Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mai 2010.
vendredi 30 avril 2010
par Administrateur


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010.

 

 

 

Amateurs de pétanque

L’association Étoile Croix-du-¬Sud organise un concours de pétanque en doublettes le dimanche 6 juin sur le terrain Léon-Blum à Croix-du-Sud. Frais de participation : 10 euros par équipe. Indemnité à chaque partie. Début du jeu à 14 h 15. Inscriptions au secrétariat 5, avenue Léon-Blum, Tél. 03.26.06.56.66..


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Union100531d - Marne
Croix-Rouge : Cette semaine à la médiathèque

Alain Hatat expose

De juin à août, dans l’espace Image et Musique au rez-de-chaussée et dans l’espace adulte au premier étage, la médiathèque Croix-Rouge présente une exposition de photographies du photographe rémois Alain Hatat.

À l’occasion de leur 21e édition, les Flâneries musicales ont passé commande à cet artiste d’une série en noir et blanc, centrée sur les lieux patrimoniaux et les espaces publics de Reims fréquentés par le festival. 28 personnalités du monde de la musique rémoise (membres d’associations, accordeurs, ingénieurs du son, directeurs de salles, instrumentistes ou encore compositeurs) sont venues poser devant le photographe, dans un lieu de concert. Résultat : une série de clichés sensibles et touchants, instantanés associant architecture et portrait pour un cheminement en toute simplicité dans Reims version noir et blanc.

Entrée libre

Tout sur les métiers de la restauration

La médiathèque Croix-Rouge, dans son secteur Emploi-formation, propose de faire découvrir un corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année 2010, en partenariat avec les acteurs de l’insertion professionnelle : le PIJ Champagne-Ardenne, Job’s 51, la Maison de l’emploi et des métiers, les Points information jeunesse des espaces Ethnic’s et Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, la Mission locale, le Pôle emploi et Transdev.

Mercredi 2 juin, de 14 à 18 heures, il s’agira de tout savoir sur les métiers de la restauration avec en prime, une information sur le contrat d’apprentissage.

Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis-Debar.


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Union100531c - Marne
Des nouveaux noms de rues

Lors du dernier conseil municipal, la dénomination de certaines rues créées ou prolongées a été adoptée. A Orgeval, le tronçon qui prolonge la rue Charles-Roche jusqu’à la rue Schweitzer sera logiquement appelé Charles-Roche. Idem pour le prolongement de la rue Charles-Guggiari. A Clairmarais-Gérurez, l’impasse des Docks rémois, prolongé jusqu’à la rue des Romains devient une rue. La nouvelle rue débutant de la rue de Courcelles vers la rue Maldan sera appelée rue Hortense-Sinzot et celle à côté, en forme de fer à cheval, rue Michel-Laval. Dans le centre, la rue de Bouzy est prolongée jusqu’à la rue des Coutures.

Du côté de Wilson SIR 1, la rue Joseph-Haydn est prolongée jusqu’à la rue Hector-Berlioz et celle située entre l’allée Georges-Bizet et la rue Joseph-Haydn s’appellera rue Oum-Kalsoum. Enfin, à Wilson SIR 2, il y aura des rues Berty-Albrecht, Françoise-Dolto, Simonne-Aubry. Jacky-Perlot, promenade des Sakura et passage des Pergolas.

Le mail piéton entre le resto U et la rue Pierre-Taittinger s’appellera allée la Rafale et entre la rue Dufy et l’avenue Blum, il y aura une rue Marie-Laurencin.


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Union100531b - Marne
Les nouveaux rythmes scolaires au collège : juste une expérience

D’après le recteur d’académie, « les jeunes ne feront pas que du foot » !
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Cours le matin et sport l’après-midi : le nouveau rythme scolaire, proposé par Luc Chatel, sera expérimenté au collège Georges-Braque. Le recteur nous explique pourquoi.

APRES les incidents qu’a connu le collège Georges-Braque (nos précédentes éditions), la visite du recteur d’académie Alexandre Steyer a débouché sur l’annonce que l’établissement sera pilote pour le nouveau rythme scolaire, selon lequel, dès la rentrée de septembre, les élèves auront cours le matin et se consacreront à des activités sportives l’après-midi.

« Mais il n’y a aucun lien. Le système est assez attractif, et j’ai vu lors de ma visite que les jeunes de ce collège aimaient le sport. Et ma philosophie, depuis que je suis en Champagne-Ardenne, c’est de mettre des moyens ou des innovations attractives là où il y en a le plus besoin. »

Pour lui, la musique est déjà « servie » avec les classes à horaires aménagés, qui permettent de suivre le même rythme en allant au conservatoire l’après-midi. « De toute façon, il s’agit seulement d’une expérience, cela ne veut pas dire que tout le monde le fera dans les années à venir. »

Cette nouvelle disposition peut concerner à la fois le sport de haut niveau, mais surtout le sport santé, « pour les enfants qui ont des problèmes de poids. Cela les fera bouger et pourra les aider aussi à une meilleure nutrition. Il est malheureusement évident que la mauvaise santé dépend aussi de la classe sociale ».

Alexandre Steyer précisera que les jeunes « ne feront pas que du foot » ! Et assure que tant au niveau matériel que des profs, « il y a ce qu’il faut, il s’agit surtout d’un réaménagement de l’emploi du temps ». Ce qui va faire bondir les profs d’EPS (voir ci-dessous).

En tout cas, il est certain qu’il ne faut pas se tromper quand on change les rythmes scolaires. On le voit chez les primaires, où, comme la plupart des parents, le recteur a constaté que les élèves « étaient fatigués », ce qui est aussi le cas chez les collégiens d’ailleurs.

« Je regrette que si peu d’écoles aient choisi de travailler le mercredi matin, comme cela était possible. Mais c’est vrai qu’avec les transports, c’est compliqué… »

G.F.

Lire l’interview du recteur dans notre rubrique éducation de mercredi


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Un prof de musique : « Et le culturel ? »

Pour ce professeur du conservatoire, la proposition du ministre de l’Education « ne met pas assez l’accent sur le culturel ».
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François Éberlé enseigne la chanson au conservatoire, et intervient aussi comme musicien en milieu scolaire, dans le quartier Orgeval :

« Quand j’ai entendu parler de cette réforme, j’ai appris qu’elle était plutôt à dominante sportive ; que ça se passe le matin ou l’après-midi, ce n’est pas là le problème, ce que je me dis, c’est que ça ne met pas assez l’accent sur le culturel ; or la musique et la culture peuvent être des vecteurs pour certains apprentissages. A mes yeux, le culturel est un des moyens de sortir de l’échec scolaire, par une valorisation que l’enfant n’obtiendra pas forcément dans les matières habituelles, français, maths, histoire… disons les matières intellectuelles. Je ne dis pas que c’est une solution miracle, et puis cette valorisation peut aussi sans doute s’obtenir par le sport, mais grâce à la musique par exemple, certains enfants peuvent se sentir à l’aise et transformés, et par ce biais on peut parfois récupérer certaines choses. Je l’ai vu à Orgeval, où nous travaillons sur un spectacle sur le thème du temps, qui permet de travailler en même temps sur l’histoire. »

Recueilli par A.P.


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Le principal : « Un équilibre global à chercher »

Olivier Leloux est le principal du collège Georges-Braque, établissement volontaire pour expérimenter les nouveaux rythmes scolaires : « Ça se fera dans le cadre d’un essai de trois ans, pas à l’échelle de tout le collège, mais de deux ou trois classes seulement.

Pour nous, ce changement des rythmes doit s’intégrer dans un programme plus vaste cherchant l’équilibre global des jeunes, incluant notamment la nutrition, mais aussi le rythme de travail, la concentration, et la découverte d’activités nouvelles.

Maintenant, il reste à mettre tout ça en musique, à coordonner les différents intervenants, qui ne sont pas seulement des enseignants de l’établissement, mais aussi des intervenants extérieurs, des institutionnels et autres.

Ceci se fera au niveau de notre comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté. »

A.P.


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Un prof de sport : « Quid du recrutement ? »

Hervé Laheurte est professeur d’éducation physique et sportive depuis une dizaine d’années. Il déclare n’appartenir à aucun syndicat, ce qui ne l’empêche pas de nourrir des interrogations que ne renieraient probablement pas ses collègues syndiqués : « Depuis que le ministre a annoncé la réforme, ma boîte mail a été assaillie par les collègues syndicalistes. La crainte qui s’exprime, c’est d’assister à une entrée en force des associations sportives extrascolaires, les clubs du milieu fédéral, dans les établissements ; on peut imaginer qu’un entraîneur de judo fédéral pourra donner des cours dans des lycées.

Car si on veut que ces nouveaux cours de sport ne se réduisent pas à du gardiennage, il faudra recruter énormément de profs, les profs actuels ne pourront pas se dédoubler ; ou alors, on fera appel à des intervenants extérieurs, que l’on pourra sans doute payer moins cher…

Sinon, sur le principe de faire faire plus de sport aux jeunes, je suis loin d’être contre, ça permettrait de lutter contre leur grande sédentarité, qui est un mal récurrent de nos jours. Et si c’est un moyen de lutter contre l’absentéisme et le décrochage scolaire, je dis oui. Mais il ne faudrait pas que ça se fasse en pressant un peu plus les enseignants ; ceci ne pourrait pas s’envisager sans répercussions salariales. »

Recueilli par A.P.


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École : pour ou contre le sport l’après-midi ?

Daniel Silva, 40 ans, serveur.

 

« Je ne connais pas très bien ce système pratiqué en Allemagne où l’enseignement général est donné le matin, et le sport l’après-midi.

Est-ce que ce serait possible en France, avec le nombre de profs d’EPS ?

Personnellement, je crains que ce système soit gênant, je compte inscrire mes deux enfants dans des clubs : judo et athlétisme.

Est-ce qu’ils seront toujours motivés pour pratiquer ces sports le mercredi ?

Ces rythmes ne vont-ils pas perturber les enfants ? »

 

Corinne Godard, 38 ans, conseillère.


 

« Je suis au courant de cette nouvelle initiative, je l’ai appris par la radio. Je savais que ces rythmes se pratiquaient depuis longtemps en Allemagne.

Je trouve que c’est une très bonne chose car les enfants sont plus concentrés le matin, comme les adultes d’ailleurs…

De plus, ils pourront faire plus de sport à des âges où ils sont demandeurs et ont besoin de se dépenser physiquement.

De nouvelles disciplines sportives vont-elles être introduites à l’école ? »

 

Matthieu Piraube, 18 ans, lycéen.


 

« Je ne connaissais pas cette nouveauté qui va bouleverser les rythmes scolaires.

Je trouve que ce ne serait pas mal car, quand on fait du sport le matin, on est plus fatigué pour les autres matières le reste de la journée.

Cela ne me dérangerait pas de devoir déjeuner à 10 h 30, car je mange très peu le matin, et c’est précisément l’heure où l’on a le fameux « coup de pompe ».

Moi, j’aurais mieux aimé faire du sport l’après-midi ! »

 


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Union100531a - Marne
Allaoui Bensad édite son cinquième titre en ligne

Allaoui Bensad, un artiste rémois aux multiples facettes.
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Allaoui Bensad est un jeune bénévole du quartier Croix-Rouge qui n’en finit pas de cumuler les talents : écrivain, producteur, co-réalisateur, scénariste, metteur en scène, comédien, coach vocal, chanteur et directeur de casting.

Il annonce la sortie de son nouvel ouvrage, écrit en anglais sous le titre « Outcast for love », qui veut dire « Clochard par amour » : on peut traduire par « J’ai épousé l’art pour commettre un adultère avec la misère ». L’auteur explique : « Ce livre explique, à travers des chants lyriques, pourquoi j’ai failli me retrouver à la rue. »

On peut le consulter et l’acheter sur TheBookEdition.com où sont déjà publiés quatre autres ouvrages d’Allaoui Bensad : « Le destin des enfants de l’espoir », « M’Hamed the king of my world », « Lancelotti » et « M’Hamed, le sultan de mon orient ».

Il suffit de cliquer sur le lien suivant : www.thebookedition.com/outcast-for-...

 

 


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Union100530b - Marne
Violent feu d’appartement

 

 

Un violent feu d’appartement s’est déclaré ce matin peu après 6 h 30 au premier étage d’un immeuble situé au 3, allée des Savoyards dans le quartier Croix Rouge à Reims.

Les sapeurs-pompiers qui ont reçu de nombreux appels, sont intervenus avec d’importants moyens pour empêcher que l’incendie ne se propage au deuxième étage et ont mis trois petites lances en manœuvre.

Une personne a été intoxiquée.

Le logement est entièrement détruit. Une enquête est ouverte pour identifier les causes du sinistre.

 

 


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Union100530a - Marne
Feux en série à Reims

Plusieurs incendies ont eu lieu ces dernières heures à Reims.

Dans le quartier Croix Rouge, des conteneurs à ordures ont brûlé à deux reprises à 0 h 55 et à 5 h 20 avenue Bonaparte.

A 1 h 55, c’est un véhicule qui a été la proie des flammes rue du docteur Billard. Le feu s’est propagé à un coffret à gaz provoquant une fuite enflammée.

A 3 h 30, rue de Bourges, une auto a également brûlé. Les flammes ont entamé une haie et léché un second véhicule. Vers 4 h 40, un dernier véhicule a été signalé incendié.


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Conseil municipal du 27 mai 2010


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VOTE DE SUBVENTIONS.

- Subvention pour des projets dans le cadre du Fonds d’Iniative Local  : Étoile Croix-du-Sud Fête du Muguet - Subvention de la Ville 1.000,00 €

- Subventions de fonctionnement des jardins familiaux :

    • Jardins Associatifs de la Communauté d’Agglomération de Reims - Subvention de la Ville 4.500,00 €
    • Association Rémoise des Jardins Familiaux… Subvention de la Ville 7.000,00 €
    • Association des Jardins Familiaux des Trois Rivières… Subvention de la Ville 400,00 €
    • Association des Jardins Familiaux Croix-du-Sud … Subvention de la Ville 3.500,00 €
    • Association des Jardins Familiaux des Pays-de-France Secteur Croix-Rouge… Subvention de la Ville 2.200,00 €
    • Brico-Corcellienne des Jardins Familiaux Subvention de la Ville 500,00 €
    • Société d’Horticulture de l’Arrondissement de Reims … Subvention de la Ville 8.430,00 € (Dotation du concours de fleurissement)


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CONTRAT URBAIN DE COHÉSION SOCIALE 2007-2010

TABLEAU RÉCAPITULATIF DES PROJETS PORTÉS PAR LES ASSOCIATIONS DE CROIX-ROUGE

Pour chaque action : Intitulé de l’action - Nom du porteur - Coût total du projet - Subvention de l’État - Subvention de la Ville

- Café associatif Bistroquet - 2 MAINS - Coût total du projet 66.878 - Subvention de l’État 7.500 - Subvention de la Ville 15.000

- Dispositif Éducatif Novateur d’Insertion Sociale - 2 MAINS - Coût total du projet 63.500 - Subvention de l’État néant - Subvention de la Ville 20.000

- Accompagnement éducatif individualisé de primaires et de collégiens des quartiers Croix-Rouge et Orgeval - Association de la Fondation Etudiante pour la Ville (AFEV) - Coût total du projet 48.100 - Subvention de l’État 10.000 - Subvention de la Ville 10.000

- Renforcement du Réseau Relationnel pour dépasser les discriminations à l’embauche des jeunes diplômés des quartiers prioritaires de Reims - Association pour Faciliter l’Insertion professionnelle des Jeunes diplômés (AFIJ) - Coût total du projet 18.000 - Subvention de l’État 5.000 - Subvention de la Ville 4.350

- SOS Stages - Faciliter l’accès à des stages de qualité des étudiants susceptibles d’être exposés à des discriminations sur Reims - Association pour Faciliter l’Insertion professionnelle des Jeunes diplômés (AFIJ) - Coût total du projet 11.250 - Subvention de l’État 3.000 - Subvention de la Ville 2.610

- Insertion par l’Activité Économique de Jeunes en grandes difficultés issus des quartiers sensibles - Avenir Jeunes Reims (AJR) - Coût total du projet 138.320 - Subvention de l’État 7.000 - Subvention de la Ville 9.000

- Réussite éducative 2010-2011 - Collège François Legros - Coût total du projet 13.400 - Subvention de l’État 4.000 - Subvention de la Ville 4.000

- École et quartier « Réseau Georges-Braque » - Collège Georges-Braque - Coût total du projet 15.000 - Subvention de l’État 5.000 - Subvention de la Ville 5.000

- L’école comme moteur du développement culturel des élèves et des familles du quartier - Collège Joliot-Curie - Coût total du projet 16.650 - Subvention de l’État 4.500 - Subvention de la Ville 4.500

- Fête de quartier Croix-Rouge Billard - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 3.200 - Subvention de l’État 1.500 - Subvention de la Ville 1.500

- Expressions tolérance Croix-Rouge Billard - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 2.240 - Subvention de l’État néant - Subvention de la Ville 870

- Famille parentalité Croix-Rouge Billard - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 30.406 - Subvention de l’État 6.900 - Subvention de la Ville 5.100

- L’été s’affiche à Croix-Rouge - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 91.824 - Subvention de l’État 28.000 - Subvention de la Ville 25.000

- Activités sportives et animations de proximité, le lien social au quotidien Croix-Rouge - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 44.915 - Subvention de l’État 12.000 - Subvention de la Ville 12.000

- Fête de quartier Pays-de-France Croix-Rouge - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 3.000 - Subvention de l’État 1.500 - Subvention de la Ville 1.500

- Famille parentalité Watteau - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 29.491 - Subvention de l’État 6.900 - Subvention de la Ville 5.100

- Atelier d’expression et de communication Watteau - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 10.050 - Subvention de l’État néant - Subvention de la Ville 4.500

- Fête de quartier Watteau - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 3.000 - Subvention de l’État 750 - Subvention de la Ville 750

- Quel chantier Croix-Rouge ? - Maisons de quartier de Reims - Coût total du projet 58.376 - Subvention de l’État 15.000 - Subvention de la Ville 15.000

- Accompagnement des personnes âgées dans le cadre des opérations de renouvellement urbain - Office Rémois des Retraités et Personnes Agées (ORRPA) - Coût total du projet 44.928 - Subvention de l’État 10.000 - Subvention de la Ville 8.700

- Les deux roues au service de l’insertion - Reims Espoir - Coût total du projet 38.045 - Subvention de l’État néant - Subvention de la Ville 5.000

- Chantier d’Harmonie Urbaine 2010 « Dernière tranche » - Toutes Recherches Artistiques et de Créations (TRAC) - Coût total du projet 108.500 - Subvention de l’État 10.000 - Subvention de la Ville 10.000


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Union100529c - Marne
Le gala se prépare : Ils font chauffer les patins

Tous les âges, tous les niveaux, toutes les disciplines seront sur la glace.
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Au Reims Acrap patinage, patineurs et entraîneurs se consacrent à la préparation de leur grand gala qui aura lieu vendredi 4 juin à la patinoire Bocquaine à 19 h 45.

Il réunira petits et grands, section artistique et section danse sur glace, des groupes débutants aux compétiteurs récompensés aux championnats de France.

La répétition générale se déroulera demain dimanche 30 mai à la patinoire Jacques-Barot.

 

 


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Union100529b - Marne
Des milliers de voisins réunis pour leur fête

« L’AN dernier c’était la première fois que l’on faisait quelque chose dans notre rue (rue de l’Etape) ; c’est Chantal, une dame venue du sud, qui s’en était occupée. Et comme ça avait été super, eh bien on remet ça cette année, et cette fois c’est nous qui organisons. »

Comme Vincent, ils étaient hier soir à Reims un peu plus de 200, simples particuliers ou responsables associatifs, à avoir mis sur pied la désormais habituelle fête des voisins.

Du boulevard Jamin à l’hippodrome, de la Neuvillette au Val de Murigny, de la rue de Cernay au quartier Ste-Anne, ça trinquait, picorait, bavardait, voire rigolait allègrement…

Curieusement, c’est exactement le même chiffre que l’an dernier pour ce qui est des organisateurs déclarés à la mairie ; côté participants, ils étaient en 2009 un peu plus de 9 630.

Cette année, le temps s’étant fait plus clément, on peut penser avoir dépassé les 10 000. Même si dans sa rue de l’Etape, Vincent a accueilli moins de convives que l’an dernier, « mais on a bien plus rigolé ! »

A.P.


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Union100529a - Marne
Avec le chœur des chrétiens : Un concert en faveur d’Haïti

Un chœur diocésain bénévole au répertoire liturgique.
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Créé au départ avec les « Troubadours de Croix-Rouge », et parrainé par le père Jean-Hugues Marlin, ancien prêtre de Croix-Rouge, le chœur de chrétiens du diocèse de Reims regroupe des jeunes et des adultes provenant des différentes paroisses et églises de Reims et des environs (Faubourg de Laon, Croix-Rouge, Taissy, Centre ville, Europe, Bétheny, Loivre).

