micheline Sage, présidente de l’Amicale des locataires Hippodrome/Université.

Plus tard, Claude Stoltz, en assemblée générale de l’Union des locataires de Croix-Rouge, a repris la demande et a suggéré de lancer sur le quartier une souscription publique pour en financer l’acquisition…

La Poste a enfin offert aux habitants du secteur Eisenhower/Taittinger une superbe boîte aux lettres flambant neuve en face du centre commercial de l’Hippodrome.

 

 

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Journal « l’Union » - 090605h

Croix-Rouge / Dernières nouvelles du quartier

À Croix-Rouge, tout le monde n’apprécie pas les travaux du tramway.
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Milliards

« Ça va nous coûter des milliards, votre truc là » ou encore « Ça sert à rien tout ça » et « C’est notre pognon qui fout l’camp ici ! » : quelques exemples des protestations d’un petit public massé sur la passerelle Eisenhower et qui regardait « de haut » la cérémonie du soudage du premier rail du tramway en contrebas. Des protestations qui n’ont perturbé ni les officiels ni les ouvriers chargés des opérations.

Déconstruction

Les opérations de déconstruction des immeubles situés aux 25, 27, 29 et 31 Eisenhower (46 logements) se poursuivent selon le calendrier annoncé. Après le désamiantage et le dévoiement des canalisations, on a enlevé portes, fenêtres, sanitaires, radiateurs… Prochaine étape : le grignotage final !

Haltérophilie

Deux finalistes des France cadets et juniors à Saint-Quentin-Fallavier (38) pour le Reims Haltérophilie Musculation, Allan Poiret qui s’est imposé chez les 56 kg juniors et Abyr Touti devenue, comme l’an dernier, vice-championne de France junior : « Les deux sont d’anciens élèves du collège François-Legros (Allan en SEGPA) et anciens de la section sportive », se réjouit Philippe Labiausse, le principal, qui encourage le partenariat entre son établissement et le RHM. 

Voisins

Les locataires de l’association At’Hom ont préféré fêter les voisins le 29 mai : « Une soixantaine de personnes ont répondu « présent », il y avait ce qu’il fallait pour manger et boire avec, pour la première fois, un barbecue. Un voisin s’est dévoué et a cuisiné toute la soirée, ce qui a été fort apprécié », résume Danielle Bonfils, présidente.

De son côté, l’association des locataires des Polygones organisera sa fête des voisins mercredi 10 juin à 18 h 30 : « Chacun apportera une préparation sucrée ou salée ou une boisson et l’association offrira la sangria » précise la présidente Geneviève Kaczowka.

Maisons de quartier

« En ce qui concerne l’avenir de la Maison de quartier Croix-Rouge, le bureau de l’Association des maisons de quartier a validé la proposition de la création de trois Maisons de quartier sur le quartier Croix-Rouge, soit une dans chaque sous-quartier : Université, Pays-de-France et Croix-du-Sud », a révélé Yves Pringault, directeur jeunesse à Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » - 090605g

Réception d’une délégation alsacienne au lycée Arago : Des liens durables se sont tissés

Le lycée Arago a reçu une délégation alsacienne du Syndicat des affaires scolaires et culturelles d’Ingersheim (Haut-Rhin) et environs.
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Le lycée Arago, soucieux de porter la culture du développement durable et son savoir-faire hors de la Champagne-Ardenne, a reçu une délégation alsacienne du Syndicat des affaires scolaires et culturelles d’Ingersheim (Haut-Rhin) et environs, menée par son président Gérard Cronenberger, maire d’Ingersheim.

Autour d’un « stammtisch » à la rémoise préparé avec soin par l’équipe de restauration du lycée Arago, les invités, accueillis par Élisabeth Becker, proviseure, ont écouté un exposé de M. Stadler, directeur du pôle Industries et Agroressources, qui a mis l’auditoire au diapason du Développement durable. Une visite sur le terrain à la Maison passive de Breuil-sur-Vesle, avec Pierre Posseme, président du Medef, président de la Fédération régionale du Bâtiment et directeur de l’entreprise Matériaux et Associés, et Fabrice Binet, chef de travaux du lycée, fut commentée, pour la partie technique et les différents équipements spécifiques, par Sébastien Thuvenin, enseignant en BTS FEE au lycée.

Sur le plan culturel, Olivier Rigaud, architecte à la ville de Reims, donna des explications sur l’église Saint-Nicaise et ses verreries de Lalique, puis sur les halles du Boulingrin, et enfin sur les particularités de certaines rues de Reims. Une deuxième journée fut consacrée à la découverte du champagne, sur les conseils éclairés de Nina Quelennis du Pôle IAR, avec une traditionnelle visite de caves et une dégustation de cinq champagnes locaux.

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Journal « l’Union » - 090605f

Brocante de l’Acrap : « Phénoménale »

 

 

 

La 23e édition de la brocante de printemps de l’Acrap a bénéficié d’un ensoleillement exceptionnel et la foule s’est déplacée sur le parking de l’hippodrome où 100 exposants étaient installés :

« depuis plus de 20 ans, c’est la première fois que je vois autant de monde, c’est phénoménal ! » se réjouissait Jean-Pierre Genesseau, président de l’Acrap.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090605e

Artisanat : Une vitrine reconnue

 

À chacune de ses brocantes, l’association Croix-Rouge animation et promotion offre aux artistes de Croix-Rouge la possibilité d’exposer leurs œuvres au public.

Depuis maintenant trois ans, Maud Horny prépare ses perles à la main, puis elle les assemble en bijoux, colliers, boucles d’oreilles, plus jolis les uns que les autres.

L’inusable poète de Croix-Rouge, Liliane Feige, et son inséparable dessinateur, Hugues Hommel, sont parmi les plus fidèles artistes présents aux expositions de l’Acrap.

Depuis qu’elle est retraitée, Joëlle Daligault s’est spécialisée dans l’élaboration de superbes cartes et cadres brodés ou en 3D du plus bel effet.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090605d

Brocante sur Eisenhower : Du jamais vu

 

L’association Collectif des locataires de Croix-Rouge, a innové en organisant, dimanche 31 mai, une manifestation artistique autour d’une brocante sur l’esplanade Eisenhower.

Pour une première, ce fut une réussite avec 31 exposants et des animations :

    • 11 heures, fanfare de Saint-Brice-Courcelles,
    • 15 heures, chorale Vauban,
    • 16 heures, le chanteur Bensad Allaoui,
    • 16 h 30, danse avec le groupe de la Nacelle
    • et à 17 heures, tour de chant de Marie-Paule.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090605c

Pilleuse de jardinières : La voleuse aime les fleurs

On vient d’apprendre qu’une voleuse à la main verte a sévi le week-end dernier dans le quartier pavillonnaire situé au bas du château d’eau de Croix-Rouge.

Dimanche vers 7 heures du matin, un habitant de la rue Mathieu-Troussieux l’a surprise en train de dévaliser les trois jardinières du voisin d’en face. « Il s’agissait d’une femme d’environ 45 ans, avec une robe blanche, et qui portait un sac pour prendre les fleurs », raconte le témoin. La dame a pris la fuite en direction de la piscine. Son sac était certainement percé car, tel le Petit poucet, elle a semé des petites mottes de terre qui ont mené les curieux vers les immeubles de la rue Morondat.

Le larcin porte sur une dizaine de géraniums. Le voisin venait de les replanter… suite à un vol il y a une dizaine de jours ! S’agit-il de la même voleuse ?

A signaler que d’autres vols de fleurs ont eu lieu ces derniers temps dans les rues voisines. Des suspensions florales ont même été décrochées lors d’intrusions à l’intérieur du jardin de certains pavillons.

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Journal « l’Union » - 090605b

201 000 € d’indemnités pour l’innocent emprisonné 5 ans

Détenu cinq ans avant d’être innocenté, Abdelfettah Rachdad (ici photographié en 2007 à Reims), a obtenu 150.000 € pour son préjudice moral, 5 1.374 € pour son préjudice matériel.
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Accusé d’avoir été un trafiquant de drogue, un ex-Rémois a passé cinq ans en prison avant d’être innocenté. Il vient d’obtenir une indemnisation de 201 000 €.