À la tête de 10 chanteurs et 7 chanteuses, organisés en quatre voix, et de plusieurs musiciens, Cyril Ngbandi-Tolo et Jean-Christophe Mackpayen, animateur et chef de chœur, proposent un registre de chants liturgiques avec une orchestration classique

Leur premier concert, lundi 24 mai en l’église Sainte-Geneviève, a réuni une cinquantaine de personnes et a permis, en libre participation, de faire un don à l’Unicef, en faveur d’Haïti.

« C’était notre projet musical, depuis 2007, d’une action humanitaire auprès des pays pauvres et nous avons choisi les enfants en Haïti, par l’intermédiaire de l’Unicef, capable, depuis des années d’acheminer les recettes pour la cause des enfants », explique Jean-Christophe Mackpayen.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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L’hebdo du vendredi- n° 170 - 100528g

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 170 - Semaine du 28 mai au 03 juin 2010

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En marge de la 21ème édition des Flâneries musicales qui va se tenir du 17 juin au 21 juillet à travers de nombreux lieux de la Ville de Reims, Alain Hatat photographe rémois qui capte depuis maintenant 19 ans les instantanés musicaux du festival, expose toute une série de portraits de formats divers dans cinq lieux culturels de la métropole. Sur le thème reconstitué d’« un lieu, un instrument, un interprète », une trentaine d’artistes du cru, compositeurs, chanteurs, musiciens, chef de chœur, directeurs de structure… s’est prêtée sobrement au jeu d’être immortalisés en noir et blanc dans des univers symboliques et patrimoniaux de la cité des sacres, voire plus bucoliques. Devant l’objectif, personnages, instruments et lieux fusionnent.

À découvrir :

- Du 31 mai au 24 juillet : FNAC d’Erlon
- Du 1er juin au 31 juillet : Médiathèque Cormontreuil, 4, place Louise Michelet à Cormontreuil et Médiathèque Croix-Rouge, 2, rue Jean Debar à Reims.
- Du 21 juin au 15 octobre : Cryptoportique de Reims.
- Du 21 juin au 21 juillet : Maison du Département, 18, rue Carnot à Reims.


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Union100528f - Marne
Tennis (Championnats de Ligue jeunes) : La preuve par dix

Baignés de soleil au Creps de Reims pendant les trois jours du week-end de la Pentecôte, les championnats de Ligue des jeunes ont particulièrement été favorables aux Marnais qui ont raflé dix titres sur quatorze. Les quatre autres revenant aux Aubois, Ardennais et Haut-Marnais faisant chou blanc.

Ainsi, la logique a-t-elle été souvent respectée. Chez les garçons, dans la catégorie reine des 17/18 ans, le favori Alexandre Blossier (2/6, Vitry) s’est imposé. Non sans mal, car le vaillant Pierre Laurent (5/6, ASPTT Troyes) a remporté le set initial avant de céder dans le jeu décisif de la 2e manche.

Loin d’abdiquer, l’ex-joueur du TC Géo-André menait 4-2 dans la « belle » avant de lâcher physiquement (6-4). Une catégorie juniors décidément délicate pour les têtes de séries n°1 puisque, peu avant, Manie Menacer (- 4/6, Reims Europe Club) avait éprouvé les pires difficultés pour venir à bout de la 3/6 sedanaise, Jackie Lassaux.

GARÇONS.

- 9 ans : Peurichard (30/5,Taissy) bat Roussel (30/5, Vitry) 5-3, 5-3.
- 10 ans : Villenet (30/2, Taissy) bat G.Henry (30/2, Bouzy) 5-2, 5-3 ;
- 11 ans : Mouilleron (15/5, ASPTTTroyes) bat Benoit (15/5, Saint-Dizier) 6-2, 3-6, 6-1 ;
- 12 ans : De La Bassetiere (15/3, Cormontreuil) bat Jonasz (15/3, Montmirail) 6-3, 7-6.
- 13/14 ans : Wallart (15/2, Géo-André) bat Mulat (15/2, Vitry) 6-0, 6-2 ;
- 15/16 ans : Conrath (5/6, ASPTT Troyes) bat Dubois (15/1, Givet) 7-6, 7-6 ;
- 17/18 ans : Blossier (2/6, Vitry) bat Laurent (5/6, ASPTT Troyes) 2-6, 7-6, 6-4.

DAMES.

- 9 ans : Manon Lugand (30/4, Rivière de Corps) bat Léanna Clauss (40, Saint Memmie) 5-4, 5-3 ;
- 10 ans : Ilona Lopes (30/1, Romilly) bat Anaïs Lamare (30/4, Chateauvillain) 5-2, 5-3 ;
- 11 ans : Lisa-Marie Habert (15/4, Witry-les-Reims) bat Mena Lemouton (15/5, La Macérienne) 6-0, 6-0 ;
- 12 ans : Cindy Castille (5/6, Géo-André) bat Amélie Zarev (15/1, Reims Europe Club) 7-5, 6-2.
- 13/14 ans Claire Makhloufi (2/6, Géo-André) bat Claire Duter (15/1, Sedan) 6-0, 6-0 ;
- 15/16 ans : Audrey Rousseaux (5/6, Reims Europe Club) bat LucieVarenne (5/6, La Macérienne) 6-2, 6-0 ;
- 17/18 ans Marie Menacer (-4/6, Reims Europe Club) bat Jackie Lassaux (3/6, Sedan) 7-6, 6-4.


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Union100528e - Marne
TENNIS : Championnats de Ligue seniors : La Marne force huit

Organisés cette année sur la terre battue du TC Troyes, les championnats de Ligue des seniors+ (vétérans) ont permis aux Marnais de décrocher huit titres soit un de plus que l’an passé.

Derrière, l’Aube a fait bonne figure avec cinq titres - plus deux non disputés - devant la Haute-Marne (2) et les Ardennes (1).

MESSIEURS.

- +35 ans : Jolly (-4/6, CormontreuilTC) bat Seuret (1/6, Reims Europe Club) 6-1, 6-4.
- +40 ans : Gouin (15, Romilly) bat Damonte (5/6,TC Troyes) 6-2, 2-6, 7-6.
- +45 ans Lambert (15/1, Saint-Dizier) bat Gamon (15/1,TCTroyes) 6-3, 6-2.
- +50 ans : Visy (15/1,TC Reims) bat Gauthier (15/3, TCTroyes) 6-1, 6-4.
- +55 ans : Floquet (15/3, TC Reims) bat Latrompette (15/3, Saint-Dizier) 6-4, 6-2.
- +60 ans : Foissy (15/4, Saint-Dizier) bat Rouillon (15/4, Saint-Dizier) 6-0, 6-1.
- +65 ans : Brunschvicg (15/2, TC Sancéen) bat Amillet (15/5, Côte des Blancs) 6-0, 4-6, 6-2.
- +70 ans Rambaut (30, Géo-André( bat Prébin (30/1, TCTroyes) 6-1, 7-5.
- +75 ans : Gratiot (30/2, TRC Muire) bat Grosjean (30/2,TCTroyes) 6-0, 6-2.
- +80 ans : Descamps (30/2, TC Troyes) qualifié d’office

DAMES.

- +35 ans : Caroline Colomb (0, TC Troyes) bat Gaelle Fortunato (0, Chaumont) 4-6, 6-2, 6-0.
- +40 ans Cathy Weber (15, ASPTT Châlons) bat Sylvie Andres (30/1,TC Bouilly) 6-1, 6-2.
- +45 ans : Marie-Christine Saint Mard (15/1, ASPTT Charleville) bat Béatrice Plodzien (15/1,TC Reims) 6-3, 7-5.
- +50 ans : Dominique Sandre (15/3,TC Reims) bat Fabienne Carquin (15/3, Romilly) 7-6, 6-3.
- +55 ans : Catherine Blanchard (15/3, TC Troyes) bat Anne Ceyral (15/3, Bar sur Aube) 4-6, 6-2, 6-1.
- +60 ans : CatherineThibault (15/2, TCTroyes) bat Maureen Mangin (15/5, Vitry) 1-6, 7-6, 5-3.
- +65 ans : Marie-Josèphe Alluchon (30/1,TC Reims) bat Pierrette Martin (30/1, Saint-Dizier) par WO.
- +70 ans : Monique Lelarge (30/2, Foyer Barsequanais) qualifiée d’office.


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Union100528d - Marne
La CNL en veut à la Teom : Des sacs d’ordures devant la mairie


 

 

Ils étaient une vingtaine à avoir répondu à l’appel de la Confédération nationale du logement, en amenant quelques sacs poubelles devant l’hôtel de ville hier soir.

Ils sont entrés ensuite dans la salle du conseil avec leur banderole, mais sans incident.

Catherine Vautrin, elle, a évoqué les conteneurs enterrés si pratiques, que Reims Métropole installe petit à petit. « Je leur ai demandé pourquoi ils n’avaient pas acheté des conteneurs avec pesée, plus simple pour avoir une taxe variable, suivant les ordures de chacun. C’était trop cher »..

 


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Union100528c - Marne
Conseil de quartier Croix-Rouge-Hauts-de-Murigny : Les habitants sont restés sur leur faim

Le public était attentif mais n’a pas eu droit aux « questions diverses ».
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Fréquentation

Il y avait 68 personnes dans la salle Mauriac, mercredi 19 mai. C’est très peu pour un quartier de 20 000 habitants, mais c’est bien quand on se souvient que la première réunion en avait rassemblé moins de 10.

Publicité

Elle a été très bien assurée. Corinne Foulon, chargée de communication, a bien fait son boulot. 1 000 tracts, des affichettes à toutes les portes, annonces dans la presse, mails envoyés en grand nombre,… Difficile de dire « Je ne savais pas ».

Mobilier urbain

« Trop de casse ! » a regretté une habitante.

Éric Quénard a annoncé que désormais Reims, avec l’arrivée du tramway, aura le même nouveau mobilier urbain en centre-ville et dans les quartiers, « question de cohésion municipale »

Déjections canines

On ne peut pas y couper. Cette fois, c’est José Domice, ancien conseiller municipal, qui a évoqué « le drame de certains habitants qui ne peuvent pas payer une amende de 35 euros à la brigade environnementale pour leurs crottes de chiens non ramassées. C’est impossible à gérer pour eux ! » Pour lui, il vaudrait mieux « inciter le gens à se munir de sacs ». Raymond Joannesse, adjoint aux espaces verts, a rappelé que : « 250 000 sachets sont distribués gratuitement chaque année, dans les mairies annexes, les médiathèques, chez les vétérinaires ! Difficile de faire mieux ! »

Questions diverses

Elles sont passées tout simplement à la trappe ! À 20 h 48, le conseiller municipal Alain Bisteur, co-animateur « élus » a déclaré soudainement : « Pas de questions diverses ! On peut vous libérer ! » Tout le monde s’est alors levé pour sortir. Du grand art…


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Les grandes manœuvres

Le renouvellement du collectif du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny était à l’ordre du jour de cette réunion.

Sans surprise le co-animateur « habitants » Alain Boutroit a été réélu à son poste auprès du co-animateur « élus » Alain Bisteur.

L’élue de l’opposition est toujours la conseillère municipale Élisabeth Vasseur.

Pour représenter les habitants, Angélique Gallet et Martine Massart ont été élues.

Restait à remplacer Geneviève Kaczowka, qui siégeait en qualité de représentante « associations » (présidente des locataires des Polygones) avant de devenir conseillère municipale et de siéger désormais en qualité d’élue. Pour la remplacer, c’est tout naturellement… la nouvelle présidente des Polygones, Bernadette Érard, qui a été élue. On reste ainsi en famille, ce qui a provoqué la grogne de José Domice « qui aurait bien voulu entrer au conseil de quartier » mais qui en a été empêché « pour des raisons de procédure… »

Il a rejoint dans la salle un autre « rejeté », le conseiller municipal Michel Guillaudeau, présent sur les rangs du fond mais en qualité de simple habitant…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100528b - Marne
Une fête magique pour les enfants

Le parc Léo-Lagrange a été pris d’assaut…
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…pour la cinquième édition de la semaine consacrée à la plus grosse association de la cité des sacres.
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Mercredi, le parc Léo-Lagrange a été pris d’assaut par l’intégralité des maisons de quartier de Reims (Cernay, Trois-Piliers, Châtillons, Wilson, Croix-Rouge…), pour la cinquième édition de la semaine consacrée à la plus grosse association de la cité des sacres.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que la MQR n’a pas lésiné sur les moyens pour offrir un après-midi festif à ses adhérents mais aussi aux autres jeunes Rémois.

« C’est vraiment bien que cette association s’ouvre aux gens qui ne connaissent pas forcément ce qu’elle propose. Mes enfants ont ainsi pu découvrir pas mal de choses en s’amusant », souligne Murielle, venue avec ses jumeaux Théo et Lucas.

Au programme, plusieurs prestations ont été proposées sur scène : danse hip-hop de la Nacelle (Croix-Rouge), des élèves d’Ismaël prof de danse pour diverses maisons de quartier (Châtillons, Maison-Blanche, Wilson), danse et musique africaines… mais ce n’est pas tout.

Effectivement, une grande partie du parc a été aménagée pour l’occasion par plusieurs stands tenus par les salariés des MQR mais aussi par d’autres associations partenaires de l’événement comme l’Efsra ou Vel’Oxygène qui ont animé des ateliers en lien avec leurs spécialités.

D’immenses structures de jeux gonflables ont aussi été installées pour le bonheur des enfants comme Dylan, 5 ans.

« J’ai bien aimé le gros baby-foot et le basket géant mais pour l’escalade je suis trop petit. Maintenant je vais manger une crêpe avec ma maman. »

Le sport était à l’honneur !

Effectivement, outre les animations le public avait aussi la possibilité de se restaurer grâce au stand buvette tenu par des bénévoles.

Jean-Pierre Eittel, président de l’association, et Pascale Martin, adjoint au maire en charge des MQR, ont d’ailleurs souligné l’importance de ces derniers ainsi que l’implication des salariés de la MQR pour l’organisation et la tenue d’une telle journée.

« Je tiens à remercier les bénévoles et les salariés qui se sont énormément impliqués pour cette cinquième édition », explique le président.

Des animations sportives, sous forme de démonstrations ou d’initiations, ont attiré les jeunes, comme le foot de rue ou encore le full-contact.

Mais l’association ne s’est pas arrêtée là puisqu’en plus d’occuper une grande partie du parc elle s’est aussi installée dans le complexe sportif René-Tys où était organisé un challenge de futsal inter maisons de quartier. Dans cette compétition, des jeunes des différentes structures se sont affrontés lors de deux tournois, le premier pour les préados et le second pour les ados.

Pour l’occasion chaque équipe était vêtue de maillots floqués au nom du quartier qu’elle représentait.

« On a l’habitude de faire du foot en salle, mais là il y a le panneau qui affiche les scores. Cela ajoute un peu de piment au tournoi ! », explique l’un des jeunes sportifs.

En fin d’après-midi, alors que la météo a finalement été clémente, les organisateurs ont pu offrir un goûter aux enfants présents dans le parc Léo-Lagrange.

Thierry ACCAO-FARIAS

L’association des maisons de quartier a organisé un après-midi festif pour les jeunes Rémois dans le cadre de la semaine qui lui était consacrée.


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Respirer et bouger en famille

Voici le programme de ce vendredi 28 mai.

- Cernay-Europe : diagnoforme - adultes. Rencontre sportive - adultes.
- Clairmarais : gym douce - adultes. yoga - adultes.

- Croix-Rouge :

    • Espace Billard : motricité - petite enfance
    • Espace Watteau : sortie cueillette à Muizon et préparation de l’apéritif dînatoire.
    • Ateliers d’initiation à la danse - tout public.

- Epinettes : parcours motricité - Petite enfance.
- Jean-Jaurès - Chalet : atelier diététique - Petite enfance.
- La Neuvillette : initiation salsa et madison (18 h 30 à 21 heures) - Adultes.
- Maison-Blanche : judo - enfance. Hip-hop - jeunes.
- Orgeval : « Boum des jeunes » pour les 13-20 ans. Concours de danse moderne. 19 heures - 22 h 30
- Arènes du Sud - Espaces Saint-Remi et Verrerie : jeu de piste - Petite enfance. Tournoi de pétanque - Adultes.
- Trois-Fontaines : randonnée intergénérationnelle - Adultes - Petite enfance.

- Val-de-Murigny :

    • Espace Turenne : motricité - Familles.
    • Espace Ludoval : expo santé/Bien être - Tout public.

- Wilson : petit-déjeuner équilibré - Adultes et seniors.


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Union100528a - Marne
Art contemporain Balle de match pour Sophie Hasslauer

On recherche un arbitre « à la hauteur »…
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L’artiste rémoise Sophie Hasslauer, professeur d’art plastique au collège Georges-Braque, va présenter sa dernière œuvre, réalisée dans le cadre des « Histoires de l’art » en collaboration avec l’établissement Bonzini.

Son baby-foot est composé de joueurs prestigieux. Qu’on en juge : dans les buts, « l’Urinoir » de Duchamp ; en première ligne, la « Compression Ricard » de César et « Russ » de Scoccimaro » ; en deuxième ligne, un personnage de Miro, la « Vénus » de Milo, et une statuette de gardien de reliquaire Fang. Au centre, l’« Esclave mourant » de Michel-Ange, la « Standing figure on round Base », de Moore, « Apple core » de Oldenburg, une Idole cycladique et la « Vierge d’Autun ».

Expo cet été

« Cette œuvre sera exposée cet été à Val-de-Vesle, dans le cadre d’une exposition portant sur la notion de territoire de l’art et plus précisément sur les limites souvent clignotantes entre la représentation et la réalité », explique l’auteur.


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Union100527b - Marne
Les anti-IVG chassés de la ville par un collectif d’associations

Tugdual Derville et Caroline Roux ont improvisé une mini-conférence dans une cafétéria de la gare.
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REIMS (Marne). Délocalisée deux fois en quelques heures, la conférence de l’association « Alliance pour les droits de la vie » aura tourné court.

UN COLLECTIF de lutte antifasciste, Homozygote, le Planning familial ou encore les féministes des Désobéissantes s’étaient tous donné rendez-vous rue Taittinger, devant les portes de Reims managment School pour crier leurs colères à 20 heures hier soir. Les communiqués de presse et les mailings allaient bon train depuis deux jours. Dans le collimateur de ce collectif improvisé, une conférence organisée par l’association « Alliance pour les droits de la vie » qui avait pour thème « Naître ou ne pas naître, de l’avortement au bébé à tout prix ». Un programme qui a déclenché l’ire de toutes ces associations et qui a semé, durant quelques heures une légère panique dans les couloirs de Reims managment school, établissement qui devait accueillir la soirée. « Nous avions donné notre accord pour la tenue de cette conférence. Une clause du contrat signé stipulait que nous pouvions annuler l’événement. Nous avons effectué ce choix après avoir pris de plus amples informations sur cette association. Elle nous avait donné le thème de la bioéthique mais la direction de RMS a considéré que les idées véhiculées ne correspondaient pas à l’image de notre établissement », commente la direction.

Repli à l’hippodrome…

Il faut dire qu’à travers un communiqué de presse cinglant, l’antenne du planning familial de la Marne se disait « étonnée qu’une école supérieure, qui a vocation d’ouvrir aux jeunes toutes les informations nécessaires à leur épanouissement notamment autour de leur droit à la contraception et à l’avortement, accueille cette manifestation ». Il n’en sera rien.

Cependant, « l’Alliance pour les droits de la vie » ne voulait pas annuler l’étape rémoise de sa tournée « bioéthique 2010 ». Alors, les anti-IVG ont décidé sur le pouce d’investir le resto rapide de l’hippodrome pour sauver la face. Les associations ont suivi, rendez-vous était fixé à 17 heures.

puis… planqués à la gare

« Je ne comprends pas un tel déchaînement contre notre association. Nous avons appris le refus brutal de RMS quelques heures seulement avant notre arrivée. Nous nous inquiétons de la position de cette école qui a changé d’avis au dernier moment, alors que depuis deux mois nous avons leur accord. Nous sommes inquiets de la formation intellectuelle que peut donner une école censée produire des élites », commente Ségolène Duclosel, porte-parole d’Alliance pour les droits de la vie. Sixième conférence donnée sur un cycle de neuf, ce n’est pas la première fois que cette association doit faire face à une levée de boucliers. Mais jamais elle n’avait été de cette ampleur.

16 h 48, nouveau coup de téléphone, les représentants de « l’Alliance pour les droits de la vie » ne se réuniront pas au resto rapide de l’hippodrome mais rendez-vous est fixé à la gare. Deux changements de lieux dans la même journée, les pro-IVG en ont plein les bottes, leur président ne viendra pas. Ils ont été contraints d’annuler la réunion d’information ainsi que la soirée qui devait être donnée non sans essayer malgré tout de faire passer leurs messages dans les fauteuils de cuir d’une cafétéria de la gare. « Nous voulions du dialogue. C’est une occasion manquée mais c’est la première fois que les choses se déroulent ainsi. Nous voulions informer le grand public sur les alternatives à l’interruption de la grossesse, leur montrer qu’il y a d’autres pistes que le systématisme de l’interruption choquante et brutale de la vie », termine Tugdual Derville, délégué général de l’association, contraint et forcé de parer au plus pressé.