C’EST la fin d’un éprouvant marathon judiciaire commencé en 1998 derrière les hauts murs de la maison d’arrêt de Reims. Emprisonné 1 825 jours avant d’être innocenté par une décision de relaxe de la cour d’appel de Nancy (l’union du 27 novembre 2007), Abdelfettah Rachdad vient d’obtenir réparation de sa longue détention provisoire.

Violation des droits de la défense

La cour d’appel de Bordeaux, ville où il est parti s’installer après sa sortie de prison en 2003, lui a accordé diverses indemnités d’un montant total de 201 374 € : 150 000 € pour le préjudice moral, 51 374 € pour le préjudice matériel couvrant la perte de chance de n’avoir pu travailler et ses frais de défense. « C’est une bonne décision. Elle accorde un montant supérieur à la jurisprudence habituelle », commente son avocat, Me Simon Miravete.

Aujourd’hui âgé de 46 ans, Abdelfettah Rachdad a grandi au quartier Croix-Rouge. Une jeunesse tumultueuse, marquée par des séjours en prison pour des vols et des escroqueries, « mais jamais pour de la drogue ». « A un moment, j’en ai eu marre. La prison m’a fait réfléchir. J’ai voulu m’en sortir. »

En 1991, il part au Maroc pour trouver du travail. C’est alors qu’à Reims, dans les mois qui suivent, plusieurs trafiquants de drogue le mettent en cause alors qu’il se trouve pourtant de l’autre côté de la Méditerranée. Son nom est balancé dans trois dossiers différents. Courant 1992, il est condamné en son absence à trois peines de cinq ans ferme chacune.

Abdelfettah Rachdad est arrêté par la police en 1998, lors d’un séjour familial à Reims. Il est rejugé et condamné à six ans ferme pour l’ensemble des dossiers sans pouvoir être confronté à ses accusateurs. Bien décidé à faire reconnaître son innocence, il entame une longue procédure qui va l’amener devant la Cour européenne des droits de l’Homme – condamnation de la France en 2003 pour « violation des droits de la France » – puis devant la commission de réexamen de la Cour de cassation qui fait droit en 2005 à sa demande d’un nouveau procès.

Finalement rejugé en 2007 par la cour d’appel de Nancy, Abdelfettah Rachdad obtient cette relaxe qu’il espérait tant, après avoir passé cinq ans jour pour jour derrière les barreaux, du 22 janvier 1998 au 22 janvier 2003. « Avec les remises de peines, j’ai fait cinquante-six mois, plus quatre mois car j’avais une contrainte par corps des douanes. »

Il explique avoir « tenu le coup en participant à la vie associative de la prison ». « J’ai créé des cours d’alphabétisation et d’informatique pour les autres détenus. Je me suis inscrit par correspondance à la fac. Je ne me suis jamais laissé aller. » Malgré ces cinq années de prison « pour rien », Abdelfettah Rachdad déclare avoir « toujours cru en la justice ». « J’ai eu raison de m’accrocher, de batailler, d’aller jusqu’au bout », disait-il au lendemain de sa relaxe à Nancy. « Vivre avec un statut de coupable quand vous savez que vous n’avez rien fait, c’est une situation qu’un être normalement constitué ne peut pas accepter. »

Fabrice CURLIER


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Une affaire étalée sur dix-huit ans

1991 - 1992 : Plusieurs dealers rémois mettent en cause Abdelfettah Rachdad - alors reparti au Maroc - dans trois trafics de drogue. Il est condamné en son absence à trois peines de cinq ans ferme.

22 janvier 1998 : Arrestation à Reims lors d’un séjour chez sa famille à Croix-Rouge. Il est rejugé le 24 mars par le tribunal correctionnel qui joint les trois dossiers et le condamne à cinq ans ferme sans l’avoir confronté à ses accusateurs. Il fait appel.

2 décembre 1998 : La cour d’appel de Reims porte la condamnation à six ans de prison ferme après avoir renoncé à faire entendre les témoins (ils n’ont pas répondu aux convocations).

24 mai 2000 : Rejet du pourvoi en cassation. Abdelfettah Rachdad saisit la Cour européenne des droits de l’Homme.

22 janvier 2003 : Remise en liberté du prévenu. Il part s’installer à Bordeaux où il vit toujours (il a trouvé un travail comme chef de chantier).

13 novembre 2003 : La Cour européenne des droits de l’Homme condamne la France pour « violation des droits de la défense » au motif que le requérant a été condamné « sur le fondement exclusif de déclarations de témoins qu’il n’a pu interroger ou faire interroger ». Elle lui accorde une indemnité de 5.470 €.

Cette décision lui donne le droit de demander à être rejugé.

27 janvier 2005 : La commission de réexamen de la Cour de cassation fait droit à la demande d’un nouveau procès. La cour d’appel de Nancy est saisie.

11 mai 2006 : La cour d’appel ordonne une réouverture de l’enquête « avec mission d’organiser et d’effectuer une confrontation » entre le requérant et les « témoins ». Le premier est décédé, l’état de santé du deuxième ne permet plus son audition, un troisième tient des déclarations incohérentes, les quatre derniers retirent leurs accusations en faisant état de « pressions policières » subies à l’époque pour accuser Abdelfettah Rachdad.

15 novembre 2007 : La cour d’appel de Nancy le relaxe en constatant l’absence « d’éléments permettant de le mettre indiscutablement en cause ».

Mai 2009 : La cour d’appel de Bordeaux accorde 150.000 € au titre du préjudice moral et 51.374 € au titre du préjudice matériel en réparation des cinq années de détention provisoire.

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Journal « l’Union » - 090605a

TENNIS / Interclubs : La montée pour Cormontreuil ?

Un nul à Nantes et l’accession en N2 sera dans la poche pour Thibault Visy et les Cormontreuillois.
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Après les championnats individuels de Ligue le week-end dernier, les interclubs reprennent leurs droits, dimanche, pour la cinquième et ultime journée. Une clôture qui s’annonce décisive dans certains cas.

A commencer en N3 où, comme prévu, le Cormontreuil TC jouera la finale de la poule sur la terre battue du Snuc Nantes, autre équipe invaincue. Toutefois, les Cormontreuillois seront en position de force car, grâce à leurs bons résultats (quatre victoires, 7-1), un nul suffira à leur bonheur. En N4, le TC Reims achèvera son chemin de croix à Roissy-en-Brie.

Tendance inverse pour le Reims Europe Club qui fêtera à domicile la montée tout en jouant le titre contre Ris-Orangis, autre formation concernée par l’accession. Quant aux Rémois de Géo-André, ils accueilleront l’AS Mantaise avec l’objectif de s’imposer - voire de faire un nul - pour consolider leur maintien à ce niveau.

Du côté des dames, les deux clubs rémois de N2 risquent fort de connaître le même sort, à savoir la relégation. En déplacement à Niort, le TC Géo-André devra miser sur un improbable miracle - victoire 8-0 - pour renouveler son bail alors que les « Européennes » ont l’obligation d’aller battre la réserve du Stade Toulousain avec au moins deux points d’écart. Et il faudra ensuite sortir les calculettes…

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L’hebdo du vendredi- n° 126 - 090604c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 126 - Semaine du 05 au 11 juin 2009

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Théâtre au Crous

La Troupe rémoise « Les Feux Faut Les » jouera une pièce de Jean Tardieu « La comédie du langage » le mercredi10 juin au Centre culturel du Crous sur le Campus Croix Rouge à 20h30.

Imaginés par Tardieu, les personnages nous plongent dans leur univers singulier et parfois si proche de la réalité : adultère, rencontre amoureuse, scènes de ménage…

Entrée gratuite. Buvette sur place.

Réservation et informations sur lesfeuxfautles@ laposte.net


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SAMEDI 6 JUIN : Conte : « Ribambelle et ritournelle »

Dans le cadre de « Grandes histoires pour petites oreilles », la conteuse Florence Férin propose « Ribambelle et ritournelle », mélange de comptines et de chants qui rassurent sans endormir et éveillent sans bousculer !

A 9h, 11h et 16h30 – A partir de 1 an (durée 40 min)

Entrée libre sur réservation au 03 26 35 68 51

Médiathèque Croix-Rouge

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Journal « l’Union » - 090604b

Commerçants au cœur des cités

Les commerçants des quartiers rémois qualifiés de « difficiles » prouvent que la réputation des cités dans lesquelles ils exercent ne les empêche pas d’apprécier leur quartier et ses habitants, bien au contraire.

Tour d’horizon à Croix-Rouge, au Pont-de-Witry, à Orgeval et à Wilson où les commerçants nous ont ouvert leurs portes.

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Quand la bonne humeur fait un tabac : buraliste à Croix-Rouge

David Cabaret( à droite) et son beau-frère tiennent leur commerce avec le sourire.
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Ouvert sur le secteur du centre commercial de l’hippodrome à Croix-Rouge depuis cinq ans, le tabac presse « Le Kennedy » est l’un de ces nombreux commerces ayant déménagé du centre commercial La Rafale pour ce nouveau site.

C’est en 2006 que M. et Mme Cabaret ont repris ce petit bureau de tabac.

« Nous avions le même genre d’affaire à Menton dans le sud près de Nice », explique David Cabaret, le propriétaire des lieux.

Ce n’est pas pour autant qu’en arrivant à Croix-Rouge, il tombait en terre inconnue : bien au contraire puisque le buraliste a habité aux Polygones dans les années quatre-vingt et a même fréquenté l’école du docteur Billard dans sa jeunesse.

« Je n’ai jamais eu aucun problème dans le quartier. C’est vrai qu’à Croix-Rouge, il y a énormément de monde, mais avec les jeunes, il y a un respect mutuel. Et puis par rapport au sud, ici les gens sont beaucoup plus chaleureux, nous sommes très bien à Croix-Rouge », ajoute-t-il.

Au fil de l’entretien, les clients défilent et le patron connaît très bien la plupart d’entre eux. « Bonjour, vous avez mis votre belle robe Madame Mimi ! » lance-t-il à une dame qui a l’air d’apprécier le compliment.

« Moi, je viens là tous les jours, que ce soit pour mon journal ou pour mon tabac. Les patrons sont très sympathiques et c’est leur bonne humeur qui fait le succès de ce petit magasin », précise Pierre, un habitant du quartier.

Et lorsque David Cabaret évoque l’ambiance amicale de son commerce, il explique en souriant : « Comme on dit, la bonne humeur, c’est le début du bonheur ! »

La clientèle est très variée dans ce tabac, du quartier bien sûr mais aussi des quartiers voisins, des jeunes et des moins jeunes, des mordus du tiercé, bref de tout horizon social. Dans un quartier comme Croix-Rouge, les commerces, à l’image du « Kennedy », sont de vrais lieux de vie où règnent chaque jour joie et bonne humeur, loin de la réputation du plus grand des quartiers rémois.

Thierry ACCAO FARIAS

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Journal « l’Union » - 090604a

Salon de musique

Invitée en résidence par Césaré, la chanteuse Valérie Joly sera aujourd’hui et demain dans le quartier Croix-Rouge pour rencontrer les habitants.

Rendez-vous aujourd’hui de 14 à 16 heures à l’espace Billard et demain, vendredi 5 juin, de 14 à 16 heures à l’espace Pays-de-France.

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Journal « l’Union » - 090603c

TENNIS / Championnats seniors + : La Marne force 7

De retour cette année au TC Reims après un intermède troyen, les championnats de ligue des « seniors + » ont connu des résultats, dans l’ensemble, conformes à la logique.

Bénéficiant probablement de l’avantage du terrain, les Marnais ont brillé en raflant sept titres devant les Aubois (cinq), les Ardennais (trois) et les Haut-Marnais (deux).

Ainsi, chez les messieurs, la catégorie reine des + 35 ans a vu une finale 100 % « européenne » avec, à la clé, une hiérarchie respectée car Pascal Bonnet (2/6) a commis beaucoup trop de fautes pour inquiéter le très régulier Florent Seuret (0).

A noter également que les locaux du TC Reims ont été à la fête avec les succès du sémillant Hervé Szymanski (5/6) en + 40 ans et de Jean-Marc Visy (15/1) en + 50 ans. Quant à Patrick Ducha telle (4/6, ASPTT Charleville), il a nettement dominé les + 45 ans.

Idem pour l’ancien président de ligue, Philippe Amillet (15/4, Côte des Blancs) en + 65 ans qui a inscrit un énième titre à son (long) palmarès.

Du côté des dames, cette compétition n’a pas échappé à la traditionnellement longue opposition entre Caroline Colomb (0, TC Troyes) et Laetitia Tordo (1/6, La Macérienne). Avec, cette année, en début de soirée (! ), le titre pour la coriace Ardennaise. Enfin, Cathy Weber a réalisé une jolie perf à 15 en + 40 ans alors que Marie-Christine Saint Mard (15/1, ASPTT Charleville) en + 45 ans, Dominique Sandre (15/4, TC Reims) en +5 0 ans et Marie Josèphe Alluchon (30/1, TC Reims) en + 65 ans se sont logiquement imposées.

De quoi, pour tous les lauréats, avoir la joie de fouler la terre battue de Roland-Garros fin juin - début juillet.

MESSIEURS

- + 35 ans : Seuret (0, Reims Europe Club) bat Bonnet (2/6, Europe Club) 6-3, 6-4 ;
- +40 ans : Szymanski (5/6,TC Reims) bat Renaud (5/6, ASPTT Châlons) 6-2, 7-5 ;
- + 45 ans : Duchatelle (4/6, ASPTT Charleville) bat Lambert (15, Saint-Dizier) 6-2, 6-1 ;
- + 50 ans : Visy (15/1, TC Reims) bat Roger Berubet (15/3,TC Reims) 6-4, 6-3 ;
- + 55 ans : Latrompette (15/3, Saint-Dizier) bat Speranzon (15/3, La Macérienne) 6-3, 6-3 ;
- + 60 ans : Brunschvicg (15/3, TC Sancéen) bat Baldi (15/3, Signy l’Abbaye) 6-3, 6-4 ;
- + 65 ans : Amillet (15/4, Côte des Blancs) bat Rambaut (15/5, Géo-André) 6-1, 6-0 ;
- + 70 ans : Prebin (30/2, TC Troyes) bat Gratiot (30/1, TRC Muire) 7-5, 7-6 ;
- + 75 ans : Descamps (30/2,TC Troyes) bat Vives (30/3, Saint-Dizier) 6-3, 6-0.

DAMES

- + 35 ans : LaetitiaTordo (1/6, La Macérienne) bat Caroline Colomb (0, TC Troyes) 5-7, 7-5, 6-4 ;
- + 40 ans : Cathy Weber (15/1, ASPTT ChâIons) bat Cécile Guenard (15, TC Troyes) 4-6, 6-1, 6-0 ;
- +45 ans : Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville) bat Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims) 6-4, 6-1 ;
- + 50 ans : Dominique Sandre (15/4, TC Reims) bat Catherine Puberl (15/5,TC Reims) 7-5, 6-4 ;
- + 55 ans : Anne Ceyral (15/5, Bar-sur-Aube) bat Marie-Odile Martin (15/4,TC Reims) 6-2, 6-3 ;
- + 60 ans : Catherine Thibault (15/3, TC Troyes) bat Solange Joly (15/4, ASPTT Châlons) 6-3, 6-0 ;
- + 65 ans : Marie-Josèphe Alluchon (30/1, TC Reims) bat Pierrette Martin (30/1, Saint-Dizier) 6-2, 6-4 ;
- + 70 ans : Françoise Franzoni (30/2, ECEC Chaumont) bat Monique Lelarge (30/2, Foyer Barséquanais) 6-2, 6-0.