Thomas DUPRAT


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Union100527a - Marne
Reims / L’auteur présumé écroué : Il viole une handicapée mentale

Retrouvé à Paris, un Rémois d’une vingtaine d’années accusé d’avoir violé une handicapée mentale à Reims, la semaine dernière, a été mis en examen et écroué.

Les faits se sont produits lors d’une soirée au domicile de la victime, au quartier Croix-Rouge.

La jeune femme est sous curatelle. Elle connaît son agresseur. Accompagné d’un ami, celui-ci est venu la voir pour prendre un verre. L’ami reparti, il est resté seul avec la locataire. Il aurait exprimé son désir d’avoir des relations avec elle. Elle a refusé. Il est passé en force.

Il se livre aux policiers

La victime s’est débattue. Elle aurait mordu son agresseur, lequel lui a porté un ou plusieurs coups de poing au visage. Son forfait commis, il s’est enfui et a quitté Reims pour rejoindre sa mère domiciliée à Paris. A-t-il été pris de remords ? Où savait-il que son arrestation était inéluctable ? Le Rémois s’est confié auprès de sa mère, lui révélant ce qu’il venait de faire. Sur ses conseils, il est allé se dénoncer dans un poste de police de la capitale.

La victime, entre-temps, avait prévenu le commissariat de Reims. Informés de la présence du fuyard à Paris, où il était maintenu à leur disposition, les enquêteurs sont allés le chercher.

C’est la première fois que l’individu serait impliqué dans une affaire de mœurs. Mis en examen pour « viol sur une personne vulnérable », circonstance aggravante retenue en raison du handicap mental de la victime, l’homme encourt vingt ans de réclusion criminelle devant les assises.

Le juge des libertés et de la détention a ordonné son incarcération.


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Union100526b - Marne
Fête des maisons de quartier à Léo-Lagrange et René-Tys : Une équipe multicolore

Des tenues de couleurs différentes pour les équipes des maisons de quartier.
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La présentation de la « Semaine des maisons de quartier » a donné lieu à la remise, par un des sponsors de l’événement, de maillots destinés aux jeunes pratiquants de futsal de chaque maison de quartier. Les animateurs sont venus retirer les tenues des équipes qu’ils encadrent et qui s’affronteront ce mercredi 26 mai de 10 à 18 heures à René-Tys. Une remise effectuée en présence de quelques entraîneurs de clubs partenaires : Christophe Lartisien (Cercle Rémois des Arts Martiaux), François Dussaut (Reims Hockey Club) et Franck Ostré (Reims-Champagne-Basket).

« Nous travaillons avec le Pôle Sport sur l’activité basket. Nous avons la chance d’avoir des joueurs ouverts au public, qui viennent à la rencontre des jeunes, durant les vacances, au gymnase Europe », a déclaré Franck Ostré. François Dussaut intervient également aux mêmes périodes pour initier les adhérents de l’accueil de loisirs au hockey sur glace : « Depuis deux ans, nous donnons un coup de main pour initier les enfants et les ados à notre sport et cela se passe super bien ! » Une satisfaction partagée par Pascale Martin, l’adjointe aux maisons de quartier : « Ce que l’on obtient ici, c’est une équipe de foot multicolore, de tous les quartiers, et ça n’existe nulle part ailleurs. Voir tous ces jeunes et leurs animateurs, avec le même maillot coloré, jouer sur toute la Ville, aucune autre institution à Reims n’arrive à créer quelque chose de cette ampleur. »

[Le programme de demain|]


Voici le programme de demain jeudi 27 mai dans le cadre de cette semaine des maisons de quartier sur le thème « Respirer et bouger en famille » :

- Cernay-Europe : ateliers de sensibilisation alimentation/santé (adultes).
- Clairmarais : course d’orientation (adultes, familles). Renforcement musculaire (adultes, familles).

- Croix-Rouge :

    • Espace Billard : motricité (petite enfance).
    • Espace Watteau : apéritif dînatoire, ateliers d’initiation à la danse (tout public).

- Epinettes : parcours motricité (petite enfance).
- Jean-Jaurès - Chalet : atelier diététique (petite enfance). Atelier du goût (adultes, familles).
- Maison Blanche : Break dance (jeunes). Danse Orientale (adultes).
- Orgeval : tournoi de ping-pong de 19 à 21 heures (jeunes).
- Arènes du Sud-Saint-Remi : relaxation (petite enfance). Portes ouvertes gym adaptée (9 heures) et yoga à 15 h 30 (adultes).
- Trois-Fontaines : atelier « manger-bouger » (enfants).

- Val-de-Murigny :

    • Espace Turenne : éveil corporel (petite enfance). Gymnastique d’entretien (adultes). Volley-ball (adultes).
    • Espace Apollinaire : sports d’opposition (enfance).
    • Espace Ludoval : expo santé/bien-être (tout public).

- Wilson-Sainte-Anne : atelier motricité (petite enfance).


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Union100526a - Marne
Mission accomplie pour l’association 2 mains : Un formidable projet au pied de l’Atlas

Durant trois jours, et avec une motivation incroyable, les jeunes et leurs éducateurs se sont donnés à fond.
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« NOUS sommes arrivés à Rabat puis avons pris la route pour la ville de Midelt au pied de l’Atlas. C’est là que se trouvait l’hôpital où le camion transportant le matériel devait arriver. Après avoir déchargé, nous avons pris la route pour Boumia, une ville voisine de 30.000 habitants où se trouve le dispensaire que les jeunes allaient rénover entièrement », explique Malika de l’association 2 Mains. Après avoir récolté des dons sous forme de matériel médical, plusieurs jeunes, encadrés par l’association 2 Mains, sont en effet partis au Maroc pour réhabiliter un dispensaire construit en 1945.

Seul centre médical de la ville, la structure ne compte qu’un médecin et cinq infirmiers pour autant d’habitants que le quartier Croix-Rouge ou que la ville d’Épernay.

Sur place, c’est un dispensaire délabré que les jeunes vont découvrir car, par manque de moyen, cette région extrêmement pauvre n’a effectué quasi aucune rénovation en plus de soixante ans.

Une motivation incroyable

« Nous nous sommes mis très vite au travail tout en sachant qu’on ne pouvait pas se permettre de bloquer les lieux quand le dispensaire accueillait des blessés et des malades », souligne Abdel, animateur de 2 Mains.

Durant trois jours, et avec une motivation incroyable, les jeunes et leurs éducs se sont donnés à fond, huit heures de boulot quotidien non-stop. « À aucun moment, nous n’avons entendu les jeunes se plaindre ou dû leur dire ce qu’ils avaient à faire. Ils ont fait preuve de courage et d’initiatives », tient à préciser Malika.

Dans un premier temps, il leur a fallu désinfecter l’intégralité du dispensaire puis nettoyer soixante années de crasse, ce qui ne fut pas une mince affaire. « Les murs, le sol, les fenêtres, les prises électriques, tout a été désinfecté à l’eau de javel. Il fallait voir l’état pour y croire ! » racontent les éducateurs.

Céline, Jonathan et Estelle ont été accueillis par l’association marocaine « Jbel Ayachi » (du nom du plus haut sommet de l’Atlas) avec les honneurs qu’il se doit. « Les responsables de l’association marocaine partenaire ont souhaité inviter les gamins pour un goûter au domicile de l’un d’entre eux. Thé et pâtisseries locales étaient au rendez-vous, mais nous n’avons eu que peu de loisirs car le but était de nous consacrer à ce formidable projet. Lorsque l’on rentrait le soir, on se douchait, on mangeait et on allait se coucher directement tant les journées étaient intenses en terme de travail », précisent Abdel et Malika.

Une équipe de choc

Pour finir, l’équipe de choc a entamé la peinture (aidée par des ouvriers locaux), synonyme de fin des travaux.

Après une fête digne de ce nom, il leur a fallu reprendre la route pour Rabat, des souvenirs plein la tête mais aussi plus de 700 photos qui donneront naissance à une magnifique exposition.

Mission accomplie pour l’association 2 Mains qui compte bien rééditer l’expérience avec d’autres jeunes.

T.A.F


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Union100525e - Marne
Heure des bébés

Vendredi 28 mai à 9 h 30, l’heure des bébés sera un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.

La séance est suivie de « petits courts pour petits bouts ».

Entrée libre sur inscription préalable au 03.2635.68.51. Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.


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Union100525d - Marne
La grande fête du loisir sportif au parc Léo-Lagrange

Le point d’orgue, ce sera demain, mercredi, au parc Léo-Lagrange, avec une fête qui rassemblera tous les acteurs.
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Jusqu’à vendredi, vous pourrez découvrir toutes les activités que proposent les maisons de quartier. Avec un temps fort demain : une grande fête au parc Léo-Lagrange et à René-Tys.

ELLES sont chargées d’animer leur quartier, de proposer des activités pour tous les âges : au cœur de la ville, les 12 maisons de quartier rémoises ouvrent leurs portes toute cette semaine, en mettant en place une série d’animations pour montrer leur savoir-faire (lire programme ci-dessous), pour cette 5e année de « leur » semaine. Le point d’orgue, ce sera demain mercredi, au parc Léo-Lagrange, avec une fête qui rassemblera tous les acteurs.

C’est le pôle sports, né d’une demande des jeunes des quartiers, qui existe depuis deux ans, qui organise notamment le tournoi final de futsal, une activité très populaire dans les maisons de quartier. 130 jeunes de 11 à 16 ans ont participé toute l’année à des matchs interquartiers, une centaine en tout, et demain, un tournoi (au complexe René-Tys) réunira 20 équipes, et les organisateurs en profiteront pour présenter le challenge futsal de la saison. Ils veulent avant tout que ce soit le résultat du travail de toute l’année, dans un style populaire et familial.

L’après-midi, toutes les maisons de quartier, avec 49 bénévoles, seront réunies pour proposer 32 activités d’extérieur, qui s’adresseront au monde de la petite enfance jusqu’aux seniors : motricité, trampoline, VTT, step, marche nordique, danse, rando, gym… « C’est une fête du bien-être, du sport loisirs. De la convivialité aussi avec un pique-nique géant au parc. »

Au parc Léo-Lagrange

- Pique-nique à partir de 11 h 30.
- 13 h 30 : mini-olympiades pour les 3-12 ans ; foot de rue, dès 6 ans ; trampoline, dès 4 ans ; structures gonflables (mur d’escalade, big basket, mini-golf…) ; mini-stade d’athlétisme ; parcours rollers ; marche nordique ; parcours trottinette ; démonstrations de step toutes les heures ; parcours VTT, motricité de 1 à 4 ans (avec toboggan géant).
- A partir de 10 heures : tournoi de futsal des équipes des maisons de quartier ; démonstration et initiation au basket ; découverte du volley-ball en famille ; démonstration et initiation aux sports d’opposition, pour les enfants et les jeunes adhérents des maisons de quartie


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Le programme du jour : Bouger en famille : Les animations de ce jour

- Cernay-Europe : Ateliers de sensibilisation alimentation/santé - Adultes
- Châtillons et Turenne : Eveil corporel - Petite enfance
- Croix-Rouge :

    • Espace Billard : Motricité - Petite enfance.
    • Espace Watteau : Apéritif dînatoire. Ateliers d’initiation à la danse - Tout public.
      - Epinettes : Fitness - Jeunes. Randonnées vélo - Adultes.
      - Jean-Jaurès-Chalet : Gym douce - Seniors
      - Maison-Blanche : Tournoi de tirs au but - Enfance. Break dance - Jeunes. Danse orientale - Adultes.
      - Orgeval : Crudito party à 19 h - Tout public. Arènes du Sud-Saint-Remi : Repas équilibré - Petite enfance. Portes ouvertes gym d’entretien (8 h 45) et abdos fessiers (12 h 15) - Adultes.
      - Trois-Fontaines : Randonnée gourmande - Adultes.
      - Trois-Piliers : Gym douce - Seniors de 14 h à 16 h.
      - Val de Murigny :
    • Espace Turenne : Circus partie - Petite enfance. Streching - Adultes.
    • Espace Apollinaire : Gym douce - Seniors
    • Espace Ludoval : Expo santé/bien être - Tout public.
      - Wilson Espace Sainte-Anne : Découverte du goût - Petite enfance.


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Union100525c - Marne
Journée solidaire à l’hippodrome : Miss France : marraine de cœur

Malika Ménard attirera tous les regards cet après-midi à l’hippodrome.
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Malika Ménard était à l’hippodrome de Reims hier.

ON est très loin de la guerre des Miss, des luttes intestines pour savoir qui va défiler pour qui et sur quelle chaîne de télévision lors de la prochaine élection. Hier, Miss France a mis son principal atout en avant, sa notoriété, pour soutenir la cause de l’enfance malade. Et plus particulièrement l’association rémoise « Roseau » dont les membres se démènent pour soutenir les enfants hospitalisés à Robert-Debré atteints de cancers ou de leucémies.

Une opération solidaire que le public a soutenue sans rechigner. Car même sous un soleil de plomb et une file d’attente conséquente, ils étaient nombreux à attendre une dédicace et un petit mot de la part de la Miss. Mais le véritable événement, c’était la sensibilisation à la cause des enfants malades. Pour populariser un maximum l’initiative, les drivers ont donné de leurs personnes en permettant à des enfants sous traitement de pouvoir monter dans des sulkys biplaces en compagnie de véritables drivers pour plusieurs tours de piste qui resteront certainement gravées très longtemps dans la mémoire des gamins.

Chèque et sourires

A l’issue de la 7e course de la journée, le bien nommé « Prix de l’association », les offi- ciels de l’hippodrome, Gilles Jéziorski en tête, ont remis les prix au vainqueur de la course. Et un chèque de 7 500 euros pour l’association Roseau. Non moins ému par ce don, le président de l’association qui lutte pour rendre le sourire aux gosses hospitalisés a tenu à souligner « l’implication de tous, de Miss France, des responsables des courses ainsi que des drivers qui ont mis leurs chevaux au service d’une noble cause » ; Michel Rousseau n’en dira pas plus. Mais sobriété n’est pas synonyme d’insensibilité. Et le jeune Christopher, casaque jaune, n’est pas près d’oublier sa victoire sur la piste. En attendant celle sur la maladie.

Th. D.


Union100525b - Marne

600 écoliers rémois ont imaginé une « ville idéale »

Les enfants découvrent le braille et le langage des signes.
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Les « Balades de la solidarité » :
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grande fête de clôture à la Patte-d’Oie.
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Sensibiliser les enfants à la santé, l’environnement, la solidarité, la communication, à travers des ateliers en pleine nature à la Patte-d’Oie : pari réussi du service de l’éducation de la Ville.

« QUE faut-il, selon vous, dans une ville idéale ? » lance au micro Romaric Chevalier, du service d’animation périscolaire de la Ville de Reims. « Des jardins ! » « Des piscines ! » « Des boutiques ! » « Un tramway ! » « Un magasin d’enfants sages et qui ne bougent pas ! » : cette dernière idée est lancée par des instits un peu débordées, en cette fin de matinée, par l’enthousiasme et la joie de vivre des 600 enfants présents à la journée de clôture des « Balades de la solidarité ».

« Nous sommes dans le cadre du « Festival Rémois et moi et toi ». Le service éducation de la Ville a monté des ateliers axés sur la construction d’une ville idéale vue par les enfants : santé, environnement, communication, loisirs… » explique Virginie Coez.

Apprendre en s’amusant

L’adjointe chargée de la lutte contre les discriminations est venue, en compagnie de Jacques Meyer, adjoint à l’éducation, encourager les animateurs et les enfants, répartis dans la Patte-d’Oie parmi les différents ateliers ludiques.

Du 17 au 20 mai, des actions interclasses et intergénérations se sont déroulées dans une trentaine d’écoles et quelques maisons de retraite. Cette journée de détente en est la récompense.

Sur le stand « Santé », on sensibilise aux gestes de base de l’hygiène. « Artisans du Monde » fait découvrir le commerce équitable. Les enseignants de l’Institut Michel-Fandre apprennent aux écoliers à déchiffrer quelques mots en braille ou en langage des signes. Sur l’atelier « Environnement », on montre comment fabriquer une chauve-souris, une voiture ou un mini-parachute à partir d’objets de récup.

Un grand moment : la confection d’un puzzle géant, à partir d’un dessin de Dave Morel, animateur-coordonnateur et graphiste de formation. Son image de « Ville idéale futuriste » a été découpée en 404 morceaux « aux ciseaux et avec nos petites mains ! » précise une coordonnatrice.

Animé par Acao, le pique-nique fut tout aussi géant que l’ambiance de la journée !


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Union100525a - Marne
Larcin commis durant la fête patronale de Val-de-Vesle : Vol à la roulotte : un Rémois arrêté

Les gendarmes de Taissy ont arrêté samedi matin un Rémois de 21 ans soupçonné d’être impliqué dans un vol à la roulotte commis lors de la fête patronale de Val-de-Vesle.

Le 16 mai, vers 1 h 30 du matin, un individu avait brisé la vitre d’une voiture pour s’emparer d’un sac de sport laissé en évidence sur la plage arrière. Plusieurs vêtements se trouvaient à l’intérieur.

L’enquête des gendarmes a permis de retrouver une personne qui avait vu un individu s’engouffrer à bord d’une voiture au moment du vol. Son attitude avait paru suffisamment suspecte au témoin pour que celui-ci note le numéro d’immatriculation. Le véhicule appartenait à un étudiant rémois de 21 ans domicilié dans le quartier Croix-Rouge. Venus l’arrêter chez lui, samedi à 6 heures du matin, les gendarmes ont retrouvé le sac de sport avec les vêtements. Le jeune homme a cependant contesté être l’auteur du vol.

Selon ses déclarations, il avait servi de chauffeur pour transporter plusieurs jeunes à la fête patronale de Val-de-Vesle. Au moment de repartir pour Reims, l’un d’eux aurait pris l’initiative de voler le sac de sport avant de rejoindre la voiture.

Informé du forfait après coup, le conducteur aurait préféré ne rien dire pour ne pas mettre ses passagers - et lui-même - dans l’embarras (il habite un quartier où on n’aime pas « les balances »). D’ailleurs, il a prétendu ne pas connaître l’identité des personnes qu’il transportait

Inconnu des services de justice, l’étudiant a été remis en liberté. Il sera poursuivi pour recel.


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Union100524a - Marne
Miss France à l’hippodrome : les courses de la générosité

Malika Ménard attirera tous les regards cet après-midi à l’hippodrome.
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Ce n’est pas tous les jours qu’une Miss France débarque à Reims… Alors quand, en plus, c’est pour une bonne cause, il ne reste plus qu’à se laisser tenter…

L’HIPPODROME de Reims a décidé d’aider l’association Roseau, aujourd’hui lundi, pour son après-midi de courses hippiques. Cette association soutient les enfants atteints de leucémie et de cancer.

Miss France 2010 sera la marraine de cette journée du cœur. L’hippodrome sera ouvert dès 11 h 30 pour que les visiteurs puissent pique-niquer, tout en regardant les huit courses PMU au trot, à partir de midi.

Dans le « Prix Jockeys d’un jour », cinq petits malades participeront à une véritable course, à bord de sulkys deux places. Miss France 2010, Malika Ménard, se prêtera à une séance de dédicaces en début d’après-midi.

Il y aura aussi une tombola, le tiercé des Dames, et pour les enfants, des balades à poneys et un jeu gonflable. Les 100 premiers spectateurs recevront une invitation pour le Grand National du Trot du 23 juin.

Entrée 5 euros, remise en intégralité à l’association Roseau. Gratuit pour les moins de 18 ans. Programme de pronostics gratuit.

www.hippodromedereims.com ; tél. 03.26.08.65.29.


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Union100522a - Marne
TENNIS. Jeunes : 14 titres au Creps

Formidable revue d’effectif des forces en présence, les championnats de Ligue individuels des jeunes se dérouleront d’aujourd’hui à lundi au Creps de Reims.

Toujours aussi prestigieuse et surtout qualificative pour Roland-Garros, cette épreuve, destinée à voir à l’œuvre une grande partie de la relève champenoise, devrait être favorable à de nombreux Marnais sur les 14 titres à attribuer.

A commencer chez les garçons en 17/18 ans avec Alexandre Blossier (2/6, Vitry).
A suivre également en 15/16 ans Bastien Jeanrat (15/1, Vitry),
en 13/14 ans Lucas Henry (15/2, Bouzy) et Enzo Wallart (15/2, Géo-André)
ainsi qu’en 12 ans Constant De La Bassetière (15/3, Cormontreuil) et Nicolas Jonasz (15/3, Montmirail).

La domination marnaise risque d’être encore plus flagrante chez les filles avec Iloé Wallart (30/4, Géo-André) en 9 ans, Cindy Castille (5/6, Géo-André) en 12 ans, Claire Makhloufi (2/6, Géo-André) en 13/14 ans et Marie Menacer (- 4/6, Reims Europe Club) en 17/18 ans.