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Journal « l’Union » - 090603b

Lauréates d’un concours sur la langue française : Trois jeunes Rémoises à l’Arc de Triomphe

Les trois lauréates ont été félicitées par les autorités militaires.
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Nicole Bauchet veillait sur les lauréates durant leur croisière sur la Seine.
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Elles ont eu le trac à la cérémonie à l’Arc de Triomphe.
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Le jeu concours des 10 mots imposés, organisé dans le cadre de la semaine de la langue française, a inspiré les jeunes : trois lauréates ont bénéficié d’une sortie à Paris.

En effet, elles n’oublieront sans doute pas la journée du 29 mai 2009 : Sherazed Ayad, élève de CM2 à Blanche-Cavarrot, Bilge Can, en 6e au collège Colbert et Marine Caplat, lycéenne en seconde à Clemenceau, sont les lauréates du dernier jeu concours des 10 mots de la langue française organisé par l’Association rémoise des membres de la Légion d’honneur - présidée par François Philippoteaux - qui leur a offert une mémorable journée à Paris. Accompagnées de membres de la Légion d’honneur venus de toute la Marne, elles ont déjeuné à bord d’un bateau sur la Seine, puis visité le musée de la Légion d’honneur avant d’aller déposer une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.

En rentrant à Reims, elles étaient sans voix pour exprimer leurs impressions : Sherazed a été surtout frappée par la visite au musée, devant l’abondance des médailles et décorations françaises et étrangères, des plus humbles aux plus somptueuses. Bilge et Marine ont apprécié l’exceptionnel repas en musique dégusté en regardant défiler sous leurs yeux les plus célèbres monuments de la capitale.

Mais toutes les trois ont éprouvé le trac de leur vie en traversant la place de l’Etoile en cortège, escortées par les autorités civiles et militaires avec porte-drapeaux venus accomplir ce geste patriotique et hautement symbolique devant la foule massée sous l’Arc de Triomphe pour le ravivage de la flamme.

Après avoir déposé la gerbe, aidées par le lieutenant-colonel Claude Signoret, président de la section Marne de la SEMLH, elles ont été félicitées par le général d’armée Cuche et le général de brigade Clément-Bollée avant d’être invitées à signer le livre d’or. Une expérience qui devrait les inspirer pour rendre un nouvel hommage à la langue française.

 

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Journal « l’Union » - 090603a

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil région Champagne-Ardenne.

Correspondant : M. le Président du Conseil régional Champagne-Ardenne, 5 rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex.

Adresse internet : http://www.cr-champagne-ardenne.fr

Adresse internet du profil d’acheteur : https://marchespublics.cr-champagne...

Le pouvoir adjudicateur n’agit pas pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.

Objet du marché : extension et restructuration du lycée Arago de Reims - relance du lot 1 : aménagements extérieurs, VRD.

Type de marché de travaux : exécution.

CPV - Objet principal : 45454000.

Lieu d’exécution : 1, rue François-Arago, 51100 Reims.

L’avis implique un marché public.

Caractéristiques principales : cette opération est divisée en 13 lots. 12 lots sont attribués ou en cours d’attribution.

Cette consultation ne concerne qu’un seul lot : lot 1 : aménagements extérieurs, VRD.

Renseignements relatifs aux lots : lot 1 : aménagements extérieurs, VRD. Durée : 40 mois à compter de la date de notification du marché.

Des variantes seront-elles prises en compte : oui.

Le présent avis correspond à un avis périodique indicatif constituant une mise en concurrence.

Prestations divisées en lots : oui.

Possibilité de présenter une offre pour un seul lot.

Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent : financement par ressources propres inscrites au budget de la région.

Paiement à 40 jours par virement administratif.

Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.

Unité monétaire utilisée, l’euro.

Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :

    • copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
    • déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner ;
    • certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques ;
    • déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
    • déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ;
    • présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants ;
    • déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature ;
    • DC 4 (lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses co-traitants, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefe.gouv.fr, thème : marchés publics) ;
    • DC 5 (déclaration du candidat, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefe.gouv.fr, thème : marchés publics).

Autres renseignements demandés :

    • un document relatif aux pouvoirs de la personne habilitée à engager le candidat ;
    • l’attestation d’assurance responsabilité civile professionnelle et, conformément aux dispositions de l’article L 241-2 du code des assurances, pour les travaux de construction, l’attestation d’assurance responsabilité civile décennale ;
    • la fiche technique à remplir obligatoirement (jointe au dossier de consultation).

Critères d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.

    • Prix : 40 %.
    • Valeur technique : 60 %.

Critères sociaux ou environnementaux : aucun

Type de procédure : procédure adaptée.

Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus : Cabinet PACE.

Correspondant : M. Pace, 7 rue Kellermann, 51100 Reims, tél. 03-26-88-78-92, télécopieur : 03.26.97.79.40, courriel : pacearchitecte@wanadoo.fr.

Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus : SEM AGENCIA.

Correspondant : Amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95, bd du Général-Leclerc - B.P. 2740, 51060 Reims cedex, tél. 03-26-97-85-85, télécopieur : 03.36.97.72.32.

Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : SEM AGENCIA.

Correspondant : Amandine FESTUOT, responsable de l’opération, 95, bd du Général-Leclerc, B.P. 2740, 51060 Reims cedex, tél. : 03.26.97.85.85, télécopieur : 03.26.97.72.32.

Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne.

Précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours :

    • référé pré-contractuel avant la signature du marché (article L551-1 du code de justice administrative) ;
    • recours pour excès de pouvoir contre les actes détachables du contrat : deux mois à compter de leur notification et/ou de leur publication (article R 421-1 du code de justice administrative).

Date limite de réception des offres : 30 juin 2009, à 12 heures.

Date d’envoi du présent avis : 29 mai 2009.

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Journal « l’Union » - 090602d

3e et 4e séries : Conforme à la logique

Comme une lettre à la poste pour le Béthenyat Guillaume Durant.
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Organisés en parallèle, les tableaux 3e et 4e séries se sont également achevés hier après-midi au Creps de Reims. Avec, à chaque fois, des résultats conformes à la logique.

A commencer chez les messieurs en 3e série où Guillaume Durant (15/1, Betheny) a nettement dominé (6-3, 6-1) le néo-Carolo Antoine Hardyau (15/1).

Audrey « dégoûtée ».

Défait en finale en 2005, le Béthenyat a mis tout en œuvre pour éviter pareille mésaventure : « Ce fut compliqué en raison du vent. J’ai réussi à faire déjouer mon adversaire en cherchant beaucoup son revers ». Une analyse partagée par l’ex-Bressan : « Il a été plus fort que moi et, surtout, je n’ai jamais été en mesure de le mettre en difficulté ».

Du côté des dames, la finale a opposé, comme prévu, Audrey Sarrazyn (15, Géo-André) à Carole Boudaud (15/1, Saint Dizier). Une partie acharnée qui a basculé avec l’apparition de la pluie.

« On rentre à 4-4, 15 partout dans le troisième set et, ensuite, je ne marque plus un point. Je suis dégoûtée », lâchait la jeune Rémoise, victime il est vrai aussi, de l’expérience de l’ancien 5/6 bragarde.

En 4e série, futur 15/3, Vincent Pierret (30/1, Nouzonville) a livré une très belle prestation en finale contre le Chaumontais Patrick Bolmont (30/1). « Avec la chaleur, ce fut dur physiquement. Le score ne reflète pas la physionomie car les deux sets ont été très serrés. Je suis très fier de représenter mon club et les Ardennes à Roland-Garros », affirmait le Nouzonnais.

Quant à la Mengeotte Cécile Delleaux (15/5), elle a fait respecter la hiérarchie contre Audrey Braun (30/1, Douzy), non sans un petit coup de pouce du destin. « Alors que je menais 5-0 dans la première manche, je me suis tordu la cheville en marchant sur une balle. Cela a relancé mon adversaire », expliquait l’Ardennaise, battue en trois sets.