AUJOURD’HUI ET DEMAIN. - Début des rencontres à 9 heures ; lundi : début des rencontres à 9 heures ; finales de 12 heures à 16 h 30.

SENIORS. - Si ce week-end de la Pentecôte verra se disputer les championnats de Ligue jeunes et vétérans, ceux des seniors auront lieu après les Interclubs, les 12 et 13 juin, toujours au Creps de Reims.


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Union100521f - Marne
Croix-Rouge : La propreté du quartier au cœur du débat

Les habitants ont haussé le ton. Selon eux, les balayeuses ne passent pas souvent dans le quartier.
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LA deuxième séance plénière du conseil de quartier Croix-Rouge de l’année s’est tenue mardi soir dans la salle municipale François-Mauriac.

Le sujet principal, en rapport avec la campagne « Reims ville propre » menée par la municipalité, était consacré à la propreté du quartier.

Pour en parler, les membres du conseil ont convié des professionnels de la Ville et de Reims Métropole pour qu’ils apportent quelques précisions sur ce qui existe à Croix-Rouge en terme de nettoiement. Crottes de chien, tags, fréquence des lavages des voiries, tout a été passé au crible par les invités du jour.

« Sur Croix-Rouge, c’est un prestataire de services qui s’occupe du nettoiement des rues. À l’échelle de Reims, 102 personnes travaillent chaque jour à rendre la ville plus propre », a expliqué Ait Yahia, responsable. Le professionnel a ainsi indiqué quelques chiffres concernant des incivilités commises sur la ville : « Il faut savoir qu’en 1997, 2 000 graffitis ont été enlevés et en 2009, nous sommes passés à 30 000 ».

« La police municipale ne passe pas ! »

Il a aussi expliqué que la police municipale tourne dans le quartier pour verbaliser les propriétaires de chiens qui ne ramassent pas les excréments de leur bête et que des balayeuses mécaniques passent fréquemment dans Croix-Rouge.

C’est sur ce point que des habitants ont commencé à se faire entendre en haussant fortement le ton.

« Il faut arrêter ! La police municipale ne passe pas dans le quartier et vos balayeuses encore moins, alors arrêtez ou ça va mal se finir entre nous », a lancé un monsieur très virulent.

Le calme revenu, M. Ziegel de Reims Métropole est, quant à lui, revenu sur le tri et sur l’implantation de conteneurs enterrés allée Edgar-Degas à Croix-du-Sud. Après avoir établi un bilan sur ce nouveau mode de collecte, il a aussi abordé l’extension de ces bennes souterraines.

Le coût de ces conteneurs est de 6 000 à 5 000 euros, plus 5 000 euros de travaux. D’autres bennes vont être implantées à Reims et dans les autres secteurs du quartier. Il y en a à peu près 400 prévues, notamment plusieurs à Pays-de-France en 2011/2012 et sur le secteur Université d’ici 2011/2013.

Le conseil s’est finalement fini sans les habituelles questions diverses tant attendues par les habitants. Une bien mauvaise idée pour conclure un conseil terne et mou.

Thierry ACCAO FARIAS

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100521e - Marne
Sport scolaire : 140 jeunes sur le terrain au tournoi inter-Segpa

Les trois équipes finalistes, vainqueurs du tournoi de basket.
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Ce tournoi en est à sa 21e édition, d’où une organisation bien rodée : une nécessité quand on veut réunir sur un terrain 140 jeunes des classes de 6e et 5e de section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa), issus de 7 établissements (6 Segpa et un IME).

Bruno Malherbe, professeur des écoles spécialisé au collège Paul-Fort, est la cheville ouvrière de cette journée, assisté de ses collègues : « C’est une démarche qui s’inscrit durant toute l’année, dans un projet d’éducation physique et sportive », explique-t-il.

Les footballeurs et basketteurs se sont affrontés de 10 à 15 heures, lors de cette journée sportive de 57 matchs entrecoupée d’un pique-nique sur place.

Motivation et sportivité

Des coupes (la Ville de Reims en avait offert 6) ont été remises aux équipes arrivées premières, ainsi que, dans chaque sport, une coupe « fair-play ».

Les enfants se sont fort bien comportés : « Nous sommes agréablement surpris de voir des élèves en grande difficulté aussi motivés et se donnant à fond. Nous les découvrons tout d’un coup fair-play et soucieux de bien faire, c’est un petit moment de bonheur ! », constate Vincent Evrard, enseignant au collège Paulette-Billa de Tinqueux.

A noter que le jeudi 3 juin, toutes les classes de Segpa participeront à des épreuves d’athlétisme au stade Georges-Hébert.

Le palmarès

Basket : 1er Paulette-Billa 2, 2e François-Legros 1 et 3e Maryse-Bastié 3.

Football : 1er Paulette-Billa 1, 2e Joliot-Curie 1 et 3e Maryse-Bastié 2.


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Union100521d - Marne
Haltérophilie : Nationale 1B féminine Les filles haut la main

Les demoiselles du Reims HM ont joliment remporté la triangulaire de la 3e journée de N1B. Dans sa salle François Legros, le RHM a amélioré son score avec 189,10 points pour dominer Figeac (142,20), pourtant 2e de la poule, et Avallon (130,20).

Stéphanie Liégeois brille

A l’instar de leurs homologues masculins, les Rémoises accèdent à la 4e place au détriment des Quimpéroises dont il faudra se méfier lors de la dernière journée à Comines le 12 juin.

Stéphanie Liégeois a signé la meilleure performance de la journée avec une série Nationale. Abyr Touti est fédérale, imitée pour la première fois par Bénédicte Le Panse par ailleurs internationale en force athlétique.

Palmarès

REIMS. — Stéphanie Liégeois (52,9 kg) total 131 kg (arraché 59 rec. master + épaulé-jeté 72) ; AbyrTouti (53 kg) : 114 kg (53 + 61) ; Bénédicte Le Panse (46 kg) 96 kg (38 + 58) ; Marie Chevalier (52,3 kg) : 81 kg (36 + 45).

Nationale 1B (moyenne des 3 journées) : 1. Blanc-Mesnil 258 pts ; 2. Obernai 210,6 ; 3. Figeac 195,5 ; 4. REIMS 178,4 ; 5. Quimper 177,8 ; 6. Oyonnax 150,7 ; 7. Avallon 130,2 ; 8. Chaville 98,1 ; 9. Luxeuil.


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Union100521c - Marne
Au Crous, du 25 au 29 mai : Une semaine théâtrale à Croix-Rouge

Du mardi 25 au samedi 29 mai, se déroulera la semaine théâtrale de Croix-Rouge, dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

Cette manifestation culturelle est le fruit d’un partenariat entre la maison de quartier Croix-Rouge, l’Ageasse-Théâtre, Brut de Scène et le Crous qui, apprécie José Mendes, « est vraiment généreux car en plus de la salle, il prend à sa charge un technicien pour la semaine ! »

À l’affiche : théâtre, chant polyphonique, jongle et mime…

« Cette semaine permettra au public adulte ou familial de découvrir des spectacles variés et de qualité », précise Catherine Pierrejean, responsable « contes » de la maison de quartier : « A cette occasion, des établissements scolaires (école élémentaire Blanche-Cavarrot, école élémentaire Gilberte-Droit et collège François-Legros) présenteront des prestations issues d’ateliers encadrés par des professionnels du spectacle. Il en est de même pour le groupe « Au fil des mots » de l’espace Billard ».

Tous les spectacles sont gratuits. Les réservations se font à l’espace Billard. Tél 03.26.08.08.78.

Séances publiques

Mardi 25 mai à 19 heures : L’Avare, de Molière par l’Ageasse-Théâtre.

Mercredi 26 mai à 19 heures : Manhattan Tromperies, de Woody Allen, par le Théâtre du Lys.

Jeudi 27 mai à 19 heures : Frontières, mes frontières, de Valérie Joly, par les élèves de CM2 de l’école élémentaire Gilberte-Droit, avec Césaré.

Vendredi 28 mai à 19 h 30 : C’est quoi donc ? de Thierry Éveloy, par la Compagnie Bitume cession.

Samedi 29 mai à 19 heures : Les Vacances, de J.C. Grumberg, par la Compagnie La Godasse et l’Escarpin, précédée par le groupe Au fil des Mots, atelier d’expression de l’espace Billard, en partenariat avec la Comédie de Reims.


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Union100521b - Marne
Un mur d’ordures pour dénoncer l’injustice

Pour Michel Roquier, il faut absolument moduler la Teom. Reims Métropole y travaille, lui répond Jean-Louis Cavenne.
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REIMS (Marne). La CNL va passer à l’action lors du prochain conseil municipal pour dénoncer l’injustice de la Teom, qui entraîne une grosse facture dans les charges des locataires de HLM.

« ON se bagarre contre l’injustice de la Teom. » Michel Roquier est remonté : le vice-président de la Confédération nationale du Logement (CNL) de la Marne, en charge de Reims, en a assez de ne pas avoir de réponses de Reims Métropole sur ce sujet toujours sensible de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.

« Elle est basée sur la valeur locative, qui a été faite en 1970. Or, depuis quarante ans, les logements HLM (40.000 à Reims) ont beaucoup évolué, mais surtout il y a beaucoup plus de logements privés qui ne sont pas déclarés à leur juste valeur. »

C’est cette fameuse valeur locative, dont dépend aussi la taxe d’habitation, qui est en cause, car elle semble injuste mais n’est jamais remise en cause par les politiques. Mais pour Michel Roquier, il y a des moyens d’être plus juste, notamment pour la Teom, qui pèse énormément sur les charges des locataires.

« Vous vous rendez compte, les garages collectifs sont taxés, à hauteur de 5 000 euros, alors qu’il n’y a aucune poubelle ! On a découvert cela lors de la régularisation des charges. »

La solution modulation

Les habitants payent aussi 1 ou 2 euros de plus pour les poubelles des parties communes, qui n’existent pas.

« On ajoute à la facture le nettoyage des conteneurs à ordures, pris en charge par les organismes logeurs, qui répercutent le prix, de 50 à 100 euros, dans les charges. »

La CNL n’ayant pas de réponses de la mairie, et celle de Jean-Louis Cavennes, vice-président de Reims Métropole, n’étant pas satisfaisante, elle a décidé de taper du poing sur la table, en invitant les locataires à monter « un mur d’ordures » devant la mairie lors du prochain conseil municipal, jeudi 27 mai.

Pour réduire l’énorme facture des locataires des HLM, la CNL a des solutions. « Au début, ils nous ont répondu qu’il n’était pas possible de moduler. Or, j’ai retrouvé un article de loi qui donne la possibilité de moduler le prix de la Teom en fonction du service rendu.

Au centre-ville, les poubelles sont ramassées six fois par semaine, seulement deux fois dans les quartiers. De plus, les habitants du centre sortent des sacs sur le trottoir, ce qui oblige à des manipulations, ce qui n’est pas le cas ailleurs. »

Autre solution : les conteneurs semi-enterrés. « Il est prévu d’en augmenter le nombre, mais il faut aller plus vite, car ils permettent de réaliser de belles économies. Surtout que les organismes logeurs ont déjà préparé le terrain, comme aux Hauts-de-Murigny. » Michel Roquier souligne aussi que ce système fonctionne bien à Orléans ou Rennes.

Décidément, la Teom n’a pas fini de faire parler d’elle !

Guillaume FLATET


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Jean-Louis Cavenne (Reims Métropole) : « Nous étudions une modulation »

Reims Métropole se dirige vers une modulation de la Teom en fonction du tri et du volume.
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« J’ai déjà rencontré Michel Roquier pour lui expliquer : c’est la première année de la Teom, que nous sommes d’ailleurs les derniers à avoir mis en place en France. On avait besoin de cette taxe, pour alimenter le budget déchets. C’était une décision difficile, surtout qu’on savait que la loi n’était pas forcément juste. »

Jean-Louis Cavenne, vice-président de Reims Métropole chargé de la Teom, en entend parler partout où il passe. Il sait aussi que la solution passe par la modulation. « Nous sommes en train de l’étudier avec nos partenaires, notamment l’Ademe. Nous allons faire appel au civisme des gens, avec une tarification incitative, en fonction du tri et du volume. »

Visiblement, l’agglo ne pouvait faire autrement que d’appliquer strictement la loi au début. « Maintenant, le Grenelle 2 nous donne plus d’indications sur les possibilités de moduler. Comme déjà le Grenelle 1, cela nous a donné des perspectives. On espère parvenir à cette modulation le plus vite possible. »

Jean-Louis Cavenne, notamment chez lui, à Bétheny, a des retours d’habitants qui lui disent : « On n’est pas récompensés d’avoir bien trié ». Reims Métropole a toutefois intérêt à être incitative, car les agglos doivent baisser leur volume d’ordures ménagères de 7 %. Mais le tri ne diminuera pas la Teom sur les… garages qui ne génèrent pas ou si peu d’ordures.

Les garages seront toujours taxés

« C’est le calcul de la Teom qui est fait comme cela, il est basé sur la valeur foncière, qui inclut les garages. »

Encore une fois, c’est la loi, semble-t-il, qui oblige Reims Métropole à facturer de la sorte. Et là, ce n’est pas comme au foot, il n’y a pas l’esprit et la règle… Quant aux conteneurs semi-enterrés, « nous avons pris des engagements avec les organismes logeurs pour réduire les charges des locataires quand ils sont en place. En revanche, ces conteneurs ont un coût pour la collectivité, donc on ne peut pas en mettre partout tout de suite. »

Ce qui est étonnant, c’est que les habitants semblent découvrir tous ces problèmes, notamment la taxation des garages. « Nous avons pourtant édité un petit livret qui contient tout ce qu’il faut savoir sur la Teom, et nous avons aussi fait des réunions avec les associations de locataires », souligne Jean-Louis Cavenne. Mais quand il faut payer une taxe qui n’est visiblement pas toujours juste, on ne se souvient pas forcément de tout ce qu’on a lu ou entendu…


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Union100521a - Marne
CONSTITUTION D’UNE E.U.R.L

Suivant acte du 17 mai 2010

Il a été constitué une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée.

Dénomination : INGÉNIERIE PILOTAGE SÉCURITÉ CONSEIL.
Siège social : 15, rue Alphonse-Daudet 51100 Reims.
Objet Constitution d’une EURL. Durée 99 ans. A compter de son immatriculation au registre du Commerce de Reims.
Capital : 1.000 Euros. Apporté en numéraire et divisé en 100 parts de 10 euros chacune.
Gérance (nom et adresse) Monsieur KORKMAZ Oguz 15, rue Alphonse-Daudet.
Immatriculation : la société sera immatriculée au registre du commerce tenu au greffe du tribunal de commerce de Reims

Pour avis.


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Union100520b - Marne
Collège Georges-Braque : Mobilisation générale contre l’insécurité

Il y a tout juste six mois, des collégiens volontaires terminaient l’aménagement de la dalle Utrillo.
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Le sous-préfet et le procureur de la République étaient présents à la réunion organisée en mairie par le premier adjoint Éric Quénard en vue de trouver des solutions pour ramener le calme aux Hauts-de-Murigny, un secteur perturbé par les collégiens de Georges-Braque (notre édition du lundi 10 mai).

L’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny n’est pas la seule à se plaindre de l’environnement de cet établissement : « avec les commerçants, ensemble nous avons été les premiers à alerter tout le monde : la mairie, la police, Reims habitat,… Une pétition a été lancée par le centre commercial. C’est un réel fléau sur le quartier » confirmait Isabelle Mallinger, secrétaire de l’amicale des Hauts-de-Murigny, en assemblée générale.

Educatif et répressif

C’est pourquoi cette réunion en mairie était importante.

« Il y avait beaucoup de monde », témoigne Danielle Bonfils, présidente de l’amicale voisine At’Hom.

« Si nous rencontrons quelques problèmes avec les jeunes dans nos entrées, j’ai appris au cours des dialogues, que ce n’était rien à côté du 1 et 3 Gandon et surtout les commerçants et habitants de ces immeubles ! »

Éric Quénard précise : « Nous étions effectivement nombreux : le sous-préfet, le procureur de la République, la police nationale et municipale, des commerçants, les associations de locataires, l’éducation nationale avec le principal du collège et le représentant de la Zone d’éducation prioritaire, le service départemental de prévention, l’association Deux mains, la Maison de quartier Croix-Rouge, la direction de la politique de la Ville, les bailleurs (Reims habitat et l’Effort rémois) ont fait le déplacement ».

Une forte mobilisation qui montre que le problème est pris au sérieux par toutes les parties et qui devrait rassurer la population et les commerçants.

Deux réunions avaient déjà été organisées en avril pour envisager des mesures à court terme. Cette nouvelle réunion devait permettre de « distinguer ce qui relevait du champ des actions éducatives et de prévention du champ du répressif (ou de la surveillance policière) ».


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Tout le monde est sur le pont

Depuis 2005, les classes de 6° sont sensibilisées au respect du cadre de vie.
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La Maison de quartier Croix-Rouge

Les équipes d’animateurs jeunesse (public 12/15 ans) proposent de développer des activités dans un cadre périscolaire élargi en faveur des collégiens de Georges-Braque, aux abords et au sein de l’établissement (salles, gymnase), pour orienter les élèves vers les terrains en accès libre. Quelques ateliers, musicaux ou sportifs, pourraient démarrer rapidement sous condition d’obtention d’un créneau au gymnase. À la prochaine rentrée, un partenariat sera monté sur l’année avec le collège. La présence d’animateurs est également proposée lors des moments forts de l’établissement : départ en séjours, fêtes, portes ouvertes,…

Le Service départemental de prévention

Un nouvel éducateur est nommé sur le secteur Croix-du-Sud. Le Service départemental de prévention propose d’assister aux cellules de veille organisées par le collège, en qualité de relais d’accompagnement en dehors des heures scolaires.

Reims habitat

Une action de sensibilisation au respect du cadre de vie pour les classes de 6e est développée depuis plusieurs années en partenariat avec l’Effort rémois, le collège et le Service départemental de prévention. Un animateur de la maison de quartier pourrait être associé à cette opération. La succursale Hauts-de-Murigny de Reims habitat souligne l’importance d’apporter des réponses aux commerçants et aux amicales sur le thème de la tranquillité publique, comme par exemple un passage quotidien des services des polices municipale et nationale vers 16 heures. Cette demande leur sera transmise. D’autre part, Reims habitat se rapprochera de ses entreprises pour une réfection des peintures sous certains halls traversants couverts de tags.

Association 2 Mains

Cette association organise, en juillet et août, des sorties ponctuelles pour emmener sur une journée les jeunes à l’extérieur de Reims. Sept jeunes peuvent être emmenés par séance.

Le collège lui-même

Le rectorat possède depuis quelques semaines une équipe mobile de sécurité de huit personnes intervenant dans l’académie. Ce sont des professionnels, anciens policiers ou agents de sécurité. Trois de ces agents sont en phase d’observation en soutien aux abords du collège. En cas de besoin, le collège pourra solliciter cette équipe.

En matière d’accompagnement éducatif, les financements pour l’accompagnement éducatif sont amoindris au collège. Le volet sportif et culturel est peu engagé cette année, seul le volet accompagnement scolaire est bien développé. Le collège assure toutefois un atelier en partenariat avec Reims habitat : la réalisation de petits aménagements d’espaces extérieurs dans le cadre des arts plastiques. Enfin, l’opération « école ouverte » fonctionnera de nouveau cet été. Dans ce cadre, un partenariat sera envisagé avec les acteurs du projet graff de Croix-du-Sud.


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Union100520a - Marne
Démolition et relogement, épisode 2 : Leur rêve de neuf se réalise

Les Forest réunis dans l’attente des premières propositions. Ils ont été plus qu’agréablement surpris.
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POUR dire vrai, ils n’y croyaient pas beaucoup. Sabrina et Thierry Forest, locataires du futur tas de gravats, 51 Einsenhower, avaient émis le souhait du bout des lèvres. Du genre : « Oui, on aimerait bien être relogé dans du neuf, mais on sait que ce sera certainement trop cher pour nous ».

Un premier rendez-vous raté avec l’intermédiaire de l’Udaf la semaine dernière, ne les a pas aidés à y croire. Dans leur tête, l’agent de sécurité et l’hôtesse de caisse commençaient à se résigner. « On a vu qu’ils rénovaient des appartements dans le bloc à côté, aux 53 et 55. On se demande si ce n’est pas pour nous. »

Finalement, la poseuse de lapin leur a fixé un nouveau rendez-vous, qu’elle a honoré. Cette mandataire a apporté dans sa besace de quoi se faire pardonner : « Elle est venue avec des plans de logements neufs et nous a fait deux propositions ». Les Forest ont vite eu les yeux qui pétillent : « Elle nous a parlé d’un F4 à Pommery, à côté de la caserne des gendarmes. Il s’agit d’un deuxième étage avec ascenseur, place de parking, cellier et balcon. » Tellement neuf qu’il n’est même pas encore fini. « Sur les plans, on voit qu’il y a un salon et une cuisine à l’américaine et au bout du couloir les trois chambres dont deux ont un balcon commun. » Le tout pour 540 euros par mois charges comprises : « Parfaitement dans notre budget ».

Soulagement

Sabrina, la plus angoissée de la famille à cause de cette histoire de relogement, a poussé un ouf de soulagement dans sa tête. C’est carrément un rêve qui devrait se concrétiser. « Il faut encore que Reims Habitat donne son accord mais on y croit. » Thierry tempère davantage sa joie : « Moi, je reste tout de même attaché à mon quartier de Croix-Rouge où je connais pas mal de monde. Mais enfin, je suis content quand même. Surtout qu’un cousin à nous qui vit dans le secteur Pommery nous a dit que c’était très bien. »

Christopher, leur plus jeune fils de 6 ans, assure qu’il est heureux de déménager. Bastien, 11 ans, est moins enthousiaste : « J’aimais bien regarder les courses de chevaux depuis mon balcon. »

Quant au lapin, personne ne lui demandera son avis, de crainte d’être mordu en guise de réponse.

Sabrina qui est déjà en train de meubler, virtuellement, le futur appartement ,lui trouvera bien une place. Tout comme elle trouvera une place de choix à sa collection de dauphins.

« Elle s’y voit déjà », confie Thierry. « Je vais l’emmener voir le chantier, même si les logements ne sont pas finis. Pas de livraison avant février ou mars nous a-t-on dit. »

Les Forest attendent maintenant le feu vert de l’Opac avant d’ouvrir le champagne.

C.F.


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Union100519a - Marne
Croix-Rouge : Informatique et concert à la médiathèque

Deux animations gratuites cette semaine à la médiathèque.
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La médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar) organise cette semaine un atelier Internet ainsi q ’un concert d’un quintette de cuivres.

Internet

Après « l’univers informatique », le thème du prochain atelier informatique de la médiathèque Croix-Rouge sera « l’utilisation d’Internet », demain jeudi 20 mai.

Cette séance gratuite est proposée, de 14 à 16 heures, à l’atelier jeunesse, sur inscription obligatoire au secteur Actualité-Emploi-Formation (tél. 03.26.35.68.48 ou 03.26.35.68.50).

Cuivres et percussions

« Musique en médiathèque » propose une nouvelle audition, le concert d’un quintette de cuivres (trompettes, trombone, bugle et tuba) formé voici deux ans au Conservatoire et qui interprétera des pièces de Chabrier, Caillot et Koetsier.

Cette première partie sera suivie par l’intervention de deux jeunes percussionnistes, rejoints par le quintette pour un final balkanique et flamboyant avec une œuvre de Goran Bregovic.

Entrée libre en salle d’exposition vendredi 21 mai à 18 h 30.


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Union100518d - Marne
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage :

PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’œuvre conception :

Cabinet APO
11, rue de l’Ecu – 51100 REIMS
Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31
Mail : archiapo@numericable.fr

Maître d’œuvre réalisation :

SOCREL
Chargé d’opérations M. G. KELLER
7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Tél. 03.26.04.98.51 Fax 03.26.47.92.63

Objet et lieu d’exécution :

Marché de travaux de construction de 55 logements-Locaux d’activités-Parking en Silo de 249 places – Ilôt DEGAS – Quartier Croix du Sud – 51100 REIMS Réf. : CN-090510

Procédure :

Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

Code CPV : 45 000 000

LE MARCHE UNIQUE, objet de la présente consultation, sera attribué à une ENTREPRISE GENERALE ou à un GROUPEMENT D’ENTREPRISES SOLIDAIRES ayant remis une offre portant sur l’intégralité de la prestation.

Composition du MARCHE UNIQUE : prestation générale pour la construction des 55 logements :

Démolition/Terrassement et gros œuvre/Etanchéité/Menuiseries extérieures PVC/Menuiseries Aluminium- Métallerie/Menuiseries intérieures-Plâtrerie/Electricité-Courant Faible/Plomberie-Chauffage-VMC/Carrelage/Peintures-Sols Souples/Ravalement ITE/Bardage Vêture/ Ascenseur/VRD/Parquet.

Délai d’exécution : 20 mois

Date limite de réception des candidatures et des offres :

Le Lundi 5 juillet 2010 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés – Plurihabitat l’Effort Rémois - 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Les dossiers sont disponibles, à partir du mardi 18 mai 2010, aux frais du candidat chez :

I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61

Renseignements techniques :

Cabinet APO au 03.26.47.69.01
Effort Rémois : Mr. KELLER au 03.26.04.98.51

Renseignements administratifs :

Service Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
E-mail : service.marches@effort-remois.com

Date d’envoi du présent avis à la publication : le Mercredi 12 mai 2010 au JOUE et aux JAL : L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE PARISIEN (Seine et Marne + Oise), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE, LE COURRIER PICARD et LE MONITEUR


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Union100518c - Marne
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage :

Reims habitat Champagne Ardenne
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP

3) Objet du marché : Mission de contrôle technique dans le cadre du marché de conception réalisation pour la construction de 51 logements collectifs PLS et de 1050 à 1200 m2 de Shon de locaux commerciaux- Quartier Croix Rouge à Reims.

4) Critères d’attribution :
- Le prix des prestations,
- La valeur technique.

5) Délai d’exécution : Le délai maximum phase conception + phase réalisation est de 24 mois, compris 30 jours d’intempéries prévisibles, compris les périodes de congés payés et la période de préparation.

6) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Tél. : 03.26.48.43.43 Fax : 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

7) Date limite de remise des offres : le 31 mai 2010

8) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 12 mai 2010 à 17h00


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Union100518b - Marne
AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :

Maître d’Ouvrage :

Reims habitat Champagne Ardenne
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP

3) Objet du marché : Mission de maîtrise d’œuvre dans le cadre de la déconstruction sélective d’immeubles au 49-51 rue du Général Eisenhower- Quartier Croix Rouge Université à Reims (51).

Reims habitat se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

4) Conditions de présentations des candidats : Le maître d’œuvre peut se présenter seul ou sous forme d’un groupement conjoint avec mandataire solidaire. Dans ce dernier cas, il sera composé :
- d’un bureau d’étude ou architecte,
- d’un économiste de la construction,
- d’un ou plusieurs bureaux d’études réunissant les compétences suivantes : structure, sols fluides , traitement de matériaux, matières dangereuses.

Il sera interdit au Maître d’œuvre de présenter plusieurs offres en agissant à la fois :
- en qualité de candidats individuels et de membres d’un ou plusieurs groupements,
- en qualité de membres de plusieurs groupements. Cette clause d’exclusivité ne s’applique pas aux bureaux d’études.

5) Jstifications à produire : Suivant articles 43 à 45 du CMP (voir Règlement de consultation)

6) Critères d’attribution :
- Prix
- Valeur technique

7) La durée prévisible de l’exécution des travaux est de : 10 mois étant comprise la préparation de chantier.

8) Retrait du dossier et du règlement de consultation :

Le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat Champagne Ardenne Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

9) Date limite de remise des offres : Le 04 juin 2010 à 17h00

10) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 12 mai 2010


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Union100518a - Marne
Recel : Deux ados poursuivis sur un quad volé

Dans l’après-midi de dimanche, vers 17 h 15, les policiers ont voulu contrôler les deux occupants d’un quad qui se livraient à un petit rodéo sur le complexe sportif Géo-André, rue Joliot-Curie.

Le pilote a refusé de s’arrêter. Il a mis les gaz mais il conduisait tellement vite qu’il a fini par valser du quad avec son passager.

Indemnes, les deux garçons âgés de 16 et 17 ans ont tenté leur chance à pied. La police a couru plus vite.

Les vérifications ont permis d’apprendre que le quad avait été volé le 21 avril lors du cambriolage d’une maison à Villers-Allerand.

Placés en garde à vue, les deux mineurs ont prétendu être étrangers au vol. Ils auraient récupéré le quad dans le quartier.

Le parquet a décidé de les poursuivre pour recel. Ils ont reçu une convocation devant le juge des enfants.


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Union100516a - Marne
Feux : deux voitures partent en fumée

Les sapeurs pompiers sont ensuite intervenus dans le quartier Croix-Rouge, aux alentours de 5h20, samedi matin, pour mettre un terme à l’incendie d’une Ford Fiesta stationnée rue Newton.

La voiture a néanmoins entièrement brulé.


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Union100515b - Marne
Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny : Le conseil de quartier se réunit le 19 mai

Les deux co-animateurs du conseil de quartier, Alain Boudroit (habitant) et Alain Bisteur (élu municipal).
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La prochaine séance du conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny se déroulera mercredi 19 mai à 19 heures, salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac, en présence du premier adjoint Éric Quénard.

« Reims ville propre »

L’ordre du jour a été annoncé par le conseiller municipal Alain Bisteur, premier co-animateur : « Ce sera la présentation de l’opération « Reims ville propre » et son incidence sur la propreté de nos quartiers ».

Le conseil donnera également son avis sur la dénomination de deux nouvelles voies du quartier : la rue Marie-Laurencin, peintre contemporain (1883-1956) à Croix-du-Sud, et l’allée de la Rafale, entre la rue Pierre-Taittinger et le restaurant universitaire, des propositions qui ont déjà été étudiées par une commission du conseil de quartier réunie le 22 avril à l’annexe de la mairie.

Quant au public, selon les responsables de l’association Comité Pays-de-France, on attend une forte présence de locataires du Foyer rémois, de Pays-de-France, car « ils veulent se faire entendre ! »


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Union100515a - Marne
Cinq ans pour transformer l’Opac en Reims Habitat : « Nous nous sommes améliorés »

« Nous ne ferons pas d’acharnement thérapeutique. Ce qui n’a pas d’avenir, nous le casserons. »
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« Il faut mettre autant d’humain que de technique dans une rénovation. »
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CINQ ans déjà. Quand Patrick Baudet est arrivé à la tête de Reims Habitat, l’organisme logeur s’appelait encore l’Opac et sortait d’un scandale financier et judiciaire. Les locataires, mais aussi les associations de locataires, n’avaient pas une bonne image de ce bailleur qui tardait à répondre, à réparer et à rénover. Le nouveau « dirgé » avait du pain sur la planche. Il estime avoir bien bossé.

Cinq ans de « règne », de quoi êtes-vous le plus fier ?

« Je suis fier d’avoir amélioré le service aux locataires. Nous avons obtenu la certification Qualibail et nous avons été le 1er office HLM en France à l’obtenir. C’est le résultat de deux ans de travail. »

Vos locataires, qu’y ont-ils gagné ?

« Nous sommes beaucoup plus réactifs quand il y a un problème. Nous sommes aussi davantage à l’écoute et allons à la rencontre de nos locataires. Enfin, nous vérifions constamment, par le biais d’enquêtes, s’ils sont satisfaits. Je suis heureux de dire que nous avons un taux de satisfaction de 87 %. »

Sur le terrain, on entend pourtant beaucoup de râleurs…

« On entend ceux qui râlent parce qu’ils font plus de bruit que les autres, cela ne veut pas dire qu’ils sont plus nombreux. C’est comme l’histoire des trains qui n’arrivent pas à l’heure. »

Combien vous coûte vraiment la rénovation urbaine ?

« Reims Habitat a un budget de 70 millions dont 14 proviennent des subventions de l’Anru*. Le reste est financé par nos fonds propres et par des emprunts que nous contractons. Ça coûte donc énormément mais en même temps c’est un formidable levier et un passage obligé. »

« Je réclame un Anru 2 »

Les secteurs qui n’en font pas partie ne risquent-ils pas de se sentir oubliés ?

« C’est le risque et c’est pourquoi je réclame déjà un Anru 2. Il restera du travail à Orgeval sur la rue Poincaré et il restera du travail à Croix-Rouge, notamment sur Einsenhower où certains balcons sont à refaire. »

Qu’attendez-vous donc pour les refaire ces balcons ?

« J’ai passé trois appels d’offres pour la rénovation de ces balcons, ils ont été tous les trois infructueux. C’est compliqué de trouver des maçons pour ne refaire que les balcons. C’est pourquoi j’ai décidé de faire patienter un peu plus longtemps les locataires mais avec le projet de rénover la façade en entier. »

On voit qu’à Wilson, les mêmes problèmes d’insécurité reviennent après la rénovation. Comment allez-vous tirer les leçons de ce demi-échec ?

« Nous allons travailler étroitement avec les familles et soigner le relogement. Le but étant de prendre en compte au maximum leurs désirs. »

Cela a-t-il été mal fait à Wilson ?

« Nous observons de près ce qui se passe à Wilson. Pour faire mieux, nous allons faire en sorte de mettre autant d’humain que de technique dans nos rénovations. »

« Je ne veux pas exposer des gardiens en danger »

Irez-vous jusqu’à mettre des gardiens dans chaque immeuble comme beaucoup le souhaitent ? « On assure déjà le gardiennage de notre patrimoine avec des équipes d’intervention de nuit. Nous avons mis en place un Monsieur présence plus à Géruzez dans le quartier Clairmarais. C’est une personne qui arrive tôt le matin, qui décèle les problèmes et qui met très vite en place des solutions. Comme, par exemple, faire réparer un ascenseur à la première heure.

Ce n’est pas une personne qui dort sur place…

« À certains endroits, mettre un concierge du type 16e arrondissement de Paris n’amène rien. Sinon mettre en danger cette personne car si elle dérange, elle sera vite une cible. Rien que les Monsieurs présence plus, j’en ai vu passer trois avant d’en voir un qui reste et l’un d’eux n’a fait qu’une journée. »

Allez-vous généraliser les caméras de surveillance ?

« Nous allons accélérer leur installation aux endroits où les habitants le souhaitent. Sur les cinq prochaines années, 3 000 logements seront concernés. Ces caméras ont fait leurs preuves. Là où elles sont, les locataires vivent plus tranquilles. Elles leur coûtent 3,50 euros par mois. »

La hausse des loyers, c’est l’une des craintes liées à la rénovation.

« Cette hausse devra être compensée par une baisse des charges. On surinvestit dans les immeubles pour faire baisser les consommations d’énergie. Notre objectif est de construire 200 logements neufs par an aux normes environnementales. Nous n’hésiterons pas non plus à démolir ce qui ne sera pas rentable dans le temps. On ne fera pas d’acharnement thérapeutique, on casse et on se projette. Actuellement, on travaille déjà sur les années 2011/2016. »

Avez-vous changé en 5 ans de direction générale ?

« D’après ma femme oui… elle ne me voit plus. »

Catherine FREY

*Agence nationale pour la rénovation urbaine.


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Union100513a - Marne
Médiathèque Croix-Rouge : Contes et musique pour les petits

La conteuse Christine Dupont s’adressera mercredi prochain aux petits de 20 mois à 3 ans.
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Mercredi 19 mai à 11 heures et à 16 h 30, la conteuse Christine Dupont s’adressera aux petits de 20 mois à 3 ans avec un conte de 30 minutes « La petite fille aux chenilles » : elle n’a qu’une idée en tête, capturer des chenilles qui défilent devant elles toutes plus belles les unes que les autres. Seulement une chenille ne reste pas chenille bien longtemps…

Samedi 22 mai à 10 heures, le percussionniste Amdy Seck de l’association Acao présentera son « Jardin musical pour petites oreilles », une séance d’éveil musical avec instruments de musique mis à disposition des petites mains (de 8 mois à 3 ans). Durée 45 minutes.

Le même jour, à 15 h 30, Olivier Ka et Alfred se retrouveront autour d’un spectacle pour enfants à partir de 6 ans, à la forme originale : le premier raconte une dizaine d’histoires absurdes pendant que le second les illustre en direct. Ces illustrations, filmées, sont projetées sur grand écran.

Objectif : entrer dans l’univers des enfants et les faire rire avec des histoires délirantes. Alfred, par ses croquis humoristiques s’accorde bien avec ces contes farfelus, et entraîne les jeunes spectateurs dans un univers où l’on ne pense qu’à s’amuser.

Entrée libre, mais sur inscription préalable au 03.26.35.68.51. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.


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Union100512b - Marne
CLOTURE DE LIQUIDATION

L’associé unique de la S.A.R.L. DENTEK, RCS 501.861.488, 1, rue Maurice-Utrillo, 51100 Reims, réuni en assemblée le 05/0512010, a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur et constaté la clôture de la liquidation au 31/12/2008.

La société sera radiée au Greffe de Reims.

51L1744568


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Union100512a - Marne
Reims / La victime témoigne : Agression sexuelle en pleine rue

Accusé d’avoir commis des attouchements sur une passante, en plein centre-ville de Reims, le 15 mars, un Rémois de 26 ans interpellé la semaine dernière a été écroué dans l’attente de son procès le 15 juin (l’union d’hier).

La victime est une femme de 41 ans agressée rue du Clou-dans-le-Fer, en fin de journée. Elle tient à préciser que l’auteur n’a pas mis fin à ses agissements spontanément, mais en raison de sa résistance et d’une fuite éperdue.

« Je marchais rue de Talleyrand quand un homme m’a accosté. Il m’a dit : « Tu m’excites » ou quelque chose comme ça. J’ai fait celle qui n’a pas entendu. J’ai continué à marcher. Il m’a suivi. Arrivé dans la petite rue, il m’a attrapée. Il m’a dit qu’il voulait « passer un bon moment » avec moi. Il a voulu m’embrasser sur la bouche. Je débattais ma tête dans tous les sens. »

Des témoins ont assisté à la scène. « Je criais. J’appelais à l’aide mais ils n’ont pas réagi. Ils pensaient peut-être à une dispute entre amoureux. Comme il n’arrivait pas à m’embrasser, il est allé dans le cou. Il m’a touché la poitrine, puis sa main a commencé à descendre. A cet instant, il m’a lâché le bras. Je l’ai poussé très fort. Je suis partie en courant. Je me suis retournée. Il était toujours là. Il me suivait. »

Après avoir traversé la rue des Elus, la victime a trouvé refuge dans une boutique. Des gens sont sortis. A leur vue, l’individu a pris la fuite en direction du théâtre.

Formellement reconnu sur photo, puis lors d’une présentation derrière une glace sans tain, l’homme arrêté conteste les faits. Il a obtenu un supplément d’information, avec renvoi du procès au 15 juin.

Récemment sorti de prison, il venait de purger une peine de sept ans prononcée en 2006 par la cour d’assises de la Marne pour le viol d’une quinquagénaire commis avec trois camarades dans un appartement du quartier Croix-Rouge, lors d’une soirée d’anniversaire qui avait dégénéré.

F.C.


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Union100511d - Marne
DISSOLUTION/ CLÔTURE

L’associe unique de la S.A.R.L. DENTEK RCS 501 861 488, 1, place Maurice-Utrillo à Reims, réuni en assemblée le 20/04/2010 a décidé :

- La dissolution anticipée de la société et sa liquidation amiable rétroactivement au 31/12/2008,
- Nommé M. Fabrice KUNTZLER gérant, liquidateur,
- De fixer le siège de la liquidation au domicile du gérant à 57155 Marly, 5, rue Jean-Jaurès.

Mention sera faite au RCS de Reims.


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Union100511c - Marne
Rame du tram : Le petit rose se balade

A partir de la mi-juin, la rame pourra sortir de son enclos tous les jours.
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Pour l’instant, la première rame de tram n’a qu’un kilomètre de rail pour se dégourdir les roues. Toute la journée, elle se balade, accélère, décélère, freine, freine brusquement, ouvre ses portes, referme, repart… le tout autour de son centre de maintenance.

Pas encore autorisée à sortir de son enclos, elle n’a mis le nez dehors qu’une fois, de nuit, pour aller jusqu’au château d’eau et revenir : « Il s’agissait d’un test d’ouverture de zone », explique-t-on chez Mars.

A la mi-juin, quand elle aura parcouru 150 km, elle pourra faire ce premier parcours jusqu’au château d’eau en passant par la station Blum tous les jours. Les Rémois pourront alors mieux l’observer mais sans encore avoir le droit de monter dedans. Même pour un tout petit tour. Pas drôle

 


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Union100511b - Marne
Conférence : Des abolitions de l’esclavage

Jean-François Boulanger, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Reims Champagne-Ardenne, donnera une conférence samedi 15 mai à 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, sur le thème : « Les abolitions de l’esclavage (1794-1848) : une histoire à plusieurs voix ».

L’abolition de l’esclavage est généralement associée en France à la date du 27 avril 1848 et à la personne de Victor Schoelcher, député républicain ultérieurement proscrit par Napoléon III. Cependant, cette histoire commence bien avant : l’esclavage est une première fois aboli le 16 pluviôse an II (4 février 1794). A l’origine de cette émancipation, l’action en France et ailleurs en Europe de militants inspirés par des idéaux politiques ou religieux, mais aussi ceux qui, esclaves ou anciens esclaves, ont lutté dans les Caraïbes mêmes pour leur liberté.