3° SERIE DAMES

Quarts. - Audrey Rousseaux (15/1, Reims Europe Club) bat Laure Camus (15/1, ASPTT-Troyes) 6-4, 7-5 ; Carole Boudaud (15/1, Saint Dizier) bat Marjorie Waltispurger (15/3, Rocroi) 2-6, 6-2, 6-1 ; Carole Garnesson (15/2, TC Troyes) bat Zoé Martin (15/1, La Macérienne) 6-2, 6-4 ; Audrey Sarrazyn (15, Géo-André) bat Carine Gruzelle (15/1,TC Dervois) 7-6, 6-4.

Demi. Carole Boudaud bat Audrey Rousseaux 6-3, 6-4 ; Audrey Sarrazyn bat Carole Garnesson 6-4, 6-1.

Finale. - Carole Boudaud bat Audrey Sarrazyn 4-6, 6-3, 6-4.

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Journal « l’Union » - 090602c

Médiathèque Croix-Rouge : Muriel Masini s’en va

 

Muriel Masini, conservateur de la médiathèque Croix-Rouge depuis onze ans, a eu envie de changement et a quitté son poste pour Le Havre, une étape un peu difficile car assez déchirante.

« Pendant toutes ces années passées à Reims, les bibliothèques rémoises ont beaucoup évolué et j’ai été très heureuse de participer à cette aventure.

C’est parce qu’il était situé dans un quartier comme Croix-Rouge et que je pensais pouvoir y mener des actions utiles que ce poste m’avait attirée. Il m’a apporté beaucoup de satisfactions personnelles et professionnelles.

J’y ai travaillé dans de très bonnes conditions, entourée de collègues dynamiques et inventifs et soucieux d’être utiles aux habitants. »

Le remplacement de Muriel Masini est en cours. L’équipe de la médiathèque reste mobilisée et continuera à travailler avec le même enthousiasme au service du public : « J’ai toute confiance dans mes collègues pour que ce départ n’affecte pas le fonctionnement du service. »

 

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Journal « l’Union » - 090602b

Festival Croix-Rouge s’affiche : Une fin en apothéose

La troupe de José Mendès a fait un tabac.
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José Mendès, directeur artistique du Festival Croix-Rouge s’affiche 2009, a réussi, avec Franck Settier, un coup d’« Éclats de quartier », avec une création fort réussie, fruit de longs mois de répétitions et de mise en scène.

Son thème directeur était simple : c’est une série de rencontres. Chacune d’elles suit un fil, un chemin tissé par les liens des uns avec les autres. Chaque personnage, Abdel, Kelly, Jérémy, Loïc et les autres, entraîne le spectateur à l’intérieur de sa vie, sur une trame slamée, avant de passer le relais à un autre.

Et cela a merveilleusement bien fonctionné : Esteban, Léa, Pauline, Franck,… ponctuent leur passage d’une expression corporelle de haute volée en hip-hop, break, mais aussi reggae, charleston, danse rock acrobatique, jazz, danse du ventre. On reste pantois devant les prestations de David Moyen, Malik, et de l’incroyable Monsieur Personne !

« 25.000 : ils y sont tous ! » : chaque spectateur a pu se reconnaître dans la vie de l’un ou l’autre des artistes, Mélia, Loubna, Elvida ou encore Malik. Le spectacle va maintenant partir en tournée et faire le bonheur de nombreux autres spectateurs.

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Journal « l’Union » - 090602a

Exposition

 

 

 

Le sculpteur Zemanel a profité du Festival Croix-Rouge s’affiche pour présenter au Crous, sur le passage vers la salle de théâtre, une exposition de ses œuvres, réalisées autour des personnages de contes, un travail à base de bois et de métaux récupérés.

Un travail intéressant à redécouvrir lors d’une prochaine exposition de l’artiste

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Journal « l’Union » - 090531a

Pompiers de sortie

Deux voitures ont brûlé avant-hier soir dans l’agglomération rémoise.

A minuit, les pompiers sont intervenus 3, allée Edgar-Degas, dans le quartier Croix-Rouge.

A 3 h 30, samedi, nouvelle intervention pour une voiture en flammes. Plus précisément au 60, rue Géruzez, quartier Clairmarais.

Pour l’instant, les causes de ces incendies restent à déterminer mais il demeure de fortes présomptions quant à deux actes criminels.

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Journal « l’Union » - 090530g

Feux, fuites de gaz, accidents : Les pompiers sur tous les fronts

L’incendie qui a détruit trois véhicules jeudi soir allée des Landais est probablement d’origine criminelle.
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Incendies, fuites de gaz, accidents… Les pompiers ont multiplié les interventions ces derniers jours.

JEUDI vers 21 heures, trois véhicules ont brûlé allée des Landais, sur le parking faisant face à l’entrée de la piscine du Château-d’Eau (l’union d’hier).

Le feu s’est déclaré sur un fourgon Renault Master avant de se propager à une Renault Laguna et une Renault 21. Si l’origine de l’incendie reste indéterminée, elle n’en demeure pas moins suspecte. Des véhicules sont régulièrement détruits par le feu sur ce parking.

Au même moment, tout près de là, d’autres pompiers sont intervenus avenue Bonaparte pour un feu de détritus dans le local à vide-ordures du n°7.

Hier à 8 h 45, les fourgons rouges sont revenus avenue Bonaparte, cette fois-ci pour une fuite de gaz provoquée par la dégradation d’une conduite sur le chantier du tramway. Un ouvrier a pu l’obturer avant l’arrivée de GDF.

Mercredi midi, une fuite de gaz sur chantier s’était déjà produite rue de Madrid. Ce même jour, appelés à 14 h 45 pour une odeur de gaz dans un immeuble de la rue du Mont-Cornillet, les pompiers ont découvert une bouteille de propane laissée ouverte par accident dans un appartement.

Deux heures plus tard, appel similaire dans un immeuble rue de Rilly-la-Montagne, au n°20.

En fait, il ne s’agissait pas d’une odeur de gaz mais d’une odeur de résine provenant d’un laboratoire dentaire.

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Journal « l’Union » - 090530f

Conseils de quartiers

Le conseil de quartier de Croix-Rouge-Hauts de Murigny se déroulera le mardi 9 juin à 19 heures, salle François-Mauriac.

À l’ordre du jour : nominations de nouveaux membres du conseil, suivi des actions sur le quartier, incidence du tramway sur le quartier, signalétique et sécurité, validation du règlement intérieur.

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Journal « l’Union » - 090530e

Brocante à Croix-Rouge

Dimanche 31 mai, de 9 à 18 heures, une brocante sera organisée sur l’esplanade Eisenhower.

De 14 à 17 heures, cette brocante sera agrémentée de prestations artistiques proposées par des associations, maison de quartier. ..

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Journal « l’Union » - 090530d

Les marcheurs de Croix-Rouge

A l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature bol d’air ce week-end du 30 mai au 1er juin.

Renseignements au 14, rue Pierre-Taittinger.

Tél 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » - 090530c

Grand Prix des Jeunes Lecteurs : Pluie de récompenses

Les jeunes lecteurs ont été récompensés.
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C’est au sein du collège Pierre-de-Coubertin que l’association des parents d’élèves de l’enseignement public de Reims (PEEP Reims) a remis leurs récompenses aux lauréats du Grand Prix des Jeunes Lecteurs en présence de Mme Peultier, proviseur vie scolaire ; Véronique Lhuillier, présidente de l’association Peep Reims et Bernadette Held, directrice.

Ce sont 11.600 enfants qui ont participé à ce 25e concours au plan national.

Parmi ceux-ci, 1.540 Champardennais dont 1.022 Marnais et 792 Rémois. Au plan local, cette année, 216 bulletins émanaient d’écoles élémentaires et 576 de collèges (10 collèges sur 13 ont participé).

Des bons d’achat

Les collèges Université, Colbert, Léonard-de-Vinci, Robert-Schuman, Paul-Fort, Saint-Remi, Paulette-Billa, Joliot-Curie et Raymond-Sirot ainsi que les écoles élémentaires Jard, Croix-Bonhomme, Sully, Ruisselet et Zola ont été récompensés pour leur participation.