C’est donc une histoire à plusieurs voix, une histoire dont les acteurs sont multiples que Jean-François Boulanger évoquera à la faveur de la journée des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.

Entrée libre sur inscription préalable au 03.26.35.68.51.

Médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar.


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Union100511a - Marne
Reims / En plein centre-ville : Un ancien violeur écroué après l’agression sexuelle d’une passante

Accusé de gestes déplacés sur une passante agressée en pleine rue, dans le centre-ville Reims, un homme de 26 ans a été écroué au terme de l’enquête menée par les services de police.

Les faits se sont produits le 15 mars, rue du Clou-dans-le-Fer, une petite voie piétonne qui aboutit à la place du Théâtre, juste à côté du palais de justice.

Alors qu’elle venait de quitter son travail, une femme de 41 ans fut importunée par un individu qui l’a embrassée dans le cou avant de lui toucher la poitrine. Il est ensuite reparti. Choquée, la victime a subi trois jours d’incapacité totale de travail.

Sept ans de prison pour un viol collectif

Une partie de l’agression a été filmée par les caméras de vidéosurveillance, mais à aucun moment le visage de l’auteur apparaît nettement. Sur photo, la plaignante a reconnu un Rémois de 26 ans interpellé en fin de semaine par les policiers. Confrontée à lui derrière une glace sans tain, elle a maintenu ses accusations.

Le mis en cause, Samir B., conteste les faits. Il assure que ce n’est pas lui l’auteur de l’agression sexuelle. Présenté devant le tribunal correctionnel en comparution immédiate, il a obtenu un supplément d’enquête avec renvoi de l’affaire au 15 juin. Les juges ont cependant décidé de le maintenir en détention.

Son passé judiciaire fait figure d’élément à charge. La cour d’assises de la Marne l’a condamné en 2006 à sept ans d’emprisonnement pour un viol collectif commis avec trois autres jeunes gens dans un appartement du quartier Croix-Rouge, en septembre 2002, au préjudice d’une quinquagénaire psychologiquement perturbée (le groupe avait abusé d’elle après avoir squatté son domicile pour fêter un anniversaire).

Poursuivi pour « agression sexuelle en récidive », le prévenu encourt une peine plancher de deux ans d’emprisonnement.

F.C

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100510d

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7341 du 10 au 16 mai 2010.


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LIQUIDATION JUDICIAIRE
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE


Par jugement en date du 04/05/2010, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

SARL SAVEURS DU MONDE,
8 allée du Vignoble - 51100 REIMS.
N° Registre du Commerce : (B 513 627 075).
Activité : Négoce en gros et au détail, l’importation de produits alimentaires.
Mandataire liquidateur : Maître DELTOUR François, 3 rue Noël -51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

Le greffier : Bernadette DELPY

85282.


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CESSION DE FONDS DE COMMERCE
VENTE CESSION ATTRIBUTION D’APPORTS

CESSION DE FONDS DE COMMERCE


Suivant acte reçu par Maître David MENNETRET, Notaire à REIMS, le 29 avril 2010, enregistré à REIMS NORD le 5 mai 2010, bordereau 550, case 1. Madame Evelyne PLUMECOCQ, veuve de Monsieur CHOQUEZ, demeurant à REIMS, 17 B avenue d’Epernay, et par Madame Sylvie CHOQUEZ. épouse de Monsieur Manuel MAIGNIEN, demeurant à SOMME VESLE (51460), 43 rue Brasseur.

Ont vendu à : Monsieur Manuel MAIGNIEN, époux de Madame Sylvie CHOQUEZ, demeurant à SOMME VESLE (51460), 43 rue Basse.

Un fonds de commerce de librairie, papeterie, journaux, disques, jouets et jeux éducatifs, bimbeloterie, auxquels sont annexés la gérance de débits de tabac et la distribution des produits de la Française des Jeux, sis à REIMS (51100), 13 place Auguste Rodin, connu sous le nom TABAC PRESSE CROIX DU SUD, immatriculé au R.C.S. de REIMS numéro 342 823 325.

Moyennant le prix principal de deux cent vingt mille Eur. (220.000,00 €).

Les oppositions seront reçues en l’Etude de Maître David MENNETRET Notaire à REIMS, où domicile a été élu à cet effet, dans les dix jours de la dernière en date des insertions prévues par la loi.

Pour avis insertion : Maître David MENNETRET, 85265 Notaire.


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Union100510c - Marne
Les amis de Patrick Fossier : Un homme exceptionnel

Dans l’union du 20 avril, Mme Massait nous apprenait le décès de Patrick Fossier et évoquait avec émotion le rôle que jouait au sein de l’association Multi-Echange cet homme exceptionnel, intelligent, généreux, toujours prêt à écouter et à aider les autres.

On ne peut pas oublier une autre facette de sa personnalité, et le rôle qu’il joua dans le monde du handicap. Jeune handicapé, il poursuivit néanmoins des études et c’est tout naturellement qu’il se rapprocha du GIHP Champagne-Ardenne (Groupement pour l’Insertion des Personnes Handicapées), fondé en 1977 par Jean-Paul Gilbert, dont l’idée première était de permettre aux étudiants de poursuivre leurs études malgré leur handicap, avec comme objectif : « aller, venir, se déplacer comme tout un chacun », D’où la création du service Transport du GIHP. Il en sera le président de nombreuses années.

Jusqu’à la fin de sa vie, dépassant les problèmes dus à sa maladie, Patrick Fossier, idéaliste, intransigeant refusant toute compromission, se battra pour les autres. Toute sa vie, il militera pour que soit connue, respectée, améliorée, la vie des personnes handicapées dont il connaissait si bien les problèmes et les besoins.

Avec le décès de Patrick Fossier, on peut dire que le monde du handicap est en deuil.


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Union100510b - Marne
Climat de violence aux Hauts-de-Murigny / Les collégiens dans le collimateur

Les locataires ont interpellé la Ville et Reims Habitat. Une réunion va être organisée en mairie.
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REIMS (Marne). Les locataires de l’association voisine de locataires de l’Effort rémois « At’Hom » avaient déjà tiré la sonnette d’alarme une première fois au cours de leur propre assemblée générale (notre édition du 9 avril) : les élèves du collège voisin Georges-Braque posent de gros problèmes de comportement.

Avec les locataires des Hauts-de-Murigny, la situation est apparue beaucoup plus grave, tant pour les habitants que pour les commerçants !

Quelques exemples : « deux cambriolages depuis janvier », signale une habitante, « des élèves, les yeux exorbités, probablement drogués, agressent les habitants qui refusent de les laisser entrer », assure une autre. « J’ai perdu une bonne partie de ma clientèle à cause d’eux », regrette un professionnel. « J’ai sorti moi-même trois collégiens qui faisaient le cirque dans l’entrée. Ils m’ont insultée plus bas que terre et j’ai eu des représailles sur mes volets qui ont été fracassés », raconte une dame âgée, « quatre personnes ont été agressées et deux sacs volés », assure une autre dame. « Je relève des faits beaucoup plus durs que ceux que j’ai connus quand j’étais surveillant au collège Georges-Braque », reconnaît Eric Quénard, 1er adjoint.

Tous les ans, depuis 2004, le collège Georges-Braque monte des actions de prévention sur le quartier, avec des professeurs volontaires (français, arts plastiques,…) : des séances d’instruction civique, l’histoire du quartier, la revalorisation de la terrasse de l’îlot Utrillo, et on se souvient aussi des opérations « pour mieux vivre ensemble dans le quartier », « respect des espaces extérieurs » et « propreté du quartier ».

Le collège réagit

« Je puis vous assurer de notre réelle collaboration de fond et de longue date avec le collège », a précisé Arnaud Prieux, le chef d’agence de Reims Habitat. « Ces problèmes de voisinage sont très difficiles à traiter. Notre médiateur et nous-mêmes menons un gros travail d’identification avec les autres bailleurs du quartier. »

Affirmations confirmées par Éric Quénard : « Nous agissons grâce aux cellules de veille qui réunissent tous les intervenants : polices nationale et municipale, médiateurs, justice, éducateurs, organismes logeurs, associations de locataires et Education nationale ». La piste serait « le captage » des collégiens qui traînent devant le collège par les professionnels de la maison de quartier, en particulier de l’espace Ethnic’s », explique-t-il. « Ils viendraient les chercher pour les orienter vers le gymnase voisin et les occuper. Les maisons de quartier ne peuvent plus se contenter d’attendre les jeunes, elles doivent aller les chercher sur leur terrain. »


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Des locataires très remontés

L’assemblée générale de l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny s’est déroulée mardi 4 mai devant soixante personnes bien décidées à se faire entendre du premier adjoint Éric Quénard et des représentants de Reims Habitat, Arnaud Prieux et Philippe Bréjard.

Après le rapport financier du trésorier Daniel Houssack, et le commentaire du rapport moral lu par la présidente Maud Trefcon et la secrétaire Isabelle Mallinger, les revendications du public ont fusé.

Projet des espaces verts du quartier : « La poursuite de ce projet est très lente. L’Amicale répond à toutes les sollicitations de Reims Habitat, mais elles deviennent de plus en plus rares : deux années blanches à ce niveau ».

Contrôle des charges : pas de langue de bois pour Michel Roquier (confédération nationale du logement). « Nous avons contesté plus de 2 000 euros de charges indûment attribuées aux locataires ! », annonçait-il. « Et puis, il faudra nous expliquer pourquoi l’eau froide coûte 7,31 euros le m3 chez nous et 6,30 euros dans le secteur Eisenhower. Même question pour l’eau chaude, facturée ici 12,78 euros le m3 contre 10,52 euros à Eisenhower avec la même chaufferie mais avec des canalisations beaucoup plus longues ! »

Pour Michel Roquier, « certains chiffres sont aberrants et inexplicables. La Soccram est un état dans l’état. Il s’y passe n’importe quoi ! Qui paye et pourquoi ? Il faudrait enfin que la lumière soit ! »

Promesses : Daniel Houssack rappelle que la suppression de deux bacs à sable, de même que l’installation de détecteurs de présence sur tous les bâtiments de l’îlot E, promesses de M. Toublan (Reims Habitat) lors de l’assemblée générale de 2008, ne sont pas réalisées.

Ménage et espaces verts : « Nous ne sommes pas du tout satisfaits du ménage et des espaces verts ! Nous payons très cher des prestations médiocres. » Les locataires dans la salle ont donné beaucoup d’exemples, ce qui a fait réagir Ronan Berder, collaborateur de Catherine Vautrin, députée : « Les gens qui critiquent les femmes de ménage devraient d’abord balayer devant leur porte. Elles ne sont pas là pour ramasser la pisse de chiens dans les ascenseurs ! »

Questions diverses : Ont également été abordés les problèmes de reprise des espaces verts par la Ville de Reims, le projet des bacs enterrés, la taxe d’habitation (engagement de Mme Vautrin pris lors de l’assemblée générale de 2007), le retour des gardiens d’immeubles, etc.. de quoi pimenter une assemblée générale où le moins que l’on puisse dire, c’est que personne ne s’est ennuyé !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
- Lisez le rapport moral de la présidente et de la secrétaire.


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Union100510a - Marne
Dix mois pour abattre deux immeubles

Les 49 et 51 Eisenhower vont être totalement démolis.
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REIMS (Marne). Les immeubles 49 et 51 de l’avenue Eisenhower vont être détruits. Reims Habitat apporte des explications sur les techniques de démolition.

DANS le cadre des rénovations urbaines actuellement en cours un peu partout dans le quartier Croix-Rouge, les immeubles 49 et 51 de l’avenue du Général-Eisenhower vont disparaître.

Le processus de relogement des locataires de ces deux tours de 13 étages est en cours, mais les habitants des deux immeubles voisins se posent tout de même de nombreuses questions. Effectivement, comment abattre deux blocs aussi hauts sans que cela ait de conséquences sur la sécurité des habitants des logements alentour ?

Reims Habitat, propriétaire de ce parc de logements, apporte quelques informations à ce sujet.

La technique du grignotage

« En terme de technique de déconstruction, nous n’aurons pas trop le choix vu le contexte de ces bâtiments. L’explosif est évidemment impossible, l’abattage à la pelle non plus, le vérinage qui consiste à faire tomber l’immeuble dans un angle bien précis n’est pas non plus réalisable. La seule possibilité qui reste est le grignotage d’étage en étage », explique Michel Blazejczyk, directeur des programmes et techniques spécifiques pour Reims Habitat.

Pour le moment, l’appel d’offres pour recruter l’entreprise qui devra remplir cette tâche vient d’être lancé. Pourtant le planning de cet immense chantier est déjà bien ficelé.

« Tout va logiquement débuter en février 2011. Il faut savoir qu’il nous faudra faire dévier les arrivées d’eau entre le 47 et le 53 mais aussi sécuriser la zone et retirer tout ce qui est menuiserie, bois, métal, les sanitaires, les fenêtres et la tuyauterie. Il faut compter à peu près dix mois de travail. Ce qui veut dire que tout sera fini vers la fin 2011 », ajoute l’expert.

À noter aussi, qu’à l’œil nu, tout le monde pense que les 47, 49, 51 et 53 forment une seule barre ce qui n’est en réalité pas le cas. « Il y a environ deux centimètres entre chaque immeuble, ce qui pour le grignotage permet de s’occuper de chaque tour individuellement », souligne Michel Blazejczyk.

Tout sera logiquement mis en œuvre pour la sécurité des riverains et des passants grâce à l’énorme travail de professionnels expérimentés qui travaillent dans l’ombre des rénovations urbaines, et sans qui tout cela ne serait pas réalisable.

Thierry ACCAO FARIAS


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Un chantier compliqué

Michel Blazejczyk est directeur des programmes et techniques spécifiques pour le bailleur Reims Habitat. Armé de tous ses plans et de ses dossiers concernant les démolitions et le nouveau visage du secteur Université, il apporte des précisions sur le devenir de ce secteur que tout le monde appelle encore « la Rafale ».

« Les destructions des 49 et 51 Eisenhower vont donner naissance à une voirie raccordant la rue du Docteur-Billard et l’avenue du Général Eisenhower », explique-t-il.

Ce qui rend ce chantier plus compliqué que celui de la tour Taittinger vient du fait que les ouvriers vont devoir démolir deux tours de 13 étages dans un espace très compact du quartier. « Il va falloir faire preuve d’une très grande attention. Pour faire tomber les gravats, nous allons nous servir d’une gaine d’ascenseur, une sorte de gros tube », conclut le professionnel.

C’est donc un gros travail de préparation qui débute pour Michel Blazejczyk, son équipe, les prestataires du bailleur. Mais il faut bien avant tout reloger les locataires des 65 logements concernés par ces démolitions.

T.A.-F.


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Union100509a - Marne
Brûleurs de poubelles

Hier vers 3 heures du matin, une poubelle a été incendiée rue Yvon-Morandat, devant la piscine Croix-Rouge.

Quelques minutes plus tard, une autre poubelle a pris feu juste à côté, allée des Bourguignons, devant le n° 18. Les deux incendies sont probablement liés.

Vendredi vers 13 h 30, une cabane de jardin a pris feu rue de l’Epargne (quartier Saint-Charles). L’origine n’a pu être déterminée. En fin d’après-midi, des détritus ont brûlé dans les ruines du magasin Babou (le long du boulevard des Tondeurs à la Neuvillette) ainsi que rue Charlier.


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Union100508a - Marne
Reims / Enfermé dans les toilettes, un coup de couteau dans le cou

Une nuit entière enfermé dans ses toilettes. C’est la très désagréable mésaventure survenue à un jeune Rémois au cours de la nuit de lundi à mardi, rue Marcel-Chatton, dans le quartier Croix-Rouge. Avec en prime, un coup de couteau dans le cou.

Tout commence lundi soir. Deux individus, bien connus de la police rémoise, décident d’aller passer la soirée au domicile d’une de leurs connaissances, dans le quartier Croix-Rouge. La mère de ce dernier travaillant de nuit, les trois acolytes ont ainsi toute liberté pour passer un moment tranquille. D’ailleurs, tout semble s’être passé le mieux du monde quand, aux alentours de 22 h 30, les deux invités prennent la décision de s’en aller.

L’histoire aurait pu s’arrêter là si l’un d’eux n’était pas revenu quelques instants plus tard au domicile de leur hôte au motif, selon lui, de récupérer quelques affaires. Un prétexte, manifestement, car les événements vont soudain s’emballer.

Deux versions

Mais à partir de cet instant, deux versions s’opposent. D’abord celle de la victime, selon laquelle l’individu en question serait rentré chez elle, se serait servi à boire avant de lui porter, sans raison apparente, un coup de couteau à la gorge. Ensuite celle du mis en cause qui serait rentré au domicile de la victime avant que celle-ci, toujours sans raison apparente, ne lui saute dessus. Elle aurait alors voulu porter un coup de couteau à son agresseur et, selon ce dernier, se serait elle-même blessée.

Pour ce qui est de la suite, en revanche, les deux versions se rejoignent. Tous deux ont reconnu s’être ensuite bagarré. Mais de là à se retrouver enfermé dans les toilettes tout au long de la nuit…

C’est pourtant bien ce qui va se produire. La victime ne sera découverte que le lendemain matin par son frère, lequel se chargera d’appeler les secours. Blessée sans gravité, celle-ci expliquera que son agresseur, ayant pris le dessus sur lui, l’aurait obligée à rester dans les toilettes en la menaçant de mort. En proie à une peur bleue, elle aurait obtempéré, laissant ainsi toute latitude à son agresseur pour lui dérober son ordinateur. Tout laisse à croire, d’ailleurs, que celui-ci était revenu frapper à la porte de sa victime dans l’intention de le lui voler.

L’ordinateur aurait été rapidement revendu pour cent euros. C’est en tout cas l’explication donnée par le mis en cause au cours de sa garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police de Reims, à la suite de son interpellation, le lendemain, à son domicile. Âgé de 19 ans, celui-ci devait être jugé par le tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate, mais a préféré bénéficier d’un délai pour préparer sa défense. L’audience a été renvoyée au 15 juin. Dans l’attente de son jugement, le jeune homme a été incarcéré à la maison d’arrêt de Reims.

F.B.


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Union100507a - Marne
Danse sur glace : Le Rap à l’assaut du Lion de Belfort !

Le Rap a remporté la 3e place du podium des clubs.
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Avec onze patineurs engagés pour la troisième et dernière manche du Challenge interligues du Grand Est, la section danse sur glace du Reims Acrap patinage a remporté la 3e place du podium de club le 1er mai à Belfort : « 11 patineurs engagés et 9 podiums ! », apprécie la secrétaire du club.

Chez les plus jeunes (7e cristal 1), Ludivine Doulet est 2e, Jeanne Georges 3e et Eva Nunes 9e. En 7e cristal 2, OÏana Carbonnier est 1re. En Préliminaire Plus 1, Myrtile Navarro prend la 3e place. En Préliminaire Plus 2, Ylona Kebe est 2e. En préparatoire 1, Maeva Grenier termine 8e. En Préparatoire 3, Laura Moutinho 1re.

Ensuite, un festival de 2e places : Marine Ravaux en Prébronze 3, Renan Manceaux en Bronze 1 et Alexia Bedin en Bronze 2.

Bientôt le gala

Cette compétition clôture la saison de la danse sur glace du Reims Acrap patinage. Les patineurs et leurs entraîneurs vont maintenant se consacrer à la préparation de leur gala. Celui-ci aura lieu le vendredi 4 juin à la patinoire Bocquaine à 19 h 45. Il réunira petits et grands, section artistique et section danse sur glace, des groupes débutants aux compétiteurs récompensés aux championnats de France.


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Union100506d - Marne
250 jeunes sur la scène du Grand Théâtre : « L’opéra n’est pas un truc de vieux ! »

Le couronnement de Poppée : grâce et poésie.
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L’OPÉRA ? « C’est la rencontre de deux fonctions : la narration et l’émotion. Le théâtre donne le sens. La musique transporte le public » : Serge Gaymard, directeur du Grand Théâtre, recevait ce lundi douze classes venant de six établissements de Champagne-Ardenne, dont un collège et un lycée rémois. Cette action s’insère dans le « projet artistique globalisé » intitulé « Les Coulisses de l’Opéra ».

Les élèves ont visité les coulisses, rencontré artistes, techniciens, costumiers… Leurs professeurs ont travaillé tout au long de l’année sur les spectacles par le biais d’initiation à la voix lyrique et d’ateliers artistiques.

« Vous avez vu que l’opéra, c’est un genre hybride, protéiforme. J’espère que vous avez ressenti que ce n’est pas un truc de vieux ! », a ajouté Serge Gaymard. Chargée de mission au Grand Théâtre, Laure Bergougnan a présenté le projet et les participants : « Nous avons commis un sacrilège en démontant cette mécanique prodigieuse pour en percer les mystères ».

Humour et inventivité

Lever de rideau sur deux classes de bac pro du lycée Joliot-Curie, sur le thème de « L’opéra de Quat’sous » de Bertolt Brecht (interviewé sur scène par… Adèle Blanc-Sec !). « Nous avons travaillé à la fois sur les années folles et les costumes du XIXe siècle » expliquent les professeurs. Des panneaux de personnages costumés sans tête ont été réalisés par collage de tissus de récupération. Un travail multidisciplinaire « qui nous a permis d’être en contact avec un milieu que nous ne connaissions pas », expliquent des élèves. Les jeunes artistes ont conjugué leurs talents, vocaux et théâtraux, avec « Le monde est grand » par le chœur du collège Saint-Remi ; suivi d’une saynète toute de grâce et de poésie sur le « couronnement de Poppée ». Dynamisme et humour pour les collégiens de Saint-Memmie, dans une scène fort bien jouée du « Bourgeois gentilhomme ». Les élèves de Signy-le-Petit ont été surpris de la puissance des voix des chanteurs d’opéra. Adaptation très moderne d’Otello pour le lycée Saint-Exupéry de Saint-Dizier. Quant au final, par les 3e de Pontfaverger, sur « May way to Hell », l’interprétation décoiffante mêlant guitare électrique, tambour et… vannes. « Pour moi, l’enfer, c’est me lever le matin ! », a recueilli une salve d’applaudissements !


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Union100506c - Marne
Pays-de-France : Avenue Bonaparte : ça va mal

Graffitis et odeur d’urine : le quotidien des habitants.
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L’association de défense des locataires de Pays-de-France a été saisie de nombreuses protestations concernant l’état et l’entretien de l’immeuble situé au 1, avenue du Général-Bonaparte, celui-là même où se situe le local de la gérance du Foyer rémois.

Enormes erreurs

Que constate-t-on ? « Les escaliers et les murs sont souillés, les tags et graffitis fleurissent un peu partout, une odeur persistante d’urine règne dans les parties communes et les immondices s’accumulent aux abords du bâtiment. Ceci est l’environnement quotidien des habitants malgré des charges très lourdes ! », précise Jean-Pierre Bauwens, membre du bureau de l’association, qui rappelle que, pourtant, « la facture pour l’entretien des parties s’élève à 13 222,23 euros et celle pour l’entretien des espaces extérieurs de 2 745,60 euros, à la charge des locataires ».

Dans le même temps, à la suite d’une enquête lancée par le comité de locataires, un constat alarmant émerge : « Ça va très mal avec les charges sur Pays-de-France : d’énormes erreurs sont rapportées à l’association Et Croix-Rouge ! »


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Union100506b - Marne
Les locataires pataugent dans l’urine

Ce n’était pas la joie, ces derniers jours, dans l’immeuble du 1, place Jean-Fragonard.

Des saligauds ont soulagé leur vessie dans le hall d’immeuble, laissant derrière eux de grandes flaques jaunâtres. « Leur pisse était mélangée à du soda. Ça prenait à la gorge. Ça montait dans les étages »

Les femmes de ménage sont venues nettoyer le lendemain. Elles ont bien du courage, les locataires aussi. « Payer 475 € charges comprises pour vivre dans des HLM où il y a de l’urine avec des odeurs nauséabondes, il y a de quoi être dégoûté », râle cet habitant. Et ce n’est pas le seul immeuble de Reims à connaître pareille incivilité, loin s’en faut.


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Union100506a - Marne
Des voleurs à la fac

Le local d’une association étudiante a été saccagé au cours du week-end sur le campus de la fac Croix-Rouge (l’union de mardi).

Les voleurs sévissent également sur le secteur. Ainsi, deux jours de suite, des voitures ont été fracturées sur les parkings de la fac : trois véhicules le premier jour (vitres brisées), d’autres le lendemain (serrures forcées).

Divers objets ont été dérobés.


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Union100505c - Marne
Aux Hauts-de-Murigny : La guerre des parkings

Isabelle Mallinger remet les pendules à l’heure.
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Dans les « dernières nouvelles du quartier » du samedi 10 avril, nous évoquions la protestation de Danielle Bonfils, présidente de l’association de locataires At’Hom à la suite de l’installation, par Reims habitat, d’une barrière qui limite la hauteur des véhicules entrant dans le parking G18.

Résultat, les fourgons d’entreprise, n’ayant plus accès à ce parking, se replient désormais sur le parking voisin, de l’Effort rémois, au grand dam des locataires de l’association At’Hom qui en comptent parfois jusqu’à six. : « Ces véhicules stationnent maintenant sur notre parking, qui subit à son tour des dégradations ! » expliquait-elle en assemblée générale.

Cette information a profondément heurté les membres de l’association voisine, celle des locataires des Hauts-de-Murigny : « depuis des années, un nombre important (et surtout bien supérieur à six) de véhicules particuliers sont stationnés, de nuit comme de jour, sur le parking de Reims Habitat par des conducteurs résidant dans les bâtiments 1 et 3 Gandon faisant partie du secteur At’Hom et qui souhaitent garder la vue sur leur bien depuis leurs fenêtres. Ces abus ont pour effet de restreindre le nombre de places disponibles pour nous, les habitants de Reims Habitat » précise Isabelle Mallinger, secrétaire des Hauts-de-Murigny.

« Effectivement, la hauteur étant maintenant limitée, certaines camionnettes ne peuvent plus accéder à la zone de stationnement mais toutes ne se réfugient pas sur le parking de l’Effort rémois, d’autres parkings de Reims Habitat étant disponibles à proximité » continue Isabelle Mallinger.

Chacun chez soi

Faite « sans aucune volonté de créer une polémique », cette mise au point y ressemble pourtant beaucoup.

La seule solution possible pourrait être la pose d’une barrière à badge à l’entrée de chaque parking : de la sorte, on aurait les « Reims habitat » chez eux, les « Effort rémois » chez eux et la fin assurée d’une certaine mixité sociale !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100505b - Marne
Exposition, menus… : L’école à l’heure de l’Europe

Les enfants de Prieur-de-la-Marne ont réalisé la cathédrale de Sofia en Bulgarie.
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L’île de Malte a été illustrée par l’école Joliot-Curie.
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Là, nous sommes en Italie avec l’école Gerbault
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« ILS étaient fiers, ils viennent la voir souvent cette expo ! Et ils étaient très contents de la venue de la maire, pour regarder leur travail . » Dave Morel, animateur-coordonnateur à l’école Adriatique, peut souffler : l’exposition des élèves de 30 écoles rémoises a ravi à la fois leurs camarades et les élus.

« Le service éducation a présenté à la mi-mars ce projet d’exposition dans les écoles possédant un coordonnateur, sur un pays imposé. Nous, à l’Adriatique, nous avons eu les Pays-Bas. Les élèves participaient sur la base du volontariat, il fallait qu’ils soient motivés . »

Ainsi, durant les temps périscolaires, une animation sur la thématique « l’Europe dans sa diversité » a permis aux enfants de travailler à partir d’une fiche d’identité identique, les enfants ont, au gré de leur imagination et de leur représentation, réalisé une création artistique.

« Nous avons fait des recherches sur le pays, avec le nombre d’habitants, la situation géographique, les spécialités culinaires, culturelles, et depuis quand ils sont entrés dans la communauté européenne », poursuit Dave Morel, qui a pris les élèves qui allaient à la cantine, pour reproduire une œuvre de Van Gogh. « Je suis graphiste au départ, donc c’est un peu mon domaine. J’ai partagé le tableau en neuf morceaux, chaque élève en reproduisant un, qu’on a assemblé ensuite . »

A l’école Adriatique, la classe internationale a, elle, travaillé le panneau représentant le pays, avec évidemment les fleurs, et les vélos. « Cela représente pas mal d’heures de travail. Il a fallu aussi recadrer des projets parfois « énormes » des élèves. Et il fallait être concis dans les idées, car nous n’avions pas beaucoup de temps . »

Chaque classe de l’école vient voir cette exposition, notamment pour se faire une meilleure idée de l’Europe, dont le fonctionnement n’est pas toujours aisé à comprendre. Jusqu’à la fin de l’année, cette exposition sera visible dans dix écoles ciblées, en capacité d’accueillir les écoles voisines ayant participé.

Les écoles participantes

Adriatique (Pays-Bas), Amundsen (Portugal), Anquetil (Danemark), Barthou (Finlande), Blanche-Cavarrot (Pologne), Clairmarais (Irlande), Danube (Luxembourg), Enfants-du-voyage (France), Général-Carré (Allemagne), Gerbault (Italie), Gilberte-Droit (Hongrie), Jard (Slovénie), Jean-d’Aulan (République Tchèque), Joliot-Curie (Malte), Jules-Ferry (Suède), Louvois (Autriche), Maison-Blanche (Lituanie), Mazarin (Espagne), Mougne-Tixier (Grèce), Paul-Bert (Roumanie), Pommery (Belgique), Prieur-de-la-Marne (Bulgarie), Provençaux (Lettonie), Ravel (Estonie), Sculpteur-Jacques (Chypre), Trois-Fontaines (Royaume Uni), Voltaire (Slovaquie), Gallieni et Jean-Macé (Histoire, création de l’Europe).

 

 


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Union100505a - Marne
Tennis : Le centre Géo-André attend sa labellisation

De gauche à droite : Sébastien Paillard, Anthony Petit, Cindy Castille, Emmanuel Castille et Bounoua Ali.
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Le centre de formation de Géo-André poursuit son développement. Un développement qui devra passer forcément par la phase labellisation de la structure.

« A cet égard, nous venons d’avoir la visite de Dominique Poey, directeur technique national adjoint. Il a estimé que notre centre d’entraînement répondait favorablement à tous les points du cahier de charges fédéral. Et que par conséquent, il donnait son feu vert pour que soit constitué et présenté un dossier à la fédération française de tennis. La balle est maintenant dans le terrain de la ligue (…) », explique Anthony Petit, responsable du centre. « L’enjeu est considérable. Puisqu’une officialisation de la structure, au-delà de ce qu’elle apporte en termes de reconnaissance et d’image, permet surtout l’accession à des crédits auprès d’instances publiques qui sont nécessaires à la survie et à la pérennité de ce que nous ambitionnons. Le haut niveau coûte cher, et le club ne peut supporter à lui seul cette charge. »

En attendant, les pensionnaires, eux, continuent à se distinguer. Enzo Wallart et Aurélie Marchal au tournoi international minimes d’Iteuil et Cindy Castille au rendez-vous international benjamins de Bressuire. Cette dernière a fini meilleure Française de sa catégorie en atteignant les demi-finales. « Elle confirme tout le bien qu’on pensait d’elle et le potentiel à venir. Il faut également y associer le travail de toute l’équipe pédagogique du Centre, et principalement son père qui est entraîneur fédéral de ligue », commente Anthony Petit.


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Union100504e - Marne
TENNIS / Interclubs Peuvent mieux faire

L’Europe Club, promu décomplexé et entrée réussie en N3.
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La première journée des Interclubs s’est soldée par un bilan mi-figue mi-raisin. Chez les messieurs, en N3, le promu Reims Europe Club a parfaitement débuté la compétition en dominant le TC Flandres (5-2).

Habitués de la terre battue, les Croisiens et leurs anciennes gloires - le Belgo-Tchèque Libor Pimek 21e mondial en simple en 1985, avec notamment une place de quart de finaliste à Roland-Garros, et Patrice Kuchna, 125e mondial en 1984 et huitième de finaliste à Roland-Garros en 1987 après avoir battu André Agassi au 2e tour ! - ont été quelque peu bousculés en simples puisque les Européens menaient 4-1.

Reste que les Nordistes furent tout près d’arracher le nul car la paire de 1/6 Alexandre Gajanovic - Théophile Castelhano s’est imposée d’un rien (7-6, 7-6). En N4, les formations marnaises peuvent nourrir de légitimes regrets.

A domicile, le TC Géo-André s’est incliné de peu devant les Nordistes de Lomme (4-3). La faute à trois matches perdus en trois sets et un super tie break (1), cédé 10-6 « C’était pourtant un match important pour le maintien d’autant que leur négatif ne jouait pas le simple. Il va falloir désormais un exploit », confessait le nouveau capitaine rémois Sébastien Paillard.

Vitry, aïe…

De son côté, le TC Vitry a connu, pour son retour en Nationale, le même sort à Nancy (4-3). Une rencontre étonnante face à des adversaires jouant tous des classements plus forts. Résultat, le - 15 Suisse Yannick Thomet s’est fait pièger par un 1/6 et les Vitryats ont perdu le super tie-break qu’il ne fallait pas … Chez les dames, en N3, les Européennes n’ont pas eu à forcer leur talent puisque Maisons-Alfort, présentant des classements à 3/6, 4/6, 15/3 et 30/1, a préféré déclarer forfait général.

Quant aux filles de Géo-André, leur inexpérience a été fatale face à la très solide formation de Chelles, favorite pour l’accession (8-0). « Le score est sévère car nous perdons trois simples en trois sets. L’équipe étant très jeune, c’est néanmoins encourageant pour la suite », expliquait la capitaine, Anne-Sophie Rose.

(1) Nouveauté du règlement cette saison pour les doubles, hormis le « no ad » sur les deux premières manches, il n’existe plus de troisième set. Il est désormais remplacé par un super tie-break en 10 points (avec deux points d’écart).

MESSIEURS

NATIONALE 3. -A Reims, Reims Europe Club batTC Flandres 5-2

Andruejol (0, Reims Europe Club) bat Cousin (- 2/6) 6-0, 6-1 ; Beun (0) bat Castelhano (1/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-4 ; Seuret (1/6, Reims Europe Club) bat Alexandre Rousseau (1/6) 6-3, 6-4 ; Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) bat Declercq (1/6) 6-1, 6-1 ; Clausse (4/6, Reims Europe Club) bat Kuchna (4/6) 7-5, 6-1.

Cousin - Pimek (1/6) battent Andruejol - Seuret 7-5, 6-4 ; Castelhano - Gajanovic battent Beun - Declercq 7-6, 7-6.

NATIONALE 4. - A Lomme, OSM Lommois batTC Géo-André 4-3.

Monsorez (0) bat Paillard (2/6, Géo-André) 3-6, 7-6, 7-5 ; Balles (2/6, Géo-André) batThireau (1/6) 6-4, 6-2 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Potier (2/6) 6-1, 6-2 ; Demailly (2/6) bat Pignon (2/6, Géo-André) 5-7, 6-2, 6-4 ; Kaiser (3/6) bat Leroy (3/6, Géo-André) 6-3, 3-6, 6-1.

Balles - Pacanowski battent Thireau - Landtsheere (-2/6) 7-5, 2-6, 1- ; Monsorez - Potier battent Pignon - Leroy 6-3, 0-6, 1-0.

A Nancy, TC Nancy Foret de Haye batTC Vitry 4-3.

Witmeur 1- 15, Vitry) bat Mathieu (1/6) 3-6, 6-3, 6-1 ; Leonet (1/6) bat Thomet (-15, Vitry) 5-7, 6-2, 7-6 ; Lalouette (0, Vitry) bat Perrein (2/6) 7-5, 6-4 ; Mizera (2/6) bat Varie (3/6, Vitry) 6-1, 6-0 ;Tiessen (3/6) bat Jeanrat (15, Vitry) 3-6, 6-3, 6-1.

Leonet -Tiessen battent Witmeur - Lalouette 2-6, 6-3, 1-O ;Thomet - Vari n battent Mizera - Perrein 5-7, 6-3, 1-0.

DAMES

NATIONALE 3. -A Chelles, ChellesTennis AS batTC Géo-André 8-0.

Alexandra Charles (-15) bat Charline Braidy 1- 4/6) 6-1, 6-1 ; Stéphanie Eusebe (0) bat Claire Makhloufi (2/6) 6-4, 4-6, 6-4 ; Lucia Blazquez (3/6) bat Claire-Hélène Genin (3/6) 6-4, 6-1 ; Marie-Hélène Mussou (3/6) bat Cindy Castille (5/6) 4-6, 6-3, 6-2 ; Alice Vanackere (5/6) bat Anne-Somphie Rose (15) 5-7, 6-3, 6-3 ;

Alexandra Charles - Stéphanie Eusebe battent Charline Braidy -Claire-Hélène Genin 7-5, 6-4 ; Marie-Hélène Mussou -Alice Vanackere battent Claire Makhloufi - Cindy Castille 6-2, 6-1.


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Union100504d - Marne
HAUTS-DE-MURIGNY : Les locataires en réunion

L’assemblée générale de l’Amicale de locataires des Hauts-de-Murigny se déroulera aujourd’hui, mardi 4 mai, à 18h30, au centre social Watteau, 1, allée Antoine Watteau.

Renseignements auprès de la secrétaire, Isabelle Malinger, au 03.26.49.86.750


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Union100504c - Marne
L’été s’affiche à Croix-Rouge : La fête en bonne voie


Yves Pringault, maître d’œuvre de « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».
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Destinée à succéder au « Festival Croix-Rouge s’affiche » et en lieu et place de « Croix-Rouge plage », l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge », programmée de fin juin au 22 juillet sur le parking intérieur de l’hippodrome, se prépare doucement.

Yves Pringault, directeur jeunesse à la Maison de quartier Croix-Rouge, en précise l’avancement.

La présence de l’association TRAC (« Toutes recherches artistiques et de création ») et de son chapiteau est confirmée avec des spectacles pour les centres de loisirs et pour les scolaires et des animations sous forme de stage le matin et en accès pour tous l’après-midi.

« Il y aura dix dates en soirées pour des animations music-hall, sorte de scènes ouvertes pour les talents du quartier et d’ailleurs. Une version allongée de ce qui se faisait au cours de l’après-midi « Culture de quartier » lors du Festival. Salim et Bertrand (espace Ethnic’s) sont chargés de la programmation. »

En première semaine, un complexe d’escalade sera mis en place par les Arts de la Grimpe, avec la participation de Vertical.

Feu d’artifice sur l’hippodrome

Chaque semaine, les animatrices des Points information jeunesse des espaces Ethnic’s et La Nacelle) développeront un thème particulier : prévention routière, développement durable et une troisième action avec les animatrices familles « Santé et bien être ».

Pour tout ce qui est intervention en arts plastiques, les contacts sont pris : « Il y aura notamment la réalisation d’un tableau en trois dimensions avec des matériaux de récupération sur le thème « L’été à Croix Rouge », par Marie-Josée Sollivellas du collectif Eutectic, avec les habitants présents, des ateliers pour les enfants avec l’association Résonances basée à Croix-Rouge, un atelier graph pour tous, animé par Najime Hossini et deux ou trois spectacles pour enfants. »

Un terrain en sable pour les sports sera mis en œuvre durant toute la durée d’ouverture du site. Il en sera de même pour le carré « Petite enfance ».

Les buvettes seront tenues par des associations ou des groupes d’habitants. D’autres animations sont en cours de réflexion.

Idée originale : jeudi 22 juillet, l’hippodrome a programmé des courses de trot en nocturne, avant une grande fête, ponctuée d’un feu d’artifice pour clôturer en beauté « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».


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Union100504b - Marne
Le local d’une association étudiante saccagé

Le local de la Corpo de droit a été saccagé ce week-end à la fac Croix-Rouge de Reims. La motivation des auteurs n’est pas claire. Ils ont l’air d’avoir une dent contre la soirée Intercampus.

Les adhérents de l’association « Corpo de droit » ont fait la grimace, hier matin, en revenant au campus Croix-Rouge de Reims.

Pendant le week-end, des inconnus ont saccagé leur local pour des raisons qui laissent perplexes. Aucune motivation politique apparente, comme cela s’est déjà produit dans le passé au préjudice de telle ou telle association estudiantine.

Les nombreux tags barbouillés à la bombe de peinture noire laissent transparaître une violente charge contre les prétendues beuveries étudiantes et la « Nuit des campus » organisée la semaine dernière : « Non à l’alcoolisation des étudiants », « Des subventions pour les cours, pas pour l’alcool », « Abrutisation des masses », « Stop aux cons », « porcherie »… L’une des inscriptions permet d’établir un lien direct avec la grande soirée de jeudi au parc des expos : « Et ça, comme mythe, ça vous va ? » La 12e « Nuit des Campus » organisée dans la nuit du 29 au 30 avril, après une interruption de cinq années, avait pour slogan « le mythe est de retour ».

Ils taguent, ils volent

A la Corpo de droit, personne ne comprend pourquoi le local a été visé. D’une part, aucun problème d’alcool n’a entaché la Corpo. D’autre part, elle n’est qu’une des nombreuses associations fédérées par Intercampus, l’organisateur de la soirée qui s’est d’ailleurs déroulée sans anicroche.

« Il y a eu entre 2.300 et 2.500 étudiants. Tout s’est très bien passé. Il n’y a eu aucun débordement. Nous n’avons eu que d’excellents retours. C’est étrange d’être attaqué là-dessus », s’interroge un responsable de la Corpo.

Les auteurs n’y sont pas allés de main morte. Ils ont sévi entre vendredi, 20 heures, et dimanche, 17 heures. Passant devant le local à cette heure-là, une personne a constaté un trou à la place de la serrure. Elle avait été défoncée. A l’intérieur, c’était la désolation.