Ils ont reçu des bons d’achat qui leur permettront d’enrichir les fonds des CDI et des bibliothèques scolaires.

Des enfants ont également été récompensés : Pour les élèves de CM2 : Laurène Lopez (école Jard, 1re CM2), Clémence Castagnos, (école Jard, 2e CM2) ; Elisa Viton (école Jard, 3e CM2), Benoît Baudart (école Jard, 4e CM2). Pour les élèves de 6e : Arielle Senah (collège Pierre-de-Coubertin, 1re 6e), Mathilde Marsan (collège Université, 2e 6e), Chiara Moras (collège Université, 3e 6e), Jeanne Devos (collège Saint-Remi, 4e 6e et première régionale).

A la suite de cette remise de prix, les 200 enfants présents dans l’amphithéâtre du collège ont dialogué avec Michel Piquemal, auteur du livre « Le Jobard » paru chez Milan poche. Les questions des enfants ont été suivies par une séance de dédicace.

L’association Peep Reims a offert ce livre aux 792 participants rémois, ainsi qu’à leurs établissements, professeurs et documentalistes.

L’après-midi s’est terminée par un goûter pour les plus jeunes et le verre de l’amitié pour leurs accompagnateurs.

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Journal « l’Union » - 090530b

Stupéfiant ! : Le cannabis pousse dans les champs

Lundi soir, sur la route de Bezannes, des policiers ont vu un Rémois qui se débarrassait d’un paquet de cigarettes à leur arrivée. Dans le paquet, il y avait quelques morceaux de résine de cannabis d’un poids total de 2,5 grammes.

Le jeune homme détenait également un sac plastique rempli de tout le nécessaire pour emballer des « joints ».

A l’écouter, il venait de trouver le paquet de cigarettes dans un chemin de champs de Bezannes.

Quant au sac, il l’a ramassé dans la cave de son immeuble à Reims. Il a gardé l’un et l’autre sans trop savoir pourquoi…

Il ira raconter son histoire le 25 juin chez le délégué du procureur.

Mardi vers 17 h 10, avenue Bonaparte cette fois-ci, la police a repéré un échange suspect entre un automobiliste et un passant.

Contrôlé, le conducteur avait sur lui 4,7 grammes de résine qu’il venait d’acheter au piéton (celui-ci est en fuite).

Le jeune homme âgé de 28 ans affirme ne pas le connaître. Il a fait l’objet d’une composition pénale.

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Journal « l’Union » - 090530a

TROYES / Assises d’appel de l’Aube : Viols sur deux Rémoises âgées : Dif condamné à 20 ans

À l’issue des trois jours d’audience, les jurés aubois n’ont pas fait dans la demi-mesure. Nordinne Dif, déclaré coupable des viols reprochés, a été condamné à la peine maximale. « ESSAYEZ de faire autre chose que de l’humour noir et grinçant », lance à l’accusé le président Gilles La tapie. Avec patience et force de persuasion, il tente d’engager un vrai dialogue, lui tendant maintes perches. L’accusé se montre inébranlable.

Le président revient sur les agressions sexuelles de Charleville-Mézières que Nordinne Dif a reconnues tout en précisant « ne se souvenir de rien », « peut-être à cause du mélange d’alcool et de Viagra ». « Que s’était-il passé auparavant ? », interroge le président. « J’étais avec ma copine et ça n’avait pas marché à cause de mon handicap (NDLR la petite taille de son sexe, voir notre édition d’hier).

« Pourquoi vous être alors attaqué à une femme de 79 ans ? », poursuit le magistrat. Réponse : « Je ne sais pas. »

« N’êtes-vous pas amené à disjoncter quand il y a des moments difficiles, quand vous êtes en proie à une angoisse trop forte, suite à un échec avec une femme ou quand vous avez peur d’un nouvel échec ? », suggère le président La tapie.

« On veut faire de moi un coupable idéal mais je suis innocent », se braque Nordinne Dif. L’avocat général se lève : « Comment expliquez-vous que les victimes de Reims vous mettent en cause ? »

« C’est un malheureux concours de circonstance », répond l’accusé. « Et la ressemblance étrange entre les affaires de Charleville-Mézières et celles de Reims ? », enchaîne l’avocat général. « Il y a aussi des dissemblances », rétorque Nordinne Dif.

Des victimes absentes

Les deux femmes « particulièrement vulnérables » qu’il est accusé d’avoir violé n’étaient pas là mais plusieurs de leurs enfants et petits-enfants sont venus se faire l’écho de leur drame. Jacqueline, 66 ans au moment de son agression, est décédée en avril 2006.

Me Ammoura, avocat de sa famille, a évoqué cette femme, veuve, mère de 6 enfants et qui se remettait lentement d’un cancer du sein.

A 1 heure du matin, quand elle a entendu frapper à sa porte, elle attendait un de ses petits-fils. Elle a demandé « Mickaël, c’est toi ? ». Une voix a répondu « Oui ». Suivit ce qu’elle décrivit comme « quelque chose d’incroyable et d’inacceptable ».

« Ensuite, cette femme courageuse, souriante est devenue angoissée, paniquée, déprimée… Le courage n’y était plus, la maladie a repris le dessus et l’a emportée », a souligné l’avocat. Si Elisabeth, aujourd’hui âgée de 88 ans est toujours bien vivante, elle n’a pas eu la force d’assister à ce procès.

Son calvaire a été, en bien des points, comparable à celui de Jacqueline, lorsque, malvoyante, elle a ouvert à celui qu’elle a cru être « le facteur remplaçant ». Mère de huit enfants, elle vivait alors avec son mari handicapé des jambes.

« Serial violeur de mamies »

« Quand il a entendu ses cris, lui qui n’avait pas pu se lever depuis des mois a réussi à atteindre son déambulateur pour découvrir une scène hallucinante », a rappelé Me Rahola avant de confier : « Depuis elle se sent terriblement coupable d’avoir ouvert la porte et elle culpabilise d’avoir fait vivre ça à son mari. »

Pour les avocats des parties civiles, l’agresseur ne peut qu’être Nordinne Dif. S’il a bénéficié d’un acquittement à Reims en février 2007, « c’est à cause d’un procès bâclé en une seule journée ».

Même analyse du côté du ministère public : « Le week-end, quand il boit, Nordinne Dif est un familier de la violence. » Réfutant en quelques mots l’argument de défense du « micropénis », l’avocat général rappelle les deux agressions de novembre 2008 à Reims dans lesquelles l’accusé est à nouveau impliqué. « C’est agresseur sexuel pervers de femmes âgées, un serial violeur de mamies, un individu dangereux contre lequel la société doit se protéger en appliquant la peine prévue : vingt ans de réclusion. »

Avec tout autant de conviction, Me Fanny Quentin a rappelé « la souffrance », « la solitude » et le « désespoir » de l’accusé. Pour plaider l’acquittement, elle s’est appuyée sur « les incohérences du dossier » : « L’enquête ? C’est du ni fait ni à faire. Le juge d’instruction ? Il est resté complètement inerte », a-t-elle déploré.

Mais cette fois, au lieu de l’acquittement, Nordinne Dif a écopé de la peine requise, après des délibérations bouclées en une heure et demie.

Compte rendu d’audience
Valérie ALANIECE

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Journal « l’Union » - 090529k

Salons de musique

Invitée en résidence par Césaré, Centre national de création musicale, la chanteuse Valérie Joly s’installera en juin dans trois lieux du quartier Croix-Rouge, afin d’y rencontrer les habitants par l’intermédiaire de ses chants.

Ces « salons de musique » qu’elle propose ne sont pas des concerts, niais des moments de rencontre conviviale autour d’un thé, de petits gâteaux, de contes et de chants : des petits voyages sonores et gustatifs, en préfiguration des ateliers de chant qu’elle animera à la rentrée prochaine.

Rendez-vous jeudi 4 juin à l’espace Billard, de 14 à 16 heures, vendredi 5 juin à l’espace Pays-de-France, de 14 à 16 heures et jeudi 11 juin à la médiathèque Croix-Rouge, de 14 à 16 heures.

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Journal « l’Union » - 090529j

Médiathèque Croix-Rouge : Ça bouge en juin

L’espace de lecture de Clémentine Treu.
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L’espace de lecture

Un espace de lecture est dédié aux tout-petits et installé à la médiathèque Croix-Rouge pendant toute la durée de la manifestation Grandes histoires pour petites oreilles jusqu’en juillet. Il a été conçu et réalisé par l’artiste plasticienne Clémentine Treu : « Un espace, une bulle, un lieu dédié à la lecture, l’écoute, le repos, le jeu. Il accueille les jeunes enfants de 3 mois à 3 ans, pour écouter ou entendre des histoires. Cette bulle est douce, ronde, chaleureuse, ludique, poétique et colorée. »

Julie raconte


Mercredi 3 juin à 15 heures, Julie évoquera « Le joueur de flûte de Hamelin », extrait des Légendes des cités européennes (En l’an 1284, la ville de Hamelin fut la proie d’un véritable fléau). Cette séance sera suivie d’une ribambelle de mots européens, proposée par les PIJ (Points information jeunesse) Nacelle et Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge. Pour tous, à partir de 6 ans.

L’heure des bébés

« L’heure des bébés », mercredi 10 juin à 9 h 30, c’est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans accompagnés de leurs parents. La séance dure environ une demi-heure. Elle est suivie d’un petit théâtre d’images.

Contes et comptines

Samedi 27 juin : spectacles de contes et comptines par la conteuse Cécile Bergame (enfants de 1 à 3 ans accompagnés d’un adulte. Durée 30 min).

À 10 heures, « Les ruisseaux font du pédalo ». C’est la chanson des poissons. Elle nous plonge dans l’univers de l’eau dans laquelle le petit aime tant barboter.

À 14 heures, « Contes et fleurettes » : la conteuse raconte des histoires de printemps, de petites bêtes qui montent…. et qui font pipi sur le gazon.

Activités gratuites, médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Renseignements et inscriptions au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 090529i

Education des enfants

Éduquer son enfant dans une société qui va de plus en plus vite, qui impose une image de l’enfant parfait, forcément précoce, est un pari bien compliqué parfois ! Les enfants en 2009, comme il Y a 50 ans, ont besoin de temps pour grandir.

La rencontre avec Catherine Jousselme, pédopsychiatre, mercredi 3 juin à 18 heures, sera utile aux parents qui s’interrogent. Elle est l’auteur de nombreux articles et de divers ouvrages, dont « Du biberon au cartable » et « rien ne sert de courir ». Elle écrit régulièrement pour la collection « Comment l’aider à … » qui aborde des thèmes d’éducation de façon précise, pour aider les parents, ainsi que des livres pour enfants comme « Mon tout premier livre des formes ».

Entrée libre pour cette séance de dédicace à la médiathèque Croix-Rouge -19, rue Jean-Louis Debar (03.26.35.68.51.).

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Journal « l’Union » - 090529h

Patinage

 

 

Le gala de fin de saison organisé par le Reims Acrap patinage, se déroulera samedi 30 mai à partir de 20 heures à la patinoire Bocquaine.

L’occasion de voir les prestations des petits et grands qui se distinguent toute l’année sur les patinoires de France.

RAP - 11 avenue du président Kennedy (03.26.06.39.54.).

 

 

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Journal « l’Union » - 090529g

Reims / Dans un hall d’immeuble : Il l’embrasse de force : un mois de prison ferme

Pour avoir coincé dans un hall d’immeuble et tenté d’embrasser de force une jeune fille, un Rémois de 20 ans a écopé d’un mois de prison ferme.

STEVEN MICHEL était absent à l’audience du tribunal correctionnel qui l’a condamné à trois mois de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de se soigner. Le 21 janvier, le jeune homme de 20 ans a commis une agression sexuelle sur une jeune femme, sur laquelle il a littéralement flashé.

Selon ses déclarations, il avait avalé plusieurs vodkas le jour des faits. Peut-être pour se donner du courage, peut-être pour accentuer sa lâcheté. Toujours est-il qu’il a aperçu une jeune femme et a décidé de la suivre. La jeune fille est entrée dans son immeuble, lui s’est faufilé derrière elle, l’a immédiatement plaquée contre un mur, tentant de l’embrasser et de lui caresser la poitrine. La jeune femme s’est débattue, lui a demandé à plusieurs reprises d’arrêter. En vain.

Elle s’est mise à crier et heureusement, Steven Michel a pris peur et la fuite par la même occasion. « Je ne voulais pas lui faire de mal », a expliqué le jeune homme aux policiers. « Je voulais l’embrasser. »

« Marquée à vie »

La mère de la jeune fille est venue dire comment cette dernière « est marquée à vie par cette agression. A chaque fois qu’il y a quelqu’un derrière elle, elle se met à pleurer… »

La présidente donne lecture de l’expertise réalisée par un psychiatre qui a examiné Steven Michel : « Selon l’expert, ce jeune homme est tout à fait normal, il n’a pas de troubles sexuels et est en contact avec la réalité ». Relevant une « intolérance à la frustration » et une « dépendance à l’alcool », l’expert conclut à une « responsabilité entière » du prévenu.

Pour la substitut du procureur de la République, « la gravité des faits se ressent dans les conséquences sur la victime. Il faut prévenir tout renouvellement de ce type d’infraction ». Elle requiert six mois de prison dont quatre avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, avec obligation de soins.

Le tribunal a prononcé une peine de trois mois de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins. Il devra verser 1 000 euros de dommages et intérêts à la victime.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090529f

Reims Champagne hockey : 3 questions à… Emmanuel Clergue

« Un temps fort comme celui-ci permet de colporter une image dynamique du RCH. »
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Vous êtes responsable du hockey mineurs au Reims Champagne hockey (RCH). Quel est le sens du tournoi que vous vous apprêtez à organiser du 30 au 31 mai à la patinoire Jacques-Barot ?

« C’est un hommage à Charles Marcelle qui a beaucoup apporté au hockey rémois. Ancien président des Flammes bleues, il est décédé l’année dernière. Ce trophée est reproduit chaque année à la même période (quatrième week-end du mois de mai). La saison écoulée, il a été remporté par l’équipe benjamins du RCH. Seront invitées : les équipes de Lyon, Rouen, Strasbourg, Amnéville, Boulogne. Cette compétition clôture également notre saison sportive. »

Comment se dérouleront les différents matches ?

« On a opté pour deux poules de quatre équipes. Et selon le classement de poule, la formation la mieux placée rencontrera la deuxième de l’autre poule jusqu’à la finale. Les rencontres s’effectueront en deux fois quinze minutes. En sachant qu’il y a arrêt de chrono sur une pénalité ou un but. Il y aura aussi une buvette pour permettre aux parents et spectateurs de se restaurer. »

Quel est l’impact d’une telle manifestation ?

« Un temps fort comme celui-ci permet de colporter une image dynamique du RCH. On a envie de redevenir un grand club. La formation des jeunes est quelque chose qui nous tient à cœur. Il n’y a pas que l’équipe une. »

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Journal « l’Union » - 090529e

Roller hockey : Ce week-end, place au tournoi Mini Rookies

Premier tournoi pour ces jeunes Rapaces.
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Les jeunes Rapaces du Roller hockey Reims participeront à la troisième édition du tournoi Mini Rookies organisée par le RHR au gymnase François-Legros les samedi 30 et dimanche 31 mai.

Les clubs de Paris, Épernay, Troyes, Moreuil, Rethel et RHR seront présents. Ce sera, pour ces joueurs de 4 à 8 ans, l’occasion de jouer leurs premiers matchs.

Pour plus d’informations, appeler au 06.72.79.51.51 ou consulter le site du club : (->rollerhockeyreims.com]

Tournoi Mini Rookies au gymnase François-Legros à Reims, samedi de 18 h 30 à 21 heures et dimanche de 9 heures à 16 h 30.