« Ils ont tagué partout, sur le sol, sur les murs, sur le mobilier, sur la photocopieuse. Ils ont éventré un canapé et dessiné dessus. Les armoires ont été fouillées, les papiers renversés. »

Non contents de casser, les intrus ont volé un ordinateur portable, un disque dur externe et des documents administratifs sans aucune valeur marchande (notamment des factures). L’argent était déposé dans un coffre-fort. Ils n’ont pu l’ouvrir, mais l’ont aspergé de peinture.

Une plainte a été déposée hier après-midi auprès des services de police. Le préjudice reste à évaluer, mais entre les dégradations et le vol du matériel informatique, l’addition risque d’être corsée.

F.C.


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Union100504a - Marne
Petits incendies

… tandis qu’à 20 heures, des papiers ont été enflammés, rue Raoul Dufy à Reims.


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Union100503a - Marne
Sports et cultures du cœur Une nouvelle association « Mounsif et Co »

« La première réunion se tiendra dès que nous aurons obtenu les locaux pour accueillir le public », explique Allaoui Bensad.
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C’est après un travail de longue haleine que Allaoui Bensad, un bénévole du quartier Croix-Rouge, a constitué une nouvelle association : « Mounsif et Co, les sports et les cultures du cœur ».

Cette association sera ouverte aux populations de 5 à plus de 60 ans, de tous les quartiers, et elle aura quatre composantes : culture (chant/coaching vocal, théâtre/mise en scène, peinture, lecture, dessin, arts graphiques, musique, MAO, histoire de la musique, histoire de l’art, concours de chant, montage d’expositions, lectures en maisons de retraite, contes, poèmes, devoir de mémoire, soutien scolaire, ateliers goût, dessins animés, films/spectacles) ; sports (équipe de football, tournois, entraînements, sports pour enfants et adultes) ; travaux (peinture, papier peint, déménagements, montage de meubles, couture, garde à domicile et administration) et humanitaire (préfecture, cv/lettres, lettres pour la mairie, Pôle emploi, correspondances, immigration, discriminations, aide administrative avec l’alphabétistion par le biais d’atelier ludique, orientation, contact avec les autres structures des quartiers).

Recherche bénévoles

Pour l’instant, l’association s’est dotée d’un président : Mounsif Kerroum, qui sera responsable du sport et d’un vice-président, Allaoui Baaya.

Pour les animations, Emmanuel Gauthier donnera des cours de théâtre, autour de « Les grubkids et la prairie fleurie de Bourguignons » (conte satirique sur la déculturalisation orientale de Croix-Rouge), il se chargera également de l’activité éveil.

Allaoui Bensad travaillera autour du film musical dont il est producteur, coréalisateur, scénariste, metteur en scène, comédien, coach vocal, chanteur et directeur de casting : « Le destin des enfants de l’espoir ». Jalale El Hanine, directeur musical, se chargera des activités musique et MAO, mais aussi de l’humanitaire. M. Bouarfa donnera des conseils pour les visites en maisons de retraites et le devoir de mémoire. Toute proposition de nouvelle collaboration sera accueillie avec enthousiasme par l’équipe.

Contacter le président, Mounsif Kerroum, à la résidence Lucien-Doyen, 7, rue du Docteur Billard 03.26.08.18.46.


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Union100502c - Marne
Le RCB perd mais est champion et monte en Pro B : L’incroyable scénario

Le public a longtemps cru que la victoire serait assez tranquille pour le RCB.
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Ce sont les jeunes de la maison de quartier de Croix-Rouge qui ont assuré le spectacle à la mi-temps
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Le RCB est champion de France, ça s’arrose !
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Un des supporters les plus loufoques du RCB : il n’a pas hésité à se déguiser en libellule puis en taureau (enfin, plutôt couleur vache) pour faire vibrer le public !
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Ambiance surréaliste hier à René-Tys, où les supporters ont dû patienter un quart d’heure pour apprendre que leur équipe était championne de France et montait en Pro B, malgré leur défaite contre Cognac !

A21 h 45 hier soir, ce sont des « Allez Angers » qui résonnaient dans l’antre du Reims CB ! Agglutinés derrière l’ordinateur, ils suivaient l’évolution du match Angers-Challans. Car après la défaite 71-78 de leur équipe contre Cognac, ils devaient compter sur une défaite des Vendéens en Anjou pour pouvoir faire la fête à leurs héros, une fête tant attendue, tant méritée aussi. Sur le traditionnel « We are the champions « des Queen, Les nombreux supporters (plus de 2 000 spectateurs pour ce dernier match à la maison) ont applaudi un à un les joueurs qui sont revenus sur le terrain plus fiers qu’un quart d’heure auparavant, dans une lumière rouge et un halo de fumée, René-Tys étant plongé dans le noir.

Le « On a l’air con » de Anthony Christophe, un des meilleurs joueurs hier, était vite oublié, et toute l’équipe s’arrosait, au milieu du terrain, à l’eau en attendant mieux dans la nuit ! « C’est un moment important à vivre, ça ne s’oubliera jamais, ça marquera l’histoire du club ». Eric Girardin était à 22 heures un président heureux. « Deux ans de travail récompensé, avec plus de, 2 000 personnes ce soir. Tout reste à faire, il faut continuer à travailler ». Il pensait évidemment à la fusion avec Châlons, fier d’apporter une si belle dot dans la corbeille : une place en Pro B !

2e titre, 2e montée

« Même si ils ont perdu ce soir, il faut les juger à l’aune de toute la saison. On peut être fier de cette équipe » réagissait la maire Adeline Hazan, qui a attendu patiemment le verdict pour pouvoir féliciter les joueurs. « On attend mais on est confiant » ajoutait-elle, en pensant au RCB mais aussi au Stade… « Ils iront chercher la victoire à Longwy pour fêter ce titre de champion. Oui, c’est une superbe saison pour l’élite à Reims, si le Stade monte » se réjouissait l’adjointe aux sports, Christine Michel. Car après le water-polo, c’est le 2’ titre national cette saison pour la cité des sacres, et la 2e montée.

Les supporters pouvaient chanter « On est en Pro B, on est en Pro B » au moment où les joueurs, déguisés, arrosés, dansaient au milieu du parquet. Et Anthony Christophe pouvait brandir fièrement la pancarte « RCB champion de France de Nationale I ». Oubliés ces moments de détresse quand, après avoir dominé les trois premiers quarts temps, mais en jouant souvent trop facile, les Rémois se sont vus dépasser par Cognac, qui avait la gnac pour assurer son maintien. Le public avait beau pousser dans les dernières minutes, les visiteurs en voulaient manifestement plus, et le RCB n’a pu se défaire de la défense de fer de leurs adversaires.

« C’était palpitant » concluait le président. Surtout l’après-match finalement !

Guillaume FLATET

Photos Christian LANTENOIS


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Union100502b - Marne
tennis / Interclubs On ouvre !

Manuel Soumet revient à la compétition avec Cormontreuil.
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Avec six équipes marnaises sur la ligne de départ, les Interclubs 2010 ouvrent aujourd’hui sous le signe de la prudence. Hormis les filles de l’Europe Club qui annoncent la montée, les cinq autres formations se limiteront à viser le maintien.

A commencer par Cormontreuil qui a gagné son billet pour la N2 sur tapis vert - les Nantais, pourtant vainqueurs du dernier match, ont été sanctionnés en raison d’un contrôle antidopage positif - et qui aura bien du mal à soutenir la comparaison dans une poule relevée.

A noter que l’absence de Benjamin Pilliet, inscrit… deux jours trop tard, occasionnera le retour à la compétition des anciens négatif, Manuel Soumet et Mathieu Blanc.

En N3, les promus Européens, orphelins de leur leader Mathieu Roy parti au Blanc-Mesnil, semblent, sur le papier, condamnés à faire l’ascenseur.

A l’étage inférieur, le TC Géo-André misera sur son homogénéité pour y rester alors que le TC Vitry qui retrouve le niveau national a fait l’effort d’enrôler des - 15 suisse et belge pour se maintenir.

Accent ardennais à Géo-André

Du côté des dames, les Européennes compteront sur l’apport de l’expérimentée Laetitia Tordo (0) pour rapidement retrouver la N2. Un objectif réalisable si les Rémoises sont épargnées par les blessures et les absences.

Enfin, en N3 également, les filles de Géo-André, fortes d’un recrutement ardennais avec Charline Braidy (- 4/6, ex La Macé) et Claire Makhloufi (2/6, ex Givet), semblent être en mesure de conserver leur place.

MESSIEURS

N2 (poule C). - Cormontreuil TC (promu) : Nicolas Beuque, Sébastien Jolly et Jean-Charles Robert (- 4/6), Vincent Leveque (- 2/6), Manuel Soumet (1/6), Mathieu Blanc (2/6), Mickael Porres (5/6, capitaine). Objectif : maintien.

Les matches : Bagneux - CTC (aujourd’hui) ; CTC - Roye (9 mai) ; Stade Bordelais - CTC (16 mai) ; CTC - Cagnes (30 mai) Annecy-Le-Vieux - CTC (6 juin).

N3 (poule A). - Reims Europe Club (promu) : Gabriel Andruejol (0), Théophile Castelhano, Alexandre Gajanovic et Florent Seuret (1/6, capitaine), Pascal Bonnet (2/6), Jérôme Clausse (4/6). Objectif : maintien.

Les matches : REC - TC Flandres (aujourd’hui) ; Ill TC Strasbourg - REC (9 mai) ; La Frette - REC (16 mai) ; REC - Rouen (30 mai) ; Albert - REC (6 juin).

N4 (poule E). - TC Géo-André : Jordan Balles, Vincent Pacanowski, Sébastien Paillard (capitaine) et Arnaud Pignon (2/6), Cédric Leroy (3/6), Charles Gilles (4/6). Objectif : maintien.

Les matches : Géo-André - OSM Lommois (aujourd’hui) ; Epinay-Géo-André (9 mai) ; Géo-André - Auxerre (16 mai) ; Géo-André-Sarreguemines (30 mai) ; Schiltigheim - Géo-André (6 juin).

Poule K. - TC Vitry (promu) : Yannick Thomet (- 15, Suisse), Alec Witmeur (- 15, Belgique), Arnaud Lalouette (0, capitaine), Alexandre Blossier (2/6), Benoît Varin (3/6), Brice Bonnerave et Gautier Jeanrat (15). Objectif : maintien.

Les matches : Nancy FH - Vitry (aujourd’hui) ; Vitry - Vitrolles (9 mai) ; Dijon ASPTT - Vitry (16 mai) ; Vitry - Besancon RC (30 mai) ; Brunsttat - Vitry (6 juin).

DAMES

N3 (poule F). - TC Géo-André (relégué) : Charline Braidy (- 4/6), ’Claire Makhloufi (2/6), Claire-Hélène Genin (3/6), Noémie Ruffin (4/6), Cindy Castille, Aurélie Marchai et Audrey Sarrazyn (5/6), Anne-Sophie Rose (15, capitaine). Objectif : maintien.

Les matches : Chelles - Géo-André (aujourd’hui) ; Géo-André - Chartonnière (9 mai) ; Géo-André - Blois (16 mai) ; Sarreguemines- Géo-André (30 mai) ; Géo-André - Maurepas (6 juin).

Poule H. - Reims Europe Club (relégué) : Nathalie Mohn (- 15), Marie Menacer (- 4/6), Laetitia Tordo (0), Mélanie Roy (2/6), Emilie Gaillot (3/6), Muriel Legué et Audrey Rousseaux (5/6). Capitaine : Pheng Xayphengsy. Objectif : montée.

Les matches : Maisons Alfort - REC (aujourd’hui) ; REC - Plessis Robinson (9 mai) ; REC - Arcachon (16 mai) ; Vincennes - REC (30 mai) ; REC - Ninon Pornichet (6 juin).


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Union100502a - Marne
Un bouquin sur l’islamophobie par un jeune Rémois : « Il fallait que ça sorte »

Mohamed Charef avait besoin d’exprimer son ras-le-bol de l’islamophobie en France.
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Jeune assistant social venu du quartier Croix-du-Sud, Mohamed Charef se sert de son vécu pour envoyer un message aux politiques sur l’islamophobie.

C’est lui qui l’écrit : « Ma femme me contrôle pour ne pas que je tombe dans l’ivresse de la haine ». Dans « Outrage A Sarrazins », sous-titré « C’est quand ils sont plusieurs que c’est un problème », Mohamed Charef déverse ses sentiments profonds d’inégalité, d’injustice, notamment de la part des politiques, à la suite des affaires Hortefeux, Vals et Morano.

« Il fallait que ça sorte. C’est un exutoire de l’islamophobie. J’ai toujours aimé écrire, c’est pourquoi j’ai choisi ce support par rapport à la musique, le sport, etc. » Mohamed a vécu une grande partie de sa vie dans le quartier Croix-du-Sud. Il a un BEP, un bac pro, un Deug d’histoire, et s’est finalement tourné vers le social pour devenir assistant social, son métier actuel.

« Mots violents »

« L’inégalité nous frappe de plein fouet. Et si je ne tolère pas certains modes d’expression pour se faire entendre, comme brûler des voitures, mon livre est parfois brut de décoffrage, avec des mots violents. » Brut d’accord mais bien travaillé peut-on constater en lisant l’ouvrage paru chez EdiLivre.com, disponible seulement sur internet, et qui fait partie des meilleures ventes de l’éditeur depuis mars, selon Mohamed Charef.

D’origine algérienne, d’obédience musulmane, le Rémois a voulu partir d’une vision globale pour revenir au quartier Croix-du-Sud, dont il livre une photographie, « d’où ressort le mal-être d’un quartier ghettoïsé, renfermé sur lui-même ». Mais l’écrivain voit avec l’arrivée du tramway et la destruction de tours, « une ouverture possible pour Croix-du-Sud ». Pour lui, la ville de Reims n’est pas islamophobe, et il se réjouit qu’il y ait bientôt deux mosquées dans la ville. Son livre se veut à la fois « une critique de la communication islamique, dont la population se renferme souvent par peur, et une perche lancée aux élus, notamment locaux, pour les amener à discuter de ces populations marginalisées ».

Ouvrir le débat à Croix-du-Sud

Selon lui, des jeunes de son quartier « se sont reconnus dans mon livre. J’espère que cela aura au moins le mérite d’ouvrir le débat à Croix-du-Sud ».

Et il espère bien faire passer son message plus loin que dans Reims. Notamment sur l’identité nationale. « On en parle beaucoup entre nous. ce débat nous blesse. » Il en a marre aussi de cette caricature incessante : « On est passé de l’Arabe voleur à l’Arabe terroriste ! »

Mohamed Charef s’attaque maintenant à une thématique encore plus difficile : « J’ai commencé mon deuxième ouvrage, qui portera sur les relations israélo-palestiniennes ».

G.F.


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Union100430a - Marne
Ecroué Stups et délits routiers

Vers 1 heure du matin, lundi, un cyclomotoriste circulant dans le quartier Croix-Rouge a fait demi-tour à la vue d’une patrouille de police.

Refusant de s’arrêter, il a abandonné le cyclo avant de s’enfuir à pied tout en se débarrassant d’un sachet qui contenait 80 grammes de cannabis.

Les recherches ont permis l’arrestation d’un suspect qui a contesté être le pilote du cyclo.

Positif au dépistage salivaire de stupéfiants, il a été désigné par une toxicomane comme étant celui qui lui avait vendu du cannabis à deux reprises.

Le mis en cause, Ismaël Brarou-Salmani, 23 ans, a fait l’objet d’une comparution immédiate, mais il a demandé un délai pour préparer sa défense.

Il a été écroué dans l’attente du procès le 29 juin.

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L’hebdo du vendredi- n° 166 - 100429b

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 166 - Semaine du 30 avril au 6 mai 2010

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EDUCATION – SPORT : Arago pense à ses sportifs

Proposant déjà des filières générales avec horaires aménagés pour les lycéens sportifs, le lycée Arago ouvrira à la rentrée prochaine des classes similaires pour les cursus professionnels.

Depuis 1986, et en collaboration avec le Creps de Reims, le lycée Arago scolarise les jeunes sportifs de haut niveau, sélectionnés par leur fédération ou leur club dans de nombreuses disciplines. En ce sens, une large place est réservée aux entraînements sportifs des élèves, en parallèle de leurs cours.

Si, depuis 2009, ce dispositif d’horaires aménagés est également accessible aux autres sportifs des clubs de la ville, il ne concernait jusqu’alors que les élèves inscrits en filières générales (S et ES) du lycée et non en filières professionnelles.

L’injustice vient d’être réparée : la maquette 2010 d’Arago prévoyant la création d’une section professionnelle Technicien du Bâtiment Etude et Economie. « C’est normal que les lycéens en cursus professionnel puissent eux-aussi bénéficier de ce dispositif » constate Loïc Janson, professeur de génie civil au lycée et ancien cycliste de haut niveau. Celui-ci précise que « cette nouvelle filière vient avant tout d’une demande des clubs de Reims. Notre politique à Arago, c’est de former les élèves dans les meilleures conditions, afin qu’ils sortent de chez nous avec un vrai projet professionnel, sportif ou non ».

Une politique qui semble porter ses fruits puisque parmi les anciens élèves ayant profité des classes en horaires aménagés, on peut compter des sportifs comme Pauline- Ferrand Prévost (cyclisme) ou encore un certain Paul-Henri Mathieu en tennis.

Si la filière pro en horaires aménagés n’est pas encore ouverte, elle suscite pourtant déjà beaucoup d’intérêts.

De la part des jeunes et leurs parents bien sûr (bon nombre d’entres-eux se sont déjà renseignés pour les inscriptions), et de la part des clubs sportifs de Reims. Après une première période de « démarchage » du lycée, une dizaine de clubs ont déjà répondu présent et signé une convention de partenariat, parmi lesquels le Reims Natation 89, le Reims Champagne Hockey, le RCB, les Régates Rémoises, l’A.C.B.R (cyclisme et VTT)… Il va de soi que les sportifs du Creps pourront également s’inscrire dans cette formation professionnelle. Avis aux amateurs, les inscriptions ne sont pas encore closes !

Aymeric Henniaux

Renseignements dans les clubs rémois et au lycée Arago : 1, rue François Arago Tél. 03.26.06.40.25


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Union100429a - Marne
Feux divers

Hier, vers 5 heures du matin, une Mercedes a pris feu place Georges Braque.

L’incendie est suspect.


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Union100428b - Marne
Tennis-club de l’Acrap : C’est reparti pour un court !

Les adhérents peuvent désormais courir après la petite balle jaune sur ce terrain situé près de l’hippodrome dans un cadre agréable.
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« Conformément aux engagements pris lors de l’assemblée générale de l’Acrap, la rénovation du court de tennis a bien été réalisée avant l’été, puisque la peinture et le traçage sont terminés depuis le 7 avril : les licenciés de l’ACRAP peuvent donc dès à présent utiliser cet équipement rénové », annonce le premier adjoint Éric Quénard. Le service aménagement des Espaces verts est en effet intervenu rapidement comme promis.

Sa prochaine mission sera la réalisation d’un boulodrome aux normes réglementaires le long de cet équipement, en remplacement du deuxième court de tennis de l’Acrap, sacrifié sur l’autel des travaux pour le tramway (construction de la station Kennedy en cours).

Tennis-club de l’Acrap : 11, avenue du Président-Kennedy (tél. 09.61.64.53.29.).

Inscription au secrétariat, du lundi au jeudi de 9 à 12 heures et de 13 h 15 à 17 heures et vendredi matin, ou auprès du responsable du club, Alain Lommé, du lundi au jeudi de 18 heures à 19 h 30, au 03.26.84.19.41

- Des photographies de l’assemblée générale et des courts rénovés de l’ACRAP sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100428a - Marne
Croix-Rouge : Plus de 7.000 ventes à la braderie de livres

Les amateurs se sont pressés aux grilles dès l’ouverture.
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Avec 5.867 livres et 1.275 périodiques vendus en une journée, la braderie de la bibliothèque de Reims organisée à Croix-Rouge dimanche 25 avril a remporté le succès attendu par ses organisateurs.

Le soleil a été de la partie toute la journée, et « dès 9 h 15, pour une ouverture à 10 heures, les amateurs se pressaient aux grilles », témoigne une des animatrices. « Si elle a un peu faibli l’après-midi », rapporte Delphine Quéreux Sbaï, directrice du réseau des bibliothèques de Reims, « cette fréquentation n’a pas cessé jusque 18 heures et, au total, 1.200 entrées ont été relevées ». Il faut dire qu’avec des prix de 1 ou 2 euros pièce, les affaires à réaliser étaient nombreuses (romans, bandes dessinées, magazines, CD et DVD) avec cette deuxième vente de documents « désherbés », que la bibliothèque de Reims retire de ses rayonnages pour faire de la place chaque année aux 30.000 nouveautés ! L’adjoint à la culture Serge Pugeault s’est rendu compte de l’engouement des Rémois pour ce genre d’opération qui, n’en doutons pas, sera renouvelé les prochaines années.

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