 

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Journal « l’Union » - 090529d

Incendies : Trois véhicules en feu hier soir


L’origine de l’incendie reste à déterminer.
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Hier, vers 21 heures, une violente détonation a secoué les environs de la piscine Château d’eau à Croix-Rouge. L’explosion provenait d’une voiture en feu sur le parking situé devant l’entrée de la piscine, allée des Landais. L’incendie, très virulent, s’est propagé à un fourgon et à une autre voiture avant d’être éteint par les pompiers. Son origine n’était pas connue à l’heure où nous écrivions ces lignes.

Au cours de la nuit de mercredi à jeudi, trois autres voitures ont brûlé à Reims : une Renault Twingo rue du Docteur-Lucien-Bettinger à 0 h 30 ; une Renault 19 rue du Général-Carré à 0 h 50 ; une Renault 5 avenue Bonaparte à 1 heure. Tous ces feux sont d’origine douteuse.

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Journal « l’Union » - 090529c

Tribunal, Correctionnel : Réservoirs siphonnés
Le voleur d’essence s’était … enfermé dans le garage !

Il n’avait « pas les moyens » de payer l’essence pour son 4x4. . Cet homme a donc décidé de siphonner une voiture.

Il a été pris à son propre jeu !

« J’ai eu très peur. » Cette femme a eu, le 6 septembre dernier, la « peur de sa vie » selon ses propres termes. Ce matin-là vers 5 heures, elle descend dans le garage de son immeuble, au groupe Eisenhower, en allumant la lumière. Elle ne sait pas qu’un voleur est en pleine action dans le box. Gilbert (49 ans) s’est introduit peu auparavant dans le sous-sol, dans l’intention de voler de l’essence, a-t-il reconnu devant les policiers qui l’ont entendu. Il a expliqué aux enquêteurs qu’il possède un 4x4 et n’a pas les moyens d’acheter de l’essence.

Les jambes tremblantes

Du coup, ce 6 septembre, il décide de siphonner des voitures dans le parking souterrain de son propre immeuble. « J’ai donné un coup de pompe dans la porte de ce garage, il s’est ouvert. » Gilbert, en parfait siphonneur, s’était muni d’un tournevis, d’une lampe et même d’une petite couverture pour ne pas se salir quand il s’allongerait sous la voiture !

Quand la propriétaire du garage a allumé la lumière, l’homme a pris peur. Il a très vite rabattu la porte du garage et s’y est retrouvé pris au piège ! La propriétaire a saisi la situation en un clin d’œil. « J’avais les jambes tremblantes, j’ai eu très peur. J’ai pris mon portable et j’ai appelé la police. » Qui n’a plus eu qu’à cueillir le voleur !

La propriétaire, elle, a eu du mal à se remettre de ses émotions. « J’ai rendu le garage », confie-t-elle au juge. « Pourtant, cela faisait vingt ans que je l’avais ! » Elle précise aussi que le voleur, outre un 4x4, possède aussi « une camionnette Mercédès ». On comprend mieux dans ces conditions, pourquoi il a du mal à payer l’essence de ses véhicules !

En réparation de « la peur de sa vie », la propriétaire a réclamé 6 à 700 euros de dommages et intérêts. Tenant compte de l’absence d’antécédents du prévenu - qui était absent à l’audience -la substitut du procureur de la République a requis un mois de prison avec sursis et 80 euros d’amende à l’encontre de Gilbert.

Le tribunal a condamné Gilbert à un mois de prison avec sursis et 80 euros d’amende. Il devra verser 700 euros de dommages et intérêts à la propriétaire du garage.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090529b

Chutes

Hier midi, Une dame a chuté rue Chanzy à la suite d’un malaise. Blessée au visage, elle a été transportée au centre hospitalier universitaire de Reims par les pompiers.

Même destination pour un retraité de 80 ans tombé dans les escaliers d’un immeuble rue de Rilly-la-Montagne à 16 h 15.

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Journal « l’Union » - 090529a

Assises D’appel de l’Aube / Femmes âgées violées
Le « micropénis » de l’accusé : à décharge ou à charge ?

Au 2e jour du procès en appel, l’étau des charges paraît se resserrer autour de Nordinne Dif, accusé de viols à l’automne 2005 sur deux Rémoises de 66 et 84 ans. Le Dr Frichet, médecin légal, est resté plus d’une heure et demie sous le feu des questions. Son rapport était attendu au tournant par l’accusation. Comme l’a lancé Patrice Petitjean, avocat général à Me Fanny Quentin, avocate de la défense qui lui reprochait de malmener l’expert : « C’est le cœur du débat ! C’est là-dessus que vous avez emporté l’acquittement à Reims, vous ne l’emporterez pas cette fois ! » Le ton est donné. Au « cœur du débat », le pénis de Nordinne Dif. Plus précisément, sa longueur. « Extrêmement court, il correspond à ce qu’on qualifie de micropénis : 5, 5 cm de l’os du pubis jusqu’à l’extrémité de la verge », indique l’expert, affirmant : « C’est trois fois rien ». La constatation atteint néanmoins rapidement ses limites : « J’ai mesuré un sexe flacique, je suis incapable de dire quelle est sa longueur en érection.

Seul un sexologue aurait pu le mesurer. Il n’existe pas de règle de calcul », martèle l’expert quand l’accusation réclame une estimation. L’expert s’étonne qu’aucune des deux victimes n’ait fait état de cette petite taille qui devait, selon lui, rester caractéristique, même en érection. L’accusé, à cet instant, boit les paroles de l’expert. Jusqu’à ce que Me Rahola, conseil des parties civiles, rappelle que les deux femmes victimes, en 2001 et 2002, de Nordinne Dif à Charleville-Mézières - faits qu’il a reconnus - n’en avaient pas fait mention non plus. « Mme Pourchasse a bien parlé d’un petit sexe », s’insurge Me Ammoura, avocat des enfants de la victime. Le débat fut ensuite de savoir si, pour petit qu’il soit, le sexe de Nordinne Dif pouvait ou non avoir « un fonctionnement physiologique normal ». Le Dr Frichet est clair : « Avec un sexe aussi court, il est impossible de pratiquer une pénétration vaginale totale ». Les deux Rémoises agressées à l’automne 2005 ont évoqué des tentatives de pénétrations, mais elles ont principalement dénoncé des fellations exigées avec force menaces et brutalités. Là, l’expert le confirme : la longueur du pénis n’entre pas en ligne de compte. Nordinne Dif, toujours très attentif aux débats et ne manquant jamais d’y intervenir, affirme : « Je suis impuissant. Même le viagra est sans effet ». De quoi couper court aux débats, si Nordinne Dif n’avait pas lui même confié, à deux des experts, avoir déjà eu des relations sexuelles normales.

Se venger du « féminin » ?

« Il est sûr que cette anomalie anatomique torture Nordinne Dif depuis des années et elle l’envahit tout entier », commente l’expert psychologue. Il décrit un homme « atteint de troubles du comportement précoces » dus à « d’importantes blessures narcissiques » - dont l’anomalie pelvienne -, aggravées par un lourd problème d’alcool. Quand l’expert fait un lien de cause à effet entre la petite taille du sexe de l’accusé et les faits qui lui sont reprochés, ce n’est pas pour disculper l’accusé. Au contraire : « Justement cette anomalie anatomique peut expliquer de tels passages à l’acte agressifs sur des femmes âgées ». Il y voit une façon facile pour l’accusé de se rassurer sur sa virilité, mais, surtout, une manière de « se venger du féminin » : « Ce choix de victimes âgées est atypique. Or même si c’est inconscient, Nordinne Dif nourrit, pour plusieurs raisons, une grande rancœur à l’encontre de sa mère. Il lui en veut d’abord de l’avoir fait naître avec cette anomalie pelvienne. Si les faits sont avérés, ces femmes âgées ont été des substituts de sa mère qu’il ne pouvait pas agresser directement puisqu’elle est sa mère. D’ailleurs sa première motivation n’était pas sexuelle, il s’agissait d’abord d’agresser physiquement, de se venger ». D’où, selon l’expert, un important risque de récidive.

Valérie ALANIECE


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